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Il y a 4 ans et 337 jours

Dossier : 5 expositions à visiter à Paris

Après deux mois rythmés par des visites virtuelles d’expositions, de nombreuses galeries d’art ont rouvert leurs portes, et nous proposent depuis de parfaire notre connaissance de l’art contemporain à travers des accrochages bien réels. Focus sur cinq expositions organisées par des galeries à voir à Paris en ce moment. Chloe Sells à la galerie Miranda La galeriste franco-australienne Miranda Salt nous plonge dans l’univers onirique de la photographe américaine Chloe Sells (née en 1976). Cette exposition monographique dévoile une série récente qui rassemble des photographies des lacs de sel Makgadikgadi Salt Pans prises par Chloe Sells lors d’un séjour dans le désert du Kalahari, au Botswana. Chaque œuvre exposée à la galerie est un tirage chromogénique unique retouché par l’artiste. Après le développement, dans l’obscurité de la chambre noire, Chloe Sells a dessiné sur ses tirages à l’acrylique, à l’encre ou au feutre, travaillé différentes textures, découpé des formes accidentées. En résultent des œuvres très poétiques qui, dans une profusion de couleurs, tutoient l’abstraction. Chloe Sells : The Place of the Dry, Dry, prolongée jusqu’au 27 juin 2020, à la galerie Miranda (75010) . Olivier Masmonteil à la galerie Thomas Bernard - Cortex AthleticoThomas Bernard organise la seconde exposition personnelle de l’artiste-peintre français Olivier Masmonteil (né en 1973) à la galerie Thomas Bernard - Cortex Athletico en montrant la façon dont il conçoit le paysage et la peinture. À l’occasion de cette manifestation, Olivier Masmonteil nous révèle les secrets de sa peinture qui transforme le tableau en un support de sa mémoire. Dans certaines de ses œuvres aux allures de vieilles cartes postales se croisent alors des souvenirs diffus de ses séjours à Madagascar et des réminiscences des paysages découverts en Nouvelle-Zélande. Ainsi, l’accrochage, pensé et mûri conjointement par Thomas Bernard et Olivier Masmonteil durant la période du confinement, retrace les diverses pratiques artistiques, les réflexions et les recherches de l’artiste. Olivier Masmonteil, Le voile effacé, du 5 mai au 31 juillet 2020, à la galerie Thomas Bernard (75003) . Alexia Chevrollier à la galerie Lou CarterLa galeriste Lou Carter a choisi d’exposer exclusivement des plasticiennes dans son nouvel espace parisien, et vient de lancer un cycle d’expositions dédiées aux artistes femmes dans lequel elle propose une réflexion sur les rapports qu’elles entretiennent avec l’espace. L’exposition consacrée à la plasticienne française Alexia Chevrollier (née en 1989), qui ouvre le bal, se penche sur le processus de transformation de la matière et révèle les recherches de l’artiste autour de l’espace et du temps, ainsi que son approche du don. Les œuvres disposées ici dans un black cube, qui vient contrecarrer le « white cube », désormais trop répandu, donnent à voir la diversité de la matière. L’exposition, surprenante dans sa scénographie, invite les spectateur·rice·s à porter leur attention sur le pouvoir magnétique des œuvres d'Alexia Chevrollier.Alexia Chevrollier, du 10 au 27 juin 2020, à la galerie Lou Carter (75007) . Fabian Albertini à la galerie Molin CorvoAvec Beyond Seeing, la galerie Molin Corvo expose pour la première fois les photographies et les sculptures créées par la plasticienne italienne Fabian Albertini (née en 1965) sur le désert. L’exposition, imaginée par la galeriste Roberta Molin Corvo en collaboration avec Fabian Albertini, se concentre sur quatre photographies surpeintes et trois sculptures en fer réalisées entre 2018 et 2020, et donne à voir les thématiques abordées par l’artiste dans son art  : les rapports entre l'homme et l'environnement, la spiritualité, la perception, le mouvement. Les photographies du désert associent des éléments géométriques à un espace environnemental, tandis que les sculptures abstraites ou géométriques évoquent les souvenirs des paysages désertiques visités par l’artiste. L’événement s’achève sur Magneticsphere, un projet non-réalisé, actuellement en cherche de financements. Beyond Seeing by Fabian Albertini, du 18 juin au 09 août 2020, à la galerie Molin Corvo (75007) . Pierre Charpin à la galerie kreo Cinq ans après sa dernière exposition personnelle à la galerie kreo, le designer français Pierre Charpin (né en 1962) nous charme une nouvelle fois avec son approche de la couleur et des matériaux. Avec Similitude(s), la galerie réunit des dessins, des meubles, des objets dans une scénographie graphique conçue par Pierre Charpin lui-même. On peut, entre autres, contempler les vases Plump avec leurs courbes sensuelles, les table basses Translation graphiques et texturées, les miroirs Satellite ludiques et décoratifs, mais aussi découvrir sa pratique du dessin, moins connue, grâce à la présentation en guise d’introduction de sa série « Stain ». Similitude(s), du 20 mai au 31 juillet 2020, à la galerie kreo (75006) Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 341 jours

Bruno Cavagné, un 3e mandat de “combat” à la FNTP

Pour son 3e mandat à la tête de la FNTP, Bruno Cavagné milite pour l’adoption de deux plans de relance. [©FNTP] Dans un contexte de crise, Bruno Cavagné, 57 ans, a été réélu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) . Ceci, pour un troisième mandat de trois ans. Ce mandat de “combat” s’ouvre dans une période de crise sanitaire et économique inédite. Bruno Cavagné milite ainsi pour l’adoption de deux plans de relance. D’abord, un plan d’urgence pour soutenir l’investissement public local. Puis, un plan de transformation au service de la transition écologique. Bruno Cavagné sera entouré d’une équipe renouvelée représentative des métiers, des territoires et des typologies d’entreprises de travaux publics. « C’est une course contre la montre » « Les administrateurs de la FNTP ont souhaité me renouveler leur confiance dans cette période, qui s’annonce très difficile pour le secteur des travaux. Et je les en remercie. Mon seul combat est aujourd’hui de surmonter la crise que nous vivons. Et pour ce faire, je plaide pour l’adoption en urgence d’un plan de soutien à l’investissement public local et d’un plan de transformation de nos infrastructures au service de la transition écologique. Le temps nous est compté et c’est une course contre la montre qui s’engage avec le gouvernement. Plus il tardera à engager ces plans, plus les dommages de la crise seront profonds dans notre secteur », estime Bruno Cavagné.  Celui-ci est toujours investi dans le groupe Giesper, à Toulouse, spécialisé dans les activités de génie civil, de canalisations, de VRD, de gros œuvre, de peinture, de recyclage, d’hôtellerie et de promotion. Homme d’échanges, Bruno Cavagné s’est impliqué dans la vie professionnelle comme dans son entreprise, depuis de longues années. Ainsi, Il est membre du bureau du Medef (Mouvement des entreprises de France), conseiller du Conseil économique, social et environnemental (Cese) au titre de la vie économique et du dialogue social. Et administrateur de BTP Banque, de la SMAvie BTP et de la Caisse nationale des entrepreneurs de travaux publics (CNETP). Il est aussi vice-président de la SGAM BTP, vice-président du Conseil d’orientation des infrastructures.
Il y a 4 ans et 341 jours

Risque plomb : L’OPPBTP et GESTES réalisent un recueil de solutions

Afin de répondre à la demande exprimée par des entreprises confrontées au risque plomb, l’OPPBTP et le Groupement des Entrepreneurs Spécialisés dans le Traitement et l'Embellissement des Surfaces (GESTES) ont réalisé un kit de documents utiles pour les travaux de peinture en présence de plomb dans les cages d’escaliers en sites occupés. Ces outils pratiques ont pour but d’aider les entreprises à préparer une intervention en toute sécurité et à communiquer avec les maîtres d’ouvrage et occupants des bâtiments avant et pendant les travaux
Il y a 4 ans et 344 jours

Suite au confinement, les Français vont-ils plus privilégier les espaces extérieurs que leur habitation ?

Un mal-être généralLe confinement aura eu un impact certain sur le ressenti des Français vis-à-vis de leur habitation.En effet, qu'ils soient en maison ou en appartement, le constat reste le même : les Français n'en peuvent plus de leur logement ! Ainsi, même les personnes ayant un jardin sont 41% à déclarer ne plus voir en peinture leur maison. Les personnes ayant une habitation avec une terrasse ou un balcon sont légèrement plus nombreuses dans ce cas avec 53% de représentativité. Enfin, ce sont les Français qui vivent dans une habitation sans espace extérieur qui sont les plus sensibles à ce malaise à plus de 63%. Une envie de changementMaison avec Jardin, appartement avec terrasse ou sans, dans tous les cas, la grande majorité des Français aimerait bien changer d'habitation. C'est ce que déclarent 59% des personnes ayant un jardin, 67% ayant une terrasse ou un balcon et 71% qui n'ont aucun espace extérieur.Ça déménage !A la question « prévoyez-vous de déménager cette année ? », les réponses divergent en fonction des typologies d'habitation. En effet, si les personnes qui n'ont aucun espace extérieur sont plus de 62% et celles avec une terrasse ou un balcon à plus de 56%, à vouloir trouver un nouveau logement cette année, celles qui possèdent un jardin ne sont plus de 43% à avoir envie de déménager.Le jardin devient primordialLes habitations qui proposent un espace extérieur privé vont devenir de plus en plus prisées par les Français. En effet, plus de 53% des répondants déclarent que la surface extérieure est aussi importante que la surface intérieure. 42% vont même jusqu'à la déclarer plus importante et uniquement 6% la considère moins importante.Vive la campagne !Si 25% des locataires préfèrent encore la ville, et 30% la banlieue, plus de 45% veulent vivre maintenant au vert. Fait intéressant, plus les répondants ont déjà des espaces extérieurs, plus ils en veulent pour leurs projets à venir. Ainsi les personnes ayant un jardin sont 62% à voter pour la campagne et celles ayant une terrasse ou un balcon sont 42% quand celles qui n'ont rien ne sont que 31% et préfèrent à 37% un logement en banlieue.L'espace appelle l'espacePour profiter pleinement d'un espace extérieur, les Français sont même prêts à mettre la main au porte-monnaie. En effet, les personnes qui ont déjà un jardin sont disposées à 68% à payer plus pour plus d'espace extérieur, celles qui ont une terrasse sont 59% et celles sans rien sont 56%.*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 6.304 locataires répartis sur l'ensemble du territoire français, selon la méthode des quotas, durant la période du 29 mai au 4 juin 2020. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France regroupant plus de 21.255 personnes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives. Profils des répondants :57% disposent d'un jardin (dont 9% des répondants qui ont également une terrasse ou un balcon),38% disposent d'une terrasse ou d'un balcon,14% n'ont aucun espace extérieur.
Il y a 4 ans et 345 jours

Événement : Kleureyck, Les couleurs de Van Eyck dans le design

Si le lien entre le peintre flamand Van Eyck et le design contemporain ne semble pas évident au premier abord, le Design Museum de Gent tente l’expérience de rapprocher l’usage unique de la couleur fait par l’artiste du XVème siècle et la signification de ces teintes pour les grands noms du design. Culottée, l’exposition rassemble quelques 100 pièces d’exception à travers un parcours pigmentaire qui nous laisse sans voix ! Considéré comme l’inventeur de la peinture à l’huile, Jan van Eyck (1390 – 1441) est rapidement devenu une référence pour son usage particulier de la couleur. Son célèbre tableau L’Agneau Mystique, datant de 1426, est d’ailleurs un passage obligatoire pour tous les historiens de l’art, notamment pour ses teintes vives et son réalisme frappant. Difficile donc de relier ce maître de la Renaissance flamande aux programmations habituelles du Design Museum de Gent (Belgique). Et pourtant, pour sa réouverture post-épidémique, le musée prend le parti d’associer l’un des grands noms belge de la peinture aux créateurs de notre époque. Un choix original qui donne lieu à une exposition qui marquera les esprits. C’est en effet à partir de ce fameux retable que s’organise l’exposition. A travers 13 détails importants de l’œuvre de Van Eyck, chacun mettant en lumière une couleur particulière, la commissaire Siegrid Demyttenaere – fondatrice de DAMN Magazine – propose une sélection de pièces rassemblées par teintes mais faisant également échos aux symboliques du tableau du maître flamand. Le spectateur est ainsi invité à circuler au milieu des œuvres de Sabine Marcelis, Marcin Rusak, Hanna Aagaard ou encore Théophile Blandet, pour ne citer qu’eux. Un catalogue préstigieux complété par onze « Experience Rooms », des salles au sein desquelles des designers ont travaillés sur le thème « couleur et sens » et où le spectateur peut goûter, voir ou même toucher les différentes nuances. Enfin, une troisième partie intitulée « Research Projects » nous propose de découvrir le parcours emprunté par les designers de l’exposition pour le montage de leur projet, de la réflexion à la mise en place. Point de vue unique et programmation complète, telle est la promesse faite par le Design Museum de Gent.Pour en savoir plus, visitez le site de Design Museum GentPhotographies : DRZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 350 jours

Transition ID : Montcalm

Situé dans le 18ème arrondissement de la capitale, l’appartement de 170 mètres carrés a su taper dans l’œil de ses propriétaires grâce à ses beaux volumes et sa grande luminosité. Cependant, son traitement initial, plutôt froid et austère, avait bien besoin d’un bon coup de frais ! C’est désormais chose faite, grâce à l’inventivité et au goût de l’agence parisienne Transition ID. Duplex de 170 mètres carrés doté d’une terrasse de 100 mètres carrés situé juste derrière la butte Montmartre, il y a de quoi faire rêver ! Un ensemble au potentiel d’exception, révélé par le cabinet d’architecture d’intérieur Transition ID. Pour ce projet, Carla Lopez, co-fondatrice de l’agence, mise sur un retour au source et tente de redécouvrir le charme initial de cet appartement, tout en l’associant à des influences scandinaves et modernistes. L’un des premiers champs d’action consiste en la restructuration des espaces, jusqu’alors maladroitement découpés. L’entrée se fait au niveau inférieur, qui devient, sous la houlette de Transition ID, un étage de nuit. Jadis composé de quatre chambres et de deux salles d’eau, ce niveau est aujourd’hui doté d’un grand espace « nuit et jeu » pour les enfants, d’une suite parentale et d’une chambre d’amis. Alors que l’étage supérieur était très largement cloisonné, les maîtres d’œuvre ont fait le choix de tout ouvrir et de créer une pièce unique où cohabitent cuisine, salle à manger et salon, segmenté par des baies vitrées permettant à la lumière de s’épanouir au sein de cet espace de vie donnant sur une terrasse végétalisée. Côté déco, si le parquet d’origine est ici révélé et que le blanc typique des intérieurs haussmanniens semble dominer, des touches colorés – de la peinture vert de sauge au papier peint Cole&Son en passant par des carreaux de carrelage vifs et de revêtement Terrazzo de Papermint – viennent dynamiser l’ensemble. Des verrières et des claustras en bois contribuent également à délimiter les espaces, tout en apportant de la chaleur à l’appartement. Un aspect vivant de cette rénovation accentuée par le choix du mobilier, allant des canapés Togo de Michel Ducaroy bleu aux banquettes en velours moutardes dans la partie salle à manger.Une réhabilitation au goût plus que sûr !Pour en savoir plus, visitez le site de Transition IDPhotographies : ShoootinZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 351 jours

En deux coups de peinture, urbanisme tactique = urbanisme opportuniste

Quelle mouche, abeille ou palombe a bien pu piquer nos édiles pendant le confinement pour que les gazettes s’emparent soudain du sujet de l’urbanisme tactique comme du dernier scoop depuis les Ovnis ? Voyons (liste non exhaustive) « S’inspirer de l’urbanisme tactique pour adapter les villes à la distanciation physique »The conversation 23 avril 2020« L’urbanisme tactique : […] L’article En deux coups de peinture, urbanisme tactique = urbanisme opportuniste est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 351 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 4 ans et 357 jours

Nouvelle date d’inscription pour le Trophée Béton Ecoles 2020

La date de clôture des inscriptions 2020 au Trophée Béton Ecoles a été décalée au 30 octobre prochain. [©DR] Dans un contexte inédit de crise sanitaire liée au Covid-19, les organisateurs du Trophée Béton Ecoles ont repoussé la date de clôture des inscriptions 2020 au 30 octobre prochain. Soit un mois plus tard qu’initialement prévu. Ceci, pour permettre aux étudiants de participer plus facilement.  Rappelons que ce concours est organisé depuis 2012 par l’association Bétocib, Cimbéton et la Fondation Ecole Française du béton, sous le patronage du ministère de la Culture. Il a pour but de révéler les jeunes talents des écoles d’architecture françaises, de les parrainer. Ainsi que de leur offrir une visibilité à l’orée de leur vie professionnelle. Une édition 2020 déclinée en deux catégories   Pour cette 9e édition, le Trophée Béton Ecoles sera décliné en deux catégories, comme l’année précédente. Appelée “PFE”, la première récompensera les jeunes diplômés, dont le projet de fin d’étude valorise les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. Et, pour la deuxième fois, la catégorie dite “Studio” s’ouvrira aux étudiants en architecture de premier et second cycle. Ces derniers sont invités à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon une expression graphique libre (dessin, peinture, collage, maquette).
Il y a 4 ans et 357 jours

Point.P publie son nouveau catalogue

Point.P a publié le catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. [©Point.P] Point.P lance l’édition 2020 de son catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. L’outil se veut 2-en-1, en intégrant à la fois une partie matériaux, qu’une partie outillages et consommables, avec plus de 30 000 références. Il s’adresse à l’ensemble des acteurs du BTP. Pour répondre aux besoins de la filière, plus de 365 000 exemplaires sont diffusés. Soit 40 % d’exemplaires en moins que l’année 2019. Et ce, pour répondre aux contraintes environnementales actuelles. Le catalogue se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie “matériaux” comprend 11 univers. A savoir : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et Plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur. Quant à la partie “Outillages”, elle est repartie en 8 univers. Tels que Connectivité-électricité, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-quincaillerie, Plomberie-sanitaire. Ainsi que Mastic-peinture-droguerie. Ce nouveau catalogue a été pensé, afin de faire gagner du temps aux professionnels. Afin de pousser cette volonté encore plus loin, Point.P a même intégré un nouveau service de contact par SMS. En effet, en fin de page, une liste d’agences Point.P ayant adopté ce service est proposée.
Il y a 4 ans et 359 jours

Dans un parking, la sécurité ne peut pas être totale

Pour cette raison, la Cour de cassation a refusé qu'un piéton blessé après avoir glissé sur une flaque d'huile puisse réclamer une indemnisation à l'exploitant du parc.La Cour a observé que le parking était suffisamment bien aménagé et entretenu pour pouvoir considérer que l'obligation de sécurité "de moyens", due à la clientèle, avait été remplie. Il n'y a pas de faute de l'exploitant dans sa relation avec ce client, ont estimé les juges.En cas de dommage corporel, l'indemnisation doit être acquise pour le client comme pour les autres, sans qu'il soit nécessaire de prouver une faute de l'exploitant, disait le blessé, mais son argument a été rejeté et la justice l'a débouté.Le parking était propre, nettoyé quotidiennement par plusieurs salariés d'une société spécialisée, revêtu d'une peinture antidérapante, de couleur claire pour les zones de circulation et foncée pour les zones de piétons, et le règlement imposait de respecter ces zones, ont observé les juges. En conséquence, l'endroit ne présentait pas de risque particulier, l'obligation de sécurité de moyens était respectée et cette personne n'a pas été victime d'un risque anormal qui aurait engagé la responsabilité de l'exploitant du parking.(Cass. Civ 1, 5.2.2020, A 18-25.625).
Il y a 5 ans et 0 jours

Point.P dévoile son nouveau catalogue professionnel 2 en 1

Avec plus de 25 000 références, dont de nombreuses nouveautés produits, ce catalogue diffusé à 365 000 exemplaires à travers toute la France reste l'outil incontournable pour les acteurs du BTP. A l'image des engagements de l'enseigne, il a pour objectif de simplifier la vie et de faire gagner du temps au professionnel.Toute l'offre de matériaux, outillage et consommables en un seul outilLes métiers du BTP sont de moins en moins segmentés, c'est pourquoi les professionnels ont souvent besoin de s'équiper en matériaux de construction ainsi qu'en outillage, sans distinction. Afin de faciliter leurs recherches, POINT.P a choisi de réunir son offre de matériaux, d'outillage et de consommables en un seul et même support. Ainsi, qu'il soit maçon, plaquiste ou encore électricien, le professionnel, quelque soit son corps de métier, trouvera rapidement et simplement le produit qu'il recherche dans ce catalogue simple, clair et fonctionnel. Les deux sens de lecture (l'un pour les matériaux, l'autre pour l'outillage et les consommables) lui permettront en un geste de se diriger vers l'offre la plus adaptée à ses besoins. De plus, chaque offre dispose d'un index spécifique pour aider le professionnel à sélectionner rapidement le ou les produits souhaités.Pour répondre aux spécificités de chaque région, le catalogue 2020 Matériaux, Outillage & Consommables de POINT.P se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie Matériaux regroupe en moyenne 5 000 références dans 11 univers : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur.La partie Outillage répertorie quant à elle 6 000 références d'outillage réparties en 8 univers : Connectivité-Electricité-Ventilation, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-Quincaillerie, Plomberie-Sanitaire et Mastic-Peinture-Droguerie.POINT.P propose une offre très large de références pour tous les professionnels, puisqu'au total sur l'ensemble du territoire, ce sont plus de 25 000 produits, dont de nombreuses nouveautés, qui sont référencés dans l'édition 2020 de son catalogue, et 100 000 sur le site pointp.fr.Un catalogue pense au service du professionnelLe nouveau catalogue 2 en 1 a été entièrement repensé pour correspondre au mieux aux attentes de l'artisan. Au travers de cet outil, l'enseigne s'engage à simplifier la vie du professionnel et à lui faire gagner du temps.Dans cette optique, le catalogue intègre notamment un nouveau service client permettant au professionnel d'entrer directement en contact par SMS avec leur agence POINT.P. Celle-ci peut ainsi répondre immédiatement et à tout moment au besoin du client (informations horaires, disponibilité produits…). Pour cela, un listing des agences disposant de ce service est disponible en fin de catalogue, avec le numéro de téléphone portable renseigné en face de chaque agence concernée.Toujours dans une démarche de simplification et de gain de temps pour le professionnel, l'intégralité des références sont accompagnées d'un code-barre pour accéder à la fiche produit associée sur pointp.fr ainsi qu'aux informations de stocks et de disponibilité dans son agence. Cela permet au professionnel de passer commande depuis son téléphone en direct du chantier, puis de venir retirer rapidement son produit dans l'une des 800 agences POINT.P ou de se faire livrer.De plus, pour aider le professionnel à faire le meilleur choix au meilleur prix, les produits offrant le meilleur rapport qualité/prix de chaque marque de distributeur POINT.P (Cada, Ultibat, Deltapro, Arte, Novipro) sont mis en avant, avec une offre personnalisée pour chaque région.Enfin, dès les premières pages, les nombreux services que propose l'enseigne sont présentés, avec notamment :Le programme Génération Artisans et ses services et logiciels pour aider l'artisan au quotidien (Solu+, Tolteck, Renoprim+ Direct, CapRenov+, Objectif RGE, La Maison Saint-Gobain, Studio GA, Dynabuy,...).Les engagements livraison sur chantier avec suivi en temps réel par SMS.La possibilité d'ouvrir un compte en quelques minutes et de bénéficier du paiement à crédit.Les engagements de la marque POINT.P permettant à tous les clients de gagner du temps et de leur simplifier la vie. Une démarche environnementale forteLa volonté de POINT.P de regrouper l'ensemble de ses références en un seul catalogue s'inscrit également dans une démarche de protection de l'environnement. Ce catalogue unique permet en effet de répondre aux enjeux de réduction des déchets papiers. Fabriqué à partir de papier recyclé, il est distribué dans les agences de l'enseigne en 365 000 exemplaires seulement, soit environ 40 % de moins qu'en 2019, afin de correspondre au plus près des besoins sur le terrain et éviter le gaspillage.
Il y a 5 ans et 1 jours

Rencontre avec : Hadrien Durand-Baïssas

D’abord dessinateur, l’artiste parisien Hadrien Durand-Baïssas (né en 1992) préfère aujourd’hui la pluridisciplinarité et construit une œuvre protéiforme, allant du dessin à la musique, en passant par l’installation. Nous avons discuté avec lui de son parcours, de sa pratique artistique et de ses réflexions. Muuuz : Pouvez-vous nous résumer votre parcours ? Comment avez-vous commencé à dessiner ? Hadrien Durand-Baïssas : J’ai commencé à dessiner en atelier de dessin à Paris lorsque j’étais au lycée. La plupart du temps, je dessinais pendant mes cours au lieu de prendre des notes, mais finalement cela a porté ses fruits puisque j’ai intégré l’Atelier de Sèvres juste après le bac. Puis, j’ai étudié le design graphique à Paris également pour ensuite travailler en freelance tout en poursuivant ma pratique artistique. Aujourd’hui, je travaille en tant que directeur artistique et artiste plasticien à New York.Pourquoi avez-vous choisi de vous installer outre-Atlantique ? Quelle étape représente ce séjour dans votre parcours ? Vivre à New York représente une étape considérable dans mon parcours. J’y ai emménagé car j’avais soif d’aventure en dehors de la France, et aussi parce que de nombreux projets m’attendaient là-bas. Je pense que c’est une ville complètement dingue où les artistes sont traités différemment qu’en France. À New York, j’ai l’impression que l’art occupe une place majeure au quotidien : on y rencontre très souvent des gens avec une énergie folle qui nous embarquent dans des projets tous plus fous les uns que les autres. C’est d’ailleurs cette effervescence qui m’a poussé à sortir de ma zone de confort et à tester de nouveaux mediums comme les installations lumineuses ou la 3D. Comment définiriez-vous votre pratique artistique ? Quels sujets abordez-vous dans vos œuvres ? Je ne sais pas moi-même comment définir ma pratique artistique. Elle est un peu instable et accidentelle. J’ai adoré ne pratiquer que le dessin pendant des années et je ne m’en lasserai jamais, mais la vie est faite de surprises. Lorsque je suis séduit par de nouvelles pratiques, je suis immédiatement tenté de les incorporer dans mon travail artistique. J’ai été trop longtemps préoccupé par le fait de devoir pratiquer une seule technique, et c’est d’ailleurs souvent ce que l’on attend d’un artiste. Aujourd’hui, l’idée de rester enfermé dans une seule technique m’angoisse. Je pense que la création est un processus vaste qui peut s’appliquer dans une infinité de domaines. Je découvre désormais de nouvelles palettes d’expression artistique comme les installations immersives. Pour mes sujets, j’ai d’abord dessiné avec des stylos Rotring pour représenter des espèces animales en voie de disparition, puis des allégories antiques dans un univers de science-fiction. Aujourd’hui, je continue à traiter cette ambiance dans des installations lumineuses à la tonalité futuriste. Je réfléchis sur la géométrie, les impressions inexplorées, ainsi que sur la place de la technologie dans notre ère actuelle, son utilisation à des fins artistiques et son impact sur notre civilisation. Je questionne cette évolution progressive de l’homme vers une nouvelle espèce hybride mi-homme mi-machine.Où puisez-vous vos sources d'inspiration visuelles, conceptuelles et artistiques ? Beaucoup de mes inspirations viennent de ce que je découvre en parcourant internet et en visitant les nouveaux musées new-yorkais dédiés à l’art et la technologie. Très souvent, je m’inspire du design graphique actuel ou de créations digitales surréalistes. Je suis fasciné par les univers d’artistes graphiques 3D et vapor wave comme Baugasm, Lordess.foudre ou Dorian Legret, mais aussi par ceux de designers minimalistes et d’artistes du mouvement Light art tels que James Turrel, James Clar et Refik Anadol. Les peintures classiques ou modernes sont aussi des sources d’inspiration, sans oublier les sculptures de la Grèce et de la Rome antiques. Caspar David Friedrich et Salvador Dalí sont les peintres qui m’inspirent le plus. Tout ce qui captive mon regard au point de ne plus pouvoir en décrocher ou qui me questionne est une source d’inspiration. J’étudie ensuite l’œuvre, la composition, la technique utilisée, l’effet d’ensemble, le sujet et la démarche de l’artiste. Vos installations et vos scénographies sont immersives. Quelle place occupe le regardeur dans vos œuvres ? Dans quel espace de réflexion l'invitez-vous ? Dans mes installations, si l’observateur se sent plongé dans un univers qui le sort de son brouillard quotidien, l’immerge dans un monde différent de son environnement habituel et lui donne l’impression d’atterrir dans une succursale onirique proche de celle de ses rêves, mon pari est réussi. Mes installations me permettent de solliciter le regardeur en lui procurant différentes sensations que l’on ne peut pas forcément ressentir devant une création graphique. Le regardeur n’est plus un simple observateur mais devient acteur de l’œuvre. Je souhaite par-dessus tout dévoiler au regardeur de nouveaux horizons et réflexions pour le pousser à devenir non seulement acteur de l’œuvre, mais aussi l’élément conscient qui donnera vie à cet ensemble, c’est-à-dire le maillon indispensable de mes installations. Sans le regardeur, elles ne seraient qu’un décor surréaliste laissé à l’abandon comme un vestige archéologique à découvrir. C’est à travers des réflexions sur l’espace, le temps et notre place dans cet espace-temps que j’essaie de captiver l’attention de l’observateur. Avez-vous déjà commencé à explorer de nouvelles manières de créer durant le confinement ? Comme beaucoup de monde, le confinement a été une bonne opportunité pour moi de me recentrer sur mes projets personnels et mes priorités. J’ai travaillé sur la réalisation de websites pour la marque de platines vinyles haut de gammes Pro-Ject Audio USA, ainsi que pour la marque nord-américaine Sumiko Audio. J’ai aussi travaillé sur des morceaux. Bien que je mette principalement en avant mon travail plastique, je suis également musicien : je compose et produit avec du matériel analogique des chansons qui sont connectées à mon univers graphique et qui reflètent mes rêveries diurnes dans une ambiance cosmique. J’ai également profité de ce moment inédit pour mieux comprendre comment je pourrais associer cet univers musical à mes créations artistiques. L’idée de réaliser des animations et des vidéos qui allieraient à la fois ambiances musicales et visuelles a particulièrement retenu mon attention. Avec ces nouvelles idées, je rejoins ce que j’expliquais précédemment : continuer dans cette liberté de mixer différents médiums pour découvrir et partager des expériences sensorielles nouvelles. Quels sont vos prochains projets ?Je vais continuer à développer AG Studios, l’agence créative que nous avons créée avec des amis à New York. Je travaille en ce moment avec des clients sur les identités graphiques de leur marque, ainsi que sur la réalisation de leurs sites web. Je vais également mettre à profit les réflexions que j’ai pu avoir durant le confinement pour produire des nouvelles séries d’œuvres, visuelles, musicales ou encore in situ. J’envisage aussi de produire les projets qui m’attirent le plus tout en essayant de révéler un ensemble hétéroclite ayant pour colonne vertébrale une vibration onirique et surréaliste dans laquelle je me reconnais.Pour en savoir plus, visitez le profil Instagram et le site de l’artiste Hadrien Durand-Baïssas, ainsi que le site de AG Studios. Visuels : © Hadrien Durand-BaïssasLéa Pagnier  
Il y a 5 ans et 7 jours

Un nouveau pdg chez Blanchon

Guillaume Clément vient d’être nommé à la tête du spécialiste des vernis techniques et de la peinture innovante. Il succède à Louis Reynaud qui a décidé de prendre sa retraite.
Il y a 5 ans et 12 jours

2019 a été l’année d’une croissance retrouvée pour le marché du bricolage

En pleine crise sanitaire impactant tous les commerces, la FMB et INOHA dévoilent l’étude du marché du bricolage 2019 laissant apparaître une croissance solide jusqu’à l’arrivée du Covid-19. Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichaient une progression dans la continuité de celle de 2019, la pandémie a freiné cette dynamique : avec une augmentation de 3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018, le marché du bricolage avait renoué avec la croissance et atteignait 28 milliards d’euros après plusieurs années atones depuis la crise de 2008. 2019 : un marché qui repartait à la hausse En 2019, la croissance du marché du bricolage a été soutenue par les ventes records enregistrées dans l’immobilier ancien : pendant 24 mois consécutifs, le volume de transactions s’est situé à un niveau très élevé, dépassant depuis juin 2019 la barre du million de transactions sur 12 mois glissants. L’achat de logements anciens implique généralement de nombreux projets de travaux qui s’inscrivent dans un contexte positif. L’indice de confiance des ménages s’est restauré en 2019 malgré les mouvements sociaux qui ont émaillé la fin de l’année. Après une croissance modérée en 2018 (+2%), la consommation de biens d’équipement du logement augmente (+5%). Enfin, la météo s’est elle aussi montrée très favorable en 2019, notamment sur les mois d’été propices à la réalisation de travaux. Dans ce contexte positif, le marché du bricolage a atteint en 2019 un chiffre d’affaires de 28 milliards d’euros (+3,4%), tous circuits confondus. Il représentait le secteur le plus dynamique dans l’habitat. Les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit de distribution n°1 du bricolage Les Grandes Surfaces de Bricolage captent l’essentiel des achats bricolage, distribuant 74% du marché. Les écarts de performance s’atténuent entre circuits de distribution. Après une année stationnaire en 2018, le taux de progression de la GSB (+2,5%) est très proche de celui enregistré par les négoces (+3,5%). Après des années de croissance, la dynamique du secteur du e-commerce ralentit (+11,8% vs 18% en 2018). 2019 : une embellie pour presque tous les rayons avec un grand gagnant : le confort thermique En 2019, presque tous les rayons ont profité de l’embellie du marché à l’exception de celui de la Peinture/Droguerie/Colles qui reste en léger retrait (-0,3%). Le grand gagnant est le Confort Thermique (+5,5%). L’augmentation des températures relevées ces dernières années continue à favoriser la vente d’appareils de climatisation et de ventilation. Liés aux travaux de rénovation, les rayons Plomberie/Salle de bains/Cuisine (+4,6%), Quincaillerie (+4,4%), Bâtiment (+3,8%), et Electricité (+3%) affichent également de belles progressions. Les rayons Décoration (+3,2%), Revêtements (+3,1%), Bois & Menuiserie (+3%) profitent également des tendances décoratives telles que les verrières intérieures et le grand retour du papier peint. Grâce à une météo favorable, le rayon Jardin (+3,5%) tire également son épingle du jeu. 2020 : un million de projets potentiels Un million de logements ont été vendus en 2019. Sur ce nombre de transactions, une partie représentait un réservoir de travaux pour 2020. Les conditions étaient donc réunies pour que la croissance du marché du bricolage enregistrée en 2019 se poursuive. Malgré de forts taux de croissance en janvier et février 2020, la dynamique du marché a été freinée par l’arrivée de la crise sanitaire et les mesures de confinement prises dès le 16 mars par le gouvernement. Cette crise va profondément affecter toute l’économie française, y compris le marché du bricolage. Cependant, à moyen ou long terme, ce réservoir de projets devrait permettre de redynamiser ce secteur. « Dans le contexte de crise sans précédent que nous vivons actuellement, nous pouvons néanmoins nous féliciter des très bons résultats 2019 qui confirment la place essentielle des GSB sur leur marché. Les premiers mois de 2020 prolongeaient cette tendance positive, qui a malheureusement été fortement freinée par l’arrivée du Covid-19. Mais on soulignera que dans cette crise, les enseignes de bricolage ont fait preuve de réactivité et développé leur agilité pour répondre aux défis inédits qui s’imposent à tous les acteurs de l’économie, et continuer de répondre aux attentes des clients. Cela a nécessité une réorganisation profonde, afin de garantir la sécurité des salariés et des clients et d’empêcher la propagation du virus. Chaque décision prise par les entreprises l’a été à l’aune de ces priorités et en vue de préserver leur fonctionnement sur le moyen et le long terme », déclare Mathieu Pivain, Président de la FMB. « L’année 2019 a été une belle année pour notre filière en réalisant l’un des meilleurs résultats depuis 10 ans. Le consommateur a envie de bricoler : cela reste une de ses activités préférées et cela semble se confirmer en temps de confinement. Nous avons un beau réservoir de projets qui, je l’espère, nous permettront d’être résilients face à la crise sanitaire et économique que nous traversons » conclut Jean-Eric Riche, Président d’INOHA. http://www.inoha.org http://www.fmbricolage.com
Il y a 5 ans et 13 jours

Rencontre avec : Alexia Chevrollier

Après avoir obtenu son DNSEP à l'École Nationale Supérieure d'Art de Dijon (2012), l’artiste Alexia Chevrollier a étudié la philosophie à l’université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis (2014-16), puis l’esthétique à l'université Paris-Sorbonne (2016-18). Alexia Chevrollier mêle depuis pratique artistique et réflexions théoriques. Rencontre avec une jeune plasticienne qui « met en scène » les matières. Muuuz : Quand je vous ai rencontrée, j’ai découvert des peintures, des sculptures, des vidéos, des photographies, où il est toujours question de matières. Pouvez-vous nous parler un peu de votre pratique éclectique ?Alexia Chevrollier : Mon travail peut être défini par la notion de mouvement. Il n’est pas figé dans le temps ni dans une seule et même pratique. Je refuse de répondre à une technicité car je privilégie les matériaux. J’aime me définir comme une metteuse en scène de matières plutôt que comme une artiste plasticienne. Dans mes œuvres, je mets en scène les matières comme un metteur en scène dirige les corps. Je cherche toujours à révéler toutes les qualités des matériaux. Pour décrire votre processus de création, vous parlez d’une « déréalisation de la matière ». Qu’est-ce que cela signifie ? J’emploie l’expression « déréalisation de la matière » pour décrire mon travail autour de la rouille, qui est à la fois pictural et sculptural. Quand on est sculpteur, on utilise souvent des matériaux qui doivent être pérennes, car il y a une notion d’élévation et de construction. À partir de ce constat, je me suis demandée comment un matériau robuste comme le métal pouvait s’exprimer autrement, et j’ai choisi de déconstruire les propriétés mêmes de la matière en la rendant liquide. La « déréalisation de la matière » permet ainsi de détourner la robustesse première du métal. Comment sont nées vos peintures qui « déréalisent la matière » ? Mon désir de « déréaliser de la matière » vient de plusieurs cheminements de pensée. L’idée est d’abord d’inverser la qualité propre d’un matériau. Mais il y a aussi une part de hasard. Un jour, les jus d’oxyde de fer que je conservais dans des boîtes métalliques ont attaqué leurs contenants et se sont répandus sur le sol de mon atelier. J’ai alors pris des feuilles et des chutes de toile pour éponger le liquide. Les œuvres issues de cet événement fortuit sont à la fois métalliques et organiques. J’ai depuis développé cette pratique de peinture de rouille. Je me suis aussi inspirée des usines abandonnées. J’aime pouvoir imaginer les vies antérieures d’un lieu. Le métal est très présent dans les anciennes usines, des casiers aux tableaux électriques. Dans les usines en friche, on observe souvent des coulures de rouille qui évoquent le passage du temps. Mes peintures réalisées avec du jus de rouille sont des faux-semblants d’acier Corten, un acier auto-patiné utilisé par l’artiste Richard Serra dans ses sculptures, mais elles ne sont pas vraiment des peintures. Ce sont des œuvres de sculptrice plutôt que de peintre. Elles évoluent car elles s’oxydent en fonction de la teneur en oxygène et du taux d’humidité du lieu. Ces toiles réagissent constamment avec leur environnement, ce qui les rapproche encore une fois de la sculpture. À l’inverse, dans mon travail de jus de rouille sur toile libre, on s’éloigne des toiles de métal semblables à des plaques d’acier Corten. J’aime peindre ces toiles désincarnées par terre dans mon atelier. En les peignant au sol, je ne mets pas de distance entre mon corps et la toile. Une fois que la toile est sèche, je la mets en scène en la pendant au mur, ou en la plaçant sur des barres métalliques. J’aime inscrire le sol de mon atelier dans ma toile. L’atelier est le lieu caché de l’artiste, le support de toutes ses erreurs et de toutes ses réussites. Je laisse une empreinte, celle de mon atelier, mais aussi toutes celles des ouvriers et des artistes qui ont travaillé dans ce lieu avant moi. J’aime évoquer les histoires des espaces vécus dans mes peintures. Dans votre œuvre, l’artisan occupe une place centrale. Pouvez-vous nous expliquez votre démarche ? L’artisan occupe effectivement une place très importante dans mon œuvre. Je suis fascinée par les artisans. Je valorise la collaboration avec l’artisan car je refuse d’être commanditaire d’un savoir-faire. Je suis plus intéressée par la réaction de la matière que par le geste de l’artisan. Lorsque je travaille avec un artisan, je lui demande de sortir de son savoir-faire contrôlé en l’emmenant vers des positions d’inconfort. Je deviens alors « chorégraphe » de sa gestuelle. Que signifie pour vous ce travail collectif ? Ce travail collectif est très important pour moi. Je ne prétends pas apprendre un nouveau savoir-faire. J’ai envie d’être surprise et de rester assez naïve devant une matière. J’aime conduire l’artisan vers un terrain qu’il ne connaît pas, une situation qu’il ne maîtrise pas. J’ose espérer que mon intervention marque aussi les artisans. Quelle relation entretenez-vous avec les artisans avec lesquels vous collaborez ? Les considérez-vous comme des artistes ? L’artisan n’est pas à mon service. Nous sommes tous les deux au service de la matière. J’aime le hasard de la rencontre avec chaque artisan. Par exemple, quand j’ai commencé à travailler avec le maître verrier Stéphane Pelletier de l’Atelier Gamil, il y a tout de suite eu une complicité. J’ai d’ailleurs réalisé de nombreuses œuvres avec lui, notamment Souffle, Soulèvement, The Breath of fountain, Entropie et Lulu. Une relation de confiance doit exister entre l’artisan et moi pour que la collaboration soit possible. Tout l’enjeu de mon film Contre Taylor sur le travail d’un maître charbonnier est de montrer le passage de la construction à la déconstruction de la matière à travers le geste de l’artisan. Je pense que la différence entre l’artisan et l’artiste se cristallise autour de la sphère marchande. L’artiste est autant producteur que l’artisan, mais l’artiste est sans doute un mauvais artisan. L’artiste contemporain explore souvent différents médiums mais il ne les maîtrise pas forcément, tandis que l’artisan connaît et maîtrise très bien un seul savoir-faire. Certains artisans ont marqué durablement mon parcours. Pourquoi les matières vous fascinent-elles ? Les matières racontent des histoires. J’entretiens un relation très sincère avec elles. En 2017, j’ai réalisé Condition (structure), une sculpture éphémère constituée d’une structure en bois de charpente sur laquelle était posée une petite sculpture en terre crue. Je joue ici sur l’équilibre entre la robustesse des éléments en bois et la petite sculpture en terre cuite, mais je m’intéresse surtout aux histoires de ces matériaux. Les fragments de charpente utilisés dans mon œuvre avaient été récupérés par une architecte dans une veille maison pour construire un escalier. L’architecte m’a prêté ces fragments de bois le temps de mon exposition personnelle « La fabrique des possibles. Paysages crus » à la Chapelle du Carmel de Chalon-sur-Saône en 2017. En mettant en scène ces morceaux de bois, je dialogue avec les matières. Certaines de vos œuvres sont immersives, d’autres s’inscrivent dans l’espace. Que souhaitez-vous provoquer chez le regardeur ? Je cherche toujours à parler au regardeur. Dans ma dernière exposition personnelle « À force égale » au CRAC de Champigny-sur-Marne en 2019, j’ai choisi de créer un jeu entre extérieur et intérieur pour intégrer le visiteur à l’espace. Je prends toujours en compte le corps du spectateur. L’œuvre fonctionne en elle-même, mais le spectateur a son importance dans la logique de l’œuvre. Avec le temps, mes sculptures et mes peintures évoluent. Si le visiteur vient se confronter plusieurs fois à mes œuvres, il peut découvrir les transformations visibles de mes travaux, des « inframouvements » perceptibles dans le temps. Le regardeur se situe au centre de ma pratique. Dans mes œuvres, je viens contrarier la vitesse et le rendement qui nous sont imposés par la société capitaliste en confrontant le spectateur au rythme de la matière. Je l’invite en effet à se questionner. Tant mieux si le spectateur s’ennuie devant mes œuvres car ce hors-temps lui permet d’accéder à un autre monde. Aujourd’hui, prendre le temps est devenu un acte de résistance car chaque minute est rentabilisée.Dans un texte récent, vous racontez déjà l’impact du confinement sur votre travail. Pouvez-vous nous en parler ?La crise sanitaire actuelle causée par le Covid-19 m’a permis de mettre à l’épreuve ma pratique artistique. Avec ce printemps 2020, l’humanité est obligée de se mettre en pause, et peut alors choisir de se reconnecter à des activités essentielles. Durant le confinement, j’ai décidé de réfléchir sur la création post-confinement. Comment créer après la crise sanitaire ? Comment s’adapter à la situation actuelle ? J’ai imaginé un espace avec plusieurs œuvres, que les visiteurs peuvent caresser. Ce projet en devenir serait à la fois une invitation à recréer du lien et une invitation à produire une installation collective. Chaque visiteur pourrait venir modifier mes créations et introduire sa propre énergie. J’aimerais produire des œuvres interrelationnelles, et conférer ainsi à mon travail une dimension collective. Cette installation serait mon appel à sortir de l’individualité. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Alexia Chevrollier. Photographies : Portait, vues des expositions « À force égale » et« La fabrique des possibles. Paysages crus » © Nicolas Briet, Vue de l’atelier © Marie Docher, Extrait de la vidéo Contre Taylor, 2014-2017, film, 1h45 min © Alexia Chevrollier.Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 15 jours

Batiik Studio : La galerie Amélie, Maison d’art

La galeriste française Amélie du Chalard a confié à Batiik Studio la conception de son Art Room. Située au 8 rue Clauzel dans le 9ème arrondissement de Paris, la galerie Amélie, Maison d’art expose des œuvres variées et accueille des résidences artistiques dans un espace d’exposition pensé comme une maison de ville. À la demande de la galeriste Amélie du Charlard, l’agence d’architecture d’intérieur et de design Batiik Studio a transformé deux appartements nichés dans un bâtiment historique de la capitale en un endroit atypique, entre galerie d’art, showroom et lieu de vie. La galerie Amélie, Maison d’art prend aujourd’hui place dans un espace spacieux – 230 mètres carrés répartis sur deux niveaux –, et lumineux – un duplex doté de grandes surfaces vitrées. Conçu comme une maison de ville, ce lieu culturel propose aux visiteurs de découvrir la collection dans un espace aménagé, ce qui leur permet de se projeter immédiatement dans l’univers de la collection. La galeriste avait déjà séduit collectionneurs et amateurs d’art en organisant des expositions temporaires dans son propre appartement. De l’entrée à la salle de séjour, en passant par la chambre et la salle de bain, toutes les pièces de la galerie font la part belle aux œuvres et objets sélectionnés par Amélie du Chalard à travers des mises en scène travaillées. Aux antipodes de l’intérieur aseptisé du « white cube », la galerie Amélie, Maison d’art invite les visiteurs à découvrir des gravures, des objets, des peintures, des photographies, des sculptures et des vidéos, dans un intérieur aménagé comme celui d’un logement. Sous la houlette de Rebecca Benichou, les architectes de Batiik Studio ont toutefois privilégié la sobriété afin que les œuvres présentées soient toujours mises en valeur. Ils ont donc opté pour un espace majoritairement décloisonné et des murs blancs, et ont conservé certains éléments architecturaux historiques – des poteaux Eiffel et des poutres Hausmann en bois –, mais mariés avec des touches contemporaines. Au rez-de-chaussée comme à l’étage, chaque pièce devient l’écrin des créations exposées. Pour en savoir plus, visitez le site de Batiik Studio et le site de la galerie Amélie, Maison d’art. Photographies : © Bertrand FompeyrineLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 15 jours

Faire repeindre sa maison, tout un projet !

Redonner un coup de neuf à son intérieur passe par le rafraîchissement des murs. Cette opération doit être réalisée avec attention et quoi de mieux que de la confier à un professionnel ? Réaliser un projet de peinture pour vos murs Si, en décrochant un tableau vous voyez apparaître un contraste sur le mur, il est temps de refaire la peinture. Les étapes de réalisation de cette opération (choix de la peinture, de la bonne couleur, etc.) nécessitent un certain savoir-faire. De ce fait, mieux vaut se faire aider par un spécialiste pour être sûr d’obtenir les meilleurs résultats. L’état des lieux de votre maison Repeindre toutes les pièces de votre maison ou seulement quelques-unes, un bon moyen de changer de décor et de redonner vie à votre intérieur. Bien qu’il n’existe pas, à proprement parler, de bon moment pour changer les couleurs de vos murs, tenez compte des signes qui indiquent que cette opération est nécessaire. En cas de fissures, de peinture écaillée, de murs jaunis ou de papier peint qui se décolle, vous devrez faire rénover la peinture de votre intérieur. Vous êtes dans une démarche de grande rénovation de logement ? Sachez que la peinture se fait à la fin du chantier, après que les fenêtres, l’électricité, la plomberie, etc., aient été rénovées. À qui confier vos travaux de peinture ? Bien que la peinture ne soit pas un travail compliqué, elle demande énormément d’attention et d’efforts pour être parfaitement réussie. Nous vous encourageons à confier cette tâche minutieuse à un professionnel pour obtenir un rendu de qualité dans chacune de vos pièces. Les enseignes spécialisées dans ce domaine proposent en général des travaux de peinture sur les boiseries, mais aussi sur les métaux. Contactez-en plusieurs et n’hésitez pas à demander un devis de peinture en ligne pour vous faire une idée du budget à prévoir pour repeindre l’intégralité ou certains des murs de votre logement. Assurez-vous que les documents fournis mentionnent les détails de la prestation ainsi que le prix au mètre carré. Quel type de peinture pour quelle pièce ? Le choix de la peinture pour repeindre vos murs tient compte des contraintes techniques. Ces dernières comprennent entre autres la pièce et le type de matériau à repeindre. Choisissez une peinture avec mention A+ Nous vous recommandons de demander à ce qu’une peinture affichant sur l’étiquette sanitaire la mention A+ soit utilisée. Les peintures contiennent des polluants : les COV, particulièrement nocifs pour les voies respiratoires. Les niveaux mentionnés sur l’étiquette sanitaire vont de C pour les émissions les plus élevées à A+ pour les plus faibles. Référez-vous également aux labels environnementaux reconnus, à l’instar de l’Écolabel Européen, de la NF Environnement, de l’Excell ou de l’Ange Bleu. À chaque pièce sa peinture La peinture glycéro ou à l’huile est résistante et durable. La peinture acrylique ou à l’eau, quant à elle, est plus facile à appliquer et sèche plus rapidement. Elle est en outre moins nocive pour l’environnement et les poumons. Dans une salle d’eau, il est recommandé de choisir une peinture appropriée pour les espaces humides. Pour habiller les murs d’une chambre d’enfant, mieux vaut opter pour une peinture résistant aux rayures et aux chocs. Par ailleurs, utilisez des peintures différentes pour les murs et les radiateurs, car une référence classique ne convient pas à cette source de chaleur. Rénovation peinture : quel budget et combien de temps prévoir ? L’on peut être tenté de faire soi-même ses travaux de peinture pour économiser. Toutefois, si vous souhaitez que les travaux soient parfaitement exécutés, confiez-les à une entreprise spécialisée. Rien ne vous empêche cependant de faire vos calculs prévisionnels. Comment déterminer le budget à prévoir pour repeindre ses murs ? Pour déterminer combien vous coûteront les travaux de peinture de votre intérieur, vous devez calculer la surface à couvrir. Incluez également le prix de la peinture ainsi que le coût de la main-d’œuvre. En fonction du nombre de couches que vous prévoyez, multipliez le résultat par deux ou trois. À noter que certains peintres professionnels facturent leurs services à l’heure. Ils se basent sur une estimation du temps nécessaire pour faire le travail. D’autres encore partent sur le nombre de mètres carrés à peindre. Si la maison est meublée, le devis prendra en compte la surface à peindre et le temps nécessaire pour protéger les meubles. Si le professionnel se base sur le nombre de mètres carrés à repeindre, il calculera la surface des murs et du plafond. Il fera par la suite la somme de l’ensemble des surfaces à retravailler, puis appliquera un tarif au mètre carré. Le devis fourni affichera un montant précis des travaux à entreprendre. Le calcul de la surface à peindre se fait en additionnant la surface totale des murs à celle des plafonds. Les boiseries à l’instar des plinthes et des portes sont en outre prises en compte pour établir un coût estimatif des travaux de peinture. Une idée du prix pour repeindre les murs de sa maison Pour peindre les murs, l’on compte en général un prix moyen au mètre carré de 20 à 30 euros hors taxes. Prévoyez 30 à 40 euros hors taxes pour les plafonds qui nécessitent davantage de travail. Sachez que le prix d’un travail de peinture au mètre carré varie en fonction de vos souhaits : recouvrement classique des murs ou peinture décorative. S’il faut retravailler le support avant de commencer à le repeindre, comptez 40 à 45 euros le mètre carré. Si vous voulez uniquement un rafraîchissement avec une seule couche de peinture, prévoyez un budget de 25 à 30 euros par mètre carré. À titre informatif, le coût d’un travail de peinture sur une façade se situe entre 30 et 100 euros par mètre carré en fonction de l’état du mur. Quant au temps nécessaire, toutes les étapes comprises, il est estimé entre 1 à 4 jours pour une pièce de 15 mètres carrés. Pour éviter les soucis de santé, mieux vaut quitter les lieux si toutes les pièces doivent être rénovées.
Il y a 5 ans et 19 jours

Rencontre avec : Eva Nielsen

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2009, l’artiste franco-danoise Eva Nielsen crée des œuvres protéiformes énigmatiques. Avec ses toiles peintes, parfois imprimées ou sérigraphiées, elle bouscule les codes de la peinture, mixe les médiums et sollicite l’imagination du regardeur. Rencontre avec une peintre inspirée et inspirante. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?Eva Nielsen : Quand j’étais jeune, je ne voulais pas être artiste. Après un DEUG de Lettres Modernes et une maîtrise d’Histoire Européennes à la Sorbonne, j’ai finalement tenté les Beaux-Arts de Paris et j’ai été acceptée. Mon entrée aux Beaux-Arts a été une étape décisive dans mon parcours. J’ai adoré mes années là-bas. J’ai rencontré mes amis, des artistes très intéressants qui m’ont appris autant que mes professeurs. Grâce à la bourse Socrate, j’ai étudié à la Central Saint Martins en 2008. Ce séjour à Londres a été très enrichissant. Ensuite, j’ai rapidement commencé à travailler avec des galeries. Plusieurs résidences artistiques en France et à l’étranger ont ponctué ma carrière. J’ai eu la chance d’aller en Norvège avec l’artiste Mireille Blanc pour travailler à LKV en 2012, puis à Los Angeles avec le peintre Raphaël Barontini pour profiter de tous les ateliers techniques de The Cabin en 2017. Les expositions collectives ont également jalonné mon parcours. J’aime que mes œuvres soient confrontées aux créations d’autres artistes. Quelle est votre approche de la peinture ?Dans ma peinture, il est d’abord question de promouvoir l’hybridité, le collage et la pluridisciplinarité. La toile permet de saisir une partie d’un tout. Je suis très intéressée par l’image photographique, et son aspect tronqué. En photographie comme en peinture, l’artiste capture une vision, qui est forcément parcellaire. Le hors-champs est tout aussi intéressant que la toile. Techniquement, ma peinture se définit par superposition. J’aime, par exemple, faire coïncider un fond diffus avec une ligne franche obtenue par sérigraphie. La technique va aussi de pair avec l’intellect. Quand j’ai en tête une image, je choisis une technique spécifique pour la poser sur la toile. La technique découle ainsi de l’idée. J’aime cette rencontre du geste avec l’esprit. Vous êtes peintre, mais aussi photographe et sérigraphe. De la peinture à la sérigraphie, quel est votre processus de création ? Mon processus de création n’est pas défini. Il y a toujours une prise de risque, qui est d’ailleurs très excitante. En ce moment, je mixe toutes les techniques. Je peins ma toile, je l’introduis dans une imprimante et je la sérigraphie. Je me perds aussi dans les étapes, du collage à la surimpression. L’expérimentation de l’atelier au quotidien apporte son lot d’aléas. C’est important de voir l’accident et de le conserver. Quand j’étais étudiante, je m’opposais à l’accident. Aujourd’hui, au contraire, je chéris les imprévus. L’art le plus complet est sans doute celui où l’artiste parvient à réguler les improvisations pour les incorporer complétement au processus de création. Ainsi, la séance à l’atelier est complexe et intéressante. Parfois, je jette mes toiles. J’aime ce geste confiant, qui révèle une mise à distance de l’acte de création. Je reste persuadée que l’égo pour l’égo est assez nuisible, car l’envie de créer doit prévaloir. Mon œuvre rassemble des références multiples. L’art est une rencontre entre différents domaines. Je suis fascinée par le Black Mountain College, une université américaine humaniste qui fut marquée par les préceptes de Josef et Anni Albers. Avec l’arrivée du couple aux États-Unis au début des années 1930, le Black Mountain College devient une école avant-gardiste, où toutes les disciplines artistiques sont enseignées. J’aime toutes les créations. Je ne pourrais pas me cantonner à un seul médium. Beaucoup de vos œuvres sont issues d’une réflexion sur l’espace urbain. D’où vous vient cette fascination pour les paysages ? Je vis et travaille en banlieue depuis dix ans. La banlieue m’inspire beaucoup. Les paysages périurbains sont toujours pluriels. Ils évoluent constamment. En banlieue, j’aime l’alternance entre des paysages très construits et des lieux abandonnés comme les carrières en friche. À Villeneuve-Saint-Georges, par exemple, toutes les étapes de l’urbanisation sont visibles. Dès que je voyage, je prends les transports en commun et je visite les banlieues, que ce soit à Berlin ou à New York. J’aime découvrir comment une ville évolue. Les banlieues sont des lieux qui sont eux-mêmes des collages, des oxymores. J’aime que l’espace ne soit jamais défini. Je peins des lieux possibles, qui ne sont jamais figés. Je ne suis pas documentaliste ni géographe. Les lieux que je peins ne sont donc pas vraiment réels.Quel rapport entretenez-vous avec l’architecture ?Mon rapport avec l’architecture est empirique. Je la vis, je la vois, je la documente, je la peins. Je suis fascinée par la maison, mais aussi par l’abris tel que Louise Bourgeois le défini. Juste après la crise des subprimes, j’ai fait un road trip à Détroit et j’ai découvert tous les logements abandonnés, toutes ces habitations qui perdent leur valeur première d’espace vécu. L’architecture est à fois fabuleuse et fragile, car elle porte en elle-même sa propre fin. Lorsque je peins des architectures, ce n’est pas le bâtiment en soi qui m’intéresse, mais le rapport que l’homme entretient avec lui. Je suis aussi passionnée par la réalisation de maquettes. Quand j’avais dix ans, je me suis cassée la jambe. Après l’incident, j’ai dû rester sans bouger pendant un an. Un jour, mon père m’a offert une maquette. J’ai alors occupé ma convalescence en fabriquant des tonnes de maquettes. Quels artistes vous inspirent ? Pourquoi ?Je suis influencée par de nombreuses personnalités. J’aime beaucoup les peintres romantiques comme Caspar David Friedrich, qui laisse une grande place au regardeur dans ses peintures. Je cherche moi-même à substituer mes yeux à ceux du regardeur. Je souhaite que le regardeur puisse laisser libre cours à son imagination. On retrouve cela chez les artistes surréalistes. Man Ray me plaît beaucoup car il incarne parfaitement la modernité. Je m’inspire également de plusieurs artistes modernes et contemporains. J’adore Paul Cézanne, Paul Klee, Ed Ruscha, Georgia O'Keeffe, Lee Lozano ou encore Helen Frankenthaler. Mais je suis aussi fascinée par la photographie et l’architecture. Je suis fan des clichés poétiques pris par Luigi Ghirri et des architectures complexes imaginées par Zaha Hadid. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ? Actuellement, je travaille sur trois séries. Dans une série, je peins des architectures anthropomorphiques, c’est-à-dire des architectures qui prennent une morphologie humaine. C’est lors d’un séjour à Sibiu en Roumanie que j’ai découvert ces bâtiments surprenants. Je réfléchis également sur l’idée d’image troublée, qui est d’ailleurs parfaitement illustrée par la photographie Portrait de l’espace de Lee Miller. Dans une autre série, j’envisage les architectures comme des percées dans l’horizon, des orbites à travers lesquels on tente de deviner une partie du paysage. J’aime travailler sur plusieurs séries simultanément pour pouvoir aller de l’une à l’autre sans me lasser. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Eva Nielsen et le site de la Galerie Jousse Entreprise. Visuels : Portrait © Vincent Ferrane, Œuvres © Eva NielsenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 19 jours

Pierres en trompe l’oeil sur une façade en aluminium

Le Centre International de Conventions du Pays de Galles conçu par le cabinet Boyes Reed Architects, reprend certaines caractéristiques des bâtiments locaux, en les revisitant avec une vision actuelle. Pour le design de la façade, les architectes se sont inspirés des murs en pierre typiques des bâtiments civils du sud du Royaume-Uni, évoquant l’effet d’ardoise – gris foncé – et la pierre calcaire -gris clair chaud. Ils ont utilisé un revêtement en aluminium plié sous forme de blocs rectangulaires de différentes dimensions, de chez Kingspan. Les panneaux ont un noyau isolant hybride exclusif qui peut atteindre des valeurs de U de 0.08 W / m2 ∙ K. La jonction entre les panneaux se réalise à l’aide de languettes et fentes crénelées et atteint une excellente étanchéité à l’air. Les couches d’aluminium sont prétraitées afin d’améliorer la résistance à la corrosion et sont peintes avec la peinture en poudre de la collection Patina Stone (Adapta Color) classe 2. L’objectif n’est pas d’imiter la pierre, simplement l’évoquer grâce à la couleur, l’effet et l’opacité de cette gamme de peinture.
Il y a 5 ans et 22 jours

Toutes les solutions d'Owatrol® pour nettoyer et protéger vos bois d'extérieur

Avec sa gamme de nettoyants bois, Owatrol maitrise tous les stades. Il suffit de bien identifier l'étape nécessaire.Rappel : comprendre l'état du boisLes bois ne vieillissent pas tous de la même façon suivant leur exposition, leur finition, leur usage. Ils subissent les UV, les intempéries, l'usure des passages répétés…Certains ont des protections, d'autres pas. Suivant leur état et leur aspect, le diagnostic est différent… L'analyse est une étape cruciale !Tips pour analyser :En présence d'un bois gris et terne ayant simplement vieilli aux intempéries : il faut dégriserEn présence d'un bois noirci, encrassé : il faut déshuilerEn présence d'un bois recouvert d'une ancienne finition très filmogène, type peinture ou lasure : il faut décaper.Actions : nettoyer ou dégriser / déshuiler / décaper : explications, les solutions d'Owatrol®Nettoyer / dégriser :Le bois présente un aspect gris sale, il a en général été laissé aux intempéries sans protection ou bien avec une finition non filmogène. Il a uniquement subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution », il faut dégriser, c'est l'action du NET-TROL® qui va le faire revivre en quasi instantané !Comment : Il agit sur tous les bois, sa formule en gel facilite son application et son pouvoir ultra mouillant lui permet d'agir en 15 minutes.Le plus :NET-TROL® élimine également les coulures et les traces de tanin sur certains bois (ex : red cedar).Application / 15 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Support impeccable comme à l'origine.Déshuiler :Le bois est noirci, encrassé car il a reçu une finition huilée en amont, souvent mal adaptée (huile de lin, voire huile de vidange… !). Les huiles appliquées cuisent sous l'action des UV et avec l'eau s'incrustent pour de bon dans le bois qui noircit en profondeur. Il faut donc désencrasser pour enlever les anciennes huiles : c'est l'action du déshuileur AQUANETT® .Comment : Il rend solubles les huiles incrustées dans le support et laisse, après rinçage et neutralisation, un bois impeccable.Application / 5 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Neutralisation / Le support est neuf.Décaper :Dans ce cas, le bois est lasuré ou peint et doit d'abord être débarrassé de ses multiples couches pour que l'on puisse à nouveau travailler dessus. Il faut donc décaper et l'action du DILUNETT® va permettre d'éliminer toutes les anciennes couches de peinture, lasure ou vernis et d'enlever les taches récalcitrantes.Comment : La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d'éliminer jusqu'à 8 couches de peinture. Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l'élimination totale des différents revêtements.Le plus : DILUNETT® ne se dessèche pas et reste actif longtemps ce qui garantit l'élimination totale des différents revêtements.Il est impératif de neutraliser les supports déshuilés à l'AQUANETT® et au DILUNETT® avec du NET-TROL®.Application / Action jusqu'à 45 minutes si nécessaire / Rinçage / Neutralisation.Le plus Owatrol® : Validation du test de biodégradabilité OCDE 301F : En 2017 Durieu a choisi de valider de façon officielle que ses nettoyants pour les bois extérieurs, rinçables à l'eau, ont un impact négligeable sur l'environnement. Ainsi, NET-TROL® / AQUANETT® et DILUNETT® ont chacun validé la conformité avec le test de biodégradabilité OCDE 301F (NB : ce test, une fois validé, garantit que le rejet de ces produits au moment du rinçage est sans impact négatif pour la nature).Réussir la préparation d'un bois magnifié : choisir de dégriser, déshuiler ou décaper la solution avec les indispensables d'Owatrol® : NET-TROL®, AQUANETT® et DILUNETT®Pour en savoir plus :https://www.owatrol.com/
Il y a 5 ans et 26 jours

Cromology en forte baisse sur le premier trimestre 2020

Du fait des mesures de confinement décrétées en Europe, le fabricant et distributeur de peintures a réalisé un chiffre d’affaires de 135,5 M€, en repli de -16,0 %.
Il y a 5 ans et 27 jours

#culturecheznous : cinq sites patrimoniaux d’exception en Loire-Atlantique

Retrouvez sur une même page un ensemble de contenus numériques réalisés autour des sites patrimoniaux et des collections du musée Dobrée. Partez à la découverte des trésors de Loire-Atlantique, rencontrez les collectionneurs du musée Dobrée, visitez l’église du Vieux-Bourg de Saint-Sulpice-des-Landes, un site méconnu renfermant d’exceptionnelles peintures murales du XVe siècle, manipulez l’écrin du coeur d’Anne de Bretagne en, 3D… https://grand-patrimoine.loire-atlantique.fr/jcms/les-sites-a-visiter-fr-eja_77010
Il y a 5 ans et 28 jours

Nos conseils pour égayer sa terrasse

Vous avez remarqué que votre terrasse avait triste mine ? Voici des idées faciles et géniales qui ne coûtent pas cher pour la mettre en valeur. Que ce soit pour la lumière, le mobilier ou les accessoires déco, vous avez autant de possibilités pour inviter une touche colorée dans votre terrasse. Habiller la terrasse avec des rideaux Pour aboutir à cette idée, vous n’avez nul besoin de mettre de triangles pour installer vos panneaux de rideaux. Idéal pour les bricoleurs débutants, cette astuce est très facile à faire. Il suffit d’acheter des agrafes à rideaux et des crochets pour y poser les voiles. Il n’y a rien de plus simple pour apporter une touche décorative à votre terrasse. Planter des fleurs dans des pots  Cette astuce est à la fois décorative, mais elle facilite aussi l’aménagement du jardin. Au lieu de déterrer vos plantes à chaque fin de saison, mettez-les plutôt dans des pots. Vous avez un large choix en ce qui concerne la forme : ronde, carrée, rectangulaire, ovale, ainsi que la matière ou la couleur. Installer une chaise suspendue  Vous avez déjà rêvé de faire une petite sieste sur la terrasse dans un lit suspendu ? Cette rêverie peut devenir une réalité en installant une chaise en bois à suspendre comme un hamac, par exemple. Si votre terrasse est couverte et possède un plafond en béton, n’hésitez pas à le percer pour y fixer un crochet. Il existe aussi des fauteuils suspendus accompagnés de supports. Mais, il faut prévoir des poteaux et une poutre transversale. Si votre terrasse est en bois, la repeindre Cette partie de la maison est soumise aux nombreuses conditions climatiques et subit plusieurs agressions qui la marquent dans le temps. La meilleure option pour arranger cela, c’est de repeindre la terrasse tout entière. Commencez par poncer et nettoyer toute la surface. Ensuite, mettez une première couche de peinture depuis les angles et les bordures jusqu’à ce que vous couvriez toute la terrasse. Après 24 à 48 h, elle sera de nouveau prête à être utilisée. Poser des carreaux multicolores sur la terrasse pour donner une touche vintage Dans le cas d’un espace en béton posé sur une dalle de terrasse, vous pouvez délimiter l’espace et l’embellir en même temps : installez des carreaux sur le sol de votre terrasse. Vous pouvez poser de grands carreaux à base simples, ou d’autres en grès cérame émaillé pour apporter de la couleur à l’extérieur ou encore des carreaux à motifs géométriques.
Il y a 5 ans et 29 jours

Malgré le confinement, Keim conserve ses liens avec ses clients

La filiale française de l’entreprise familiale allemande, leader mondial de la peinture extérieure et intérieure 100 % minérales, organise des séminaires en ligne hebdomadaires.
Il y a 5 ans et 33 jours

Comment rénover un bien inhabité depuis quelques années ?

Héritage, achat d’un bien immobilier à un prix avantageux… L’acquisition d’une maison ancienne va souvent de pair avec la rénovation. Pourtant, la réhabilitation d’une maison ancienne nécessite énormément d’huile de coude. Entre les travaux de grande envergure et les travaux de second œuvre, considérez quelques points avant de sauter le pas. En effet, pour optimiser les coûts des travaux, vous devez bien organiser votre projet de rénovation d’une maison ancienne. Trouvez ici nos conseils pour mener à bien votre projet de réhabilitation d’un bien inhabité depuis plusieurs années. Pourquoi opter pour la rénovation d’une maison ancienne ? Le cachet d’une maison ancienne a de quoi charmer la plupart des personnes souhaitant acquérir un bien immobilier. Toutefois, avant d’engager les travaux de rénovation, quelques points sont à prendre en considération. L’ampleur des tâches de rénovation de votre vieille bâtisse peut vous laisser perplexe. Cependant, il faut noter qu’opter pour la rénovation d’une maison ancienne vous confère de nombreux avantages, dont : ● La possibilité d’optimiser l’efficacité énergétique et d’améliorer le confort de votre bien immobilier En effet, qui dit maison ancienne, dit souvent bien mal isolé. Ainsi, vous pouvez profiter de cette occasion pour renforcer l’isolation énergétique de votre maison ancienne. Notez également que de plus en plus de dispositifs d’aides financières à la rénovation sont désormais accessibles. Certificats d’économie d’énergie, Loi Denormandie… Vous pouvez bénéficier d’une aide à la rénovation pour améliorer votre bien. Si vous résidez dans le sud de l’Île-de-France et souhaitez bénéficier de ces aides, vous pouvez contacter une entreprise de maçonnerie en Essonne qui s’assurera de respecter les normes en vigueur. ● L’avantage d’ajouter plus de valeur à votre bien La rénovation d’une maison ancienne offre également une plus-value à votre bien immobilier. En effet, si vous envisagez de revendre votre maison, la rénovation est une étape à considérer. Ainsi, en préservant le cachet de votre bien tout en le modernisant, vous augmentez sa valeur. ● Une solution pour acquérir un bien dans une zone à forte densité de bâti Rénover une vieille maison est également une excellente alternative pour pallier le manque de terrains de construction dans certaines zones. En effet, lorsque le coût d’acquisition d’un terrain constructible est beaucoup trop élevé, il convient de se tourner vers la rénovation d’une maison ancienne. Comment prioriser vos travaux de rénovation de maison ancienne ? Afin d’optimiser votre budget et votre temps, établissez un ordre de priorité pour vos travaux de rénovation. Cette étape reste cruciale, surtout si vous devez engager de gros travaux. À noter que les travaux lourds englobent toutes les tâches concernant la toiture, l’assainissement, les fondations et la charpente. Ainsi, le projet de rénovation doit toujours commencer par les gros travaux. S’ensuivent les travaux de second œuvre, soit ceux qui ne concernent pas directement le bâti. Il s’agit notamment des travaux de peinture, de plomberie, d’installation électrique, ou encore les tâches concernant les revêtements muraux et revêtements de sols. Si votre maison ancienne comprend plusieurs étages, commencez vos travaux en allant du grenier vers le sous-sol pour éviter de salir les étages. Rénover une maison ancienne, quels travaux importants engager ? Pour avoir une check-list des travaux de grande envergure à réaliser, commencez par un état des lieux. Ainsi, inspectez chaque aspect de votre maison ancienne pour avoir une idée précise de ce que vous souhaitez supprimer ou remettre à neuf. Vous pouvez notamment opter pour une démolition de certaines pièces de l’habitat, une remise à neuf du revêtement de sol, ou encore une installation d’une nouvelle chaudière. Dans certains cas, vous pouvez également déposer les équipements sanitaires et les meubles de cuisine. Prioriser le toit et les murs Vérifiez l’état de la toiture, de la charpente et des murs de votre maison ancienne. En effet, ces éléments contribuent grandement à l’état général de votre habitat. Sur le long terme, si votre bâti est en mauvais état, vous risquez d’avoir de grandes contraintes. Ainsi, pour votre projet de rénovation, priorisez les travaux concernant la toiture, la charpente et l’isolation des murs. Après avoir vérifié la qualité de la maçonnerie et réalisé les travaux de rénovation nécessaires sur le bâti, il convient de placer les portes, les fenêtres, les portails et autres ouvertures. Les enjeux du bâti dans la rénovation d’un logement ancien Un bâti en bon état vous évite les problèmes d’humidité et d’infiltration qui ont tendance à fragiliser votre maison. Ainsi, si vous remarquez par exemple des fissures dans les murs ou des tuiles cassées sur le toit, mettez la rénovation de ces zones de la maison en priorité. Cela va renforcer à la fois la sécurité et le confort de votre maison rénovée. Réhabilitation d’un logement ancien, zoom sur les travaux de second œuvre Une fois votre bâti remis à neuf, focus sur les travaux de second œuvre. Il s’agit notamment de : L’installation électrique, du système de chauffage et de la plomberie Vérifiez donc l’état de l’installation électrique existante. Si nécessaire, vous pouvez procéder à une remise aux normes de celle-ci. En effet, la plupart des maisons inhabitées depuis quelques années possèdent une installation électrique qui n’est pas conforme aux normes en vigueur. Pour cette étape, il vaut mieux faire appel à un professionnel puisque les travaux d’installation électrique nécessitent souvent des saignées au niveau des murs. Ainsi, des travaux de maçonnerie sont nécessaires. Il en est de même pour le système de chauffage et la plomberie. Procédez aux travaux de remise à neuf de l’installation électrique, de la plomberie et du système de chauffage ou de climatisation avant la finition de votre rénovation de maison ancienne. Les travaux de finition de votre projet de rénovation de maison ancienne Qui dit finition, dit souvent pose de revêtements muraux, revêtements de sols, menuiseries, et autre. Une fois que vous avez préparé le sol et les murs, il est maintenant temps de poser les revêtements de votre choix. À l’issue de cette étape, il ne reste plus qu’à décorer votre intérieur au gré de vos envies.
Il y a 5 ans et 34 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 35 jours

Humbert & Poyet : Appartement rue des Archives

Les architectes Emil Humbert et Christophe Poyet mêlent matériaux nobles, œuvres d’art contemporaines, meubles d’esprit Art Déco ou Memphis et références au classicisme dans un duplex historique de la rue des Archives. En plein Marais, le duo Humbert & Poyet imagine une habitation raffinée, où le classicisme côtoie la modernité, pour une famille. Les décorateurs Emil Humbert et Christophe Poyet ont en effet répondu par un appartement élégant et subtil aux commanditaires, qui désiraient un logement convivial et fonctionnel adapté au quotidien de leur famille. Inspirés par l’histoire du bâtiment de la rue des Archives, les architectes ont pris le parti de modifier l’organisation spatiale de ce duplex de 250 mètres carrés en revenant à une distribution classique des pièces. Le premier niveau est désormais réservé aux salles de séjour – le salon, la salle à manger, la cuisine et la bibliothèque –, quand le second accueille la chambre parentale et son dressing, la chambre d’enfant et la salle de bain. Des moulures discrètes et une imposante cheminée ont été ajoutées. Ces clins d’œil au classicisme, qui ponctuent l’appartement, sont aussi habilement mariés à des éléments modernes et contemporains : « Nous sommes particulièrement inspirés par les mouvements modernistes, art déco et Memphis, alliés au classicisme, on retrouve ces périodes à travers les choix des meubles, des couleurs et des finitions dans notre travail et la conception de cet appartement. Tout cela se combine pour former des espaces uniques qui sont des déclarations en soi, forts et raffinés. » L’entrée donne le ton. On y découvre du terrazzo en all-over – au sol, sur les murs et les marches de l’escalier –, ainsi que des œuvres d’art et des pièces de mobilier de créateurs célèbres, notamment une peinture de Keith Haring, des chaises de Le Corbusier, une console de Jean Prouvé, des céramiques des artistes Georges Jouve et Olivier Gagnère. À l’instar du hall, toutes les pièces de l’appartement sont audacieusement décorées, avec des beaux matériaux – bois, marbre, laiton, terrazzo –, des pièces de mobilier et des objets d’art iconiques, des meubles de Humbert & Poyet. Dans le salon, par exemple, le canapé de velours bleu Grand Théodore, le lampadaire en albâtre brillant Ava et la table-basse Gabrielle signés Humbert & Poyet côtoient les appliques et les lampes dessinées par le designer italien Gino Sarfatti, les tabourets Tulip crés par l’architecte finno-américain Eero Saarinen, une photographie prise par le sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe et une peinture imaginée par le plasticien français Bertrand Lavier. Après avoir fait ses preuves en rhabillant quantité d’adresses commerciales – les restaurants Beefbar à Paris, Mexico, Monaco, Hong-Kong et Malte, l’hôtel The Hoxton et la boutique Maison Weill à Paris – Humbert & Poyet confirme sa très bonne réputation avec de nombreux projets résidentiels. Affaire à suivre… Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert & Poyet.Photographies : © Francis AmiandLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 36 jours

Jean-Jacques Châtelain, nouveau président d'Actions 3PF

Président sortant de l'UNA Peinture-vitrerie-revêtements de la Capeb, Jean-Jacques Châtelain pilote désormais l'association en charge de la promotion de la filière.
Il y a 5 ans et 40 jours

Hydrofuges et peinture toitures

La fonction première d'un toit c'est de protéger l'intérieur de la maison en l'isolant des intempéries, et donc de garantir la solidité de l'édifice. Une toiture saine est donc essentielle pour assurer l'étanchéité du toit mais c'est aussi elle qui subit en première ligne l'érosion climatique (vent, pluie, gel, …) et le dépôt de matières organiques qui peuvent même s'y installer et y proliférer en présence d'humidité.Afin de garantir la bonne santé des tuiles et ardoises d'un toit, il faut donc régulièrement les nettoyer de leurs dépôts et incrustations diverses de matières organiques avec un anti verdissures (cf dernier dossier de presse sur l'anti verdissures ‘‘Le Glouton''). Une fois le toit nettoyé il est important d'assurer son étanchéité afin de ralentir les effets néfastes de l'eau (usure des tuiles, gel/dégel,…). Aujourd'hui des protections hydrofuges conçues spécialement pour les toits remplissent ce rôle.Dans cette optique, Oxi a développé une gamme de produits dédiée aux toitures. HYDROFUGE COLORÉ et HYDROFUGE INCOLORE sont deux solutions très techniques pour garantir la longévité des toits en les protégeant de l'attaque de l'eau. Parallèlement PEINTURE TOITURE ABSOLUE protège les toits tout en leur donnant de la couleur.Oxi : pas d'eau sur le toit !Une fois nettoyé de tous ses résidus, verdissures et autres dépôts, le toit est prêt à recevoir une protection contre l'eau. Pourquoi ?Parce que sinon l'eau risque de s'infiltrer dans les matériaux poreux qui composent les tuiles et les ardoises pour ensuite fragiliser la toiture. En effet, lorsque les tuiles sont imbibées d'eau, celle-ci a tendance à stagner favorisant la prolifération et l'accroche des matières organiques qui sont très disgracieuses et entretiennent une humidité permanente. De plus en période d'hiver l'eau gèle puis dégèle sur les tuiles ou les ardoises en accélérant leur fragilisation.Hydrofuge Coloré, Hydrofuge transparent : comment ça marche ?Chasser l'eau et remettre de la couleur sur le toit : HYDROFUGE COLORÉSur une toiture préalablement nettoyée HYDROFUGE COLORÉ, avec ses 3 teintes, offre une protection semi transparente qui uniformise l'aspect du toit en masquant les taches et imperfections pour redonner un éclat immédiat aux tuiles ou aux ardoises tout en les protégeant des effets néfastes de l'eau. Sa composition très technique lui permet d'imprégner les matériaux composant la toiture pour garantir la fonction hydrofuge qui littéralement chasse l'eau de pluie. Les tuiles ne sont pas fragilisées par les problèmes de gel, et les taches et phénomènes de verdissures sont largement limités : la toiture dure plus longtemps !À noter : Les taches incrustées type spectres de verdissures ne seront pas cachées et il vaut mieux dans ce cas opter pour une peinture spéciale toiture type PEINTURE TOITURE ABSOLUE d'Oxi.Chasser l'eau et garder l'aspect originel de la toiture : HYDROFUGE INVISIBLEEn présence de belles tuiles ou d'ardoises anciennes, il peut être intéressant de garder leur aspect d'origine tout en les protégeant contre l'eau et dans ce cas HYDROFUGE INVISIBLE est la bonne solution. Avec ses excellentes qualités d'imprégnation il va offrir une protection hydrofuge très forte à la toiture et limiter l'arrivée de verdissures (sans eau stagnante pas de possibilité de s'accrocher), les taches de pollution courante et les réactions au gel/dégel. Cette fois encore, la toiture dure plus longtemps !Oxi : de la peinture sur le toit !On peut aussi choisir de protéger les matériaux poreux de la toiture avec une peinture technique. Une fois le toit nettoyé, on peut ainsi choisir de lui appliquer PEINTURE TOITURE ABSOLUE.En intégrant la Technologie Rustol dans sa formule, PEINTURE TOITURE ABSOLUE est un véritable concentré de technologie et bénéficie de qualités supplémentaires pour pénétrer, adhérer et donc durer.Imprégner : La finition emmène tous les agents protecteurs de la formule dans le support pour assurer une protection optimale de l'intérieur en offrant en parallèle une excellente isolation.Adhérer : grâce au Rustol, PEINTURE TOITURE ABSOLUE épouse parfaitement chaque toiture et donc résiste durablement aux impacts et à l'usure des intempéries et offre une excellente isolation.Résister : Le film obtenu est souple, résistant aux variations hygrométriques et thermiques. Il est microporeux permettant aux tuiles ou aux ardoises de respirer et de ne pas garder l'humidité ou la condensation. La qualité des pigments sélectionnés garantit la tenue des couleurs tout en protégeant aussi la toiture des effets des UV.Pour en savoir plus : https://oxi-peintures.com/
Il y a 5 ans et 40 jours

Un nouveau module de formation « les pathologies du bâtiment » sur la plateforme d'e-learning Toupret

Cette formation entièrement gratuite est destinée à tous les professionnels de la filière peinture, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, enseignants ou distributeurs. Cette étape préalable, indispensable avant toute formation en présentiel, permet d'acquérir les bases théoriques. Cela permet aux participants de se concentrer sur les gestes techniques d'application enseignés dans le centre de formation de Corbeil-Essonnes. Ce nouveau déploiement de la formation grâce aux outils du numérique s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement menée par le fabricant depuis toujours. Il complète les nombreux services essentiels comme l'assistance technique, le site internet Toupret.com ou le service d'aide au démarrage chantier. Un dispositif de formation unique La plateforme d'e-learning TOUPRET compte désormais 3 modules de formation en ligne : « Qu'est-ce qu'un enduit ?» ; « Les règles professionnelles » ; et ce nouveau module relatif aux « Pathologies du bâtiment » , plus spécifiquement tourné vers les façades. Sous forme d'un tutoriel de 15 minutes gratuit, interactif et flexible, ce nouveau module offre un bref rappel du DTU (Document Technique Unifié) et des règles techniques à respecter dans le cadre de travaux de construction, rénovation ou réhabilitation. Il répertorie également le vocabulaire professionnel incontournable à connaître, passe en revue les différents supports concernés et fait un état complet des désordres possibles en façade ainsi que des solutions existantes. Ce dispositif d'e-learning TOUPRET propose un parcours d'apprentissage unique dans la profession qui associe des mots croisés, des quiz et des illustrations pour faciliter la compréhension. Il est proposé sous une forme ludique pour permettre de mieux mémoriser les contenus. Chaque participant peut également refaire autant de fois que nécessaire les modules de formation pour tester ou parfaire ses connaissances. Pour tous les intervenants de la filière peinture Le groupe TOUPRET a toujours eu à cœur de s'investir dans le développement des expertises de tous les professionnels du bâtiment, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, applicateurs ou distributeurs qui souhaitent se perfectionner et se tenir informés des évolutions métier. Cet outil concerne également les enseignants des filières peinture de l'Éducation nationale dans le cadre de leur formation continue, les organismes professionnels et de formation des futurs applicateurs, mais aussi le réseau d'apprentissage du BTP (CCCA-BTP) pour accompagner l'alternance. L'accès est simple et rapide. Une fois connectés sur http://elearning.toupret.fr/ , les participants remplissent une fiche d'inscription en ligne. En retour, un mail fournit immédiatement les identifiants nécessaires pour accéder à la formation à distance. Un outil complémentaire aux formations en présentiel... Proposée dans le cadre d'une démarche globale, cette formation en e-learning est une étape indispensable avant d'entamer l'apprentissage des gestes techniques dispensés au sein du centre de formation. Sur son site de Corbeil-Essonnes, TOUPRET permet aux peintres-applicateurs et décorateurs d'acquérir toutes les connaissances essentielles à leur activité : la préparation des fonds, les enduits pulvérisés ou projetés, les enduits de façades, les matières décoratives, mais aussi les dernières normes à maitriser. ... qui s'intègre dans la démarche globale de formation TOUPRET #AccompagnementQuotidien Fidèle à ses valeurs, TOUPRET s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement des professionnels. Au-delà des formations en ligne et en présentiel, TOUPRET propose d'ores et déjà de nombreux outils dans le cadre de l'amélioration des compétences professionnelles et des services aux utilisateurs : Grâce à l'aide au démarrage chantier, une équipe de techniciens couvre toute la France pour participer à la mise en route des chantiers notamment sur le plan des évolutions techniques, de la mise en œuvre et de la réglementation ; L'assistance technique en ligne (01 69 47 20 66 ou alex@toupret.fr ) répond à toutes les demandes du lundi au vendredi de 8h à 17h ; Un site internet avec de nombreux services en ligne est accessible sur www.toupret.com . Des conseils d'experts et des informations détaillées sur les produits, l'aide au choix, et des vidéos de mise en œuvre sont disponibles pour toutes consultations 24H/24 et 7J/7; Les partenariats avec des fabricants de matériels (machines Airless, à projeter, ponçage...) permettent une meilleure connaissance des évolutions des nouveaux équipements, et donc une parfaite adéquation produits/solutions. Par ailleurs, il est à noter que TOUPRET attache une très grande importance à la formation de ses propres salariés, qu'il s'agisse de la formation initiale des nouveaux arrivants ou de la formation continue des équipes techniques et commerciales (veille normative, connaissance de nouvelles techniques d'application, mise en œuvre de nouveaux produits). « Grâce à sa souplesse, cet outil est utilisable à n'importe quel moment, lorsque l'on a du temps. Devant le succès des premiers modules, et pour répondre à la demande des applicateurs et professionnels du bâtiment, nous avons décidé de compléter rapidement notre dispositif d'e-learning. Nous pouvons d'ores et déjà annoncer la disponibilité du module « l'application mécanisée » pour le 4ème trimestre de cette année » conclut Laurent Mohr, Directeur Technique TOUPRET.
Il y a 5 ans et 41 jours

Une exposition en ligne sur Notre-Dame de Paris

Le 15 avril 2019, l’incendie qui ravageait la charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris provoquait un émoi planétaire. Dès aujourd’hui, Paris Musées propose de redécouvrir l’histoire de ce monument emblématique vieux de 800 ans au travers de ses collections en ligne. Issues de différents musées parisiens, de nombreuses peintures, gravures, dessins, estampes ou photos sont exceptionnellement téléchargeables gratuitement en haute définition. Construite entre 1163 et 1345, la...
Il y a 5 ans et 49 jours

Theo Relax, la peinture professionnelle la plus légère du marché

Conscient de la pénibilité rencontrée par les peintres sur leurs chantiers, le service Recherche et Développement de la marque a mis son savoir-faire au service de cette innovation. Deux années d’étude ont été nécessaires et ont permis d’obtenir LA peinture la plus légère sur le marché en France.
Il y a 5 ans et 49 jours

Réparation structurale des bétons : Quelles solutions ?

Les mortiers de réparation redonnent aux ouvrages leurs fonctions d&rsquo;origine. [©ACPresse] Par le malencontreux mouvement d’une main invisible ou d’un lutin maléfique, selon les dires, nos téléphones portables peuvent finir par terre. C’est souvent avec effroi que leur propriétaire retrouve leur écran fissuré, brisant leur cœur à tout jamais… Ils n’ont d’autres choix que de remplacer le résultat de cette scène de crime par un nouvel élément. Et c’est là que les choses se compliquent. Quel écran, quelle qualité, quels outils, quel réparateur ? Tant d’interrogations en suspens… Et si le téléphone, tant aimé, se retrouve en contact avec l’eau, les répercussions peuvent être pires. Le monde du béton fonctionne un peu sur le même schéma. Lorsque le matériau a subi des dégâts, causés par une main coupable ou toujours ce farfadet maléfique, et plus sérieusement à cause de son environnement, de sa qualité ou des effets du temps, plusieurs solutions s’offrent aux maîtres d’ouvrage qui veulent engager des travaux de restauration. Les industriels proposent tous des gammes de produits pour répondre aux différentes problématiques, qui touchent la réparation des bétons. Ces mortiers se plient à la norme européenne NF EN 1504, qui détermine “Les termes relatifs aux produits et systèmes utilisés pour la réparation, la maintenance et la protection, la restauration et le renforcement des structures en béton…” Son paragraphe 3 définit les caractéristiques de réparation structurale (classes de mortier R3 et R4) et non structurale (R1 et R2).  Dossier préparé par Sivagami Casimir Cantillana : Livraison sur chantier Le Betoreno FI402 s’applique manuellement ou par projection.[©Cantillana] Touche à tout dans l’univers du béton, Cantillana dispose d’une large gamme de produits dédiés à sa réparation. Ainsi, l’industriel propose un mortier structural renforcé de fibres et de polymères. Le Betoreno FI402 est classé R4 selon la NF EN 1504-3. Ce mortier est bien adapté à des applications en milieux agressifs, tels que ceux exposés à l’eau de mer ou aux sulfates. La densité élevée du produit permet une mise en œuvre sur support exposé à la carbonatation, à la pénétration d’humidité et/ou d’huile. Enfin, Betoreno FI402 est résistant à la corrosion et à la saponification. La gamme Betoreno se compose aussi des solutions HB001, un primaire d’adhérence pour les systèmes de réparation de béton et protection anti-corrosion d'armatures en métal, conformément à la NF EN 1504-7. Ou encore, du Betoreno FS301, un mortier de surfaçage renforcé de polymères de classe R3. En termes de services, Cantillana propose des livraisons sur chantier, via des silos et citernes pour la recharge. Cette activité est présente depuis le début des années 1990 en Belgique et dans le Nord de la France. En région parisienne, l’industriel a renforcé sa logistique avec l’usine de Cormeilles-en-Parisis (95), suite au rachat des activités mortier/béton projeté de Socli, en juillet 2017. Cermix : Prêt à un emploi rapide Cermix a fourni ses solutions pour la réparation des bétons armés du pont de Saint-Pierre-du-Vauvray (27). [©Cermix] Avec son Cermirep Rapid R3, Cermix propose le mortier de réparation le plus polyvalent de sa gamme. Applicable à la truelle, sans ajout d’eau, la solution se présente sous la forme d’un mono-composant contenant des ciments spéciaux adjuvantés par des résines. A prise rapide, le mortier s’adapte aux réparations de tuyaux en béton, d’angles et de piliers, de poutres ou encore d’allèges de balcons dégradés par la corrosion des armatures. Sans chlorure, non corrosif, le Cermirep Rapid R3 n’affecte pas les armatures. Le mortier dispose d’une résistance à la compression de 15 MPa après 2 h et 45 MPa après 28 j. Conforme à la NF EN 1504-3, le produit de Cermix est compatible avec les bétons de classe d’exposition (selon la EN 206-1) : X0, XCI, XC2, XF1, XA1, XA2 et XA3. Le Cermirep Rapid R3 est conditionné dans des sacs de 25 kg. GCP Applied Technologies : Renforcé de fibres Dans sa gamme de produits, GCP Applied Technologies dispose de l’Omnitek RM Fiber. [©GCP Applied Technologies] De classe R4, selon la NF EN 1504-3, l’Omnitek RM Fiber de GCP Applied Technologies s’utilise pour la réparation des bétons aussi bien à la verticale qu’à l’horizontale. Ce mortier dédié au reprofilage de joints, d’angles, d’éléments pré-moulés endommagés et de structure s’adapte aux constructions exposées à l’eau de mer, à des environnements corrosifs ou au gel. L’Omnitek RM Fiber est ainsi doté d’une bonne résistance à la carbonatation, aux chlorures, aux cycles gel-dégel et aux produits chimiques. Du côté de sa formulation, la solution de GCP Applied Technologies est composée de polymères modifiés. Assurant ainsi une meilleure adhérence. Elle est renforcée de fibres pour garantir une réparation durable sans fissures en surface. La consistance dure et malléable de l’Omnitek RM Fiber s’applique manuellement de manière rapide et facile. En termes de résistance à la compression, le mortier affiche 40 MPa à 24 h et 80 MPa à 28 j Groupe RGD : Haute conductivité Parmi ses derniers grands chantiers, le Groupe RGD a fourni plusieurs solutions pour la réparation de la base sous-marine de Lorient (56). [©Groupe RGD] Dans la catégorie des mortiers de réparation structurels, le Groupe RGD dispose d’une large offre. A l’image du mortier coulable à retrait compensé Exocem G3 PVA. Ou encore, du Maxrite 500, une solution renforcée par des fibres synthétiques pour la réparation des supports exposés à une grande agressivité ambiante. Pour le béton armé ou précontraint, le Groupe RGD propose aussi le Ruredil X Mesh Gold. Ce mortier est constitué d’une maille de fibres de PBO (polyparaphénylène benzobisoxazole) et d’une matrice inorganique stabilisée, conçue pour rendre solidaire la maille au support de béton. Distributeur exclusif des produits de l’Italien Drizoro, le groupe a rajouté à sa gamme le Maxrite Cathodic. « Ce mortier se compose de fibres de carbone et de particules de graphite, explique Richard Guérin, gérant du Groupe RGD. Il se caractérise par une conductivité très élevée propice à la protection cathodique. » Le Maxrite Cathodic est classé R4, selon la NF EN 1504-3. Imerys : De bonnes résistances Imerys propose une vaste gamme de solutions minérales de réparation. [©Imerys] Imerys propose une vaste gamme de solutions minérales pour la construction. Le mortier de réparation SewperCoat a plus de 27 ans de métier ! Composé à 100 % d’aluminate de calcium, le produit est un habitué des infrastructures d’assainissement sanitaires : regards, chambres de pompage, collecteurs principaux ou encore stations d’épuration… Appliqué en plusieurs passes, par voie humide, sèche ou sablon, le SewperCoat permet de réaliser une couche de protection dense et durable. Capable de résister à la corrosion, il développe de bonnes résistances mécaniques, tout en minimisant et éliminant les sources d’infiltrations et d’exfiltrations. Sa prise rapide autorise une prompte remise en service. Imerys met aussi à disposition le Fondag DG. Ce mortier combine des granulats synthétiques d’aluminate de calcium très durs et denses, avec un liant d’aluminate de calcium. Il s’adapte aux cycles de températures élevées, jusqu’à 1 100 °C et basses, jusqu’à – 180 °C, ainsi qu’aux chocs thermiques répétés. Le Fondag DG offre une bonne résistance à l’abrasion, à l’érosion et à l’usure. Il se met en œuvre uniquement par projection en voie sèche, mais une variante, le Fondag E, peut être utilisé de façon traditionnelle dans les mêmes domaines. Mapei : Proche des applicateurs Le Planitop 400 F de Mapei est un mortier de réparation fin, qui peut être appliqué au sol, sur les murs et aux plafonds. [©Mapei] Mapei offre une gamme complète de mortiers de réparation des bétons, structurels et non structurels. Le Planitop 400 F est un mortier de réparation fin technique sans fibre, qui peut être appliqué au sol, sur les murs, en sous-faces et aux plafonds. Classé R3 selon la norme EN 1504-3, il peut être mis en œuvre en une passe de 3 à 40 mm et bénéficie d’une prise et d’un séchage rapides (fin de prise en 20 mn). « Très appréciée sur chantier, sa couleur grise était parfois jugée trop foncée par rapport au béton, explique Gaétan Dujardin, chef de produit. Notre laboratoire R&D de Saint-Alban a ainsi travaillé sur une formulation améliorée, permettant d’obtenir une couleur plus claire après séchage et pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs. » La performance du mortier a été renforcée et son domaine d’utilisation élargi. Le Planitop 400 F peut être désormais utilisé sur une épaisseur allant jusqu’à 7 cm en sol et mur, tout en respectant les règles traditionnelles de mise en œuvre de ce type de produits. « Les entreprises applicatrices de Planitop 400 F ont aussi constaté un pouvoir adhérent plus important, rendant son application encore plus facile. » MC Chimie : Sécurité incendie Le Nafufill KM 250 de MC Chimie s’adapte aux exigences de sécurité incendie nécessaires dans la construction de tunnels. [©MC Chimie] MC Chimie dispose d’une large gamme de produits pour la formulation du béton et son traitement. Dans la famille des mortiers de réparation, l’industriel présente le Nafufill KM 250. Cette solution fibrée permet le reprofilage pour la remise en état de béton structurel ou non structurel, selon les termes de la EN 1504-3. Son atout majeur réside dans sa capacité à répondre aux exigences de sécurité incendie nécessaires pour la construction civile et résidentielle, tout comme dans la construction de tunnel. Le Nafufill KM 250 répond à la norme ISO 834 et jouit d’une classification au feu F90/F120. De plus, ce mortier peut s’adapter à l’enrobage d’anodes, selon la EN 12696, pour le principe de réparation “Protection cathodique contre la corrosion des armatures dans le béton”. Dans sa gamme, MC Chimie propose aussi les mortiers Nafufill KM 230, classé R3, et Nafufill LM et Nafufill KM 220 qui, eux, répondent respectivement aux classes R1 et R2. Pagel : Un accompagnement technique Pagel propose des différents mortiers selon la destination. [©Pagel] Pagel est spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de mortiers techniques. Dans le domaine de la réparation, il s’est concentré sur les solutions structurelles répondant aux catégories R3 et R4 de la NF EN 1504. « Nous disposons de plusieurs gammes selon les cas de figure, détaille Raoul Six, Pdg de Pagel. Mais, il est essentiel pour nous de différencier nos mortiers PCC1et CC2. C’est notre approche technique et nous considérons que c’est important de faire cette démarche auprès de nos clients. »En effet, ces deux types de mortiers sont soumis à des tests différents. Ils n’auront alors pas la même destination. Les mortiers R4 PCC seront dédiés aux ouvrages d’art, tandis que les CC seront à privilégier dans le cadre de travaux d’ouvrages fermés, de type parkings, moins exposés au soleil ou au vent. Pour les bâtiments plus classiques, l’industriel propose des solutions R20 à prise rapide ou encore sa gamme U, un micro-béton universel. Pagel dispose aussi des mortiers de réparation à haute résistance chimique, à l’image du KA-PH1 ou du KA20. « Nous travaillons en direct avec nos clients et nous proposons à la location, de matériels de mise en œuvre. C’est fondamental d’accompagner jusqu’au bout, car nous abordons des sujets très techniques. » 1Polymere Concrete Cement (ciment hydraulique polymère) avec une adjuvantation < 1 %. 2Concrete Cement (hydraulique) avec une adjuvantation > 1 %.   Parexlanko : Une solution pour chaque situation Le 735 Lankorep Rapide est recouvrable par peinture dans les 24 h qui suivent la mise en œuvre. [©Parexlanko] Racheté par Sika en 2019, Parexlanko a conservé l’étendue de sa gamme. Pour la réparation des bétons, l’industriel ne manque par de solutions. Le 731 Lankorep Structure dispose d’une bonne tenue à l’eau de mer et sulfatée, ainsi qu’aux sels de déverglaçage. Ce mortier fibré à retrait compensé est composé de sables, de ciments spéciaux, de fibres et d’additifs. Il peut s’appliquer par passe de 5 à 70 mm. De son côté, le 733 Lankorep Blanc se distingue par sa couleur, qui met en valeur les bétons. Parexlanko indique aussi que ce mortier peut être coloré. Sa faible porosité retarde la progression de la carbonatation. Il est conditionné en sac de 25 kg longue conservation. Le 735 Lankorep Rapide est, comme son nom l’indique, rapide… En effet, il est recouvrable, par peinture, dans les 24 h qui suivent sa mise en œuvre. Classé R4, selon la NF EN 1504-3, il s’applique pour la réparation des surfaces de béton, des épaufrures, des nids d’abeilles ou encore des nez de marches et des pièces préfabriquées. Il peut s’utiliser aussi pour la restructuration d’ouvrages dégradés, le renforcement de structures affaiblies, à l’image des balcons. Et peut se mettre en œuvre dans le cadre de traitement des gorges et des cueillies en travaux de cuvelage, et des fissures passives. PCI : Tous les besoins Le PCI Nanocret R4 Fluid se prête bien aux cas de forte densité d’armatures. [©PCI] Façades, colonnes, piliers de ponts, sols… Dans le domaine de la réparation des bétons, l’industriel PCI (BASF France – Division Construction Chemicals) s’attaque à tous types de surfaces. A travers ses gammes PCI Polycret et PCI Nanocret, il balaie de nombreux besoins, en termes de thixotropie, de rapidité ou encore de résistance… Par exemple, le mortier fibré PCI Polycret 317 dispose de hautes performances mécaniques et d’une bonne adhérence sur support. Son pH élevé permet une passivation des aciers. Le PCI Nanocret R4 Fluid est, comme son nom l’indique, une solution coulable. Ce mortier fluide se prête bien aux cas de forte densité d’armatures. En effet, il est auto-plaçant et ne requiert pas de vibration, même dans des structures renforcées. Enfin, le PCI Polycret 423 Rapid s’adapte bien aux situations de remise en service rapide. Même en conditions extrêmes. Ses fibres permettent de compenser le retrait et de minimiser le risque de fissuration. PRB : De bonnes résistances mécaniques Le PRB Répar R3 PR s’applique de manière verticale, horizontale et/ou en sous-face. [©PRB] Le PRB Répar R3 PR s’adapte bien à la réparation structurelle des bétons. Ce mortier fin, rapide et fibré dispose d’une bonne résistance mécanique en compression et en flexion. Il affiche ainsi 15 MPa en compression à 24 h et 35 MPa à 28 j. Parmi ses domaines d’usage, la solution de PRB s’applique de manière verticale, horizontale, en sous-face et que ce soit en extérieur ou en intérieur. Il permet la restructuration d’ouvrages dégradés, la réparation et le rebouchage d’épaufrures. Le PRB Répar R3 PR peut aussi s’utiliser pour le traitement des fissures passives. En termes de préparation, il nécessite environ 4 l d’eau potable par sac de 25 kg. Ce mortier fibré se met en œuvre manuellement en passes successives de 5 à 100 mm. Le produit de PRB se lisse avec une lisseuse ou par talochage avec une taloche en polystyrène ou en plastique. Saint-Gobain Weber : Anti-corrosion intégré Le weber.rep surface est un mortier fibré, bénéficiant d’une fonction anti-corrosion. [©Saint-Gobain Weber] Saint-Gobain Weber propose le weber.rep surface. Ce mortier fibré bénéficie de 3 fonctions : anti-corrosion, réparation et surfaçage. La caractéristique anti-corrosion est importante pour l’industriel. En effet, Saint-Gobain Weber estime qu’en France, 75 % des volumes de réparations structurales des bétons nécessitent un passivant pour traiter les armatures : une opération coûteuse, technique et chronophage. Avec cette solution, il compte bien libérer les professionnels de cette contrainte. De classe R3, selon la NF EN 1504-3, cette solution s’applique par passes de 5 à 50 mm, avec un temps de prise de 90 mn. Il peut se mettre en œuvre dans des immeubles collectifs ou encore des bâtiments commerciaux et industriels, en neuf ou en rénovation. Saint-Gobain Weber dispose aussi du mortier de réparation de classe R4 weber.rep rapid. Ce produit peut s’utiliser pour toutes les réparations ponctuelles. Sika : Au top ! Le Sika Monotop 311 FR est aussi disponible en version claire. [©Sika] Avec une vaste gamme de mortiers, l’industriel suisse Sika propose plusieurs solutions de classe R3 et R4 selon la NF 1504-3. Le Sika Monotop 311 FR est prêt à gâcher. Rapide, le mortier est formulé sur la base d’un liant hydraulique modifié et de fibres. Il se met en œuvre dans le bâtiment, les ouvrages d’art et le génie civil. De consistance pâteuse, il existe en gris et gris clair. Le Sika Monotop 410 R est résistant à l’eau de mer et sulfatée, selon la NF EN 18837. Et dispose d’une bonne tenue aux sels de déverglaçage avec un pH élevé passivant l’acier. De son côté, le Sikatop 122 FR est un mortier prédosé, comprenant un composant A (résine en émulsion) et un composant B (ciment PMES et charges spéciales). Il se met en œuvre dans le cadre de la réparation des bétons des ouvrages exposés à l’ambiance marine ou aux sels de déverglaçage. Sa formulation lui confère une montée en résistance rapide et de fortes résistances mécaniques finales. t-mix : Pompable sur de grandes longueurs Le MP2R de t-mix est enrichi en résine et en fibres synthétiques. [©t-mix] Spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de mortiers prêts à l’emploi, t-mix dispose de manière naturelle de solutions pour la réparation des bétons. Classé R4, le MP2R répond aux exigences de la NF EN 1504-3. Ce mortier fibré industriel à projeter par voie mouillée s’adapte à plusieurs cas d’utilisation. Il peut aussi bien servir au renforcement et à la réparation d’ouvrages souterrains, qu’au rejointoiement et remplissage de joints d’ouvrages maçonnés et souterrains. Le MP2R est efficace pour le confortement de voûtes et pieds droits de réseaux d’assainissement ou pour le re-chemisage de galeries. Ici, t-mix assure une consistance plastique et une bonne adhérence du produit même en sous-face. Le mortier a l’avantage de pouvoir être pompable sur de grandes longueurs. Enrichi en résine et en fibres synthétiques, il affiche une bonne résistance aux milieux agressifs, aux eaux sulfatées et à l’abrasion. Vicat VPI : Pour toutes les contraintes spécifiques Le Répachrono de Vicat VPI propose une prise plus rapide. [©VPI] Vicat Produits Industriels (VPI) est un acteur majeur sur les marchés du second œuvre du bâtiment, dans le domaine des bétons projetés et de l’étanchéité des ouvrages de génie civil dédiés au traitement des eaux. L’industriel propose une vaste gamme de produits consacrée à la réparation des bétons. Ces solutions s’adaptent aux différentes problématiques relatives aux contraintes spécifiques de mise en œuvre et aux types d’ouvrages. Elles intègrent des mortiers structurels de réparation, tels que le Répastructure R3, le Répatech R4 et le Répachrono R4. Toutes ces offres répondent aux exigences des normes et de la réglementation en vigueur. Le Répatech R4 dispose d’une résistance élevée aux eaux agressives. Il est applicable de manière mécanique et est certifié “Contact eau potable”. Le Répachrono propose, quant à lui, une prise plus rapide. Se prête bien à une utilisation en basse température ou pour une remise en service urgente. Il permet un reprofilage des points singuliers, tels que les nez de balcons. Sa très fine granulométrie garantit une finition impeccable. En 2020, VPI poursuivra de façon active son développement dans le domaine de la réparation et du renforcement des ouvrages.
Il y a 5 ans et 55 jours

Quand Sto s'inspire de la nature pour créer des peintures de façade aux fonctions innovantes

Depuis plus de 20 ans, Sto développe des produits en s'inspirant des solutions les plus efficaces pour offrir le meilleur à ses clients. Et parfois, l'innovation surgit de l'observation du monde vivant, animal ou végétal, qui regorge de phénomènes surprenants. Les peintures bioniques proposées par Sto en sont la preuve !
Il y a 5 ans et 56 jours

Unikalo redonne des couleurs au Phare du Cap Ferret

Dominant majestueusement la presqu'île du bassin d'Arcachon du haut de ses 55 mètres, l'emblématique phare du Cap Ferret a retrouvé tout son éclat après une rénovation complète de son bâti et arbore fièrement sa façade aux couleurs rouge et blanche. Des travaux à la hauteur de l'édifice, réalisés de main de maître avec les peintures Unikalo.
Il y a 5 ans et 58 jours

Zoom sur : Tara Donovan

Plasticienne et sculptrice contemporaine américaine, Tara Donovan détourne des objets du quotidien pour créer des installations, des sculptures et des dessins, souvent monumentaux, et toujours poétiques. Aujourd’hui représentée par la Pace Gallery à New York, elle expose ses étonnantes accumulations aux États-Unis et à l’étranger. Zoom sur une artiste qui sublime l’ordinaire. Durant ses études, Tara Donovan commence à expérimenter un langage artistique personnel en utilisant des objets industriels, vendus en magasin et définis par leur fonction, tels que des assiettes en carton, des boutons, des cure-dents, des clous, des crayons à papier, des gobelets, des épingles, des pailles, du papier ou encore du ruban adhésif. Après l’obtention de son Bachelor of Fine Arts à la Corcoran School of the Arts and Design (Washington) en 1997, puis de son Master of Fine Arts à la Virginia Commonwealth University (Virginie) en 1999, elle est rapidement exposée dans des galeries et des institutions américaines. Du 15 décembre 1999 au 17 janvier 2000, sa première exposition personnelle d’ampleur intitulée « Tara Donovan : Whorl » donne à voir ses sculptures à la Corcoran Gallery of Art, à Washington, D.C. L’année suivante, Tara Donovan participe à la prestigieuse biennale du Whitney Museum of American Art à New York, et à plusieurs expositions collectives. Dans les années 2000, elle affirme davantage son langage artistique et conçoit des installations in situ dans des galeries, notamment dans les espaces de la Ace Gallery à New York et à Los Angeles. Ses œuvres produites ainsi, comme Transplanted (2001), Nebulous (2002) et Styrofoam Cups (2003), sont devenues emblématiques de son processus créatif. Dans ses créations les plus célèbres, Tara Donovan accumule des objets prosaïques, des objets de la vie de tous les jours, qui sont voués à être jetés, pour créer des œuvres surprenantes, tantôt biomorphiques, tantôt abstraites. Chaque sculpture est réalisée à partir d’un seul et même produit manufacturé, utilisé en quantité et de manière répétitive. En développant une forme artistique si singulière, la plasticienne confronte le public à des installations visuelles, qui jouent sur les textures des matériaux utilisés et interagissent avec l’espace dans lequel elles s’insèrent. Tara Donovan aime aussi explorer les possibilités de son propre processus créatif. Depuis plusieurs années, elle s’intéresse à la notion d’écran et réalise des compositions bidimensionnelles ou en bas-relief, qui sont encadrées et accrochées au mur. Ses Drawings (Pins), composés d’épingles en acier, par exemple, altèrent la perception du spectateur avec des illusions d’optique, l’invitant à reconsidérer son rapport au réel. Au lieu de dissocier l’art de la vie, Tara Donovan explore le potentiel créatif de l’objet, et transcende le quotidien. Son usage systématique d’objets manufacturés érige au rang d’art le banal tout en conférant à son œuvre une dimension critique. À l’heure de la surconsommation et de la crise écologique, son travail questionne notre rapport au monde, à la nature et à l’artificialité. Pour en savoir plus, visitez le site de la Pace Gallery Photographies : 1) Portrait de Tara Donovan à côté de sa sculpture Untitled (Mylar) © Tara Donovan2) Tara Donovan, Colony, 2005, crayons, 10,2 cm x 345,4 cm x 288,3 cm, © Tara Donovan3) Tara Donovan, Untitled, 2015, Slinky®s, 248,9 cm x 792,5 cm x 2,5 cm © Tara Donovan4) Tara Donovan, Untitled, 2014, acrylique et adhésif, 306,1 cm x 431,8 cm x 393,1 cm) © Tara Donovan5) Tara Donovan, Drawing (Pins), 2012, tableau, peinture et épingles en acier, 91,4 cm x 91,4 cm x 6,4 cm © Tara Donovan6) Tara Donovan, Untitled (Pins), 2004, épingles, 99,1 cm x 99,1 cm x 99,1 cm © Tara Donovan7) Tara Donovan, Untitled (Styrofoam Cups), 2003/2008, gobelets en polystyrène et colle, dimensions de l'installation variables © Tara Donovan Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 60 jours

Coronavirus : la filière peinture à rude épreuve

Les chantiers de peinture s’arrêtent un à un. Si les fabricants ne sont pas inquiets pour les stocks, les distributeurs vont devoir adapter leur stratégie.
Il y a 5 ans et 61 jours

Maison Matisse x Marta Bakowski : La Musique

Lors de la dernière édition de la FIAC, la quatrième génération d’héritiers d’Henri Matisse présentait au monde son nouveau projet&nbsp;: la Maison Matisse, un éditeur de design qui promet de réinterpréter les tableaux iconiques du grand peintre français en objets contemporains. Pour leur première collection permanente, la Maison s’associe à la designer franco-polonaise Marta Bakowski qui imagine pour l’occasion de la vaisselle inspirée du tableau de 1939, «&nbsp;La Musique&nbsp;». Si, depuis son lancement, la Maison Matisse a su proposer aux amateurs d’art et de design une collection en édition limitée réalisée par les frères Bouroullec, Jaime Hayon et Alessendro Mendini, elle passe désormais à l’étape supérieure en présentant une série permanente, imaginée par Marta Bakowski, qui réinterpréte les formes et les couleurs de la toile d’Henri Matisse, «&nbsp;La Musique&nbsp;», réalisée en 1939. L’ensemble, entièrement réalisé en céramique peinte à la main, est composé de 14 pièces comprenant des plats, des bouteilles, des assiettes et une cruche. Pour cette collection, la designer mise sur des nuances éclatantes et des formes graphiques, à l’image des travaux du peintre. Feuillages, quadrillages et couleurs primaires composent les différents éléments conçus dans l’une des plus ancienne manufactures artisanales d’Italie. Impatient de se procurer la bouteille Canon ou la carafe Octave&nbsp;? Plus que quelques jours à attendre puisque la collection sera mise en vente sur le site de la Maison Matisse à partir du 1er avril&nbsp;! La rencontre parfaite entre peinture, artisanat et design contemporain. Pour en savoir plus, visitez le site de la Maison Matisse Photographies&nbsp;: Maison Matisse Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 63 jours

Assurer la continuité de la formation des apprentis du BTP

L’accueil des apprentis dans les organismes de formation a été suspendu depuis 16 mars. Dans le cadre des mesures de prévention liées à lutte contre la propagation du Covid-19, le CCCA-BTP et l&rsquo;AFPA se mobilisent pour fournir des contenus de cours à distance. Le CCCA-BTP crée et met à disposition, via une rubrique dédiée sur son site Internet, des contenus pédagogiques (modules de formation, guides méthodologiques, sitographies, etc.) immédiatement exploitables par les formateurs des organismes de formation aux métiers du BTP, dans les domaines de l’enseignement général (français, mathématiques et sciences, etc.) et de l’enseignement professionnel (dans toutes les filières métiers). Certains contenus sont accessibles en ligne et peuvent être utilisés sur tout support, comme les modules de formation, d’autres sont conçus pour être exploités sur des plateformes de formation à distance, par exemple Aptyce. De son côté, l’Afpa se mobilise aussi pour garantir la continuité pédagogique. L’Agence va mettre à disposition des CFA et des organismes de formation et du grand public son savoir-faire en matière de Mix-Learning. Pendant trois mois, ils pourront accéder à ses Moocs et à des modules pour animer des formations et assurer le lien pédagogique à distance sur un site dédié. Les CFA qui mettent en œuvre les titres professionnels du Ministère du travail pourront également accéder aux contenus pédagogiques de 22 titres professionnels via la plateforme pédagogique Mètis. ccca-btp.fr mooc.afpa.fr
Il y a 5 ans et 68 jours

Caparol mène l’offensive sur des peintures moins impactantes

Comptant sur une gamme enrichie de produits plus sains et moins impactants pour l&rsquo;environnement, Daw France a pour ambition de faire de Caparol une marque r&eacute;f&eacute;rente sur le march&eacute; fran&ccedil;ais.
Il y a 5 ans et 68 jours

Le phare du Cap Ferret se refait une beauté

La réhabilitation extérieure du phare du Cap Ferret, qui a débuté en 2018, marque la fin de travaux de restauration d’envergure effectués dans le respect de la double fonction de l’édifice : établissement de signalisation maritime et marqueur patrimonial du littoral. Trois semaines durant, cinq cordistes de l’entreprise Adour Travaux Spéciaux (ATS) ont œuvré pour redonner ses couleurs à l’emblématique phare. 1 000 m2 de façade ont été restaurés. Une intervention qui s’est faite en plusieurs étapes. « La dernière rénovation datant de 2 000, il a été nécessaire d’effectuer un décapage complet car la superposition des différentes couches de peinture remet en cause l’adhérence de l’ensemble », précise Loïc Fruchard. « C’était la première fois depuis 40 ans que le phare était mis à nu. Du coup, le décapage a été plus long que prévu. 15 jours ont été nécessaires pour décomposer les 3 couches de peintures anciennes » poursuit-il. « Nous avons travaillé avec un décapant 4 0 0 SO de la société DPE. Pendant qu’une équipe l’appliquait au rouleau sur des segments de 2 m de large, une autre équipe nettoyait le fut avec un karcher haute pression de 300 bars, ce qui nous a permis de retirer environ 2 tonnes de résidus de peinture qui ont été récupérés pour être recyclés ». Avant de repeindre, la phase de préparation a fait l’objet de tous les soins. Les équipes d’ATS ont appliqué un produit anti-mousse, réparé les fissures avec un enduit de rebouchage à prise rapide et recouvert la structure originelle, d’un fixateur pigmenté en phase solvanté, K’Fix S de l’entreprise Unikalo. Son très bon pouvoir pénétrant en fait une excellente couche d’accroche sur un support brut. Compte tenu de son exposition au vent et à l’humidité, le phare nécessitait une peinture très résistante. Une couche de peinture blanche RAL 9016 K’Flex Extrem Lisse utilisé en système I3 a été appliquée. La technologie EXTREM assure une longévité accrue du film et des teintes, ainsi qu’une grande résistance à l’encrassement biologique et atmosphérique. Pour la partie supérieure, la technologie K’olor Tech a été privilégiée afin de garantir une teinte rouge vif RAL 3020 résistante aux UV et aux infrarouges. Photo : Anaka
Il y a 5 ans et 69 jours

"Une dizaine de salariés ont accepté d‘être sur des chantiers où ils seront en binôme sans aucun autre corps d’état présent", Edouard Dejoie

Ce co-gérant d'une entreprise bretonne de peinture a décider de laisser le choix à ses salariés de travailler et imposé une organisation stricte.
Il y a 5 ans et 71 jours

Coronavirus et continuité de l’activité : les négoces ouverts seulement aux professionnels

Le gouvernement a passé, samedi 14 mars 2020, la France au stade trois de l&rsquo;épidémie de coronavirus Covid-19. L’arrêté publié prévoit pour les établissements relevant des catégories mentionnées à l’article GN1 de l’article du 25 juin 1980 une interdiction d’accueillir du public jusqu’au 15 avril 2020. Dès l’annonce de cette mesure, les Fédérations de négoce se sont rapprochées du Gouvernement, cabinet du Premier Ministre, Ministère de l’Economie et Ministère du Logement et de la cohésion des territoires. A l’issue des contacts, qu’elles ont eu ensemble avec le Gouvernement, et considérant que l’activité des négociants et distributeurs de matériaux est indispensable pour assurer la continuité de l’activité de la construction et de la rénovation sur le territoire, une demande d’interprétation spécifique à titre exclusif et temporaire a été formulée à l’attention des pouvoirs publics. Il s’agit : de réserver l’enlèvement et la livraison aux seuls clients professionnels disposant d’un compte, d’une carte ou d’un numéro attestant de leur qualité.d’inciter aux commandes par téléphone ou mail dans le but de les préparer en amont et de prévoir des créneaux d’enlèvements en prévoyant un filtrage préalable lors de l’arrivée sur le site.de ne prévoir un accès que restreint et limité aux libres-services en respectant en toutes circonstances les distances prévues et en prévoyant toutes les mesures d’hygiène prescrites, que les adhérents peuvent retrouver dans l’espace dédié covid19 sur le site de la Fédération.de s’assurer en cas de livraison que le chantier est apte à recevoir les matériaux dans les conditions de sécurité et de protection requises. Ces propositions doivent être l’objet d’un texte règlementaire qui, de manière très provisoire, garantirait une sécurité essentielle à la profession.