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Résultats de recherche pour diagnostic

(1200 résultats)
Il y a 5 ans et 69 jours

Les diagnostiqueurs immobiliers entrent en campagne

SENSIBILISATION. Le 2 mars 2020, la Fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier (Fidi) a lancé une campagne de sensibilisation sur le métier de diagnostiqueur. Le but : mieux faire connaître la profession.
Il y a 5 ans et 70 jours

«L’intensification des chantiers implique la traçabilité des terres excavées en vue de leur réemploi», Emmanuel Cazeneuve, P-DG d’Hesus

Avec la multiplication des chantiers d’infrastructures, la question de la gestion des terres excavées est plus que jamais d’actualité. LeMoniteur.fr fait le point avec Emmanuel Cazeneuve, P-DG d’Hesus, qui propose un service clés en main, depuis l’analyse du diagnostic de pollution jusqu’à la prise en charge et l’acheminement des terres dans les centres de traitement des terres polluées.
Il y a 5 ans et 85 jours

La construction métallique croit et recycle

Le Syndicat de la Construction Métallique de France (SCMF) représente le secteur de la construction métallique française avec plus de 800 entreprises. Après une année 2019 clôturant en production à 780 000 tonnes usinées, le marché de la construction métallique progresse de près de 4 % par rapport à l’année 2018, la croissance de 2008 avait déjà atteint près de 4,3 %. Fin janvier 2020, les carnets de commandes des entreprises adhérentes au SCMF représentent plus de 6 mois de visibilité. Un dynamisme qui, pour certaines régions ou secteurs d’activité, atteint même plus de 12 mois. Les bureaux d’études des constructeurs métalliques voient également leur activité progresser nettement. Développement durable et économie circulaire La filière acier milite pour une construction durable et responsable et rappelle que depuis toujours l’acier est recyclé. Actuellement, en France, 93 % à 97 % des aciers utilisés en construction métallique sont des aciers recyclés. L’acier est recyclable à l’infini sans perdre ses caractéristiques mécaniques. Cette qualité a également pour avantage de préserver les ressources naturelles en évitant de puiser dans les réserves de minerai de fer. Les chutes de production sont systématiquement recyclées, même les copeaux d’acier de perçage sont récupérés, ce qui permet d’atteindre un niveau de recyclage des aciers de récupération de 99 %. Les qualités naturelles de l’acier, conjuguées à la numérisation BIM et à la traçabilité de tous ses produits, font que la filière acier est déjà organisée pour le « diagnostic déchets avant démolition » et le réemploi. Photo : Extension Arena Nancy – SCMF
Il y a 5 ans et 97 jours

Où trouver les Zones de présomption de prescription archéologique ?

Sur l’ensemble du territoire national, le Code du patrimoine prévoit que certaines catégories de travaux et d’aménagements font l’objet d’une transmission systématique et obligatoire au préfet de région afin qu’il apprécie les risques d’atteinte au patrimoine archéologique et qu’il émette, le cas échéant, des prescriptions de diagnostic ou de fouille. Les catégories de travaux concernés sont : les zones d’aménagement concerté (ZAC) et les lotissements affectant une superficie supérieure à 3 ha, les aménagements soumis à étude d’impact, certains travaux d’affouillement soumis à déclaration préalable et les travaux sur immeubles classés au titre des Monuments Historiques (livre V, article R. 523-4). Créés par la loi du 1er août 2003 relative à l’archéologie préventive, les zones de présomption de prescription archéologique (ZPPA) se substituent aux zones de saisine instituées par la loi de 2001 qui elles-mêmes succédaient aux périmètres de protection archéologique pris dans le cadre du décret 86-192. L’Atlas des patrimoines recense des zones de présomption de prescription archéologique et des zones de sensibilité archéologique. http://atlas.patrimoines.culture.fr/
Il y a 5 ans et 98 jours

Repérage amiante : les exigences de diagnostic renforcées

RÉGLEMENTATION. Un texte paru au Journal officiel réintroduit l'obligation pour un diagnostiqueur amiante de posséder une "mention" pour réaliser ce type de repérages avant travaux. Cette obligation avait été retoquée l'an dernier par le conseil d'État. Elle revient renforcée.
Il y a 5 ans et 104 jours

Tout savoir sur le diagnostic de performance énergétique en cas de location ou de vente

A l’heure de la transition écologique, climatique et énergétique, le secteur de l’immobilier est un domaine très réglementé. Avant une opération de vente ou de location, il est nécessaire de se renseigner sur les éventuels paramètres nécessaires à effectuer. Parmi ces démarches à connaitre figure le diagnostic de performance énergétique. Qu’est-ce que le diagnostic de performance énergétique ou DPE Un diagnostic de performance énergétique est un document où figurent la quantité d’énergie consommée ainsi que la classification selon une valeur de référence d’un bâtiment ou d’une zone précise dans l’édifice. Cette analyse relève d’une mesure effective ou d’une estimation, à partir d’une méthode conventionnelle 3CL.Il s’agit de la consommation conventionnelle des logements. Grâce à ce document, les particuliers peuvent avoir une idée sur l’évaluation de la consommation énergétique du bâtiment, et en faire une prévision de l’énergie qui sera consommée. Force est de mentionner que le DPE n’est émis qu’à titre informatif. Toutefois, depuis le 1er janvier 2011, les annonces de location ou de vente doivent inscrire le classement énergétique de chaque logement, sous peine de sanction. Le DPE est obligatoire dans 4 situations : La vente d’un ou d’une partie d’un logement ; La conclusion ou le renouvellement d’un bail ; L’extension ou la construction d’un immeuble ; Les bâtiments publics Présence obligatoire d’une étiquette DPE sur les annonces de vente ou de location La législation en vigueur oblige les professionnels dans la vente et la location immobilière d’indiquer l’étiquette DPE sur les annonces de location ou de vente d’un bien immobilier. Il arrive toutefois que cette étiquette soit encore vierge. La raison est que le recueil de l’information n’a pas été effectué ou est en cours de réalisation. Ainsi, cela signifie que le logement n’a aucun classement énergétique. Le recensement des informations peut se faire selon deux méthodes : Soit la méthode 3CL Soit sur la base des factures de consommation de gaz et d’électricité du logement, sur les 3 dernières années Cette dernière technique est utilisée pour les logements dont la construction a été réalisée avant le 1er janvier 1948 ou pour un logement situé dans un immeuble collectif pourvu d’un chauffage collectif. Que savoir sur le DPE dans le cadre d’une vente d’un appartement Le rapport de DPE concerne tous les logements clos et couverts soumis à la vente, sauf exception émises par l’article R134-1 du Code de la construction et de l’habitation. Ainsi, la vente d’un appartement entre dans cette réglementation. Ce document a la particularité d’indiquer une estimation du coût des travaux ainsi que les économies y afférant. De plus, le DPE présente également une estimation du temps de retour sur investissement. Valable pendant 10 ans, le DPE ainsi que son étiquette énergétique doit figurer dans le dossier de la promesse de vente de l’appartement. A défaut de promesse, il peut s’agir de l’acte authentique de vente. Le diagnostic de performance énergétique dans le cadre d’une location d’appartement Dans la location comme la vente, le diagnostic de performance énergétique est nécessaire. Ce rapport concerne tous les baux, sauf ceux ruraux et les locations saisonnières. Il touche ainsi tous les locaux qui disposent d’installations de chauffage ou encore tous les habitats produisant de l’eau chaude sanitaire. Le DPE doit être joint au contrat de bail, dès la signature à des fins d’information. Sont concernés par le DPE : La location d’habitation vide ou meublé La location des locaux d’activité (bail professionnel ou commercial) De ce fait, le futur locataire aura une idée de sa consommation énergétique dans l’appartement et pourra évaluer son budget.
Il y a 5 ans et 110 jours

Le groupe Ex'im rachète le réseau Defim

Le groupe Ex'im, spécialiste du diagnostic immobilier pour les entreprises, a annoncé le rachat du réseau Defim, une opération qui doit permettre de créer un groupe leader sur le marché français.
Il y a 5 ans et 113 jours

6 propriétaires sur 10 effectuent des travaux de mise en sécurité électrique suite à un diagnostic présentant des anomalies

L’Association Promotelec dévoile une étude exclusive sur les perceptions des locataires et propriétaires-bailleurs concernant le diagnostic électrique obligatoire (DEO) et les anomalies des installations électriques dans les logements locatifs du parc privé.
Il y a 5 ans et 127 jours

AC Environnement vous souhaite une belle année 2020

2020, une nouvelle ère. Inventons ensemble le diagnostic 4.0, le diagnostic immobilier prédictif, collaboratif, compatible BIM, améliorer la maintenance, économiser, protéger les habitants, les usagers, sécuriser les chantiers... en 2020 avec vous on rend vos bâtiments intelligibles. Belle année 2020 !
Il y a 5 ans et 154 jours

Les diagnostiqueurs immobiliers alertent sur le calendrier du nouveau DPE

RENOVATION ENERGETIQUE. Dans un courriel adressé le 6 décembre à la direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages, la fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier suggère un report de la date de publication des textes réglementaires relatifs au nouveau diagnostic de performance énergétique, prévue pour mars 2020.
Il y a 5 ans et 154 jours

La filière électrique fait des propositions pour faciliter la transition énergétique

7 fédérations et associations (FFIE, FIEEC, GIMELEC, IGNES, Promotelec, SERCE, UFE) représentant l’ensemble de la filière électrique font état, à travers une étude, des leviers à actionner pour accélérer la rénovation et la transformation des bâtiments, qu’ils soient à usage d’habitation ou tertiaires. Elles publient six recommandations pragmatiques et 21 mesures concrètes pour accompagner la transformation du bâtiment : Mettre en cohérence les politiques du bâtiment et les enjeux climatiques 1. Garantir que l’ensemble des politiques réglementaires et incitatives intègre un critère de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). 2. Afficher au même plan les critères carbone et énergétique au sein du diagnostic de performance énergétique (DPE) et améliorer sa lisibilité. 3. Améliorer la visibilité du critère environnemental dans le document annexé au bail tertiaire. Améliorer l’information et la pédagogie autour des actions de performance énergétique, tant des logements que des bâtiments tertiaires 4. Créer des plates-formes territoriales autour de la rénovation qui permettent une mise en relation efficace entre la demande et l’offre de rénovation dans le résidentiel et tertiaire et la création d’un catalogue de l’ensemble des aides disponibles à la rénovation à l’échelle locale et nationale. 5. Communiquer efficacement auprès des utilisateurs les dispositifs accessibles pour le financement de la rénovation sur l’ensemble des travaux. 6. Créer une labélisation « verte » des prêts en faveur d’économie d’énergie et de sobriété carbone via des travaux de qualité. Renforcer l’efficacité et la qualité des travaux au bénéfice des occupants 7. Lutter contre les travaux de mauvaise qualité, et notamment la fraude. 8. Promouvoir une démarche qualité pour la phase de réception des travaux et de commissionnement dans le tertiaire. 9. Accompagner la montée en compétence de tous les acteurs, notamment en accentuant le soutien aux politiques de formation, ce qui permettra un meilleur accès à la qualification des entreprises. 10. Favoriser une adoption rapide des fiches d’opérations standardisées dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE). 11. Renforcer les incitations au remplacement des installations électriques vétustes pour améliorer la sécurité des bâtiments et la prise en charge des nouveaux usages. Établir et analyser les données afin de cibler et déclencher les travaux et services pour le bâtiment 12. Établir une cartographie de la performance des bâtiments publics (énergétique, climatique, numérique, etc.) et la rendre accessible. 13. S’appuyer sur le DPE dans les autres dispositifs et outils (passeport rénovation, carnet numérique, etc.) visant à inciter des travaux de rénovation. 14. Mettre en place un observatoire de suivi des aides des politiques publiques, nationales et locales. Prendre en compte le confort de l’utilisateur et la qualité de l’air intérieur dès la conception du bâtiment 15. Introduire la notion de confort d’hiver et d’été dans la réglementation au même titre que la diminution des consommations énergétiques et des émissions de GES. 16. Mettre en place des moyens techniques de mesure de l’inconfort dans le tertiaire et le résidentiel. 17. Garantir la préservation de l’air intérieur et viser son amélioration tout au long de la vie du bâtiment. Accompagner les évolutions de la société en facilitant l’adoption des nouvelles solutions 18. Promouvoir l’innovation et le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) dans le bâtiment au service des utilisateurs, notamment pour la facilitation de l’exploitation du bâtiment, la maintenance prédictive, la flexibilité, la gestion de l’énergie, l’adaptabilité, le building information modeling (BIM), etc. 19. Faciliter l’intégration de solutions de la mobilité électrique en simplifiant le parcours d’installation des bornes de recharge dans tous les bâtiments neufs et existants. 20. Faciliter l’installation de solutions d’autoconsommation et de pilotage/stockage de l’énergie en levant les freins administratifs et réglementaires. 21. Faciliter l’adoption des technologies permettant le maintien à domicile via une meilleure information et un renforcement des mesures d’incitation financière.
Il y a 5 ans et 159 jours

Le futur DPE mettra en avant l'énergie finale

ÉVOLUTION. Le diagnostic de performance énergétique (DPE) est en phase de rénovation. Et la future mouture du texte devrait notamment privilégier l'énergie finale par rapport à l'énergie primaire, d'après des propos tenus récemment par l'administration.
Il y a 5 ans et 160 jours

Restauration de Notre-Dame de Paris : la Région Île-de-France concrétise son engagement et apporte une contribution de 10 M€

Le 15 avril dernier, un incendie se déclenchait au sein de la cathédrale Notre-Dame de Paris détruisant la charpente datant du Moyen-Âge ainsi que la fonte de la toiture et l’effondrement de la flèche. Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, avait exprimé, dès le 16 avril, son souhait que la Région apporte un soutien de 10 M€ à la restauration de Notre-Dame. Le rapport relatif à la contribution de la Région Île-de-France aux travaux d’urgence pour la restauration de la Cathédrale Notre-Dame à hauteur de 10 M€ a été soumis au vote du Conseil régional, réuni en séance plénière, qui l’a adopté le 22 novembre 2019. L’objectif de cette phase est d’aboutir à l’installation du parapluie – toit provisoire de la cathédrale – pour permettre la réalisation de la suite de l’opération dans les meilleures conditions. Le Fonds Cathédrale de Paris mis en place par la Fondation Notre Dame a recueilli entre le lendemain de l’incendie et le 4 décembre 49 M€ de dons. Le total des dons déjà reçus et des promesses de dons qui seront concrétisées est de l’ordre de 370 M€, dont 100 M€ de François et François-Henri Pinault et 200 M€ de Bernard Arnault et sa famille et du groupe LVMH. Le montant total nécessaire à la restauration de la cathédrale demeure inconnu puisque c’est à la fin de l’année 2020 que le diagnostic final pourra être établi.
Il y a 5 ans et 161 jours

Socotec acquiert le logiciel Lago

Socotec a inspecté, ces 10 dernières années, plusieurs milliers d’ouvrages d’art en France et à l’international. [©Socotec] L’effondrement du pont Morandi, à Gènes, en Italie, le 14 août 2018, a marqué les esprits. En juin dernier en France, un rapport parlementaire constatait que 18 à 20 % des ponts hexagonaux présentaient un risque pour les usagers. Alors que l’effondrement d’un pont à Mirepoix-sur-Tarn1 (31) vient consolider ce constat, Socotec a acquis le logiciel Lago d’aide à la gestion des ouvrages. C’est un outil de référence de l’état de santé et des pathologies des infrastructures. Il pourrait apporter une réponse concrète aux acteurs concernés. Ce logiciel permet de recenser et d’analyser les ouvrages d’art et d’en suivre les évolutions. L’outil intègre aussi une base de données complète, apportant une aide au diagnostic. Quid de Lago ? Avec cette acquisition, Socotec renforce son positionnement dans le secteur de l’inspection et de la gestion du patrimoine des ouvrages d’art. Il est spécialisé dans le testing, l’inspection et la certification dans les domaines de la construction et des infrastructures. Le groupe a inspecté, ces 10 dernières années, plusieurs milliers d’ouvrages d’art en France et à l’international. Il commercialise désormais l’outil, en complément de missions d’inspections ou de diagnostics d’ouvrages d’arts. « Lago est le fruit de plus de 20 ans de développement, opéré par des spécialistes des infrastructures. Le logiciel est utilisé depuis plusieurs années sur le réseau routier et autoroutier français comme à l’international. C’est un produit de référence et sa base de données répertorie plusieurs centaines de pathologies. Il permet aussi de définir et d’optimiser les travaux d’entretien. Via son réseau de 150 agences, Socotec offre une expertise de proximité aux acteurs publics et aux sociétés d’autoroutes désireux de fiabiliser la gestion de leur patrimoine d’ouvrages d’art», explique Jean-Marie Steiner, directeur de Socotec. Il s’agit là clairement d’un enjeu de société.  1Rappelons ici que l’effondrement du pont de Mirepoix-sur-Tarn semble lié au passage d’un poids lourd au PTAC trop important et non au mauvais état de l’ouvrage.
Il y a 5 ans et 172 jours

DPE : la parution des textes réglementaires envisagée au premier trimestre 2020

TRANSITION ENERGETIQUE. Selon un document du ministère de la Transition écologique et du ministère de la Cohésion des territoires, que Batiactu a pu consulter, la publication des textes réglementaires relatifs au futur diagnostic de performance énergétique serait prévue pour les premiers mois de l'an prochain. L'affichage, sur l'étiquette énergie, des seuils de consommation correspondant aux objectifs nationaux de performance énergétique figure parmi les propositions à l'étude.
Il y a 5 ans et 176 jours

LORENOVE OBTIENT LE LABEL CAPITAL POUR LA 2ÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE !

POUR LA SECONDE FOIS, FENÊTRES LORENOVE OBTIENT LE LABEL CAPITAL « MEILLEURES ENSEIGNES », POUR SA QUALITÉ DE SERVICE, DANS LA CATÉGORIE « VENTE ET POSE DE FENÊTRES ». L’ANNÉE 2020 SEMBLE PROMETTEUSE ! « Meilleur installateur de fenêtres en France » en 2017, « Meilleure enseigne 2019 » pour sa qualité de service-client, rien ne semble pouvoir arrêter Fenêtres Lorenove dans sa progression, puisque l’enseigne récidive en obtenant, à nouveau, le Label Capital ! Associé à l’institut Statista (expert des études de marchés et d’opinions, portail de business intelligence), Capital, publie, pour la 4ème année consécutive, le palmarès des «Meilleures Enseignes» en France en 2020. Ce palmarès, qui distingue les enseignes préférées des foyers français, est établi sur la base d’une étude auprès de 20 000 consommateurs : du 15 juillet au 05 août 2019, une enquête en ligne, totalement anonyme et indépendante, a été réalisée afin de mesurer la qualité du service client de près de 1500 enseignes. Les répondants ont noté les enseignes qu’ils ont fréquentées au cours des trois dernières années, et selon trois critères : – L’attention portée à la clientèle (qualité de l’accueil, rapidité de prise de contact etc.). – Le niveau d’expertise professionnelle des enseignes (compétence du personnel, qualité de l’information fournie etc.). – Leur volonté de recommander l’enseigne à une personne de leur entourage. À l’issue de ce sondage, Fenêtres Lorenove s’est une nouvelle fois illustrée comme l’une des meilleures enseignes pour sa qualité de service, dans la catégorie «Vente et pose de fenêtres», avec la note de 7.09/10 (la moyenne de la catégorie étant de 6.77/10). Une nouvelle démonstration, s’il en était besoin, de l’exigence et de la préoccupation de la marque en matière de qualité service client ainsi que du professionnalisme de son réseau ! Toujours soucieux de faire de ses clients SA priorité, Lorenove s’engage, quotidiennement et avec constance, à améliorer la qualité de ses produits par une innovation à l’expertise certifiée,  ainsi que ses prestations de services. Pour répondre aux attentes et aux exigences renouvelées de ses clients, le réseau emploie toute son énergie et sa volonté à concrétiser leurs projets en toute sérénité, dans le respect des engagements pris : – des techniciens-conseil formés pour établir un diagnostic personnalisé, – des produits français de qualité, proposés au juste prix, – une démarche commerciale attentive. Lorenove dédie cette récompense à toutes ses équipes engagées sur le terrain, et remercie ses clients de renouveler leur confiance pour une relation durable et pérenne ! A propos du Groupe Lorillard et Lorenove : Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe LORILLARD figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, LORILLARD couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. Elle est actuellement l’une des seules entreprises à décliner son offre dans quatre matériaux : bois, PVC, aluminium et mixte. Entièrement dédiée à la rénovation, à la fabrication et à la pose de fenêtres sur-mesure, la marque LORENOVE a été créée il y a près de 35 ans pour mettre le savoir-faire du Groupe LORILLARD au service des particuliers. Chiffres-clés : 930 collaborateurs – chiffre d’affaires 2018 : 160 millions d’euros – production annuelle : 1 400 menuiseries par jour, plus de 200 logements équipés ou rénovés par jour. Toutes les menuiseries LORENOVE sont produites en France.
Il y a 5 ans et 182 jours

Réparer la ville ?

 Comment aller au-delà des diagnostics partagés et valoriser des solutions exemplaires et pionnières mises en œuvre sur le territoire national et appropriables par tous ? Comment penser la ville autrement, telle sera la question directrice de l’évènement « Réparer la Ville » qui aura lieu du 20 au 22 Novembre dans l’ancien couvent des Récollets. L’événement s’ouvrira avec une discussion inaugurale présidé par l’ancien ministre Jean-Louis Borloo. L’événement à destination...
Il y a 5 ans et 190 jours

Pourquoi entreprendre des travaux de rénovation ?

Rénover pour réaliser des économies d’énergie C’est l’une des raisons principales : au prix du gaz et de l’électricité aujourd’hui, tout le monde cherche à économiser sur sa facture d’énergie. Le plus simple pour y parvenir, c’est de réaliser des travaux d’isolation. Si votre logement est ancien, il y a certainement des zones de déperdition de chaleur. En clair : de l’air froid entre dans votre logement l’hiver, et vous devez consommer plus d’énergie pour chauffer. Pensez à isoler vos combles si vous habitez dans une maison, ainsi que les murs, que ce soient ceux en lien avec l’extérieur, ou ceux qui communiquent avec le garage. L’isolation murale peut se faire par l’extérieur ou l’intérieur, mais on privilégiera celle par l’intérieur pour de la rénovation, car les travaux sont moins importants. Pensez aussi à vos fenêtres et baies vitrées. Passer au double ou au triple vitrage est un gain important d’économie d’énergie. Et bien sûr, n’oubliez pas de changer votre moyen de chauffage. Si vous le pouvez, optez pour une chaudière dernière génération, couplée avec un thermostat. Vous aurez ainsi une chaleur adaptée à votre mode de vie et à votre habitation, à moindre coût. Rénover son logement pour un meilleur confort de vie Outre les économies d’énergie, on peut vouloir rénover son logement pour son confort. Dans les appartements récents, les cloisons sont bien souvent très fines et les sons passent facilement d’une chambre à l’autre. Mieux isoler phoniquement les pièces de son logement peut rapidement être une véritable source de bien-être. C’est d’autant plus vrai si vous travaillez chez vous, et que votre bureau se situe à côté d’une chambre d’enfant ou du salon. Difficile de se concentrer quand on entend les cris et les rires des enfants ! Agir sur votre mode de chauffage sera aussi un plus en terme de confort : on se sent mieux chez soi quand on y a chaud, c’est certain ! Rénover pour réaliser une plus-value immobilière Une chose est sûre si vous êtes sur le point de vendre votre logement : s’il est délabré ou pas assez au goût du jour, il ne se vendra pas au prix du marché. Vous devrez accepter une décote pour trouver un acheteur. Le marché du logement est aujourd’hui difficile. Les biens à vendre sont nombreux, les futurs propriétaires bénéficient de taux d’intérêt très bas ce qui leur permet de viser des habitations qu’ils ne pouvaient pas s’acheter il y a encore quelques années. Mais la plupart d’entre eux veulent n’avoir que les cartons à défaire quand ils s’installent. Le diagnostic énergétique est aujourd’hui obligatoire avant la vente. Le futur acheteur a ainsi une idée de ce qu’il devra dépenser pour chauffer ou climatiser son futur chez lui. Si vous avez investi dans une nouvelle chaudière et une bonne isolation, il sera rassuré et n’aura pas d’argument pour faire baisser le prix de vente. Pour ne pas perdre d’argent, n’hésitez pas à faire de menus travaux : repeindre les murs, ouvrir la cuisine sur le salon, redonner un coup de jeune à la cuisine… Pensez que les premières minutes d’une visite sont décisives : un acheteur potentiel qui aurait une mauvaise impression en entrant chez vous n’investira pas dans votre bien immobilier. Apportez donc un soin tout particulier à ce que le visiteur verra en premier. Quelles aides pour rénover son logement ? Changer de chaudière, isoler les combles, mettre du double-vitrage… Tout cela a bien sûr un coût. Vous pouvez obtenir facilement une estimation de vos travaux en ligne, grâce notamment à Renovation Man, une plateforme qui vous guide lors de toutes les étapes de votre chantier : chiffrage, choix de l’artisan, paiement… De quoi vivre l’expérience des travaux sereinement !  Mais rassurez-vous, la facture est rapidement allégée grâce aux aides de l’Etat et aux économies réalisées sur le long terme. Pour tout savoir sur les crédits d’impôt, la TVA à 5,5%, le chèque énergie… le site du Ministère de l’Economie recense toutes les aides possibles, et les conditions auxquelles elles sont octroyées. Si votre maison ou votre appartement a été construit avant le 1er janvier 1990, vous pouvez aussi bénéficier d’un éco-prêt à taux zéro jusqu’à 30 000 euros. De quoi couvrir la totalité ou une bonne partie du montant des travaux ! En cas de doute, n’hésitez pas à poser des questions aux professionnels qui se chargeront des travaux. Ils sont formés pour cela et pourront vous aiguillez pour bénéficier d’un maximum d’aides. Vous pouvez aussi vous tourner vers l’ADEME, l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie. C’est son rôle de renseigner les entreprises et les particuliers sur les démarches et les conditions d’octroi des aides publiques en matière de rénovation énergétique.
Il y a 5 ans et 194 jours

Habitat indigne : Après les premiers diagnostics, Marseille passe à l'action

Presque un an après le drame de la rue d'Aubagne, l'Etat, la Ville et la métropole dégainent leurs armes pour sortir de l'ornière le bâti de l'hypercentre.
Il y a 5 ans et 195 jours

EX'IM, spécialiste du diagnostic immobilier et du repérage amiante, publie sa nouvelle charte RSE

A travers la publication de sa nouvelle charte RSE, EX'IM, spécialiste du diagnostic immobilier et du repérage amiante, souhaite structurer sa démarche par des engagements forts articulés autour de 5 chapitres : Social & Ethique ; Bien-être des collaborateurs ; Engagements publics ; Environnement.
Il y a 5 ans et 196 jours

Accélérateur transition énergétique

28 entreprises à fort potentiel ont été sélectionnées pour faire partie de la première promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique. Bpifrance et l’ADEME ont souhaité s’associer pour lancer ce nouvel accélérateur filière dédié aux entreprises du secteur de l’énergie allant de l’ingénierie (bureau d’études techniques, développeurs de technologie) jusqu’aux exploitants (producteur et exploitant de l’énergie) en passant par les industriels de l’offre (équipementiers et fabricants de composants). Il a pour ambition de les accompagner dans leur croissance au service des enjeux de la transition énergétique. Durant vingt-quatre mois, elles vont bénéficier d’un programme d’accompagnement collectif axé sur les enjeux de la filière. Celui-ci comprend 30 jours de conseil avec la réalisation d’un diagnostic 360 et accès à deux modules complémentaires au choix pour établir une feuille de route, de huit séminaires (de 2 jours au sein de l’école Polytechnique) permettant de renforcer leurs compétences, nourrir leurs réflexions stratégiques et travailler entre pairs au sein d’atelier thématique.
Il y a 5 ans et 197 jours

Mise en danger des salariés chez AC Environnement : la direction réagit

IMMOBILIER. Selon Le Monde et Franceinfo, des salariés et anciens salariés de cette société de diagnostic immobilier auraient porté plainte contre X pour mise en danger d'autrui, après avoir appris leur exposition à des concentrations de chloroforme supérieures aux normes. AC Environnement indique à Batiactu avoir engagé une procédure pour faire sortir sa directrice des laboratoires du capital de l'entreprise.
Il y a 5 ans et 200 jours

Avec BatINBOX, maîtrisez vos obligations réglementaires amiante en toute sérénité !

Publi-information DTA, DAPP, états de conservation, fiches récapitulatives …Pour un gestionnaire de patrimoine, un bailleur social, ou tout autre propriétaire, la gestion de l’amiante dans un parc immobilier peut s’avérer très complexe : difficile d’identifier les diagnostics déjà réalisés, ceux qui doivent être mis à jour, les échéances à respecter… BatINBOX permet de reprendre la main en simplifiant la gestion de l’amiante de votre patrimoine immobilier. Vous disposez d’un véritable tableau de bord pour maîtriser l’amiante de votre parc. La solution permet d’alerter lorsque des états de conservation ou mesures périodiques doivent être refaits, de mettre à jour facilement le Dossier Technique Amiante (DTA) et d’assurer une traçabilité ! BatINBOX apparaît comme une véritable solution de gestion du patrimoine, visuelle, ergonomique, évolutive aussi. Mais ce n’est pas tout : selon la réglementation, l’obligation du DTA repose sur le propriétaire… Avec BatINBOX, vous avez la possibilité de déléguer la gestion de ce dossier amiante à un expert de la problématique. Pour cela, appuyez-vous sur notre réseau de partenaires. Avec BatINBOX, pilotez efficacement vos obligations amiante. En savoir plus sur BatINBOX contact@batinbox.fr
Il y a 5 ans et 200 jours

22 Entrepreneurs s’appuient sur l’Accélérateur PME / ETI Bois

Les marchés de la filière forêt-bois répondent à des enjeux économique et sociaux majeurs. La filière forêt-bois est un fondement de la transition vers une économie décarbonée. Elle génère près de 400 000 emplois directs et indirects au sein des PME et ETI qui constituent un maillage économique remarquable au sein de l’hexagone. Les industriels et les pouvoirs publics ont construit une offre d’accélération répondant aux enjeux de la filière. 22 Entrepreneurs intègrent la première promotion d’Accélérateur PME / ETI Bois. L’Accélérateur Bois répond aux enjeux spécifiques de croissance et de structuration des petites et moyennes entreprises et leur apportent ainsi les solutions adaptées afin d’accélérer leur développement. Il est articulé autour de trois leviers qui seront activés tout au long des vingt-quatre mois d’accompagnement : – Conseil : réalisation par un consultant d’un diagnostic 360° pour identifier les axes prioritaires de croissance et accès à des modules de conseil dédiés ; – Formation : participation à huit séminaires d’une journée sur des thématiques ciblées, à des ateliers permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences et nourrir leurs réflexions stratégiques ainsi que des formations en e-learning et des autodiagnostics ; – Mise en relation : accès privilégié aux réseaux d’entrepreneurs et de partenaires de Bpifrance.
Il y a 5 ans et 208 jours

Façade ventilée sur bâtiment industriel centenaire

Sur l’ancien site des usines automobiles Delage, en pleine mutation urbaine, il reste une empreinte de l’histoire industrielle : un bâtiment en charpente métallique et briques de trois étages, long de 119 m. Sa toiture shed en dents de scie est typique de l’architecture industrielle du début du XXe siècle. En 2015, la quinzaine de copropriétaires s’est adressée à l’Atelier d’Architecture Alter Ego, spécialisé dans la rénovation et l’entretien des bâtiments, pour réaliser un diagnostic de la bâtisse. S’en est suivi un projet de rénovation de l’enveloppe pour restituer l’aspect des façades en briques et métal. Pour Natacha Buffa et Vincent Cabre, les architectes en charge du projet, la solution qui s’impose est une façade ventilée afin d’assurer l’isolation thermique du bâtiment. La société Béchet a proposé la solution la plus satisfaisante : le bardage StoVentec SCM avec finition en briquettes de terre cuite. Selon l’Avis Technique du procédé, l’ossature du bardage est solidarisée à la structure porteuse, généralement en béton en maçonnerie, par des pattes-équerres. Mais, ici, la difficulté est de fixer le bardage sur la façade existante qui n’est pas en béton. Impossible de l’accrocher sur les briques qui n’ont pas une résistance suffisante. Reste la structure métallique en fer puddlé, le même matériau que celui de la tour Eiffel. Les profilés verticaux et horizontaux de l’ossature sont constitués de lames de fer assemblées en cinq ou six couches par des rivets. L’idée du président de l’entreprise, Hugues Béchet, et de ses équipes est de réaliser une structure intermédiaire fixée sur les montants verticaux en fer et qui supporte le complexe de bardage. Des poutres epsilon en acier de 9 m de longueur sont boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux en fer puddlé de la façade. Neuf rangs de rails sont ainsi répartis sur la hauteur de la façade. Puis des tubes carrés de 50 x 50 mm sont vissés horizontalement sur ces profilés tous les mètres pour constituer un système de poutre treillis sur toute la façade. La structure est prête pour recevoir les rails en aluminium du système de façade ventilée StoVentec SCM. Cette dérogation à l’Avis Technique est soumise au bureau d’études structure du projet, au service technique de Sto ainsi qu’au bureau de contrôle Veritas qui valident la solution proposée après avoir vérifié que cette sous-structure ne subirait pas de déformations au-delà de ce que peut accepter ce parement. Après des tests in situ, le chantier peut enfin commencer. L’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur de façade est recouvert de la structure primaire. Un réseau de rails horizontaux en aluminium supporte des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixé directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage StoColl KM FR avant d’être jointoyées avec un produit adapté. Pour absorber les dilatations du métal, le nombre de fractionnements des plaques de bardage est revu à la hausse. Les panneaux habituels de 6 x 10 m sur des constructions en béton sont ici réduits à 6 x 6 m. Une autre innovation du chantier concerne le recoupement feu imposé aux façades ventilées par l’instruction technique IT 249. Il est ici réalisé avec un dispositif invisible de l’extérieur en remplacement de la bavette acier débordante. En cas d’incendie, cette bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité s’expanse pour compartimenter la lame d’air. Au rez-de-chaussée côté rue, la façade ventilée est remplacée par le système d’ITE StoTherm Vario associant un isolant en polystyrène graphité avec une finition en briquettes. Quant à la façade sur cour, elle est doublée sur toute sa longueur d’une verrière qui empêche la pose au sol de tout échafaudage. Il est également impossible de fixer un échafaudage en encorbellement sur la façade peu résistante. L’entreprise Béchet a donc dû faire preuve d’ingéniosité en soudant des consoles métalliques sur les fers verticaux, ces consoles reprenant un seul pied d’échafaudage tous les 9 m, puis en renforçant l’échafaudage de diagonales pour assurer sa tenue. Les consoles, dont la fixation soudée se trouvait, après travaux, derrière l’isolant, servent de support à des plateformes définitives recevant les appareils de climatisation du bâtiment. En juin 2019, après un an de travaux, le bâtiment a retrouvé son allure d’antan.
Il y a 5 ans et 209 jours

Démolition : quelles sont vos obligations ?

Lorsque vous prenez la décision de démolir un bâtiment partiellement ou intégralement, il est important que vous respectiez certaines obligations, que vous soyez maître d’ouvrage ou propriétaire. Les diagnostics et règles à respecter avant une démolition ont pour but de limiter les risques de pollution et de protéger les personnes environnantes. Cet article vous en dit plus. Le permis de démolir Le permis de démolir est obligatoire pour mettre à exécution tous projets de démolition. C’est une autorisation administrative qui donne le droit d’effectuer une démolition partielle ou totale d’un bâtiment situé dans un territoire protégé. Cependant, cette autorisation n’est valide que durant 2 ans. Comment obtenir le permis de démolir ? Le permis de démolir est délivré par le maire qui dirige la commune dans laquelle vous souhaitez effectuer les travaux. Les composants du dossier que vous aurez à fournir vont varier en fonction de votre projet (une démolition sans reconstruction ou une démolition avec reconstruction). Une fois le permis en main, assurez-vous d’être bien préparé en faisant appel à une entreprise de démolition. Le diagnostic amiante et le diagnostic plomb avant les travaux La réalisation de ces diagnostics est exigée en fonction de l’âge de la construction à démolir. Le diagnostic amiante par exemple est réservé aux constructions bâties avant juillet 1997. Il consiste à repérer la présence de l’amiante dans les matériaux avariés. Ce diagnostic est obligatoire vu qu’il a pour but d’assurer la bonne santé des ouvriers. Il s’effectue en trois étapes principales : Le repérage ; Le retrait des matériaux contenant de l’amiante ; La gestion de l’amiante. Le diagnostic plomb quant à lui, concerne les constructions dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1948. Il consiste à évaluer et prévenir les risques liés à la forte quantité de plomb présent dans la peinture et les autres matériaux de construction. Le diagnostic termites avant travaux Dans certaines régions, les termites sont fréquents. Elles attaquent généralement les bois de la charpente et provoquent leur fragilité. Le diagnostic termites permet donc de prévenir les risques d’effondrement lors des travaux de démolition. Même si elles n’en ont pas l’air, les termites sont nuisibles. Donc, vous ne devez pas prendre à la légère ce diagnostic. D’ailleurs, n’hésitez pas à le confier à un professionnel certifié. Un conseil : si vous êtes apprenti bricoleur et vous souhaitez apprendre à construire une maison, vous devez avoir les aptitudes pour réaliser ce diagnostic. La gestion des déchets de démolition Avant d’entamer les travaux de démolition, il est important de passer en revue la question concernant la gestion des déchets issus du chantier. En France, le code de l’environnement veut que ce soit le maître d’ouvrage qui s’en charge. Ce dernier se doit de faire appel à un diagnostiqueur professionnel. Cependant, il ne suffit pas de réaliser un diagnostic de déchets pour être tiré d’affaire. Le maître d’ouvrage doit suivre le processus de gestion des déchets afin qu’elle soit menée à bien. Enfin, si vous avez un projet de démolition, sachez qu’il n’est pas seulement obligatoire de respecter ces obligations. Elles sont faites pour garantir un environnement sain.
Il y a 5 ans et 216 jours

"De l'indignité à l'habitabilité" du logement : ce que dit le rapport Vuilletet

HABITAT INDIGNE. Le député (LREM) Guillaume Vuilletet a remis le 8 octobre 2019 au gouvernement son rapport sur la lutte contre l'habitat indigne. Appelant à revoir de fond en comble une législation éparse, le parlementaire propose d'unifier les outils de suivi, de diagnostic, de traitement mais aussi le jeu d'acteurs.
Il y a 5 ans et 216 jours

Faux diagnostics amiante : la DGCCRF ouvre une enquête

FRAUDE. Des riverains sont victimes de fausses propositions de diagnostic amiante ou de diagnostic de la qualité de l'air intérieur, à la suite de l'incendie de l'usine Lubrizol, à Rouen. La DGCCRF alerte et annonce avoir ouvert une enquête.
Il y a 5 ans et 217 jours

EDF ENR dépasse les 2 000 centrales solaires monitorées

EDF ENR assure le suivi quotidien à distance des données de production de plus de 2 000 sites professionnels pour un total de 190 MWc, grâce à son Centre de Contrôle basé à Limonest (69). Une équipe de 7 Experts Superviseurs veille ainsi au bon fonctionnement des installations photovoltaïques 7j/7 grâce à un logiciel d’exploitation spécialement développé par EDF ENR. Ce logiciel est composé d’algorithmes intelligents pour détecter les anomalies de sous-performance d’une installation. Un développement interne qui garantit la maîtrise totale de l’évolution du logiciel et l’amélioration continue des paramètres d’analyse. Les données de production sont analysées en continu pour détecter au plus vite les incidents, réaliser un pré-diagnostic en salle de contrôle, dépanner si possible en ligne et déclencher une intervention de maintenance préventive ou corrective ciblée si nécessaire.
Il y a 5 ans et 223 jours

Chryso Tera, un offre d’adjuvants pour la production de voussoirs

L’offre Chryso Tera se concentre sur 3 indicateurs de performances spécifiques à la production de voussoirs de tunnels. [©Chryso] Avec l’offre d’adjuvants Chryso Tera, l’industriel Chryso propose des produits et un service dédiés à la fabrication de voussoirs pour tunnels. Cette offre se distingue par sa capacité à répondre aux critères spécifiques du tunneling et par son service sur mesure : Chryso Tera Lab.  En plus des indicateurs de performance traditionnels du béton, l’offre Chryso Tera se concentre sur 3 indicateurs de performances spécifiques à la production de voussoirs. Tout d’abord, la bonne mise en place du béton (optimisation du remplissage du moule, comportement à la vibration). Ensuite, le nivellement du béton (moules arrondis, obtention d’une surface homogène). Enfin, la qualité de la finition (qualité des parements, facilité de talochage du béton). Petit plus, le Chryso Tera Lab constitue un accompagnement personnalisé, de la phase de diagnostic à la finalisation du projet, afin d’optimiser sa production. Ainsi, des experts techniques de l’industriel conseillent les clients pour répondre aux problématiques de fabrication et aux contraintes chantiers associées. Cette nouvelle offre de service se caractérise par une série d‘essais réalisés en laboratoire. Trois tests ont été réalisés pour le développement d’adjuvants : Tera Sim, Tera Finish et Tera Compac. 
Il y a 5 ans et 236 jours

Une 3e usine pour Toupret

Dédié à la production d’enduits, le nouveau site de Toupret sera mis en service en avril 2020. [©Toupret] Toupret débute l’année en force avec l’annonce d’une 3eusine en France. « Ce nouveau site industriel va nous permettre de faire face à la forte progression de notre groupe sur le marché européen de l’enduit,explique Gary Haworth, Dg de Toupret. Notamment sur les gros volumes et sur les enduits en pâte. Afin d‘accompagner notre stratégie offensive, nous avons prévu des équipements de dernière génération. Nous permettant ainsi, d’améliorer notre productivité et d’optimiser notre service logistique. »En effet, avec 55 M€ de chiffre d’affaires, Toupret a connu un fort développement de ses activités et de ses investissements. Après Corbeil-Essonnes (91) et Estivareilles (42), le groupe s’installe à Tigery, dans l’Essonne. Ce nouveau site industriel de 40 000 m2 est composé d’une usine de fabrication d’enduits en pâte et d’entrepôts. Il portera la capacité de stockage de Toupret à 17 000 palettes. Si la construction des bâtiments devrait s’achever d’ici la fin de l’année, les plus curieux peuvent, d’ores et déjà, avoir un aperçu du chantier. Le groupe a mis en place un système de suivi, avec survol de drone et une caméra Time-Lapse , qui filme le chantier en temps réel. « De plus en plus utilisés dans le secteur du BTP, ces outils servent à l’observation des bâtiments. Mais aussi aux diagnostics d’étanchéité, de thermique ou encore pour l’état des façades. Les informations recueillies pourront faire vivre à chaque collaborateur ce projet d’entreprise. » La mise en service des lignes de production est prévue pour avril 2020. 
Il y a 5 ans et 238 jours

Le repérage amiante, deux fois touché mais pas coulé

ANALYSE. Le repérage amiante avant travaux dans les bâtiments, à peine passé dans la loi via un arrêté, a été en partie vidé de sa substance après avoir été attaqué plus ou moins directement par deux sociétés de diagnostic immobilier. Les organisations professionnelles de la filière appellent les pouvoirs publics à réagir rapidement pour rétablir l'exigence initiale du dispositif.
Il y a 5 ans et 243 jours

Appel à manifestation d'intérêt n°2

Sélection et accompagnement de groupements en charge de concevoir des solutions de réhabilitation globale – Perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Le CSTB, en partenariat avec l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) et URBANIS, sont porteurs du projet RénoStandard, développé dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. PROFEEL est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé par le gouvernement. Le projet RénoStandard : Démultiplier les prises de décisions sur la typologie des maisons individuelles standardisées Le projet RénoStandard vise à développer, concevoir et engager le déploiement de solutions « types » de réhabilitation, optimisées pour quelques gammes de maisons standardisées, notamment au sein du parc résidentiel privé. Ces solutions seront adaptées aux spécificités des logements à rénover. Par l'adjectif “standardisé”, il s'agit de logements pour lesquels il existe une forme de réplicabilité de la construction, du potentiel de transformation et des solutions de réhabilitation. L'amélioration de la performance énergétique et environnementale est clairement ciblée. Ces composantes sont cependant et évidemment à intégrer dans le cadre d'une approche globale, transverse de la réhabilitation et possiblement du développement d'une forme de préfabrication, d'où l'intérêt aussi pour la réplicabilité. Les acteurs concernés RénoStandard s'adresse à l'ensemble des professionnels au contact des particuliers dans le cadre du marché de la rénovation énergétique : aux opérateurs qui portent des offres de rénovation ou d'accompagnement à la rénovation, aux collectivités et aux acteurs des services publics qui œuvrent pour la rénovation des maisons individuelles, mais aussi, aux prescripteurs, aux assistants à maitrise d'ouvrage et aux maitres d'œuvre. Les résultats attendus Concevoir et déployer - pour quelques gammes de maisons individuelles standardisées - des solutions types de réhabilitation optimisées, possiblement dans une perspective de préfabrication. Construire l'adaptation des solutions types aux enjeux spécifiques des logements à réhabiliter et des attentes des occupants et des projets portés par les particuliers : offrir une « certaine gamme de sur-mesure » à partir de solutions « prêt-à-porter », à l'aide d'un diagnostic transverse du logement et d'outils d'aide à la décision (notamment numériques) ; Développer une approche transversale/multicritère du diagnostic et de la définition de solutions de réhabilitation énergétique. Évaluer les performances effectives des ouvrages. Initier le déploiement territorial de cette offre de réhabilitation énergétique, à partir de solutions types optimisées, sur le résidentiel diffus. Les conditions de participation Le projet s'appuie sur deux Appels à Manifestation d'Intérêts (AMI) successifs. Le premier a été lancé en juillet 2019 et portait sur l'identification de maisons individuelles « standardisées ». AMI n°2 - Solutions de réhabilitation globale et perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Date de clôture : 22/10/2019 Attentes Ce second AMI s'adresse en particulier à des entreprises, ainsi qu'à des groupements déjà constitués, qui souhaitent développer une offre de solutions de réhabilitation. @CMIstes, industriels, architectes, bureaux d'études, entreprises de maîtrise d'œuvre, centres de R&D, conseillers territoriaux, entreprises de coordination d'acteurs, etc. : cette démarche vous permettra de collaborer sur des terrains d'expérimentation, tout en bénéficiant d'un accompagnement technique et financier du CSTB et de ses partenaires. Nous cherchons à identifier et accompagner plusieurs groupements de « concepteurs » en charge de l'élaboration de solutions de réhabilitation globale pour les modèles de maisons sélectionnés grâce à l'AMI n°1. Les réhabilitations visées se veulent globales, en une seule ou en plusieurs étapes, intervenant aussi bien sur les éléments d'enveloppe que sur les systèmes CVC. Les solutions devront présenter un fort potentiel de réplicabilité. Les groupements devront considérer plusieurs aspects : performances énergétiques et environnementales, enjeux techniques et économiques dont perspectives de pré-industrialisation ou préfabrication, enfin enjeux sociétaux / architecturaux / patrimoniaux. Les candidatures avec des composantes sur la préfabrication ou pré-industrialisation de solutions seront étudiées avec attention, ainsi que celles qui exploreront les enjeux liés aux outils ou aux process d'accompagnement et d'aide à la prise de décision des maîtres d'ouvrage. Les groupements sélectionnés bénéficieront d'un accompagnement technique des équipes du CSTB et de ses partenaires. Ils pourront également bénéficier d'un financement, adapté selon les cas. Cet appui financier et technique constitue une opportunité pour les groupements retenus de développer leurs activités de réhabilitation des maisons individuelles tout en limitant leurs risques. Pour déposer votre candidature : Consulter le cadrage complet de l'AMI > Cadrage de l'AMI Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet avant le 22/10/2019 > à l'adresse suivante : renostandard_ami2@cstb.fr Pour en savoir plus : Conditions de participation de l'AMI n°1 : Identification de maisons individuelles “standardisées” Le projet RÉNOvation globale et amélioration énergétique de maisons individuelles STANDARDisées - Fiche Le programme Profeel - site Internet
Il y a 5 ans et 256 jours

Remédier au manque d’étanchéité de façades complexes en béton brut

Un ensemble de logements sociaux d’à peine cinq ans subit des infiltrations d’eau. Pour remédier au manque d’étanchéité des façades complexes en béton brut, Sto est le seul industriel à s’engager sur un système d’imperméabilité I4, associé à une étanchéité liquide sur les coursives. A la périphérie nord-ouest de Rennes (Ille-et-Vilaine), les Allées du Parc sont un vaste ensemble résidentiel livré en 2012 au bailleur social Neotoa. Les façades expriment la trame structurelle en béton brut, avec des parties lasurées de la couleur du grès brun-rouge local. Tout allait pour le mieux pour les résidents, jusqu’à ce qu’ils découvrent des infiltrations d’eau dans leurs logements. Les bâtiments prennent l’eau de toutes parts. L’eau pénètre notamment dans les interstices créés par les escaliers extérieurs, les coursives et les multiples points singuliers des façades. La moisissure envahit les plaques de plâtre du doublage. Les désordres sont tels que certains locataires souhaitent quitter les lieux et demandent d’être relogés dans d’autres résidences. Une quarantaine d’appartements doivent ainsi être rénovés. Début 2016, suite à un appel d’offres de maîtrise d’oeuvre, Neotoa choisit l’architecte rennais Olivier Fassot (Atelier Fassot Architecture) pour établir un diagnostic et conduire une opération de remise en état des façades et des logements impactés par les désordres. L’architecte répertorie une dizaine de pathologies différentes associées à des points singuliers tels que les modénatures, les joints de désolidarisation, les coursives, les escaliers, les garde-corps… et élabore un mode opératoire pour traiter chacune d’elles. Il fait appel à quatre fabricants de produits d’imperméabilité de façade pour l’aider dans sa préconisation du revêtement. Un seul accepte de s’engager : Sto. Les points singuliers sont identifiés : le béton brut est en partie recouvert d’une lasure et, surtout, les parties courantes ne peuvent pas être revêtues d’un produit d’imperméabilité I4 classique en raison des nombreuses modénatures qui empêchent de dérouler une toile de verre d’armature sur l’ensemble. Avec l’appui de la direction technique de Sto et après plusieurs visites sur le site, le représentant local Frédéric Dourdain propose une alternative au système d’imperméabilité I4 Irtop : il s’agit d’intégrer au revêtement un voile de verre qui s’interrompt à la rencontre des reliefs de la façade en assurant la continuité au niveau des joints avec un mastic polyuréthane et un doublement de l’épaisseur de la couche de fond. Les sols de coursives seront quant à eux revêtus d’un système d’étanchéité liquide (SEL). Le tout en soignant particulièrement les jonctions entre les deux types de revêtements. Surface de façade traitée : 8 000 m2 Maître d’ouvrage : Neotoa (ex Habitat 35) Maître d’oeuvre : Atelier Fassot Architecture Entreprise applicatrice : Goni S.A.S  
Il y a 5 ans et 259 jours

"Passoires thermiques" : le gouvernement ne rassure pas les ONG

SOCIAL. Parmi les huit mesures d'urgence présentées ce mardi 27 août au Premier ministre par les 19 ONG signataires du Pacte du pouvoir de vivre figurait l'interdiction, dès 2021, de louer des logements classés F ou G dans les diagnostics de performance énergétique.
Il y a 5 ans et 285 jours

Opposabilité du DPE : "C'est dans la continuité de l'activité de diagnostiqueur"

RÉACTION. La loi Elan rend opposable le diagnostic de performance énergétique à l'horizon 2021. Stéphane Prouzeau, vice-président de la Fédération interprofessionnelle du diagnostic immobilier (Fidi), répond aux questions de Batiactu, et revient sur des critiques formulées récemment sur son métier.
Il y a 5 ans et 286 jours

Certification amiante: le flou entoure la décision du Conseil d’Etat

Dans une décision rendue le 24 juillet dernier, la haute juridiction a annulé l’arrêté du 25 juillet 2016 qui fixe les critères de compétences des personnes chargées de réaliser les diagnostics amiante. Une situation qui laisse le secteur dans l'expectative.
Il y a 5 ans et 288 jours

Publication de l'arrêté repérage amiante avant travaux pour les immeubles bâtis

À compter du 19 juillet 2019, le repérage amiante avant travaux devient obligatoire dans tous les bâtiments construits avant 1997. Désormais particuliers et professionnels sont dans l’obligation de faire systématiquement réaliser ce repérage avant la réalisation de travaux afin d’assurer la sécurité et la santé des occupants et des intervenants sur le chantier. Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et du BIM accompagne les particuliers et les professionnels face à leurs nouvelles obligations.
Il y a 5 ans et 295 jours

Repérage de l’amiante avant travaux

L’arrêté du 16 juillet 2019 « relatif au repérage de l’amiante avant certaines opérations réalisées dans les immeubles bâtis » vient de paraître. Attendu par les professionnels depuis plusieurs mois, il vient consolider le décret du 9 mai 2017 qui rendait effective l’obligation de Repérage Amiante avant Travaux (RAT). L’arrêté précise les modalités de réalisation du repérage, le contenu du rapport, les mesures à mettre en œuvre en cas d’impossibilité de réaliser le repérage, les compétences de l’opérateur de repérage, etc. Fini le perçage, le ponçage ou le remplacement d’une faïence sans connaître la nature des matériaux présents dans son habitation. Désormais lors de travaux à la maison, dans un immeuble d’habitation collective, dans un bâtiment tertiaire ou autre, le propriétaire, le maître d’ouvrage ou le donneur d’ordre devra faire réaliser un RAT portant sur le périmètre et le programme exact des travaux, et faire intervenir des entreprises qui respectent leurs obligations en matière de prévention du risque amiante (« Sous-section 4 » du Code du travail) et de protection de leurs collaborateurs. Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et du BIM accompagne les particuliers et les professionnels face à leurs nouvelles obligations. Texte de l’arrêté…    
Il y a 5 ans et 303 jours

Appel à manifestation d'intérêt Programme CEE PROFEEL RénoStandard

Recherche de terrains d'expérimentations et modèles de maisons individuelles standardisées Le CSTB, en partenariat avec l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) et URBANIS, sont porteurs du projet RénoStandard, développé dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. PROFEEL est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé par le gouvernement. Le projet RénoStandard : Démultiplier les prises de décisions sur la typologie des maisons individuelles standardisées Le projet RénoStandard vise à développer, concevoir et engager le déploiement de solutions « types » de réhabilitation, optimisées pour quelques gammes de maisons standardisées, notamment au sein du parc résidentiel privé. Ces solutions seront adaptées aux spécificités des logements à rénover. Par l'adjectif “standardisé”, il s'agit de logements pour lesquels il existe une forme de réplicabilité de la construction, du potentiel de transformation et des solutions de réhabilitation. L'amélioration de la performance énergétique et environnementale est clairement ciblée. Ces composantes sont cependant et évidemment à intégrer dans le cadre d'une approche globale, transverse de la réhabilitation et possiblement du développement d'une forme de préfabrication, d'où l'intérêt aussi pour la réplicabilité. Les acteurs concernés RénoStandard s'adresse à l'ensemble des professionnels au contact des particuliers dans le cadre du marché de la rénovation énergétique : aux opérateurs qui portent des offres de rénovation ou d'accompagnement à la rénovation, aux collectivités et aux acteurs des services publics qui œuvrent pour la rénovation des maisons individuelles, mais aussi, aux prescripteurs, aux assistants à maitrise d'ouvrage et aux maitres d'œuvre. Les résultats attendus Concevoir et déployer – pour quelques gammes de maisons individuelles standardisées – des solutions types de réhabilitation optimisées, possiblement dans une perspective de préfabrication. Construire l'adaptation des solutions types aux enjeux spécifiques des logements à réhabiliter et des attentes des occupants et des projets portés par les particuliers : offrir une « certaine gamme de sur-mesure » à partir de solutions « prêt-à-porter », à l'aide d'un diagnostic transverse du logement et d'outils d'aide à la décision (notamment numériques) ; Développer une approche transversale/multicritère du diagnostic et de la définition de solutions de réhabilitation énergétique. Évaluer les performances effectives des ouvrages. Initier le déploiement territorial de cette offre de réhabilitation énergétique, à partir de solutions types optimisées, sur le résidentiel diffus. Les conditions de l'AMI Le projet s'appuie sur deux Appels à Manifestation d'Intérêts (AMI) successifs : Juillet 2019 / AMI n°1 : Identification de maisons individuelles “standardisées” Attentes Nous recherchons des terrains d'expérimentations, chacun proposant un modèle type de maisons individuelles standardisées. Ces maisons d'un même modèle peuvent être regroupées à l'échelle d'un même quartier ou distribuées à une plus grande échelle territoriale. Les résultats du présent AMI n°1 constitueront la base de l'AMI n°2 : pour chacun des modèles de maisons individuelles standardisées qui aura été sélectionné, au moins une solution globale de réhabilitation énergétique sera conçue par un groupement, possiblement dans une perspective d'industrialisation, de préfabrication. Septembre 2019 / AMI n°2 : Solutions de réhabilitation globale et perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Attentes Ce second AMI visera ainsi à identifier et accompagner plusieurs groupements, incluant potentiellement les types d'acteurs suivants : entreprises de pose, bureaux d'études, architectes, industriels, maîtrise d'œuvre, centres de R&D, conseiller territoriaux, entreprises de coordination d'acteurs, CMistes impliqués fortement dans la rénovation, etc. Ces groupements pourront bénéficier d'un accompagnement technique et financier de la part des équipes compétentes du CSTB et de ses partenaires. @CMIstes, industriels, architectes, bureaux d'études, entreprises spécialisées, conseillers territoriaux, cette démarche vous permet de proposer des maisons existantes « standardisées » pour lesquelles vous cherchez déjà à définir ou expérimenter des solutions de rénovation. Pour déposer votre candidature : Consulter le cadrage complet de l'AMI > Cadrage de l'AMI Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet avant le 31/08/2019 > à l'adresse suivante : renostandard_AMI1@cstb.fr Pour en savoir plus : Le projet RÉNOvation globale et amélioration énergétique de maisons individuelles STANDARDisées - Fiche Le programme Profeel – site Internet
Il y a 5 ans et 315 jours

AC Environnement sélectionné pour des diagnostics avant travaux et démolition en vue des Jeux d’été de Paris

Leader du diagnostic immobilier en France et du BIM, le groupe AC Environnement a remporté le marché public SOLIDEO d’une durée de 6 ans pour la réalisation des diagnostics avant démolition et réhabilitation de bâtiments situés en Seine-Saint-Denis.
Il y a 5 ans et 320 jours

Vingt-deux ans après, l'amiante provoque 1100 cancers mortels par an

Selon un rapport de l’Agence nationale de santé publique, la part des personnes atteintes de mésothéliome pleural ayant exercé au moins un emploi dans le BTP ne cesse d'augmenter pour atteindre 50% en 2016. La hausse est plus sensible chez les femmes grâce à l’amélioration des moyens de diagnostics.
Il y a 5 ans et 323 jours

La filière veut améliorer la gestion des déchets du bâtiment

Dans le cadre du projet de loi Économie circulaire, quatorze organisations professionnelles représentant les filières du bâtiment et du déchet (maîtrises d’ouvrage, fabricants de matériaux, distributeurs, entreprises de travaux, entreprises de traitement des déchets) se sont associées pour répondre collectivement à l’objectif d’amélioration de la collecte et de meilleure valorisation des déchets du bâtiment. Elles se sont fixé quatre priorités : une meilleure traçabilité des déchets ; un maillage territorial des points de collecte plus efficient ; le développement des filières de recyclage et de valorisation et la réduction des dépôts sauvages. Sur la base d’un état des lieux approfondi, il apparaît que la mise en place d’une responsabilité élargie du producteur (REP) bâtiment globale et d’une gratuité de la reprise générale (mesure 33 de la FREC) ne constitue pas une réponse appropriée à la problématique. Elles recommandent une approche de la problématique plus fine que celle préconisée par la mesure 33, reposant une identification préalable des flux et filières pour lesquels un accompagnement structurel est véritablement nécessaire, une approche plus souple pour ceux qui proposent d’ores et déjà des schémas pertinents de circularité et un recours plus systématique à l’expérimentation. La filière propose la mise en place avec l’État d’un contrat d’engagement pour la croissance verte (ECV) portant sur l’ensemble des déchets du bâtiment. Il permettra de mieux cibler les moyens, de mieux coordonner les actions et d’introduire de nouveaux objectifs, notamment sur certains déchets non dangereux triés. Exemples de mesures concrètes qui seraient mises à l’agenda de cet ECV : – la création d’un système de traçabilité national centralisé pour réduire les dépôts sauvages ; – la création de nouveaux points d’apport dans les zones de carence en prenant en compte les contraintes pesant sur les entreprises ; – une fiabilisation du diagnostic « déchets » pour les chantiers concernés ; – la mise en place d’outils de reporting détaillé sur la performance de gestion des déchets de chantiers pour la maîtrise d’ouvrage professionnelle ; – l’interdiction de prendre en compte la gestion des déchets dans le compte prorata. Afin de lever les freins économiques de certaines filières de recyclage, les 14 organisations professionnelles proposent de travailler avec les pouvoirs publics à la conception d’un financement permettant d’expérimenter la reprise sans frais des déchets triés sur quelques familles de matériaux choisis pour leur potentiel de recyclabilité. Cette approche permettrait de mesurer les conséquences de la gratuité et la pertinence vis-à-vis des quatre enjeux identifiés, ceci afin d’adapter le dispositif voire de traiter de nouveaux déchets.
Il y a 5 ans et 328 jours

DPE, RGE, RE2020 : le plan bâtiment durable fait le point

BILAN. Le Plan bâtiment durable a effectué un point sur l'état d'avancement de nombreux dossiers, comme le diagnostic de performance énergétique, le label RGE ou encore la réglementation environnementale 2020. Détails.