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Résultats de recherche pour maison individuelle

(2224 résultats)
Il y a 4 ans et 25 jours

Un contrat CCMI digital développé par la Capeb

La Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (Capeb) vient de développer le premier Contrat de Construction d'une Maison Individuelle (CCMI) 100 % digital afin de permettre aux artisans du bâtiment d'accéder au marché réglementé de la construction individuelle.
Il y a 4 ans et 25 jours

L’ITE garde le cap et poursuit sa progression

Malgré le ralentissement des chantiers entre mars et juin 2020, le marché de l’isolation thermique extérieure reste positif sur l’année 2020, poussé par le collectif. Aujourd’hui, la demande s’accroît sur la maison individuelle et les copropriétés.
Il y a 4 ans et 26 jours

Construction de maisons individuelles : bientôt un contrat rédigé par un robot

La Capeb lance le premier Contrat de construction maison individuelle « intelligent » pour simplifier l’accès des artisans au marché de la construction individuelle.
Il y a 4 ans et 27 jours

Solaire thermique : les promesses du chauffage solaire direct selon SolisArt

Parmi les 1000 solutions techniques labellisées par la Fondation Solar Impulse, SolisArt présente une technologie prometteuse de chauffage solaire direct en maison individuelle et en collectif.
Il y a 4 ans et 27 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 27 jours

Brink Flair 225, nouvelle centrale de ventilation double flux compacte

L’importance d’une ventilation équilibrée dans les logements et les bâtiments n’est plus à démontrer. La présence continue d’un air sain et propre dans un logement est un facteur vital. Surtout quand on sait que l’être humain fait plus de 25.000 mouvements respiratoires en 24h. Notre ambition est de garantir un air de la qualité et de la pureté les meilleures qui soient. Seule une ventilation équilibrée avec récupération de chaleur double flux (VMC double flux) garantit une qualité d’air optimale. Ce mode durable de ventilation constante est une technique efficace pour garantir un air frais, sain et filtré dans tout le logement.La Flair 225 est une centrale de ventilation mécanique double flux compacte très haut rendement idéale pour les projets de maisons individuelles ou appartements hautes performances d’une surface inférieure à 120 m2. Modèle de petite taille, facilement logeable dans un petit local technique et avec un débit d’air jusqu’à 225 m3/h, la centrale affiche des consommations moteurs parmi les plus faibles du marché : 0.17 Wh/m3 selon EN13141-7 et 0.25 Wh/m3 selon PassivHaus Institute et des rendements thermiques de 92% selon EN13141-7 et 89 % % selon PassivHaus Institute.Tous les modèles de la Flair sont uniques de par leur compacité extrême et plus particulièrement, la Flair 225. Cet appareil est tout désigné pour les appartements et maisons d’une surface inférieure à 120 m2 et est un choix intelligent lors du remplacement d’un équipement de VMC double flux usagé. La diversité des modèles garantit une grande flexibilité de configuration. La Flair 225 est disponible en modèles gauche et droite avec 4 raccordements au-dessus (4/0). Chaque appareil peut être équipé d’un Plus-print en option offrant plus de possibilités de connexion.Une centrale compacte et performanteLes avantages :Simplicité d’installationPerformances de rendement et de consommations moteurs remarquablesFonctionnement ultra silencieuxPré-chauffeur électrique de série
Il y a 4 ans et 32 jours

Le contrat de construction de maison individuelle entièrement numérique est né

CONTRATS. Porté par la Capeb et conçu par Immosign, un CCMI "100% digital" vient d'être mis sur le marché. L'objectif : simplifier la vie des constructeurs et permettre aux artisans de se saisir du marché, seuls ou en groupements.
Il y a 4 ans et 33 jours

La CAPEB développe le 1er Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100% digital et intelligent

Cet outil inédit développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire pour accompagner les petites entreprises artisanales du bâtiment vers une transition numérique adaptée aux besoins du métier. A noter que les 300 premiers contrats seront offerts par la CAPEB à ses adhérents concernés.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, il n’a jamais été aussi urgent d’accélérer la digitalisation du secteur de l’artisanat du bâtiment. C’est pourquoi, dans le cadre de la mise à jour du Contrat de Construction d’une Maison individuelle (CCMI), la CAPEB a souhaité innover en développant un outil inédit 100% digital et intelligent, le premier et le seul sur le marché ! Cet outil va faire gagner du temps aux entreprises et permettra de les engager durablement dans la transition numérique. C’est également un pas de plus vers la RSE puisque le contrat ainsi rédigé sera plus intelligible et transparent pour le client. En outre, les entreprises qui le souhaitent pourront également choisir d’intégrer une clause précisant qu’elles s’efforceront de participer à l’économie locale en recourant à une main-d’œuvre proche des chantiers et des matériaux régionaux. »Un contrat intelligent avec assistance en ligne pour faciliter les démarches des artisansCe dispositif permet aux utilisateurs de renseigner le contrat de construction d’une maison individuelle, rendu obligatoire par la loi de 1990, en ligne de façon totalement personnalisée et adaptée à l’ouvrage à construire. La digitalisation de ce dispositif permet à l’artisan d’être guidé tout au long de sa démarche grâce à une assistance en ligne qui aide l’artisan à renseigner les clauses. Concrètement, des éléments d’information sont fournis à chaque étape du formulaire par l’artisan afin de permettre la rédaction automatique et intelligente de son contrat au plus près des réalités du terrain (ex : L’étude géotechnique est-elle obligatoire selon la zone géographique ? Si oui, quelles démarches et comment s’y prendre ?), ce qui représente un gain de temps significatif pour les entrepreneurs du bâtiment. De plus, le contrat tel que rédigé par la CAPEB et ImmoSign, est compréhensible pour tous non-juristes, artisans ou clients.Les artisans seront informés du fonctionnement de ce nouvel outil début mai 2021 grâce à des webinaires dédiés organisés avec les CAPEB départementales en partenariat avec les collaborateurs d’ImmoSign présents sur le territoire. Celles-ci pourront gérer les ouvertures et les fermetures de compte au profit de leurs adhérents (ou des entreprises non adhérentes si elles le souhaitent, selon les conditions qu’elles définiront) et expliquer aux entreprises comment utiliser facilement cet outil. Une hotline, basée à Caen, est également prévue pour accompagner les utilisateurs en cas de besoin. Une fois le compte de l’utilisateur ouvert, le chef d’entreprise pourra se servir de cet outil sans limitation de temps ni du nombre d’utilisations.Irwin Baron, Directeur juridique d’ImmoSign : « Depuis longtemps, le juridique est considéré comme « quelque chose qui empêche », qui contraint les affaires. C’est ainsi que nous rencontrons ces pages noircies de clauses dont personne ne connaît ni ne lit plus le contenu. Les choses changent grâce au numérique ! Aujourd’hui, les LegalTech contribuent à rendre intuitive la rédaction juridique et l’application du droit au quotidien. D’une contrainte chronophage, le juridique devient un élément moteur pour l’entreprise. Il contribue à sa bonne administration, à une relation apaisée avec le client, et même à ouvrir à de nouveaux marchés. Encore convient-il que ces outils se démocratisent et soient à accessibles à toutes les entreprises. C’est notre raison d’exister, à ImmoSign : proposer des outils performants quelle que soit la taille de l’entreprise comme nous le faisons aujourd’hui pour les artisans et petites entreprises de la CAPEB. Ce CCMI intelligent permettra l’ouverture du marché règlementé de la construction de maisons, de rassurer quant à la bonne gestion juridique des chantiers et de sécuriser les entrepreneurs comme leurs clients. De quoi, nous l’espérons, renverser la tendance et offrir au juridique l’opportunité de devenir une chance pour tous. »
Il y a 4 ans et 33 jours

Premier CCMI 100 % digital et intelligent

La Capeb vient de développer le tout premier Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100 % digital. Cet outil développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire pour accompagner les petites entreprises artisanales du bâtiment vers une transition numérique adaptée aux besoins du métier. Ce dispositif permet aux utilisateurs de renseigner le CCMI, rendu obligatoire par la loi de 1990, en ligne de façon totalement personnalisée et adaptée à l’ouvrage à construire. La digitalisation de ce dispositif permet à l’artisan d’être guidé tout au long de sa démarche grâce à une assistance en ligne qui aide l’artisan à renseigner les clauses. Concrètement, des éléments d’information sont fournis à chaque étape du formulaire par l’artisan afin de permettre la rédaction automatique et intelligente de son contrat au plus près des réalités du terrain. A noter que les 300 premiers contrats seront offerts par la CAPEB à ses adhérents concernés. 
Il y a 4 ans et 33 jours

Premier CCMI 100 % digital et intelligent

La Capeb vient de développer le tout premier Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100 % digital. Cet outil développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire&hellip;Cet article Premier CCMI 100 % digital et intelligent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 37 jours

Construire Hors Standard - Livre

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller &agrave; la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles &eacute;cologiques s&#39;&eacute;loignant des mod&egrave;les vendus cl&eacute;s en mains. A travers la mise en perspective de trente r&eacute;alisations, cette &eacute;tude est une invitation &agrave; penser et &agrave; fabriquer&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 38 jours

Pas de fac-similé pour la charpente de Notre-Dame de Paris

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller &agrave; la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles &eacute;cologiques s&#39;&eacute;loignant des mod&egrave;les vendus cl&eacute;s en mains. A travers la mise en perspective de trente r&eacute;alisations, cette &eacute;tude est une invitation &agrave; penser et &agrave; fabriquer&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 39 jours

Au bord de la Moselle, StudioLada livre une agora de bois

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller &agrave; la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles &eacute;cologiques s&#39;&eacute;loignant des mod&egrave;les vendus cl&eacute;s en mains. A travers la mise en perspective de trente r&eacute;alisations, cette &eacute;tude est une invitation &agrave; penser et &agrave; fabriquer&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 40 jours

« Montez le son, réglez les basses » : Watts invite les installateurs à fêter le début du Printemps avec sa traditionnelle opération de fidélité

Du 1er avril au 30 juin 2021, Watts organise dans les négoces son opération promotionnelle printanière sur les produits phares de ses marques Desbordes et Watts. A cette occasion, pour dynamiser les ventes de réducteurs de pression de la marque Desbordes en magasins, Watts propose aux professionnels une multitude de cadeaux en fonction de la quantité achetée. Selon le colis (4, 6, 8 ou 15 réducteurs de pression), ils peuvent ainsi recevoir une enceinte Sony, un vidéoprojecteur Kodak, ou encore une carte Watts Pro créditée de 1000 points à utiliser sur le site www.wattspro.fr destiné à récompenser la fidélité des installateurs. Cette opération promotionnelle concerne également les groupes de sécurité inox et les siphons SFR pour toute commande de 10 unités, ainsi que le kit de fixation ROBIFIX. Pour ce dernier, la marque a imaginé cette année un colis spécial contenant les 8 références nécessaires, à sertir ou à glissement, pour équiper une maison individuelle, et pour lequel elle offre une carte Watts Pro créditée de 300 points. Pour la première fois, Watts propose une nouveauté côté chauffage : pour tout achat de 15 purgeurs Minivent, les professionnels peuvent obtenir un très bel Opinel dans son étui. Enfin, pour relayer cette promotion du printemps, les clients trouveront à leur disposition, dans les points de vente, des flyers détaillant toutes les modalités pratiques de l’opération. http://www.wattswater.fr
Il y a 4 ans et 40 jours

A la cité-jardin de la Butte Rouge, d'abord on démolit, ensuite on classe !

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller &agrave; la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles &eacute;cologiques s&#39;&eacute;loignant des mod&egrave;les vendus cl&eacute;s en mains. A travers la mise en perspective de trente r&eacute;alisations, cette &eacute;tude est une invitation &agrave; penser et &agrave; fabriquer&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 44 jours

La Sélection Artisans : le nouveau guide Siniat pour des chantiers réussis

La Sélection Artisans : un guide pratique et astucieuxPensé pour accompagner l’artisan sur tous les chantiers, le guide La Sélection Artisans adopte un format malin et inédit : il se compose de 128 pages de format A5 reliées par une spirale. Pour accéder aisément à la solution recherchée, Siniat propose quatre rubriques (cloisons, doublages, plafonds et enduits) matérialisées par des onglets.Au sein de chaque rubrique, Siniat détaille, pour chaque système présenté, les grands principes de mise en œuvre. Des conseils pratiques baptisés «les astuces Siniat» permettent de traiter les points particuliers et de réaliser parfaitement les travaux. Des espaces pour la prise de notes ont également été prévus.Ce nouveau guide complète les services Siniat destinés aux artisans :Conseil Pro : une plateforme de conseillers techniques apportant des réponses rapides à toutes les questions (chantier, réglementation, nouveauté, mise en œuvre, recyclage...).Des formations techniques dispensées par des professionnels de la plâtrerie isolation, en présentiel ou en distanciel.Des outils digitaux disponibles sur siniat.fr tels que Memoplac, une application d’aide au choix de plaques techniques pour la maison individuelle, ou Procalcul, un outil de calcul pour estimer la quantité de matériaux nécessaires.Le guide La Sélection Artisans est disponible gratuitement dans les négoces en matériaux partenaires et sur le site internet de Siniat.
Il y a 4 ans et 46 jours

Industrialisation de la construction : Ipelec rachète AD-CA

ACQUISITION. Ipelec, spécialiste de la conception et de l'assemblage de kits électriques, hydrauliques et sanitaires pour les constructeurs de maisons individuelles annonce avoir racheté AD-CA, un expert des kits techniques à destination du marché des industriels de la construction.
Il y a 4 ans et 46 jours

Parution de l'étude "Roulépur" sur la rétention et la réduction des eaux pluviales rejetées

Les conclusions du programme d'évaluation « ROULEPUR », financé par l'agence de l'eau Seine-Normandie, l'Office Français de la Biodiversité (OFB) et ECOVEGETAL(1), montre, qu'à l'échelle annuelle, les parkings perméables retiennent jusqu'à 90% des eaux pluviales et réduisent, de plus de 80%, la majorité des polluants présents.Le programme de recherche « ROULEPUR » (2014-2020) avait pour but d'évaluer en conditions réelles la performance de solutions de rétention et de réduction à la source des polluants liés aux eaux de voiries et de parking. Rappelons que la question se pose avec acuité car chaque année c'est plus de 3,5 millions de m² qui sont goudronnés et donc imperméabilisés(2) et plus de 3 millions de m3 d'eaux pluviales, non traitées ou trop rarement, qui sont rejetées dans les rivières et à la mer(3).Dans le cadre de « ROULEPUR », plusieurs expériences, complémentaires l'une de l'autre, ont été mises en place par l'ensemble des partenaires techniques du programme. Notons, parmi celles-ci, l'expérience menée par ECOVEGETAL, le LEESU et le CEREMA, qui avait pour but de mesurer les capacités de rétention et de traitement des eaux pluviales polluées de différents types de systèmes de parkings perméables (végétalisés ou non) versus un parking imperméable.Lucie Varnède, docteure et ingénieure recherche chez ECOVEGETAL, a réalisé sa thèse dans le cadre du programme ROULEPUR. Elle explique les moyens matériels mis en place pour la mesure : « Nous étudions un parking ECOVEGETAL à Villeneuve-le-Roi réalisé il y a 7 ans, le parking perméable de l'entreprise ECOVEGETAL et des maquettes de simulation. »Pour les 20% d'événements où de l'eau s'écoule des drains des parkings perméables, la percolation de l'eau de pluie à travers les parkings perméables ECOVEGETAL permet d'écrêter les débits et de réduire significativement les débits de pointe en sortie de drains (entre 84 et 89%). ECOVEGETAL réalise la plupart des parkings perméables sans drains pour infiltrer la totalité des pluies. Pour l'expérience, les parkings lieux des mesures, ont été équipés de drains.L'évapotranspiration est aussi un élément important à prendre en compte dans la capacité des parkings perméables à gérer les eaux de pluies, avec des coefficients de ruissellement très faibles voire nuls en période estivale.L'étude ROULEPUR montre que pour la plupart des parkings perméables en France, il est possible d'infiltrer la totalité des pluies reçues, cela permettra une réalimentation des nappes phréatiques en milieu urbain.En ce qui concerne le traitement des polluants liés à l'écoulement des eaux pluviales, on observe que les parkings perméables permettent d'abattre plus de 80% des masses annuelles de 51 polluants.On pense, en particulier, aux concentrations en hydrocarbure aromatique polycyclique (HAP) lourds (générés, notamment, par la combustion des moteurs) et aux phtalates (utilisés essentiellement dans les plastiques en PVC). Les parkings perméables apportent également une solution pour le traitement de certains polluants comme les nonylphénol(4) ou encore le Bisphénol A(5), avec un abattement compris entre 20 et 80% selon les polluants.« Voilà autant de polluants que nous pourrions retenir pour éviter de polluer nos rivières et, par conséquence, la mer et les océans. Le développement des sols perméables est une urgence de premier plan pour gérer les eaux pluviales, réalimenter les nappes phréatiques et contribuer efficacement au rafraichissement du climat de nos villes. »Pierre Georgel – fondateur d'ECOVEGETAL(1)ECOVEGETAL, co-leader des toitures végétalisées, avec plus de 3 Millions de m² de toitures, et leader des parkings perméabilisés, avec plus de 4 millions de m², emploie 100 personnes réparties sur 4 sites de production en France. Son siège social est situé à Broué dans l'Eure et Loir (28).(2)Selon les déclarations de permis de construire enregistrées par les mairies en France métropolitaine. De plus, on estime que le total des surfaces bitumées chaque année pourrait s'élever à plus de 8 Millions de m² si on prend en compte les maisons individuelles et les parkings des villes, soit un département entier imperméabilisé tous les 10 ans.(3)Sources Bureau d'étude ECOVEGETAL(4)Nonylphénols sont des composés organiques utilisés en chimie. Ils sont théoriquement biodégradables mais toxiques.(5)Le Bisphénol est un composé organique utilisé dans la fabrication de résines et de plastiques. Il est considéré comme un perturbateur endocrinien.
Il y a 4 ans et 46 jours

Lauréats du concours d'architecture Archi Jeunes organisé par l'agence Valode &amp; Pistre

Archi Jeunes habiter, demainAu-delà du choc sanitaire et économique qu'elle provoque, la crise du COVID change notre vision de nombreux aspects de la vie collective et individuelle. Elle aura un impact à long terme sur nos comportements et en particulier ceux liés à notre façon d'habiter. Simultanément à cette crise, la prise de conscience des effets du réchauffement climatique et de la pollution de la planète dus aux activités humaines est de plus en plus largement partagée par la population.Une des conséquences de cette pandémie devra être l'impérative prise en compte, dans la conception de l'habitat, des nouvelles attentes sanitaires, sociales et environnementales, qui se sont fortement révélées à l'occasion de cette crise.Les architectes Denis Valode et Jean Pistre pensent qu'il est nécessaire et utile d'ouvrir le débat à une nouvelle génération d'architectes, pour imaginer de nouvelles formes d'habitat. Conscients aussi des difficultés d'insertion professionnelle de cette jeune génération, directement impactée par les effets de la crise sanitaire (quasi absence de stages, formation à distance…), ils ont souhaité agir concrètement pour tendre la main aux talents de demain.En organisant le prix « Archi Jeunes », l'agence Valode & Pistre souhaite donner la parole aux étudiants en architecture en fin d'études ou tout récemment diplômés, qui entendent contribuer à cette évolution.Imaginer un habitat collectif innovantLe projet architectural attendu était une proposition d'habitat collectif innovant apportant des réponses au constat d'inadaptation des logements et de leur environnement, ainsi qu'aux aspirations apparues à l'occasion de la crise du COVID et du confinement en particulier : contradictions entre vie professionnelle, scolaire et familiale, entre vie collective et distanciation, entre confinement et aspiration au contact avec les éléments naturels et la végétation ainsi que la diffusion des préoccupations écologiques.Le contexte, la localisation, les caractéristiques urbanistiques (densité, dimensions etc.) et le choix entre réhabilitation et construction neuve étaient laissés à l'appréciation des candidats.Les lauréats1er Prix : ASSIA GHANI & MÉLINA NDOUMBEMaisons ouvrières, RoubaixIl s’agit d’un projet de régénération d’un quartier constitué de maisons ouvrières typiques des Flandres. L’objectif est de développer des extensions, de structurer des associations de volumes, de redévelopper l’usage des jardins pour définir un habitat adapté à de nouvelles conditions de vie.2e Prix : ZINEB BENNOUNA & MARYLOU MACHECOURTAu kêr de demain, DakarLe projet propose le développement d’un habitat urbain dans des quartiers les plus pauvres de Dakar. Constitué de groupement de logements assemblés autour de la ressource en eau avec des préoccupations d’autosuffisance et de convivialité. La mise en œuvre de la construction remet au goût du jour des techniques traditionnelles oubliées, comme la voûte nubienne en terre.3e Prix :DIAEDDINE KHALEDPrémalliance, GrenobleCe projet consiste en une réhabilitation/transformation d’un complexe tertiaire préfabriqué des années 70. Les espaces sont reconfigurés pour créer des logements panoramiques disposant de loggias et d’un espace non affecté.4e Prix :TELMO ESCAPIL-INCHAUSPEWhat goes up must come downLe projet consiste en la construction de deux extensions en forme de tours transparentes dans l’espace inutilisé d’une résidence d’habitat social à Paris. Les nouvelles constructions apportent la possibilité de vivre à l’extérieur, en relation directe avec les éléments.5e Prix :LOUIS GIBAULTTour circuit - Circuit courtIl s’agit du projet d’une tour constituée d’un empilement de maisons individuelles - une densification à faible emprise. C’est une nouvelle typologie d’habitat qui associe mixité, flexibilité et qui est pensée comme un écosystème.Les 10 nominésLivila Platania & Emiliano Frega, Re-inventer la banlieue: BagneuxMarie Oudon & Anouk Merleau, Parking des ChaumettesHojun Bae, Votre espaceSophie Barre & Valentin Excoffon, 12 rue BalluMélitine Girel Chatellard & Rémi Santin, SisteronAndre Gonzalo Morales Sotomayor, Logement 2.021, NancyPauline Peytavin & Amélie Le Bot, De la zone aux quartiersAline Portalier & Nicolas Debest, Tour ZehrfussAbderraouf Djema & Romain Guillou, Au-delà des métropolesOcéane Meyer & Émilie Tonin, Usines BrussonToutes les informations relatives au concours sont à retrouver sur le site : www.archijeunes.com
Il y a 4 ans et 51 jours

Le constructeur de maisons Hexaom fait une bonne année 2020 porté par la rénovation

Sur l'année, le groupe a enregistré une hausse de +4,8% de son chiffre d'affaires, à 881,8 millions d'euros, une croissance qui "s'est majoritairement opérée sur le second semestre", selon un communiqué.Tous les métiers du groupe ont vu leur activité progresser, ajoute-t-il.L'activité Construction de maisons s'affiche en légère croissance (+0,1%), à 694,4 millions d'euros.La rénovation, "très fortement pénalisée par le confinement durant le premier semestre", a réalisé une progression de 8% sur l'année, et de 20,3% au seul second semestre, à 153,3 millions d'euros de chiffre d'affaires.Les activités "promotion immobilière" et "aménagement foncier" ont été "en très forte hausse à respectivement 23,6 millions d'euros, contre 2,1 millions en 2019, et 10,8 millions contre 4 millions en 2019" avec "la montée en puissance d'Hibana", la société de promotion immobilière créée en 2018, et "l'intégration en année pleine du groupe Plaire", le constructeur de maisons individuelles, promoteur et lotisseur, précise le communiqué.Le résultat net annuel ressort à 19,7 millions d'euros, en hausse de +6,5%.Sur le plan des prises de commandes, l'activité construction a vu un repli sur l'année de 3,4% en valeur mais elle "reste très bien orientée sur les deux premiers mois de l'année 2021 avec des prises de commandes en hausse de +4,5% en nombre et +7,9% en valeur", selon le groupe.Dans la Rénovation, les prises de commandes, en retrait de 5,3% sur l'année par rapport à 2019, sont sur les deux premiers mois de l'année 2021, "en très forte hausse de +244% par rapport à la même période de l'exercice précédent", précise-t-il.Hexaom anticipe "un objectif de chiffre d'affaires proche du milliard d'euros à fin 2021".
Il y a 4 ans et 52 jours

Comment Hexaom compte amorcer le virage de la RE2020

STRATÉGIE. Le premier constructeur français de maisons individuelles, qui a présenté ses résultats 2020 le 25 mars, a exposé sa stratégie pour les mois qui viennent, jusqu'à l'entrée en vigueur de la nouvelle réglementation environnementale, au 1er janvier prochain.
Il y a 4 ans et 52 jours

Tuile pour couverture faible pente

Fin 2020, l&rsquo;entreprise de charpente-couverture Poeschl a réalisé la toiture d&rsquo;une maison individuelle à Mallersdorf en Bavière. La toiture de la partie habitation est constituée de 4 pans tandis que le garage est coiffé d&rsquo;une toiture à 2 pans. La pente des deux toitures est de 16°. Le chantier a été couvert avec le nouveau modèle Level RS® d&rsquo;ERLUS et a nécessité 2 500 tuiles, posées sur une surface de 230 m². En matière d&rsquo;étanchéité à l&rsquo;eau, cette tuile combine deux grands avantages. D&rsquo;une part, elle présente un degré d&rsquo;absorption d&rsquo;eau minime grâce à sa cuisson en qualité clinker à 1 200 degrés. D&rsquo;autre part, son triple emboîtement latéral et de tête favorise l&rsquo;évacuation de l&rsquo;eau de pluie. Ainsi, même avec des configurations en très faibles pentes (pente nominale de 16 degrés ou pente minimale de 10 degrés en pose croisée), la sous-construction reste au sec.
Il y a 4 ans et 54 jours

Une charte de bonnes pratiques pour le BPE pour La Réunion

Le SNBPE, l’Unicem La Réunion, la Capeb Réunion et la FRBTP ont signé la charte de “Bonnes Pratiques” pour le BPE. [©Unicem] Le SNBPE, l’Unicem La Réunion, la Capeb Réunion et la Fédération réunionnaise du BTP (FRBTP) ont signé la charte de “Bonnes Pratiques”. Entre les fournisseurs et les utilisateurs de béton prêt à l’emploi (BPE). Ceci, afin de promouvoir la qualité du produit et de renforcer les gestes de sécurité sur les chantiers lors de la livraison du BPE. 2 objectifs : la qualité et la sécurité Le BPE est un mélange homogène de granulats, de ciment et d’eau en proportions différentes selon le type de béton souhaité. Il est livré à l’état liquide sur les chantiers par des toupies. Afin que le produit conserve toutes ses qualités et que son maniement soit effectué en toute sécurité. Il convient d’appliquer un certain nombre de recommandations, voire d’obligations. La charte de “Bonnes pratiques”, par laquelle s’engagent producteurs-fournisseurs, utilisateurs, mais aussi prestataires intermédiaires, définit le bon usage du BPE. Pour s’assurer de la qualité du produit, cette charte énonce les principaux critères à respecter. Depuis le départ du site de production jusqu’à sa mise en œuvre sur le chantier. Le transport et la vidange des toupies sont des opérations à risque qui occasionnent chaque année des accidents du travail. Parce que la sécurité est la priorité des organisations signataires, cette charte pointe les points prioritaires à respecter au regard de la sécurité des collaborateurs. A savoir, l’assistance aux chauffeurs lors de chantiers avec des accès délicats, le port des EPI. Mais aussi l’interdiction de manipulation de la benne par le chauffeur… Le BPE, un matériau essentiel pour La Réunion Sur l’île de La Réunion, chaque année, 500 000 m3 de BPE sont produits. Et permettent de construire ou de rénover 2 000 maisons individuelles et 4 000 logements sociaux. Il a l’énorme avantage de s’adapter à toute forme de construction. Au regard du contexte topographique et climatique réunionnais, sans le béto. Il serait impossible de concevoir la bonne stabilité des réseaux routiers et des logements. La production de BPE est assurée par 14 sites répartis de manière homogène sur l’ensemble de l’île.
Il y a 4 ans et 59 jours

Valode & Pistre prime les jeunes architectes

Le 1er prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. [©Archi Jeunes /Valode & Pistre] L’agence parisienne Valode & Pistre Architectes a lancé un grand concours autour de l’habitat durable. Celui-ci est dédié aux étudiants en école d’architecture et aux jeunes diplômés de moins d’un an. Les résultats viennent d’arriver&#8230; Cinq prix pour cinq visions de l’habitat collectif de demain. Le jury a ainsi récompensé les meilleures réponses à ce thème. La réflexion des candidats s’est portée à la fois sur la dimension sociale et les enjeux environnementaux de l’habitat.&nbsp; De nouvelles formes d’habitat Les architectes Denis Valode et Jean Pistre, co-fondateurs de l’agence éponyme, pensent qu’il est nécessaire d’ouvrir le débat avec une nouvelle génération d’architectes. Ceci, pour imaginer de nouvelles formes d’habitats.&nbsp;«&nbsp;Conscients aussi des difficultés d’insertion professionnelle de cette jeune génération, directement impactée par les effets de la crise sanitaire, ils ont souhaité agir concrètement pour tendre la main aux talents de demain&nbsp;»,&nbsp;peut-on lire dans le communiqué de presse. Le projet architectural attendu était une proposition d’habitats collectifs innovants. Apportant des réponses au constat d’inadaptation des logements et de leur environnement. Ainsi qu’aux aspirations apparues lors de la crise de la Covid et du confinement, en particulier. Le contexte, la localisation, les caractéristiques urbanistiques et le choix entre réhabilitation et construction neuve étaient laissés à l’appréciation des candidats. Les lauréats sont… • Le 1er&nbsp;prix a été décerné à Assia Ghani et Mélina Ndoumbe avec leur projet “Maisons ouvrières”, à Roubaix. Il s’agit d’un projet de régénération d’un quartier constitué de maisons ouvrières typiques des Flandres. L’objectif est de développer des extensions, de structurer des associations de volumes. Mais aussi de redévelopper l’usage des jardins pour définir un habitat adapté à de nouvelles conditions de vie. Le duo de filles gagne une bourse de 8 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence Valode & Pistre. • Le 2e&nbsp;prix récompense “au Kêr de demain”, un projet de développement d’un habitat urbain dans des quartiers très pauvres de Dakar, au Sénégal.Porté par Zineb Bennouna et Marylou Machecourt, ce projet est constitué de groupement de logements assemblés autour de la ressource en eau. Ceci, avec des préoccupations d’auto-suffisance et de convivialité. La mise en œuvre de la construction remet au goût du jour des techniques traditionnelles oubliées, comme la voûte nubienne en terre. Les lauréats remportent une bourse de 6 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois au sein de l’agence. • Le 3e&nbsp;projet récompensé propose “Prémalliance”, à Grenoble. Il s’agit de la réhabilitation/transformation d’un complexe tertiaire préfabriqué des années 1970. Les espaces sont reconfigurés pour créer des logements panoramiques disposant de loggias et d’un espace non affecté. Diaeddine Khaled remporte une bourse de 4 000 € et un stage de recherche rémunéré de 6 mois. • Telmo Escapil-Inchauspe remporte le 4e&nbsp;prix avec son projet “What goes up must come down – Vivre dehors”. Une construction de deux extensions en forme de tours transparentes dans l’espace inutilisé d’une résidence d’habitat social, à Paris. Le gagnant remporte une bourse de 3 000 €. • Enfin, pour le 5e&nbsp;et dernier prix, remporté par Louis Gibault, il récompense le projet “Tour circuit &#8211; Circuit court”. Une tour constituée d’un empilement de maisons individuelles. C’est comme une nouvelle typologie d’habitats qui associe mixité, flexibilité et qui est pensée comme un éco-système. Lui aussi bénéficie d&rsquo;une bourse de 3 000 €. Par ailleurs, les projets des lauréats seront exposés pendant une période de deux mois au sein de l’agence (VIIe&nbsp;arrondissement parisien). Et seront visibles sur le&nbsp;site Internet de l’agence.
Il y a 4 ans et 59 jours

« Les astuces de pose Ytong » une mini-série pour aider les maçons à gagner du temps sur les chantiers

Les solutions constructives Ytong en béton cellulaire peuvent être utilisées dans des chantiers très variés - maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments tertiaires et industriels, murs séparatifs coupe-feu... et répondre à différentes attentes techniques : performance thermique, résistance mécanique, protection au feu... Néanmoins, l’ensemble de ces typologies de projets a un dénominateur commun : la mise en œuvre de ces solutions. En effet, que ce soit un mur porteur ou un mur séparatif coupe-feu, l’élévation des murs Ytong en béton cellulaire fait appel à des règles que l’on retrouve dans le NF DTU 20.1.Découvrir les bons gestes de pose et de nombreuses astuces pour simplifier les chantiers de maçonnerie gros-oeuvreLa mini-série « Les astuces de pose Ytong » propose en 8 épisodes les bons gestuels à adopter pour une mise en œuvre optimale des solutions de maçonnerie gros-œuvre Ytong. Les thématiques sélectionnées par l’équipe technique Xella permettent à l’ensemble des acteurs du bâtiment, et notamment les maçons, de comprendre de quelle manière il est possible de gagner de temps, réduire la pénibilité et améliorer son rendement sur le chantier.De nombreuses étapes de la maçonnerie gros-œuvre sont détaillées. De la préparation de la colle à la réalisation des joints d’étanchéité en passant par le bon gestuel de la pose des blocs, chaque étape a été travaillée par l’équipe technique afin d’assurer un gain de temps dans le process de mise en œuvre d’une maçonnerie.Astuce 1 : Se simplifier la préparation de la colleAstuce 2 : Découper proprement et rapidementAstuce 3 : Mettre à niveau le premier rangAstuce 4 : Manier la truelle pour un encollage simplifiéeAstuce 5 : Réussir l'encollage d'un bloc d'angleAstuce 6 : Réaliser une pose à touche toucheAstuce 7 : Vérifier (et corriger) la planéitéAstuce 8 : Réaliser des joints étanchesA l’instar des réunions de chantier, la diffusion de la mini-série « Les astuces de pose Ytong » est un rendez-vous hebdomadaire, à retrouver sur la page LinkedIn Xella France tous les jeudis. La mini-série est également disponible sur la chaîne YouTube Xella France ainsi que sur le site ytong.fr.
Il y a 4 ans et 60 jours

Les professionnels de l'immobilier s'engagent aux côtés d'Emmanuelle Wargon pour la rénovation énergétique des copropriétés

A l'occasion d'un déplacement à Saint Germain en Laye (78) pour visiter le chantier d'une copropriété en cours de rénovation énergétique, Emmanuelle WARGON, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, Jean-Marc TORROLLION, président de la FNAIM, Danielle DUBRAC, présidente de l'UNIS et Jean-Michel CAMIZON, président de Plurience ont signé un protocole d'engagement permettant d'accompagner 50.000 copropriétés dans leur rénovation énergétique d'ici trois ans.Un engagement partenarial fort entre l'Etat et les organisations professionnellesLa nouvelle priorité donnée à la rénovation énergétique des copropriétés oblige les professionnels, qui sont déterminés à assumer un rôle sociétal dans la conduite d'une rénovation énergétique ambitieuse. C'est le sens du protocole signé ce jour que de valoriser l'engagement réciproque de l'Etat et de la FNAIM, de l'UNIS et de Plurience.Les trois organisations, qui rassemblent à elle trois la quasi-totalité des syndics professionnels, s'engagent à faire voter et lancer la rénovation énergétique de 50 000 copropriétés dans les trois prochaines années. Pour ce faire, elles poursuivront leurs actions de sensibilisation, communication et formation à l'égard de leurs membres, de manière à tendre vers un objectif de formation de la totalité des syndics de copropriété. Des actions de repérage et de ciblage des copropriétés les plus énergivores seront également encouragées pour favoriser la rénovation des immeubles les plus consommateurs d'énergie.En écho à cette action volontariste des professionnels, le Gouvernement s'engage à créer les conditions de succès en faveur de la rénovation énergétique par la mise en place des aides adéquates et le soutien aux outils favorisant la décision de rénovation en copropriété.« Je me réjouis de cet objectif ambitieux et de l'action volontariste de la FNAIM, de l'UNIS et de Plurience en faveur de la rénovation énergétique des copropriétés. Alors que nous simplifions les aides et le parcours de rénovation, nous avons plus que jamais besoin des syndics, qui aux côtés du conseil syndical, ont un rôle déterminant pour embarquer la décision de travaux et conduire le projet. C'est véritablement ensemble que nous réussirons la transition de ces logements » a souligné Emmanuelle WARGON en conclusion de la signature.Le protocole est signé pour une durée de trois avec des points d'étapes réguliers qui permettront d'ajuster les actions des pouvoirs publics et organisations professionnelles.Le protocole d'engagement volontaire en faveur de la rénovation énergétique des copropriétés est téléchargeable iciLa copropriété, un secteur spécifique de la politique de rénovationLes copropriétés sont une cible importante et spécifique de la politique de rénovation. En France on dénombre environ 740 000 copropriétés qui comprennent plus de 9,7 millions de logements, soit près d'un tiers du parc résidentiel. Par ailleurs, la mécanique et la dynamique des travaux de rénovation en copropriétés obéissent à des problématiques très différentes du parc de maisons individuelles : information et sensibilisation des copropriétaires, règles de décisions, type et montant de travaux, etc.C'est pourquoi, des actions spécifiques ont d'ores et déjà été engagées par le Gouvernement pour accompagner ce secteur particulier, notamment en renforçant le financement des travaux en copropriété et en simplifiant le parcours de rénovation.Depuis janvier, MaPrimeRénov' est étendue aux copropriétés avec l'aide spécifique MaPrimeRénov' Copropriétés, délivrée au syndicat de copropriétaires et conditionnée à un gain énergétique minimum de 35 %. Cette aide, versée au collectif des copropriétaires, répond à une demande forte des professionnels de l'immobilier. L'aide peut se cumuler avec une aide individuelle pour les ménages aux revenus modestes et très modestes occupant leur logement. De plus, en 2021, MaPrimeRénov' sera ouverte aux propriétaires bailleurs pour financer des travaux en parties privatives.Depuis le 1er mars et jusqu'à fin avril, une campagne de communication valorisant MaPrimeRénov' Copropriétés se déploie à l'égard du grand public, des conseils syndicaux et des syndics. En écho à cette campagne, les organisations professionnelles signataires du protocole d'engagement ont d'ores et déjà lancé des actions pédagogiques sur cette nouvelle aide à l'attention de leurs adhérents.Pour simplifier le parcours de rénovation énergétique en copropriété, le Gouvernement soutient dans le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets la mise en place d'un plan pluriannuel de travaux systématisé. Ce plan permettra aux copropriétaires d'anticiper les besoins de rénovation de la copropriété en éclairant sur la qualité du bâti de l'immeuble et les travaux à entreprendre de manière prioritaire, travaux énergétiques compris. Cette mesure permet également de favoriser, sans attendre, la rénovation énergétique des logements en copropriété. C'est une condition essentielle pour anticiper et accompagner l'interdiction progressive de location des passoires énergétiques à partir du 1er janvier 2028, au titre de la décence du logement.
Il y a 4 ans et 61 jours

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, architectes du bien-être bon marché, lauréats du Pritzker

"Leur travail, qui répond aux urgences climatiques et écologiques de notre temps autant qu'à ses urgences sociales, en particulier dans le domaine du logement urbain, redonne de la vigueur aux espoirs et aux rêves modernistes d'amélioration de la vie du plus grand nombre", a estimé le jury de ce prix fondé en 1979, doté de 100.000 dollars de récompense."Ils y parviennent grâce à un sens aigu de l'espace et des matériaux qui engendre une architecture aussi solide dans ses formes que dans ses convictions, aussi transparente dans son esthétique que dans son éthique", a ajouté le jury dans un communiqué.Le duo d'architectes parisiens, déjà récompensé en France par le Grand Prix national d'architecture en 2008, s'est fait connaître avec la "maison Latapie", maison individuelle réalisée en 1993 pour une famille de deux enfants, dans une rue banale de Floirac, tout près de Bordeaux, devenue emblématique d'un logement à la fois spacieux, autonome et bon marché.Loin du traditionnel pavillon de banlieue, l'arrière de la maison a des allures de hangar: des panneaux de polycarbonate - escamotables et transparents - baignent le logement de lumière naturelle, agrandissant les espaces communs intérieurs et facilitant la maîtrise du climat.C'est avec ce projet qu'ils appliquèrent pour la première fois les technologies de serre à l'installation d'un jardin d'hiver de 60 m2, qui devait devenir l'espace le plus utilisé de la maison.Le couple - ils se sont connus à l'école d'architecture de Bordeaux, dont ils sont sortis en 1980 - est aussi récompensé pour avoir "redéfini la profession d'architecte", en privilégiant la transformation et l'amélioration de logements existants en milieu urbain, au détriment du neuf."Arrêter de démolir"Là où d'autres rêvent de faire table rase, dynamitent des grands ensembles jugés vétustes, eux voudraient convaincre d'"arrêter de démolir", a expliqué à l'AFP Jean-Philippe Vassal, 67 ans."C'est tellement violent, tellement affreux d'habiter quelque part depuis 10 ans et soudain de voir disparaître un logement dans lequel un ami, un voisin a existé", dit-il. "Alors qu'on peut garder les gens-là, et à partir de l'existant, produire des logements que le standard est incapable de produire au même niveau de qualité - en dépensant deux fois moins d'argent."Un principe que le duo a appliqué en 2011 à la Tour Bois Le Prêtre, ensemble de quelque 100 logements construit au début des années 1960, dans le 17e arrondissement de Paris.En collaboration avec Frédéric Druot, Jean-Philippe Vassal et Anne Lacaton augmentèrent la superficie et améliorèrent le confort des appartements en retirant la façade de béton d'origine et en ajoutant extensions chauffées, jardins d'hiver et balcons bioclimatiques.Fini les petites fenêtres éclairant timidement des pièces étriquées, les locataires - présents durant les travaux - bénéficiaient d'espaces agrandis et modulables, avec grandes baies vitrées et vue sur la ville. Un travail qu'ils reprendront à plus grande échelle à la Cité du Grand Parc de Bordeaux. Face aux promoteurs qui visent à capitaliser sur la flambée des prix du mètre carré, "on essaie de défendre cette idée que l'espace est aussi un facteur de qualité de vie, de paix sociale à l'intérieur des familles ou avec ses voisins", explique Anne Lacaton, 65 ans.La pandémie est venue conforter leur démarche, disent-ils. "L'année passée a montré notre extrême fragilité", dit-elle, "ça encourage à se dire que l'espace doit être beaucoup plus accueillant". Pritzker plus fémininCette idée d'agrandir l'espace pour gagner en liberté et bien-être, les deux architectes, qui ont créé leur cabinet en 1987, ne l'appliquent pas qu'aux logements. Elle vaut aussi pour leurs projets dédiés à l'enseignement - comme l’École nationale d'architecture de Nantes, réalisée en 2009 - ou à l'art.Dans ce domaine, leur réalisation phare est la rénovation du Palais de Tokyo, achevée en 2012, qui aura transformé le musée parisien érigé pour l'Exposition universelle de 1937 en immense Centre d'art contemporain.Là aussi, il s'agissait d'agrandir considérablement l'espace accessible aux visiteurs. Et de donner plus de liberté aux artistes et aux conservateurs, délaissant les murs blancs typiques des musées d'art contemporain pour de grands espaces inachevés, où tout le décor peut être inventé. Avec Anne Lacaton, le jury du Pritzker inscrit une sixième femme à un palmarès longtemps exclusivement masculin.L'anglo-irakienne Zaha Hadid a été la première lauréate en 2004, suivie par la Japonaise Kazuyo Sejima, co-lauréate en 2010, l'Espagnole Carme Pigem, co-lauréate en 2017, et les Irlandaises Yvonne Farrell et Shelley McNamara en 2020.Les précédents lauréats français du Pritzker sont Jean Nouvel, en 2008, et Christian de Portzamparc, en 1994.
Il y a 4 ans et 61 jours

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal remportent le prix Pritzker 2021. Ils sont les troisi&egrave;mes Fran&ccedil;ais &agrave; recevoir la prestigieuse r&eacute;compense depuis sa cr&eacute;ation en 1979, apr&egrave;s Christian de&nbsp;Portzamparc en 1994 et Jean Nouvel en 2008. De la maison individuelle de leurs d&eacute;buts, en 1993, pour la famille Latapie &agrave; Floirac (Gironde), &agrave;&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 61 jours

CEE : l'arrêté "précarité énergétique et coups de pouce" décrypté

Le ministère de la Transition écologique a détaillé dans un "flash info" les modalités d'application de l’arrêté du 11 mars 2021 qui modifie le fonctionnement du dispositif du Coup de pouce « Rénovation performante d'une maison individuelle ».
Il y a 4 ans et 62 jours

"Il faut instaurer des minimums de densité dans les PLU" (D.Hereng, maisons individuelles)

INTERVIEW. La Fédération française des constructeurs de maisons individuelles a exposé aux députés ses propositions pour construire à l'intérieur des villes, sur des terrains plus petits. Ce que ne permettent pas toujours les PLU. Entretien avec le président de la FFC, Damien Hereng.
Il y a 4 ans et 65 jours

Début d'année honorable pour le marché des matériaux de construction

Si les volumes perdus pendant le confinement de mars 2020 ne seront jamais comblés, le retour à une “normalisation” des tendances se poursuit et, en janvier, les productions de granulats et de BPE étaient supérieures à leur niveau mensuel moyen de ces dix dernières années. Ce constat encourageant traduit une forme de rattrapage graduel du chemin perdu mais les indicateurs de demande, côté bâtiment et travaux publics, suggèrent que le rythme de l'activité des prochains mois pourrait être freiné par l'épuisement des carnets de commandes qui, aujourd'hui, peinent à se regarnir.Janvier, supérieur à la moyenneD'après les résultats provisoires pour janvier, les productions de granulats et de BPE se situeraient au-dessus de la moyenne des mois de janvier de ces dix dernières années (+2,2% pour les granulats et +3,7% pour le BPE, en données brutes). L'activité aurait donc bien « tenu » en ce début d'année : les tonnages de granulats affichent une hausse de +6% par rapport à décembre et de +0,5% par rapport à janvier 2020 qui, rappelons-le, avait été très dynamique (données CSV-CJO). Au cours des trois derniers mois, la production aurait ainsi continué de progresser au regard du trimestre précédent (+4,4%) mais aussi par rapport aux trois mêmes mois d'il y a un an (+2,4%). Sur douze mois, le glissement annuel revient ainsi à -7,5% fin janvier. Côté BPE, les livraisons de janvier ont cru de +2,8% par rapport à décembre mais s'inscrivent en recul de -2,3% par rapport à janvier 2020 très vigoureux (données CVS-CJO). En cumul sur les trois derniers mois, la production de BPE grimpe encore de +3,2% par rapport à la même période de l'an passé mais plus modérément au regard des trois mois précédents (+0,9%). Sur les douze derniers mois, la tendance demeure fortement baissière avec un recul de -9,7% des volumes produits sur un an. Quant à l'indicateur Matériaux, en dépit du net redressement constaté au second semestre, 2020 s'achève sur un repli annuel de -6,4% et janvier s'afficherait en léger retrait par rapport à l'an passé (-0,7% en CJO).Les entrepreneurs du bâtiment confiants, les promoteurs inquietsLes mois se suivent et se ressemblent : en février 2021, selon l'enquête menée par l'INSEE auprès des entrepreneurs du bâtiment, la confiance reste de mise et les perspectives d'activité demeurent plutôt bien orientées pour les prochains mois. Non seulement leur jugement sur les carnets de commandes s'améliore (avec des niveaux toujours supérieurs à 9 mois dans le gros œuvre) mais leur opinion sur l'évolution prévue des effectifs se redresse, sans doute en réponse à une main-d'œuvre réduite ces derniers mois.D'ailleurs, en février, environ un entrepreneur sur cinq se déclarait confronté à des tensions productives en raison du manque de personnel. Pourtant, côté construction, les mises en chantier et les autorisations restent dans le rouge, même si le redressement se poursuit du côté des permis logements. En effet, à fin janvier et sur les trois derniers mois, le nombre de logements commencés baissait de -11,2% par rapport aux trois mois précédents, le repli étant plus marqué dans le segment du collectif que dans celui de l'individuel. Sur douze mois, on dénombrait ainsi 345 000 chantiers ouverts à fin janvier,soit une baisse de 11,3% sur un an.S'agissant des autorisations, en revanche, les trois derniers mois enregistrent une nouvelle hausse de +9,6% au regard du trimestre précédent, avec cette fois une dynamique plus soutenue pour le logement collectif. Pour autant, sur ces douze derniers mois, le bilan reste très négatif avec une contraction des permis de -16,3% (à 377 600 unités), le segment du collectif accusant un plongeon de -23,5% des dépôts. Enfin, concernant les locaux d'activité,le déclin se poursuit.A fin janvier,en cumul sur trois mois, les surfaces commencées s'enfonçaient de -21,4% sur un an (bureaux, locaux industriels et entrepôts affichant les reculs les plus prononcés), tandis que, sur douze mois, le repli atteint -18,4%. Les chiffres des permis ne laissent aucun espoir de retournement de tendance dans les mois à venir, les surfaces autorisées diminuant de -15,6% sur le trimestre et de -19,1% sur douze mois. Ces évolutions font écho à la conjoncture de la promotion immobilière, particulièrement morose en 2020. En dépit d'une hausse marquée des ventes en bloc aux investisseurs institutionnels et aux organismes HLM (+7,2%), les ventes se sont contractées d'un quart entre 2019 et 2020 (-40 000 logements vendus). Au-delà des effets de la crise sanitaire, la Fédération des Promoteurs Immobiliers -FPI pointe aussi les obstacles politiques (blocage des permis dans les métropoles) et la multiplication des contraintes réglementaires (notamment la RE2020) pour expliquer la chute de l'offre de logements, d'environ un tiers en un an.En 2020, les mises en vente ont fléchi de près de -28% pour des réservations en repli de -24,1%. La fonte des stocks (-9% en 2020) devrait donc se poursuivre en 2021 alors même que la demande des ménages reste forte ; une situation déséquilibrée qui pourrait se solder par de nouvelles tensions sur les prix, déjà tirés vers le haut en 2020 : le prix moyen du m² d'un appartement neuf a monté de +1,7%, celui d'une maison de +4,5%, des évolutions qui risquent à terme d'écarter les ménages de l'accession à la propriété. Certes, le marché de la maison individuelle en secteur diffus a montré des signes de résilience en ce début d'année, sans doute grâce à l'assouplissement des recommandations du HSCF. Mais les exigences des banques en matière d'apport personnel vont continuer de se renforcer et, dans un contexte où les taux ne peuvent guère baisser d'avantage et où les durées de prêts se sont déjà bien allongées (232 mois en moyenne en février 2021), la hausse des prix immobiliers pourrait bien mettre un terme à cette embellie.Travaux publics : manque de visibilitéInterrogés en janvier 2021, les entrepreneurs des travaux publics étaient certes un peu moins négatifs sur leur activité future qu'à l'automne mais leurs carnets de commandes tardaient toujours à se regarnir. En 2020, selon la FNTP, l'activité aura chuté de -12,5% en volume et les prises de commandes auront plongé de -13,2% (CVS-CJO). Dans le segment des travaux routiers, le décrochage est encore plus prononcé, le chiffre d'affaires reculant de -14,4% en 2020 et le volume d'appel d'offres se contractant de -31%. Selon Routes de France, « le cycle naturel des appels d'offre n'a pas encore repris dans le bloc communal » et, en janvier, leur nombre était encore -15% en dessous de celui de janvier 2020. Seule la mobilisation des collectivités locales pour engager le plan de relance dans les territoires permettra de regarnir les carnets de commandes et donner de la visibilité aux acteurs locaux.
Il y a 4 ans et 66 jours

Quelle maison individuelle pour demain ? High tech et imprimée 3D ou low tech et frugale ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 8 avril 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la maison individuelle de demain. High tech, imprimée en 3D, low tech : à quoi ressemblera-t-elle ? Plusieurs acteurs viendront débattre : Hexaom (Ex groupe Maisons France Confort), XtreeE, expert de l'impression 3D et l'architecte Philippe Madec.
Il y a 4 ans et 67 jours

MaPrimeRénov' : voici les logiciels homologués d'audit énergétique en maison individuelle

ARCHITECTES. Le ministère de la Transition écologique recense cinq logiciels permettant de réaliser des audits énergétiques éligibles au dispositif MaPrimeRénov'. Le Cnoa en propose une présentation.
Il y a 4 ans et 67 jours

Alkern, leader des produits préfabriqués en béton, prêt pour le bas carbone et la RE2020

Ainsi, si en 2010 l'industriel affichait un CA de 122 millions d'euros avec près de 650 salariés, Alkern réalise aujourd'hui plus de 200 millions de CA avec un millier de collaborateurs, soit un doublement de sa taille en l'espace de 10 ans.Reconnaissons d'ailleurs le savoir-faire d'intégrateur du Groupe Alkern qui cible chaque acquisition, permet à des sociétés parfois sans succession de perdurer et de se développer au sein d'un groupe prônant la sécurité et la performance.Précisons que ce chiffre d'affaires est réalisé à 90% en France et 10% en Belgique, et qu'il est généré par trois domaines principaux d'expertise :le bâtiment avec une large gamme de solutions en béton pour la construction de maisons individuelles et bâtiments collectifs (blocs béton, poutres, planchers, appuis de fenêtre,…) qui représente 45% du CA ;l'aménagement extérieur : terrasses, pavés, margelles, pour 30% ;et les TP (voirie, aménagement urbain, assainissement et réseaux secs) à hauteur de 20%.Avec 51 sites répartis sur le territoire hexagonal (et 2 en Belgique), Alkern, dirigé depuis début 2020 par Xavier Janin, produit 100% localement et revendique désormais, par exemple, la fabrication de plus de 2 blocs béton par seconde.Cette production locale et le maillage densifié des usines Alkern s'accompagnent aussi d'une importante R&D. Un département qui se focalise notamment sur la réduction de son impact environnemental, tout en apportant des solutions aux problèmes majeurs d'aménagement du territoire (performance thermique des bâtiments, gestion des eaux de ruissellement, réduction des îlots de chaleur urbains…).Xavier Janin, président d'Alkern depuis 1 an, précise : « Nous avons la particularité de pouvoir intervenir sur toute la chaîne de décision : depuis la conception jusqu'à la livraison sur site. Nous avons 53 usines et des bureaux d'études, qui nous permettent, en amont des projets, d'assister les maîtres d'œuvre et les maîtres d'ouvrage à dimensionner nos offres pour leurs projets et leurs besoins. »La Proximité, le credo ALKERNLe marché de la préfabrication béton exige une grande proximité avec les clients, afin de répondre au mieux aux attentes régionales (formats, couleurs, réglementations, etc.) et apporter une assistance technique adaptée. Grâce à son maillage industriel particulièrement homogène, le Groupe Alkern répond parfaitement aux exigences de tous ses clients en leur proposant de larges gammes de produits, où qu'ils soient situés sur l'ensemble du territoire national. Les structures commerciales et administratives, décentralisées en région, favorisent et renforcent les relations directes entre le site de production et le client, créant ainsi un véritable gage de simplicité et d'efficacité dans les partenariats établis.2020 : Bilan d'une année hors normesAprès un démarrage dynamique en 2020, l'élan des premiers mois a été brutalement arrêté par la pandémie de COVID-19.Alkern a su réagir rapidement, suite à l'arrêt brutal de l'activité et s'organiser afin de reprendre les livraisons, à la demande de ses clients, sous une semaine.En terme d'activité, l'intérêt des ménages confinés pour leur extérieur s'est traduit par une croissance notable de l'activité Amex chez Alkern (+20% entre juin et décembre 2020 versus 2019). Le rattrapage des chantiers arrêtés et la mise en place de protocoles sanitaires plus simples sur les chantiers de maisons individuelles ont aussi permis à Alkern de réaliser une croissance de 10% de son activité bâtiment, sur la même période. En revanche, la baisse du nombre de permis de construire sur le 2nd semestre est une alerte. Enfin, l'activité TP a pâti du report des élections municipales, du décalage des chantiers et du faible niveau d'appels d'offres, se traduisant par une baisse de l'activité de 20%, sur la fin d'année.En parallèle, devant cette situation exceptionnelle, 2020 a aussi été un accélérateur de modernisation avec la mise en place de nouvelles manières de travailler (outil de réunion à distance, digitalisation de certains process) et une organisation commerciale plus proche des clients.En résumé, Alkern a su faire face à une année 2020 compliquée et a permis de lancer des chantiers structurants pour l'entreprise.Xavier Janin de préciser : « Lors du premier confinement, nous avons arrêté toutes nos activités tout comme la majorité des acteurs du BTP. Cela étant, dès le 24 mars nous pouvions livrer nos clients avec des mesures sanitaires strictes et nous avons su, par la suite, répondre à la demande de rattrapage des chantiers qui avaient été mis en veille. D'un point de vue organisation et management, la crise de la Covid-19 a été un véritable accélérateur de décision. Le fait d'avoir travaillé dans un environnement instable et imprévisible, nous a en effet amenés à mettre en place des points quotidiens pour prendre des décisions de façon très rapide. Cela nous a forcé à repenser notre façon de travailler. Le virage digital a été pris au sein de notre organisation, là où nous n'avions pas conscience de nos limites avant les restrictions de déplacement imposées par la Covid-19. Ces technologies sont désormais devenues des standards pour nos réunions. Nous avons ainsi réécrit notre stratégie : la modernisation de l'entreprise, l'intensification de la prescription de nos produits, une R&D plus soucieuse de l'environnement et la poursuite de notre croissance externe, sont désormais les sujets qui nous mobilisent ».Indicateurs de performance environnementale Alkern 2020Alkern affiche une politique environnementale volontariste et soutenue qui sera encore renforcée sur les prochaines années. À travers les indicateurs détaillés ci-dessous, Alkern suit son impact environnemental et met en avant les avantages du matériau béton :La décarbonation des bâtimentsAinsi grâce à l'utilisation de blocs rectifiés Alkern à la place de blocs traditionnels ; l'économie de l'impact carbone représente l'équivalent de 28 millions de kilomètres parcourus en voiture en 2020. De même, mentionnons le remplacement de produits d'origine pétrochimique (PSE) par une mousse 100% minérale (partenariat Airium®), qui a permis l'économie de quelques 5.525 m3 de PSE, soit le volume moyen d'un immeuble de 20 étages.Produits s'inscrivant dans l'économie circulaireDe même, l'utilisation de matières premières recyclées (remplacement de granulats par de la coquille Saint-Jacques broyée par exemple), est à l'origine d'une économie de 2,2 tonnes de granulats. Tout comme la réutilisation des palettes qui permet de préserver 37 300 m3 de bois ou encore le recyclage de déchets de laine de roche qui a atteint 8 237 tonnes l'an dernier.Gestion de la ressource en eauLa gestion de la ressource en eau constitue un autre axe de la politique environnementale du groupe Alkern. Ainsi, la diminution de la consommation d'eau par l'utilisation des blocs joints minces vs blocs traditionnels a permis d'économiser l'équivalent de 4 piscines olympiques. Autre aspect écologique d'avenir, la diminution de l'imperméabilisation des sols: en effet, grâce à la gamme O' et ses 5 références drainantes, Alkern a aménagé quelque 78.385 m2 de surfaces perméables (soit 13 terrains de foot). Enfin, précisons que le stockage d'eau de pluie par l'Hydrocyl (destiné à la réalisation de chaussées réservoirs) a permis de créer le stockage de 1.400 m3 d'eau pluviale.RE2020 Alkern ready : cap sur la performance environnementale pour des bâtiments mieux isolés au moindre impact carboneAlkern, et ses équipes R&D, travaillent depuis longtemps sur la performance thermique et bas carbone de ses produits et a ainsi lancé toute une gamme de blocs béton rectifiés et majoritairement isolés. Ces blocs d'une résistance thermique entre 0,3 et 2,14 m2.K/W répondent aux enjeux de la RE2020 pour la maison individuelle. Pour le bâtiment collectif et l'enjeu de traitement des ponts thermiques, Alkern a lancé en 2020 le système R+MUR, solution économique de paroi bas carbone affichant une empreinte carbone entre -30 et -70% moindre que les solutions standard actuelles.L'engagement d'Alkern pour améliorer l'impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d'€ ont été investis sur les sites d'Izeaux (38) et Mouy (77), d'une part dans l'intégration d'une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d'autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100% minérale Airium®, permettant de proposer un bloc 100% recyclable, sans étape de tri.Objectif : certification ISO 14001 pour l‘ensemble des sites pour 2024Au-delà de la certification de l'intégralité de ses sites ISO 14001 pour 2024, Alkern s'engage dès cette année à ce que chacun de ses 51 sites français s'approprie pleinement l'un de ces objectifs : réduction de la consommation de matières premières, réduction des consommations d'énergie, réduction de la consommation en eau, réduction de la production de déchets et réduction de l'impact local des opération.A ce propos Xavier Janin confirme : « Avec cette R&D plus soucieuse de l'environnement, nous répondrons aussi aux nouvelles réglementations environnementales. À l'évidence, les bâtiments de demain seront plus vertueux et émettront moins de CO2. La diminution de l'impact carbone de nos processus de fabrication comme de nos produits est au cœur de nos préoccupations. Nous avons la chance d'avoir déjà avec les blocs préfabriqués en béton une des solutions la plus bas carbone du marché mais nous travaillons à lancer des solutions encore plus vertueuses pour garder un coup d'avance sur les solutions constructives alternatives. »Les leviers de croissance pour soutenir cette stratégie :Une nouvelle vitrine digitale pour particuliers et professionnelsLe digital, durant le confinement, a connu un essor important, et Alkern a décidé de prendre le virage de ces outils, tant pour ses clients BtoB, ses partenaires (réseaux de distribution et de poseurs/installateurs), que pour le BtoC. Ainsi, Alkern lance en 2021 une initiative e-business pour apporter plus de supports et de réponses à ses clients.La 1ère étape est le lancement, le 1er mars, du nouveau site internet Alkern, nouvelle vitrine digitale présentant l'ensemble de l'offre.Plus moderne, développé en responsive design, le nouveau site web Alkern présente l'ensemble des produits fabriqués par Alkern, et fournit également aux visiteurs des contenus pédagogiques et utiles pour le choix des produits et leurs mises en œuvre.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.000 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 69 jours

L’écosystème Somfy s'enrichit d’une nouvelle offre solaire avec Oximo® Solar io

Les avantages de l’énergie solaireDepuis quelques années, le marché de l’énergie connaît de profonds changements. Le soleil est une énergie naturelle, accessible et renouvelable. L’énergie solaire peut être exploitée en installant des panneaux thermiques ou des panneaux photovoltaïques.Recyclables, les panneaux solaires - qu’ils soient thermiques ou photovoltaïques - sont simples et rapides à installer. Ces systèmes sont fiables et stables, notamment grâce à leur résistance aux intempéries et aux variations de température, et ne nécessitent que très peu de maintenance.Les panneaux photovoltaïques monocristallins sont appréciés pour leur rendement (entre 16 et 21%) et ont une durée de vie estimée entre 25 et 30ans.**** Source : Ministère de l’Ecologie - SolaireDes réserves à prendre en compteSi les consommateurs sont désormais plus sensibilisés aux énergies renouvelables pour leur habitat, on identifie néanmoins des freins importants qui les dissuadent d’adopter le solaire pour la motorisation des volets roulants.En effet, bien que le marché du solaire soit en très forte croissance, certains consommateurs craignent encore un manque de fiabilité ou d’autonomie.Si les bénéfices des motorisations et automatismes en terme d’économies d’énergies sont réels, c’est un modèle qui doit encore être standardiséOximo® Solar ioOximo® Solar io est un nouveau système motorisé pour volet roulant éco-conçu et auto-alimenté par la lumière du jour.Ultra-performant, Oximo® Solar io fonctionne à la lumière naturelle (autonomie de 45jours sans lumière). Son installation est facilitée grâce à l’application Solar App.L’écosyteme Oximo® Solar io, c’est aussi une démarche responsable, conçue pour satisfaire aux exigences du label ACT FOR GREEN.Un nouveau moteur Oximo® Solar ioEn 2015, Somfy révolutionne le marché du volet roulant avec sa dernière génération de moteursS&S0 RS 100 io connectés, silencieux et éco-conçus. A l’instar des moteurs phares Somfy, le nouveau moteur Oximo® Solar io reprend les caractéristiques techniques qui ont fait le succès de la marque :La détection d’obstacleLe moteur s’arrête automatiquement en cas d’obstacle à la descente.La résistance à l’effractionRésistance au levage lorsque le tablier est baissé.Protection en cas de gelLe moteur se bloque en cas de gel à la remontée pour éviter toute détérioration.Soft stop & startUn démarrage et un accostage en douceur pour protéger le volet roulant.Somfy Drive ControlTMAnalyse électronique permanente du couple moteur pour limiter les efforts et permettre une longévité accrue de l’écosystème.En complément, Oximo® Solar io dispose d’une alerte batterie faible et donne le statut de la batterie (correcte ou faible) et du panneau solaire (fonctionnel ou défaut, par exemple, lorsque celui-ci a une ombre portée qui limite sa performance).Un panneau photovoltaïque pour capter la lumière du jourGrâce à sa fixation universelle, le panneau s’adapte à tous les types de coffres ou de murs.Quelle que soit l’orientation de la fenêtre, un seul panneau est nécessaire, et il peut se déporter en cas d’obstacle à la luminosité grâce aux rallonges de 1 et 5m.Batterie : 2 solutions pour chaque type d’installationLa lumière naturelle suffit à elle seule pour charger la batterie. En obscurité totale, elle est parfaitement autonome pendant 45 jours minimum, sur la base de 2 montées et 2 descentes par jour.2 solutions sont disponibles pour couvrir tous les besoins :Installation à l’intérieur du coffre avec une batterie sans coque permettant un encombrement optimisé.Installation à l’extérieur avec une batterie coque alu, se déclipsant et et démontant facilement en laissant les supports au mur.45 jours minimum d’autonomie (2 montées/2 descentes)Fonctionne de manière optimale entre -20°C et +60°CSolution de secours possible grâce au chargeur de batterie externe Somfy.Un large choix de pilotageTaHomaOximo® Solar io est compatible avec l’écosystème TaHoma, soit près de 300 types de produits de la maison (Somfy et les plus grandes marques de l’habitat ainsi que les assistants vocaux Amazon Alexa, Google Assistant et Apple HomeKit).En connectant Oximo® Solar io à la box TaHoma et à son écosystème de produits (alarmes, motorisations de portail, porte garage, stores extérieurs et intérieurs…), l’utilisateur pourra profiter d’une expérience unique et enrichie de la maison connectée.Ouverture des volets roulants, désactivation de l’alarme, déverrouillage de la porte d’entrée et ouverture du portail pourront être déclenchés de manière combinée lorsque l’utilisateur rentrera chez lui. Par exemple, le scénario « matin » programme l’ouverture des volets roulants à 7h et la désactivation de l’alarmeCommande murale sans filSmoove ioCommande murale mécanique ou tactilePour piloter 1 volet roulantTélécommande de centralisationNina ioPour piloter plusieurs équipements de manière individuelle ou groupéeLes volets motorisésLes stores Les brises soleils orientales
Il y a 4 ans et 72 jours

En 2020, les acteurs du logement neuf ont maintenu le cap de la qualité environnementale

Focus sur les principaux chiffres de la certification NF Habitat - NF Habitat HQE et labels associés en 2020, avec CERQUAL Qualitel Certification, organisme certificateur de l'Association QUALITEL.NF Habitat - NF Habitat HQE & labels associés : ce que l'on peut retenir pour 2020En 2020, plus de 141.000 logements ont été engagés en certification NF Habitat - NF Habitat HQE, en construction et en rénovation. Sur ce volume global, l'activité de certification a été particulièrement soutenue pour le collectif, sur le segment du neuf.En effet, si les demandes de certification pour le logement collectif en rénovation restent globalement stables par rapport à 2019, en construction, elles sont en progression de 10%. Une tendance qui confirme l'engagement des acteurs du collectif neuf en faveur de la qualité, a fortiori d'un habitat durable :Avec 47.890 logements, NF Habitat progresse de 5% en 20201 ;NF Habitat HQE progresse quant à elle de 14%, avec 61.891 logements[1].Côté labels, associés à la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, cela se vérifie également, avec notamment :Label E+C- : 17.947 logements neufs (10.401 en 2019) ;Label BBCA : 3.200 logements (672 en 2019) ;Label Bâtiment Biosourcé : 3.230 logements (2.228 en 2019).Un grand nombre d'acteurs de l'habitat collectif neuf ont ainsi maintenu le cap de la qualité certifiée, et notamment la qualité environnementale et la construction bas carbone, malgré une conjoncture extrêmement complexe en 2020. « Cela montre, et c'est une bonne nouvelle, que pour cette typologie de logement, la qualité certifiée, en lien avec les enjeux environnementaux et énergétiques de l'habitat, reste un repère essentiel. C'est un bon signal, une dynamique qu'il faut maintenir dans la perspective de la future RE 2020. Dans ce cadre, je ne doute pas que les acteurs de la maison individuelle prendront le même chemin. »Antoine Desbarrières, Président de CERQUAL« Ces résultats en hausse, malgré un climat anxiogène, démontrent une nouvelle fois la volonté, portée haut par les professionnels du logement collectif, d'apporter des réponses à la hauteur des aspirations, en faveur d'une meilleure qualité de vie en milieu urbain et d'une performance environnementale accrue. »Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l'Alliance HQE-GBC et députée de la 10ème circonscription de l'IsèreNF Habitat - NF Habitat HQE : détail des chiffres 2020Côté certificationCôté labelsEn 2020, en association avec la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, les demandes de labels de performance environnementale et énergétique ont concerné plus de 107 000 logements (+11% v/s 2019) :89.277 en construction (E+C-, BBCA, Bâtiment Biosourcé, RT 2012 -10% et -20%...) ;18.145 en rénovation (BBCA, BBC Effinergie Rénovation, HPE Rénovation...).[1] Demandes de certification
Il y a 4 ans et 73 jours

Le marché des portes d’entrée à fin 2020 : la tendance du connecté s’affirme

TBC Innovations vient de publier une nouvelle &eacute;tude de march&eacute; sur les portes d&rsquo;entr&eacute;e en France qui subit la moindre dynamique des chantiers de maisons individuelles.
Il y a 4 ans et 75 jours

La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux

Quand la bamboche était possible, dans le monde d’avant, il était fréquent que le logement, la qualité de vie des quartiers, les prix de l’immobilier s’invitent dans les conversations. Aujourd’hui c’est encore et toujours le cas. Les gens comparent les confinements en fonction de leur condition de vie, donc de leur logement. Bref, confiné ou [&#8230;] L’article La maison individuelle, l’indépassable modèle hasardeux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 76 jours

Comment s'est porté le marché des portes d'entrée en 2020 ?

ETUDE. La crise a impacté le marché de la porte d'entrée de maisons individuelles en 2020. Qu'en est-il exactement ? Quelles sont les tendances ? TBC a mené une étude auprès de 360 acteurs du secteur.
Il y a 4 ans et 76 jours

Le métier d’architecte : 3 qualités indispensables

Sollicité pour intervenir aussi bien dans la construction d’une maison individuelle que sur une infrastructure publique, l’architecte joue de multiples rôles. Ce professionnel a généralement pour mission de dessiner, de concevoir et de superviser les projets d’habitat. Pour remplir toutes ces tâches, il doit suivre une formation complète et développer certaines compétences indispensables. Retrouvez ici les qualités essentielles d’un architecte. Les qualités de base de l’architecte Pour devenir architecte, il est avant tout nécessaire de suivre de nombreuses années d’études. Après celles-ci, différents stages devront être effectués qui permettront d’acquérir des expériences professionnelles. Mais ces connaissances ne suffisent pas. ll faudra aussi développer des qualités essentielles. En effet, il faut être un bon dessinateur, un excellent concepteur de plan, un artisan rigoureux. Si vous devez donc vous engager dans ce métier, vous devez approfondir ces compétences techniques et pratiques. En bref, voici les qualités de base à renforcer : La gestion du budget selon chaque projet ; Le respect et l’optimisation du budget attribué au chantier ; Le sens du travail en équipe et l’habileté à la négociation ; Une parfaite connaissance du droit et des règles d’urbanisme. Les spécialités du métier d&rsquo;architecte L&rsquo;architecte est généralement perçu comme le professionnel en charge de penser et de dessiner les plans d&rsquo;une maison ou de tout autre type de bâtiment. On lui attribue également la responsabilité de superviser le chantier. Bien que cela soit tout à fait vrai, il est pour autant bien souvent ignoré les différentes spécialités et facettes que peuvent prendre le métier d&rsquo;architecte. On peut notamment citer l&rsquo;architecte paysagiste, l&rsquo;architecte urbaniste ou encore l&rsquo;architecte d&rsquo;intérieur. Chacune de ces spécialités nécessitera des compétences supplémentaires. En effet, un architecte urbaniste doit avoir une bonne connaissance des villes. Par exemple, un architecte sur Nantes devra avoir une excellente culture de la composition urbaine de la ville et de la métropole nantaise. Les compétences secondaires de l’architecte En plus des compétences citées plus haut, le métier d’architecte requiert d’autres qualités essentielles. Dans un premier temps, puisque le professionnel doit travailler en équipe, il demeure indispensable qu’il puisse s’adapter aux collaborateurs. De même, il doit savoir écouter les besoins des clients et les recommandations de ses partenaires. Dans un second temps, pour mener à bien les projets qu’il conduit, l’architecte doit développer une grande résistance au stress et à toute forme de pression. En cas d’imprévus sur un chantier par exemple, il doit pouvoir garder son calme et prendre les décisions rapidement. Comme autre qualité, un architecte doit prendre des initiatives et présenter des propositions aux clients. Les qualités personnelles d’un architecte Pour exceller dans le métier d’architecte, posséder des compétences professionnelles et des connaissances de base ne suffit pas. L’artisan doit également cultiver des qualités personnelles et des valeurs morales. Pour finir, voici donc quelques atouts à retrouver chez un architecte : Un réel sens de la créativité et une aisance dans la gestion des projets ; Une facilité à élaborer les plans de bâtiment ; Une totale autonomie et une adaptation aux collaborateurs ; Une aisance relationnelle pour travailler en harmonie avec les équipes ; Une bonne rigueur au travail et un perfectionnisme poussé ; Une rigueur dans le respect des délais et de la réactivité face aux imprévus et aux changements de dernière minute.
Il y a 4 ans et 79 jours

Le projet "Air acteur" du Cerema est retenu dans le cadre du Programme d'investissements d'avenir

Le projet est destiné à fédérer l'ensemble des acteurs de la filière professionnelle ventilation et qualité de l'air intérieur et s'adresse à un vivier de 200.000 artisans. Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels et prévoit en l'état actuel un budget estimé à 3,8 millions d'euros. Le projet pourra être lancé dès septembre pour une durée de 3 ans. La qualité de l'air à l'intérieur des bâtiments a un effet démontré sur la santé et le bien-être. On lui attribue un coût annuel minimum de 19 milliards d'euros par an en France pour la collectivité. Pourtant, la ventilation, qui est un des moyens de renouveler l'air intérieur, est le parent pauvre du bâtiment : sans véritable spécialistes de la pose et de l'entretien, 50% des installations neuves sont non-conformes aux règles de l'art et c'est un lot inexistant dans les maisons individuelles.C'est pour répondre à ces enjeux et aux évolutions réglementaires prévues par la réglementation environnementale 2020 (RE2020), que le Cerema coordonne « Air'acteurs ». Retenu dans le cadre de l'appel à projet national « Ingénierie de Formations Professionnelles et d'offres Accompagnement Innovantes », Air'acteurs prévoit notamment la création de parcours de formations innovantes, basées sur le numérique (programmes, supports), des formations pilotes et des formations de formateurs, développement de nouveaux outils (campus multimodal, réalité virtuelle…). Il vise à structurer durablement un dispositif national de qualification des professionnels. Dans le contexte actuel de relance de l'économie, la spécialisation et montée en compétence sur une spécialité d'avenir est une opportunité de professionnalisation et de reconnaissance de la filière.Ce projet partenarial rassemble un panel représentatif de toute la filière de la construction avec l'Association Ouvrière des Compagnons du Devoir, le Centre de formation Tipee, la fédération interprofessionnelle des métiers de l'environnement atmosphérique (FIMEA), le Comité Scientifique et Technique des Industries Climatiques (COSTIC), le syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique (SYNASAV) et le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques (UNICLIMA).
Il y a 4 ans et 82 jours

300 mm de laine de verre

Les experts ISOVER ont développé un produit unique sur son marché : ISOCONFORT 35 KRAFT 300 mm, dédié au marché de la maison individuelle neuve. ISOVER veut répondre aux attentes des constructeurs et artisans : disposer d’un produit à très haute résistance thermique et rapide à mettre en oeuvre pour gagner du temps sur leurs chantiers. Cet isolant, conforme au DTU 45.10, permet également de répondre aux exigences de la RT 2012 mais aussi à ceux de la future RE 2020. Dernier né de la gamme ISOCONFORT, cet isolant offre une résistance thermique de R = 8,55 m².K/W en une seule couche d’isolant de 300 mm d’épaisseur et permet d’atteindre un R = 10 m².K/W ou plus s’il est utilisé en complément d’une isolation de 60 mm ou plus entre chevrons.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le gouvernement annonce un report de 6 mois de la RE2020 et détaille les conditions d'entrée en vigueur

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du Logement, a réuni par visioconférence ce jeudi 18 février les principaux représentants du monde de la construction afin d'annoncer les dernières décisions concernant la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs, la RE2020.Après l'annonce des principales orientations par Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon le 24 novembre dernier, ces dernières décisions viennent clore une phase de consultation riche et intense, au cours de laquelle le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) a rendu un avis et ses recommandations. Les ministres remercient l'ensemble des acteurs pour leurs contributions, qui ont permis de procéder à plusieurs ajustements du projet de réglementation afin d'en assurer sa mise en œuvre et son succès, tout en conservant son ambition initiale.En particulier, l'entrée en vigueur de la RE2020 sera finalement fixée au 1er janvier 2022, après une publication des textes d'ici la fin du premier semestre. Conservant un calendrier rapide de mise en œuvre, cette date laisse les quelques mois nécessaires à l'ensemble de la filière et notamment aux concepteurs et promoteurs pour mettre leurs projets à venir en conformité avec les nouvelles exigences. La mise en œuvre de la RE2020 sera par ailleurs l'occasion de simplifier les formalités administratives au moment du dépôt du permis de construire.De la même manière et afin d'assurer que la trajectoire fixée par la RE2020 permet aux innovations et développements industriels nécessaires de se déployer à temps, les autres jalons prévus par la RE2020 sont décalés d'un an (les dates de 2024, 2027 et 2030 devenant 2025, 2028 et 2031).Globalement, les exigences fixées par la RE2020, reflet des orientations du Gouvernement pour la transition écologique dans le secteur du bâtiment, demeurent inchangées, qu'il s'agisse de sobriété énergétique, de sortie des énergies fossiles, d'amélioration du confort d'été ou de décarbonation de la construction tout le long du cycle de vie. La concertation a permis de procéder à plusieurs ajustements.En matière d'énergiePour ménager la transition prévue à l'entrée en vigueur, des permis de construire pour des maisons individuelles chauffées au gaz pourront encore être obtenus jusqu'à fin 2023 lorsqu'un permis d'aménager prévoyant une desserte en gaz a déjà été délivré. Un régime spécifique sera également prévu pour encourager le développement des réseaux de chaleur, qui constitue un enjeu stratégique de la politique nationale de décarbonation du chauffage des bâtiments.En parallèle, la réflexion sur des mécanismes spécifiques de développement du biométhane pour les projets de construction se poursuivra.En matière de constructionLes ministres ont pu, lors des annonces du 24 novembre dernier, souligner la place croissante que seront amenés à prendre le bois et les matériaux biosourcés dans le futur de la construction. Emmanuelle Wargon a cependant tenu à souligner devant les acteurs réunis ce jour que la réglementation repose sur une exigence de résultat et non de moyens, permettra de faire place à la diversité des modes constructifs et favorisera la mixité des matériaux. Au-delà de l'usage de matériaux qui stockent le carbone (bois et biosourcés), cette nouvelle réglementation encouragera le recours aux matériaux géosourcés (comme la pierre de taille ou la terre crue) et aux matériaux plus usuels (brique et béton notamment) qui se seront décarbonnés, ainsi que l'introduction de davantage de mixité des matériaux.A cet égard, des ajustements concernant les seuils de l'impact carbone de la construction ont été présentés, qui, tout en conservant une pleine cohérence avec la stratégie nationale bas-carbone, permettent d'assurer qu'à l'horizon 2031 (dernier jalon fixé par la RE2020), des modes constructifs variés auront leur place et que, sous réserve de leurs engagements de décarbonation, tous les matériaux continueront d'être utilisés, selon leurs atouts respectifs.Des travaux de normalisation au niveau français et européen seront par ailleurs engagés sur la méthode d' « analyse en cycle de vie dynamique » retenue pour la réglementation pour décompter les émissions carbone tout au long de la durée de vie du bâtiment et prendre en compte le stockage temporaire du carbone.Afin d'accompagner la trajectoire ambitieuse que fixe la RE2020 et d'encourager l'innovation constructive, Emmanuelle Wargon annonce également l'ouverture d'un Appel à manifestations d'intérêt (AMI) dédié à la mixité des matériaux, financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA 4).Enfin, la réunion avec les parties prenantes a également été l'occasion d'échanger sur les enjeux d'industrialisation des processus et modes constructifs et des questions de compétitivité de la filière, à partir de la présentation par Robin Rivaton et Bernard Michel de leur rapport le sujet.Les professionnels du bâtiment vigilantsPour la FFB, les derniers arbitrages du gouvernement sur la règlementation environnementale 2020 (RE2020) vont dans le bon sens.De fait, affichant des ambitions qui restent très élevées, cette règlementation viendra renforcer la qualité environnementale des logements neufs et incitera les filières à innover. Elle constitue toutefois un pari sur l’avenir : certaines exigences à horizon 2028 / 2031 restent inatteignables avec les technologies actuelles et nécessitent de fortes évolutions de tous les métiers du bâtiment et dans l’industrie.Devant cette incertitude, la FFB se félicite de la mise en place d’une clause de revoyure « au fil de l’eau ». Elle permettra, en fonction des retours terrain recensés dans un observatoire ad hoc, d’adapter les exigences, à la hausse comme à la baisse.En revanche, la FFB regrette la stigmatisation du gaz et souhaite que les travaux pour la prise en compte du gaz vert se poursuivent.Pour Olivier Salleron, président de la FFB,« Dans sa nouvelle version, la RE2020 reste très ambitieuse et la FFB se félicite que la clause de revoyure permette, dans les prochaines années, d’adapter les exigences 2028 et 2031 à l’aune du retour d’expérience. Nous allons nous engager pour relever le challenge. Il faudra toutefois s’assurer de mesures d’accompagnement suffisantes pour permettre à nos clients de supporter les surcoûts associés à cette nouvelle marche et à nos entreprises de se structurer, se former et s’équiper en conséquence. »Historique de la réglementation thermique (RT)La première réglementation thermique a vu le jour en 1974, à la suite du choc pétrolier, avec pour objectif de fixer des limites de consommation énergétique pour les bâtiments résidentiels neufs. Au rythme d'environ une par décennie, les réglementations thermiques se sont succédé jusqu'à la réglementation thermique 2012 (RT2012), en application depuis le 1er janvier 2013 et aujourd'hui toujours en vigueur. Ces réglementations sont devenues plus exigeantes avec le temps et ont couvert des champs de plus en plus vastes. Chauffage, surface vitrée, ventilation ou encore isolation, elles ont néanmoins toujours gardé pour objectif quasi exclusif de réduire les consommations énergétiques. En signant l'Accord de Paris en 2015, la France a pris un engagement important dans la lutte contre le changement climatique. Les émissions de gaz à effet de serre doivent diminuer et l'effort se répartir parmi les différents secteurs. Cette ambition a été réaffirmée dans la loi énergie-climat qui prévoit d'atteindre la neutralité carbone en 2050. C'est un défi pour l'ensemble des secteurs et notamment celui du bâtiment, qui, représente plus de 25 % des émissions nationales en 2019, (en 2e position après les transports). Aussi, l'État, avec l'aide des acteurs du secteur, a lancé un projet inédit pour prendre en compte dans la réglementation non seulement les consommations d'énergie, mais aussi les émissions de carbone, y compris celles liées à la phase de construction du bâtiment : la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Cette nouvelle réglementation, qui viendra remplacer la RT2012, émerge de la volonté de l'État et du dialogue avec les acteurs qui ont décidé d'agir collectivement pour réduire les émissions du bâtiment. La RT2012 s'était grandement inspirée d'une expérimentation qui l'a précédée, à travers le label bâtiment basse consommation (BBC). De la même manière, l'État a lancé en 2017 l'expérimentation E+/C-, pour caractériser les bâtiments à la fois sobres en énergie et en carbone, servant ainsi de point de départ pour élaborer la RE2020.Pour la première fois, les acteurs de la construction ont pu travailler sur un indicateur carbone en cycle de vie, ce qui a permis de calibrer la réglementation environnementale. La RE2020 est désormais prête pour entrer en vigueur au 1er janvier 2022.
Il y a 4 ans et 87 jours

Manuel : 101 épopées de la construction française

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. [©Eyrolles] Depuis la nuit des temps, les hommes bâtissent des maisons, des routes, des édifices, des usines… L’histoire s’écrit par les traces que ces bâtisseurs laissent dans le paysage. Comme le disait Mark Twain&nbsp;: «&nbsp;Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait&nbsp;»… Il s’avère que la France a tenu et continue de jouer un rôle majeur dans l’histoire de la construction. Dans “101 épopées de la construction française”, cette histoire, encore méconnue, est racontée par des professionnels du secteur. Ces pages très illustrées nous montrent qu’un génie particulier a animé ces constructeurs. On apprend que c’est dans l’Hexagone que le système ogival a vu le jour, permettant d’élever les cathédrales. C’est encore en France qu’en 1817, Louis Vicat a inventé la composition définitive du ciment. Et qu’en 1848, François Coignet a été l’auteur de la première construction en béton armé. Au début du XXe siècle, le non moins génial Eugène Freyssinet mettait au point le principe de la précontrainte. Permettant, partout dans le monde, de construire des ouvrages publics de grandes dimensions… La liste est longue. Les auteurs n’ont volontairement&nbsp; retenu qu’une centaine d’épopées parmi les plus marquantes, sans omettre celles proches de nous. Résultats de prouesses collectives, elles nous révèlent aussi des trajectoires individuelles. Montrant à quel point l’acte de construire est enthousiasmant. Un bon début pour creuser plus davantage ces épopées. Editeur : Editions EyrollesAuteurs : Xavier Besançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max RochePrix : 20 €TTC www.edtions-eyrolles.com Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.