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(2540 résultats)
Il y a 4 ans et 36 jours

Le tunnelier Sofia est arrivé à la future station Place Carnot pour le prolongement de la ligne 11 aux Lilas (93)

Le tunnelier Sofia a débuté son parcours début d’année 2020 à la station La Dhuys. Il a depuis traversé les futures stations de Montreuil-Hôpital et Place Carnot. La prochaine étape est l’opération de ripage, puis la poursuite du creusement jusqu’à la future station Serge Gainsbourg, dernière station avant d’atteindre Mairie des Lilas.Porté par Île-de-France Mobilités et la RATP, maitres d’ouvrage conjoints du projet, le prolongement de la ligne 11 jusqu’à Rosny Bois-Perrier fait partie des nombreux projets engagés pour moderniser et développer le réseau de transport francilien.Le Saviez-vous ?Selon la tradition des travaux en souterrain, un tunnelier doit être baptisé avant de commencer à creuser. Le tunnelier de la ligne 11 du métro a ainsi été prénommé Sofia, en hommage à Sofia Amalou, Agent Animatrice mobile RATP qui accueille en station les voyageurs de la ligne 11 au quotidien.Sofia mesure 106 mètres et pèse 1.450 tonnes. Son utilisation permet d’optimiser la sécurité et la rapidité de réalisation du tunnel nécessaire à la jonction des différentes stations. Cela participe également à la réduction des nuisances associées à la réalisation de travaux à ciel ouvert (bruit, encombrement en surface...), d’où leur utilisation privilégiée pour les chantiers urbains.Le prolongement de la ligne 11Le prolongement de la ligne 11 s’étend sur 6 km et reliera le terminus actuel, Mairie des Lilas, au futur pôle multimodal de Rosny-Bois-Perrier, actuellement desservi par le RER E. Le projet, mené conjointement par la RATP et Île-de-France Mobilités, intègre l’adaptation et la modernisation de la ligne existante pour une mise en service à l’horizon 2023. D’un montant global de 1,3 milliard d’euros (aux conditions économiques de 2014), il est financé par l’Etat, la Région Île-de-France, la Société du Grand Paris, le Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, la RATP et la Ville de Paris. Il prévoit la création de 6 nouvelles stations (Serge Gainsbourg, Place Carnot, Montreuil-Hôpital, La Dhuys, Coteaux-Beauclair, Rosny-Bois-Perrier), dont une en viaduc. Un atelier de maintenance ainsi qu’un nouveau poste de contrôle centralisé de la ligne sont également programmés.En chiffres12 minutes entre Mairie des Lilas et Rosny-Bois-Perrier6 nouvelles stations1 min 45 entre chaque métro en heure de pointe31 000 voyageurs à l’heure de pointe du matin5 voitures par rame, contre 4 actuellement
Il y a 4 ans et 37 jours

Axe Seine Béton dévoile ses ambitions normandes

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Axe Seine Béton prend peu à peu pied en Normandie. [©BSM] SEINE-MARITIME. Les toupies fuchsia de Béton Solutions Mobiles (BSM), bien connues sur les chantiers d’Ile-de-France, circulent dorénavant en Normandie et bientôt sur tout l’axe Seine, reliant Le Havre à Paris. Mais c’est une nouvelle entité qui les exploite : Axe Seine Béton (ASB), filiale de BSM. Une première centrale à béton est déjà opérationnelle depuis septembre, implantée à Gonfreville-l’Orcher (76). Et ce n’est qu’un début. « L’objectif est d’ouvrir à court terme 7 à 8 unités de production fixes le long de la Seine », explique Philippe Tibère, président de BSM. Et de développer : « Le Grand port maritime de l’axe Seine, qui naîtra de la fusion des ports du Havre, de Rouen et de Gennevilliers, en 2021, présente un fort potentiel de développement économique. Il nous semblait stratégique de nous y positionner ».  Pour ce projet d’envergure d’ouverture de centrales à béton, ASB prévoit un investissement de 10 M€. Et la création d’une cinquantaine d’emplois directs, dans les deux ans à venir. A ceci s’ajoutera la mise en circulation de 40 toupies pour acheminer le béton sur les chantiers de la région normande. Ainsi, d’ici la fin du premier semestre 2021, deux unités de production fixes doivent être mises en service, toujours dans la périphérie du Havre et de Rouen. Aussi, des postes de commerciaux et d’agents techniques sont à pourvoir. A bon entendeur… Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 37 jours

MRO reprend l’importation des solutions Reimer

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les solutions Reimer sont désormais importées par MRO. [©MRO] Charente-Maritime. Déjà présente à travers le réseau d’Abo Distribution, le Canadien Reimer est désormais distribué en France par Matériels Routiers de l’Ouest (MRO). Depuis renommé ProAll Reimer Mixers, l’industriel propose toujours des malaxeurs mobiles capables de produire du béton à la norme BCPN (Béton à composition prescrite dans une norme) sur place, à la qualité et à la quantité souhaitées. « Nous avons repris cette carte en juillet 2020, explique Sylvain Augeraud, gérant de MRO. Nous sommes les distributeurs uniques de ProAll Reimer Mixers pour la France. Nous avons aussi un stock d’environ 38 000 € de pièces détachées, qui nous permet de répondre aux besoins les plus urgents de nos clients. Nous avons mis en place un SAV, qui n’existait plus. » Ce service s’appuie sur un responsable technique qui réalise le suivi des machines, le dépannage à distance et les mises en route des machines. Un second technicien est en cours de recrutement. Il aura en charge les déplacements pour réparation.  « A l’origine, MRO distribue des centrales à enrobé pour les entreprises de travaux publics. A travers cette activité, j’ai été amené à croiser les solutions Reimer. Et j’ai tout de suite été convaincu par ce véritable service offert aux entreprises, ce gain en indépendance et cette liberté de planning. Quand on m’a proposé de reprendre l’importation et la distribution, je n’ai pas hésité. » MRO reprend aussi le carnet de clients déjà établi de Reimer en France, tout en le développant, vers les entreprises de travaux publics.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 37 jours

3Béton s’implante sur l’arc alpin

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La nouvelle centrale 3Béton est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. [©3Béton] Isère. Une nouvelle entreprise de production de béton prêt à l’emploi est en train de voir le jour dans la région grenobloise. C’est à Domène, en périphérie Est de la préfecture iséroise, que 3Béton achève la construction de sa toute première centrale. « 3Béton souhaite se positionner sur les solutions bas carbone et valorisant les matières premières issues du recyclage », indique Emmanuel Garcia, directeur technique et co-fondateur de 3Béton. Ceci, avec Patrick Sallemand et Laurent Morniroli. Le nouvel entrant s’inscrit donc dans l’air du temps. « Le contexte de la construction est en pleine mutation. Les attentes des utilisateurs évoluent aussi. L’expérimentation est acceptée plus facilement. » Laitier de hauts fourneaux, granulats recyclés, formulations adaptées constituent ainsi les fondamentaux de l’entreprise, qui reste ouverte à toutes les opportunités.  De fait, son outil industriel est dimensionné pour les bétons bas carbone. Sa première caractéristique est d’être construit à l’abri d’un bâtiment fermé. Une approche qui simplifie la gestion des éventuelles émissions de poussières et du bruit. De conception italienne, la centrale signée MCF Systems s’articule autour d’un malaxeur vertical de 2 m3 de même marque, « adapté à nos spécifications », reprend Emmanuel Garcia. Pour accueillir les granulats, pas moins de huit cases, de capacités variables ont été prévues. Et cinq silos à liants de 80 t unitaire complètent le dispositif de stockage. Enfin, l’adjuvantation n’est pas en reste, avec la présence de dix cuves dédiées.   3Béton a prévu de produire ses premières formulations début d’avril. Et ambitionne de créer une dizaine de centrales, à terme, sur le secteur Annecy – Chambéry – Grenoble. En attendant, l’industriel vient de signer un contrat de fourniture de BPE pour le projet du Club Med à Tignes, via une centrale mobile qui sera installée sur site. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 37 jours

SBM recherche un partenaire français

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Alexander Kraus est le responsable commercial centrales à béton de SBM. [©SBM] SBM est un industriel autrichien intervenant dans plusieurs domaines. Pouvez-vous nous indiquer vos spécialités ? Pour commencer, SBM est une entreprise avec 70 ans d’expérience, qui se développe autour de deux axes : la production de béton et celle de matériaux de carrière. Nous comptons 165 collaborateurs. Nos marchés principaux sont bien entendu l’Autriche, où est installée notre usine, à Oberweis. Mais aussi l’Allemagne et la Suisse. Sur ces marchés, l’ensemble de notre catalogue est plébiscité, aussi bien nos centrales fixes classiques, mobiles, super mobiles ou conteneurisées. Au total, nous sommes présents dans une trentaine de pays, en particulier avec notre unité super mobile Euromix. Surtout sur les chantiers où il est nécessaire de s’appuyer sur une centrale mobile de forte capacité. Nos solutions conteneurisées sont aussi très bien perçues sur les marchés scandinaves, où les besoins sont très spécifiques. Les centrales mobiles représentent 50 % de notre activité. Les autres 50 % se réalisent autour des projets d’infrastructure majeurs comme les lignes de chemin de fer, les autoroutes ou les ports. Nous concevons et installons des équipements sur mesure qui s’adaptent à ces projets. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 4 ans et 37 jours

Refaire place : esplanade publique et petit commerce en centre bourg par Bauchet & de La Bouvrie

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°295-avril 2021) et disponible en format numérique: un événement sur l'enseignement de l'architecture et les débats qui agitent les enseignants des Ensa, un dossier sur l'habitat pour séniors, des détails "cloisons mobiles" et une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 48 jours

Mann+Hummel lance des purificateurs d'air antiviraux pour lutter contre la Covid-19

La pandémie de Covid-19 a bouleversé la vie quotidienne des habitants partout dans le monde. Par crainte du virus et pour limiter sa propagation, des restrictions ont dû être mises en place comprenant de gestes barrières, des couvre-feux et des fermetures de magasins et de restaurants. Nous portons des masques, nous nous lavons et nous désinfectons régulièrement les mains et nous aérons les pièces dans lesquelles nous vivons. Pourtant, le doute subsiste. Le Covid-19 et d’autres virus ne sont-ils pas présents dans l'air lorsque nous sommes au restaurant, dans la salle d'attente d'un cabinet médical ou dans une salle de classe ?Les spécialistes de la filtration de MANN+HUMMEL (Ludwigsburg, Allemagne) ont mis au point des méthodes et des appareils efficaces pour purifier l'air de manière fiable.« Nos purificateurs d'air antiviraux sont capables de filtrer en toute sécurité plus de 99,995 % des virus, bactéries et micro-organismes présents dans l'air ambiant grâce à leurs filtres HEPA H14 certifiés ISO 29463 et EN1822 », explique Jan-Eric Raschke, directeur des systèmes de solutions d'air chez MANN+HUMMEL. « Nos appareils sont compacts et silencieux, peu coûteux d’utilisation et faciles à entretenir. »« Nous sommes également en mesure de lutter contre les virus en améliorant les systèmes de ventilation et de climatisation déjà installés » déclare Frank Spehl, directeur R&D de la division « Filtration de l’air » de MANN+HUMMEL.En les équipant de filtres HEPA, les systèmes de chauffage, ventilation et climatisation (CVC) peuvent contribuer à une amélioration significative de la qualité de l'air sans intervention majeure ni augmentation des coûts énergétiques.Utilisation de la technologie des salles blanchesCes avancées sont rendues possibles grâce à la longue expérience de MANN+HUMMEL en la matière : depuis 80 ans, ses experts séparent l'utile du nuisible avec des dispositifs de filtration de pointe. Déployés d’abord dans le secteur automobile à partir de 1941, ces dispositifs ont successivement été étendus à d'autres domaines. A titre d’exemple, la Société assure avec succès, depuis six décennies, l'assainissement de l'air dans les environnements les plus sensibles comme les salles blanches et les salles d'opération.« Nous avons pu nous appuyer sur ces précieuses connaissances pour développer nos purificateurs d'air. Cela nous a permis de rapidement mettre ces appareils sur le marché : ils ont été testés avec succès dans le cadre de nombreuses études scientifiques et sont maintenant à la disposition de nos clients pour un usage simple et fiable », déclare M. Raschke.Cette réussite s’explique aussi par le choix d’internaliser la production de ces filtres : « Tous les filtres que nous installons sont produits et testés au sein de nos sites de production européens. Même si le terme ‘filtre HEPA’ n'est pas protégé, nos clients peuvent compter sur MANN+HUMMEL pour leur fournir des produits d'excellence : si nos filtres sont étiquetés HEPA, nous garantissons qu’ils sont de qualité HEPA », affirme M. Spehl. Que le virus mute ou que la pandémie du Covid-19 s'atténue, ces filtres seront toujours de grande utilité. En effet, même les virus de la grippe et le pollen n'ont aucune chance face à eux ! Grâce à ces filtres, même les personnes allergiques peuvent respirer tranquillement.Les produits en un coup d'œilEn fonction de la taille de la pièce, trois systèmes mobiles de purification de l'air sont disponibles pour fournir un air plus sain et sans virus, et ce dans pratiquement tous les types d’intérieur : l'OurAir SQ 500 (pour les pièces mesurant jusqu'à 40 mètres carrés), l'OurAir TK 850 (pour les pièces mesurant jusqu'à 70 mètres carrés) et l'OurAir SQ 2500 (pour les pièces mesurant jusqu'à 200 mètres carrés). Pour les pièces particulièrement grandes, plusieurs unités peuvent être placées de manière modulaire. Suivant le principe du « plug-and-play », les OurAir fournissent immédiatement un air plus sain.Chaque modèle de la gamme est équipé d'un filtre HEPA H14 qui capture plus de 99,995 % des virus, bactéries et autres micro-organismes présents dans l'air. Ces filtres sont testés individuellement afin de garantir le plus haut niveau de sécurité. Nos purificateurs d'air offrent une qualité d'air équivalente à celle que l'on trouve dans les salles blanches et les salles d'opération, contribuant ainsi à faire des espaces intérieurs des lieux sûrs et libérés de tout virus. Les systèmes de CVC existants peuvent également être équipés de filtres HEPA ou complétés par des unités mobiles OurAir.
Il y a 4 ans et 49 jours

Jung dévoile une prise électrique avec port USB intégré

Si le télétravail ou le co-working a déjà séduit de nombreux français depuis quelques années, dans le contexte de la crise sanitaire actuelle cet engouement s’accentue pour devenir ce qui sera probablement une nouvelle forme nécessaire d’organisation du travail. Ainsi, dans la maison ou sur un espace de co-working, la question de l’encombrement des prises électriques se pose jusqu’au développement par JUNG de cette prise électrique avec ports USB intégrés.Les prises JUNG avec ports USB intégrés garantissent une installation électrique peu encombrante et offrent différentes possibilités pour charger divers appareils. Elles disposent d’une protection accrue contre les contacts. Elles séduisent par leur puissance de charge particulièrement élevée : JUNG Quick Charge® permet de recharger des appareils mobiles avec une puissance pouvant aller jusqu’à 18 watts. 105 minutes suffisent par exemple pour charger à 100% un iPhone 11.JUNG propose d’intégrer la prise dans les cadres des séries A et LS qui offrent un vaste choix de designs et de couleurs, LS ZERO permet une incorporation élégante, à fleur du meuble. Les nouvelles surfaces mattes en noir graphite et blanc neige donnent aux cadres, un aspect épuré et moderne.
Il y a 4 ans et 55 jours

Trimble Connect : Convivial et collaboratif

Trimble Connect est une plateforme d’intégration et de communication basée sur le cloud qui relie les bonnes personnes aux bonnes données, au bon moment. Trimble Connect fournit des informations actualisées et utilisables pour les projets prêts à être réalisés : visualiser, examiner et référencer les modèles Tekla, les plans et autres données dont vous avez besoin pour mener à bien un projet de construction.  Avec Trimble Connect, vous pouvez travailler à tout moment, n’importe où et depuis n’importe quel appareil – La plateforme est accessible. Vous travaillez toujours avec des informations fiables et précises. Trimble Connect peut être utilisé dans les différentes phases du processus de construction, lors de la coordination et de la conception mais également pour communiquer sur le chantier ou hors site ainsi que pour la gestion des activités et des tâches au cours du projet. Vous pouvez partager les modèles, les plans et tous autres documents de Tekla: Visualisation, révision, modèle de référence et archivage avec historique des révisions. Trimble Connect dispose d’interfaces utilisateur conviviales pour les postes de travail et les appareils mobiles (iOS et Android) et même pour les appareils de réalité mixte (MR). La plateforme vous aide à garder le contrôle des modifications grâce à une collaboration constante. Ainsi les révisions couteuses dues aux informations périmées ne sont plus qu’un mauvais souvenir.Trimble Connect relie les données tout au long de chaque phase du cycle de vie du bâtiment afin de respecter les délais et le budget du projet. Vous pouvez télécharger et partager des documents de plus de 50 outils standards de l’industrie ou ajouter vos propres outils grâce aux API (Application Programming Interface). Trimble Connect et les outils de workflow sont disponibles en 16 langues. Regarder la vidéo En savoir plus Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations sur les logiciels Tekla, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 4 ans et 56 jours

Venteo lance cPURE, un purificateur d’air haute performance, en partenariat avec Eurevia

En effet, les particules virales peuvent se disperser dans un espace intérieur insuffisamment ventilé et rester en suspension dans l’air pendant des heures et s’y accumuler. Pour réduire significativement la concentration de particules virales, absorber les polluants et assurer un air sain, Venteo, expert en qualité de l’air intérieur, complète son expertise en lançant cPURE, un purificateur d’air mobile unique qui permet une décontamination en temps réel et rapide.Le seul purificateur d’air mobile efficace contre le coronavirus, doté d’un système de monitoring de la décontamination en temps réelUn purificateur d’air haute performance et naturel sans agent chimique et sans rayonnementAfin de lutter efficacement contre le coronavirus, d’absorber les polluants et d’améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos, Venteo propose cPURE un purificateur d’air haute performance. En effet, ce système a été conçu pour aseptiser l’air des salles blanches des hôpitaux et des industries de précision. Son niveau de performance exceptionnel lui permet d’agir efficacement dans tout type de locaux qu’il est nécessaire d’aseptiser tels que les bureaux, les écoles, les Ehpad, les restaurants, les lieux culturels, les magasins, les salles de sport...« Nous sommes ravis de compléter notre gamme d’expertise avec le lancement du purificateur d’air, cPURE. Ce système ultra performant permet d’apporter une protection supplémentaire contre la transmission des virus et d’assurer un assainissement optimal de l’air intérieur, particulièrement nécessaires en cette période de crise sanitaire », déclare Axel Ballion, DG de Venteo.cPURE est équipé d’un filtre absolu HEPA 13 haute efficacité, répondant aux exigences de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), qui offre une purification naturelle sans agent chimique et sans rayonnement. Ce système garantit également une préfiltration moléculaire favorisant la désodorisation et l’épuration des polluants gazeux présents dans la pièce traitée : micro-organismes, virus et bactéries ; particules fines atmosphériques ; allergènes et pollens ; odeurs de transpiration, de fumées... ; Composés Organiques Volatiles (COV).Seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de véhiculer le coronavirus.Chaque unité cPURE est livrée avec son certificat de test individuel justifiant d’une efficacité de filtration supérieure à 99,95% des particules de 0,3 μm.Une décontamination rapide de la pièce en temps réelcPURE est le seul système mobile doté d’un monitoring de la décontamination de la pièce en temps réel qui s’opère rapidement : 100 m2 sont décontaminés en moins de 30 min.Via un écran tactile, intuitif et ergonomique, les courbes de suivi de la décontamination apparaissent en temps réel et mesurent, grâce à des capteurs, le nombre et le type de particules fines présentes dans l’air en fonction de leurs diamètres. Lors de cette opération, la couleur de la bordure de l’écran change et indique l’état de la décontamination et donc celui de la qualité de l’air intérieur. Plus l’air est purifié et plus la courbe décroît.Ce purificateur d’air propose, notamment, une programmation de l’ensemble des paramètres de fonctionnement pour adapter le purificateur au plus près des besoins ainsi que l’affichage de l’état de santé de l’appareil.Les principales caractéristiques du cPURE sont :Equipé d’une régulation rCONNECT, le purificateur cPURE est capable de communiquer sous de nombreux protocoles (HMI via extensions IP, Ethernet via BACnet/IP, OPC, ModBus TCP/IP, sauvegarde USB...) permettant ainsi une supervision optimisée, simple d’utilisation et sécurisée. Performant, sobre et silencieux, l’appareil offre une mobilité aisée car il dispose de 4 roues pivotantes avec frein et une stabilité lorsqu’il est en fonctionnement. Il est équipé d’une prise électrique classique à brancher sur secteur 230 V.« Garantir et respirer un air sain dans un espace clos est synonyme, notamment, de l’allongement de l’espérance de vie, de la réduction des coûts médicaux, d’une amélioration de la bonne humeur et de la productivité. La solution cPure proposée par Venteo, en partenariat avec Eurevia, agit en ce sens en assurant le bien-être et la santé de chaque occupant », conclut Axel Ballion.
Il y a 4 ans et 58 jours

Déploiement de la 5G dans le port du Havre

Les entreprises présentes sur la zone portuaire du Havre bénéficient en primeur depuis la semaine dernière de la nouvelle technologie mobile 5G fournit par Orange, assurant des débits jusqu’à 4 fois plus rapide que la 4G. Le Havre devient ainsi le premier grand port maritime français à en bénéficier.
Il y a 4 ans et 58 jours

Chronique du Geek – Les applications de mars 2021

Dans l’optique d’avoir à tout moment des outils pratiques sous la main, le Geek présente ce mois-ci cinq applications mobiles pour créer des documents, suivre les chantiers, gérer les fichiers PDF, prévoir le soleil et mesurer la lumière.  Créer documents et notes Craft-Éditeur de documents Éditeur : Luki Labs Limited   Captures d’écrans   Description […] L’article Chronique du Geek – Les applications de mars 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 59 jours

Le paradoxe de l'insolvabilité des entreprises en Europe: miracle et mirage

Un paradoxe se dessine entre la détérioration de la santé financière des entreprises et la baisse des défaillances, selon les dernières études de Coface, acteur leader de l'assurance-crédit. La simulation de Coface démontre que la diminution des défaillances suggère qu'elles ont été reportées plutôt que prévenues, on les appelle « défaillances manquantes ». Il existe donc des entreprises non viables dont la faillite n'est qu'une question de temps.Un tendance similaire dans les principaux pays de la zone euroEn France, le sort de 22.000 entreprises reste en suspens : ces défaillances « manquantes » devraient se matérialiser progressivement d'ici à 2022. Coface estime le nombre de défaillances « manquantes » à 8.600 dans le secteur de la construction, 1.800 dans le commerce, 1.500 dans l'industrie manufacturière, 1.200 dans les services aux entreprises et près de 800 dans le transport. Jusqu'à présent, bien que la crise économique ait affecté inégalement les secteurs, le nombre de défaillances a chuté dans toutes les filières, y compris celles à l'arrêt depuis plusieurs mois. De même, toutes les régions françaises ont enregistré un net recul du nombre de défaillances en 2020, allant de -34% en Bretagne à -49% en Corse. Dans l'hexagone, sans le Fonds de solidarité, le résultat d'exploitation du secteur de l'hébergement et de la restauration se serait contracté d'un pourcentage estimé à -109 %, au lieu des -17 % estimés par Coface. Les répercussions en matière d'emplois sont tout de même restées limitées, avec 126.000 postes concernés par les défaillances sur l'année, soit le plus faible niveau depuis 2006.En Allemagne, Coface estime le nombre des défaillances manquantes à 21% de leur niveau de 2019 (soit environ 3950 défaillances). Alors qu'au début de la pandémie, Coface anticipait une hausse des défaillances de 9% sur 2020, celles-ci ont fini par baisser de 15%. Ce résultat est dû en partie au fait que le gouvernement allemand a suspendu temporairement l'obligation d'ouvrir une procédure de défaillance en cas d'insolvabilité (moratoire sur défaillances) pour donner aux mesures de soutien le temps de prendre effet. Les secteurs allemands de la métallurgie et de l'automobile, tous deux en récession depuis bien avant la pandémie, ont enregistré une hausse des défaillances par rapport à 2019.En Espagne, le programme de chômage partiel a démontré son efficacité. Par exemple, dans le commerce de détail, les simulations de Coface indiquent que le dispositif de chômage partiel a limité la baisse des profits à -26% au deuxième trimestre, contre un -67% dans son absence. Ces mesures n'ont désormais pas empêché une hausse fulgurante des défaillances dans le secteur du tourisme de 90% en glissement annuel dans le deuxième semestre de 2020. Les défaillances manquantes espagnoles s'élèveraient à environ 1600 (34% de leur niveau de 2019).Enfin, en Italie, Coface estime la taille des défaillances manquantes à environ 39% de leur niveau de 2019 (soit 4.100 défaillances). Selon la simulation du groupe, les défaillances auraient pourtant dû augmenter de 7%.Des perspectives préoccupantesToutes les défaillances « manquantes » ne devraient cependant pas se manifester en 2021. La continuité des moratoires sur l'insolvabilité ainsi que celle des mesures d'aide et du soutien des banques seront déterminantes.Le processus de "rattrapage" des défaillances à partir de 2021 sera directement corrélé à la rapidité avec laquelle les mesures de restrictions prendront fin, qui découle elle-même de la vitesse des vaccinations. Elle dépendra ensuite de la volonté de l'État de continuer à apporter son soutien, d'autant que la grande majorité des entreprises ne commencera (par exemple, en France), à rembourser les prêts garantis par l'Etat (PGE) qu'à partir de 2022.L’intégralité de l’étude est disponible à cette adresse.
Il y a 4 ans et 59 jours

DELABIE : BLACK BINOPTIC

Avec BLACK BINOPTIC, DELABIE conçoit une robinetterie design pour des sanitaires haut de gamme. Focus sur un produit innovant. DELABIE tisse dans les nouveaux lieux de vie accueillant du public – les musées, les restaurants, les sièges d'entreprises, les aéroports – une nécessaire passerelle entre design, architecture et intérieur. Avec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE propose à la vente une collection sophistiquée qui conjugue performance et élégance.Déjà choisie et installée dans de nombreux lieux publics à travers le monde, notamment l’Aéroport International d’Abu Dabi, la Tour Incity de Lyon, la Métropole Européenne de Lille, le nouveau centre culturel Tai Kwun (Hong Kong) et la Tour Majunga à La Défense, la gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC est à la fois esthétique et fonctionnelle.Pour chaque intérieur, il y a une robinetterie BINOPTIC adaptée. La collection BLACK BINOPTIC s'invite dans les nouveaux lieux de vie dans une version noir mat. Sa conception 100 % chrome noir offre une résistance optimale à l'usage intensif, garantit des économies d'eau et d'énergie, ainsi qu'une hygiène totale grâce à un rinçage quotidien antibactérien, un bec à intérieur lisse et un robinet avec capteur pour une utilisation sans contact manuel. Une gamme de qualité spécifiquement conçue pour les lieux publics.Pour en savoir plus, visitez le site de DELABIE. Visuels : © DELABIELa rédaction
Il y a 4 ans et 64 jours

Echafaudage mobile multidirectionnel pour le Centre Pompidou

Dans le cadre de la rénovation du Centre Pompidou, sous maîtrise d’œuvre de RENZO Piano Building Workshop, FMS RINGUE, spécialiste de la location, de la pose et dépose d’échafaudages, a été retenu aux côtés de Tubesca-Comabi, par la société MULTISPE afin de remplacer les nacelles existantes sur les 6 niveaux de l’édifice. Elles servent à nettoyer les tunnels de verre au quotidien. Le bureau d’études de Tubesca-Comabi a mis au point une solution technique innovante et sur-mesure qui répond aux contraintes de ce chantier hors-normes : un échafaudage suspendu destiné à être placé au-dessus des grands tunnels de verre du bâtiment. Le chantier de montage et démontage a démarré en février 2021 pour une durée de 6 mois. Grâce à la mobilisation de 6 monteurs qualifiés de chez FMS RINGUE, les nacelles actuelles seront entièrement démontées et remplacées par la société MULTISPE. La solution d’échafaudage retenue par le bureau d’études est le multidirectionnel M368 (8 positions), transformé également en échafaudage mobile. Son assemblage permet de répondre aux contraintes des formes géométriques du bâtiment et fait toute la spécificité et la technicité de ce chantier.
Il y a 4 ans et 64 jours

Deltamod investit dans une nouvelle usine au service du reconditionnement des bâtiments modulaires

Implanté sur la commune de Nort-sur-Erdre près de Nantes (44), les dirigeants ont décidé de donner un nouvel élan à leur activité en investissant près de 5 millions d’euros dans une nouvelle usine dédiée au stockage et reconditionnement de bâtiments modulaires.Une nouvelle usine au service de l’économie circulaire30.000 m² de surface de stockage d’anciens bâtiments modulaires et plus de 3.000 m² de surface industrielle pour les reconditionner et leur donner une seconde vie, voici la nouvelle usine sortie de terre près de Nantes (44) sur la commune de Nort-sur-Erdre.Cet investissement de 4,8 millions d’euros coïncide avec la montée en puissance de l’économie circulaire et le côté précurseur des dirigeants en 2013. Si le métier de la construction hors-site et notamment le bâtiment modulaire préfabriqué était en plein essor à cette époque, ils ont été les premiers à croire dans le marché de la « seconde main » ou plutôt comment allonger ou donner une seconde vie aux bâtiments modulaires.« Il faut savoir que 70% des déchets produits en France sont issus du secteur du BTP (ADEME & CGDD). Le réemploi entre dans une démarche de développement durable et d’économie circulaire. Il permet à la fois de diminuer l’impact carbone lié au transport et de réduire les déchets » évoque Pierre Visonneau, Directeur général de Deltamod.« Nous avons donc été les premiers à proposer une offre de modulaires d’occasion pour ensuite rapidement faire évoluer ce service vers du sur-mesure en reconditionnant les modulaires en fonction du cahier des charges de notre client. Le reconditionnement peut être minime comme totale tout en respectant un principe de base à savoir minimiser les déchets au maximum » ajoute James Moutaouadhia, Président Directeur Général de Deltamod.La jeune entreprise s’est donc développée rapidement pour atteindre un chiffre d’affaires de plus de 6 millions d’euros en 2020 en employant 30 salariés dans tous les métiers du reconditionnement (plombier, électricien, peintre, logisticien sans oublier le personnel du bureau d’études, commercial et administratif).Un marché du modulaire de réemploi en forte croissanceL’avantage principal du bâtiment modulaire par rapport à la construction traditionnelle réside dans son temps de conception et sa modularité. Ce phénomène est encore plus vrai avec le marché du réemploi.Avec un stock permanent de plus de 500 modules, la société Deltamod est capable de répondre immédiatement à un besoin de mètres carrés supplémentaires. Que ce soit en occasion avec une disponibilité immédiate ou du sur-mesure, le donneur d’ordre accède à une réactivité hors-norme sans rogner sur la qualité du bâtiment.Si le marché du modulaire en France représente plus de 1 Millard d’euros en France, celui du réemploi est seulement de 2% en 2020. Certes, c’est encore peu mais la demande pour ce type de structure grandit chaque année. Le marché du réemploi est entrain de devenir un réflexe dans le choix des collectivités ou des industriels au même titre que dans les secteurs de la téléphonie ou encore l’automobile.« La préoccupation environnementale est de plus en plus forte et les besoins de plus en plus nombreux. Il était important de structurer notre activité et de proposer un service à 360° pour le marché du réemploi » explique Pierre Visonneau.« Nous avons donc créé 4 activités distinctes pour répondre à la demande. Occamod pour la partie modulaire Occasion et Deltamod Solutions pour le reconditionnement sur-mesure. D’autre part, nous avons souhaité anticiper et éviter la démolition systématique des préfabriqués en créant notre branche Deltamod Recycling qui nous permet de racheter ou reprendre gracieusement les bâtiments qui encombrent et ne servent plus. Cette action est vitale pour disposer d’un stock à reconditionner » enchérit James Moutaouadhia.« Enfin, notre dernière activité est le transfert modulaire.Ce principe consiste à déplacer un ou plusieurs bâtiments modulaires d’un site existant vers un nouveau site.Cela permet de donner de nouvelles perspectives à des collectivités ou sociétés qui disposent de modulaires et qui souhaitent leur donner une nouvelle fonction. De plus, nous pouvons également reconditionner les bâtiments sur place avec notre équipe pour lui donner un autre usage que son origine. Nous donnons ainsi un vrai sens à l’action du reconditionnement. » ajoute Pierre Visonneau.Des donneurs d’ordre déjà convaincusLe signal fort de ces dernières années est le nombre de demandes qui explose pour le modulaire de réemploi et notamment pour des surfaces de plus en plus grandes. Si dans les années 2000, le modulaire avait une image« basique » pour un usage de stockage ou de base vie, les industriels du secteur ont contribués à la montée en gamme avec des ouvrages de grande qualité.Bureaux, écoles, réfectoires, crèches, club house, espaces d’accueil ou de loisirs, ou encore centre d’hébergement, la liste des réalisations de la société Deltamod en dit long sur son potentiel de développement.Les deux derniers chantiers majeurs de Deltamod en attestent avec la réalisation d’un centre d’hébergement modulaire de 5.000 m² sur la commune de Clichy (92) ou encore l’opération de reconditionnement modulaire de 1 700 m² de bureaux administratifs en R+2 pour le CEA Bruyères-le-Châtel.Le premier chantier réalisé à la demande de ALTERALIA, démontre la rapidité d’intervention pour la création de 400places en urgence et 6 mois de réalisation intégrant toute la phase de terrassement, reconditionnement, transfert et mise en service de plus de 100 modules et 5.000 m² de surface.Le second exprime l’intérêt du métier de Deltamod à savoir le rachat ou la reprise des anciens modulaires pour les reconditionner. L’entreprise a ainsi racheté 1 200 m² de surface modulaire inutilisée à la société PSA Sochaux puis ajouter 500 m² de modules supplémentaires provenant de la société Sanofi pour les transférer sur le nouveau site et ainsi créer un seul bâtiment total de 1.700 m² pour le CEA.« C’est la joie de notre métier, petites ou grandes surfaces, modulaires existants à déplacer, modulaires anciens à reconditionner, modulaires à transformer pour un nouvel usage, il faut savoir s’adapter dans ce métier en gardant toujours à l’esprit de reconditionner à bon escient » conclut Pierre Visonneau.Avec + de 10% de croissance par an et son nouvel outil industriel, la jeune entreprise Nantaise se donne5 ans pour tripler son chiffre d’affaires. Avec déjà 8 recrutements programmés en 2021, nul doute que le modulaire de réemploi a de belles années devant lui et un ambassadeur de choix avec la société Deltamod.
Il y a 4 ans et 66 jours

Gérez vos chantiers depuis votre Smartphone avec Sage e-chantier Alobees

Synchronisée avec le logiciel Sage Batigest Connect, cette application vous offre des fonctionnalités innovantes pour optimiser toutes les facettes de la gestion chantier : planning, alertes, stockage de documents… Explications.Un outil de gestion de chantier tout-en-unCompatible avec Sage Batigest Connect, l'application Sage e-chantier Alobees vous permet de gérer toutes les facettes de votre activité depuis votre téléphone mobile et en temps réel.Suivez vos chantiers en direct : les renseignements intégrés dans Batigest Connect et e-chantier Alobees sont automatiquement synchronisés, sans ressaisie. Les utilisateurs peuvent consulter et modifier les informations à tout moment, mais également y ajouter des documents (photo, vidéo, commentaire, etc.). Tous les acteurs peuvent ainsi participer à la vie du chantier en temps réel ;Centralisez toutes les informations : grâce à un stockage illimité en volume et en durée, vous pouvez centraliser toutes les informations relatives à vos chantiers sur une interface unique. En tant qu'administrateur, vous définissez les droits d'accès pour chaque utilisateur. Ceux qui sont rattachés à un projet peuvent ainsi consulter les documents relatifs et recevoir une notification lorsqu'un nouvel élément est publié ;Planifiez vos chantiers : depuis e-chantier Alobees ou Batigest Connect, les administrateurs et conducteurs de travaux peuvent définir et modifier les plannings des équipes. Vos compagnons peuvent ainsi consulter leurs horaires depuis leur Smartphone en temps réel et sont directement informés en cas de modification ;Gérez les horaires de vos collaborateurs : les collaborateurs désignés (conducteur de travaux, chef de chantier, etc.) peuvent déclarer les heures travaillées par les équipes depuis leur Smartphone. Vous disposez ainsi d'une feuille d'heures déclarative, remplaçant les feuilles de présence, que vous pouvez transférer automatiquement vers Batigest Connect. Le suivi des horaires et la gestion de la paie s'en voient ainsi facilités.Un suivi des chantiers innovant et optimiséSimple d’utilisation et polyvalente, l’application Sage e-chantier Alobees a été pensée pour tous les professionnels du BTP et vous offre des fonctionnalités innovantes pour mieux gérer vos chantiers.Pour tous les professionnels : à la fois simple et performante, l’application Sage e-chantier Alobees peut être utilisée par un artisan indépendant, une PME ou même une grande entreprise. Elle s’adresse également à tous les professionnels du bâtiment, à l’image des conducteurs de travaux, des chefs de chantier ou encore des ouvriers ;Une interface web et mobile : accessible sous Android et iOS, cette application peut être utilisée facilement depuis votre Smartphone. Mais vous pouvez également vous en servir sur votre ordinateur, au moyen de votre navigateur web. L’idéal pour gérer votre activité sur le terrain, mais également depuis vos bureaux ;Des fonctionnalités performantes : communication en temps réel avec les équipes, suivi en direct de l’avancement du chantier, localisation des collaborateurs… autant de fonctionnalités qui simplifient votre gestion de chantier.Des mises à jour automatiques : l’application mobile et web Sage e-chantier Alobees s’actualise automatiquement dès qu’une mise à jour est disponible. Tous les utilisateurs disposent ainsi de la même version au même moment, évitant ainsi les éventuels problèmes de compatibilité.En savoir plus sur Sage e-chantier Alobees
Il y a 4 ans et 66 jours

Histoire de marque : Work4cad

Bati-Journal vous présente « Histoire de marque » : Work4CAD Yoann QUELLIEN, PDG de Work4CAD nous ouvre les portes de ses nouveaux locaux. Il revient sur l’histoire et le développement du groupe et nous présente les différentes entités et leurs synergies : CadWork, éditeur de logiciel 3D/CFAO CadCom, agence globale de communication CadDev, développement web/logiciel/mobile Capture4Cad, captation de données et modélisation 3D Toutes les informations sur w4c.group
Il y a 4 ans et 71 jours

L’Afpa encourage les femmes qui osent !

Les 7 lauréates de gauche à droite : Cécile Dubois, Harmony Delacour, Marine Montin, Lisa Marteau, Florbela Loureiro Da Rocha Gil, Denitsa Hristova, Sylvie Linxe. [©Johanne Goudstikker] L’agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) se mobilise pour l’égalité professionnelle et la mixité des métiers. Opérateur majeur de la formation en Europe, l’Afpa a lancé un concours destiné à valoriser les femmes ayant choisi une formation dans un métier accueillant moins de 30 % de la gent féminine. Intitulé les “Trophées Afpa Métiers pour ELLES”, cet évènement est l’occasion d’inciter et d’encourager les femmes à s’ouvrir à des métiers encore stéréotypés. Les deux seules conditions pour participer étaient de suivre une formation dans des secteurs comme le BTP, l’industrie, les transports, la logistique ou encore l’informatique. Et d’être en stage à l’Afpa à la date de candidature. Un engagement pour l’évolution des genres dans les métiers Quelque 250 candidatures ont été examinées par un jury composé de 11 experts de l’entreprise, du sport ou encore de l’université. Mais seulement 7 femmes ont été désignées lauréates. « Cet évènement spécial met en valeur des femmes qui osent surmonter les préjugés et les difficultés. Et qui choisissent de se former à un métier dit “masculin” », déclare Pascale Gérard, directrice innovation sociale à l’Afpa. L’un des objectifs du gouvernement est de faire passer de 12 % à 30 %, d’ici 2025, la part des métiers considérés comme mixtes. Aujourd’hui, il existe 87 familles professionnelles. Et pourtant dans seulement 12 d’entre elles se trouvent 50 % de femmes. Aujourd’hui, leur présence reste concentrée dans les métiers du service, de l’éducation et du social. « Ces femmes font bouger les lignes, aussi bien chez nos formateurs, leurs collègues et leurs employeurs, indique Pascale Gérard. Dans cette ambiance de crise, nous avons voulu, avec cette première édition des Trophées, apporter une touche d’espoir aux femmes qui, on le sait, sont aussi les plus pénalisées en période de crise. » 7 trophées pour 7 femmes lauréates Quelque 7 femmes ont été honorées à travers 7 trophées : • Le trophée Sensation’Elle récompense une femme « bien dans ses baskets et dans sa formation ». Il a été attribué à Lisa Marteau, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation d’agent d’entretien du bâtiment. • Le trophée Passion’Elle récompense une femme, « qui sait ce qu’elle veut, s’y tient et ne lâche rien ». Il a été attribué à Denitsa Hristova, âgée de 28 ans et habitant en Ile-de-France. Elle suit une formation de technicienne électro-mécanicienne automobile. • Le trophée Pluri’Elle récompense une femme en reconversion. Il a été attribué à Sylvie Linxe, âgée de 53 ans et habitant en Occitanie. Elle suit une formation de développeuse web. • Le trophée Essenti’Elle récompense une femme « qui a confiance en elle et qui devenue indispensable au groupe de travail ». Il a été attribué à Cécile Dubois, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation de peintre en bâtiment. • Le trophée Profession’Elle récompense une femme « au grand potentiel professionnel brillant par ses réalisations et son investissement ». Il a été attribué à Harmony Delacour, âgée de 33 ans et habitant dans le Centre – Val de Loire. Elle suit une formation d’agente de sûreté sécurité privée. • Le trophée Exception’Elle récompense une femme pionnière, « qui ouvre la voie dans un métier où la place des femmes est particulièrement rare ». Il a été attribué à Florbela Loureiro da Rocha Gil, âgée de 43 ans et habitant en Provence – Alpes – Côte d’Azur. Elle suit une formation d’installatrice thermique et sanitaire. • La mention Univer’Elle correspond au prix spécial du jury. Elle a été attribuée à Marine Montin, âgée de 31 ans et habitant dans le Grand Est. Elle suit une formation de conductrice de transport routier de marchandises sur tous véhicules. Chacune de ces lauréates recevra une dotation de 1 000 €.
Il y a 4 ans et 71 jours

Warmango.fr présente sa nouvelle application mobile et un podcast pour les artisans du bâtiment

Elle était réclamée par ses plus de 10.000 clients, l'application mobile Warmango.fr est désormais disponible sur IOS et Android. L'équipe de Warmango.fr se félicite d'avoir su répondre à l'un des besoins majeurs de ses clients artisans : la rapidité d'achat. Qu'ils soient sur chantier ou au bureau, ils peuvent désormais commander rapidement et simplement sur cette toute nouvelle interface.Dans le même temps, l'équipe communication de Warmango.fr a développé son propre podcast intitulé : dans l'utilitaire d'un pro du bâtiment. On y retrouve des artisans expliquant leurs parcours mais aussi des conseils concernant la gestion de son entreprise. On discute également produit dans ces cours épisodes de 15 minutes : les marques préférées de l'artisan ou ses astuces sur les chantiers pour gagner en efficacité.Le podcast est à retrouver sur notre blog et prochainement sur toutes les plateformes de streaming.
Il y a 4 ans et 72 jours

Bordeaux "casse le bitume" avec une première micro-forêt urbaine

AMÉNAGEMENT URBAIN. Le maire EELV de Bordeaux, Pierre Hurmic, a inauguré le 9 mars la première micro-forêt de la ville sur une place jusqu'alors réservée au stationnement automobile, une opération "emblématique" du plan de végétalisation mené par la nouvelle mairie écologiste.
Il y a 4 ans et 72 jours

Podcast #02 – Le musée mobile d’Hérault-Arnod est un 35-Tonnes

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… C’est ce qu’explique Isabel Hérault à Parole d’archi, le podcast de Chroniques.Découvrir le communiqué et les images du projetDécouvrir le projet en […] L’article Podcast #02 – Le musée mobile d’Hérault-Arnod est un 35-Tonnes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 76 jours

Les entreprises d'ingénierie ont perdu 11% de leur chiffre d'affaires en 2020 sous l'effet de la crise

Selon une étude de la profession réalisée avec les partenaires sociaux, le redémarrage sera lent et le retour à la normale n'aura pas lieu avant 2022. Les ingénieristes, qui ont eu massivement recours aux mesures de soutien pour préserver l'emploi, rappellent que leurs ressources sont clé pour la relance économique. A travers Syntec-Ingénierie, leur fédération professionnelle, elles demandent aux pouvoirs publics davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formations.Une activité en baisse de 11% pour les ingénieristesL'ingénierie regroupe 73.000 entreprises en France qui fournissent des prestations intellectuelles à haute valeur ajoutée à leurs clients publics et privés : conception de bâtiments et d'ouvrages, optimisation de chaînes industrielles, contribution à la R&D, innovation numérique, conseils sur l'adaptation au changement climatique… Présentes dans tous les secteurs d'activité, elles sont durement touchées par la crise sanitaire et enregistrent des pertes de 11% de chiffre d'affaires. Selon l'étude, cette chute s'explique en priorité par l'arrêt des projets pendant le confinement et la chute des prises de commandes. C'est particulièrement vrai pour les entreprises des filières industrielles, notamment automobile et aéronautique. Un an après le début de la crise, 41% d'entre elles déclarent encore une baisse de leurs prises de commandes, selon un baromètre Syntec-Ingénierie. Sans surprise, la région Occitanie figure parmi les plus touchées.En parallèle, 40% des ingénieristes souffrent depuis septembre 2020 de l'allongement des délais de paiement, qui s'échelonnent jusqu'à +60 jours pour 5% d'entre elles. Une situation dégradée qui occasionne des difficultés de trésorerie pour plus d'1/4 des sociétés interrogées.Parmi les autres difficultés rencontrées, les entreprises pointent le manque de visibilité et les problématiques d'organisation du travail.« Avec 17% de nos collaborateurs en travail sur le site de l'entreprise – soit moins d'un jour par semaine par collaborateur -, nos entreprises respectent scrupuleusement le protocole sanitaire en vigueur. Nous sommes pleinement mobilisées pour endiguer la pandémie. Nos efforts ne sont néanmoins pas sans conséquence sur l'activité de nos entreprises, dont l'essence est de travailler en équipe sur des projets collaboratifs et innovants. Les mesures de distanciation ralentissent l'avancée des projets que nous menons, sans compter que nous avons aussi à souffrir parfois de désorganisations chez nos clients ».Pierre Verzat, président de Syntec-IngénieriePréserver l'emploi : une priorité absolue en vue du redémarrage économiqueL'étude souligne que malgré les fortes baisses d'activité, les entreprises se mobilisent pour préserver leurs ressources et être prêtes à redémarrer. « La richesse de nos entreprises réside dans nos salariés. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. La préoccupation première des ingénieristes est donc de préserver l'emploi. » explique Pierre Verzat.Sans surprise, les profils juniors apparaissent comme les plus à risque. L'étude indique que les jeunes diplômés arrivent sur le marché de l'emploi dans un contexte bien plus concurrentiel. De l'autre côté de l'échiquier, les seniors sont fragilisés car perçus comme moins agiles et moins à l'aise avec les nouvelles technologies. Ingénieur ICT (c'est-à-dire du conseil en technologies, intervenant beaucoup dans les filières industrielles automobile et aéronautique) et chef de projet sont identifiés parmi les métiers les plus à risque.Pour préserver l'emploi, 45% des ingénieristes ont eu recours à l'activité partielle, 31% ont sollicité des prêts garantis par l'État, et 23% se tournent vers les aides au recrutement d'alternants. Côté formation, 1/4 d'entre elles ont mis ou vont mettre en place des parcours spécifiques pour leurs salariés. Avec pour objectifs : monter en expertise sur les métiers et accroitre la polyvalence en même temps que le socle de compétences.Si les dispositifs de soutien ont largement favorisé le maintien de l'emploi jusqu'à présent, l'étude met en garde contre l'effet retard des pertes d'emplois. Selon les données du Baromètre APEC [1], les offres d'emplois ont déjà chuté de 32% au cours de l'année 2020. À cela s'ajoutent les 15 000 postes qui étaient créés chaque année avant crise par les entreprises d'ingénierie.Les ingénieristes appellent à davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formationsA travers leur fédération professionnelle Syntec-Ingénierie, les entreprises d'ingénierie alertent néanmoins sur l'existence de rigidités dans l'accès aux formations, qui pourraient mettre en risque le maintien de l'emploi sur le long terme. Elles appellent les pouvoirs publics à davantage d'accompagnement, en particulier pour les formations lourdes, mais aussi à davantage de souplesse. Cela concerne notamment l'usage du FNE-formation : les entreprises ayant engagé une négociation en matière de PSE ne sont plus habilitées à y recourir, malgré le fait qu'il puisse s'agir d'entités de travail distinctes. Syntec-Ingénierie rappelle que chaque situation d'entreprise est particulière et qu'il convient de prendre en compte toutes les situations.« Au-delà de notre profession, il est urgent de comprendre que la préservation des compétences dans l'ingénierie est un enjeu économique global. L'ingénierie est en amont de tous les projets. Ce sont nos professionnels qui inventent les ouvrages, bâtiments, infrastructures et industries de demain. Ils accompagnent les grandes transitions climatique, énergétique ou encore industrielle en concevant de nouvelles solutions technologiques. Perdre nos compétences, c'est mettre en jeu le redémarrage de notre économie toute entière. Il est impératif de préserver les capacités de rebond des entreprises, partout où cela est possible. »Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie[1] Baromètre Apec des intentions de recrutement et de mobilité des cadres - 1er trimestre 2021
Il y a 4 ans et 76 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.
Il y a 4 ans et 79 jours

Digital Timesheets : le pointage digital pour le BTP par Traxxeo

Efficacité au bureau, facilité sur les chantiersLorsque vous choisissez une solution digitale, il est important de penser utilisateurs. Dans le BTP, il est essentiel que l'application soit à la fois performante, et bien adoptée sur le terrain. L'application mobile Digital Timesheets répond à la fois au besoin des travailleurs dans les bureaux et sur les chantiers.Voici une liste d'éléments clés pour une application de pointage sur chantier :Disponible sur tous les appareils & systèmes d'exploitation (iOS, Android, Windows)Fonctionnement hors-ligne Facile d'utilisation sur le terrainSuivi en temps réel depuis le bureauVues multiples : chef de chantier, compagnon, conducteur de travaux, RH, etc.Précision des données : aide à l'encodage, ergonomie, saisie unique, processus de validation, alertes, etc.Règles et paramétrages personnalisables : codes chantiers, statuts travailleurs, etc.Intégration et communication bidirectionnelle : ERP, logiciel paie, SIRH, etc.Ce qu'ils en disentUne des forces de la solution Digital Timesheets de Traxxeo, c'est sa grande adoption par les travailleurs. « La tablette ? Vous ne me l'enlèverez pas ! » assure Eric Le Naon, conducteur de chantier chez Eiffage Perrard. Dans les bureaux, Enza Da Silva, la responsable RH, témoigne de l'efficacité du nouveau processus de pointage : « Le logiciel nous permet de voir - en temps réel - toutes les anomalies ». Pourquoi une telle adoption ? La solution Digital Timesheets a été développée pour répondre aux nombreuses problématiques vécues sur le terrain et au siège social :Fini les tâches administratives chronophages sur le terrain,Fini les erreurs et les multiples ré-encodages pour les ressources humaines,Accès à une vue d'ensemble de la répartition des coûts par poste et par personne, pour la finance.Sa facilité de mise en œuvre en fait une solution digitale vite adoptée et un investissement rapidement rentabilisé.Vous souhaitez passer au pointage digital ? Contactez Traxxeo au +33 7 87 18 72 59
Il y a 4 ans et 80 jours

Cemex inaugure trois centrales à béton dans le Sud-Ouest

La nouvelle unité de production de BPE Cemex de Prades-le-Lez (34) est signée MG Lilienfeld. [©Cemex] Alors même qu’il vient de céder à LafargeHolcim 24 centrales à béton sur la région Auvergne – Rhône-Alpes. Cemex poursuit son déploiement dans le Sud-Ouest. Là, l’industriel a mis en service trois nouvelles unités de production.  La nouvelle unité de Prades-le-Lez (34) remplace l’ancienne installation devenue obsolète et ne pouvant pas assurer la production des bétons spéciaux. Ce site dispose de deux principaux atouts. Une intégration paysagère réussie et une conception compacte permettant de s’implanter au mieux sur le terrain préexistant de 5 000 m2. Signée MG Lilienfeld – un partenaire historique de Cemex -, l’unité a repris une partie du génie civil de l’ancienne installation. En particulier, le traitement des eaux qui a été upgradé pour assumer plus de capacité. La nouvelle centrale est équipée de cinq trémies en ligne, de quatre silos à ciments. Et d’un malaxeur Teka de 1,5 m3alimenté par skip. De quoi offrir une capacité de production de 45 m3/h. Une nouvelle référence pour Elkon A Toulouse-Sud, Cemex a fait appel à Elkon pour la construction de la nouvelle centrale à béton. [©Cemex] Nouvelle implantation pour Cemex, la centrale de Toulouse-Sud répond à la croissance du marché local. Apte à fournir toute la gamme Cemex, elle sera cependant dédiée à la production des bétons bas carbone de la ligne Vertua. Et des bétons conçus à base de granulats recyclés. Ceci, avec une capacité de production de 90 m3/h. Pour cette installation, l’industriel du BPE a fait appel au constructeur turc Elkon. Ce dernier a fourni un outil s’articulant autour d’un malaxeur de 3 m3, de six silos à ciments et de huit trémies à granulats, d’une capacité totale de 600 t. En partie confinée dans un bâtiment fermé et isolé. Cette centrale répond à tous les standards Cemex, en termes d’équipements environnementaux. Tout y est : débourbeur déshuileur, régulateur de débit des eaux de pluie, filtre pour pulvérulent, bardage double peau. Mais aussi, circuit fermé des eaux de process, sept bassins hors sol pour les bétons essorés.  Le volet sécurité s’inscrit dans la même logique : nettoyage automatique du malaxeur, locaux sociaux dernière génération. Ainsi que passerelle sécurisée pour lavage du cône des toupies. Sans oublier un accès aux silos depuis la tour de stockage des granulats avec escalier, monte-charge. Dernières particularités : la réception et l’évacuation des retours de bétons vers le site de recyclage Cemex de Cugnaux. Et son adossement à un dépôt de granulats nouvellement créé. Comprenant neuf cases au sol dédiées à la réception de déblais et à la vente de granulats. Une centrale Euromecc pour le quartier Belvédère, à Bordeaux C’est une unité mobile Euromecc qui permet à Cemex de livrer le chantier du quartier Belvédère, à Bordeaux. [©Cemex] Troisième et dernière unité Cemex inaugurée dans le Sud-Ouest. La centrale à béton de Bordeaux est dédiée au chantier du nouveau quartier Belvédère, situé en rive droite de la Garonne. Mise en service en trois semaines seulement, sur un espace de 1 500 m2. Cette unité mobile Euromecc est équipée d’un malaxeur double arbres horizontaux de 1,5 m3. Trois silos à ciments et quatre trémies de granulats complètent l’installation. Qui offre ainsi une capacité de production de 65 m3/h.  « Ces trois nouvelles unités de production de bétons, deux fixes et une mobile, confirment la volonté de Cemex de toujours s’assurer une présence de premier plan sur les marchés locaux des matériaux de construction, conclut Jean-Marie Modica, directeur de Cemex Matériaux France Sud. Une ambition qui se traduit aussi par une présence accrue de notre entreprise sur les gammes de produits spéciaux et bas carbone, répondant aux impératifs environnementaux. »
Il y a 4 ans et 84 jours

CDVI enrichit son offre de contrôle d’accès haute sécurité ATRIUM KRYPTO avec Mobile-Pass KRYPTO, une solution de badges dématérialisés

Sur un marché du contrôle d’accès encore majoritairement dominé par les badges traditionnels, la technologie mobile gagne du terrain. Ainsi dans les prochaines années, 20% des entreprises devraient utiliser des smartphones contre 5% en 2016*. Fin 2020, CVDI lançait son système de contrôle d’accès hautement sécurisé ATRIUM KRYPTO pour répondre aux nouvelles exigences de lutte contre la cybercriminalité. Aujourd’hui, l’entreprise va encore plus loin et présente MobilePass KRYPTO, une solution de badges virtuels offrant le même niveau de sécurité que les méthodes type DESfire® EV2. Une solution de contrôle d’accès par smartphone hautement sécurisée Soucieux d’accompagner ses clients dans une transition en douceur vers la technologie mobile, CDVI a intégré, dès la conception de son système ATRIUM KRYPTO, un module BLE (Bluetooth Low Energy) dans ses lecteurs de badges K2 et K3 (avec digicode intégré) hautement sécurisés. Pour activer cette solution d’identification sur smartphone, il suffit au gestionnaire d’un établissement : d’acquérir une licence de 25 badges Mobile-PASS KRYPTO, d’attribuer des droits d’accès virtuels à un utilisateur au fur et à mesure des besoins via le logiciel de gestion, de lui envoyer à distance sur une plateforme ultra sécurisée. A réception, ce dernier récupère l’autorisation d’accès sur son smartphone qui devient un badge dématérialisé. En fonction de ses droits, il peut alors l’utiliser grâce à l’application mobile ATRIUM BT, téléchargeable gratuitement sur l’Apple Store ou Google Play et compatible avec les montres connectées. Dès lors, différents modes d’identification sont possibles pour déverrouiller une porte : par appui sur le bouton « ouvrir la porte » de l’application, par balayage du smartphone devant le lecteur, en mode automatique « mains libres » ou par reconnaissance vocale « ouvrir la porte ». La solution s’adapte aux contraintes de l’accès ! Intégrant le chiffrement AES de « bout en bout » issu de la technologie DESfire® EV2, les badges virtuels développés par CDVI apporte un degré de sécurisation élevé qui est renforcé par les codes/ schémas de déverrouillage dont dispose la majorité des smartphones. Outre l’avantage de pallier aux négligences du facteur humain qui reste la principale faille de sécurité dans un bâtiment (oubli ou prêt d’un badge, entrée en même temps qu’un collègue…), cette solution dématérialisée présente en plus un intérêt essentiel pour respecter les protocoles sanitaires en vigueur actuellement. En effet, la fonction comptage/décomptage du système ATRIUM KRYPTO associée au Mobile-PASS KRYPTO, qui détecte l’ouverture de porte même si des employés rentrent à plusieurs en même temps dans une pièce, permet une gestion contrôlée des flux sans risque de dépasser le nombre de personnes autorisées dans un même endroit. Souplesse de gestion et simplicité d’utilisation Plus flexible qu’un système de contrôle d’accès par badges traditionnels, Mobile-PASS KRYPTO de CDVI offre une gestion dynamique des droits. En toute simplicité, le gestionnaire d’un bâtiment peut, à distance et en temps réel : activer/désactiver des badges avec des droits d’accès spécifiques à chaque utilisateur, programmer des badges temporaires, avec autorisation d’entrée à des horaires définies, suivre instantanément des événements d’accès pour modifier ou révoquer les droits si nécessaire. Idéale pour les administrations publiques et les collectivités (centre sportif, salle des fêtes…), cette solution dématérialisée s’avère particulièrement adaptée aux espaces de coworking qui, tout en facilitant l’accès des visiteurs, doivent garantir la sécurité des lieux. Transformant n’importe quelle marque de smartphone en trousseau de clé virtuel et intelligent, Mobile-PASS KRYPTO représente également un véritable gain de temps pour les utilisateurs qui n’ont plus besoin d’être présents pour retirer leur badge. *source cabinet d’analyse américain Gartner
Il y a 4 ans et 84 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 84 jours

Une alarme pour protéger sa maison post confinement ?

Souvent épaulée par des équipements de vidéosurveillance, l’alarme de maison permet de signaler toute tentative d’intrusion dans votre propriété et offre un véritable effet de dissuasion pour de potentiels cambrioleurs.Dans une situation sanitaire particulière qui nous pousse à réaliser des allers-retours entre le bureau et le télétravail, il est important de s’équiper convenablement pour protéger sa maison des cambriolages.Une période de crise sanitaire opportune pour les cambrioleursBien que l’on puisse penser que le premier confinement dû à la crise du COVID-19 ait considérablement réduit les tentatives de vols et cambriolages, la période est opportune pour les cambrioleurs.En effet, le télétravail a fait chuter de manière notable les cambriolages sur le territoire français. Avec une forte présence des citoyens dans leur foyer et le contrôle des forces de l’ordre pour ceux qui essaient de s’aventurer à l’extérieur, le risque de cambriolage était faible.Néanmoins, les maisons de campagne ou de vacances n’ont pas pour autant été épargnées pendant l’année 2020, tout comme les résidences principales post confinement.Effectivement, d’après le ministère de l’Intérieur, le nombre de cambriolages a augmenté de manière exponentielle à la fin du premier confinement jusqu’à atteindre 114% d’augmentation au mois de mai dernier.Des retours au travail qui exposent aux risquesLa principale raison de cette explosion des chiffres post confinement s'explique par le retour au bureau d’une majorité de Français.Si l’on ajoute à cela le fait qu’encore de nombreux foyers ne sont pas équipés d’alarmes de maison, nous trouvons assez facilement l’explication de cette forte augmentation post confinement.Une maison non sécurisée et vide de ses occupants est une cible plus facile pour les cambrioleurs alors qu’une maison équipée de caméras de surveillance ou d’une alarme réduit les risques du fait de son fort potentiel de dissuasion.Une alarme Atlantic’S pour sécuriser votre maisonL’alarme Atlantic’S sécurise votre maison contre les tentatives d’intrusions et de cambriolages en votre absence. Dotés d’un système de protection complet, les alarmes Atlantic’S vous garantissent une sérénité totale.En effet, ces alarmes sont équipées d’un système intelligent sans fil et de nombreux équipements. Installer une alarme vous assure une protection de qualité.Ce système d'alarme maison se présente en kit contentant :Une centrale d’alarme sans filDes télécommandes sans filDe sirènes intérieures ou extérieures (ou les deux)Trois différents types de capteurs : détecteur d’ouverture, de présence, d’ouverture de garageGrâce à l’ensemble de ces détecteurs, vous pouvez sécuriser l’ensemble de vos pièces et fenêtres afin de partir de votre maison en toute tranquillité.Le système intelligent de centrale d’alarme sans fil permet d’avoir accès sur votre téléphone au statut de l’ensemble des capteurs connectés.En cas de cambriolage ou de mouvements suspects détectés par un capteur, le système vous envoie un appel instantané sur votre mobile afin de réagir le plus rapidement possible.
Il y a 4 ans et 85 jours

SylSmart Connected Building : l’éclairage intelligent nouvelle génération

En 2020, les confinements et la généralisation du télétravail ont permis une réduction des consommations d’énergie du parc immobilier tertiaire. Mais ils ont aussi révélé un important gaspillage des bâtiments mal régulés. Et ce, alors même que la dernière directive européenne leur impose une réduction de 32,5% d’ici 2030 des dépenses énergétiques. Cette transition écologique est d’ailleurs inscrite dans le plan France Relance. 65% d’économies étant réalisables avec des luminaires basse consommation associés à une gestion intelligente, l’éclairage constitue un véritable enjeu pour réduire la facture énergétique des bâtiments tertiaires et commerciaux. Pour les aider à relever ce défi de l’éco-performance, Sylvania présente une nouvelle génération de sa solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected Building. Aux évolutions innovantes, ce système unique permet de délivrer la bonne quantité de lumière, au bon endroit, au bon moment. UNE INTELLIGENCE INTÉGRÉE POUR UN MAXIMUM DE CONFORT ET D’EFFICACITÉ Contrairement aux systèmes de gestion d’éclairage traditionnels, SylSmart Connected Building repose sur le principe de la technologie embarquée. Chaque luminaire LED intègre ainsi un capteur multifonctions avec module de communication sans fil, détecteur PIR, capteur de lumière naturelle, et désormais la mémoire et le microprocesseur qui rendent intelligents et réactifs tous les produits compatibles de la gamme tertiaire. Cette intelligence intégrée à chaque luminaire offre un degré de détection des mouvements plus précis et un contrôle extrêmement pointu pour adapter réellement le niveau d’éclairage aux besoins et ainsi améliorer le confort au maximum. Réunissant toutes les caractéristiques attendues d’une solution complète de gestion d’éclairage (détection de présence, prise en compte de l’apport de lumière naturelle…), SylSmart Connected Building apporte aux gestionnaires comme aux occupants une grande souplesse pour délivrer la bonne quantité de lumière, au bon endroit et au bon moment. Que ce soit au niveau d’un étage ou d’un bâtiment complet, tout est personnalisable en quelques clics grâce aux profils pré-configurés dans le système : environnement dynamique et réactif pour un open space, éclairage précis et convivial en salle de réunion… UNE GESTION DÉCENTRALISÉE ET SÉCURISÉE AU SERVICE D’UNE PLUS GRANDE FIABILITÉ Reposant sur une architecture décentralisée dans laquelle chaque luminaire est autonome, sans dépendre d’un contrôleur central, la nouvelle version SylSmart Connected Building garantit un fonctionnement extrêmement fiable. En cas de dysfonctionnement de l’un des points lumineux, il n’y a aucun risque de défaillance généralisée puisque la communication continue à passer entre les autres éléments du système. UNE INSTALLATION RAPIDE ET UNE MISE EN SERVICE ENCORE PLUS SIMPLE Sans fil, les luminaires SylSmart Connected Building s’installaient d’ores et déjà facilement sans aucun câblage supplémentaire. Aujourd’hui, Sylvania va encore plus loin en proposant un système plus simple à déployer grâce à : une configuration hors site via une plateforme web dédiée. Celle-ci permet de planifier et concevoir son projet en amont (définir ses besoins, créer des zones et scènes d’éclairage, effectuer tout le paramétrage des luminaires), une optimisation sur site via une application mobile spécialement conçue pour faciliter la mise en service des appareils. Il suffit de télécharger toutes les données au niveau de chaque luminaire et d’ajuster certains réglages si besoin (étalonnage de la lumière naturelle, variation des niveaux d’éclairage…). Intuitifs, à la prise en main simple et rapide, ces nouveaux outils garantissent un véritable gain de temps d’installation et un minimum de perturbations des occupants du bâtiment. Outre la configuration et la mise en œuvre aisées, la maintenance est également simplifiée. Grâce aux réglages sauvegardés dans le Cloud, contrôler le bon fonctionnement de l’éclairage dans le temps ou le reconfigurer en cas de réagencement de l’espace ne nécessite aucune intervention d’un technicien. Alliant une meilleure maîtrise des coûts (installation, mise en service, exploitation) et une maintenance réduite, SylSmart Connected Building constitue un véritable investissement sur le long terme. UN SYSTÈME ÉVOLUTIF TOURNÉ VERS L’AVENIR Fonctionnant auparavant en protocole fermé, les luminaires de la nouvelle version SylSmart Connected Building sont désormais connectés au sein d’un réseau maillé Bluetooth® Qualified mesh non propriétaire. Compatible avec de nombreuses plateformes, ce protocole de communication garantit la pérennité mais aussi l’évolutivité du système de gestion d’éclairage intelligent de Sylvania. En plus de sécuriser l’accès à la plateforme web et à l’application mobile grâce à un cryptage des données, il permet de définir pour chaque projet des autorisations selon les profils. Propriétaires, gestionnaires, installateurs et utilisateurs peuvent ainsi accéder à certaines fonctionnalités et interagir avec l’éclairage en fonction de leurs besoins. Performance élevée et gain de temps à l’installation, la nouvelle version SylSmart Connected Building est une solution de gestion d’éclairage résolument sans contrainte, idéale pour la modernisation de tous les bâtiments tertiaires. Avec un retour sur investissement moyen en moins de 5 ans, plus rapide que les systèmes DALI, elle permet de réaliser jusqu’à 68% d’économies d’énergie par rapport à des luminaires standards sans gestion. Associé à SmartServices, l’écosystème complet de services personnalisés proposé par Sylvania, SylSmart Connected Building se présente comme LE choix intelligent pour réussir à trouver le parfait équilibre entre efficacité énergétique et confort optimum des occupants.
Il y a 4 ans et 85 jours

Parrot choisi par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour la fourniture de micro-drones ANAFI USA

Parrot, le premier Groupe européen de micro-drones, a été choisi par la DGA pour fournir son micro-drone ANAFI USA en vue d’équiper les 3 armées françaises (Air, Mer et Terre), dans le cadre de son appel d'offre lancé en février dernier.Ce succès est le fruit de deux années de travail pour développer, sécuriser et produire un micro-drone spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des forces armées. Le drone ANAFI USA, spécialement adapté pour les Forces armées du monde entier, offre aux soldats un micro-drone quadricoptère de 500 g disposant de capacités d’observation de jour et de nuit. Avec 32 minutes de vol, il détient la meilleure performance de sa catégorie. Le contrat-cadre d’une durée de 5 ans s’entend pour plusieurs centaines de systèmes de drones, des équipements complémentaires, le développement d'adaptations et la formation de pilotes référents. Les premiers systèmes seront livrés dans les prochains mois. ANAFI USA permet d’étendre les capacités de reconnaissance des forces françaises. Grâce à son puissant zoom 32x, articulé autour de deux caméras 4K 21 mégapixels, la détection de cibles de taille humaine est possible jusqu’à 2 km de distance avec une précision de 13 cm de détail. Les images du zoom sont fusionnées avec celles obtenues par la caméra thermique FLIR Boson. Cette dernière permet de repérer les points chauds de jour comme de nuit. Déployable en 55 secondes, il est également très discret : avec une signature sonore de 79 dB à une distance de 1 m, il est inaudible dès 130 m.Grâce aux partenariats de développement logiciels mis en œuvre par Parrot avec des acteurs à la pointe dans leurs domaines, les utilisateurs peuvent également bénéficier de l'écosystème grandissant de logiciels compatibles. Ceux-ci permettent par exemple de gérer des flottes de drones en temps réel (Skyward, A Verizon company, DroneSense), de générer des photos/vidéos visibles et thermiques (Survae) et des cartographies tactiques (Pix4Dreact). Des prestations de R&D sont également prévues pour adapter ANAFI USA aux besoins des armées françaises. ANAFI USA est une révolution pour les organisations de Défense, issu de l’expertise développée par Parrot dans le grand public. Celles-ci cherchent désormais à mettre rapidement à disposition de leurs Hommes des technologies récentes, à la performance éprouvée, à un coût maitrisé.La technologie de la plateforme ANAFI, basée sur la banque de composants de la téléphonie mobile, atteint un niveau de fiabilité renforcée par les centaines de milliers d’heures de vol des drones grand public. Les choix technologiques de ANAFI USA offrent un coût d’acquisition et des performances sans commune mesure avec ceux de produits traditionnellement développés pour les forces armées.ANAFI USA a aussi répondu aux exigences de la DGA en termes de sécurité. Sécurisation de la liaison, sécurisation des données, sécurisation du firmware : il répond aux normes de cybersécurité les plus exigeantes. Une signature numérique protège de tentatives de modification malveillante du logiciel du drone.Le drone permet d’enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d’une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l’interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles.ANAFI USA est entièrement développé en France et produit aux États-Unis. Aucun composant essentiel n’est produit en Chine. Le drone et son application de pilotage fonctionnent sans nécessiter d'accès à Internet.Les traitements de données sont soumis aux normes les plus strictes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Toutes les données du drone sont entièrement sous la maîtrise de l’utilisateur. Lorsqu'elles sont partagées, les données sont stockées sur des serveurs sécurisés en Europe.L’application de pilotage FreeFlight 6 auditée par l’entreprise privée Bishop Fox mondialement réputée pour ses services de sécurité offensive, confirme également la sécurité offerte aux utilisateurs et la protection de leurs données.ANAFI USA a aussi été sélectionné par des organisations partenaires du gouvernement fédéral américain dans le cadre du projet Blue sUAS. Il s’agit du seul drone d’une entreprise non américaine à être commercialisé sur la plateforme d’achat de l’armée, des agences gouvernementales et des forces de sécurité américaine : le « GSA Schedule ». Il est déjà commandé et utilisé par de nombreux policiers, agences fédérales et pompiers aux États-Unis et dans d’autres pays du monde.Le prototype de Parrot a également été finaliste dans la première tranche du programme SRR du ministère de la défense américain. Celui-ci continuera d’être évalué de manière indépendante par le gouvernement dans le cadre des mesures de réussites de l’« Other Transaction Agreement » (OTA). Le gouvernement américain fournira une notification séparée pour permettre à d'autres agences du DoD ou du gouvernement fédéral de passer d'éventuelles futures commandes.Parrot, pionnier et leader de l’industrie du drone en Europe, avec une R&D à Paris de 200 ingénieurs, se réjouit d’avoir été sélectionné par la DGA. Le Groupe qui s’appuie sur un total de plus 350 ingénieurs avec ses filiales en Europe et aux États-Unis, considère le marché de la Défense et de la Sécurité comme l’un des plus prometteurs.Le savoir-faire du Groupe Parrot s’articule principalement autour des micro-drones professionnels à marque Parrot, d’ailes volantes dédiées aux professionnels pour réaliser des missions plus longues (senseFly) et de solutions logiciels d’analyses et de mesures d’images (Pix4D) adaptées à un grand nombre de drones de toutes marques.Au-delà de la Défense et de la Sécurité, les autres domaines d’applications du Groupe Parrot sont la gestion et l’inspection des infrastructures d’énergie et de communication (lignes haute tension, tours de réseaux cellulaires, fermes solaires, centrales nucléaires et éoliennes, mines et carrières), la gestion et le suivi de chantiers (immobilier, routes, rails, ouvrage d’art), l’agriculture de précision (santé des cultures, hydrométrie, contrôles des parasites).Henri Seydoux, Président Directeur général, fondateur et principal actionnaire de Parrot conclut : « Nous sommes très fiers d’avoir gagné cet appel d’offre de la DGA et de continuer à travailler sur de nouvelles opportunités avec les États-Unis. C’est le fruit du travail minutieux accompli par nos équipes en France depuis plus de 2 ans, et celui de 10 ans d’expertises. En faisant le pari de développer la plateforme ANAFI, conçue pour le grand public, robustifiée pour les besoins des professionnels, et sécurisée pour les exigences des forces armées, nous avons franchi une étape importante pour le Groupe. Dans le monde actuel, Parrot est convaincu qu'il est clé pour les forces de sécurité, et les armées, de s’appuyer sur les puissants équipements issus de la high-tech grand public, et hautement sécurisés. ».
Il y a 4 ans et 86 jours

Chronique du Geek – Les applications de février 2021

Ce mois-ci, le Geek présente cinq applications mobiles dédiées aux créations graphiques, au contrôle des notes de frais, au suivi du temps passé sur les projets et à la gestion des visites de chantier. La dernière propose de rafraîchir la mémoire sur l’architecture du XXe siècle des grandes métropoles.  La création dans la poche Procreate […] L’article Chronique du Geek – Les applications de février 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 90 jours

L’ambitieuse évolution digitale de Tryba

En 2020, la marque Alsacienne s’est lancée un défi ambitieux, digitaliser sa force de vente et ses Espaces-Conseil présents sur l’ensemble du territoire national.Pour répondre davantage aux attentes de ses commerciaux et concessionnaires, Tryba adécidé que 2020 serait l’année de la digitalisation. En cette fin d’année, le bilan est positifavec la mise en place d’une tablette-PC nouvelle génération, d’une application mobile et d’un pack digital. En cette période si particulière dûe à la Covid-19, cette évolution tombe à pic car elle permet à Tryba de s’adapter et surtout de garder un contact privilégié avec sesclients et futurs clients malgré le confinement.Une force de vente qui se digitaliseDepuis la rentrée de septembre, la force de vente Tryba a vu ses outils évoluer ! Exit lesdocuments papier, place à la tablette-PC nouvelle génération qui équipe désormais de plusen plus de commerciaux du réseau. Sur cette dernière, les équipes de Tryba retrouvent tousles outils métiers dont ils ont besoin sur un bureau unique : une technologie avancée,pensée pour être simple et efficace !En effet, cette tablette-PC et la nouvelle solution intégrée CRM* Métier qui va avec, annoncent véritablement la dynamique digitale du réseau, car en plus d’être des outils très performants, ils permettent aux concessionnaires et aux commerciaux d’avoir accès auxmêmes documents en un clic, et de pouvoir les modifier et les faire évoluer en fonction de l’avancée du dossier. Pour exemple, dorénavant, les clients signent électroniquement les éléments de leur dossier. Une nouveauté qui séduit véritablement les acheteurs notamment par sa facilité et sa rapidité.Enfin, Tryba a développé une nouvelle application mobile qui permet à sa force de vente deprendre en photo l’évolution des réalisations, en particulier les fins de chantier, et de lespublier en 3 clics sur son site et sur les réseaux sociaux. Un outil fédérateur qui donne desidées et des exemples d’utilisations et d’adaptabilité des produits Tryba. Un vrai plus pourdonner envie, tout en montrant la qualité et le design de la marque aux futurs clients.Le pack digital : Une visibilité assuréeGrâce au Pack Digital, lancé en début d’année, Tryba assure une réelle visibilité à sesEspaces-Conseil. En effet, via une présence web locale boostée, ce sont plus de 300concessions, réparties sur toute la France, qui deviennent incontournables !Au sein de ce pack, les équipes de Tryba ont réuni les méthodes indispensables pourgagner en visibilité au sein de sa zone de chalandise : la gestion du référencement web de la concession, des campagnes e-marketing et un accompagnement sur les réseaux sociaux.Grâce à ses trois leviers, les Espaces-Conseil ont affiché des résultats sans précédent :+30% de contacts web sur le 1er semestre 2020.* Customer Relationship Management (gestion de la relation client)
Il y a 4 ans et 91 jours

Martin Bouygues fait un nouveau pas vers la préparation de sa succession

Le groupe a annoncé ce changement de gouvernance, effectif depuis mercredi, à l'occasion de la publication de ses résultats annuels, marqués par la chute de 40% du bénéfice net sous l'impact de la crise du coronavirus.C'est Olivier Roussat, jusqu'ici directeur général délégué, qui occupe désormais les fonctions de directeur général."Je reste disponible pour servir le groupe mais le patron de Bouygues désormais c'est Olivier Roussat", a déclaré M. Bouygues au cours d'une conférence de presse téléphonique."C'est pour moi un moment particulier de ma vie, chargé d'émotion", a-t-il expliqué, ajoutant que le géant du CAC 40 n'avait "connu que deux PDG" en 70 ans, lui-même et son père Francis Bouygues."Tout le monde sait que chaque année je prends une année, j'arrive maintenant à 69 ans dans quelques mois, et donc il m'a paru utile de préparer le groupe pour les évolutions futures", a-t-il poursuivi.M. Bouygues avait commencé à préparer en douceur sa succession avec la nomination en août 2016 de deux directeurs généraux délégués, dont M. Roussat. Il avait alors indiqué vouloir prendre "du recul" au profit d'une "équipe plus jeune".Quelques mois plus tôt il avait fait entrer au conseil d'administration du groupe, deux trentenaires issus de la troisième génération, son fils aîné Edward et son neveu Cyril. Il n'avait pas caché préparer activement une succession qui n'est "absolument pas un tabou".Jeudi, M. Bouygues, qui fêtera ses 69 ans le 3 mai, a précisé que les statuts du groupe avaient été modifiés pour que "le mandat de président non exécutif puisse être exercé jusqu'à 85 ans"."Je vous rassure, je n'ai aucune intention d'aller jusque-là, mais c'est une mesure de précaution", a-t-il précisé.Pour assister Olivier Roussat, deux nouveaux directeurs généraux délégués ont été nommés: Edward Bouygues, qui était directeur de la stratégie de Bouygues Telecom, et Pascal Grangé, qui était directeur général adjoint et directeur financiers."Nouvelle génération"Edward Bouygues est nommé par ailleurs président de Bouygues Europe et consacrera une partie de son temps à Bouygues Telecom, selon le groupe.M. Grangé conserve pour sa part ses fonctions de directeur financier du Groupe."L'arrivée d'une nouvelle génération de dirigeants reconnus pour leur professionnalisme, formés dans le groupe et qui en maîtrisent parfaitement la culture, s'inscrit dans la tradition de Bouygues qui, depuis sa création, a toujours su choisir ses dirigeants en son sein pour assurer son développement", a ajouté Martin Bouygues.Sur le plan des résultats financiers, le groupe, dont les activités vont des chantiers aux télécoms en passant par la télévision avec TF1, a annoncé une chute du bénéfice net à 696 millions d'euros contre 1,184 milliard en 2019 dans le contexte de la crise sanitaire avec cependant un second semestre meilleur que prévu et des objectifs "atteints ou dépassés"."Les modèles d'affaires" des activités du groupe, "qui sont positionnées sur des besoins essentiels (se loger, se déplacer, communiquer, s'informer, se divertir), ne sont pas remis en cause", a commenté M. Bouygues.Dans son activité de construction, Bouygues précise que son carnet de commandes "se maintient à un niveau record de 33,1 milliards d'euros à fin décembre 2020", en hausse de 1% sur un an.Le chiffre d'affaires de TF1 s'est établi à 2,1 milliards d'euros, en baisse de 11% par rapport à 2019, "impacté par la forte baisse des revenus publicitaires principalement au deuxième trimestre", selon le groupe.Concernant Bouygues Telecom, la dynamique commerciale "est restée soutenue dans le mobile comme dans le fixe".La contribution d'Alstom - dont Bouygues détient 8% - au bénéfice du groupe s'élève à 169 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 91 jours

Construire un cinéma en pleins crise sanitaire comme un pied de nez au Covid

La France compte un parc de 2.000 cinémas unique au monde par sa densité, et en 2020, 22 cinémas ont ouvert leurs portes, malgré les mois de rideau baissé.Cette année, en dépit du manque de perspective après plus de 100 jours de fermeture des salles, des projets de rénovation ou de construction se poursuivent un peu partout, du Lavandou (Var) au quartier de l'Opéra à Paris en passant par Givors (Rhône).A Romorantin, c'est l'effervescence sur le chantier du Ciné Sologne: ballet des chariots élévateurs, montage de cloisons... le futur complexe doit être prêt pour la fin mars. Il viendra prendre le relais du Palace, la salle historique du centre-ville.Avec le centre culturel ou l'escape game qui a ouvert en centre-ville, le cinéma, classé art et essai et qui programme blockbusters comme films plus pointus, est l'un des pôles d'animation de cette sous-préfecture de 17.000 habitants, sur les rives paisibles de la Sauldre.A une heure de voiture de Tours, de Bourges ou d'Orléans, la ville a connu "trois tsunamis", depuis les années 2000, retrace le maire Jeanny Lorgeoux: la fermeture de l'usine automobile Matra, qui employait 2.200 personnes, une grande crue avec plus de 500 évacuations, et maintenant le Covid...Dans ce contexte, "le cinéma, c'est un bien culturel fantastique" nécessaire "pour que la ville se perpétue", ajoute l'édile, aux commandes depuis 1985 et qui a tout fait pour favoriser l'installation du nouveau complexe."Dans les petites sous-préfectures, le cinéma c'est le lien intergénérationnel parfait", ajoute l'élu, et c'est aussi là que se croisent ce qu'il reste de la classe ouvrière, dans cette ancienne terre industrielle, et les plus aisés, qui vivent de "l'économie de château" et de la chasse, spécialité de la zone.Pour la ville, c'est aussi "un levier économique et d'attractivité. Si on s'en privait, ce serait catastrophique"."Repartir de zéro"Pourtant, le Palace, qui attirait chaque année 70.000 spectateurs, "n'était plus vraiment aux normes de confort actuelles", reconnaît le patron des lieux, Francis Fourneau.L'ancien cinéma, construit dans les années 1970 et resté dans son jus avec ses murs jaunes pastels, est promis à la fermeture. Le Palace était de toute façon à l'étroit dans son bâtiment historique du centre-ville."Après cette pandémie, il faudra retrouver les spectateurs un par un", anticipe cet exploitant, et "ce ne sera pas plus mal de repartir de zéro", avec un lieu flambant neuf. Tant pis pour le cachet des ruelles médiévales qu'a parcouru jadis François 1er, c'est à côté d'un ancien hypermarché, dans la zone commerciale accessible en voiture, que se construit le nouveau projet.Et pour rivaliser avec les multiplexes des grandes villes ou le streaming, il faut investir dans des fauteuils de plus en plus confortables et des écrans géants, 16 mètres de long pour la plus grande des cinq salles du futur Ciné Sologne.Le chef d'orchestre de ces travaux à 2,8 millions d'euros, c'est Cédric Aubry, qui s'est fait une spécialité de construire des cinémas dans de petites villes, considérées comme pas assez rentables par les gros réseaux.La pandémie ? "Ce n'est pas une raison de renoncer", tranche-t-il sur le chantier de Romorantin, tout en traquant sur le chantier les défauts d'étanchéité de la structure de métal et de béton, avant l'installation des 600 fauteuils."Il faut créer du public, attirer les gens qui se disent +j'irais bien au cinéma+, mais qui voient le petit ciné local et se disent +je laisse tomber+" explique M. Aubry.Une façon, selon lui aussi, de répondre "modestement" au message "sur l'abandon des territoires" formulé pendant la crise des "gilets jaunes". Et à l'en croire la recette a tout pour réussir: le cinéma qu'il a refait à Varennes (Meuse) est passé en quelques années de 80.000 à 200.000 spectateurs, et celui de Sens (Yonne) de 100.000 à 300.000 spectateurs.
Il y a 4 ans et 91 jours

Une résidence de 8 bâtiments modernes à Troyes

A Troyes, une nouvelle résidence, composée de 8 bâtiments modernes, se dévoile. Au premier coup d’œil, son esthétisme, confié au cabinet 5-cinq Architecture, interpelle par un jeu architectural dynamique, rendu possible grâce à des niveaux de hauteur (du R+2 au R+4) et de renforcements qui s’alternent. Livrés en ce mois de février 2021 au profit du bailleur Mon Logis, acteur majeur de l’immobilier dans l’Aube, ils offrent 91 logements collectifs sociaux, du T2 au T5, sur une surface SHON totale de 6 050 m². Une cellule commerciale de 250 m² est implantée en rez-de-chaussée d’un bâtiment (A). En parallèle, Spie batignolles grand-est, entreprise générale mandataire du groupement, en charge de la conception et de la réalisation de ces habitats collectifs, a eu la charge de la viabilisation de 14 parcelles, jouxtant les immeubles, pour la construction future de logements individuels. Cette construction est l’une des premières du groupe Spie batignolles ayant été menée en partenariat avec la société Resolving, plateforme collaborative mobile pour la gestion optimisée des projets du bâtiment. La différence de hauteur et de profondeur entre chaque bâtiment a constitué l’enjeu majeur de cette opération, présentant des contraintes techniques architecturales importantes. Les diverses profondeurs qui ont été adoptées par le parti-pris architectural permet d’abriter des renfoncements pour l’installation de balcons et de terrasses végétalisées entre les différents bâtiments, avec des éléments béton très esthétiques et des porte-à-faux. Les revêtements de façade ont été réalisés en bois et en crépis de couleur. Sur les 8 bâtiments, 7 sont reliés par un sous-sol commun de 152 m de longueur totale, pour mettre à disposition des habitants un parc de stationnement de 95 places. Dans la perspective de maîtriser les coûts et les délais de cette opération de logements sociaux, il a été décidé de recourir à la préfabrication pour certains éléments constructifs, notamment pour la pose de prédalles et de prémurs en lieu et place du coulage en place. Au total, les équipes ont employé 295 tonnes d’acier et 5 500 m3 de béton. Maître d’ouvrage : Mon Logis Architecte : 5-cinq Architecture Entreprise générale et mandataire du groupement de conception/construction : Spie batignolles grand-est Bureau d’études : BET2C Paysagiste : Christophe Gautrand Acousticien : Alhyange acoustique VRD : Roussey    
Il y a 4 ans et 92 jours

Europ’Equipement : Une mini-centrale à béton de laboratoire

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Mini-centrale à béton de laboratoire signée Europ’Equipement. [©ACPresse] Le savoir-faire de l’industriel Europ’Equipement ne s’arrête pas aux centrales à béton et autres systèmes de distribution sur site. Ainsi, il y a Eureqa, l’automatisme orienté centraliers et opérateurs, qui permet de piloter les postes de production. Mais surtout, le spécialiste guérandais a développé une mini-centrale à béton de laboratoire prête à l’emploi. Posée sur un châssis autonome, elle s’articule autour d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux de 100 l. Un outil mis au point et produit en interne. Au-dessus prend place une unité de stockage des matières premières. Cette dernière se divise en quatre cases. La première est dédiée au pré-mélange des granulats (sable + graviers). La suivante permet l’accueil du liant (ciment). La troisième est réservée à l’eau de gâchage. Quant à la quatrième et dernière, elle permet l’introduction des adjuvants. Comme toute unité industrielle de production de béton, la mini-centrale Europ’Equipement dispose d’un automatisme pour la piloter et intègre des sondes hygrométriques et de température. De quoi assurer la réalisation d’essais dans les règles de l’art et dans des conditions comparables à ce qui se passe sur une centrale de production de BPE. Compacte, l’unité est simple à manutentionner à l’aide d’un petit chariot élévateur manuel. Aujourd’hui, une mini-centrale à béton de ce type est en fonctionnement au sein du laboratoire de Béton Solutions Mobiles, à Lognes (77). Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 92 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 92 jours

Le béton sur place et en quantité maîtrisée

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Avec son service Cub’Drive, CuBe livre les chantiers nécessitant des quantités de béton limitées. [©CuBe] La livraison du béton doit répondre à deux commandements principaux : être frais et respecter la quantité définie. Pour les plus gros chantiers, la problématique se résume à livrer la plus grande quantité, le plus tôt possible. Pour les plus petites opérations, le casse-tête est tout autre. Une commande de quelques mètres cube coûte “la partie non remplie” de la toupie. La plupart du temps, les petites commandes n’ont pas la priorité des centrales. Et les formulations sont parfois limitées pour les plus petites quantités. Du côté des centraliers, gérer les camions-plateaux qui viennent se servir sous la centrale n’est pas chose aisée. Enfin, les traditionnelles bétonnières ne sont pas toujours simples ou rentables à utiliser. A ces différents problèmes, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 92 jours

Services innovants autour du béton

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Le béton en libre-service : une tendance qui a le vent en poupe. [©Liebherr] Le béton, c’est de la matière grise, teinte que certains lui reprochent, car il rendrait son environnement triste… Ça se discute. Toutefois, ici, ce n’est pas de couleur, mais d’intelligence, dont il est question. Pas du matériau en tant que tel – quoique -, mais plutôt de son univers. En effet, si le béton a beaucoup évolué ces dernières décennies, il est en même temps resté très figé dans les habitudes des utilisateurs. Souvent faute de nouveaux services. Alors même que les besoins ont évolué, en parallèle de l’apparition de nouvelles technologies. L’impression 3D, appelée aussi “fabrication additive”, en constitue le plus bel exemple. Le n° 91 de Béton[s] le Magazine y était consacré… Ainsi, le numérique permet de faire bouger les lignes, en simplifiant l’accès au matériau. En quelques clics, on passe sa commande, puis on peut la suivre, en temps réel. Fini le coup de fil à la centrale pour demander : « Où est la toupie qui doit me livrer ? » Le numérique entre aussi dans la matière avec les puces RFID, qui permettent aux bétons de “raconter leur histoire”, via des applications ou des systèmes dédiés. Ces mêmes puces peuvent aussi se greffer sur le matériel, à commencer par les coffrages. De quoi simplifier la gestion des parcs, des stocks et le suivi au niveau de la maintenance. Qui peut le plus… Les petits volumes constituent une autre attente forte des professionnels, artisans en tête, comme des particuliers, bricoleurs avertis. Mais commander et venir chercher sous centrales de BPE quelque 250 l de béton, voire moins, est pour ainsi dire mission impossible. Si quelques industriels proposent malgré tout ce service, ils restent rares. D’où le développement de la distribution automatique du béton. Des mini-centrales, équipées de petits malaxeurs, permettent d’acheter du béton en “libre-service” ou presque, dans de très faibles volumes : 500 l en moyenne. Ces unités commencent à fleurir dans le paysage bétonnier français. Enfin, vient la variante “production sur place”. On ne parle pas de bétonnières de chantier, mais de malaxeurs mobiles matériaux, aptes à délivrer des petits volumes à la demande. Quelques BPE ont intégré de tels véhicules à leur parc. Pour toujours plus de services. Dossier réalisé par Yann Butillon, Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Dans ce dossier, retrouvez : Le béton en deux temps trois clicsSituer et comprendre les coffragesDes puces dans le bétonLe béton sur place et en quantité maîtriséeBPE en libre-service Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 92 jours

L’UFL met à jour son guide d’achat des grues mobiles

L’UFL met régulièrement à jour son guide d’achat des grues mobiles. [©UFL] L’Union française du levage (UFL) est un organisme engagé depuis ses débuts dans la promotion des solutions conformes à la réglementation routière. Pour cela, l’UFL met en œuvre régulièrement une analyse comparative des grues mobiles disponibles sur le marché. Les équipes de l’UFL se servent de la documentation fournie par les concepteurs. Le premier guide d’achat est sorti en 2019. Son actualisation permet aux professionnels du secteur du levage d’être au courant des dernières nouveautés ou innovations. Le nouveau guide propose une liste des grues selon plusieurs critères : la longueur de la flèche, le poids total, la configuration pneumatique, ainsi que les équipements possibles à embarquer. Un guide des grues mobiles pour les professionnels du levage « Ce guide d’achat, ainsi que le précédent, démontrent que les constructeurs fabriquent des matériels permettant de rouler conformément à la règlementions routière. Les professionnels du levage n’ont plus d’excuses et pas le choix. Ils doivent circuler en conformité avec la réglementation. Il n’y a ainsi que des avantages pour nos prestations et pour garantir toute atteinte à la responsabilité de nos chefs d’entreprise »,déclare Michel Licausi, président de l’UFL. Le travail des équipes pour réaliser ce guide n’est pas exhaustif. En effet, les options proposées par les constructeurs sont nombreuses. Le guide d’achat recense les matériels les plus courants et les plus utilisés sur le marché. Ce document a aussi un deuxième rôle, qui est de sensibiliser les professionnels aux réglementations en vigueur. Les équipes de l’UFL souhaitent rétablir une concurrence loyale pour le secteur du levage.   Charline David 
Il y a 4 ans et 93 jours

La division “Véhicules industriels” de Daimler va se scinder en deux

En 2019, Daimler a livré un total d’environ 500 000 camions et bus dans le monde. [©Daimler] Daimler prévoit un changement fondamental dans sa structure. Le but ? Libérer le plein potentiel de ses activités, afin d’accélérer la mise en place du “zéro émission”. Le conseil de surveillance et le directoire envisagent une scission partielle de ses activités industrielles dans le secteur des camions et des bus. L’idée est de créer, d’un côté, Mercedes-Benz Cars & Vans et, de l’autre, Daimler Truck & Bus. Cette dernière entité aura une gestion indépendante et une gouvernance d’entreprise autonom. Y compris un président indépendant du conseil de surveillance. La transaction et la cotation de Daimler Truck & Bus à la bourse de Francfort devraient être achevées avant la fin de l’année 2021. En outre, Daimler a l’intention de se rebaptiser Mercedes-Benz, en temps voulu…  Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde « C’est un moment historique pour Daimler. Il représente le début d’un profond remodelage pour la société. Mercedes-Benz Cars & Vans et Daimler Trucks & Bus sont des entreprises différentes, avec des clients, des voies technologiques et des besoins en capitaux spécifiques », déclare Ola Källenius, président du conseil d’administration de Daimler et Mercedes-Benz. Et de poursuivre : « Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde, offrant des voitures désirables à des clients exigeants. Daimler Truck & Bus fournit des solutions de transport et des services de pointe à ses clients. Les deux sociétés opèrent dans des secteurs qui sont confrontés à des changements structurels et technologiques majeurs. Dans ce contexte, nous pensons qu’elles seront en mesure de fonctionner plus efficacement en tant qu’entités indépendantes. Dotées de fortes liquidités nettes et libérées des contraintes d’une structure de conglomérat ». A travers cette scission, Daimler Truck entend créer de la valeur pour ses actionnaires. Ceci, en accélérant l’exécution de ses plans stratégiques. En augmentant sa rentabilité et en poursuivant le développement de technologies sans émissions pour ses camions et ses bus. 500 000 camions et bus en 2019 « L’indépendance s’accompagne de plus grandes possibilités, d’une plus grande visibilité et d’une plus grande transparence, explique Martin Daum, membre du conseil d’administration de Daimler et président du conseil d’administration de Daimler Truck.  Nous allons poursuivre notre croissance dans le domaine des moteurs alternatifs et de l’automatisation. Nous avons déjà défini l’avenir de nos activités avec des camions à batteries et à piles à combustible. Ainsi que des positions fortes dans la conduite autonome. Grâce à des partenariats ciblés, nous allons accélérer le développement des technologies clefs. Ceci, pour proposer à nos clients les meilleurs produits de leur catégorie. » Daimler Truck & Bus est le plus important constructeur de camions et de bus à l’échelle mondiale. Avec plus de 100 000 employés, il réunit 7 marques : BharatBenz, Freightliner, Fuso, Mercedes-Benz, Setra, Thomas Built Buses et Western Star. En 2019, un total d’environ 500 000 camions et bus de la marque a été livré dans le monde. Le chiffre d’affaires 2019 des différentes divisions a atteint 40,2 Md€ pour la partie “Trucks” et 4,7 Md€ pour la partie “Bus”. « La transformation de notre industrie progresse très vite. Pour que nous puissions suivre le rythme, nous devons investir dans l’innovation. A cette fin, nous allons créer un fonds de 1,5 Md€ pour Daimler Truck. En plus de nos plans financiers actuels », conclut Michael Brecht, Président du Comité d’Entreprise de Daimler.
Il y a 4 ans et 93 jours

Anhydritec : « L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+ »

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Francis Augustin, directeur marketing et commercial Europe d’Anhydritec. [©Anhydritec]    Anhydritec existe depuis 7 années. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru ? Et le futur ? Francis Augustin : Anhydritec s’inscrit dans la continuité de La Chape Liquide, marque née il y a 30 ans. Marque forte aussi, qui s’est “générisée” au fil du temps. Pour beaucoup, Chape Liquide et chape fluide sont des synonymes. Aujourd’hui, notre politique est de mettre en avant le nom Anhydritec et d’estomper La Chape Liquide, au profit des marques que sont Thermio+, Excelio, Initio Classic… En rejoignant le groupe espagnol Minersa, en 2013, nous nous sommes enrichis, réciproquement. Tout en réalisant une intégration verticale, aboutissant à une meilleure maîtrise de nos matières premières. Avec Minersa, nous sommes passés d’une approche par pays à une stratégie transversale. Chaque marché se nourrit des expériences de tous. Ainsi, Excelio en est un exemple emblématique : l’expérience sur les chapes adhérentes, répandues aux Pays-Bas, a été le point de départ du développement d’Excelio. A commencer par le Royaume-Uni, marché où ce type de solutions n’existait pas. Nous allons continuer notre stratégie d’innovation et de différenciation en Europe. La Slovaquie est le prochain pays sur notre liste. En revanche, en Allemagne, l’adoption de l’innovation est plus lente, car ce marché est très réglementé et apparaît plus conservateur. Pourtant, c’est là que sont nées les chapes fluides anhydrite, il y a plus de 50 ans. Enfin, en France, nous restons n° 1, dans notre domaine d’activité. Quelque 230 centrales à béton proposent nos solutions et près de 600 entreprises applicatrices sont agréées Anhydritec. Vous lancez des technologies additionnelles. En quoi consistent-elles ? SP ou “Sans pellicule/sans ponçage” est la première technologie additionnelle que nous avons lancée. C’est une solution intéressante, en termes de gain de temps pour les entreprises applicatrices. Ce principe est demandé ou attendu, en particulier par des pays matures, comme la France ou le Royaume-Uni. Nous en poursuivons le développement avec deux nouvelles technologies. Tout d’abord, la solution SA ou “Séchage accéléré”. Son développement a nécessité 3 années de travail, dont 2 ans de tests sur le terrain. SA est commercialisée depuis 2 ans maintenant. Son action : faire sécher la chape plus vite, en provoquant une évacuation plus rapide de l’humidité. Le processus se fait, entre autres, via une modification de la structure interne de la chape. L’autre technologie additionnelle s’appelle R+R ou “Recouvrement plus rapide”. Cette fois-ci, il s’agit de permettre de recouvrir la chape plus tôt, malgré une humidité résiduelle plus importante : 2 % dans le cas du carrelage contre 1 % pour les autres chapes anhydrite sans R+R. Cette solution est sous Avis technique depuis le printemps 2019. SA et R+R sont des complémentaires. Elles sont proposées avec les chapes fluides Classic et Thermio+. D’autres technologies additionnelles verront le jour dans le futur… Au-delà de ces “compléments”, Anhydritec prépare-t-il le lancement de nouvelles chapes fluides ? L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+. Cette chape fluide anhydrite avait été lancée à l’occasion de la mise en application de la RT 2012. Avec l’arrivée de la RE 2020, elle sera disponible dans une nouvelle génération. D’autres chapes sont aussi au programme, mais pour plus tard. Beaucoup de choses nouvelles sont proposées depuis quelques mois. Une innovation majeure par an est un bon rythme. Une nouveauté, c’est 50 % de recherche en laboratoire, 50 % de tests sur chantiers. A quoi il faut ajouter 50 % à 100 % de temps additionnels pour accompagner le déploiement sur le terrain ! Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92