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Il y a 2 ans et 191 jours

Solaire, pompes à chaleur : l'UE veut simplifier et accélérer les autorisations

Dans le cadre de l'ambitieux plan climat européen, un projet législatif visant à renforcer le déploiement des énergies renouvelables avait déjà été présenté par la Commission en juillet 2021, et fait actuellement l'objet de négociations serrées entre les eurodéputés et les Etats membres.En attendant l'accord final sur ce texte et sa transposition dans les droits nationaux, Bruxelles propose donc des mesures provisoires applicables dès leur approbation par les Etats et sans consultation du Parlement européen, en vue de "remédier au +goulet d'étranglement+ des procédures d'autorisation qui entravent le déploiement accéléré des projets".L'objectif est de cibler "les technologies spécifiques et projets qui ont le plus grand potentiel de déploiement rapide et le moins d'impact sur l'environnement, pour contribuer à notre sécurité énergétique" à l'heure où l'UE cherche tous azimuts à réduire sa dépendance aux hydrocarbures russes.L'exécutif européen propose que les infrastructures d'énergies renouvelables soient "présumées d'intérêt public supérieur", permettant aux nouvelles procédures d'autorisation de bénéficier d'une "évaluation simplifiée" et des dérogations prévues dans les réglementations environnementales.Par ailleurs, afin d'accélérer le déploiement des pompes à chaleur, Bruxelles veut accélérer les procédures d'octroi de permis, qui ne pourront plus excéder trois mois. Les connexions au réseau seront automatiquement autorisées pour les pompes jusqu'à 12 kW.La Commission propose également de restreindre à un délai maximum d'un mois le processus d'autorisation pour l'installation de panneaux photovoltaïques sur des bâtiments ou structures existantes, et pour leur connexion au réseau. Ces installations solaires seraient exemptées d'évaluation d'impact environnemental. Et pour les petites installations, Bruxelles suggère même que l'approbation soit tacite, via la notion de "silence administratif positif".Enfin, pour toute augmentation de la puissance des infrastructures d'énergies renouvelables existantes (solaire, parcs éoliens, géothermie...), l'octroi du permis devra prendre au maximum six mois, en incluant les évaluations environnementales, lesquelles seraient restreintes.Dans ce cadre, la procédure d'autorisation pour des raccordements aux réseaux d'électricité de toutes les infrastructures d'énergies renouvelables sera limitée à un mois et drastiquement simplifiée, dans les cas où l'augmentation de la capacité totale ne dépasse pas 15%.Gonfler la puissance des sites existants "offre un potentiel important pour augmenter rapidement la production d'électricité à partir de toutes les sources renouvelables", selon la Commission.D'ici juillet 2023, Bruxelles pourra proposer de prolonger l'application de ces mesures d'urgence si elle le juge nécessaire, notamment "en fonction de l'évolution de la sécurité d'approvisionnement et des prix de l'énergie".Avec cette proposition, "d'une durée et d'une portée limitées", "nous pourrons débloquer une myriade de projets d'énergies renouvelables dès les douze prochains mois", a fait valoir la présidente de la Commission Ursula von der Leyen devant le Parlement européen."D'après l'Agence internationale de l'énergie (AIE), nous pourrions déjà remplacer 14 milliards de m3 de gaz l'an prochain (...) rien qu'en accélérant les procédures d'autorisation de ces projets", a-t-elle indiqué.Les capacités des énergies renouvelables dans l'UE devraient gonfler de plus de 50 GW en 2022, une année record, dont un accroissement de 40 GW pour les seules installations solaires photovoltaïques, principalement des panneaux sur toiture, selon la Commission. Mais le déploiement du solaire doit s'accélérer à 60 nouveaux GW/an pour atteindre les objectifs de renouvelables pour 2030, avertit-elle.
Il y a 2 ans et 191 jours

SIGNATURE, NOUVELLE COLLECTION DE PORTES D’ENTRÉE MONOBLOCS D’ISOSTA

ISOSTA conçoit et fabrique des panneaux sandwich de remplissage de menuiserie, des panneaux isolants pour l’habitat (portes d’entrée, volets battants, toiture de véranda) et de façades (tertiaire, ERP, collectif…) à destination des professionnels et des prescripteurs de la construction et de la menuiserie extérieure. Depuis plus de 50 ans, la marque se distingue par ses solutions […]
Il y a 2 ans et 191 jours

Bas-Rhin : déploiement des installations photovoltaïques à Bischwiller

La commune de Bischwiller (Bas-Rhin) équipe les bâtiments publics de panneaux solaires. Cette opération s’inscrit dans une démarche de...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 191 jours

Steico fabrique ses panneaux LDF à Casteljaloux

14 ans après la reprise du site aquitain d’Isoroy, Steico produit en France les trois gammes-phares du marché de la fibre de bois et conforte sa place de leader européen.
Il y a 2 ans et 193 jours

Hausse d’installations de panneaux solaires en autoconsommation pour les particuliers

L’inflation des prix de l’énergie pousse les particuliers à se doter de panneaux solaires. Avec 207 000 autoconsommateurs, la France accuse malgré tout toujours un lourd retard, loin des 1,6 millions de foyers allemands équipés par exemple.
Il y a 2 ans et 193 jours

Haute-Garonne : installation de panneaux photovoltaïques sur deux bâtiments publics columérins

La municipalité de Colomiers et la société Citoy'enR se sont associées pour installer des panneaux photovoltaïques sur deux bâtiments...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 193 jours

Kermarrec Promotion déploie sa présence à Vitré et lance son 1er programme immobilier : le parc d’activités Daskemm

Conçu dans une logique de durabilité et de respect de l’environnement, le projet intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur le toit d’un des 3 bâtiments. Une vision contemporaine de laquelle le parc tire son nom car DASKEMM signifie « évolution, transformation » en breton.Une structure prête à accueillir tout type d’activités Premier parc d’activités de Kermarrec Promotion sur le pays Vitréen, ce projet est situé à l’Est de Vitré, P.A. de la Grande Haie, en direction de Laval. Les 2.507 m2 répartis en 3 bâtiments accueilleront 12 cellules d’activités, de 179 m2 minimum. Équipé d’une porte sectionnelle, chaque local d’activités est pensé pour accueillir une surface de bureau et un espace d’atelier ou de stockage. A l’extérieur, une aire de retournement pour les poids-lourds est prévue afin de permettre l’approvisionnement des différents artisans du parc. Côté stationnement, 51 places sont prévues dont certaines en intérieur. DASKEMM s’insère dans un cadre verdoyant et arboré. Une construction durable La conception de la structure des 3 bâtiments intègre la possibilité d’installer des panneaux photovoltaïques sur la toiture pour permettre aux futurs occupants de réaliser des économies d’énergie et faire baisser leurs charges, tout en réduisant leur impact environnemental. Sur ce projet, Kermarrec Promotion met l’accent sur la qualité du bâti et sur l’esthétique des façades : bardage bois sur les façades, apportant un aspect plus contemporain et qualitatif. A ce titre, le nom du parc « DASKEMM » prend tout son sens, car il signifie « évolution, transformation » en breton. Le choix stratégique de Vitré Le territoire vitréen est proche des axes Paris-Rennes et Caen-Rennes et permet de rayonner sur le Grand-Ouest, tout en étant à 30 minutes de Rennes. Son positionnement est un véritable atout stratégique en étant à équidistance de Rennes, Fougères et Laval (environ 35 km de chaque ville). Sur le plan économique, Vitré est une ville dynamique avec un secteur des services en plein développement grâce au commerce (13% des emplois) et à la logistique avec de belles implantations ces 5 dernières années sur le territoire aux portes de la Bretagne. Après ce premier programme immobilier vitréen, Kermarrec Promotion va renforcer sa présence à Vitré, notamment en réalisant la résidence POEM (18 logements sur la ZAC des Ormeaux) dont la commercialisation débutera en prévision courant février 2023.Fiche technique du programme :Maître d’ouvrage : KERMARREC PromotionCommercialisateur : KERMARREC EntrepriseCommercialisation : Novembre 2022Surface totale : 2.507 m2 SPAdresse : ZAC de la Grande Haie 35500 Vitré
Il y a 2 ans et 194 jours

Wilo inaugure un nouveau site en Italie

Un site plus grand, plus moderne Le traitement et la distribution de l’eau potable deviennent de plus en plus importants en raison du changement climatique. Nos systèmes et pompes permettent à de nombreuses personnes dans le monde d’avoir accès à de l’eau potable.La perturbation des chaînes d’approvisionnement causée par la pandémie a montré qu’il est important de produire plus localement et de réduire les flux transcontinentaux de marchandises. Au plus fort de la pandémie, nous, en tant que fabricant de pompes, étions l’une des rares entreprises industrielles et de services capables de maintenir la production.Cette tendance a conduit à la décision de poursuivre l’intégration des productions de pièces en acier inoxydable avec toutes ses étapes importantes : emboutissage, soudure, etc. Pour cela, le 07 octobre dernier, Georg Weber (membre de l’Executive Board & CTO), Dr. Mahmud Mustafa (SPV Group Operations), Olivier Minaud (Président de Stemma et VP Operations), Philippe Marjollet (Président Wilo France) et Simone Stopazzola (Plant Manager) ont inauguré le nouveau bâtiment de notre filiale Stemma, une société qui a rejoint le Groupe Wilo en 2005.Stemma est l’un des sites de production du Groupe Wilo dans le monde. Stemma, située à Cornedo Vicentino dans le nord-est de l’Italie et employant 25 collègues, produit des composants en acier inoxydable pour nos pompes Helix et Medana. « La région de Vénétie est réputée pour sa productivité élevée et ses grandes connaissances et compétences en formage d’acier inoxydable », a déclaré Georg Weber. Dr Mahmud Mustafa ajoute : « L’Italie est tout à fait unique en ce sens, elle possède le savoir-faire nécessaire pour dessiner et souder des géométries 3D complexes ».La décision de déménager vers un site plus grand et plus moderne contribue au développement de notre stratégie de sécurisation des approvisionnements et nous aide à mieux répondre aux crises de ces dernières années. Georg Weber a souligné : « Notre stratégie est une réponse aux tendances de régionalisation de nombreux pays dans le monde à ce stade. C’est aussi une réponse au stress dans les chaînes d’approvisionnement mondiales qui ne disparaîtra évidemment plus. Stemma est un exemple important de cette stratégie d’internalisation avec une croissance significative des investissements et de l’activité ». L’approche stratégique se concentre également sur l’intégration verticale, c’est-à-dire l’investissement dans la technologie qui nous donne un avantage concurrentiel. En outre, c’est une excellente occasion d’améliorer la production en suivant la stratégie de produits d’entreprise de Wilo dans le cadre du développement continu de l'activité Eau froide. Le nouveau bâtiment moderne s'inscrit également dans la stratégie de développement durable de notre groupe - puisqu'il est recouvert de panneaux solaires - et d'autres initiatives sont à venir dans ce domaine.Touche finale de l’inauguration : Direction, employés, parties prenantes, fournisseurs et partenaires se sont réunis autour d’un cocktail afin d’échanger et de renforcer les liens avec les partenaires locaux.
Il y a 2 ans et 197 jours

L’OPPBTP publie un guide sur l’ITE avec un isolant rigide

L’OPPBTP publie un guide « ITE par enduit sur isolant – Mettre en œuvre les bonnes pratiques lors de travaux d’isolation thermique par l’extérieur avec un isolant rigide ». Il comprend une méthodologie de travail pour la pose d’isolation thermique par l’extérieur (ITE) avec tout type de panneaux d’isolant rigide à partir d’un échafaudage de pied. Celle-ci permet aux entreprises confrontées à cette situation de travail d’être protégées contre les chutes de hauteur tout en facilitant le geste métier. Elaborée par l’OPPBTP et les organisations professionnelles, en particulier le Groupement Isolation Thermique par l’Extérieur (GITE-FFB), cette méthodologie est mise à disposition des entreprises sur le site internet de l’OPPBTP, après validation de sa conformité à la réglementation par la Direction Générale du Travail, en juin 2022. Page du guide…  
Il y a 2 ans et 198 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France
Il y a 2 ans et 198 jours

Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République

Dans le cadre de la discussion du projet de loi « Production d’énergies renouvelables » actuellement en première lecture au Sénat, et en raison de l’amendement proposé par la commission Développement durable du Sénat, visant à la suppression de l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les opérations d’installations photovoltaïques et d’installations thermiques dans les secteurs protégés et les Sites Patrimoniaux Remarquables, Martin Malvy, Stéphane Bern et plusieurs présidents d’associations patrimoniales ont co-signé une lettre à l’attention du Président de la République, Emmanuel Macron. Monsieur le Président de la République, Revient avec force la perspective d’un amendement parlementaire au texte du Projet de loi « Production d’énergies renouvelables » aboutissant à supprimer l’accord (avis conforme) de l’Architecte des Bâtiments de France sur les implantations d’équipements producteurs d’électricité, en centres historiques. Nous sommes favorables au développement des énergies renouvelables. Comment ne le serait-on pas ? Mais les secteurs qui sont placés sous contrôle des Services de l’Etat et par l’entremise des Architectes des Bâtiments de France ne représentent que 6% de l’espace national. Portion infime sur laquelle ne pourraient être exposés que des équipements mineurs. Si la perspective qui consiste à fournir, à partir du patrimoine national, une vitrine aux producteurs d’électricité est effrayante, elle est donc – énergétiquement – purement symbolique et culturellement, esthétiquement, dramatique. Reprenons toutes et tous le discours de Malraux en 1962, défendant sa loi. Il a marqué l’histoire de notre Patrimoine et allons au passage où il imagine les quais de la Seine, en face de Notre-Dame, livrés sans règles aux promoteurs. Qu’il soit nécessaire d’engager le dialogue et de rechercher collectivement des solutions à l’adaptation de l’environnement – d’une manière générale – aux contraintes qui sont désormais les nôtres, bien sûr. Passer en force déboucherait sur une situation critique. Nous demandons avec insistance et détermination l’abandon pur et simple d’un tel projet à celles et ceux dont nous partageons le souci du développement durable mais dont l’adhésion à cette malheureuse idée nous ramènerait à une époque où la presse parlait de ” la France défigurée”. Elle aurait vite fait de renouer avec cette virulente critique. Monsieur le Président de la République, nous sommes convaincus que vous partagez ce sentiment et nous comptons sur votre soutien. Croyez Monsieur le Président de la République à l’assurance de nos sentiments les plus respectueux. Les Premiers signataires : Martin MALVY, Président de Sites & Cités remarquables de France, ancien Ministre Stéphane BERN, Chargé de mission pour le patrimoine en péril Gilles ALGLAVE, Président de Maisons Paysannes de France Jean-François CARON, Président des Biens Français du Patrimoine Mondial Yves DAUGE, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France, ancien sénateur et maire de Chinon, ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Alain DI STEFANO, Président des Plus Beaux Villages de France Françoise GATEL, Présidente des Petites Cités de caractère Philippe HUPPE, Président de Ville et Métiers d’Art Maître Alain de LA BRETESCHE, Président de Patrimoine-Environnement Julien LACAZE, Président de Sites et Monuments Christian LAPORTE, Président des Architectes du Patrimoine Christine LECONTE, Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes Jean-Pierre LELEUX, Maire Honoraire de Grasse et ancien sénateur des Alpes- Maritimes, Ancien président de la “Commission Nationale de l’Architecture et du Patrimoine” Olivier de LORGERIL, Président de la Demeure Historique Hervé MARITON, ancien Ministre, maire de Crest et Président des Plus Beaux Détours de France Marie-Georges PAGEL-BROUSSE, Présidente de REMPART Jean ROUGER, ancien député, membre fondateur de Sites & Cités remarquables de France Fabien SENECHAL, Président des Architectes des Bâtiments de France Philippe TOUSSAINT, Président de Vieilles Maisons Françaises Louis VILLARET, Président du Réseau des Grands Sites de France Cet article Des panneaux photovoltaïques dans les centres anciens : lettre ouverte au Président de la République est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 198 jours

Les solutions Unilin Insulation éco-responsables pour la toiture en pente

Pour transformer un intérieur en faisant un geste pour la planète, découvrez les panneaux de toiture Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool !Usystem Roof OS Comfort Natural, en polyuréthane et fibre de bois, et Usystem Roof DS Natural Wool, 100% fibre de bois, sont deux solutions durables qui s'utilisent en isolation extérieure des toitures inclinées, en neuf ou en rénovation, dans tous les bâtiments.Usystem Roof OS Comfort Natural, la solution Unilin éco-responsable pour l'isolation des toitures en penteCe panneau de toiture bi-matière associant polyuréthane et fibre de bois garantit une isolation thermique optimale, tout en utilisant un matériau renouvelable. Le confort acoustique est lui aussi amélioré avec un affaiblissement des bruits d’impact.Sa valeur ajoutée ? Son écran de sous-toiture qui lui permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés, pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale !Ce panneau de toiture 3 en 1 permet de réaliser en une seule opération l'isolation, le support pour la couverture et la finition intérieure, avec un large choix parmi dix-huit sous-faces de plafond.Longueur : jusqu'à 8 m selon sous-face / Largeur : 800 mm ou 1200 mm (OSB) / R 6 (épaisseur d'isolation 154 mm, 94 PU + 60 fibre de bois) à 9 (épaisseur d'isolation 219 mm, 159 PU + 60 fibre de bois).Usystem Roof DS Natural Wool, la solution Unilin bio-sourcée d'isolation des toitures par l’extérieur !Ce panneau de toiture exclusif à base de fibre de bois est une solution constructive bio-sourcée qui répond aux exigences de la bio-construction en limitant les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. Son isolant plus épais lui confère d’excellentes qualités acoustiques. Le confort d’été est optimisé grâce à l’inertie du produit, dont le cycle de déphasage est allongé.Sa valeur ajoutée ? Plus épais que Usystem Roof OS, il autorise de grands entraxes entre pannes pour toutes les formes de toiture.Ce panneau-ci possède pour sa part un choix de quinze sous-faces de plafond.Longueur : jusqu'à 8 m selon sous-face / Largeur : 800 mm ou 1200 mm (OSB) / R 6,10 (épaisseur d'isolation 220 mm).
Il y a 2 ans et 198 jours

Panneaux solaires en centres anciens : la crainte d'une "France défigurée" revient

LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT. La possibilité d'un amendement supprimant l'avis conforme des ABF pour l'installation d'équipements producteurs d'énergie effraye certains acteurs, dont la présidente de Cnoa Christine Leconte ou encore Stéphane Bern, chargé de mission patrimoine. Avec d'autres, ils en appellent au président de la République pour arbitrer les débats législatifs.
Il y a 2 ans et 198 jours

NOUVEAU PRIM UNIV’ PLASTOR : PRÉPARER SON SUPPORT EN UN TEMPS RECORD 

Plastor – Prim Univ’ Le primaire sablé polyvalent qui sèche en 30 minutes seulement ! Un parquet peut être posé sur différents types de supports : un carrelage, un parquet existant, une chape béton, ciment, Epoxy… La préparation du support est une étape essentielle car elle va conditionner la réussite de la pose et la pérennité du parquet. Une fois les surfaces lisses, planes, propres et sèches, l’artisan a plusieurs possibilités qui s’offrent à lui en fonction de la porosité du support : poncer ou dérocher pour un sol fermé, ou trouver la bonne sous-couche pour réguler une porosité trop importante. Il terminera par appliquer une colle pour la pose de son parquet. Pour simplifier cette étape de préparation et garantir aux artisans un chantier rapide et réussi, quel que soit le support, PLASTOR, spécialiste dans la fabrication des finitions pour la protection de sols parquet et béton, lance un nouveau primaire polyvalent pour sols poreux et fermés : PRIM UNIV’.  Hautement polyvalent, ce primaire sablé en phase aqueuse à séchage rapide a été spécialement conçu pour offrir un véritable gain de temps aux artisans sur les chantiers de pose de parquets. Plus besoin de poncer ou dérocher le carrelage existant, ou de réaliser un sablage sur une barrière anti-remontée d’humidité pour que la colle adhère, le PRIM UNIV’ élimine toutes ces étapes et remplace tous les types de primaires d’accrochage. Séchage rapide, adhérence optimale sur tous les supports Le PRIM UNIV’ Plastor pour sol est une résine sablée monocomposante en phase aqueuse qui convient en neuf comme en rénovation, en intérieur ou extérieur. Elle s’utilise avant l’application des ragréages de sols, des chapes, des mortiers-colles, des enduits mortiers.  Un primaire tout-terrain La résine qui compose le primaire PRIM UNIV’ a été spécifiquement choisie pour son accroche et son exceptionnelle dureté. En effet, elle assure une excellente adhérence des mortiers et colles à parquet sur tous les supports : carrelages, faïences, peintures de sol, peintures façade (acrylique, alkyde), béton, terre-cuite, pierre, enduits, béton cellulaire, carreau de plâtre, dalles en plastique rigide, panneaux de bois (CTBX, CTBH, OSB), chapes liquides anhydrite et ciment, et primaire Epoxy. Un gain de temps sur les chantiers Efficace, le primaire sablé PRIM UNIV’ Plastor garantit non seulement une meilleure adhérence en recouvrement mais il offre aux artisans un véritable gain de temps sur les chantiers, car il s’applique directement sur les supports poreux et non poreux. Il élimine toutes les étapes de préparation du support qui peuvent être contraignantes (odeur, poussière, bruit…) telles que la dépose de carrelage, le dérochage, le ponçage, le sablage pour l’application d’une barrière anti-remontée d’humidité base epoxy… De plus, grâce à sa formule à séchage rapide, il est recouvrable en 30 minutes ! Une pose réussie La formulation de PRIM UNIV’ limite le risque de faïençage car elle réduit le retrait des mortiers ou des enduits. En régulant la porosité des supports, elle diminue le risque de bullage. Résultat, le primaire PRIM UNIV’ limite les phénomènes qui pourraient provoquer le décollement du parquet.  Prêt à l’emploi et classé A+, le PRIM UNIV’ est simple d’utilisation et sans odeur pour un meilleur confort d’application en intérieur. Il ne nécessite pas de mélange et peut être réutilisé à tout moment.Enfin, pratique, sa couleur verte permet un contrôle visuel pendant et après application. https://www.plastor.fr
Il y a 2 ans et 199 jours

Il faut assurer une transition énergétique responsable pour en maximiser les avantages

Alors que l'Europe étudie la meilleure façon de répondre à ses besoins énergétiques dans les mois et années à venir, les énergies renouvelables sont au cœur des débats. Déjà largement considérés comme des piliers essentiels aux projets de décarbonation, des actifs tels que les panneaux solaires continuent de prendre de l’importance. De nombreuses collectivités ont déjà commencé à élaborer des stratégies de décarbonation afin d’atténuer le changement climatique et réfléchissent ainsi naturellement à des moyens de générer une partie de leur propre énergie. Néanmoins, les organisations n’ont pas forcément conscience qu’il est également facile de gaspiller l’énergie renouvelable si l’on n’adopte pas une approche de maximisation des avantages.Travailler l’énergie disponible autant que possibleLa taille des structures est un des facteurs pouvant avoir un impact immédiat sur la transition énergétique. Les panneaux solaires sont de plus en plus courants sur les bâtiments tertiaires et ces équipements font déjà la différence en réduisant les coûts énergétiques quotidiens et en offrant une certaine indépendance énergétique vis-à-vis du réseau électrique. Par exemple, le projet SDE04, en charge du déploiement du réseau de bornes publiques de recharge de véhicules électriques dans le département des Alpes de Haute Provence a mis en place un dispositif pilote dans lequel une installation solaire alimente des bornes de recharge électrique et également un bâtiment public en autoconsommation. L’impact est positif sur les bâtiments produisant déjà de l’énergie renouvelable sur leurs sites et les incitent à tirer le meilleur profit de cette énergie au regard des actions des grands fournisseurs d'énergie pour intensifier la production renouvelable à plus grande échelle.Les systèmes de stockage d’énergie sont donc importants, mais l’utilisation stratégique de cette énergie l’est tout autant. Recharger les véhicules électriques grâce à un mix d’énergie renouvelable stockée et d’énergie du réseau électrique lors des heures creuses en est un bon exemple. Les collectivités pourraient ainsi tirer le meilleur parti des tarifs basés sur le temps et la durée d’utilisation qui pourraient émerger à mesure que les compagnies énergétiques cherchent à améliorer la gestion des réseaux électriques nationaux.Les investissements dans les véhicules électriques ont de la valeurLes véhicules électriques ne font pas que se déplacer d’un point A à un point B. Leurs batteries stockent d’importantes quantités d’énergie, ce qui signifie qu’elles peuvent faire partie intégrante d’un système de gestion d’énergie sur site, même si le site génère ou non une partie de sa propre énergie.Les VE peuvent contribuer à une meilleure utilisation de l'énergie renouvelable, et ce rien qu’en la stockant au moment où elle est la plus disponible. Au lieu de faire le plein en cas de besoin, les conducteurs de VE et les gestionnaires de parcs automobiles électriques peuvent choisir des régimes tels que la recharge de nuit, lorsque la demande sur le réseau est moindre et que la disponibilité de l'énergie renouvelable tend à être plus importante et moins coûteuse.La production d’énergie sur site multiplie les avantages. Les bâtiments qui génèrent leur propre énergie à partir d’équipements tels que des panneaux solaires ou des éoliennes, mais ne disposant pas d’une capacité de stockage suffisante lors d’un pic de vent ou d’ensoleillement, peuvent voir dans les VE utilisés par les habitants un bon moyen d’éviter le gaspillage d’énergie. Il s’agit ultimement de stratégie et de systèmes assurant une gestion intelligente de l’énergie.Des interactions aux marges du réseau électriqueLa recharge des VE représente la voie vers la transition énergétique pour de nombreux propriétaires de bâtiments, mais l’électrification se poursuivra bien au-delà. Les bâtiments sont voués à devenir des hubs énergétiques assurant la gestion de l’électricité d’une manière très différente. L'interaction aux marges du réseau électrique : le point où les entreprises et collectivités et les foyers se connectent au réseau - a peu changé depuis de nombreuses années, mais les énergies renouvelables faisant évoluer les choses, le rythme de ce changement pourrait s'accélérer.Préparer les bâtiments à la transition énergétique implique d'analyser les besoins en matière de gestion de l'énergie et de distribution électrique afin de définir une approche les transformant en hubs énergétiques. Néanmoins, il est important pour les entreprises de ne pas se précipiter dans la production d'énergie renouvelable sur site, dans le but d'atténuer les hausses de prix et de renforcer rapidement l'indépendance énergétique. Le système de gestion d'énergie du bâtiment ou du site doit être étalonné pour intégrer efficacement les nouvelles charges et sources d'énergie. L’interaction aux marges du réseau électrique largement gérée par les compagnies d'électricité avec l'aide des régulateurs, évolue rapidement et de manière simultanée.Ne pas négliger cybersécuritéL’accélération des investissements liés à la production d’énergie renouvelable est notamment causée par le changement climatique. Les énergies renouvelables constituent donc sans aucun doute un bon complément au mix énergétique européen. Mais l’intégration d’équipements tels que les panneaux solaires, les systèmes de stockage d’énergie ou les chargeurs VE peut s'avérer plus complexe que leur simple assemblage sur l'installation électrique existante des bâtiments, et l'aspect numérique peut exposer les entreprises à des risques de sécurité inhabituels.La sécurité physique est un point important dans la gestion de l’électricité, tout comme la cybersécurité, qui est un aspect moins connu mais tout aussi essentiel.L'électrification progresse rapidement, et les organisations peuvent contribuer à en accélérer le rythme. Suivre l'évolution de la réglementation et déterminer l'aide nécessaire, leur permettra de répondre aux circonstances actuelles et de se préparer en même temps à un avenir climatiquement neutre.Tribune de Jérôme Chaffard, Directeur général Eaton France & Péninsule Ibérique (Linkedin).
Il y a 2 ans et 199 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 200 jours

En Afrique du Sud, une ville échappe à la crise énergétique

Les 2.500 habitants d'Orania, en plein désert du Karoo (centre) à plus de 600 km au sud-ouest de Johannesburg, visent l'autosuffisance à tous les niveaux pour s'isoler d'un pays devenu décadent à leurs yeux.Ces descendants de Néerlandais et Français huguenots principalement, arrivés à la pointe de l'Afrique dès le 17e siècle, ont lancé un ambitieux projet solaire qui devrait leur permettre de produire au-delà de leurs besoins.La route goudronnée laisse place à une piste, qui mène à un portail cadenassé. Derrière, un hectare de panneaux photovoltaïques. Le soleil brille ici toute l'année, parfois plus de douze heures par jour.Les travaux de ce projet estimé à plus de 600.000 euros ont commencé en juin 2021. Aujourd'hui, l'installation produit 841 KW par heure. Presque assez pour approvisionner la ville et les exploitations agricoles autour. Le bourg afrikaner vise l'autonomie complète d'ici trois ans alors que le pays est plongé depuis près de quinze dans une grave crise énergétique, entre centrales au charbon vieillissantes, grèves et corruption au sein d'Eskom, l'entreprise publique qui produit 90% de l'électricité en Afrique du Sud."C'est l'idée simple de l'autosuffisance qui nous à poussés à faire ça", confie à l'AFP François Joubert, qui a conçu le projet. Car Eskom a "échoué lamentablement"."Ici, on ne peut compter sur personne pour la fourniture de services de base", explique l'ingénieur de 69 ans. "On est très loin de Johannesburg, très loin du Cap, donc on doit prendre les choses en main. Et ça nous va plutôt bien".Autonomie "vitale"Le terrain de 8.000 hectares au bord du fleuve Orange où fut fondée Orania en 1991, après l'abolition des lois raciales, avait été acheté par le gendre d'Hendrik Verwoerd, ancien Premier ministre considéré comme l'architecte de l'apartheid, et quelques familles afrikaners.La localité, tolérée par le gouvernement sud-africain, s'appuie sur un article de la Constitution qui défend le droit à l'autodétermination du peuple."L'exploitation solaire change sérieusement la donne pour nous. Elle apporte une stabilité énergétique à la ville", explique son maire Gawie Snyman. "Notre rêve serait même d'exporter de l'électricité".En juillet, les coupures de courant programmées, aggravées par les insuffisances du réseau national, ont plongé les Sud-Africains dans le noir plus de six heures par jour, affectant les entreprises et la croissance.Le président Cyril Ramaphosa a annoncé un train de mesures urgentes, appelant le secteur privé, particulier et entreprises, à investir dans l'énergie solaire "sur tous les toits" pour alimenter le réseau national.A Orania, à quelques kilomètres de l'installation solaire, Annatjie Joubert, l'épouse de l'ingénieur, récolte des noix de pécan sur sa ferme au petit matin. Une machine secoue les troncs pour les faire tomber dans une bâche rouge.Pour irriguer ses plantations, elle a régulièrement besoin d'énergie pour pomper de l'eau du fleuve. Quand Eskom programme des délestages, ses arbres ont soif. La nouvelle énergie solaire assure une continuité. "C'est vital, surtout pour les noix de pécan qui boivent beaucoup", explique cette ex-informaticienne de 66 ans.Alors que la guerre en Ukraine fait flamber le prix des cérales, "nous devons aussi produire autant que possible notre alimentation", souligne M. Joubert, casquette plate et doudoune sans manches, dans son champs de panneaux solaires.La prochaine étape de la production solaire à Orania sera l'installation de batteries de stockage d'ici quelques années. Pour permettre enfin à la ville de se libérer complètement du réseau national.
Il y a 2 ans et 201 jours

Energies renouvelables : une nouvelle loi pour accélérer solaire et éolien

Des objectifs ambitieuxLa France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe. Mais à l'urgence climatique, la guerre en Ukraine vient aujourd'hui ajouter la menace d'un "blackout", rendant nécessaire pour le gouvernement un changement d'échelle.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Des mesures d'urgence, ou pérennesIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais de déploiement.Les sénateurs ont réécrit ce volet en commission en créant de nouvelles dérogations temporaires et en proposant des évolutions pérennes aux régimes de l'évaluation environnementale, de la participation du public et du contentieux administratif, pour accélérer la mise en oeuvre des projets.Planification et "droit de veto"Le rapporteur du texte au Sénat, Didier Mandelli (LR), a introduit un nouveau volet, instituant "un dispositif de planification territoriale" du déploiement des énergies renouvelables, "en partant des territoires". Ce serait d'abord les maires qui seraient "à la manoeuvre" pour définir des zones propices à l'implantation. Surtout, il a aussi prévu "un système à double détente" qui "donne aux élus le pouvoir de dire 'oui' ou 'non' à tout projet d'énergie renouvelable".Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux sur des friches. Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne.Le projet de loi imposait l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2 avec ombrières photovoltaïques et végétalisation. Les sénateurs ont revu la copie du gouvernement, substituant la notion de places de parking à celle de superficie. Les parkings extérieurs de plus de 80 emplacements devront être équipés, soit d'ombrières solaires, soit d'un autre procédé de production d'énergie renouvelable.Les sénateurs ont injecté des dispositions en faveur du développement "raisonné" de l'agrivoltaïsme, combinant exploitation agricole et production d'électricité.L'éolien prend la merLe projet de loi proposait de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets "pour améliorer la planification spatiale" et accélérer leur développement. Les sénateurs ont réécrit le dispositif pour "instituer une planification spatiale et temporelle spécifique". Il prévoit la réalisation d'une cartographie des zones destinées à accueillir des installations à l'échelle nationale, avec une concertation large associant l'ensemble des parties prenantes ainsi que le public sur les quatre façades maritimes. Surtout, le texte adopté en commission prévoit de privilégier les zones d'implantation situées à une distance minimale de 40 km du rivage.RistournesLe projet de loi institue un régime de "partage territorial de la valeur des énergies renouvelables" afin d'en faciliter l'acceptabilité. Alors que le texte du gouvernement prévoyait que les communes concernées, mais aussi les particuliers y résidant, puissent bénéficier d'un rabais sur leur facture d'électricité, les sénateurs ont recentré le dispositif sur les seules collectivités. Les ristournes concerneraient les communes d'implantation mais aussi les communes desquelles ces installations sont visibles. Le dispositif s'appliquerait à l'ensemble des installations d'énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 206 jours

POLYGOOD les panneaux décoratifs d’intérieur 100% plastique recyclé.

Stylos, couverts à usage unique, claviers et souris d’ordinateurs, réfrigérateurs ou téléviseurs… Tous ces objets de notre quotidien sont fabriqués avec un plastique commun : le polystyrène. Une fois devenus obsolètes, plutôt que de finir dans des incinérateurs, des décharges ou dans l’océan, ces produits peuvent être recyclés et transformés en un matériau de décoration […]
Il y a 2 ans et 207 jours

Isolation : Bewi achève l'acquisition de Jackon

ACQUISITION. Bewi, fournisseur d'emballages et de solutions d'isolation, vient de finir l'intégration de Jackon et donc de Jackon Insulation, fabricant d'isolants et de panneaux de construction en mousse rigide de polystyrène extrudée (XPS).
Il y a 2 ans et 207 jours

ETN pour solution de sarking biosourcée

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d’isolants en fibre de bois, validées par une ETN. Cette Enquête de Technique Nouvelle valide une large gamme de solutions d’isolation des toitures par l’extérieur utilisant les panneaux en fibre de bois Multisol et Duoprotect d’Isonat. Elle est également la première certification à être attribuée à une solution sarking avec une isolation biosourcée. De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l’étanchéité et la durabilité de l’écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d’une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l’ETN Alpes Contrôle A27T210Q. Cet article ETN pour solution de sarking biosourcée est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 207 jours

Les châteaux de la Loire face à l'augmentation du coût de l'énergie

A l'approche de l'hiver, le propriétaire du château de Meung-sur-Loire (Loiret) Xavier Lelevé s'inquiète pour sa facture de chauffage, gaz et électricité, qui tourne d'habitude autour de 15.000 à 20.000 euros. Mais pas cette année..."Ca va être multiplié entre cinq et dix. Ce n'est pas envisageable d'exploser le budget énergétique de cette manière", se désole-t-il.Des hausses qui, comme dans beaucoup d'entreprises, "impactent immédiatement le fonctionnement" et freinent les investissements dans la conservation. Tout comme le dialogue parfois compliqué avec les services publics du patrimoine, comme la Direction régionale des affaires culturelles (Drac).Dans une partie interdite au public de ce château classé aux Monuments historiques, Xavier Lelevé détaille les fenêtres. Certaines sont en très mauvais état et le ruban adhésif sur les boiseries n'offre qu'un rempart très limité face aux assauts du froid. Mais d'autres sont neuves. Fruits d'intenses tractations avec la Drac, elles ont été fabriquées avec un cahier des charges ultra précis pour respecter l'esthétique du bâtiment."Une fenêtre coûte à peu près 10.000 euros, on en a 148, donc vous voyez ce que le budget fenêtres peut représenter", explique-t-il.Loin des obstacles administratifs, Charles-Antoine de Vibraye a choisi de ne rien faire. Et tant pis si la facture grimpe, le succès du château de Cheverny (Loir-et-Cher), inspiration du Moulinsart d'Hergé, lui permet d'absorber l'augmentation du fioul, dont il consomme 30.000 à 40.000 litres par an.Le châtelain n'envisage pas non plus d'isolation: "Si vous emprisonnez la chaleur, vous faites du bien aux champignons potentiels et aux insectes qui vont vous bouffer votre bois. Je crois qu'il faut limiter le chauffage au strict minimum pour ne pas contrarier ce cycle sain d'échanges thermiques à l'intérieur d'un monument."Reste que les meubles d'époque se conservent mieux dans une atmosphère contrôlée: "C'est un peu la limite de mon raisonnement. Il faut faire en sorte d'avoir une chaleur minimale. Le château est chauffé sur les deux tiers de sa superficie, mais en particulier dans les pièces visitées, avec mobilier historique.""Chauffage la nuit à 8°C"Non loin de là, Chambord allume ses cheminées. Au pied de l'escalier de Léonard de Vinci, quatre grosses bûches alimentent doucement l'âtre, seule source de chaleur pour le visiteur.Mais les bureaux, boutiques, la quarantaine de maisons du domaine, ainsi que les pavillons forestiers sont chauffés."La facture a doublé en deux ans. On est passé de 260.000 euros à plus de 600.000 dans le budget prévisionnel 2023", regrette le directeur du Domaine national Jean d'Haussonville. Sur un budget de 30 millions d'euros par an, cette somme représente l'équivalent de deux expositions temporaires et d'un festival.Pour le directeur, la montée des prix ne fait qu'accélérer "la réflexion sur les sources vertueuses d'énergie". Chambord a donc rapidement lancé deux études pour se verdir: une sur l'installation de panneaux photovoltaïques sur les toits des hangars techniques, l'autre sur la géothermie et le chauffage par biomasse, histoire de profiter de la forêt.Dès les prochains mois, le domaine entend investir dans sa forêt de 50 km2 en installant une scierie, ouvrant la possibilité à plus long terme d'utiliser son bois pour se chauffer.En attendant, le château appartenant à l'Etat tente dès aujourd'hui de réduire la facture grâce à un système informatique de gestion technique des bâtiments."C'est un logiciel qui permet par exemple d'éteindre les lumières s'il n'y a plus d'occupant dans une pièce et de réduire le chauffage la nuit à 8°C", apprécie le directeur."Nous n'avons aucun doute sur notre capacité à faire 10% de réduction d'énergie dès 2023", assure-t-il.
Il y a 2 ans et 208 jours

une protection solaire architecturale pour le campus new tech des hopitaux iris bruxellois

Un complexe moderne regorgeant d’innovations technologiques. Voilà comment on pourrait qualifier, à juste titre, le campus New-Tech des hôpitaux Iris bruxellois. Une protection solaire architecturale DUCO, dotée de panneaux coulissants et un revêtement de façade épuré confèrent à cette dernière tout son caractère.
Il y a 2 ans et 208 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n&rsquo;a cessé d&rsquo;évoluer et d&rsquo;étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate&#8230; Qu&rsquo;il s&rsquo;agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d&rsquo;Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d&rsquo;alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l&rsquo;entreprise polonaise CB, l&rsquo;un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d&rsquo;accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d&rsquo;une grande expertise dans l&rsquo;étanchéité à l&rsquo;eau et à l&rsquo;air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S&rsquo;appuyant sur la puissance d&rsquo;Onduline sur les cinq continents, l&rsquo;objectif du groupe est de renforcer sa présence à l&rsquo;international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l&rsquo;accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d&rsquo;étanchéité alwitra, et les solutions d&rsquo;éclairement en polycarbonate d&rsquo;ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d&rsquo;une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s&rsquo;appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd&rsquo;hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l&rsquo;isolation et l&rsquo;enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d&rsquo;investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l&rsquo;innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l&rsquo;environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d&rsquo;eau fermé, faible consommation d&rsquo;énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses&#8230; De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l&rsquo;impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l&rsquo;environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d&rsquo;émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C&rsquo;est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l&rsquo;entreprise de réduire l&#8217;empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) &#8211; ISO14025 & EN15804. L&rsquo;EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l&rsquo;ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l&rsquo;impact du produit sur l&rsquo;environnement depuis l&rsquo;approvisionnement en matières premières jusqu&rsquo;à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 208 jours

Comment augmenter la valeur de son bien immobilier ?

Vous souhaitez augmenter la valeur de votre bien immobilier dans le but de le vendre dans l’avenir&nbsp;? Pour cela, nous vous donnons des conseils de rénovation afin d’accroître la valeur de votre bien. Rénovation extérieure L’extérieur de votre bien immobilier est la première image qu’ont les autres de votre maison. En effet, il va représenter et former les premiers avis sur votre bien. Réparations Ce point peut sembler surestimé, cependant, rien ne sert d’ajouter de nouveaux aménagements ou de changer des installations fonctionnelles si vous laissez des choses en mauvais état, voire cassées. Dans un premier temps, assurez-vous que votre bâtiment est stable. Des fondations à la toiture en passant par la façade, ce sont les premières réparations à effectuer. Agrandissements Bien que cela représente des travaux longs et coûteux, ajouter de la surface à votre bien ne peut que faire augmenter sa valeur. En effet, certaines personnes évaluent le prix d’une propriété seulement en sa surface. Cet agrandissement peut être un ajout ou un élargissement d’une pièce intérieure, l’ajout d’un garage ou d’un appentis ou encore la construction d’une véranda. Changements Il ne faut pas hésiter à réaliser des changements, même sur les installations encore viables. Vous pouvez changer les fenêtres en augmentant le vitrage, mais aussi le cadre, que cela soit pour des questions esthétiques ou d’isolation. Il est également possible de remplacer vos volets manuels par des volets motorisés qui sont très appréciés par les acheteurs. Il en va de même pour les portes d’entrée et de garage, le portail, etc. Modernisation Vous avez réparé les fissures sur vos façades et sur vos murets, mais cela ne fait pas un rendu esthétique. Pour cela, vous pouvez faire appel à des professionnels ou installer des panneaux muraux décoratifs qui représentent un plus lors de la vente. En effet, en plus d’être esthétiques, ils sont durables et faciles d’entretien. Enfin, si votre allée est abîmée ou que vous ne la trouvez plus assez jolie, il existe de nombreuses solutions pour la repenser. Effectivement, vous pouvez la refaire avec des dalles, des pavés, des graviers, du béton, etc. Personnalisation de couleurs, de formes, de tailles, de joints, etc. seule votre imagination vous arrête. Rénovation intérieure L’intérieur de votre bien va permettre aux personnes de s’imaginer vivre au sein de votre logement. Ainsi, un intérieur propre et moderne n’est pas négligeable. Décoration Une fois les travaux de réparation réalisés, il faut maintenant décorer. Si la décoration doit avant tout vous plaire à vous, il est important de réfléchir à ce que les visiteurs vont en penser. La rendre plus attrayante ne veut pas forcément dire changer tout le mobilier. Si cela peut parfois être nécessaire, vous pouvez aussi simplement nettoyer, rénover ou personnaliser vos meubles. Vous pouvez aussi changer l’agencement de votre pièce afin de créer une ambiance différente. Enfin, il est également possible de rajouter de petites décorations comme des bougies, des plantes, des lumières, des statues, etc. Isolation Il est important pour votre bien d’être isolé aussi bien phoniquement que thermiquement. Cela va, dans un premier temps, permettre un meilleur confort, mais à long terme, cela représente des économies d’énergie et donc budgétaires. Ajouts Tout comme à l’extérieur, vous pouvez rajouter des installations qui représenteront forcément un plus lors de la vente. Parmi elles, nous pouvons retrouver&nbsp;: Domotique et robotique d’intérieur&nbsp;;Climatisation&nbsp;;Jacuzzi&nbsp;;Espace de sport&nbsp;;Etc.
Il y a 2 ans et 208 jours

Comment transformer un local commercial en bâtiment résidentiel ?

Jusqu’en 2015, le gouvernement avait posé des restrictions à la transformation de locaux commerciaux en bâtiments résidentiels. S’il est désormais plus facile de réaliser de tels travaux, il reste des points auxquels prêter attention en amont. Identifier les exceptions du PLU Si depuis 2015 les locaux commerciaux peuvent être transformés en logements, il existe toutefois des exceptions. Parmi elles, nous trouvons notamment&nbsp;: Les bâtiments classés «&nbsp;monument historique&nbsp;»&nbsp;;Les bâtiments situés dans des zones de conservation ou des parcs nationaux&nbsp;;Les bâtiments situés dans des zones désignées de beauté naturelle ou d&rsquo;intérêt scientifique&nbsp;;Les bâtiments situés dans des zones de sécurité ou des zones militaires explosives&nbsp;;Les bâtiments servant à protéger les commerces de proximité. Il est primordial de vérifier cette information avant de s’engager. Demander les autorisations nécessaires Si le local commercial est situé dans une copropriété, il faudra s’assurer qu’aucun règlement n’interdit le changement. Ensuite, il faudra obtenir l’accord de la totalité des copropriétaires lors d’un vote à l’assemblée générale. Si le vote est favorable à l’unanimité, il sera alors possible de déposer une demande de déclaration préalable de travaux pour un logement. Repérer le besoin d’un permis de construire Parmi les exceptions vues ci-dessus, certaines conversions sont possibles avec un permis de construire strict comprenant de nombreuses règles et obligations. Pour d’autres transformations, seule une autorisation préalable du conseil municipal peut suffire. Pour cela, le bâtiment devra faire moins de 150m². Enfin, s’il est prévu des travaux d’agrandissement ou de modifications de l’apparence extérieure, tels que la modification, l’ajout ou le déplacement de fenêtres et de portes, un permis de construire sera nécessaire. Établir le budget prévisionnel Ce type de travaux demande une somme d’argent importante qu’elle soit prévue ou non. En effet, toutes sortes de travaux inattendus viendront s’ajouter après l’achat du bâtiment. En plus de l’achat du local et du financement des travaux, il faut prendre en compte&nbsp;: La demande du permis de construire&nbsp;;Le droit de timbre&nbsp;;Les frais d’autorisation préalable&nbsp;;Les frais d’avocat&nbsp;;Les frais de géomètre&nbsp;;Etc. Parmi les travaux à réaliser, on peut retrouver&nbsp;: Les travaux d’isolation phonique et thermique&nbsp;;La création d’une cuisine et d’une salle de bain&nbsp;;Changement du sol et du plafond&nbsp;;Remplacement des vitrines&nbsp;;La rénovation de la façade extérieure&nbsp;;Etc. Si ces travaux représentent un coût élevé, il est possible de faire des économies, notamment grâce à&nbsp;: L’installation d’un bardage ondulé sur l’une ou la totalité des façades extérieures va permettre de rénover la façade de façon moderne et à moindre coût&nbsp;;L’utilisation de panneaux décoratifs pour son intérieur va favoriser des travaux plus faciles et moins coûteux&nbsp;;La pose d’un chauffage adapté à la superficie des pièces&nbsp;;Etc.
Il y a 2 ans et 211 jours

POLYGOOD les panneaux décoratifs d’intérieur 100% plastique recyclé.

Stylos, couverts à usage unique, claviers et souris d’ordinateurs, réfrigérateurs ou téléviseurs…Tous ces objets de notre quotidien sont fabriqués avec un plastique commun : le polystyrène. Une fois devenus obsolètes, plutôt que de finir dans des incinérateurs, des décharges ou dans l’océan, ces produits peuvent être recyclés et transformés en un matériau de décoration design, écologique et durable : le POLYGOOD. MODULE CARRÉ, spécialiste des revêtements de sols modulaires en PVC recyclé, bouscule les codes de l’aménagement et de la décoration d’intérieur en lançant sur le marché POLYGOOD, première gamme de panneaux décoratifs de haute qualité conçus à partir de polystyrène 100% recyclé et 100% recyclable. POLYGOOD, un matériau innovant et éco-responsable POLYGOOD est le fruit de la rencontre entre MODULE CARRÉ et The Good Plastic Company, fabricant hollandais de panneaux en plastique recyclé. Ensemble, ils se sont donnés pour objectif de valoriser les déchets plastiques en les traitant comme une ressource précieuse, durable et transformable. Chaque panneau est conçu à partir d’un seul type de plastique : du polystyrène (PS). Le processus de fabrication permet de réutiliser jusqu’à 100% de déchets plastiques et 100% des chutes sont réintégrées dans la production.Aucun liant ou traitement de surface n’est ajouté, ce qui prolonge indéfiniment son utilisation et en fait un matériau modèle de l’économie circulaire. POLYGOOD, le design durable Idéal pour l’aménagement et la rénovation, les panneaux décoratifs POLYGOOD ouvrent de nouvelles perspectives en termes de créativité et de design. Véritable source d’inspiration, ils invitent les architectes d’intérieur, les designers, les agenceurs à concevoir des décors tendances et raffinés. Affichant un design hautement esthétique, la gamme POLYGOOD se distingue par une variété de motifs, de finitions (brillante, mate ou semi-mate) et de coloris qui se déclinent à l’infini. Chaque motif pouvant être personnalisé en jouant avec la densité et la couleur des paillettes de plastique broyées. La palette de couleurs varie en fonction des approvisionnements en matériaux recyclés conférant à votre décoration un rendu unique. Une collection sur mesure aux motifs étonnants La gamme POLYGOOD joue aussi avec les différents formats. Modulable, elle s’ajuste en dimension selon les besoins et les projets : 1000x1000mm, 1400x1400mm et 1400x2800mm, soit la plus grande taille de panneaux du marché ! Une gamme polyvalente pour des usages multiples Les panneaux POLYGOOD peuvent être utilisés comme revêtement mural, comme élémentdécoratif et comme matériau de surface. Façonnable à volonté, ce nouveau matériau décoratif se plie avec talent à toutes les envies et apporte aux concepteurs une nouvelle liberté d’expression pour concevoir des meubles et autres éléments d’intérieur/extérieur : tables, chaises, étagères, tables de bar, présentoirs, façades de bar, bureaux de réception, surfaces de cuisine, oeuvres d’art et bien d’autres choses encore. Les points forts de POLYGOOD • Qualité supérieureFabriqués à partir de plastiques durs à haute rigidité, les panneaux POLYGOOD sont durables, étanches et hygiéniques. • RésistantLe polystyrène peut être transformé de très nombreuses fois, il ne perd pas ses propriétés mécaniquesessentielles. Il est reconnu pour sa robustesse et sa résistance aux chocs. Il ne nécessite pas l’ajout d’un matériau de support (ex. ossature bois) et se suffit donc à lui-même. -Densité : 1,043 g/cm3 -Résistance à la traction (rupture) : 14,29 MPa• LégerDisponible en épaisseurs de 12 et 19 mm, les panneaux POLYGOOD sont d’une très grande maniabilité et garantissent une mise en oeuvre rapide et aisée.• Facile à travaillerLes panneaux POLYGOOD peuvent être découpés à la CNC, fraisés, polis, poncés, thermoformés,percés, évidés, collés etc. Une fois usinés et prêts à être poser, ils garantissent un désordre minimum lors de l’intervention en site occupé.• Disponibilité en volumes industrielsLes panneaux sont stockés à Orléans dans le Loiret afin de garantir une livraison rapide ou sur commande en 2 ou 3 semaines. Possibilité de fournir des projets nécessitant des centaines de mètres carrés de matériaux.
Il y a 2 ans et 211 jours

Essonne : solarisation du bâtiment industriel Biocoop dans le cadre du Plan biodiversité de 2018

Biocoop a équipé de plusieurs panneaux photovoltaïques son bâtiment industriel à Ollainville (Essonne) pour se conformer au Plan...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 211 jours

Une gamme solaire complète qui répond à toutes les demandes du marché.

Pour répondre aux besoins en production d’énergie, EDILIANS a développé des solutions selon votre consommation, l’architecture de votre projet et votre budget.  EASY ROOF ACCESS Une solution fiable : résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un produit accessible : un excellent rapport qualité/prix ainsi qu’un montage rapide ! &nbsp; LA TUILE SOLAIRE MAX Une durabilité optimale : imputrescible, anti-corrosion et résistante, c’est la tuile en intégration la + sûre du marché ! Un modèle universel : la tuile solaire max s’adapte à tous les modèles de tuiles de couverture. &nbsp; LA TUILE EN TERRE CUITE SOLAIREUne solution discrète : la tuile en terre cuite solaire s’intègre parfaitement à votre toiture et ne dénigre pas l’architecture de votre édifice.  Une pose familière : sa forme et ses caractéristiques de mise en œuvre sont identiques à leurs équivalents traditionnels en terre cuite. Pour les professionnels, c’est un réel gain de temps et de rentabilité.  
Il y a 2 ans et 211 jours

Les solutions solaires de demain : EDILIANS s’engage dès aujourd’hui !

EDILIANS a développé des solutions solaires pérennes pour toutes typologies de projets et surtout pour tous les budgets : la Tuile Solaire Max, sa tuile en terre cuite solaire ainsi que ses panneaux PV EASY ROOF ACCESS. L&#8217;EASY ROOF ACCESS est peu couteux, facile à installer et parfaitement étanche. Résistant aux UV, à la rouille et aux intempéries et dans une logique éco-responsable, il est 100 % recyclable ! La tuile terre cuite solaire est la solution idéale qui englobe le savoir-faire d’EDILIANS et la technologie solaire. Son esthétisme offre une parfaite intégration à l’architecture de votre édifice. &nbsp; Ses caractéristiques et sa forme sont identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels ; un gain de temps et de rentabilité pour les pros. Quant à la tuile solaire max, elle se distingue par sa performance énergétique et sa facilité de pose. Garantie imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries ! Bonus : pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.
Il y a 2 ans et 211 jours

ZFE-m : le nécessaire accompagnement des entreprises artisanales du bâtiment pour réussir sa mise en œuvre dans les territoires

Si le Président de la République a clairement mentionné les ménages comme principaux bénéficiaires de cette enveloppe, la CAPEB rappelle l’absolue nécessité d’aider les entreprises artisanales du bâtiment à se conformer à ce dispositif. Elles ne disposent pas aujourd’hui, en effet, de la capacité d’investissement nécessaire pour acquérir un véhicule adapté aux ZFE-m. Un dispositif d’aides doit leur être proposé.C’est d’ailleurs le constat que font les députés Bruno Millienne et Gérard Leseul dans leur conclusion suite à la mission « flash » qu’ils ont menée sur les mesures d’accompagnement à la mise en œuvre des zones à faibles émission. Le coût d’acquisition élevé des véhicules utilitaires légers propres est mentionné dans le rapport comme une des difficultés rencontrées par les professionnels utilisant ces véhicules. Ce rapport évoque également l’offre industrielle de véhicules classés 0 ou 1 encore très réduite et les incertitudes sur la disponibilité et l’avitaillement en énergies alternatives comme autres difficultés. Des difficultés sur lesquelles la CAPEB avait déjà alerté les pouvoirs publics, il y a plusieurs mois.Ainsi, les deux parlementaires préconisent dans leur conclusion un bouquet de recommandations qui vont dans le sens des propositions que porte la CAPEB pour réussir la mise en œuvre des ZFE-m. Ils préconisent notamment de recourir au dialogue et à la concertation entre les collectivités locales et les représentants des acteurs économiques pour élaborer les mesures applicables et arrêter des calendriers réalistes de mise en œuvre des ZFE-m, de renforcer, à court terme, les incitations à l’acquisition généralisées de véhicules utilitaires légers et de poids lourds Crit’Air 2, de mettre en place une liste officielle et un système de dérogation homogène transitoire, notamment pour les véhicules de certains professionnels ne disposant d’aucune alternative sur le marché et plus globalement d’introduire de l’agilité et de la souplesse dans la mise en œuvre de ce dispositif.Un bouquet très intéressant auquel la CAPEB rajoute la nécessité de mettre en place un guichet unique d’information dédié aux professionnels afin qu’ils puissent avoir accès aux caractéristiques des ZFE-m mais également de s’assurer avant toute mise en place de ZFE-m qu’une offre complète de véhicules utilitaires légers électriques soit réellement disponible pour les entreprises et qu’un nombre suffisant de places de stationnement adaptées à ces véhicules soit présent. Il serait également essentiel de développer pour les entreprises un package complet, qui soit accompagné financièrement et qui comprendrait la pose de panneaux photovoltaïques sur les toits des locaux de l’entreprise, l’installation de bornes IRVE pouvant être utilisées pour la recharge des véhicules professionnels mais également des salariés et la location de véhicules utilitaires électriques.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Le Président de la République et son gouvernement disposent de toutes les préconisations pour accompagner au mieux les professionnels dans cette transition. Nous attendons désormais qu’ils s’en emparent au plus vite. Pour que les ZFE-m deviennent une opportunité pour l’ensemble des entreprises artisanales du bâtiment, le gouvernement doit annoncer un accompagnement fort à même de nous donner les moyens de basculer notre flotte de 900.000 véhicules en véhicules propres et de baisser nos charges. »
Il y a 2 ans et 212 jours

Une voiture solaire artisanale au Venezuela, pays pétrolier

Il aimerait les produire en série dans ce pays pétrolier où l'essence se vend pour presque rien mais où les pénuries sont fréquentes, le pays plongé dans la crise ayant du mal à raffiner assez de pétrole pour ses besoins propres.A Maracaibo (nord-ouest), pourtant berceau de l'industrie pétrolière, l'absence d'essence est récurrente depuis 10 ans même si la situation s'est améliorée ces dernières semaines."J'avais besoin de faire du shopping pour garder mon entreprise (restaurant) ouverte et active. La première chose que j'ai faite a été de modifier une voiturette de golf qu'on m'avait offerte", raconte-t-il à l'AFP.Le premier modèle qu'il a développé utilisait un moteur de moto peu gourmand en carburant, mais "j'étais toujours dépendant de l'essence". Il a ensuite utilisé des batteries électriques. Son prototype était capable d'atteindre une vitesse de 40 km/h et de parcourir 100 km par jour en se rechargeant sur le courant domestique de 110 volts.Mais, les coupures de courant étant fréquentes, il a cherché dans son petit atelier une autre solution. "A Maracaibo, il y a le soleil (...) alors nous avons fabriqué un chariot avec des panneaux solaires" qu'il a posé sur la voiture, explique-t-il.Conduite par le présidentLe résultat est un véhicule hybride qui peut passer du carburant à l'électricité et de l'électricité à l'énergie solaire.Le cinéaste, qui s'était rendu en célèbre avec son film "Joligud" (jeu de mots avec Hollywood), sorti en 1990 et tournée à Maracaibo, espère désormais passer de l'artisanat à la grosse production.Il recherche des financements et l'autorisation de l'État pour produire en série ses voitures solaires.Le président Nicolas Maduro, lors d'un événement officiel, a conduit l'une de ces voitures, noire, avec des rayons bleus peints sur la carrosserie."Technologie 100 % vénézuélienne", a même lancé le président Maduro."Le grand rêve serait de pouvoir les produire, à partir de zéro, au Venezuela. Je crois que c'est possible", espère M. Pradelli.Ses voitures coûtent entre 5000 et 7500 dollars, ce qui est le prix moyen d'un véhicule d'occasion dans le pays. À long terme, cependant, les économies de carburant et d'entretien en font un investissement rentable, assure-t-il."Un pack (de batteries) coûte jusqu'à 2500 dollars, mais si vous savez comment le gérer, il peut durer trois à cinq ans. J'ai déjà économisé 3000 dollars pour chaque voiture", insiste M. Pradelli.Il jure que l'entretien est très simple car ces hybrides "made in Maracaibo" n'ont ni carburateur ni alternateur.Et il affirme qu'elles sont sûres, indiquant que des tests concluants ont été effectués à la faculté d'ingénierie mécanique de l'université locale de Zulia (LUZ)."Elles sont petites, mais même si elles paraissent fragiles, si vous avez un accident, vous ne serez pas tué", promet-il.
Il y a 2 ans et 212 jours

Madrid veut inciter les Espagnols à installer des panneaux solaires

"Il y a un intérêt important" pour l'autoconsommation, qui "constitue une façon intéressante de réduire notre facture" énergétique, a souligné la ministre espagnole de la Transition écologique Teresa Ribera à l'issue du Conseil des ministres.Or, l'autoconsommation peut être encouragée, en mettant en place "une régulation simplifiée", a ajouté Mme Ribera en présentant cette série de mesures intégrées au plan énergétique adopté, conformément aux directives européennes, pour réduire la dépendance de l'UE vis-à-vis de Moscou.Le plan du gouvernement de gauche espagnol simplifie les démarches administratives à effectuer pour la mise en service d'installations d'une puissance inférieure à 500 kilowatts/heure, et encourage l'installation de panneaux photovoltaïques dans les bâtiments publics.Il prévoit enfin d'encourager l'"autoconsommation collective", en soutenant l'installation de panneaux solaires dans les immeubles et résidences – un choix décisif, alors que près des deux tiers des Espagnols vivent en appartement.L'autoconsommation d'électricité connaît un fort développement en Espagne depuis 2018, année où Madrid a supprimé un décret obligeant les particuliers reversant leur énergie au réseau national de payer une taxe, qualifiée d'"impôt sur le soleil" par ses opposants.Selon l'Union photovoltaïque espagnole (Unef), la puissance installée destinée à l'autoconsommation a atteint 1.203 mégawatts (MW) en 2021, soit deux fois plus qu'en 2020 (596 MW). Ce chiffre devrait par ailleurs être largement battu en 2022.Le plan énergétique de Madrid, qui intègre des mesures d'économie d'énergie visant à diminuer jusqu'à 13,5% la consommation de gaz naturel du pays d'ici à mars, étend par ailleurs jusqu'à décembre 2023 le plafonnement du prix du gaz utilisé pour la production d'électricité.Ce mécanisme dit d'"exception ibérique" a été instauré en juin en Espagne et au Portugal, avec l'aval de Bruxelles, en raison du manque d'interconnexions électriques entre la péninsule et le reste de l'Union européenne. Il devait initialement prendre fin en mai 2023.Ce régime dérogatoire a permis aux prix de l'électricité de refluer fortement ces derniers mois dans ces deux pays. Plusieurs pays européens comme la France réclament désormais sa généralisation à l'ensemble de l'Europe.
Il y a 2 ans et 212 jours

Le Qatar inaugure sa première centrale solaire avec TotalEnergies

Située à Al Kharsaah, à l'ouest de Doha, cette ferme solaire de plus 1,8 million de panneaux solaires s'étend sur 10 km2, ce qui en fait l'une "des plus grandes de la région", selon le ministre de l'Energie et président de Qatar Energy, Saad Sherida al-Kaabi.D'une capacité de 800 mégawatts, le projet lancé en 2016 et opérationnel depuis juin vise à couvrir 10% de la consommation du pays en électricité.D'après les organisateurs du Mondial-2022 au Qatar, qui promettent un tournoi neutre en carbone, la centrale alimentera les stades en électricité. Lors d'une conférence de presse, M. Al-Kaabi a toutefois indiqué ne pas disposer d'information sur ce point.Outre TotalEnergies (19,6%), l'entreprise japonaise Marubeni (20,4%) est partenaire de la centrale d'Al Kharsaah.Le géant gazier et pétrolier français a par ailleurs signé cette année deux importants contrats avec le Qatar pour le développement du plus grand champ de gaz naturel au monde, le North Field."Le fait que TotalEnergies soit devenu récemment le premier partenaire international du Qatar est un signe fort", a commenté le PDG Patrick Pouyanné, interrogé par l'AFP."C'est le résultat de beaucoup de travail depuis plusieurs années, mais je pense que ça tombe bien au moment où la question de la sécurité d'approvisionnement de l'Europe se pose à nous tous", a-t-il ajouté."On dirait que c'est la seule entreprise qui travaille au Qatar!", s'est pour sa part amusé Al-Kaabi. "Nous avons la même mentalité: être à la pointe de la technologie, essayer d'aller dans des zones d'exploration reculées et aussi vers les énergies renouvelables", a-t-il expliqué."Je pense que notre partenariat va encore se solidifier mais ça ne veut pas dire qu'on n'a pas d'autres partenaires très importants et, bientôt, vous nous verrez signer avec d'autres", a glissé le ministre, alors que le pays doit encore dévoiler le nom d'autres entreprises étrangères engagées sur le North Field.Le Qatar, qui vise une capacité de 5 gigawatts d'énergie solaire d'ici 2035, a annoncé fin août deux autres grands projets de centrales photovoltaïques devant lui permettre de plus que doubler sa production d'ici deux ans.La ferme solaire d'Al Kharsaah, elle, devrait être "étendue" d'ici 2035, a précisé le ministre.L'émirat est toutefois en retard sur ses voisins du Golfe. L'Arabie saoudite a annoncé cette année son intention de dépasser le seuil des 5 GW d'ici 2030, et des centrales solaires existent aux Emirats arabes unis depuis près d'une décennie.
Il y a 2 ans et 214 jours

Une maisonnette en bois portugaise réalisée autour d’un marronnier

Des murs en verre inclinés ouvre sur des vues panoramiques à l&#8217;abri d&#8217;un arbre mature dans la Chestnut House à Vale Flor, au Portugal, conçue par l&#8217;architecte local João Mendes Ribeiro. Revêtu de bois peint en noir et doublé de panneaux de contreplaqué, le logement est conçu par Ribeiro comme un &#171;&#160;abri élégant&#160;&#187; dans le [&#8230;]
Il y a 2 ans et 214 jours

L'installation de panneaux solaires fait son entrée chez Castorama

ENERGIES RENOUVELABLES. L'enseigne de bricolage du groupe britannique, Kingfisher, Castorama, annonce proposer une solution clé en main à ses clients d'installations de panneaux photovoltaïques.
Il y a 2 ans et 215 jours

eco construction et design au service du batiment durable

GLP, expert en immobilier logistique, revient sur sa collaboration avec le groupe Kingspan. Alors que GLP, l’un des principaux gestionnaires d’actifs et développeur d’infrastructures logistiques, vient tout juste de construire un nouveau site de 18 000 m² à Lormaison, dans l’Oise, le groupe a fait appel à Kingspan, leader mondial de la production de panneaux sandwichs isolants, pour équiper l’enveloppe de son nouveau bâtiment.
Il y a 2 ans et 215 jours

La Grande Mosquée de Paris, monument parisien emblématique, célèbre son centenaire

Le président de la République devrait dévoiler à cette occasion une plaque marquant entre autres la "reconnaissance" de la République pour ses soldats musulmans, a-t-elle indiqué à l'AFP.Construite bien avant les grandes vagues d'immigration, la GMP est la première mosquée métropolitaine érigée à l'ère contemporaine.Il s'agit, pour "les autorités de l'époque", de "rendre un hommage très fort aux musulmans pour leur sacrifice pendant la Première Guerre mondiale", dit à l'AFP le recteur actuel, Chems-Eddine Hafiz.Quelque 70.000 soldats de l'armée française, de confession musulmane, sont morts durant la Première Guerre mondiale, selon une estimation du ministère de la Défense.En 1920, un projet de loi dont le rapporteur est Edouard Herriot, alors député, et qui prévoit un Institut musulman comportant notamment une mosquée, une bibliothèque, une salle de conférence, est voté au Parlement.Fait marquant: il comporte une subvention de "500.000 francs", 15 ans après la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l'Etat. Cela a été permis grâce "à un montage juridique", via un enregistrement au tribunal religieux d'Alger, "alors département français, dans lequel la loi de 1905 ne s'appliquait pas", selon le recteur.Parallèlement, une souscription est lancée dans tout l'empire colonial pour que les musulmans participent à sa construction."Impérialismes européens"En mars 1922, l'orientation de la future salle de prière par rapport à La Mecque est décidée. Le 19 octobre de la même année a lieu l'inauguration solennelle des travaux du futur bâtiment, en présence du maréchal Hubert Lyautey, stratège militaire et figure emblématique de la colonisation française au Maroc, sur un terrain des Hôpitaux de Paris.Quatre ans seront ensuite nécessaires à son édification et la mosquée est officiellement inaugurée en 1926.Sa construction correspondait aussi à "des motifs géostratégiques, en pleine lutte entre impérialismes européens", souligne Dorra Mameri-Chaambi, chercheuse à l'EHESS, qui a consacré une thèse au rôle de la Grande Mosquée dans l'islam en France."Avec les accords Sykes-Picot de 1916, les puissances impériales souhaitaient dépecer l'Empire ottoman. La période était également propice à offrir des gages de sympathie aux sujets musulmans de l'Empire colonial français", et à "conforter la France dans son rôle de puissance musulmane d'Europe", dit-elle.Sadek Sellam, auteur de La France et ses musulmans (Fayard), insiste sur le fait que "plusieurs projets" de mosquées ou d'institutions musulmanes à Paris avaient émergé, notamment dans certains milieux islamophiles, "dès 1846 puis en 1895".Avec son style hispano-mauresque, ses jardins et patios à l'andalouse, ses zelliges et moucharabiehs et son minaret haut de 33 m, l'édifice religieux, flanqué dès l'origine d'un restaurant et d'un hammam, est devenu un bâtiment emblématique de la capitale.Proche du Quartier latin, entre vieux immeubles parisiens et Jardin des plantes, il est classé à l'inventaire des "monuments historiques" depuis 1983. Sa construction est en béton armé avec des matériaux décoratifs (tuiles vertes, faïences, mosaïques, fer forgé) provenant du Maghreb. "C'est clairement une architecture maghrébine" qui a été retenue, observe Mathieu Lours, historien de l'architecture.Pour autant, "avec l'utilisation de techniques modernes - le béton-", mais aussi "l'importance majeure donnée à la coupole", "la recherche d'un grand volume à l'intérieur comme ce que souhaitent les catholiques à la même époque (dans leurs églises), on se dit que c'est vraiment un édifice religieux des années 1920", dit-il.Pour quelques jours, la GMP présente une trentaine de panneaux mettant en avant plusieurs personnalités: le premier directeur de l'institut, Kaddour Ben Ghabrit, le maréchal Lyautey, Edouard Herriot, ou encore l'islamophile Paul Bourdarie, directeur de La Revue indigène, soutien du projet dès 1915.
Il y a 2 ans et 218 jours

Habiter une planète qui se réchauffe : Abécédaire de la transition de la construction et des matériaux

A. Acier (vert)Pour construire les 246 milliards de mètres carrés qui ont vu le jour en 2020 sur la planète (+1% par rapport à 2019), le ciment et l'acier restent de loin les deux premiers matériaux utilisés et les plus émetteurs de CO2.Pour verdir la construction, les sidérurgistes, surtout en Europe, prévoient de produire un acier "vert" d'ici 2050 en remplaçant le charbon émetteur de CO2 par de l'hydrogène vert pour fondre le minerai de fer. Mais les investissements à prévoir sont gigantesques et cela revient à augmenter les coûts d'au moins "30%", prévient Christian Gollier, directeur général de la Toulouse school of economics.B. Béton + ciment Quatorze milliards de mètres cubes de béton sont coulés par an selon l'Association mondiale du ciment et du béton basée à Londres.La Chine seule, entre 2011 et 2013, a consommé 50% de plus de ciment que les Etats-Unis durant tout le XXe siècle, souligne le géographe britannique David Harvey. Or le béton émet plus de CO2 que l'aviation en raison de la présence de ciment, dont le liant, baptisé clinker, doit être chauffé à 1.400 degrés pour sa fabrication.Un espoir scientifique même ténu: par biomimétisme avec les coraux, il est possible de fabriquer un ciment à partir de carbonate de calcium, qui séquestre du CO2!En attendant, pour la construction de masse, tout le secteur mise sur des bétons décarbonés, notamment en remplaçant le liant du ciment par du "laitier", un déchet de sidérurgie. Mais la "sidérurgie est elle-même très émettrice de CO2", relève Christine Leconte, présidente du Conseil de l'ordre des architectes en France qui parie plutôt sur des matières "locales", terre ou pierre, pour réduire les émissions.C. Climatisation - chauffage Selon une étude du laboratoire national des énergies renouvelables de Palo Alto (Etats-Unis) parue en mars, la climatisation est responsable à elle seule de 4% des émissions mondiales. Cercle vicieux: plus la planète se réchauffe, plus les climatiseurs se multiplient.Certains architectes comme le zimbabwéen Mick Pearce ont conçu des systèmes de climatisation biomimétique s'inspirant de la nature. Sur le modèle des termitières qui régulent leur propre température en laissant une multitude de conduits permettant à l'air de circuler, il a conçu le plus grand immeuble commercial d'Harare, Eastgate. Le bâtiment se rafraîchit la nuit en stockant l'air frais et expulse l'air chaud pendant la journée.Certains systèmes de ventilation ou de chauffage basés sur le fonctionnement des abeilles dans une ruche (swarm logic), où les appareils d'un même immeuble sont connectés entre eux, permettent aussi de réguler les pics de demande.E. Efficacité énergétiqueC'est le principal défi à relever car le type d'énergie utilisée pour chauffer ou refroidir un bâtiment détermine le poids de ses émissions. En 2020, les investissements mondiaux dans le secteur ont fait un bond sans précédent de 11,4% à quelque 184 milliards de dollars, selon le rapport de l'Alliance mondiale du bâtiment et de la construction de l'ONU. Mais, tout cela reste loin de l'objectif à atteindre pour tenir les engagements de l'accord de Paris sur le climat: les émissions de CO2 du bâtiment devraient décroître de 50% d'ici 2030 par rapport à 2020, soit 6% par an, ce qui implique une baisse de 45% de la consommation d'énergie par mètre carré dans le monde, un rythme cinq fois plus rapide que ce qui s'est fait jusqu'à présent!I. IsolationFace aux vagues de chaleur ou au froid hivernal, il vaut mieux investir dans l'isolation de l'enveloppe des bâtiments qu'augmenter la climatisation ou le chauffage. Les murs conservent mieux la chaleur que les vitres, mais le double-vitrage se développe partout, voire le triple vitrage pour certains bâtiments "passifs" du nord de l'Europe.J. "Jardin de pluie"Conçu pour capter l'eau de pluie qui s'écoule du toit d'une maison ou d'une allée, il retient l'eau brièvement après précipitation. Ces jardins constitués de roches, de plantes et d'arbustes adaptés aux conditions sèches font partie des solutions d'adaptation au réchauffement fondées sur la nature.M. Matériaux bio ou géosourcesBois, chanvre, liège, lin, paille, ouate de cellulose: ces matériaux, issus de matière végétale renouvelable, concourent significativement au stockage du carbone atmosphérique et à la préservation des ressources naturelles. Leur utilisation est encouragée autant pour la construction que pour l'isolation et la rénovation.Problème, en Afrique, où certains de ces matériaux ont longtemps été utilisés pour l'habitat traditionnel, la croissance urbaine galopante se fait essentiellement via le ciment ou l'acier, déplore la géographe Armelle Chopin, auteur de "matière grise de l'urbain, la vie du ciment en Afrique" (2020).R. Réduire/recycler/utiliser"Nous essayons de donner une deuxième vie aux matériaux, parfois ils viennent du chantier de démolition, nous essayons de transformer les obstacles en solutions. Réduire les matériaux est le meilleur moyen de réduire l'empreinte carbone du bâtiment", expliquent Irene Perez et Jame Mayol, qui ont fondé l'agence d'architecture Ted'Arquitectes à Palma de Mayorque (Espagne). Tous deux favorisent le réemploi des matières, comme de plus en plus d'architectes.La construction d'une maison individuelle consomme 40 fois plus de ressources que la rénovation, et celle d'un bâtiment de logements collectifs environ 80 fois plus, ajoute l'Agence française de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.T - Terre crueLa construction en terre crue, ancestrale, est en pleine renaissance. Et l'industrie cherche à développer des techniques pour massifier l'usage de bétons de terre.Parmi les techniques remises au goût du jour: Le pisé, terre compactée et coffrée, le torchis (terre crue coupée de paille ou de bouses animales), la bauge (couches successives de torchis damées sans ossature).La terre, matériau peu onéreux, et local, contribue à la régulation de l'humidité et surtout au lissage des températures intérieures, notamment en cas de canicule.On la trouve au Canada (Centre culturel du désert Nk'Mip), dans la région autrichienne du Vorarlberg, ou sous forme de panneaux préfabriqués de pisé, à Lyon en France.Le studio Renzo Piano a livré en 2021 à une ONG italienne un hôpital pour enfants à Entebbe en Ouganda, tout en pisé, réalisé à partir des terres d'excavation, surmonté de panneaux photovoltaïques.L'architecte germano-burkinabé Francis Kéré, lauréat du prestigieux prix Pritzker en 2022, a fait de la construction à partir de matériaux locaux, dont la terre, sa marque de fabrique, estampillée "high tech durable".U - UrbanismeLes experts recommandent de freiner les constructions nouvelles, favoriser la rénovation en centre-ville, arrêter l'étalement urbain, voire "reconstruire la ville sur la ville".V - Vitrage photovoltaïqueDes panneaux de verre permettent de produire de l'électricité à partir de la lumière solaire filtrée. Encore chère, cette technique émergente préfigure les bâtiments connectés de demain, mais se heurte à la pénurie de matériaux, en particulier celle des silicium.
Il y a 2 ans et 218 jours

Cosentino présente son rapport RSE

Dans ce nouveau cadre, l'entreprise continue de remplir son engagement de transparence et de responsabilité en matière de durabilité économique, sociale, environnementale et éthique envers ses employés et les autres parties prenantes. De plus, conformément au standard international de la Global Reporting Initiative (GRI), le document prend également en considération la performance de l’entreprise dans sa contribution aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’Agenda 2030.L’engagement majeur de Cosentino, est d’avoir le meilleur impact possible sur les personnes et le minimum d'impact sur la planète. Cosentino expose dans le rapport les leviers stratégiques, les jalons et ses réalisations dans les domaines sociaux, environnementaux et de bonne gouvernance. Ces piliers sont dirigés par un modèle d'entreprise bien établi avec une solidité financière - comme en témoignent les résultats financiers 2021 - et basé sur l'innovation et la R&D, une production efficace, l'économie circulaire, la formation, l'action sociale et surtout, la force et le haut professionnalisme des équipes qui constituent l'entreprise.Environnement : Durabilité et gestion environnementaleCosentino démontre son engagement en faveur de l'économie circulaire et la réduction de son empreinte carbone à travers une série d’actions tels que l'utilisation de 99% d'eau réutilisée, zéro perte d’eau (traitement et recirculation quotidiens de 800 000 m3 d'eau), l'utilisation de 100% d’énergie électrique renouvelable et le développement de produits durables tels que Dekton®, un produit neutre en carbone sur l'ensemble de son cycle de vie, et la technologie HybriQ+® pour les produits Silestone®.Rien qu'en 2021, Cosentino a investi près de 30 millions d'euros dans des actifs environnementaux et des coûts d'amélioration environnementale.Parmi les actions complémentaires mises en place, citons la production de plus de 3 millions de m2 de dalles à partir de matériaux recyclés ou récupérés (près d'un tiers de la production totale de l'entreprise) uniquement pour 2021. Cela a été rendu possible grâce à l’usine de traitement des déchets du groupe, qui a permis à l'entreprise de gérer 400 000 tonnes de déchets solides en 2021, dont 13% ont été récupérés, augmentant ainsi la part de matières premières recyclées utilisées à 26%.L'année dernière, Cosentino a mis en place un nouveau modèle énergétique industriel basé sur les sources d'énergie renouvelables et l'autoconsommation, qui couvre également la gestion des ressources en eau. Durant les prochaines semaines, Cosentino mettra en place la plus grande centrale photovoltaïque d'autoconsommation au sol en Espagne. La centrale aura une puissance crête de 20 MW et une capacité de production d'énergie d'environ 34 GWH/an, qui sera complétée par l'installation de panneaux solaires sur les toits des usines. Dans le même temps, Cosentino construit sa propre usine de récupération des eaux usées. Cette usine, qui devrait être opérationnelle cette année, réutilisera les eaux usées rejetées par les communes voisines.Social : Création d'emplois et contribution à la sociétéOutre l'innovation et la durabilité, l’engagement humain est la valeur fondamentale de Cosentino. Pour l'entreprise, le capital humain est son atout le plus important. En 2021, Cosentino reste attaché à l'emploi de qualité et a créé près de 700 nouveaux postes, terminant 2021 avec un effectif de 5 425 employés. L'effectif de l'entreprise est composé de 76 nationalités différentes et le pourcentage de CDI est de 91%.Cet engagement envers la prospérité et la croissance s'étend également aux communautés où Cosentino est présent, en particulier dans son environnement immédiat, dans les régions d'Almanzora et d'Almería en Espagne. Cosentino apporte une contribution pionnière à l'éducation et à la formation en faisant la promotion de programmes de formation professionnelle en alternance menés dans ses installations et à travers les activités menées par sa Fondation Eduarda Justo. L'entreprise soutient également les domaines de l'architecture, du design, du sport et de la gastronomie à travers une série de partenariats et de parrainages, et promeut l'art et la culture à travers la Fondation d'art Ibáñez Cosentino. Enfin, l'entreprise a fait de multiples dons directs à diverses organisations et associations pour un total de plus d'un million d'euros, soit 20% de plus qu'en 2020.Gouvernance : Gestion responsable et transparenteLa feuille de route de Cosentino est basée sur des critères ESG et avance sur la base d'une intégration et d'une communication transparente avec ses employés et toute sa chaîne de fournisseurs, clients et collaborateurs. Une instance de gouvernance responsable qui encourage le développement des talents à travers des programmes de recrutement et de management comme Acelera, Ingenia ou Impulsa, qui investit de plus en plus dans la santé et la sécurité et qui promeut l'égalité et la diversité, avec 22% de femmes dans les postes de direction et 50% dans son Conseil d'administration en 2021.Cette année encore, cette performance a contribué de manière proactive à l'atteinte de certains Objectifs de Développement Durable (ODD) majeurs, primaires et secondaires, tels que l'ODD 3 (Bonne santé et bien-être), l'ODD 8 (Travail décent et croissance économique) , ODD 9 (Industrie, innovation et infrastructure), ODD 12 (Consommation et production responsables), ODD 13 (Action pour le climat) ou ODD 17 (Partenariats pour les objectifs), entre autres.
Il y a 2 ans et 219 jours

Une maison panoramique en bois Kebony

La société de conception-construction HM DG INC a récemment achevé la réalisation d’une fascinante maison moderne nichée dans l’une des collines de Bel Air. Panoramique, elle offre une vue imprenable sur Century City, Downtown LA, le Hollywood Reservoir et l’océan Pacifique.Cette maison de cinq chambres, de près de 700 m2, est située sur un terrain d’un hectare dans un quartier protégé, habité de luxueuses demeures. Elle a été conçue par le directeur de HM DG, Hassan Majd, dont le cabinet a également construit la résidence, vendue près de 12 millions de dollars.L’extérieur de cette maison sur deux étages est recouvert, au premier niveau, d’un stuc de couleur sable et, au second, d’un bois modifié Kebony imprégné de minéraux, lesquels lui permettent de résister aux agressions climatiques et aux parasites. Ce matériau classé platine ne nécessite aucun entretien et sa couleur, en se patinant, évolue du doré initial à un beau gris argenté.À l’intérieur, l'entrée s'élève jusqu'à un volume à double hauteur surmonté d'un plafond en forme de pyramide inversée, et révèle un vaste mur de verre qui s'ouvre sur la piscine et le patio, dévoilant également une vue spectaculaire sur Los Angeles. Les portes coulissantes automatisées disparaissent complètement dans les murs, un choix parfaitement adapté au style de vie intérieur-extérieur de la Californie du Sud.Le salon principal comprend une cheminée suivie de deux chambres. La palette de couleurs met l’accent sur les tons chauds et organiques de la terre, avec des sols en calcaire adouci au premier niveau et en chêne blanc au second.Pour Hassan Majd : « Le raffinement est dans les détails de finition. Dans la cuisine et l'espace de vie informel, la menuiserie et les panneaux sont tous de la même essence. Ce choix unit l’ensemble de la maison et lui confère une sensibilité à la Alvar Aalto (architecte finlandais). »Au même niveau, au-delà de la cuisine et du patio, se trouvent également une salle de sport/bureau et un pool house/spa dans un bâtiment séparé doté de sa propre entrée.Un escalier mène de l'entrée principale au second niveau. Là, au centre, sous le plafond en forme de pyramide inversée, la pièce s’ouvre sur le niveau principal inférieur et offre alors une sensation d’intimité. Ce niveau supérieur, qui dispose de son propre accès à des patios permettant de vivre à l'intérieur comme à l'extérieur, comprend un salon informel, une salle familiale, une salle de jeux, la suite parentale et deux autres chambres.La chambre principale, qui s'avance au-dessus du patio, est à couper le souffle. « J’adore le fait qu'elle bénéficie de la meilleure vue de toute la propriété : un panorama imprenable sur Los Angeles et les collines d’Hollywood », poursuit Hassan Majd. La salle de bains principale est en marbre gris anthracite foncé avec une finition en cuir, et l'enceinte en verre est suspendue dans les airs avec une vue sur les collines d'Hollywood, Century City et au-delà : à la fois intime et décloisonnée.À l'extérieur, au niveau principal, des escaliers descendent de la piscine et du patio le long de la pente paysagée et offrent des points de vue supplémentaires.
Il y a 2 ans et 220 jours

A Nice, face à l'explosion de sa facture de gaz, une copropriété coupe le chauffage

Entre le campus universitaire Valrose et la colline résidentielle de Cimiez, le Parc Lubonis, ancienne cité HLM pour enseignants construite dans les années 50, est un ensemble propret d'une centaine d'appartements et cinq villas individuelles.Dans ces logements, certains avec terrasse et vue mer, la vie coulait tranquillement... jusqu'à la crise énergétique.L'an dernier, d'octobre à mai, avec le fournisseur d'énergie russe Gazprom, la facture de gaz pour la copropriété était montée à 89.100 euros ; mais les devis, consultés par l'AFP, ont explosé pour cette année, entre 684.000 euros pour SEFE Energy (NDLR: ex-filiale allemande de Gazprom) et un million d'euros pour TotalEnergies, juste pour faire fonctionner le chauffage central par le sol sur ces huit mois de 2022-2023."L'an dernier j'ai payé 150 euros par mois pour le chauffage, cette année j'aurais dû débourser plus de 1.000 euros par mois, c'est tout simplement impossible", a confié Philippe Lorenzi, 70 ans, ingénieur à la retraite, qui occupe un T6 avec son épouse: "La seule solution était de couper le chauffage".Et c'est cette proposition que les quelque 95 copropriétaires ont votée mardi soir, en assemblée générale. Plus exactement, ils ont décidé de ne pas allumer le chauffage au 15 octobre, comme prévu initialement, et ce jusqu'en janvier et une prochaine assemblée générale."Nous aurons alors de nouveaux devis et des informations sur le bouclier tarifaire auquel nous avons droit", a ajouté M. Lorenzi.Saluée par des applaudissements, cette décision est "un soulagement", indiquait à la sortie de la réunion Sébastien, en souhaitant rester anonyme: "Accepter des devis si élevés aurait mis en danger la copropriété, trop de gens n'avaient tout simplement pas les moyens de payer"."Soulagé temporairement", Arthur, la trentaine, reste "inquiet", car sa compagne attend leur premier bébé pour décembre: "Même si nous avons acheté quelques radiateurs électriques d'appoint, j'espère qu'il ne fera pas trop froid"."Passoire énergétique"Si la note de gaz flambe, c'est aussi, explique Camille Daubeze, à la tête de Forimmo, le syndic de copropriété, parce que le système de chauffage par le sol est ancien et que la résidence est "une passoire énergétique"."Entre la chaudière centrale et les appartements, la déperdition de chaleur atteint 40%", explique-t-elle: "On pourrait envisager d'installer une pompe à chaleur ou des panneaux solaires, mais le coût est élevé, malgré les aides, et cela prendra du temps".Alors que les logements sont équipés de chauffe-eau individuels pour les sanitaires, certains disposent aussi de climatisations réversibles. Les autres vont devoir se tourner vers "le système D", explique Florence, la quarantaine, qui a acheté deux chauffages à bain d'huile mais s'inquiète pour ses deux adolescentes: "Dans quelles conditions vont-elles faire leurs devoirs ?"Hervé Maestri-Pieri loge ses parents de 90 et 85 ans dans son appartement de 80 m2: "Si on allumait le chauffage, ma facture de gaz serait passée de 80 à 500 ou 600 euros. Comment faire ?" s'interroge-t-il, estimant que "l'on va peut-être vers un arrêt définitif de la chaudière centrale et des solutions individuelles".Dans un courrier à la Première ministre Elisabeth Borne, le député LR niçois Eric Ciotti a dénoncé l'exclusion de certaines copropriétés du bouclier tarifaire. La mairie de Nice a elle indiqué à l'AFP que les services de la métropole en charge du guichet de la rénovation énergétique "ont pris contact avec la copropriété dès septembre"."Quelques mois sans chauffage, on va bien survivre", souriait une copropriétaire retraitée, souhaitant rester anonyme: "Il y a des choses bien plus graves, des gens à la rue et une menace de guerre nucléaire".
Il y a 2 ans et 220 jours

Les travaux de rénovation énergétique envisagés par 76% des ménages pour contrer la hausse des prix de l'énergie

Deux enquêtes successives réalisées en ligne par Hellio, acteur de la maîtrise de l'énergie, auprès de ménages propriétaires et locataires de maisons individuelles et logements collectifs, la première entre le 1er février et le 11 mars 2022 et la seconde entre le 1er juin et le 31 août 2022, apportent des éclairages sur l'impact financier de la hausse des prix de l'énergie, les solutions envisagées et la nécessité de déployer des solutions de financement du reste à charge.MéthodologieDeux enquêtes réalisées en ligne auprès de ménages propriétaires (94%) et locataires (6%) de maisons individuelles (91%) et logement collectif (9%) répartis sur toute la France :1ère enquête réalisée entre le 1er février et le 11 mars 2022 à laquelle 371 personnes ont répondu.2e enquête réalisée entre le 1er juin et le 31 août 2022 à laquelle 769 personnes ont répondu.Plus de 100€ d'augmentation annuelle pour 60% des ménages malgré le bouclier tarifairePrès de 9 répondants sur 10 constatent une hausse des prix de l'énergie sur leurs factures de chauffage. En effet, en 2021, avant la mise en place du bouclier tarifaire, le prix du gaz a augmenté de 57% entre janvier et octobre 2021 (pour les tarifs réglementés de vente) et celui du fioul a bondi de 53% en un an.Quant au coût de l'électricité, il a augmenté de 4% le 1er février 2022.Cette hausse des prix se ressent nettement sur les factures : plus de la moitié des répondants (60%) déclarent constater une hausse d'au moins 100€ par an. La part de ceux qui payent plus de 200€ a bondi de 9% entre le début et le milieu d'année : elle représente désormais 34% des sondés (vs 25% en début d'année). En 2022, sans le gel des prix du gaz et la hausse plafonnée à 4% pour l'électricité, les tarifs réglementés de vente auraient respectivement dû augmenter de 60% et 40%. Le gouvernement a d'ores et déjà annoncé la prolongation et les nouvelles dispositions du bouclier tarifaire sur les prix de l'énergie pour 2023. La hausse des tarifs de gaz et d'électricité sera limitée à 15%, une limitation supérieure à celle de 2022 pour l'électricité. Cette mesure implique :une augmentation moyenne des factures de l'ordre de 25€ par mois pour les ménages qui se chauffent au gaz. L'augmentation serait d'environ 200€ par mois sans bouclier tarifaire;une augmentation moyenne de l'ordre de 20€ par mois pour les ménages se chauffant à l'électricité, au lieu de 180€ sans bouclier tarifaire. Au-delà des travaux de rénovation énergétique, cœur de métier de Hellio, l'acteur prône la sobriété énergétique comme levier complémentaire à actionner. Le spécialiste en économies d'énergie préconise par exemple, dans la mesure du possible, de baisser d'un degré son chauffage pour réduire la facture de 5 à 10%.Des postes de travaux de rénovation énergétique plus efficaces envisagésDans ce contexte, à la question « Envisagez-vous de réaliser des travaux de rénovation énergétique ? », 64% des répondants ont répondu oui en début d'année et 76% en milieu d'année ! Cette progression de 12% laisse entrevoir une prise de conscience certainement liée à la crainte de l'explosion des prix de l'énergie une fois l'arrêt des boucliers tarifaires, avec en ligne de mire un risque de coupure cet hiver. Alors que ces dernières années, il était davantage question de « petits » gestes, comme le changement de fenêtres ou l'installation d'une chaudière gaz à très haute performance énergétique, les ménages semblent désormais davantage s'orienter vers des travaux plus efficaces en termes d'économies d'énergie. Ainsi, l'isolation de l'enveloppe (murs et combles) est le type de travaux le plus plébiscité, suivie de la pompe à chaleur et des panneaux photovoltaïques. Preuve que la chasse aux déperditions énergétiques, les énergies renouvelables et l'autoconsommation sont des solutions envisagées par les ménages français face à la hausse des prix de l'énergie.À noter, la progression de certains modes de chauffage entre le début et le milieu d'année : la pompe à chaleur a bondi de 11% (32%), la chaudière biomasse de 5% (19%). Des résultats probablement liés au bonus Coup de pouce Chauffage de 1.000 € instauré le 15 avril 2022 en faveur des énergies renouvelables. La chaudière gaz est encore plus délaissée (- 4%), conséquence du conflit ukrainien, avec la restriction des approvisionnements pour cet hiver.La nécessité de financer le reste à charge Force est de constater que les nombreuses primes existantes (MaPrimeRénov', Certificats d'Économies d'Énergie, aides locales, etc.) ne suffisent pas toujours à convaincre tous les Français de rénover. Le reste à charge demeure parfois trop élevé, sans solution pour obtenir la somme suffisante.Au regard des travaux assez conséquents majoritairement envisagés par les répondants (isolation des murs, panneaux photovoltaïques, pompe à chaleur), le recours aux solutions de financement (prêt, facilité de paiement) s'avère incontournable pour 52% des ménages en début d'année et pour 62% en milieu d'année.L'éco-PTZ, dont les plafonds ont été relevés en 2022 à 50.000 € pour les travaux de rénovation performante (30.000 € pour les autres types de travaux), semble représenter la meilleure solution de financement aux yeux d'un grand nombre de répondants (plus de 1 répondant sur 2). Ce type de prêt bénéficie d'une communication du Gouvernement et d'une simplification administrative du cumul désormais possible avec MaPrimeRénov' depuis le 1er juillet 2022.Sont ensuite plébiscitées les facilités de paiement (39%), qui permettent de pouvoir régler le coût des travaux en plusieurs mensualités.Pour Pierre Maillard, PDG du groupe Hellio : « Accompagner nos clients tout au long de leur projet pour un triptyque économies d'énergie (et donc réduction des dépenses), valorisation patrimoniale et amélioration du confort, tel est notre ADN. Si nous souhaitons massifier la rénovation énergétique dans l' intérêt de tous, il faut impérativement que les institutions financières puissent être plus agiles et réactives. Chacun des maillons de cette chaîne de valeur sera gagnant : le ménage, l'entreprise de travaux, l'établissement financier, l'État et l'environnement. »
Il y a 2 ans et 220 jours

Installer des ombrières photovoltaïques sur les parkings de supermarchés produirait l'équivalent d'un EPR par an

Question : A combien estimez-vous les surfaces de parking de centres commerciaux en France susceptibles de recevoir des ombrières produisant de l'électricité solaire ?Réponse : "L'Ademe a identifié 843 friches industrielles et urbaines pouvant recevoir des installations photovoltaïques, et nous estimons que dans ce total, il existe entre 90 et 150 millions de mètres carrés de parkings de plus de 2.500 mètres carrés susceptibles d'être équipés en ombrières. Nous équipons déjà des hôpitaux, comme celui d'Evreux, certaines usines comme celle de Bledina à Brive-la-Gaillarde en Corrèze, ou Evian en Haute-Savoie, et commençons à équiper des centres commerciaux. En moyenne, chaque équipement coûte 1 million d'euros par site, et permet de couvrir 30% des besoins énergétiques quotidiens de nos clients.Nous louons les surfaces de parking grâce à un bail avec les distributeurs, à qui nous revendons ensuite l'électricité solaire à un prix inférieur à celui du marché. Les filiales d'EDF et d'Engie, qui sont nos principaux concurrents, ont le même modèle d'affaire que nous. Nous arrivons avec des investisseurs, l'installation ne coûte rien aux centres commerciaux, et leur permet de dégager des bénéfices dès la première année".Q : Cela représenterait quelle puissance d'électricité fournie ?R : "Les parkings de supermarchés représentent un énorme réservoir d'énergie. Si on équipait seulement la moitié de ces parkings, c'est comme si on produisait 2 gigawattheure par an en électricité solaire, soit autant que 1,2 EPR (nucléaire) par an.La France est très en retard sur le sujet car on voit de telles ombrières un peu partout en Europe. Il faut penser que ce type d'équipement peut aussi favoriser le développement des véhicules électriques, car dessous on peut installer des bornes alimentées en partie par du solaire, ce qui permettrait aux centres commerciaux volontaires d'offrir des recharges gratuites à leurs clients".Q : Où vous approvisionnez-vous en matériaux pour les panneaux solaires ? Qu'avez-vous prévu pour le recyclage des panneaux solaires en fin de vie ?R : "Les contrats prévoient la fin de vie et le recyclage, chaque client peut choisir de remplacer les panneaux ou de les retirer. Les panneaux sont garantis au moins 25 ans. L'acier galvanisé est français et nous avons aussi un fournisseur français de panneaux photovoltaïque. Il y a déjà une usine de recyclage dans le Roussillon et une deuxième en cours de création."