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Il y a 4 ans et 71 jours

Début des travaux de raccordement du parc éolien marin du Calvados

Il s'agira du 4e parc offshore à entrer en France, en retard dans ce domaine. Le premier doit être mis en service en 2022 au large de Saint-Nazaire. Suivront, en 2023, ceux de Fécamp et de Saint-Brieuc.Dans le Calvados, le chantier a démarré la semaine dernière. Il prévoit notamment l'installation de 15 km de liaison sous-marine à haute tension (creusée pour les deux tiers dans un fond rocailleux) et 24 km de liaison terrestre souterraine, afin de relier le parc au poste électrique de Ranville, agrandi pour l'occasion.Le budget de ce chantier de raccordement s'élève à 210 millions d'euros, a indiqué Jacques Frémaux, le directeur du projet, lors d'une conférence de presse.Fourniture de béton (1.600 camions toupies), aménagements paysagers, terrassement... RTE souligne les retombées économiques pour les entreprises de la région: 25 millions d'euros (12% du budget).Le gestionnaire du réseau insiste sur la concertation avec les riverains, pêcheurs, agriculteurs, tant sur le tracé que sur le planning: pas de chantier pendant la saison touristique ni pendant la période de pêche à la coquille Saint-Jacques et un tracé terrestre le plus court, suivant des chemins agricoles.In fine, le parc de 64 éoliennes, porté par EDF Renouvelables et l'européen wpd, aura une puissance installée de 450 mégawatts (MW), ce qui est l'équivalent approximatif de la moitié d'un réacteur nucléaire, ou l'équivalent de la consommation domestique de 630.000 personnes.En dépit de sa vaste façade maritime, la France accuse du retard dans l'éolien marin, lié à un mélange de difficultés réglementaires et de recours juridiques: sept projets offshore "posés" (sur le plancher marin) ont été attribués, certains depuis 2012, mais aucun encore réalisé.En Normandie, outre le Calvados et Fécamp, un 3e site est prévu au large de Dieppe. Un 4e, dans le Cotentin, doit être attribué en 2022.La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili doit annoncer prochainement la localisation du premier parc flottant, au sud de la Bretagne.La France prévoit 40% d'électricité d'origine renouvelable d'ici 2030. Mais le rythme d'installation reste insuffisant.
Il y a 4 ans et 77 jours

Covid-19 : l'espoir du "bout du tunnel" au printemps, mode d'emploi

Pourquoi mi-avril ?Après les "4 à 6 semaines" à tenir encore évoquées par Emmanuel Macron lundi, Gabriel Attal a espéré mercredi un "retour à une vie plus normale (...) peut-être dès la mi-avril", grâce à l'effet de la vaccination pour alléger la pression hospitalière. L'exécutif surveille notamment le modèle de l'Institut Pasteur qui estime que le nombre d'hospitalisations pourrait être quasiment deux fois plus faible le 1er mai. Il table aussi sur l'accélération de la vaccination: Le gouvernement espère six millions de la primo-injections supplémentaires, neuf millions au total fin mars. "Une montée en puissance de l'immunité collective qui peut nous permettre de commencer à desserrer les contraintes" sur "les lieux qui font la vie sociale".Pourquoi se risquer à donner une date ?Parce que les Français sont de plus en plus las après un an de crise. L'exécutif estime indispensable de leur donner un horizon, d'autant qu'une partie du pays risque de subir dès la semaine prochaine de nouvelles restrictions. "Je sais que ce couvre-feu c'est très dur pour les Français", a dit Emmanuel Macron à un senior lundi. "Mais, pour la première fois depuis des mois, le retour à des vies plus normales est en vue. Notre sport, notre culture, tous nos exutoires, tous ces lieux qui font notre vie sociale rouvriront", a assuré Gabriel Attal. "C'est évidemment un horizon au bout du tunnel que nous devons toujours avoir en vue".Le sésame numériqueAfin de pouvoir rouvrir les lieux culturels, sportifs et de restauration, tout s'articulera autour du "pass sanitaire" annoncé par Emmanuel Macron la semaine dernière, un outil numérique. Ses modalités figurent au menu d'une réunion organisée à l'Elysée ce mercredi avec les principaux ministres concernés. Sa mise en place posera en effet de nombreuses questions techniques, de respect des données individuelles et des libertés. Et nécessitera un texte législatif, selon l'exécutif, d'où l'obligation d'anticiper.TraçageCe "pass", qui pourrait être liée à l'appli TousAntiCovid, pourrait être d'abord un outil de traçage des contaminations et d'alerte pour les cas contacts, grâce un QR code d'identification cryptée à scanner à l'entrée des restaurants ou des salles de sport. Si un client s'est trouvé à l'intérieur au même moment qu'une personne dépistée positive, elle recevra une alerte pour se faire tester. Ce QR Code, sur lequel les professionnels travaillent depuis trois mois, pourrait aussi mesurer automatiquement la jauge de fréquentation et réguler les entrées. Ce système devrait être plus efficace que TousAntiCovid, encore peu utilisée.Accès réservé aux vaccinés et aux testésMais le "pass sanitaire" pourrait aussi permettre de donner accès à certains lieux aux personnes qui ne risquent pas d'en contaminer d'autres, soit parce qu'elles sont vaccinées, soit parce qu'elles ont passé un test négatif récent, de moins de 72 ou 48 heures, a expliqué le chef de l'Etat. Pas question en revanche d'un "passeport vaccinal" qui réserverait l'accès aux seuls vaccinés tant que le vaccin ne sera pas accessible à tous. Le sujet divise l'Union européenne et Macron fait partie de ceux qui y sont totalement opposés.Les protocolesPiste parallèle, la mise en place de protocoles expertisés, en particulier pour les festivals, grandes salles de spectacles ou stades. Chaque ministre a été prié de présenter mercredi des protocoles sanitaires sûrs. Le gouvernement attend en particulier le résultat de plusieurs "concerts-tests" qui seront organisés fin mars par le ministère de la Culture à Paris et à Marseille. Le principe : des tests à l'entrée, sans empêcher les positifs de rentrer, une distanciation organisée, puis des tests post-événement pour savoir si le protocole a réussi à empêcher les contaminations.
Il y a 4 ans et 79 jours

Les chefs d'entreprises n'ont jamais été aussi fatigués et stressés qu'avec le Covid

SANTÉ. L'épuisement des chefs d'entreprises a atteint un niveau record à cause de la crise sanitaire et économique du Covid, d'après une enquête sur la santé des dirigeants réalisée par l'Observatoire Amarok. L'apparition inédite d'un "syndrome d'empêchement" est également mis en avant dans l'étude, et s'explique par un fort sentiment d'impuissance et une vigilance considérablement réduite.
Il y a 4 ans et 79 jours

L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation

La puissance totale du parc électrique EnR – hydroélectricité, éolien, solaire photovoltaïque, et bioénergies confondus – s’élève, fin 2020 à 55 906 MW. Cela représente une hausse de 2 039…Cet article L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 81 jours

Barrage Hoover : Une superstructure dans le désert

Le barrage Hoover en février 1934. On remarque les différentes sections qui s’élèvent indépendamment les unes des autres. [©DR] D’interminables négociations entre Etats commencèrent dans les années 1920 pour aboutir finalement au début des travaux du barrage Hoover en mars 1931. Avec 6 mois d’avance, grâce au président Herbert Clark Hoover. Qui donnera plus tard son nom au barrage. La construction du barrage employa plus de 5 251 hommes (112 morts). Dans la situation géographique difficile du désert de Mojave, à 50 km au Sud-Est de Las Vegas, à la frontière du Nevada et de l’Arizona. Boulder city, la nouvelle ville ouvrière du chantier, y fut construite.  3,4 Mm3 de béton Défi technologique, le barrage Hoover repoussa les limites de l’ingénierie. Il régula les crues dévastatrices du Colorado. Et maîtrisa la puissance du fleuve, en produisant de l’électricité pour des milliers de foyers. Il créa un “bouchon” entre les parois de 244 m du Black Canyon, retenant les eaux du fleuve. D’une hauteur de 221 m sur 220 m d’épaisseur à sa base, il nécessita 3,4 Mm3 de béton. Le béton n’avait jamais été utilisé dans de telles quantités. Qu’aux dires de certains, elles auraient permis de réaliser une autoroute à deux voies reliant San Francisco à New York ! Frank Crowe, ingénieur en chef du projet (à droite) releva le défi en pleine crise économique et soutint un rythme de forçats. [©Bureau of Reclamation] Frank Crowe, ingénieur en chef du projet, releva le défi en pleine crise économique. Il soutint un rythme de forçats. Car les délais ne devaient pas excéder 7 ans, avec 3 000 $ de pénalités par jour de retard. En avril 1931, afin d’établir une zone sèche pour le barrage, les travaux commencèrent par la création de 4 tunnels de 17 m de diamètre et 1 219 m de longueur. Pour une déviation provisoire du Colorado. Les tunnels devaient supporter un débit de 850 m3/s. Un mois plus tard, le chantier tournait 24 h/24, 7 j/7. A ces conditions infernales, s’ajouta un été 1931 caniculaire. Proche de 50 °C, avec 60 °C dans les tunnels, il y eut 15 décès. Dans le même temps, les cordistes (high scalers) travaillaient avec de la dynamite et des marteaux-piqueurs au nettoyage des blocs de rochers instables sur les parois du canyon. En tout, 1,15 Mm³ de gravats furent retirés. Deux batardeaux de furent montés sur 29 m de haut et 230 m. De base pour un volume de 500 000 m3 bloquant le cours du Colorado, l’obligeant à s’écouler dans les dérivations provisoires. Cette première phase fut terminée en 18 mois, soit 10 mois d’avance sur le planning. Un ouvrage colossal La construction du barrage proprement dite commença en novembre 1932. Ce dernier de type poids/voûte s’appuie sur 2 principes architecturaux. Le poids du béton enfonce la structure dans le sol. Et son dessin en arc dévie la pression de l’eau vers les parois du canyon. Deux centrales à béton furent construites pour acheminer le béton. Frank Crowe opta pour une structure en colonnes trapézoïdales. Imbriquées et rainurées verticalement pour la précision des assemblages, de 1,50 m de hauteur. Avec des largeurs et profondeurs adaptées et traversées par des canalisations réfrigérées pour une cure plus rapide. Le barrage Hoover est la structure artificielle la plus colossale de son époque. Sa mise en eau créa le lac Mead. [©Bureau of Reclamation] On injecta ensuite du mortier dans les interstices. Un réseau de câbles aériens transportait les bennes à béton. Descendant auprès des équipes qui coulaient jusqu’à 8 000 m3/j de béton. En 1934, tout était coulé, le barrage allait-il tenir face aux tumultes du Colorado ? Il fallut encore 12 ans de travaux plus ou moins “secrets” pour réellement terminer l’ouvrage. A la structure du barrage s’ajouta sa décoration. L’architecte Gordon Kaufmann redessina les extérieurs dans un style Art déco. L’artiste de Denver Allen Tupper True fut chargé de concevoir le design. Et la décoration des murs et des sols, assisté du National Laboratory of Anthropology. Il incorpora des motifs amérindiens de la région. Puis, le sculpteur Oskar J.W. Hansen réalisa plusieurs œuvres. Tous ces éléments concoururent à faire du barrage Hoover un important site touristique des Etats-Unis. Pour preuve, le lieu accueille près de 1 M de touristes par an. Extraordinaire promontoire  Située au pied du barrage, côté aval, la centrale électrique assure une production moyenne annuelle de 4 200 GWh. [@ACPresse]Cette vue en amont du barrage montre le faible niveau du réservoir d’eau, qui a perdu plusieurs dizaines de mètres au fil des ans… [@ACPresse] Vue sur le barrage depuis l’Arizona, montrant les tours d’entrée d’eau destinées à alimenter les turbines de production d’électricité. [@ACPresse] Par rapport au lit du Colorado, le barrage Hoover présente une hauteur de 221,40 m, pour une épaisseur à sa base de 200 m. [@ACPresse]De type voûte, le barrage Hoover se développe sur une longueur de 379 m en son sommet. A ce niveau, il n’a plus qu’une épaisseur de 14 m. [@ACPresse]La construction du barrage Hoover a nécessité quatre ans de travaux, entre 1931 et 1935. [@ACPresse]Le fleuve Colorado marque la frontière entre le Nevada et l’Arizona. Mais aussi la limite entre deux fuseaux horaires. En été, c’est la même heure des deux côtés. Mais en hiver, il y a une heure de différence. [@ACPresse]Le Côté Est du barrage Hoover est en Arizona, comme le rapporte l’horloge qui indique aussi le fuseau horaire. [@ACPresse]Le viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge se développe sur une longueur de 579 m et surplombe le fleuve Colorado de près de 275 m. [@ACPresse] Avec la mise en service du viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge, sur l’Interstate 11, reliant Las Vegas (Nevada) à Phoenix (Arizona), la petite route franchissant le barrage Hoover a perdu son statut d’axe stratégique… Et, en toute logique, s’est transformée en un simple chemin touristique. De quoi continuer à s’approcher au plus près du barrage.  L’autre possibilité d’admirer l’ouvrage d’art est de profiter du cheminement piétonnier aménagé sur le viaduc surplombant le fleuve Colorado de plus de 275 m ! La vue est ainsi imprenable et vertigineuse depuis cet extraordinaire promontoire.  Durant l’escapade, il est bon de prévoir une bonne gourde d’eau. Car, sur l’ouvrage, en été, les températures avoisinent tranquillement les 40 °C… Mais le jeu en vaut la chandelle.  Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 84 jours

Le consulat américain vend un ensemble immobilier à Hong Kong après le feu vert de Pékin

Cet accord, qui porte sur six villas de luxe situées dans le quartier le plus huppé du territoire, permettra au Département d'État américain d'empocher quelque 330 millions de dollars.Cette vente, annoncée l'an passée, avait été soudainement suspendue en décembre en raison des tensions sino-américaines.Pékin avait justifié cette décision par le fait que cette transaction immobilière exceptionnelle nécessitait un feu vert spécifique.Jeudi, l'acquéreur Hang Lung Properties a annoncé que l'accord a été conclu après l'aval donné à Washington par Pékin.La vente de la propriété "a été finalisée le 25 février 2021", a précisé le promoteur immobilier dans un communiqué.Les résidences, situées dans un des quartiers les plus chers de Hong Kong, sont nichées sur une colline et offrent une vue sur l'océan. Elles étaient auparavant utilisées pour loger du personnel.Les relations entre Washington et Pékin sont au plus bas, en raison d'un conflit commercial mais également au sujet du respect des droits de l'Homme en Chine et de Hong Kong. Les Etats-Unis et les puissances occidentales dénoncent notamment la répression engagée par les autorités chinoises dans l'ex-colonie.
Il y a 4 ans et 84 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 84 jours

Le groupe Kramer retire son offre de reprise de l’usine Jacob Delafon à Damparis dans le Jura

Par cette acquisition, le groupe Kramer souhaitait diversifier ses activités et étoffer logiquement son offre sur l’ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) en France et à l’export.Malgré la réactivité et l’implication des services de l’Etat, de la région et de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer a pris la décision de retirer son offre de reprise.Selon le groupe Kramer, l’opacité dont a fait preuve le groupe Kohler en matière d’informations ne permet pas de répondre aux conditions et délais imposés par celui-ci et emporte aujourd’hui la conviction de l’impossibilité de mener à bien ce projet que le repreneur n’aura jamais pu exposer directement aux salariés.Manuel Rodriguez, président du groupe Kramer, a adressé à l’ensemble des salariés du site de Damparis, une lettre ouverte pour leur faire part de sa décision de renoncer de façon responsable au projet, ne souhaitant pas ajouter davantage d’incertitude à leur situation déjà très anxiogène.Manuel Rodriguez a fait part également de sa déception de n’avoir pu sauver 91 emplois sur les 150 que compte le site de Damparis. Il assure, par ailleurs, que son groupe continuera de porter haut et fort les valeurs du Made in France.Le gouvernement tente de "renouer le dialogue"Le gouvernement s'efforce de "renouer les liens du dialogue" entre le groupe américain Kohler, qui veut se séparer de l'usine Jacob Delafon, à Damparis (Jura), et le groupe français Kramer qui a retiré mardi l'unique offre de reprise.La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher "tente de renouer les liens du dialogue aujourd'hui rompus entre les deux groupes pour voir si une solution de reprise peut exister", a affirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, à l'issue du conseil des ministres."Il y a donc une mobilisation du gouvernement sur ce sujet", a-t-il ajouté, au lendemain de l'annonce par Kramer du retrait de la seule offre de rachat du dernier fabricant français de sanitaires en céramique haut de gamme, qui compte 140 salariés à Damparis.Le groupe américain veut se séparer depuis septembre parce qu'il "n'entre plus dans sa stratégie" à partir de 2021.PME de robinetterie basée à Etain (Meuse), Kramer avait déposé début février une lettre d'intention auprès de Kohler pour la reprise partielle du site de Damparis à partir du 30 juin prochain, avec la préservation de 91 emplois sur 140 et l'objectif d'augmenter l'effectif au bout de trois ans grâce à la montée en puissance de la production.Son projet reposait sur une première année de fabrication pour le compte de Kohler.
Il y a 4 ans et 86 jours

Sanisub, la réponse de SFA aux inondations des caves et garages

Une mission accomplie avec Sanisub, la nouvelle gamme complète SFA de pompes vide-caves, dédiée au relevage des eaux et plus précisément à l'évacuation de l'eau des caves, buanderies, garages et autres espaces soumis à une inondation accidentelle et temporaire.Des problématiques qui sont malheureusement de plus en plus fréquentes avec les conséquences du réchauffement climatique et ses phénomènes météorologiques extrêmes.Sanisub constitue de facto une large palette de réponses où chacun trouvera dans l'offre Sanisub SFA, une pompe adaptée à son besoin individuel.Sanisub, une gamme « vide-caves » pour répondre à toutes les situationsGrâce à ses diverses solutions de pompage (issues d'un catalogue riche de plus de cent pompes), la gamme Sanisub constitue l'illustration parfaite de l'expertise de SFA dans les cas d'inondations accidentelles, alliant performances et simplicité d'usage.Equipées d'une pompe tout acier ou avec un corps en polypropylène, active sur des granulométries de 1 à 30 mm, à déclenchement automatique avec un flotteur ou un contrôle électronique de niveau, s'adaptant aux eaux agressives ou à une température d'eaux jusqu'à 90° C…, les offres de la gamme Sanisub peuvent relever tous les défis et dans toutes les configurations.Sanipuddle : une évacuation quasi-totale jusqu'à 1 mmPompe dite « serpillière » car elle ne laisse qu'une flaque d'eau d'un millimètre facile à absorber par une serpillière, la solution Sanipuddle se veut un véritable aspirateur d'eaux claires (granulométrie de 1 mm). Opérationnelle dès la sortie de son carton d'emballage, Sanipuddle, pompe submersible, affiche un débit de 5,5 m3/heure.Portable (seulement 3,8 kg), équipée d'un câble d'alimentation de 10 m avec prise électrique pour un long rayon d'action, Sanipuddle est aussi munie d'un clapet anti-retour et d'un raccord de tuyau de sortie en DN 25. La pompe Sanipuddle est, par ailleurs, d'une grande simplicité d'utilisation, parfaitement adaptée aux drainages d'urgence. Grâce à sa hauteur de relevage de 7 m, elle permet de vider la plupart des caves, lavoirs, piscines et garages.Prix public indicatif de 218 euros.Sanisub Steel kit d'urgence : le prêt à l'emploi des situations d'urgenceSFA a conçu avec Sanisub Steel kit d'urgence, un kit complet dans un casier portable et prêt à l'emploi pour lequel tous les détails ont été pris en compte. Ainsi, la pompe, en acier inoxydable, est placée dans un panier avec perforations (8 x 8) qui la protège des corps étrangers flottants. Ce panier assure un rangement simplifié et une parfaite stabilité de la pompe durant son utilisation grâce à des crochets moulés dans le panier. Elle peut cependant facilement être extraite de ce bac et utilisée en dehors. Par ailleurs, le raccord rapide associé au flexible d'évacuation (long de 15 mètres) s'adapte à toutes les configurations, et le déclenchement automatique se fait par un flotteur réglable. De plus, une canule de maintien empêche l'entortillement et prévient ainsi de tout pincement du flexible. Enfin, le câble d'alimentation muni d'une prise électrique mesure 10 m de long.Légère et robuste, la pompe Sanisub Steel 50A qui équipe le kit permet d'évacuer les eaux usées (granulométrie 10 mm) à un débit de 9 m3 par heure avec une hauteur de relevage allant jusqu'à 7 m. Pesant 13 kg et affichant un indice de protection IP 68, la Sanisub Steel kit d'urgence dispose d'un refroidissement moteur optimal et accepte les eaux avec des températures jusqu'à 75° C sur une courte période. Elle se destine à des applications domestiques, industrielles ou agricoles (pompage de caves, garages, regards d'eaux pluviales).Prix public indicatif de 389 euros.Sanisub ZPK : la solution polyvalente et ultra-résistanteSubmersible et portative, la pompe Sanisub ZPK est à la fois légère et ultra-résistante aux chocs et à la corrosion grâce à sa structure en polypropylène haute qualité. Disponible en 2 modèles (30A et 40A) selon sa puissance (300 W et 850 W), la Sanisub ZPK assure un relevage jusqu'à 7,5 m ou 10 m de haut, avec un déclenchement automatique grâce au flotteur (de série).Fiabilité et sécurité à l'honneur aussi puisque Sanisub ZPK est munie d'une double étanchéité par garniture mécanique et joint. Résistante à des eaux claires et grises de granulométrie de 10 à 30 mm pour ZPK 30A ou ZPK 40A et des températures jusqu'à 90° C sur une courte période, cette solution SFA s'avère idéale pour la plupart des drainages d'urgence d'eaux claires ayant inondées caves, garages et regards d'eaux pluviales, mais aussi pour le pompage des eaux grises domestiques (sans matières fécales) comme les douches, machines à laver, lavabos...Prix public indicatifs de 247 à 272 euros.Sanisub S ZPK : pour les situations extrêmesSFA a décliné la pompe Sanisub ZPK dans une version adaptée au pompage des eaux chargées en sels (teneur maximum en sels 15 %) ou agressives issus de systèmes d'adoucissement d'eau par exemple ou contenant des condensats. Ainsi est née la Sanisub S ZPK, pompe portative, dotée d'une garniture mécanique en carbure de silicium de haute qualité, d'un boîtier et d'un carter moteur en acier inoxydable. Précisons aussi que la Sanisub S ZPK et ses deux versions 30A et 40A (respectivement 4,5 et 6,5 kg) peuvent évacuer des eaux de saumures d'adoucisseurs et d'eaux agressives ou salines (teneur en sel de maximum 15 %) et qu'elles disposent, de série, d'un déclenchement automatique par flotteur.Prix public indicatifs de 303 à 373 euros.Sanisub 400 ou le « plug-and-play » pour les grandes profondeursDotée d'un clapet anti-retour et d'une enveloppe de refroidissement, la pompe Sanisub 400, en polyéthylène, revendique une capacité d'immersion allant jusqu'à 7,5 m pour évacuer des eaux avec granulométrie jusqu'à 10 mm. Compacte, portable et légère (4,1 kg), elle se destine au drainage de caves, puisards, puits et pièces de vie. Aussitôt branchée (câble de raccordement de 10 m avec prise), elle se met en route toute seule et s'arrête seule grâce à son bras de déclenchement intégré.Prix public indicatif de 183 euros.Sanisub S ZPK : pour les situations extrêmesSFA a décliné la pompe Sanisub ZPK dans une version adaptée au pompage des eaux chargées en sels (teneur maximum en sels 15 %) ou agressives issus de systèmes d'adoucissement d'eau par exemple ou contenant des condensats. Ainsi est née la Sanisub S ZPK, pompe portative, dotée d'une garniture mécanique en carbure de silicium de haute qualité, d'un boîtier et d'un carter moteur en acier inoxydable. Précisons aussi que la Sanisub S ZPK et ses deux versions 30A et 40A (respectivement 4,5 et 6,5 kg) peuvent évacuer des eaux de saumures d'adoucisseurs et d'eaux agressives ou salines (teneur en sel de maximum 15 %) et qu'elles disposent, de série, d'un déclenchement automatique par flotteur.Prix public indicatifs de 303 à 373 euros.
Il y a 4 ans et 91 jours

Ecotech Ceram : De l’énergie en conteneur

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Ecotech Ceram stocke et transforme la chaleur en énergie renouvelable à travers un conteneur. [©Ecotech Ceram] La revalorisation de la chaleur émise par la production industrielle est un enjeu économique et écologique. La start-up française Ecotech Ceram a mis au point une solution permettant de stocker la chaleur ou le froid produit par l’industrie lourde. « Nous avons mis au point une solution de stockage de chaleur éco-efficace, qui permet de capter et de valoriser de la chaleur issue de l’industrie lourde ou de sources renouvelables, explique Antoine Meffre, son président, lors d’une présentation au CementLab. Le but étant ensuite de la réinjecter dans des procédés industriels et ainsi de réduire la consommation d’énergie. Nous avons conçu une solution robuste, modulaire et transportable. Il s’agit d’un conteneur isolé de l’intérieur, avec des céramiques réfractaires issues de l’économie circulaire. » En temps réel L’air chaud des cheminées est aspiré et envoyé dans le module nommé Eco-Stock. En plug & play, la chaleur peut ensuite être réutilisée sur place ou dirigée vers un autre site. Le concept permet de stocker jusqu’à 2 MWh à 600 °C. Ecotech Ceram propose à ses clients de qualifier leur gisement de chaleur, puis de dessiner et de monter l’installation technique, tout en apportant des solutions de financement. Lors de l’utilisation, une plate-forme web permet de suivre en temps réel les performances du dispositif. La distribution électrique pouvant s’adapter en fonction des besoins en puissance ou dans le temps de la destination finale. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 91 jours

Un sol aux couleurs Pantone 2021

Après mûre réflexion, le Pantone Color Institute a identifié les deux couleurs de l'année 2021. La première, PANTONE 13-0647 Illuminating, est un jaune vif et joyeux, nuance chaleureuse empreinte de vitalité et d'une puissance solaire. La seconde, PANTONE 17-5104 Ultimate Gray, évoque la teinte des galets sur la plage dont l'apparence patinée souligne leur résistance à l'épreuve du temps. Ce gris rassure, apaise, et encourage des sentiments de sérénité, de stabilité et de résilience. Le mariage des deux est particulièrement adapté à l'incertitude qui entoure le monde actuel, en étant porteur d'espoir et de la promesse d'un avenir ensoleillé, apaisé et bienveillant.Par le biais de prévisions des tendances saisonnières, d'analyses de la psychologie des couleurs et de conseils en matière de teintes, le Pantone Color Institute s'emploie à tirer efficacement profit du pouvoir des couleurs. La marque de revêtements de sol Milliken est conscience de cette force : ses collections utilisent toujours des teintes soigneusement étudiées. L'impact des couleurs sur un lieu et les implications physiques et psychologiques qui en résultent sont effectivement des enjeux clés aux yeux de la marque.C'est pourquoi certaines des collections Milliken se déclinent désormais dans les deux teintes Pantone de l'année 2021. Utilisées indépendamment, elles diffusent leur puissance pure au gré des motifs uniques des dalles de sol. Associées, elles soulignent la façon dont deux éléments différents peuvent se soutenir mutuellement dans une union équilibrée et harmonieuse. Les nuances des collections Change Agent ou encore Major Frequency illustrent idéalement la sérénité dont est vecteur ce gris. Dans Naturally Drawn, gris et jaune se mêlent et s'entremêlent pour dégager une joyeuse sérénité, tandis que Clerkenwell se fait vive et solaire. Par sa teinte claire et ses jeux de texture, la collection Arctic Survey est, quant à elle, vectrice d'une sérénité ouatée.Celles-ci ne sont que quelques exemples des associations imaginées par Milliken utilisant les deux couleurs Pantone de l'année 2021. Chacune d'entre elles est une interprétation unique de leur personnalité, indépendante ou associée, tout en restant dans ce message d'espoir et ces vibrations de positivité dont sont porteuses ces deux nuances.
Il y a 4 ans et 91 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 92 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 97 jours

L'EPR, fleuron du nucléaire français aux multiples déboires

Lancée en 1992, cette technologie présentée comme le fleuron de la filière nucléaire française a été co-développée par le français Areva et l'allemand Siemens au sein de leur filiale commune, dont Siemens s'est depuis retiré.EDF a finalement pris le contrôle de cette activité lors de la réorganisation de la filière nucléaire française orchestrée par l'État.Conçu pour fonctionner pendant 60 ans, l'"European Pressurized Water Reactor" se fonde sur la technologie des réacteurs à eau sous pression, la plus utilisée dans le monde.Il offre une puissance très élevée (1.650 mégawatts) et bénéficie d'une multiplication des systèmes de sauvegarde pour refroidir le cœur du réacteur en cas de défaillance, d'une coque de protection en béton et acier et d'un récupérateur de corium censé réduire les conséquences en cas d'accident grave.Retards en France et FinlandeLe premier chantier a été lancé à Olkiluoto (Finlande) en 2005, pour le compte de l'électricien TVO, avec Areva et Siemens comme maîtres d'œuvre. Mais les contretemps et dérapages budgétaires se sont accumulés.Le chargement du combustible n'est prévu désormais que l'an prochain, avec plus de dix ans de retard, pour une production d'électricité en février 2022.Le deuxième EPR, en chantier depuis 2007 à Flamanville (Manche) en France, a également accumulé les déboires, à cause notamment d'anomalies découvertes sur la composition de l'acier du couvercle et du fond de la cuve.L'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) a exigé que le couvercle de la cuve soit remplacé avant la fin 2024.EDF s'est aussi heurté à des problèmes de soudures et le groupe vise maintenant un chargement du combustible à fin 2022. Un planning que le président de l'ASN vient de qualifier de "très serré" mais "possible".En service en Chine, surcoûts en AngleterreDeux autres EPR ont été commandés par la Chine. Taishan 1 a été le premier au monde à fonctionner, bien que le chantier ait commencé en 2009, après celui de Flamanville. Le deuxième réacteur de Taishan est aussi entré en service commercial.L'EPR a aussi été retenu pour un projet de deux réacteurs à Hinkley Point en Angleterre, qui a dernièrement été affecté par la pandémie de Covid-19.Le début de production d'électricité par le premier réacteur est à présent prévu en juin 2026 au lieu de fin 2025 comme annoncé initialement, a annoncé mercredi EDF.Les coûts du projet ont aussi été rehaussés: entre 22 et 23 milliards de livres désormais, contre 21,5-22,5 milliards auparavant.Il reste par ailleurs toujours un "risque" de retard de respectivement 15 et 9 mois sur les deux réacteurs, qui se traduirait par un nouveau surcoût.Le gouvernement britannique a aussi engagé des discussions pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire, Sizewell C, dans le Suffolk sur la côté Est de l'Angleterre. Elle doit être une quasi réplique de Hinkley Point C.Malgré tous ces déboires, EDF a bon espoir de vendre de nouveau l'EPR à l'étranger, tablant sur la volonté de certains pays d'améliorer leur bilan climatique et notamment de moins dépendre du charbon.En Inde, EDF et son homologue indien ont signé un accord portant sur le schéma industriel d'un projet de centrale à Jaitapur, un projet géant de six réacteurs EPR qui n'est pas finalisé."Les discussions techniques continuent", a précisé mercredi une source gouvernementale française avant un déplacement de la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili en Inde. EDF discute aussi avec des pays européens comme la Pologne ou la République Tchèque.Le groupe travaille aussi sur une nouvelle version de l'EPR, pour réduire ses coûts et ses délais de construction. En France, le gouvernement veut avoir tous les éléments en main à la mi-2021 mais la décision sur d'éventuels nouveaux chantiers a été renvoyée au prochain quinquennat.
Il y a 4 ans et 100 jours

Quel aspirateur choisir pour la poussière de chantier de rénovation ?

Accessoire quasi omniprésent dans les foyers occidentaux, l’aspirateur est toujours utile et s’avère être un compagnon très efficace pour nettoyer les surfaces extérieures et intérieures, ou même les textiles de la voiture. Si les modèles ordinaires, avec centrale ou en balai, avec ou sans sac, conviennent pour le ménage au quotidien, ils se montreront moins persuasifs pour aspirer les restes d’un chantier de rénovation. Si la plupart des gros débris se ramassent assez facilement, la poussière, elle, s’immisce partout et se montre tenace quand il s’agit de s’en débarrasser. La poussière, un danger invisible Qu’ils soient petits ou grands, les travaux dans la maison, que l’on perce, casse, ponce, scie, génèrent énormément de poussière. Et le nettoyage d’un chantier peut vite devenir un calvaire si vous n’êtes pas bien équipés. Heureusement, le monde est bien fait, peuplé de ses très nombreux ingénieurs, et il existe aujourd’hui de très nombreux aspirateurs dédiés à tous les types de déchets que peuvent générer des travaux : cendres, eau, gravats, plâtre, sciure… Mais c’est bel et bien la poussière qui nous intéresse aujourd’hui, car c’est souvent le résidu le plus difficile à faire disparaitre tant il est petit. Présente dans l’air et surtout sur les surfaces, la poussière peut irriter les poumons, voire pire, causer de graves lésions pulmonaires lorsqu’elle est présente en trop grande quantité. Identifier ses besoins Quoi qu’il arrive, il vaut mieux ôter un maximum de poussière avec une balayette et une pelle à main avant d’utiliser un aspirateur pour le faire durer le plus longtemps. Les particules de plâtre peuvent être si fines qu’elles abrègent la vie de tout engin aussi performant soit-il. Une heure de ponçage peut générer jusqu’à 3 kg de poussière ! Alors, pour s’en débarrasser efficacement au fur et à mesure d’un chantier de rénovation, mieux vaut s’équiper d’un aspirateur à poussière. Plus robuste et plus puissant que les modèles classiques, tel que le Rowenta Power XXL,  il devient vite indispensable pour nettoyer efficacement tous les résidus de travaux. Il en existe de nombreux modèles avec des caractéristiques assez différentes. Il convient donc dirae se pencher sur vos besoins ainsi que les critères les plus importants qui entreront en compte lors du choix de votre aspirateur. Quelle puissance me convient ? L’une des premières caractéristiques évidentes est sans nul doute la puissance de votre matériel. Celle-ci est déterminée par la consommation d’énergie, exprimée en Watts, et par la dépression, c’est-à-dire sa force d’absorption, exprimée en kPa (kilopascal). Plus votre aspirateur sera puissant, plus vite il nettoiera les surfaces sales. La consommation d’énergie peut aller de 1000 à 1800 Watts. La force d’absorption, elle, s’échelonne de 12 à 27 kPa. On peut distinguer trois situations différentes qui détermineront la puissance dont vous avez besoin : les petits travaux occasionnels, les travaux de bricolage réguliers (chaque week-end, par exemple), et les gros chantiers qui nécessitent un nettoyage à effectuer en permanence. Dans le premier cas, une puissance de 1 000 à 1 200 Watts et une capacité d’aspiration peut être limitée à environ 15 kPa suffiront. Pour des travaux hebdomadaires, mieux vaut tabler sur une puissance de 1400 Watts, couplée à une dépression d’au moins 19 kPa. Enfin, pour les gros chantiers, il faut pas hésiter à s’orienter vers des appareils puissants avec une consommation énergétique comprise entre 1600 et 1800 Watts, et dont la capacité d’absorption sera maximale (entre 23 et 27 kPa). Pas besoin d’une grosse capacité de cuve Selon le type de chantiers que vous avez, encore une fois, il vous faudra tenir compte de la capacité de la cuve, c’est-à-dire, la quantité maximale de débris que l’aspirateur peut ingurgiter. Elle peut être en plastique, plus léger mais moins résistant, ou en inox, plus lourd mais plus robuste. Néanmoins, dans le cas d’un seul aspirateur à poussières, il convient de ne pas s’encombrer avec une grosse cuve. En effet, la poussière ne prenant pas beaucoup de place, il suffit simplement d’une cuve d’une contenance d’environ 4 à 10 litres, comme le modèle SE 4001 de chez Kärcher. Petit, compact et surtout puissant, il peut représenter un compagnon efficace pour vos tâches de nettoyage. Pour aspirer la poussière, il est aussi indispensable d’utiliser un sac. Il en existe en carton, moins cher, mais moins efficaces que ceux en tissus, qui sont plus résistants aux déchirements et qui vont mieux filtrer les particules. Pensez justement à la taille et à la qualité du filtre lors de votre achat, car la surface filtrante a pour fonction de retenir saletés et particules de poussière et donc de protéger votre matériel. Pensez à la maniabilité Sur le marché, les capacités peuvent grimper jusque’à plus de 20 litres. Mais la maniabilité d’un aspirateur plus lourd et plus gros devient alors moins pratique pour le transport. Le confort d’utilisation est d’ailleurs l’une des caractéristiques à prendre en compte dans l’achat d’un aspirateur à poussière pour vos chantiers de rénovation. La taille et le nombre des roulettes peuvent par exemple entrer en compte dans la maniabilité. En effet, la centrale doit pouvoir rouler sans trop s’encombrer dans les éventuels obstacles, ni en collectant de la poussière dans les roulements. Aujourd’hui, il existe même des aspirateurs sans fil ressemblants à des balais. Comme le H.Koenig UPX18, par exemple, ils sont plus maniables mais moins puissants. Et ils n’ont, en général, pas la possibilité d’accueillir un sac dans leur cuve. Toutefois, ces aspirateurs-balais sont assez silencieux. Et le bruit émis par votre machine peut affecter le confort de travail. Alors pensez à regarder la puissance sonore, indiquée en décibel, au moment de votre choix d’aspirateur. Un bruit trop intense peut nuire à votre audition sur le long terme. Des petits accessoires pour se faciliter la tâche Aujourd’hui, la plupart des aspirateurs à poussière de chantier sont accompagnés, à l’achat, de multiples accessoires pouvant être utilisés dans de nombreuses situations. On peut notamment évoquer les suceurs, qui peuvent être à brosse, ou à fente, spécialement dédiés à la poussière. L’aspirateur peut être aussi équipé d’une soufflerie, qui, à l’instar d’un sèche-cheveux, dégage les poussières pour mieux les aspirer. Une prise synchro est également un accessoire intéressant si vous travailler beaucoup d’outillages. En effet, elle vous permet de connecter votre aspirateur à votre outil (une scie, une ponceuse…) pour récolter un maximum de poussières à la source. Enfin, une brosse rotative pourra aussi évacuer les poussières avant de les traiter.
Il y a 4 ans et 100 jours

Damart accroît l’influence de DamartPro

Les technologies de DamartPro assurent une sécurité et un confort aux professionnels. [©DamartPro] Les entreprises du secteur des EPI ont compris que le “workwear”1était un marché de croissance. Damart s’y est ainsi installé. Et cela en complément de son offre de sous-vêtements techniques. Cette activité est articulée autour de 3 gammes : protection anti-froid, anti-chaleur et anti-flamme. Ces vêtements de travail sont utilisés par l’Armée de l’air, les pompiers, la police belge… Ainsi que les professionnels du BTP. Damart s’est engagé depuis quelques années dans une démarche RSE et de recherche et développement. Son objectif est d’augmenter la production de textiles durables à base de fibres recyclées. Et de proposer une offre 100 % éco-conçue d’ici 2025.  Etant une filière de Damart, DamartPro, créée il y a 3 ans, s’appuie sur la cellule de R&D du groupe et propose des solutions innovantes et adaptées pour chaque métier. « Nous développons des réponses thermiques pour chaque besoin métier, ce qui nous distingue des grands groupes de l’équipement professionnel. Nous bénéficions de toute la puissance du groupe Damart », témoigne Loïc Bouquet, directeur du développement chez DamartPro .  L’offre de DamartPro  L’offre de DamartPro est aujourd’hui sur tous les fronts. La gamme de produits de la technologie Thermolactyl permet de protéger l’utilisateur des froids légers comme extrêmes. Cette technologie a d’ailleurs été nommée en 2020 aux Trophées Expo Protection. Elle procure une forte capacité d’isolation thermique, ainsi qu’un effet seconde peau. Nous trouvons ensuite la gamme Océalis qui assure une absorption de l’humidité corporelle et un séchage rapide. Les textiles sont fins et légers et promettent un confort optimal. Pour finir, DamartPro propose aux professionnels une gamme de sous-vêtements. Ces derniers peuvent être portés sous une tenue multi-risques complète. De plus, ils protègent des flammes, ainsi que des charges électrostatiques. Cela grâce à la composition des matières et d’un assemblage innovant. Damart Pro est la seule marque à permettre de trouver ces produits sur autant de canaux : magasins, catalogue et web. 1Vêtement de travail. Charline David
Il y a 4 ans et 100 jours

Le chauffage au granulé de bois a-t-il sa place dans le collectif ?

Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d'utilisation, ce type de chauffage répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français.Avec plus de 1.100 chaufferies au granulé de bois en France, les retours d'expérience sont nombreux et très satisfaisants : écoles, lycées, bureaux, mairies, gymnases, lotissements …Pour identifier au mieux le marché et évaluer les zones de pertinence économique de ces installations, Propellet a mené l'enquête. Cette étude rendue en novembre 2020 « Articulation des usages entre granulé et plaquette » a été financée par l'ADEME, l'interprofession France Bois Forêt (FBF) et coréalisée avec le Comité Interprofessionnel du Bois Energie (CIBE) et le Syndicat National des Producteurs de Granulé de Bois (SNPGB).Le marché du granulé domestique représente aujourd'hui 95%. Un potentiel très significatif pour le marché du collectif et industrielAujourd'hui, le marché du domestique (poêles et chaudières) représente 95%. Et, en 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s'élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5% de la consommation de granulé de bois en France !Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l'énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l'ensemble). La très large majorité d'entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…).Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. En effet, Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW.Pertinence du granulé et capacité de la filièreLes récentes annonces du gouvernement concernant l'interdiction d'utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d'accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête pour aborder ce virage.Le bois énergie est un cercle vertueux, puisque l'utilisation du bois dans la construction permet à la fois de stocker du CO² dans le bâtiment et de générer des coproduits de bois qui sont utilisés pour fabriquer du granulé.En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d'usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d'ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L'accroissement naturel de la forêt est de 10% par an en volume et il n'est prélevé pour tous les usages (bois d'œuvre, bois d'industrie, bois d'énergie) que la moitié de cette progression.Logique de décision des prescripteurs en faveur d'une solution boisÉtudier la valeur ajoutée du granulé par rapport à la plaquette facilite la logique de décision.Le choix se fait en fonction d'études de faisabilités et de préconisations de maîtres d'œuvre et d'experts. La volonté d'un maître d'ouvrage de valoriser une ressource locale de bois afin de dynamiser le territoire peut souvent orienter la décision en faveur de la plaquette ; en particulier dans le cas de communes disposant de forêts.Comparaison plaquette / granulé = les facteurs de décisionQuand le choix de l'énergie bois est acté, l'arbitrage se fait entre plaquette et granulé. Les premières questions que vont se poser le maitre d'ouvrage concernent :Des éléments techniquesLes contraintes techniques ou foncières liées à la superficie du site de la chaufferie = la densité énergétique du granulé fait que 3 à 4 fois moins d'espace est nécessaire pour le stockage que pour la plaquette.L'accessibilité du site aux camions de livraison = conditions de déchargement. Le granulé nécessite donc aussi 3 à 4 fois moins de livraisons que la plaquette.Les moyens pour assurer l'exploitation de l'installation = les plaquettes nécessitent plus de compétences et de surveillance (personnel en interne ou contrat d'exploitation).À noter : Le fractionnement de la puissance en plusieurs chaudières est courant pour les installations au granulé. Du fait d'une puissance minimale autorisée plus faible que pour une chaudière unique, cette configuration permet de couvrir une plus grande part des besoins thermiques par le bois (y compris les besoins d'eau chaude sanitaire l'été), éventuellement jusqu'à 100% c'est-à-dire sans recourir à une énergie fossile en appoint.Des éléments financiersL'analyse en coûts différenciés investissement / fonctionnement pour les maîtres d'ouvrage (situation assez rare).L'analyse économique en coût global = décisif pour le choix du maître d'ouvrage. C'est ici que se pose la question de l'intermittence d'usage de la chaleur. La souplesse d'une installation au granulé est un avantage dans le cas de cette intermittence mais, surtout, à puissance égale installée, l'intermittence entraînera une moindre consommation d'énergie qui rendra économique l'utilisation du granulé.Dans le milieu industriel, les projets s'évaluent généralement en temps de retour brut sur investissement plutôt qu'en coût global de l'énergie. Une installation au granulé présentera un meilleur temps de retour brut sur investissement qu'un projet plaquettes, (si faibles variations des prix des 2 combustibles), et pour des besoins énergétiques faibles.Analyse de l'intérêt économique des solutionsL'analyse de l'intérêt économique d'un projet s'effectue généralement par la comparaison des factures énergétiques en coût global pour chacune des solutions.Ce graphique montre que lorsqu'on décompose le coût global :La part d'énergie est inférieur pour le granulé face aux énergies fossilesLa part de l'appareil au granulé (maintenance inclus) est moins importante face à la plaquetteLes grandes tendances d'un point de vue financier après analyseFace au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives.Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Suivre l'impact de la RE 2020.Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l'intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques.Plus le prix de l'énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10% des besoins sont couverts par l'énergie d'appoint contre 15% pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d'appoint.Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires rurauxLes récentes décision gouvernementales (fioul et gaz) nécessitent d'engager une réflexion d'ensemble et des actions pour développer le bois-énergie dans les territoires ruraux. Des centaines de milliers de familles, de bâtiments publics et commerciaux seront concernés et devront trouver une alternative.Mais les solutions individuelles ne sont pas souhaitables. Il faudra éviter le passage au propane (dérivé du pétrole fossile) ou au chauffage électrique sous toutes ces formes (par effet joule ou de manière plus vertueuse par pompe à chaleur) qui aggraverait le pic d'appel de puissance électrique en hiver.Une réflexion collective est primordiale. Les petits réseaux de chaleur renouvelables dans les territoires ruraux ont toute leur place.
Il y a 4 ans et 100 jours

EAS SOLUTIONS, QUALIFIÉE RGE, OPTIMISE LA RÉNOVATION DE L’ÉCLAIRAGE PROFESSIONNEL

QUALIFIÉE RGE ÉTUDE, EAS SOLUTIONS PROPOSE AUX PROFESSIONNELS UNE OFFRE DE RÉNOVATION D’ÉCLAIRAGE OPTIMISÉE ET CLÉ EN MAIN AVEC DES SOLUTIONS LED ÉLIGIBLES AUX CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE Spécialiste de l’éclairage professionnel, EAS SOLUTIONS accompagne ses clients professionnels de l’industrie, de la logistique et du tertiaire dans le choix et l’installation de solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique pour réaliser jusqu’à 90% d’économie d’énergie. En 11 ans, EAS SOLUTIONS a permis à ses clients d’économiser 192 millions de kWh et 68 725 tonnes de C02. Soucieuse d’aller plus loin dans son engagement vis-à-vis des professionnels qui souhaitent rénover l’éclairage de leurs installations, EAS SOLUTIONS propose une offre globale « clé en main », éligible aux Certificats d’Economies d’Energie (CEE). Les primes générées par les CEE contribuent de manière significative au financement de la rénovation comme le montrent les exemples de projets ci-dessous. COMMENT CETTE OFFRE FONCTIONNE-T-ELLE ? Avec l’obtention de sa qualification RGE Etude (Reconnu Garant de l’Environnement) dans le domaine de l’éclairage, EAS SOLUTIONS effectue l’étude préalable du projet qui dresse l’état des lieux avant et après la rénovation et mentionne notamment les économies d’énergie prévues.  Une fois l’étude acceptée par le client, EAS SOLUTIONS procède à la mise en place des luminaires LED éligibles aux CEE. Grâce au partenariat conclu avec OBJECTIF 54, EAS SOLUTIONS délègue la partie administrative à un spécialiste du domaine qui monte et suit le dossier jusqu’au versement de la prime. L’accompagnement d’OBJECTIF 54 consiste à vérifier les conditions d’éligibilité, évaluer le montant de la prime, déposer le dossier et enfin procéder au versement de la prime que le client bénéficiaire récupère soit en déduction du devis TTC soit par paiement direct.  Le montant de la prime peut être bonifié dans le cadre d’un CPE (Contrat de Performance Energétique), EAS SOLUTIONS s’engageant alors préalablement sur les économies d’énergie à réaliser. EXEMPLE DE PROJET TERTIAIRE : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage d’une base logistique dédiée au commerce d’une superficie de 40 000M2. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 534 solutions LED intelligentes de 147 W avec détection de présence et de luminosité. Ce projet clé en main d’un montant de 360 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED dont l’éligibilité aux Certificats d’Economies d’Energie est vérifiée par OBJECTIF 54, prestataire partenaire qui, en l’espèce, estime à 20 000€ TTC le montant de la prime CEE. Prime bonifiée à 65 000€ dans le cadre d’un CPE (Contrat de performance), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors de 2 ans.  EXEMPLE DE PROJET INDUSTRIEL : Le projet concerne la rénovation de l’éclairage de 3 halls d’une superficie de 19 000 M2 dédiés à la production et à l’assemblage de matériel électrique. L’étude préalable de dimensionnement menée par EAS SOLUTIONS préconise la mise en place de 612 solutions LED intelligentes avec détection de présence et de luminosité totalisant une puissance de 60 862W. Ce projet clé en main d’un montant de 300 000€ TTC comprend l’installation de luminaires LED éligibles aux CEE. OBJECTIF 54 estime dans le cas présent à 14 700€ TTC le montant de la prime CEE. Prime qui est bonifiée à 25 700€ dans le cadre d’un CPE (bonification possible jusqu’au 31.12.2021), EAS SOLUTIONS s’engageant préalablement à réaliser 75% d’économie d’énergie chaque année pendant 5 ans. Le retour sur investissement est alors inférieur à 3 ans. . A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr . A propos d’OBJECTIF 54  Depuis 2008, OBJECTIF 54 est spécialisée dans les Certificats d’Economies d’Energie (CEE) et permet aux maîtres d’ouvrage (personnes physiques ou personnes morales) de bénéficier de primes CEE dans le cadre de la réalisation de travaux de rénovation et d’optimisation énergétique de leurs bâtiments ou process. Quel que soit le projet de travaux (petit ou grand), OBJECTIF 54 s’adapte aux besoins de chacun dans le but de diminuer les consommations d’énergies et les émissions de gaz à effet de serre. Pour ce faire, la société met à disposition son réseau national d’installateurs spécialisés sur différents métiers : isolation, thermie, équipement. Ces sociétés intègrent directement dans leurs offres les primes CEE qui sont déduites du coût final des travaux. L’équipe d’OBJECTIF 54 analyse les projets de travaux, vérifie l’éligibilité et estime les montants des primes CEE, étape essentielle pour garantir la viabilité du dossier de demande de CEE, tant sur le plan technique qu’administratif. objectif54.com
Il y a 4 ans et 100 jours

Le granulé de bois se prépare à chauffer le collectif

Pour identifier au mieux le marché du chauffage avec les granulés de bois dans le collectif et évaluer les zones de pertinence économique des installations, Propellet a mené une étude. Aujourd’hui, le marché du granulé domestique (poêles et chaudières) représente 95 %. En 2019, la consommation cumulée de granulé pour le secteur collectif et industriel s’élevait à 70 000 t/an, soit moins de 5 % de la consommation de granulé de bois en France. Hors CPCU (Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain), le granulé représente seulement 2% de l’énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois alors que le nombre de chaufferies « bois » représente près de 20% de l’ensemble. La très large majorité d’entre elles est fournie par le bois déchiqueté (plaquettes forestières, connexes des industries du bois, broyats de bois en fin de vie…). Le paysage français dans le chauffage collectif et industriel au granulé est marqué par la prédominance des chaudières de petites et moyennes puissances. Dans le secteur collectif / industriel, le CIBE recense, pour 2018, un parc de 1 156 chaufferies au granulé de bois de plus de 50 kW pour une puissance cumulée de 178 MW. Plus de 90% des chaudières au granulé ont une puissance inférieure à 300 kW. Les récentes annonces du gouvernement concernant l’interdiction d’utiliser du gaz dans les logements collectifs neufs à partir de 2022 (RE2020) vont permettre d’accélérer le développement de ce marché. La filière bois énergie est prête. En 2019, la France a produit 1.6 million de tonnes de granulés bois. Grâce à de nouveaux projets d’usine, la capacité devrait atteindre les 2 millions de tonnes d’ici 2 à 3 ans. Au-delà du passage obligatoire à la sobriété énergétique qui diminuera les besoins, les perspectives sont rassurantes puisque la ressource issue de la forêt est abondante. L’accroissement naturel de la forêt est de 10 % par an en volume et il n’est prélevé pour tous les usages (bois d’œuvre, bois d’industrie, bois d’énergie) que la moitié de cette progression. Les grandes tendances d’un point de vue financier après analyse Face au fioul domestique (95 €TTC/MWhPCI), les chaufferies dédiées au bois sont systématiquement compétitives. Face au gaz naturel (55€TTC/MWhPCI), à contrario, les chaufferies dédiées au bois ne sont compétitives que dans de rares cas : établissements scolaires, sanitaires et sociaux ou résidentiels collectifs par exemple. Lorsque les deux solutions bois sont comparées entre elles, la solution « granulé » devient plus pertinente lorsque l’intermittence augmente ou pour satisfaire de faibles besoins thermiques. Plus le prix de l’énergie fossile utilisée en appoint est élevé, plus importante est la zone de pertinence de la solution granulé : avec le granulé, seuls 10 % des besoins sont couverts par l’énergie d’appoint contre 15 % pour la solution plaquette. Ce qui représente une réduction de 33% du recours à cette énergie d’appoint. Une réflexion globale à mener sur les réseaux de chaleur bois dans les territoires ruraux. Photo : Froling Source : Propellet  
Il y a 4 ans et 104 jours

EDF lance sa première centrale solaire flottante en France

"Située sur la retenue d'eau de l'usine hydroélectrique de Lazer, la centrale solaire flottante s'étendra sur une surface de 24,5 hectares, couvrant environ les deux tiers de la surface de la retenue d'eau, pour une capacité de production de 20 MW", a détaillé dans un communiqué EDF Renouvelables, filiale d'EDF.Elle doit être mise en service au printemps 2022 et produire l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 12.500 habitants, soit l'équivalent de ce que produit déjà l'usine hydroélectrique.EDF note que ce projet s'inscrit à la fois dans les objectifs de développement du solaire en France et dans son propre "plan solaire". EDF vise à devenir l'un des leaders du secteur en France, avec 30% de parts de marché d'ici 2035.S'il s'agit d'une première pour EDF en France, la centrale ne sera pas la première de ce type dans le pays.La centrale solaire flottante de Piolenc (Vaucluse), exploitée par la société Akuo Energy, avait ainsi commencé à produire en 2019.D'une puissance de 17 MW, elle est installée sur l'eau d'une ancienne carrière.
Il y a 4 ans et 105 jours

Imer : « Nos gammes de pompes s’enrichissent en 2021 et 2022 »

William Merger, directeur de la division béton d’Imer. [©ACPresse] Imer peut être considéré comme un full liner des équipements pour le béton. Comment se répartit votre activité dans ce domaine ? Imer réalise 30 % de son chiffre d’affaires à travers les petits matériels et équipements pour le béton. On parle de pompes à chapes et machines de projection, de bétonnières de chantier, d’équipements de vibration. Environ 20 % du chiffre d’affaires sont issus des gros matériels, tels que les centrales à béton, les malaxeurs, les toupies, les pompes ou encore les solutions de recyclage. Enfin, les 50 % restant proviennent des activités “bâtiment”, les autres matériels comme le compactage, “Worms” pour les groupes électrogènes, “Travaux Publics” et “Access”, dans lesquelles nous intégrons, les mini-pelles, les pelles urbaines ou encore les nacelles. Celle que nous appelons “bâtiment” est donc la gamme des petits matériels. Sa commercialisation est opérée en direct, via notre réseau de négociants, et à travers les loueurs nationaux et régionaux. Notre client cible est l’entreprise de construction. Côté chiffres, Imer vend chaque année près de 4 500 bétonnières, dans des capacités allant de 140 à 750 l. La “350 l”, thermique comme électrique, constitue le modèle phare de notre offre. Aujourd’hui, avec ces matériels, nous sommes n° 2 en France, comme en Europe. Imer se positionne très bien aussi avec les équipements pour la vibration interne des bétons. Quelque 2 500 unités sont vendues chaque année. De même, avec 200 pompes à chapes, nous sommes bien placés sur ce marché spécifique. Toutefois, celui-ci doit encore être développé. Dans les mois qui viennent, la gamme sera étoffée à de nouveaux modèles. Comment se développe l’offre “recyclage”, sachant que plusieurs nouveautés ont été présentées récemment ? Imer va enrichir ses gammes de pompes à béton stationnaires et automotrices, entre 2021 et 2022… [©ACPresse] A l’heure actuelle, la ligne Ecod’O se décline en trois modèles de stations mobiles de recyclage des bétons frais : l’Ecod’O classique, l’Ecod’O Soft et l’Ecotri. Le premier constitue un système complet avec rejet possible des eaux dans le réseau d’eau pluviale sous réserve d’un traitement CO2, en vue de ramener le pH à 7 environ. De son côté, la version “Soft” est prévue pour ne travailler qu’en circuit fermé. Quant à l’Ecotri, il est très orienté bâtiment. Il s’agit d’un support pour big bag filtrant associé à une petite pompe pour permettre la réutilisation de l’eau décantée. En dehors de cette offre mobile, Imer sait proposer des installations fixes sur mesure, avec agitateurs, supports pour bennes à béton, cannes de lavage… Sur Intermat, nous avions présenté le système de nettoyage des toupies OruJet. C’est un outil de prévention, un véritable plus pour les unités de BPE déjà équipées de bacs de décantation. Un coup de jet haute pression à l’intérieur de la cuve, de temps en temps, suffit pour maintenir la toupie en bon état. Pour être honnête, les utilisateurs estiment être suffisamment bien équipés et préfèrent faire appel à un spécialiste du déplombage si nécessaire… Nous ne relâchons pas nos efforts. L’OruJet est en test chez certains utilisateurs. Et puis, il y a des pays qui sont davantage préventifs et d’autres, plus curatifs ! Toupie électrique, porteur hybride, à combustion gaz… Le secteur du transport du béton est en pleine mutation, mais aussi en pleine interrogation. Où en est Imer à ce niveau ? Nous n’avons pas de programme de développement de solutions d’entraînement électrique des cuves. Par contre, nous travaillons de concert avec les industriels du poids lourd sur les véhicules à combustion gaz, bio-carburant ou encore hybride. Nous cherchons à adapter nos équipements aux contraintes techniques des porteurs. Par exemple, en proposant des circuits hydrauliques renforcés pour pallier la puissance limitée des moteurs gaz. Nous croyons aussi beaucoup au bio-carburant. L’offre “pompage” d’Imer n’est pas très large. Des développements et/ou des extensions de gammes sont-ils attendus pour ces prochains mois ? Imer dispose aujourd’hui de la ligne de malaxeurs-pompes Boomix qui se déclinent en trois longueurs de flèche : 22 m, 24 m et 29 m. Ce qui répond bien à la demande du marché. A cela s’ajoute un unique modèle de pompe automotrice muni d’un bras de 36 m… A partir de 2021, il y aura une évolution de cette offre avec un enrichissement de la gamme, qui sera dévoilée à l’occasion de la Bauma. Enfin, nous proposons une petite pompe stationnaire baptisée Booster 15. Dans les mois qui viennent, cette gamme naissante sera élargie avec l’arrivée des Booster 30 et 45, pour des capacités de pompage de 30 et 45 m3/h. Fin 2021, nous mettrons sur le marché les modèles Booster 60 et 90. Les équipements pour la préfabrication constituent un domaine dans lequel Imer est peu connu. Pourtant, une offre existe… Historiquement, l’usine Oru, en Italie, produit beaucoup de centrales à béton pour la préfabrication, alors qu’en France, Imer est surtout connu pour les centrales de BPE et de chantier. De même, les malaxeurs Oru, qui vont de 330 l à 2,5 m3 de béton fini en planétaire sont très demandés par l’industrie du béton. En complément de ces outils et de ces unités, nous proposons des systèmes de transport. C’est-à-dire des télé-bennes à basculement ou vidange par le fond, avec des capacités de 1 à 2 m3. Cette offre est intéressante et cache un véritable savoir-faire. Mais nécessite des études plus importantes qu’en BPE et une réflexion sur l’implantation des équipements. Enfin, avec l’élargissement de notre offre de pompes stationnaires, il n’est pas exclu de voir des adaptations spécifiques pour la distribution du béton en préfabrication.
Il y a 4 ans et 106 jours

Fischer : Pour des perçages sans poussières et des ancrages sûrs

Combiné au puissant aspirateur FVC 35 M, le foret creux et aspirant FHD garantit un chantier plus propre et plus sain, en préservant la santé des utilisateurs. [©Fischer] Depuis le 1erjanvier 2021, par un arrêté, la poussière de silice cristalline est classée comme agent cancérogène dans le droit français. Ce qui va contraindre de nombreuses entreprises du bâtiment à mettre en place des mesures préventives. En effet, sur les chantiers, les professionnels sont souvent exposés à la poussière, générée lors des travaux de perçage, de sciage, de meulage… Et issue des matériaux de construction. Afin de les protéger et de limiter les risques d’exposition, Fischer propose un système d’aspiration complet. A savoir, le foret creux aspirant FHD associé à l’aspirateur eau et poussière FVC 35 M. Un travail de forage sans poussières Le foret creux aspirant FHD assure le perçage et l’aspiration des poussières en une seule opération. De plus, il améliore les performances de fixation et permet de réaliser des forages précis et rapides. Combiné au puissant aspirateur FVC 35 M, ce système garantit un chantier plus propre et plus sain, en préservant la santé des utilisateurs. Plus besoin de nettoyer le trou après le perçage et l’utilisation d’une pompe de soufflage, d’un compresseur ou encore d’un écouvillon de nettoyage n’est plus nécessaire. L’absence de poussière élimine tout risque de blocage ou de ralentissement lors du perçage. Des chocs électromagnétiques L’aspirateur eau et poussière FVC 35 possède une cuve de 35 l à double paroi très robuste. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d’une forte puissance d’aspiration. Ceci, pour un travail continu. Pour cela, des chocs électromagnétiques nettoient de façon alternative les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. La grande surface des filtres assure aussi une plus longue durée de vie de l’appareil. Ces cartouches filtrantes sont facilement accessibles pour un remplacement rapide.
Il y a 4 ans et 106 jours

Quelle est la place de la santé dans vos projets ?

Pour contribuer à faire progresser ce sujet clé pour le bâtiment, une première enquête vient d’être lancée : « Diagnostic Bâtiment Santé » Une enquête inédite menée par l’association Bâtiment Santé Plus en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Architectes, avec le soutien de l’ADEME et du Service de l’Architecture du Ministère de la Culture. Il y a 10 ans, le Dr Suzanne Déoux, présidente de l’Association Bâtiment Santé Plus, lançait le 1er colloque « Défis Bâtiment Santé » avec les étudiants du Master RISEB destiné à former au nouveau métier d’ingénierie de santé dans le cadre bâti et urbain. L’objectif ? Encourager une meilleure prise en compte de la santé par les acteurs du bâtiment, tout en permettant aux étudiants de se confronter à la réalité des professionnels, dans un secteur où la formation est un enjeu clé. Chaque édition du colloque s’est attachée à croiser les actualités du secteur avec la santé, dans toutes ses dimensions – physiques et psychosociales – afin que celle-ci ne soit pas oubliée face à la montée en puissance des exigences environnementales, de maîtrise de l’énergie et de l’impact carbone. 2021 : 10 ans… de nombreuses connaissances accumulées, un vrai recul sur l’évolution de la prise en compte des critères sanitaires dans le bâtiment et un contexte tout particulier : la RE 2020 et la crise sanitaire. Certes, la santé est mise en lumière, mais les difficultés économiques freinent la capacité d’investissement des acteurs du secteur. Comment les acteurs du bâtiment intègrent-ils ces différents paramètres pour le mieux-être des occupants ? Quels sont les critères prioritaires qui guident leurs choix de matériaux, d’équipements ? Disposent-ils de toutes les informations nécessaires ? Associée au Conseil National de l’Ordre des Architectes, avec le soutien de l’ADEME et du Service de l’Architecture du Ministère de la Culture et les conseils de son comité scientifique, l’association Bâtiment Santé Plus a mis au point un questionnaire destiné à mieux cerner l’ensemble de ces enjeux et à les mettre en perspective avec la grande nouveauté réglementaire : la prise en compte du facteur carbone et le développement attendu de l’économie circulaire.   Les acteurs de la construction sont appelés à contribuer, en 22 questions, à un état des lieux du secteur du bâtiment sur ces sujets d’actualité ! Largement diffusée jusqu’au 1er mars, l’enquête sera ensuite analysée par l’ENSAI Junior Consultant, junior entreprise de l’École Nationale de la Statistique et de l’Analyse de l’Information, dont la tutelle technique est assurée par l’INSEE. Afin de couvrir un large domaine d’activités et de compétences, l’enquête « Diagnostic Bâtiment Santé » interroge sur la prise en compte des enjeux de la santé dans le bâtiment par les différents acteurs, mais également sur les opérations de recyclage, de réemploi et de réutilisation dans le secteur des produits et équipements du bâtiment. Pour découvrir, participer ou relayer l’enquête « Diagnostic Bâtiment Santé » avant le 1er mars 2021 : Lien
Il y a 4 ans et 106 jours

"On ne dit pas : demain matin on fera tout en bois", Luc Charmasson, président du CSF bois

Avoir désigné le bois comme LE matériau de la RE2020, a placé la filière bois-construction dans la position délicate de devoir tirer l'ensemble du secteur vers sa décarbonation alors même qu'elle commence en réalité sa propre montée en puissance. Qu'à cela ne tienne, elle s'est engagée "solennellement" auprès des élus, du gouvernement et de ses partenaires en lançant le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 ». Du renouvellement des arbres à la fin du cycle de vie du bois de construction, le président du Comité stratégique de filière bois, Luc Charmasson explique au Moniteur.fr comment la filière bois compte faciliter la transition du secteur du bâtiment vers la neutralité carbone.
Il y a 4 ans et 107 jours

Economie circulaire : Eurovia monte en puissance

En vue de doubler sa production de matériaux recyclés, la filiale du groupe Vinci déploie Granulat +. Une marque qui regroupe l’ensemble de ses sites français engagés dans la collecte, le traçage et le recyclage des déchets minéraux issus de la construction.
Il y a 4 ans et 107 jours

Etude Ademe : les clés pour atteindre une rénovation performante

L’ADEME a étudié les conditions techniques permettant la rénovation des maisons individuelles au niveau Bâtiment Basse Consommation en moyenne nationale. Ce niveau, fixé par la Stratégie nationale bas carbone, est celui que doit atteindre le parc des maisons individuelles, pour respecter les objectifs de neutralité carbone à l’horizon 2050. La tendance actuelle des ménages français, analysée dans l’enquête TREMI pour la période 2016-2017, montre que 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n’ont pas permis de changer de classe de DPE. Il y a donc un enjeu majeur à accélérer le rythme des rénovations plus performantes. L’étude s’attache à définir les conditions techniques pour qu’une rénovation puisse être performante. Elle précise le nombre d’étapes maximum ainsi que les risques d’impasses techniques en cas de rénovation partielle. Elle s’inscrit dans le cadre du Plan de relance et du renforcement des dispositifs d’aide « MaPrimeRenov’ » et « Coup de POUCE CEE » vers les rénovations performantes diminuant à minima de 55% les consommations énergétiques. Les principaux constats de l’étude Pour les maisons individuelles datant d’avant 1982, un parcours de rénovation performante comprend nécessairement 6 postes de travaux : isolation des murs, de la toiture, du plancher bas, remplacement des menuiseries extérieures, systèmes de ventilation et de chauffage/Eau Chaude Sanitaire. L’étude pointe que la réalisation de travaux de rénovation énergétique, non coordonnés, peut conduire à des impasses techniques incompatibles avec une rénovation performante. L’étude montre aussi que l’ordonnancement des travaux est crucial pour le bon fonctionnement des systèmes de production de chauffage. La première étape doit préférentiellement viser les travaux d’isolation et de ventilation, pour éviter des pathologies et un surdimensionnement des systèmes de chauffage, grevant la performance des systèmes de production de chauffage. La rénovation performante doit privilégier les énergies renouvelables (EnR) pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire (poêle à bois, chaudières bois, pompes à chaleur, chauffe-eau solaire). Le système de chauffage choisi doit posséder un bon rendement, y compris à basse puissance puisque les besoins sont fortement réduits dans une rénovation performante. Elle doit veiller à assurer le confort et la santé des habitants en se prémunissant des conséquences d’une mauvaise ventilation, de ponts thermiques et de condensations qui peuvent provoquer le développement de moisissures et de pathologies diverses. Elle gagne pour cela à être réalisée en une seule étape et au maximum en deux ou trois grandes étapes cohérentes afin de traiter des interfaces et interactions entre postes de travaux. Elle exige d’être coordonnée par un pilote (maître d’oeuvre ou architecte, groupement d’entreprise, contractant général). Les travaux de rénovation de qualité et pensés dans leur ensemble méritent donc d’être encouragés via des aides financières attractives pour les travaux et leur conception et pilotage. Les récentes évolutions de MaPrimeRénov’ et des « coup de pouce » des Certificats d’économie d’énergie décidées dans le cadre du Plan de relance vont dans ce sens. https://www.ademe.fr/renovation-performante-etapes   Visuel : Pertes de chaleur d’une maison d’avant 1974 non isolée. Source : Guide Isoler sa maison de l’ADEME.
Il y a 4 ans et 108 jours

Engie et Neoen dévoilent un gros projet solaire en Gironde

Le projet, baptisé Horizeo, doit s'implanter sur la commune de Saucats. Il prévoit "un parc photovoltaïque d'une puissance d'un gigawatt, pour une production d'électricité équivalente à la consommation annuelle de plus de 600.000 personnes", détaillent les deux entreprises du secteur énergétique dans un communiqué commun.Autour du parc sont aussi prévus des batteries de stockage d'électricité, une unité de production d'hydrogène vert, un centre de données et une surface associant agriculture et production d'électricité solaire.Le projet s'étend sur une surface boisée d'environ 1.000 hectares et supposera par conséquent une "autorisation de défrichement". Les entreprises s'engagent toutefois à "des boisements compensateurs supérieurs à la surface concernée".La Commission nationale du débat public (CNDP) a décidé d'organiser un débat public sur Horizeo.Outre sa taille, le projet se distingue également par son modèle économique. L'électricité d'origine solaire serait en effet revendue dans le cadre de contrats de gré à gré et non via les appels d'offres publiques, avec les subventions attachées."Horizeo est un projet d'envergure qui entend démontrer qu'il est possible d'accélérer la transition énergétique en France en proposant directement à des entreprises une énergie renouvelable compétitive", a souligné Paul-François Croisille, directeur général adjoint de Neoen, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 114 jours

Le bâtiment appelle à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable

Faute de concertation suffisamment aboutie, de nombreuses analyses contradictoires circulent et de sérieuses zones d'ombre demeurent. Une véritable concertation technique doit s'ouvrir, afin de parvenir à une RE2020 qui concilie lutte plus intense contre l'effet de serre, innovation, emplois et lieux de vie performants, agréables, sobres et économiquement accessibles.L'urgence climatique doit être traitée avec responsabilité, en évitant dogmatismes et expédients satisfaisants à court terme, mais inefficaces à long terme, alors que la règlementation française (la RT 2012) s'avère déjà la plus ambitieuse d'Europe et, sans doute, du monde.Avec le projet proposé, il est certain que l'usager continuera à subir un inconfort d'été ; il est certain que de nombreuses opérations se trouveront condamnées par le poids carbone des infrastructures imposées par les PLU et qu'il en ira de même pour les opérations prévues sur des terrains présentant des contraintes de sol ou d'orientation ; il est aussi certain qu'il en sera fini du recours au gaz ou aux radiateurs électriques performants, fut-ce en appoint.Au surplus, le modèle et les seuils retenus risquent d'exclure à court terme des filières entières de production, qu'il s'agisse de la construction en maçonnerie ou acier.Enfin, un surcoût important est certain, à telle enseigne que l'étude d'impact présentée par l'administration confirme l'absence de retour sur investissement sur cinquante ans. Comment les ménages et autres donneurs d'ordres pourront-ils supporter un tel choc ? Peut-on véritablement croire que la Puissance publique mettra en place un système d'accompagnement financier à la hauteur ?Alors que le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logements, les huit organisations ne peuvent souscrire à l'idée que tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes constitue une réponse envisageable à l'urgence climatique.Les huit organisations appellent à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable. Une RE2020 qui place l'occupant au cœur des enjeux et qui rencontre l'adhésion des acteurs parce qu'elle ne les contraint pas dans des modèles fermés. Une RE2020 qui ne freine pas la production neuve, n'exclut pas les ménages modestes, ne détruit pas les emplois, ne sacrifie pas les filières et ne décourage pas l'innovation du secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 114 jours

Pourquoi et comment choisir une perceuse visseuse performante ?

La perceuse visseuse est un appareil révolutionnaire, idéal pour les travaux de bricolage ou pour un usage professionnel. Ses fonctionnalités sont le perçage et le vissage. Face à l’offre en quantité excessive sur le marché, choisir une perceuse est un vrai dilemme. Difficile également de croire à toutes les bonnes publicités autour des avantages du produit. Apprenez davantage sur les nombreux atouts de cet outil, ainsi que les critères pour bien le choisir pour vos futurs chantiers. Les avantages d’une perceuse visseuse On choisit une perceuse visseuse à cause des fonctionnalités et des avantages qu’elle offre. Voici quelques points forts de l’appareil. Un outil multitâche La perceuse visseuse, comme l’indique son nom, permet de percer et de visser également. C’est donc un appareil tout-en-un pour réaliser de nombreux travaux de bricolage. Désormais, plus besoin de s’équiper lourdement d’un tournevis et d’un matériel de perçage. Avec ce nouvel outil, vous pouvez percer du bois, du béton, du verre ou du métal. Il vous permet aussi de fixer des appliques murales, remettre une vis en place ou réaliser différents travaux de dépannage. Un grand confort dans l’utilisation La conception de la perceuse visseuse permet de l’utiliser en toute commodité. La plupart des modèles offrent une bonne prise en main. Vous avez la possibilité de trouver celui qui vous permettra de réaliser vos travaux, quelles que soient les difficultés sur le chantier. Par ailleurs, cet appareil a une grande facilité d’adaptation. Son variateur de vitesse permet d’ajuster le fonctionnement selon l’usage ou le matériel sur lequel vous travaillez. Des fonctionnalités de sécurité En fonction du modèle que vous achetez, vous avez la possibilité d’avoir des perceuses visseuses sécuritaires. Elles sont munies d’un système de blocage de l’interrupteur et évitent de fatiguer l’index. Vous avez aussi en option un système d’éclairage pour une meilleure visibilité afin d’avoir plus de précisions. Un appareil facile à transporter Avec votre perceuse visseuse, vous avez moins de soucis lorsque vous devez sortir pour aller travailler. Rangé dans sa mallette, vous pouvez aller partout où vous voulez. Toutefois, ce sont les modèles sans fil qui offrent beaucoup plus cet avantage. Les différents types de perceuses Différents modèles de perceuses visseuses sont disponibles sur le marché. Pour faire un choix en toute connaissance de cause, apprenez davantage sur eux. Voici les deux grands types de perceuse visseuse. La perceuse visseuse filaire Le modèle filaire se branche sur secteur pour son alimentation. Encore appelée perceuse à percussion, elle est puissante, mais beaucoup moins facile à manier. Cet appareil s’utiliser pour les travaux de maison, en atelier ou sur un chantier par un professionnel. L’option percussion de cet outil permet de travailler sur certains matériaux durs, mais elle ne peut remplacer un perforateur. Par ailleurs, la perceuse filaire est beaucoup moins indiquée pour visser. La perceuse visseuse sans fil Le modèle sans fil est équipé d’une batterie pour son alimentation. Il s’utilise à l’intérieur et aussi dans les endroits qui sont sans électricité. Beaucoup moins puissante que son prédécesseur, cette perceuse est cependant plus pratique pour visser et dévisser. La perceuse sans fil est donc mieux indiquée pour travailler sur les matériaux tendres. Les modèles puissants sont disponibles, mais le prix est aussi conséquent. Les critères de choix d’une bonne perceuse visseuse Le choix d’une bonne perceuse visseuse repose aussi sur d’autres critères importants. La puissance de l’outil Avec une meilleure puissance, vous pouvez utiliser l’appareil pour travailler sur des matériaux durs. Lorsque vous voulez effectuer de grands travaux, vous serez plus à l’aise avec les appareils puissants. Nous savons déjà que les modèles filaires ont une force motrice plus importante. Toutefois, ne vous fiez pas uniquement à ce critère. L’usage que vous voulez faire de l’appareil est surtout ce que vous devez avoir en tête. L’ergonomie de l’appareil Pour une meilleure prise en main, la perceuse doit être légère et moins encombrante. Tenir compte uniquement de la puissance peut donc vous faire faire fausse route. Visez surtout l’équilibre entre ces deux critères. Moins lourd, l’outil offre plus de maniabilité et plus de précision. Par ailleurs, préférez les perceuses qui ont une poignée antidérapante, car elle favorise la prise en main. L’autonomie de la batterie Ce critère concerne beaucoup plus les modèles sans fil. En effet, si vous voulez choisir une perceuse visseuse sans fil, optez pour une batterie beaucoup plus résistante. Par ailleurs, jetez aussi un œil sur l’intensité et le voltage. Si l’option est la puissance du moteur, choisissez un voltage important. En outre, pour mesurer l’autonomie, regardez l’intensité. Pour conseil, choisissez une batterie lithium, car elle est légère, puissante et tient pendant un bon moment. Le couple de serrage Il représente la capacité de la perceuse à rapidement visser et dévisser. Il dépend de la force du moteur à faire tourner rapidement l’embout de vissage. Plus le couple de serrage est important et mieux vous pourrez rapidement réaliser les travaux de vissage et de dévissage.
Il y a 4 ans et 115 jours

Hager et Bubendorff lancent Link, la clé pour piloter facilement les volets roulants !

Hager et Bubendorff lancent Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. Alors que 75% des Français souhaitent intégrer la domotique dans leurs projets de rénovation[1], ce partenariat entre deux acteurs majeurs du marché de l’habitat s’inscrit dans la volonté de fournir aux installateurs des solutions connectées toujours plus accessibles pour leurs clients. [1] Observatoire Promotelec du confort dans l’habitat, “Les Français et la domotique”, novembre 2015 Branchée dans le contrôleur coviva, la clé USB Link de Hager et Bubendorff permet le pilotage des volets Bubendorff, de chez soi ou à distance. La clé Link offre une connexion et un paramétrage ultra-rapide d’une large sélection de volets roulants et motorisations radio Bubendorff, en neuf comme en rénovation. La clé permet d’ajouter jusqu’à 30 volets radio Bubendorff dans l’application Hager coviva et de les intégrer dans des scénarios du quotidien, appelés covigrams. Ceux-ci permettent d’automatiser l’ouverture et la fermeture des volets, ainsi que d’interagir avec d’autres éléments de l’écosystème Hager : éclairage, chauffage, système d’alarme… Installation simple et rapide Pour l’installateur, connecter ses volets Bubendorff n’a jamais été aussi rapide. Dix minutes suffisent pour connecter la clé Link dans l’un des deux ports USB de la box coviva afin de reconnaître les volets et de les paramétrer en se laissant guider dans l’application Hager coviva. L’utilisateur a ensuite tout le loisir de piloter ses produits et de personnaliser ses scénarios selon ses besoins et son mode de vie. Un partenariat, des valeurs communes Toutes deux entreprises familiales, le partenariat entre Hager et Bubendorff s’est formé très naturellement autour de valeurs incarnées et partagées par les deux marques, telles que la performance de produits de haute qualité pour la satisfaction de leurs clients. Cette volonté est renforcée par leur démarche commune visant à élargir la compatibilité de leurs produits pour y intégrer de nouvelles fonctionnalités. L’éco-système coviva enrichi Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système qui intègre désormais une multitude de fonctionnalités : pilotage de l’éclairage, des volets et stores, des systèmes d’alarmes, de détecteurs de fumée, du chauffage. Depuis 2018, coviva est également compatible avec les assistants vocaux de Google et Amazon. Sa technologie radio sans fil permet une mise en œuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation.  Comptabilité avec les volets Bubendorff La solution Link est compatible avec la plupart des volets roulants en motorisation radio Bubendorff, fabriqués depuis 2011. La solution est également compatible avec la motorisation de volets battants de la gamme « Solar by Bubendorff ». Retrouvez la compatibilité de votre installation sur www.bubendorff.com. Disponibilité La clé Link est désormais disponible via le réseau d’installateurs et revendeurs professionnels Bubendorff ou via les distributeurs de matériel électrique de la marque Hager. Données techniques Link Ref. Bubendorff                                                      229038 Ref. Hager :                                                             TKH190B Tension de fonctionnement :                                  5V Consommation énergétique :                                 Tx < 25mA, Rx < 5mA Interface USB :                                                        USB 2.0 Température de fonctionnement :                          -10 °C ➞ + 55 °C Classe de protection :                                             IP20 Fréquence :                                                             868,95MHz Emission de puissance :                                         2,5 mW Portée de transmission radio (champ libre) :         100 m Dimensions (LxHxl) :                                               64,8 x 20,5 x 6,6 mm Catégorie de récepteur :                                         2
Il y a 4 ans et 115 jours

Le crowdfunding immobilier a battu tous les records en 2020 selon son baromètre annuel

« L'année 2020 s'est déroulée dans un contexte inédit, mais le crowdfunding immobilier a poursuivi sa croissance malgré les difficultés que le secteur immobilier a pu rencontrer pendant la crise. Cette forte progression démontre le poids grandissant que prend le crowdfunding immobilier dans l'univers des placements. Dans ce contexte singulier, les promoteurs et marchands de biens se sont encore plus tournés vers ce levier de croissance pour financer rapidement leurs opérations, et les épargnants ont plus que jamais été au rendez-vous.C'est un produit qui a déjà fait ses preuves auprès des investisseurs avertis, et qui séduit désormais aussi les épargnants désireux de diversifier leur épargne, et ce dès 1000 euros. Avec un rendement moyen de 9,3%/an et une durée moyenne de placement de 21 mois, ce produit d'investissement, aux fondamentaux solides, fait son chemin dans le portefeuille de placements des Français comme en atteste le milliard d'euros collecté depuis 2016. La démocratisation du crowdfunding immobilier va d'évidence se poursuivre et l'ensemble des acteurs ont un rôle à jouer pour en faire la pédagogie et apporter les bons conseils aux investisseurs moins avertis qui manifestent un intérêt croissant. Il répond aussi à un besoin actuel lié à la crise : soutenir financièrement les TPE/PME françaises de l'immobilier pour les aider à mener à bien leurs projets. »Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de FundimmoNiveau de collecte et de remboursements recordsAvec 505 millions d'euros collectés en 2020 contre 373 en 2019, le marché bat un nouveau record en pleine crise économique, témoignant de la force du modèle et de la résilience du marché immobilier.Le nombre de projets financés est en progression (+8%) : 589 opérations en 2020 contre 544 en 2019, une hausse modérée en raison des confinements qui ont limité le nombre de projets. La hausse globale de la collecte s'explique donc par des projets financés plus importants que l'an passé.Les montants remboursés sont également en forte croissance : 180 millions d'euros en 2020 contre 103 millions d'euros en 2019, soit une hausse de 75%, directement liée à la croissance annuelle de la collecte des années précédentes, et qui témoigne de la solidité du modèle du crowdfunding immobilier, les confinements n'ayant pas impacté de manière significative la vitesse des remboursements sur l'année 2020. Le nombre de projets remboursés est également en hausse, passant de 220 en 2019 à 310 en 2020 (+41%).Un produit qui séduit et qui se démocratiseLe montant moyen financé par projet en 2020 s'élève à 857 329 euros, contre 689 150 euros en 2019. En hausse de 24%, il traduit la capacité des plateformes à attirer de gros opérateurs et d'importants volumes d'investisseurs par projet. Cette progression est également naturellement liée au rehaussement par la loi Pacte du plafond de collecte à 8 millions d'euros (contre 2,5 millions avant octobre 2019), permettant ainsi de financer des opérations immobilières de plus grande envergure. En 2020, environ 15% de la collecte a concerné des projets compris entre 5 et 8 millions d'euros, preuve que la loi Pacte a eu un véritable impact sur l'envolée des montants collectés. La durée de placement quant à elle réduit légèrement : 21 mois contre 21,3 mois en 2019.En se basant sur les données publiées par 28 plateformes*, représentant 100% de la collecte totale du marché, on voit que les investisseurs sont en moyenne 177 par collecte, avec un placement moyen de 4711 euros (contre 1581 euros en 2019, soit près de 198% d'augmentation).Le taux de rendement moyen quant à lui est en légère hausse, à 9,3% par an (9,2% par an en 2019).*sur les 32 plateformes étudiées, 4 d'entre elles n'ont pas collecté d'argent et ont uniquement procédé à des remboursementsL'Ile-de-France caracole en tête et le marché reste orienté vers le résidentielDans la continuité de l'année 2019, l'Ile-de-France reste en tête avec une collecte de 225 millions d'euros (+43% par rapport à l'an dernier), devant Auvergne-Rhône-Alpes (63 millions d'euros, +2%) et la Région Sud (59 millions d'euros) qui monte en puissance (+49% par rapport à 2019) en raison de la croissance de la collecte pour des opérations de marchands de biens de luxe, notamment sur la Côte d'Azur. A elles seules, ces 3 régions concentrent près de 70% de la collecte totale du marché en 2020. A noter également les fortes progressions de la collecte en Normandie (+377%), Bretagne (+282%), dans les hauts-de-France (+245%) ou encore dans les Pays de la Loire (+139%).Parmi les 578 projets financés en 2020, 79,2% étaient des projets orientés sur le résidentiel, loin devant les commerces (6%), les bureaux (4,8%), les résidences séniors & étudiantes (4,7%), les hôtels (2,2%), les projets d'aménagement (1,8%), et la logistique (1,3%). La baisse de la part des commerces et bureaux (moins de 11% en 2020 contre 13% en 2019) s'explique par l'impact de la crise sur la construction de nouveaux bâtiments de ce type. On note aussi la montée en puissance d'une nouvelle typologie d'actifs : les résidences seniors et étudiantes, qui étaient quasi négligeables en 2019 et qui représentent près de 5% des projets en 2020, soit 23,6 millions d'euros de collecte.La part des opérations de marchands de biens (achat de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value) est elle aussi en hausse : elles représentent 38,8% de la collecte en 2020, contre 23% en 2019, soit une augmentation de près de 69%. Cette diversification explique en partie la montée en puissance du résidentiel.En 2020, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 43 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d'affaires d'environ 11 millions d'euros.Un levier business crucial pour les professionnels de l'immobilierSolution de financement innovante pour les professionnels de l'immobilier, le crowdfunding immobilier leur permet de gagner du temps pour lever des fonds propres et de faire appel à des investisseurs sans les faire entrer au capital de la société de projet, en gardant leur indépendance. Cette souplesse de trésorerie a séduit 321 opérateurs depuis la création du marché.Le marché du financement participatif de l'immobilier reste à date concentré autour de 5 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent deux tiers du marché global en termes de collecte, et qui ont chacune levé en moyenne 66,7 millions d'euros en 2020. Suivent ensuite 5 plateformes de taille intermédiaire qui représentent 23,1% de parts de marché (chacune ayant levé 23,3 millions d'euros en moyenne), puis 10 plateformes qui représentent 9,5% de part de marché (avec 4,8 millions d'euros levés en moyenne), et 7 plateformes qui représentent 1% de part de marché (697 000 euros levés). Les plateformes restantes n'ont pas fait de collecte en 2020, uniquement des remboursements.Baisse légère des retards de remboursements, stabilité du taux de défaut moyenLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en baisse de 1,91 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 1,99 points sur les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 4,4% et 5,7%. Dans le détail, seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents. Cette baisse peut s'expliquer mécaniquement par les montants remboursés qui suivent leurs cours et la croissance de la collecte.Le taux de défaut moyen, calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,16%, en baisse de 0,41 points : aucun nouveau cas de défaut n'a été avéré en 2020. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Principaux indicateurs :505 millions d'euros collectés (+35% par rapport à 2019), pour financer 589 projets (+8%).180 millions d'euros remboursés (+75% par rapport à 2019), représentant 310 projets (+41%).Un montant moyen par collecte de 857 329 euros (+24% par rapport à 2019).Une durée moyenne de placement de 21 mois (contre 21,3 mois en 2019).Un rendement annuel moyen de 9,3%.La région Ile-de-France concentre la plus forte collecte, qui a atteint 225 millions d'euros en 2020. L'Auvergne-Rhône-Alpes (63,2 millions d'euros) et la Région Sud (58,7 millions d'euros) complètent le podium, comme en 2019, avec une montée en puissance de la Région Sud (+49%).Un taux de retard moyen inférieur à 6 mois de 4,4% (-1,91 points par rapport à 2019), et un taux de retard moyen supérieur à 6 mois de 5,7% (-1,99 points). Le taux de défaut de remboursement est de 0,16% (-0,41 point).
Il y a 4 ans et 120 jours

L'artisanat du bâtiment accélère sa croissance au 4e trimestre 2020 malgré une année chaotique

Elle a connu une hausse de +0,5% au 3e trimestre, puis s'est accélérée au 4e trimestre avec une croissance de 1,5% portée notamment par la hausse de l'activité dans le neuf (+2,5% contre +1% au 3e trimestre) et un accroissement plus mesuré dans l'entretien amélioration (+1% contre 0% au 3e trimestre). Cette fin d'année a bénéficié d'un effet de rattrapage par rapport au 1er confinement. Selon l'enquête menée par la CAPEB auprès de ses adhérents, 99% des entreprises déclarent ainsi avoir pu poursuivre leur activité durant le deuxième confinement.Cette fin d'année a bénéficié d'un effet rattrapage suite au premier confinement : 74% des entreprises déclarent une capacité de production supérieur à 90%. Cette dynamique permet ainsi de limiter la forte baisse de la croissance attendue sur l'année 2020 avec un résultat négatif de -9%, un chiffre relativement moins important que ne laissait présager la situation au 1er semestre.Cependant, la CAPEB reste prudente et alerte sur la baisse des autorisations et des permis de construire à prévoir dans les prochains mois qui va fortement peser sur cette dynamique de croissance. En effet, de décembre 2019 à novembre 2020, 389.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 51.500 de moins qu'au cours des 12 mois précédents.« L'année 2020 a été complexe pour nos entreprises, tout particulièrement au premier semestre. Nos entreprises ont su s'organiser. Après une année 2020 chaotique et une activité soutenue par les mesures gouvernementales, l'environnement économique en 2021 reste à ce stade encore incertain, notamment en ce qui concerne le pouvoir d'achat et la confiance des ménages. Toutefois, l'épargne accumulée des ménages ces derniers mois et la mise en place du Plan France Relance sont autant d'éléments qui pourraient soutenir l'économie du bâtiment dans les trimestres à venir. L'année 2021 pourrait alors enregistrer une croissance entre 5 et 6% dans l'artisanat du bâtiment qui s'apparenterait plus à un rebond technique qu'à une véritable reprise de l'économie d'avant la crise du Covid. Si l'activité s'est accélérée au 2ème semestre, en revanche les marges des entreprises restent contraintes. Ainsi la situation financière des entreprises reste fragile. Il est important dans ce contexte exceptionnel que les organismes de cotation et de crédit adaptent leurs critères d'appréciation. ».Jean-Christophe Repon, Président de la Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB)Conjoncture au 4e trimestre 2020 : un rebond de croissance portée par la poursuite de l'activité des entreprises artisanales du BTP lors du 2e confinementLe volume d'activité des entreprises artisanales du bâtiment progresse de 1,5% au 4e trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente) et ce, quelle que soit leur taille. L'activité d'entretien-rénovation enregistre quant à elle une croissance mesurée de 1% au 4e trimestre 2020. Dans le même temps, les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement enregistrent une légère hausse de 0,5% égale au trimestre de l'année précédente. Une hausse de la croissance ce trimestre qui ne doit pas occulter un recul marqué de -9,3% pour les entreprises de moins de 10 salariés et de -7,7% pour les entreprises de 10 à 20 salariés sur l'année 2020.Un rebond particulièrement observable dans le neuf et l'entretien-rénovationLe neuf – L'activité de la construction neuve s'accélère avec une croissance de 2,5% (contre 1% au trimestre précédent) notamment soutenue par les très bonnes conditions météorologiques et la possibilité pour la grande majorité des entreprises artisanales du bâtiment de poursuivre leur activité lors du 2e confinement. A noter cependant, une baisse des autorisations et des permis de construire : au 4e trimestre, 51.500 logements en moins ont été autorisés par rapport au même trimestre de l'année 2019. Dans le même temps, 381.900 logements ont été mis en chantier, soit 24.200 de moins (-6,0%) que durant les 12 mois précédents.L'ancien – l'activité en entretien rénovation est également plus dynamique avec une croissance de 1% ce trimestre (contre 0% au trimestre précédent). Les travaux d'Amélioration de Performance Énergétique du Logement progressent eux de 0,5%, comme au trimestre précédent. L'évolution des travaux d'amélioration de la performance énergétique des logements devrait être renforcée avec la montée en puissance de Ma Prim' Rénov : l'ANAH avait reçu 170.000 demandes à la mi-décembre.Évolution dans les métiersSur les 3 derniers mois de l'année 2020, le volume d'activité progresse pour l'ensemble des corps de métiers. La maçonnerie enregistre la croissance la plus dynamique avec 2,5%, tandis que la hausse atteint 1,5% pour la couverture-plomberie-chauffage et la menuiserie-serrurerie. Avec des croissances de 1% et de 0,5%, l'électricité et l'aménagement-décoration-plâtrerie enregistrent une croissance plus modérée.Une situation de trésorerie fragile26% des professionnels font état d'une détérioration de leur trésorerie au 4e trimestre (contre 18% au même trimestre de l'année précédente) et seulement 4% une amélioration. Dans le même temps, 43% d'entre-elles déclarent un besoin supérieur à 10.000 euros. En janvier 2021, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces entreprises diminuent pour atteindre 16.000€ (contre 23.000 € un an auparavant). Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points, en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Les montants de crédits accordésPour l'achat d'un logement neuf, ils reculent de 10,5% au 2ème trimestre 2020 (par rapport au même trimestre de l'année précédente). Il en est de même pour les crédits destinés à l'acquisition de logements anciens qui enregistrent une baisse de 4,5% et les crédits destinés aux travaux d'entretien-amélioration avec une baisse de 0,8% par rapport au même trimestre de l'année précédente. Globalement, les montants de crédits accordés ont baissé de 5,6% par rapport au 2ème trimestre 2019. Le taux d'épargne s'infléchit et s'établit à 16,5% après 26,5% au deuxième trimestre 2020 en raison du rebond de la consommation des ménages. Il demeure toutefois au-dessus du niveau moyen de 2019 (14,9%).Emploi et Intentions d'embaucheL'emploi salarié du BTP s'établit à 1.446.800 au 3T2020, soit +2,1% sur un an (contre -0,8% dans l'ensemble de secteurs). Cela représente 30.200 emplois supplémentaires dans le BTP. L'emploi salarié progresse de 1,3% au 3ème trimestre 2020 après 0,2% au trimestre précédent. Au 3ème trimestre 2020, le secteur de la construction totalise plus de 133.600 emplois intérimaires (emplois équivalents temps plein) contre 150.000 au même trimestre de l'année précédente. L'intérim est donc en baisse (-11%) par rapport au même trimestre de l'année précédente. Le taux de recours à l'intérim (poids de l'emploi intérimaire dans l'emploi salarié total) s'établit à 8,5%.Dynamique territoriale (activité en régions) Au 4e trimestre, les évolutions régionales s'avèrent plus différenciées qu'au trimestre précédent. Ainsi, la reprise s'accélère sur la façade Atlantique de même que dans le Centre-Val de Loire, le Grand Est et les Hauts-de-France. Les régions PACA et Occitanie finissent également l'année en forte hausse (+4% chacune). En revanche, l'activité reste en baisse en Île-de-France (-0,5%) tandis qu'elle se dégrade en Auvergne-Rhône-Alpes (-1%) et en Bourgogne-Franche-Comté (-1,5%).Conjoncture pour l'Artisanat du Bâtiment – en complément :Les carnets de commande : représentent 72 jours de travail soit 3 jours de moins qu'un an auparavant, mais au même niveau qu'au trimestre précédent.La baisse des marges : Au 4e trimestre 2020, 20% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 2% une hausse, soit un solde d'opinions de -18 points et en baisse par rapport au trimestre précédent (-13 points).Baisse des investissements : 15% des entreprises artisanales ont investi au cours des 6 derniers mois (contre 24% il y a un an) et 7% des entreprises artisanales envisagent d'investir au cours des 6 prochains mois (contre 18% il y a un an)Part de l'activité pour les collectivités territoriales : 15% des entreprises ont réalisé des travaux pour le compte des collectivités locales au 4e trimestre 2020. A noter cependant que 23% des entreprises enregistrent une baisse de leur chiffre d'affaires réalisé pour le compte des collectivités locales tandis que 4% constatent une hausse (soit un solde de –19 points contre –7,8 en moyenne sur longue période).
Il y a 4 ans et 120 jours

Les lauréats du 14ème Prix DuPont Safety & Sustainability sont désormais connus

Le 25 février 2021 se déroulera une table ronde en ligne sur la thématique : Comment l’excellence opérationnelle, la sécurité et le développement durable contribuent-ils à la résilience ? Genève, le 20 Janvier 2021 &#8211; DuPont Sustainable Solutions (DSS) dévoile les lauréats du 14ème prix DuPont Safety & Sustainability, récompensés pour les évolutions innovantes mises en place dans leurs organisations. Les lauréats des trois prix internationaux sont : Engro Fertilizers Limited, Pakistan – Prix International de l’Innovation en matière de Sécurité Municipalité de Dubaï, UAE &#8211; Prix International du Développement Durable SMRT Trains Ltd, Singapore &#8211; Prix International de l’Excellence Opérationnelle Les lauréats se retrouveront autour d’une table ronde en ligne pour discuter de la capacité à soutenir les améliorations opérationnelles et consolider les performances, même pendant des périodes difficiles. Animée par Davide Vassallo, Président de DSS, la table ronde sera diffusée le jeudi 25 Février 2021 et sera suivie d’une cession de questions/réponses. Parmi les participants : Mme Akanksha Sharma, Responsable Monde – Impact Social & Développement Durable, Sterlite Technologies Ltd. Alvin Kek Yoke Boon, Vice-Président Senior – Opérations Ferroviaires, SMRT Trains D’autres participants seront annoncés ultérieurement. « Je voudrais inviter chacun à trouver l’inspiration dans les changements entrepris par les entreprises lauréates, au-delà de leurs initiatives et de leurs programmes spécifiques » déclare Mieke Jacobs, président du Jury. « Les facteurs du succès sont transposables au-delà des régions, des secteurs, de la taille et de la maturité des entreprises. Ils commencent par impliquer toutes les parties prenantes de la société, à tous les niveaux, dans l’urgence du changement. Cela nécessite de la résilience et de la persévérance durant les périodes difficiles. Cela exige du courage et de la créativité pour développer des solutions innovantes et de nouvelles technologies en gardant une longueur d’avance. Lors de nos tables rondes, nous interrogerons les lauréats sur les enseignements tirés de leurs expériences. » Les projets des lauréats  Engro Fertilizers a entrepris une réorganisation complète de ses systèmes de sécurité, a investi dans le numérique et a redoublé d’efforts pour développer de nouvelles compétences. En phase avec cette philosophie, qui est d’avoir une politique RSE internationale, la stratégie mondiale « Safety Beyond Excellence » a conduit à une réduction de 87% du taux total d&rsquo;accidents enregistrés, mais également à une forte réduction des perturbations opérationnelles et des incidents liés à un incendie/dégagement de fumée ainsi qu’une amélioration significative de la gestion des risques. Cela se traduit par un plus fort engagement des employés. Finalement, toutes ces actions ont contribué à augmenter les bénéfices de l’entreprise. La ville de Dubaï a été récompensée pour le développement d’un programme durable de recyclage des eaux usées, ce qui lui a permis de doubler sa capacité quotidienne de traitement tout en utilisant environ 25% de puissance en moins pour fonctionner. La commune a réalisé des progrès significatifs en appliquant un des principes de l’économie circulaire. Les équipes de SMRT, un opérateur actif de la mobilité à Singapour, ont fait preuve d’initiatives innovantes en mettant en place un chariot laser pour contrôler de façon plus sûre et plus efficace l&rsquo;usure des rails et des voies, un système automatisé de gestion des accès aux voies et un système d’exploitation et de maintenance mobile. A elles seules, ces améliorations, qui s’inscrivent dans la philosophie d’amélioration continue Kaizen, ont permis une réduction substantielle des heures de travail équivalant à une économie annuelle de 10,3 millions de dollars singapouriens, tout en améliorant la sécurité, le bien-être, l’efficacité et la qualité. Pour plus d’infos sur les lauréats internationaux et régionaux, rendez-vous sur https://www.consultdss.com/dssa-awards/ La table-ronde en ligne suivie de la cession questions/réponses se déroulera le 25 Février 2021 à 11h00 (fuseau horaire Europe Centrale : http://bit.ly/dssa-14). Les prix DuPont Safety & Sustainability Depuis leur lancement en 2002, les prix DuPont Safety & Sustainability ont mis à l’honneur des organisations qui innovent, se mobilisent et s’engagent sur la sécurité, le développement durable et l’excellence opérationnelle. Ils valorisent les initiatives qui sauvent des vies, protègent l’environnement et engagent une culture d’apprentissage et d’amélioration continue. Liste complète des Lauréats de la 14ème édition du Prix DuPont Safety & Sustainability Prix ​​de l&rsquo;Excellence Opérationnelle Gagnant mondial : SMRT Trains Ltd, Singapour Prix ​​de l&rsquo;Innovation en matière de sécurité Gagnant mondial : Engro Fertilizers Limited, Pakistan Gagnant régional EMEA : Saudi Aramco &#8211; Power Systems, Arabie Saoudite Vainqueur régional Amériques : Usina Coruripe, Brésil Mention honorable : Neste Corporation, Finlande Prix ​​du Développement Durable Gagnant mondial : Municipalité de Dubaï, EAU Gagnant régional Asie-Pacifique : Sterlite Technologies Ltd., Inde, Italie, Chine et Brésil Gagnant régional Amériques : Grupo Boticário, Brésil Mention honorable : Groupe KCB, Afrique de l&rsquo;Est Pour plus d’informations sur les réalisations des lauréats 2020, merci de nous contacter. https://www.consultdss.fr/about-us/
Il y a 4 ans et 125 jours

Nord Drivesystems : Une stratégie numérique moderne

Le nouveau site de Nord Drivesystems, contemporain, intuitif et conviviale. [©Nord Drivesystems] Pour l’année 2021, le groupe Nord Drivesystems s’envole vers la digitalisation. Et offre à son site Internet une remise en beauté. Le fabricant d’entraînements mécaniques et électroniques mise sur une page contemporaine, intuitive et conviviale. Facilitant aussi l’accessibilité et l’utilisation à ses clients. Une boutique en ligne a été intégrée, l’utilisateur peut désormais profiter des offres et services de la marque. Une plate-forme numérique et moderne En plus de l’amélioration de son site Internet, Nord Drivesystems a unifié son image de marque. En effet, le portail client myNORD, la boutique en ligne, ainsi que son site web ont été fusionnés en une même unité visuelle et fonctionnelle. Ce relooking fait partie intégrante du programme “Nord Connect 360”, visant à rendre plus efficace pour les clients le processus de commande et celui de numérisation. Hormis de permettre un transfert d’informations fluide, ce concept propose une connexion numérique entre acteurs internes et externes. Par ailleurs, les réseaux et la connexion à l’environnement de l’Industrie 4.0 sont d’importants sujets pour le secteur. Ainsi, avec ses solutions d’entraînement, le groupe Nord Drivesystems propose les éléments nécessaires à la création d’usines intelligentes. Une très large gamme Principal fournisseur mondial de solutions complètes d’entraînement depuis plus de 50 ans, Nord Drivesystems s’efforce de proposer des produits innovants, répondant aux attentes de ses clients. Ainsi, sa gamme s’étend des entraînements standards aux solutions personnalisées. Présent dans 98 pays à travers le monde, l’industriel fabrique aussi des moteurs électriques d’une puissance de 120 W à 1 000 kW. De plus, les variateurs de la marque comportent aussi bien des modèles classiques à installation en armoire électrique. Que des exemplaires pour systèmes d’entraînement intégrés au moteur pour des solutions avec automatisation décentralisée.
Il y a 4 ans et 126 jours

Une nouvelle stratégie et image de marque pour Unilin Insulation

Unilin Insulation, acteur majeur de l&rsquo;isolation &agrave; base de polyur&eacute;thane, revoit sa strat&eacute;gie de marque et de communication pour faciliter la vie de ses clients et monter en puissance sur ses march&eacute;s.
Il y a 4 ans et 126 jours

Malgré leur montée en puissance, les ENR électriques sont encore loin du compte

RENOUVELABLES. Les énergies renouvelables d'origine électrique ont continué à se développer dans l'Hexagone en 2020, d'après le baromètre qui leur est consacré. La production "verte" de quatre régions a également permis de couvrir 35% de leur consommation locale. Mais si elles veulent atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie, les ENR ont encore du pain sur la planche.
Il y a 4 ans et 126 jours

Les solutions Owatrol® pour la rénovation des bois

Le bois d’extérieur est un matériau vivant qui requiert des soins dédiés comme pour la peau d’un visage. Laissé aux intempéries, UV et passages répétés, il vieillit, perd de son éclat, se tache, voire s’abîme. Mais avant toute décision de rénovation il faut diagnostiquer l’état du bois pour faire les choix adaptés.Dégriser : l'option NET-TROL®Le bois ne comporte pas de protection antérieure. Il a subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution » et présente un aspect gris sale en surface. Il faut dégriser pour raviver, nettoyer et redonner son aspect d’origine au bois. NET-TROL®, apporte son expertise et dégrise quasi en instantané !Comment :La formule en gel facilite l’application du NET-TROL® et son pouvoir ultra mouillant lui permet d’agir en 15 minutes.Application / 15 minutes d’action / Rinçage à l’eau / Support impeccable comme à l’origine.Déshuiler : l'option AQUANETT®Le bois est noirci, encrassé suite à l’application d’huiles diverses souvent mal adaptées (lin, ...). La salissure est incrustée dans les fibres, seule l’action d’un déshuileur va réussir à venir à bout des huiles colmatées avec les UV qui obstruent les pores du bois. La puissance d’AQUANETT® remplit le contrat immédiatement.Comment : Grâce à sa formule en gel et son fort pouvoir mouillant, AQUANETT® pénètre dans le bois pour dissoudre toutes les graisses agglomérées dans le bois.Application / 5-20 minutes d’action / Rinçage à l’eau / Neutralisation / Le support est neufDécaper : l'option DILUNETT® ou PREPDECK®Le bois est lasuré ou peint, avant de pouvoir travailler dessus, il doit d’abord être débarrassé de tous ses résidus filmogènes. Pour cela, il faut impérativement décaper et l’action du DILUNETT® va permettre d’éliminer toutes les anciennes couches de peintures, lasures ou vernis et d’enlever les taches récalcitrantes.Comment :La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d’éliminer jusqu’à 8 couches de peintures.Le plus : Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l’élimination totale des différents revêtements.L’option PREPDECK® 2 en 1 :Pur il décape et en version diluée, il permet au bois d’un support neuf de se déglacer en quelques heures, autorisant ainsi l’application rapide d’une protection sur un bois neuf au lieu d’attendre 3/4 mois que les pores se soient ouverts.NB :Après l’AQUANETT®, le DILUNETT® ou le PREPDECK®, il est impératif de stabiliser le support avec une application de NET-TROL® après le rinçage avant l’application de la finition.Mise en situation : remise en état d’une terrasse en ipé5 ans après sa pose, une terrasse en ipé commence à montrer des signes de vieillissement sous l’effet des UV et des intempéries. Plusieurs entretiens au saturateur ont déjà été effectués mais au bout de 6 ans, on ne peut plus « faire une maintenance simple » il faut tout nettoyer et appliquer à nouveau une protection.Cette terrasse fait toute l’originalité de la maison et la rénovation est délicate si l’on veut préserver la piscine et redonner son éclat au bois. Après l’analyse du bois, il a été décidé de déshuiler tout l’ensemble, l’AQUANETT® présentant l’avantage de ne pas avoir d’incidence sur l’eau de la piscine.AQUANETT® a donc été appliqué sur tout l’ensemble en prenant soin de protéger les murs. Après le rinçage, la passe obligatoire de NET-TROL® a neutralisé le support et permis de d’éclaircir le bois pour retrouver l’éclat d’origine. La terrasse est prête à recevoir sa protection finale.
Il y a 4 ans et 127 jours

Les logements "pires passoires thermiques" ne pourront plus être loués dès 2023

Ce texte introduit le critère de "performance énergétique dans la définition de logement décent", et stipule que pour être loué, tout logement doit avoir "une consommation d'énergie inférieure à 450 kilowattheures d'énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an"."Nous assumons de démarrer doucement avec un seuil assez peu contraignant pour s'attaquer en priorité aux pires passoires thermiques et laisser un peu de visibilité aux autres propriétaires. Le but est de monter en puissance par la suite", explique la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, dans un entretien mercredi dans le Figaro.Elle indique que des contrôles vont être menés concernant "les annonces d'agences immobilières, qui ne pourront pas proposer la location de telles passoires thermiques".Seuls 90.000 logements, soit 4% des "passoires thermiques", dont 70.000 logements privés, sont concernés par cette échéance, alors que le projet de loi issu de la Convention citoyenne sur le climat prévoit la fin de la location de 4,8 millions de logements énergivores d'ici à 2028.Par la suite, les seuils qui s'appliqueront pour exclure les logements trop énergivores du marché locatif "seront exprimés en s'appuyant sur les étiquettes du futur Diagnostic de Performance Energétique (DPE), actuellement en cours de redéfinition", précise un communiqué du ministère de la Transition écologique."Ainsi, au 1er janvier 2028, l'ensemble des passoires énergétiques désignées par les étiquettes F et G du futur DPE seront exclues du marché locatif".Avec 18% des émissions en 2017 (28% en ajoutant la production de la chaleur et de l'électricité) en France, le bâtiment est un des quatre grands secteurs émetteurs de gaz à effet de serre, avec les transports, l'agriculture et l'industrie.
Il y a 4 ans et 128 jours

Les énergies renouvelables en France : entre objectifs et réalité

"La crise sanitaire n'explique pas à elle seule ces ralentissements", souligne le baromètre 2020 produit par l'observatoire spécialisé indépendant Observ'ER avec la Fédération des collectivités concédantes et régies (FNCCR) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe).L'an passé (octobre 2019-septembre 2020), la production renouvelable a couvert plus de 27% de la consommation électrique, en phase avec les objectifs nationaux (grâce aussi à une moindre demande liée au ralentissement industriel et à des températures clémentes). Ce fut même plus de 35% en Auvergne Rhône-Alpes, Occitanie, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur.A fin septembre, la puissance renouvelable raccordée était de 56,5 gigawatts (GW), dont une petite moitié issue de l'hydro-électricité (2,8 GW installés en un an, après 2,7 GW l'année précédente). Quelque 89% de cette puissance nouvellement installée vient de l'éolien terrestre et du photovoltaïque.Par rapport à la feuille de route énergétique de la France à horizon 2028, le baromètre relève toutefois "un risque de décrochage pour la filière éolienne" (avec une projection à 31 GW, au rythme actuel, au lieu de 33-34 prévus).Et c'est "un décrochage déjà réel pour la filière photovoltaïque" (18 GW anticipés au lieu d'une fourchette de 35-44 GW): il faudrait que le secteur multiplie par plus de trois sa dynamique et raccorde 3 GW par an, "une gageure au vu des performances passées"."Le rythme n'est pas suffisant pour atteindre les objectifs, et c'est un retard difficile à rattraper", souligne Frédéric Tuillé, responsable des études chez Observ'ER.Les projets portés par des acteurs locaux (professionnels, collectivités, syndicats d'énergie...) se développent, et les régions disposent pratiquement toutes d'orientations via leur schéma d'aménagement du territoire. "Mais se pose la question des moyens dont elles disposent pour l'atteindre", ajoute le rapport.Les auteurs soulignent l'enjeu de l'acceptation locale des projets. A cette fin, l'Ademe a annoncé le déploiement de conseillers territoriaux.Vincent Jacques Le Seigneur, président d'Observ'ER, a notamment déploré que "les pouvoirs publics soufflent en permanence le chaud et le froid, au niveau de l'Etat comme de collectivités", sur l'éolien, disant ses craintes de voir les contestations s'étendre au photovoltaïque "s'il n'y a pas plus de
Il y a 4 ans et 132 jours

Nouvelle gamme de pompes à chaleur Heiwa Pro Essentiel ZEN dédiée au petit tertiaire

Ces performances énergétiques sont dans la continuité des valeurs durables et responsables que défend la marque pour ses pompes à chaleur. Pour accompagner au mieux les professionnels dans leur quotidien, la gamme HEIWA PRO se compose de 3 solutions de chauffage et climatisation à hautes performances avec une fiabilité maximale et qui s’adaptent à toutes les configurations d’espaces.Une gamme entièrement modulable et facile à poser pour l’installateurPour une plus grande flexibilité, les 3 produits de la gamme sont entièrement modulables et compatibles avec une seule gamme de groupes extérieurs. HEIWA a engagé une véritable démarche de recherche et développement sur leur design pour les rendre extrêmement compacts et faciles à transporter pour les installateurs.Pour une plus grande facilité d’installation, la configuration des produits est adaptée aux grandes surfaces, avec une longueur de liaison entre l’unité extérieure et l’unité intérieure qui peut aller jusqu’à 75 m, une longueur idéale pour les petits commerces par exemple.Des pompes à chaleur adaptées aux spécificités du petit tertiaireAfin de répondre aux spécificités du petit tertiaire qui nécessitent des produits endurants et fiables, les solutions de la gamme HEIWA Pro Essentiel ZEN sont toutes équipées du compresseur le plus avancé de la gamme HEIWA. Elles proposent un excellent indice SEER jusqu’à 6,8 en mode froid et peuvent être utilisées sur une large plage de fonctionnement : entre -20° et +48° en mode froid et de -20° à +24° en mode chaud. Très modulable selon la configuration des bureaux ou des locaux commerciaux, la nouvelle gamme HEIWA PRO permet de connecter jusqu’à 4 unités intérieures de la même puissance à l’unité extérieure. Pour simplifier la gestion des locaux commerciaux ou des espaces de travail au quotidien, il est possible de relier l’ensemble des unités intérieures à une gestion technique du bâtiment centralisée type GTB (gestion technique des bâtiments) grâce à la passerelle Modbus en option.Grâce à un contrôleur central à écran tactile associé à la passerelle Modbus il est possible de contrôler entièrement jusqu’à 36 unités intérieures de la gamme Heiwa PRO. Les produits ont été pensés pour faciliter leur maintenance. Les gainables et les cassettes sont équipés d’une pompe de relevage pour faciliter l’évacuation des condensats et permettre plus de souplesse lors de l’installation. Sa hauteur de refoulement jusqu’à 1m assure une grande flexibilité de positionnement dans l’installation. Les codes erreurs s’affichent aussi directement sur l’écran de l’unité intérieure (ou sur la télécommande filaire) ce qui facilite les interventions des installateurs.Du confort pour les usagers des bureaux et des locaux commerciauxLa gamme HEIWA Pro offre de multiples options pour le confort des usagés, parfaitement adaptées aux espaces collectifs. Les produits HEIWA peuvent être 100% connectés pour faciliter leur usage. Autonomes, ils disposent d’un mode automatique qui génère la bascule entre le mode chaud et le mode froid selon la température de consigne (entre 16° et 30°). Les usagers ou les vendeurs, par exemple, n’ont donc plus à se soucier de régler la température intérieure pour le confort de leurs clients ou de leurs collaborateurs. Par ailleurs, grâce à la fonction « SetBack » l’administrateur peut définir une plage de température minimum et maximum ainsi que le mode souhaité (froid ou chaud). Si les usagers le souhaitent, ils peuvent aussi utiliser la fonction verrouillage sur un mode et une température unique. Pour gagner du temps, toute la programmation initialement installée est conservée dans le cas d’une coupure de courant grâce à la fonction redémarrage automatique. Pour plus de facilité dans le contrôle de l’installation, l’ensemble de la gamme peut être connecté au réseau wifi.Les solutions HEIWA sont très adaptées au rythme et à l’usage des locaux commerciaux ou des bureaux. Elles sont équipées d’un mode absence longue durée, idéal pour faire des économies d’énergies lors des périodes de congés ou de fermetures annuelles. Alors que nombreux espaces commerciaux sont dépourvus de fenêtre, et qu’elles peuvent parfois être inaccessibles dans les bureaux, il est peut être compliqué d’aérer. La fonctionnalité « Air Neuf » renouvelle l’air d’une pièce en cas de mauvaises odeurs ou d’un besoin de ventilation. Pour un maximum de confort à destination des clients ou des collaborateurs, la fonction « silence » permet aux systèmes HEIWA de se faire discrets.Le gainable Heiwa PRO Essentiel ZenLe système gainable permet de chauffer efficacement l’intérieur de son entreprise en toute discrétion et en préservant le design des espaces. De 5kW à 12,1kW, la nouvelle gamme gainable Heiwa PRO Essentiel Zen offre un large choix de puissances. Afin de pouvoir s’adapter parfaitement aux différents usages des locaux, la marque Heiwa a développé son propre Zoning sur la solution gainable. L’usager peut alors contrôler la température de manière indépendante dans chaque zone, et jusqu’à 6 zones, grâce à un thermostat radio ou filaire. Chaque composant du zoning HEIWA (plénum de soufflage, plénum de reprise, passerelle de communication et centrale de contrôle zoning) a été étudié pour s’adapter sur mesure aux différentes unités intérieures. L’ensemble du Zoning est entièrement pré- monté et la configuration est extrêmement simple.Le gainable HEIWA Essentiel Zen PRO peut se décliner en deux autres modèles. Le gainable Essentiel Zen 5 Kw SLIM est idéal pour les faux plafonds, les combles ou les encadrements réduits. Son design optimisé permet de réduire le niveau sonore et d’améliorer le rendement du système. Le gainable Essentiel Zen Haute Pression est quant à lui destiné aux espaces plus grands qui nécessitent plus de pression. Un kit d’accessoires d’isolation est inclus lors de l’achat d’un système gainable de la gamme Heiwa PRO quel que soit le modèle.La cassette Heiwa PRO Essentiel ZenLa gamme cassette Heiwa PRO Essentiel Zen permet de répondre aux principaux besoins des espaces commerciaux avec un design élégant et un confort maximal. Sa pose est un véritable gain de temps pour l’installateur grâce à son carton d’emballage conçu pour servir de gabarit. Les capots d’angles escamotables situés aux 4 coins de la façade, permettent d’ajuster facilement la hauteur de l’unité par les trappes d’accès, et ce, même après avoir installé la grille. Pour optimiser le confort des utilisateurs, l’orientation de chaque volet peut être pilotée indépendamment à l’aide de la télécommande filaire.Le plafonnier Heiwa PRO Essentiel ZenLa technologie et l’efficacité au service des gros volumes et des grands espaces du petit tertiaire. Les angles des volets du plafonnier Heiwa PRO Essentiel Zen permettent un balayage spécifique en mode froid comme en mode chaud et améliorent le confort de l’habitat.
Il y a 4 ans et 134 jours

"Un regain d’optimisme commence à poindre", Bruno Cavagné, président de la FNTP

Le secteur entend recruter 50 000 personnes dans les deux ans à venir. Une ambition qui suppose la montée en puissance du plan de relance, des appels d’offres des collectivités et de la vaccination. Entretien avec le président de la FNTP, Bruno Cavagné.
Il y a 4 ans et 134 jours

Hydrogène: la montée en puissance doit être "orchestrée", prévient le PDG d'Air Liquide

Le PDG d&#39;Air Liquide a appel&eacute; &agrave; la mise en place d&#39;un comit&eacute; national tr&egrave;s "op&eacute;rationnel" pour organiser la mont&eacute;e en puissance de l&#39;hydrog&egrave;ne en France.
Il y a 4 ans et 136 jours

Le nouveau mural HAORI combine design et performances et devient un élément de décoration unique

A l’écoute des tendances, Toshiba Solutions de Chauffage & Climatisation va plus loin en lançant son nouveau mural HAORI, qui se démarque plus que jamais grâce à un design et un concept unique. Doté d’une façade de finition personnalisable, l’unité intérieure devient un élément de décoration qui donne une nouvelle dimension à chaque intérieur. HAORI combine innovations et performances avec une faible consommation énergétique et une efficacité énergétique jusqu’à A+++ en chauffage et rafraîchissement. Équipé des dernières technologies Toshiba, tant en matière de filtration de l’air, que de silence de fonctionnement, le nouveau mural HAORI apporte un confort inégalé été comme hiver. Ce système de chauffage réversible permet de répondre à tous types de projets avec 3 tailles d’unités intérieures disponibles (10, 13 et 16), couvrant des puissances allant de 2,5 à 4,6 kW en mode froid et 3,2 à 5,5 kW en mode chaud, compatible monosplits et multisplits. Il est ainsi possible d’assurer des conditions de vie confortables dans des pièces pouvant atteindre 40 à 50m². Ses atouts : > Design unique et innovant Véritable objet de décoration, le mural HAORI dispose d’un habillage à texture textile de haute qualité. Proposé dans des couleurs chaudes et décoratives, il répond aux tendances du moment (gris clair, gris anthracite, bleu pétrole, marron chocolat…). Sa forme incurvée et moderne facilite son intégration dans toutes les ambiances de vie avec discrétion et élégance. Architectes, agenceurs, designers et architectes d’intérieur peuvent résolument laisser libre cours à leur créativité ! > Efficacité énergétique Jusqu’à A+++ (en chauffage et en rafraîchissement) en version monosplit, grâce à la combinaison des technologies de pointe Toshiba : compresseur DC Twin-Rotary et régulation Hybrid Inverter. > Qualité de l’air intérieur Filtration haute efficacité avec sa fonction Ioniseur Plasma permettant de capturer les particules contaminées dans l’air, ses filtres Toshiba “Ultra pure”, sa batterie hydrophobe et sa fonction autonettoyante, qui assurent un air sain, empêchant l’accumulation d’impuretés et permettent de réduire humidité et mauvaises odeurs. > Confort unique Nouveau concept de diffusion de l’air « HADA » à effet orienté vers le plafond afin d’éviter les flux d’air directs sur les utilisateurs. > Silence de fonctionnement Silence absolu de l’unité intérieure avec seulement 19 dB. L’unité extérieure affiche les niveaux sonores les plus bas du marché et dispose également d’un mode silence pour les abaisser encore plus. > Pilotage simplifié Nouvelle télécommande noire brossée haut de gamme qui bénéficie d’un nouveau design, grand écran, affichage rétro-éclairé, fonctionnalités avancées. Pilotage wifi intégré pour un pilotage depuis smartphone ou tablette. Compatibilité avec les assistants vocaux pour un pilotage à la voix. Crédit Photos : Toshiba Airconditioning, Shutterstock. CONTACTS PRESSE OXYGEN Lyon Christelle Thavel Dubourg Tél. : +33 (0)6 13 82 17 68 christelle.d@oxygen-rp.com Voir le communiqué complet : TOSHIBA_CP_Haori_04122020@
Il y a 4 ans et 139 jours

Une usine de panneaux solaires à 1.500 emplois en projet tout près de "Smartville" en Moselle

Le projet est prévu sur la zone d'accueil de l'usine automobile Smart, vendue en début de semaine par le groupe Daimler au Britannique Ineos.Le projet, dont la demande de permis de construire a été déposée, consiste à produire dans un premier temps 4,5 millions de panneaux par an, au moyen d'un investissement de 681 millions d'euros, a annoncé Rec Solar lors d'un point presse par visioconférence.Cette première phase qui démarrerait en 2022 doit créer 1.500 emplois, puis une seconde à confirmer aboutirait, en 2025, à un effectif de 2.500 salariés pour 9 millions de panneaux annuels. De quoi produire une puissance de 4 gigawatts-crête (GWc), "l'équivalent d'un réacteur nucléaire de 900 mégawatts", selon la société.La "décision définitive" d'enclenchement de la première étape (2 GWc) devrait être prise "mi-mars" par le groupe Rec, a annoncé Cemil Seber, son directeur général.Elle dépendra de deux critères principaux: le résultat de la concertation sur le projet qui démarre lundi prochain sous l'égide de la Commission nationale du débat public et le bouclage du financement de l'investissement.Sur ce second point, "on fera évidemment appel aux aides (publiques) auquel on pourra avoir droit", a déclaré M. Seber.L'usine Rec serait l'une des plus grandes du genre en Europe, avec celle que projette le Suisse Meyer-Burger en Allemagne, dans un domaine dominé par les fabricants asiatiques.Selon M. Seber, sa capacité en 2022 puis en 2025 représenterait à chaque fois environ 10% du marché européen, si bien que "le marché a certainement une taille suffisante pour absorber notre production", a-t-il estimé.Groupe dans l'énergie solaire de 2.000 salariés et 500 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2019, Rec exploite une première usine de panneaux photovoltaïques à Singapour.Il veut s'implanter à Hambach afin de "produire au coeur du marché européen, en plein essor", selon M. Semer. "Depuis Singapour, il faut quatre à six semaines d'acheminement, ce qui est trop", a expliqué le dirigeant.L'usine se complèterait d'un centre de recherche et développement, autour de la technologie "innovante" de fabrication, "l'hétérojonction", que Rec Group développe avec le Commissariat à l'énergie atomique français, a précisé M.Semer.