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Résultats de recherche pour services

(5794 résultats)
Il y a 2 ans et 100 jours

VIPros, un programme relationnel qui s’étoffe toujours plus

Depuis son lancement, le programme VIPros Bati ne cesse d’élargir sa palette d’outils afin d’offrir encore plus de services à ses adhérents et à ses membres, des professionnels du bâtiment. (Image © VIPros)
Il y a 2 ans et 100 jours

Moselle : un nouveau centre technique communautaire pour la Communauté d’agglomération Portes de France-Thionville

Dans le département de la Moselle, la Communauté d’agglomération Portes de France-Thionville a regroupé ses services techniques dans un...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 100 jours

Recticel Simfocor® reçoit le label d'efficience environnementale Solar Impulse

Ce label est attribué à des produits, services ou procédés alliant des performances environnementales et économiques. Cela signifie également que Simfocor® rejoint la liste de la Fondation Solar Impulse des #1000+ Solutions sélectionnées pour leur contribution à une croissance économique durable.Simfocor® fait partie de la gamme innovante d'isolation « Recticel Silence » qui est actuellement commercialisé en France et en Espagne.Un isolant thermo-acoustique recyclé pour les cloisonsEn France, le coût social des nuisances sonores s'élève à 147 milliards d'euros en 2021, soit près du double du coût relevé en 2016*. Le problème est accentué par une tendance générale vers des logements plus petits et des bâtiments collectifs. Simfocor® relève ce défi avec une solution thermo-acoustique conçue pour les cloisons. Facile à poser soi-même, les panneaux Simfocor® se glissent entre les montants métalliques de la cloison et sont recouverts par une plaque de plâtre d'une épaisseur minimum de 12,5 mm. Ainsi, Simfocor réduit l'intensité sonore d’une pièce à l’autre jusqu'à 84 %, ce qui représente une amélioration de 8 dB ΔRw, tout en offrant de bonnes performances thermiques. Simfocor® est également une innovation respectueuse de l’environnement. Il est composé de mousses PU recyclées provenant d’anciens matelas, leur offrant ainsi une seconde vie en tant que matériau de construction.La Fondation Solar ImpulseLe label Solar Impulse a été initié par l'explorateur visionnaire Bertrand Piccard, qui a réalisé en 2016 le premier tour du monde en avion électrique à énergie solaire. La Fondation cherche à relever les défis du développement durable tout en assurant la viabilité économique.Simfocor® apparaît désormais dans le « Solutions Explorer de la Fondation », un moteur de recherche unique qui présente des solutions climatiques viables.Cette certification reflète la quête continue de Recticel en matière d'innovation durable et son engagement vers un objectif global de zéro émission nette d'ici 2050.*CNB-Ademe sondages publiés en 2021 et 2016
Il y a 2 ans et 101 jours

Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines, selon une étude

Une modélisation a révélé que si la couverture végétale d'une ville pouvait atteindre les 30% de sa surface, contre une moyenne de 14,9% actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré celsius en moyenne pendant les canicules estivales, rapporte une étude publiée dans The Lancet.Sur les 6.700 décès prématurés attribués au réchauffement des températures dans 93 villes européennes en 2015, les résultats montrent qu'un tiers pourrait ainsi être évité.Cette étude est la première à prévoir, dans le contexte du réchauffement climatique dans les villes, le nombre de décès prématurés qui pourraient être évités par une couverture arborée supplémentaire, a souligné l'auteur principal, Tamara Iungman, chercheur à l'Institut de santé mondiale de Barcelone.Les températures dans les villes sont plus élevées que dans les banlieues ou les campagnes environnantes, en raison d'îlots de chaleur.Cette différence de température est principalement due à la suppression de la végétation, à l'évacuation de la chaleur des systèmes de climatisation, ainsi qu'à l'asphalte et aux matériaux de construction de couleur sombre qui absorbent et retiennent la chaleur."Nous savons déjà que les températures élevées dans les environnements urbains sont associées à des résultats négatifs pour la santé, tels que l'insuffisance cardiorespiratoire, l'augmentation des admissions à l'hôpital et des décès prématurés", a déclaré Mme Iungman dans un communiqué. "Notre objectif est d'informer les politiques et les décideurs locaux sur les avantages de l'intégration stratégique de l'infrastructure verte dans la planification urbaine afin de promouvoir des environnements urbains plus durables, résilients et sains."En raison du réchauffement climatique d'origine humaine, l'augmentation des températures dans les villes sera plus intense d'où la nécessité de plus en plus urgente pour les villes, de s'adapter pour améliorer les résultats en matière de santé.Déjà l'année dernière, l'Europe a connu l'été le plus chaud jamais enregistré et la deuxième année la plus chaude. Dans le monde entier, les vagues de chaleur atteignent des pics record et leur durée s'est allongée ces dernières décennies.Aujourd'hui, le froid cause encore plus de décès en Europe que la chaleur. Mais les prévisions basées sur les émissions actuelles révèlent que les maladies et les décès liés à la chaleur représenteront une charge plus importante pour les services de santé d'ici une décennie.
Il y a 2 ans et 101 jours

Fort d’un savoir-faire exclusif sur le marché tertiaire, le Groupe Lorillard recrute pour ses activités chantier en forte croissance

Le Groupe Lorillard vient de mettre en ligne un court-métrage d’un chantier neuf de grande envergure. Filmée par drone, la vidéo permet de visualiser plus en détails la mise en oeuvre des éléments et le travail précautionneux des hommes sur le chantier. Sous la maîtrise d’oeuvre de l’agence AMC Architectes, ce chantier situé à Chartres a été requis par le cabinet d’expert-comptable FITECO.Ce chantier est une illustration parfaite du savoir-faire en matière de chantier tertiaire neuf du Groupe Lorillard.https://youtu.be/9wEP586DqW4 ©Groupe Lorillard Ici, 20 portes techniques, 2 portes automatiques, 6 châssis de désenfumage, 5 châssis d’amenée d’air, 157 menuiseries aluminium en précadres et 560 m² de murs rideaux modulaires en aluminium ont été conçus, usinés et mis en oeuvre par les équipes.Particulièrement connu pour son expertise en matière de rénovation collective, le Groupe Lorillard possède également une activité en chantiers tertiaires neufs, prenant de plus en plus d’ampleur. De la pose de menuiseries à la conception de mur rideau, en passant par la protection solaire, le désenfumage et la ventilation, les chantiers neufs d’exception se succèdent. Au palmarès, se distinguent entre autres l’immeuble de bureaux d’Aubagne des architectes Franck Demaria et Benjamin Marc, le collège BBC de la Carrière imaginé par Rudy Ricciotti, la Maison des Services du siège social de Latécoère ou encore le collège Voltaire de Remoulins multiplement primé et pensé par l’architecte Christophe Ramonatxo. Il y a quelques années l’activité du Groupe relative aux chantiers neufs était minime. Aujourd’hui l’Entrepreneur s’érige en partenaire de choix à l’expertise éprouvée. LE MUR RIDEAU, LE BIEN AIMÉ DU TERTIAIRE De plus en plus plébiscité dans la construction de bâtiments aux activités tertiaires, le mur rideau est devenu un incontournable des chantiers du Groupe. Sa modularité architecturale et ses nombreux avantages : légèreté, apport de lumière solaire, facilité de mise en œuvre, en font un modèle de prédilection.La pose de mur rideau est une expertise du Groupe Lorillard qui conçoit et installe des murs rideaux en aluminium et en bois pour les bâtiments tertiaires en neuf comme en rénovation.Le cahier des charges détermine le choix du matériau et la technique de pose. Qu’il soit en grille, la conception la plus courante, ou en précadres, un projet de mur rideau est toujours analysé et adapté par le bureau d’étude du Groupe pour s’agencer parfaitement au bâtiment.Toute la réussite d’un tel projet repose sur le soin apporté à la pose : ici encore, rien n’est laissé au hasard pour garantir la sécurité sur le site, l’étanchéité de l’enveloppe et l’esthétique de la façade grâce à une ingénierie de chantier éprouvée. ©Groupe Lorillard LA SIGNATURE LORILLARD A mesure que les années passent le Groupe Lorillard se façonne la notoriété d’un entrepreneur, spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment. La maîtrise de l’ensemble des métiers inhérents au marché de la menuiserie permet au Groupe d’en saisir toutes les problématiques et d’offrir des solutions techniques sur-mesure pour chaque spécificité.La stratégie de croissance externe opérée par le Groupe lui a permis de devenir un acteur incontournable de son marché, à l’appui d’un savoir-faire considérable et déployé mais aussi un employeur attractif.Les investissements industriels dans l’usinage du bois, des volets roulants, le laquage des menuiseries, mais aussi la réorganisation géostratégique de la production au sein des 8 sites nationaux, ou encore la formation continue des salariés jusqu’à l’audit énergétique des sites de production font partie de la stratégie d’amélioration continue du Groupe.Cette stratégie vise à se pourvoir d’une efficience technique afin d’offrir le meilleur aux salariés comme aux clients, mais aussi de rester maître de tous les processus de production. ©Groupe Lorillard Afin d’envisager sereinement l’évolution croissante de son activité tertiaire le Groupe Lorillard recrute des opérateurs de production et conducteurs de machines, des dessinateurs, des chefs de chantier, des poseurs et des conducteurs de travaux ainsi qu’un conducteur de travaux façades.Des postes qui sont à pourvoir dès à présent et dont les offres descriptives sont disponibles en ligne sur le site du Groupe, parmi bien d’autres :https://www.lorillard.fr/recrutement/nos-offres-d-emploi Il y a de l’emploi au sein du Groupe Lorillard ! Si tant est que le candidat place ses ambitions à la hauteur d’un Groupe audacieux, il y trouvera les outils et les ressources pour faire face aux mutations à venir et être accompagné sereinement dans son développement professionnel.
Il y a 2 ans et 101 jours

Somfy lance RS100 Solario, la version solaire de sa gamme référente de moteurs pour volets roulants RS100, et accompagne les professionnels avec un écosystème complet de services

Somfy avait amorcé en 2015 une nouvelle ère technologique en réinventant la motorisation tubulaire et en digitalisant son cœur de métier avec le lancement de RS100 io, le 1er moteur silencieux, connecté et éco-conçu. Aujourd’hui, fort de plus de 50 ans d’innovation dont plus de 10 ans sur le marché du solaire, Somfy enrichit sa […]
Il y a 2 ans et 102 jours

L'activité a résisté en 2022 malgré un net ralentissement en fin d'année

Après l'euphorique reprise post-Covid en 2021 (+6,8%), l'activité a progressé de 2,6% l'an dernier, selon l'institut statistique Insee, tenant bon face aux secousses de la guerre en Ukraine qui a fait s'embraser les prix de l'énergie.Elle est toutefois entrée dans une zone à risque avec un ralentissement au quatrième trimestre (+0,1%) par rapport aux trois mois précédents, rattrapée par une inflation qui touche les ménages au portefeuille et ne montre pas de répit début 2023.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, qui anticipait 2,7% de progression annuelle, a salué une croissance "soutenue" en 2022 qui "témoigne du fort rebond de notre économie après le choc du Covid et de sa résilience face à la crise énergétique".Selon l'Insee, l'économie a surtout bénéficié l'an dernier du rebond d'activité enregistré fin 2021 "en sortie de crise sanitaire".Trimestre après trimestre, elle a ensuite été "nettement moins dynamique", même si les chiffres sont meilleurs que prévu. L'institut tablait sur un PIB en hausse de 2,5% et une contraction de 0,2% au quatrième trimestre.ContrastesLes trois derniers mois de l'année ont enregistré une forte baisse de la consommation des ménages (-0,9%), moteur traditionnel de la croissance enrayé par une hausse des prix soutenue. La consommation d'énergie a également baissé, en raison d'un automne très doux et d'efforts de sobriété énergétique. Après un très léger tassement à 5,9% en décembre, l'inflation a accéléré à 6% en janvier sur un an, toujours marquée par des flambées à deux chiffres pour l'énergie (13,2%) et l'alimentation (16,3%), selon l'Insee.Pour les ménages, la situation aurait pu être pire encore, selon les économistes, sans les mesures de soutien déployées à coups de milliards d'euros face à la crise énergétique.Cette moindre consommation des ménages a pesé sur la production des biens et services, qui a décéléré à 0,2% sur la période d'octobre-décembre.Mais la production manufacturière s'est repliée de 0,5%, affectée par les grèves de l'automne dans les raffineries. Dans l'énergie, elle est restée "basse" en raison des maintenances de réacteurs nucléaires.A l'inverse, le commerce extérieur a contribué positivement (0,5%) à la croissance, les importations ayant reculé plus fortement que les exportations - même si un déficit commercial record est attendu sur l'ensemble de 2022.S'ils ont continué de progresser, les investissements ont quelque peu perdu en dynamisme (0,8% après 2,3% au troisième trimestre)."Résistance de façade""C'est une résistance de façade de l'économie française", a commenté Maxime Darmet, économiste chez Allianz Trade, interrogé par l'AFP. "La consommation se porte mal et des importations qui chutent autant, ce n'est pas très bon signe: cela veut dire que la demande intérieure est quand même très faible".De mauvais augure pour 2023, alors que l'inflation devrait continuer à accélérer jusqu'à un pic attendu par l'Insee autour de 7% en début d'année, alimenté par la fin d'une ristourne généralisée sur les carburants et d'une nouvelle hausse des tarifs de l'énergie."Cela devrait pousser les ménages à rester plutôt pessimistes", analyse Stéphane Colliac, économiste chez BNP Paribas, pour l'AFP. De quoi possiblement peser sur les nouvelles commandes des entreprises.L'activité commencera aussi à ressentir pleinement l'impact du resserrement monétaire décidé par la Banque centrale européenne (BCE), qui devrait décider jeudi de relever une nouvelle fois ses taux d'intérêt.Selon un sondage Opinionway mené en janvier pour les Chambres de commerce et d'industrie (CCI France), 81% des 618 chefs d'entreprise sondés ne prévoient pas d'investissements en 2023.Plus pessimistes que le gouvernement (1%), la Banque de France prévoit une baisse de régime avec 0,3% de croissance en 2023 quand le Fonds monétaire international, qui anticipe une croissance mondiale un peu meilleure que prévu à l'automne, entrevoit 0,7%."Néanmoins, échapper à la récession ne veut pas dire rebondir fortement", prévient Charlotte de Montpellier, économiste chez ING.Bruno Le Maire loue les "capacités de résistance" de l'économie françaiseLe ministre de l'Economie Bruno Le Maire a salué mardi 31 janvier les "capacités de résistance (...) exceptionnelles" des entreprises et salariés français, quelques minutes après l'annonce par l'Insee d'une croissance de 2,6% du PIB (Produit intérieur brut) de la France en 2022.Ce chiffre "témoigne du fort rebond de notre économie après le choc du Covid et de sa résilience face à la crise énergétique", s'est réjoui le numéro deux du gouvernement, alors que Bercy tablait initialement sur une croissance annuelle de 2,7% (contre une prévision de 2,5% pour l'Institut national de la statistique (Insee))."Nous aurons également une croissance positive" en 2023, s'est projeté Bruno Le Maire. Dans ses dernières prévisions, le gouvernement table sur une croissance de 1%, une anticipation sensiblement supérieure à celles de la Banque de France (0,3%) ou du Fonds monétaire international (0,7%).Au quatrième trimestre, la progression du PIB n'a atteint que 0,1% contre 0,5% au printemps et 0,2% à l'été 2022, un "ralentissement attendu avec la persistance de fortes incertitudes dans l'économie" comme l'inflation ou la guerre en Ukraine, commente le ministère de l'Economie.La baisse de la consommation des ménages en biens et services (-0,9% au quatrième trimestre 2022) "est compensée par un investissement dynamique des entreprises (+1,2% au quatrième trimestre, +3,5% sur l'année entière) et une amélioration du commerce extérieur" (+0,5% au quatrième trimestre mais -0,7% sur l'année), affirme encore Bercy.Enfin, "la production dans l'industrie se replie légèrement (-0,5%)", note le ministère, "mais on est loin des -10% évoqués par certains", conclut-il.
Il y a 2 ans et 102 jours

Retraites : baisses de production électrique dans la nuit, initiatives moins nombreuses ce week-end

"Il est possible que les initiatives soient moins nombreuses", a indiqué vendredi Claude Martin, secrétaire fédéral de la FNME-CGT, selon lequel, dans ce "marathon" de la contestation, la priorité est de "réussir à nouveau le mardi 31" journée nationale de mobilisation interprofessionnelle, "avec un maximum de monde en grève et dans la rue".Dans la nuit de jeudi à vendredi, "une baisse de production" a touché la centrale nucléaire de Paluel, touchant les tranches (unités de production) 3 et 4 de la centrale et occasionnant une baisse de production de quelque 940 Mwh.Elle semblait terminée depuis le début de matinée, selon les messages diffusés sur le site internet d'EDF.Ces baisses de production, strictement encadrées par le gestionnaire des lignes à haute tension RTE, sont normalement sans effet pour le grand public et affectent surtout les finances de l'entreprise.Les salariés du secteur de l'énergie opposés à la réforme des retraites se sont mobilisés durant toute la journée de jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour un tour de chauffe avant la journée nationale d'action interprofessionnelle du 31 janvier.Les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31 qui touchera tous les secteurs : écoles, fonctionnaires, transports, services.., à l'appel de tous les syndicats.L'un d'entre eux, l'UNSA, a recensé plus de 200 lieux de rassemblements le 31, autant que pour la journée du 19.Les agents de l'électricité et du gaz sont pour leur part en grève reconductible et pourraient mener de nouvelles actions vendredi.Jeudi, outre des baisses de production électriques et des barrages filtrants à l'entrée de certaines centrales, ils ont mené une foule d'actions dites "Robin des Bois" selon la CGT, pour "intensifier le rapport de force". De Lille à Marseille, partout en France, ils ont "placé en gratuité d'électricité ou de gaz" écoles, HLM et hôpitaux, accordé des tarifs réduits aux petits commerces, et rétabli le courant pour des usagers qui en avaient été privés."Dans la métropole lilloise, une centaine de logements sociaux et 25 boulangeries ont été passés jeudi en gaz gratuit", a indiqué à l'AFP Claude Martin, secrétaire fédéral de la FNME-CGT.Interrogée sur ces opérations, menées en parallèle de coupures ciblées d'électricité, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher s'est montrée très critique."Je dirais que c'est poche droite, poche gauche, c'est une initiative qui à la fin revient à faire payer le contribuable", a déclaré la ministre sur France 2, vendredi matin, contestant la "générosité" de l'initiative.
Il y a 2 ans et 103 jours

Après la mort de deux ouvriers sans-papiers sur un chantier en 2019, sept hommes devant la justice

On leur avait demandé de travailler exceptionnellement un samedi matin : Kamel B., 34 ans, et Omar A., 29 ans sont décédés à Epinay-sur-Seine d'une chute de plusieurs dizaines de mètres.Les deux ouvriers participaient à la réhabilitation de la cité La Source, un chantier de 478 logements dont le bailleur est Plaine Commune Habitat. Ils travaillaient à la rénovation thermique par l'extérieur d'un bâtiment lorsque la nacelle sur laquelle ils travaillaient s'est détachée. D'importantes rafales de vent avaient touché la région parisienne ce jour-là, insuffisantes toutefois pour stopper les travaux, ont jugé les chefs de chantier.Sitôt après l'accident, une enquête avait été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis pour déterminer ses causes.Selon un rapport d'expertise cité par un avocat de la défense, "un défaut d'ancrage" de la nacelle a été identifié. "Le procès, qui sera très technique, va déterminer qui est le responsable de la défaillance", explique cet avocat sous couvert d'anonymat.Sollicités par l'AFP, les avocats des prévenus n'ont pas souhaité s'exprimer avant l'ouverture du procès lundi à 10h00 devant le tribunal correctionnel de Bobigny, prévu jusqu'à vendredi.Sept hommes âgés de 37 à 61 ans sont poursuivis notamment pour "homicide involontaire" et "travail dissimulé". Ils encourent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.Trois entreprises du BTP sont également sur le banc des prévenus en tant que personne morale.Les accidents du travail touchent des centaines de milliers de personnes chaque année en France et le bâtiment reste le secteur le plus accidentogène, selon l'Assurance maladie, qui a reconnu pendant l'année 2021 un total de 645 décès en accident du travail tous secteurs confondus.Ces dernières années, avec des chantiers d'ampleurs tels que le Grand Paris Express ou les aménagements prévus pour les Jeux olympiques de Paris 2024, plusieurs accidents mortels ont concerné des salariés d'entreprises sous-traitantes ou prestataires de services.
Il y a 2 ans et 103 jours

Orpi noue un partenariat pour améliorer son service d'aide à la rénovation énergétique

PARTICULIERS. La coopérative d'agents immobiliers va mettre à disposition de ses clients les services proposés par Heero, qui accompagne les propriétaires dans leurs démarches pour la rénovation énergétique de leurs biens.
Il y a 2 ans et 103 jours

La résilience de l'économie française en 2022 sera dévoilée mardi

Après l'euphorique année 2021 de la reprise post-Covid (+6,8%), l'activité a marqué le pas en France, ébranlée par la guerre en Ukraine qui a attisé les prix de l'énergie et une inflation qui culmine à des niveaux inédits en près de 40 ans, touchant les ménages au portefeuille.L'Institut national de la statistique (Insee) table sur une hausse de 2,5% du produit intérieur brut (PIB) en 2022 - avec un quatrième trimestre négatif à -0,2%. C'est un peu en deçà des prévisions de la Banque de France (2,6%) et du gouvernement (2,7%)."Ce n'est pas si mal, on est au-dessus du niveau pré-Covid", commente Maxime Darmet, économiste chez Allianz Trade, interrogé par l'AFP. Mais les mesures de soutien déployées à coup de milliards d'euros par le gouvernement pour contenir les factures ont joué fortement, relève-t-il.La bonne tenue de l'activité française masque un tableau contrasté.Si les investissements des entreprises ont surpris par leur dynamisme et soutenu l'emploi, la consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance, a été le parent pauvre, frappée de plein fouet par la rapide hausse des prix.Côté pile, il y a les carnets de commande des entreprises bien remplis depuis la pandémie, et les montées en cadence pour y répondre, notamment dans l'automobile, avec des investissements facilités par des conditions encore favorables."Même avec une conjoncture qui se dégrade, une inflation qui décourage la demande additionnelle", l'important rattrapage d'activité a contribué à maintenir la croissance, estime Stéphane Colliac, économiste chez BNP Paribas.Il cite également la reconstitution des stocks pour affronter la demande ou d'éventuelles adversités futures.FissuresLes nouvelles commandes, en revanche, se portent moins bien, affaiblissant les perspectives. C'est le côté face.Après un premier trimestre dans le rouge (-0,2%), marqué par la vague Omicron du coronavirus et l'invasion russe de l'Ukraine, puis une embellie printanière (+0,5% au deuxième trimestre), des nuages ont commencé à s'amonceler en deuxième partie d'année, avec une consommation des ménages atone au troisième trimestre (+0,2%).Augurant d'un net ralentissement en 2023, le quatrième trimestre s'annonce plus difficile encore, pénalisé par des grèves dans les raffineries, la maintenance de centrales nucléaires ainsi qu'une moindre consommation énergétique en raison d'un hiver clément, sur fond d'inflation tenace.La hausse des prix a bondi à 5,2% en moyenne annuelle, et même à 5,9% sur un an en décembre, avec des envolées à deux chiffres pour l'énergie et l'alimentation.En dépit des soutiens publics, "cette inflation devrait avoir poussé les ménages à contrôler leurs dépenses au quatrième trimestre", souligne Stéphane Colliac. Ceux qui le peuvent préfèrent épargner.Le chiffre provisoire de l'inflation pour janvier sera dévoilé mardi également. Nul doute pour les économistes qu'elle continuera à accélérer, notablement dans le secteur des services, pilier de l'économie française, avant de se calmer plus tard dans l'année.L'Insee anticipe un pic autour de 7% en début d'année, alimenté notamment par la hausse des tarifs réglementés du gaz et de l'électricité.En sus, l'activité commencera à ressentir pleinement l'impact du resserrement monétaire décidé par la Banque centrale européenne (BCE) pour juguler l'inflation, selon Maxime Darmet. Le tout sur fond de grèves liées à la réforme des retraites."Les éléments de résilience sont en train de se fissurer", affirme l'expert.La Banque de France anticipe une baisse de régime avec 0,3% de croissance en 2023, plus pessimiste que le gouvernement (+1%) qui compte dessus pour amorcer le redressement des finances publiques.Mais même si les perspectives sont "incertaines", nuance dans une note Charlotte de Montpellier, économiste chez ING, "on est loin d'un saut dans le vide vers la récession".L'Allemagne, première économie européenne, devrait ainsi finalement éviter la récession.De bon augure pour la France? "Les Cassandre n'ont pas toujours raison", a récemment déclaré le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire. "Nous confirmons que la France aura, après une année 2022 solide, une croissance positive en 2023".
Il y a 2 ans et 106 jours

Perquisitions à la métropole Nice-Côte-d'Azur visant le service des marchés publics

Des perquisitions ont eu lieu "notamment dans les locaux de Nice Métropole, dans le cadre d'une information judiciaire suivie par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco), notamment des chefs de trafic d'influence, escroquerie en bande organisée, abus de biens sociaux et faux et usage de faux depuis novembre 2022", a indiqué jeudi matin le parquet de Paris.Ces perquisitions ont "trait au projet de construction d'un immeuble près de la gare", a précisé une source proche du dossier. Elles concernent l'Iconic, un vaste immeuble de 19.000 m2 en construction près de la gare de Nice, selon une autre source.D'autres perquisitions ont également eu lieu dans la journée "dans les bureaux de trois élus niçois", a indiqué à l'AFP une source porche du dossier. Une source judiciaire a par ailleurs indiqué que des perquisitions avaient également été menées au domicile de quatre personnes - à Paris, dans les Alpes-Maritimes et le Var - ainsi qu'au siège de deux sociétés à Paris et dans les Alpes-Maritimes et dans les locaux régionaux d'une société parisienne, également dans les Alpes-Maritimes. Les opérations dans le Sud étaient terminées en début de soirée selon cette source.Jury du concours "Gare Thiers-Est"Selon des sources concordantes, les trois élus visés par les perquisitions faisaient partie du jury du concours "Gare Thiers-Est", lancé par la métropole de Nice et qui a attribué en 2016 à la Compagnie de Phalsbourg la création d'un ensemble immobilier de près de 19.000 m2, baptisé "Iconic".Interrogée par l'AFP, la Métropole Nice Côte d'Azur a indiqué que "les membres du jury ont donné suite aux demandes formulées par les enquêteurs dans le cadre de leur investigation".Jeudi matin, la métropole avait confirmé qu'une "perquisition (était) en cours dans un bâtiment à l'ouest de la ville qui concernerait le projet Iconic".La ville et la métropole "ignorent tout à ce stade de la procédure sur la nature ou sur la portée des investigations", précisait un communiqué transmis à l'AFP, en soulignant qu'il a été "demandé au directeur général des services de donner suite avec célérité à toutes les demandes formulées par les enquêteurs"."S'il s'avérait qu'un agent public soit mis en cause dans cette procédure, la métropole engagerait alors des mesures de suspension", a encore indiqué la métropole.L'Iconic, ensemble immobilier de 19.000 m2 imaginé par l'architecte américain Daniel Libeskind, comprend un hôtel de prestige, des bureaux et des commerces. Sa construction a pris du retard et la livraison est prévue au printemps 2023.
Il y a 2 ans et 106 jours

Vinci et Wilmotte & associés réaliseront l'Hôtel des Polices de Nice

CONTRAT. L'opération vise à réunir en un même lieu les services de police nationale et municipale, au sein d'un ancien hôpital reconverti à cet effet.
Il y a 2 ans et 106 jours

Avec l’acquisition de Sys ENR, le groupe Butagaz développe ses offres solaires photovoltaïques

Le groupe Butagaz, un acteur incontournable des solutions d’énergie solaire et de services durables disponibles partout sur le territoire français.Ancré dans les territoires français depuis 90 ans, le groupe Butagaz a entrepris un virage stratégique, en 2017, pour devenir un Groupe multi-énergies et multi-services. Avec l’acquisition majoritaire de Soltéa et Solewa, entreprises françaises régionales leaders et expertes dans l’installation et la maintenance de centrales solaires photovoltaïques, le Groupe renforce son déploiement dans la transition énergétique de proximité et offre, depuis 2021, des solutions solaires photovoltaïques aux professionnels.Aujourd’hui, le groupe Butagaz confirme son ambition en faveur de la décarbonation des entreprises par le déploiement à l’échelle nationale de ses nouveaux services. Avec l’acquisition de l’entreprise française, Sys EnR, qui propose des services de conception, de construction et de maintenance d'installations solaires photovoltaïques et solaires thermiques, le groupe Butagaz consolide son expertise en combinant un savoir-faire de haut niveau en tant que spécialiste de l’énergie solaire et une expérience de longue date pour accompagner la transition énergétique de ses clients.Le rachat de Sys EnR entérine le développement de la stratégie du groupe Butagaz vers des énergies plus vertueuses et durables. Elle s’inscrit également dans la continuité de la stratégie du groupe Butagaz de proposer des offres multi-énergies associées à des offres multi-services. Le Groupe offre déjà depuis plusieurs années un service de conseil et d’assistance à l’installation de panneaux solaires.Ces solutions énergétiques d’avenir, économiques et décarbonées, s’ajoutent aux autres services (neutralisation de cuve fioul, gestion de l’énergie dans le tertiaire, installation de bornes de recharge électriques, etc.) et énergies (biopropane, biométhane, électricité verte, granulés de bois, ...) que développe le groupe Butagaz pour aider ses clients à consommer moins et mieux.Pour Emmanuel Trivin, Président du groupe Butagaz : « Nous sommes fiers d’accueillir cette société spécialisée dans les énergies renouvelables au sein du groupe Butagaz pour répondre aux différents usages et besoins de nos clients partout en France. Plus que jamais, nous souhaitons accélérer nos engagements en faveur de la décarbonation des entreprises et orienter notre stratégie de développement ainsi que notre expertise vers une énergie plus compétitive et respectueuse de l’environnement, sur l’ensemble du territoire français. »Une synergie d’expertises au service de la décarbonationDans un contexte de double crise énergétique et climatique, le développement de solutions d’énergies et services durables est une priorité. Grâce à la mutualisation de leurs expertises, le groupe Butagaz, ses filiales solaires Soltéa, Solewa et Sys EnR entendent accroître leur présence auprès des clients professionnels et faciliter leur transition énergétique. Avec 49 employés et 10 millions d’euros de chiffres d’affaires en 2022, Sys EnR occupe une place de leader sur le segment commercial et industriel et sur des projets d’autoconsommation à travers la France. Depuis sa création en 2007, Sys Enr a réalisé plus de 500 installations pour un total installé supérieur à 300MW. Parmi ses références, les grands groupes tels que Lidl (distributeur) ou encore Spirit (promoteur) ou Argan (développeur bâtiments logistiques) ont fait appel à l’expertise des équipes.Pour Franc Raffalli, Directeur Général de Sys EnR : « Nous sommes heureux de rejoindre un groupe d’envergure comme Butagaz et de participer à son positionnement sur le marché français du solaire photovoltaïque. Pour l’heure, notre engagement commun va permettre de délivrer les nouveaux chantiers plus vite, avec la compétence technique des équipes historiques et la robustesse du Groupe. Nous allons ancrer nos engagements fondamentaux en faveur de la technicité et de la sécurité des installations dans le contexte d'une croissance forte. »* Étude BVA réalisée auprès de 4 655 clients Butagaz du 1er février au 4 mars 2022.** Dans les catégories gaz en bouteille et en citerne (Kantar Profiles. Octobre 2021)
Il y a 2 ans et 106 jours

How to Hire A Top Academic Essay Writer

The popularity of online services that allow hiring an essay writer is growing exponentially. Experts estimate that there would be more than a hundred of these essay writing services in the UK and the U. S.alone. This explosion has caused an entire new generation of essay ghostwriters and writers to join the market, many of whom aren’t qualified to perform the task. These companies need to expand their inventory to meet growing demand as the quality of writing improves. It is simple to comprehend the reason why so many choose ghostwriting services. To make sure that they help you there are a lot of things that you should think about before hiring an expert writer. It is important to consider whether they are able to write high-quality academic writing. It is also important to inquire if they can help you achieve your academic goals. It is also important to think about whether you could hire the services of an essay writer who is cost-effective and can meet your deadlines. Forums are the most effective way to locate essayists online. These are discussion boards online that allow people from all over the world to share their experiences with different services. These forums can be used to discover the types of academic writers other people are considering in their writing and the best way to become an experienced essay writer online. It is important to keep portuguese spell checker in mind that these forums are not the best place to complain or vent your frustrations. Instead, you should use these boards to ask questions about what you want from your essay writer. For instance, if you are looking to hire an essayist to help you in your research, you should inquire if they have access to research data. All essayists are well-versed in the kinds of research you’ll need to conduct in order to write your essays. If not, you will likely be offered advice by different writers on how you can do your own research. Another important thing to consider when searching for essayists on the internet is the quality and professionalism of their work. It is important to remember that different writers charge different rates for their services. Before you make an informed decision about the writer you’ll choose, it is essential to consider the price of their services. It is best to get in touch with several writers to inquire about their pricing plans. It is always best to choose an essayist who is reasonably priced however, it is a good idea to request samples of their past writings. Once you’ve decided on the services you need now is the time to select the service providers you will use. The majority of professional essayists are willing to offer the opportunity to try a free trial to determine which style of writing is most effective for them. It’s a good way to evaluate their service. This is a great way to assess their customer service before you spend lots of money. If you have hired a professional writer for your essay you should make sure that they are not in the process of committing plagiarism. This is a common accusation for academic writers. Of obviously, everyone doesn’t commit plagiarism however, there are a few individuals who are accused comma checker of plagiarism far more often than they should. Plagiarism can also be committed by essay writers who use copied material without credit. When you sign any contract make sure that the essay writer you hire has not copied any content. After you’ve completed your search, it’s time to start contacting essayists you have discovered online. When you start talking to these writers, it’s important to make sure that you only contact one person at a time. If you are giving information about your project and you want the writers to meet with you, give each of them an individual client number. By doing this you can ensure that your project isn’t being handed off to just anyone.
Il y a 2 ans et 106 jours

Custom Essay Services

If you’re trying to find a excellent way to earn additional cash, a custom essay writing service may be just the thing. Whether you need one for college or a job interview, then this is one method to ensure your english sentence fixer essay stands out from the remainder of the Writing an essay can be overwhelming. As you are going over every sentence, attempting to figure out what the author would like to express, you may find yourself at a loss concerning what to write. Fortunately, though, there are quite a few services available on the internet to assist you. By hiring somebody to write a free online grammar check customized essay for you, you can provide unique insight to the reader. By choosing a writing support, you can get exceptional content and provide the reader a personal contact by a person they will probably understand or trust, including a financial adviser, doctor, attorney , or mechanic. With a personalized essay, you can explain your strengths and weaknesses, your adventures in a particular area, or whatever else which may be lacking on your knowledge base. There are lots of writing services available to help you compose a personalized essay on a specific topic. Though some specialize in various areas, there are some that handle essay topics across the board. When picking a service, then it’s important to determine which type of essay that you wish to get. For instance, if you are not too comfortable with composing a work of fiction, you may want to select a service which simply handles letters. If you’re unsure about what to write, you might want to consider employing a professional to deal with the entire task. Academic writing requires research, personal experience, and insight. Using a writing service, you’re going to be able to discover a niche within this field and write in your interests. You might even be surprised by the notions you have to express through your composition. This is possibly the best thing about essay providers – you also won’t have to do some research. By working with a business, you could write with an objective. A writer might have some preferred subjects, but by hiring someone to write for you, you can communicate your ideas clearly and without bias. Bear in mind, you will find freelance services that also provide custom writing solutions, but you should be careful when choosing one. Obtaining your essay made by a company are a excellent investment, but if the writer you hire will not deliver the quality that you expect, you might want to consider starting your own company from scratch.
Il y a 2 ans et 106 jours

Terms Of Service For Term Paper Writers

A term paper writer for correttore italiano grammaticale hire can help you compose the bulk of your essay. However, hiring a writer may be problematic for some students because of their lack of expertise. To prevent this, consider using the services of a professional term paper author who is familiar with essay writing. If you do that, you can rest assured knowing that your essay will be properly completed and written to high standards. A term paper writer for hire is a person you can hire to compose an essay for your benefit. Usually, these writers are more experienced and educated about the job than you would be. However, for optimum results, hire a seasoned author from a reliable support. These authors usually have years of experience in writing academic essays. Whenever you are preparing to write your essay, consider taking time to talk with a term paper writer for hire to obtain an notion of just how much it will cost to have the work done. As hiring an article writer is the easiest way to acquire an essay, many students choose this course. This is especially true for students who aren’t sure what to write about corregir textos or for whom the subject is important and timely. A writer may offer you great advice about what kind of topics are considered best with this specific academic year. Most pupils wish to have simple, quick, and economical techniques to make their newspapers. In this aspect, consider using the services of essay authors from reputable agencies. A few of those writers work on a per project basis, which means that they charge only for those papers that are prepared to be flipped in. This is a more affordable option than hiring a team of editors and writers to finish the undertaking. Here is the best method to maintain the costs of this project down while allowing the student to concentrate on writing the newspaper. When you speak with a term paper writer for hire, then learn which sort of deadline he/she needs for his or her homework. The author you speak to should be able to tell you how many term papers need to be composed and in this order. You also want to ask if the writer will probably be contacting you to make sure you get your homework on time. A fantastic writer ought to be willing to do this. Most authors offer you a free consultation to discuss your academic level, the topic of the assignment, and other specifics about your writing service. If you have specific questions, you need to be able to get in touch with the individual who’s supplying the term paper writer support. It is helpful to talk with someone at the office who can direct you to somebody who can meet with you at home to run the actual research papers. This can be important to ensure that your study papers are completed on time and on budget. Some academic degree pupils prefer working with word paper writers who have some experience with writing papers because particular subject matter area. You might have some specific questions in regards to your assignment before you even begin writing them. Consult your writer to supply you with a sample term paper which you can read and get an idea about what types of questions that you might have. Most authors have a huge quantity of expertise with the subjects they write about. Your academic advisor may be able to offer some helpful advice in regards to choosing a writer. Generally , it’s best to use a company or person that’s been operating for many years and is familiar with the academic degree courses you are taking. It is ideal to find a term paper writer service that will work to complete your course functions in a timely manner. Your academic advisor may have the ability to recommend companies and individuals to you based upon their own recommendation and experience.
Il y a 2 ans et 106 jours

Custom Research Papers – A Specialized Topic

Research papers are regarded as a staple in the higher education program. If you’re going to be given a duty of writing one on your professor, then the appropriate and practical question for you to ask is: »Do I need to hire a ghostwriter? » That is the typical question that comes to the majority of our minds when it comes to this issue. There are several factors which you have to take into account before actually deciding to hire a ghostwriter to the custom contador de caracters research papers. To begin with, the subject of the professor. If your professor isn’t a writer or some professor of their creative writing artwork, then you can certainly depend on another colleague who’s also an outstanding author. Second thing is the intent of publishing this study papers. You might be making this choice based on the idea that you will submit this custom research paper to a journal to get printed, or you might be intending to write it for a conference presentation, for instance. Thirdly, you should make a decision as to what the book would be focused on – whether it would be something about future presentations, or on a particular topic which you want to get into. Additionally, you should establish the arrangement of the document. It should be an essay, but its structure should be determined by your own style. Moreover, you’ll also discover that you have to consult different companies that offer customized research papers. They will supply a number of alternatives to choose from, so be certain that you decide on the perfect one for the goal. You may want to go for custom research papers to your advertising level, if you are writing for a company word count free that would love to advertise their services or products. Additionally, you might want to elect for these newspapers for your undergraduate degree. In this case, you’ll find that the job is easier than that of a scientist or an art professor, since you don’t have to apply too much effort to comprehend and express your own thoughts. A ghostwriter will normally operate on two unique jobs, besides writing the newspaper. The first is to proofread it for spelling and grammatical mistakes. The next one would be to edit the paper to get what you want. In the end of it, you should know that once you pay a ghostwriter, then he or she’ll just provide you the final version of this newspaper. It’s also wise to make sure that you do not compromise on the character of the paper, because it will cost you a lot of money when you have to print it.
Il y a 2 ans et 107 jours

12ème édition du Carrefour des Partenaires : FRANCE MATÉRIAUX dévoile sa feuille de route 2023

Point de rencontres et de négociations entre adhérents et partenaires industriels du groupement national, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires, organisée à Lille les 18 et 19 janvier 2023, a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de dévoiler ses nouveaux services et axes stratégiques pour continuer à accompagner, fédérer et développer son réseau de négociants indépendants. Ces deux journées d’échanges ont également permis à Eric Petitdemange, Directeur Général, de mettre en avant la résilience de ses adhérents et les atouts du modèle du groupement face à la conjoncture économique actuelle. FRANCE MATÉRIAUX, LA FORCE DE L’INDÉPENDANCE POUR RELEVER LES DÉFISLors de la plénière ouvrant le Carrefour des Partenaires, Eric Petitdemange a tenu à souligner « la formidable résilience des adhérents de France Matériaux qui ont su s’adapter, intégrer et réagir aux coups de boutoirs dûs aux difficultés d’approvisionnement, aux pics d’activités,… tout au long de l’année 2022. Ceci a démontré que le format du négoce indépendant à taille humaine constitue un vrai atout pour relever les défis d’aujourd’hui et construire demain, ensemble ». 2023 : UN NOUVEAU PANEL D’OUTILS AU SERVICE DE LA PERFORMANCEFace à la situation économique tendue, la 12ème édition du Carrefour des Partenaires a été l’occasion pour FRANCE MATÉRIAUX de présenter ses nouveaux outils digitaux et services physiques pour accompagner ses adhérents dans leur développement. Parmi eux : la base logistique, lancée l’an dernier, totalement opérationnelle avec une gamme de produits plus large en stock : intégration de menuiseries, d’accessoires, de produits pour le sol,… l’élargissement de l’offre produits LES ÉLÉMENTAIRES avec notamment des accessoires de couverture et des produits pour le gros oeuvre, confortant la démarche initiée en 2022 avec la gamme sol ; un plan d’actions commerciales riche composé de trois opérations phares rythmant l’année ; le Bureau de la Performance Energétique, cette structure accompagnant les adhérents et leurs clients à se positionner sur le marché de la rénovation énergétique, renforce ses missions avec de nouvelles formations et outils plus performants pour gérer les dossiers d’aide financière. En complément des solutions pour satisfaire le marché de la rénovation énergétique, une nouvelle offre en matière de photovoltaïque. En apportant de la valeur ajoutée à la toiture, celles-ci permettront aux adhérents, déjà bien implantés sur ce marché, de disposer d’une offre complète pour les chantiers de leurs clients couvreurs ; des dispositifs pour accompagner les adhérents à intégrer la REP ainsi que les nouvelles réglementations en vigueur ; des outils de gestion pour améliorer la compétitivité des entreprises et limiter le risque de défaillance client. LES TROPHÉES FRANCE MATÉRIAUX 2023 POUR RÉCOMPENSER LES PARTENAIRES INDUSTRIELS…Parce que la coopération entre distributeurs et industriels est essentielle face aux enjeux économiques et environnementaux actuels, le groupement FRANCE MATÉRIAUX a souhaité récompenser trois de ses partenaires fabricants de matériaux en fonction de 3 critères : SOPREMA pour la Dynamique de l’Offre ISOLAVA pour la Qualité de Service FISCHER pour la Qualité de la Relation Commerciale … ET DES ADHÉRENTS MIS EN LUMIÈREAutre nouveauté de cette édition du Carrefour des Partenaires, la mise en avant des négoces de matériaux indépendants adhérents de FRANCE MATÉRIAUX pour leurs actions en faveur de : la transformation d’enseigne et le passage sous les nouvelles couleurs de FRANCE MATÉRIAUX selon la charte graphique de 2021 : la société LOUIS GARNIER (43) la dynamique commerciale sur les points de vente et sur les réseaux sociaux : la société SMB (38) et le Libre Service le plus dynamique mis en place par le négoce LEDESMA (83) En croissance, rappelons que FRANCE MATÉRIAUX regroupe, aujourd’hui, 156 adhérents et 243 points de vente sur l’ensemble du territoire français. Pour fédérer et créer une dynamique de groupe, FRANCE MATÉRIAUX organise, depuis fin 2022, un parcours d’intégration au sein de son siège à Chambéry, pour ses nouveaux adhérents. Pas moins de douze nouveaux adhérents ont ainsi rejoint le groupement en 2022. https://www.france-materiaux.fr/
Il y a 2 ans et 108 jours

Réforme des retraites : sur la pénibilité, le compte y est-il ?

Avec l'amélioration des "petites pensions", la prise en compte des "carrières longues" ou encore "l'index seniors", les mesures visant à "prévenir et réparer l'usure professionnelle" font partie des compensations sociales mises en avant par l'exécutif pour défendre son projet.Le compte professionnel de prévention (C2P) doit être déplafonné pour permettre aux salariés exposés à un ou plusieurs des six facteurs de risque listés par ce C2P (travail de nuit, répétitif, en 3x8, avec bruit, sous températures extrêmes, en milieu hyperbare) d'accumuler plus de points. Des droits qui permettent de financer des formations, de passer à temps partiel ou de valider jusqu'à huit trimestres pour un départ anticipé à la retraite: parfois dès 60 ans aujourd'hui, et donc 62 ans si l'âge légal de départ est relevé de deux ans en 2030.La valeur du point serait améliorée, ce qui permettrait d'accroître les droits à formation ou au temps partiel. Et le C2P devrait trouver un quatrième débouché avec la création d'un congé de reconversion, qui pourrait tenter des salariés souhaitant quitter des métiers pénibles.En outre les seuils d'acquisition de points seraient abaissés pour le travail nocturne (100 nuits par an contre 120 aujourd'hui) ou en "équipes successives alternantes", notamment en 3x8 (30 nuits contre 50). Ce qui ouvrirait des droits à 60.000 personnes de plus chaque année, selon le gouvernement.L'exécutif a en revanche refusé de réintégrer les trois facteurs de pénibilité dits "ergonomiques" (ports de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques) exclus du compte en 2017.Ces critères sont "extrêmement difficiles à mesurer individuellement", a fait valoir le ministre du Travail, Olivier Dussopt. Pas question, donc, de satisfaire la demande unanime des syndicats, qui exigeaient leur réintégration, alors qu'a contrario le patronat ne voulait pas en entendre parler."Usine à gaz"L'enjeu n'est pas mince car les risques ergonomiques, à l'origine des troubles musculo-squelettiques (TMS), "représentent 90% des maladies professionnelles reconnues", de l'aveu même de l'étude d'impact de la réforme.Faute de prise en compte de ces critères dans le C2P, "il faudra être malade pour partir à la retraite plus tôt", déplore Dominique Corona, secrétaire général adjoint de l'Unsa.Accusé d'inaction sur les risques ergonomiques, le gouvernement s'est défendu en présentant des mesures spécifiques.D'abord, un nouveau "fonds d'investissement dans la prévention de l'usure professionnelle", le Fipu, sera doté d'un milliard d'euros sur cinq ans par le régime des accidents du travail et maladies professionnelles (AT-MP), branche excédentaire de la Sécurité sociale, pour financer notamment des actions de formation. Des accords de branche seront censés identifier les métiers les plus exposés.Ensuite, un suivi individuel sera mis en place à partir de 45 ans pour les salariés "dont l'état de santé est altéré", selon le gouvernement. Lors d'une visite médicale entre 60 et 61 ans, ils seront informés de la possibilité de bénéficier d'une pension pour inaptitude.Les soignants du public auront leur propre fonds de prévention, qui mobilisera 100 millions d'euros pour faire face à des risques particulièrement élevés: en 2021, 12% des infirmiers, 18% des aides-soignants et 25% des agents des services hospitaliers qualifiés étaient en maladie à l'heure de liquider leur retraite.Le meccano gouvernemental sur la pénibilité ressemble à "une usine à gaz", critique Pascale Coton, vice-présidente de la CFTC, qui a plaidé - en vain - pour "un carnet de santé tout au long de la vie professionnelle", afin de "faire reconnaître des droits plus facilement". Le compte n'y est pas, alerte la responsable syndicale, en ajoutant: "et tant qu'on reste sur un âge légal à 64 ans, le compte y est encore moins".
Il y a 2 ans et 109 jours

Eolien et solaire : la France ne devrait pas atteindre ses objectifs à fin 2023

Pour l'éolien terrestre, l'objectif officiel de 24,1 gigawatts (GW) de capacités installées qui avait été fixé en 2020 pour la fin de l'année 2023 "ne sera pas atteint", le pays parvenant à peine à 20 GW à fin septembre 2022. "La progression actuelle n'est pas en phase avec le rythme demandé par la programmation pluriannuelle de l'énergie" sur la période 2019-2023, note ce rapport de référence qui pointe la complexité administrative, la contrainte spatiale ou encore le défaut d'"acceptabilité" des projets.Du côté du photovoltaïque, malgré un rebond en 2021 "partiellement confirmé en 2022", le sursaut arrive tard et "le secteur n'est toujours pas dans la bonne trajectoire".La France comptait 15,8 GW de capacités solaires en septembre 2022 et pourrait atteindre 19 GW fin 2023. Elle raterait les 20,1 GW attendus, et, à ce rythme, s'éloignerait toujours plus des ambitions déjà fixées pour 2028 (entre 35 et 44 GW), selon ce baromètre annuel réalisé en partenariat avec la Fédération des collectivités FNCCR et l'Ademe, l'agence de la transition écologique."La crise de l'approvisionnement en électricité, exacerbée par le conflit à l'Est de l'Europe, a révélé une prise de conscience générale du besoin d'indépendance énergétique nationale", souligne Pascal Sokoloff, directeur général de la FNCCR.Pour autant, cette édition du baromètre "démontre une fois encore le fossé entre les ambitions affichées, les déclarations et la réalité du terrain", déplore-t-il.Aujourd'hui, plus de 15 GW de projets prêts à se concrétiser sont bloqués en attente de validation des services de l'Etat, selon l'Ademe.500 millions d'euros d'amendeCe constat intervient au moment où le Parlement débat d'un projet de loi d'accélération des procédures administratives pour faciliter le déploiement des énergies renouvelables.Le contenu actuel du texte est accueilli avec circonspection par les acteurs, qui craignent au contraire une complexification et placent plutôt leurs espoirs dans une consigne gouvernementale d'accélération récemment transmise aux préfets."Le vote de cette loi montre le chemin qui reste à faire: en 2022, on pouvait s'attendre à plus d'ambition au Parlement français", a regretté mardi Vincent Jacques Le Seigneur, président d'Observ'ER, qui publie le baromètre sur la base de chiffres officiels (EDF, Enedis, etc).Cette année, le Parlement devra aussi définir, au plus tôt cet été, les nouveaux objectifs énergétiques nationaux à l'horizon de 2033, sur fond de lutte contre le réchauffement climatique et de besoins d'électricité accrus. Or toutes les projections sur la neutralité carbone promise en 2050 montrent que, relance du nucléaire ou pas, les renouvelables électriques devront être déployées massivement, pour représenter au moins 50% du total. S'ajoutent les obligations européennes. "On n'est pas dans le bon rythme pour réaliser tant les objectifs que nous nous sommes fixés, que ceux que nous avons inscrits dans le marbre européen en décembre 2022", souligne encore M. Jacques Le Seigneur.La France a déjà été condamnée à une amende de 500 millions d'euros pour n'avoir pas respecté en 2020 son engagement de parvenir à 27% d'électricité d'origine renouvelable. Selon les derniers chiffres, elle n'y arrive toujours pas, atteignant tout juste 24,2% à fin 2021.A fin 2022, le pays affichait environ 66 GW de capacités électriques renouvelables totales réparties entre 40% pour l'hydraulique (barrages), 31% pour l'éolien terrestre et 24% pour le photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 109 jours

Rénovation de l'éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d'énergie qui dépassent l'objectif attendu

D'une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d'un rez-de-chaussée où se trouve l'espace d'accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d'un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d'une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l'entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN.Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin - Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected.Un objectif initial de 75% d'économie d'énergie en hiverAfin d'atteindre les économies d'énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d'éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d'éclairage réalisée par le bureau d'études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer :les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected,les spots fluocompacts d'une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II.Pour apprécier l'efficacité de la solution d'éclairage recommandée et s'assurer qu'elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l'apport de lumière naturelle) ont d'abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l'ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022.Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d'éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 110 jours

Comment l’innovation technologique va-t-elle transformer l’immobilier ?

Les innovations technologiques submergent nos façons de vivre, de travailler, de consommer… Cependant, dans notre monde d’aujourd’hui, déstabilisé, en rupture, dans lequel les ressources s’amenuisent et qui nous oblige à tout repenser, ces innovations suffisent-elles, dans leur rythme et dans leur forme, à transformer notre industrie en pleine transition, face aux urgences climatiques et de décarbonation ? Doit-on faire le choix de la technologie ou de la frugalité ? Comment la technologie transforme-t-elle positivement la société, la Ville, l’immobilier, ses acteurs et leurs métiers ? Comment peut-elle être source d’inspiration ?Immobilier et Climat, choisir entre frugalité et innovation technologique ?Dans un contexte où la COP 27 vient de se s’achever, que les derniers rapports du GIEC nous rappellent clairement les impacts du changement climatique, nous soumettent des solutions, et où un plan national de sobriété énergétique a été publié par le gouvernement, nous devons nous interroger sur les leviers possibles afin que le secteur du bâtiment réduise ses émissions de gaz à effet de serre ainsi que sur la pertinence de ses leviers.L’industrie bâtimentaire pèse aujourd’hui 40% dans l’émission de CO2. Cette émission englobe en réalité toute la chaîne qui va du foncier jusqu’à la création et ensuite l’utilisation d’un bâtiment. En plus, nous pouvons y ajouter 20% de gaz à effet de serre pour tout ce qui touche aux déplacements, et c’est particulièrement le cas pour ce qui est des territoires et leur conception. « Est-ce qu’un territoire peut être frugal ? Non, car il n’agit pas seul, mais les habitants agissent. Il faut donc pouvoir réfléchir à une meilleure utilisation des matériaux, et de tout ce qui est à notre disposition » explique Matthias Navarro, CEO Redman. « La frugalité est donc un raisonnement sur une consommation modérée et réfléchie des ressources, et non une réduction de nos consommations parce que cela fait mal à nos finances » selon Arnaud Bekaert, Directeur Général Promotion Ile de France, Filiales, UrbanEra et Immobilier Commercial - Bouygues Immobilier.D’un autre côté, lorsque nous regardons l’histoire et la technologie au niveau global, celle-ci représente seulement 1% de l’impact carbone. Mais ce 1% a créé des transformations majeures dans d’autres secteurs. Elle permet aujourd’hui de faire beaucoup plus vite, de faire moins mais mieux.« La technologie nous fait agir en temps réel, 24/24, de prendre en compte les données météorologiques par exemple…La vraie question que l’on peut se poser est pourquoi la mise en place de ces innovations ne se fait-elle pas plus rapidement dans le secteur de l’immobilier ? » questionne Khadija Nadi, CEO DeltaQ. La crainte première est celle de l’obsolescence rapide de tout ce qui est hi-tech. Les objets connectés seraient mis au rebut plus rapidement, engendrant ainsi une accélération du sujet de l’impact climatique. Cela doit donc forcément amener un changement des mentalités. Aujourd’hui 85% des bâtiments existants seront encore debout en 2050. Et des solutions attendues pour 2030 sont déjà mises en oeuvre aujourd’hui au sein des Villes et des ruralités comme le changement des usages par exemple.« Au-delà du débat, ce combat se gagne et se perd ensemble. Ce qui est important c’est de comprendre que les enjeux ont changé, nous tendons vers un Temps que personne ne connait, vers une adaptation que personne n’a jamais faite, vers un modèle qui n’existe pas encore. Il faut donc travailler ensemble, main dans la main, et être ouvert d’esprit pour attaquer ce problème. » Philippe Le Fort, Director T&I – Head of Ambio Patrizia SE.La technologie aujourd’hui, une source d’inspiration pour l’immobilier ?Si la période du Covid a accéléré la transformation des usages que nous vivons aujourd’hui (le télétravail, la ville du quart d’heure), ces changements s’appliquent de fait au marché de l’immobilier. Les changements d’usages et de modèles viennent, en effet, de la demande et non plus de l’offre. Les habitudes de vie et de travail ont changé. Mais l’immobilier est souvent perçu comme étant lent à l’adoption de la technologie.Il y a beaucoup de choses qui ont changé dans la tech depuis 20 ans, avec notamment deux grands phénomènes clés qui ont transformés les industries : la convergence entre l’accès à la technologie avec le déploiement du smartphone (60 % de personnes en possède un aujourd’hui) et la démocratisation de la puissance de calcul à faible coût par le cloud. « Une capacité de calcul et de traitement qui était réservée à l’armée il y a à peine dix ans est devenue accessible à tout un chacun » explique Philippe Vimard, COO / CTO Doctolib.Dans l’hôtellerie par exemple, l’ère du digital a poussé le parc hôtelier et les hôteliers à améliorer leur qualité de service de façon significative et qualitative. « Finalement le Web 2.0 d’il y a quinze ans a challengé les hôteliers en leur apportant un accès direct au client, et en parallèle, en apportant au client un impact direct aussi sur le produit dans lequel il consomme. » énonce Alexandra Goguet, Senior Director Development France & Benelux Marriott International.Pour autant, les lignes vont devoir bouger. Les usagers cherchent davantage de services, de solutions, d’idées facilitant leur quotidien, afin de mieux habiter la ville et la consommer « utile ». « La technologie a un défi auquel elle doit composer : le capital humain et le capital planète/environnement. Toute technologie doit être pensée en ne perdant pas de vue l’aspect social, sociétal et planétaire. » détaille Stéphanie Zolesio Roux, Directrice Générale Executive, Casino Immobilier. La réalité aujourd’hui, c’est qu’il y a des technologies bien établies, qui existent, qui peuvent être déployées immédiatement dans les entreprises afin de faire une différence. Pour collecter de la donnée, créer une fondation, créer les produits de demain, de l’optimisation interne. « Si nous regardons ce qui s’est produit dans les autres industries, la technologie va venir disrupter l’immobilier, c’est une certitude. » explique Philippe Vimard. « Quand on manipule des actifs physiques, il est tentant de croire qu’on est assez immunisé face à la technologie. Mais je pense qu’on ne fera pas la transition environnementale, on ne réussira pas à attirer les talents de demain s’il n’y a pas de modernisation de la technologie. » conclut Robin Rivaton, CEO Stonal.Lorsque le Steering Committee de ULI France a réfléchi il y a quelques mois sur le thème de cette conférence, un accord a assez vite été trouvé, non sans débat sur le sujet de la technologie. La raison ? L’industrie immobilière tarde à intégrer les avancées technologiques alors que ces dernières ouvrent des possibilités incalculables sur l’avenir. « Nous avons des progrès à faire dans ce domaine. Alors oui la technologie c’est compliqué, ce n’est pas notre métier. Mais ne l’oublions pas, c’est aussi une vague que nous n’arrêterons pas. Nous devons être dans l’anticipation en stockant par exemple de la data pour un usage de demain. » résume Sébastien Chemouny, président ULI France et Head of France Allianz Real Estate.
Il y a 2 ans et 110 jours

La cité administrative d'Amiens : une nouvelle référence de construction bas carbone pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

Après le projet de réhabilitation de la Cité administrative de Rouen, le groupement mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest a remporté la construction d'une nouvelle Cité Administrative, celle d'Amiens. Ce Marché Public Global de Performance d'un montant total d'environ 46,5 M€ est un projet exemplaire de 20 000 m² répartis sur 3 bâtiments qui allie qualité énergétique, environnementale, fonctionnelle et d'usage. La future Cité intégrée à la ZAC Gare-La Vallée accueillera 1100 agents à l'automne 2023.La Cité Administrative d'Amiens est l'une des 4 cités administratives françaises qui font l'objet d'une construction neuve. Implantée au coeur d'Amiens, la future Cité, dite du XXIème siècle, va intégrer le nouveau quartier de La Vallée aussi nommé « Gare La Vallée », un projet urbain qui s'étend sur 170 hectares entre les voies ferrées de la gare d'Amiens et les berges de la Somme. Il a été validé dans le contrat de développement territorial de l'Amiénois et vise à moderniser les services publics et à assurer l'attractivité du territoire. Le Groupement de conception – réalisation – exploitation - maintenance, mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, compte 9 sociétés cotraitantes aux expertises complémentaires, contribuant ainsi à la dynamique économique du territoire picard. Après 9 mois et demi de conception, les travaux ont démarré en octobre 2021 et s'achèveront à l'automne 2023.Un projet de construction bas carboneLa future Cité a été pensée pour être exemplaire en termes de construction durable, c'est-à-dire à la fois peu consommatrice d'énergie en phase d'exploitation, tout en garantissant le confort des agents et du public. Elle vise la labellisation Passivhaus, un niveau 3 Bâtiment biosourcé et un niveau bas carbone E2C1.Pour atteindre ces objectifs, le projet repose sur plusieurs axes forts :Une conception bioclimatique qui favorise les économies d'énergie, permet de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation tout en améliorant le cadre de vie. Ainsi les volumes ont été pensés pour favoriser la lumière naturelle et bénéficier des apports solaires. De plus, la gestion de l'énergie sera optimale grâce au raccordement au réseau de chaleur urbain et au futur réseau de froid urbain ;Des solutions constructives préfabriquées en filières sèches : le projet intègre du bois à hauteur de 95 dm3/m2 de plancher avec notamment la mise en oeuvre de 9500m² de planchers bois CLT (Cross Laminated Timber), soit au total 1700m3 de bois pour les planchers. Ce projet est l'un des chantiers bois majeurs de Bouygues Bâtiment France, et les équipes chantier Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui en assurent la pose bénéficient de l'accompagnement de WeWood, le pôle d'expertise en construction bois de Bouygues Bâtiment France.Une enveloppe thermique très performante (laine de roche de 220 mm d'épaisseur pour les façades, isolant polyuréthane en toiture terrasse, fibrastyrène pour le parking, isolation performante des longrines et dalles portées…) et des menuiseries mixtes bois/alu dotées de triple-vitrage.La mise en œuvre de matériaux naturels comme, par exemple, les revêtements de sol Marmoleum ou la peinture Algo à base d'algues.Un projet misant sur le confort et le bien-être des agents et du publicD'une superficie totale de 20000 m2, les 3 bâtiments accueilleront 18 services administratifs, soit 1 100 agents, un restaurant inter-administratif de 900 m2 ainsi qu'une crèche de 15 berceaux avec un jardin attenant. Les flux seront bien identifiés pour optimiser l'accueil du public et l'environnement de travail des agents.L'architecture des 3 bâtiments se veut flexible, avec des aménagements intérieurs modulables : la structure en poteaux poutres et les cloisons amovibles ont ainsi été pensées pour permettre une flexibilité des espaces de travail.Elle repose en outre sur le concept de biophilie, c'est-à-dire l'intégration du vivant dans l'environnement bâti, ce qui se traduit par une valorisation du bois dans les espaces de travail, la végétalisation des passerelles de liaison entre bâtiments et des espaces extérieurs, etc.Enfin, le projet s'intègrera harmonieusement dans le quartier grâce à une large partie des façades des bâtiments revêtues de tuiles émaillées.Ce matériau fait écho, de manière contemporaine, à la brique omniprésente à Amiens. Ces tuiles sont produites localement, en Picardie, à Saint-Germer-de-Fly, par la société EDILIANS. Les 7000 m² de façades en bardage tuiles émaillées seront intégralement réalisés en part propre, par les équipes polyvalentes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest.
Il y a 2 ans et 110 jours

INOHA lance sa plateforme de Business Intelligence

Dans cette période d’incertitude, les entreprises ont besoin de s’appuyer sur des données pertinentes, complètes et précises pour prendre les meilleures décisions. Dans cet objectif, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, propose à ses adhérents un service innovant pour gagner en performance : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence, véritable observatoire de l‘économie et des tendances du Nouvel Habitat, favorisant le décryptage des données et la connaissance du marché. Un outil essentiel d’aide à la décision Exclusivement réservé à ses adhérents, la plateforme INODATA est accessible depuis l’espace du site Internet d’INOHA : www.inoha.org. Indispensable au bon pilotage des entreprises, elle regroupe, en un lieu unique, des données très complètes, essentielles à la prise de décision. Elle comprend : Sur le marché de la GSB, en collaboration avec la FMB, des données mensuelles sur 12 rayons, 64 familles, 274 sous-familles du référentiel INOHA en Grandes Surfaces de Bricolage ; Sur le marché du Négoce, avec XERFI, des données mensuelles sur 12 rayons ; Sur le marché de la GSA, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles ; Sur le marché de la Jardinerie-Lisa, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles. A cette offre, s’ajoutent des services et des études consommateurs exclusifs dans les domaines suivants : Economie générale avec 37 indicateurs macroéconomiques (matières premières, mise en chantier, moral des ménages, inflation …) ; Marchés : enquête trimestrielle sur les comportements d’achat et les circuits d’achat par enseigne, réalisée avec GFK ; Tendances : analyse des recherches des consommateurs sur Internet, observatoire des rayons et des acteurs de la distribution, réalisés avec la start-up Trajaan. Enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Grâce à la nouvelle plateforme INODATA, les adhérents d’INOHA accèdent facilement aux données qui les intéressent, peuvent élaborer des tableaux de bord personnalisés et les partager entre collaborateurs grâce à la data visualisation. Une souscription à la carte INOHA propose une souscription à la carte pour s’adapter au besoin de chacune des entreprises adhérentes. De plus, en mutualisant les coûts, INOHA rend ces données accessibles à des tarifs très abordables. « INODATA est un outil très puissant sur la connaissance des marchés et des tendances. Aucune Association ou Fédération ne propose, à ma connaissance, ce type d’outil qui permettra à nos adhérents d’avoir une vision juste sur les marchés et un coup d’avance sur les tendances » souligne Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. A propos d’INOHA Association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, INOHA fédère, depuis 1978, les fabricants de produits manufacturés destinés à l’entretien, au bricolage, à l’aménagement extérieur, au jardinage, à l’amélioration de l’habitat et à la construction résidentielle neuve. INOHA les fédère pour les aider à accélérer leur développement dans une approche multi-canal et s’engage auprès d’eux à les éclairer, à construire et à peser dans un esprit de partage, d’engagement et de respect. INOHA et ses adhérents sont au service des Français qui font de leur habitat une valeur refuge, source de leur bien-être.
Il y a 2 ans et 113 jours

A Paris, la "promenade urbaine", symbole d'une mue difficile à La Chapelle

"En juillet 2019, on flânera sympa à La Chapelle." Cet engagement de la maire PS Anne Hidalgo, formulé en 2018, peut prêter à sourire pour quiconque déambule dans ce quartier du nord de Paris, à la limite du XVIIIe arrondissement.Dur en effet de déambuler paisiblement autour de la station homonyme: des grappes d'hommes proposent des cigarettes de contrebande ou, un peu plus loin, d'autres produits dans un marché de rue improvisé qui laisse peu de place au passant.Dans le petit square rénové et agrandi pour ce projet, pas une famille qui traîne en fin d'après-midi; quant à celui d'en face, bien entretenu par des personnes en réinsertion sous l'égide d'Emmaüs, il n'est plus accessible au public, se plaint Marie-Madeleine Petit, habitante du quartier depuis 1997.Sous le viaduc de la ligne 2 du métro, ouvrage métallique construit au début du XXe siècle, la "promenade urbaine" promise sur 1,4 km connaît plusieurs ratés: un skate park en mauvais état et donc dangereux pour la pratique, une exposition photo aux cadres tagués, des kiosques neufs mais vides...Plus que les toilettes sèches qui n'ont tenu que quelques mois avant d'être retirées, en raison de fuites d'urine sur la voie publique, l'abandon de la pépinière des Fermiers Généreux, à l'automne 2022, a été le désaveu le plus cinglant pour la mairie.Installée en février 2020 pour un budget de 265.000 euros, cette parcelle d'agriculture urbaine sur du bitume aura tenu trois ans avant d'être démontée en décembre.L'association retenue pour mener le projet, Vergers Urbains, s'est retrouvée débordée à partir de juin par des vagues de réfugiés qui y ont trouvé un abri, protégé de la pluie."On passait trop de temps sur les déchets et la réparation, on ne voyait pas le bout du tunnel", déplore Sébastien Goelzer, coordinateur de Vergers Urbains.Début juin, la mairie affirmait pourtant que l'arrêt de ce dernier n'était "pas envisagé" et prévoyait même un "renforcement des activités"..."Ambition inadaptée"Montrant le goudron et la base des piliers du métro calcinés par les feux des migrants, Loïc Guézo, président de l'association Demain La Chapelle, dit avoir prévenu la mairie contre "des usages créés ex-nihilo" et une "ambition inadaptée au quartier".Si les riverains ont participé à la concertation sur l'axe piéton, M. Guézo, 56 ans dont 22 dans ce quartier, dénonce une "poudre aux yeux: l'essentiel est décidé par les services techniques de la mairie".Interrogé par l'AFP, la mairie de Paris reconnaît que "le site ne fonctionne pas comme il devrait".Mais Alexandra Cordebard, maire (PS) du Xe arrondissement, refuse de parler d'échec : "certaines choses ont marché, d'autres pas et il y a eu des circonstances" avec le Covid et la récente vague de réfugiés, dit-elle.Dans son secteur, le réaménagement d'un rond-point végétalisé en place piétonne a entraîné le même débat entre transformation de l'espace public et entretien de l'existant. Si les opposants dénoncent son coût - 800.000 euros - et la présence d'hommes alcoolisés le soir, la mairie du Xe défend une "occupation beaucoup plus familiale en journée".Sur la promenade urbaine, le maire PS du XVIIIe arrondissement Eric Lejoindre défend lui des "acquis", comme les trottoirs élargis et les pistes cyclables. Pour quel budget ? L'élu socialiste juge "très élevé" le montant de 11 millions d'euros avancé par les associations.A défaut de nouveaux usages, Demain La Chapelle milite pour un axe "propre et éclairé, sans installation", estimant que depuis le démontage de la jardinière "les passants réinvestissent ce lieu".Philippe Girault, un autre membre de l'association, compte sur l'éclairage très attendu du viaduc par le dessous, qui doit mettre en valeur ce patrimoine de la Belle Epoque pour que les "gens s'approprient cet endroit".Et reçoit défavorablement l'idée d'un centre d'accueil évoquée par Anne Hidalgo, mi-décembre, après l'évacuation de 800 migrants.Un mois plus tard, la mairie est toujours "au stade de la réflexion", ont indiqué les élus interrogés.
Il y a 2 ans et 113 jours

Le Groupe em2c livre à Lyon l'immeuble WElink de 22.500 m²

L'immeuble tertiaire en R+3, développe 18.600 m² de SDP en superstructure (+ 3.900 m² de parking en sous-sol) dont 16.800 m² de bureaux, et 1.800 m² d'espaces collectifs (restaurant d'entreprise, salle de sport, conciergerie…). L'immeuble propose 129 places de stationnement en sous-sol.L'utilisateur ENEDIS a pris possession du bâtiment pour y réaliser ses aménagements intérieurs. L'immeuble y accueillera bientôt les 1.400 collaborateurs de sa Direction des Services Informatiques et de ses Opérateurs Informatiques et Telecom. Ce nouveau site sera le troisième en importance pour ENEDIS.Le bâtiment est candidat à la certification BREEAM Niveau Very GoodVoisin de la Halle METRO Gerland (livrée par le Groupe em2c en 2022), WElink fait partie de l'îlot économique de Canopéa (projet urbain mixte activité/logements) développé par Ginkgo et em2c.
Il y a 2 ans et 113 jours

Deep Collection de Rehau, l'élégance du coloris mat au sein de la cuisine

Dans ce contexte, REHAU, en tant que marque établie dans l'industrie du meuble et synonyme de solutions bien pensées, qualitatives et fonctionnelles, présente Deep Collection, la nouvelle gamme de coloris RAUVISIO crystal. Une collection qui ajoute un effet de profondeur élégant à l’aspect verre des surfaces RAUVISIO: l'aspect métallique subtile offre une ambiance chatoyante. Cette nouvelle collection Deep apporte une nouvelle dimension de profondeur aux finitions de surface mates.Grâce à la gamme innovante Deep Collection, inspirée des profondeurs de l'océan, le stratifié RAUVISIO crystal offre de nouvelles possibilités en matière de décoration intérieure. La vaste gamme de couleurs disponibles offre aux designers et aux décorateurs d'intérieur des possibilités uniques pour la conception de meubles et d'intérieurs, ainsi que pour réinventer des surfaces unies en y ajoutant un élément original et de qualité. Que vous recherchiez un contraste saisissant ou une élégance discrète en combinaison avec d'autres surfaces, RAUVISIO crystal Deep s'intègre parfaitement aux autres éléments de la pièce.La collection intemporelle comprend sept teintes uniques qui se combinent parfaitement entre elles ainsi qu’avec les autres produits REHAU, et même avec des matériaux naturels comme le bois ou la pierre. La philosophie de l’harmonie du design, qui est présente dans toutes les collections REHAU, est appliquée de manière cohérente lors de tous les lancements de produits. RAUVISIO crystal Deep est disponible comme solution d'espace de rangement sous forme de rideaux d’armoire RAUVOLET crystal-line avec une quantité minimale de commande. Les bandes de chant constituent un autre élément de la collection assortie. Il y a plus de 50 ans, REHAU a développé RAUKANTEX, une solution qui a fait de l'entreprise un partenaire de confiance dans l'industrie du meuble. Avec ses finitions zéro joint, RAUKANTEX pro transforme les panneaux en composants parfaitement intégrés, tant sur le plan de l'apparence que de la fonctionnalité. RAUKANTEX est disponible pour toutes les couleurs et tous les formats de panneaux RAUVISIO crystal Deep pour un aspect harmonieux et uniforme avec des effets de profondeur captivants.En termes de traitement, le RAUVISIO crystal combine l'aspect classique et polyvalent du verre avec les propriétés exceptionnelles du stratifié en polymère, tant dans sa mise en oeuvre que dans son application et son utilisation quotidiennes. La collection RAUVISIO crystal Deep peut être travaillée avec les outils de menuiserie classiques utilisés pour le travail du bois, ce qui signifie une liberté absolue pour les architectes d'intérieur. Dans l'utilisation quotidienne, ce matériau innovant se distingue également par sa grande durabilité : non seulement il est facile à nettoyer, mais il est également extrêmement résistant aux cassures et aux rayures.Afin d'offrir rapidité, fiabilité et qualité, REHAU met en outre à la disposition de ses utilisateurs une série de services et d'outils innovants tels que le configurateur de surface, qui leur permet de commander des panneaux personnalisés avec les bords déjà plaqués en bandes de chant assorties. Il est également possible, avec une quantité minimale de commande, d'adapter les surfaces RAUVISIO crystal aux spécifications individuelles sur la base des couleurs RAL en brillant ou en mate.Dans l'ensemble, REHAU, en tant que spécialiste de la transformation des polymères et fournisseur de composants pour l'industrie du meuble, s'est imposé comme le partenaire le plus compétitif du marché grâce à ses solutions de conception innovantes et de haute qualité qui offrent également des performances élevées.
Il y a 2 ans et 113 jours

Urbanisme : petit à petit, la démat' fait son nid

Les premières difficultés techniques réglées, il reste à convaincre certains porteurs de projets et services de s'engager dans le...-Droit de l'urbanisme
Il y a 2 ans et 113 jours

Forte mobilisation dans la rue contre la réforme des retraites malgré la réserve de certaines organisations patronales

De Calais à Nice, les manifestants ont battu le pavé dans la matinée, avant que le cortège parisien ne s'ébranle vers 14H15 pour dire "non" au recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans, sur fond de large mécontentement social dans un contexte d'inflation."Je trouve qu'on se fout de notre gueule. Ils ne savent pas ce que c'est que de travailler jusqu'à 64 ans dans ces conditions-là", exprimait avec véhémence Manon Marc, animatrice scolaire croisée dans la capitale.Les premiers chiffres remontés par les autorités attestent d'une mobilisation très importante: 36.000 personnes ont ainsi défilé à Toulouse, 26.000 à Marseille, 25.000 à Nantes, 19.000 à Clermont-Ferrand, 15.000 à Montpellier, 14.000 à Tours, 12.000 à Perpignan et Orléans, 6.500 à Mulhouse et Périgueux...Les pointages de la police ou des préfectures sont particulièrement significatifs dans des villes moyennes, à l'image de Pau (13.600 manifestants), Angoulême (9.000) ou Châteauroux (8.000).Globalement, les niveaux sont comparables voire supérieurs à ceux du 5 décembre 2019: au démarrage de la contestation contre le précédent projet de réforme des retraites, la police avait compté 806.000 manifestants en France, la CGT 1,5 million."C'est énorme"Dans la foule, beaucoup de primo-manifestants, comme à Marseille, Jérôme Thevenin, cuisinier de 52 ans à la carrière "hachée", qui a longtemps travaillé comme saisonnier."Je n'ose même pas faire le calcul pour savoir quand je pourrai partir. Mais je vois la retraite approcher et je me sens davantage concerné", dit-il, en espérant que la mobilisation "fera réfléchir le gouvernement"."Je pense que le million va être dépassé", a déclaré le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, dans le carré de tête de la manifestation à Paris, évoquant une mobilisation "réussie"."On est clairement sur une forte mobilisation, au-delà ce qu'on pensait", a abondé le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, également avant le départ du défilé parisien. "C'est énorme", s'est enthousiasmé Simon Duteil, de l'union Solidaires.A Marseille, le chef de file de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a estimé que "le gouvernement a perdu sa première bataille, celle d'avoir convaincu les gens de la nécessité de sa réforme".Les Français n'ayant pas recours au télétravail, qui s'est fortement développé depuis le Covid, doivent composer avec des transports en commun au compte-goutte.A la SNCF qui affiche un taux de grévistes de 46,3%, la circulation était "très fortement perturbée": un TGV sur trois circule, voire un sur cinq selon les lignes, et à peine un TER sur dix en moyenne. Le métro parisien est également "très perturbé"."Un conflit dur"De nombreux services publics font également l'objet d'appels à la grève, dont l'éducation, où le principal syndicat, la FSU, dénombre 70% d'enseignants grévistes dans les écoles et 65% dans les collèges et lycées.Le ministère chiffre pour sa part la mobilisation à 42% dans le primaire et 34% dans le secondaire. Quelques dizaines d'établissements ont été l'objet de blocus à Paris, Rennes, Tours et Toulouse notamment.Il n'y avait aucun trafic au port de Calais, premier de France pour les voyageurs, en raison d'une grève des officiers de port.Raffineries et dépôts pétroliers étaient aussi appelés à cesser leurs activités. Dans la raffinerie TotalEnergies de Feyzin (Rhône), où les expéditions ont été suspendues, le taux de grévistes a atteint 86%, selon la CGT.La direction d'EDF faisait part de 44,5% de grévistes sur ses effectifs totaux à la mi-journée.Pour le leader de Force ouvrière, Frédéric Souillot "on est partis pour un conflit dur" et "il faut bloquer l'économie"."Impôt sur la vie"Une réponse à Emmanuel Macron, qui a jugé mercredi qu'il fallait "faire le distinguo entre les syndicats qui appellent à manifester dans un cadre traditionnel et ceux qui sont dans une démarche délibérée de bloquer le pays".Les huit principaux syndicats présentent un front uni inédit depuis 12 ans. Les partis de gauche sont aussi vent debout contre une réforme vue comme "un impôt sur la vie", ont accusé les parlementaires socialistes.Cette première journée a valeur de test pour l'exécutif comme pour les syndicats, qui se retrouveront à partir de 18 heures pour décider d'une nouvelle date - le 26 janvier est sur la table.La CGT du pétrole veut se remettre en grève ce jour-là pour 48 heures, et le 6 février pour 72 heures.La CGT Mines-Energie a elle aussi annoncé une grève reconductible. Les baisses de production d'électricité se sont déjà fortement intensifiées jeudi, atteignant au moins l'équivalent de deux fois la consommation de Paris.Avant la présentation du texte en Conseil des ministres le 23 janvier, le gouvernement continue de faire œuvre de "pédagogie", Elisabeth Borne défendant un "projet porteur de progrès social pour le pays".Des organisations patronales réservées sur la réformeA la veille d'une journée de grève nationale et unitaire des syndicats de salariés, le CJD a dénoncé dans un communiqué une réforme "profondément inéquitable"."En France, le seul moyen de sauvegarder notre système serait donc de travailler toujours plus?", fait mine de s'interroger l'organisation, qui compte bien moins d'adhérents (environ 6.000) que les trois grandes organisations patronales (Medef, CPME et U2P), plutôt favorables à la réforme."Au CJD, des chefs d'entreprise expérimentent de nouvelles formes de coopération, certains autour des 32h, d'autres autour des congés illimités, etc. Il ne s'agit pas de travailler plus, il s'agit de travailler mieux en répartissant mieux la richesse produite", avance le CJD. L'organisation patronale avance également un argument écologique. Selon elle, "le principe de travailler toujours plus pour continuer à faire croître notre économie néolibérale s'inscrit dans une vision économique et anthropologique d'un autre âge, fondée sur une croissance infinie dans un monde fini"."Même en la décarbonant complètement, en la +verdissant+, la poursuite de la croissance n'est pas tenable", insiste le CJD.Depuis l'annonce des modalités de réforme des retraites le 10 janvier, d'autres organisations patronales ont exprimé des réserves, sur un ton cependant moins virulent.L'Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (Udes) a ainsi appelé le gouvernement à "largement renforcer" les mesures en faveur de l'emploi des seniors, tout en saluant le "bon équilibre" trouvé autour de l'âge légal de départ en retraite (repoussé à 64 ans d'ici 2030).La Fédération nationale des auto-entrepreneurs a déploré de son côté que les indépendants soient "oubliés injustement de certaines évolutions", citant notamment "la prise en compte de la pénibilité".Les critiques restent toutefois minoritaires au sein du patronat, le Medef ayant applaudi une réforme "indispensable" tandis que la CPME soulignait que "travailler plus longtemps était une nécessité pour sécuriser et équilibrer les finances du régime (des retraites) dans la durée."
Il y a 2 ans et 114 jours

Berner lance sa nouvelle génération de forets

Berner dévoile sa nouvelle génération de forets Powerbreaker SDS-Max [©Brener] Groupe européen d’outillage et services, Berner dévoile sa nouvelle génération de forets à béton Powerbreaker SDS-Max. Celle-ci présente une tête de perçage inédite. Sa nouvelle géométrie des dents carbure permet une vitesse de perçage supérieure aux précédentes générations. La durée de vie est aussi augmentée et les risques de casse, diminués. Lire aussi : Fischer, l’ancrage du siècle Pour briser les plus gros morceaux de béton, des pointes carbure se positionnent sur la tête du foret. Ainsi, cela réduit les risques de bourrage. Pour poursuivre son amélioration, l’outil dispose d’une nouvelle pointe de centrage monobloc. Munie de trois taillants en carbure, elle augmente la résistance et la précision. Enfin, l’extraction des poussières se fait efficacement via des gorges à “gros volume”. Différents diamètres pour différents usages Les forets Powerbreaker SDS-Max existent dans différents diamètres. De quoi les adapter à chaque usage. Les diamètres de 45 et 55 mm sont utiles pour le perçage des évacuations des eaux usées. Celui de 65 mm permet la réalisation de travaux d’électricité. La longueur des forets varie entre 410 et 850 mm. En fonction de ses besoins, l’utilisateur peut installer un prolongateur ou un adaptateur, lui permettant d’atteindre une longueur de perçage de 1600 mm. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 114 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 114 jours

Trophée environnement des fabricants de matériels : Kiloutou récompense Volvo

Le “Trophée Environnement des Fabricants de Matériels” était remis ce mardi 10 janvier en amont des Yellow Partners' Days, salon international organisé par le Groupe Kiloutou et réunissant les équipiers de ses différentes entités et principaux fournisseurs, au parc des expositions de Lille Grand Palais. Cette année, Volvo est distingué pour ses engagements en faveur d'un business model conciliant durabilité et performance :Stratégie climat volontariste avec un objectif Net Zero émission en 2040 sur l'ensemble de sa chaîne de valeur, depuis l'approvisionnement en matières premières jusqu'à la fin de vie de ses produits,Feuille de route environnementale ambitieuse avec une première étape à horizon 2025 : gagner 30% d'efficience sur le système logistique, économiser plus de 150GWh par an et atteindre les 65% d'énergies renouvelables,Solutions alternatives qui nous permettent d'enrichir notre gamme “IMPAKT” : pelle électrique 2,7 t, chargeuse articulée électrique 800 L et chargeur rapide.Olivier Colleau, Président Exécutif du groupe Kiloutou déclare : “Ce trophée symbolise notre volonté de travailler en filière, en mobilisant l'ensemble de notre écosystème pour accélérer la transition du secteur. En remettant le trophée à Volvo, nous saluons une démarche qui bénéficie à tous et qui offre des solutions concrètes pour réduire l'impact environnemental des chantiers”.Davy Guillemard, Président Volvo CE France ajoute : « Cette distinction honore le groupe Volvo et conforte notre engagement dans une stratégie climat volontariste initiée depuis de nombreuses années. Nous sommes heureux de recevoir ce trophée, c'est une reconnaissance du groupe Volvo en tant que leader en matière de Services & Solutions qui contribuent au développement durable, à la réduction de notre empreinte carbone et à dessiner le monde dans lequel nous voulons vivre".Yani Penet, Président Directeur Général de Volvo Financial Services France complète : "Notre engagement commun est déterminant pour atteindre nos objectifs de réduction d'impact environnemental. Nous sommes fiers de pouvoir, au travers de l'obtention de ce trophée, poursuivre notre partenariat et continuer à faciliter la transition environnementale de Kiloutou et de nos clients avec des solutions complètes ET simples".Créé en 2021 par Kiloutou, le “Trophée Environnement des Fabricants de Matériels” s'inscrit dans la stratégie d'impact environnemental, sociétal et territorial du Groupe.Acteur de l'économie du partage et de la fonctionnalité, Kiloutou participe à travers son modèle vertueux à la décarbonation des chantiers du BTP. Pour rappel, le métier de la location de matériels permet de réduire jusqu'à 50% les émissions carbone d'un matériel loué par rapport à un matériel possédé sur l'ensemble de son cycle de vie (étude SGS Search / Climate Neutral Group / CE Delft, juin 2019).Engagé dans une stratégie bas carbone (réduction de 40% de ses émissions directes de CO2 d'ici 2030 et atteinte de la neutralité carbone en 2050), le groupe Kiloutou déploie, en plus du “Trophée Environnement des Fabricants de Matériels”, des initiatives comme :les “Rencontres du Matériel Durable” qui rassemblent fabricants, loueurs, entreprises du BTP et fédérations professionnelles pour identifier les leviers de transformation en s'appuyant notamment sur les études réalisées avec Carbone 4 et Arthur D. Little, respectivement sur les équilibres technologiques et économiques des matériels alternatifs et les projections de mix énergétique des engins du BTP à horizon 2030,une politique R&D volontariste menée au Centre d'Essai de Kiloutou au service de la transition environnementale,une gamme “IMPAKT” réunissant plus de 3500 matériels électriques, hybrides ou bi-énergie.
Il y a 2 ans et 115 jours

Proviteq : « Nous proposons un service global. »

Georges Pillois et Laurent Missonnier, les deux co-fondateurs de Proviteq. [©Proviteq] Basée sur le binôme Georges Pillois et Laurent Missonnier, Proviteq est une TPE française spécialisée dans le matériel de laboratoire pour tester les matériaux de construction. L’entreprise s’intéresse à de nombreux sujets, au sein desquels le monde du béton est bien représenté. « Nous sommes des distributeurs dans le sens noble du terme, explique Laurent Missonnier, co-fondateur de Proviteq. Nous proposons un service global et sommes capables d’installer le matériel, de former les utilisateurs et d’assurer le service après-vente. » Equipements pour mesurer la durabilité, l’adhérence ou encore la pénétrabilité des ions chlorures dans le béton… Près de 99 % du matériel proposé par Proviteq est d’origine européenne. « La traçabilité de nos solutions est importante pour nous et nous faisons en sorte que les produits soient vérifiés, conformes aux normes et de qualité. » L’entreprise s’adresse au marché français, jusque dans les Dom-Tom. « Nous avons une grosse équipe de techniciens, l’enjeu est aussi bien le service clients que la réactivité. Pour cela, nous avons de nombreuses pièces détachées en stock et un bon réseau de fournisseurs français. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

Sermib : « Des artisans plutôt que des industriels »

Stéphane Berthat est le gérant de Sermib depuis 2018. [©Sermib] Vous avez repris l’entreprise Sermib fin 2018, pouvez-vous nous en rappeler les spécialités ? Sermib signifie Société d’études et de réalisation de moules pour l’industrie du béton. Le nom est plutôt parlant. Nous réalisons ces moules en bois et en métal, et nous avons la capacité d’y incorporer des réservations ou des fonds de moule en élastomère. Pourquoi avoir choisi de racheter cette entreprise ? Le précédent gérant, qui en était le fondateur, avait largement mérité de partir à la retraite. De mon côté, j’avais toujours travaillé dans le bâtiment, pour plusieurs industriels de second œuvre. Je cherchais à racheter une entreprise et j’ai découvert cette société de douze personnes au savoir-faire incroyable. Lors de ma première visite dans les locaux, voir et toucher les moules terminés m’a convaincu, ils étaient d’une telle qualité. Depuis votre rachat, avez-vous modifié les structures de l’entreprise ? La grande force de l’entreprise, c’est son savoir-faire manuel humain. Je me suis surtout attaché à faire confiance aux salariés en place, à libérer leur énergie et leur envie de développer l’entreprise. Nous avons aussi investi dans l’outil industriel, surtout pour en améliorer la sécurité. L’idée était d’apporter à chacun les moyens de bien travailler. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

CBGreen : Telle une start-up du recyclage

CBGreen assure la production de granulats à partir de déblais de terrassement et de bétons de démolition. [©Groupe CB] C’était latent au sein du groupe CB depuis un moment déjà. Le recyclage, l’industriel le pratique depuis 2015… Ne restait plus qu’à franchir le pas. Chose faite en juin 2020 avec la création de l’entité CBGreen. « Nous agissons telle une start-up. Nous en avons l’esprit, l’agilité, la structure légère constituée d’une dizaine de personnes. Nous profitons d’une véritable liberté », résume Nicolas Moreau, directeur “Solutions bas carbone” au cœur de la division. Bas carbone : la phrase est aussi lancée, tout comme la spécialité. Second pan de l’activité de CBGreen, elle est aujourd’hui en phase de développement. « Le bas carbone est véritablement une réponse à l’attente du marché et de nos clients », reprend Nicolas Moreau. L’idée est de proposer des solutions à base de fillers calcaires, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

Cimalux : « Face à l’urgence climatique, on stoppe la production de CEM I »

Cimenterie Cimalux sur le site d’Esch, au Luxembourg. [©Cimalux] L’histoire de Cimalux débute il y a 102 ans, sous le nom des Ciments Luxembourgeois, avec la fusion entre les Ciments d’Esch et la Compagnie Générale des Ciments. Mais aussi avec la puissante industrie sidérurgique. A l’époque, la société est intimement liée à cette dernière et réemploie les laitiers de hauts fourneaux dans la fabrication de ses ciments. Au fur et à mesure, Cimalux s’en détache et devient le seul acteur du ciment au Luxembourg. L’industriel fait désormais partie du groupe italien Buzzi Unicem, compte près de 165 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

Tendance : Grues à tour sur porteur : au plus près de la construction

Le montage des installations industrielles est l’une des utilisations des grues à tour sur porteur. Ici, la MK 88-4.1 signée Liebherr. [©Liebherr] Une grue mobile capable de lever une charge au plus près d’une construction avec une portée importante : voici le projet. Un défi relevé par l’Allemand Liebherr et le Néerlandais Spierings Mobile Cranes. La solution : une grue déployable automatiquement. Un équipement constituée d’un mât vertical, d’une cabine et d’une flèche de distribution horizontale en structure treillis, relevable, montée, via une tourelle rotative, sur un porteur routier multi-essieux. Concurrentes des grues mobiles télescopiques conventionnelles, les grues à tour sur porteur ne nécessitent ni le montage d’une fléchette, ni celui de contrepoids additionnels. Le transport se limite à la machine elle-même, conduite, mise en œuvre et opérée par une seule personne. « Une grue sur porteur à quatre essieux Spierings Mobile Cranes est dépliée en 7 mn », indique le constructeur néerlandais. La mise en station des Liebherr prend, elle, une demi-heure, dont 10 mn pour le déploiement… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

MT Béton : « Je suis au service des industriels du béton »

MT Béton propose du matériel et des fournitures ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. [©ACPresse] MT Béton est née début 2020, juste avant la pandémie de Covid… Est-il délicat de piloter le développement d’une entreprise dans de telles circonstances ? Absolument… Entre janvier et février 2020, les clients avaient eu vent de la création de mon entreprise. Il y a eu beaucoup de déplacements de ma part. Puis le 14 mars, le Covid est arrivé et tout s’est arrêté. Un moment de grande angoisse… Toutefois, les clients visités en début d’année ont passé les premières commandes ! Ainsi, entre avril et décembre 2020, le chiffre d’affaires prévu pour l’année a pu être réalisé malgré tout. Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est MT Béton ? MT Béton propose du matériel et des fournitures, ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. Autour d’une presse à blocs, il faut Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

Accompagner les chefs d'entreprise avec Batys Compétences

Batys Compétences représente un réseau national de 20 organismes de formation de qualité, certifiés Qualiopi répondant aux différents besoins des entreprises du secteur de la construction. Il s'agit ainsi d'amplifier une nouvelle offre de services et de produits pour répondre aux besoins de formation de tous les professionnels du bâtiment.De la formation réglementaire à la performance énergétique en passant par le lean management, les différents centres de formation, répartis sur l'ensemble du territoire, accompagnent les artisans et entrepreneurs pour développer leurs compétences et celles de leurs collaborateurs.Ce changement de nom s'accompagne d'un nouveau site Internet, ainsi que d'un nouveau logo :Pour Philippe PIANTONI, chef de file des IFRB au sein de la FFB : « Batys Compétences, c'est ajouter la force d'un réseau à la compétence de nos IFRB. Partenaire majeur de la profession, le réseau Batys Compétences accompagne les professionnels pour atteindre leurs objectifs, booster le développement de leurs compétences et celles de leurs collaborateurs, et ainsi maitriser les évolutions de nos métiers en lien avec les marchés et ceux à venir. »
Il y a 2 ans et 115 jours

Enquête : La construction hors site béton en France

Le bloc béton constitue le produit d’appel du secteur de la préfabrication. [©ACPresse] Industrialiser le chantier n’est pas une idée neuve. Gustave Eiffel utilisait déjà cette technique pour construire les sous-ensembles métalliques de sa célèbre tour. En 1917, Charles-Henri Besnard de Queslen (1881-1946) et Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau (1880-1960) l’ont appliqué au matériau béton. Ceci, en déposant le brevet d’invention relatif au “procédé de construction rapide d’habitations par l’emploi de matériaux en ciment armé préalablement préparés en série”. C’est la définition même que ce que l’on tend à appeler “construction hors-site” de plus en plus souvent aujourd’hui. Les autres noms, plus communément utilisés sont “préfabrication” ou encore “industrie du béton”. Charles-Henri Besnard de Queslen et Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau sont loin d’avoir été les seuls à s’intéresser à cette technologie de mise en œuvre du béton. Raymond Camus (1911-1980) est, lui aussi, un chantre de la “construction hors site”. Ingénieur originaire du Havre, il a mis Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 115 jours

Hydro rachète Hueck

Cette acquisition permettra à Hydro Extrusions d'affirmer sa position et sa présence en Europe. Cela renforcera également la position d'Hydro Building Systems et de ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA en Allemagne et sur d'autres marchés européens, consolidant ainsi sa capacité à offrir des services de qualité à ses clients, grâce à une gamme de produits encore plus large.Forte de 60 ans d'expérience dans le domaine de l'ingénierie allemande, Hueck Systems opère principalement en Allemagne, qui représente le plus grand segment du marché européen des systèmes de construction. Elle est spécialisée dans la création de solutions pour fenêtres, portes et façades pour les secteurs du bâtiment et de la construction, et dispose d'une plate-forme de distribution sur son site principal, à Lüdenscheid. Outre l'Allemagne, Hueck Systems opère également en Autriche, en Suisse, au Danemark, aux Pays-Bas, en République Tchèque et au Royaume-Uni, mais aussi sur d'autres marchés grâce à de solides partenariats comme en France.Hydro Building Systems propose des solutions innovantes en aluminium durable pour les fenêtres, portes et façades en oeuvrant pour une économie circulaire. Ses marques TECHNAL, SAPA et WICONA développent et distribuent des systèmes de construction en aluminium pour tout type de bâtiment. Avec ses 3 200 collaborateurs, Hydro Building Systems vise à développer une approche pérenne avec de nouvelles solutions durables, contenant au moins 75% de matériaux recyclés et 95% de matériaux recyclables, réduisant ainsi l'impact des matériaux sur le cycle de vie d'un bâtiment.« Ensemble, formant une seule et même entreprise, Hueck et les marques d'Hydro Building Systems TECHNAL, SAPA et WICONA investiront sur la durabilité, l'implantation locale et l'expertise technique. Avec l'acquisition de Hueck, notre mission demeure la même : nous nous engageons pleinement à aider nos clients à saisir les nouvelles opportunités présentes sur le marché du bâtiment et de la construction. En disposant des meilleurs talents et en restant pleinement focalisés sur l'activité de nos clients et la qualité des produits que nous leur livrons, nous serons un partenaire indispensable pour la réalisation de leurs objectifs », explique Henri Gomez, Vice-président senior d'Hydro Building Systems.La finalisation de l'acquisition est soumise à l'approbation des autorités de concurrence allemande et autrichienne et est prévue pour la fin du premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 115 jours

Retraites : vers un jeudi de grèves et de "galère"

"École fermée le 19 janvier": à Marseille comme ailleurs, des pancartes ont commencé à apparaître sur les portails. "Toute l'équipe enseignante sera en grève", précise l'une d'elles.Preuve que la réforme des retraites, qui vise à relever l'âge légal de départ à 64 ans, "est une préoccupation majeure" pour les enseignants, selon Guislaine David, secrétaire générale du Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, environ 70% de grévistes sont attendus dans les écoles maternelles et élémentaires.La grogne des profs, aiguisée par l'ouverture mercredi des négociations sur les revalorisations salariales dans l'Education pour lesquelles la FSU avait prévu une mobilisation symbolique mardi, ne devrait pas épargner non plus collèges et lycées.Là en revanche, pas de prévisions attendues puisque contrairement à leurs collègues du primaire, les professeurs du secondaire ne doivent pas déclarer leur intention de cesser le travail au moins 48 heures auparavant.Des blocages d'établissements par des lycéens sont également à prévoir.A la RATP et la SNCF, les grévistes sont également soumis aux 48 heures de prévenance et les prévisions de trafic seront annoncées vers 17H00. "Ce sera un jeudi de galère, (...) de fortes perturbations", a anticipé sur France 2 le ministre délégué chargé des Transports, Clément Beaune, qui invite au "télétravail quand c'est possible".Les syndicats des transports parisiens sont d'autant plus remontés que le gouvernement veut supprimer, à terme, leur régime spécial de retraite, comme il l'a déjà fait pour les cheminots.Salariés "très remontés"Le scénario d'un mouvement reconductible se dessine dans le secteur de l'énergie, où "des baisses de production d'électricité" sont à prévoir, a prévenu le leader de la FNME-CGT Sébastien Menesplier, évoquant de possibles "coupures" visant les élus "qui soutiennent la réforme".Une montée en puissance se profile aussi dans les raffineries, avec des préavis de 24 heures jeudi, puis 48 heures la semaine prochaine et 72 heures début février. Au dépôt TotalEnergies de Dunkerque "les salariés sont très remontés" contre la réforme, affirme le secrétaire CGT Benjamin Salvino, qui table sur une activité presque à l'arrêt jeudi, mais sans conséquence immédiate dans les stations-services.Des pénuries un peu plus nombreuses que d'ordinaire étaient toutefois observées en ce début de semaine, signe d'une possible peur de manquer chez certains automobilistes.Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a souhaité que la mobilisation "ne se traduise pas par un blocage du pays". Des propos tenus sur l'audiovisuel public, dont les programmes devraient être largement perturbés jeudi.Gouvernement et opposants à la réforme s'engagent en tous cas dans une course de fond avec comme horizon ultime le 26 mars, date limite pour une adoption définitive du texte au Parlement.Pourquoi l'exécutif "n'ouvre-t-il pas un grand débat de six mois conclu par un référendum ? C'est ça, éviter le blocage du pays", a demandé le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, sur France Inter.A droite de l'échiquier politique, le président des LR, Eric Ciotti, a lui formé le voeu d'une mobilisation sans "dérapage", "dans le calme", tout en redisant sur BFMTV/RMC son souhait de "pouvoir voter" une réforme "nécessaire".Les syndicats unis, eux, se préparent à l'épreuve de force, en espérant "des millions" de grévistes et de manifestants."Hier nous avons fait le tour de nos 104 unions départementales (...). Il y a très longtemps que nous n'avons pas eu une telle mobilisation", a relevé sur RFI le secrétaire général de FO, Frédéric Souillot.La pétition lancée la semaine dernière par les huit principales organisations de salariés frôlait mardi à la mi-journée les 450.000 signataires refusant une "réforme injuste et brutale". Des mots repris sur RTL par le président du RN, Jordan Bardella, qui dénonce un projet "d'un cynisme inouï, parce que les efforts sont injustement répartis".