Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour ciment

(3180 résultats)
Il y a 3 ans et 76 jours

Rhône Ciments décroche la marque NF pour son CEM II/A-LL

L’usine de production de Rhône Ciments est basée à Portes-lès-Valence, dans la Drôme. [©Cem’In’Eu] Tout juste un an après sa mise en service à Portes-lès-Valence (26), l’unité de production de Rhône Ciments a obtenu la marque de qualité NF pour son ciment CEM II/A-LL 42,5 R. Un label qui complète la certification CE, en place depuis mai 2021. Pour la filiale de Cem’In’Eu, il s’agit là d’un jalon important dans son développement, au moment même où l’usine franchit le cap des 60 000 t de ciment vendu. Ceci, en seulement 7 mois d’activité et alors qu’elle vise le doublement de ce volume dès cette année. La marque NF obtenue préfigure déjà celle attendue, au printemps, pour les autres références de Rhône Ciments. A savoir, le CEM I 52,5 R et le CEM II/B-LL 32,5 R, proposés aussi bien en vrac et qu’en sac. De quoi garantir l’essor commercial de la marque sur son territoire, avec une production globale, à terme, de 240 000 t. Entre investissement et recrutements Pour accompagner le développement de Rhône Ciments et lui permettre d’atteindre ses objectifs de production, Cem’In’Eu a mis en place plusieurs actions stratégiques. La plus importante est un investissement de 4 M€, en cours de réalisation, en vue de doubler les capacités de stockage de la base logistique Cem’In’Log de Sète (34). Enfin, côté forces vives, Rhône Ciments tourne aujourd’hui en 3 x 8 et compte 21 collaborateurs. Un effectif amené à être augmenté de manière significative… L’objectif est à de pouvoir produire en continu, y compris le week-end, avec la mise en place d’une quatrième puis, d’une cinquième équipe, composées chacune de trois personnes au minimum. Des emplois de production proposés en CDI. A bon entendeur…
Il y a 3 ans et 77 jours

Des constructions plus durables grâce à des matériaux innovants

Les fibres PVA KURALON™, alliées indispensables de tous les projets de construction exceptionnels en béton  Hattersheim, mars 2022 — Matériaux composites à base de ciment, façades décoratives en béton fibré ultra-haute performance ou encore infrastructures offshores en béton léger, le secteur industriel regorge de structures remarquables en béton.  Kuraray, l’entreprise spécialisée dans la production de […]
Il y a 3 ans et 81 jours

Sika se renforce dans les produits à base de ciment au Canada

ACQUISITION. Le groupe suisse de chimie, Sika, annonce l'acquisition de Sable Marco, un fabricant canadien de produits à base de ciment ainsi que des mortiers.
Il y a 3 ans et 82 jours

ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950

Aubervilliers connaît un foisonnement de projets de réhabilitation d’entrepôts. Le bâtiment 211 des années 1950 fait partie d’une vaste opération impulsée par Icade Foncière Tertiaire, filiale de la Caisse des Dépôts. L’entreprise MB Peinture qui a remporté l’appel d’offres pour l’ITE a choisi la pose de plaquettes une à une sur site et le système StoTherm Brick. L’entrepreneur a convaincu le maître d’ouvrage et l’architecte en réalisant un témoin avec l’aide du service technique de Sto. Le choix s’est porté sur la plaquette vieillie Domus Colombe moulée à la main aux arêtes irrégulières de couleur blanc crème produite par Wienerberger. Une fois les façades débarrassées de leurs auvents et autres ajouts accumulés pendant des décennies, les travaux ont commencé par la mise en évidence de la structure de l’édifice. Des profilés en acier thermolaqué gris-noir (RAL 7021) simulant des poteaux métalliques rivetés et des cadres de la même teinte soulignant les menuiseries. L’habillage des rives de toit, a fait appel à une autre technique Sto : le système de bardage ventilé StoVentec R Enduit à base de panneaux de billes de verre expansé. Ces panneaux ont été fixés sur une ossature en chevrons de bois espacés de 40 cm, eux-mêmes solidarisés à la structure porteuse par des pattes métalliques. Les plaques ont été fixées verticalement en face avant et horizontalement en sous-face du débord de toiture, voire cintrées sous les parties arrondies. Elles ont reçu après leur pose un sous-enduit mince armé d’un treillis de fibre de verre. La finition a été assurée par un enduit à base de résine acrylique Stolit K1 teinté à l’aspect taloché mat. La teinte foncée de cet enduit (RAL 7021) bénéficie de la technologie X-black, développée par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil et permet de réduire le coefficient d’absorption solaire de l’enduit. Le dessus a été capoté par une couvertine en tôle métallique. Une fois le squelette en place, le revêtement de façade a pu être mis en oeuvre par une équipe de six compagnons. Les panneaux de laine de roche de 1 200 x 600 mm calés sur la façade en béton au moyen de plots de mortier StoLevell Uni à base de ciment. Le sous-enduit mince obtenu à partir de la même poudre StoLevell Uni mélangée à de l’eau, armé d’un treillis en fibre de verre, a été appliqué sur les panneaux en laine de roche avant d’assurer la fixation mécanique par chevilles sur le mur support en béton. Les plaquettes de terre cuite ont ensuite été collées sur l’enduit au moyen d’un mortier de collage spécifique pour les plaquettes S1. Des tasseaux de bois réalisés sur mesure pour l’entreprise ont permis d’assurer un joint uniforme de 10 mm entre les plaquettes. Le jointoiement a été réalisé avec le StoColl FM-K, une poudre à base de liant hydraulique et d’adjuvants spécifiques mélangée avec de l’eau. Surface de façade traitée : 1 200 m2 Maître d’ouvrage : Icade Maître d’œuvre : Studio IX Architecture Entreprise applicatrice : MB Peinture Cet article ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 84 jours

Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement

De droite à gauche : Jonathan Chemouil, directeur de l’innovation technique chez Demathieu Bard, Franck Becherel, directeur général en charge de la construction chez Demathieu Bard, Julien Blanchard, président du directoire d’Hoffmann Green Cement, et François Simon, prescripteur région Ile-de-France chez Hoffmann Green Cement. [©Yann Bresson] Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement ont signé un contrat de partenariat de 3 ans pour la fourniture de ciments décarbonés. Ainsi, le groupe de construction mosellan va utiliser des ciments décarbonés sans clinker issu des technologies H-UKR et H-Iona fournis par l’industriel vendéen. « Parce que le développement d’une activité pérenne passe par le respect des hommes et de leur environnement, ce partenariat avec engagements de volume matérialise la volonté de la part des deux entreprises de promouvoir la construction de bâtiments éco-responsables performants », commente le groupe. Et Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement, de déclarer : « Nous sommes ravis de signer ce contrat de fourniture avec Demathieu Bard, acteur à la fois historique dans l’environnement de la construction et de l’immobilier et innovant par ses actions en faveur d’une construction responsable et durable. Ce nouveau partenariat avec l’un des principaux acteurs du secteur démontre, une nouvelle fois, l’attractivité de nos technologies, dont notamment celle de la dernière en date, H-Iona. Et constitue aussi une formidable opportunité de participer à des chantiers d’envergure dès 2022 ».
Il y a 3 ans et 85 jours

Holcim affiche des performances record et mise sur son segment Solutions & Produits

RÉSULTATS. Le cimentier suisse, Holcim, annonce des performances record pour l'année 2021, notamment grâce à son acquisition de Firestone Building Products, spécialiste des produits de toiture.
Il y a 3 ans et 85 jours

Demathieu Bard s’engage dans le ciment décarboné avec Hoffmann Green

Le groupe de construction et d’immobilier conclut un accord de fourniture de trois ans avec la société vendéenne.
Il y a 3 ans et 85 jours

Construction française : Lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle

Les associations Eugène Freyssinet, AFGC, AUGC, IMGC et UAFGC adressent une lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle 2022. [©DR] Quel avenir pour la construction française ? C’est cette question que soulève la lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle 2022, co-signée par les associations Eugène Freyssinet, AFGC1, AUGC2, IMGC3 et UAFGC4. Ces associations s’indignent : pourquoi tant de critiques envers la construction française, et plus particulièrement, contre celle en béton ? Dénigrement du métier, environnement “bétonné”, épuisement des ressources… C’est oublier que cette construction a fait rayonner la France durant dix siècles dans le monde entier. Et qu’elle continue à le faire aujourd’hui. Une histoire de la construction française très riche Cette lettre ouverte reprend l’histoire de la construction : depuis les Gaulois jusqu’à nos jours. Et rappelle notamment qu’au XIXe siècle, c’est Louis Vicat qui a inventé le ciment artificiel, Joseph Monier, le béton armé, que François Hennebique a développé. Oui, nous avons des raisons d’être fiers de notre filière construction. Le béton restera le matériau du XXIe siècle. Une argumentation fallacieuse critique ce matériau au lieu de critiquer un mauvais usage, qui en est fait, et un manque d’entretien, dont il est parfois victime. Cette lettre ouverte revient aussi sur le rayonnement de la construction française, qui doit beaucoup à ses entrepreneurs, à ses ingénieurs et à ses architectes, et qui s’exporte partout dans le monde. « Avec ce document, nous voulons faire savoir que la construction française est un enjeu d’excellence pour les candidats à l’élection présidentielle et qu’il faut l’aider. Il faut valoriser auprès des jeunes l’image du génie civil, pour les motiver à venir construire l’avenir avec nous. Et combattre les clichés véhiculés par certains candidats ! », insiste Patrick Guiraud, directeur travaux publics chez Cimbéton. 1Association française de génie civil. 2Association universitaire de génie civil. 3Ingénierie de maintenance du génie civil. 4Union des associations françaises de génie civil.
Il y a 3 ans et 88 jours

Top départ pour le Start-up Accelerator

La 3e édition du programme Start-up Accelerator est lancée. [©Holcim] Holcim lance la 3e édition de son programme Start-up Accelerator, avec le concours de Bertrand Piccard, explorateur et environnementaliste suisse. Ainsi, l’industriel appelle les start-up du monde entier à candidater, jusqu’au 27 mars aux “défis” de l’accélérateur. En effet, Holcim a identifié neuf thématiques en lien avec la construction de demain. Parmi lesquelles figurent, l’économie circulaire, les solutions de ciments biosourcés. Ou encore, la réutilisation des matériaux de démolition ou encore la maison intelligente… Différents pays et plusieurs industriels du secteur, comme Sika, portent un défi. Le Start-up Accelerator compte aussi de nouveaux partenaires. A l’image de Bouygues Construction et le cabinet de conseil en ingénierie britannique Mott MacDonald. Lire aussi : LafargeHolcim : Douze start-up en accélération Les start-up sélectionnées intégreront le programme d’accélération, qui se déroulera de mai à novembre 2022. Elles seront ensuite suivies par un expert qui aidera à la mise en place d’un plan d’action stratégique, en définissant des objectifs de développement. Pour les candidats et les partenaires, c’est aussi une façon de tisser des liens durables. « Chez Holcim, nous travaillons avec des centaines de start-up dans le monde entier pour accélérer l’innovation et la construction durable, explique Jan Jenisch, Pdg du groupe. Start-up Accelerator nous permet d’entrer en contact avec les esprits les plus brillants du monde, afin de favoriser des percées révolutionnaires. » Pour conclure l’édition, une journée de démonstration se déroulera, en décembre 2022, avec l’ensemble des lauréats.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le Syndicat Français de l’Industrie Cimentière et le CementLAB, accélérateur de start-up, seront présents sur le Forum de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « Investir la transition écologique »  

L’Industrie Cimentière engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, souhaite profiter de cette occasion pour partager les contributions du béton dans la décarbonation des infrastructures. La baisse de l’empreinte carbone des ouvrages ainsi que la capacité du béton à répondre aux enjeux de résilience climatique seront abordés lors du Forum 2022 de […]
Il y a 3 ans et 91 jours

Le cimentier Vicat profite de la demande et de bons prix en 2021

Le groupe Vicat a vu ses ventes et ses bénéfices progresser fortement en 2021, soutenus par une forte demande et des prix en hausse, dans un contexte sanitaire mondial toujours compliqué.
Il y a 3 ans et 96 jours

Frédéric Guimbal, nouveau vice-président exécutif de Chryso

Frédéric Guimbal vient d’être nommé vice-président exécutif de Chryso, en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. [©Chryso] Frédéric Guimbal a été nommé vice-président exécutif de Chryso (groupe Saint-Gobain) [lien article], en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. depuis 2021, il dirigeait la BU Béton de Chryso et rejoint maintenant l’équipe du comité exécutif du groupe. « Nous allons poursuivre nos efforts de recherche et le développement de nouvelles solutions pour aider nos clients à relever les défis de la construction durable. Nos technologies additives offrent de hautes performances et des propriétés durables nécessaires à la conception de ciments et de bétons plus écologiques. Saint-Gobain dispose d’une vaste plate-forme industrielle et d’un large réseau de centres de R&D sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour déployer nos nouvelles offres dans de nombreuses régions », a déclaré Frédéric Guimbal. Celui-ci apportera ainsi au groupe quelque 17 ans d’expérience dans l’industrie du ciment et du béton. Etant proche du terrain et ayant géré ces activités dans diverses régions du monde, tant dans les pays matures qu’émergents. Il a notamment été directeur Lafarge Inde, en 2012 et directeur général d’Holcim Azerbaijan, en 2017.
Il y a 3 ans et 96 jours

Frédéric Guimbal, nouveau directeur général adjoint de Chryso

Frédéric Guimbal vient d’être nommé directeur général adjoint de Chryso, en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. [©Chryso] Frédéric Guimbal a été nommé directeur général adjoint de Chryso (groupe Saint-Gobain), en charge des marchés, de l’innovation, des achats et de la communication. Depuis 2021, il dirigeait la BU Béton de Chryso et rejoint maintenant l’équipe du comité exécutif du groupe. « Nous allons poursuivre nos efforts de recherche et de développement de nouvelles solutions. Ceci, pour aider nos clients à relever les défis de la construction durable», explique Frédéric Guimbal. Et de poursuivre : « Nos technologies additives offrent de hautes performances. Mais aussi et des propriétés durables nécessaires à la conception de ciments et de bétons plus écologiques. Saint-Gobain dispose d’une vaste plate-forme industrielle et d’un large réseau de centres de R&D sur lesquels nous pouvons nous appuyer pour déployer nos nouvelles offres dans de nombreuses régions ». Frédéric Guimbal apportera ainsi au groupe quelque 17 ans d’expérience dans l’industrie du ciment et du béton. Etant proche du terrain et ayant géré ces activités dans diverses régions du monde, tant dans les pays matures qu’émergents. Il a notamment été directeur Lafarge Inde, en 2012 et directeur général d’Holcim Azerbaijan, en 2017.
Il y a 3 ans et 96 jours

Premier liant zéro carbone signé Vicat

Le nouveau liant carbo-négatif de Vicat devrait être disponible dans le courant de l’année pour les premiers chantiers. [©Vicat] L’offre bas carbone Deca de Vicat s’enrichit aujourd’hui du premier liant carbo-négatif destiné à la formulation de bétons très bas carbone. Cette innovation renforce les engagements du groupe pour atteindre la neutralité carbone sur la chaîne de valeur d’ici 2050. Tout en répondant, dès à présent, aux enjeux de la RE 2020, tout juste entrée en application. Dans ce cadre, Vicat a développé un liant permettant de conserver l’ensemble des propriétés d’un ciment traditionnel et de ses usages. Ceci, tout en bénéficiant d’un bilan carbone correspondant à un niveau d’émissions nettes inférieur à 0 kgeqCO2/t ! Composé d’une matière biosourcée, ce liant “puits de carbone” s’inscrit pleinement dans la stratégie du groupe Vicat pour répondre aux réglementations, en termes d’abaissement de l’empreinte carbone de la construction. Un liant carbo-négatif en deux versions Disposant de modules d’informations environnementales vérifiés, ce nouveau liant atteint deux niveaux d’émissions nettes de CO2, selon sa composition. Ainsi, le liant “0133H” présente une valeur de – 15 kg CO2/t et affiche des performances techniques se rapprochant d’un ciment 42,5 R. Quant au liant “2402”, sa valeur est de – 310 kg CO2/t, pour des performances techniques comparables à un ciment 32,5 R. Vicat annonce que plusieurs démonstrateurs seront présentés au cours du printemps 2022, lors de la mise à disposition du produit. Les premiers chantiers pourront débuter aussi en cours d’année, après l’obtention de l’appréciation technique d’expérimentation (Atex). « Vicat confirme sa volonté d’être un acteur engagé, en innovant pour la construction du monde d’aujourd’hui et de demain. Le développement de ce liant est une réponse aux besoins de la RE 2020 et accompagne les filières du secteur vers la neutralité carbone », conclut Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat.
Il y a 3 ans et 97 jours

Résultat net en hausse de plus de 30% pour Vicat

RÉSULTATS. Le cimentier Vicat affiche de belles performances en 2021 portées par une demande soutenue. Le résultat net a même bondi de 33,3% en 2021 par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 97 jours

Une bonne année 2021 pour Vicat

Le cimentier français a réalisé un chiffre d'affaires de 3,12 milliards d'euros, en hausse de 16,2% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 98 jours

HeidelbergCement France, nouveau mécène des Arts et Métiers

Signature de la convention de mécénat par Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement, et Laurent Champaney, directeur général des Arts et Métiers (tous les deux au centre de la photo). [©HeidelbergCement France] Le 8 février dernier, HeidelbergCement France et l’Ecole des arts et métiers ont signé une convention de mécénat, pour une durée de 3 ans. Des actions spécifiques seront organisées pour les étudiants, comme des visites des différentes installations d’HeidelbergCement France. Aujourd’hui, le groupe compte 300 sites de production répartis sur le territoire. Ainsi, les étudiants des différents campus seront directement en contact avec les professionnels. Par ailleurs, HeidelbergCement France prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023, ainsi qu’une intégration de jeunes talents dans ses rangs. « Le partenariat s’appuiera sur le programme “Engineers in training”, qui permet un accompagnement au poste pendant 18 mois, constituant ainsi un excellent parcours d’intégration. Ouvert à tout jeune diplômé, ce dispositif prévoit une formation globale, alliant théorie et pratique, en France au sein de nos filiales », témoigne Jérémie Pieri, directeur des ressources humaines d’HeidelbergCement France. Et Aurore Friedlander, directrice marketing et communication des Arts et Métiers, d’ajouter : « Faire participer les professionnels et industriels aux orientations de recherche et de formation permet aux étudiants d’être préparés aux réalités qui les attendent sur le terrain ». Un mécénat en faveur de la transition écologique Les Arts et Métiers ont affirmé leur volonté d’intégrer la notion de transition écologique au sein de ses programmes d’enseignement. Quant à HeidelbergCement France, l’entreprise souhaite devenir une référence en matière de décarbonation de l’industrie cimentière. Pour cela, le groupe souhaite miser plus de 400 M€ en France. Les Arts et Métiers et HeidelbergeCement France partagent tous deux des valeurs communes et s’engagent pour une industrie plus durable. « Ce partenariat avec les Arts et Métiers s’inscrit dans la transformation en cours de l’entreprise. Les écoles sont essentielles. Puisqu’elles forment nos futurs collaborateurs et portent ainsi en elles une part de l’avenir de notre entreprise. C’est une aventure passionnante pour construire ensemble le monde de demain », conclut Bruno Pillon, président des activités d’HeidelbergCement France. Charline David
Il y a 3 ans et 98 jours

Une solution révolutionnaire de stockage de l’énergie dans le ciment

Les équipes du centre de recherche mondial du groupe Holcim, installé à L’Isle d’Abeau dans l’Isère, développent une technologie innovante de stockage de l’énergie en partenariat avec l’INSA Lyon et le ENGIE Lab CRIGEN (centre de R&D du groupe ENGIE). La solution consiste à utiliser des propriétés uniques de certains matériaux cimentaires qui leur permettent d’absorber 300kW d’énergie par mètre cube. Cette énergie stockée peut ensuite être libérée lorsque le matériau est hydraté. Ce cycle, peut être répétable à l’infini pour des usages communs comme la production d’eau chaude dans un logement collectif. Holcim et ses partenaires recherchent les meilleures façons d’intégrer efficacement cette technologie aussi bien au sein d’un réseau de chauffage commun que d’une infrastructure énergétique plus large.
Il y a 3 ans et 98 jours

Une solution révolutionnaire de stockage de l’énergie dans le ciment

Les équipes du centre de recherche mondial du groupe Holcim, installé à L’Isle d’Abeau dans l’Isère, développent une technologie innovante de stockage de l’énergie en partenariat avec l’INSA Lyon et le ENGIE Lab CRIGEN (centre de R&D du groupe ENGIE). La solution consiste à utiliser des propriétés uniques de certains matériaux cimentaires qui leur permettent d’absorber 300kW d’énergie par mètre cube. Cette énergie stockée peut ensuite être libérée lorsque le matériau est hydraté. Ce cycle, peut être répétable à l’infini pour des usages communs comme la production d’eau chaude dans un logement collectif. Holcim et ses partenaires recherchent les meilleures façons d’intégrer efficacement cette technologie aussi bien au sein d’un réseau de chauffage commun que d’une infrastructure énergétique plus large. Cet article Une solution révolutionnaire de stockage de l’énergie dans le ciment est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 99 jours

Edycem BPE dévoile la nouvelle chape Kalkiss Premium

En témoigne le lancement de la version KALKISS® PREMIUM, sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1).Destinée aux espaces de grande surface, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant, elle est la première chape du marché français :à doubler la surface de fractionnement entre les joints,à bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface,tout en étant connectée SmartCEM®.Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie innovante qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Des avantages qui ne modifient pas la durée des travaux et qui respectent les délais de livraison.L’innovation au service de nouveaux marchés et du confort de l'usagerLa chape KALKISS® PREMIUM permet à l’architecte de concevoir librement et en toute sérénité des pièces spacieuses. Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Elle devient ainsi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Avec sa haute résistance à la compression, KALKISS® PREMIUM convient également aux locaux d’activités tertiaires type P4 où circulent de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d'entretien lourds. La mise en œuvre de la chape constitue pour les chapistes un véritable gain de temps. Fini l’application laborieuse du produit de surface et les allers-retours sur le chantier pour poncer !
Il y a 3 ans et 99 jours

Un partenariat pour le développement d'une solution de stockage de l'énergie dans le ciment

Holcim, Engie et Insa Lyon ont annoncé le 3 février leur partenariat afin de développer une solution "révolutionnaire" de stockage de l'énergie dans le ciment.
Il y a 3 ans et 99 jours

Haïti : cette organisation construit des maisons en briques de terre compressée

Une association à but non lucratif utilise des blocs de terre comprimée pour construire des maisons en briques à Haïti pour des familles désœuvrées. La formule utilisée par Welcome Home Haiti est la suivante : 60% de terre, 30% de sable et 10% de ciment.  En mai 2021, Ryan Runge, propriétaire d’AECT (Advanced Earthen Construction Technologies) […]
Il y a 3 ans et 102 jours

L'Etat annonce 5,6 milliards d'euros pour décarboner l'industrie

Cette enveloppe issue du plan d'investissement France 2030 sera consacrée à la décarbonation de trois secteurs de l'industrie lourde (sidérurgie, aluminium, chimie et ciment), a annoncé Matignon le 3 février.
Il y a 3 ans et 103 jours

Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle

La Filière Béton se mobilise pour proposer des solutions sociétales et politiques auprès des candidats aux élections présidentielles 2022. La Filière Béton se mobilise pour la construction décarbonée. Dans le cadre de l’élection présidentielle 2022, elle souhaite faire connaître des solutions sociétales et politiques auprès des candidats. Plus particulièrement, elle évoquera des solutions de dynamisation de l’activité dans les territoires. Favorable à la RE 2020, la filière s’est engagée dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, suivant la même trajectoire que la Stratégie nationale Bas Carbone. Notamment au niveau de l’industrie du ciment qui a diminué de 39 % son impact carbone entre 1990 et 2018. De nombreux investissements sont en cours pour permettre à la profession d’atteindre – 80 % d’ici 2050. Ainsi, les propositions de la Filière Béton, pour les candidats à la présidentielle, s’articulent autour de plusieurs axes. La ville de demain en ligne de mire Tout d’abord, la Filière Béton s’est focalisée sur le logement. Cela, dans l’optique de construire plus, mieux et à coût maîtrisé. Parmi ses recommandations, elle demande aux pouvoirs publics d’investir au-delà des 650 M€ prévus pour le recyclage des friches, afin de faciliter la construction d’habitations. En parallèle, la Filière souhaite engager une réflexion collective autour de la sécurité pour élaborer de nouveaux outils permettant de simuler de façon optimale la prévention des incendies. Elle insiste aussi sur la nécessaire tenue d’un sommet pour la relance de la construction. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Ensuite, la Filière a voulu mettre l’accent sur la question de l’urbanisme. En effet, la ville de demain devra faire face à différentes problématiques comme la limitation de l’étalement urbain, les catastrophes naturelles. Ou encore, la hausse démographique et le besoin d’un retour à la nature dans les villes. La Filière Béton incite pour privilégier les solutions béton qui permettent de concevoir de manière durable et résiliente. Et ainsi, favoriser le confort des citoyens, tout en évitant la création d’îlots de chaleur. Les axes stratégiques de la Filière Béton Le troisième axe centré sur l’économie circulaire ouvre la discussion sur la dynamisation du territoire, ou encore l’approvisionnement durable et le maillage des sites de production et d’extraction de matières premières. Pour la Filière Béton, la commande publique, la valorisation du caractère local des produits et des emplois ou l’économie de la fonctionnalité sont autant de leviers à actionner. L’objectif est de limiter l’empreinte carbone des constructions de leur début à leur fin de vie. Lire aussi : Cerema : Un label pour accompagner l’économie circulaire Favoriser l’économie circulaire nécessite aussi la rénovation et le développement de nombreux axes de circulation. Cela, afin de garantir la croissance économique, commerciale et la sécurité. Dans son quatrième axe, consacré aux réseaux, la Filière demande la création de galeries multi-réseaux, d’intégrer des réseaux en sous-sols, de développer de nouvelles mobilités. Mais aussi, de rénover les ponts/infrastructures et de favoriser les axes ferroviaires et maritimes. Enfin, la gestion de l’eau constitue le dernier axe. L’urbanisation croissante a réduit l’infiltration naturelle et a augmenté le ruissellement. C’est pourquoi, pour protéger les zones urbanisées, approvisionner et retraiter l’eau destinée aux citoyens, la Filière rappelle la pertinence technique de ses solutions.
Il y a 3 ans et 104 jours

Les propositions de la Filière Béton pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale

Pour aller plus loin, des propositions en termes de dynamisation de l’activité dans les territoires seront développées dans le cadre des élections législatives. La Filière Béton est favorable à la RE2020 et est engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, en phase avec la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC). La décarbonation du secteur est un process continu puisque les émissions de carbone du ciment ont baissé de 39% entre 1990 et 2018 et la trajectoire fixée prévoit une baisse supplémentaire de 24% d’ici 2030. Des investissements conséquents sont en cours et l’ensemble de la profession travaille sur les innovations de demain, qui permettront d’aller plus loin et d’atteindre -80% en 2050. Il est important de souligner que les efforts consentis aujourd’hui ou demain sont conditionnés à un certain nombre de paramètres pour que l’industrie puisse rester compétitive.La Filière souhaite ainsi que soit reconnue sa trajectoire de décarbonation, de sorte que les matériaux de construction qu’elle propose ne soient pas discriminés. Les propositions formulées par la Filière Béton, dans le cadre de l’élection présidentielle, s’articulent autour de 5 axes : le logement, l’urbanisme, l’économie circulaire, les réseaux et la gestion de l’eau.Les premiers fruits de cette réflexion menée par la Filière Béton, dont ces propositions sont issues, ont été transmis récemment aux candidats et à leurs équipes dans le cadre d’un processus collaboratif.
Il y a 3 ans et 104 jours

Olivier Guise rejoint Ecocem pour une mission inédite

Olivier Guise devient le premier directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités d’Ecocem. [©Ecocem] Depuis de nombreuses années, Ecocem propose des solutions cimentaires à faible émission de carbone. Afin d’encadrer son développement et ses ambitions, Ecocem a créé un nouveau poste, celui de directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités. Et c’est Olivier Guise qui se voit confier cette mission. Avec, à ses côtés, l’ensemble de l’équipe de direction du groupe, Olivier Guise aura pour objectif d’accroître le développement d’Ecocem et de mettre en œuvre la stratégie du groupe, en accélérant le déploiement de sa technologie. A son arrivée, Olivier Guise déclare : « Après avoir observé la croissance d’Ecocem, c’est passionnant de rejoindre l’entreprise pour contribuer à l’élaboration et à la réalisation de sa stratégie ». Et Donal O’Riain, Pd, de poursuivre : « Nous continuons à croître et à évoluer. L’arrivée d’Oliver à bord nous apportera un soutien et un leadership précieux pour atteindre notre plein potentiel ». Le parcours d’Olivier Guise Cette nomination fait suite à d’autres recrutements, tels que ceux de Pat Cox en tant que président du conseil d’administration, de Paul Ross en qualité de directeur général d’Ecocem pour le Benelux. Et enfin, de Joris Schoon, au poste de développeur technique de la région Benelux. Diplômé de Polytechnique en 2005, Olivier Guise débute sa carrière au sein du groupe LafargeHolcim en tant que responsable des ventes. Il occupe successivement différents postes alliant innovation, technologie et management. D’abord en tant que directeur du développement et directeur de l’innovation et de la distribution de Lafarge Algérie. Puis, directeur général de l’activité granulats dans le Sud de la France. En 2015, il est nommé directeur général de l’activité ciment pour la France. Et intègre le comité exécutif de LafargeHolcim France jusqu’en 2021.
Il y a 3 ans et 109 jours

Côte-d’Or : Des résultats qui se fêtent

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Remise d’un diplôme symbolique de Ciments 2170 à BNP Paribas. [©JPS Granulats] Il est des étapes qui se fêtent. Filiale du groupe JPS Granulats, Ciments 2170 a ainsi remis symboliquement un diplôme à BNP Paribas, après avoir économisé 2,7 Mkg de CO2 sur l’année 2021. Fares Hasnaoui, représentant de la banque, a reçu des mains d’Olivier Stocker, gérant de Ciments 2170, le cadeau symbolique du bonus carbone du ciment CEM II 42,5 N CE, en présence de Gilles du Manoir (Vicat) et de Gwendoline Stocker (JPS Granulats). Pour obtenir ce résultat, Olivier Stocker s’est appuyé sur un principe simple. « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau ni les granulats. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Bourgogne-Franche-Comté Partant de là, le groupe JPS Granulats a travaillé à faire baisser le taux de clinker dans la formulation globale de ses bétons. L’industriel est donc passé par un mélange, intégrant des fillers calcaires micronisés Adca, pour un taux de substitution de 25 %. Rappelons que JPS Granulats est d’ailleurs à l’origine de la modification du référentiel de certification NF Liants Hydrauliques, ouvrant la voie des usines de mélange en France. « Jusque-là, le concept de béton bas carbone n’était pas facile à vendre aux clients. Mais avec l’arrivée de la RE 2020, les solutions économisant du CO2 deviennent essentielles à la construction. De toutes les manières, notre objectif est à la fois d’augmenter nos volumes de vente, ainsi que le taux de substitution du clinker. » Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Béton Solutions Mobiles : Une table de réunion au top !

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine [©La Fermeture Moderne] « Elle est juste incroyable cette table de réunion. Elle est tellement belle, s’exclame Philippe Tibère-Inglesse, président de Béton Solutions Mobiles. C’est la seconde réalisation de la menuiserie bois S2B et de la métallerie La Fermeture Moderne pour nous. La première table était tout en béton. Mais là, ils se sont surpassés et m’ont fait la surprise de la rendre entièrement connectée grâce à des chargeurs USB. Et le must se trouve sous la table, les pieds en acier reprennent la forme de nos silos à ciment. En plus, à nos couleurs ! » Voilà un chef d’entreprise ravi. Et il n’est pas le seul : « Nous n’avons que des retours super positifs de nos collaborateurs ».  Une table de réunion hors normes Cette table de réunion de 3,60 m de long pour 2,00 m de large a nécessité 420 kg de chêne et 162 kg d’acier. Elle est équipée de 8 chargeurs à induction invisibles, de 20 prises USB et de 4 prises 220 V. « Le cahier des charges était clair. Je voulais un beau chêne pour une belle table avec des pieds métalliques. Et correcte en termes de tarif », précise Philippe Tibère-Inglesse. « Nous connaissons Béton Solutions Mobiles depuis des années, raconte Alexis Brachet, directeur général de La Fermeture Moderne et président de S2B, les deux sociétés faisant partie du groupe Verre Bois Métal. Nous travaillons sur leurs centrales, notamment celles de Gennevilliers. Nous avons bien cerné son président. Il est très corporate, et aime ce qui est de qualité et insolite à la fois. Il aime se démarquer des autres. Pour répondre à son cahier des charges et aller au-delà de ses espérances, nous avons optimiser le budget. Afin de limiter les coûts, nous avons appliqué des processus de Lean Management1 dans cette opération, de la conception à nos ateliers. Ainsi, nous avons pu connecter la table et customiser les pieds qui, en plus d’être esthétiques et surprenants, contiennent des trappes d’accès pour tous les éléments électriques de la table. » 1Chasse au gaspillage par les acteurs d’une organisation dans leurs process. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Essonne : Ecocem ouvre son centre d’innovation

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine L’équipe “Innovation” d’Ecocem compte 24 personnes dédiées à la R&D et effectue des essais à l’échelle industrielle en collaboration avec des partenaires et des universités. [©Ecocem] Fournisseur européen de solutions cimentaires à faible teneur en carbone, Ecocem vient d’ouvrir son Centre pour l’innovation, à Champlan, dans le Sud de Paris. Baptisé “Centre d’excellence”, le lieu a pour objectifs d’accélérer le développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits. Ceux-ci aideront les industries du ciment et de la construction à décarboniser plus rapidement leurs productions. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Le Centre d’excellence permettra à l’équipe “Innovation” du groupe Ecocem de se concentrer sur le test, l’évaluation et l’amélioration de ses nouvelles solutions. Composée de 24 personnes dédiées à la R&D, cette équipe effectuera des essais en grandeur réelle, en collaboration avec des partenaires industriels et des universités, dont celles de Paris-Saclay et de Toulouse. « Ecocem s’engage en faveur d’une décarbonatation profonde et rapide de l’industrie mondiale du ciment. C’est essentiel pour la planète et les générations futures. Et cela peut être réalisé par l’innovation et la technologie », déclare Laurent Frouin, directeur de l’innovation d’Ecocem. Et de conclure : « Les industries du ciment et de la construction développent et déploient une série de technologies visant à réduire les émissions de carbone. Ecocem et son nouveau Centre d’excellence ajouteront une dimension supplémentaire à leurs efforts ». Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Constantin Brodzki : Le “style CBR”, moderne et brutaliste

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Constantin Brodzki (1924-2021) devant l’immeuble CBR, en Belgique. [©Merlin Meurisse] Au début des années 1970, l’architecte polono-belge Constantin Brodzki (1924-2021) dessine et conçoit le siège social du cimentier, CBR, sis au 185 de la chaussée de la Hulpe, à Watermael-Boitsfort, en Belgique. « Je voulais exprimer la liberté du béton. Et la courbe m’apparut être idéale pour cela », indiquait l’architecte à l’époque. Constantin Brodzki est surtout connu pour avoir marqué Bruxelles de son “style CBR”, du nom de cette réalisation moderne emblématique. Avec ce bâtiment, il a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge, et même internationale. En effet, en 1980, le siège social de CBR a été inclus par le Museum of Modern Art (MoMa) de New York comme ouvrage de référence. Ceci, dans l’exposition “Transformation in Modern Architecture” (Transformations dans l’architecture moderne). 
Le catalogue le qualifie alors « d’étape significative dans le développement du Modernisme dans le monde ». Son parcours De père polonais et de mère belge, Constantin Brodzki s’est installé en Belgique peu avant la Seconde Guerre Mondiale. Jeune diplômé de l’Ecole nationale supérieure d’architecture et des arts de La Cambre, il s’inspire de son stage qu’il a effectué à New-York chez Harrison & Abramovitz pour la construction du siège social de l’ONU. Ainsi, il a conçu quelques perles architecturales modernistes, fonctionnalistes et brutalistes en Belgique. Et particulièrement, à Bruxelles et sa banlieue : les bâtiments Swift, le deuxième en association avec l’architecte Ricardo Bofill, ou l’immeuble Generali. Le siège social du cimentier, CBR. Ce bâtiment a sans doute écrit une page de l’histoire de l’architecture belge. [©Merlin Meurisse]Vue de l’extérieur du CBR. [©Generali]Façade du CBR aux connotations très années 1970. [©Archive Alec Brodzki] Il admirait l’Américain Frank Lloyd Wright (1867-1959), l’un des fondateurs de l’architecture moderne. Mais aussi Ludwig Mies van der Rohe (1886-1959), maître du Bauhaus. « A la fin de sa carrière, étant rattrapé par la vague post-moderniste, ses références vont à Paul Bonatz (1877 – 1956), qui a construit le Kunstmuseum de Bâle, en Suisse ou la gare de Stuttgart, en Allemagne, dévoile Alexandre Brodzki, fils de Constantin et architecte lui aussi. Cet architecte allemand prônait une architecture un peu néoclassique, avec un mélange d’éléments modernistes et historiques. Par la suite, c’est devenu Philip Johnson (1906-2005), surtout pour l’architecture qu’il a pu faire à la fin de sa vie. Il est alors rentré dans une période “d’Heroic Fantasy”, comme la décrivait lui-même mon père. » La courbe apprivoise le béton Dans les années 1970, Constantin Brodzki a fait évoluer la réflexion sur le béton. C’est ce qu’il expliquait encore récemment lors d’un entretien avec la Fédération du béton belge : « On oublie trop vite que le béton n’est pas un matériau dur, il est d’abord liquide. En mettant l’accent sur cette fluidité, j’ai changé la façon, dont nous regardons le béton. A travers cette vision, j’ai fait comprendre que les éléments en béton ne doivent pas nécessairement avoir une forme droite ». Constantin Brodzki à l’intérieur du CBR, réalisation moderniste et brutaliste de cet architecte polono-belge. [©Archive Alec Brodzki]A l’origine siège du cimentier CBR, les locaux furent vendus et transformés plusieurs fois[. ©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki]Intérieur du CBR. [©Archive Alec Brodzki] Par ailleurs, Constantin Brodzki est très tôt fasciné par l’industrialisation. Lorsqu’il conçoit le siège social de CBR, il est à la recherche d’une méthodologie pour construire un bâtiment qui pourrait être préfabriqué sur une base industrielle. Pendant sept ans, il travaille avec le cimentier sur une technique permettant de réaliser des panneaux de béton préfabriqués aux formes fluides. L’ensemble de l’usine CBR (le site actuel de l’industriel du béton Ergon, à Lier) est mis à sa disposition pour la mise en place de son concept. Il réalise d’abord deux petits “bâtiments tests” en béton avant de commencer la grande structure. Et cela donnera le bâtiment que l’on connaît avec ses fenêtres arrondies, de type alvéoles. Une première à l’époque. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Ille-et-Vilaine : Lafarge Ciments développe son réseau en régions

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Le groupe BHR vient d’intégrer le réseau Galaxim Béton Planet de Lafarge Ciments. [©BHR] L’offre Galaxim Béton Planet de Lafarge Ciments s’articule en particulier autour des ciments à l’empreinte carbone réduite EcoPlanet. Mais surtout d’une ingénierie de formulation des bétons et du bénéfice d’une marque commerciale forte. Ceci, pour répondre aussi bien aux contraintes constructives qu’aux nouvelles exigences de la RE 2020. Cette offre est aujourd’hui proposée aux acteurs indépendants du béton prêt à l’emploi. « Accompagner les producteurs de BPE est un enjeu majeur pour l’ensemble de la filière, explique Lafarge Ciments. Bénéficier d’une offre Galaxim Béton Planet est un levier de développement pour devenir un acteur de la construction responsable, apte à proposer toute une gamme de solutions, notamment bas carbone. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Bretagne Ainsi, Galaxim Béton Planet propose des formulations béton transparentes, en affichant une note de performance environnementale. Cette dernière prend en compte le poids carbone du ciment utilisé, allant de – 20 % à plus de – 70 % de réduction, et le pourcentage de matériaux recyclés. Durant l’année 2021, plusieurs grands noms du BPE régional ont choisi d’adopter cette offre. A commencer par le groupe BHR, implanté en Bretagne et dans les Pays de la Loire. « L’accompagnement proposé nous a permis de constituer une gamme de bétons éco-responsables qui répond aux exigences de RE 2020, avec une marque à la clef pour mieux faire connaître ce nouveau savoir-faire », explique Philippe Hamard, président de BHR. Le groupe Daniel, en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, l’industriel Michel, dans le Haut-Rhin, et Sagra Bétons, en Auvergne – Rhône-Alpes, ont aussi signé ce partenariat avec Lafarge Ciments. D’autres devraient rejoindre très vite ce quatuor, le réseau Galaxim Béton Planet étant appelé à se développer sur le territoire. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Fortera : « La vatérite peut devenir un substiut au clinker »

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Thierry Legrand, président de Fortera Europe. [©Fortera] Fortera s’implante en Europe. Mais qui est Fortera ? Fortera est une start-up californienne fondée en 2019. Elle a vocation à proposer une solution destinée à décarboner le secteur cimentier. L’idée n’est pas d’inventer quelque chose en rupture avec les technologies actuelles, mais d’offrir une réponse qui puisse s’appliquer à l’existant, tout en l’améliorant. Ainsi, Fortera reprend une technologie déjà utilisée entre 2007 et 2014, sous la marque Calera. Toutefois, à l’époque, cette solution ne correspondait pas aux attentes du marché de l’époque. Sans doute arrivait-elle trop tôt et voulait se substituer en totalité à ce qui était en place… En quoi consiste la technologie proposée par Fortera ? Tout d’abord, Fortera se positionne comme un acteur de la décarbonation de la construction. Ceci, en proposant un carbonate de calcium réactif, qu’on appelle RCC. Dans la nature, le carbonate de calcium existe sous trois formes cristallines : l’aragonite, la calcite et la vatérite, plus rare, car métastable1. Mais c’est cette forme qui nous intéresse. L’idée est donc de prendre du calcaire de type “calcite” pour le transformer en vatérite par un processus de précipitation. Pour ce faire, le calcaire est chauffé, opération qui donne naissance à de la chaux et du dioxyde de carbone. Ce dernier est récupéré et réintroduit dans un solvant particulier, dans lequel la chaux obtenue a été préalablement dissoute. Cette combinaison permet au dioxyde de carbone de se réminéraliser sous la forme de sphères très fines de vatérite. Ne reste plus qu’à déshydrater la solution pour rendre ce carbonate de calcium particulier réactif. Dans la nouvelle approche engagée par Fortera, le produit devient un additif potentiel pour des ciments de type CEM I. Le RCC peut donc être utilisé en mélange, comme substitut du clinker, dans les ciments binaires ou ternaires. Mais il peut aussi être employé seul, pour créer un ciment sans clinker, ce qui fait la force du produit. Suivant cette démarche, nous sommes en mesure de nous inscrire dans les habitudes de production des ciments, mais aussi de formulation et de mise en œuvre des bétons. Lire aussi : Thierry Legrand devient le président Europe de Fortera Cette technologie est-elle adaptable sur les fours de cimenteries traditionnelles ? Nous avons deux options possibles. Soit utiliser un four de cimenterie existant pour permettre la production du RCC. Soit faire appel à la technologie flash mise en œuvre pour la fabrication de métakaolin calciné. A l’heure actuelle, Fortera est en train de monter un processus pilote au sein de la cimenterie de Redding, appartenant au groupe Martin Marietta, en Californie. L’objectif sera d’y produire quelque 15 000 t/an de RCC. Côté matière première, nous utiliserons le même calcaire que celui de la cimenterie. Ce partenariat avec Martin Marietta, de type technique et commercial, ne comprend aucune clause d’exclusivité sur la technologie mise en place. Quel est, pour le moment, le timing du développement de Fortera ? L’unité pilote californienne doit être mise en route durant le premier semestre 2022. Toutefois, l’industrie cimentière doit prévoir de très importants investissements si elle veut être au rendez-vous de la décarbonation de 2030 à 2050… Au niveau européen, l’entité vient tout juste d’être créée et la structure est en cours de montage. Il est évident qu’une unité pilote devra rapidement être mise en place sur le continent… Qui se cache derrière Fortera ? Deux actionnaires principaux assurent le financement de Fortera. D’un côté, il y a Vinod Khosla, un homme issu du monde numérique, mais qui est très intéressé par tout ce qui touche aux technologies propres. Et, de l’autre, Temasek, un fonds souverain singapourien. Propos recueillis par Frédéric 1Se dit d’un système chimique, dont la vitesse de transformation est très faible et qui a l’apparence de la stabilité. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Cem’In’Eu : Deux nouveaux ciments pour 2022

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Fabien Charbonnel, directeur général de Cem’In’Eu : « Nous allons lancer un CEM II/C et un ciment pouzzolanique CEM IV en 2022 ». [©Cem’In’Eu] A la tête de deux usines cimentières en activité et d’une base logistique portuaire, l’industriel Cement Innovation in Europe – Cem’In’Eu – a bouclé la première phase de son développement. « Aliénor Ciments est la première unité que nous avons mise en service en 2018, rappelle Fabien Charbonnel, directeur général du groupe. Basée à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, elle a assuré une production de 180 000 t de ciments en 2020, soit 1 % de part de marché en France, pour un chiffre d’affaires de 20 M€. » L’entité compte aujourd’hui plus de 200 clients locaux. Car c’est bien là le leitmotiv et la raison d’être de Cem’In’Eu : être présent au cœur des territoires, donc des marchés. Rhône Ciments suit la même logique. L’usine est sise à Portes-lès-Valence (26), en bordure du Rhône. De quoi permettre un approvisionnement par voie d’eau ou par train. Aliénor Ciments est, elle, connectée exclusivement au fer. Mais qu’importe la manière, tant que les livraisons de matières premières n’imposent pas la mise sur les routes de centaines de semi-remorques ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 109 jours

Seine-Saint-Denis : Cibetec, tout en courbes

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine L’immeuble So Pop de Saint-Ouen est équipé de nombreuses pièces préfabriquées par Cibetec. [©Cibetec] A Saint-Ouen, l’immeuble So Pop est le point d’orgue du nouveau quartier central du Grand Paris. Ses voiles de façade en verre se déploient sur un vaste linéaire remarquable par l’effet visuel des corniches réalisées dans les ateliers de Cibetec. Dessinés par l’architecte Ludovic Lobjoy, les 32 400 m2 de cet immeuble tertiaire se déploient sur sept étages auxquels s’ajoutent 4000 m2 de jardins et terrasses. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Ce projet architectural a nécessité la préfabrication pas moins de 52 poteaux triangulaires (365 ml), 276 corniches droites (environ 1 400 ml) et 93 corniches courbes (environ 430 ml). Le tout intégralement réalisé en béton de marbre blanc de Grèce poli. Près de 24 rayons différents ont été nécessaires pour épouser les courbures dessinées par l’architecte : 14 convexes et 10 concaves. Afin de s’assurer d’une blancheur pérenne, Cibetec a aussi utilisé un ciment de très haute performance souhaité par l’architecte, le ciment i.active Ultra 52,5 N de Ciments Calcia. Toutes les pièces ont reçu un polissage en cinq passes sur leurs différentes faces afin d’obtenir une brillance impeccable. Déjà équipé d’un polisseur, Cibetec s’est doté de supports spécifiques complémentaires pour polir les corniches droites et notamment d’un palonnier retourneur à sangles pour les poteaux triangulaires et les corniches. Même si ces dernières sont dotées d’inserts permettant leur saisie et leur fixation sur les trumeaux, leur pose a été néanmoins la partie la plus délicate en raison de leur poids allant de 2 à 4 t à une distance de 2 à 3 mm de la façade vitrée… Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Rhône : Structuration des gammes béton pour SEBM

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine SEBM vient de structurer son offre de bétons prêts à l’emploi. [©Martel] Filiale de Martel Groupe, SEBM aura passé son année 2021 à travailler sur la structuration de son offre. « Ces dernières années, la transformation du marché de la construction nous a poussés à apporter une vision claire sur nos offres de produits, afin de répondre aux besoins de nos clients, explique Amandine Noailly, responsable technique et développement béton du groupe. Nous avons donc regroupé nos bétons usuels pour bâtiment sous la gamme Tradi. Quant à la gamme Techni, elle rassemble les bétons plus performantiels, afin de répondre aux chantiers plus techniques. Enfin, le secteur des travaux publics sera régi par notre gamme Voiri. » De son côté, la gamme Speci regroupe les bétons nécessitant des exigences spécifiques, telles que les chapes fluides ciment. La gamme Lhya est dédiée aux bétons d’aménagements décoratifs. « Elle est déclinée en trois sous-familles : Lhya Minéra, pour les bétons désactivés, sablés, Lhya Surfa, pour les bétons imprimés ou balayés, et enfin, Lhya Perméa, pour les bétons drainants et stabilisés. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Dans le même temps, Martel Groupe réaffirme sa volonté de placer le développement durable au cœur de ses activités. « L’internalisation de la chaîne de valeur nous permet de mettre en avant une économie circulaire associée à la fabrication du béton grâce à notre carrière de la Picardière – SEEM, ainsi qu’à la réutilisation de nos retours bétons pour la fabrication de granulats recyclés. » Afin de répondre aux enjeux de la RE 2020, SEBM lance ainsi le marquage CO2 Score, qui signale des réductions des émissions de CO2/m3, pouvant atteindre plus de 50 %. Celui-ci est applicable à l’ensemble des produits de la marque. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 109 jours

Tour d’horizon des additions pour bétons

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Le bas carbone est dans les tuyaux de nombreux acteurs des additions pour bétons. En effet, en plus de donner de nouvelles propriétés, de renforcer les caractéristiques ou encore de colorer, certaines solutions permettent de réduire l’empreinte environnementale des bétons. Retour sur les produits disponibles sur le marché. Argeco: La préfabrication, un marché porteur L’argile kaolinique est une ressource disponible sur le territoire français. [©Argeco] « Depuis la mi-2020, la demande en métakoalin a explosé avec les nouveaux projets bas carbone », explique Pierre Drelon, responsable technico-commercial d’Argeco. En effet, l’argile kaolinique est une ressource présente sur le territoire et qui, une fois transformée, dispose d’un meilleur bilan carbone (139 kgeqCO2/t) que le clinker. « Jusqu’à présent nous étions bloqués, en termes de dosage, selon la NF EN 206/CN. Cependant, les choses changent et les nouveaux ciments bas carbone, permettant l’introduction de métakaolins, vont nous ouvrir des portes. » Pour l’industriel, le monde de la préfabrication représente un marché porteur. « Ces acteurs viennent de plus en plus nous solliciter. Ils vont pouvoir dans beaucoup de cas incorporer jusqu’à 40 % de métakaolin dans leurs formulations. Notamment grâce à la méthode de l’approche performantielle qui va être autorisée début 2022. » Pour l’année à venir, Argeco compte bien étoffer ses solutions. « Le groupe Colas, dont nous dépendons, souhaite aller vite et fort sur le sujet du bas carbone. Le groupe va décupler les productions de tonnages de métakaolins/liants au métakaolin dans les années qui viennent. La ligne directrice a été donnée par notre Pdg Frédéric Gardes qui est venu visiter notre usine de production en juin dernier. » L’entrée en vigueur de la RE 2020 devrait accompagner les ambitions de l’industriel. « Les bétons connaissent enfin une vraie révolution et toutes les additions vont avoir leur place. » Condensil : Haute performance et bas carbone Condensil propose de la fumée de silice sous différentes formes. [©Condensil] En septembre, Condensil a accueilli une nouvelle directrice à sa tête. Et Marina Golhen compte bien mener la fumée de silice sur le devant de la scène “béton”, avec en particulier ses attributs bas carbone. « Avec notre addition, nous sommes sur une logique de haute performance et de durabilité avec une bonne empreinte carbone. A l’échelle européenne, le bilan environnemental de la fumée de silice devrait avoisiner les 50 kg éqCO2/t. Nous attendons les derniers arbitrages qui devraient tomber début 2022. C’est un levier en plus pour nous, acteur local. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 110 jours

Capter le CO2 dans l’industrie

Certaines activités industrielles (cimenterie, chimie, sidérurgie par exemples) génèrent des émissions de CO2 directement issues de leur process de fabrication qui ne seront pas évitables. Pour elles, la technologie de captage de CO2 devient un levier concret de décarbonation.
Il y a 3 ans et 110 jours

Edycem BPE lance une version Premium de sa chape Kalkiss

Edycem lance la chape Kalkiss Premium. [©Edycem BPE] Edycem BPE continue d’enrichir sa gamme de chapes ciment Kalkiss. Afin de proposer une offre complète couvrant les besoins du plus large spectre d’applications. C’est dans ce cadre que la marque a lancé la version Kalkiss Premium de sa chape principale. Elle est sous DTA depuis décembre dernier (13/21-1492-V1). Et est destinée aux espaces de grandes surfaces, jusqu’à 80 m2 avec plancher chauffant et jusqu’à 100 m2 hors plancher chauffant. Elle permet de doubler la surface de fractionnements entre les joints. Et de bénéficier d’une cure interne sans pellicule de surface, tout en étant connectée SmartCem. Lire aussi : Edycem dévoile ses bétons bas carbone Vitaliss Cette extension de gamme est le résultat de nouveaux travaux de recherche menés durant deux ans en collaboration avec Centrale Nantes. Elle s’appuie sur une technologie qui combine les atouts d’une chape anhydrite et d’une chape ciment : une base ciment, un séchage et une pose de revêtement rapides. Pour carrelages de grands formats Grâce à l’espacement important entre les joints de fractionnement, il est désormais possible de poser, sans risque de fêlures, des carrelages, tels que les grands formats ou les finitions effets bois qui sont au cœur des tendances. Kalkiss Premium offre aussi une solution idéale pour les grandes cuisines ouvertes sur salon ou encore les rénovations de lofts. Lire aussi : Edycem poursuit le développement de son offre chapes Avec sa haute résistance à la compression, cette chape convient de plus aux locaux d’activités tertiaires type P4. Où circulent, de façon usuelle, des engins de manutention de charges lourdes ou des engins d’entretien lourds.
Il y a 3 ans et 117 jours

Le spécialiste des systèmes constructifs préfabriqués KP1 dévoile sa stratégie environnementale

Depuis son origine, il est engagé dans une démarche environnementale en proposant des systèmes préfabriqués en béton précontraint, synonyme de frugalité : moins de béton, moins d’aciers, moins de carbone. Aujourd’hui, il dévoile sa stratégie environnementale avec l’ambition de réduire de 50 % son impact carbone à horizon 2031. Cet objectif répond aux évolutions sociétales en matière d’empreinte carbone et va au-delà des exigences fixées par le calendrier de la RE 2020. L’innovationL’entreprise a mis son esprit visionnaire et son expertise de plus de 60 ans au service de l’innovation pour développer des produits aux impacts environnementaux réduits.Pour Florent Goumarre, Directeur Marketing, Communication & Innovation Produits : « L’approche systèmes constructifs préfabriqués que nous prônons depuis des années prend aujourd’hui tout son sens avec la RE 2020. Par exemple, un plancher Silence (poutrelle/entrevous/rupteurs) est 30 % moins impactant au niveau environnemental que son équivalent en dalle pleine. Nous allons plus loin aujourd’hui en explorant de nouveaux ciments, qui permettront d’atteindre encore de meilleures performances structurelles et environnementales. »KP1 a lancé sa nouvelle gamme éco-conçue baptisée Impakt début décembre 2021. Elle se compose de l’entrevous EMR (100 % en matière recyclée), de la Prédalle et ThermoPrédalle®, et prochainement d’un Prémur développé avec le ciment H-UKR (0 % clinker), fourni par Hoffmann Green Cement Technologies.La pertinence industrielleAu service des territoires, avec 20 usines réparties à travers l’hexagone, KP1 est un acteur majeur de l’industrie locale française. Ce maillage de proximité est ancré dans l’ADN de la marque. Il permet de construire en circuit court et de participer ainsi à la réduction de l’impact carbone. Ses engagements environnementaux passent également par l’amélioration continue de ses sites.Pour Florent Goumarre, Directeur Marketing, Communication & Innovation Produits : « Aujourd’hui, 68 % des aciers que nous utilisons sont issus de matières recyclées, notre objectif est d’atteindre les 100 %. Nous travaillons également à limiter et réemployer nos rebuts ainsi qu’à réduire les coûts environnementaux liés à notre process industriel, comme l’étuvage, l’éclairage, les sources d’énergies... »L’usine de Grigny (69) est l’une des illustrations concrètes de cette stratégie industrielle responsable. Elle vient par exemple de se doter d’un nouveau silo qui accueille le ciment bas carbone de la nouvelle Prédalle et d’optimiser son système de traitement des eaux usées.Pour Vincent LINCHET, CEO de KP1 : « KP1 a toutes les clés pour être un acteur industriel majeur de la transformation environnementale dans le monde de la construction. Au-delà de l’innovation produits et de nos sites industriels, nous investissons également beaucoup dans la formation des femmes et des hommes de l’entreprise, et des nouveaux talents pour atteindre nos objectifs fixés en 2031. Car c’est ensemble, à chacun des niveaux, que nous parviendrons à construire le monde responsable de demain. »
Il y a 3 ans et 118 jours

Ciment d'argile crue : Materrup passe à l’industrialisation dans les Landes

La start-up landaise Materrup démarre la commercialisation de son ciment d’argile non calcinée, destiné à remplacer le ciment traditionnel dans la composition du béton. Une technologie qui répond à la fois à l’urgence climatique et aux exigences de la RE 2020.
Il y a 3 ans et 118 jours

Edilteco France renouvèle l'avis technique des mortiers de remplissage Politerm 200 et 300

Le Groupe spécialisé n° 13 « Procédés pour la mise en œuvre des revêtements » de la Commission du CTSB a formulé un nouvel Avis Technique N° 13/16 – 1320_V1 pour les formules Politerm 200 et Politerm 300. Composées de ciment et d’agrégats en billes de PSE expansé, traitées, les formules Politerm 200 et Politerm 300 permettent la réalisation de remplissages allégés en construction neuve ou en rénovation pour des bâtiments courants.Cette version annule et remplace le précédent Avis Technique 13/16-1320 et intègre également une modification avec l’ajout d’un nouveau site de production des billes de polystyrène.En effet, depuis le mois de juin 2021, l’usine Edilteco France du Pontet (84) accueille une ligne de production et d’enrobage pour l’agrégat Politerm.Cette nouvelle ligne permet d’accroître la fabrication du procédé et de répondre à une demande croissante mais également d’amoindrir le bilan carbone de l’entreprise en produisant au plus près des clients et ainsi réduire les coûts de transport et les émissions de GES.Un agrégat de PSE pour un allègement des structuresL’agrégat léger Politerm, bille de polystyrène vierge expansé, à granulométrie contrôlée, enrobée de l’adjuvant breveté E.I.A, (conçu et développé dans les laboratoires d’Edilteco) permet d’alléger les structures grâce à un gain de poids.Ce gain est obtenu par la réduction d’agrégats traditionnels, au profit de l’adjonction de Politerm, qui permet d’atteindre des cœfficients de conductivité thermique à partir de 0,066 W/mK (Politerm 200) et 0,082 W/mK (Politerm 300). Les formules Politerm 200 et Politerm 300, sont donc des mortiers légers dont les masses volumiques, variant 200 kg/m3 et 300 kg/m3, s’avèrent inférieures à celle du béton traditionnel. Les gains de poids volumiques respectifs de 90 % et 88 % offrent un allègement considérable des structures. Et cet allègement qui ne se fait pas au détriment de la robustesse, est permis par un process de fabrication de qualité contrôlée. Les agrégats Politerm sont des billes de polystyrène à cellules fermées, fabriquées par la société Edilteco France et enrobées de l’adjuvant E.I.A. Ils ne proviennent en aucun cas de broyage de panneaux ou de matières recyclées. L’expansion des grains de polystyrène est obtenue par traitement à la vapeur d’eau. Les billes sont alors hydrophobes, imputrescibles et insensibles aux réactions alcalines. Elles sont stockées dans un silo pendant minimum 24 heures, ce qui assure leur stabilisation, avant d’être enrobées par l’adjuvant E.I.A. Ce traitement permet d’éviter toute ségrégation entre billes et liants hydrauliques et garantit l’homogénéité du mélange. Un procédé décliné et éprouvéCe procédé d’agrégat isolant est donc idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques.Il permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existant, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Il s’adapte aussi bien aux travaux neufs qu’aux travaux de rénovation.Mise en œuvre simplifiée et rapideLes remplissages allégés Politerm 200 et Politerm 300 sont destinés à réaliser une couche de remplissage non armée servant à niveler le support en une forme qui recevra une couche supérieure.Ce procédé rattrape donc irrégularités, déformations, changements brusques de niveaux, et permet de noyer les canalisations de plomberie, tuyauteries, câbles, fourreaux, gaines électriques etc.Le Politerm 200 s’emploie donc aussi bien pour des opérations de remplissage pour une remise à niveau des pentes, que de ravoirage, ravoirage isolant et d’isolation thermique.De même, le Politerm 300 s’emploie pour du ravoirage, de l’isolation thermique, de l’isolation acoustique aux bruits de chocs et pour une remise à niveau de plancher.Parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur, les mortiers légers Politerm 200 et Politerm 300 se mettent en œuvre facilement.Lors des mises à niveau et de la confection de supports de revêtement, l’application est simplifiée et rendue plus efficace par sa consistance mousseuse.Dès lors, l’obtention d’un nouvel A.T. des formulations Politerm 200 et Politerm 300, confirme le caractère exclusif et technique d’allègement des structures sans déperdition thermique et avec une amélioration de l’isolation acoustique ; ainsi que l’engagement d’Edilteco France dans une démarche de contrôle qualité certifiée répondant aux exigences de chantiers multiples.
Il y a 3 ans et 120 jours

Le Sfic, Cimbéton, et l’Atilh fusionnent sous la bannière Sfic

Le Sfic, Cimbéton et l’Athilh se sont regroupés sous la bannière Sfic. [©DR] Le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), le Centre d’information sur le ciment et ses applications (Cimbéton) et l’Association technique de l’industrie des liants hydrauliques (Atilh) se sont tous les trois regroupés sous la bannière Sfic. Cette fusion des 3 organismes de l’industrie cimentière ne remet en cause aucune des actions conduites. Tant au service de la décarbonation de l’industrie que de la construction durable. Dans le cadre de cette fusion, les actions de Cimbéton et de l’Atilh continuent d’être menées par le Sfic. La mission de Cimbéton, de faire connaître les progrès techniques des ciments et des bétons. Ceci, dans tous les secteurs de la construction, bâtiment, travaux publics et génie civil, sera poursuivie. Les travaux relevant du domaine technique de l’Atilh continueront aussi d’être assurés à travers le Sfic. Comme la tenue du Bureau de normalisation des liants hydrauliques (BNHL). Pleins feux sur le Sfic Le Sfic regroupe les fabricants de liants hydrauliques : ciments, chaux hydrauliques, liants routiers et liants géotechniques. Le syndicat est le représentant des intérêts de la profession auprès des pouvoirs publics et des partenaires sociaux de la branche de l’industrie cimentière. Il accompagne ses adhérents dans les actions prises collectivement en faveur de l’économie circulaire. Mettant en valeur la valorisation énergétique et matière des déchets dans son process, ainsi que le recyclage du béton. Il mène des actions de promotion de la construction décarbonée. En contribuant à l’innovation collaborative, le Sfic encourage les initiatives qui permettront de répondre aux enjeux de la transition numérique, énergétique et du développement durable.
Il y a 3 ans et 120 jours

Les prix de la 10ème édition du Trophée béton Écoles

Pour cette 10ième édition, ce concours s’est décliné en deux catégories. La première, appelée PFE (projet de fin d’étude), récompense traditionnellement les jeunes diplômés dont le projet de fin d’étude valorise les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. Et, pour la première fois cette année, la catégorie dite Studio s’ouvre aux étudiants en architecture de premier et second cycle qui sont invités à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon une expression graphique libre (dessin, peinture, collage, maquette). Parmi les 117 postulants inscrits, soit de manière individuelle, soit dans la cadre d’équipes intégrant des architectes et/ou ingénieurs, douze projets ont été sélectionnés. Les candidats sont venus défendre leurs travaux devant un jury réunissant des personnalités du monde de l’architecture, de l’ingénierie et de l’enseignement, le jeudi 13 janvier 2022, à la maison de l’architecture Ile-de-France. Ce « Grand oral » constituant pour ces jeunes étudiants une première approche de la réalité du métier. À l’issue de la journée de délibération, le jury, sous la présidence d’Alexandre Grutter, Architecte, Directeur du Département Architecture, INSA Strasbourg – École d’Architecture, a désigné cinq lauréats – trois dans la catégorie PFE et deux exæquos dans la catégorie Studio – lors de la soirée de remise des prix du Trophée béton Écoles. Outre leur Trophée, les gagnants se sont vu remettre une gratification non négligeable de 5 000 euros pour le 1er prix PFE, 4 000 euros pour le 2ème, 3 000 euros pour le 3ème et 2 000 euros pour chaque lauréat de la catégorie Studio. Une mention a été remise par l’association AAIIA. 1er prix PFE : Majoie Tsadok KPOVIESSI Un activateur culturel pour le rayonnement d’une capitale méconnue École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg 2ème prix PFE : Quentin RISALETTO Les silos de Withington – Paysage énergétique et poétique de la matière École nationale supérieure d’architecture de Clermont-Ferrand 3ème prix PFE : Guillaume PORCHE L’Historial de Vauquois et de sa Région – Un lieu de mémoire de la guerre des mines en Argonne de 1914 à 1918 École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg 1er prix catégorie Studio exæquo : Nicolas NUGUE Félix CANDELA – La fabrique de rhum Bacardi à Mexico École nationale supérieure d’architecture de Versailles 1er prix catégorie Studio exæquo : Zaid CHAFAQI et Clément CHAFAIE Les frères Auguste et Gustave PERRET – L’église du Raincy École nationale supérieure d’architecture de Marseille-Luminy Mention spéciale AAIIA : Loris BIED Un centre social et culturel pour Beausoleil : La réhabilitation du Domaine Charlot École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne Le Trophée béton Écoles organisé depuis 2012 par l’association Bétocib, le Centre d’information sur le ciment et ses applications (CIMbéton) et la Fondation École Française du béton, sous le patronage du ministère de la Culture, a pour but de révéler les jeunes talents des écoles d’architecture françaises, de les parrainer et de leur offrir une visibilité à l’orée de leur vie professionnelle. En 2021, un partenariat a été créé avec l’Association Architecte Ingénieur & Ingénieur Architecte (AAIIA), afin de mention les binômes ou les doubles diplômes architectes – ingénieurs. Le jury a réuni différentes personnalités du monde de l’architecture pour lesquelles qualités architecturales et qualités structurelles sont indissociables. Alexandre Grutter, Président du Jury, Architecte et Directeur du Département Architecture à l’INSA Strasbourg – École d’Architecture. Stéphanie Celle, Adjointe au Directeur de l’enseignement supérieur et de la recherche en architecture au ministère de la Culture. Thomas Corbasson, Administrateur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France Gilles Davoine, Rédacteur en chef de la revue AMC, groupe Moniteur Laure Regnaud, Directrice de la Fondation École Française du Béton Marc Botineau, Architecte Paul Chemetov, Architecte Antoine Daudré-Vignier, Architecte Jérôme Einbinder, Architecte Françoise N’Thépé, Architecte Giovanni Pace, Architecte Philippe Béboux, Architecte epfl sia fas, ingénieur ets et urbaniste fsu, Lausanne Adrien Paporello, Ingénieur-architecte, Représentant de l’association AAIIA Alessandro Formisano Altarea, Maître d’ouvrage, Cogedim Arthur Dalloni, Architecte, Lauréats de la 9ème édition du Trophée béton Écoles Coordination générale Claire Barbou, Architecte et Secrétaire général de Bétocib Visuel : 1er prix catégorie Studio exæquo – Nicolas NUGUE