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Il y a 3 ans et 26 jours

La transition énergétique doit être au cœur de l’avenir économique de l’Afrique selon un rapport

Un cadre politique intégré construit autour de la transition énergétique pourrait apporter une vague de nouveaux investissements dans l’énergie durable en Afrique, et ainsi générer une amélioration de l’économie de 6,4 % dans la région d’ici 2050, selon les résultats d’une analyse publiée il y a quelques jours par l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en collaboration avec la Banque africaine de développement (BAD).Le rapport Renewable Energy Market Analysis: Africa and Its Regions (Analyse du marché des énergies renouvelables : Afrique et ses régions) montre que l’Afrique prospère de manière significative grâce au développement permis par les énergies renouvelables, tout en améliorant considérablement l’accès à l’énergie et en offrant de puissants avantages sociaux et environnementaux aux personnes présentes sur le continent.Cette vision d’une transition énergétique en Afrique alignée sur les projets climatiques à l’échelle mondiale, montre que le continent créera 26 millions d’emplois de plus pour l’ensemble de l’économie d’ici 2050 que ne le prévoient les scénarios habituels. Le nombre d’emplois créés grâce à la transition énergétique en Afrique serait quatre fois supérieur à celui des pertes d’emploi liées aux combustibles fossiles, ce qui représenterait un profit net conséquent pour les économies régionales. Environ deux millions de personnes travaillent actuellement dans l’industrie des combustibles fossiles en Afrique.« On demande trop souvent aux gouvernements et aux peuples africains de s’appuyer sur des combustibles fossiles non durables pour alimenter leur développement alors que les solutions d’énergie renouvelable et d’efficacité énergétique offrent d’intéressantes alternatives économiques socialement avantageuses », a déclaré Francesco La Camera. « La transition offre une opportunité unique à l’Afrique de respecter ses exigences en matière de développement. Grâce à des ensembles de politiques créées sur mesure, les pays africains peuvent exploiter leurs forces et leurs ressources pour surmonter les dépendances structurelles établies depuis longtemps. »« L’Afrique a d’abondantes sources d’énergies renouvelables, sur lesquelles elle peut durablement fonder son ambitieux développement socio-économique. Toutefois, un engagement politique fort, un cadre de transition énergétique juste et équitable, et des investissements massifs sont nécessaires. La Banque africaine de développement s’engage à soutenir la transition énergétique du continent, en facilitant la hausse des investissements du secteur privé grâce à sa vaste gamme d’instruments de financement vert, notamment le Fonds pour l’énergie durable en Afrique », explique le Dr Kevin Kariuki, Banque africaine de développement, vice-président de l’électricité, l’énergie, le climat et la croissance verte.Le charbon, le gaz naturel et le pétrole représentent ensemble actuellement environ 70 % de la production totale d’électricité en Afrique et l’énergie conventionnelle attire beaucoup plus de financement que les énergies renouvelables, en raison d’un processus établi qui favorise une production thermique à moins forte intensité de capital, note le rapport. Le financement de la transition énergétique doit devenir plus accessible. Des efforts coordonnés doivent être déployés pour garantir que les dépenses publiques, principale source de financement de la transition énergétique en Afrique, se concentrent clairement sur les énergies renouvelables.Sur les 2,8 milliards d’USD investis dans les énergies renouvelables dans le monde entre 2000 et 2020, seulement 2 % sont allés à l’Afrique, malgré l’énorme potentiel d’énergie renouvelable du continent et la nécessité d’apporter de l’énergie moderne à des milliards de citoyens qui n’y ont toujours pas accès. Alors que le taux d’accès à l’énergie en Afrique subsaharienne est passé de 33 % à 46 % au cours de la dernière décennie, dû à une croissance démographique rapide, 570 millions de personnes n’avaient toujours pas accès à l’électricité en 2019, soit 20 millions de plus qu’il y a 10 ans. Environ 160 millions de personnes de plus n’avaient pas accès à un mode de cuisson propre à cette même période. « Il est impératif de permettre aux pays africains, qui ont peu contribué aux émissions historiques de gaz à effet de serre, de se développer, tout en reconnaissant la nécessité de faire face à l’urgence climatique », a déclaré le directeur général La Camera. « La coopération internationale, y compris la coopération Sud-Sud, sera essentielle pour mobiliser des ressources et un savoir-faire à une échelle et à une vitesse proportionnelles aux besoins des économies d’Afrique, de ses communautés et de sa population. »
Il y a 3 ans et 27 jours

Guerre en Ukraine : Beaucoup de (gros) perdants, peu de (vrais) gagnants

Coface a revu à la hausse son estimation du coût pour l'économie mondiale à environ un point de pourcentage en 2022. Cependant les conséquences du conflit se feront surtout sentir à partir du deuxième semestre, et se matérialiseront encore davantage en 2023 et au-delà. Le risque politique, qui avait considérablement augmenté au niveau global avec la pandémie, est exacerbé par la hausse des prix des produits alimentaires et énergétiques. Aucune région ne sera véritablement épargnée des retombées économiques de cette guerre, et après les chocs successifs des années 2020, notre perception reste d’actualité : le monde a changé, sans retour possible.L'Europe en pleine tourmenteL'importance des belligérants dans la production de nombreuses matières premières et les craintes de ruptures d'approvisionnement ont entraîné une flambée des prix, entraînant une baisse du revenu disponible des ménages et donc de la consommation. La volatilité et l'incertitude pèseront aussi lourdement sur les décisions d'investissement des entreprises dont la situation financière risque de se dégrader sensiblement, les coûts de production continuant à augmenter ou restant élevés. Au-delà des économies d'Europe centrale et orientale, qui ont des liens économiques importants avec la Russie, les pays d'Europe occidentale sont les plus exposés en raison de leur forte dépendance aux combustibles fossiles russes. L’Allemagne et l’Italie dont les économies sont les plus dépendantes du gaz russe devraient être fortement impactés (1,6 point de PIB en moins). L'impact serait plus faible mais toujours significatif dans le reste de l’Europe.Les effets inflationnistes poussent la Fed à agir plus rapidement que prévuOutre atlantique, l'impact sur la croissance devrait être plus modeste en raison d’une exposition commerciale et financière limitée à la Russie et à l'Ukraine. Néanmoins, aux USA, le taux d'inflation global a atteint son plus haut niveau en 41 ans, porté par les prix des denrées alimentaires et de l'énergie. Abstraction faite de ces éléments, la croissance des prix sur une base mensuelle s'est atténuée, mais reste nettement supérieure à l'objectif de 2% de la Fed, et l’incite à agir plus rapidement que prévu.Après une première augmentation de taux des fonds fédéraux en mars, la plupart des membres du comité de politique monétaire se sont déclarés favorables à ce que celui-ci atteigne un niveau "neutre" d'ici fin 2022, soit un taux estimé entre 2 et 3%. Il s'agirait d'un des cycles de resserrement les plus agressifs depuis les années 1990 et contribuera à modérer la croissance américaine, d’où notre révision à la baisse de la prévision de croissance du PIB américain pour 2022, à 2,7%.Aucune région ne sera épargnée par l'inflation importée et les perturbations de chaînes d'approvisionnementLe continent africain, où est estimé un effet négatif net global de 0,5 point, est un parfait exemple de la manière dont la situation actuelle affecte les économies émergentes avec l'intensification des pressions inflationnistes, le début du resserrement de la politique de la Fed et son impact sur les flux de capitaux. L'Asie ne sera pas épargnée par les conséquences de la guerre, auxquelles s'ajoute le ralentissement en Chine lié au variant Omicron. Un conflit prolongé en Europe ou une nouvelle escalade aura un impact négatif net estimé à 0,5 point sur la croissance du PIB en 2022. L'Amérique latine est une autre région vulnérable à un resserrement de la politique de la Fed, mais devrait bénéficier de la hausse des prix des matières premières. L'effet net de la guerre dans la région – que nous estimons à -0,1 point – est encore incertain et pourrait ne pas se faire pleinement sentir dans un avenir proche. Pour consulter l'étude complète : cliquez ici
Il y a 3 ans et 28 jours

Gamme Bioalkyd : un système complet à base de résine biosourcée by Zolpan

Un système complet à base de résine biosourcéeBioalkyd Prim prépare le support à l’application de la peinture. Elle régule l’absorption des fonds et amène une première couche opacifiante pour offrir une très belle finition et un résultat final uniforme. Cette impression de qualité professionnelle offre un bon pouvoir couvrant, une belle blancheur et permet une polyvalence des usages en neuf ou en rénovation, sur les murs, plafonds et boiseries.Disponibles en aspect mat ou velours, les peintures Bioalkyd offrent un bel aspect décoratif, tendance et durable pour vos murs et plafonds.Une démarche environnementaleLes peintures de finition Bioalkyd Mat et Velours ainsi que le primaire Bioalkyd Prim sont formulés à partir d’une résine alkyde biosourcée à 97%, d’origine végétale. Cette résine issue de ressources renouvelables présente une empreinte carbone réduite par rapport à une résine conventionnelle.La marque BIOALKYD fait référence au caractère biosourcée de la résine utilisée comme ingrédient et en aucun cas à l’agriculture biologique. Le taux de carbone biosourcée mesuré selon la norme EN NF 16640 dans les produits BIOALKYD est supérieur à 52%.Impression Bioalkyd Prim - Blanc - Prix public TTC à partir de : 15,50 €/LFinitions Bioalkyd - Disponible en finition mate et velours. Blanc et plus de 500 teintes pastel - Prix public TTC conseillé à partir de : 17,56 €/L en blanc aspect matDes normes de qualité exigeantesLe système Bioalkyd est labelisé Ecolabel. Ce label garantie une réduction des impacts environnementaux, ainsi qu’un seuil de performance des produits. Ce sont des organismes indépendants qui vérifient la conformité des produits au référentiel Ecolabel.L’ensemble des produits de la gamme Bioalkyd sont classés A+ et émettent très peu de Composés Organiques Volatiles avec une teneur en COV
Il y a 3 ans et 32 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 33 jours

Knauf Ceiling Solutions : 13 millions d'euros pour améliorer sa capacité de production

STRATÉGIE. Né en 2019 de plusieurs rachats dont celui d'Armstrong Ceiling Solutions, le fabricant de plafonds Knauf Ceiling Solutions a rapatrié des productions dans ses unités françaises et débloquer une enveloppe de plus de 10 millions d'euros pour améliorer ses process. Des initiatives révélatrices de ses ambitions.
Il y a 3 ans et 34 jours

La startup Waste Marketplace lève 2 millions d’euros pour financer son développement commercial et sa solution digitale

Fondée en 2018 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat de VINCI, Waste Marketplace propose une application qui simplifie la gestion des déchets de chantiers et industriels. Waste Marketplace mutualise les recherches et les audits chez les prestataires et sélectionne, pour ses clients, le meilleur rapport taux de valorisation/prix et localisation, pour chaque type de déchets.Waste Marketplace s’occupe de tout pour ses clients : démarches administratives, devis des prestataires, reporting précis sur les émissions de carbone générées, traçabilité des contenants. Tout est accessible en 1 clic sur l’application.SMABTP a fait le choix d’entrer au tour de table de Waste Marketplace pour participer au développement d’une offre de service utile à ses clients, acteurs du BTP. VINCI Construction reste un soutien actif dans le développement de la startup.L’objectif de cette levée de fonds par augmentation de capital, est de poursuivre le développement commercial de Waste Marketplace sur tout le territoire national et de continuer le développement fonctionnel et technologique de sa plate-forme digitale.Pour Jérôme de Tomasi, CEO de Waste Marketplace : "Cette levée de fond va nous permettre de développer davantage notre force commerciale pour mailler encore plus finement le territoire national afin de proposer le prestataire le plus adapté pour chaque besoin. Les fonds serviront également à perfectionner l’outil digital, notamment sur la traçabilité des déchets pris en charge."Pour Hervé Leblanc, directeur général adjoint grands comptes et international, groupe SMA : "Les échanges que nous avons eus avec Waste Marketplace nous ont permis de constater que cette société présente un intérêt indéniable pour les professionnels du BTP. Elle leur permet de simplifier la gestion de leurs déchets, un véritable enjeu pour le secteur qui doit intégrer le renforcement de la réglementation dans ce domaine. C’est pourquoi, nous avons fait le choix d’accompagner cette startup afin de soutenir une solution utile à la protection de l’environnement et à nos sociétaires."Pour Thierry Mirville, président de VINCI Construction Invest : "VINCI Construction fait de l’économie circulaire un axe fort de son développement et de ses savoir-faire techniques. Nous sommes particulièrement fiers du développement ambitieux de Waste Marketplace qui démontre que pour favoriser le réemploi et le recyclage des matériaux depuis et sur nos chantiers, il faut des solutions simples, économiques, locales et intégrant la traçabilité de leur origine à leur mise en œuvre."Pour Julien Villalongue, directeur, Leonard : "Parmi les nouvelles filiales et activités du groupe VINCI nées du parcours Intrapreneurs animé par Leonard, Waste Marketplace a rapidement trouvé son marché grâce à son excellente adéquation avec les besoins des acteurs du BTP et de l’industrie, pour qui l’enjeu environnemental s’affirme désormais comme une priorité."Chiffres clés :400 chantiers et site industriels actifs500 prestatairesPrès de 3.000 mouvements par moisPlus de 5.000 tonnes de déchets traitées chaque mois87% de valorisation en moyenne+263% : croissance du CA entre 2020 et 2021
Il y a 3 ans et 35 jours

Ingérop acquiert Acterra, un cabinet précurseur dans le domaine du changement climatique

Cette acquisition répond à la volonté d’Ingérop de renforcer son offre d’ingénierie et de conseil par des expertises pointues et d’amplifier son action dans toutes ses activités en faveur de la transition écologique, axe prioritaire de sa stratégie d’entreprise « Vision 2025 ».Acterra, précurseur de l’adaptation et de la résilience au changement climatiqueDepuis plus de 15 ans, Acterra accompagne ses clients à chaque étape de leur action : apport d’expertise dans les phases de diagnostic des impacts du changement climatique, définition de stratégies et de programmes d’actions, accompagnement du changement et assistance à la maîtrise d’ouvrage, réformes institutionnelles et organisationnelles, suivi et évaluation de politiques et projets, accès à la finance climat, recherche & innovation. Le cabinet intervient auprès de bailleurs de fonds (AFD, GIZ, FFEM, Banque Mondiale, etc.), d’organisations internationales (PNUE, PNUD, FAO, Green Climate Fund), de gouvernements et d’agences nationales (ADEME, Agences de l’Eau, OFB, Ministères de l’Ecologie), de collectivités locales (Métropole Aix-Marseille, Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise) et d’entreprises privées.Basé à Marseille, le cabinet Acterra emploie 8 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 1,2 million d’euros, en progression constante depuis sa création.Un rapprochement synonyme de synergie, de complémentarité et d’engagementTout en restant une entité indépendante, pilotée par son dirigeant actuel, Stéphane Simonet, Acterra rejoindra Ingérop Méditerranée, dont le siège est également basé à Marseille, faisant jouer de ce fait pleinement la synergie et la complémentarité des équipes.L’expertise de l’entreprise viendra naturellement irriguer l’ensemble des projets portés par Ingérop dans ses différentes missions et activités (bâtiment, eau, énergie, industrie, infrastructures & mobilité, transport, ville) et permettra ainsi à Acterra d’élargir son champ d’action. En effet, la capacité d’adaptation et de résilience au changement climatique est un enjeu primordial aujourd’hui, quel que soit le projet - public ou privé, son échelle - locale à internationale, ou la nature de la mission confiée.Enfin, Acterra renforcera le savoir-faire d’Ingérop en matière de recherche et de développement de services climatiques, comme de formation, pour renforcer l’expertise de l’ensemble des collaborateurs et clients du groupe.« Je me réjouis de ce rapprochement avec le cabinet Acterra, qui s’inscrit parfaitement dans notre vision stratégique 2025. En effet, les enjeux liés au changement climatique sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de tous nos clients et des projets que nous portons. L’expertise des équipes d’Acterra et la reconnaissance de leur savoir-faire au niveau international sont pour nous de véritables atouts pour l’avenir. », précise Yves Metz, président d’Ingérop.Pour Stéphane Simonet, dirigeant du Cabinet Acterra: « Acterra a connu ces dernières années une croissance importante de ses activités en France comme à l’international. Le rapprochement avec Ingérop va nous permettre de poursuivre ce développement et d’enrichir notre gamme de services et de solutions grâce aux synergies créées avec les différentes entités du groupe. Il s’agit donc pour nous de la bonne décision, au regard de l’urgence climatique et des besoins en constante évolution de nos clients, et du bon partenaire, dont la stratégie, les valeurs et le modèle de gouvernance s’inscrivent pleinement dans notre vision entrepreneuriale. »
Il y a 3 ans et 35 jours

L'architecte Jean-Michel Wilmotte dessine la Maison virtuelle de l’Ukraine

La Cité internationale ne dispose pas d’une Maison de l’Ukraine mais, pour offrir à ces personnes les meilleures conditions d’accueil, elle a demandé à l’architecte Jean-Michel Wilmotte d’imaginer une Maison virtuelle de l’Ukraine. Ce projet, hautement symbolique mais ancré dans la réalité, vise trois objectifs : offrir aux étudiants, chercheurs et universitaires un logement au sein des 43 maisons que compte le campus, les accompagner tout au long de leur séjour et préparer l’avenir de la jeunesse et de la communauté universitaire ukrainienne. Afin de financer ce projet, la Cité internationale lance une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT de 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte ainsi qu’une vente aux enchères chez Sotheby’s des dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Une Maison virtuelle de l’Ukraine pour accueillir les talents de demain, accompagner leur réussite et préparer leur avenirAccueillir les talents de demainPremier site d’accueil des étudiants et chercheurs internationaux à Paris depuis bientôt 100 ans, la Cité internationale universitaire de Paris est solidaire du peuple ukrainien. Il n’existe pas de Maison de l’Ukraine sur le campus, mais le projet de Maison virtuelle de l’Ukraine permet de pallier effectivement cette absence. Grâce à ce projet, d’ici le mois de juin 2022, des étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accueillis au fil de l’eau dans les chambres qui se libèreront sur le campus puis, à compter de la rentrée 2022, ils le seront dans des hébergements réservés au sein des 43 maisons du campus.Accompagner leur réussiteLes étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accompagnés dans leurs démarches. Ils pourront bénéficier gratuitement de toute notre offre d’accompagnement : soutien financier, social, psychologique, médical et linguistique. Ils pourront également trouver un appui dans l’offre culturelle et artistique proposée sur le campus. Ils partageront la vie quotidienne de près de 7 000 résidents de 150 nationalités. En lien avec les universités et les grandes écoles franciliennes, nous accompagnerons également les étudiants ukrainiens logés dans d’autres résidences en Île-de-France pour constituer une communauté ukrainienne bien réelle mais symboliquement réunie sous cette bannière de la maison de l’Ukraine. La Cité internationale se place ainsi en pivot de l’accueil en lien avec l’opérateur Campus France, les Crous et les établissements d’enseignement supérieurs franciliens.Protéger et préparer leur avenirLa Maison virtuelle de l’Ukraine symbolise l’espoir d’un renouveau fondé sur la connaissance et les valeurs de tolérance. Elle permettra de préserver l’avenir des étudiants, chercheurs et universitaires en exil dans une perspective de moyen terme : préserver la jeunesse et la communauté universitaire et académique ukrainienne. L’université ukrainienne ne doit pas être sacrifiée et toute une génération d’étudiants venant de ce pays meurtri doit retrouver sa place au milieu de la jeunesse du monde et de ce campus international unique chargé d’histoire qu’est la Cité internationale universitaire de Paris. Le talent de Jean-Michel Wilmotte au service d’une œuvre collectiveL’architecte Jean-Michel Wilmotte a accepté de participer à ce projet innovant et d’accompagner la Cité internationale, haut lieu architectural chargé d’histoire, dont il partage l’ambition d’accompagner et de préparer l’avenir de la communauté universitaire et académique ukrainienne en pariant sur la jeunesse, le savoir et la raison.L’agence Wilmotte & Associés a imaginé un pavillon, réminiscence de l’architecture constructiviste, dont les volumes et l’utilisation des matériaux rappellent le drapeau ukrainien. Cette œuvre numérique est aussi une façon de mettre en avant l’art et la culture comme réponse au fracas et aux destructions de la guerre. Trois œuvres ont été dessinées : la façade de la maison, une chambre et un espace collectif avec un piano.Une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT et aux enchèresPour concrétiser son projet, la Cité internationale lance :Le 19 avril une campagne d’appel aux dons et une vente en NFT des 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte,Le 9 juin une vente aux enchères chez Sotheby’s France, Europe et New-York des 3 dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Les fonds recueillis permettront d’héberger jusqu’à 500 étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre en Ukraine dans les 43 maisons du campus, de les accompagner tout au long de leur séjour (aides administratives, suivi médical et psychologique, apprentissage du français, offre culturelle…) et de constituer un fonds d’aide d’urgence. Ce dispositif s’adresse également aux résidents ukrainiens présents sur le campus au moment du déclenchement de la guerre et à leurs familles proches qui les auront rejoints.Faire un don ou acheter une œuvre en NFT : maisondelukraine.fr
Il y a 3 ans et 35 jours

Isolation biosourcée : levée de fonds pour Gramitherm

Le fabricant de panneaux isolants à base d'herbe de prairie annonce un tour de table et un nouvel actionnaire de référence.
Il y a 3 ans et 37 jours

Architecture en bois et nature pour le siège social d’ASI Reisen

L’entreprise ASI Reisen (Alpin-Schule Innsbruck), spécialiste des vacances écologiques actives et des voyages d’aventures, propose à ses clients un programme alternatif à mille lieues de l’« overtourisme » et de l’industrie des croisières. Afin de communiquer ces valeurs même à l’extérieur, le cabinet international d’architectes Snøhetta a conçu un bâtiment en bois original pour le siège social de l’entreprise à Natters. ASI Reisen s’est installé dans un coin tranquille au beau milieu de la forêt et des champs, littéralement bien nommé « Au calme ». L’intérieur du bâtiment prolonge cette tranquillité promise. Les concepteurs ont habillé les plafonds avec des panneaux acoustiques Ligno® Acoustique light. Les espaces « open office » généreux sont ainsi préservés du bruit et du stress. Le profil irrégulier « nature » des panneaux ennoblit l’espace intérieur avec une surface de lattes esthétique en sapin blanc clair. Les fenêtres généreuses offrent une vue imprenable sur la forêt et les montagnes du Tyrol. Les clients et les visiteurs sont accueillis dans le Base Camp, un hall d’entrée représentatif sur deux étages. La partie centrale de la zone de bureaux s’élève sur plusieurs étages à travers des galeries ouvertes. Elle comprend des espaces de travail individuels, des niches de réunions, une pièce de repos et une cafétéria. Son intérieur à la conception essentiellement ouverte offre au bâtiment une grande flexibilité aux besoins futurs. La façade en bois utilise une méthode de finition issue du Japon. La technique Shou Sugi Ban (Yakisugi) conserve le bois grâce à la carbonisation. Le bois clair des espaces intérieurs forme ainsi un contraste élégant avec la façade sombre. Photo : Lignotrend Maître d’ouvrage : ASI Reisen – Alpinschule Innsbruck GmbH Maîtrise d’œuvre : Cabinet d’architectes Snøhetta, Osl
Il y a 3 ans et 39 jours

"Biens mal acquis" au Gabon : premières mises en examen en France d'enfants d'Omar Bongo

Entre le 25 mars et le 5 avril, le juge financier Dominique Blanc a successivement mis en examen Grâce (58 ans), Betty (55), Arthur (51) puis Hermine Bongo (53), pour recel de détournement de fonds publics, de corruption active et passive et d'abus de biens sociaux, selon des éléments obtenus par l'AFP.La justice française soupçonne en effet plusieurs membres de la famille Bongo, d'Omar le défunt père à Ali, le fils et actuel président, en passant par la fille Pascaline, d'avoir "sciemment" bénéficié d'un important patrimoine immobilier "frauduleusement" acquis par le patriarche et dont la valeur a récemment été évaluée par la justice "à au moins 85 millions d'euros".Les quatre enfants mis en examen de celui qui fut président du Gabon de 1967 à sa mort en 2009 ont tous contesté devant le juge avoir conscience de cette origine frauduleuse.Après la mise en examen de la BNP en mai 2021, ces mises en cause marquent une nouvelle accélération dans cette enquête difficile et au long cours, déclenchée après une plainte en mars 2007.D'autres enfants, parmi les 54 de l'ex-allié historique de la France, pourraient suivre.Contacté par l'AFP, Jessye Ella Ekogha, porte-parole de la présidence gabonaise, n'a pas fait de commentaire.Dans ce dossier des biens mal acquis, outre les enfants Bongo et la BNP Paribas, sont poursuivies quatorze autres personnes physiques dont des membres de la famille du président congolais Denis Sassou Nguesso et plusieurs Français parmi lesquels un avocat, un notaire, une gérante de société civile immobilière (SCI), etc.Avocate de Grâce Bongo, Me Elise Arfi a dénoncé une mise en examen "scandaleuse" qui crée "de l'insécurité juridique", "25 ans" après l'acquisition des biens. "Le chapitre famille Bongo qui s'est ouvert va se poursuivre", a commenté Me William Bourdon, avocat de l'association Transparency International France, partie civile dans ce dossier. "La procédure enseigne maintenant à quel point les biens français n'ont pu être mal acquis que grâce au concours des ingénieurs du chiffre et du droit", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 40 jours

104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés

Spie batignolles outarex parachève la transformation du quartier Léon Blum sur la commune d’Issy-les-Moulineaux en livrant une opération immobilière mixte de plus de 10 000 m², qui s’est inscrite dans une démarche environnementale forte. L’ensemble des réflexions menées entre tous les acteurs engagés sur le choix des techniques constructives et des matériaux raisonnés a permis l’obtention de la certification NF Habitat HQE, des labels E+C- niveau E2C1, BBC Effinergie, Bâtiment Bas Carbone et Bâtiment biosourcé niveau 3. Le nouveau bâtiment ccomprend un immeuble en R+9 offrant 104 logements sociaux, du studio jusqu’au 5 pièces, ainsi qu’un groupe scolaire de 3 200 m² sur deux niveaux. 111 places de stationnement ont également été aménagées en sous-sol. Au-delà de l’enjeu environnemental, c’est aussi la complexité technique d’imbriquer dans un même projet deux usages complètement différents qui a stimulé le travail de l’architecte Brenac & Gonzalez & Associés et de Spie batignolles outarex, en charge de la construction en tous corps d’état. Les méthodes de construction et les matériaux employés ont été choisis en fonction des usages et nécessitaient sur cette opération de s’agréger de façon optimale tant sur le plan fonctionnel, technique qu’esthétique au service du confort de chaque type d’utilisation. Tandis que le groupe scolaire s’élève depuis un socle réalisé en béton architectonique tramé avec des voiles verticaux en béton jusqu’au second niveau, c’est ensuite une structure bois qui a été privilégiée pour les niveaux de logements, du R+2 au R+9. Le bois a également été employé pour la réalisation des planchers et murs de la partie résidentielle par l’entreprise Mathis, tandis que les flux circulatoires intégrant cage d’escalier et ascenseur sont en béton. Au sein de l’école, un escalier hélicoïdal de 2 étages dit monumental, à la fois technique et design, a été réalisé pour animer l’espace. Les équipes ont eu recours à une solution innovante de coffrage en polystyrène expansé pour béton proposée par la société Arbloc. Maîtrise d’ouvrage : Seine Ouest Habitat et Patrimoine (SOHP) Maîtrise d’oeuvre : Cabinet d’architecture Brenac & Gonzalez & Associés Entreprise générale : Spie batignolles outarex et son co-traitant Mathis pour la structure en bois. Lot fondations : Spie batignolles fondations Lot cloisons et faux-plafonds : Spie batignolles partésia Lot menuiserie intérieure : Spie batignolles sedib Photo : Spie batignolles – Germain Hazard / Royal Spark
Il y a 3 ans et 40 jours

104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés

Spie batignolles outarex parachève la transformation du quartier Léon Blum sur la commune d’Issy-les-Moulineaux en livrant une opération immobilière mixte de plus de 10 000 m², qui s’est inscrite dans une démarche environnementale forte. L’ensemble des réflexions menées entre tous les acteurs engagés sur le choix des techniques constructives et des matériaux raisonnés a permis l’obtention de la certification NF Habitat HQE, des labels E+C- niveau E2C1, BBC Effinergie, Bâtiment Bas Carbone et Bâtiment biosourcé niveau 3. Le nouveau bâtiment ccomprend un immeuble en R+9 offrant 104 logements sociaux, du studio jusqu’au 5 pièces, ainsi qu’un groupe scolaire de 3 200 m² sur deux niveaux. 111 places de stationnement ont également été aménagées en sous-sol. Au-delà de l’enjeu environnemental, c’est aussi la complexité technique d’imbriquer dans un même projet deux usages complètement différents qui a stimulé le travail de l’architecte Brenac & Gonzalez & Associés et de Spie batignolles outarex, en charge de la construction en tous corps d’état. Les méthodes de construction et les matériaux employés ont été choisis en fonction des usages et nécessitaient sur cette opération de s’agréger de façon optimale tant sur le plan fonctionnel, technique qu’esthétique au service du confort de chaque type d’utilisation. Tandis que le groupe scolaire s’élève depuis un socle réalisé en béton architectonique tramé avec des voiles verticaux en béton jusqu’au second niveau, c’est ensuite une structure bois qui a été privilégiée pour les niveaux de logements, du R+2 au R+9. Le bois a également été employé pour la réalisation des planchers et murs de la partie résidentielle par l’entreprise Mathis, tandis que les flux circulatoires intégrant cage d’escalier et ascenseur sont en béton. Au sein de l’école, un escalier hélicoïdal de 2 étages dit monumental, à la fois technique et design, a été réalisé pour animer l’espace. Les équipes ont eu recours à une solution innovante de coffrage en polystyrène expansé pour béton proposée par la société Arbloc. Maîtrise d’ouvrage : Seine Ouest Habitat et Patrimoine (SOHP) Maîtrise d’oeuvre : Cabinet d’architecture Brenac & Gonzalez & Associés Entreprise générale : Spie batignolles outarex et son co-traitant Mathis pour la structure en bois. Lot fondations : Spie batignolles fondations Lot cloisons et faux-plafonds : Spie batignolles partésia Lot menuiserie intérieure : Spie batignolles sedib Photo : Spie batignolles – Germain Hazard / Royal Spark Cet article 104 logements sociaux et un groupe scolaire bois-béton labellisés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 41 jours

Economie circulaire et réemploi de matériaux : Cycle Up poursuit son expansion

LEVÉE DE FONDS. La plateforme de réemploi de matériaux, Cycle Up, annonce avoir réalisé une levée de fonds de 4 millions d'euros. Objectif : poursuivre son développement, ainsi que celui de ses services associés.
Il y a 3 ans et 41 jours

Milliken signe le projet d'aménagement des bureaux de Pega

Pega a confié à Tétris, spécialiste de la conception et de la construction, le soin de créer un nouvel environnement de travail qui répondrait à leurs besoins, tout en reflétant l'identité et les valeurs de l'entreprise.Approche designPour ses bureaux unifiés, le client souhaitait disposer d’un espace qui favoriserait le travail collaboratif entre ses employés. Tétris a répondu au cahier des charges en proposant une variété d'environnements différents qui facilitent désormais les interactions professionnelles quotidiennes. Parmi ceux-ci figurent un café, des zones de réunion informelles, une salle de conférence high-tech, des bureaux partagés et des espaces pour le brainstorming créatif. Deux collections de moquettes modulaires Milliken ont été sélectionnées pour habiller certaines des principales zones fonctionnelles du bâtiment.En entrant dans les bureaux de Pega, le visiteur est accueilli dans un espace aux couleurs vives par Dissident 2.0, la moquette modulaire texturée de luxe à poils bouclés de Milliken. Le motif aléatoire est décliné dans les tons bleus clairs d'Oppidan et comprend des dalles Dissident Transition, plus loin dans la zone d'entrée, qui invitent à passer aux bleus plus sombres et plus profonds d'Overground. Dans cette zone de réunion adjacente et décontractée, le mobilier s’intègre parfaitement au revêtement de sol Dissident d'un bleu vif, inspirant un sentiment de confort et de bien-être.Pour le vaste espace de travail ouvert, les dalles Woven Colour de la collection Crafted Series de Milliken s'enfoncent profondément dans l'espace en un triangle géant aux tons dorés d'Antique. Celui-ci accueille une luxueuse zone de réunion. Le revêtement de sol s'harmonise parfaitement avec les chaises hautes et les écrans muraux jaune soleil, créant ainsi un espace lumineux engageant.Plus loin dans le bureau, une autre zone de réunion informelle est délimitée par une courbe prononcée de Woven Colour en orange vif. Le mobilier et l'écran coordonnés font de cette zone de collaboration un endroit parfaitement conçu pour stimuler l'esprit et favoriser la pensée créative et le brainstorming.Pour la salle de conférence moderne de Pega, Woven Colour a également été choisi comme revêtement de sol, cette fois en Indigo, coordonné avec les revêtements muraux bleus et renforçant l'identité de marque de l'entreprise. Les textures de Woven Colour contrastent efficacement avec le système de bureaux de conférence lisse, épuré et à la pointe de la technologie.Crafted Series est une moquette tuftée, texturée et bouclée, inspirée par la nostalgie des matières faites à la main, associée à la puissance et aux performances de la technologie textile moderne d’impression spécifique à Milliken. En choisissant un mélange audacieux de couleurs, le motif constitue un excellent moyen de délimiter les zones fonctionnelles clés de l'espace de travail de Pega en utilisant à la fois la texture et la teinte.Performances acoustiquesLes deux modèles de moquettes choisis pour l'aménagement intérieur des bureaux Pega bénéficient d’une sous couche acoustique spécifique à Milliken. La moquette Dissident 2.0 est équipée de Comfort Plus, son dossier haut de gamme qui, dans ce grand bureau ouvert, joue un rôle crucial dans la gestion de l'acoustique. Avec des performances d'absorption du son allant jusqu'à 33 dB, ce revêtement réduit considérablement le bruit ambiant provenant des équipements de bureau et des collaborateurs qui parlent et se déplacent dans l'espace. Pour les différents espaces de travail de Pega, cela contribue de manière importante au bien-être des employés en améliorant la concentration et la productivité, tout en offrant un confort luxueux sous les pieds et en réduisant la fatigue musculaire des jambes.Les performances acoustiques de Dissident se retrouvent dans le couloir vitré, flanqué de salles de réunion de chaque côté. Le bleu clair d'Oppidan a été installé dans ces salles de réunion et s'harmonise parfaitement avec les tissus des sièges.Design durableComme tous les produits Milliken, Crafted Series et Dissident 2.0 ont de solides références en matière de durabilité. Les deux modèles sont certifiés GuT, TUV et Green Label Plus pour la qualité de l'air intérieur. Ils sont vérifiés EPD et certifiés BRE. Crafted Series, comme toutes les gammes de revêtement de sol de la marque, est une collection modulaire neutre en carbone.Client : Pegasystems Localisation : Paris, France Agence de design d’intérieur : Tétris Design & Build Dalles : Dissident 2.0, Crafted Series Superficie : 900 m2
Il y a 3 ans et 45 jours

Simplification de l'éco-PTZ et déploiement du prêt avance rénovation pour financer le reste à charge

Afin de contribuer à la massification des travaux de rénovation globale, la loi de finances pour 2022 a amélioré les caractéristiques de l’éco-PTZ "performance énergétique globale". Les travaux engagés par ailleurs pour simplifier le parcours client de demande d’un éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) se poursuivent, dans l’objectif d’aboutir au dernier trimestre. Enfin le prêt avance rénovation (PAR), opérationnel depuis mi-février, vient compléter les aides et instruments de financement existants à destination des ménages qui éprouvent le plus de difficultés d’accès au crédit bancaire classique.Simplification de la demande d’un éco-PTZDans le prolongement des dispositions prises en loi de finances pour 2022, les ministères du logement et de l’économie, des finances et de la relance, le secteur bancaire, l'Anah et la Société de gestion des financements et de la garantie de l’accession sociale à la propriété (SGFGAS) poursuivent également leurs travaux pour simplifier le parcours de demande d'un éco-PTZ à l'horizon du dernier trimestre 2022.Les évolutions prévues permettront aux ménages souhaitant réaliser des travaux de rénovation énergétique éligibles à une aide MaPrimeRénov’ de bénéficier beaucoup plus simplement d’un éco-PTZ pour financer leur reste à charge. À ce jour, le demandeur d’un éco-PTZ doit fournir plusieurs pièces justificatives à sa banque (formulaires signés par les entreprises réalisant les travaux, factures et devis) identiques à celles contrôlées par l’Anah pour l’octroi de MaPrimeRénov’. Le nouveau processus d’instruction permettra de mutualiser ces vérifications, au bénéfice d’un allègement du dossier à transmettre par le demandeur à sa banque.Ce dispositif s’inscrit dans la volonté du Gouvernement de massification de la rénovation énergétique en facilitant le financement du reste à charge des ménages. Plusieurs banques travaillent pour la distribution de ce produit : le Crédit Agricole, La Banque Postale, les Banques Populaires, les Caisses d’Epargne, le Crédit Mutuel et le CIC.Le prêt avance rénovationLa loi Climat et Résilience a créé les conditions de déploiement d’un dispositif complémentaire des aides existantes pour financer le reste à charge de travaux de rénovation énergétique réalisés par des professionnels reconnus garants de l’environnement, pour des logements occupés à titre de résidence principale. Distribué sous le nom de "prêt avance rénovation", ce prêt permet de différer le remboursement du capital emprunté à la mutation, c’est-à-dire lors de la vente du logement ou dans le cadre d’une succession.Ce prêt est destiné prioritairement aux publics qui ne pourraient pas emprunter dans des conditions classiques, notamment les personnes âgées et les ménages aux revenus modestes et très modestes. Par ailleurs, pour favoriser le déploiement du dispositif et accompagner la massification des travaux de rénovation énergétique, la loi Climat et résilience permet au fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE) de couvrir jusqu’à 75 % du risque de pertes globales du crédit accordé aux ménages sous condition de ressources.Suite à la publication des derniers textes réglementaires nécessaires, le « prêt avance rénovation » est complètement opérationnel depuis février. Trois banques, La Banque Postale, le Crédit Mutuel et le CIC, ont d’ores et déjà commencé son déploiement dans leurs réseaux. Le Crédit Agricole, les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne travaillent également pour la distribution de ce produit dans les prochains mois.
Il y a 3 ans et 45 jours

Knauf Ceiling Solutions accroit ses capacités de production

La division de Knauf spécialisée dans la fabrication de solutions de plafonds aura investi 13 M€ en deux ans dans ses trois usines françaises.
Il y a 3 ans et 46 jours

Les énergies renouvelables se taillent la part du lion des ajouts de capacité dans le monde en 2021

De nouvelles données publiées par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) montrent que les énergies renouvelables ont poursuivi leur progression et gagné du terrain malgré un contexte mondial difficile. À la fin 2021, la capacité mondiale de production d'énergies renouvelables s'élevait à 3 064 gigawatts (GW), soit une augmentation du stock de ces énergies de 9,1%.Bien que l'énergie hydroélectrique ait représenté la plus grande part de la capacité de production renouvelable totale dans le monde avec 1 230 GW, le rapport Renewable Capacity Statistics 2022 de l'IRENA montre que le solaire et l'éolien ont continué à dominer les nouvelles capacités de production. Ensemble, ces deux technologies ont contribué pour 88 % à la part de toutes les nouvelles capacités renouvelables en 2021. La capacité solaire est en tête avec une augmentation de 19%, suivie par l'énergie éolienne, qui a renforcé sa capacité de production de 13%. « Cette progression soutenue est un nouveau témoignage de la résilience des énergies renouvelables. Les excellentes performances enregistrées l'année dernière offrent aux pays la possibilité de bénéficier dans une encore plus large mesure des nombreux avantages socio-économiques des énergies renouvelables. Toutefois, malgré cette tendance mondiale encourageante, notre nouvelle publication Perspectives pour les transitions énergétiques mondiales montre que la transition énergétique est loin d'être suffisamment rapide ou généralisée pour éviter les conséquences désastreuses des changements climatiques », déclare Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA « La crise énergétique que nous traversons actuellement vient confirmer que le monde ne peut plus compter sur les combustibles fossiles pour répondre à sa demande énergétique. Les fonds versés dans les centrales électriques à combustibles fossiles produisent des résultats indésirables, tant pour la survie d'une nation que pour celle de la planète. Les énergies renouvelables devraient devenir la norme dans le monde entier. Nous devons mobiliser la volonté politique pour accélérer le Scenario 1,5 °C. » Pour atteindre les objectifs climatiques, les énergies renouvelables doivent croître à un rythme plus rapide que la demande énergétique. Or, malgré une augmentation significative de l'utilisation des énergies renouvelables pour la production d'électricité, de nombreux pays n'ont pas encore atteint ce stade.En 2021, 60 % des nouvelles capacités ont été ajoutées en Asie, portant le total des capacités renouvelables à 1,46 térawatt (TW). La Chine a été le principal contributeur, avec un ajout de 121 GW à la nouvelle capacité du continent. L'Europe et l'Amérique du Nord, les États-Unis d'Amérique en tête, occupent respectivement la deuxième et la troisième place, avec un ajout de 39 GW pour la première et 38 GW pour la seconde. La capacité d'énergie renouvelable a augmenté de 3,9 % en Afrique et de 3,3 % en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Malgré une croissance régulière, le rythme observé dans ces deux régions est beaucoup plus lent que la moyenne mondiale, ce qui souligne le besoin de renforcer la coopération internationale en vue d'optimiser les marchés de l'électricité et de stimuler les investissements massifs dans ces régions.Principales tendances par technologie :Énergie hydroélectrique : sa croissance a augmenté de façon continue en 2021, la mise en service de plusieurs grands projets ayant été reportée à cette année.Énergie éolienne : en 2021, son expansion s'est poursuivie, mais à un rythme plus lent qu'en 2020. (+93 GW contre +111 GW l'année précédente).Énergie solaire : avec l'augmentation des nouvelles capacités dans toutes les grandes régions du monde au cours des années précédentes, la capacité solaire mondiale totale dépasse aujourd'hui l'énergie éolienne.Bioénergie : l'expansion nette des capacités s'est accélérée en 2021 (+10,3 GW contre +9,1 GW en 2020).Énergie géothermique : la capacité géothermique a enregistré une croissance exceptionnelle en 2021, avec un ajout de 1,6 GW.Électricité hors réseau : la capacité hors réseau a augmenté de 466 MW en 2021 (+4 %) pour atteindre 11,2 GW.
Il y a 3 ans et 46 jours

Le documentaire “Solving Zero” met à l’honneur Ecocem

Présentation du documentaire “Solving zero” à l’ambassade d’Irlande par Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. [©Ecocem] En 2021, Ecocem, spécialiste européen des solutions liants bas carbone, avait annoncé la finalisation d’un investissement de 22,5 M€ réalisé par Breakthrough Energy Ventures (BEV) et Breakthrough Energy Ventures-Europe (BEV-E). Deux fonds créés par Bill Gates, qui ont ainsi rejoint le conseil d’administration du groupe industriel. « Ces fonds ont passé beaucoup de temps à vérifier notre travail. Des experts des industries cimentaires se sont déplacés pour nous “auditer” », se souvient Conor O’Riain, directeur général Europe et France d’Ecocem. Efforts de décarbonation Lorsque la plate-forme Wondrium a eu le projet de réaliser une série documentaire inspirée du best-seller de Bill Gates, “Solving Zero”, elle s’est rapporchée d’Ecocem comme représentant du secteur de la construction. « Une reconnaissance internationale pour nous ! Ecocem est très honoré d’être présent dans ce documentaire très pédagogique et engagé. Et de voir les solutions du groupe plébiscitées. Après l’eau, le ciment est la substance la plus utilisée dans le monde. Et cette série démontre le rôle dynamique mené par son industrie en vue de limiter son impact environnemental », déclareConor O’Riain. Dans ce contexte, Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. « Cela prouve l’importance de notre entreprise pionnière et leader sur le marché des liants bas carbone à base de laitier moulu. » R&D : 15 % de l’effectif d’Ecocem Ecocem est le seul représentant de la construction pour illustrer les efforts de décarbonation, aux côtés d’acteurs de l’agro-alimentaire, de l’alimentaire, de l’énergie et du transport. [©Ecocem] « Nous avons passé 3 j avec l’équipe de Wondrium à Dunkerque et sur plusieurs chantiers du Grand Paris où sont utilisées nos solutions. Et une journée, au laboratoire “Matériaux cimentaires éco-efficaces” (MC²E), qui est commun à l’Ens Paris-Saclay, au CNRS et à notre groupe. Ce laboratoire apparaît dans le documentaire. Nous sommes aussi partenaires de l’Insa de Toulouse et du LMDC. Nous possédons un “Centre d’excellence”, un laboratoire 100 % Ecocem Group, basé à Champlan, au Sud de Paris. Sur ces 3 sites de Saclay, de Toulouse et de Champlan, 24 personnes sont dédiées à la R&D, dont 21 doctorants. Elles représentent 15 % de notre effectif groupe », détaille Conor O’Riain. Pour un large public La série prévoit un numéro pilote et dix épisodes, qui recueilleront les réflexions et les pistes possibles émises par des scientifiques. Ainsi que les propositions d’industriels pour atteindre ou s’approcher du zéro carbone. « Ces projets mettent en évidence des solutions intéressantes, qui, je l’espère, inciteront les gens à réfléchir à la question et à ce que chacun d’entre nous peut apporter pour lutter contre les changements climatiques », déclare Bill Gates. L’épisode pilote aborde les enjeux majeurs de la construction et explique les incidences des solutions Ecocem. Ceci, en termes de diminution d’empreinte carbone, au travers des exemples concrets. Tels que le Grand Paris ou le village olympique 2024. « Réinventer l’usage des matériaux traditionnels, tels que le ciment, est un des objectifs majeurs du groupe impliqué depuis une vingtaine d’années dans cette démarche, conclut Conor O’Riain. Ce documentaire s’adresse à tout le monde. Il va permettre à un plus large public de prendre conscience de la nécessité de la décarbonation du secteur. » Lien de la plate-forme de diffusion ici 
Il y a 3 ans et 46 jours

Le projet “K6” d’Eqiom et Air Liquide reçoit 150 M€

K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. [©Eqiom] Eqiom et Air Liquide se sont associés dans le cadre du projet baptisé “K6”. Son objectif : transformer la cimenterie Eqiom de Lumbres, en l’une des premières unités d’Europe neutres en carbone. Ce projet a été sélectionné par le Fonds européen d’innovation, qui finance les plus grands programmes mondiaux de promotion des technologies innovantes bas carbone. K6 est l’un des sept projets de dimension industrielle à avoir été sélectionné pour un financement par la Commission européenne dans le cadre de l’édition 2021 de son fonds. Et ce, parmi plus de 300 candidatures à subventions. L’obtention d’un financement de 150 M€ marque une étape essentielle pour la mise en œuvre de ce projet. K6 doit aussi faire l’objet de fonds publics additionnels, d’approbations réglementaires et d’évaluations de faisabilité internes avant son lancement. Qu’est-ce que K6 ? K6 vise à capter près de 8 Mt de CO2 sur les dix premières années d’exploitation de la cimenterie Eqiom de Lumbres, “nouvelle version”, grâce à la mise en œuvre de technologies innovantes. Il doit voir la mise en place d’un four à oxy-combustion, le premier de son genre, en grande partie alimenté par des combustibles alternatifs. Air Liquide fournit pour sa part de l’oxygène pour alimenter le processus de production. Par ailleurs, le spécialiste français des gaz industriels s’appuie sur sa technologie propriétaire Cryocap Oxy pour capter, puis liquéfier les émissions de CO2. Une fois purifié et liquéfié, le CO2 capté à la cimenterie de Lumbres pourrait être transporté par bateau vers des sites de stockage permanent actuellement en cours de développement en mer du Nord. Ou serait utilisé dans des matériaux de construction. La réalisation de ce projet à proximité immédiate du port de Dunkerque pourrait aussi contribuer au développement d’un nouvel éco-système de captage et de stockage du CO2 (CCS) en Europe. En effet, le projet K6 constitue une étape clef dans le développement du PCI (Projet d’intérêt commun) D’Artagnan de Dunkerque. Ce dernier va permettre de créer une plate-forme multimodale d’exportation de CO2 à partir du bassin industriel de Dunkerque et de sa zone élargie.
Il y a 3 ans et 46 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Alors que le secteur du bâtiment est grand consommateur de matières premières et d’énergie et à l’heure de sa décarbonation imposée par la RE2020, la fibre de bois, matériau renouvelable, est plébiscitée par les professionnels pour les chantiers d’isolation éco-responsables. Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacité     Les nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation. Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. USYSTEM Roof OS Comfort Natural Usystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond. Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, … Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été ! L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs. USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment. Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout. Des finitions intérieures pour tous les goûts Pour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète : • jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables, • 2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White et Deco Beige), • 4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique. Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov’. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 46 jours

Présidentielle : l'U2P salue le bilan de Macron et s'inquiète du programme de Le Pen

"À l'heure du choix, on ne pourra omettre l'importance et la pertinence des mesures prises sous le quinquennat d'Emmanuel Macron pour accompagner les entreprises dans la crise sanitaire", affirme dans un communiqué la troisième organisation patronale représentative, citant notamment les mesures d'urgence comme les prêts garantis par l'Etat (PGE) et le fonds de solidarité.Elle salue également le plan pour les indépendants adopté par la majorité en place, qui a notamment élargi la protection du patrimoine personnel du chef d'entreprise en cas de défaillance.Pour la candidate du Rassemblement national, l'U2P, qui rassemble 3 millions d'adhérents, salue "la place accordée (...) aux plus petites entreprises dans son programme". Mais elle prévient : "il y a lieu de s'inquiéter quant au sérieux budgétaire" de son programme "et des risques encourus par l'économie française".L'organisation appelle surtout ses adhérents à "faire valoir leurs priorités de chefs d'entreprise" dans leur vote du 24 avril, et a demandé en ce sens aux deux candidats de "préciser leurs engagements en direction des petites entreprises".Au moment où le président-candidat entend relancer une réforme des retraites, il doit exprimer "une position claire quand à sa reconnaissance du rôle des partenaires sociaux et de la démocratie sociale", estime notamment l'U2P.L'organisation patronale souhaite en particulier que les petites entreprises soient mieux représentées dans les branches professionnelles, via une réforme du calcul de cette représentativité, et la poursuite du soutien à l'apprentissage.
Il y a 3 ans et 46 jours

PlanRadar augmente sa solution avec PlanRadar Connect pour accélérer la numérisation du secteur du bâtiment

Elaborée en collaboration avec le leader des plateformes d'automatisation pour les entreprises, Workato, ‘PlanRadar Connect’ vise à améliorer l’interopérabilité des systèmes technologiques associées les unes aux autres, permettant ainsi aux utilisateurs de PlanRadar de synchroniser facilement leurs données avec d’autres applications.Ces améliorations apportent une plus grande souplesse aux clients de PlanRadar, en leur offrant la possibilité de fusionner leurs logiciels déjà existants avec le processus de traitement des tâches dans PlanRadar. Cette fonctionnalité permet ainsi de gagner du temps, mais aussi d’améliorer le rendement et la précision des tâches tout en évitant la superposition des données qui nuisent à la performance de l’entreprise.PlanRadar s’est appuyé sur sa récente levée de fonds de 69 millions de dollars (série B) pour accélérer en matière de R&D. En finançant un nouveau pôle technologique et une équipe dédiée à l’innovation de ses produits, l’entreprise a priorisé une interopérabilité plus rapide et plus fluide des données avec d’autres logiciels et programmes.Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Alors que le secteur de la construction poursuit son évolution dans l’ère numérique, il est devenu essentiel de trouver des moyens efficaces d’automatiser les processus d'exécution des tâches pour améliorer la concrétisation des projets et les résultats commerciaux. Cette ambition a joué un rôle de catalyseur pour ‘PlanRadar Connect’. Nous souhaitons améliorer l’interopérabilité, supprimer les barrières d’incompatibilité qui proviennent de l’utilisation de nombreux systèmes technologiques différents, source d’incohérences dans les données et d’une multiplication des tâches supplémentaires lors du processus de duplication. En créant un moyen facile à combiner avec la technologie existante, les entreprises peuvent travailler de manière plus intelligente et atteindre un plus haut niveau de précision lorsqu’il s’agit d’exploiter les données. C’est une approche plus décloisonnée et l’ensemble du secteur devrait y aspirer."La nouvelle fonctionnalité complète l’interface de programmation (API) existante du logiciel, pour la rendre plus rapide et plus facile à intégrer grâce à plus de 200 connecteurs prêts à l’emploi, comprenant notamment Outlook, Dropbox, Jira, SAP ou Microsoft Dynamics.Dans un contexte où le partage d’informations est désormais essentiel à la réussite des projets, ‘PlanRadar Connect’ permet également d’atteindre d’excellents niveaux de communication et de collaboration entre les équipes, garantissant en même temps la livraison d’audits fiables nécessaires au processus de prise de décision.Pour Gautham Viswanathan, Directeur produits chez Workato : "Alors que le secteur de la construction cherche à optimiser son efficacité, nous constatons une demande croissante d’automatisation rapide des processus de traitement des tâches en mettant en relation les équipes dans les bureaux et sur le terrain, à toutes les étapes du cycle de vie d’un projet de construction. ‘PlanRadar Connect’ est un exemple parfait de la capacité de Workato à fournir une plateforme fiable nécessitant peu ou pas de codage (low-code/no-code). L’utilisateur peut créer, de manière intuitive et autonome, des processus personnalisés facilitant l’échange d’informations et le traitement des tâches critiques de projets entre PlanRadar et plus de 200 autres applications utilisées par les entreprises."Pour Ibrahim Imam, cofondateur et Directeur général adjoint de PlanRadar : "Pour s’atteler à sa transformation numérique, le secteur de la construction doit réussir à s'uniformiser son flux d’information. Il doit pour cela s’emparer de la question de la compatibilité technologique, qui entrave actuellement ce processus. ‘PlanRadar Connect’ représente l’ultime étape du développement constant de nos solutions, qui sont déjà utilisées au quotidien par plus de 100.000 professionnels dans plus de 60 pays. Nous attendons un retour d’expérience positif de la part de nos clients une fois qu’ils auront pris en main ‘PlanRadar Connect’ avec leurs propres solutions logicielles existantes."
Il y a 3 ans et 47 jours

Double nomination chez Demathieu Bard

De gauche à droite, François Barthélemy, nouveau directeur délégué des ressources humaines, et, Vincent Monnot, directeur financier. [©Demathieu Bard] Le groupe Demathieu Bard annonce la nomination de François Barthélemy au poste de directeur délégué des ressources humaines. Et de Vincent Monnot à celui de directeur financier. François Barthélemy remplace Jacques Perrin, qui se consacre désormais à sa fonction de secrétaire général du fonds de donation Demathieu Bard Initiatives. Grâce à son expertise dans le domaine des ressources humaines, François Barthélemy sera en charge de mobiliser l’ensemble des collaborateurs autour des valeurs de l’entreprise : l’engagement, l’énergie et l’enthousiasme. « Je suis honoré de la confiance qui m’est témoignée à travers cette nomination. Je souhaite accompagner la croissance du groupe, en m’appuyant sur ses valeurs humaines et authentiques ». De plus, François Barthélemy favorisera la prévention, la diversité et l’inclusion sous toutes ses formes. Il souhaite respecter les engagements sociétaux et de développement durable engager par l’entreprise et ses collaborateurs. Les missions de Vincet Monnot Quant à Vincent Monnot, il devient directeur financier. Il va ainsi poursuivre le développement mené par le groupe. Il aura pour mission de renforcer la fonction finance, qui est “partenaire” de la réussite et de la performance du groupe. Vincent Monnot rejoint ainsi le directoire aux côtés de René Simon, président, Franck Becherel, directeur général secteur construction, et Philippe Jung, directeur général secteur immobilier. « Je prends à cœur la mission qui m’est confiée d’accompagner la croissance de l’entreprise, en poursuivant le travail effectué jusqu’ici dans la gestion financière du groupe. Cette gestion devrait ainsi accompagner les ambitions futures de l’entreprise et s’ancrer dans les valeurs qui animent Demathieu Bard depuis plus de 160 ans », témoigne Vincent Monnot. Les parcours de François Barthélemy et Vincent Monnot Diplômé d’un master RH du Ciffop et d’un magistère en droit social à l’université de Paris-Nanterre, François Barthélemy possède une expérience de plus de 25 ans. Il a travaillé dans différents groupes dont Lapeyre, L’Oréal et Saint-Gobain … Il a notamment occupé des postes de DRH réseau, de pôle… au sein du groupe Saint-Gobain (Placo, Securite et Glassolution). Ingénieur de formation, Vincent Monnot est aussi diplômé d’un mastère économie et gestion à l’Essec. Il compte 30 années d’expérience en finance, dont 10 ans en cabinet d’audit. Il a occupé des postes au sein de directions financières et directions fusion-acquisition. Depuis 2014, Vincent Monnot était directeur général finance chez Idverde (service pour l’environnement).
Il y a 3 ans et 47 jours

Edgar Suites transforme l’ancien siège du Barreau de Paris en dix « Suites Urbaines » d’exception

Situé au 25 rue du Jour, l’Hôtel de la Porte est un joyau architectural datant du 17e siècle. La façade de l’hôtel, la décoration du grand escalier et le plafond d’un ancien salon situé au premier étage sont inscrits à l’inventaire des Monuments historiques depuis 1926. Le bâtiment a abrité le musée et le siège du Barreau de Paris.Cet immeuble de 4 étages est désormais constitué de dix appartements uniques, répartis selon trois typologies (25 m² ; 55 m² ; 75 m²), pour une surface totale de 868 m².La totalité de l’aménagement a été confié à Selency, partenaire d’Edgar Suites. Spécialiste du mobilier de seconde main, Selency propose une alternative à l’équipement neuf, contribuant ainsi à préserver les matières premières de la planète.Cachet de l’ancien et confort contemporain Se sentir chez soi ailleurs : telle est la philosophie d’Edgar Suites depuis sa création. Dans la résidence du 25 rue du Jour, Edgar Suites signe un projet de réhabilitation de grande ampleur, mixant charme de l’ancien et confort du moderne.Pour cette réalisation, Edgar Suites s’est entouré du cabinet d’architectes Pierre Audat et Associés. Le budget des travaux pour cette transformation s’estime à 1.850.000 €.« Nous retrouvons dans cette résidence les fondamentaux du vieux Paris -vieilles pierres, fer forgé, escalier classé- mais également tout le confort attendu par notre clientèle étrangère exigeante, désireuse de vivre une expérience voyageur au cœur d’un quartier historique, explique Xavier O’Quin, président d’Edgar Suites. La clientèle étrangère vient pour de longs séjours, le choix du lieu est primordial ! » ajoute-t-il. Edgar Suites, une démarche durable Depuis 2016, Edgar Suites réinvente la résidence hôtelière dans une volonté de tourisme durable. La société redonne de la valeur commerciale à des immeubles de bureaux obsolètes grâce à un changement d’usage et à un accompagnement complet (démarches administratives, travaux…).De plus, en privilégiant les actifs de petite taille au cœur des villes, la société contribue à réduire l’impact des voyages sur l’environnement et le quotidien des habitants, tout en tissant des partenariats avec les commerçants locaux.Pour Xavier O’Quin : « Aujourd’hui, 7 dossiers sur 10 que nous examinons ne se prêtent pas à notre modèle. Les mètres carrés ne sont pas déterminants dans notre recherche d’actifs. Nous ciblons des immeubles obsolètes où ajouter de la valeur. C’est l’utilité et l’efficacité des plans qui nous importent. » En cinq ans, Edgar Suites a vu son nombre de suites sous gestion passer de 10 à 150, réparties entre Paris et Bordeaux. Après une levée de fonds réussie de 104 millions d’euros en mai 2020, la société projette de gérer 700 suites en 2026, en élargissant son activité aux principales métropoles Françaises. Edgar Suites annonce, ainsi, l’ouverture d’une résidence pour le dernier trimestre 2022 à Paris Montmartre dans un ancien hôtel réhabilité à son format de « Suites Urbaines » et ses premières suites à Montrouge dans une résidence de 2.000 m² ainsi qu’à Lille et Cannes pour 2023.Par ailleurs, la politique d’acquisitions d’actifs immobiliers pour compte propre amorcée en 2021 se matérialise avec une première acquisition d’un ensemble immobilier de 2.000 m² en cours de signature à Levallois-Perret.Fiche technique :Adresse : 25 rue du Jour, 75001 ParisSurface de l’immeuble : 868 m²Surface des appartements : 3 typologies : 25 m² ; 55 m² ; 75 m²Nombre d’étages : 4Budget travaux : 1.750.000 € HT + 100.000 € de ravalementArchitecte : Pierre Audat et Associés
Il y a 3 ans et 49 jours

L’herbe, championne du carbone

A base de fibre d’herbe, l’isolation Gramitherm a été prescrite pour le nouveau siège de l’ONF de Maisons-Alfort, et bénéficie d’une nouvelle levée de fonds.
Il y a 3 ans et 52 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 52 jours

L'Ifremer alerte sur l'extraction sous-marine de granulats

L'extraction de granulats en mer "n'est pas sans conséquences pour le milieu" marin avec notamment une possible modification de la nature des fonds et une destruction de la faune selon l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer.
Il y a 3 ans et 52 jours

Francis Kéré récompensé par le prix Pritzker 2022

Francis Kéré a été appelé pour la rénovation de l’Assemblée nationale du Burkina-Faso. [©Kéré Architecture] Le prix Pritzker 2022 connaît son vainqueur. L’architecte germano-burkinabé Francis Kéré reçoit ainsi la précieuse distinction. Et c’est Tom Pritzker, le président de la Fondation Hyatt, qui a annoncé le lauréat de ce prix considéré, comme le plus prestigieux en matière d’architecture. Né au Gando au Burkina Faso, Francis Kéré transforme les sociétés à travers l’architecture. Ses méthodes de travail se connectent aux régions dans lesquelles il exerce grâce à l’utilisation de matériaux locaux, respectueux de l’environnement. Francis Kéré est à l’origine d’institutions scolaires contemporaines, d’établissements de santé ou encore de logements professionnels au Burkina Faso. Il s’intéresse aux territoires où les ressources sont fragiles. « Tout le monde mérite la qualité, tout le monde mérite le luxe et le confort, souligne Francis Kéré. Et les préoccupations liées au climat et à la rareté nous touchent tous. » Et Tom Pritzker d’ajouter : « Francis Kéré est un pionnier de l’architecture durable pour les habitants des terres d’extrêmes raretés. Il est à la fois architecte et serviteur. Améliorant la vie et les expériences d’innombrables citoyens dans une région du monde parfois oubliée ». L’impact de Francis Kéré Tout a commencé en 2001, où la rénovation d’une école primaire du Gando, au Burkina Faso, a dévoilé les bases de la philosophie de Francis Kéré. En effet, l’architecte voulait bâtir un établissement pour répondre à un besoin essentiel de la communauté. Mais aussi, pour remédier aux inégalités sociales. Il voulait concevoir une infrastructure capable de lutter contre la chaleur extrême et les mauvaises conditions d’éclairages liées aux ressources limitées. Pour cela, il a collecté des fonds à l’échelle internationale. Tout en créant des opportunités pour les citoyens d’accéder à une formation professionnelle artisanale. Lire aussi : Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal reçoivent le prix Pritzker 2021 Pour la réalisation de l’école, Francis Kéré a utilisé une argile locale renforcée par du ciment pour former des briques aux propriétés thermiques bioclimatiques. Retenant ainsi l’air frais à l’intérieur, tout en permettant à la chaleur de s’échapper à travers le plafond. Cela a permis une ventilation sans interventions mécaniques. Le succès de ce projet a fait passer le nombre d’élèves de l’école de 120 à 700 élèves. S’en est suivi ensuite la construction de logements pour les enseignants en 2004, une extension de l’école, en 2008 et d’une bibliothèque, en 2019. L’impact de Francis Kéré sur l’architecture du Burkina Faso a suscité l’intérêt du gouvernement burkinabé. En effet, il a été appelé pour la rénovation de l’Assemblée nationale du pays. Après un soulèvement en 2014 qui a détruit l’ancienne structure, l’architecte a conçu un bâtiment pyramidal en gradins et en treillis. Le projet constitue l’un des plus ambitieux de Francis Kéré. Enfin, de nombreuses œuvres construites par Kéré se situent sur le continent africain. Certaines se situent dans des pays comme le Kenya, le Mali, le Mozambique, la République du Bénin ou le Soudan. Des pavillons ont aussi été imaginés en Allemagne, au Danemark, aux Etats-Unis, en Italie, au Royaume-Uni et en Suisse. Parmi les réalisations importantes figurent Xylem au Tippet Rise Art Center (2019, Montana, Etats-Unis), le Parc national du Mali (2010, Bamako, Mali) et l’Opéra Village (Phase I, 2010, Laongo, Burkina Faso).
Il y a 3 ans et 53 jours

L'Allemagne va étoffer son réseau de stations hydrogène pour camions et bus

L'Allemagne qui compte déjà un réseau de 90 stations d'hydrogène, le plus dense d'Europe, devrait le voir tripler en taille, à 300 stations d'ici 2030, a indiqué mardi matin le principal investisseur de l'opération, le fonds spécialisé dans l'hydrogène Hy24. Ceci devrait permettre "d'accompagner le déploiement des flottes commerciales bas carbone en Europe", c'est-à-dire des camions, bus longue distance ou autres transports lourds ou intensifs qui auront besoin d'hydrogène pour remplacer les carburants fossiles responsables du réchauffement climatique.Les batteries des moteurs électriques remplaçant les moteurs thermiques des véhicules légers ne sont à ce jour pas jugées assez puissantes pour assurer la transition énergétique des poids lourds qui nécessitent des temps de charge rapides et des autonomies élevées.Hy24, le fonds spécialisé dans l'hydrogène décarboné créé en 2021 par les industriels français Air Liquide, TotalEnergies et Vinci en lien avec le fonds Ardian, en vue de développer les infrastructures liées à l'hydrogène partout dans le monde, va investir 70 millions d'euros dans la société H2 Mobility qui gère le réseau allemand de stations. Il deviendra ainsi l'actionnaire de référence du projet avec autour de 40% du capital.Les actionnaires historiques de H2 Mobility -les industriels du gaz, de l'automobile et de l'énergie Daimler Truck, Hyundai, Air Liquide, Linde, OMV, Shell et TotalEnergies- vont aussi de leur côté investir collectivement quelque 40 millions d'euros dans le même projet."L'Allemagne a développé une vision hydrogène très intégrée depuis très longtemps (...) et il y a déjà un bon maillage de stations dans le réseau national" développé depuis 2013, relève pour l'AFP Pierre-Etienne Franc, directeur-général de Hy24, au cours d'un entretien téléphonique : "Notre investissement va permettre d'augmenter la capacité de charge de certaines stations, qui seront adaptées à des camions ou bus longue distance, d'en développer de nouvelles en Allemagne, mais aussi en Autriche, Suisse, et dans les zones frontalières".L'hydrogène décarboné sera soit "bleu", c'est-à-dire avec un processus de fabrication où le CO2 émis est stocké, ou "vert", c'est-à-dire produit par électrolyse de l'eau à partir d'électricité renouvelable, photovoltaïque, éolienne ou hydro-électrique.Quatre réseaux dans le mondeSelon M. Franc, ancien haut responsable d'Air Liquide, cette stratégie "soutient les efforts de la Commission européenne pour mettre en œuvre le règlement sur les infrastructures de carburants alternatifs (AFIR)" qui vise à harmoniser le déploiement de bornes électriques et stations hydrogène sur l'ensemble du continent européen.Ce règlement devrait permettre "d'être prêt entre 2025 et 2027 pour que les constructeurs puissent déployer des véhicules bas carbone", a-t-il précisé. "Si on veut sérieusement décarboner les transports, le vecteur ne peut pas être seulement électrique, il doit être aussi gazeux ou liquide, et l'hydrogène est l'un des seuls vecteurs possibles", a-t-il affirmé. Surtout pour les transports lourds très gourmands en énergie.Le réseau allemand de stations hydrogène est l'un des quatre grands réseaux de ce type existant dans le monde, avec celui du Japon, de Corée du Sud et de Californie, eux-mêmes soutenus par une industrie automobile en pleine mutation. "Il y a aujourd'hui deux constructeurs qui ont une vraie stratégie hydrogène dans les voitures individuelles: le japonais Toyota et le Coréen Hyundai, qui ont réussi à baisser leurs coûts et à développer des chaînes d'approvisionnement en composants clés, par exemple pour les réservoirs, les piles à combustibles, les membranes, les produits de catalyse" relève M. Franc. "Tous les autres constructeurs ont plutôt pour stratégie d'accompagner la mobilité électrique par de la mobilité hydrogène pour des usages bien précis, intensifs et lourds, voitures commerciales, taxis, bus, livraisons dernier kilomètre, logistique", car sur ces usages "la différence avec la batterie est la plus forte".En France par exemple, "les derniers projets présentés par Stellantis montrent bien qu'ils vont avoir un développement de flottes commerciales hydrogène", a-t-il noté. Le virage est aussi pris par Renault.
Il y a 3 ans et 54 jours

Bilan du mandat présidentiel sur la rénovation énergétique des logements

Selon Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio :« Identifié officiellement comme “stratégique” dans le cadre du plan de relance, le secteur de la rénovation énergétique a été mis en lumière de façon inédite avec plusieurs grandes lois et avancées qui sont à saluer : précision des objectifs de diminution de la consommation d'énergie, création d'un observatoire des rénovations énergétiques réalisées, augmentation des aides financières, simplification de leurs accès, professionnalisation de la filière…Toutefois, trois points relativisent ce bilan :Les dernières réformes laissent un goût d'inachevé tant leur mise en œuvre est incomprise : on pense aux DPE erronés q ualifiant les logements interdits à la location et au projet de décret MonAccompagnateurRénov' précipité alors que critiqué par l'ensemble de la filière.L'hyper croissance du secteur a révélé des problématiques non anticipées : difficultés de recrutement et de formation, insuffisance des financements face aux objectifs… laissant la responsabilité au prochain gouvernement de répondre rapidement aux inquiétudes.La crise ukrainienne révèle que les efforts pour baisser notre consommation d'énergie restent insuffisants, puisque nous sommes toujours aussi dépendants aux énergies fossiles importées et impactés par la hausse de leurs prix insoutenables pour les ménages et les entreprises.»Le secteur de la rénovation énergétique, professionnalisé et désormais identifié comme stratégiqueLe secteur de la rénovation énergétique a bénéficié d'un véritable essor politique au cours de ce mandat.En avril 2018, l'ex ministre de la Transition Écologique et Solidaire, Nicolas Hulot, avait présenté un plan de rénovation énergétique des bâtiments ambitieux pour le quinquennat. Le plan prévoyait notamment de simplifier les aides à la rénovation énergétique en transformant le Crédit d'impôt transition énergétique (CITE) en prime, de garantir un logement performant par le diagnostic de performance énergétique, de relancer la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires, etc.A la suite de la crise des gilets jaunes, le discours de l'ex Premier ministre, Édouard Philippe, devant l'Assemblée nationale le 12 juin 2019 avait confirmé que pour l'acte II de son gouvernement, la rénovation énergétique serait une des solutions prioritaire pour permettre la baisse des factures d'énergie des ménages modestes.Le secteur est enfin identifié officiellement comme “stratégique” par le nouveau gouvernement dans le cadre du plan de relance post Covid du 3 septembre 2020, avec une part de 7,5 milliards d'euros dédiée à la rénovation énergétique des logements.Pourquoi la rénovation énergétique a-t-elle été priorisée ?Lucas Chabalier pour Agir pour le Climat a précisé le 4 mars 2022 sur Batiradio que “la rénovation énergétique est l'investissement le plus important de la transition énergétique”.C'est effectivement un enjeu protéiforme : social pour les gens qui vivent dans des logements à rénover et pour son potentiel d'emplois (360 000 emplois verts[1]), économique (le budget énergétique du bâtiment pèse 30 % pour les communes, plus de 8 % pour les ménages modestes, etc.), environnemental (le bâtiment représente plus de 40 % des consommations d'énergie) et permettant de préserver l'indépendance énergétique nationale des énergies importées de l'extérieur.[1]Source: cliquez iciLes chiffres du quinquennat MacronCela se concrétise aussi par un budget dédié inédit. La loi de finances de 2021 intègre le budget annoncé pour France Relance avec 30 milliards d'euros dirigés vers la transition écologique, dont 7,5 milliards d'euros pour la rénovation énergétique des bâtiments. De même, la loi de finances pour 2022 a permis un budget rehaussé.Outre la priorisation politique du secteur, le nombre de travaux d'économies d'énergie a augmenté. À titre d'exemple, 1,5 milliard d'euros ont été versés par la prime Coup de pouce Chauffage depuis 2019 pour le remplacement de près de 800 000 chaudières fioul, charbon ou gaz peu performantes par des installations plus économes en énergie et moins polluantes[2]. Bien plus que les années précédentes. En 2019, seules 110 000 vieilles chaudières ont été changées[3]. On estime que les travaux engagés permettront aux ménages concernés d'économiser chaque année 613 millions d'euros sur leurs factures énergétiques. De même, la prime Coup de pouce Isolation a permis d'accompagner plus d'un 1 600 000 travaux d'isolation de toitures ou de combles.[2]Source: cliquez ici[3] Audition d'Emmanuelle Wargon à l'Assemblée Nationale du 21 juillet 2020Des réformes structurantes pour la filière de la rénovation énergétiquePlusieurs grandes lois ont permis de grandes avancées pour le secteur.La loi pour l'évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (ELAN) du 23 novembre 2018, a ainsi permis d'initier une dynamique pour déployer les économies d'énergie à réaliser pour le parc tertiaire. Le décret tertiaire, pris sur cette base, a ainsi obligé les grands bâtiments tertiaires à diminuer leurs consommations d'énergie et à les communiquer régulièrement sur une plateforme en ligne, OPERAT, ouverte aux gestionnaires de bâtiments en septembre 2022.La loi Énergie Climat, votée en novembre 2019, et la loi Climat et résilience, votée le 20 juillet 2021 fixent les objectifs de rénovation énergétique du logement, en priorité des “passoires énergétiques” dites logements énergivores. Une des mesures phares est la détermination d'un calendrier de 2023 à 2034 d'interdictions de location des logements énergivores classés selon une étiquette énergétique de G à D, via un diagnostic de performance énergétique (DPE).Les lois de finances 2019, 2020 et 2021, actant chaque année du budget de l'État dédié aux aides à la rénovation énergétique, ont permis de simplifier certaines d'entre elles, comme la transformation du crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) en MaPrimeRénov' :Pour remplacer le crédit d'impôt pour la transition énergétique (CITE) (conformément au Plan Rénovation annoncé par le gouvernement), un dispositif de prime, appelé “MaPrimeRénov'”, a été lancé en janvier 2020. Versée en fin de travaux et forfaitaire, elle permet de calculer précisément et de diminuer le reste à charge des ménages précaires voulant réaliser certains travaux d'économies d'énergie. Elle a été élargie à tous les ménages dans le cadre du Plan de relance en octobre 2020 à la suite du début de la crise sanitaire. Emmanuelle Wargon rappelait d'ailleurs dans son bilan que « malgré la pandémie, la prime a réussi à toucher un million de dossiers déposés sur la seule année 2021 et 660 000 dossiers engagés[4]» en termes de travaux. Le budget du dispositif “MaPrimeRénov'” a augmenté et atteint le niveau record des 2 milliards en 2021[5].[4]Déclaration de Mme Emmanuelle Wargon, ministre déléguée chargée du logement, sur le bilan de son action ministérielle, Assemblée nationale, 15 février 2022[5]Loi de Finances 2021Un accompagnement de la professionnalisation de la filièreVotée le 24 juillet 2020, la loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux, a posé une interdiction nette du démarchage téléphonique pour la vente d'équipements ou la réalisation de travaux d'économies d'énergie ou de la production d'énergies renouvelables. Elle permet de lutter contre les insuffisances du dispositif encadrant le démarchage téléphonique (inscription sur Bloctel), et protège les consommateurs victimes du démarchage excessif. Les entreprises frauduleuses peuvent être sanctionnées en cas d'abus d'utilisation d'un numéro masqué : les sociétés de rénovation énergétique Almatys et Nrgie Conseil ont ainsi été condamnées à des amendes de 460 000 et 65 000 euros respectivement pour cet acte. Malgré cela, le démarchage téléphonique reste pratiqué abusivement, révélant un contrôle insuffisant de l'État.Le gouvernement a également renforcé au premier semestre 2020, le label Reconnu Garant de l'environnement (RGE) des professionnels des travaux de rénovation énergétique, label qui conditionne l'obtention de nombreuses aides financières. Le niveau d'exigence a été durci, pour accroître la confiance dans la certification et permettre aux entreprises vertueuses d'être mieux identifiées et reconnues. Concrètement, ce renforcement passe par des contrôles plus nombreux et aléatoires des chantiers, des sanctions plus importantes et diversifiées. Lors de son audition à l'Assemblée nationale sur son bilan quinquennal en matière de logement, le 15 février 2022, Emmanuelle Wargon, rappelait que le label RGE représentait 59 000 entreprises labellisées et la députée des Hauts-de Seine- LREM, Bénédicte Pételle, a souligné 180 entreprises du secteur, sanctionnées en 2020 par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).Mais la qualité des travaux de rénovation énergétique ne pourra se conjuguer qu'avec une formation professionnelle plus large. C'est ainsi que Hellio propose, dans la priorité V de ses propositions dans le cadre des élections présidentielles de 2022, la création d'un réseau d'écoles et de centres d'excellence de la rénovation énergétique.Les dossiers en suspens, les nouvelles problématiques laissées pour le prochain gouvernement et le devoir d'accélérer les effortsLes dernières réformes laissent malgré tout un sentiment d'inachevé tant leur mise en œuvre est incomprise.C'est ainsi le cas de la réforme du DPE qui, par la loi portant sur l'évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (ELAN), est devenu opposable juridiquement depuis le 1er juillet 2021. Jusqu'ici, il n'était qu'informatif. Ce document qui indique au futur acquéreur ou locataire une estimation de la consommation énergétique d'un logement et son taux d'émission de gaz à effet de serre, notamment à travers les étiquettes énergétiques allant de A (logements propres) à G (logements classés passoires énergétiques), est donc devenu plus lisible et fiable. Le ministère du Logement compte 30 000 DPE réalisés en moyenne par semaine entre 2018 et 2020.Il indique également que pour les classes F et G (4,8 millions de «passoires énergétiques»), la fiabilisation de la méthode de calcul et les changements de seuils permettront que 800 000 logements jusque-là classés E deviennent des passoires énergétiques. Le Ministère du logement a indiqué dans un communiqué de presse que logements qui entrent dans la catégorie des passoires énergétiques avec la reformé du DPE sont principalement des logements aujourd'hui chauffés au fioul (environ 600 000) et au gaz (environ 200 000). En parallèle, 600 000 logements chauffés à l'électricité et 200 000 logements chauffés au bois ne seront plus considérés comme des passoires énergétiques.Pourtant, un certain nombre d'erreurs sont survenues suite à l'entrée en vigueur de la réforme du DPE. Le nouveau dispositif présentait des écarts très importants de résultats par rapport à l'ancienne version du DPE et à la réalité du diagnostic. Cette erreur a conduit à la déclassification de nombreux logements vers les classes F et G, ce qui n'est pas sans conséquences puisque la loi prévoit que les logements classés G ou F ne puissent plus être loués respectivement à partir de 2025 et 2028.De même, le projet de décret MonAccompagnateurRénov', qui devrait être publié en avril, révèle un fort dissensus de la filière.A partir du 1er janvier 20236, un accompagnement obligatoire sera mis en place pour les ménages souhaitant bénéficier de certaines aides à la rénovation énergétique de l'Anah. Il a pour objectif de traiter les difficultés rencontrées par les ménages dans leurs projets de rénovation. Ce projet ne fait pas l'unanimité au sein de la profession. En effet, le rôle d'accompagnateur devrait être ouvert à certains opérateurs privés agréés à compter du 1er janvier 2023. Cet élargissement pose la question du risque de conflit d'intérêt de l'accompagnateur qui sera à la fois prescripteur et réalisateur des travaux.Outre ces dossiers qui restent laissés en suspens, le secteur qui a connu une hypercroissance, doit faire face à des nouvelles problématiques qui freineront sa dynamique.Depuis 2017, le secteur du bâtiment connaît une croissance estimée à 4,7 %, en raison de l'essor de la construction de logements neufs et la réalisation grandissante de travaux de rénovation énergétique. Pourtant, le secteur fait face à une pénurie de main d'œuvre qualifiée. Cette pénurie s'explique par de nombreux freins à l'embauche causés notamment par l'incertitude économique des entreprises, ou encore les coûts liés à l'emploi et au recrutement. Le manque de main-d'œuvre qualifiée pourrait être palliée par l'accompagnement de nouvelles écoles de formation ciblant un public plus large. Hellio a proposé, dans le cadre des élections présidentielles, de créer un groupe de travail chargé d'établir une stratégie nationale sur les métiers d'avenir.Par ailleurs, le secteur fait face à un important décalage entre les moyens de financements et les objectifs. À l'échelle européenne, dans les plans nationaux pour la reprise et la résilience présentés par les États membres, très peu ont cherché à mobiliser des fonds publics pour attirer des financements privés – afin de soutenir les investissements ou les activités de rénovation à long terme, en s'appuyant principalement sur des programmes de subventions. De même, à l'échelle nationale, les financements publics sont davantage mis en avant et nécessitent d'être appuyés par les financements privés, afin d'arriver à l'objectif de financement du secteur. L'augmentation des investissements privés dans la modernisation du parc immobilier européen est primordiale pour la longévité et la dynamique de la transition vers la neutralité carbone, ainsi que pour son succès final.
Il y a 3 ans et 54 jours

Cercle Promodul / INEF4 publie son rapport d’activité 2021

 Retour sur une année importante.  Cercle Promodul / INEF4 présente son rapport d’activité 2021. Année riche pour le Fonds de dotation, permettant d’atteindre ses objectifs de développement fixés : notoriété, visibilité et reconnaissance.   Des travaux importants et structurants  Tout au long de l’année 2021, Cercle Promodul / INEF4 s’est fortement impliqué sur des sujets importants […]
Il y a 3 ans et 54 jours

La start-up Deepki lève 150 millions d'euros

Deepki, qui n'avait levé que 10,5 millions d'euros jusqu'à maintenant, s'adresse aux grands propriétaires de parcs immobiliers tertiaires, investisseurs, banques, compagnies d'assurances ou grandes entreprises comme le groupement des Mousquetaires (Intermarché) en France.Son logiciel va chercher automatiquement de nombreuses données sur les bâtiments - factures d'énergie ou d'eau, informations de construction, en passant par l'exposition solaire, ou la proximité des transports en commun... - puis les utilise pour évaluer la performance environnementale des bâtiments, et proposer des améliorations.La jeune pousse de 150 salariés, déjà installée en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie, table sur 200 recrutements en 2022, avant 400 en 2023, selon son cofondateur et directeur général Vincent Bryant."Nous voulons nous renforcer en Europe", "nous implanter aux États-Unis" et "réaliser des acquisitions d'acteurs concurrents qui sont de qualité mais plus petits que nous", a indiqué à l'AFP M. Bryant.L'entreprise est suffisamment sûre d'elle-même pour publier son chiffre d'affaires, une décision rarissime chez les start-up toujours très pudiques sur ce chapitre : 15 millions d'euros en 2021, et un doublement prévu à 30 millions d'euros en 2022.Les ventes sont portées par les contraintes réglementaires "de plus en plus nombreuses" en France et en Europe sur la qualité environnementale des bâtiments, a expliqué M. Bryant.Tous les grands acteurs immobiliers "savent que s'ils n'ont pas des bâtiments qui sont performants d'un point de vue environnemental, il va y avoir des décotes (de valeur) sur leurs bâtiments", a-t-il ajouté.En France, le "décret tertiaire" paru en 2019 oblige notamment tous les bâtiments tertiaires de plus de 1.000 m2 à prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation d'énergie de 40% d'ici à 2030, 50% d'ici à 2040, et 60% d'ici à 2060.La levée de fonds de Deepki annoncée mercredi est menée par les fonds d'investissement européens One Peak et Highland Europe, basés à Londres, avec d'autres investisseurs comme Bpifrance ou ses investisseurs historiques Hi Inov et Statkraft Ventures.
Il y a 3 ans et 54 jours

Exposition Aqua Mater : l’eau, source de vie

L’exposition Aqua Mater prend place au milieu de l’esplanade de La Défense, près de Paris et s’y tient jusqu’au 22 septembre 2022. [©ACPresse] « On a l’impression que l’accès à l’eau est quelque chose de naturel. » Directeur de la division des Sciences de l’eau et secrétaire du programme hydrologique intergouvernemental de l’Unesco, Abou Amani plante le décor. Et de préciser : « Chaque jour, il faut éduquer les gens pour qu’ils respectent l’eau… » Installée pour une durée de six mois sur l’esplanade de La Défense, près de Paris, l’exposition Aqua Mater est un manifeste dédié à l’eau, par définition source de vie. « L’eau est un bien essentiel, pour toute espèce vivante. Le plus essentiel après l’oxygène », rappelle le photographe brésilien Sebastião Salgado. L’eau est ainsi un fil conducteur. Elle est omniprésente dans chacune des 50 images exposées. Elle y apparaît sous toutes ses formes. Dans sa pureté et son intensité. Dans son abondance et sa rareté. Elle est saisie dans sa solitude ou dans les interactions variées avec l’humain, la faune, la flore. « Représenter en images le besoin, la beauté, la force et les mystères de l’eau est une tâche difficile, au risque de tomber dans le lieu commun », rappelle Sebastião Salgado. Le photographe évite cet écueil. Toutes noir et blanc, ses images sont limpides, magnétiques, sans superflu. Elles vont à l’essentiel. Un léopard en train de boire. Des enfants qui sautent dans l’eau. Un orage au-dessus de l’Amazone. Une cascade au milieu de la jungle. Une fleur posée au milieu du béton « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie. Qu’il est nécessaire de la préserver », insiste Sebastião Salgado. Et de poursuivre : « Les Français ne vivent plus en France, ils vivent en ville ! L’eau leur arrive par un tube. Elle est d’excellente qualité. Elle est perçue comme un cadeau du ciel, mais elle n’est pas un cadeau du ciel ». Les photographies de l’exposition Aqua Mater prennent place au cœur d’un pavillon de 1 000 m2. « Il est comme une fleur posée au milieu du béton », souligne encore le photographe. Lançant même une pique à l’architecture contemporaine, occidentale : « On utilise beaucoup trop de matériaux d’origine minérale. Il faudrait prévoir une part végétale plus importante dans la construction… » Mais là est un autre débat. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. A savoir, de grandes structures réalisées autour de piliers en bois et recouvertes d’une toiture en feuilles de palmiers. A l’intérieur prennent place uniquement des hamacs, qui constituent le seul mobilier des populations autochtones. Un matériau aussi humble que le bambou Guadua Les architectes colombiens Simón Vélez et Stefana Simic en ont donc repris le principe, en utilisant le bambou Guadua d’Amazonie comme matériau de base. Il s’agit là de la ressource forestière renouvelable la plus abondante en Colombie. Le Guadua est plus résistant que l’acier et peut générer plus de biomasse que toute autre culture. « C’est réellement la première fois que nous concevons une telle installation, explique Simón Vélez. Cette approche nous a ouvert de nouvelles possibilités de construction et d’architecture. Pouvoir réaliser un tel projet grâce à un matériau aussi humble que le bambou Guadua, avec une telle rapidité de production et d’assemblage et pour un coût faible, est un exemple qui illustre à quel point il est extraordinaire de travailler avec la nature. » Les architectes rendent ainsi hommage aux constructions ancestrales au sein desquelles toute la communauté vit en harmonie avec son environnement. Sebastião Salgado : « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie ». [©Renato Amoroso]L’erg Ubari est une immensité de dunes de sable de 80 000 km2, où se trouvent des lacs salés dans une zone appelée en arabe Ramla d’El Daouda, signifiant la “dune des mangeurs de vers”. Libye 2009. [©Sebastião Salgado]Long de 30 km et épais de 700 m, le glacier Perito Moreno est l’un des quarante-huit alimentés par le champ de glace du Sud de Patagonie et troisième réserve mondiale d’eau douce. Argentine 2007. [©Sebastião Salgado]Un déambulatoire extérieur permet d’en savoir plus sur l’eau, avant de la découvrir en images. [©ACPresse]Toutes noir et blanc, les photographies de Sebastião Salgado sont limpides, magnétiques, sans superflu. [©ACPresse]Cinquante photographies de Sebastião Salgado composent l’exposition Aqua Mater. [©ACPresse] Assimiler de nouveaux savoirs S’il reprend les principes constructifs éprouvés, le Pavillon intègre aussi quelques technologies contemporaines. Des éléments nécessaires pour le rendre démontage, transportable et remontable, de manière simple et facile. En l’espèce, il s’agit de tubes en acier qui, une fois reliés les uns aux autres, forment comme des couronnes sur lesquelles s’appuient les bambous. Vinci Construction France n’est autre que le mécène d’honneur de l’exposition. En fait, le groupe de BTP apporte toute sa compétence technique et humaine au projet. « Pour l’entreprise, cette réalisation permet d’assimiler des nouveaux savoirs et d’élargir son expertise autour de techniques inédites et d’un matériau nouveau pour elle, résume Xavier Defaux, directeur de la communication de Vinci Construction France. La dimension humaine de ce mécénat de compétences a permis à nos collaborateurs de participer à la magie du lieu et à une autre forme de perfection architecturale. » Le lieu imposait beaucoup de contraintes L’aventure a débuté en 2018, avec un voyage en Colombie pour voir le montage d’un prototype grandeur réelle du pavillon. Et pour s’approprier le savoir-faire colombien aux côtés des architectes Simón Vélez et Stefana Simic. Puis, est venu du temps des études, afin d’adapter la construction à sa future itinérance. A savoir, l’intégration des méthodes de préfabrication et de montage/démontage rapides, optimisées par les équipes de Vinci Construction France. Après une première installation en Arles, dans le cadre des Rencontres de la Photographie, le Pavillon vient d’ouvrir ses portes sur l’esplanade de la Défense, à côté de Paris. Un peu plus de deux mois de travaux auront été nécessaires à sa construction. « Le lieu imposait beaucoup de contraintes », explique Grégory Nakache, responsable des travaux pour Vinci Construction France. Tout d’abord, le chantier se situait au cœur d’un environnement piéton, autorisant les livraisons à des horaires bien précis. Ensuite, la dalle en béton qui constitue l’esplanade, surmontée de petites dalles sur plots, ne permet qu’une surcharge de 450 kg/m2. « Nous ne pouvions utiliser que des petits moyens de transport et de levage », reprend Lucie Docimo, ingénieure travaux pour Vinci Construction France. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. [©Vinci]Pavillon Aqua Mater en cours de montage par les équipes de Vinci Construction France. [©Vinci]Les 184 poteaux en bambou sont posés sur autant de dalles-supports en béton. [©Vinci]Le Pavillon Aqua Mater est comme une fleur posée au milieu du béton. [©ACPresse]Le Pavillon Aqua Mater est implanté au cœur de l’esplanade de La Défense. [©Fonds de dotation Contemplation] Des dalles en béton comme autant de points d’appui Ainsi, l’entreprise a installé sa base logistique de 3 000 m2, à Nanterre, à 4 km de l’esplanade. De quoi accueillir les dix conteneurs de 40 pieds nécessaires au transport du Pavillon en kit… Chaque jour, un petit camion assurait la navette en direction de La Défense. Le Pavillon s’inscrit sur un “remblai” de 30 cm d’épaisseur, destiné à répartir les charges sur l’ensemble de la plate-forme. Pour éviter toute surcharge inutile, ce “remblai” est constitué de blocs de polystyrène expansé. Dessus sont posées des dalles préfabriquées en béton de 1,90 m x 1,90 m pour une épaisseur de 10 cm. C’est la seule concession faite au béton sur ce projet… « Au« Ces éléments servent de points d’appuis aux 184 socles du Pavillon. Mais aussi de points d’ancrage pour lester le bâtiment et ainsi maintenir la structure vis-à-vis des efforts du vent », conclut Lucie Docimo. A l’issue de l’exposition, qui doit s’achever le 22 septembre 2022, les dalles seront concassées pour être valorisées comme granulats. Quant au Pavillon, il repartira vers une nouvelle destination. Sans doute vers Milan ou Genève. En attendant l’aller encore plus loin… Lieu : Esplanade de La Défense (Hauts-de-Seine)Dates : 1er avril – 22 septembre 2022Horaires : Du mardi au dimanche, de 10 h 00 à 19 h 00Durée de visite : 1 h 00 environEntrée adulte : 16 € En savoir plus. Aqua Mater, en pratique Photographies : Sebastião Salgado Scénographie : Lélia Wanick Salgado Création musicale : François-Bernard Mâche Architectes du Pavillon : Simon Vélez et Stefana Simic Bureau d’études architecte : Jean-Marc Weil (C&E Ingénierie) Patronage : Unesco Producteur : Fonds de dotation Contemplation Mécène d’honneur : Vinci Construction France Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 54 jours

KNAUF lightboard horizon 4 : la 1ere plaque de plâtre du marché qui allège les chantiers

Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, la première plaque de plâtre à 4 bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation novatrice de son cœur de gypse permet en effet un gain de poids de près de 25 %, de quoi faciliter les chantiers au quotidien.  […]
Il y a 3 ans et 55 jours

Le spécialiste français en géothermie Groupe Géotec fait l'acquisition de l'Italien CSI

Après un partenariat d'une quinzaine d'année, le Groupe Géotec finalise en janvier 2022 l’acquisition de CSI, société italienne de géotechnique spécialisée dans les forages profonds ou difficiles d’accès.
Il y a 3 ans et 55 jours

Style raffiné et lignes gracieuses pour Casa Farnesina avec les robinets Taormina de Ritmonio

L'intervention reflète la rigueur et la fluidité qui ont toujours constitué la signature stylistique de l'Architecte Dennerlein : le défi de conception était de pouvoir façonner un « tissu brut » de son choix, répondant aux souhaits du propriétaire, un entrepreneur passionné par le nautisme. Dans le projet global, Taormina est le détail qui atteste la grande attention de Dennerlein aux matériaux de qualité, des finitions capables de dicter un nouvel équilibre entre forme et fonctionnalité : la série revisite des éléments classiques dans une touche contemporaine, avec des lignes gracieuses. S'inspirant clairement de la station balnéaire sicilienne enviée dans le monde entier pour son charme et sa beauté, Taormina rehausse le style du projet et incarne la véritable expression du Made in Italy de Ritmonio. Le corps du mitigeur rappelle la forme des colonnes caractéristiques du théâtre antique de Taormina et ses lignes douces font référence aux criques et vagues sinueuses de la mer Méditerranée. Design raffiné également pour l'ensemble de la robinetterie pour baignoire, qui permet une expérience de bien-être à 360 °. Une solution à multiples facettes et polyvalente, conforme aux goûts des propriétaires, respectueuse de l'histoire dans la modernité, adaptée à ceux qui recherchent un style avec un attrait contemporain qui dure dans le temps. De plus, la série fait partie des produits à économie d’eau de Ritmonio, caractérisés par le débit d'eau ECO, inférieur à 9 L / m, pour sensibiliser à une utilisation responsable des ressources environnementales. Des lignes continues et circulaires, des transparences et un apport maximal de lumière naturelle constituent la philosophie de conception de la maison dans son ensemble et rendent le design harmonieux et sophistiqué. Cette âme « coquille » se retrouve également dans les plafonds, sur lesquels sont sculptés de grands plafonds traités à la feuille d'argent pour refléter la lumière et souligner la rondeur de l'ensemble du projet. L'espace de vie se caractérise par la présence de grandes parois vitrées, qui favorisent la transition harmonieuse avec la terrasse adjacente, pour une conception osmotique de l'intérieur-extérieur. Aux murs un papier peint à la texture chaleureuse, qui fait référence à la ligne d'horizon de la mer et rappelle la rayure des coquillages. Le sol est uniforme dans toutes les pièces : un travertin beige, qui traverse tout l'appartement, comme s'il s'agissait d'une seule peau. Le chauffage au sol et le système domotique de dernière génération ne sont que deux des nombreuses fonctionnalités technologiques qui améliorent les performances et le confort de la résidence. Tous les accessoires intérieurs ont été conçus et fabriqués à la main, grâce à un travail de menuiserie de haut niveau : des meubles aux armoires, jusqu'à la cuisine et les portes, dont certaines sont en verre et escamotables, conçues comme des « diaphragmes » de liaison entre un chambre et l'autre. En pensant précisément aux petits espaces d'un bateau, l’architecte. Dennerlein a choisi d'optimiser l'espace : de grandes pilules et armoires agissent comme des ailes pour séparer les fonctions et les environnements. La qualité des matériaux, le souci du détail et l'adaptation du travail se poursuivent également dans la salle de bain, où les finitions sont d'une valeur absolue : la pierre gris foncé embrasse la baignoire, où l'on retrouve un motif grec décoratif taillé en clous de chouette.
Il y a 3 ans et 56 jours

Région par région : où les Français aimeraient-ils investir dans l’immobilier locatif ?

TOP des régions françaises privilégiées En fonction de leur position géographique, les Français ont des envies d’investissement immobilier bien différentes, mais 6 régions se distinguent clairement comme étant des destinations préférées : Auvergne Rhône-Alpes, PACA, Bretagne, Occitanie/Pyrénées-Méditerranée, Ile-de-France et Nouvelle Aquitaine. Ainsi, la région PACA est choisie par trois régions : Bourgogne Franche-Comté, Corse et Occitanie/Pyrénées-Méditerranée. Les Français qui habitent en Auvergne Rhône-Alpes, Centre - Val de Loire et Nouvelle Aquitaine sont davantage attirés par l’Auvergne Rhône-Alpes. L’Occitanie/Pyrénées-Méditerranée est la région privilégiée par les habitants du Grand Est et de la Normandie. Les Franciliens et les habitants du Pays-de-Loire choisissent plutôt la région Nouvelle Aquitaine. De leur côté, la région PACA et les Hauts-de-France investissent d’abord en Ile-de-France. Enfin, la Bretagne préfère opter pour des projets immobiliers dans sa propre région. Les Français toujours en recherche… même en vacances ! D’où qu’ils viennent, les Français adorent l’immobilier. En effet, plus de 79 % déclarent qu’ils profitent de leurs congés pour se renseigner sur les investissements immobiliers locaux. Dans le détail, 56 % le font systématiquement et 23 % de façon ponctuelle. Web firstParmi tous les moyens possibles pour effectuer leurs recherches, 68 % des Français utilisent prioritairement le web. En deuxième choix, 21 % préfèrent leur entourage et le bouche-à-oreille et enfin 11 % font appel à une agence immobilière. Encore peu d’investisseurs Même si l’intérêt des Français pour l’investissement immobilier locatif n’est plus à démontrer, seulement 29 % avouent en avoir déjà réalisé un. Un contexte compliqué… mais pas pour l’immobilier !Malgré la crise sanitaire mondiale qui bouleverse énormément l’économie et la vie de tous les jours, 59 % des Français considèrent que la période est tout de même propice pour réaliser des investissements immobiliers. Pourquoi les Français veulent-ils investir dans l’immobilier locatif ? A la question « Pour quel motif principal désirez-vous investir dans l’immobilier locatif ? », la retraite arrive en tête des réponses de 33 % des Français. Elle est suivie par la volonté de générer un complément de revenus à 27 % puis d’utiliser judicieusement des fonds disponibles à 21 %. Enfin, pour 18 % des répondants, il s’agit de protéger leurs finances avec un investissement dans la pierre. * Méthodologie : enquête réalisée auprès 9 458 personnes réparties sur l'ensemble du territoire français âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 17 au 23 février 2022. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.
Il y a 3 ans et 60 jours

Signature du nouveau contrat de service public entre l'Etat et RTE

Ce nouveau contrat de service public s’inscrit dans un contexte de profonde transformation du système énergétique, dans lequel RTE fait face à la nécessité d’accélérer le renouvellement du réseau de transport d’électricité et de l’adapter aux évolutions du mix énergétique, dans la perspective de l’atteinte de l’objectif de neutralité carbone que la France s’est fixé.Ce contrat de service public fixe des objectifs stratégiques importants, comme le raccordement le plus rapide possible des installations éoliennes en mer et celui des sites industriels, le développement des flexibilités de consommation, la limitation de l’impact environnemental des activités de RTE et la sécurité d’approvisionnement électrique à court et long termes.Les 40 objectifs stratégiques définis dans le contrat sont répartis selon trois grands axes, correspondant aux défis principaux que RTE doit relever.D’une part, rendre possible la transition énergétique par la transformation du réseau de transport d’électricité, en favorisant l’acceptabilité sociétale et le développement des territoires, avec, par exemple : La mise en place d’une planification à long terme des futurs projets d’énergies renouvelables en mer,La création d’un fonds d’accompagnement, le FAREMER, financé par RTE, qui accompagnera la réalisation de chaque projet de création d’infrastructures de réseau en mer,L’accompagnement de la décarbonation des processus industriels,La poursuite de la limitation de l’empreinte carbone et environnementale du réseau.D’autre part, exploiter le réseau et garantir sa résilience, en s’adaptant aux mutations du système électrique, avec, notamment :L’élargissement de l’éventail des flexibilités de consommation en cas de déséquilibre du système,La mise à jour des instruments de gestion de crise,La participation au développement des interconnexions électriques avec nos voisins européens.Enfin, le contrat de service public rappelle également le rôle central de RTE dans la modélisation du mix électrique et de l’équilibre offre-demande de moyen et long termes, permettant d’éclairer les choix de politique énergétique des pouvoirs publics, à travers deux objectifs :Assurer un rôle d’expert et d'aide à la décision auprès de l’Etat,Mettre à disposition des territoires et des citoyens les informations et les outils facilitant la compréhension de leur contexte énergétique.
Il y a 3 ans et 61 jours

Benoît Bazzocchi nommé Président de Fundimmo

Pour Benoît Bazzocchi, Président de Fundimmo : « Je suis très heureux de rejoindre Fundimmo, et de succéder à Jérémie Benmoussa qui a souhaité s’engager dans une aventure entrepreneuriale différente. Fundimmo est devenue, en quelques années, une référence en matière de crowdfunding immobilier sur le marché national. Nous allons, avec le soutien du Groupe ATLAND, capitaliser sur les forces de la plateforme et renforcer encore davantage l’expérience client notamment au travers de l’élargissement et de la structuration de l’offre proposée. Nous enclenchons une nouvelle phase de développement avec l’ensemble de l’équipe et c’est une perspective particulièrement exaltante. »Pour Georges Rocchietta, Président et fondateur d’ATLAND : « Nous sommes ravis d’accueillir Benoît en tant que Président de Fundimmo, nos équipes vont bénéficier de son expertise en matière d’investissement et de son excellente connaissance de l’écosystème Fintech. Son arrivée, qui s’inscrit dans un contexte de croissance et d’élargissement des activités de Fundimmo, témoigne de nos fortes ambitions de développement. »Diplômé de l'EM Lyon en 2006 et du CEFA (Certified European Financial Analyst) en 2008, Benoît Bazzocchi, 41 ans, débute sa carrière comme chargé d’affaires au sein du Groupe Natixis Private Equity. En 2009, il fonde Y Capital, société de conseil spécialisée en ingénierie financière et levées de fonds, puis lance en 2012 SmartAngels, acteur pionnier du crowdfunding spécialisé dans le financement de startups et PME de croissance. Benoît Bazzocchi est également co-fondateur d’un Family Office, et Board Advisor de France FinTech.
Il y a 3 ans et 61 jours

Ecocem travaille déjà sur les liants bas carbone de demain

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Rory McNeill est le directeur commercial et développement de marché d’Ecocem France. [©Ecocem] Ecocem France est né en 2007. Mais qui se cache derrière cette filiale ? Rory McNeill : Ecocem France est une filiale d’Ecocem Materials, qui détient 51 % des parts et d’ArcelorMittal. Ceci, dans le cadre d’un joint-venture. L’entité produit chaque année 1,5 Mt de liants à destination du marché français, à partir de ses deux usines de Dunkerque et de Fos-sur-Mer. En tant que tel, outre la France, le groupe est présent en Irlande, avec son usine historique de Dublin, et aux Pays-Bas où il a inauguré un site de production dès 2002. Enfin, en 2013, ce sont deux silos de stockage qui ont vu le jour au Royaume-Uni, un premier sur la côte Ouest près de Manchester et un second sur la côte Est, à proximité de Londres. A l’origine, Ecocem était seulement fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux. Mais l’offre s’est bien étoffée depuis… Dès le départ, Ecocem proposait des laitiers de classe A, caractérisés par une finesse Blaine de 4 500. Depuis l’offre s’est élargie, en particulier vers les ciments bas carbone, car s’inscrivant dans le sens de notre stratégie. En 2018, nous avons mis sur le marché un CEM III/C, marqué NF et CE. Ce produit est le fruit des travaux de notre R&D centrale, mise en service à partir de 2013, et caractérisé par l’ouverture, en 2021, de notre laboratoire à Champlan, en Essonne. Aujourd’hui, cette cellule travaille sur les liants bas carbone de demain… Des offres qui devraient arriver peu à peu sur le marché à partir de 2022/23. A ce propos, Breakthrough Energy Venture, un fonds d’investissement fondé par Bill Gates, est entré au capital d’Ecocem Materials, à hauteur de 10 %. Son objectif est de lutter contre le réchauffement climatique et d’apporter un aide à la recherche de solutions bas carbone. En effet, il est temps d’aller au-delà des techniques du clinker. Mais aussi de faire bouger les ciments vis-à-vis de la normalisation et aussi de faire évoluer les normes… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 3 ans et 61 jours

Partie I – Cyber-malveillance : Les clefs de la sécurité numérique pour les TPE et PME

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine [©cybermalveillance.gouv.fr] A l’heure du tout numérique, smartphones, ordinateurs et autres tablettes font partie de notre quotidien. De plus, conséquence du Covid, le travail s’est transformé, en s’installant à domicile. Un changement de culture qui semble vouloir s’inscrire dans la durée, mais qui oblige les entreprises à adapter leurs outils de travail. Si les avantages en sont nombreux, les attaques de TPE et PME par ce que le gouvernement nomme la “cyber-malveillance” se sont multipliées. Pour se protéger, les entrepreneurs doivent prendre conscience de la menace et connaître les bonnes pratiques pour éviter une mauvaise expérience. La cyber-malveillance désigne l’ensemble des infractions liées au numérique. On y retrouve l’usage de moyens de paiements frauduleux, le piratage de compte, l’escroquerie, l’extorsion de fonds, l’usurpation d’identité ou la collecte illégale de données personnelles. Le site cybermalveillance.gouv.fr relève trois principales techniques utilisées par les cyber-criminels. La première est l’hameçonnage, qui consiste à récupérer des données personnelles et bancaires, en prenant l’apparence d’un tiers de confiance. Pour cela, faux mails bancaires, de réseaux sociaux, d’opérateurs de téléphonie, d’administration… Mais aussi SMS et appels téléphoniques. Et l’époque des logos douteux, des fautes d’orthographe et des traductions aléatoires est passée. Les mails sont de mieux en mieux élaborés et de plus en plus précis. Offrir un accès aux hackers Autre technique, le rançongiciel qui bloque l’accès à l’ordinateur ou à des fichiers, en les chiffrant. La victime se voit ensuite réclamer une somme d’argent, en général en monnaie numérique, afin d’avoir à nouveau accès à ses données. Une navigation sur des sites compromis ou un simple clic sur une pièce jointe malveillante peut offrir un accès aux hackers. Enfin, l’arnaque aux faux supports techniques est une solution en plein boom. Elle consiste à effrayer la future victime par SMS, téléphone, courriel ou par un message apparaissant sur un ordinateur prétextant un problème technique. La victime est incitée à se rendre sur un support technique qui paraît officiel, sur lequel le pseudo-dépannage est payant. Ces trois techniques peuvent être utilisées indépendamment ou l’une renforçant l’autre. Les données d’une personne sont récupérées par un premier criminel, puis revendues sur le marché noir (darknet), avant d’être utilisées pour construire une attaque plus complexe. Choyer ses mots de passe Dès lors, comment les TPE et PME peuvent-elles lutter ? Avec quelques bonnes pratiques, il est possible de réduire les risques… Premier élément de vigilance, les mots de passe (login). Le conseil principal est d’utiliser un mot de passe différent pour chaque service. Ainsi, si l’un d’eux est corrompu (piraté), il ne rendra vulnérable qu’un seul service. Le choix du mot de passe est aussi important. Il doit comprendre au moins douze signes, avec des majuscules, des minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. Il ne doit pas non plus être devinable : il faut oublier les prénoms des enfants, des animaux de compagnie, de l’équipe de sport préférée… Bien entendu, il n’est pas possible à une personne normalement constituée de retenir tous ses mots de passe. C’est pourquoi le site cybermalveillance.gouv.fr propose le gestionnaire de mots de passe Keepass. En parallèle, il ne faut pas communiquer les mots de passe à une tierce personne ni les écrire. Il faut éviter aussi de les utiliser sur des ordinateurs partagés. Et, au moindre doute, il faut les changer. Enfin, le mot de passe de la messagerie, logiciel le plus fertile en données, doit être particulièrement choyé ! Retrouvez la partie II de cet article dans notre prochain numéro. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 62 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch : Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

Une conception robuste pour une utilisation dans des conditions difficiles et par mauvais temps Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu’à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d’eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes  ou de renversement du trépied, jusqu’à 2 m. Un laser vert pour une meilleure visibilité Polyvalent, le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch est idéal pour les travaux de mise à niveau en extérieur – terrassement, pose de coffrage pour béton, aménagement paysager, ravalement de façades… – mais aussi en intérieur : pose de plafonds et de murs, installation de systèmes de chauffage et climatisation… La technologie de laser vert lui assure une excellente visibilité quelles que soient les conditions d’éclairage sur le chantier. Une connectivité pour un travail plus rapide Le GRL 650 CHVG Professional Bosch peut être connecté par Bluetooth à un Smartphone pour être piloté, contrôlé et personnalisé via l’application Levelling Remote. L’écran intégré à commande intuitive permet d’avoir une vue d’ensemble des paramètres et de piloter le laser rotatif à distance pour gagner du temps. Grâce à la fonction «uCal», l’assistant de calibrage, le calibrage est facile, rapide et précis (± 1,5 mm par 30 m). Il suffit de suivre les instructions pas à pas de l’application. L’application Levelling Remote permet de garder en mémoire des valeurs d’inclinaison et d’utiliser la fonction de double pente, en ajustant les valeurs de pente sur les axes X et Y de ± 8,5 %. Pour les inclinaisons supérieures à 8,5 %, le professionnel peut passer en mode manuel. D’autres fonctionnalités sont également disponibles : l’angle de balayage, la vitesse de rotation et le système d’avertissement de chocs automatique (ADS). Ce dernier limite la sensibilité de l’appareil, empêchant qu’il ne se déclenche à cause des vibrations engendrées par des véhicules de chantier par exemple. Enfin, très pratique, le « mode masquage » de l’application évite les interférences avec les autres appareils connectés présents sur le chantier. Une détection rapide du faisceau de laser vert grâce à la cellule de réception LR65G Le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch fonctionne avec une cellule de réception de grande qualité, la LR 65 G Professional. Cette dernière est équipée d’une longue fenêtre de réception (125 mm) et ses deux écrans LED rétro-éclairés – un à l’avant et l’autre à l’arrière – facilitent la lecture de la position du faisceau laser. Lorsque la fonction « CenterFind » est activée, le laser rotatif trouve automatiquement le centre du récepteur, il est alors aligné sur celui-ci et l’inclinaison est affichée en pourcentage. Par ailleurs, grâce à la nouvelle fonction « CenterLock », le laser rotatif peut conserver sa position exacte d’alignement au centre du récepteur tout au long de la journée. De conception robuste, cette cellule est idéale pour les chantiers les plus rudes. Elle est dotée de touches en caoutchouc très résistantes, d’une très bonne protection contre l’eau et la poussière (IP67) et d’un revêtement softgrip protecteur. Elle peut être tenue en main, suspendue par un crochet ou fixée à des surfaces métalliques. Une alimentation Dual Power Grâce à une double alimentation, le GRL 650 CHVG Professional est toujours prêt à fonctionner. Il offre une grande autonomie (50 à 60 h selon la batterie) et permet une utilisation prolongée avec une batterie 18 V ou des piles alcalines. Il est compatible avec toutes les batteries du système Bosch Professional 18 V jusqu’à 8,0 Ah.
Il y a 3 ans et 62 jours

Modalités de mise en œuvre de la remise de 15 centimes d'euro par litre pour l'acquisition de carburants

C’est une mesure pour tous les particuliers. C’est également une mesure de soutien pour les agriculteurs, les pêcheurs, les transporteurs routiers, les taxis et les acteurs des travaux publics. Son coût est estimé à 3 milliards d’euros.Le Gouvernement a publié ce 26 mars le décret relatif à l’aide exceptionnelle à l’acquisition de carburants, qui précise les modalités de mise en œuvre, arrêtées en concertation avec l’ensemble des acteurs de la filière (fournisseurs, distributeurs et représentants des stations-services). Le décret précise en premier lieu la liste des carburants éligibles. Ainsi, sont notamment concernés le gazole, le gazole pêche, le gazole non routier (GNR), les essences (SP95, SP98-E5, SP-95-E10), le gaz pétrole liquéfié carburant (GPL-c), le gaz naturel véhicule (GNV) sous forme comprimée (GNC) ou liquéfiée (GNL), le super-éthanol (E85) et l’éthanol diesel (ED95). La remise sera de 15 centimes d’euros hors taxe par litre pour les essences et gazoles, de 15 euros par MWh pour les gaz naturels carburant et de 29,13 € pour 100 kg net pour le GPL-c. Pour mettre en œuvre cette remise, une subvention de 15 centimes d’euros hors taxe (ou du montant susmentionné pour le GNC et GPL-c) sera versée aux « metteurs à la consommation » de carburants pour les volumes de carburants vendus. L'aide est ensuite rétrocédée aux stations-service ou aux professionnels, et répercutée jusqu'au consommateur final. En arrivant dans une station-service, le consommateur verra affiché le prix du carburant déjà remisé de 15 centimes hors taxe tant sur les totems que sur les prix à la pompe. Il payera donc directement le prix remisé du carburant. Si la très forte concurrence existant sur le marché invite déjà la majorité des acteurs à rétrocéder la totalité de la remise pour ne pas perdre de parts de marché, une charte, signée très largement dans la profession, comprend un engagement des fournisseurs et des distributeurs à assurer la pleine répercussion de la remise au consommateur final. Cette charte, et des obligations spécifiques prévues dans le décret, permettront un suivi renforcé des prix pour assurer l’effectivité de cette répercussion, y compris la détection automatique d’anomalies dans les prix déclarés par les distributeurs, ainsi que des contrôles sur site par la DGCCRF. Afin que les stations-services disposent de carburant remisé en cuve au 31 mars 2022 et appliquent la remise dès le 1er avril, le décret prévoit deux modalités :Les metteurs à la consommation pourront vendre dès le 27 mars 2022 aux stations-services ou aux professionnels du carburant remisé. Cette anticipation de quelques jours, au niveau des metteurs à la consommation, permet de prendre en compte les contraintes de renouvellement des cuves des stations-service, ou de stocks des professionnels, sans générer de pénurie à la pompe.Les petites stations-services indépendantes (qui vendent moins de 50 m3 par mois de carburants et qui sont propriétaires de leur fonds de commerces), souvent situées en zone rurale, peuvent ne renouveler leur cuve que tous les 10 voire 20 jours. Certaines sont donc susceptibles de ne pas avoir en cuve du carburant remisé au 1er avril en dépit de l’anticipation au 27 mars. Pour les petites stations-services indépendantes qui le souhaitent, afin d’être en mesure de pouvoir appliquer la remise dès le 1er avril comme les autres acteurs, et sans que cela ne pèse sur leur trésorerie, une avance forfaitaire de 3000€, à rembourser au plus tard le 16 septembre, leur sera versée par l’Agence de services et de paiement (ASP).Pour assurer une meilleure lisibilité des prix des carburants pendant les 4 prochains mois, les distributeurs et les stations-service feront mentions systématiquement de la remise de l’Etat. La charte d’engagement signée largement par la profession comprend des engagements en ce sens. Il est rappelé que ce dispositif sera mis en œuvre pour les 4 prochains mois et n’est pas limité en volume de carburant vendu : il n’est donc pas nécessaire de se rendre en station dès le 1er avril pour en bénéficier.