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Résultats de recherche pour international

(7363 résultats)
Il y a 2 ans et 61 jours

Sogelink, chronique d’une croissance annoncée

Fort des événements clés de l’année qui vient de s’écouler, Sogelink confirme ses ambitions de croissance et son leadership en faisant levier sur ses dernières acquisitions aux Pays-Bas et en Norvège ainsi que sur ses nouvelles offres. Côté international, le groupe ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et continuera sa conquête des marchés européens.
Il y a 2 ans et 62 jours

Salone Internazionale del Bagno : du 5 au 10 avril 2023 à Milan – Brem présente son radiateur « Chem » et son nouveau showroom digital

À l’occasion de la prochaine édition du Salon international de la salle de bains à Milan, Brem présentera son dernier radiateur « Chem » et son nouveau showroom digital. Un radiateur tubulaire au design industriel Authentique, fonctionnel et structuré, le style industriel fait partie des grandes tendances déco du moment. Dans le salon ou la […]
Il y a 2 ans et 62 jours

Le prix Pritzker 2023 décerné à l'architecte britannique David Alan Chipperfield

A l'âge de 69 ans, David Alan Chipperfield, architecte, urbaniste et activiste, se voit décerner le prix Pritzker, considéré comme la plus haute distinction internationale en architecture.
Il y a 2 ans et 63 jours

Comment Egis compte s'impliquer pour l'avenir de l'Ukraine et de ses collaborateurs

INTERNATIONAL. Malgré la guerre qui a débuté en février 2022, l'ingénieriste Egis a décidé de maintenir ses activités sur le sol ukrainien tout en cherchant à protéger ses salariés. Et en se donnant des perspectives pour l'avenir.
Il y a 2 ans et 63 jours

ELCIA expose sur le salon BAU 2023

Stand C5-530 Du 17 au 22 avril, c’est sur BAU que ça se passe pour ELCIA. Avec un objectif : accompagner les fabricants européens qui souhaitent faciliter le chiffrage de leurs clients revendeurs ! 3 questions à : Johannes SALM (Business Développeur Allemagne) et Camille DENANS (Chargée de développement international) Dans quel état d’esprit êtes-vous à quelques jours d’exposer… Lire la suite ELCIA expose sur le salon BAU 2023
Il y a 2 ans et 63 jours

LG renforce sa position sur le marché européen du chauffage , de la ventilation et de la climatisation grâce à des solutions écoénergétiques

   COURBEVOIE – LG Electronics (LG) présente ses dernières solutions de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) au Salon international de l’assainissement, du chauffage et de l’air (ISH) 2023, qui se tient à Francfort, en Allemagne, du 13 au 17 mars. Présentées sur les stands Residential Solution et Commercial Solution, les solutions LG destinées à […]
Il y a 2 ans et 63 jours

Pour le salon ISH, Resideo lance quatre nouveaux produits autour de la gestion du chauffage et de l’eau

Paris, 14 mars 2023 – Resideo Technologies, Inc., fournisseur mondial de solutions de confort et de sécurité pour la maison, a dévoilé aujourd’hui ses nouveaux produits et solutions au salon international ISH 2023 à Francfort, en Allemagne. Ces nouveautés aideront les installateurs et les consommateurs à relever les défis de la gestion de l’énergie et […]
Il y a 2 ans et 66 jours

Bouygues Construction divise par trois l'empreinte carbone des bureaux avec son nouveau concept building

À l'occasion du MIPIM, rendez-vous international des acteurs de l’immobilier, Bouygues Construction dévoile son concept building qui divise par 3 l’empreinte carbone de la construction de bureaux. Ce projet, dont la faisabilité et la performance ont été validées par l’agence Franck Boutté Consultants, Grand Prix de l’Urbanisme 2022, vient illustrer la stratégie de Bouygues Construction pour orienter la construction vers le très bas carbone.
Il y a 2 ans et 67 jours

Le gouvernement fixe ses objectifs de construction de logements

MIPIM 2023. Christophe Béchu, à l'ouverture du Mipim, le salon international de l'immobilier, puis Olivier Klein, le lendemain, dans les travées du même salon, ont avancé de nouveaux objectifs nationaux de construction de logements, en les déclinant entre privés et sociaux. Un chiffre très en deçà de celui de la Fédération des promoteurs immobiliers.
Il y a 2 ans et 67 jours

“Mettre au point des solutions intégrées pour des bâtiments plus frugaux”

Thomas Toulemonde est responsable technique à AcoustB. Depuis 1995, ce bureau d'études se consacre à la maîtrise de l'acoustique dans le bâtiment, l'environnement, l'industrie et les vibrations. L'entreprise compte 43 salariés sur le territoire national et connaît depuis sept ans 15 % de croissance en France et à l'international. Très impliqué dans le développement des immeubles bas carbone, il a également pour particularité de développer ses propres outils de mesure et de calcul.
Il y a 2 ans et 68 jours

Certification ISO 14001 pour Unilin Insulation

Certification ISO 14001 pour Unilin Insulation La norme internationale ISO 14001 incite les entreprises et les organisations à s’impliquer andresudrie mer 15/03/2023 - 16:17 En savoir plus sur Certification ISO 14001 pour Unilin Insulation Partager
Il y a 2 ans et 68 jours

Immobilier : Bouygues mise sur le bas-carbone et la réhabilitation

MIPIM 2023. Le salon international de l'immobilier, qui se tient du 14 au 17 mars à Cannes, est l'occasion pour les promoteurs de présenter leurs innovations. Le groupe Bouygues lance, tous azimut, des marques spécialisées pour appréhender la diversification du métier de constructeur et de promoteur. Et affiche des objectifs ambitieux.
Il y a 2 ans et 68 jours

Fibre optique : NGE décroche un nouveau marché en Allemagne

CONTRAT. Alors que l'activité autour de la construction des réseaux de fibre optique ralentit en France, le groupe NGE poursuit sa conquête de nouveaux marchés à l'international, et notamment en Allemagne, où il a remporté son 3e contrat.
Il y a 2 ans et 69 jours

"Vinci Immobilier a déjà divisé par deux l'artificialisation de ses nouvelles opérations"

MIPIM 2023. Le Salon international de l'immobilier, qui se tient du 14 au 17 mars à Cannes, est l'occasion pour les promoteurs de présenter leurs innovations. Vinci Immobilier, qui s'est lancé dans l'aventure du Zéro artificialisation nette (Zan) en 2022, affirme avoir déjà obtenu des résultats.
Il y a 2 ans et 69 jours

Les propositions des députés européens pour décarboner les bâtiments

Le Parlement européen a voté mardi 14 mars des projets de mesures pour accélérer les chantiers de rénovation énergétique et viser un...-International
Il y a 2 ans et 69 jours

Bosch Thermotechnologie devient Bosch Home Comfort Group

A l’occasion d’ISH, salon international du bain, des techniques du bâtiment, du chauffage, de la climatisation et des énergies renouvelables à Francfort, la division chauffage-climatisation du Groupe Bosch vient d’annoncer son changement d’identité.
Il y a 2 ans et 74 jours

Journée Internationale des Femmes

Pour célébrer le 8 mars, Saint-Gobain réaffirme son engagement en faveur de l’équité et l’inclusion. Formations, mentoring, networking... Le Groupe s’investit chaque jour pour promouvoir l’égalité des genres.
Il y a 2 ans et 74 jours

Interview Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis ingénieure, avec une formation généraliste et une spécialité en bâtiment et matériaux pour la construction durable. Après un doctorat sur les transferts de chaleur et d'humidité dans les matériaux biosourcés, j'ai intégré l'équipe Environnement de la direction Énergie-Environnement du CSTB à Grenoble il y a cinq ans. Mon souhait était de combiner expertise scientifique et politiques publiques. Sur quelles missions travaillez-vous dans le cadre de vos fonctions ? Depuis mon arrivée, j'ai principalement participé à la mise en place de la RE2020, réglementation environnementale qui remplace la RT 2012 et intègre pour la première fois des exigences sur les émissions de gaz à effet de serre en cycle de vie des bâtiments. Depuis un an, je suis également cheffe de projet R&D spécialisée dans la problématique de l'atténuation du changement climatique, rattachée au domaine d'action stratégique de recherche « Bâtiments et villes face au changement climatique » piloté par Alexandra Lebert. Ma mission consiste à coordonner, organiser et capitaliser nos travaux de recherche sur ce sujet. Dans votre domaine d'activité, quels sont les enjeux de demain pour le CSTB ? La chaîne de valeur bâtiment émet plus de 150 Mt eq. CO2, ce qui représente 25% de l'empreinte carbone des Français. L'objectif est d'atteindre 96 Mt en 2030 puis 16 Mt en 2050, un très grand défi pour le secteur et donc pour le CSTB ! Les enjeux correspondent à ceux de la feuille de route consacrée à l'atténuation du changement climatique : que les acteurs connaissent les impacts de leurs activités et décisions, qu'ils connaissent les efforts qu'ils doivent réaliser à court, moyen et long termes pour les réduire (et contribuer à la neutralité carbone) et qu'ils sachent sur quelles solutions s'appuyer. Pour cela, nous devons leur fournir les méthodes et outils pour connaitre les impacts de leurs opérations et déterminer leur trajectoire de décarbonation, identifier les solutions pour concevoir des bâtiments bas carbone, accompagner la filière vers la massification de la rénovation, former les acteurs à ces enjeux, intégrer le carbone dans l'évaluation des produits de construction, etc. Bref, toutes les activités du CSTB auront un rôle à jouer ! En tant qu'ingénieure Recherche et Expertise au CSTB, comment percevez-vous la place des femmes dans votre entreprise, et plus généralement dans le secteur de la construction ? Dans la direction Energie-Environnement que je connais le mieux, quatre responsables d'équipe sur six sont des femmes ! Un exemple qui montre, j'en ai l'impression en tout cas, que la prise de responsabilité des femmes n'est plus un sujet. Cependant, on constate quand même des répartitions assez genrées sur les thématiques : les collègues énergéticiens sont majoritairement des hommes tandis que l'équipe Environnement est principalement féminine (surtout si on ne prend pas en compte les métiers liés au développement informatique). Le secteur de la construction dans sa globalité n'est malheureusement pas encore au niveau du CSTB. Que signifie pour vous cette Journée internationale des droits des femmes ? C'est l'occasion de prendre le temps de se retourner pour voir le chemin accompli, mais aussi de regarder vers l'avenir pour se rendre compte que le chemin n'est toujours pas terminé pour atteindre l'égalité réelle entre hommes et femmes (en termes de droits, de rémunération, etc.). C'est aussi l'occasion de célébrer les femmes qui sont des modèles et qui nous aident à réfléchir, rire, vivre mieux. Pour en citer quelques-unes : Irène Frachon pour son courage et son combat contre le Mediator, Laure Calamy pour ses prises de position sur la décentralisation de la culture, Dominique Méda pour ses recherches sur le travail et à Alice Zeniter pour ses réflexions sur la place des femmes en littérature.
Il y a 2 ans et 75 jours

Interview Lucie Royer, cheffe de projet Transformation et Métier

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Lucie Royer, cheffe de projet Transformation et Métier, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis Lucie Royer, cheffe de projet Transformation et Métier au sein de la direction Technique du CSTB que j'ai intégré en mai 2022. Auparavant, j'occupais également un poste de cheffe de projet avec des missions et des enjeux similaires : veiller au bon déroulement des projets organisationnels et structurels de l'entreprise, et accompagner les équipes dans toutes ces transformations. Sur quelles missions travaillez-vous dans le cadre de vos fonctions ? Lors de mon intégration, j'ai repris le projet SIPP Certification qui était déjà en cours. Cela reste le principal projet dont je suis aujourd'hui référente pour la partie « Transformation ». La mission est de faire converger tous les référentiels de certification sur un outil de pilotage commun. Ce projet s'inscrit dans une démarche de digitalisation, élément incontournable à l'ère du numérique. Cela représente une conduite du changement importante à plusieurs échelles de l'entreprise. Dans votre domaine d'activité, quels sont les enjeux de demain pour le CSTB ? Les enjeux de demain pour le CSTB sont nombreux et ils sont essentiels pour s'adapter aux exigences d'un monde en perpétuelle évolution. Pour ma part, en tant que cheffe de projet dédiée à la conduite du changement, l'enjeu principal est d'harmoniser les pratiques et d'améliorer la traçabilité. C'est un travail de longue haleine indispensable pour améliorer l'efficacité. En tant que cheffe de projet au CSTB, comment percevez-vous la place des femmes dans votre entreprise, et plus généralement dans le secteur de la construction ? Le débat sur la place de la femme dans les entreprises est toujours d'actualité, mais je remarque que les mœurs ont évolué et le CSTB en est l'exemple. La mixité hommes/femmes est bien présente, et ce à tous les niveaux hiérarchiques. Je remarque également que l'entreprise s'engage dans cette action, comme l'atteste cette interview. Que signifie pour vous cette Journée internationale des droits des femmes ? Je pense que les mentalités évoluent. Les disparités sociales et salariales entre hommes et femmes dans les sociétés modernes s'estompent progressivement. Rendre publiques et mettre en lumière ces inégalités permettra au fil du temps de faire évoluer les mœurs et qui sait, peut-être un jour de ne plus en faire un sujet. C'est pourquoi, à mon sens, cette journée reste importante.
Il y a 2 ans et 75 jours

Les femmes combattantes du béton

Pour marquer la Journée internationale des droits des femmes, Béton[s] le Magazine donne la parole aux “combattantes du béton”. Des vidéos à découvrir tout au long du printemps.
Il y a 2 ans et 75 jours

Journée internationale des droits des femmes : La CAPEB rappelle que les métiers de l’artisanat du bâtiment sont aussi une affaire de femmes

La féminisation des métiers de l’artisanat du bâtiment est d’une importance capitale. Avec 13% de femmes parmi les chefs d’entreprises et salariés, les différents métiers du bâtiment restent encore aujourd’hui largement occupés par les hommes, et ce alors même qu’elles y auraient toute leur place.
Il y a 2 ans et 75 jours

f minisation dans le b timent la capeb appelle un lan collectif

À l’occasion de la journée internationale du droit des femmes, le 08 mars, la Confédération des petites entreprises et de l'artisanat du bâtiment (Capeb) et la Fédération française du bâtiment (FFB) leur rendent hommage en rappelant les actions mises en place pour encourager la mixité professionnelle dans le BTP, bien que le chemin à parcourir soit encore long pour atteindre la parité.
Il y a 2 ans et 76 jours

Le Prix Pritzker attribué à David Chipperfield

DISTINCTION. L'architecte britannique remporte, à 69 ans, le prestigieux prix d'architecture. Celui-ci vient couronner une longue carrière internationale, et une centaine de réalisations.
Il y a 2 ans et 76 jours

Colas Rail remporte un nouveau contrat aux Philippines

Colas Rail, membre d’un groupement conduit par Alstom, a été choisi par Mitsubishi Corporation pour la conception et la réalisation des...-International
Il y a 2 ans et 76 jours

Sir David Alan Chipperfield, 50e lauréat du Prix Pritzker

L’architecte britannique décroche à 69 ans le Prix Pritzker décerné par la Fondation Hyatt. À l’annonce du vainqueur de l’édition 2023 de la plus haute distinction internationale d’architecture, un doute nous a pris : « Mais ne l'avait-il pas déjà eu ? » Un sentiment d’évidence pour le couronnement de celui qui est l’un des plus grands architectes encore en exercice. Des mots du jury, « il fait systématiquement et avec brio le choix des outils qui serviront le projet plutôt...
Il y a 2 ans et 77 jours

Ecole Gustave ouvre les portes du BTP aux femmes

Le mercredi 8 mars, à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme, l’Ecole Gustave organise une journée de sensibilisation sur la place des femmes dans le BTP au sein de son campus parisien.
Il y a 2 ans et 79 jours

Doter l'Afrique en énergie propre, pour le prix de quelques terminaux gaziers

L'accès à l'énergie en Afrique, où 600 millions de personnes vivent sans électricité, a encore reculé depuis le Covid, et pourtant tout le continent pourrait être doté d'ici 2030 des énergies propres nécessaires, pour le prix de quelques terminaux gaziers, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Il y a 2 ans et 80 jours

WOODRISE 2023 – Regards d’expert sur la construction bois de grande hauteur

 3 questions à Stephan de Fay, Directeur général de Grand Paris Aménagement  WOODRISE, congrès international du bâtiment bois moyenne et grande hauteur, sera de retour en France du 17 au 20 octobre 2023, au Palais 2 l’Atlantique de Bordeaux. A cette occasion, les organisateurs ont souhaité donner la parole à différents experts du bâtiment, de […]
Il y a 2 ans et 81 jours

Les émissions de CO2 dues à l'énergie battent un nouveau record en 2022, mais sont moins élevées que prévu

Les émissions mondiales de CO2 liées à l'énergie ont encore augmenté en 2022, de 0,9%, pour atteindre un nouveau record, cependant moins élevé que prévu grâce à l'essor des énergies et technologies vertes, a annoncé jeudi 2 mars l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Il y a 2 ans et 82 jours

Dans une favela brésilienne, un prix d'architecture pour "la maison de l'année"

A première vue, ce n'est qu'une maison comme des dizaines d'autres dans une favela brésilienne. Mais cette modeste demeure de 66m2 aux briques apparentes a remporté cette semaine un prix international d'architecture.
Il y a 2 ans et 83 jours

Le projet de réforme des retraites examiné par les sénateurs, la droite à la manœuvre

Privé d'un vote de l'Assemblée nationale par l'obstruction des députés de La France insoumise, l'exécutif table sur le Sénat pour conférer une légitimité démocratique à une réforme dont deux-tiers des Français (66%) ne veulent pas, d'après un sondage Odoxa.La prochaine journée de mobilisation, le 7 mars, s'annonce très suivie et l'ensemble des syndicats de la SNCF appellent à une grève reconductible à partir de cette date.En attendant, le Sénat, réputé pour son climat feutré qui pourrait trancher avec les vives tensions qu'a connu l'Assemblée nationale, débute ce mardi à partir de 14H30 l'examen du texte à huis clos, en commission. Les sénateurs se retrouveront ensuite, jeudi, pour le coup d'envoi des débats dans l'hémicycle. L'exécutif a multiplié ces derniers jours les gestes d'ouverture à l'égard de la majorité sénatoriale. "Je souhaite que le Sénat puisse enrichir" le texte, a déclaré samedi Emmanuel Macron dans les travées du Salon de l'agriculture."On va écouter les propositions du Sénat et on va trouver un chemin ensemble", a abondé lundi Elisabeth Borne, dont la cote de popularité accuse une nouvelle baisse de deux points en février à 29%, selon le sondage Odoxa. La cheffe du gouvernement se dit prête, mardi dans le magazine Elle, à étudier "des bonifications" salariales pour les femmes "avant le troisième enfant", une nouvelle main tendue aux Républicains.La politique familiale est un des enjeux du vote LR. Dans un entretien, lundi, à l'AFP, le président des sénateurs du groupe, Bruno Retailleau, propose notamment "une surcote de 5%" pour les mères de famille qui auraient une carrière complète."Pas de surenchère""On ne sera pas dans la surenchère", assure le sénateur de Vendée, alors que le gouvernement a eu fort à faire avec les députés LR, notamment Aurélien Pradié, démis depuis de ses fonctions de numéro 2 des Républicains.Cela n'empêche pas le député du Lot de rester très virulent contre son parti qu'il a accusé, mardi sur France Inter, d'être "un complice du gouvernement" dans le débat sur les retraites.La droite sénatoriale peut difficilement se déjuger en ne votant pas une réforme qu'elle appelle de ses voeux depuis plusieurs années. Mais elle entend bien formaliser ses propres propositions.Bruno Retailleau a d'ailleurs annoncé sur CNews revoir la Première ministre mercredi avec Gérard Larcher, le président LR du Sénat. Les députés, empêtrés dans des débats houleux ponctués d'incidents de séance à répétition, n'ont pu examiner entièrement que deux des vingt articles du texte en deux semaines.C'est donc sur le texte du gouvernement, à peine modifié, que va plancher la commission des Affaires sociales du Sénat, sous la houlette de sa rapporteure générale Elisabeth Doineau, centriste Macron-compatible, et du rapporteur de la branche Vieillesse René-Paul Savary, le "M. Retraite" du groupe LR."CDI seniors"Seuls seront examinés mardi les amendements des rapporteurs.LR et centristes reconnaissent des "différences" entre eux sur certains sujets, comme les carrières longues ou les régimes spéciaux de retraite, mais sont confiants dans leur capacité à "les surmonter".Outre un aménagement en faveur des mères de famille, la majorité sénatoriale devrait proposer un CDI nouvelle formule pour faciliter l'embauche des seniors, afin de leur permettre d'atteindre une carrière complète.Le Sénat a "une vraie carte à jouer" par rapport à l'Assemblée nationale en se montrant comme "un contrepouvoir responsable et respectueux des sensibilités", souligne-t-on du côté du Petit Luxembourg.Mais, forte de près d'une centaine de sénateurs, la gauche compte bien faire entendre son opposition. Les trois groupes - PS, CRCE à majorité communiste et écologiste - présenteront ensemble leur stratégie mercredi."Nous souhaitons que les 20 articles de la loi soient traités", a affirmé le chef de file socialiste Patrick Kanner dans une interview aux Echos dimanche.L'alliance de gauche Nupes continue de mutiplier les meetings. "On lâche rien, on est là", ont scandé lundi soir les militants à Amiens.Dans la rue, le bras de fer va se durcir. L'intersyndicale a appelé "à se saisir du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour dénoncer partout l'injustice sociale majeure de cette réforme des retraites envers les femmes".Au Sénat, les débats prendront fin le dimanche 12 mars. Si à minuit, les sénateurs n'ont pas voté l'ensemble du texte, il sera quand même transmis en commission mixte paritaire, qui rassemble sept députés et sept sénateurs.
Il y a 2 ans et 83 jours

Bénéfice net de 668 M€ en 2022 pour ACS

Le géant espagnol du BTP a réalisé un chiffre d'affaires de 33,615 Mds €, en augmentation de 20,8% par rapport à 2021. 62% de ce CA a...-International
Il y a 2 ans et 83 jours

Stratégie neutralité carbone : un nouveau cycle de conférences par l'Ecole des Ponts

Ce cycle de conférences internationales sur le thème de la stratégie de neutralité carbone dans l'immobilier et le bâtiment à horizon 2050 sera accessible gratuitement en visio du 3 au 7 avril 2023.
Il y a 2 ans et 84 jours

une maison dans une favela bresilienne sacree par un prix d architecture

À Belo Horizonte, dans la favela Aglomerado da Serra, une demeure reçoit le titre de « maison de l’année », décernée par le prix international d’architecture d’Archi Daily.
Il y a 2 ans et 87 jours

Grand Témoin : Frédéric Gardès, P-dg du groupe Colas

INTERVIEW. Frédéric Gardès est arrivé à la tête du groupe Colas en 2019, d'abord comme directeur général puis comme P-dg début 2021, après un parcours tourné vers l'international. Quel regard porte-t-il sur l'évolution du secteur du BTP, et notamment des métiers des travaux publics, sur l'actualité de ses derniers mois, sur les perspectives pour l'entreprise qu'il dirige ? Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels mais aussi son parcours et son portrait en cinq traits, dans cet entretien Grand Témoin.
Il y a 2 ans et 87 jours

Technologie ultra performante contre le calcaire avec garantie de résultats

Depuis plus de 30 ans, EXPERTIMA Technologies, basée à Martigues (Bouches-du-Rhône), travaille sur le traitement physique de l’eau. Après 20 ans de R&D, son fondateur et ses ingénieurs ont conçu et développé une nouvelle technologie contre l’entartrage : le Procédé NT, breveté en 2006 et le Procédé NT-F breveté en 2019.Produits depuis 16 ans en Provence, ces équipements confirment leurs qualités : performances, aucun entretien, respect de l’environnement et de la qualité sanitaire des eaux.Un nouveau brevet déposé en Octobre 2019, après 3 années d’analyse des données SAV et de recherches, permet de traiter une palette encore plus large de qualités d’eau, avec des variations de TH et de pH qui influencent fortement l’entartrage des installations, et avec des performances encore plus élevées.Cette nouvelle technologie sans zinc permet au fabricant de s’affranchir des remarques soulevées par le rapport de l’ANSES (de Janvier 2019) sur les procédés comportant des anodes ou des catalyseurs en zinc.Toutes les unités anticalcaire conçues par EXPERTIMA Technologies disposent d’une attestation de conformité sanitaire (ACS), renouvelée tous les 5 ans.Aujourd’hui, EXPERTIMA Technologies possède une expérience acquise sur un parc de plus de 30.000 appareils suivis et en fonctionnement. Ils équipent intégralement la tour CMA CGM, à Marseille, et sont utilisés dans de nombreux bâtiments hospitaliers et de santé, en industrie, en marine et en habitat collectif.EXPERTIMA Technologies s’engage pendant 5 ans renouvelables sur l’efficacité anticalcaire de ses produits, de la petite à la grande installation.Assistance Technique en Ingénierie de l’eau, Ingénierie sanitaire et process thermo-hydrauliquesEXPERTIMA Technologies propose une gamme complète d’appareils de 0,2 m3/h à 500m3/h pour maintenir des installations pérennes.EXPERTIMA Technologies accompagne les ingénieurs (hydrauliciens, thermiciens) et techniciens, des BE et des entreprises de pose et d’exploitation pour protéger efficacement leurs installations, partout en France, et même à l’international.Forte de son expérience en bâtiments collectifs et sur les grands sites tertiaires et industriels, EXPERTIMA Technologies développe sa gamme domestique sous une marque spécifique pour le logement individuel.Une gamme spécifique pour l’habitat individuel : CALCÉO
Il y a 2 ans et 87 jours

Bouygues engrange des commandes dans son cœur de métier et réoriente sa stratégie avec Equans

Le conglomérat du BTP, des médias et des télécoms a enregistré en 2022 un bénéfice net en recul de 13,5% à 973 millions d'euros, mais le bénéfice opérationnel a progressé de 16,38% à 2 milliards d'euros.Le bénéfice net est en recul car il se trouve lesté de 90 millions d'euros de coûts exceptionnels liés notamment à des frais d'opérations de fusions-acquisitions concernant l'énorme rachat du groupe de services techniques Equans à Engie l'an passé, et à des frais liés au projet de mariage entre TF1 et M6, finalement avorté en septembre.Ces résultats sont à comparer à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data-centers et des cessions d'actions d'Alstom.Malgré la guerre en Ukraine, l'inflation et l'envolée des taux d'intérêts, l'activité est restée soutenue dans la quasi-totalité des métiers. Le chiffre d'affaires global s'est inscrit en hausse de 18% à 44,3 milliards d'euros, en progression surtout à l'international (+34%)."La croissance est tirée par l'intégration d'Equans, par Colas et la construction, et dans une moindre mesure par les télécoms", relèvent les analystes d'Oddo dans une note.Seul Bouygues immobilier a vu son chiffre d'affaires baisser (-4%), dans un marché "globalement attentiste", selon le communiqué du groupe.Le chiffre d'affaires de la division "construction et services" s'est, lui, établi à 30,5 milliards d'euros, en hausse de 9%, essentiellement porté par Colas.Fin décembre 2022, le carnet de commandes de la construction et des services était "en hausse de 2% à 33,8 milliards d'euros, un niveau historique", s'est félicité le groupe.La branche construction enregistre une progression des ventes de 3% à 13,17 milliards d'euros et offre "une bonne visibilité" avec un "haut niveau de carnet de commandes" de 20,6 milliards d'euros.Intégration d'EquansPour la suite, "dans un environnement instable, marqué par l'inflation, la hausse des taux d'intérêt et la volatilité des devises, Bouygues vise pour 2023 un chiffre d'affaires proche de celui de 2022, et une augmentation du résultat opérationnel courant de ses activités (ROCA)", a indiqué le groupe riche de 196.000 collaborateurs.Côté Bouygues Telecom, l'activité commerciale est "restée dynamique", avec des ventes en hausse de 4% et la conquête de 449.000 nouveaux clients mobiles et 674.000 dans la fibre (FTTH). Au total, le parc mobile et fibre compte 19,9 millions de clients.Dans l'autre vitrine du groupe, TF1, le bénéfice net a reculé de 21,8% en 2022, à 176 millions d'euros, malgré une progression de ses ventes de 3% et les bonnes performances publicitaires durant la Coupe du monde de football. L'année aura été ternie par le mariage raté de TF1/M6 à cause des concessions demandées par l'autorité de la concurrence.A 6,6 milliards d'euros, la reprise d'Equans et de ses 70.000 salariés, est le plus gros rachat de l'histoire de Bouygues. Elle "nous positionne dans une nouvelle dynamique de croissance", et "significative" a commenté Olivier Roussat, directeur général du groupe lors de la présentation des résultats.En 2022, Equans, intégré à la branche Bouygues Energies et Services en octobre, aura contribué pour 3,8 milliards d'euros au chiffre d'affaires global. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 13,8 milliards.Bouygues vise "une légère croissance de son chiffre d'affaires en 2023 et 2024", avant une "accélération" en 2025.Avec des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, ce rachat doit permettre à Bouygues d'accélérer dans le secteur porteur des services à la transition énergétique.Avant l'acquisition, la division "construction et services" pesait 75% dans l'activité du groupe (dont 10% pour les services).L'intégration d'Equans déplace "son centre de gravité" vers une activité "beaucoup plus orientée vers ce sujet des énergies et services", a souligné M. Roussat. Un secteur amené à peser désormais pour un tiers du portefeuille d'activités (48% pour la seule construction), selon les projections.
Il y a 2 ans et 87 jours

BatiScript : La solution de suivi de chantier qui révolutionne l’industrie de la construction

La construction est une industrie complexe et difficile à gérer. Le maître d’ouvrage, l’architecte, les ingénieurs, les ingénieurs d’étude et les ouvriers doivent travailler ensemble pour mener à bien la construction ou la rénovation d’un bâtiment, tout en respectant les délais, le budget et les règlementations. Cependant, la gestion de projet traditionnelle peut être chronophage pour les équipes et sujette à des erreurs, ce qui peut entraîner des retards et des coûts supplémentaires. Heureusement, une solution de suivi de chantier révolutionnaire appelée BatiScript est en train de changer la donne. Jusqu’à 2h en moins avec BatiScript, le logiciel collaboratif pour tous BatiScript est un logiciel de suivi de chantier qui permet aux équipes de gestion de projet de suivre tous les aspects d’un chantier de construction en temps réel, de la planification à l’exécution. Il offre des fonctionnalités telles que la gestion de la documentation (GED), la rédaction du compte-rendu, le contrôle de la qualité d’exécution des travaux (OPR), la communication entre les parties prenantes, etc. L’application est accessible à partir de n’importe quel appareil qu’il soit connecté ou non, ce qui permet aux équipes de suivre le chantier de n’importe où et à tout moment. BatiScript permet également de générer des rapports détaillés et des tableaux de bord en temps réel, offrant ainsi une visibilité complète sur l’état d’avancement du projet. Le logiciel de suivi de chantier a déjà été adopté par de nombreux donneurs d’ordre (promoteur et bailleurs sociaux) ainsi que les bureaux d’étude technique (BET) pour coordonner les travaux. En 10 ans d’existence, le logiciel a conquis plus 1 000 entreprises en France. L’entreprise commence à se développer à l’international, notamment au Royaume-Uni sous la marque de Site Productivity. En utilisant cette solution de suivi de chantier innovante, les professionnels de l’immobilier peuvent réduire les erreurs, améliorer la communication et respecter les délais et les budgets. BatiScript contribue également à améliorer la qualité de la construction et la satisfaction du client. Révolutionner votre gestion de projet avec BatiScript En conclusion, BatiScript est une solution de suivi de chantier qui est en train de révolutionner l’industrie de la construction et de la rénovation. Grâce à ses fonctionnalités de gestion de projet avancées, de suivi de chantier en temps réel, les professionnels de l’immobilier peuvent gérer leurs projets plus efficacement et plus rapidement que jamais auparavant. BatiScript est un investissement judicieux pour les donneurs d’ordre qui cherchent à améliorer leur productivité et leur rentabilité tout en fournissant des projets de qualité supérieure. Pour en savoir plus sur BatiScript, consulter l’article de blog où il donne des conseils pour choisir son logiciel de suivi de chantier.
Il y a 2 ans et 87 jours

Hausse du bénéfice net en 2022 pour Eiffage, qui finit avec un bon carnet de commandes

Fort d'un chiffre d'affaires en augmentation de 8,5% à 20,3 milliards d'euros, le groupe aux 73.500 salariés a atteint un bénéfice net de 896 millions d'euros en 2022.La branche infrastructures, qui représente un tiers des ventes, a vu son chiffre d'affaires augmenter de 6,6% à 7,29 milliards d'euros.Si celui-ci "baisse légèrement" en France, il enregistre cependant une hausse de 19,6% à l'international, notamment "grâce à la montée en puissance de la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni et de l'autoroute E18 en Norvège".La branche Energie systèmes, deuxième plus importante, a connu une augmentation de 12% de son chiffre d'affaires à 5,3 milliards, portée par une "dynamique de croissance externe" via onze acquisitions.Moins importante, la branche Concessions a connu une croissance de 10,4% de son chiffre d'affaires à 3,34 milliards d'euros, grâce à des "trafics autoroutiers tous en augmentation" et "désormais supérieurs à leur niveau de 2019", avant la pandémie de Covid.Le trafic aéroportuaire reste cependant inférieur aux niveaux de 2019 (-25,4%) malgré une accélération rapide par rapport à 2021 (+76,6%), note Eiffage.La branche Construction, troisième plus importante, a elle connu hausse de 6,4% de son chiffre d'affaires, à 4,36 milliards d'euros, et ce malgré la quasi-diminution de moitié des réservations de logements, "qui s'explique par la difficulté croissante d'obtention des permis de construire en France et l'augmentation des coûts techniques".Le groupe attaque 2023 avec un carnet de commande bien rempli, à son plus haut historique avec 18,5 milliards d'euros (+14%). Cette augmentation, qui représente "13,1 mois d'activité", est "portée notamment par les chantiers d'énergies renouvelables et d'infrastructures de transport", précise Eiffage. Globalement pour 2023, le groupe anticipe "une nouvelle augmentation de son activité" dans les travaux et les concessions, notamment "grâce à la normalisation progressive du trafic aéroportuaire", ainsi qu'une nouvelle "augmentation de son résultat opérationnel courant"."Le résultat net part du groupe devrait bénéficier en outre de la mise en équivalence de la participation dans Getlink, à compter du 2e trimestre", a ajouté Eiffage, devenu en octobre le premier actionnaire de cette société concessionnaire du tunnel sous la Manche, "pour un investissement de 1,2 milliard d'euros".Eiffage compte donner à ses actionnaires un dividende de 3,60 euros par action, en hausse de 0,50 euros. Ce montant "sera proposé à l'assemblée générale du 19 avril 2023", est-il précisé dans le communiqué.
Il y a 2 ans et 88 jours

Haute Qualité Environnementale : de nouvelles certifications pour les bâtiments

Cerqual Qualitel Certification et Certivea présentent leurs nouveaux référentiels pour les bâtiments à haute qualité environnementale (HQE), applicable à l'international.
Il y a 2 ans et 88 jours

Airwell devient partenaire principal du Stade Français Paris

Une première rencontre (Match Paris/Pau) a lancé officiellement le partenariat en affichant Airwell sur la Pocket droite du maillot des joueurs professionnels du club de la capitale le 31 décembre dernier. Cette collaboration court jusqu’à la fin de la saison 2024-25.L’humain fait la forceLe partenariat entre Airwell et le Stade Français Paris c’est avant tout une rencontre entre Laurent Roegel, PDG du Groupe Airwell et Thomas Lombard, aujourd’hui Directeur Général du Stade Français Paris et ancien joueur international de rugby. C’est autour d’une table ronde que les deux entrepreneurs ont pris connaissance de leurs ambitions communes. Une rencontre sous le signe de l’humain, représentative de ce partenariat. Innovation, esprit d’équipe, dynamisme et convivialité : le Groupe Airwell partage ces valeurs avec le monde du sport de haut niveau. Le partenariat a été signé le 05 décembre par Laurent Roegel et Thomas Lombard.Une visibilité exclusiveCet engagement avec le club s’appuie sur un plan d’action de notoriété de la marque dans le but d’accroitre son rayonnement sur l’ensemble du territoire français avec la mise en place d’opérations promotionnelles, événementielles et par la suite un programme complet d’hospitalité. Grâce à ce partenariat d’envergure, Airwell affichera son logo sur la pocket droite du maillot jusqu’à la saison 2024-25. Airwell dispose également d’une forte visibilité dans l’enceinte du Stade Jean Bouin, notamment sur la panneautique LED et fixe du club. La marque s’appuiera également sur les supports digitaux de communication du Stade Français Paris afin de faire vivre le partenariat en dehors des stades.Un nouveau partenaire engagéAirwell, acteur français des équipements thermiques engagé pour la transition énergétique a choisi le Stade Français Paris pour son premier partenariat sportif afin de représenter leurs valeurs communes, notamment sur la transition écologique et environnementale. Airwell et le Stade Français Paris seront accompagnés par SPORTFIVE sur l’activation de ce partenariat ainsi que la création de synergies entre les communautés du club et de la marque. C’est en effet l’engagement profond pour la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) qui les rassemble. Cette ambition qui s’inscrit sur la durée correspond aux deux piliers communs d’Airwell et du Club, former et innover. Par le biais de ce partenariat, les deux entités souhaitent faire monter en puissance et partager au plus grand nombre leurs engagements.Comme le précise Laurent ROEGEL, PDG du Groupe Airwell : « Les meilleurs partenariats sont souvent ceux qui se font naturellement. La rencontre avec Thomas et l’échange autour des valeurs et des objectifs de nos 2 organisations fut donc une évidence. L’humain avant tout, dans un esprit de conquête et de défis à relever, tout en intégrant et privilégiant l’environnement social, sociétal et territorial dans lesquels nous vivons. Nous sommes donc très heureux et très fiers de débuter ce partenariat et de construire une nouvelle histoire. »Thomas Lombard, Directeur Général du Stade Français Paris ajoute : « Nous sommes fiers de ce partenariat avec Airwell. C’est toujours un plaisir d’accueillir une marque avec qui nous partageons une vision commune des enjeux liés au développement durable et à la protection de l’environnement. Ce partenariat s’inscrit parfaitement dans le déploiement de nos objectifs RSE, et nous permettra de relever ensemble les challenges du monde de demain. »Laurent MORETTI, Directeur général France de SPORTFIVE conclut : « Nous sommes très heureux d’avoir contribué au rapprochement entre le Stade Français Paris et Airwell et avons hâte de les accompagner dans leurs activations conjointes. Nous sommes d’autant plus fiers d’accompagner Airwell pour ses premiers pas dans le sponsoring sportif. »
Il y a 2 ans et 89 jours

Tony Garnier : Jusqu’au bout de ses utopies

Tony Garnier (1869-1948) est une figure emblématique de l’architecture et de l’urbanisme lyonnais. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Considéré par Le Corbusier comme un pionnier de l’architecture et de l’urbanisme modernes, Tony Garnier (1869-1948) demeure encore assez méconnu. Confronté dès son plus jeune âge aux conditions de vie des ouvriers de la soie dont ses parents sont proches, il va vouloir très tôt, au travers de sa passion, l’architecture, trouver un moyen de répondre au problème social du logement. Inventer une nouvelle façon de penser le logement sera l’une de ses préoccupations majeures. Après des études classiques couronnées par le grand prix de Rome, il élabore les plans d’une “Cité Industrielle” (1899-1904) de 35 000 habitants entièrement en béton armé et verre. “Tusculum” ainsi nommée est le prototype d’une ville imaginaire, impliquant la séparation et la dissociation des fonctions de l’habitat et du travail, ce qui le démarque des autres élèves de la Villa Médicis. Exposé en 164 plans précis, ce projet influencera par la suite les modèles théoriques d’urbanisation des premières années de l’Union soviétique. Lyon, son principal chantier L’organisation de l’hôpital Grange-Blanche Edouard Herriot (actuel Edouard Herriot) est le reflet des principes hygiénistes appliqués à l’architecture. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Exposition internationale de 1914 aux abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (actuelle Halle Tony Garnier). [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Le quartier des Etats-Unis est organisé comme une cité en miniature. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Attaché à ses racines, Tony Garnier revient à Lyon, sa ville natale, et y réalise de grands ensembles qui, semblables à des fragments de son dessein initial, optent pour des solutions industrielles, par l’emploi de structures de béton armé, voire métalliques, dans un langage épuré alliant la Méditerranée à la modernité. Lors de l’arrivée d’Edouard Herriot à la mairie de Lyon en 1905, de grands travaux sont confiés à Tony Garnier, en particulier dans l’Est lyonnais, théâtre de la principale extension urbaine de la ville à cette époque : les Abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (1909-1928), le stade de Gerland (1914-1926), l’Hôpital de Grange-Blanche (1911-1933). Pour réaliser cet ensemble hospitalier, Tony Garnier s’inspire de la disposition de l’hôpital de Copenhague et des établissements sanitaires de la “Cité Industrielle”. Il adopte le système pavillonnaire, intègre la nature et crée un réseau de souterrains destiné au transport des malades. Le terrain s’organise sur trois niveaux où sont hiérarchisés les services généraux, les pavillons, de forme simple, en béton, et le service des contagieux. Pour le quartier des Etats-Unis (1919-1933), premier ensemble “Habitations à Bon Marché (HBM)” de France, sa mission est d’ériger une cité expérimentale. L’ensemble du projet prévoit des immeubles de 5 étages en béton, entourés d’espaces verts et accueillant des commerces à leur rez-de-chaussée. L’aménagement est alors révolutionnaire pour des logements destinés aux revenus modestes : gaz, électricité, vide-ordures… La réflexion architecturale de Tony Garnier se caractérisera toujours par l’adoption de principes formels et typologiques forts, tels la recherche d’un rapport intérieur-extérieur et d’îlots dits “ouverts”, qui inspireront plus tard l’architecture et l’urbanisme. Ses maîtres mots sont le fonctionnalisme, l’espace, la lumière et la verdure. Entre 1930 et 1933, il conduit son dernier grand chantier, celui de la construction de l’Hôtel de Ville de Boulogne-Billancourt (92). Les façades révèlent les fonctions respectives des deux bâtiments avec l’utilisation de pierre de Comblanchien pour la partie réception et l’utilisation du béton bouchardé pour la partie bureaux. L’édifice n’est pas sans rappeler la tour d’horloges de la “Cité Industrielle”. Muriel Carbonnet Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 90 jours

Partenariat entre Hoffmann Green Cement et le Belge Eloy

Le partenariat permettra à Hoffmann Green et Eloy de procéder à des essais techniques spécifiques. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement vient de signer un partenariat avec le groupe belge Eloy, pour développer la construction décarbonée en Belgique. Actif dans la construction et le traitement des eaux, le groupe Eloy se soucie depuis toujours de son impact environnemental. L’entreprise liégeoise fut l’une des premières à disposer de son propre recyparc, dès les années 1990. Situé à Bierset, son écocentre lui permet aussi de briguer une place de choix sur les marchés où la circularité est importante. Eloy se veut être un acteur de durabilité et a inscrit dans sa stratégie transversale l’objectif de diminuer de 30 % son impact environnemental à l’horizon 2027. Lire aussi : VM Matériaux distribue le ciment H-Iona d’Hoffmann Green  Technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement Ce partenariat permettra aux deux acteurs de procéder à des essais techniques spécifiques. Et d’élaborer ensemble des formulations de bétons fondées sur les technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement. Les premiers projets-pilotes de construction avec du ciment Hoffmann en Belgique sont prévus dès le premier semestre 2023 dans la province de Liège. Ceci, afin de tester ce nouveau produit, tout en familiarisant les équipes chantiers d’Eloy. « Après la Suisse et le Royaume-Uni, les ciments Hoffmann Green continuent leur expansion à l’international, grâce à ce partenariat conclu en Belgique avec Eloy. Groupe familial historique avec qui nous partageons de nombreuses valeurs, dont la volonté de décarboner le secteur de la construction. Il s’agit d’une étape importante dans notre processus de collaboration avec Eloy. Afin de promouvoir nos ciments 0 % clinker en Belgique », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 90 jours

L'économie française a renoué avec la croissance au milieu du premier trimestre 2023, selon l'indice PMI Flash

L'indice Flash composite, qui mesure cette activité, s'est redressé de 49,1 en janvier à 51,6 en février, ce qui constitue le taux d'expansion le plus élevé de l'économie française depuis juillet 2022.Une valeur supérieure à 50 est synonyme d'expansion, tandis qu'une valeur inférieure à cette limite révèle une contraction."Il est toutefois difficile de savoir si le point d'inflexion a été atteint et si l'économie française se situe désormais sur le chemin de la reprise", a nuancé Joe Hayes, économiste de S&P Global, cité dans un communiqué. L'économie est tirée par les services, dont l'activité bondit de 49,4 à 52,8, un plus haut de cinq mois.Mais la production manufacturière s'est repliée à 45,9, contre 47,5 en janvier, tombant à son plus bas niveau en trois mois.Cette évolution négative du secteur manufacturier est liée à "une faiblesse persistante de la demande", notamment sur les marchés étrangers, relève S&P Global dans son communiqué.Les ventes à l'export des fabricants ont même "enregistré leur plus forte baisse depuis mai 2020 au cours du mois, témoignant d'une conjoncture économique défavorable à l'échelon international", relève Joe Hayes.L'économiste s'inquiète des probables futures hausses des taux d'intérêt qui présentent selon lui "un risque pour l'activité comme pour la demande", tout en remarquant que "l'inflation reste obstinément élevée dans le secteur des services, les hausses des prix payés comme des prix facturés ayant de nouveau affiché en février des rythmes proches de leurs records historiques".Malgré ces obstacles, les entreprises anticipent une croissance de leur activité au cours des 12 prochains mois, "fondant leur optimisme sur le lancement de nouveaux projets, des prévisions de hausse des effectifs et des investissements ainsi qu'une reprise de la demande", selon le communiqué.S&P Global a interrogé un panel représentatif de 750 entreprises de l'industrie manufacturière et du secteur des services français entre le 10 et le 17 février.