Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour archi

(34848 résultats)
Il y a 3 ans et 267 jours

Dossier détails : grands vitrages

      Alors que les exigences environnementales pourraient conduire à la généralisation d'épaisses parois isolées, les façades vitrées de très grande taille se multiplient sous toutes les latitudes. Les plus récentes technologies ainsi que les aspirations architecturales ont favorisé la production et la mise […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 268 jours

Une nouvelle crue centennale menace-t-elle Paris ?

Dans les années à venir, "le volume de précipitations devrait légèrement augmenter et le nombre de jours de pluie plutôt baisser, avec une tendance à l'augmentation de l'intensité des précipitations et donc des risques d'inondation plus importants", résume la mairie dans la synthèse du rapport "Paris face aux changements climatiques".Un épisode de crue majeure en région parisienne "serait susceptible de détruire ou perturber certaines infrastructures vulnérables" et menacerait la qualité des eaux, "avec un risque de pollution pour 1,3 million d'abonnés", comme le réseau d'assainissement, avec 20% des stations d'épuration situées en zone inondable.Une telle crue "pourrait engendrer des pertes directes de l'ordre de 60 millions d'euros" et menacer 430.000 emplois, selon la même source. Les coûts pour les assurances "pourraient osciller entre 3 et 30 milliards d'euros", dit encore le rapport pour qui "l'ensemble du tissu économique parisien est exposé au risque d'inondation de façon directe et indirecte".A l'horizon de la deuxième moitié du XXIe siècle, la Seine pourrait pourtant voir son débit diminuer de 10 à 30%, a prévenu Célia Blauel, adjointe en charge du fleuve et de la résilience, lors d'un point presse.Conséquence de l'augmentation des températures, le nombre de jours caniculaires pourrait passer de 13 en 2010 à 34 en 2085, toujours selon la même source. "Pour rafraîchir Paris, nous prévoyons de planter 170.000 arbres", souligne Christophe Najdovski, adjoint EELV en charge des espaces verts.Une autre piste développée par l'exécutif de gauche pour rafraîchir la capitale est l'installation d'ombrières, comme des toiles tendues. "Là où nous ne pourrions pas planter d'arbres rapidement, nous allons travailler avec urbanistes et architectes pour qu'elles s'insèrent de façon harmonieuse dans le paysage parisien", a promis Dan Lert, adjoint (EELV) en charge de la transition écologique.Les engagements déposés par les Etats signataires de l'Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement "catastrophique" de +2,7°C, très loin de l'objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s'est alarmée vendredi l'ONU.
Il y a 3 ans et 268 jours

«Nous mettons l’accent sur la rénovation énergétique et la réhabilitation», Frédéric Corset, directeur d’EnvirobatBDM

EnvirobatBDM, l’association de promotion de l’architecture contextualisée, organise le 25 septembre à Châteauneuf-le-Rouge, dans les Bouches-du-Rhône, la 6e édition de BâtiFrais, rencontre interprofessionnelle nationale dédiée au confort d’été dans le bâtiment.
Il y a 3 ans et 268 jours

Tribunes et vestiaires brutalistes pour un stade de rugby, par Thibaudeau, Tocrault et Dupuy

      Alors que les exigences environnementales pourraient conduire à la généralisation d'épaisses parois isolées, les façades vitrées de très grande taille se multiplient sous toutes les latitudes. Les plus récentes technologies ainsi que les aspirations architecturales ont favorisé la production et la mise […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 268 jours

Rénovation d’une ancienne ferme en pierre typique de la région piémontaise

Cette ancienne ferme entièrement rénovée est l’œuvre des architectes d’ATOMAA. Elle est située à VARZO en Italie et était utilisée principalement pour le bétail et le foin saisonnier. [De l’architecte] Les premières inspections du bâtiment ont révélé une ruine typique de la région, il s’agissait d’une structure précaire, réservée aux découvertes inattendues. Un grand arc […]
Il y a 3 ans et 268 jours

Faire l’architecture et l’urbanisme autrement : participez aux RIM 2021

Le jeudi 23 et vendredi 24 septembre 2021, au domaine de Tizé, à l’Hôtel Pasteur et aux Champs Libres, à Rennes, aura lieu la troisième édition des RIM - Rencontres Inter-Mondiales des nouvelles manières de faire en architecture et en urbanisme. Ces deux journées professionnelles qui ont lieu tous les deux ans réunissent à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 269 jours

Avec sa gamme complète de tuiles solaires, Edilians respecte l'architecture des bâtiments

Les tuiles solaires universelles d'Edilians
Il y a 3 ans et 269 jours

Décès de l'architecte Franck Hammoutène

DÉCÈS. L'architecte Franck Hammoutène est décédé le 14 septembre dernier, victime d'un AVC, à l'âge de 67 ans. Ancien président de l'Académie d'Architecture, il s'était notamment fait connaître dès sa première oeuvre, en 1986, le siège de la société Atya, à Paris.
Il y a 3 ans et 269 jours

Gare du Nord: le gouvernement demande un projet "beaucoup plus réduit", la SNCF présente son "Plan B"

"On a demandé à la SNCF de préparer un projet beaucoup plus réduit, dans une dimension de l'ordre de 50 millions d'euros, pour faire des aménagements et répondre aux enjeux de 2023 et 2024", soit la Coupe du monde de rugby et les JO, a précisé mercredi M. Djebbari."Le projet initial était de 600 millions d'euros et a glissé vers 1,5 milliard, et qui s'est décalé de deux à trois ans dans le calendrier. C'est la chronique d'un projet qui s'est mal déroulé sur le plan technique", a regretté le ministre sur RMC/BFMTV en revenant sur l'annonce de mardi."Il est abandonné en l'état. La SCNF a indiqué son intention de prononcer la déchéance du contrat", et elle est "soutenue par le gouvernement", a souligné M. Djebbari.La SNCF a annoncé mardi soir qu'elle renonçait au gigantesque et controversé projet de transformation de la Gare du Nord à Paris conçu avec Ceetrus, une filiale d'Auchan, mettant en avant des "dérives insupportables", notamment en matière de coût. Le chantier devait tripler la surface de la première gare d'Europe en prévision notamment des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024."C'est un projet qui a été soutenu par la mairie de Paris, voté par la maire de Paris, qui a ensuite fait une campagne électorale contre le projet de la gare du Nord (...) Il n'y a pas eu de constance politique sur ce sujet", a accusé le ministre.La SNCF réduit son projet avec un "Plan B" pour les JOLa SNCF va lancer un "Plan B" d'amélioration de la Gare du Nord à Paris avant les Jeux olympiques de 2024, beaucoup plus modeste que l'ambitieuse rénovation abandonnée mardi, mais elle envisage pour la suite un nouveau projet plus vaste, à l'horizon 2030.La foncière immobilière Ceetrus a dénoncé mercredi les manquements de SNCF Gares & Connexions."Ceetrus regrette le manquement manifeste de son partenaire, SNCF Gares & Connexions, à ses responsabilités de co-actionnaire et à la loyauté requise entre les partenaires d'une entreprise commune", a déclaré la société dans un communiqué, au lendemain de l'abandon officiel du projet qui devait tripler la surface de la gare parisienne en vue des Jeux olympiques de 2024.La SNCF a justifié l'abandon par des "dérives insupportables", notamment en matière de coût.Au lendemain de l'annonce de la SNCF, le gouvernement lui a demandé mercredi de préparer un projet "beaucoup plus réduit" pour la gare, autour de 50 millions d'euros, a annoncé le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari. Le projet initial était estimé à 600 millions d'euros et avait gonflé pour atteindre quelque 1,5 milliard d'euros, selon le ministre.Concrètement, la concession a été confiée à SA Gare du Nord 2024 (StatioNord), une coentreprise formée par SNCF Gares & Connexions (34%) et la foncière Ceetrus (66%), cette dernière ayant la main pour la conception, les travaux et leur financement, ainsi que l'exploitation des boutiques pendant 46 ans.Après une longue polémique avec la ville de Paris, qui pourtant avait approuvé le dossier à l'origine, car le projet était jugé trop imposant et s'apparentant trop à un centre commercial déconnecté du quartier, une mouture moins ambitieuse du projet avait été adoptée en novembre 2020.Une "phase de participation du public par voie électronique" en vue de la délivrance d'un permis de construire modificatif était d'ailleurs en cours jusqu'à vendredi."Plan C" pour 2030Cette réduction de la voilure n'a pas empêché l'envolée des coûts et les retards. En outre, les travaux tels que "StatioNord" les envisageait auraient exigé de supprimer le quart des trains en 2023 et 2024, "ce qui (était) juste impossible", selon la SNCF."C'est une déroute industrielle, et pas du tout un problème politique", affirme-t-on au sein du groupe."Le projet est abandonné en l'état. La SNCF a indiqué son intention de prononcer la déchéance du contrat", et elle est "soutenue par le gouvernement", a résumé Jean-Baptiste Djebbari.La mairie de Paris a appelé à "ne pas reporter une nouvelle fois la modernisation et la rénovation de la gare".Un "Plan B" doit permettre, avec l'aide d'Arep l'agence d'architecture de la SNCF, de la rénover pour les événements sportifs de 2023 et 2024."On démarre tout de suite, on s'y met dès aujourd'hui", a affirmé à l'AFP la directrice générale de SNCF Gares & Connexions, Marlène Dolveck.Il s'agit selon elle d'ajouter des escaliers mécaniques, de renforcer la signalétique, de réaménager la gare routière, d'ajouter des places de stationnement pour les vélos, de revoir la zone des taxis et VTC, de pacifier les espaces jouxtant le bâtiment...Le terminal transmanche doit également être réaménagé, avec une amélioration de la salle d'attente et des zones d'embarquement pour Eurostar."Après, il y aura un +Plan C+ parce qu'on n'a pas abandonné l'idée d'avoir une gare prête à l'horizon 2030, pour accueillir nos voyageurs, car on anticipe qu'il y aura une importante augmentation des flux", a annoncé la responsable."Le cahier des charges est à définir" pour cette nouvelle transformation, qui doit être étudiée "en réflexion avec l'ensemble des acteurs publics", selon Mme Dolveck."Nous sommes disponibles et volontaires pour engager un nouveau projet de rénovation de la Gare du Nord qui soit au service des usagers du quotidien, de l'insertion urbaine et de l'intermodalité", a déclaré dans un communiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.
Il y a 3 ans et 269 jours

Minima de branche sous le Smic: de quoi parle-t-on?

Un salarié peut-il être payé en dessous du Smic?Non. Le Smic correspond au salaire horaire minimum légal en dessous duquel un salarié ne peut pas être rémunéré. Il s'applique à tout salarié majeur. Le salaire brut mensuel divisé par le nombre d'heures travaillées doit donc être au moins égal au Smic horaire (10,48 euros au 1er octobre).L'employeur peut être condamné à une amende d'un montant de 1.500 euros s'il verse au salarié une rémunération inférieure au Smic.Pourquoi le gouvernement appelle à revaloriser les minima de branche inférieurs au Smic?Si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart. Mais pour la ministre du Travail, Élisabeth Borne, avoir des minima en dessous du Smic est "un très mauvais signal" en termes d'attractivité, à l'heure de tensions sur le recrutement. Elle a appelé dimanche toutes les branches concernées à les "revaloriser".Les quelque 220 branches ont l'obligation de négocier périodiquement sur les salaires, mais pas d'aboutir à un accord. Certaines ont engagé des discussions et signé des accords à l'instar de la propreté ou du commerce de détail.Actuellement, selon le ministère du Travail, 45 branches ont un minima conventionnel inférieur au SMIC, une situation liée à la revalorisation automatique du 1er janvier pour 25 d'entre elles et plus ancienne pour les autres faute d'accord.La hausse du 1er octobre ne va pas arranger la donne: dans l'hôtellerie-restauration, où les discussions viennent de débuter, il y aura un décrochage de 75 euros par rapport à ce salaire minimum, qui sera versé aux cinq premiers niveaux de la grille salariale. Dans les transports routiers, "l'ensemble du coefficient est au Smic" sauf le plus haut "à un centime au dessus à l'embauche: 10,49 euros brut", déplore Patrice Clos, secrétaire général de FO Transports.Les branches concernées seront reçues par le ministère et une réunion de bilan sera organisée en novembre avec les partenaires sociaux interprofessionnels.La situation est loin d'être inédite. Selon la Dares, avant la revalorisation automatique de janvier 2020 qui avait concerné 2,25 millions de salariés (13% des salariés), 16% des branches présentaient un premier niveau de grille inférieur au Smic (contre 22% l'année précédente).Y a-t-il un risque de créer des trappes à bas salaires?Les salariés rémunérés au voisinage du Smic sont surreprésentés dans les métiers qui ont poursuivi leur activité durant le confinement, notamment les "deuxième ligne".Lorsque les minima de branches sont rattrapés par le Smic, cela génère souvent une concentration accrue de salariés dont le salaire devient ancré sur le Smic."Dans l'évolution de la grille des salaires, potentiellement même avec l'ancienneté, vous restez au Smic. Ca c'est un vrai problème", explique Mathieu Plane, économiste à l'OFCE."Le problème n'est pas forcément au niveau du Smic, mais sur le tassement des salaires autour du Smic", insiste-t-il, ajoutant qu'il s'agit d'agir "sur la dynamique des salaires, de recréer une progression de carrière et ne pas rester collé" au salaire minimum.Selon une étude de l'Insee de 2018, une augmentation de 1% du Smic rehausse les salaires de base individuels de 0,08% en moyenne, tandis qu'une hausse similaire des minima conventionnels les augmente de 0,14%.Pour les syndicats, qui mettent en avant les "deuxième ligne", la hausse automatique du Smic est clairement insuffisante. A la CGT, qui revendique un Smic à 2.000 euros brut, Boris Plazzi explique que l'intérêt d'augmenter le salaire minimum est que "ça touche tout le monde, petites comme grandes entreprises". Mais, dit-il, il faut aussi "ouvrir des négociations dans les entreprises et dans les branches" et "une hausse de l'ensemble des salaires" car "si on ne fait qu'augmenter le Smic on ne paye pas les qualifications".Pour la CFDT, "le vrai sujet c'est la revalorisation des minima de branche". Augmenter le Smic est "un pis-aller qui ne répond pas au problème", estime Luc Mathieu. Outre le fait d'"écraser les catégories hiérarchiques", la question de l'attractivité d'un certain nombre de métiers "ne se réduit pas à la question des salaires" et a aussi trait aux "conditions de travail, parcours, à l'articulation des temps..."."C'est en travaillant sur l'ensemble qu'on améliore la situation des travailleurs de deuxième ligne", dit-il.
Il y a 3 ans et 269 jours

Sto vous donne rendez-vous sur le salon Architect@Work les 23 et 24 septembre 2021

Réalisés avec une scénographie originale, les espaces de présentation sont transformés en galerie d'exposition et permettent ainsi une visibilité 'produit' inattendue.Pendant ces deux journées, Sto profitera du caractère intimiste et feutré du salon pour dévoiler en avant-première sa nouvelle gamme AimS® fabriquée à base de matières premières renouvelables. Disponible à partir de février 2022, elle intègre un sous-enduit, un enduit de finition taloché et une peinture de façade, qui, ensemble, constituent le premier système d'Isolation thermique par l'extérieur complet optimisé en termes de CO2.Pour rappel, chaque produit qui est présenté sur un stand lors d'ARCHITECT@WORK doit d'abord être approuvé par un comité national de sélection (composé d'architectes et d'architectes d'intérieur). Pour sélectionner un produit, ce comité se base sur le degré d'innovation de celui-ci ainsi que sur les informations fournies par le candidat-exposant.Envie d'en savoir plus sur la dernière innovation présentée par Sto ? RDV stand 116 !Informations pratiques :Date et horairesJeudi 23 septembre : 10h à 20hVendredi 24 septembre : 10h à 19hAccès20 Avenue de la Porte de la Villette - 75019 ParisParkings : Paris Event Center et Parking Cité des Sciences - 61, boulevard Mc Donald – 75019 ParisBus : 150, MagentaMétro : Ligne 7, Porte de la VilletteTramway : T3b, Porte de la VilletteVélib' : Stations Porte de la Villette, Porte de Pantin et sur le Parc allée du Belvédère.Informations COVID-19 :Pré-enregistrement en ligne obligatoireImpression du badge avant la visitePass sanitaire requisPort du masque obligatoire pour l'ensemble des participants
Il y a 3 ans et 269 jours

JKLN - Portrait

Diplômée de l'Ensa Paris-Belleville en 2009, Jasmine Kenniche-Le Nouëne fonde JKLN en 2014. Auparavant, elle a collaboré au sein des agences Babin+Renaud, RPBW ou Dusapin Leclercq. En 2019, l'agence est lauréate du prix 40Under40. La démarche de JKLN s'inscrit dans la volonté de produire une architecture pérenne qui suscite de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 269 jours

Stéphane Bern contre Les Grands Voisins

Le 3 septembre dernier, une tribune signée par une quarantaine de personnalités du monde de la ...More about Cet article Stéphane Bern contre Les Grands Voisins est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 269 jours

Sous le béton, le bois. Mixité constructive pour 23 logements à Paris, par JKLN

Cet immeuble de logements intermédiaires conçu par l'agence JKLN et sis dans l'opération urbaine du boulevard Vincent-Auriol s'inscrit dans une logique de préfabrication tirant parti de la complémentarité du bois et du béton. Il réactualise un mode constructif mixte, qui devient générateur du projet. Combinant 135 […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 270 jours

Franck Hammoutène (1954-2021)

L’architecte français Franck Hamoutène est décédé le 14 septembre 2021. Il avait 67 ans. Peu connu du grand public, il avait réalisé plusieurs bâtiments emblématiques, notamment à Paris, où il travaillait. Franck Hammoutène est né en 1954 en Algérie. Il émigre en France à la fin de la Guerre où il vit à La Courneuve avec sa mère. Il étudie l’architecture à l’Unité Pédagogique 1 (actuel ENSA Paris-Malaquais) puis à l’École Nationale des Ponts et Chaussées. En parallèle,...
Il y a 3 ans et 270 jours

Rapport Leclercq – Girometti : le baromètre qui donne le temps d’hier

Aujourd’hui des rapports sur le logement, il y en a à foison, comme si ça ne coûtait rien en jus de crâne de haut-fonctionnaire… En témoigne un dernier en date, celui remis en septembre 2021 à la ministre du Logement Emmanuelle Wargon par François Leclercq, architecte, et Laurent Girometti, aujourd’hui directeur général de l’EPA Marne […] L’article Rapport Leclercq – Girometti : le baromètre qui donne le temps d’hier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

Rien ne justifie de construire, pour un siècle, avec les règlements actuels

Les immeubles de logement mis aujourd’hui sur le marché sont des projets périmés, des produits atteints, comme de vulgaires yaourts, par leur date de péremption. Tribune énervée de Paul Chemetov, Grand Prix National d’architecture. Les chroniques d’architecture ont publié deux lettres d’humeur, celle de Francis Soler et celle de Rudy Ricciotti. Tous deux Grand Prix […] L’article Rien ne justifie de construire, pour un siècle, avec les règlements actuels est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

Prix du nouveau Bauhaus européen, la France aux abonnés absents

Vendredi 17 septembre 2021 ont été dévoilé les lauréats des premiers Prix du Bauhaus européen*. L’Espagne est la grande gagnante de cette première phase, la France, qui se classe moins bien que la Roumanie et la Pologne notamment, la grande perdante. Six mois après son lancement, ce programme européen « a pour ambition de faire du […] L’article Prix du nouveau Bauhaus européen, la France aux abonnés absents est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

Les élections approchent : quel avenir pour le périphérique parisien ?

L’avenir du périphérique parisien est une vraie question pour les futurs candidats, une vraie question d’actualité, même si les difficultés sont telles que d’aucuns préfèrent habituellement penser qu’il n’y a rien à faire. Plus la technologie avance, plus on va vite, et plus l’imaginaire collectif est en demande de lenteur. Remarque liminaire, plus on s’éloigne […] L’article Les élections approchent : quel avenir pour le périphérique parisien ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

ArchiMarket, le supermarché de l’architecture en libre-service !

Et si l’architecture n’était qu’une recette aboutie, talentueuse parfois mais le plus souvent « à la manière d’un chef étoilé », comme on dit dans la pub, avec des ingrédients fomentés par des industriels et distribués dans les ArchiMarkets du néolibéralisme ? Qui n’a jamais jeté un coup d’œil – interrogateur, dubitatif ou surpris – sur le caddie de […] L’article ArchiMarket, le supermarché de l’architecture en libre-service ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

Pour l’architecte, une double représentation du vide

Le doute paraît omniprésent, et le vide semble définitif ! L’architecte et le philosophe parlent à l’absence. Laquelle ? Celle dont seul le vide ne doute pas de la nature. Chronique du philosophe. Toute construction est semblable à l’incendie allumé par un pompier pyromane – et comme de la mort provient la vie, de l’étouffement […] L’article Pour l’architecte, une double représentation du vide est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

Comment l'adaptation aux événements climatiques extrêmes peut changer la face de la ville

Avec son "lac saisonnier" et la promesse d'un "meilleur écoulement de l'eau" entre les différents sites du campus universitaire de la ville Hyderabad, la réponse au risque d'inondation devient "un moteur du projet" encore en compétition, décrit Brice Piechaczyk, architecte au cabinet Enia.Vagues de chaleur, inondations, vent violent: impossible d'ignorer les conséquences du dérèglement climatique, qui s'expriment particulièrement en ville et demandent des aménagements pour en réduire la portée."Après la première vague de chaleur, en 2017, nous avons travaillé sur le réseau d'eau, afin de limiter le gaspillage qu'on avait identifié. Cette année [en raison notamment de l'anticyclone Lucifer], il y avait beaucoup d'incendies dans la région. Nous sommes en train de mettre en place un système de surveillance des forêts par drones et satellites", explique à l'AFP Virginia Raggi, la maire de Rome.Les épisodes caniculaires sont accentués en ville, où l'urbanisme et la concentration d'immeubles créé parfois des îlots de chaleur et augmente encore la température dans les hypercentres."Il faut dé-imperméabiliser la ville", explique l'architecte-urbaniste Ariella Masboungi, qui cite notamment la conception de "jardins de poche", pour remplacer le bitume afin de protéger de la chaleur et de faciliter l'écoulement de l'eau.Savoirs oubliésL'adaptation de la ville passe d'abord par des aménagements sur l'existant plutôt que par de nouvelles constructions."On peut régénérer les villes depuis les zones délaissées. Il y a des espaces à l'abandon comme d'anciennes usines, écoles, bureaux... Nous avons les moyens de redéfinir leurs usages", décrit Mme Raggi, qui vise notamment à relier les différents parcs et espaces verts de la capitale italienne pour créer un "Anello Verde" (bague verte).L'effort d'adaptation des bâtiments est notamment valable pour "ceux construits entre l'après seconde guerre mondiale" et "les premières règlementations thermiques", dans les années 1970 puis 2000 en France, estime Lois Moulas, directeur de l'Observatoire de l'immobilier durable.D'anciennes considérations ont été "oubliées", comme la "bio-conception" des villes, argumente également Mme Masboungi. "La ville de Gênes est construite avec des +couloirs de vent+, qui permet de ne pas avoir trop chaud, même par 40 degrés", illustre-t-elle."On savait faire, on doit retrouver" ces conceptions assure l'urbaniste.Ces changements amènent à mieux prendre en compte la région et les conditions locales des constructions. "Les Anciens construisaient différemment en Bretagne qu'en Côte d'Azur. Aujourd'hui on ne peut plus ignorer l'orientation des bâtiments, des ouvertures en fonction du soleil ou du vent", estime Abbès Tahir, directeur général délégué d'Arte Charpentier.Créatif et scientifiqueD'autant que les architectes peuvent désormais s'appuyer sur des données et des projections plus fines, afin de mieux identifier les risques et les impacts des solutions envisagées.L'observatoire de l'immobilier durable a par exemple lancé le programme Bat-Adapt, composé notamment d'une cartographie d'analyse des risques climatiques pour les bâtiments, comme les vagues de chaleur, les sécheresses, le retrait-gonflement des argiles ou encore les inondations. Cette cartographie est en libre accès.Limité pour l'instant au territoire français métropolitain, la carte sera à l'échelle européenne à terme, l'OID étant en phase de collecte des données."Les architectes doivent travailler beaucoup plus étroitement avec le monde scientifique et de l'ingénierie pour développer les analyses prédictives. Le coeur de notre métier est d'être créatif, mais nous devons mettre cette créativité à l'épreuve de la science", pense M. Piechaczyk."Mais nos bâtiments doivent aussi être plus agiles. Il faut garder en tête qu'ils doivent pouvoir être adaptés et rénovés plus facilement", pour mieux répondre aux conséquences climatiques pas encore anticipées et encourager leur reconversion, conclut-il.
Il y a 3 ans et 270 jours

Le temps qui ne passe pas vite, meilleur allié de l’architecte ?

L’architecte Dubois s’émeut de la docilité peureuse de ses concitoyens quand lui entend voir loin. Ethel Hazel, la thérapeute, se demande si le temps est vraiment de son côté. Dr. Nut compte les morts. *** « Le rythme ressemble au temps, à la fois un et changeant, il ressemble à l’architecture, c’est-à-dire à notre univers qui […] L’article Le temps qui ne passe pas vite, meilleur allié de l’architecte ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 270 jours

LCA Construction Bois arbore de bois une nouvelle résidence à Nantes

L'entreprise vendéenne spécialisée dans le gros oeuvre bois et l'enveloppe extérieure s'est investie durant 11 mois dans la construction et la rénovation de 20 logements biosourcés en démarche participative. Au programme : charpente, bardage, menuiseries... et pour la première fois des murs ossatures bois isolés en paille.« Les champs libres », une résidence en accord avec son tempsLe Clos Toreau, quartier situé au sud de Nantes compte un nouvel ensemble de logements biosourcés : « Les Champs Libres ». Respectivement maître d’ouvrage et maître d’œuvre du projet, les travaux ont été dirigés par Atlantique Habitations et Tica architectes & urbanistes. La livraison a été réalisée en juin 2021.En RDC et R + 1, et d’une surface totale de 1.482 m² au sol, le projet propose différents types d’habitations. Il compte ainsi treize logements en accession abordable PSLA (Prêt Social de Location-Accession) : un T2, deux T2bis, six T3, trois T4 et un T5. Le complexe immobilier dispose également de six logements locatifs sociaux allant du T2 au T4 et d’une maison déjà existante, rénovée pendant les travaux, qui sera mise en vente par la suite.tout en préservant le site et ses espèces végétales. Dans cette logique de préservation de l’environnement, l’ensemble des logements est muni de panneaux photovoltaïques sur les toitures et est constitué de matériaux biosourcés. Les habitations sont ainsi isolées de paille et en grande partie composées de bois et ce, à l’aide du savoir-faire de LCA Construction Bois.LCA, l'atout bois pour un projet biosourcéLCA Construction Bois, spécialiste de la construction du gros œuvre bois, est intervenu pour la première fois dans le projet « Les Champs Libres » à l’été 2020 après avoir remporté un appel d’offre public. En juin 2021, soit 11 mois plus tard, l’entreprise, achevait l’ensemble des réalisations bois du chantier : la charpente, l’ossature bois, le bardage, les menuiseries extérieures mais également l’isolation en paille des habitations grâce à une matière première fournie par Profibres, entreprise spécialisée dans l’isolation en botte de paille.« Nous avons obtenu la formation pro-paille en mars 2019. Au programme, 5 jours d’apprentissage théorique et pratique avec un diplôme à la clé. C’est grâce à cette formation que nous avons pu concevoir et réaliser ce premier projet en MOB avec isolant paille. » précise Edouard Bonnin, directeur général et commercial de LCA Construction Bois.Pour LCA Construction Bois, le projet « Les Champs Libres » aura nécessité 600 heures de travail en bureau d’études, 900 heures de préfabrication dans les ateliers et 3.500 heures de mise en œuvre.En tout l’entreprise aura utilisé :40 m³ de pin / épicéa950 m² de bardage bois douglas800 m² de MOB en douglas avec isolant paille106 menuiseries extérieures bois/aluLes habitant au coeur du processus de constructionLes Champs Libres se veut être un projet participatif. Bien avant les premiers coups de pioches, les futurs habitants ont participé à l’élaboration de leur prochain lieu de vie et ce via une série d’ateliers, dès février 2017 avec le cabinet Wigwam et Tica architectes & urbanistes. Ces moments d’échanges ont permis aux propriétaires de se rencontrer et de prendre des décisions conjointes quant à leur nouveau chez eux. Esquissé par l’agence d’architectes Tica, le projet de départ a pu légèrement évoluer en fonction des besoins et attentes de chacun.
Il y a 3 ans et 270 jours

Hommage à Franck Hammoutène en trois projets

    Lauréat de l'Équerre d'argent en 2006 pour l'extension de l'hôtel de ville de Marseille, l'architecte Franck Hammoutène est décédé le 14 septembre 2021, à l'âge de 67 ans. Retour sur trois de ses réalisations, qui illustrent son attachement à la géométrie, aux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 270 jours

Christian de Portzamparc en direct depuis Venise

Le 23 septembre 2021 à 17h, suivez en direct la conférence vénitienne de l'architecte Christian de Portzamparc, Prix spécial du jury du Grand Prix AFEX 2021 pour l'ensemble de son œuvre à l'export. A l'occasion des hommages officiels et publics aux pavillons nationaux de la 17e Biennale internationale d'architecture, Christian de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 270 jours

Rencontre avec Philippe Bihouix, grand témoin du 9e Congrès International du Bâtiment Durable

Rencontre avec Philippe Bihouix, grand témoin du 9e Congrès International du Bâtiment Durable Le 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable, dont Planète Bâtiment est partenaire, se tiendra du 6 au 8 octobre 2021 en ligne et en semi-présentiel dans le Grand Est, en Allemagne et en Belgique. Il est organisé cette année par le Réseau National du Bâtiment Durable, Envirobat Grand Est, Cluster Eco-construction, Architektenkammer des Saarlandes.   « Toutes les idées sont intéressantes en soi, mais elles ne sont pas à l’échelle ».  Auteur de plusieurs ouvrages sur la question des ressources non renouvelables et des enjeux technologiques associés1, Philippe Bihouix, aujourd’hui directeur général d’Arep, a travaillé en tant qu’ingénieur-conseil ou dirigeant dans différents secteurs industriels, en particulier les transports et la construction.  Philippe Bihouix ©Maxime Huriez « Grand témoin,  il ouvrira le congrès le 6 octobre avec une conférence introductive : To build or not to build Changement climatique et pénurie des ressources : (Comment) construire demain ? Sa vision risque de bousculer bien des intervenants. Les ateliers reprendrons certains des aspects de son discours. En avant-première pour Planète Bâtiment, il dévoile les grandes lignes de son intervention.  » Par Stéphane Miget  Densité, technologie, économie circulaire, éco-construction, rénovation énergétique… Vous allez dresser un constat sévère de la situation et émettre des réserves sur les capacités du secteur à relever les défis ?  De mon point de vue, les dispositifs qui se mettent en place pour réinscrire le secteur du bâtiment dans les « limites planétaires » (climat, énergie, ressources) risquent d’être insuffisants. Prenons le fantasme de la « smart city », cette ville enrichie technologiquement, où capteurs et intelligence artificielle permettraient d’optimiser les flux de personnes, son métabolisme, les dépenses énergétiques, etc. D’abord, on pourrait questionner nos capacités réelles à déployer et généraliser de tels systèmes, suffisamment rapidement ; ensuite, cela engendrerait une consommation insoutenable de ressources rares, difficilement recyclables, par la multiplication des objets connectés dans les habitations et les espaces publics ; enfin, le rapport « coûts / bénéfices » est loin d’être évident, avec le développement, en arrière-plan, des équipements numériques pour le stockage et le traitement des données. Autre exemple avec l’économie circulaire, qui est un peu la tarte à la crème. Bien sûr, il est possible de progresser dans le recyclage, le réemploi… Malheureusement, la réalité montre que le réemploi est très compliqué à mettre en œuvre, pour des raisons économiques (coût de la récupération, du stockage), organisationnelles, voire réglementaires ou assurantielles. Quant au recyclage, celui-ci est souvent limité et inefficace pour « boucler les cycles » : les mélanges de matériaux engendrent presque inévitablement un downcycling, comme pour les aciers, les verres, etc. qui rejoignent des utilisations moins nobles. Il y a quand même quelques avancées : par exemple le béton avec le projet Recybéton ? Oui, naturellement, et il faut continuer à porter l’effort sur ces sujets, mais cela reste marginal pour l’instant et il y a quand même une « dégradation » de la fonctionnalité, les granulats ne sont techniquement pas utilisables comme ceux sortant de carrière. Et lorsque le béton est broyé, deux éléments ne peuvent être récupérés : le sable et le ciment. Certes, ces démarches peuvent réduire un peu les consommations de ressources et éviter l’ouverture d’une carrière supplémentaire. Toutes ces idées sont intéressantes en soi, mais elles ne sont pas à l’échelle.  Un problème d’échelle que vous soulevez également dans la l’écoconstruction et la rénovation ?  La réglementation s’enrichit (RE2020 ndlr), privilégiant les bâtiments écoconstruits. Pour autant, leur réplicabilité et le passage à grande échelle vont être difficiles. Il y a un problème de ressources. Construire en bois, de plus en plus haut, c’est très bien pour économiser le carbone. Mais si nous voulons continuer à (éco)construire autant de logements, d’immeubles de bureaux, d’entrepôts… j’ai peur que le bois des forêts européennes n’y suffise pas ! Concernant la rénovation thermique, tout le monde plébiscite les grands programmes, mais suivre le rythme est une autre affaire. Si l’on doit rénover 20 millions de logements et que seuls 200 ou 300 000 le sont chaque année, il va nous falloir de l’ordre d’un siècle… Et nous n’avons pas tout ce temps !  Quant à la densification, bien sûr une ville dense consomme moins d’espace ; les transports en commun, mieux remplis, coûtent donc moins cher et s’avèrent plus rentables pour les collectivités… Mais, il y a aussi des effets pervers : par exemple plus les métropoles se densifient, plus les habitants souhaitent une résidence secondaire.  C’est-ce que vous appelez l’effet rebond ?  Oui. A chaque fois que l’on crée de l’efficacité, nous provoquons aussi une augmentation des besoins, et continuons à augmenter globalement la facture environnementale. Par exemple, dans les bâtiments rénovés et mieux isolés, les habitants augmentent inconsciemment leur température de confort, d’où une perte de tout ou partie des gains théoriques. Un rapport en Allemagne de la fédération GdW, présenté à l’été dernier, a montré des résultats assez déprimants : malgré les sommes très importantes engagées dans la rénovation (plus de 340 Mds € entre 2010 et 2018), les économies générées n’ont été que de… 1 à 2 kWh par mètre carré et par an.  Même scénario pour le numérique : les progrès unitaires sont phénoménaux… mais l’augmentation des besoins (quantité de données générées, stockées, transmises…) encore plus, conduisant à une empreinte environnementale croissante. Ce phénomène n’est pas nouveau, la trajectoire technologique de l’humanité, depuis deux siècles, atteste que cette efficacité technologique, rapidement convertie en « efficacité économique » (baisse des prix), fait augmenter les volumes consommés, et donc la facture environnementale totale.  Maintenant que le constat est posé, que faut-il faire ?  Au lieu de rester fascinés devant les perspectives de l’innovation high-tech, l’idée pourrait être d’amorcer une démarche plus « low-tech », visant à l’économie de ressources, à la sobriété à la source, aux réflexions sur le juste besoin. Il ne s’agit pas de revenir à la bougie, mais de faire preuve de « techno-discernement », de faire le tri pour utiliser les technologies – et donc les précieuses ressources qu’elles mobilisent – là où elles sont indispensables, ou là où elles apportent un avantage indiscutable.  Et pour la construction ?  D’abord, rechercher une sobriété d’usage en termes de confort thermique. Il serait bien plus rapide, efficace, bon marché, d’adapter nos habitudes et notre habillement en hiver, d’enfiler un pull et de poser un plaid sur ses genoux en télétravail ou au bureau, bref d’accepter collectivement de décaler notre référentiel de confort, que de l’appréhender seulement à travers le prisme du chauffage ou de l’isolation. Il faut aussi réfléchir en amont pour atteindre une sobriété de construction, accepter de construire moins pour construire mieux. Pour cela, entre autres, remettre en cause nos besoins, dimensionner au plus juste, intensifier l’usage des lieux existants, réinvestir les surfaces vacantes… Et déployer tout l’arsenal nécessaire à la sobriété foncière (densification légère, surélévations, transformation des zones commerciales ou des bureaux en logements…) ; mais les métropoles et les villes – quelle que soit leur échelle – ne pourront pas atteindre, seules, le zéro artificialisation. La puissance publique devra accompagner le mouvement, en renonçant à l’attractivité des « villes-monde » – qui est en train de faire long feu, depuis la crise sanitaire – et en relançant une politique de la décentralisation. 1L’Âge des low tech (Seuil, 2014 ; Points, 2021), Le Bonheur était pour demain (Seuil, 2019). 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable « To build or not to build », il est encore temps de s’inscrire ! https://www.congresbatimentdurable.com/
Il y a 3 ans et 271 jours

A Montmartre, archétype de l’architecture faubourienne selon MAO

L’agence parisienne MAO (Mobile Architectural Office) a livré en mars 2021 à Montmartre, Paris (XVIIIe), 14 logements sociaux et deux locaux d’activités (952 m² + 186 m² de commerce ; coût des travaux : 3,5 M€HT). Culture faubourg ? Communiqué. A proximité du Sacré-Cœur, la parcelle s’inscrit dans un tissu faubourien dense marqué par le relief escarpé de […] L’article A Montmartre, archétype de l’architecture faubourienne selon MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 271 jours

Les travaux de sécurisation de Notre-Dame de Paris sont achevés

"Nous achevons cette phase (...). Ça veut dire que la cathédrale est solide sur ses piliers, ses murs sont solides, tout tient. Et donc nous pouvons résolument aller vers le cap 2024", a lancé le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Etablissement public chargé de reconstruire la cathédrale, dans une allocution sur le parvis de l'édifice."Nous sommes déterminés à gagner cette bataille de 2024, à rouvrir notre cathédrale en 2024. Ce sera l'honneur de la France de le faire et nous le ferons car nous sommes tous unis sur cet objectif," a-t-il ajouté, saluant les personnels et les entreprises "qui ont travaillé avec acharnement pour arriver à ce résultat"."Je suis particulièrement heureux de ce jour qui marque un point d'étape, une étape cruciale", a de son côté déclaré Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques. "On a déjà anticipé les travaux de reconstruction dans le cadre de la sécurisation", a-t-il souligné.La phase de sécurisation a compris notamment le démontage de l'échafaudage qui était en place lors du sinistre pour la restauration de la flèche, soit "40.000 pièces enchevêtrées par l'incendie", a souligné le général Georgelin.Le grand-orgue a été déposé et ses 8.000 tuyaux envoyés pour nettoyage et remise en état à des facteurs d'orgue à travers toute le France. Il doit être remonté "en octobre 2023" selon l'ancien chef d'état-major des armées, nommé par le président Macron pour piloter les efforts de reconstruction.Ont également été réalisés pendant la phase sécurisation "des chantiers-tests de nettoyage dans deux chapelles, la pose de cintres en bois sous les arcs-boutants ou encore le déblaiement et le tri des vestiges et la sécurisation de la croisée du transept", précise l'établissement public dans un communiqué."Village des métiers"Des appels d'offres de travaux vont maintenant être lancés pour sélectionner les entreprises qui prendront part au chantier de restauration et "une campagne de nettoyage approfondi des murs intérieurs et des sols de la cathédrale débute ce mois-ci".De rares images de l'AFP filmées cette semaine grâce à un drone à l'intérieur de la cathédrale endommagée laissent voir la nef en travaux, avec un immense échafaudage s'élevant au niveau du transept vers le toit parti en fumée puis s'étirant sous un voûte de la nef, en préparation de la reconstruction du toit et de la flèche.D'autres images montrent le "parapluie", sorte d'immense bâche blanche tendue sur une charpente métallique pour protéger l'intérieur de l'édifice.A l'occasion des journées du patrimoine, un "village de métiers" ouvert au public a été installé, présentant les différentes spécialités intervenant sur ce chantier titanesque: archéologues, restaurateurs de sculptures, peintures ou vitraux, charpentiers, échafaudeurs ou encore cordistes.Emmanuel Macron avait promis que la cathédrale serait reconstruite en cinq ans. Le chantier ne sera pas achevé dans ce délai. En revanche, le monument doit être rendu au culte pour le 16 avril 2024, jour où doit être de nouveau célébrée une messe dans la nef, cinq ans pile après le sinistre qui s'était déclenché dans la soirée du 15 avril 2019 et avait ravagé ce symbole parisien pendant une longue nuit.
Il y a 3 ans et 271 jours

Nature et technologie avec FMG

Le travail d’exploration, de recherche et d’innovation mené par FMG Fabbrica Marmi e Graniti se poursuit ...More about Cet article Nature et technologie avec FMG est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 271 jours

Grand Prix Charles-Henri Besnard, un prix bien doté sous tout rapport

Édition 2021 du Grand Prix Charles-Henri Besnard et lancement d’une bourse de voyage ou d’étude par la Fondation du Cnam. Appel à candidatures jusqu’au 4 octobre 2021. Le concours pour le Grand Prix Charles-Henri Besnard, organisé par la Fondation du Cnam, dans le cadre du mécénat Besnard de Quelen, a pour objectif d’encourager l’innovation dans […] L’article Grand Prix Charles-Henri Besnard, un prix bien doté sous tout rapport est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 271 jours

Appel à projets FAIRE, 5ème édition

Le Pavillon de l’Arsenal avec la Ville de Paris, la Caisse des dépôts, MINI et EDF lancent la cinquième session de l’appel à projets FAIRE. Jusqu’au 3 novembre 2021. FAIRE invite architectes, créatrices et créateurs, designers, ingénieurs, paysagistes, urbanistes…, émergent.e.s, étudiant.e.s ou confirmé.e.s. à interroger les modèles existants incompatibles avec la transition écologique et sociale, […] L’article Appel à projets FAIRE, 5ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 271 jours

A Marseille, la résidence étudiante de Stéphane Fernandez fait Sens

Atelier Stéphane Fernandez a livré en septembre 2020, à Marseille (Bouches-du-Rhône), sur l’îlot Sens, un programme de 84 logements sociaux étudiants (2 500 m² – coût des travaux 3,5 M€ HT). Façade en pierre calcaire semi massive et béton blanc. Communiqué. L’ilot Sens est un lieu exceptionnel par sa position de porte d’entrée dans la […] L’article A Marseille, la résidence étudiante de Stéphane Fernandez fait Sens est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 271 jours

L’architecture sensible d’Odile Decq et de Benedetta Tagliabue au Cersaie 2021

Les architectes Odile Decq et Benedetta Tagliabue prendront part à la conférence "Architetcures... Cet article L’architecture sensible d’Odile Decq et de Benedetta Tagliabue au Cersaie 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 271 jours

Atelier Gaudin - Portrait

Créé en 1998 par les architectes Bruno Gaudin et Virginie Bregal, l'Atelier Gaudin s'est toujours efforcé d'échapper à la spécialisation. De l'échelle urbaine à celle de l'architecture, jusqu'à la conception de mobilier, il vise à chaque projet à mettre en œuvre des dispositifs spatiaux et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 272 jours

A Lille, îlot Partenord Habitat, un projet mixte signé Coldefy

L’agence lilloise Coldefy (avec TAG Architectes, Paindavoine Parmentier Architectes) a livré en septembre 2020 pour 29M€ un projet mixte de 14 650 m² comptant la construction du nouveau siège social de Partenord Habitat, des commerces, des bureaux, 50 logements locatifs et 232 places de stationnements.  Communiqué didactique. Trop ? Au cœur d’un quartier en pleine mutation […] L’article A Lille, îlot Partenord Habitat, un projet mixte signé Coldefy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 273 jours

A+Samuel Delmas, nouvelle agence de Lyon, sur jardins

L’agence A+Samuel Delmas a livré en janvier 2021 à Lyon (Rhône) une agence A+Samuel Delmas lyonnaise. Au programme de cette restructuration et extension d’un local commercial sur jardins : 1 open space ; 2 salles de réunion ; 1 patio zen ; 1 jardin avec terrasse au soleil. Communiqué. No limit Créer un grand espace traversant, étirer l’espace, ne […] L’article A+Samuel Delmas, nouvelle agence de Lyon, sur jardins est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 273 jours

L'Equateur prévoit un projet photovoltaïque aux Galapagos

Le projet propose "l'installation de 14,8 MW de production photovoltaïque avec des batteries de 40,9 MWh (mégawattheures) dans les îles Santa Cruz et Baltra", a indiqué le ministre de l'Energie Juan Carlos Bermeo, cité dans un communiqué."Il sera exécuté grâce à un investissement de 63 millions de dollars, à 100% des capitaux privés", a-t-il précisé.Le gouvernement a attribué la concession du "Projet de micro-réseau d'énergies renouvelables Conolophus à l'association Gransolar Total Eren", selon le ministère.L'entreprise privée construira une sous-station d'interconnexion entre les deux îles et déploiera des lignes électriques entre les sous-stations Conolophus et Santa Cruz, a indiqué le ministère.Elle sera en charge de l'exploitation pendant 25 ans, selon le contrat de concession.Ce projet fait partie de l'initiative Zero Fossil Fuels aux Galapagos."Avec le démarrage de Conolophus, l'émission de 16.400 tonnes de CO2 par an dans l'environnement serait évitée", a affirmé le ministère.Santa Cruz, après Isabela, est la deuxième plus grande île de l'archipel des Galapagos et la plus habitée, avec environ 15.000 habitants. Baltra est séparée d'environ 150 mètres de Santa Cruz par le canal d'Itabaca.Les Galapagos, qui tirent leur nom des gigantesques tortues endémiques qui peuplent cet archipel, sont situées à 1.000 km au large de l'Équateur, dans le Pacifique Sud, et ont inspiré la théorie de l'évolution des espèces de l'Anglais Charles Darwin.
Il y a 3 ans et 273 jours

38ème édition des Journées européennes du patrimoine

Les Journées européennes du patrimoine offrent à tous, ces 18 et 19 septembre, l’occasion de se rassembler autour de la richesse du patrimoine français avec un thème fédérateur : « Patrimoine pour tous, ensemble, faisons vivre le patrimoine ». En métropole comme dans les territoires d’Outre-Mer, les propriétaires publics et privés de monuments historiques, les associations de sauvegarde et de valorisation du patrimoine, les restaurateurs et conservateurs de biens patrimoniaux, guides conférenciers et architectes se mobilisent pour accueillir le public dans une multitude de lieux. Le programme complet est accessible en ligne dans le courant de l’été sur le site : https://journeesdupatrimoine.culture.gouv.fr  
Il y a 3 ans et 273 jours

Appel aux dons pour l’hôtel de la mer du Domaine du Rayol

Le Domaine du Rayol, acquis en 1989 par le Conservatoire du littoral, s’étend sur 20 ha de la corniche des Maures, dont 7 ha aménagés sous la conduite du paysagiste Gilles Clément en « Jardin des paysages méditerranéens du monde ». Ce site labellisé « Jardin remarquable », géré par l’Association du Domaine du Rayol, est devenu l’un des premiers sites touristiques du Var, recevant 80 000 visiteurs par an. A l’entrée du site, l’Hôtel de la Mer est le principal bâtiment d’accueil du public,. Il s’agit d’un hôtel particulier de 1 200 m² représentatif de l’architecture balnéaire d’inspiration classique, bâti au début du XXe siècle. Il a été dessiné par l’architecte Guillaume Tronchet, architecte en chef du gouvernement. Il souffre de son aspect dégradé qui interroge beaucoup les visiteurs, et dénote fortement avec le reste du site . La restauration extérieure de cet édifice est un projet initié dès le début des années 2000 mais pour lequel il a toujours été difficile de mobiliser les financements suffisants. Le plan de relance lancé en 2021 par l’Etat, et dont l’Hôtel de la Mer va pouvoir bénéficier, est une opportunité sans précédent. Il reste néanmoins à mobiliser des financements complémentaires. Le Conservatoire du littoral a lancé un appel aux dons pour la restauration de cet édifice. Ce projet tant attendu va pouvoir être engagé en 2022. La restauration concerne l’ensemble de la structure du corps de bâtiments qui présente de nombreuses fissures, des menuiseries en très mauvais état ainsi que d’importantes dégradations visibles sur la totalité des façades. Tout un ensemble de fresques et de bas-reliefs en très mauvais état est aussi à restaurer. Photo : Jean-Pierre Juigner  
Il y a 3 ans et 274 jours

Macron inaugure l'Arc de Triomphe empaqueté, le "rêve fou" de Christo

"On a une pensée pour Christo et Jeanne-Claude. Ils auraient été extrêmement émus (...) car c'est l'aboutissement d'un rêve de 60 ans", a déclaré le chef de l'Etat dans un discours sur le toit du monument en présence notamment de la maire de Paris Anne Hidalgo et de l'ex-maire de New-York, Michael Bloomberg."C'était un rêve fou et vous l'avez accompli, Vladimir (Yavachev, neveu de l'artiste, ndlr), merci infiniment", a ajouté le chef de l'Etat, arrivé sur les lieux peu après 17H00 avec son épouse Brigitte.M. Macron a loué "un chef d'oeuvre" qui "ne coûte rien aux contribuables" et qui "contribue au rayonnement" du pays, remerciant "les mille bras" qui ont permis la réalisation du projet.Fruit de plusieurs semaines de travail, l'empaquetage de ce haut lieu des commémorations françaises a nécessité 25.000 m2 de tissu recyclé argent bleuté, maintenu par 3.000 mètres de corde rouge. Il durera jusqu'au 3 octobre.Oeuvre soutenue par le Centre Pompidou, approuvée par la Ville de Paris et par l'Elysée, "+L'Arc de triomphe, Wrapped+" ("enveloppé", ndlr), est la concrétisation du "rêve" de l'artiste et de son épouse Jeanne-Claude.Dès 1962, le couple avait signé un photo-montage avec l'Arc de Triomphe empaqueté, une idée qu'ils ont eue en regardant le monument depuis leur premier appartement parisien, avenue Foch."Réveil de Paris""Ce sera comme un objet vivant qui va s'animer dans le vent et refléter la lumière. Les plis vont bouger, la surface du monument devenir sensuelle. Les gens auront envie de toucher l'Arc de triomphe", disait-il.D'un coût de 14 millions d'euros, le projet est entièrement autofinancé, sans subvention publique, grâce à la vente d'oeuvres originales de Christo, dessins préparatoires, souvenirs, maquettes et lithographies.Le monument et sa terrasse resteront accessibles au public pendant toute la durée du projet. Et la flamme du Soldat inconnu continuera à brûler.Plus tôt dans la journée, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot avait estimé que l'oeuvre était "un formidable présent aux Parisiens, aux Français et au-delà, à tous les amateurs de l'art"."Je reçois ce geste monumental comme un appel à la liberté. L'empaquetage de l'Arc de Triomphe introduit dans notre espace des métamorphoses douces pendant quelques jours", a-t-elle poursuivi lors d'une conférence de presse."Christo a toujours dit que le plus difficile était d'obtenir les autorisations administratives", a rappelé Vladimir Yavachev, qui supervise le projet.Pour l'Arc de Triomphe, les autorisations sont arrivées assez vite depuis 2017, date à laquelle le projet a été imaginé.A la conférence de presse, la maire de Paris et candidate déclarée à la présidentielle a reconnu que la précédente expérience de l'artiste avec la ville de Paris --celle du Pont-Neuf en 1985-- avait été un élément décisif dans le choix de procéder à l'empaquetage de l'Arc de Triomphe."Lorsqu'il a empaqueté le Pont-Neuf, pour moi, ça a été une façon d'y voir un réveil de Paris", a-t-elle dit, louant un artiste "qui a bouleversé l'art contemporain".L'oeuvre a été autant applaudie qu'elle a suscité la controverse. Samedi, dans le quotidien Le Monde, l'architecte Carlo Ratti, l'un des amis de Christo, a cependant appelé à abandonner "l'esthétique des emballages à haut gaspillage".C'est aussi un projet "très écologique", s'est défendu le neveu de l'artiste, arguant que le tissu était complètement recyclé.
Il y a 3 ans et 274 jours

Le CESE ouvre ses portes à l'occasion des 38èmes journées européennes du patrimoine

Des visites architecturales pour découvrir le Palais d’IénaLes visiteurs auront l’occasion de découvrir librement ou guidés par des conférenciers de l’Ecole du Louvre, toute la splendeur du Palais d'Iéna, l'art de son architecte Auguste Perret ainsi que les nombreuses œuvres accueillies en son sein. Ils pourront également visiter l’exposition photographique dédiée à ce monument historique, construit en 1937, sur les grilles extérieures, avenue Albert de Mun.Pour célébrer l’architecture du Palais, le CESE lance à cette occasion un concours Instagram. Les participants sont invités à prendre une photo du Palais d’Iéna, la poster sur Instagram en identifiant @cese_officiel et en ajoutant #JEPCESE, tout en s’abonnant au compte du CESE (concours ouvert dès à présent et jusqu’au 19 septembre à minuit).Deux conférences et une exposition autour de l’art et des savoir-faireAfin de mettre en avant les savoir-faire propres aux métiers de la décoration, le magazine AD organise du samedi 18 septembre au vendredi 24 septembre 2021 au Palais d’Iéna une exposition célébrant artisans, artistes et créateurs qui subliment la matière. AD souhaite encourager et faire évoluer le regard porté sur les métiers d’art, redonnant une modernité nouvelle aux techniques traditionnelles.Les visiteurs pourront également assister à deux conférences inédites avec des personnalités du monde de l’art :Anouk Legendre, architecte, cofondatrice de XTU avec Nicolas Desmazières, agence d’architecture impliquée dans la recherche environnementale, animera une conférence samedi 18 septembre à 16h30.Matali Crasset, designer aux univers très variés : artisanat, art contemporain, industrie textile, commerce équitable, ayant réalisé des collaborations avec des artistes comme Peter Halley ou des municipalités (Bibliothèque de Genève, Ville d’Istres…), présentera une conférence dimanche 19 septembre à 15h30.Des rencontres avec les conseillères et les conseillers du CESELes Journées du Patrimoine seront l’occasion de redécouvrir le CESE, assemblée de la société civile, qui réunit à travers ses 175 conseillers et les 82 organisations qu’ils représentent (syndicats, patronat, associations…), l’ensemble des Français engagés au quotidien pour éclairer les pouvoirs publics sur les grands enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Les visiteurs pourront rencontrer et débattre avec les membres du CESE pour en apprendre davantage sur le rôle du Conseil et ses nouvelles missions dans le cadre de la réforme adoptée en début d’année (participation citoyenne, pétitions…).
Il y a 3 ans et 274 jours

L'architecte Corinne Vezzoni reçoit les insignes d'Officier de l'Ordre national du Mérite

Cette cérémonie a été ouverte par Hubert FALCO, Président de Toulon Provence Métropole, Maire de Toulon - Ancien Ministre.Après avoir été promue Chevalier de la Légion d'honneur en 2017 et Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en 2013, Corinne Vezzoni, architecte urbaniste, a été nommée Officier de l'Ordre national du Mérite au titre du Premier ministre, selon un décret paru samedi 22 mai 2021 au Journal officiel.Bio expressEn septembre 2020, Corinne Vezzoni a reçu la médaille d'or de l'Académie française d'architecture et a été nominée au Grand prix national d'architecture 2018. Elle a également reçu le prix Femmes architectes 2015, le Born awards 2018 pour Thecamp et le prix du jury du W.A.Ve 2019 - Workshop architecture Venise - pour son projet de gare maritime développé à l'occasion d'une résidence.En 2021, elle est nommée architecte conseil pour la mission Gerland à Lyon.Outre son travail d'architecte, Corinne Vezzoni enseigne à l'Université de Provence master aménagement et urbanisme et intervient ponctuellement dans les écoles des Arts et Métiers et de Polytechnique Marseille Château-Gombert.Durant 12 ans, elle a fait partie du CESER (Conseil économique, social et environnemental régional) dans les sections prospective et culturelle. Engagée dans la réflexion sur le projet métropolitain Aix-Marseille-Provence, l'agence intervient également sur les sujets du Grand Paris. L'agence Corinne Vezzoni et associés Basée à Marseille, l'agence de Corinne Vezzoni, Pascal Laporte et Maxime Claude s'illustre sur le territoire national. Autour d'une vingtaine de collaborateurs, elle concentre son activité sur des concours publics régionaux, nationaux et internationaux. Elle participe ponctuellement à des prix, concours européens et internationaux. Depuis ses débuts, elle s'attache à explorer des sujets très variés. Parmi ses réalisations phare, on retrouve le Thémis à Paris, premier bâtiment tertiaire de France lauréat du label E+C, l'écoquartier Chalucet à Toulon, the camp, le campus high tech au coeur de la garrigue (Aix-en-Provence), le Centre de Conservation et de Ressources du MuCEM (Marseille) ou le Lycée Simone Veil (Marseille). Elle travaille actuellement sur le projet de réplique de la Grotte Cosquer Marseille, le Campus Sud des Métiers à Nice, et le Grand Paris Express et sur le projet des Terrasses d'Ingouville (site Flaubert), dans le cadre du concours « Réinventer le Havre ».
Il y a 3 ans et 274 jours

"Le référentiel de qualité du logement doit être le minimum légal" (F. Gantois, Croaif)

ARCHITECTES. Qualité des constructions neuves, modes de passation des marchés, journées de travail dans chaque département francilien, discussions avec l'exécutif régional : pour sa première rentrée en tant que président du Conseil régional de l'Ordre des architectes d'Ile-de-France, Fabien Gantois a évoqué plusieurs sujets et esquissé son mandat.