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Il y a 4 ans et 155 jours

Pour la 4ème année consécutive, DuPont Sustainable Solutions reconnue comme une des meilleures marques de conseil en HSE

Genève – Suisse – 15 décembre 2020 – DuPont Sustainable Solutions (DSS) est classé pour la quatrième année consécutive au 1er rang des marques de conseil HSE (Environnement, Santé & Sécurité), selon une étude publiée en décembre par le cabinet de recherche et de conseil indépendant Verdantix. L’enquête menée auprès de plus de 300 managers HSE répartis dans 31 pays a permis à DSS d’obtenir le meilleur score en matière de préférence et de notoriété parmi toutes les entreprises de conseil en HSE. « DuPont Sustainable Solutions est sincèrement fier d’avoir été reconnu par les responsables HSE du monde entier comme le meilleur cabinet de conseil pour la quatrième année consécutive », a déclaré Davide Vassallo, Directeur Général de DuPont Sustainable Solutions. «Nos experts consultants s’efforcent d’accompagner chacun de nos clients pour protéger les personnes, améliorer les opérations et renforcer les compétences de leurs salariés. Au nom de tout le personnel de DSS, nous les remercions pour leur confiance en nos compétences, comme en témoigne l’enquête Verdantix 2020 ». Selon l’enquête « Global Corporate Survey 2020 de Verdantix : reconnaissance des marques des fournisseurs de services HSE », 79% des répondants classent DSS au 1er rang dans la catégorie préférence de marque et 25 % comme le cabinet de conseil « leader du marché ». 54% des participants estiment que les compétences de DSS sont « fortes » en tant que fournisseur de services HSE. Ce résultat dépasse largement la performance atteinte par DSS dans l’enquête menée l’an dernier par Verdantix. En 2019, 48% des interrogés avait classé DSS au 1er rang pour la préférence de marque et comme le consultant HSE leader du marché ou le plus performant. Cette année, la forte présence de DSS dans la région Asie-Pacifique, où la moitié des répondants considéraient l’entreprise comme « acteur majeur du marché », ainsi que sa gamme élargie de services comme SafetyTech.ai, une plateforme numérique permettant le déploiement de technologies de sécurité innovantes, ont contribué à améliorer la perception de la marque, selon Verdantix. De plus, 93% des personnes interrogées cette année ont déclaré connaître les compétences de DSS en tant que consultant HSE, ce qui lui confère la plus grande notoriété de marque sur ce marché. « Lorsque DSS est devenu un cabinet de conseil indépendant en 2019, nous nous sommes concentrés sur la mise sur le marché rapide de solutions innovantes. Cela a permis à DSS de réagir vite à la pandémie COVID et développer des services comme SafetyTech.ai qui peuvent aider les organisations à améliorer leurs capacités de gestion HSE et à atteindre l’excellence opérationnelle, ce qui est essentiel dans cet environnement commercial difficile. Nous pensons que cette orientation renouvelée a contribué à la reconnaissance accrue de DSS pour la préférence de marque en 2020 », a déclaré Davide Vassallo. L’étude Verdantix a été réalisée par 301 managers HSE ayant des responsabilités directes dans le domaine des stratégies et initiatives HSE d’entreprises situées dans 31 pays d’Asie-Pacifique, d’Europe, des Etats du Golfe et d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Amérique du Nord. Les trois quart des participants (74%) travaillent dans des entreprises ayant un chiffre d’affaires supérieur à 1 milliard de dollars et viennent de 25 secteurs différents. Environ 40 % des responsables HSE interrogés sont issus d’industries où les risques HSE sont élevés à très élevés (secteurs des produits chimiques, de l’exploitation minière, des métaux, du pétrole et du gaz). 43 % des participants proviennent d’industries où les risques HSE sont moyens (secteurs des biens de consommation, de l’équipement industriel et de l’automobile). http://bit.ly/about-dss
Il y a 4 ans et 156 jours

Réduire sa facture de chauffage, c’est possible avec les poêles à combustible liquide Qlima

Le chauffage occupe une part importante dans le budget des foyers. Les familles font donc très attention à leur consommation d’énergie en hiver, préférant s’équiper d’appareils efficaces et économes. Tels les poêles à combustible liquide Qlima qui allègent significativement les dépenses. Économiques à l’achat comme à l’usage, les poêles à combustible liquide Qlima, leader européen sur ce marché, constituent la réponse idéale pour les particuliers attentifs à leur facture énergétique et à leur confort. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre jusqu’à 35 % par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh*. Installés en 30 secondes, ils chauffent la pièce en 5 minutes ! Les poêles à combustible liquide Qlima sont le moyen le plus rapide pour chauffer un intérieur. En quelques minutes, la puissance de chauffe, associée à un ventilateur performant (sur modèles Lasers), procure une chaleur confortable qui se diffuse rapidement dans toute la pièce. Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima sont totalement sécurisés. Ils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Qlima propose deux catégories de poêles à combustible liquide : – Les poêles électroniques Laser, dont le nouveau modèle SRE 4033 C, d’une esthétique design, efficace et économe, ou le SRE 9046 C-2, un appareil puissant pour grandes surfaces. – Les poêles à mèche, comme le R 8128S C, à haut rendement, équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo ». * Coûts kW/h moyens constatés   Nouveau poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima Un confort en or ! Efficace, sûr, rapide et très économe, le poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima s’intègre dans tous les intérieurs pour apporter une chaleur douce. Solution de chauffage design, il apporte les degrés nécessaires au bien-être dans des pièces jusqu’à 52 m2 pour 15 à 43 cts/h* seulement. Disponible en couleur or, ce modèle associe un brûleur haut de gamme à des fonctions programmables qui empêchent le gaspillage. Le brûleur à bec bunsen du SRE 4033 C Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remarquables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Pilotable depuis un large écran de contrôle LCD, le SRE 4033 C Qlima dispose d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, afin de maintenir la température programmée sans variation de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et l’appareil s’autorégule en fonction de la chaleur choisie, réduisant ainsi la consommation de combustible de 8 %. La fonction hors gel (en réglant l’appareil sur 5 °C) empêche le froid hivernal de dégrader la maison. Pour un chauffage en toute sécurité, le poêle électronique Laser Qlima est équipé d’un détecteur de CO2 qui contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima La puissance en action pour grandes surfaces Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 76 m2) pour 17 à 60 cts/h*. La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Équipé d’un brûleur high-tech, le SRE 9046 C-2 Qlima adapte en permanence sa puissance (entre 1 280 et 4 650 W) : c’est la régulation électronique. La puissance produite varie ainsi de 100 W en 100 W afin de correspondre précisément à la température programmée. Il en résulte un grand confort d’utilisation, mais aussi une réelle économie d’énergie. En activant le mode Save du SRE 9046 C-2 Qlima, la régulation électronique est doublée d’une fonction marche/arrêt automatique qui optimise la régulation. Par exemple, si la température de la pièce dépasse de 3 °C la température programmée, l’appareil s’éteint. Dans le cas contraire, il se remet en fonctionnement. Avec une régulation définie au plus juste, le confort est amélioré et la facture énergétique abaissée. De plus, pour empêcher le froid de faire des dégâts dans la maison, il est possible de programmer le mode Save sur 5 °C (fonction hors gel). Pour encore plus de confort, le SRE 9046 C-2 Qlima est équipé d’un grand réservoir de 9 litres, assurant jusqu’à 67 heures d’autonomie, et d’un système de temporisation de la ventilation, pendant l’allumage et l’extinction, qui évite la diffusion des odeurs de combustion. Ce modèle performant est également doté de dispositifs de sécurité infaillibles : parois froides, détecteur de CO2, système anti-renversement… * Avec un combustible Qlima Pure. Coûts variables selon le combustible utilisé.   Poêle à mèche R 8128S C Qlima Un rendement proche de 100 % Autonome et à haut rendement, le poêle à combustible liquide R 8128S C Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion « Turbo » qui permet d’optimiser les performances de l’appareil. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et le dégagement des odeurs considérablement limité. Le système « Turbo » apporte une grande puissance de chauffe et un confort d’utilisation hors pair : la chaleur est diffusée uniformément dans la pièce par convection (70 %) et par rayonnement (30 %). Capable de chauffer jusqu’à 42 m2 de surface, le poêle à mèche R 8128S C Qlima affiche une autonomie de 17 h 50, pour une puissance de chauffe de 2 850 W. Cet appareil mobile, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, mais aussi dans les garages, ateliers, vérandas… Ultra performant, le R 8128S C Qlima est aussi un as de la sécurité, car doté des équipements suivants : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2 et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement. • Un système de sécurité qui éteint l’appareil dès le retrait du réservoir.   Poêle électronique Laser SRE 4033 C Qlima     Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 300 W Volume pièce : de 21 à 52 m2 Autonomie : de 14,5 à 40 h Consommation : de 0,124 à 0,344 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 329 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle électronique Laser SRE 9046 C-2 Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 280 à 4 650 W Volume pièce : de 30 à 76 m2 Autonomie : de 18 à 67 h Consommation : de 0,134 à 0,485 l/h Capacité du réservoir : 9 l Dimensions : L 466 x P 349 x H 445 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 549 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce Poêle à mèche R 8128S C Qlima     Type de brûleur : à double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17 h 50 Consommation : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 470 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GBS, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 4 ans et 156 jours

Achat d’une grue mobile : le guide mis à jour par la profession

L’Union Française du Levage (UFL) a actualisé son analyse comparative des grues mobiles les plus disponibles et de leurs équipements embarqués, via un guide disponible en libre accès.
Il y a 4 ans et 157 jours

LafargeHolcim : un nouveau four pour Martres-Tolosane

Avec nos remerciements à LafargeHolcim. Un mouchoir de poche. Ainsi peut être décrite l’emprise du chantier de construction du nouveau four de la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane, en Haute-Garonne (31). Conséquent, l’équipement doit s’insérer entre les deux fours existants, en service jusqu’à la fin des travaux, et un silo de stockage. « C’est une opération d’un montant de plus de 100 M€. Soit l’investissement le plus important réalisé par le groupe en France depuis 40 ans », souligne François Pétry, directeur général de LafargeHolcim France et Belgique. En fait, ces travaux s’inscrivent dans un plan global plus large de 300 M€ d’investissements sur l’ensemble des sites répartis sur le territoire national.  La nouvelle ligne de cuisson (four et tour de pré-chauffage) doit s’inscrire dans la zone comprise entre les fours en service et le silo en béton qu’on devine à gauche. [©ACPresse] A travers ce programme, LafargeHolcim cherche, en premier lieu, à pérenniser son unité de production, tout en l’inscrivant dans les préoccupations environnementales actuelles et futures. « Les anciens fours ont respectivement été mis en service en 1956 et en 1966 », rappelle Jean-Louis Sibioude, directeur de l’usine. Ils ont fait plus que leur temps. « Le nouveau four doit permettre de diminuer la consommation d’énergie électrique et thermique de la cimenterie de près de 20 %, donc son empreinte carbone. Ceci, en rendant possible la valorisation d’une part beaucoup plus importante des déchets. » En cours de construction, la future tour de pré-chauffage culminera à près de 100 m de haut. [©ACPresse] Le chantier de construction s’inscrit dans un véritable mouchoir de poche. [©ACPresse] Une haute technologie à basse émission de CO2 Dans sa future configuration, le site devrait tripler son taux d’utilisation de combustibles de substitution. Ici, l’industriel s’inscrit encore plus dans l’économie circulaire. En proposant un exutoire pour nombre de matériaux pouvant se substituer aux combustibles fossiles. « Grâce à ce nouveau dispositif, nous allons passer de 20 à 80 % de substitution », confirme Jean-Louis Sibioude. Un taux qui devrait être atteint à terme. C’est-à-dire dans les 12 à 18 mois après l’entrée en fonctionnement de la cimenterie “version 2020”.  Elément central de l’usine, le nouveau four dit “MK3” présente une longueur de 64 m pour 4,30 m de diamètre. Il s’agit d’un four dit de “haute technologie à basse émission de CO2”. Il est alimenté en énergie par une tuyère Pillard. Ce four remplacera les deux existants – qui seront démantelés -, pour offrir une capacité de production en hausse de 20 %. Ainsi, il sera en mesure de fabriquer environ 550 000 t de clinker par an. Soit plus de 770 000 t de ciments, contre 650 000 t aujourd’hui. Elément clef de l’investissement de 120 M€ destiné à moderniser l’ensemble de la ligne de production de la cimenterie, le montage du four s’est déroulé du 23 au 26 novembre dernier. Les 6 éléments (viroles) ont pu être assemblés grâce à d’importants moyens de levag. A savoir, trois grues mobiles de 250 t, 450 t et 500 t, ainsi qu’une grue à tour parmi les plus grandes en Europe (140 m). Opération de bétonnage de la superstructure de la tour de pré-chauffage. [ACPresse]L’ensemble des bétons représente un volume de l’ordre de 11 000 m3. [©ACPresse] Enfin une tour de pré-chauffage Mais la véritable nouveauté du site sera la tour de pré-chauffage. Culminant à près de 100 m de haut, elle abritera le dispositif de pré-calcination, conçu et fourni par CBM. Celui-ci verra se croiser les gaz chauds sortant du four et la farine crue qui donnera naissance au clinker. « La température dans la zone de pré-calcination oscille entre 300 °C en haut et 900 °C en entrée de four, détaille Jean-Louis Sibioude. Cette technologie assure environ 50 % de la cuisson de la farine. » Surtout, cette tour de pré-chauffage est le point d’entrée privilégié de l’essentiel des combustibles de substitution : pneus déchiquetés, combustibles solides de récupération (CSR) et autres copeaux de bois. « Il y a des discussions avec d’autres industriels locaux, cherchant des déchets à valoriser en combustibles », reprend François Pétry. Et Jean-Louis Sibioude, de compléter : « Tous les combustibles alternatifs proposés sont testés de manière très précise. Afin de connaître leur composition chimique, pour ne pas dégrader la qualité de notre clinker, donc des ciments produits ». En d’autres termes, LafargeHolcim – ni aucun cimentier d’ailleurs – ne brûle pas n’importe quoi dans ses fours… Ces massifs constituent les supports du futur four MK3 de la cimenterie de Martres-Tolosane. En arrière-plan, les deux fours actuels. [©ACPresse] Les segments du nouveau four attendent d’être installés et assemblés entre eux pour former un ensemble de 64 m de long pour 4,30 m de diamètre. [©ACPresse] Des pneumatiques entiers Un des points singuliers de la cimenterie de Martres-Tolosane est la mise en place d’une installation d’introduction de pneumatiques entiers, directement dans le four1. Cette approche permet d’éviter la phase préalable de déchiquetage. L’atelier a été mis en service en 2016, dans le cadre d’une précédente phase de travaux. Mais entrant dans le projet global de modernisation. Il a nécessité un investissement de 2,1 M€, dont 400 000 € financés par l’Ademe. Et a été construit sur mesure par ATS Walter. Pour assurer l’approvisionnement en pneumatiques, LafargeHolcim s’est rapproché d’un collecteur. Qui travaille avec des garagistes auprès desquels les pneumatiques sont récupérés. Celui-ci les trie et les lave avant de les livrer à la cimenterie. La collecte est opérée en local, dans le cadre de contrats pluriannuels avec engagement de fourniture des volumes minimaux. La capacité de traitement de l’atelier atteint 8 000 t/an de pneumatiques. Ce qui représente 15 % de l’apport thermique d’un des deux fours actuels de l’usine.  « Les pneumatiques n’ont pas d’impacts négatifs sur la qualité de la production, ni sur l’environnement de l’usine », rappelle Jean-Louis Sibioule. Bien au contraire, même. La fraction minérale, pour l’essentiel constituée de la trame en acier du pneumatique, assure l’apport en fer. Supprimant ainsi les besoins de compléments extérieurs. Ceci, en plus de l’apport énergétique… Assemblage de la partie inférieure du broyeur Loesche. [©ACPresse] Partie supérieure du broyeur, en cours de pré-assemblage. [©ACPresse] Pour la durée des travaux, l’atelier “pneumatiques” a été déplacé de l’autre côté des fours. [©ACPresse] Près de 11 000 m3 de béton Pour les besoins de la construction du nouveau four, l’atelier “pneumatiques” – du moins, la zone de stockage, de tri et de préparation – a été déplacé de l’autre côté des fours. En effet, la position initiale de cet atelier tombait au droit des massifs supports en béton du nouveau four. Outre la cuisson, les travaux de rénovation de la cimenterie de Martres-Tolosane se concentrent aussi sur le broyage amont. Qui permet l’obtention de la farine crue, et sur son acheminement en direction du pré-calcinateur. En aval, un nouveau refroidisseur IKN à grille pendulaire. Il vient se connecter sur le processus de fabrication et de stockage des ciments.  Le broyeur cru constitue le dernier élément imposant de la nouvelle ligne de production. De type vertical, il s’agit du modèle LM3000 2+2 de Loesche. Par rapport à l’ancienne installation, il devrait permettre de diviser par deux la consommation énergétique.  Bien que les équipements industriels occupent le devant de la scène, l’opération de transformation de l’usine n’en est pas moins consommatrice de béton. Ainsi, à l’image de Boccard, qui pilote le pré-assemblage des équipements, l’entreprise de BTP Eiffage Génie Civil assure la construction de la superstructure non métallique. Si les bétons restent classiques, ils représentent tout de même 11 000 m3, à mettre en regard des 4 000 t d’équipements et des 3 000 t de charpentes métalliques. « Des bétons fournis par LafargeHolcim, à partir d’une centrale à béton proche de l’usine », indique en conclusion Didier Michel, directeur du projet de modernisation pour LafargeHolcim.  Les deux fours originels de la cimenterie de Martres-Tolosane ont été mis en service en 1956 et en 1966. Ils seront démantelés après 2020. [©ACPresse] En jaune, toutes les parties conservées de l’usine. En gris et bleu, les parties nouvelles. [©LafargeHolcim] 1Lire CBPC 930, supplément de BLM n° 67, de novembre/décembre 2016. Un nouveau terminal ferroviaire Excentrée par rapport à l’actuelle zone de travaux de la cimenterie de Martres-Tolosane, une toute nouvelle unité de chargement de clinker est en service depuis quelques mois sur le site. Elle se substitue à un poste de chargement manuel (à l’aide d’une chargeuse sur pneumatiques). Cette installation permet à l’usine une expédition en direction de la station de broyage d’Angoulême, en Charente (16), distante de 400 km. Il s’agit de la seule partie de l’ex-cimenterie de La Couronne, qui soit restée en service, suite à l’arrêt de la production de clinker, du fait de la fermeture de sa carrière mitoyenne, dont le gisement était épuisé. Confiés à Chovet-DB2i (groupe Demathieu & Bard), les travaux ont nécessité un investissement de 4,4 M€. La pièce principale du dispositif est une trémie d’une capacité de 1 000 t, soit les deux tiers d’un train complet d’une vingtaine de wagons. De fait, cette trémie a un peu le rôle d’un stock-tampon. Elle présente un diamètre de 10 m, pour une hauteur utile (sans le cône) de 11 m. L’ensemble de la superstructure culmine à 24 m. Elle bénéficie de deux sorties : la principale, réservée au chargement des trains, et l’optionnelle, dédiée en remplissage de citernes sur semi-remorques. La reconfiguration de la zone a imposé de dévier la voie ferrée existante pour l’axer sous la trémie et, en même temps, répondre aux contraintes relatives au gabarit réglementaire des wagons. Afin de s’inscrire dans la charte environnementale du groupe LafargeHolcim, tout un système anti-poussière d’extraction, de transfert et de vidange du clinker dans les wagons a été mis au point par Chovet-DB2i. Grâce à cette nouvelle installation, le remplissage d’un wagon de 66 t se fait dorénavant en 10 mn et celui d’un train complet de 1 500 t, en 6 h. Grâce à sa nouvelle installation, la cimenterie LafargeHolcim de Martres-Tolosane peut remplir de clinker un train complet de 1 500 t en 6 h.[©LafargeHolcim]
Il y a 4 ans et 157 jours

T-Mobile et AGC testent des antennes transparentes en verre

T-Mobile en République tchèque et AGC ont achevé avec succès une série de tests de WAVEATTOCH®, un nouveau type d’antennes pour réseaux mobiles. L’antenne WAVEATTOCH a été conçue pour s’installer directement et aisément sur les façades vitrées. Une fois mise en place, elle contribue à améliorer la qualité de couverture et la capacité des réseaux mobiles, y compris en 5G, en particulier dans les centre villes historiques où l’environnement ne se prête pas à l’installation d’antennes conventionnelles sur les murs des bâtiments. En verre et donc transparente, l’antenne WAVEATTOCH s’insère harmonieusement et en toute discrétion dans le paysage urbain.Répondre aux exigences de capacité des réseaux mobiles actuels et de la technologie 5G à venir, surtout dans les zones denses, constitue un défi majeur pour les opérateurs télécoms. Outre qu’elle représente un investissement coûteux en temps et en argent, l’installation d’antennes conventionnelles sur les murs extérieurs des bâtiments se heurte fréquemment aux règles sévères de protection du patrimoine. C’est pourquoi T-Mobile et AGC ont réuni leurs forces pour tester l’antenne sur vitrage, un développement unique et novateur d’AGC.Les antennes ont été testées en même temps qu’une autre solution originale d’AGC : WAVETHRU®, un double vitrage dont la surface a été traitée de façon à permettre aux signaux radio de pénétrer plus efficacement dans les bâtiments et d’y circuler mieux. WAVETHRU réduit l’atténuation du signal au passage de la couche vitrée par un facteur allant de 10 à 100 (selon la bande de fréquences du signal), tout en conservant ses excellentes propriétés d’isolation thermique. Loin de se limiter au secteur de la construction, cette solution peut s’appliquer aussi pour les trains.« Cette idée d’utiliser des antennes à installer sur les façades vitrées m’a d’emblée séduit; c’est pourquoi j’ai voulu mener cet essai de faisabilité pour bien en comprendre les avantages. Cette technique peut en effet ouvrir de nouvelles possibilités de déploiement réseaux, en premier lieu dans des centres urbains historiques comme celui de Prague. De plus, elle nous permettra d’améliorer la couverture et la capacité du réseau sur des points névralgiques », affirme Thomas Schweinhuber, Responsable de l’International Access Engineering chez T-Mobile République tchèque.« Nous avons adapté notre solution aux besoins de T-Mobile. C’est ainsi que nous avons ajouté les nouvelles fréquences 1,8 et 2,1 GHz aux bandes supérieures déjà existantes (2,6 à 6 GHz). Les observations recueillies lors des tests sont extrêmement fructueuses pour notre expansion en Europe », indique Philipp Jaeger.Les tests ont également inclus l’installation du vitrage WAVETHRU. Les antennes WAVEATTOCH ont été placées à une hauteur d’environ 10 mètres sur les fenêtres du siège de T-Mobile près de la station de métro de Roztyly à Prague. En même temps, le double vitrage existant des fenêtres a été remplacé par un double vitrage WAVETHRU, dont le traitement de surface est destiné à assurer la qualité des communications à l’intérieur du bâtiment. Les essais ont porté sur les bandes des 1.800 MHz et des 2.100 MHz pour les services voix et données, plus spécifiquement sur le réseau 4G. Les antennes panneau MIMO 2x2 utilisées pendant les tests, totalement transparentes et tenant dans un cadre très mince, se remarquent à peine de l’extérieur.Les premiers résultats des tests ont montré la faisabilité de ces deux solutions innovantes et mis en évidence des concepts fonctionnels susceptibles d’aider les opérateurs mobiles et les villes à mieux accompagner la demande croissante d’accès Internet mobile à haut débit. Les essais ont notamment confirmé que le vitrage WAVETHRU a permis d’améliorer la qualité et le niveau du signal aux endroits choisis pour les tests.
Il y a 4 ans et 162 jours

Master Builders Solutions : Première cellule ERP de sols décoratifs

Masters Builders Solutions crée la première cellule Etablissements revenant le public de sols décoratifs et techniques, dédiée aux architectes. [©Master Builders Solutions] Une nouveauté chez Master Builders Solutions (MBCC Group) : la création de la première cellule ERP de sols en résine décoratifs et techniques, dédiée aux maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage. Ceci, afin d’accompagner ces professionnels dans leur choix de solutions adaptées. Et d’assurer une prescription optimale dans leurs projets architecturaux. En effet, Master Builders Solutions est parti du constat que l’offre des revêtements de sols décoratifs et techniques dans les Etablissements recevant le public était complexe et vaste. Plusieurs paramètres influent sur ce marché. Et par voie de conséquence, rendent difficile un choix judicieux pour les prescripteurs. En effet, l’industriel a remarqué une augmentation de demandes et besoins des types de revêtements à base de résine. Mais aussi des recommandations sanitaires de plus en plus présentes, le besoin d’avoir un sol esthétique plébiscité par les usagers. Et enfin, la nécessité de faire gagner du temps aux professionnels.  Un accompagnement même à l’international Cette cellule met à leur disposition un ensemble de moyens et d’outils structurés et pluriels. Les prescripteurs pourront ainsi recevoir une information complète tant réglementaire, technique qu’économique et sanitaire. Basée en Ile-de-Fance et mobile dans l’Hexagone, elle est dirigée par Laurent Dessard, directeur commercial revêtements à base de résine. Et animée par Jeremy Gallez et José-Victor Alves, qui s’appuient sur un service technique dédié et des technico-commerciaux. Mais aussi sur un service clients, ainsi que sur un retour d’expérience post-application. Petit plus : le service fonctionné aussi pour l’international, à destination des agences françaises d’architecture bâtissant à l’étranger. Et devant se tenir informées de la réglementation, des usages et techniques des autres pays.
Il y a 4 ans et 162 jours

EDMA propose une gamme étendue de solutions de rangement en matière textile

EDMA étoffe sa gamme de solutions de rangement en matière textile pour les artisans plaquistes. Une première ceinture poche à outils en nylon faisait son apparition au catalogue EDMA, il y a déjà quelques mois. Munie de 12 rangements, 2 crochets métalliques porte-marteaux, 1 crochet porte-mètre, cette ceinture poche à outils ajustable et légère affiche une robustesse à toute épreuve et se présente comme le compagnon idéal de tout artisan souhaitant combiner mobilité et organisation. Cette ceinture très complète vient d’être rejointe au rayon nouveautés par une sacoche en nylon de rangement pour couteaux à enduire avec 6 inserts, une poignée pour la transporter facilement et un zip pour la refermer rapidement. Cette sacoche permet ainsi d’emporter 6 couteaux nécessaires pour un chantier, d’éviter qu’ils ne s’abîment dans le transport au contact d’autres outils plus lourds, et de s’assurer de les avoir toujours sous la main en un lieu unique. Enfin, cette gamme de solutions pratiques et modulables pour le rangement des outils va être complétée courant décembre par une nouvelle ceinture à outils en nylon. Cette dernière, pourvue d’une simple poche, ne sera pourtant pas en reste question capacité puisqu’elle ne proposera pas moins de 8 rangements et, tout comme sa grande sœur, 2 crochets porte-outils ainsi qu’un porte-mètre ! Rendant l’artisan particulièrement mobile sur ses chantiers en lui offrant une totale liberté de mouvement tout en conservant à portée de main ses outils essentiels et préférés, les solutions de rangement en nylon proposées par EDMA s’inscrivent parfaitement dans la gamme des outils « gain de temps et gain d’effort » si chers à la marque. Les ceintures poches à outils ainsi que la sacoche de rangement pour couteaux à enduire EDMA sont en vente chez tous les spécialistes du métier du plaquiste. Ceinture poche à outils – 12 rangements – Réf 280055 – Prix de vente maximum conseillé : 58 € HT Ceinture poche à outils – 8 rangements – Réf 280155 – Prix de vente maximum conseillé : 31 € HT Sacoche de rangement pour couteaux à enduire – Réf 280255 – Prix de vente maximum conseillé : 27 € HT
Il y a 4 ans et 164 jours

Notre wishlist 2020 d’insolites en béton !

Le 1er décembre n’est pas seulement le jour pour débuter son calendrier de l’Avent. Il nous rappelle que Noël approche et que nous n’avons toujours pas finaliser notre liste de cadeaux à poser sous le sapin ! Mais n’ayez crainte. L’équipe d’ACPresse est là pour vous donner des idées. Et cette année, nous avons choisi de vous présenter une “wishlist” portée sur des insolites en béton. Des legos à la guitare, en passant par les French Vikings et les Wigwam Hotels, beaucoup de surprises et de trouvailles improbables vous attendent. Car oui, le béton est caméléon… alors n’oubliez pas de scruter l’horizon. Entre simplicité et modernité La villa troglodyte de Monaco, d’une surface de 500 m2 toute en pierre, verre et béton. [©Loïc Thebaud] Comme chacun le devine, je suis originaire de Pologne. Et dans l’imaginaire, mon pays est une terre froide et enneigée. Elle cache pourtant de magnifiques plages bercées au rythme des flots de la mer Baltique. Près de 700 km de côtes alternent dunes sauvages et villages balnéaires pittoresques. Mais on n’y trouve pas de maisons troglodytes comme sur les bords de la Méditerranée. Comme à Monaco plus précisément. Et là, avec le déconfinement, j’aimerais bien faire une fête de Noël ou de Nouvel An, digne de ce nom, avec toute ma famille et tous mes amis dans la villa de verre et de béton signée Jean-Pierre Lott. J’ai toujours adoré ce principe de maisons enfouies. A l’abri des regards, bien au chaud, dans l’antre de la terre… Digne d’un prix d’architecture, celle de la Principauté est à la fois unique et discrète. Du moins en apparence… Et de surcroît, elle possède des caractéristiques écologiques. Tout comme la température naturellement douce en hiver. L’intérieur de cette “grotte” donne lieu à des décors singuliers et à une atmosphère à la fois silencieuse et mystérieuse. Que les sonorités joyeuses de Noël raviveront… Alors juste pour rêver ! Juste pour les yeux ! Une curiosité… Un bonheur pour un dîner de réveillon exceptionnel. Mariola Gluzicki, directrice générale. Avoir les yeux qui brillent Des legos en grandeur nature. [©ACPresse] Une part d’enfance est présente en chacun de nous. Et en cette période de fêtes, de célébration et de cadeaux, elle ressurgit naturellement. Nos yeux se mettent à briller à l’évocation de nos jouets d’antan. Les souvenirs de journées passées à construire des bases spatiales, des châteaux… Je l’avoue avec délectation : j’ai adoré les Legos offerts par mes parents… Le fabricant danois de ces petites briques colorées a très bien saisi cette nostalgie enfouie. D’où l’idée sublime de proposer des Legos pour les grands. A ce niveau, la série “Architecture” est une véritable réussite, à travers des hommages à des architectes comme Franck Lloyd Wright ou Le Corbusier. Il y a aussi la reproduction en miniature de villes emblématiques : Paris, Berlin, Dubaï, Sydney, Tokyo, San Francisco ou New York. Les amoureux du BTP ne sont pas oubliés, avec la pelle hydraulique Liebherr R 9800 (et ses 4 108 pièces). Ne manque plus de la mine à ciel ouvert. Ou le tombereau articulé Volvo A60H (les connaisseurs apprécieront). Alors, quand le camion-toupie est apparu en vitrine – je dois l’admettre -, je n’ai pas résisté. L’assemblage des 1 163 pièces m’a occupé durant quelques soirées. Mais aujourd’hui, le véhicule occupe une place de choix au sein de notre collection de miniatures. Avec une revue qui s’appelle “Béton[s] le Magazine”, il était impossible de faire moins. Frédéric Gluzicki, directeur de la publication. Les mains dans le béton Les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. [©ACPresse]Les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. [©ACPresse] Le “Do it yourself” a fait son grand retour depuis plusieurs années. Tricot, fabrication de produits cosmétiques ou d’habits… Selon ses envies et surtout ses talents, nombreux sont ceux qui mettent la main à la pâte. Mon amour pour “le fait maison” me vient de mes parents. Même si, à une époque, porter les leggings aux couleurs flashy cousus par ma mère ne “m’enjaillait” pas. Bercée par le son de la machine à coudre ou par les coups de marteau et autre odeur de colle et de peinture, j’ai commencé par la force des choses à créer mes propres objets. Le travail de la matière m’a toujours intéressée. C’est pourquoi, j’ai craqué pour les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. Ludiques, pratiques et esthétiques, ces kits permettent de réaliser un ou plusieurs objets selon votre choix. Tout est fourni : le béton, les pigments, les moules, une pipette doseuse, la fiche explicative… En deux temps trois mouvements, vous pouvez créer des petits récipients, des coquetiers, ou encore une lampe ou un pot pour cactus. Le petit plus ? The French Vikings proposent des tutos sur sa chaîne YouTube pour devenir des maîtres et maîtresses ès béton et couleur ! Et pour aller plus loin, ils organisent des ateliers accessibles à tous et disposent d’un e-shop avec toutes leurs créations. Portés par Billy Chevallereau et Nadir Belghoul à bord de leur Drakkar, The French Vikings est découvrir par ici . Sivagami Casimir, journaliste. Un peu de poésie que diable ! Les oeuvres de Caroline Leïte. [©Caroline Leïte] Pour ce Noël, j’aspire à un peu de poésie dans ce monde brutal. C’est pourquoi, je vous propose comme suggestion de cadeau, les œuvres de Caroline Leïte. Photographe, peintre et sculptrice, l’artiste présente des tirages photographiques sur béton. Directement inspirés de sa recherche sur la fuite du temps. Quand la pellicule se révèle sur le béton, les paysages urbains les plus ordinaires se transforment en réalisations époustouflantes de nostalgie et de lyrisme. Désert architectural, chantier à l’arrêt, paysage de campagne, voie de chemin de fer, les photographies apparaissent comme un écho, qui nous renvoie aux profondes mutations du temps présent. Ceci, en faisant corps avec les aspérités du béton. Un moment ineffable… Découvrez ses créations sur son site et sur acpresse.fr. Nadia Zanoun, responsable des abonnements. Sur un air de musique… L’Atelier Mérillon – La Manufacture du béton a réalisé des instruments de musique décoratifs en Bfup. [©Atelier Mérillon] Il y a bon nombre d’années…, je n’étais qu’une petite fille, lorsque mes parents me proposèrent d’apprendre à jouer d’un instrument de musique. Nous écoutions beaucoup de choses à la maison, c’était toujours gai. Encore plus à Noël… Mon père gratouillait sur une vieille guitare, mais ma mère préférait le piano… Et je l’ai suivie. Mais j’ai toujours gardé en mémoire les quelques morceaux que jouait mon père. C’est ainsi que lorsque j’ai découvert que l’Atelier Mérillon – La Manufacture du béton réalisait des instruments de musique décoratifs en Bfup, j’ai été interpelée par la guitare de mon enfance. Une Madeleine de Proust en quelque sorte… Et pour Noël, c’est un prototype de vraie guitare en béton, qui vient de voir le jour ! Equipée de tous les éléments musicaux, elle vient d’être testée par un jeune virtuose Ivalou Page-Pessey du Conservatoire musical d’Annecy. Reste encore à peaufiner l’instrument, mais le principe est là. Une super idée de cadeau de fêtes pour tous les passionnés de musique et de… béton. Car ce dernier a une très bonne qualité sonore. Donc à vos cordes… Pour commander la guitare, c’est ici. Muriel Carbonnet, secrétaire de rédaction et journaliste. Sur les traces du rêve américain Chevrolet Impala devant un tipi du Wigwam Village n° 6, à Holbrook, sur la Route 66. [©DR] Depuis petite, je suis passionnée de voyages et fascinée par l’adversité et la richesse du Monde… Et en termes de diversité de paysages, quoi de mieux que les Etats-Unis ? Du désert du Colorado aux montagnes enneigées de l’Alaska, en passant par les plages d’Honolulu à Hawaï et par les incontournables gratte-ciels de New-York, le trésor des Etats-Unis n’est plus à prouver. Alors, cette année, « all I want for Christmas is » dream. A travers le rêve américain. Partir à l’aventure et faire un “road trip” dans toute l’Amérique du Nord. Traverser les Etats les uns après les autres, en flânant sur les routes sans fin à bord de ma Mustang. Dormir dans des lieux improbables, tels que les mystiques motels de la Route 66. Mais aussi, et surtout, passer une nuit dans l’un des tipis des fameux Wigwam Motels, qui s’inscrivent dans la légende des routes américaines ! Dans la première moitié du XXe siècle, sept ensembles de tipis blancs en béton ont été construits. Hélas, seulement trois ont survécu… Chaque “tente” possède un diamètre de 6,40 m pour une hauteur de 8,50 m. De quoi avoir tout l’espace nécessaire pour passer une bonne nuit de sommeil et rêver “haut en couleurs” d’aventures en compagnie des Indiens… Bien que nous traversions des temps sombres et que les voyages immobiles soient à privilégier, rien n’empêche d’imaginer et de prévoir ses futurs évasions… Mazarine Mazouyer, rédactrice web & community manager. Le bonheur des choses simples Le succulent “miel béton”. [©ACPresse] L’année 2020, nous nous en souviendrons tous. Alors pour ce Noël masqué, soyons sage et continuons à prendre soin de nous. Pour cela, j’ai demandé au Père Noël le “miel-béton”… Ce nectar que savent si bien produire les abeilles. D’autant mieux que leurs ruches sont installées au cœur des carrières de granulats, à proximité des centrales à béton. Ces lieux jugés de prime abord hostiles pour ces insectes butineurs, mais qui s’avèrent in fine des paradis exempts de pesticides et de dangers. L’article “Le miel, les abeilles et les industriels” le démontre en détail… J’ai donc hâte de “déjeuner en paix, déjeuner en paix !”, comme le chantait si bien Stéphane Eicher. Tartine beurre et “miel-béton”, rien de tel pour la santé et bien démarrer sa journée ! Assise au près d’un bon feu de cheminée et devant la fenêtre, face à mon beau paysage du Jura ! Partir respirer l’air des montagnes et se retrouver en petit comité pour trinquer avec un verre de Château-Chalon et un morceau de comté. La vie ! La convivialité ! Le bonheur des choses simples. A tous, je vous souhaite un joyeux différent Noël 2020. Et manger du miel 
Il y a 4 ans et 169 jours

Kingfisher rachète la plateforme de services NeedHelp

Kingfisher, propriétaire en France des enseignes Castorama et Brico Dépôt, précise dans un communiqué détenir 80% du capital de la start-up française, tandis que son fondateur, Guillaume de Kergariou, conserve 20% des parts.La plateforme NeedHelp permet, "en ligne ou directement en magasin", de mettre en relation des clients ayant besoin d'aide pour réaliser leurs travaux avec des experts du bricolage, artisans professionnels ou simples particuliers."Avec cette opération, Kingfisher étend son offre de service et accélère sa transformation digitale. Cette prise de participation est un pas en avant significatif dans la concrétisation d'une des priorités majeures de la nouvelle stratégie du groupe, +Powered by Kingfisher+, qui vise à proposer une expérience-client résolument tournée vers le mobile et les services", est-il indiqué.Fondée en 2014, NeedHelp est présente majoritairement en France, mais également en Suisse, Allemagne, Belgique, Autriche et Pays-Bas. La plateforme "propose déjà ses services aux clients de plus de 500 magasins, incluant notamment les enseignes Castorama et Brico Dépôt du groupe Kingfisher en France", détaille le communiqué."Les plateformes de services en ligne ont un rôle clef à jouer dans la définition du futur de notre secteur. Pour toujours mieux servir nos clients, nous devons être résolument tournés vers le digital et développer les services que nous leur proposons, tout en continuant à nous appuyer sur l'actif que constituent nos magasins", a commenté Thierry Garnier, directeur général de Kingfisher, cité dans le communiqué."Dans les mois à venir, nous allons rapidement développer l'activité de NeedHelp au Royaume-Uni et en Pologne en capitalisant sur notre large réseau de magasins et sur les différentes identités de nos enseignes, qui s'adressent aussi bien aux particuliers qu'aux professionnels", a-t-il indiqué.
Il y a 4 ans et 174 jours

Les ingénieristes inquiets et fragilisés par une activité économique en berne

Massivement réorganisées autour du télétravail, deux entreprises sur trois ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Alors que 40% de la profession est confrontée à un allongement des délais de paiement, 35% des sondés déclarent anticiper des difficultés de trésorerie d'ici douze mois.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Le confinement que nous connaissons aujourd'hui a peu à voir avec celui de mars dernier. Si des nouvelles mesures d'assouplissement ont été annoncées par le président de la République, force est de constater que l'activité économique se poursuit en demi-teinte et que la relance se fait toujours attendre. Les ingénieristes ont basculé massivement en télétravail pour poursuivre leurs projets, mais voient leurs carnets de commande s'amenuiser et ne parviennent toujours pas à occuper leurs équipes à 100%. Les incertitudes quant à l'avenir restent fortes et les projets tardent à être lancés par les donneurs d'ordres publics et privés. C'est vrai dans le secteur industriel où, malgré le plan de relance, nos entreprises sont touchées de plein fouet par les crises automobile et aéronautique. Ça l'est aussi de la commande publique, où le bloc local doit mieux jouer son rôle de support de la relance. »Une réorganisation rapide en télétravail au service de la relance…Depuis le 28 octobre, les entreprises d'ingénierie ont massivement transféré leurs effectifs en télétravail, dans le respect du nouveau protocole sanitaire et afin de lutter contre la propagation de la pandémie. Avec 58% de leurs collaborateurs en distanciel et 13% en mission chez leurs clients (sites industriels, chantiers…), les ingénieristes accueillent ponctuellement sur site moins d'un quart de leurs ingénieurs et techniciens qui nécessitent d'avoir accès à des outils et équipements spécifiques. … qui se heurte au ralentissement de l'activité et au manque de visibilitéMalgré cette réorganisation, les sociétés d'ingénierie souffrent d'une baisse continue des prises de commande. Elles sont 65% dans ce cas, contre 58% le mois dernier. Le pôle industrie est le plus touché, avec 73% des répondants concernés, contre 57% pour le pôle construction. De même, 62% des sondés estiment que leur activité sera en baisse au premier trimestre 2021 par rapport à l'an dernier. Une proportion qui atteint 72% chez les ingénieristes du secteur industriel particulièrement impactés par la baisse d'activité des marchés aéronautique et automobile.Une situation complexe qui impacte l'optimisme des ingénieristes : 75% des répondants pensent que le redémarrage de l'activité sera lent sur un an au moins. C'est presque dix points de plus qu'au mois dernier.Allongement des délais de paiement, sous-occupation… des difficultés qui s'accumulentAlors qu'une entreprise sur deux pensait occuper ses équipes pleinement au mois de novembre, le reconfinement est venu doucher les espoirs. 38% seulement déclarent avoir des effectifs qui travaillent à 100%. C'est dix points de moins qu'en octobre. Une fois de plus, les entreprises d'ingénierie industrielle sont les plus touchées et seules 20% d'entre elles fonctionnent à leur régime nominal.Par ailleurs, 40% des répondants sont désormais confrontés à un allongement des délais de paiement, contre un tiers en octobre. Pour 13% d'entre eux, les retards s'échelonnent désormais entre +30 et +60 jours. Des situations critiques, qui peuvent notamment expliquer que 35% des sondés anticipent des difficultés de trésorerie dans les douze prochains mois. Syntec-Ingénierie, qui appelle à un rééquilibrage des relations contractuelles, souligne qu'en France, 25 % des défaillances de PME et TPE sont dues à des retards de paiement, selon le Cabinet de recouvrement ARC.
Il y a 4 ans et 174 jours

Contrat-cadre entre Paris-Ouest Construction et Resolving

Paris-Ouest Construction a signé un contrat-cadre avec Resolving. [©Resolving] Le groupe familial de bâtiment Paris-Ouest Construction vient de signer un contrat-cadre pluriannuel avec l’éditeur lyonnais Resolving. Ce dernier  accompagne la digitalisation des métiers de l’immobilier et de la construction. « Pour les 15 chantiers que nous menons en parallèle, les outils digitaux sont susceptibles d’être utilisés par 50 à 80 utilisateurs. explique Xavier Tournillon, directeur technique et de la transition numérique du bâtiment de Paris-Ouest Construction. Mais notre rôle ne se résume pas à imposer un nouvel outil, mais bien à accompagner le changement. C’est-à-dire tous les utilisateurs, pour engager le mouvement de transformation numérique de toute l’entreprise. » Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est Resolving ? Depuis quand êtes-vous en contact avec Paris-Ouest Construction ? Hakim Fagoul, directeur France de Resolving, nous explique les modalités du contrat-contrat signé avec Paris-Ouest Construction. [©Resolving] Hakim Fagoul : Depuis 17 ans, l’éditeur de logiciels français Resolving permet la transition numérique des acteurs de la construction et de l’immobilier. La stratégie mise en place par Paris-Ouest Construction visait à digitaliser l’ensemble de ses activités. Dans ce contexte, plusieurs tests et procédures de validation ont été réalisés sur plusieurs éditeurs pendant un an. Et c’est avec Resolving, que ce constructeur de logements, surtout présent en région parisienne, a signé en juin dernier un contrat-cadre pluriannuel. En effet, nous avons axé notre démarche sur ses collaborateurs terrain, qui doivent mener à bien des contrôles des différents aspects de mise en œuvre lors de la construction. Le but ? Les rendre encore plus performants au quotidien grâce aux modules de la solution Resolving. Comment cela a –t-il été rendu possible ? Paris-Ouest Construction a opté pour les modules de “Suivi des chantiers” et de “Gestion des réserves” (OPR), proposés par Resolving. Premier point  Les conducteurs de travaux de Paris-Ouest Construction vont effectuer une vérification dite “inopinée” du chantier. Ceci, avec des tablettes mobiles, comprenant une partie de l’offre Resolving, directement sur les plans, les maquettes BIM…Que les bureaux d’études ont validés en amont. Ceci, pour vérifier le travail en cours. Si les conducteurs de travaux découvrent une anomalie, ils la notifient directement au BE, via la plate-forme Resolving. Et surveillentalors la validation de correctifs. Ensuite, ils suivent que tout a été bien rectifié sur chantier. C’est un vrai canal de communication de contrôle. La sécurité est au centre des préoccupations de Paris-Ouest Construction. Deuxième point  Les conducteurs de travaux reçoivent des fiches de contrôle prévues et planifiées associées à des zones précises. Ceci, dans le cadre d’une démarche de contrôle qualité. Ils vérifient ainsi tous les points de contrôle de ces fiches. Dernier point A la fin du chantier, c’est le module “Gestion des réserves”, qui est utilisé par Paris-Ouest Construction et les architectes. Notre solution est globale et intégrée. Elle comprend ainsi le suivi de chantier, la gestion de la documentation (GED) et la gestion d’un projet en BIM. Et ce, toujours avec le même outil. Les consultants Resolving viendront en appui, pour mettre en place des méthodes de recueil, d’analyse et de standardisation des pratiques utilisateurs. Phases préalables à toute digitalisation effective des méthodes et process internes.  Propos recueillis par Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 176 jours

Le comité exécutif de Kiloutou s’agrandit

A gauche, Vincent Ranaivoson, directeur de la transformation, et à droite, Pierre Knoché, nouveau directeur général de Kiloutou France. [©Franck Dunoueau] Créé en 2019, le comité exécutif de Kiloutou a pour objectif de conduire sa croissance à l’international. Mais aussi d’y augmenter sa présence. Pour rappel, Kiloutou est l’un des acteurs les plus importants en Europe de la location de matériels. Ainsi, Kiloutou a nommé deux nouvelles personnes, qui viennent renforcer son comité exécutif. Tout d’abord, Pierre Knoché est le nouveau directeur général de Kiloutou France. Il aura pour mission de continuer à faire prospérer l’entreprise en France. Il devra aussi développer le réseau d’agences, ainsi que les gammes de produits. Pour finir, Pierre Knoché aura pour rôle de renforcer les relations avec les clients. Par ailleurs, afin de structurer les projets nécessaires au développement de Kiloutou, un poste a été spécialement créé. Celui de Vincent Ranaivoson, qui devient le premier directeur de la transformation du groupe. Pour mener à bien sa mission, il pourra s’appuyer sur les équipes innovation, digitale et stratégie.  Leurs parcours Diplômé de Centrale Paris, Pierre Knoché a débuté sa carrière comme ingénieur d’études et de développement chez KPMG Consulting France. Il y évolue de manière rapide, en devenant consultant senior au sein du conseil stratégique. Par la suite, il rejoint la société de conseil Stratorg, en 2003, pour y être directeur. De 2006 à 2012, il passe ensuite chez BCG où il est aussi manager. Puis, il est nommé vice-président du groupe Elior et en devient directeur général en 2015. Là, il est en charge du pôle santé et de la stratégie commerciale. A partir de 2018, il reprend celui de l’éducation.  Quant à Vincent Ranaivoson, il est diplômé de HEC en 2012. Tout d’abord, il rejoint le cabinet de conseil en stratégie Roland Berger. Il y réalise de nombreux projets en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient sur les nouvelles technologies, ainsi que dans le secteur de l’automobile. Son parcours est renforcé d’expérience managériale à Madagascar dans l’industrie agroalimentaire. En 2016, il fonde une entreprise de livraison de gaz sur demande en Côte d’Ivoire. Il intègre le groupe Kiloutou en 2019, en tant que responsable de la stratégie.
Il y a 4 ans et 177 jours

Cemex teste le transit par transport fluvial à Tolbiac

Cemex a fait un test de transport fluvial sur son port de Tolbiac, à Paris. [©Cemex] Cemex a testé le transport fluvial. Une opération qui s’est déroulée, du 28 septembre au 2 octobre dernier, sur le port de Tolbiac (Paris XIIIe). Elle a été menée en association avec Green Switch Meridian (GSM) pour l’éco-organisme de collecte et de recyclage des mobiliers professionnels Valdelia. L’enjeu : valider des solutions de transit de caisses mobiles de 20 m3portées par des camions de collecte parisienne. Puis, grutées par des moyens Cemex sur une barge, à destination du centre de traitement situé dans le port Haropa de Gennevilliers (92). Cette première expérience, concluante, a permis de démontrer que la logistique urbaine de petits conteneurs est tout à fait adaptée aux infrastructures existantes des ports Cemex. Et à la logistique fluviale des produits de grande consommation dans un sens, des déchets propres au retour. Enfin, ce test dégage des pistes d’optimisation du processus. Qui rendront le schéma encore plus robuste, dans le cadre de son développement possible auprès d’autres chargeurs-donneurs d’ordre. Le transit de marchandises visé En plein développement, la logistique urbaine répond aux besoins sociétaux d’amener des biens de consommation au plus près des Parisiens. Via des modes de transport doux, générant moins de CO2. Et permettant de réduire les flux de camions sur les axes franciliens.   « A terme, en complément de leurs activités initiales, les ports Cemex pourront donc assurer le transit de certaines marchandises apportées par voie fluviale. Déchargées sur ses sites au cœur de Paris et distribuées au plus près des Parisiens par des camions électriques ou à l’hydrogène. Nous espérons voir très vite des flux se concrétiser auprès des chargeurs-donneurs d’ordre », conclut Benjamin Lecendrier, directeur production granulats et joint-venture France Nord chez Cemex.
Il y a 4 ans et 177 jours

Chronique du Geek – Les applications de novembre 2020

Encore un peu plus d’un mois et cette folle année arrive à son terme. Cependant, il n’est pas (tout à fait) encore question de vacances ou de pause. Alors pour continuer à vous rendre le travail quotidien plus facile, le Geek vous propose cinq nouvelles applications mobiles pour gérer le suivi de vos projets, prendre […] L’article Chronique du Geek – Les applications de novembre 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 177 jours

Pierre Verzat est réélu président de Syntec-Ingénierie

Un vote de confiance de la part des ingénieristes, dans un contexte de crise qui impacte plus particulièrement les entreprises des secteurs automobile et aéronautique.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Je suis très honoré d’avoir été réélu à la tête de Syntec-Ingénierie. J’entame ce nouveau mandat avec détermination. Le contexte est radicalement différent d’il y a deux ans. Plus que jamais, il reviendra à notre syndicat de porter et défendre les intérêts de nos entreprises afin de ne laisser personne au bord du chemin. Cela passe d’abord par la valorisation de la contribution essentielle des ingénieristes à l’heure de la relance. Un axe fort qui n’entamera pas l’engagement des ingénieristes en faveur de l’attractivité auprès des jeunes et du climat. »Une feuille de route ambitieuse au service des ingénieristes, cerveaux de la relanceValoriser le rôle de l’ingénierie dans les projets publics et privésLa dernière édition du baromètre économique de Syntec-Ingénierie révèle que l’activité des ingénieristes est à la baisse depuis la crise : c’est le cas pour 55% d’entre eux ce dernier trimestre et ils sont 62% à anticiper une nouvelle dégradation début 2021[1]. L’ingénierie intervient à la racine de tout projet industriel et de construction. Pour concevoir un pont, un véhicule à énergie verte, un bâtiment autosuffisant, il faut d’abord mener des études, réaliser des analyses… « Tant que notre profession ne sera pas occupée à 100%, c’est bien l’ensemble des activités industrielles et de construction qui seront freinées, reportées. A l’heure de la relance, cela doit être entendu comme un signal fort pour l’ensemble de l’économie. Dans ce contexte, ma priorité pour cette nouvelle présidence sera de valoriser le rôle clé de nos entreprises. Leurs contributions sont essentielles à la réussite, la performance et la durabilité des projets. Elles doivent être reconnues à leur juste valeur et cela passe aussi par des actions de défense de nos marges, qui sont les plus faibles d’Europe, et de rééquilibrage des relations contractuelles avec les donneurs d’ordres publics et privés. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Renforcer l’attractivité de la professionAlors qu’elles interviennent sur des projets d’avenir dans tous les secteurs d’activité, les entreprises d’ingénierie restent mal connues. Avant crise, elles rencontraient des difficultés à attirer les 80.000[2] talents – en particulier féminins – dont elles avaient besoin chaque année en raison d’un sous-effectif structurel de 2 à 4%.Pierre Verzat : « Il est clair que la crise est venue changer la donne et que les tensions sur les recrutements sont moins fortes. Néanmoins, de nombreuses opportunités existent encore et il faut se préparer au rebond. Nous maintenons donc avec détermination nos actions pour mieux faire connaître nos métiers et susciter des vocations. Nos entreprises entendent faire preuve de responsabilité pour que les jeunes ne soient pas une génération sacrifiée. »Amplifier l’engagement de la profession en faveur du climatEn octobre 2019, les entreprises d’ingénierie ont initié une démarche inédite à l’échelle de la profession en faveur du climat. À travers la charte de l’ingénierie pour le climat, elles se sont engagées à renforcer leurs initiatives à tous les niveaux d’actions pour apporter des réponses concrètes au dérèglement climatique.Pierre Verzat : « L’engagement des ingénieristes pour le climat reste intact. Et s’il y a bien une opportunité offerte par cette crise, c’est celle d’aller plus vite et plus loin dans la transition énergétique et écologique. A l’échelle de la profession, nous entendons renforcer nos engagements notamment via la quantification systématique de l’empreinte carbone de nos entreprises et de nos projets, et la formation à l’enjeu climatique de nos collaborateurs. Ils sont de plus en plus exigeants et souhaitent mettre en accord le poids carbone de leur activité avec leurs valeurs.»Pierre Verzat, un passionné au parcours d’excellence, à la présidence de Syntec-IngénieriePierre Verzat débute sa carrière en 1986 comme ingénieur naval à la Direction des Constructions Navales, en tant que spécialiste de la propulsion nucléaire. En 1992, il prend la tête de BEA (du groupe Dalkia), avant de rejoindre AREVA en tant que CEO d’ELTA. Après avoir dirigé la branche Transport-Environnement-Industrie à Technicatome, il rejoint EADS Group en 2005 comme Directeur industriel d’Astrium Space Transportation. Depuis 2011, il est président du Directoire de SYSTRA.Il occupe le poste de trésorier de la fédération SYNTEC en 2017. Après avoir siégé 5 ans au conseil d’administration de Syntec-Ingénierie, il en est élu président le 30 novembre 2018. Il est réélu par le conseil d’administration pour un nouveau mandat de 2 ans le 12 novembre 2020.Diplômé de l’École Polytechnique de Paris et d’ENSTA Paris, il est membre de la Légion d’honneur et a été primé en 2016 du European CEO Award de l’Association britannique du Conseil et de l’Ingénierie (ACE).[1] Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents du 2 au 8 novembre 2020. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l’industrie et la construction et dans tous les secteurs d’activité d’ingénierie.[2] Étude réalisée par le cabinet EY pour le compte de l’OPIIEC (Observatoire Paritaire des Métiers du Numérique, de l'Ingénierie, des Études et du Conseil et des métiers de l'événement) de juin à décembre 2018.
Il y a 4 ans et 178 jours

Lorenove lance la V2 de l’application My Lorenove

De nouvelles fonctionnalités pour optimiser la stratégie de communication des concessionnaires et simplifier les échanges au sein du réseau.  Depuis fin 2018, Lorenove mets à la disposition des concessionnaires et agences, l’application My Lorenove. Outil digital conçu pour fédérer le réseau, ce service permet aux concessionnaires et agences de suivre efficacement les actualités de la tête de réseau et vise à faciliter la communication entre eux. La version 2 vient tout juste d’être développée et intègre de nouvelles fonctionnalités. Pensées en concertation avec les concessionnaires, les évolutions visent à optimiser leur travail quotidien et leur réactivité.   3 NOUVELLES FONCTIONNALITES Adoptée par plus de 150 utilisateurs, l’application My Lorenove est entrée dans les usages quotidiens des concessionnaires. C’est d’ailleurs à l’appui de leur participation que 3 nouvelles fonctionnalités ont été développées pour répondre à leurs attentes, et, notamment : – Reporter les demandes de contact du site Internet de Lorenove sur l’application. Il est désormais possible pour les concessionnaires d’être informés en temps réel des demandes de contact de leur région qui émanent du site Internet. L’application et le site sont reliés, et, chaque utilisateur est associé à son point de vente. Ainsi, chaque demande est renvoyée vers le profil du concessionnaire au sein de l’application. Cette fonctionnalité leur permet d’être informés rapidement afin d’être plus réactifs pour répondre aux demandes et prendre contact partout, où qu’ils soient. – Disposer des liens essentiels. Un nouvel onglet de l’application référence les liens web essentiels aux concessionnaires afin de leur permettre d’avoir accès très facilement à leurs contenus, comme : leurs réseaux sociaux, l’interface de téléchargement des différents outils mis à leur disposition par la tête de réseau, le back-office de leur site web, le catalogue, etc. – L’envoi de photos. L’application permet désormais aux concessionnaires de transmettre instantanément au siège des photos des chantiers qu’ils réalisent. Une fois réceptionnées, les photos sont traitées et publiées sur le mini site local (du concessionnaire) hébergé sur celui de Lorenove. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux concessionnaires de créer de l’actualité sur leur site mais surtout, facilite et simplifie la publication des photos de leurs réalisations. En outre, ces publications sont très appréciées des internautes, elles favorisent les visites et les contacts. UN OUTIL POUR MAINTENIR LE LIEN ENTRE LES CONCESSIONNAIRES. L’application interne My Lorenove a été conçue pour permettre de fédérer et d’informer l’ensemble des membres du réseau. Elle offre aux concessionnaires la possibilité d’accéder à des informations utiles sur les opérations commerciales, les offres spéciales, les nouveaux produits, les actualités de la marque, etc. Par ailleurs, les notifications peuvent prévenir l’ensemble des utilisateurs de la publication d’un nouveau contenu et leur permettre de gagner en réactivité. Au-delà de son utilisation première, My Lorenove doit permettre également d’intégrer les nouveaux concessionnaires. De prochaines évolutions sont réfléchies en ce sens. Les concessionnaires requièrent la création d’un chat interne leur permettant de discuter entre eux via messagerie instantanée pour le partage d’expériences, ou encore la création d’un forum donnant lieu à des échanges sur des questions et thématiques communes, et au partage des bonnes pratiques.   La digitalisation du réseau est devenue un véritable enjeu pour Lorenove, et l’application My Lorenove est un outil précieux qui vise à fédérer et maintenir un lien mobile et permanent avec l’ensemble des concessionnaires. Car Lorenove le sait, l’existence même et la croissance du réseau se fondent autour des informations échangées entre les différents acteurs et de la qualité de la relation qui les lie.    
Il y a 4 ans et 178 jours

Fastned remporte l'appel d'offres pour des stations de recharge ultrarapides sur les autoroutes françaises

Fastned est spécialiste du développement et de l'exploitation d'infrastructures de recharge ultrarapides où les conducteurs peuvent charger leur véhicule électrique pour gagner 300 km de distance d'autonomie en 15 minutes avant de reprendre leur trajet. Basée à Amsterdam, la compagnie hollandaise a construit 129 stations de recharge ultrarapides à travers les Pays-Bas, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique depuis sa création en 2012. Fastned est coté en bourse chez Euronext Amsterdam.Le contrat avec l'APRR permettra à Fastned de développer un réseau de stations de recharge ultrarapides sur 9 sites desservant directement l'autoroute de Paris à Lyon, la route vers la Suisse ainsi qu'autour de Dijon, s'assurant que les chauffeurs de véhicules électriques peuvent voyager sans difficulté sur l'Autoroute du Soleil, de la capitale de la France jusqu'à Lyon. C'est la première fois que Fastned remporte un appel d'offres pour une infrastructure de recharge en France et c'est la première fois que l'APRR fait un appel d'offres public pour une infrastructure de recharge pour véhicule électrique.La construction des stations de recharge est prévue pour 2021 après quoi Fastned sera capable de les exploiter durant 14 ans. Sur chacun des sites, Fastned prévoit de construire une vaste station de recharge permettant de charger jusqu'à 16 véhicules simultanément. Cela permettra à des centaines de voitures par jour de recharger sur chaque site. Les stations comprendront un toit composé de cellules photovoltaïques sur une structure de bois certifié FSC, et délivreront une énergie 100% renouvelable dérivée d'un mélange d'énergie éolienne et solaire.Michiel Langezaal, PDG de Fastned : « Nous sommes ravis d'avoir été sélectionnés par l'APRR pour réaliser et exploiter des prestations de services sur les recharges ultrarapides de neuf aires de service. Ces sites assurent une entrée solide de Fastned sur le territoire français. De plus, cela prouve la transparence des procédures publiques pour émettre des contrats d'exploitation pour accélérer la réalisation d'infrastructures de recharge. Nous avons hâte de travailler en étroite collaboration avec APRR pour construire une meilleure infrastructure pour les conducteurs de véhicules électriques et jouer notre rôle à la hauteur des ambitions de la France pour le climat. »La vente des batteries de véhicules électriques (cela exclut les hybrides) dans l'UE a augmenté de 191% au cours des trois dernières années, mais le nombre de points de recharge n'a augmenté que de 58% (restant sous les 200 000), selon l'Association des constructeurs européens d'automobiles (rapport de l'ACEA). Les constructeurs automobiles et les responsables politiques craignent que le manque d'infrastructures de recharge limite l'adoption des véhicules électriques, même quand des gouvernements comme celui du Royaume-Uni cherchent à bannir les ventes de véhicules essence et diesel d'ici 2030.Caractéristiques des stations : Dans les stations électriques Fastned, les conducteurs et conductrices ajoutent 300 kilomètres d'autonomie à leur véhicule en seulement 15 minutes Chaque station a une capacité de chargement de centaines de voitures par jour Fastned distribue uniquement de l'énergie renouvelable qu'elle soit éolienne ou solaire
Il y a 4 ans et 178 jours

Béton[s] le Magazine 91 consacré à l’impression 3D, confiné mais ouvert à tous !

Couverture de Béton[s] le Magazine n° 91 – Novembre/Décembre 2020. Retrouvez le n° 91 dans la boutique acpresse.fr. A l’image du film “Un jour sans fin”, on pourrait presque parler d’une épidémie sans fin. En effet, avec ce nouveau confinement, nous avons tous eu la sensation d’un retour vers un passé proche. Alors comme en mars dernier, l’équipe d’ACPresse fait le choix de diffuser plus largement ce nouveau n° 91 de Béton[s] le Magazine. Avec une lecture en ligne, sur liseuse et la possibilité d’accéder, d’un simple clic, aux articles depuis la boutique du site acpresse.fr. L’occasion de découvrir notre nouveau dispositif de lecture en ligne de Béton[s] le Magazine. Au centre de ce dispositif, notre dossier “En couverture”. Réduction des volumes de matières premières, optimisation du site de travail, l’impression 3D prend lentement, mais sûrement sa place sur le secteur de la construction. Mais pour quelles applications ? Réglementation, modèle économique, formulation des bétons et mise en œuvre…, nous vous propose de découvrir les recherches et stratégies déployées par des industriels pour cette nouvelle technique. Vous y découvrirez aussi quelques exemples, parfois surprenants, de réalisations. Béton[s] le Magazine n° 91 est disponible en ligne Rendez-vous dans la boutique acpresse.fr. Et sur la liseuse, à la fin de l'article.   Il y a beaucoup à lire et à voir dans Béton[s] L’ouvrage le plus spectaculaire du projet “Saut-de-mouton de Bezons” est sans doute le pont bow-string, destiné à enjamber les voies ferrées de la ligne existante. [©ACPresse] La rubrique “Techniques & architecture” vous emmène à la découverte d’un établissement de pointe dans le domaine de la santé. Et donc la forme même du bâtiment, signé A+ Architecture, prend tout son sens. Rendez-vous à la clinique Saint-Jean, à Montpellier. L’autre visite est celle du “Saut-de-mouton de Bezons”. L’occasion de découvrir en texte et en images comment la ligne RER Eole Ouest se connecte sur le réseau ferroviaire existant, qui relie Paris à Cergy-Pontoise…Côté “Start-up”, c’est l’initiative Cemex Ventures, plate-forme stratégique pour entreprises innovantes, qui est mise en avant. Tout comme celle de ECL-Econet, pour réduire le pH des eaux en lien avec le ciment. Mesurer la température, la résistance, le taux d’humidité du béton. C’est ce que propose la start-up Concrete Sensors et sa solution de collecte de données. Enfin, il y a l’upcycling des déchets plastiques pour fabriquer des granulats légers ! La start-up argentine Arqlite nous en délivrent toutes les explications. .Deux focus animent la rubrique “A la Loupe – Zoom sur…” Tout d’abord, un panorama des différentes solutions d’ancrages proposées par les industriels du secteur. Ensuite, un tour du côté des centrales à béton de chantier permet de voir qui fait quoi sur le marché… Béton[s] le Magazine n° 91 est disponible en ligne Rendez-vous dans la boutique acpresse.fr. Et sur la liseuse, à la fin de l'article. Deux nouveautés produits sont aussi à découvrir dans ce n° 91 de Béton[s] le Magazine. La première montre qu’il est possible de rendre la construction caméléon. C’est l’industriel du béton Rector qui en fait la démonstration avec tout nouveau système de plancher-dalle Caméléo. Sans doute une révolution dans la manière de construire les immeubles de logements. Quant à Vicat, il annonce le lancement de son label bas carbone. Baptisé Déca, celui-ci permet l’identifier chaque solution répondant à ce critère particulier. Notre rubrique “Passé simple” devient “Béton d’Antan”. L’expertise, c’est au niveau du “Laboratoire de la Matière” qui faut la chercher. En premier lieu, il y a celle de Jérôme Canivet, chargé de recherche au CNRS, qui dévoile les solutions de valorisation du dioxyde de carbone pour une société industrialisée plus verte. Ensuite viennent celle de Paul Acker, qui signe ici son deuxième article. La thématique retenue : les chevilles et les goujons, dont la mise en place demande du savoir-faire et des points de détails à surveiller. Avant d’atteindre la fin de ce petit voyage tout en bétons, un premier arrêt doit s’opérer dans les contrées du Nord de la France. C’est là qu’est établi le groupe CB. Ce spécialiste des granulats, du BPE et des bétons réfactaires, explique son approche environnementale. Un difficile équilibre entre différentes contraintes antinomiques. La halte finale de ce n° 91 de Béton[s] le Magazine vous emmène beaucoup plus loin. Et ça fait du bien en cette période des déplacements limités… Il est temps de franchir l’Atlantique pour aller au pays des cow-boys et des Indiens. Sur la Route 66, avec les Wigwam Motels, les derniers tipis blancs en béton. Bonne lecture ! E n’oubliez pas de scruter l’horizon. Le béton est caméléon ! Je consulte le magazine sur liseuse.Je lis les articles en ligne à partir du sommaire. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 178 jours

Dans l’Oise, CuB’Drive : Pour un béton fabriqué à domicile

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 CuB’Drive propose de fabriquer sur place les besoins en bétons, quelle que soit la quantité.[©Cube] Cherchant un moyen d’offrir de nouveaux services à ses clients, CuBe a acheté un malaxeur mobile à matériaux à l’industriel italien Blend. Celui-ci permet de fabriquer in situ des bétons de voirie, fluides, fibrés, désactivés ou très classiques. « C’est un camion équipé d’un mélangeur permettant d’associer eau, ciment, granulats, adjuvants et fibres. Tout ce qui permet de concevoir une large gamme de formulations de bétons, explique Patrice Verschaeve, directeur général de la filière “Industrie du béton” de CuBe. Nous avons nommé ce concept CuB’Drive, puisqu’il permet de livrer sur place une quantité définie de béton. Sans payer de supplément pour les m3 non remplis ou manquants. » La facturation se fait en litres. C’est donc une solution idéale pour les artisans – notamment les maçons – et les paysagistes, qui n’ont besoin que d’un volume réduit de béton.  « Le CuB’Drive est destiné aux chantiers de petites tailles ou ceux situés en bordure des zones de chalandise de nos centrales. Typiquement, un maçon n’aura pas besoin d’envoyer un camion-plateau pour acheter un petit volume de béton. Nous pouvons même envisager de mettre sur pied des tournées de livraison, permettant de réduire les coûts de transport. » Pour l’heure, le camion complète le dispositif de CuBe en Picardie, s’appuyant sur un chauffeur et un commercial dédié. « Pour le moment, le démarrage des ventes est satisfaisant. Il faut que nos clients découvrent le concept. Mais dès qu’ils y ont “goûté”, ils y reviennent. D’autant que le CuB’Drive permet de commander plusieurs types de bétons à la fois, le camion pouvant multiplier les formulations », conclut Patrice Verschaeve. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 180 jours

Les centrales à béton de chantier

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 Centrale Arcen de la ligne Arcmov. [©Arcen] Comme son nom le laisse deviner, la centrale de chantier est destinée à être installée sur le site même de la construction pour l’alimenter en béton. Ceci, pendant toute la durée des travaux. Toutefois, les besoins d’un gros chantier de génie civil ne sont pas les mêmes que ceux d’une plus petite opération de bâtiment. Aussi, les outils de production ont su s’adapter à chaque besoin. De 30 m3/h à près de 150 m3/h ! Dossier préparé par Frédéric Gluzicki Ammann : La route des Indes Arcen : En mouvement Cifa by Euromecc : Fruit d’un partenariat Elkon : Réponse ultra compacte EMCI : Elargissement de gamme Europ’Equipement : Une centrale bien dimensionnée Imer : Pour tous les besoins des chantiers Liebherr : Une centrale bien ciblée Massfeller Beton2Go : Une approche inédite de la centrale Meka : L’affaire est dans le conteneur Oru France : Focus sur la gestion RheinMix Nisbau : Simple et ergonomique SBM : La France comme destination Schwing Stetter : Pour le gros chantier Stimm : Du modulable, mais de taille TCS : Nouvel entrant dans la centrale Et les autres Ammann a mis en service en Inde la plus moderne de ses usines pour assurer la construction des centrales déplaçables CBT.[©Ammann] L’acronyme TB indique la présence d’un tapis de transfert, plus compact, plus simple d’emploi et d’entretien qu’un traditionnel skip. Cet équipement pare les centrales Ammann de la ligne CBT 105-150 TB Elba. Des unités optimisées pour être transportées. Avec d’autant plus de facilité qu’elles sont produites en Inde, dans l’usine la plus moderne du groupe Ammann. Un choix stratégique pour décharger l’outil de production européen, bien chargé. Ammann a racheté cette usine il y a tout juste 3 ans. Depuis quelques mois, il produit des centrales CBT pour l’ensemble du groupe et de la planète. Y compris les malaxeurs dédiés. Toutefois, des éléments particuliers restent fabriqués en Europe, tels les silos monoblocs, peu pratiques pour les transports au long cours. Le cœur de la gamme CBT TB Elba est identifié par le nombre 120. En son sein, un malaxeur à doubles arbres horizontaux ECM 2500TP, capable d’offrir à l’unité un rendement de 105 m3/h. Pour ce faire, cette centrale reçoit 3 à 8 cases à granulats pour un stockage allant de 75 à 100 m3. Et jusqu’à 6 silos à liants. Parfait pour répondre aux besoins des chantiers les plus exigeants. Centrale Arcen de la ligne Arcmov.[©Arcen] Avec un nom comme Arcmov, les choses sont claires : il s’agit de l’offre mobile, donc chantiers, proposée par Arcen. Ce qui ne lui interdit pas d’être installée en fixe, pour l’industrie du BPE. D’autant que les capacités de production oscillent entre 40 et 120 m3/h. Pour ce faire, Arcen a imaginé un large choix de configurations. A commencer par le malaxeur qui peut être, soit à doubles arbres horizontaux (1 et 2,5 m3), soit à axe vertical (1 et 1,5 m3). Même approche pour le stockage des granulats, possible dans 4 trémies de 20 m3ou 5 trémies de 16 m3. Leur implantation est des plus souples : en ligne, à 90° ou à 270°. Enfin, côté options, Arcen n’est pas en reste. Silos à liants, systèmes de filtrage, de dosage des liants, des adjuvants, contrôle d'humidité, contrôle de consistance. A chacun de puiser dans cette liste à la Prévert. Centrale de chantier Cifa by Euromecc type FiveTech 500S.[©Cifa/Euromecc] Chez Cifa, la production des centrales, comme celle des malaxeurs, est assurée par Euromecc, dans le cadre du partenariat mis en place en 2018.Pour ce qui est de l’offre “chantier”, le binôme propose la FiveTech 500S. Ultra compacte, cette centrale s’inscrit dans un conteneur ouvert de 40’’, autorisant un transport monobloc. Toutefois, le ou les silos à liants devront être livrés à part. Galvanisée, l’ossature en acier intègre tous les composants de la centrale, y compris la cabine de commande. Son installation sur site ne nécessite aucun génie civil et se déroule sur une seule journée. Côté performances, la FiveTech 500S offre une belle capacité de production grâce au malaxeur planétaire 750/500 (500 l par gâchée). L’alimentation est faite à l’aide d’un skip. Dernier élément du système, les trémies à granulats. Celles-ci sont au nombre de 4, d’une contenance cumulée de 30 m3au maximum (4 x 7,5 m2). Leur remplissage se fait 2 à 2, de part et d’autre de la centrale. La MixMaster 30 est la centrale ultra compacte développée par Elkon.[©Elkon] L’industriel turc Elkon a su développer une large gamme de centrales de chantier. Au cœur de cette offre figure l’ultra compacte MixMaster 30. Elle se décline en deux variantes : avec 2 ou 4 trémies à granulats de 5 m3unitaire. Dans ce cas, c’est la taille du châssis de transport qui permet de faire la différence. Car le malaxeur est le même, un petit planétaire ou turbo de 500 l de capacité. De quoi produire entre 20 et 25 m3/h de béton. La pesée des granulats se fait dans le malaxeur même, contrairement aux autres constituants, opérés à l’aide de 3 bascules distinctes (eau, adjuvants et ciment). Enfin, pour assurer la traçabilité, un PC peut être connecté à l’unité de production, voire une cabine de commande, si utile. Au sein d’EMCIgroupe, Atec a vocation de construire de petites centrales. Celles à destination des chantiers. C’est ainsi qu’est née la Fyb 1000 et sa grande sœur, la Fyb 1500. EMCIgroup lance la dernière-née de ses centrales : l’Atec Fyb 1000.[©EMCI] Polyvalent, l’outil se décline en 2 variantes : chargement direct de bennes à béton ou remplissage de toupies. Dans ce dernier cas, le point de vidange se situe à 4 m de haut, contre seulement 2,50 m en version benne. Un petit tour du propriétaire permet de découvrir 2 ou 3 trémies en ligne d’une capacité unitaire de 20 m3. Dessous prennent place des casques de vidange et un tapis peseur. Celui-ci emmène son chargement en direction, soit d’un tapis de reprise, soit d’un skip. Juste au-dessus ont été installés les silos à liants. Ils sont 2, d’une contenance de 60 t. Ces éléments sont supportés par la structure même de la centrale. En bout de chaîne, le malaxeur. Atec a fait le choix d’un OMG planétaire de 1 m3ou de 1,5 m3. « Nous assurons la fabrication de l’entièreté de cette centrale, exception faite du malaxeur », indique Jean Forte, directeur d’Atec. Seul élément non intégré à l’unité de production : le local à adjuvants, placé dans un conteneur aménagé. Ne nécessitant aucun génie civil, l’ensemble d’une centrale Atec Fyb s’inscrit dans un rectangle de 15 m x 5 m. De quoi permettre son installation sur les terrains les plus étroits. En parallèle, EMCIgroupe propose d’autres centrales mobiles baptisées Amazone, avec des capacités de production allant jusqu’à 120 m3/h. Pour le chantier, Europ’Equipement propose l’Optimix. [©Europ’Equipement] Chez Europ’Equipement, c’est du côté de l’Optimix qu’il faut regarder quand on pense chantier. De type vertical, d’un encombrement de 10 m x 10 m, c’est la plus compacte des centrales proposées par l’industriel guérandais. L’outil s’articule autour du malaxeur à doubles arbres horizontaux de 1,5 m3maison. Le stockage des granulats se compose de 4 cases de 25 m3, dont le chargement peut s’effectuer directement par chargeuse et/ou par camion-benne. Côté liants, l’unité est disponible de base avec un seul silo, mais peut en accueillir 4. L’installation comme le démontage restent rapides, limités à environ 1 semaine de travail. La capacité de production de l’Optimix - 40 m3/h - lui permet d’alimenter jusqu’à 5 grues à tour. Elle offre aussi l’option d’une sortie BPE et/ou camion-toupie. Enfin, elle peut être équipée de son propre système de décantation. Bardée et couverte, cette centrale est proposée avec l’automatisme Eureqa, d’Europ’Equipement, ou avec tout autre automatisme à la demande du client. Dans les mois qui viennent, Europ’Equipement s’apprête aussi à lancer une centrale conteneurisée. Un concept dévoilé à l’occasion du prochain Intermat. Imer propose nombre de centrales pour les chantiers, dont la Multis 1500-1000.[©Imer] Pour beaucoup, Imer rime avec chantiers. Et ce, depuis 50 ans déjà ! Son offre de centrales pour cet usage se décline en différents outils : à tambour horizontal (avec cuve de malaxage), à malaxeur planétaire (type BPE) et à turbo-malaxeur. De quoi proposer des productions allant de 10 à 55 m3/h. Le choix est tout aussi large au niveau du stockage et de l’alimentation en granulats. Tout d’abord, le chargement au sol par rayon raclant (pour un stockage de 150 à 300 m3). Ensuite, le chargement par trémie d’alimentation (stockage unitaire de 3,5 à 13,5 m3pour un total de 10,5 à 54 m3). Enfin, le chargement par silos granulats (stockage sable de 33 m3et 27 m3pour le gravier). Pour les liants, chaque centrale peut être équipée de 1 à 3 moyens de stockage : trémie crève-sacs de 200 à 400 kg, trémie crève-big bags de 1 et 3 t ou silo de 20 à 60 t. Toutes les centrales Imer sont équipées du même automatisme maison EPS 2100 V. Celui-ci permet un pilotage à l’aide d’un écran tactile 7,5”. De même, les unités bénéficient d’un système de télé-transmission 3G des données de production en temps réel. Celui-ci permet à Imer d’offrir une télé-assistance. Enfin, les centrales Imer sont conçues pour être montées et démontées très vite : de 1 à 3 j selon les modèles. Ceci, en particulier avec les systèmes de raccordements électriques “Plug & Play” ou encore la fourniture de génie civil mobile. La Mobilmix 2.5 constitue le fer de lance Liebherr pour les chantiers.[©Liebherr] La Mobilmix 2.5 constitue le cheval de bataille de l’offre Liebherr pour la production de bétons sur site. L’outil est donné pour un débit horaire de 115 m3, grâce à son malaxeur à doubles arbres horizontaux DW 2.5 de 2,5 m3par gâchée. Le transport comme le montage de l’unité sont simples de par la présence de sous-ensembles pré-montés, pré-câblés et calibrés en usine. Le module de malaxage, skip et cabine de commande, sont réunis sur une première remorque. La seconde constitue les trémies à granulats, organisées en ligne. Même démarche pour chaque silo à liants. Après déploiement, connexion entre les différentes structures et réalisation de la rampe d’accès pour le remplissage des trémies, la centrale est bonne pour le service. Le tout, réparti sur une surface au sol de 34 m x 14 m, soit près de 476 m2. La Beton2Go est une mini-centrale pour le chantier ou le principe du BPE en libre-service.[©Massfeller] Depuis plusieurs années, l’Allemand Massfeller construit des centrales compactes. Ces dernières sont commercialisées sous la marque Beton2Go. Plus de 300 sont en service en Europe, dont quelques-unes en France. Poly Création en assure la distribution exclusive. La raison d’être des centrales Beton2Go est de proposer une approche en libre-service. Toutefois, s’agissant d’unités compactes, elles restent adaptées à un usage classique sur chantiers. Ainsi, les Beton2Go série MA se déclinent en 2 variantes : à 2 (type 2P) ou à 4 (type 4P) trémies à granulats de 3 m3unitaire. Elles intègrent aussi 2 tailles de malaxeur : 500 l (MA 15) ou 1 000 l (MA 30). « Ce sont des malaxeurs planétaires construits par Massfeller », indique Clément Préty, directeur de Poly Création. Et de poursuivre : « Ces centrales sont robustes, simples d’utilisation et d’entretien, et ne nécessitent aucun génie civil ». Un silo à ciment doit y être rattaché. Mais il est possible d’adapter une trémie vide-sacs, pour une installation dans des zones moins industrialisées. Au maximum, une surface de 110 m2est nécessaire pour déployer une unité Beton2Go. Enfin, les rendements offerts sont de 15 ou de 30 m3/h. De quoi répondre aux besoins des chantiers. La centrale MB-C30 de Meka tient dans un conteneur, ce qui simplifie son transport.[©Meka] Elle est compacte et tient dans un conteneur ouvert. Ainsi se présente la petite centrale de chantier MB-C30 signée Meka. L’industriel turc a choisi d’y intégrer tous les éléments : malaxeur mono-arbre de 500 l, skip de transfert et trémies à granulats. Le stockage se divise en 2 cases de 14 m3ou 4 cases de 7 m3. Le silo à liants est le seul équipement complémentaire à greffer pour rendre le dispositif opérationnel. Aucun besoin de génie civil, une plate-forme plane et porteuse suffit. Meka dédie sa MB-C30 pour les chantiers de courtes durées (6 mois à un an). Toutefois, si l’on souhaite aller au-delà des 30 m3/h proposés, il est possible de monter en gamme, la ligne MB compte 3 autres modèles capables de produire jusqu’à 115 m3/h. Oru France est l’un des spécialistes français de la centrale de chantier.[©Oru France] Pour Oru France, l’année 2018 fut celle de son jubilé. L’occasion d’un bel hommage à Michel Sanchez, son fondateur. L’année 2020 est tout autre pour l’industriel, qui met en avant ses nouvelles armoires de gestion, intégrant résistance au freinage et variateur, afin de protéger les réducteurs des bétonnières. Ces équipements bénéficient d’un PC, autorisant un pilotage type “BPE”. Gestion chantiers et clients, stocks et consommations, formulations, courbes de plasticité : tout est inscrit sur le disque dur. A cela s’ajoutent l’impression des bons de livraison avec les logos des clients et la compilation de la data pour une exploitation ultérieure. Enfin, le service technique d’Oru France peut prendre le contrôle de l’unité à distante pour assurer dépannage et entretien. De même, pour améliorer les conditions de travail, les armoires sont installées dans des cabines déjà aménagées. Ceci, avec un espace bureau, un kit “hygrométrie”, un extincteur, une trousse de premiers secours… Côté centrales, pas de révolution. Les capacités peuvent être de 1 m3, 1,5 m3ou 2 m3. Le stockage des granulats est réalisé en trémies avec tapis convoyeurs ou en tas associés à des rayons raclants. Un classique de la maison. Quant aux pulvérulents, ils prennent place dans des silos de 60 t ou plus. RheinMix Nisbau conçoit ses centrales pour qu’elles soient simples et ergonomiques dans leurs usages.[©ACPresse] Economiques. Voilà ce qui résume le mieux les centrales RheinMix Nisbau. Transport, montage et démontage, exploitation : tout a été optimisé. Ainsi, le transport catégorie 1 est réalisé sur un ou deux remorques tractables, selon le modèle (EM 60 ou EM 100 et 120). Aucun génie civil n’est nécessaire et le montage se fait en 2 à 4 j. L’EM 60 ne demande même pas de grue, étant pourvue d’un système de levage intégré. Pour faciliter l’entretien, les centrales sont galvanisées. Automatisées, elles sont aussi pré-calibrées et pré-câblées en usine, rendant plus rapide leur mise en service. Toutes reçoivent un malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS Sonthofen : le DKX 1.25 sur l’EM 60, le DKX 2.5 sur l’EM 100 et le DKX 3.0 sur l’EM 120. Les dosages des granulats, ciments, adjuvants et de l’eau sont tous pondéraux. De quoi garantir une parfaite maîtrise de la teneur en eau de chaque gâchée. Pour les granulats, l’opération est réalisée sur tapis. Pas de skip non plus sur l’installation, mais un tapis de reprise et de transfert. Ce dernier fait aussi office de “zone-tampon”. Les centrales RheinMix Nisbau produisent des bétons suivant la norme NF EN 206/CN. Elles savent éditer les bons de livraison comme les bons de pesée. Enfin, elles peuvent être complétées par un alimentateur automatique de fibres métalliques ou synthétiques. L’Autrichien SBM vise le marché français des centrales à béton.[©SBM] A pas feutrés, l’Autrichien SBM cherche à pénétrer le marché français de la centrale. Au sein d’une offre plus que large se distingue l’unité super mobile Euromix 3300 Space. Ce qui frappe de prime abord est le design épuré du module de malaxage, intégré dans une élégante remorque. Toutefois, en y greffant trémies à granulats et silos à liants, l’outil reprend les classiques codes visuels des centrales de chantier. L’Euromix 3300 Space offre une capacité de production de 145 m3/h, grâce son malaxeur de 3,33 m3. C’est cette unité qui a été choisie pour fournir toute la palette des bétons utilisée pour la construction d’un campus éducatif à Münich, en Allemagne. Là, l’entreprise de BTP Pfeiffer Bau a opté pour une offre complète, comprenant aussi une station de traitement des bétons résiduels et une installation de chauffage. Cette combinaison a permis un flux fluide et simple des activités de construction, quelles que soient les conditions météo. Et une parfaite coordination de toutes les interfaces. « Cette centrale constitue notre solution mobile polyvalente. Elle peut produire tous les bétons couverts par la norme EN 206, soit plus de 1 000 formulations différentes », souligne Gerhard Gschwandtner, cher de projet SBM. Une belle référence en Allemagne, en attendant un déploiement prochain en France... Avec le M3, Schwing Stetter cible avant tout les très gros chantiers.[©Schwing Stetter] Pour les chantiers, mais les gros, Schwing Stetter a développé la centrale M3. En son cœur, un malaxeur à doubles arbres horizontaux spécifique : le DW 3.0 B. La différence avec le DW 3.0 “classique” ? L’outil est plus compact, donc moins encombrant que son aîné. Mais pour des performances équivalentes. Ainsi, on peut y associer jusqu’à 5 silos à liants, que l’on dispose à droite du module de malaxage, à gauche, derrière. A vrai dire, presque comme on veut. Idem pour les trémies à granulats, qui peuvent être positionnées à 90°, 180° ou 270° par rapport au même module de malaxage. En standard, le bloc trémies se divise en 4 cases de 45 m3, certaines pouvant être dédoublées. Il comprend le support indispensable à la création de la rampe d’accès pour permettre les remplissages à la chargeuse. Trois jours à peine sont nécessaires pour monter et mettre en service une M3. Pas de travaux de fondations, mais un petit génie civil reste à prévoir, sous la forme d’une dalle de propreté sous la zone de chargement des toupies et sous les silos à liants. Stimm conçoit des centrales sur mesure pour répondre aux besoins de chaque client.[©Stimm] Chez Stimm, la centrale de chantier, c’est du lourd ! Une réponse adaptée aux grosses opérations de construction, tel le chantier du Lyon - Turin où l’industriel a décroché la première centrale du chantier sur les neuf qui y seront installées. Au cœur du dispositif, un malaxeur à doubles arbres horizontaux OMG Sicoma, d’une capacité de 3 m3, équipé d’un système de lavage haute pression. Une bascule à eau, une à ciments, une trémie d’attente granulats complètent le bloc de malaxage. Celui-ci présente une dimension de 6 m x 6 m. A l’étage “malaxeur” prend place un plancher en tôle pleine aluminium et tôle de propreté sur le pourtour. A l’étage “pesage”, un plancher en caillebotis. Enfin, un dernier étage “motorisation skip” facilite les opérations de maintenance. Une trémie de chargement couverte de 15 m3 est présente en pied de centrale. Une bande transporteuse assure le transfert des granulats vers un tapis de distribution orientable. Le stockage final est composé de 6 trémies de 68 m3unitaire. Dessous sont installés trois casques pneumatiques et trois extracteurs, qui assurent le dosage des granulats sur le tapis peseur suspendu. Un skip permet un transfert vertical. Enfin, les granulats sont déversés dans une trémie d’attente, équipée d’un peson “présence matériaux”. Les liants bénéficient d’un stockage en silos : 6 x 75 m3(ou 6 x 100 t). Un bungalow de commande et un conteneur “atelier, compresseur et surpresseur” complètent l’outil de production. Ne disposant pas de roues, l’ensemble des éléments est transporté sur remorques pour permettre une implantation sur le chantier. La Modulmix a été développée par le Lyonnais TCS pour répondre aux besoins des chantiers.[©TCS] Techniques Chantiers Services ou TCS : derrière ce nom se cache un nouvel acteur de la centrale à béton. Depuis quelques années, cet industriel lyonnais développe une ligne de petites centrales de chantier à rayon raclant baptisée Modulmix (MMX). L’offre se décline en trois variantes. Les deux premières sont équipées de cuves de malaxage de 1 000 l et 1 500 l pour des capacités de production de 22/24 m3/ et 30 m3/h. La troisième - MMX 1123 - reçoit un turbo-malaxeur, permettant d’offrir une cadence de 24 m3/h « Le prototype des centrales MMX a été réalisé dans notre atelier et a tourné sur 3 chantiers pendant 16 mois, produisant quelque 10 000 m3sans problème,résume Yves Lacour, gérant de TCS. Après cette phase de tests positifs, nous avons choisi de passer à la vitesse supérieure, en industrialisant la production. » Une mission confiée à l’industriel serbe Simi, qui construit des centrales à béton depuis 35 ans. Aujourd’hui, TCS est le distributeur exclusif de la marque pour la France. Ceci, en plus de la vente de sa propre centrale Modulmix. « Nous avons tout auto-financé et commençons la commercialisation de nos MMX,reprend Yves Lacour. La première est une MMX 1000 l, tout juste installée à Lyon. » Si l’outil est construit par Simi, le câblage et l’automatisme sont réalisés au sein des ateliers TCS. Idem pour certaines pièces particulières, afin de rendre l'ensemble captif. « Nous concevons nos automatismes depuis maintenant 12 ans, avec plus de 60 installations en fonctionnement à ce jour. » Historiquement, TCS est une entreprise de maintenance, de montage et de reconditionnement de centrales de chantier, de préfabrication et de BPE. « Nos clients sont des PME du bâtiment et aussi des majors comme Eiffage Génie Civil, que nous avons équipé en automatisme, ou Freyssinet, pour qui nous avons réalisé des prototypes. »A l’image d’une centrale foraine destinée à réaliser des Bfup sur chantier avec le Ductal de LafargeHolcim : 4 chantiers en 12 mois, dont un au Royaume-Uni... Le monde de la centrale de chantier reste vaste et l’offre va au-delà des acteurs présents dans ce dossier. D’autres industriels interviennent sur ce marché, mais n’ont pas pu ou pas voulu donner suite à nos sollicitations. Aussi, pour mémoire, voici leur nom : CST Sipe, Fibo Intercon, MCF Systems, Sami, Semix, Tecno-Béton, Warzée.   Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 91  Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 180 jours

Concrete Sensors : Connaître son béton de l’intérieur

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 Noyé dans le béton, lié à une armature, le capteur de Concrete Sensors transmet la température, la résistance et l’humidité du béton durant sa phase de prise. [©Concrete Sensors] « Qu’est-ce qu’il y a dans mon béton ? » Pour répondre à cette question, deux Américains, Brendan Dowdall et Ryan Twomey, ont fondé Concrete Sensors, en 2015, à Boston. Leur concept est simple dans l’idée : noyer un capteur lors du coulage du béton, en le liant à une armature. Reste à récupérer les données. Pour cela, Concrete Sensors propose deux solutions : l’une sur site et l’autre automatique. Lorsque l’on opte pour une collecte sur site, le capteur NovoConcrete est appairé avec un téléphone portable et une application dédiée. Chaque fois que le téléphone passera à portée du capteur, les données seront collectées. Elles seront alors disponibles sur NovoSyte Cloud Software, sous forme d’une application sur mobile ou navigateur. Quant à la solution automatique, elle est destinée aux chantiers de plus grande envergure, lorsque la taille de la construction est trop importante pour collecter les données, en l’arpentant sur le site. Cette fois, le capteur est appairé avec NovoHub, une solution de récolte de données 24 h/24 et 7 j/7. Là aussi, les données sont accessibles via le NovoSyte Cloud Software. NovoLab, une version pour les tests de laboratoire est aussi disponible. Ces données collectées sont la mesure de la température du béton, sa résistance et son taux d’humidité. Des valeurs essentielles pour suivre la bonne prise des bétons. Elles sont présentées sous forme de graphiques, permettant une rétro-analyse, en cas de sinistre. L’ensemble préparant ou se passant de carottages ou de tests sur cylindre. La solution a convaincu Hilti. Le géant américain de l’outillage et des accessoires a acquis Concrete Sensors, tout en lui laissant l’indépendance de sa croissance et de ses développements. La start-up fait désormais partie du portefeuille de solutions de digitalisation de la construction de la marque. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 181 jours

L’Aerolithys débarque à Nantes

Le camion Aerolithys parcourt les routes de la région nantaise pour faire découvrir son concept de béton mousse. [©Aerolithys] Dans la région nantaise, Stonart a investi dans un béton mousse coulé en place depuis une centrale mobile. Baptisé Aerolithys, le système a été conçu par la marque italienne Isoltech. « Il s’agit d’une technologie utilisée depuis des années aux Etats-Unis et dans certains pays d’Europe, dont l’Italie, explique Jackie Fronteau, gérant de Stonart. Le béton mousse permet de réaliser des remblais légers, des chapes de ravoirage, des toits-terrasses, de l’isolation sous dallage ou des remplissages géotechniques. » Composé de ciment, d’eau d’additifs fluidifiants et d’un agent moussant, le béton mousse présente, selon les besoins, une densité allant de 200 à 400 kg/m3. « C’est la solution parfaite pour remplir les parois entre les tunnels et les roches, par exemple, ou pour combler les trous lors d’effondrement. C’est une technologie qui a déjà largement fait ses preuves, mais qui doit mieux se faire connaître en France. D’autant que sa production depuis le camion dédié permet une totale indépendance. » Pour le moment en démonstration dans la région nantaise, le camion Aerolithys devrait rapidement partir à l’assaut de l’Ile-de-France. Avant de faire des petits. « Notre idée est d’installer la marque avec d’autres investissements, puis de créer des franchises un peu partout en  France. Tout en restant le distributeur exclusif d’Isoltech », conclut Jackie Fronteau.
Il y a 4 ans et 181 jours

Trois questions à… Céline Florence, responsable de la chaire “Béton”, à l’ESTP Paris

Cet article est à retrouver dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine. Avec ses 2 700 élèves en formation initiale, l’ESTP Paris est l’une des grandes écoles d’ingénieurs françaises. Mêlant enseignement et recherche, l’établissement s’est doté de l’Institut de recherche en constructibilité (IRC), qui explore les différentes thématiques qui composent la construction, sous l’angle de la constructibilité. Parmi ses 10 laboratoires, l’ESTP Paris accueille la chaire “Ingénierie des bétons” depuis 2014. Céline Florence en est la responsable. Elle nous parle de l’impression 3D et comment cette discipline s’est installée sur les paillasses. Céline Florence, responsable de la chaire “Béton”, à l’ESTP Paris. [©ESTP] Qu’est-ce que l’impression 3D béton ? Nous parlons plutôt de fabrication additive, synonyme d’impression 3D, qui représente plus la notion de fabrication par couches successives. A la base, cette technologie vient de l’industrie de l’automobile et de l’aéronautique. Il existe 2 principales techniques : la dépose d’un cordon de béton couche par couche et la liaison sélective. En termes de matériaux, le travail sur la formulation se fait à 3 niveaux. D’une part, sur la pompabilité. D’autre part, le béton doit pouvoir être extrudé pour passer par la buse. Et enfin, la formulation doit prendre en compte le temps de prise et de montée en résistance pour supporter le poids des couches qui se superposent. Nous sommes au début de la fabrication additive béton, mais la faisabilité a déjà été démontrée. Quels en sont les avantages ? La fabrication additive est un vrai changement de paradigme. Elle apporte une liberté de formes, une rapidité de construction et pas de contraintes de coffrage. Elle s’inscrit aussi dans une démarche d’éco-conception : mettre le matériau là où on en a besoin et optimiser la consommation de matière. Et dans une approche globale, la fabrication additive permet de réduire les coûts. Sur chantier et en usine, elle peut diminuer la pénibilité du travail et en transformerait l’organisation. Avec de nouveaux rôles pour la partie conception/robotisation. Après, elle ne s’adapte pas à tous les cas de figure, mais je ne pense pas que ce soit la volonté non plus… L’impression 3D est un outil, pas un but en soi. L’ESTP dispose d’une imprimante de paillasse pour l’impression de petits objets. [©ESTP] Comment s’inscrit cette discipline au sein de l’ESTP Paris ? Nous sommes en pleine restructuration sur cet axe de recherche. Mais nous avons déjà accueilli certains projets autour de la fabrication additive. Notamment, au niveau de l’optimisation de la formulation du béton. L’impression 3D béton se prête bien à une approche transverse, qui pourrait toucher de nombreuses thématiques de l’IRC. Nous disposons d’une imprimante de paillasse pour l’impression de petits objets. Enfin, la fabrication additive est évoquée dans les cours plus généraux, sur la construction 4.0 ou le béton… Propos recueillis par Sivagami Casimir Aller plus loin : Dossier : L'impression 3D Imprimer tout ou une partie d’une construction plutôt que de la couler en béton. Mais est-ce vraiment l’avenir de la construction ? Quelles sont les limites de ce procédé ? Qu’en est-il des matériaux utilisables ? Il est temps d’en savoir plus... Groupe Peri en première ligne sur l’impression 3D Coffrages, étaiements, échafaudages… Depuis 2 ans, l’industriel allemand Peri a ajouté l’impression 3D béton à la liste de ses savoir-faire. Il dispose d’une équipe dédiée à cette nouvelle technologie et d’une participation au sein de Cobod. Constructions 3D développe le plug & play Lutter contre le mal-logement grâce à une technologie de pointe ? C’est l’objectif de Constructions 3D. La start-up développe des solutions clefs en main sur le principe du “plug & play”. Au pays de l’ultra-personnalisation avec le groupe Saint Léonard « De façon générale, l’impression 3D nous permet d’évoluer », déclare Bertrand Malet, directeur développement et R&D du Groupe Saint Léonard. Comment la discipline embrasse-t-elle le monde de la préfabrication ? Dans la construction hors site, les deux peuvent se compléter mutuellement. C’est tout du moins ce que croit le groupe. Vicat : sur terre comme en mer Concernant l’impression 3D, Vicat met un point d’honneur à travailler en partenariat. Ces collaborations permettent au groupe de développer des produits spécifiques pour ce domaine. Focus sur 3 projets avec Olivier Martinage, ingénieur R&D et chargé de projet impression 3D. Ciments Calcia : « Un prémix bien dosé et bien pesé » Comment les cimentiers s’emparent-ils de l’impression 3D ? Patrick Mézière, responsable projet innovation chez Ciments Calcia, nous explique la démarche du groupe HeidelbergCement. L’incontournable XTreeE CQue ce soit en France ou dans le monde, XtreeE a réussi à s’imposer comme un acteur incontournable de la fabrication additive. Saint-Gobain Weber Beamix, dans le concret Saint-Gobain Weber Beamix, filiale néerlandaise du groupe éponyme, dispose de sa propre usine d’impression 3D béton, à Eindhoven. Une façon de développer son savoir-faire et de prendre part à des projets concrets. Cemex, le matériau en ligne de mire Le groupe Cemex explore l’impression 3D depuis plusieurs années. Quel présent et quel avenir pour la technologie ? Réponses avec Davide Zampini, directeur de la R&D du groupe. Impressions lunaires Comment vivre de manière durable sur la lune ? Spécialisé dans l’impression 3D, l’industriel texan Icon a été chargé de trouver des réponses à travers le projet Olympus.
Il y a 4 ans et 181 jours

Exxia : Eazzy, une autre vision des logiciels métiers

Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine David Ortolan est le président de l’Exxia, éditeur de logiciels métiers pour le secteur de la construction. [©ACPresse] « Nous sommes partis d’une page blanche. »D’entrée de jeu, David Ortolan annonce la couleur. Tout aussi neuve est l’entreprise Exxia, à l’origine du projet. A peine une année d’existence. David Ortolan en est le dirigeant, après un passage chez des éditeurs de logiciels.  Exxia se définit comme un éditeur de logiciels métiers pour la construction. Son premier développement s’appelle Eazzy. « Ce nom évoque la simplicité d’utilisation, la fluidité, la rapidité. »Il s’agit d’un ERP, c’est-à-dire un progiciel de gestion intégré. Exxia en lance aujourd’hui les deux premiers modules. Disponible depuis quelques mois, Eazzy Laboratoire se destine au contrôle de la qualité des matériaux en laboratoire. « C’était là une des principales demandes de notre réseau », indique David Ortolan. Ce module, qui fait déjà le bonheur du producteur de BPE Béton Solutions Mobiles, se veut en même temps une plate-forme web et une application mobile. Compatible en particulier avec les presses 3R, il sait en récupérer les données, de manière simple et rapide. Orienté France et international « Nous avons beaucoup travaillé l’ergonomie. Par exemple, le temps nécessaire pour la maîtrise de l’outil est trois fois moindre en comparaison aux solutions existantes sur le marché. »Le tactile et la reconnaissance vocale sont disponibles dans le système. De même, les données de production peuvent être récupérées pour assurer leur traitement normatif. Plus en amont, la formulation des bétons s’intègre de manière naturelle dans le contrôle qualité, bien qu’Exxia annonce, d’ores et déjà, l’arrivée prochaine du module Eazzy Prédictive.  Tout juste finalisé et déjà acquis par un premier utilisateur, Eazzy ADV est le deuxième module du système. Sa mission : l’administration des ventes, comme son acronyme le laisse deviner. Là, Exxia se positionne plutôt sur l’export. A l’inverse d’Eazzy Laboratoire, bien orienté sur la France qui est « demandeuse de nouveaux acteurs et de nouvelles solutions de suivi de la qualité ». De plus, toute la suite est disponible en anglais et en espagnol, en plus du français… Durant l’année 2021, Exxia poursuivra les lancements. Le CRM (gestionnaire de la relation clients), le module stock/logistique ou encore celui dédié aux ressources humaines sont déjà sur les rails. D’autres, plus spécialisés, compléteront le système. « Nous savons développer de petites applications particulières », indique David Ortolan.   Référencé chez Canon Business Solutions Côté déploiement, Exxia a imaginé quelque chose de simple, bien dans l’air du temps : le mode locatif. On ne parle pas ici d’un nombre d’utilisateurs connectés, mais plutôt du nombre de sites reliés au système. « C’est beaucoup plus facile à administrer pour une entreprise possédant plusieurs sites de production. » Toujours dans le cadre de son développement et malgré son jeune âge, Exxia a réussi à intéresser un grand nom de la distribution cloud de solutions métiers. « Nous venons de valider la mise en place d’un partenariat avec Canon Business Solutions », dévoile David Ortolan. Cherchant à développer son offre en direction de la construction, Canon semble avoir trouvé ici son partenaire idéal. « Nous sommes référencés chez eux et nos solutions sont destinées à être distribuées via leur plate-forme. Nous bénéficions aussi de leur force de frappe. Sans compter la crédibilité et l’assurance vis-à-vis des grands comptes », résume David Ortolan. Et de conclure : « De plus, Canon Business Solutions va mettre à notre disposition une partie de sa force en back-office ». Retrouvez cet article dans le n° 91 de Béton[s] le Magazine  
Il y a 4 ans et 182 jours

L’agence Hérault Arnod Architectures sélectionnée pour concevoir le futur camion-musée MuMo x Centre Pompidou

L’agence Hérault Arnod Achitectures a été choisie pour concevoir le projet d’aménagement du futur camion itinérant MuMo x Centre Pompidou.  Ce nouveau Musée Mobile a été imaginé - en collaboration avec l’artiste Krijn de Koning – comme un dispositif simple et polyvalent, adaptable à divers usages. Il permettra la diffusion des œuvres de la collection du Centre Pompidou pour rendre l’art contemporain accessible aux personnes à distance de l’offre culturelle des grandes villes....
Il y a 4 ans et 182 jours

Formation amiante SS4 à distance, c’est possible !

Une solution e-learning pour vous faciliter sa mise en conformité avec la réglementation SS4Pour un encadrant technique ou de chantier, il n’est pas toujours simple de bloquer une semaine complète dans son emploi du temps. C’est pourquoi AC Environnement a voulu faciliter l’accès à sa formation en adaptant ses cours au format distanciel.Ainsi, sur les 35 heures nécessaires à la formation SS4 initiale, 28 heures ont été transformées en version digitale. Ces heures de cours sont accessibles 24/24H et 7/7J, chacun est libre d’organiser son temps de formation comme il l’entend. Un réel gain de temps, mais aussi d’argent grâce à l’économie des déplacements voire d’hébergement.Une dernière journée de formation en présentielle est à prévoir tout de même. Elle peut être dispensée dans l’un des centres ASE Formation ou bien en intra entreprise grâce à une plateforme mobile qui se déplace jusque chez le client.La formation SS4 : une obligationAfin de protéger ses intervenants lorsque la présence d’amiante est avérée sur un chantier, les entreprises sont dans l’obligation de respecter la réglementation amiante sous-section 4 (SS4) du Code du Travail.Pour cela, tous les travailleurs intervenant sur un chantier susceptible de les exposer à des fibres d’amiante doivent être formés. Ces derniers doivent être équipés de protections individuelles (EPI) adaptées à l’amiante et savoir quels modes opératoires utiliser.Attention ! L'inspection du travail renforce ses contrôles et les infractions aux règles peuvent être sévèrement punies : Il en va de la santé des travailleurs et de la pérennité de l'entreprise.Souscrire à une formation SS4 E-learning pour encadrant technique ou de chantier :https://www.ase-formation.com/produit/amiante-ss-4-operateur-de-chantier-initial/
Il y a 4 ans et 182 jours

Ouverture d’un nouveau centre Alfa Laval d’application et d’innovation pour la manipulation des fluides au Danemark

Alfa Laval, a global leader in heat transfer, centrifugal separation and fluid management, is opening a cutting-edge application and innovation center in Kolding, Denmark. This center will strengthen the company’s technological leadership in the area of ​​hygienic fluid transfer and will place Alfa Laval at the forefront of customer engagement, product innovation and customer process optimization. The investment in this new 1,600 square meter application and innovation center meets Alfa Laval’s strategic objective: to accelerate product innovation and generate customer interest in pumps, valves and Alfa Laval cleaning and mixing equipment used in the food and pharmaceutical industries.  “It’s about optimizing our customers’ production,” explains  Mikkel Nordkvist, vice-president of the “hygienic transfer of fluids” division and responsible for industrial management. “Customers can observe, in person or by direct connection, the operation of Alfa Laval equipment in their actual conditions of use. Carrying out tests with Alfa Laval industry experts helps increase efficiency, improve hygiene and reduce costs in a sustainable way by saving energy, water and cleaning products . This is the perfect opportunity to guarantee overall performance. «   “The center offers a unique environment for developing technologies and equipment for the fluid transfers of tomorrow. Numerous test benches equipped with state-of-the-art hardware and software allow us to drive innovation by conducting rigorous proof-of-concept experiments on new equipment for the food and pharmaceutical industries at numerous points of service, all within conditions close to reality ”, says Rikke Kau Breinholt, vice-president of the division“ hygienic transfer of fluids ”and responsible for research and development at Alfa Laval. “Customer test results also allow us to refine our equipment and bring new products and customer-focused product improvements to market more quickly. Accelerating product development and innovation then allows us to offer more value to our customers. «   Did you know that…  Alfa Laval has several competence and test centers around the world, including four in Denmark: in Soborg (decanters for food and water applications), in Aalborg (marine applications), in Nakskov (membrane filtration applications) and now in Kolding (fluid handling)? Presentation of Alfa Laval The Alfa Laval company is active in the fields of energy, marine, as well as food and water. It offers its expertise, products and services to many industries in around 100 countries. She is committed to optimizing processes, creating responsible growth and fostering progress by going the extra mile to help her clients achieve their business and sustainability goals. Alfa Laval’s innovative technologies are dedicated to the purification, refining and reuse of materials, thus promoting a more responsible use of natural resources. They help improve energy efficiency, heat recovery and water treatment as well as reduce emissions. Alfa Laval thus accelerates not only the success of its customers, but also that of people and the planet. To improve the world, every day. All this,  Advancing better TM . Alfa Laval has 17,500 employees. In 2019, its sales amounted to around 4.4 billion euros. Alfa Laval is listed on the Nasdaq OMX stock exchange. www.alfalaval.com www.alfalaval.com/ApplicationKolding For more information, please contact the following person: Mikkel Nordkvist Vice-president of the hygienic handling of fluids division and responsible for industrial management Telephone: +45 31 12 69 25 Email address:  mikkel.nordkvist@alfalaval.com Rikke Kau Breinholt Vice President of the Hygienic Fluid Handling Division and Head of Research and Development Telephone: +45 28 95 43 34 Email address:  rikkekau.breinholt@alfalaval.com Marianne Hojby Head of Marketing Communications Alfa Laval Nordic A / S Mobile: +45 28 95 44 71 Email address:  marianne.hojby@alfalaval.com
Il y a 4 ans et 182 jours

SPHÈRE : un bâtiment imprimé en 3D à Harfleur (76)

Fruit de la collaboration entre le bailleur social Immobilière Basse Seine (société de 3F/ groupe Action Logement), Bouygues Bâtiment Grand Ouest et Archétude, Sphère résulte d'une nouvelle expérimentation d'impression 3D menée selon le procédé innovant développé par la startup hollandaise CyBe, qui propose une solution complète de construction en béton automatisée sur site. Il s'agit du troisième bâtiment imprimé en 3D en France et du premier en région Normandie.Un lieu d'accueil imprimé en 10 jours au cœur d'une résidence portée au niveau bâtiment basse consommation (BBC)« Sphère » est en train de sortir de terre au cœur de la résidence « Maréchal de Lattre de Tassigny » d'Immobilière Basse Seine, une résidence de 180 logements sociaux située à Harfleur (76). Ce projet s'inscrit dans la continuité du vaste programme de réhabilitation de la résidence bâtie dans les années 70 engagé par Immobilière Basse Seine avec le soutien du Havre Seine Métropole. Cette réhabilitation réalisée dans le cadre d'un marché global de performance vise à renforcer la qualité architecturale des bâtiments, à améliorer le confort des habitants et à garantir pendant 15 ans une baisse de 40% des consommations d'énergie de la résidence. Ce programme de travaux est en cela à la fois garante du pouvoir d'achat des 180 ménages et protecteur de la planète. S'ajoute aujourd'hui la construction sur site, en 10 jours seulement, d'un espace d'accueil innovant préfigurant l'avenir de la construction à la fois par sa forme et par son procédé constructif.Toujours à la pointe de la technologie et impliqué sur les thématiques émergentes du BTP, Bouygues Bâtiment Grand Ouest orchestre cette nouvelle expérimentation d'impression 3D d'un bâtiment, la seconde après YhnovaTM, une maison imprimée en septembre 2017 pour Nantes Métropole Habitat.Dessiné par Archétude, Sphère est un bâtiment indépendant de 29 m2 qui abolit l'angle droit pour offrir un espace moderne et convivial. Il sera dédié au gardien et à l'accueil des locataires de 300 logements d'Immobilière Basse Seine : ceux de la résidence « Maréchal de Lattre de Tassigny » et de 3 autres situées à proximité.Une technologie de construction additive développée par cybeLes murs de cet espace de 29 m2 sont réalisés en 9 pièces majeures verticales indépendantes de 2,5 m de largeur et jusqu'à 3,3 m de hauteur. Le robot de CyBe imprime directement sur site les parois en béton en différentes couches successives. Les murs sont composés de plusieurs peaux qui renferment l'isolant et une structure de chaînage. Pour cette nouvelle expérimentation, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, avec l'appui de la R&D Bouygues Construction, a fait appel à la startup CyBe qui a déjà plusieurs réalisations à son actif à travers le monde, notamment à Dubaï avec le R&Drone laboratory en 2017. La startup hollandaise met en œuvre une technologie très innovante d'impression en 3D au moyen d'un robot 6 axes de grandes dimensions, le robot CyBe R 3Dp ne nécessitant que 2 pilotes. Mobile, il permet d'imprimer directement sur site ou de pré-fabriquer en fonction des besoins. Cette technologie repose sur l'impression directe du béton, contrairement à Yhnova, avec la technologie BatiPrint3DTM, qui consistait à imprimer un coffrage en polyuréthane destiné à être rempli de béton.
Il y a 4 ans et 185 jours

Les premiers résultats du plan de relance sont "très encourageants" selon Bercy

Si l'essentiel du plan de relance de 100 milliards d'euros doit se déployer d'ici à 2021, plusieurs mesures sont déjà en vigueur.En matière de rénovation énergétique des bâtiments, le dispositif "MaPrimeRénov" monte en puissance, après avoir été renforcé pour inciter davantage de ménages à lancer des travaux dans leurs logements.Alors que moins de 50.000 ménages l'avaient sollicité entre janvier et juin, il y a eu 20.000 dossiers déposés en septembre et 30.000 en octobre.Du côté de la rénovation des bâtiments publics, le gouvernement prévoit de désigner d'ici la fin du mois les lauréats d'appels à projets. Plus de 5.000 projets ont été candidats, représentant une demande de financement de 8 milliards d'euros pour une enveloppe prévue de 2,7 milliards.Sur le volet consacré à la réindustrialisation de la France, 323 projets ont déjà été désignés pour bénéficier d'un soutien de l'Etat via un guichet doté initialement de 550 millions d'euros pour cette année et que le gouvernement prévoit de réabonder de 250 millions d'euros.Sur le volet dédié à l'emploi, plus de 42.000 demandes d'aides à l'embauche d'un apprenti ont été accordées au 1er novembre, sur près de 80.000 demandes.Plus de 67.000 demandes d'employeurs ont aussi été reçues depuis le 1er octobre pour bénéficier de la prime à l'embauche de jeunes de moins de 26 ans.Enfin dans l'automobile, le gouvernement, qui avait musclé au printemps la prime à la conversion pour l'achat de véhicules moins polluants et le bonus écologique, fait état de 23.000 primes accordées en octobre et 2.600 bonus par semaine depuis le 1er juin. Ces premiers résultats "démontrent que la protection immédiate de notre économie et la relance sont complémentaires", insiste Bercy dans un communiqué, alors que l'opposition et certains économistes critiquent le contenu du plan de relance au moment où la France est partiellement reconfinée.
Il y a 4 ans et 189 jours

PANOL SOLUTIONS PROTECTION INCENDIE

NOUVELLE GAMME AXIO Désenfumage/Compartimentage Volet de transfert et clapets coupe-feu, de haute résistance au feu et rapides à mettre en oeuvre Dans les bâtiments publics, les systèmes de désenfumage sont obligatoires afin de préserver la sécurité des biens et des personnes. Ces dispositifs coupe-feu empêchent la propagation du feu et stoppent les fumées et les gaz de combustion. Acteur majeur sur le marché, PANOL conçoit et commercialise des produits liés à la protection incendie et à la ventilation pour l’habitat collectif et tertiaire. Cette année, le fabricant lance de nouvelles solutions techniques pour le désenfumage et le compartimentage avec la gamme AXIO. Riche de 7 références, la nouvelle gamme AXIO comprend un nouveau volet de transfert AXIO-T pour le désenfumage, et 6 nouveaux clapets coupe-feu circulaires et rectangulaires pour le compartimentage. Ils ont été soumis à de nombreux tests de conformité aux normes européennes et d’essais en laboratoire pour attester de leurs performances en termes de résistance au feu et d’étanchéité. Ces solutions de protection incendie sont destinés au désenfumage et compartimentage des E.R.P (Etablissement Recevant du Public), I.G.H (Immeubles de grande Hauteur) et habitat collectif de 4ème famille.   Nouveaux Clapets coupe-feu AXIO-C et AXIO-R Etanchéité classe C – Rapides à installer, avec des pertes de charge minimale Les nouveaux clapets coupe-feu de la gamme AXIO de PANOL ont été conçus pour une installation dans les conduits de ventilation qui traversent des cloisons ou des planchers étanches au feu, afin d’empêcher que les conduits acheminent et propagent les fumées et le feu en cas d’incendie. Ils rétablissent le degré de résistance au feu et l’étanchéité à la fumée de la paroi traversée par la gaine. Les clapets se différencient par leur dégré de résistance au feu, leurs qualités aérauliques et leur simplicité d’installation grâce à leurs borniers débrochables. Ils autorisent un montage dans toutes les positions avec un axe de lame horizontal ou vertical. Résistants au feu juqu’à 2H (EI120S), les clapets coupe-feu de la gamme AXIO sont marqués CE et certifiés NF. En fonction des projets et de la réglementation, ils peuvent être équipés de divers types de mécanismes. Alliant performances aérauliques et acoustiques, ils sont de classe d’étanchéité à l’air C selon la norme EN1751.   NOUVEAUX CLAPETS COUPE-FEU CIRCULAIRES AXIO-C ENCASTRÉ / AXIO-C FDP ENCASTRÉ Les clapets coupe-feu circulaires AXIO-C Encastré et AXIO-C FDP Encastré PANOL ont été testés conformément aux normes EN 1366-2 et EN 13501-3 et classifiés sous dépression de 500 pascals (PA) dans des murs et dalles en béton cellulaire, plaque de plâtre ou béton armé. Haute résistance et rapides à installer, l’AXIO-C Encastré a été conçu et optimisé pour des conduits de moyen et grand diamètre – 200 à 800 mm – et dans des espaces réduits. Quant à l’AXIO-C FDP Encastré, il a été développé pour des conduits de petits diamètres (100 à 315 mm) et des espaces d’installation réduits. Il minimise ainsi les pertes de charges créées par le débit traversant. L’AXIO-C Encastré fonctionne avec 2 types de mécanismes situés à l’extérieur de la cloison. Ils sont interchangeables facilement, même sur des installations existantes. D’encombrement réduit, le mécanisme AUTO est autocommandé interchangeable. Quant au mécanisme EVO, il est autocommandé évolutif, il permet de configurer le déclenchement et le réarmement du clapet en fonction des besoins du chantier. L’AXIO-C FDP Encastré fonctionne avec 3 types de mécanismes : l’AUTO, l’EVO et le BASIC, un mécanisme autocommandé non évolutif plus compact. Ces 2 modèles sont constitués d’un cadre en tôle zinguée d’acier au carbone, d’une lame de fermeture en matériau réfractaire, d’un joint thermo-expansible en graphite sur l’intérieur du tunnel. L’AXIO-C FDP Encastré possède également un joint d’étanchéité pour fumées froides. La fermeture de ces 2 clapets est automatique dès que la température dans la gaine dépasse 70°C.   NOUVEAUX CLAPETS COUPE-FEU RECTANGULAIRES AXIO-R ENCASTRÉ / AXIO-R FDP ENCASTRÉ / AXIO-R APPLIQUE Les clapets coupe-feu rectangulaires AXIO-R Encastré, AXIO-R FDP Encastré et AXIO-R Applique PANOL sont conformes aux normes EN 1366-2 et EN 13501-3, et de classification de résistance au feu sous dépression de 500 pascals (PA) dans les murs et dalles. L’AXIO-R Encastré s’intègre dans des conduits de moyen et grand diamètre – 200 x 200 mm jusqu’à 1500 x 800 mm – et des espaces d’installation réduits. Pour des conduits de diamètres plus petits – 100 x 200 mm jusqu’à 800 x 600 mm – PANOL a conçu l’AXIO-R FDP Encastré et l’AXIO-R Applique, qui engendrent de faibles pertes de charge. Ces 3 modèles AXIO-R fonctionnent avec le mécanisme AUTO autocommandé interchangeable ou le mécanisme EVO, autocommandé évolutif. Les versions AXIO-R FDP Encastré et AXIO-R Applique fonctionnent également avec un 3ème mécanisme, le BASIC autocommandé non évolutif. La fermeture des 3 clapets est automatique dès que la température dans la gaine dépasse 70°. L’AXIO-R Applique permet une mise en oeuvre rapide sans scellement. Il se fixe directement sur un mur. Le clapet AXIO-R Encastré dispose d’un caisson de demi conduits en tôle zinguée d’acier au carbone intercalés par un joint en fibre minérale. L’AXIO-R FDP Encastré et l’AXIO-R Applique possèdent, quant à eux, un tunnel en tôle zinguée d’acier au carbone ou d’acier inoxydable, un joint d’étanchéité pour fumées froides, un joint thermo-expansible en graphite et un levier de réarmement manuel. La lame de fermeture est en matériau réfractaire pour tous les modèles.   NOUVEAUX CLAPETS COUPE-FEU RECTANGULAIRES AXIO-R 1500 Le clapet coupe-feu rectangulaire AXIO-R 1500 PANOL, également conforme aux normes EN 1366-2 et EN 13501-3, offre, quant à lui, une classification de résistance au feu sous dépression de 1500 pascals (PA). Il a été conçu pour s’adapter dans des conduits de moyen et grand diamètre – 200 x 200 mm jusqu’à 1200 x 800 mm – et des espaces d’installation réduits. Il fonctionne uniquement avec le mécanisme EVO, autocommandé évolutif. Le clapet se ferme automatique dès que la température dépasse 70°. L’AXIO-R 1500 est un caisson avec des demi conduits en tôle zinguée d’acier au carbone intercalés par un joint en fibre minérale. La lame de fermeture est en matériau réfractaire.   Nouveau Volet de transfert AXIO-T Agréé EI60 – E120 avec un sens de l’air indifférent Le nouveau volet de transfert AXIO-T de PANOL fait partie des systèmes de désenfumage dans des bâtiments IGH et en habitat collectif de 4ème famille. Cet obturateur à guillotine sert comme amenée d’air pour le couloir du côté du sas. La partie mobile se ferme pour éviter la propagation du feu entre le couloir et le sas menant aux escaliers. Le volet de transfert AXIO-T permet un passage de l’air optimisé et assure une mise en oeuvre facile car le sens de pose pour le passage de l’air est indifférent. Validé sous 150 cycles, AXIO-T est qualifié de coupe-feu E60 sans grille d’habillage et EI60 avec une grille d’habillage selon la nouvelle norme EN 13501-2:2016. Certifié NF, il a été testé selon la norme Européenne NF S61937-1 et S61937-11. Il est également conforme aux normes EN 1634-1 et classé E60, EI60 à E120 (dans les deux sens du feu). Le volet est ouvert en position d’attente et il vient se fermer automatiquement (position de sécurité), dès que la température du fusible thermique à alliage eutectique est supérieure à 70°C. Le réarmement est réalisé grâce à des poignées usinées dans le panneau mobile. Avec une surface de 60 dm2 et une profondeur réduite, AXIO-T est facile à installer. Il s’encastre sur du béton armé, du béton cellulaire ou sur des carreaux de plâtre de 100 mm et se fixe rapidement à la paroie par 4 équerres, sans ajout de silicone. Pour une intégration parfaite à l’architectecture du bâtiment, PANOL propose un large choix de grilles (en option) pour venir habiller le volet de tranfert AXIO-T. En acier galvanisé ou en aluminium anodisé, elles peuvent être peintes pour s’harmoniser aux intérieurs. De fabrication française et de haute qualité, le volet de transfert AXIO-T est constitué d’un cadre en tôle d’acier galvanisé formant des glissières, d’un panneau fixe en matériau réfractaire en partie haute et d’un vantail mobile en matériau réfractaire qui coulisse dans les glissières du cadre en tôle d’acier galvanisé.   Classement de résistance au feu sans grille d’habillage E60/E120 (Sens du feu indifférent) avec grille d’habillage EI06 ET EI 120 Les dimensions mini : Lce x Hce : 330 x 630 pour une surface libre de 8.0 dm2 et une réservation de Lr x Hr: 350 x 650 Lce x Hce : 480 x 580 pour une surface libre de 8.8 dm et une réservation de Lr x Hr: 500 x 600 Les dimensions maxi Lce x Hce : 780 x 1880 pour une surface libre de 60.8 dm2 et une réservation de Lr x Hr: 800 x 1900 Lce x Hce : 1180 x 1280 pour une surface libre de 62.6 dm et une réservation de Lr x Hr: 1200 x 1300
Il y a 4 ans et 190 jours

Le nu-propriétaire risque des condamnations qu'il ignore

La question était soulevée par le nu-propriétaire d'une parcelle inconstructible, poursuivi en justice parce qu'un mobile-home y était installé.Il faisait valoir que l'installation dans ce secteur naturel interdit était une infraction commise par l'utilisateur du terrain, c'est à dire l'usufruitier, et que lui-même n'y était pour rien.Lorsqu'un bien immobilier est "démembré" entre un nu-propriétaire et un usufruitier, seul ce dernier a la possibilité de l'utiliser, rappelait-il.Mais pour la Cour, le nu-propriétaire peut être condamné si l'on retient qu'il est aussi bénéficiaire de l'installation interdite. Selon les juges, ce nu-propriétaire de la parcelle est responsable des faits, même s'il n'en est pas à l'origine.Il peut aussi se voir imputer l'obligation de détruire la construction illégale et de remettre les lieux en l'état, ont rappelé la justice, car la remise en état est une mesure attachée au bien lui-même et non une peine qui serait attachée à la personne qui a commis l'infraction.La Cour avait d'ailleurs jugé en mai 2015 que l'obligation de démolir une construction illégalement bâtie se transmettait avec le bien lui-même à tout nouveau propriétaire.(Cass. Crim, 18.12.2018, M 18-80.536).
Il y a 4 ans et 195 jours

Bulldozair lève 4 millions d'euros pour démocratiser sa solution de collaboration digitale dans le BTP

Bulldozair propose une solution de suivi de chantier qui permet à tous les corps de métiers d'un projet de construction de se connecter : ingénieurs, conducteurs de travaux, mais aussi architectes, bureaux d'études et maîtrise d'ouvrage. Concrètement, les équipes sur le chantier ont accès à toute l'information liée au projet, peuvent gérer avec simplicité tâches, plans, planning, collecter la donnée et émettre des rapports automatisés directement depuis leurs smartphones. En parallèle, le management - grâce à la centralisation et l'analyse de ces informations par Bulldozair - est alerté sur les risques et les retards, et facilité dans sa prise de décision. A la clé, la revalorisation des métiers présents sur les chantiers, et l'amélioration significative de la gestion des projets, pour un gain de productivité de 25%.« PRO BTP est heureux de s'associer via PRO BTP Innovation à la levée de fonds de Bulldozair: "Nous sommes fiers d'accompagner cette solution de digitalisation du suivi des chantiers qui sert l'ensemble de la profession, de la TPE au grand groupe international. Ce faisant, PRO BTP montre encore une fois son attachement au service d'une profession et sa capacité à accompagner les innovations majeures de ce secteur. » Hervé Naerhuysen, Directeur Général de PRO BTP et Président de PRO BTP InnovationDes fondations solides pour s'attaquer au marché des petites entreprises... Forte de la transversalité de son modèle, la startup a rapidement séduit les donneurs d'ordres d'industries hétéroclites dont le potentiel de développement reste soutenu à l'instar de Carrefour, RATP, CHANEL, TOTAL, EDF, EIFFAGE APRR ou encore Bouygues Immobilier. Selon l'industrie et ses besoins, la plateforme est déployée pour la gestion de projet (comptes rendus, planning, process, collaboration documentaire) et le pilotage des chantiers (gestion des tâches, qualité, conformité, formulaires), ou encore l'audit de sites de production et opérations de maintenance.Avec ce nouveau tour de table, Bulldozair s'attaque au segment des petites et moyennes entreprises, avec pour objectif de tripler le nombre de ses clients d'ici 2 ans. Simple, universelle et collaborative, la solution de Bulldozair est aussi conçue pour accompagner la digitalisation des quelques 40 millions de PME des divers métiers du BTP à travers le monde.Nous avons été séduits par la vision transformative de Bulldozair qui arme les entreprises du secteur pour relever les défis opérationnels et financiers actuels et futurs et oeuvre en faveur de la collaboration de terrain et de la valorisation de ses métiers. Bulldozair est donc en totale adéquation avec les entreprises Proptech accompagnées et financées par Anaxago.” affirme Alexandre Heraud Investment Director chez Anaxago.… et lancer un chantier technologique ambitieux. Bulldozair double ses effectifs R&D et renforce son offre produit pour accélérer son avance technologique et étendre l'usage de la plateforme vers un outils de pilotage de projet de construction à 360°. Une accélération qui repose sur 3 piliers : Amélioration en continu de la simplicité d'usage et de l'ergonomie de la plateforme, en collaboration avec des utilisateurs sur le terrain et au bureau (chef de chantier, responsable travaux, managers...). Développement de nouveaux modules en self-service et d'intégrations étendues pour une expérience client optimisée, en fonction des besoins. Lancement d'une offre conçue pour les petites équipes.« Avec cette levée nous allons renforcer une équipe produit déjà sénior pour développer les fonctionnalités complémentaires demandées par des utilisateurs chez qui nous voyons une très grosse adoption. Notre plateforme sera encore plus simple, plus modulable et plus ouverte. Nous construisons un outil de pilotage à 360° des projets de construction utilisable par toute la chaîne de valeur et sur toute la durée d'un projet. »Maxence Lerigner, CTO et co-fondateur de BulldozairBulldozair, l'architecte d'une nouvelle approche de la collaboration dans le BTPEn outre, la solution mobile-native de Bulldozair dessine une nouvelle approche de la collaboration dans le BTP et permet à ses métiers - héritiers d'un savoir-faire traditionnel transmis oralement - de prendre le virage du numérique. Fer de lance de la Proptech, Bulldozair remplace les archaïques carnets de notes, rapports papier et aller-retours inutiles par des outils technologiques, au service de l'humain et de son savoir-faire, compatibles avec le travail de terrain.« La crise de la covid-19 intervient après plusieurs années de marges faibles, de productivité en baisse, et de difficultés à recruter dans le secteur de l'immobilier et de la construction. L'industrie est enjointe à se transformer. Pour cela il est nécessaire de porter un coup de marteau à la conception traditionnelle de son organisation. C'est précisément la mission de Bulldozair. »« Cette levée de 4 millions va nous permettre d'accélérer dans cette voie, tant d'un point de vue commercial que technologique »Ali El Hariri, CEO et co-fondateur de Bulldozair
Il y a 4 ans et 196 jours

A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire

En août 2020, l’agence parisienne MAO – Mobile Architectural Office (Fabien Brissaud, Aurélien Ferry) a livré rue Charrière à Paris (XIe) une opération de construction neuve de 35 logements libres et sociaux. Une double maîtrise d’ouvrage : Emerige + Ogic. Surface : 2 419 m². Coût des travaux (HT) : 4.8 M€.   Un projet imprégné de […] L’article A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 197 jours

Des unités mobiles en réanimation pour aider les hôpitaux à répondre à la forte demande de soin

I-Care, une solution qui intègre le soin au cœur de sa conceptionAvec la Covid-19, les hôpitaux ont dû convertir certaines de leurs unités de soins en services de réanimation, nécessitant le report des opérations chirurgicales qui pouvaient l'être. Grâce à I-Care, les hôpitaux n'auront plus à compromettre certains services pour pallier le manque d'unités de réanimation, et ce au détriment des patients.Ces modules, des conteneurs conçus et réalisés pour être prêts à l'emploi, répondent aux situations d'urgence sanitaire ainsi qu'aux besoins de surfaces médicalisées des hôpitaux et cliniques. Ils offrent des espaces de travail ergonomiques, généreux, fonctionnels, pour garantir une efficacité optimale pour les soignants, le patient bénéficiant d'un environnement de soin de haute qualité équivalent à celui de la structure hospitalière principale.Au-delà de l'innovation évidente que représente ces unités mobiles de réanimation, le groupement a souhaité insuffler les réflexions qui l'animent quotidiennement, tant dans la conception que dans la fabrication des conteneurs. Ainsi, les équipes sont constituées de soignants, d'architectes, d'ingénieurs techniciens et biomédicaux, d'ergonomes, de designers d'espaces, d'ingénieurs de production, pour étudier à chaque phase tous les détails du projet.Une solution évolutive efficace grâce à une logique « Plug & Play »La solution I-Care est développée en petite unité de 5 lits venant se greffer autour d'un plateau central. Ce dernier constitue le noyau de la structure pour l'ensemble de ces unités et rassemble toutes les fonctions « support » nécessaires au bon fonctionnement des zones de soins. Ce plateau est modulaire et extensible afin d'y ajouter des unités de 5 lits – permettant ainsi d'obtenir un service de 15, 20, 25 ou 30 lits – et offre une possibilité de plusieurs combinaisons en mode « plug and play ».L'ensemble a été conçu pour bénéficier d'une lumière naturelle grâce à toutes les ouvertures positionnées tant dans les boxes que dans les espaces de circulation et le plateau central. Obéissant aux normes de sécurité et sanitaire les plus exigeantes, il intègre un circuit propre dissocié pour la gestion des déchets.Enfin, les modules I-Care ont été conçus pour être installés dans tous les types de lieux, de topographie (en pente, sur toiture, etc.) et de géographie sans aménagements supplémentaires, grâce à un système de pieds réglables. I-Care peut aussi s'adapter à tous les types de climat.
Il y a 4 ans et 204 jours

Cédric O défend la 5G face aux réticences de la maire EELV de Strasbourg

"La 5G, qui sera déployée en France d'ici la fin de l'année", va devenir "à court terme" une "technologie indispensable pour éviter la saturation des réseaux 4G, compte tenu de l'augmentation de la consommation", a plaidé M. O dans un entretien accordé aux Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) et mis en ligne mardi soir sur le site du quotidien régional.En raison du conseil de défense sur le Covid, M. O avait dû annuler mardi un déplacement dans le Bas-Rhin sur le thème de la "couverture mobile et du déploiement du très haut débit et de la 5G".Interrogé sur les réticences de la maire EELV de Strasbourg, Jeanne Barseghian, cosignataire mi-septembre avec plusieurs élus de gauche et écologistes d'une tribune réclamant un moratoire sur le déploiement de la 5G, M. O a pointé "une forme d'hypocrisie de la part de certains élus sur la question de la 5G, alors que cette technologie consomme moins d'énergie que la 4G".Le secrétaire d'État avait déjà vivement dénoncé il y a une quinzaine de jours dans un entretien au Parisien le moratoire sur la 5G voté par la ville de Lille."La Ville de Strasbourg a acheté il y a quelques années un outil de mesure d'exposition aux ondes", a-t-il poursuivi, expliquant que la collectivité avait donc "la possibilité de vérifier ce que changera la 5G".Les contrôles des émissions d'ondes électromagnétiques, effectués majoritairement à la demande des communes et des associations, "seront renforcés" et portés à "10.000 en 2021, dont 4.800 dédiés à la 5G", a-t-il confirmé."Si la maire de Strasbourg a un doute, nous sommes disposés à en faire autant qu'il faudra à Strasbourg", a ajouté M. O.Alors que certains élus de l'Eurométropole de Strasbourg, dont Mme Barseghian, ont émis des réserves quant au projet d'implantation locale d'une usine de production d'équipements pour la 4G et la 5G du géant chinois des télécoms Huawei, il a également insisté sur le fait que "la 5G, c'est aussi beaucoup d'emplois"."Il faut que les maires se rendent compte de l'impact économique que peuvent avoir leurs prises de position", a-t-il mis en garde.
Il y a 4 ans et 205 jours

Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2020

Le Geek propose pour ce mois d’octobre des applications mobiles pour tenir à jour votre journal personnel, créer des vidéos et photos aux effets visuels variés, dessiner et concevoir tout en vectoriel, pour vous mettre à la place d’une entreprise de construction et pour vous prendre la tête de manière ludique. Bref, cinq applications aussi […] L’article Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 206 jours

Les innovations majeures sur les climatisations

Représentant un grand enjeu dans le domaine de la transition énergétique, la climatisation représente un risque pour l’environnement, et ce, à cause des fluides frigorigènes qu’elle utilise. En effet, l’émission importante de gaz à effet de serre des climatisations pousse l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie et les constructeurs à trouver des solutions innovantes majeures en termes de climatisation. Les climatisations à technologie Inverter améliorée La technologie Inverter des climatisations est principalement connue pour sa capacité à régler automatiquement la vitesse et la puissance du climatiseur en fonction de la température d’une pièce. Cette technologie entraîne, dans ce sens, une optimisation de la consommation d’énergie. En effet, l’utilisation d’un climatiseur doté de cette technologie réduit la consommation énergétique de 20 à 25 %. Ainsi, comme le redémarrage du moteur ne se fait plus, il n’y aura pas de consommation d’énergie supplémentaire. Par conséquent, la technologie Inverter empêche la dérivation de la température intérieure en l’équilibrant. Ainsi, lorsque la température extérieure est élevée, le climatiseur Inverter fournit plus de puissance et quand la température extérieure est plus basse, le climatiseur fournit moins de puissance. Cela est possible grâce à l’adaptation de la vitesse de rotation du climatiseur. En plus, bien que ces climatisations soient assez chères à l’achat, elles sont, à la base, conçues avec des matériaux solides qui garantissent leur pérennité. Les climatisations solaires Actuellement, le souci environnemental se trouve au cœur de tous les problèmes. Ainsi, pour pouvoir lutter contre le changement climatique, les marques commencent aujourd’hui à s’intéresser de plus en plus aux énergies renouvelables. En plus, user de ce type d’énergie permet de profiter d’un air frais tout en économisant. C’est alors là que l’idée des climatisations solaires est née. En utilisant l’énergie du soleil pour rafraîchir, la facture énergétique peut être nettement réduite. Le principe de la climatisation solaire est simple. Il consiste à produire du froid en usant de la chaleur. De manière plus explicite, les climatisations solaires sont dotées de capteurs solaires. Ces derniers vont chauffer l’eau pour l’amener à évaporation avant que celle-ci soit convertie en froid. C’est une solution écologique et économique qui peut s’adapter à toute entreprise et à tout foyer. En effet, comme la climatisation solaire n’utilise pas de fluide frigorigène, elle réduira considérablement son impact sur le réchauffement climatique. Les climatisations au gaz R32 Le gaz R32 est un fluide frigorigène qui consomme trois fois moins d’énergie que les fluides frigorigènes classiques R410A. Mais même en consommant moins, le gaz R32 reste performant. Comparé au R410A, le gaz R32 serait même encore plus performant. Les appareils fonctionnant avec du gaz R32 appartiennent généralement à la classe énergétique A+++. De ce fait, en optant pour ces climatisations, les utilisateurs bénéficient de plus de 80 % d’énergie gratuite. En plus, généralement conçues avec un design sobre, une façade lisse et une faible épaisseur, les climatisations au gaz R32 s’harmonisent parfaitement avec n’importe quelle décoration d’intérieur. En outre, ce nouveau gaz offre également un fonctionnement avec un faible niveau sonore, soit de 19 décibels. En somme, cette innovation permet donc aussi de concevoir des climatiseurs de plus en plus silencieux, adéquats pour un environnement de travail. Voilà donc toutes les innovations majeures sur les climatisations. Toutes ces solutions ont été étudiées et élaborées de manière à réduire l’impact des climatiseurs sur le changement climatique. Certaines marques conçoivent même aujourd’hui des climatisations fonctionnant uniquement avec l’eau. En somme, ce sont, toutes, des solutions à la fois économiques et écologiques. Ces innovations majeures sont principalement issues d’une décision et d’un choix écoresponsables. Par conséquent, elles méritent amplement d’être prisées tant au niveau des foyers qu’au niveau des entreprises.
Il y a 4 ans et 206 jours

Weber place la RSE au cœur de sa stratégie

Weber conforte sa politique RSE à travers un ensemble de mesures à court, moyen et long termes. Ainsi, son programme au nom emblématique de « VertEtFier » repose sur trois piliers : inventer des solutions pour une maison respectueuse de l’environnement, contribuer à l’épanouissement des professionnels des bâtiments et enfin, être un acteur de proximité fier de s’engager pour les territoires et le patrimoine local. Une charte a également été éditée pour définir des critères d’éligibilité à une gamme de produits et services respectant les 3 piliers de la RSE Weber, les « éco-engagés ». En droite ligne de l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050 annoncé par Saint-Gobain, limiter son impact environnemental s’érige en leitmotiv pour Weber qui a initié en 2019 le Comité « VertETFier », rassemblant des expertises pluri-disciplinaires (R&D, Exploitation, RH, EHS, Achats, Marketing…) sur des projets d’éco-innovation et de développement humain. Les missions pour y parvenir ont été listées dans un plan d’actions à court, moyen et long termes : privilégier les matières recyclées ou peu consommatrices en énergie, augmenter la durabilité des solutions, développer le biosourcé, accompagner les artisans pour consommer la juste dose de produit, instaurer des packagings plus vertueux (vrac, papiers d’emballage issus de forêts certifiées PEFC ou FSC gérées durablement, encres d’impression sans solvants), favoriser le recyclage et le transport responsable… Valorisant une transparence exemplaire sur ses pratiques et solutions, Weber a notamment investi dans la formation d’une équipe dédiée à l’analyse du cycle de vie de ses produits. La R&D, particulièrement impliquée dans la stratégie RSE Weber, a défini 3 leviers prioritaires en vue de faire décroître l’empreinte environnementale : la diminution des émissions de CO2 à l’échelle de l’ensemble des activités de l’entreprise, l’utilisation de matières premières « secondaires » (recyclées), la réduction des déchets (tant au stade de fabrication que d’utilisation des produits) et leur valorisation. Weber mène une démarche RH avant-gardiste valorisant l’épanouissement au travail. Dès 2016, une « transformation participative » ouvre à de nouveaux modes de management, moins directifs, plus collaboratifs. A la clé : une réduction significative du turnover et de l’absentéisme. La recherche du bien-être des équipiers Weber passe aussi par le fait d’assurer leur santé et leur sécurité. Exemple des plus concrets : pendant et au lendemain du confinement COVID, des entretiens individuels ont été menés, suivis d’échanges collectifs, pour évaluer comment chacun avait vécu cette période particulière, identifier les éventuels traumatismes ou risques psycho-sociaux et déterminer ensemble les solutions pour « faciliter l’après ». Weber s’engage pour la sécurité et le confort des artisans, applicateurs de ses solutions. Cela passe par une action directe sur les produits développés pour être anti-poussières, moins irritants, moins odorants, sans émissions de COV ou de substances polluantes, plus faciles à appliquer (monocouche, simple encollage…) ou encore plus ergonomiques et légers à transporter (réduction du poids des produits) afin de réduire la pénibilité sur chantier. Weber lance notamment un nouveau service weber pompe, un ensemble d’équipement mobile destiné à la fabrication et au coulage de 16 solutions de ragréage et chape, qui permet un travail debout et un gain de temps optimisé.
Il y a 4 ans et 209 jours

Rencontre avec : Arnaud Sarteur

Après plusieurs années passées en Amérique Latine, l’architecte et designer français Arnaud Sarteur est revenu en France et se consacre depuis à la conception d’une architecture autonome innovante : la Station C.I.E.L. Rencontre avec un créateur inspiré. À la suite de plusieurs expériences de construction de maison à ossature bois traditionnelle, Arnaud Sarteur s’est intéressé à la simplification, la flexibilité et la qualité architecturale d’un habitat à moindre coût. Avec sa Station C.I.E.L., habitat clef en main innovant, écoresponsable, modulaire et multifonctionnel, il crée un lieu de vie facile à vivre et adapté à notre mode de vie contemporain. Muuuz : Comment est née la Station C.I.E.L. ? Arnaud Sarteur : L'idée était de faire un clin d'œil à la station spatiale, et d’envisager mon projet comme « une station terrestre ». J’ai créé des modules qui peuvent se connecter et s'assembler pour améliorer, au fur et à mesure, leur fonction et leur usage, et s'adapter à un mode de vie contemporain plus mobile, plus proche de la nature. J’ai pensé un habitat accessible pour tous, une construction moins onéreuse et de qualité qui s'adapte à l'évolution de la vie de chacun. La Station C.I.E.L. résulte aussi d’une réflexion sur les modes de production. Pour cette architecture, toutes les étapes de fabrication sont réalisées en un seul et même atelier afin de mieux gérer la maîtrise d'œuvre. Le module terminé est livré sur le terrain par camion. Les matériaux secs choisis s’inscrivent dans une démarche responsable : ils réduisent la production de déchets et la consommation d'eau sur le chantier. Avec la Station C.I.E.L., j’ai voulu créer un bâtiment à échelle humaine, un cocon personnalisable et éco-conçu. D'où vient son nom ?Le choix du bardage en revêtement « effet miroir », qui réfléchit le ciel et la nature environnante, fait de la Station C.I.E.L. un « objet-maison futuriste sculptural et mystérieux ». La Station C.I.E.L. tire donc son nom du bardage, mais aussi de l’acronyme C.I.E.L. : Construction Itinérante Extensible Légère. Votre expérience en Amérique du Sud a-t-elle inspirée ce projet ? Mon expérience en Amérique du Sud a fait évoluer mon regard sur l'habitat. Là-bas, les grands espaces sont disponibles, les paysages sont immenses et sauvages, les déplacements et les distances ne sont pas comptés. Ce séjour m’a vraiment donné envie d'habiter dans des espaces naturels, avec le souci de ne pas les dégrader et de les quitter sans impact. Quelques expériences de construction Wood Framing ont été mes premières approches de cette architecture. Le prototype de la Station C.I.E.L. a donc été conçu pour être extensible et connectable à d'autres modules. La structure bois s'assemble, et elle est reliée par des poutres métalliques. Chaque module est personnalisé et l'aménagement intérieur est proposé sur option, selon les besoins de chaque client. Avec quels artisans avez-vous collaboré pour ce projet ? Aujourd'hui, le défi de tout architecte est d'intégrer « le faire », et non pas uniquement le « penser ». J’ai donc pris part personnellement et activement au projet en expérimentant, en étudiant les matériaux et en réalisant un prototype, au sein du Fab lab collaboratif Made In Marseille. J'ai travaillé en collaboration et en partenariat avec les menuisiers-charpentiers, ferronniers résidents à Ici Marseille et des artisans locaux.Pourquoi avoir choisi le métal et le bois comme matériaux principaux ? J'ai aimé créer un contraste entre le côté futuriste métallique du bardage et de la couverture en métal poli miroir à l'extérieur et l’authenticité chaleureuse du bois à l'intérieur en laissant la charpente apparente.Selon vous, que signifie habiter l'espace ? L'être humain est marqué par ses habitats successifs. « Habiter l’espace » a une dimension existentielle. Comment imaginez-vous l'architecture du futur ?Je souhaite participer à la construction d’une planète habitable pour tous. L’homme et l'architecture vont commencer à s'effacer un peu afin de redonner de la place à la nature, et de rééquilibrer le rapport entre l'homme et son environnement. La nature va pouvoir réapparaitre dans sa splendeur, plus propre, plus harmonieuse, plus respectée. La Station C.I.E.L. s’inscrit dans cette démarche. Elle renvoie la lumière et se fond dans le paysage pour minimiser l'intrusion du bâtiment dans le paysage, comme un camouflage. La crise sanitaire a également été révélatrice de l'importance de la qualité architecturale : la hauteur sous plafond, les ouvertures, la lumière, le confort thermique participent à « être bien chez soi » et en harmonie avec la nature environnante. Dans mon architecture du futur, les matériaux de construction seront donc sélectionnés pour leurs qualités écologiques, leur résistance, leur pouvoir d'isolation, leur impact environnemental, des matériaux biosourcés locaux ou en circuit court. Devenir des architectes éco-responsable, voilà notre mission. La maison de demain sera une architecture simple et adaptative, un abri confortable et résilient facilement transformable avec une certaine autonomie de fonctionnement.Pour en savoir plus, visitez le compte Instagram de la Station C.I.E.L. La Station C.I.E.L. est exposée et ouverte aux visites sur rendez-vous au Parc Foresta à Marseille (13).Visuels : DRLa Rédaction
Il y a 4 ans et 209 jours

L'économie française menacée de rechute par la deuxième vague épidémique

Depuis quelques semaines, les indicateurs économiques témoignaient déjà d'un regain d'inquiétude lié à la recrudescence des contaminations en France.Mais en imposant notamment un couvre-feu sur une partie du territoire, le gouvernement a de fait mis à l'arrêt un certain nombre d'activités déjà fortement pénalisées: les bars et restaurants, comme les métiers de la culture et de l'évènementiel.Ces mesures "vont limiter l'impulsion de croissance au risque d'avoir une variation négative de l'activité au dernier trimestre", prévient Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management. Lui, mise sur un recul du PIB de 0,5% sur les trois derniers mois de l'année.Pour l'assureur-crédit Euler Hermes, il devrait se contracter de 1,1% et à l'OFCE, on table sur une baisse "de l'ordre de 0,8%", indique Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision."Cette nouvelle dégradation au dernier trimestre est liée aux trois secteurs déjà les plus touchés - l'hôtellerie-restauration, les services de transports et les services aux ménages, qui englobent notamment les activités de loisirs - et qui vont replonger", précise-t-il."Mois de tous les dangers"L'économie française affronte "le mois de tous les dangers", prévient encore Sylvain Duranton du Boston Consulting Group, qui a publié jeudi son nouveau "baromètre de la reprise" fondé sur l'analyse de quelque 10.000 données haute fréquence."L'économie est prise en tenaille entre une confiance des consommateurs, une envie d'acheter, de sortir, de faire du sport qui s'affaisse du fait de la pandémie, un rebond qui ne rebondit plus, et des particuliers et entreprises qui hésitent à investir", explique-t-il à l'AFP.Signe de ce climat attentiste, la production de prêts par les banques est en recul.L'Insee, qui tablait encore début octobre sur une stagnation du PIB au dernier trimestre, après la chute de 13,8% au deuxième et le rebond estimé de 16% au troisième, pourrait aussi abaisser sa prévision."C'était avant les nouvelles annonces de restrictions" et le nouveau contexte renforce la possibilité d'une "baisse par rapport à cette prévision", a prévenu mercredi le directeur général de l'Institut national de la statistique, Jean-Luc Tavernier, auditionné au Sénat.L'indicateur mensuel du climat des affaires, publié jeudi matin par l'Insee, a ainsi reflué en octobre pour la première fois depuis le déconfinement, illustrant les inquiétudes des chefs d'entreprises sur leurs perspectives d'activité.Au-delà de la perte d'activité dans les secteurs directement touchés, la deuxième vague de la pandémie renforce l'incertitude sur l'avenir, un climat peu propice aux décisions de consommation ou d'investissement.Épée de DamoclèsCar malgré les mesures de soutien prises par le gouvernement, c'est bien la situation épidémique qui donnera le tempo de la reprise ou non de l'économie."Tant qu'on aura cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes, n'imaginons pas que nous pourrons retrouver une activité normale", souligne ainsi à l'AFP Philippe Waechter.Malgré tout, la France n'est pas revenue dans la situation du confinement général du printemps où une grande partie de la population ne pouvait plus travailler, nuance Mathieu Plane.Si les dernières restrictions décidées risquent de mettre au chômage de nombreuses personnes car "ces secteurs sont très riches en emploi, leur poids dans le PIB n'est pas massif, environ 4%, et ce ne sont pas des secteurs moteurs de l'économie" comme l'aéronautique ou l'automobile, juge-t-il.Il estime toutefois que le gouvernement devrait encore renforcer le soutien aux entreprises, qui auront du mal à faire face aux premières échéances des prêts garantis par l'État obtenus pendant la crise et au remboursement des reports de charges qui leur ont été accordés.Pour Philippe Waechter aussi, il faut que la France, et plus généralement l'Europe, accentue "l'impulsion budgétaire" pour relancer l'économie, avec "un soutien à la demande plus marqué".Sinon, "il n'est pas sûr qu'on ait le rattrapage attendu au premier ou au deuxième trimestre de l'année prochaine", prévient-il.
Il y a 4 ans et 209 jours

L’estimation d’un bien immobilier: la visite virtuelle comme atout commercial

La visite virtuelle peut être également utilisée à des fins professionnelles et pas simplement comme divertissement. Elle donne l’occasion en effet à une personne de pouvoir explorer un lieu ou encore un bâtiment donné et cela depuis chez elle. Actuellement de nombreuses entreprises essayent de combiner l’estimation d’un bien immobilier avec cette toute nouvelle technologie. Cela devient même un moyen pour dépasser la concurrence.  Voici donc les avantages d’une visite virtuelle pour une entreprise qui souhaite se lancer dans le domaine de l’estimation. Qu’est-ce que l’estimation d’un bien immobilier? Il s’agit d’une technique qui permet de connaitre la valeur vénale d’un bien immobilier, cela va de soi. On recourt en général à cette technique en vue de la cession de ce dernier. Il est primordial de connaitre le juste prix d’un bien. Une sur évaluation risque d’entrainer des conséquences sur le plan juridique et fiscal. En effet, l’acheteur risque de se sentir lésé et voudra annuler le contrat. Pour le vendeur, il éprouvera des difficultés à vendre. En cas de sous-évaluation, à l’inverse, risque de porter préjudice au cédant. L’acquéreur par ailleurs, hésitera à acheter en pensant qu’il y aura des vices cachés. On fait en général appel à un professionnel pour réaliser ce genre d’estimation. Il est en effet plus amené à connaitre les critères à prendre en compte pour déterminer le prix de l’immobilier. Toutefois même dans cette optique, les acquéreurs ne font pas confiance aux experts. Ils veulent, à tout prix, visiter eux-mêmes les lieux. Voilà justement l’intérêt de la visite virtuelle pour estimer sa propriété sur le site em-invest.fr. Cette plateforme vous offre de nombreux avantages. Pourquoi proposer une visite virtuelle? La visite a pour objectif de savoir si tels bâtiment ou logement sont conformes aux attentes du client. Lorsqu’elle est virtuelle, elle facilite en quelque sorte la vie de ce dernier. Tout d’abord, il n’a pas besoin de se déplacer. À l’aide de son ordinateur ou de son téléphone, il peut aller dans n’importe quelle pièce et cela sur tous les angles. Il est même rendu possible de voir l’intérieur d’une maison à différentes heures de la journée ou même à différentes saisons. Le vendeur n’a plus besoin d’envoyer ses meilleurs agents en guise de guide. En même temps cela allège son travail, car il dispose des données objectives sans bouger de chez lui. En outre cette dernière aura l’occasion de faire visiter à une personne plusieurs maisons ou appartements en une seule journée. Celle-ci peut alors procéder à des comparaisons visuelles et ainsi connaitre les « justes » prix. De plus, le vendeur fera d’énormes économies. Qui plus est, cela rend possibles les transactions en ligne si bien évidemment le système est bien maitrisé. La visite virtuelle est également ludique. Il divertit le visiteur qui peut apprécier l’esthétique du lieu. Cela évite le stress et la déception. Il sera plus enclin à ne plus être trop exigeant. L’endroit à visiter sera accessible via une application mobile ou un site web comme pour les lieux publics.
Il y a 4 ans et 210 jours

Sphère : un nouveau bâtiment imprimé en 3D

Après Yhnova, une maison imprimée en septembre 2017 pour Nantes Métropole Habitat, Bouygues Bâtiment Grand Ouest orchestre une nouvelle expérimentation d’impression 3D d’une construction. Dessiné par Archétude, Sphère est un bâtiment indépendant de 29 m2 qui abolit l’angle droit pour offrir un espace moderne et convivial. Il sera dédié au gardien et à l’accueil des locataires de 300 logements d’Immobilière Basse Seine. Les murs de cet espace de 29 m2 sont réalisés en 9 pièces majeures verticales indépendantes de 2,5 m de largeur et jusqu’à 3,3 m de hauteur. Le robot de CyBe imprime directement sur site les parois en béton en différentes couches successives. Les murs sont composés de plusieurs peaux qui renferment l’isolant et une structure de chaînage. Pour cette nouvelle expérimentation, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, avec l’appui de la R&D Bouygues Construction, a fait appel à la startup CyBe qui a déjà plusieurs réalisations à son actif à travers le monde, notamment à Dubaï avec le R&Drone laboratory en 2017. La startup hollandaise met en œuvre une technologie très innovante d’impression en 3D au moyen d’un robot 6 axes de grandes dimensions, le robot CyBe R 3Dp ne nécessitant que 2 pilotes. Mobile, il permet d’imprimer directement sur site ou de pré-fabriquer en fonction des besoins. Cette technologie repose sur l’impression directe du béton, contrairement à Yhnova, avec la technologie BatiPrint3D, qui consistait à imprimer un coffrage en polyuréthane destiné à être rempli de béton.
Il y a 4 ans et 210 jours

Novadys s'attaque au marché des travaux publics avec son application mobile novaRéseaux

Avec le durcissement du décret n°2018-899 au 1er janvier 2020, portant sur la sécurité des travaux publics et notamment sur la réalisation des comptes-rendus de marquage-piquetage, NOVADYS souhaite apporter une solution concrète pour le quotidien des entreprises des travaux publics.L'application mobile novaRéseaux met à disposition des utilisateurs un modèle de compte-rendu de marquage-piquetage.L'utilisateur peut y joindre des photos en tant que preuve de réalisation, celles-ci sont géolocalisées et horodatées dans l'application.La clôture du compte-rendu s'effectue au travers de la signature dans l'application mobile novaRéseaux.Le compte-rendu finalisé ainsi que l'ensemble des autres documents essentiels au chantier comme l'AIPR et les DICT sont dématérialisés sur novaRéseaux et accessibles en mobilité.La solution novaRéseaux facilite la communication entre les collaborateurs internes et externes des travaux publics.En permettant de réduire le nombre d'impressions et de limiter les déplacements, novaRéseaux s'inscrit également dans une démarche éco-responsable.Toutes les informations sur novaRéseaux se trouvent sur btp.novadys.fr/novaRéseaux
Il y a 4 ans et 211 jours

PRB vous accompagne dans la réalisation de vos projets

Grâce à l'application mobile PRB Color', simulez votre projet de coloration de façade en toute simplicité. Facile d'utilisation, l'application PRB Color' vous permet d'afficher immédiatement la palette de teintes PRB sur votre façade. En quelques minutes, l'application PRB Color' exécute votre projet de décoration en prenant en comptes les différentes luminosités. De plus, PRB Color' vous propose la liste des points de vente les plus proches pour acheter le produit avec les couleurs choisies. PRB Color' intègre aussi une nouvelle technologie permettant de mesurer avec précision la couleur d'objets lisses, texturés, ou avec des motifs et de trouver la couleur correspondante dans les nuanciers sélectionnés. Application disponible sur Androïd et Apple.Le calculateur de joint PRB en ligne vous permet de calculer la consommation de joint pour votre projet. Renseignez les différentes mesures (format de carrelage, longueur de joint…) et sélectionnez le produit PRB désiré. En quelques clics, le calculateur vous indique la quantité de produit correspondant à vos besoins. Ainsi vous êtes sûr d'avoir la bonne quantité nécessaire.Retrouvez le calculateur de joint ConsoJoint sur PRB.fr ou sur les applications Androïd et Apple. Le book ITE PRB THERMOBOIS est un support expliquant l'un des systèmes d'isolations thermique PRB par l'extérieur, en panneaux de fibres de bois. On y retrouve une partie en échantillons permettant de visualiser les différentes étapes du système, pour chaque étape, le nom du produit PRB correspondant. Sans oublier la partie information qui regroupe les différents avantages ainsi qu'un visuel éclaté de cette technique. A noter que le système ITE PRB THERMOBOIS dispose d'un ETA. Le livret esthétique façade Peinture, RME, RPE représente les différents produits pour vos façades extérieures. Finitions minérales, types de peintures, système d'imperméabilisation, types d'enduits et différentes granulométries : à vous de choisir ! Avec des échantillons, vous pouvez toucher le produit et faire les choix qui vous correspondent le mieux. En manque d'inspiration ? Retrouvez des photos des différents rendus avec la liste des produits utilisés. Aujourd'hui, choisi la finition pour vos murs extérieurs est devenu un jeu d'enfant. ConsoJoint : https://www.prb.fr/fr/calcul-de-consommationPRB Color’ : https://www.youtube.com/watch?v=01OvMmGpchc