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Il y a 4 ans et 203 jours

Sécurité des installation Photovoltaïques : le logiciel archelios™ CALC intègre les parafoudres CITEL

Garantir une sécurité optimale pour les installation s photovoltaïquesarchelios™ CALC est un logiciel de calcul, de dimensionnement et de vérification d'installations photovoltaïques. Le logiciel prend en compte une installation dans son intégralité depuis les panneaux solaires jusqu'à l'onduleur et de l'onduleur jusqu'au réseau / ou à l'installation en autoconsommation. Il permet de vérifier la sécurité et la conformité de l'installation selon les normes NF C15-712 (2008), NF C15-712-1 (2010 et 2013), et CEI-60364 (2002).Dans ce contexte de sécurité, archelios™ CALC permet d'analyser et de prendre en compte les risques liés à la foudre grâce au dimensionnement des parafoudres.Protéger les réseaux et les équipements contre les surtensionsLes équipements CITEL étaient déjà présents dans le logiciel archelios™ CALC, mais cette collaboration a permis d'enrichir les gammes déjà présentes afin de proposer, aux professionnels, un large choix de protections pour leurs projets. Les concepteurs pourront ainsi retrouver une large gamme de parafoudres destinés à s'intégrer dans une installation solaire et protéger ainsi les équipements.Les parafoudres proposés par CITEL répondent aux exigences de protection définies par les normes en vigueur et leurs guides associés. Ils limitent les surtensions impulsionnelles à un seuil acceptable pour les équipements terminaux et écoulent les courants transitoires de manière répétitive.Tout ces systèmes de protection sont dès à présent disponibles et accessibles dans le catalogue de composants du logiciel archelios™ CALC.Grâce à l'expertise reconnue de CITEL en matière de systèmes protection des réseaux et à la puissance de calcul et de vérification d'archelios™ CALC, les professionnels peuvent réaliser leur conception PV avec la garantie d'une sécurité optimale.
Il y a 4 ans et 205 jours

Arrêt des tubes fluorescents au 1er/09/23 : Sylvania aide les professionnels à anticiper la réglementation grâce à une nouvelle gamme de tubes LED universels

Avec près de 20 millions de produits vendus par an, le marché des tubes fluorescents reste très important car ces produits sont utilisés dans de nombreux secteurs (tertiaire, industrie, commerces, collectivités locales…). Pourtant, au delà de leur scintillement qui peut s’avérer inconfortable, ils sont jugés trop énergivores. C’est la raison pour laquelle ils sont voués à disparaître à compter du 1er septembre 2023, conformément à la réglementation* qui impose l’arrêt de leur commercialisation.   Pour accompagner les professionnels dans ce changement, Sylvania propose une offre complète de solutions performantes, idéale pour anticiper la réglementation et opter dès à présent pour la technologie LED en remplacement des tubes fluorescents T8.   Une gamme simple mais complète pour répondre à tous les besoins Dans le cadre du remplacement de tubes fluorescents traditionnels par une solution LED, il s’avère souvent difficile pour les professionnels de connaître avec précision le type de ballast installé. Pour simplifier leur sélection, Sylvania propose une nouvelle génération de tubes LED retrofit T8 Universal. Conçue pour toutes les applications, elle se compose de deux gammes qui se distinguent par leur durée de vie et leur efficacité lumineuse (de 117 à 150 lm/W) :   • ToLEDo T8 Universal, recommandé pour une intégration dans des luminaires ouverts destinés à l’éclairage intérieur. Disponibles en version 1200 mm/18 W et 1500 mm/24 W en remplacement des tubes fluorescents 36 W et 58 W, ils bénéficient d’un flux lumineux allant jusqu’à 2800 lm. D’une durée de vie de 30.000 heures, ils sont garantis 3 ans.   • ToLEDo Superia T8 Universal, adapté pour une installation dans les luminaires étanches fermés (stations-services, parkings, entrepôts, commerces…) dans des conditions thermiques extrêmes (-20 à +55°C). Proposés en trois dimensions (600, 1200, 1500 mm) et trois puissances (7,5 – 16 – 24 W), ils conviennent au remplacement des tubes fluorescents 18, 36 et 58 W. Offrant un flux lumineux jusqu’à 3600 lm, ils sont garantis 5 ans pour une durée de vie de 60.000 heures.   Compatible avec les trois types d’installations (ballasts ferromagnétiques, électroniques et branchements directs), la nouvelle génération de tubes LED retrofit T8 Universal constitue un véritable atout tant pour les distributeurs, qui avec moins de références à stocker couvrent tous les besoins, que pour les installateurs qui évitent tout risque d’erreur sur leurs chantiers.   D’une grande qualité de conception avec leur finition en verre robuste résistant au feu, ces solutions universelles sont proposées en 3000, 4000 et 6500 K. Elles offrent une excellente uniformité et distribution de la lumière grâce à un angle de diffusion à 230°.   Une rentabilité assurée en un temps record Au-delà de l’obligation réglementaire, les tubes LED de Sylvania s’avèrent une solution bien plus performante que les tubes fluorescents. A titre d’exemple, plus efficace qu’une version fluorescente de 36 W, le modèle ToLEDo T8 Universal d’une puissance de 18 W permet de réaliser jusqu’à 60% d’économies d’énergie à 30.0000 heures, soit 98 € HT d’économisés. Ainsi, le retour sur investissement pour le remplacement d’un tube fluorescent par la nouvelle génération de tubes LED de Sylvania s’effectue en moins de 5 mois !   SmartServices, l’accompagnement au changement signé Sylvania Dans le cadre de la rénovation de vieilles installations, Sylvania accompagne sa nouvelle génération de tubes LED universels d’un bouquet de services clés en main. Pour soutenir ses clients dans la concrétisation de leurs projets, quelle que soit leur taille, Sylvania leur propose des prestations personnalisées à activer en fonction de leurs problématiques (analyse détaillée des systèmes d’éclairage, optimisation des installations et éco-performance, respect des réglementations, solutions de financement…).   En parallèle, pour informer ses clients installateurs comme distributeurs et les aider à anticiper dès à présent le passage obligatoire aux tubes LED, Sylvania déploie un vaste dispositif de communication en points de vente (brochure, PLV, affiche…) qui sera également décliné en ligne sur son site internet et sa page LinkedIn.   Performante, adaptée à tous les besoins, plus pratique et plus simple, la nouvelle génération de tubes LED ToLEDo T8 Universal permet aux professionnels de ne pas craindre le casse-tête du passage à la LED. Elle va aussi positionner Sylvania comme un acteur incontournable sur le marché du remplacement des tubes fluorescents.   *Réglement (UE) 2019/2020 de la Commission du 1er octobre 2019 établissant des exigences d’écoconception pour les sources lumineuses et les appareillages de commande séparés en application de la directive 2009/125/CE du Parlement européen et du Conseil. http://www.sylvania-lighting.com
Il y a 4 ans et 205 jours

Solaire photovoltaïque : la Commission des finances dit non à la rétroactivité

La commission des finances de l’Assemblée nationale a rejeté le 23 octobre 2020 une proposition d’amendement qui visait à réduire, de manière rétroactive, la durée des contrats d’obligation d’achat pour les installations photovoltaïques conclus avant 2011. La remise en cause, à travers cet amendement, de la parole de l’Etat aurait eu un impact négatif majeur sur le financement de l’ensemble de la transition énergétique. « Le SER se félicite que la commission des Finances ait rejeté cette proposition qui, au-delà des conséquences directes sur les entreprises de la filière du solaire, aurait très lourdement dégradé les conditions de financement de l’ensemble des futurs projets renouvelables et conduit à devoir mécaniquement augmenter les niveaux de soutiens publics nécessaires. La parole de l’Etat constitue aujourd’hui un « bien commun » qui permet de financer la transition énergétique et l’innovation dans des conditions favorables. Nous devons absolument éviter de remettre en cause cet acquis, sans quoi la relance économique et la transition énergétique seraient mises à mal » indique Jean-Louis BAL, Président du Syndicat des énergies renouvelables.
Il y a 4 ans et 206 jours

Les innovations majeures sur les climatisations

Représentant un grand enjeu dans le domaine de la transition énergétique, la climatisation représente un risque pour l’environnement, et ce, à cause des fluides frigorigènes qu’elle utilise. En effet, l’émission importante de gaz à effet de serre des climatisations pousse l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie et les constructeurs à trouver des solutions innovantes majeures en termes de climatisation. Les climatisations à technologie Inverter améliorée La technologie Inverter des climatisations est principalement connue pour sa capacité à régler automatiquement la vitesse et la puissance du climatiseur en fonction de la température d’une pièce. Cette technologie entraîne, dans ce sens, une optimisation de la consommation d’énergie. En effet, l’utilisation d’un climatiseur doté de cette technologie réduit la consommation énergétique de 20 à 25 %. Ainsi, comme le redémarrage du moteur ne se fait plus, il n’y aura pas de consommation d’énergie supplémentaire. Par conséquent, la technologie Inverter empêche la dérivation de la température intérieure en l’équilibrant. Ainsi, lorsque la température extérieure est élevée, le climatiseur Inverter fournit plus de puissance et quand la température extérieure est plus basse, le climatiseur fournit moins de puissance. Cela est possible grâce à l’adaptation de la vitesse de rotation du climatiseur. En plus, bien que ces climatisations soient assez chères à l’achat, elles sont, à la base, conçues avec des matériaux solides qui garantissent leur pérennité. Les climatisations solaires Actuellement, le souci environnemental se trouve au cœur de tous les problèmes. Ainsi, pour pouvoir lutter contre le changement climatique, les marques commencent aujourd’hui à s’intéresser de plus en plus aux énergies renouvelables. En plus, user de ce type d’énergie permet de profiter d’un air frais tout en économisant. C’est alors là que l’idée des climatisations solaires est née. En utilisant l’énergie du soleil pour rafraîchir, la facture énergétique peut être nettement réduite. Le principe de la climatisation solaire est simple. Il consiste à produire du froid en usant de la chaleur. De manière plus explicite, les climatisations solaires sont dotées de capteurs solaires. Ces derniers vont chauffer l’eau pour l’amener à évaporation avant que celle-ci soit convertie en froid. C’est une solution écologique et économique qui peut s’adapter à toute entreprise et à tout foyer. En effet, comme la climatisation solaire n’utilise pas de fluide frigorigène, elle réduira considérablement son impact sur le réchauffement climatique. Les climatisations au gaz R32 Le gaz R32 est un fluide frigorigène qui consomme trois fois moins d’énergie que les fluides frigorigènes classiques R410A. Mais même en consommant moins, le gaz R32 reste performant. Comparé au R410A, le gaz R32 serait même encore plus performant. Les appareils fonctionnant avec du gaz R32 appartiennent généralement à la classe énergétique A+++. De ce fait, en optant pour ces climatisations, les utilisateurs bénéficient de plus de 80 % d’énergie gratuite. En plus, généralement conçues avec un design sobre, une façade lisse et une faible épaisseur, les climatisations au gaz R32 s’harmonisent parfaitement avec n’importe quelle décoration d’intérieur. En outre, ce nouveau gaz offre également un fonctionnement avec un faible niveau sonore, soit de 19 décibels. En somme, cette innovation permet donc aussi de concevoir des climatiseurs de plus en plus silencieux, adéquats pour un environnement de travail. Voilà donc toutes les innovations majeures sur les climatisations. Toutes ces solutions ont été étudiées et élaborées de manière à réduire l’impact des climatiseurs sur le changement climatique. Certaines marques conçoivent même aujourd’hui des climatisations fonctionnant uniquement avec l’eau. En somme, ce sont, toutes, des solutions à la fois économiques et écologiques. Ces innovations majeures sont principalement issues d’une décision et d’un choix écoresponsables. Par conséquent, elles méritent amplement d’être prisées tant au niveau des foyers qu’au niveau des entreprises.
Il y a 4 ans et 209 jours

APC Render+ de EDICAD est sorti

APC Render+ de EDICAD : puissance et précisionDisponible pour PC, APC Render+ fait partie d'une suite de logiciels allant de la conception à l'exploitation des bâtiments. Le moteur 3D en temps réel utilise la technologie Unigine, spécialisée dans l'industrie et la haute technologie, afin de bénéficier de la puissance des cartes graphiques NVIDIA et ATI. Rien de mieux pour obtenir une précision inédite !« EDICAD propose avec APCRender+ un logiciel de visualisation 3D puissant qui vous permettra de faire vos présentations en naviguant directement au cœur de vos projets.»Stéphane Agullo - Infographiste 3DPour tous les professionnels du bâtimentAPC Render+ s'adresse à tous les professionnels du bâtiments : architectes, promoteurs, piscinistes, paysagistes, constructeurs de maisons individuelles ou architectes d'intérieur. Les clients apprécient la grande facilité de visualisation grâce à son réalisme ultra précis : des options permettent même de simuler la localisation ou la météo !Avec son ergonomie claire et intuitive, vous pourrez créer les projets 3D de vos clients très simplement, et leur permettre de se projeter dans leur future maison ou bâtiment d'entreprise.Un outil adaptable pour tousMême si APC Render+ est inscrit dans une suite de logiciels développés par EDICAD, l'un de ses points forts est qu'il s'adapte à tous les formats de fichiers. Utilisateurs de CAO, vous pourrez importer vos projets provenant d'autres logiciels sans aucun souci. De plus, la bibliothèque d'origine est bien fournie en objets et matériaux, avec des projections triplanaires sur mur courbe. Cependant, si vous en avez le besoin, vous pourrez aussi y ajouter vos propres livrables. « L'équipe de développement d'EDICAD est passionnée, réactive, et très sympa, ce qui annonce un support sérieux, et des évolutions prometteuses ! » Stéphane Agullo - Infographiste 3DPour en savoir plus sur EDICAD et APC Render+ : cliquez ici
Il y a 4 ans et 211 jours

Barbara Pompili prend plusieurs mesures pour inciter à produire sa propre électricité en milieu rural

« L'autoconsommation, c'est ce qui permet à chacun de devenir son propre producteur d'électricité, par exemple grâce à des panneaux solaires installés sur le toit de sa maison, et de pouvoir en faire bénéficier les consommateurs voisins. C'est une logique que je veux massifier dès lors que l'énergie proviendra de sources renouvelables. Jusqu'à présent, cette pratique de partage entre un producteur et ses voisins était limitée à un rayon d'1 kilomètre. J'ai décidé d'étendre ce rayon à 10km en zone rurale pour augmenter la capacité de chaque citoyen, entreprise ou collectivité à participer à la transition énergétique tout en réduisant ses charges. » a déclaré Barbara Pompili.Actuellement, près de 78 000 installations en autoconsommation sont raccordées en France, pour une puissance totale de 320 MW. Le Gouvernement souhaite aujourd'hui aller plus loin en accélérant le développement de l'autoconsommation en électricité des Français. L'autoconsommation collective permet en effet à un groupe de personnes de consommer l'électricité qu'ils produisent grâce à leurs propres moyens, souvent à partir de panneaux solaires photovoltaïques.En novembre 2019, le ministère avait déjà pris des dispositions pour faciliter les opérations d'autoconsommation collective. Tous les habitants situés dans un rayon de 1km autour de la source de production d'électricité pouvaient accéder à l'énergie ainsi produite.L'expérience de l'année écoulée a montré que ce rayon pouvait être trop petit dans les zones rurales, du fait de la dispersion des auto-consommateurs potentiels. Afin de répondre à cette particularité, il sera désormais possible pour les opérations situées dans une zone rurale de demander une dérogation dans la limite d'un rayon de 10 km, soit une surface totale 100 fois plus importante qu'actuellement.Cet arrêté aura un impact concret en permettant l'émergence d'opérations actuellement en projet, comme le projet des centrales villageoises du Val de Quint par exemple.Par ailleurs, le ministère de la transition écologique a mis en consultation une nouvelle version des cahiers des charges pour les appels d'offres destinés à attribuer le soutien aux énergies renouvelables sur la période 2021-2026. Cette nouvelle version qui concerne les appels d'offres pour les opérations d'autoconsommation prévoit une formule de rémunération plus simple, qui devrait permettre ainsi à plus de projets de candidater. Enfin, le plafond de puissance pour les projets pouvant candidater sera augmenté, en passant de 1 MW à 10 MW.Enfin, le futur arrêté tarifaire pour les projets photovoltaïques sur bâtiment qui augmente le plafond de 100 à 500kW et qui a reçu un avis favorable du Conseil supérieur de l'énergie est en cours de notification auprès de la Commission européenne. Il facilitera l'autoconsommation pour les installations entre 100 et 500 kW et permettra qu'une partie de l'électricité produite puisse être autoconsommée.
Il y a 4 ans et 212 jours

Le gouvernement présente des mesures pour assurer la continuité de l'approvisionnement en électricité cet hiver

Le 11 juin dernier, à l'occasion d'une présentation de l'évaluation des besoins en électricité pour les mois à venir, RTE a souligné l'impact de la crise sanitaire et du confinement qui ont conduit à décaler les travaux de maintenance des réacteurs nucléaires normalement réalisés au printemps et en été et qui ont donc réduit la disponibilité du parc en hiver. Le ministère avait annoncé des mesures pour contribuer à l'équilibre du système électrique pendant l'hiver 2020-2021 : optimisation du planning d'arrêts et de maintenance des réacteurs nucléaires pour assurer une disponibilité maximale durant l'hiver, coup de pouce pour l'installation de thermostats à hauteur de 150 euros, campagnes de sensibilisation aux économies d'énergie, soutien à l'effacement.L'effacement désigne des contrats passés entre des opérateurs spécialisés et des entreprises ou des particuliers qui acceptent, pendant quelques minutes ou quelques heures, de réduire ou différer certaines de leurs consommations pour soulager le réseau électrique en période de pointe. Cela peut concerner des procédés industriels, ou encore le chauffage ou la production d'eau chaude de particuliers volontaires. Les entreprises ou particuliers qui passent ces contrats y gagnent en consommant mieux, à des moments où l'énergie est moins chère et moins carbonée, et en bénéficiant du soutien apporté par l'État.L'appel d'offre finalisé aujourd'hui va permettre de réduire les consommations pendant les pointes de 1,5 Gigawatt, soit l'équivalent de la puissance de plus d'une centrale nucléaire. L'effacement contribue à la sécurité d'approvisionnement et peut permettre d'éviter de faire appel à des moyens fossiles.Pour atteindre ce résultat, le dispositif de soutien à l'effacement a été renforcé pour augmenter les capacités d'effacement pour l'hiver prochain : le plafond de prix de l'appel d'offres a été doublé, passant à 60k€/MW pour l'année 2021 ; une bonification pour les nouvelles capacités d'effacement qui pourraient se rendre disponibles dès le mois de novembre 2020 a également été mise en place.Ces mesures ont rencontré un grand succès. Barbara Pompili désigne aujourd'hui 59 projets lauréats de l‘appel d'offres pour l'année 2021. Ils représentent un volume total de 1509 MW qui a presque doublé par rapport à l'appel d'offres pour l'année 2020. Parmi ces 1509 MW de projets sélectionnés, 371 MW seront disponibles dès novembre-décembre, contribuant à la sécurité d'approvisionnement dès le début de l'hiver.
Il y a 4 ans et 212 jours

Le Gouvernement désigne une centaine de lauréats pour les appels d'offres ENR

RENOUVELABLES. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a annoncé ce 20 octobre 2020 la centaine de projets lauréats des appels d'offres Energies renouvelables (ENR). Les installations en question, qui regroupent des éoliennes et des panneaux solaires, devraient développer une puissance totale de 600 MW et bénéficier d'un tarif d'achat garanti de l'électricité produite.
Il y a 4 ans et 212 jours

A 130 ans, Dény Security recrute pour partir à la conquête de nouveaux marchés en France et à l’international

Acteur français reconnu dans le domaine de l’organisation des sites à forte implication sécuritaire, Dény Security conçoit, développe et produit des gammes complètes de matériels et de systèmes permettant d’assurer une condamnation sécurisée des accès, et une bonne circulation des flux humains autorisés. En cette année anniversaire, l’entreprise basée à Saint Blimont (80), filiale d’un groupe européen indépendant côté en bourse, annonce un plan de recrutements destinés à renforcer son équipe commerciale dans le cadre de sa stratégie de développement en France et à l’étranger.   Une puissance commerciale Confiée à Antoine Douville, promu Directeur des Ventes à 31 ans après bientôt 10 ans au sein de la société en tant que Responsable Commercial puis Export, la force de vente de Dény Security se distingue par une présence marquée sur le territoire et un contact direct avec ses clients finaux utilisateurs. Cette organisation permet à la PME de 140 personnes de maîtriser parfaitement leurs problématiques de contrôle d’accès quels que soient les secteurs d’activité dans lesquels ils évoluent. Pour promouvoir l’ensemble de ses solutions dédiées à la mise en sécurité, Dény Security s’appuie sur un réseau commercial désormais organisé en trois pôles : • l’activité historique composée de deux responsables régionaux (Ouest, Est) et d’une équipe terrain de 15 collaborateurs qui se répartissent le territoire national par département. Outre le suivi proactif de la clientèle existante afin de consolider la position de Dény Security, ils ont en charge le développement de partenariats locaux solides avec tous les acteurs du secteur (clients, installateurs, menuisiers…), • une cellule « projets » dans laquelle trois personnes se consacrent aux grands comptes tels que les aéroports, le secteur du transport ferroviaire ou celui des banques…, avec, pour chacun un expert dédié. Elles ont aussi pour mission de trouver des projets de construction ou de rénovation d’envergure sur lesquels Dény Security interviendra depuis l’appel d’offres jusqu’à la livraison des produits sur site, • une cellule « prospection » qui vient d’être créée afin d’identifier les dossiers à potentiel parmi les leads entrants. En parallèle, le département Export qui réalise environ 15% du chiffre d’affaires de Dény Sécurity vise les mêmes objectifs.   L’humain et l’innovation au cœur de cet enjeu stratégique de développement Pour réussir à conquérir ces nouveaux marchés et déployer une approche commerciale par métiers, notamment pour le secteur de l’hôtellerie, Dény Security s’est donné les moyens de ses ambitions et a mis en place un plan de recrutements avec des embauches de profils motivés et dynamiques. En complément, Dény Security a investi dans des outils de veille afin d’aider sa force de vente à avoir une vision du marché la plus précise possible. L’objectif : identifier de façon rapide et efficace là où l’entreprise peut se positionner. Disposant d’une large gamme de solutions en parfaite adéquation avec les besoins de ses clients et prospects, Dény Security mobilise en permanence son bureau d’études pour se positionner sur ses marchés cibles. En témoignent, le travail effectué sur la serrure LSS, spécialement conçue pour le secteur bancaire, et plus récemment l’écosystème Optimal développé pour le tertiaire.   Grâce à cette nouvelle organisation commerciale, Dény Security, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 22,5 millions d’euros en 2019, vise une progression annuelle à deux chiffres sur ses marchés cibles. http://www.deny-security.com
Il y a 4 ans et 213 jours

Innovation – Griffon lance trois super colles de réparation

  Dans tout chantier, les travaux d’assemblage nécessitent des colles spécifiques et résistantes. Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage et d’étanchéité, améliore sans cesse la qualité de ses produits afin d’offrir aux professionnels des solutions faciles, rapides et fiables. Conçues pour les assemblages à long terme de nombreux matériaux et surfaces, les trois nouvelles colles de réparation Max Repair Extreme, Power Glue Control et Power Glue Gel sont la parfaite illustration de la démarche innovante de Griffon. – Max Repair Extreme Griffon est une colle de réparation extrêmement forte et souple, pour un résultat puissant ! – Power Glue Control Griffon est une colle liquide super rapide dotée de la technologie Direct-Stop, pour une application maîtrisée. – Power Glue Gel Griffon est une colle ultra rapide et extrêmement résistante qui permet un ajustement temporaire. Les nouvelles colles de réparation pour petites surfaces Griffon s’adressent à tous les professionnels qui souhaitent un travail propre et soigné.   Nouveau – Max Repair Extreme Griffon Ultra puissance pour réparations extrêmes Extrêmement forte, souple et sans solvants, la colle Max Repair Extreme Griffon est idéale pour réparer les matériaux poreux et non poreux, les éléments irréguliers… La capacité d’adhérence optimale de cette colle transparente convient aussi bien sur du bois que du textile, du cuir, du liège, du métal, du verre, du plastique, du caoutchouc, de la pierre ou du ciment. Résistante à l’eau, aux chocs, aux vibrations, aux températures extrêmes (-40 °C – +120 °C) et aux UV, Max Repair Extreme Griffon est parfaitement adaptée aux applications intérieures et extérieures. Nouveau – Power Glue Control Griffon Technologie Direct-Stop pour finitions soignées Présentée dans un tube innovant doté de la technologie Direct-Stop, la Power Glue Control Griffon ne goutte pas, ce qui permet une application parfaitement contrôlée de la quantité de colle souhaitée sur toutes sortes de matériaux et surfaces. Super rapide et ultra forte, cette colle liquide résistante à l’eau est facile à utiliser et donne un résultat bien net. Grâce à sa consistance, elle convient aux travaux minutieux, et se diffuse parfaitement bien dans les recoins et les petits joints. La Power Glue Control Griffon est adaptée à presque tous les matériaux – verre, bois, métal, liège, cuir, caoutchouc – et de nombreux plastiques.   Nouveau – Power Glue Gel Griffon Une colle extrêmement résistante et temporairement ajustable Extrêmement résistante, la Power Glue Gel Griffon est une colle sous forme de gel qui autorise un ajustement temporaire. Ultra rapide et sans coulure, elle est idéale pour les matériaux poreaux et les surfaces verticales. Elle est aussi efficace sur le verre, le bois, le métal, le liège, le caoutchouc, que sur de nombreuses matières plastiques. La formule gel de la Power Glue Gel Griffon permet un collage durable et puissant qui résiste à l’eau. Max Repair Extreme Griffon Tube de 20 g Prix tarif : 9,34 euros HT Power Glue Control Griffon Tube de 3 g Prix tarif : 3,98 euros HT Power Glue Gel Griffon Tube de 3 g Prix tarif : 4,74 euros HT Points de vente : distribution professionnelle uniquement www.griffonfrance.fr
Il y a 4 ans et 217 jours

Collaboration : Le logiciel PV archelios™ CALC de Trace Software intègre les parafoudres CITEL

Collaboration Trace Software et CITEL Le logiciel PV archelios CALC intègre les parafoudres CITEL Saint-Romain de Colbosc (76), le 15 octobre 2020. Trace Software International – éditeur de logiciels pour le bâtiment et l’énergie – et la société CITEL– leader dans la fabrication de dispositifs de protection de réseaux électriques – annoncent leur collaboration pour l’intégration d’une gamme complète de parafoudres dans le logiciel PV archelios CALC. Garantir une sécurité optimale pour les installations photovoltaïques archelios CALC est un logiciel de calcul, de dimensionnement et de vérification d’installations photovoltaïques. Le logiciel prend en compte une installation dans son intégralité depuis les panneaux solaires jusqu’à l’onduleur et de l’onduleur jusqu’au réseau / ou à l’installation en autoconsommation. Il permet de vérifier la sécurité et la conformité de l’installation selon les normes NF C15-712 (2008), NF C15-712-1 (2010 et 2013), et CEI-60364 (2002). Dans ce contexte de sécurité, archelios CALC permet d’analyser et de prendre en compte les risques liés à la foudre grâce au dimensionnement des parafoudres. Protéger les réseaux et les équipements contre les surtensions Les équipements CITEL étaient déjà présents dans le logiciel archelios CALC, mais cette collaboration a permis d’enrichir les gammes déjà présentes afin de proposer, aux professionnels, un large choix de protections pour leurs projets. Les concepteurs pourront ainsi retrouver une large gamme de parafoudres destinés à s’intégrer dans une installation solaire et protéger ainsi les équipements. Les parafoudres proposés par CITEL répondent aux exigences de protection définies par les normes en vigueur et leurs guides associés. Ils limitent les surtensions impulsionnelles à un seuil acceptable pour les équipements terminaux et écoulent les courants transitoires de manière répétitive. Tous ces systèmes de protection sont dès à présent disponibles et accessibles dans le catalogue de composants du logiciel archelios CALC. Grâce à l’expertise reconnue de CITEL en matière de systèmes protection des réseaux et à la puissance de calcul et de vérification d’archelios CALC, les professionnels peuvent réaliser leur conception PV avec la garantie d’une sécurité optimale. Contact presse Citel : Sylvie Champeaux sylvie.champeaux@citel.fr / www.citel.fr/fr Contact presse Trace Software : Karine Pinson kpinson@trace-software.com / www.trace-software.com/fr
Il y a 4 ans et 223 jours

Rencontre avec João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement chez Bosch Thermotechnics

Bosch Comercial y Industrial, de la division Thermotechnics du groupe Bosch, propose des équipements de climatisation de puissance moyenne et élevée pour les grandes installations, offrant des solutions en matière de chauffage, d’eau chaude sanitaire, d’énergie solaire thermique, de climatisation et de chaleur pour les processus industriels. Dans le cadre de la diffusion de leurs derniers produits au format BIM, les équipes BIM&CO ont interviewé João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement.   BIM&CO : Quelle a été la raison de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : En tant qu’entreprise leader dans le secteur, nous nous adaptons aux besoins du marché tout en innovant et en fournissant des solutions aux professionnels pour rationaliser et améliorer leur travail. Après des décennies de baisse de productivité, le secteur de la construction est en pleine mutation. Grâce à la méthodologie BIM, les architectes, les urbanistes, les consultants, les intégrateurs et les entrepreneurs peuvent partager plus facilement les données, consulter les spécifications de conception à n’importe quelle étape d’un projet et collaborer plus efficacement. En ce sens, le BIM a un impact du début de la conception de tout travail architectural à la démolition d’une infrastructure. En fait, tout est enregistré dans la maquette numérique de la construction telle que conçue.   BIM&CO : Quel a été votre cheminement lors du déploiement de ce projet ? Joao Lisboa: Dans un premier temps, nous avons fait le point en interne sur tous les fichiers et informations existantes, tels que les géométries 2D, 3D et CAO. Sur la base de cette vérification et en étant le mieux informé possible sur les produits les plus utilisés par les designers et les architectes, nous avons établi une liste de produits à modéliser, avec toutes les informations nécessaires.   BIM&CO : Quels obstacles avez-vous rencontrés lors de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : Chez Bosch, nous sommes fermement attachés à l’innovation et, par conséquent, à l’utilisation de la maquette numérique. Aujourd’hui, nous pouvons assurer que, grâce à l’engagement de l’entreprise, sa mise en œuvre a été relativement facile. Bosch peut désormais gérer toutes les données techniques et les catalogues de produits et ainsi garantir à nos clients des informations officielles sur tous les produits qui sont déjà intégrés sur bimandco.com.   BIM&CO : Comment avez-vous choisi votre plateforme de diffusion de données et d’objets BIM ? Joao Lisboa: Les avantages que BIM&CO nous offre actuellement sont à la hauteur des besoins d’un marché de plus en plus concurrentiel, et c’est pourquoi nous avons décidé de commencer à travailler de cette façon. BIM&CO nous permet de travailler le contenu dans un environnement collaboratif, à la fois avec les clients et les fournisseurs puisque les données avec lesquelles nous travaillons sur l’interface deviennent instantanément disponibles pour tous les logiciels BIM du marché. De plus, et étant donné que nous sommes une entreprise ayant une grande expérience dans le secteur, choisir de collaborer avec BIM & CO pour la gestion de notre bibliothèque BIM s’est avéré être été l’option la plus raisonnable. L’expérience est très positive et nous sommes convaincus qu’au fur et à mesure que nous avancerons, nous trouverons de nouvelles synergies qui nous permettront de croître en affaires, tout en promouvant le travail de nos collaborateurs et en améliorant le quotidien de tous les professionnels impliqués dans les processus architecturaux.   BIM&CO: Quels avantages représente la diffusion de vos objets BIM par le biais d’une bibliothèque ? Joao Lisboa : Pour Bosch, la nouvelle intégration des produits sur bimandco.com permet d’obtenir des informations fondamentales sur le comportement du marché, puisque l’outil d’analyse des téléchargements nous permet d’étudier en profondeur ce dont les clients ont besoin et ce qu’ils ont pu rechercher à un moment précis. L’intérêt du secteur de la construction pour le BIM, et plus particulièrement pour Bosch Building Technologies, est plus que compréhensible car cette méthodologie pourrait permettre de mettre fin au non-respect des délais et des budgets ainsi qu’au manque de transparence qui, dans de nombreux cas, nuit à des projets complexes et de grande envergure. En outre, il est important de souligner que le BIM permet d’intégrer des produits dans un projet selon les normes en vigueur des différents marchés ou pays, tout en permettant des simulations réalistes grâce à la 3D – ce qui permet de se projeter quant au résultat final du projet. Le BIM nous permet également de proposer une gamme de solutions de CVC qui couvre tous les besoins des bâtiments commerciaux et industriels, en fournissant à l’ingénieur concepteur tous les objets BIM à partir d’une seule bibliothèque. BIM&CO: Qu’attendez-vous de ce passage au BIM et comment allez-vous en profiter ? Joao Lisboa: L’intégration de nos produits sur bimandco.com est une nouvelle étape dans le processus de numérisation du Groupe Bosch, un processus qui est une conséquence des exigences du secteur. L’unification du mode de travail entre toutes les parties concernées représente un nouveau pas en avant dans l’efficacité et l’optimisation des projets dans lesquels le Groupe Bosch est immergé dans le monde entier. Alors que l’utilisation du BIM se consolide et commence à transformer le secteur de la construction et à accroître sa transparence, l’objectif de Bosch est de travailler avec l’industrie pour concrétiser ces avantages. Au cours des prochains mois, nous nous attendons à ce que la stratégie BIM de Bosch continue de croître pour tenir compte de toutes les phases et de toutes les parties impliquées dans un projet de construction. En outre, compte tenu de la situation dans laquelle nous nous trouvons suite à l’extension de la pandémie COVID 19, qui rend plus difficile l’échange d’informations, il devient essentiel pour les professionnels de pouvoir accéder à toutes les informations nécessaires via le web, et de pouvoir travailler en même temps depuis leur domicile de manière collaborative via le cloud. Découvrez maintenant les derniers objets BIM de Bosch : RT Condens 5000 W – BASIC RT Condens 5000 W – TOP Estación solar de bombeo AGS
Il y a 4 ans et 225 jours

RTE ouvre le plus grand site en France de stockage d'électricité sur batteries

Le plein soleil de midi, suivi d'une bordée de nuages. Un vent à décorner les bœufs, avant un calme plat: la production d'énergie renouvelable, en particulier éolienne et solaire, joue au yoyo, sans considération pour les besoins en électricité.Comment éviter que soient perdus les pics de production ? Et comment permettre de satisfaire la consommation une fois le vent tombé ou le soleil parti ?"Notre rôle est un rôle d'acrobate", résume Elisabeth Bertin, déléguée pour la Bourgogne-Franche-Comté de RTE, gestionnaire du réseau transportant l'électricité. "Pour cela, il faut innover", explique-t-elle.Exemple à Fontenelle (Côte d'Or), où un site d'une quarantaine d'éoliennes va à terme produire 100 mégawatts (MW), une capacité trop importante pour les lignes à haute tension existantes.Alors, pour "assurer la solidarité des territoires" entre sites de production et centres de consommation, RTE a installé en plein champ, près des éoliennes, plus de 5.000 batteries d'une puissance pouvant atteindre 1.000 volts chacune (contre 48 pour celles des voitures électriques).Elles fonctionneront comme un tampon absorbant les pics pour mieux distiller leur électricité en fonction des besoins et ainsi "lisser" la production.L'ensemble des batteries peut entreposer jusqu'à 24 MW/heure, soit l'équivalent de la consommation de 10.000 foyers environ, selon RTE, qui gère le plus important réseau d'électricité en Europe avec 105.000 kilomètres de liaisons.Des milliards économisésDe tels sites de batteries existent déjà à La Réunion ou en Corse mais Fontenelle est le plus grand en France, comme il sied à une région fortement productrice d'énergie éolienne, précise RTE.L'énergie produite en Bourgogne-Franche-Comté est majoritairement renouvelable (près de 59% en 2019, dont 44% pour l'éolien). Le vent couvre à lui seul 8,3% de la consommation régionale, contre 5,3% au niveau national. Et la tendance ne fait que croître: la production d'énergie renouvelable a ainsi bondi de 21,5% l'an dernier dans la région, et de 35% pour la seule énergie éolienne.C'est pour suivre ce boom, semblable au niveau national, que RTE a lancé "Ringo", un projet de stockage sur batteries. Financé à hauteur de 80 millions d'euros, il regroupe trois sites: Fontenelle, qui sera opérationnel à la fin du premier semestre 2021, Bellac (Haute-Vienne, prévu pour être mis en service fin 2021, et Ventavon (Hautes-Alpes, en 2022).Les trois sites doivent permettre de stocker 72 MW/h et d'éviter des dépenses de plusieurs milliards d'euros qu'aurait entraînées la construction de lignes à haute tension supplémentaires, rappelle Mme Bertin."En plus, pourquoi construire une ligne renforcée pour des pics de production qui n'arrivent que dix ou vingt fois par an ?", souligne Franck Girard, président du directoire en France de Nidec, le groupe japonais qui a installé les batteries à Fontenelle.Aucun humain ne sera posté sur le site côte-d'orien car les batteries seront entièrement pilotées par un dispositif développé au sein de RTE et qui constitue, selon le réseau, "une première mondiale".Appelé NAZA (Nouveaux automates de zones adaptatifs), il déclenche automatiquement le stockage et le déstockage de l'électricité sur les batteries de tel ou tel site, en fonction de la capacité restant disponible. Et ce, "en moins d'une seconde", relève M. Girard.
Il y a 4 ans et 230 jours

Les renouvelables ont couvert un tiers de la consommation électrique au 2e trimestre 2020

ÉNERGIE. Un tiers de la consommation électrique de la France métropolitaine a été couvert par les énergies renouvelables au deuxième trimestre 2020, d'après le Panorama de l'électricité verte établi par plusieurs organisations du secteur. La puissance totale du parc électrique renouvelable était de 54.690 MW à fin juin 2020.
Il y a 4 ans et 231 jours

Partenariat Trace Software et K2 Systems

archelios™ PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. Développé par la filiale solaire de Trace Software, Cythelia Energy, archelios™ PRO permet désormais d'importer automatiquement des projets PV réalisés dans l'application de dimensionnement mécanique PV K2 Base éditée par K2 Systems, acteur majeur de la fabrication de systèmes de montages pour les installations photovoltaïques. K2 Base permet de planifier rapidement et facilement le système de montage approprié d'un projet en seulement cinq étapes. Le logiciel gratuit dispose de l'interface K2+ qui combine et simplifie la planification mécanique et électrique des systèmes photovoltaïques. Une fois le système de montage conçu, l'utilisateur transfère toutes les données du projet vers archelios™ PRO en un seul clic. L'export automatique vers archelios™ PRO permet à l'utilisateur de récupérer tous les paramètres géométriques, mécaniques, modules du projet, et de poursuivre la conception électrique et la simulation de production en quelques clics.FonctionnementSur K2 Base, l'utilisateur planifie son projet avec les paramètres correspondant exactement au système de montage. Le travail est réalisé en 2D ½ (plans 2D avec élévations). Il permet de calculer les lestages éventuels et produit la liste des équipements nécessaires au montage de l'installation PV.Sur archelios™ PRO, le projet est automatiquement localisé et les plans 2D ½ et modules PV sont importés en 3D. L'utilisateur peut poursuivre la conception : dimensionnement des onduleurs, câblage, simulation technico-économique, édition de plans et rapports.Grâce à cette collaboration, les concepteurs bénéficient de l'expertise reconnue de K2 Systems dans le monde du photovoltaïque et de la puissance d'archelios™ PRO pour le dimensionnement et la simulation de production d'installations solaires.
Il y a 4 ans et 231 jours

Hidalgo et Philippe défendent un Grand Paris allant jusqu'au Havre

Pour l'ancien Premier ministre, redevenu maire du Havre, "cette réalité n'est pas un dogme mais un fait. Il y a une particularité entre Paris, Rouen et Le Havre", a-t-il relevé au cours d'un débat avec la maire PS de Paris lors du Sommet du Grand Paris organisé notamment par Public Sénat et La Tribune."Au début, c'est vrai que certains ont moqué cette idée-là" mais "cette idée du Grand Paris jusqu'à la mer, jusqu'au Havre en passant par Rouen me paraît être une vision", a dit Anne Hidalgo."Paris est la seule grande métropole mondiale à ne pas avoir accès à la mer", a insisté la maire socialiste. Or, "il faut que Paris, la capitale de la France, soit beaucoup plus rapprochée, raccrochée à la mer pour avoir un débouché maritime, élément essentiel pour la qualification des grandes métropoles au niveau international", a-t-elle encore plaidé."Le vrai gros sujet, (...) c'est le fret ferroviaire, absolument essentiel. Là, on n'est pas du tout au niveau", a regretté M. Philippe, qui a lancé, en novembre 2018, lorsqu'il était encore locataire à Matignon, le projet de fusion des trois ports, du Havre, de Rouen et de Paris.Sans cela, et sans un véritable développement du transport ferroviaire, "on ne peut pas avoir une puissance réelle dans la compétition par rapport aux autres grands ports européens", a-t-il ajouté.Le projet du Grand Paris a été lancé en 2008 par l'ancien président Nicolas Sarkozy, et se heurte depuis aux freins administratifs et au manque de moyens financiers."Le Grand Paris n'a de chance de réussir que si le président de la République, lui-même, s'y met", a prévenu Nicolas Sarkozy, au cours d'un discours devant les acteurs de cette métropole.Après son élection, Emmanuel Macron en avait fait une priorité, mais le projet de réforme de la métropole parisienne n'a eu de cesse de s'enliser.
Il y a 4 ans et 232 jours

Corinne Vezzoni, Médaille d'Or de l'Académie d'Architecture 2020

Chaque année depuis 1965, les Prix et Récompenses de l'Académie d'Architecture honorent des professionnels internationaux issus du monde de l'architecture, de l'enseignement et de la recherche, et de la jeune génération d'architectes. L'occasion pour l'Académie de distinguer celles et ceux qui font rayonner l'architecture.Corinne VEZZONI a reçu la Grande médaille d'Or 2020. Elle succède au duo d'architectes mexicains Mauricio Rocha et Gabriela Carrillo et devient la huitième architecte française distinguée par cette récompense internationale parmi 51 décernées jusqu'alors.L'œuvre de Corinne VEZZONI se distingue par une approche liée « aux contextes » ; construire avec le génie du lieu et lutter contre la surconsommation du territoire font partie intégrante de sa démarche.De Casablanca où elle a grandi, à Marseille où elle a choisi d'exercer, la Méditerranée et la puissance de sa lumière ont façonné son travail.Pour chacune de ses réalisations, elle s'attache à révéler les topographies, sculpter la matière, dompter la lumière, expérimenter de nouvelles densités, pour parvenir à une juste intégration dans le paysage.Lors de cette édition 2020, le jury a récompensé 47 lauréats au travers de multiples prix autour de l'architecture, de l'histoire, du journalisme, du patrimoine et de l'art.Le contexte sanitaire actuel a conduit l'Académie à modifier l'organisation de la cérémonie et à limiter l'événement à une jauge très réduite ne permettant pas de célébrer cet instant comme de coutume. L'agence Vezzoni et associésBasée à Marseille, l'agence de Corinne Vezzoni, Pascal Laporte et Maxime Claude s'illustre sur le territoire national. En janvier 2018, elle crée une nouvelle structure parisienne. Autour d'une trentaine de collaborateurs, elle concentre son activité sur des concours publics régionaux, nationaux et internationaux. Elle participe ponctuellement à des prix, concours européens et internationaux. Depuis ses débuts, elle s'attache à explorer des sujets très variés.Parmi ses réalisations on retrouve le Thémis à Paris, premier bâtiment tertiaire de France lauréat du label E+C, the camp, le campus high tech au coeur de la garrigue (Aix-en-Provence), le Centre de Conservation et de Ressources du MuCEM (Marseille) ou le Lycée Simone Veil (Marseille). Actuellement, elle finalise la livraison de la grande opération urbaine du Quartier Chalucet à Toulon, dont le bâtiment des Beaux-arts sera prochainement inauguré. Elle travaille également sur le Grand Paris Express et sur le projet des Terrasses d'Ingouville (site Flaubert), dans le cadre du concours « Réinventer le Havre ».
Il y a 4 ans et 232 jours

Le patrimoine industriel mis à l’honneur dans le Concours Lumières

En récompensant un parc urbain, le chevalement d’un ancien puits de mine et un passage souterrain, le Jury du Concours Lumières a mis à l’honneur le patrimoine industriel cette année. Le premier prix est remporté par CAP Métopole, SPL de Saint-Etienne Métropole (42) pour la mise en lumière du site Novaciéries. Le second prix est attribué au SIEG 63 – Territoire d’Énergie du Puy-de-Dôme pour la mise en valeur des vestiges d’un ancien puits de mine à charbon dans la commune de Youx. Le troisième prix est décerné à la ville de Lyon (69) pour l’éclairage d’un tunnel de circulation, situé sous la voie ferrée de la gare de Perrache. Le Jury du Concours Lumières, présidé par Guy Geoffroy, Maire de Combs-la-Ville (77) et Président de l’association des Éco Maires, a décerné le 3 septembre dernier les trois prix du concours 2020. Cette année 25 dossiers étaient en compétition. Depuis sa création en 1987, le concours a récompensé plus de 150 réalisations. Chaque année, de nombreux maîtres d’ouvrage publics et privés, des concepteurs lumière et des installateurs accordent leur savoir-faire pour sublimer des éléments du patrimoine, historique ou contemporain, des espaces réhabilités, voire des sites industriels, comme en atteste le palmarès de cette 32ème édition. Le jury a fondé son appréciation sur différents critères tels que la cohérence du projet par rapport à son environnement, sa fonction ou le passé historique du site mis en lumière. Très sensibilisé à l’impact environnemental de l’éclairage, il a également pris en compte la performance énergétique de l’installation, l’intégration des équipements afin de réduire leurs impacts visuels et la réduction des nuisances lumineuses. Pour les membres du Jury, “l’éclairage de mise en valeur doit avant tout servir le site ou les bâtiments et non l’inverse. Point n’est besoin de surdimensionner l’installation, en puissance comme en effets, pour éblouir le public”. L’alliance d’une réflexion préalable à la maîtrise des techniques est indispensable pour donner du sens à la mise en scène et révéler avec élégance la richesse du patrimoine. Photo : CAP Métropole, SPL de Saint-Étienne Métropole (42) – Mise en lumière du site Novaciéries © SO Dupont Renoux.
Il y a 4 ans et 234 jours

Le site web bimandco.com fait peau-neuve pour la rentrée !

L’éditeur de logiciels SaaS spécialisé dans les solutions de gestion et partage d’objets BIM dédiées aux acteurs de la construction et aux fabricants annonce le lancement de son nouveau site web. C’est en adoptant un design plus clair que BIM&CO a réussi à mettre en avant la proposition de valeur de ses deux solutions de manière plus précise et plus concrète. L’offre BIM&CO for Manufacturers qui aide les fabricants à digitaliser, structurer et diffuser les produits et données de leurs catalogues pour le marché du BIM via la plateforme bimandco.com se voit désormais promue par une page dédiée. Il en va de même pour la solution de BIM Content & Revit Family Manager « Onfly », s’adressant aux grandes entreprises de construction, ingénieries, promoteurs et cabinets d’architectes pour la gestion de leurs données et objets BIM au sein d’une bibliothèque privée. Cette dernière respectant leurs classifications internes propres, permettant l’enrichissement de paramètres d’objets spécifiques et favorisant la collaboration avec les équipes des partenaires extérieurs grâce à plusieurs niveaux de droits sur les objets. Ces deux nouvelles sections inédites s’accompagnent de testimoniaux clients visant à démontrer le savoir-faire made in France de l’entreprise innovante et s’enrichiront au fil des mois de livres blancs thématiques. Le lancement de ce nouveau site web est également l’occasion pour BIM&CO de tisser une plus grande proximité avec ses utilisateurs et ses clients : le site permet de réaliser une demande de rappel directement en ligne et engage la prise de contact par un chargé de projets sous 24h ouvrées. Parce que travailler ensemble permet d’aller plus loin, ce nouveau site met en outre en valeur les partenaires techniques avec lesquels BIM&CO travaille à l’échelle locale et internationale. BIM&CO se voue en effet à la mission de connecter toute technologie ou outil métier à la puissance de ses données pour maximiser les bonnes pratiques en matière de BIM, que ce soit en phase de conception, construction, livraison, maintenance ou déconstruction des bâtiments. Très prochainement, un espace dédié permettra aux utilisateurs de retrouver en toute facilité des centres de formation partenaires de BIM&CO ainsi que des références bibliographiques pour maitriser le BIM. Les webinars et événements seront également publiés de manière centralisée, pour toujours plus de pédagogie et d’interactivité. On dit que les hommes et les femmes font l’entreprise d’aujourd’hui et de demain – ceci s’applique naturellement à BIM&CO qui met en avant fièrement l’ensemble de ses collaborateurs ! Découvrez dès à présent le nouveau portail de BIM&CO à l’adresse suivante : https://www.bimandco.com/bim/fr
Il y a 4 ans et 234 jours

Neoen annonce un bénéfice net en hausse de 32% malgré le Covid-19

Le chiffre d'affaires de l'entreprise, qui a rejoint au printemps l'indice boursier SBF 120 moins de deux après sa première cotation, a atteint 157 millions d'euros (+33%) grâce à de nouveaux parcs et à une forte progression de l'activité de stockage."Cette performance témoigne du profil de croissance de notre groupe alimenté par le développement continu de notre portefeuille de projets. Au premier semestre, le nombre d'actifs en opération ou en construction a encore progressé de 600 mégawatts (MW) pour atteindre 3,6 gigawatts (GW). Nous avons aussi sécurisé au cours de cette période de nouveaux projets éoliens, solaires et de stockage en France, en Australie ainsi qu'en Finlande", a commenté le PDG de Neoen Xavier Barbaro, cité dans le communiqué.Depuis le 30 juin le groupe indique par ailleurs avoir remporté des appels d'offres gouvernementaux pour trois projets solaires en Irlande d'une puissance totale de 55 mégawatts et un projet éolien de 100 mégawatts en Australie.L'entreprise affine pour 2020 son objectif d'Ebitda (excédent brut d'exploitation) qui sera compris entre 270 et 285 millions d'euros, avec une marge supérieure à 85%. Elle tablait jusqu'ici sur une fourchette comprise entre 270 et 300 millions d'euros pour une marge supérieure à 80%.
Il y a 4 ans et 237 jours

Giga tours, méga ponts : dans les entrailles des monuments hors normes

Les tours Burj Khalifa à Dubaï (828 mètres) ou Montparnasse à Paris (210 mètres), le pont suspendu du détroit d'Akashi et ses 1.991 mètres de portée centrale... L'exposition "XXHL, giga tours et méga ponts" présente, jusqu'au 7 mars 2021, un panorama des plus grands édifices monumentaux contemporains (en hauteur comme en largeur), du point de vue de l'ingénieur et non de l'architecte."Ces réalisations monumentales détiennent toutes des records, mais ce n'est pas une exposition sur les records: l'idée est de présenter le génie technique à l'oeuvre, dans notre ligne éditoriale +les mains dans le cambouis+", explique à l'AFP Evanthia Ioannidou, cheffe de projet de cette exposition.Après un coup d'oeil sur une grande fresque démarrant à la pyramide de Gizeh (édifiée il y a 4.500 ans), le public, à partir de la fin du collège, peut déambuler à travers deux grandes salles pour se glisser dans la peau d'un ingénieur au moment de la conception d'un monument, via une muséographie fluide et 80% numérique (écrans géants "immersifs", vidéo projection interactive, réalité augmentée...).Il peut se familiariser avec le "BIM" ("Building information modeling"), cette maquette numérique évolutive en 3D, un incontournable des concepteurs. "Depuis les années 1990, l'outil numérique a transformé la façon de concevoir: on ne peut plus construire ces édifices sans la puissance du calcul numérique, qui permet par exemple d'évaluer la résistance aux vents, ou d'anticiper ce qui est le plus écologiquement vertueux", souligne Evanthia Ioannidou.L'exposition parle aussi de rénovation, avec un focus captivant sur le projet de renaissance de la tour Montparnasse, et sur des constructions "durables" comme la tour en bois Hypérion à Bordeaux.Car l'heure n'est plus seulement à la seule grandeur: le critère de "l'empreinte environnementale gagne en importance dans la course à la plus haute performance", écrit l'ingénieur Jean-Marc Jeager, dans le journal de l'exposition.
Il y a 4 ans et 237 jours

Photovoltaïque et stockage : Château Poupille gagne 50% d’autonomie sur sa consommation énergétique avec SOLARWATT

SOLARWATT, un des principaux fabricants de batteries solaires et de panneaux photovoltaïques, a été choisi par Château Poupille, domaine viticole sur la commune de Sainte-Colombe près de Saint-Emilion dans la région de Bordeaux (33), pour une installation solaire en autoconsommation avec stockage. Un projet d’envergure de 120 panneaux solaires bi-verre SOLARWATT Vision sur 200 m2 de toiture, réalisé par l’installateur INELIA, permettant au domaine viticole de produire sa propre électricité, diminuer sa consommation sur le réseau et devenir plus autonome, tout en réduisant ses coûts. Déjà très impliqué dans les énergies renouvelables depuis 2009 avec la construction d’un premier hangar solarisé, Château Pouille a souhaité renouveler son engagement dans l’usage du solaire lors de la construction d’un nouveau bâtiment sur le domaine relié au réseau électrique de la propriété. Après plusieurs consultations de sociétés spécialisées, Château Poupille a choisi SOLARWATT pour la présentation de son concept en accord avec ses convictions et la qualité de ses produits, puis INELIA pour la contractualisation et la mise en oeuvre du projet. Les consommations d’un domaine viticole se font principalement de septembre à janvier. Or, face à leurs nouveaux besoins émergents : cuves thermo régulées, oenotourisme (rafraichissement des salles de réception, …), gestion des chais, … les courbes de consommation s’équilibrent tout le long de l’année. L’enjeu de l’installation Château Poupille : faire en sorte que la courbe de production se marie au mieux avec la courbe de consommation. Château Poupille, production de vin et d’énergie solaire Début janvier 2020, la solution clé en mains SOLARWATT, couplant à la fois des panneaux bi-verre garantis 30 ans, le gestionnaire d’énergie intelligent EnergyManager et la solution Plug & Play MyReserve pour la partie stockage, a été installée et mise en service. Grâce au système de batterie MyReserve, Château Poupille a désormais la capacité de stocker le surplus d’électricité produit dans la journée par l’installation solaire. Cette électricité stockée est ensuite utilisée quand le soleil décline pour effacer les consommations d’électricité. Au total, ce sont 120 panneaux solaires bi-verre SOLARWATT Vision qui ont été installés sur les 200 m2 de la toiture d’un bâtiment agricole abritant le chai, le stockage de bouteilles et de cuves. D’une puissance totale de 33,6 kWc, l’équipement a été raccordé à un onduleur Huawei triphasé de 33 kVA et au stockage MyReserve de 12 kWh ; soit une estimation annuelle de 8 785 kWh d’énergie stockée et 54,4% d’autoconsommation solaire. Avec ce projet, Château Poupille a investi dans une solution véritablement économique et écologique. A terme, Château Poupille envisage d’installer une 2ème voire une 3ème colonne de stockage qui permettra d’atteindre 36 kWh de stockage.
Il y a 4 ans et 238 jours

Ouverture au Burkina Faso de la première usine de panneaux solaires en Afrique de l'ouest

D'un coût de 3,2 milliards de francs CFA (4,9 millions d'euros) et baptisée "Faso Energy", cette usine, construite dans la zone industrielle de Kossodo, en périphérie nord de Ouagadougou, aura une production journalière de 200 panneaux solaires.Selon le promoteur de Faso Energy, Moussa Kouanda, la production annuelle permettra d'installer une puissance de 30 mégawatts, soit 3% de la consommation du pays. Le Premier ministre Christophe Dabiré a souligné l'importance de "l'utilisation des ressources renouvelables, pour éviter de compromettre notre avenir", lors de l'inauguration de l'usine."Nous allons pouvoir offrir à nos concitoyens de l'énergie à bas coût, et faire en sorte qu'ils puissent contribuer au développement économique et social du pays", a-t-il estimé."Aujourd'hui, un rêve devient une réalité", s'est réjoui de son côté le ministre de l'Energie Bachir Ismaël Ouédraogo, soulignant que la production locale de panneaux solaires favorisera la construction en cours de seize centrales solaires, pour un potentiel de 250 mégawatts.Le Burkina a lancé le programme "Yeleen" (lumière) pour construire une série de centrales solaires, profitant du fort ensoleillement de ce pays sahélien.Dans le cadre de ce programme, la construction de nouvelles centrales solaires de 20 et 10 MW a été lancée il y a deux semaines dans les villes de Koudougou et Kaya.Six autres centrales solaires photovoltaïques d'une puissance cumulée de 176 MW sont en projet.Il est prévu dans le cadre du programme Yeleen l'électrification par des systèmes solaires photovoltaïques de 396 centres de santé, écoles et centres d'alphabétisation, de 18 centres hospitaliers et d'un hôpital de district, de 13 maisons d'arrêt et de 7 universités, selon le gouvernement.L'électricité demeure encore une denrée rare pour plus de 80% de la population du Burkina Faso, qui reste dépendant des importations d'électricité de Côte d'Ivoire et du Ghana, qui atteignent jusqu'à 30% de sa consommation.Le Burkina vise à couvrir d'ici 2030 30% de ses besoins en électricité avec le solaire.
Il y a 4 ans et 240 jours

Le réseau Tryba poursuit sa croissance

D'ores et déjà, Tryba a en cours : 14 ouvertures et 7 reprises de fonds de commerce, pour le deuxième semestre 2020. 36 secteurs géographiques sont encore disponibles sur toute la France, en concessions classiques ou en “Carré”.Tryba, marque nationale, stable et pérenne, affiche une dynamique d'expansion forte, depuis sa création, il y a 40 ans. Le réseau, forgé sur les 4 valeurs fondamentales de la marque (l'excellence, la performance, le respect mutuel et l'engagement), compte plus de 300 Espaces-conseil, répartis sur toute la France. S'appuyant sur la puissance industrielle du Groupe Atrya, groupe familial alsacien, qui figure parmi les leaders européens dans le domaine de la fabrication et de la distribution de menuiseries PVC, bois et aluminium, Tryba est la fois concepteur, fabricant, et installateur. Au final, ces 3 métiers constituent bien 3 expertises au service des clients de la marque.Pour répondre davantage encore aux attentes des consommateurs en quête de fabrication française, de durabilité et d'éco-performance, Tryba a continué d'étoffer son maillage territorial en ouvrant 12 Espaces-conseil en France au premier semestre 2020.Très bon démarrage en 2020 : 12 ouvertures au 1er semestre 2020Tryba souhaite être au plus près des consommateurs et rendre ses magasins accessibles à tous. Les 12 ouvertures du premier semestre 2020 viennent donc renforcer la proximité locale de la marque sur des secteurs jusque-là disponibles et trop éloignés des autres magasins du réseau.Répartis sur toute la France, au travers de 10 régions et 12 départements, les 12 ouvertures de ce début d'année, malgré un contexte imprévu dû au confinement de début 2020, sont en parfaite corrélation avec les ambitions de croissance de la marque, et vont permettre de dépasser les objectifs de développement fixés pour l'année 2020. Preuve que l'enseigne Tryba attire toujours et encore de nouveaux chefs d'entreprise !Dorénavant, les clients pourront aller à la rencontre de Tryba dans les villes suivantes : En magasin principal :Vernon (27),Pontivy (56),Saint-Nazaire (44),Vierzon (18),Cannes (06)En magasin secondaire :Dol-de-Bretagne (35),Riom (63),Marignane (13),Fargues-Saint Hilaire (33),Lannemezan (65),Champagne-au-Mont-d'Or (69),Boulogne-sur-Mer (59)En conclusion, pour ce premier semestre 2020, malgré le contexte particulier du début de l'année, Tryba a créé 5 Espaces-conseil à titre de magasin principal, et 7 magasins secondaires. La fin d'année devrait être toute aussi dynamique, puisqu'au total ce seront 25 nouveaux Espaces-conseil qui devraient ouvrir sur la totalité de l'année 2020.36 villes encore disponibles sur toute la France :Cependant, Tryba, en tant que réseau mature comptant le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France, ne souhaite pas s'arrêter là ! Avec 36 secteurs géographiques encore disponibles sur 9 régions, la marque au célèbre Sumo ambitionne de s'implanter, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne.Elle souhaite installer un Espace-conseil dans les zones de chalandise de 150000 à 200000 habitants, comme à Laval ou Nevers, ou un « Carré Tryba », dans des zones de chalandises de 70000 habitants, comme à Aurillac ou Châtellerault.En effet, le modèle de franchise participative, instauré en 2013, dénommé « Carré Tryba », continue de se développer. On en compte aujourd'hui 18, dont 10 sont devenus concessionnaires, en 3 ans maximum.Véritables opportunités, ces secteurs géographiques exclusifs ont pour but de permettre à des entrepreneurs motivés de devenir leur propre patron tout en étant formés et accompagnés par un réseau solide, qui a prouvé sa pérennité, sa rentabilité et sa notoriété.Secteurs exclusifs disponibles pour l'implantation d'espaces-conseil en 2020 – 2021:Hauts-de-France : Lille (59) et Abbeville (80)Normandie : Cherbourg (50), Saint Lô (50), Dieppe (76) et Rouen Sud (76)Bretagne : Rennes (35)Pays de la Loire : Laval (53) et Les Herbiers (85)Nouvelle-Aquitaine : Bressuire (79), Niort (79), Agen (47), Villeneuve sur Lot (47), Mont-de-Marsan (40) et Angoulême (16)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Epinal (88), Chaumont (52) et Bar-le-Duc (55)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03) et Roanne (42)Bourgogne - Franche-Comté : Nevers (58) et Beaune (21)Secteurs disponibles pour l'implantation de "Carré" Tryba :Normandie : Coutances (50)Bretagne : Redon (35)Pays de la Loire : Mayenne (53) et Pornic (44)Centre : Loches (37), Chinon (37) et Châtellerault (86)Nouvelle-Aquitaine : Cognacq (16)Grand Est : Boulay-Moselle (57)Auvergne - Rhône-Alpes : Moulins (03) et Aurillac (15)Bourgogne - Franche-Comté : Fontaine-les-Dijon (21) et Avallon (89)La marque offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l'hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante. En effet, les reprises de fonds de commerce ont le vent en poupe dans le réseau Tryba, avec 11 rachats de concessions ayant eu lieu en 2019, et autant prévues en 2020. Avec 40 ans d'existence pour la marque, certains concessionnaires ont rejoint le réseau il y a longtemps, et la marque trouve alors un repreneur à celui qui quitte le réseau, notamment pour cause de départ à la retraite, après une belle carrière aux côtés de l'enseigne.Des concessions avec une rentabilité de 8 à 10% Un espace-conseil Tryba réalise, au bout de 3 ans, un chiffre d'affaires de 1350000 euros, pour un revenu net à disposition du concessionnaire à hauteur de 8 à 10% du chiffre d'affaires. Les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif et étendu. Chaque nouvelle concession ouvre un magasin ayant pignon sur rue, avec un showroom permettant de mettre en valeur les produits Tryba et de faire la différence sur la qualité de produits proposés et fabriqués sur mesure en France par les usines Tryba.Un accompagnement fort pour se lancer dans une aventure maitriséeGrâce à un accompagnement important et constant, l'un des points forts de Tryba, la marque intègre aujourd'hui 80% d'entrepreneurs qui ne sont pas issu du secteur de la menuiserie. La formation poussée, voulue et dispensée par le franchiseur, est donc essentielle pour que le partenariat soit gagnant-gagnant pour les deux parties.La marque accompagne donc les entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d'une concession, au travers de toutes les étapes du projet, que ce soit :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter,Des informations transparentes sur l'enseigne de franchise Tryba, ses méthodes et son expérienceLa découverte du métier avec un stage de découverte « vismavie » en concession pilote,La recherche et la négociation de locaux adaptés,La recherche de financement,La création de la société,La formation du concessionnaire à son nouveau métier.A chaque nouvel arrivant, Tryba dispense dès son arrivée dans le réseau, une formation initiale gratuite de trois semaines sur tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatiques… Il bénéficie également de l'accompagnement soutenu et gratuit sur le terrain de la cellule ouverture, composée de 4 formateurs. Ceux-ci se déplacent sans frais chez le nouvel entrepreneur, pendant 6 mois, avec l'organisation de rendez-vous bi-mensuels en agence, pour lui transmettre dans la durée, tout le savoir-faire de Tryba, et lui permettre de se perfectionner à son rythme. Par la suite, un animateur technico-commercial prend le relais et rend visite toutes les 3 semaines au concessionnaire.L'équipe d'animateurs réseau a été renforcée et en compte désormais 9, répartis par grandes régions. Véritable lien entre Tryba et le terrain, il s'occupe en moyenne de 20 concessionnaires.En parallèle, de nombreux outils permettent également de se former en continu : formations produits et pose chaque année, programmes e-learning …Un réseau qui se digitalise en 20202020 c'est l'année d'une grande dynamique digitale dans le réseau Tryba. Alors que le déploiement de la nouvelle solution intégrée CRM Métier démarre en Septembre, c'est aussi l'occasion pour les équipes de ventes de se digitaliser : Nouveau PC-tablette vendeur intégrant la signature électronique et réunissant tous les outils digitaux en un seul ; nouvelle application mobile pour prendre en photos ses réalisations et les publier en 3 clics sur son site et sur les réseaux sociaux. Avec le Pack Digital lancé en début d'année, tout est également fait par Tryba pour booster la visibilité web locale des concessions : gestion du référencement web de la concession, campagnes e-marketing, accompagnement réseaux sociaux. Et les résultats sont au rendez-vous : +30% de contacts web sur le 1er semestre 2020.
Il y a 4 ans et 241 jours

Le gaspillage énergétique dans l'immobilier tertiaire se chiffrerait en millions d'euros selon une étude

L'étude menée pendant le confinement pose un constat sans appel, révélant que 40% des sites sont mal régulés. Ces surconsommations représentaient un gisement d'économies de 123.000€ par semaine pour le seul parc des 3.500 bâtiments analysés. A l'échelle nationale, le potentiel se chiffre en millions d'euros.Près d'un bâtiment sur deux en surconsommation et des millions d'euros d'économies potentielles estimées à l'échelle du paysEmmanuel Blanchet, Directeur général et co-fondateur de Deepki, précise : « Si nous nous réjouissons que le gouvernement ait fait de la rénovation énergétique une priorité de France Relance, il nous paraît d'autant plus urgent de poser des données concrètes sur la réalité du gaspillage énergétique. Cette étude pose un constat sans appel sur les très nombreuses anomalies de régulation qui pèsent lourdement sur l'efficacité énergétique de notre parc immobilier. »L'analyse, menée sur 3.500 bâtiments à l'occasion du confinement révèle en effet que 40 % des sites sont mal régulés. En l'occurrence, il s'agit de structures qui ont maintenu des niveaux de consommations énergétiques importants alors même qu'ils étaient inoccupés ou inopérants.Ces surconsommations correspondent à de très importants gisements d'économies d'énergies. Sur le seul parc analysé, l'étude révèle ainsi que 123 000€ pourraient être économisés chaque semaine. A l'échelle du pays, le potentiel d'économie se chiffre in fine en millions d'euros.Emmanuel Blanchet précise : « Ces gaspillages mis en lumière par l'étude sont autant de gisements d'économies d'énergie qui peuvent être exploités rapidement sans recourir à des investissements massifs. Comme il s'agit ici de défauts de régulation, des actions de sensibilisation des usagers et un meilleur réglage des équipements peuvent déjà avoir un impact bénéfique très important. On parle en l'occurrence de plusieurs millions d'euros à l'échelle du pays. »Le confinement : contexte « idéal » pour détecter les sites mal régulésLa période de confinement s'est avéré être un contexte « idéal » pour révéler les défauts de régulation énergétique des bâtiments. L'absence d'usagers dans les locaux (bureaux, commerces, hôtels...) a conduit à une chute drastique des besoins énergétiques. Une configuration hors norme qui permettait de révéler les gaspillages d'énergie et identifier précisément leur cause.Comparaison des seuils de puissance appelée avant (en rouge) / pendant le confinement (en vert) L'équipe R&D de Deepki s'est saisie de cette occasion pour développer un algorithme de détection à grande échelle du gaspillage énergétique. L'analyse consiste in fine à comparer, pour chaque site concerné, ses consommations pendant le confinement avec ses besoins la nuit, lorsque le site est fermé au public. L’étude complète est disponible en téléchargement, en cliquant iciMéthodologieÉtude menée pendant la période de confinement, entre le 17 mars et le 11 mai 2020 sur un parc de 3500 bâtiments des secteurs du retail et de l'immobilier de bureau, répartis sur le territoire français.
Il y a 4 ans et 244 jours

L'État engage un effort sans précédent en faveur des énergies renouvelables

Le soutien de l'État aux énergies renouvelables se traduit par un engagement financier massif et des mesures de simplification pour les porteurs de projet, visant à permettre l'atteinte de l'objectif ambitieux de 33% d'énergies renouvelables en 2030, contre 17,2% fin 2019. Toutes les filières sont concernées : l'électricité, le gaz et la production de chaleur. Dans le projet de loi de finances pour 2021, le soutien aux énergies renouvelables sera accru au total de 1,3 Md€, soit une hausse d'environ 25%, pour dépasser les 6 Mds€, un record historique qui correspond à un doublement par rapport à 2012.La France a pris des engagements ambitieux de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre afin d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Tous les secteurs sont concernés et notamment le secteur de l'énergie, qui constitue une part significative des émissions dans notre pays. Le pays est également engagé dans un mouvement de diversification de ses sources de production d'énergie pour renforcer la résilience de son système énergétique, sa sécurité d'approvisionnement et sa compétitivité.S'agissant de la production d'électricité, l'objectif est de doubler d'ici 2028 la capacité de production de l'éolien terrestre, de multiplier par près de cinq celle du photovoltaïque et de lancer chaque année un appel d'offres pour l'éolien en mer, correspondant à la production d'environ 1 GW par an, soit la consommation moyenne de 600.000 ménages. Afin d'atteindre ce rythme, l'État est actuellement engagé sur trois projets en parallèle : le débat public pour l'attribution du prochain parc d'éolien en mer en Normandie s'est terminé en août 2019 ; celui pour la Bretagne est ouvert depuis le mois de juillet et un débat sera lancé prochainement pour des parcs d'éolien flottant en Méditerranée. Au total, la PPE prévoit un soutien supplémentaire pouvant aller jusqu'à 6 Md€ pour faire émerger une filière d'éolien en mer en France d'ici 2028.L'avenir du pays passe par les énergies renouvelables. Le soutien du Gouvernement au secteur augmentera de près de 25% en 2021 et dépassera les 6 milliards d'euros. Un record historique qui correspond à un doublement par rapport à 2012.☀️
Il y a 4 ans et 245 jours

Tour SILEX2 à Lyon : une greffe architecturale en métal

L’opération SILEX², initiée par la maîtrise d’ouvrage COVIVIO, est la régénération d’un ensemble architectural du patrimoine du quartier d’affaires Lyon Part-Dieu. Construite dans les années 1970, la tour existante, abritant l’ancien siège d’EDF, n’était plus adaptée aux nouveaux usages. MA ARCHITECTES (conception) et ARTE CHARPENTIER (architectes associés) ont imaginé un programme, qui se développe autour de cet Immeuble de Grande Hauteur emblématique. La greffe architecturale en métal, offrant 400 m² supplémentaires par étage, s’est naturellement imposée pour assurer la viabilité du projet de bureaux d’une superficie de 31 000 m². Elle permet de répondre aux problématiques liées au vent et aux risques sismiques. Ajoutée à la façade nord, elle révèle le projet par la puissance de la structure de ses pignons et par sa silhouette élancée. Entièrement en acier, cette extension accolée est contreventée par un exosquelette composé de quatre grandes poutres verticales en métal « type I », d’une hauteur de 111,4 m et d’un entraxe de 12,2 m. Elles sont constituées de montants en deux poutres PRS* et lacées de diagonales en tubes carrés (400 mm de hauteur). L’ensemble, qui signe la nouvelle identité de SILEX2, a été fabriqué et mis en œuvre par SMB. Un challenge pour le charpentier métallique qui participe ainsi à la première tour d’acier sans noyau béton depuis la tour Eiffel et à la tour la plus élancée sur le continent européen. Culminant à 126 m, elle possède 24 niveaux de planchers collaborants, une coiffe qui protège les zones techniques et un mât de 15 m de hauteur. Côté tour existante, l’entreprise a réalisé les 4 derniers niveaux de plancher écrêtés puis reconstruits en acier afin d’alléger le sommet et optimiser la réaction au séisme. Ils accueillent les terrasses et les édicules techniques. Elle s’est également occupée des capotages de l’exosquelette, de la sur-toiture et de la structure du bâtiment ERP, qui comporte un porte-à-faux sur 8 niveaux. Ce dernier communique avec l’IGH par un socle actif. Au total, l’opération représente environ 2 000 tonnes de charpente métallique. Le chantier a débuté en septembre 2019 et s’achèvera à la fin du premier semestre 2021. Maître d’ouvrage : Covivio Maîtres d’œuvre de conception : MA Architectes et Arte Charpentier (architectes associés) Maître d’œuvre d’exécution : Builders & Partners – agence Rhône Alpes Auvergne Entreprise générale :Eeiffage construction confluences Charpentier métallique : SMB constructions métalliques Photo : SMB
Il y a 4 ans et 253 jours

La Banque des Territoires et Bpifrance lancent un Plan Climat de 40 milliards d'euros

Continuum de solutions opérationnelles d’accompagnement, transverse aux deux entités, il vise simultanément les projets de transition verte des entreprises et des acteurs publics des territoires. Ce Plan Climat repose sur trois piliers : Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement, Accompagner le développement des énergies renouvelables (ENR) et contribuer à la croissance de champions internationaux, Financer et accompagner massivement l’innovation dans les « greentechs » et dans les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE. Le déploiement du Plan Climat par Bpifrance et la Banque des Territoires renforce la dynamique engagée par le groupe Caisse des Dépôts suite à l’accord de Paris. Le Plan Climat rassemble de manière opérationnelle des solutions de financement et d’accompagnement à destination des collectivités locales et des entreprises des territoires. L’action conjointe de ces deux acteurs financiers publics complémentaires déclenchera un effet d’entraînement sur l’investissement et l’emploi et contribuera ainsi à la relance.« Ce Plan Climat de 40 Md€ vient matérialiser l’engagement de notre Groupe en faveur de la transition écologique et énergétique de l’ensemble des territoires. En complément de financements aux conditions fortement améliorées pour soutenir spécifiquement les investissements des territoires en matière de TEE et de résilience, la Banque des Territoires les accompagnera dans le cadre d’une approche unique de bout en bout, avec des crédits d’ingénierie et des outils numériques pour faciliter la prise de décision des élus locaux. Nous avons l’ambition, par cette approche, de contribuer à créer un véritable effet déclencheur au niveau local sur la décision d’investissements en matière de TEE ».« L’exceptionnelle dotation du Plan Climat va permettre à Bpifrance d’être un agent de transformation et d’entrainement des entreprises vers les technologies de la transition environnementale et écologique. Celle-ci constitue une opportunité majeure de création de valeur et d’emplois. » déclare Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance. « Bpifrance, investi de longue date dans cette vaste transformation, va renforcer substantiellement son action en démultipliant les financements et l’accompagnement des entreprises vers cette transition. Amélioration de l’efficacité thermique des bâtiments, accompagnement des développeurs d’énergies renouvelables, soutien à l’innovation, décarbonation de l’industrie… ; les entreprises trouveront dans ce Plan l’ensemble des réponses opérationnelles à leurs besoins, quel que soit leur niveau d’engagement actuel dans cette transition. »-Olivier Sichel, Directeur de la Banque des TerritoiresI. Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement Bpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront 20 Md€ pour aider les entreprises industrielles à se décarboner, développer la mobilité verte et améliorer l’empreinte environnementale des bâtiments des entreprises et des collectivités dans les territoires. 14,9 Md€ seront déployés par la Banque des Territoires et Bpifrance, pour améliorer l’efficacité thermique de 22 millions de m2 de bâtiments d’entreprises, de collectivités locales ainsi que la rénovation de plus de 500 000 logements sociaux :La Banque des Territoires accordera, sur les 5 prochaines années, 10 Md€ de prêts à la rénovation, principalement énergétique, de logements sociaux.La rénovation thermique des bâtiments publics bénéficiera d’une enveloppe de 2Md€ de prêts de la Banque des Territoires (prêts GPI Ambre aux conditions améliorées avec en particulier un abaissement du taux (Livret A + 0,6 %) ou encore l’augmentation des quotités pouvant être servies) et de 500 M€ de fonds propres, avec un focus sur le bâti scolaire, et complétés par 250 M€ du PIA[1] pour la rénovation des Universités.Afin d’améliorer l’efficacité énergétique des locaux dans lesquels les entreprises exercent leur activité, Bpifrance déploiera une offre de crédit-bail immobilier pour un montant de 1 Md€, des prêts en faveur des travaux de rénovation énergétique avec une cible de 600 M€ et des financements de contrats de performance énergétique pour 150 M€, pour les bâtiments d’activité commerciale.3,5 Md€ pour développer la mobilité verte et résiliente, avec notamment le financement de 11 000 véhicules verts et 50 000 bornes de rechargeLa Banque des Territoires et Bpifrance vont combiner leurs efforts en matière de financements, en crédits ou en fonds propres, pour contribuer au développement de mobilités douces et de modes alternatifs d’alimentation en énergies (infrastructures de recharge électrique) ou encore pour la résilience des infrastructures de transport dans les territoires (pont et rail) : Bpifrance proposera aux entreprises de transports des conditions d’octroi de crédit-bail « matériel » avec une durée de 10 ans en cas d’achat de véhicules propres.La Banque des Territoires accompagnera ses clients publics dans leurs investissements en bornes de recharge de véhicules électriques pour soutenir l’essor de cette filière industrielle, mais également d’avitaillement en biogaz (près de 250 M€ de fonds propres y seront dédiés, avec un objectif de près de 400 M€ supplémentaires de prêts pour les bornes électriques et d’avitaillement hydrogène).Pour financer des flottes de matériel roulant propre (transport routier, fluvial ou ferroviaire…), la Banque des Territoires proposera également son concours en fonds propres avec une capacité globale d’action portée à plus de 350 M€ ainsi qu’un objectif de 300 M€ de prêts dédiés bénéficiant de l’amélioration des conditions de prêts aux mobilités durables (tarification ou encore quotités).En matière d’adaptation des mobilités post-Covid, la Banque des Territoires financera par ailleurs les plans de transformation des voieries des villes pour répondre aux enjeux des nouvelles mobilités (pistes cyclables, logistique urbaine durable …) et financera l’équipement en outils d’aide à la décision en temps réel. Elle dédiera 70 M€ de fonds propres à cet objectif mêlant adaptation au contexte sanitaire et ambitions de durabilité, avec un objectif de 350 M€ de prêts dédiés.La Banque des Territoires financera les investissements pour des mobilités durables et résilientes, selon des modalités améliorées, participant ainsi à la reprise dans les territoires par les chantiers locaux lancés. Elle se fixe un objectif de 1,3 Md€ de prêts pour financer l’accélération des travaux pour la durabilité et la résilience des infrastructures dans les territoires (notamment en matière de régénération du rail sur certains axes dans le cadre du Plan gouvernemental dédié ou encore la rénovation des ouvrages d’art routier et des ports). Plus globalement, et en supplément, la Banque des Territoires ambitionne d’investir 200 M€ en fonds propres dans des projets d’infrastructures régionales et locales, pour fluidifier et optimiser les flux et ainsi participer à l’ambition de réduction de l’empreinte globale. 1,5 Md€ mobilisé au bénéfice de la décarbonation de plus de 1300 entreprises industriellesBpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront toute leur gamme de financements, et d’outils d’accompagnement, au service de la décarbonation des entreprises industrielles. Bpifrance proposera aux entreprises industrielles le Prêt Vert, à hauteur de 1,5 Md€ via un dispositif de prêt sans garantie s’adressant aux PME et ETI qui investissent pour améliorer la performance environnementale de leur process industriel ou de leurs produits, notamment via des programmes faisant suite à des dispositifs d’accompagnement en partenariat avec l’ADEME, centrés sur la TEE. En complément, le prêt Economies d’Energie de 350 M€ viendra financer via un prêt sans garantie des opérations éligibles au Certificat Economie d’Energie des secteurs « Industrie » et « Bâtiments tertiaires ».La Banque des Territoires mobilisera 250 M€ de fonds propres pour investir dans des actifs nécessaires à la transition écologique et énergétique d’industriels : production d’énergie renouvelable et locale par ces industriels (centrale biomasse, production de chaleur, de froid, hydrogène vert…) ou encore recyclage de leurs déchets.Bpifrance complète sa gamme de dispositifs d’accompagnement, avec des outils dédiés aux entreprises désireuses d’initier ou d’accélérer leur transition écologique et environnementale :Le Climatomètre, en première approche : un autodiagnostic en ligne qui permet à l’entreprise d’établir un premier état des lieux de son empreinte écologique.Le « Diag Eco Flux », en partenariat avec l’ADEME, en dispositif plus intensif pour établir une photographie des flux en matières premières, eau, énergie et déchets afin d’identifier les pistes d’économies d’énergies pour réduire l’impact environnemental de l’entreprise.La création en partenariat avec l’ADEME, de deux nouveaux Accélérateurs d’entreprises. L’un destiné aux entreprises « offreuses de solutions » de la transition verte, et l’autre visant à regrouper les entreprises menant un ambitieux projet de transition de leur mode de production.La création du VTE vert (Volontariat Territorial en Entreprise) pour des jeunes diplômés ou apprentis, cherchant une première expérience professionnelle centrée sur des projets de transition verte au sein de PME et ETI. Le VTE vert permettra à 1000 étudiants et jeunes diplômés de s’engager au sein de PME et ETI françaises pour y mener des projets de transformation en lien avec leur spécialité.La Banque des territoires accompagnera 2 500 projets ou collectivités via un partage de bonnes pratiques (en collaboration avec l’ADEME), un appui en ingénierie des territoires Cœur de ville et Petites villes de demain ainsi que Quartiers Prioritaires de la Ville, l’intermédiation de financements européens et un accompagnement spécifique aux territoires fragiles.II. Doubler les financements dédiés aux ENR et contribuer à la croissance de champions internationaux14,5 Md€ seront déployés pour la croissance des développeurs d’énergies renouvelables (ENR) avec un objectif de 8,8 GW de puissance installée, en France et à l’export, et un soutien aux secteurs nécessaires à l’innovation dans ce domaine :La Banque des Territoires investit dans la production d’ENR à hauteur de 900 M€ d’investissements dans les infrastructures sur 5 ans, dont 40 M€ pour la production d’hydrogène vert dans les territoires.Bpifrance a développé un continuum de financement, d’investissement et d’accompagnement en conseil pour booster la croissance des entreprises de la filière de 2020 à 2024 :L’activité historique de Bpifrance sur le cofinancement[1] des ENR sera doublée et complétée avec la création d’une offre spécifique pour le préfinancement de projets pour un total de 12,7 Md€ sur la période.Bpifrance renouvellera son fonds d’investissement dédié aux développeurs d’ENR (Fonds France Investissement Energie Environnement – FIEE) à hauteur de 150 M€. Les développeurs d’ENR pourront par ailleurs solliciter des crédits export pour financer leur internationalisation sur une enveloppe cible de 275 M€ d’ici à 2024.Bpifrance accompagnera la structuration de la filière Biogaz avec une enveloppe de 350 M€ de prêts, financés par le ministère de l’Agriculture et l’ADEME. En complément, Bpifrance mettra à disposition des entreprises tous les dispositifs d’Accompagnement Bpifrance, notamment les missions de conseil et la possibilité de rejoindre l’accélérateur TEE, en partenariat avec l’ADEME, ainsi que les accélérateurs transverses.Enfin, le financement de solutions techniques visant à l’autoconsommation des collectivités et des entreprises bénéficiera également de financements à hauteur de 100 M€ de prêts. III. Financer massivement l’innovation dans les « greentechs » et les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE La France a tous les atouts nécessaires pour faire émerger un écosystème d’offreurs de solutions et devenir un des leaders mondiaux en la matière : recherche publique et privée de qualité dans les secteurs concernés, grands groupes leaders au niveau mondial, communauté entrepreneuriale dynamique, fonds de capital-risque de plus en plus puissants et financements publics importants.Pour contribuer à cette dynamique, Bpifrance et la Banque Territoires déploieront 5 Md€ :2,5 Md€ mobilisés par Bpifrance pour soutenir l’émergence et la croissance des « greentechs » (i.e. toute solution, principalement technologique, permettant de lutter contre le réchauffement climatique, les pollutions de l’eau, de l’air et du sol et contribuant à la préservation des ressources naturelles). Près de 9 000 projets portés par des « greentechs » seront ainsi accompagnés, notamment via un continuum de financement renforcé à toutes les étapes de leur développement :Doublement des aides à l’innovation de Bpifrance, qui passent de 150 M€ par an en 2019, à 300 M€ par an à partir de 2021. Elles financeront davantage de « greentechs » et les aideront à franchir des étapes souvent plus capitalistiques de leur développement.Bpifrance va également doubler ses investissements en capital-risque (plus de 300 M€ de fonds propres injectés) et doubler ses prêts sans garantie innovation à destination des « greentechs ». Ceux-ci représenteront 600 M€ de financements sur la période.300 M€ seront confiés en gestion par Bpifrance à des fonds privés, pour créer de nouveaux véhicules d’investissements en capacité d’accompagner la montée en puissance d’offreurs de solutions favorisant la TEE.3 Md€ de soutien aux filières et aux dispositifs innovants pour l’aménagement durable et résilient des territoires seront engagés par la Banque des TerritoiresLa Banque des Territoires prend un engagement fort en faveur des dispositifs innovants locaux participant à l’émergence de nouveaux modèles pour la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Concrètement, ce sont près de 2,8 Md€ de prêts et 200 M€ de fonds propres qui sont prévus sur la période 2020-2024 pour financer :la rénovation des réseaux d’eau et d’assainissement avec l’Aqua Prêt,le traitement des déchets,les réseaux de chaleur,le portage foncier, qui le cas échéant permettrait notamment le recyclage de surfaces, dans le cadre par exemple de grandes opérations d’intérêt national, évitant ainsi de l’artificialisation supplémentaire,la préservation de la biodiversité, par exemple pour la promotion de Sites Naturels de Compensation.[1] Programme d’investissements d’avenir [2] Les prêts de Bpifrance sont réalisés en cofinancement avec les banques privées. Les montants indiqués s’entendent hors effet de levier.
Il y a 4 ans et 254 jours

Sonocrete : La puissance des ultrasons

Sonocrete propose un processus de traitement par ultrasons associé au malaxage. [©Sonocrete] Réduire l’empreinte carbone, le recours aux ressources fossiles, les dépenses d’énergie, optimiser la production, augmenter les performances du béton… Autant de promesses que Sonocrete propose aux industriels du béton. Et ce, à l’aide d’un processus de traitement par ultrasons associé au malaxage. Durant cette étape, le procédé permettrait d’activer les propriétés de compression du béton. La puissance des ultrasons à basses fréquences et à hautes intensités provoque une augmentation des valeurs de capacité d’écoulement. Et de résistance à la compression. Cela permet de réduire la part de ciment. Ou même d’utiliser des ciments de classe de résistance inférieure à celle voulue. Mais aussi, d’ajouter moins d’adjuvants. Pour les équipes de Sonocrete, cette technologie intégrée dans le processus de fabrication du béton permet de réduire les émissions de CO2. D’une part, en diminuant le recours aux matières premières. Et d’autre part, en économisant de l’énergie dans le processus de fabrication. Intégré à l’incubateur LH Accelerator de LafargeHolcim, la start-up allemande est toujours en phase de R&D. Jusqu’en 2021, elle compte monter son business plan et s’assurer de la faisabilité de la technologie. Entre 2021 et 2022, Sonocrete compte débuter des démonstrations. Mais aussi, développer des partenariats pour lancer officiellement le procédé de manière globale.
Il y a 4 ans et 261 jours

Forage géothermique novateur à Vélizy-Villacoublay

Les travaux de forage pour la construction de la future centrale géothermique de Vélizy-Villacoublay ont débuté. La gestion a été confiée aux équipes de VELIGEO, société de production d’énergie renouvelable détenue par ENGIE Solutions et la collectivité. Avec cette centrale, Vélidis, la ville sera alimenté à plus de 60 % en énergie géothermique. Ce projet, accompagné financièrement par la Région Ile-de-France et l’ADEME Ile-de-France à hauteur de près de 9 millions d’euros, est une première nationale permettant d’éviter la production de 22 801 tonnes de CO2 par an. Le forage géothermique est réalisé au moyen d’un appareil de 40 mètres de haut, en zone urbaine, il va forer jusqu’à 1 600 mètres de profondeur. Une opération de haute technicité qui s’étendra jusqu’en début d’année prochaine. L’exploration de la géothermie de Vélizy-Villacoublay sera une première nationale puisqu’elle va appliquer la technologie des forages multi-drains à la géothermie profonde. L’architecture du puits composée de deux drains permettra de traverser deux fois les niveaux producteurs pour maximiser le volume de réservoir drainé, ce qui favorisera la récupération d’une eau géothermale à 64°C et fournira une puissance calorifique de plus de 16 MW.
Il y a 4 ans et 280 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 282 jours

Bosch ouvre son système de batteries 18V à d'autres marques

« Nous fournissons aux artisans des outils qui leur permettent d'obtenir le meilleur résultat avec plus de rapidité, de simplicité et de sécurité, et à moindre coût », explique Lennart de Vet, membre du Comité de direction de Robert Bosch Power Tools GmbH en charge de l'outillage électroportatif professionnel.Les critères majeurs sont l'efficacité et l'efficience. L'ouverture de la plateforme de batteries 18 volts offre une forte valeur ajoutée aux utilisateurs professionnels : grâce au partenariat conclu avec Brennenstuhl, Sulzer, Klauke, Ledlenser, Lena Lighting, Sonlux et Wagner, tous experts dans leur domaine, Bosch propose une gamme d'applications encore plus étendue et renforce encore la flexibilité pour l'utilisation de produits spécialisés tels que projecteurs de chantier, pistolets à cartouche, outils de coupe électro-hydrauliques et pistolets à peinture. Et d'autres fabricants vont suivre.Désormais, l'utilisateur professionnel n'a plus qu'une seule batterie et un seul chargeur à transporter, avec à la clé un gain de temps, d'argent et de place. Finies les accumulations de batteries et chargeurs non compatibles de différentes marques.« L'ouverture du Professional 18V System marque la première étape d'un partenariat mondial avec des marques fortes. L'objectif est de proposer aux utilisateurs professionnels le meilleur système 18 volts commun à de nombreuses marques et à de nombreux pays, et de leur offrir ainsi un nouveau gain d'efficacité », précise Lennart de Vet.Partenaires et utilisateurs font confiance à la marque BoschLe système de batteries commun aux fabricants repose sur la technologie de batterie Bosch.« Le Professional 18V System offre une forte valeur ajoutée à nos utilisateurs, grâce par exemple à la recharge la plus rapide du marché. Il n'y avait pas de doute à nos yeux pour nos lampes de travail LED haute performance : seule une coopération avec le leader technologique était envisageable », déclare Ralf Nickles de Brennenstuhl.Roman Thoenig de Sulzer souligne la flexibilité et la polyvalence du système : « Le Professional 18V System inclut d'ores et déjà plus de 180 outils, et nous en constituons un maillon important. Nous enrichissons en effet le système grâce à notre gamme complète d'applicateurs sans-fil à un et deux composants pour les marques Cox et Mk. »Tim Lumme de Klauke mise, quant à lui, sur la force du système. « Bon nombre de nos clients possèdent des outils Bosch. Avec nos nouveaux outils Orange, nous leur proposons désormais des outils de sécurité électro-hydrauliques uniques en leur genre, dotés d'une triple isolation et fonctionnant avec des batteries Bosch. Cela crée une forte valeur ajoutée. »Bosch lui-même étendra le segment sans-fil en proposant 100 nouveaux appareils d'ici 2022, établissant ainsi en deux ans un record en matière de lancement sur le marché d'appareils sans-fil. La part des outils électroportatifs sans-fil passera de 60 % à 80 % au cours des trois prochaines années.« Nous croyons en la capacité d'innovation de Bosch et investissons dans un système sûr et à la pointe du progrès, et qui le restera à l'avenir », indique Thomas Willing de Ledlenser. « Notre contribution porte actuellement sur le projecteur de recherche haute performance XP30R, qui offre une puissance lumineuse maximale pour une très grande portée et une bonne portabilité. »La compatibilité absolue depuis 2008 constitue un autre avantage du système. « La compatibilité offre un maximum de liberté et de simplicité. Nous ne pourrions pas faire une meilleure promesse à nos clients », déclare Artur Temnicki de Lena Lighting. « Notre nouveau projecteur LED compact Magnum Future Led XS offre de nombreuses fonctionnalités utiles aux artisans et leur garantit un éclairage efficace et économe en énergie pour tous les espaces de travail. »La qualité et la robustesse jouent par ailleurs un rôle important pour un usage professionnel. Christian Woehner de Sonlux : « Les batteries Bosch sont conçues pour répondre aux fortes exigences d'une utilisation sur des chantiers, à l'instar de notre nouvelle lampe de travail LED Gladiator SL I Accu qui vient compléter notre famille de produits Gladiator SL. Elle constitue une solution polyvalente pour assurer la sécurité lumineuse sur les chantiers. »Pour Thomas Jeltsch de Wagner, le spécialiste du revêtement, la disponibilité et la flexibilité constituent des facteurs déterminants. « Tout comme Bosch, nous sommes présents à l'international et souhaitons garantir à nos clients un accès à la toute dernière technologie de batterie. Nous en sommes convaincus : les appareils sans-fil leur offrent un maximum de flexibilité, auquel ils ne voudront plus renoncer à l'avenir. »A ce jour, plus de 60 millions de batteries lithium-ion professionnelles 18 volts de marque Bosch se sont déjà vendues dans le monde. Aux côtés de ses partenaires, Bosch fait progresser le chantier sans fil du futur.
Il y a 4 ans et 290 jours

Vicat annonce une baisse de 41,4% de son bénéfice net au 1er semestre sous l'effet du Covid-19

A périmètre et taux de change constants, la baisse est limitée à 36,4%. Le chiffre d'affaires est en repli de 2,7% à 1,3 milliard d'euros, et de 3,2% à périmètre et taux de changes constants.Le PDG du groupe Guy Sidos a estimé que Vicat avait "montré sa flexibilité et sa réactivité" en instaurant "des mesures fortes de réduction des coûts, de contrôle du besoin en fond de roulement et de réduction des dépenses d'investissement".Vicat avait annoncé le 24 juin le transfert de son siège social du quartier d'affaires de La Défense, près de Paris, à l'Isle-d'Abeau en Isère pour faire des économies face à la crise."Dans cet environnement inédit, la visibilité sur l'ensemble de l'exercice reste faible", a ajouté M. Sidos.L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a baissé au premier semestre de 6,7% et de 5,8% à périmètre et taux de change constants, en raison d'une baisse des volumes vendus en France, en Inde et en Italie, d'un environnement "plus compétitif" au Kazakhstan et "dégradé" sur le plan macro-économique et sectoriel en Turquie et en Egypte.L'Ebitda a en revanche connu une "nette amélioration" sur le continent américain, et "notamment au Brésil", tandis que Vicat a connu une "progression sensible dans la zone Afrique" avec de meilleures performances de son usine au Sénégal et "la montée en puissance du broyeur au Mali".Par activités, le ciment se maintient avec une hausse de 0,9% tandis que l'activité Béton et granulats dévisse de 4,9%.La capacité d'autofinancement est en légère hausse de 1,3% à 175 millions d'euros, la variation étant même de +3,5% à périmètre et taux de change constants.
Il y a 4 ans et 293 jours

Rector Lesage : « Saisir les opportunités s’inscrit dans notre stratégie »

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Lesage, président, et Ronan Blanchard, nouveau directeur général du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] Rector Lesage vient d’opérer un changement de direction générale : départ à la retraite de Pierre Laplante. Cela va-t-il entraîner une modification de la stratégie d’entreprise ? Ronan Blanchard : La stratégie d’une entreprise ne dépend pas d’une seule personne. Mon arrivée pour prendre la suite de Pierre Laplante n’a donc pas remis en cause les choix opérés dans le cadre du plan à moyen terme déjà en place. Je considère d’ailleurs ce dernier comme pertinent. Toutefois, des adaptations ou des simplifications peuvent toujours y être apportées… L’outil industriel doit aussi être mis au cœur de notre stratégie, car c’est lui qui garantit la qualité des produits proposés par Rector. Rémi Lesage : En revanche, la crise du coronavirus va Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne avoir des répercussions sur le marché. Malgré le rebond lié au déconfinement, qui va s’opérer dans les mois qui viennent, l’année 2021 sera sans doute assez compliquée… Cette situation a aussi fragilisé des entreprises et des opportunités vont se présenter, sans doute plus tôt que prévu. Rector a plutôt bien traversé cette période et reste à l’écoute du marché.  Quelles sont les orientations actuelles de Rector en matière de produits ? R. L. : Rector reste leader dans le domaine de la poutrelle précontrainte et est très bien positionné sur celui de la prédalle. Quant au mur coffrage intégré, il est le complément naturel des solutions constructives horizontales. Dans l’avenir, ces produits continueront à être au cœur de notre activité. R. B. : Toutefois, Rector a de nombreux projets en développement… Si des diversifications sont bien programmées à moyen terme et en fonction des opportunités que nous apportera le marché, les champs de recherche sont plutôt centrés sur les optimisations de coûts, de services ou de formulations des bétons. A ce niveau, notre R&D est aujourd’hui pilotée par André de Chefdebien et Emmanuel Boichon, rejoints depuis un an par Eric Stora. Bétons bas carbone et matières premières biosourcées font partie de nos réflexions prioritaires. Enfin, s’il doit y avoir une rupture, ce sera plus dans la manière d’utiliser les solutions constructives et pas forcément sur les produits eux-mêmes. Rector reste-t-il toujours centré sur le bâtiment ? Ou bien l’acquisition de LB7 lui a-t-il ouvert de plus grandes perspectives en génie civil et en travaux publics ? A l’image des poutrelles précontraintes, les produits destinés au bâtiment constituent le cœur de métier du groupe Rector Lesage. [©Rector Lesage] R. B. : Le bâtiment, au sens large du terme, est dans l’ADN de Rector. Et nous avons encore beaucoup de choses à y écrire. Les bâtiments moins énergivores ou reconfigurables se présentent comme des défis que nous avons l’ambition de relever justement. Il est aussi difficile de concevoir que Rector soit un acteur peu présent dans le vertical. Notre mur coffrage intégré devra donc occuper une place plus importante sur le marché. Par contre, il est peu probable que nous devenions un acteur du bloc béton. Et encore moins dans le domaine du béton prêt à l’emploi ! R. L. : Même si nous savons faire des produits pour d’autres domaines, les activités “non bâtiments” occuperont encore une place minoritaire dans notre éco-système, car un développement tous azimuts n’est ni souhaitable, ni sans risque pour une entreprise… Vous avez créé la marque Neo Planchers et Murs Réinventés sur la façade Atlantique en 2015. Pourquoi ce choix ? R. B. : Il n’est pas exceptionnel qu’un industriel, dont la marque est connue crée une marque secondaire. Néo P&MR s’inscrit dans cette logique pour répondre à des besoins particuliers : celui d’un meilleur maillage local, celui d’une typologie de clients différents de ceux de Rector, celui d’une structure plus légère, plus réactive. Et cette entité peut aussi être le réceptacle de quelques intégrations secondaires, si l’opportunité se présente. Néo P&MR a permis de fusionner en une entité unique les marques Planchers Fabre, présentes surtout sur le Sud-Ouest de la France et LB7, basée dans les Deux-Sèvres. Il est vrai que ces deux sociétés ont une grande complémentarité géographique. Vous avez dit que l’outil industriel devait être au cœur de la stratégie de Rector. L’extension de l’usine de Tournefeuille, en Haute-Garonne en est donc la parfaite illustration ? R. B. : L’usine est magnifique ! Un investissement de 20 M€ pour Rector… Le nouveau hall est dédié à la production de murs à coffrage intégré, solution qui manquait dans le Sud-Ouest. Jusqu’à présent, ces éléments devaient être acheminés depuis notre usine de Nantes ou de Marseille. L’outil de Tournefeuille va nous permettre de gagner des parts de marché sur ce produit. Il est aujourd’hui en cours de test avec la production de prédalles. Son démarrage effectif interviendra au cours du dernier trimestre de cette année. Rector est aussi présent à l’international, en Belgique et en Europe centrale. Où en sont les développements de ce côté-là ? Rector Lesage vient d’investir 20 M€ dans l’extension de l’usine de préfabrication de Tournefeuille, en Haute-Garonne. Dès la fin de cette année, l’unité assurera la production locale de murs à coffrage intégré. [©Rector Lesage] R. B. : Après Chrzanow, dans le Sud de la Pologne, nous sommes en train de finaliser la construction et l’aménagement de notre 2e usine, implantée à proximité de Varsovie. Elle devrait être opérationnelle à la rentrée. Les deux unités de production ont la même typologie : production de poutrelles précontraintes et de prélinteaux pour l’essentiel. La Pologne est un pays qui nous a surpris par sa résilience. La crise du coronavirus l’a certes touché, mais il est depuis reparti très vite… Nous continuons aussi à livrer nos produits en Tchéquie et en Slovaquie… Par contre, malgré un bon démarrage, la Russie n’a pas tenu ses promesses, ce qui nous oblige à quitter ce marché aujourd’hui, avec la fermeture définitive du bureau de Moscou au 31 décembre prochain. Il y a quelques années qu’existe l’espace Campus. Quel est son objectif ? R. L. : Il s’agit de notre pôle de formation interne, créée par Jean-Paul Beckert il y a une vingtaine d’années, quand il occupait le poste de directeur général. Notre volonté a toujours été d’embaucher un minimum d’apprentis. Mais il n’y a pas de formation spécifique d’opérateur en préfabrication au sein de l’Education nationale. Cette dernière ne peut pas tout faire. Nous avons donc appliqué le proverbe “Aide-toi et le ciel t’aidera”, en fondant notre propre école. Le Campus Rector constitue aussi la pépinière de talents interne de l’entreprise. Propos recueillis par Frédéric Gluzicki Ronan Blanchard, de la chimie à l’industrie du béton Ronan Blanchard, 46 ans, a pris les fonctions de directeur général de Rector Lesage depuis le mois de janvier 2020. Il a ainsi succédé à Pierre Laplante, qui a fait valoir ses droits à la retraite, après 10 ans passés à piloter le groupe au quotidien. Ronan Blanchard a pris ses fonctions dans des circonstances particulières, alors même que la crise du coronavirus montait en puissance... Bien connaître l’industrie et le secteur de la préfabrication fut donc un atout majeur pour assurer cette transition. Ingénieur en génie des procédés de formation, diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques, Ronan Blanchard a débuté sa carrière dans ce domaine d’activité. C’est seulement en 2007 qu’il rejoint le monde du béton, en intégrant le groupe breton Quéguiner. En qualité de directeur industriel, puis de directeur général de Celtys, branche préfabrication de l’entreprise. Ceci, avant d’accéder à la direction générale du groupe, poste qu’il gardera jusqu’en 2016. Ensuite, Ronan Blanchard a choisi une nouvelle orientation, en rejoignant SFA, pour y prendre, là encore la direction générale France des entités Kinedo et Watermatic. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 294 jours

SergeFerrari annonce une reprise encourageante de l'activité en juin

Au deuxième trimestre, le groupe basé à Saint-Jean-de-Soudain (Isère) a vu son chiffre d'affaires tomber à 37,2 millions d'euros (-32,6% sur un an), selon un communiqué.En cumulé depuis le début de l'année, ses ventes atteignent 79,7 millions d'euros (-21,4%), un montant "conforme aux attentes" de la direction de l'entreprise."Grâce à la reprise progressive de nos activités industrielles, le groupe s'est montré résistant et a pu redémarrer une activité qui monte à nouveau en puissance sur la fin du second semestre", a relevé le PDG Sébastien Ferrari, cité dans le texte.Au pire de la crise, SergeFerrari a annoncé la commercialisation de toiles détruisant le coronavirus en cas de contamination grâce à l'incorporation de particules d'argent, mais si ce produit a suscité un "intérêt fort", il n'a pas généré à ce stade des recettes substantielles.
Il y a 4 ans et 295 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE VICTORIA, UN LUMINAIRE LED À TRÈS HAUT RENDEMENT POUR L’ÉCLAIRAGE EXTÉRIEUR PROFESSIONNEL ET PUBLIC

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente VICTORIA un nouveau luminaire LED à très haut rendement conçu par la société néerlandaise Innolumis. Ce luminaire « tête de candélabre » convient parfaitement à l’éclairage extérieur toutes hauteurs, professionnel et public. Il permet d’économiser jusqu’à 80% d’énergie. Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d’inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm,  un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures. Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d’intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans. Diverses solutions d’éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d’éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d’activités et sites professionnels. Application : Exemple d’installation de luminaires VICTORIA    EAS SOLUTIONS s’est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l’éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l’éclairage extérieur, et réduit d’environ 2/3 la consommation d’énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis plus de 10 ans, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 296 jours

Malgré la pandémie, le marché du crowdfunding immobilier poursuit sa progression

Principaux indicateurs184 millions d'euros collectés (+43% par rapport au S1 2019) pour financer 229 projets (+7%)76,6 millions d'euros remboursés (+82% par rapport au S1 2019) concernant 139 projets (+48%)9,4% de rendement annuel moyen, pour des investissements d'une durée de 21 mois en moyenneUne forte concentration des projets dans le résidentiel (86% des projets financés)Une polarisation régionale des investissements. L'Ile-de-France capte près de 50% de la collecte.Un taux de retard de moins de 6 mois de 9,48% (+ 3,07 points par rapport à l'année 2019) et un taux de retard de plus de 6 mois de 10,10% (+2,41 points par rapport à l'année 2019). Le taux de défaut reste quasi stable à 0,74% (+0,17 point).Un volume de collecte et de remboursement en forte hausse sur un anAvec 184 millions d'euros collectés sur les six premiers mois de l'année, le secteur du crowdfunding immobilier poursuit sa croissance continue (+43% par rapport à la même période l'an dernier). Même tendance du côté des remboursements, qui ont représenté 76,6 millions d'euros, contre 42 millions l'an passé (+82%).La répartition mensuelle de la collecte révèle une certaine stabilité du marché, avec près de 94M€ d'investissements au T1 contre plus de 90M€ au T2. Ces chiffres démontrent que malgré la crise sanitaire, le marché est resté particulièrement actif notamment grâce à la digitalisation du secteur ayant favorisé la continuité de l'activité.Une nette accélération de la collecte a été enregistrée sur la fin du mois de mai et le mois de juin, illustrant un retour des investisseurs sur les plateformes de crowdfunding immobilier.On remarque également que malgré la forte hausse des montants collectés, le nombre de projets financés est lui en légère progression (+7%), s'expliquant par une plus grande taille des opérations financées (803 570€ en moyenne, en hausse de +16,6% par rapport à l'année 2019). Un signal positif pour le marché, alors que 2019 avait déjà connu une progression de +27,8% du montant moyen des opérations, s'expliquant en partie par le relèvement du plafond de collecte pour les plateformes de crowdfunding à 8 millions d'euros au lieu de 2,5 millions par opération dans le cadre de la loi Pacte.Une forte polarisation régionale des investissementsIle-de-France (89,2M€), Auvergne-Rhône-Alpes (23,4M€), Région Sud (15M€). A elles seules, ces trois régions - qui constituaient déjà le TOP 3 régional du marché en 2019 - ont concentré près de 70% de la collecte totale du marché français du crowdfunding immobilier au premier semestre.Les autres régions particulièrement actives sur la période ont été la Nouvelle Aquitaine (14M€), l'Occitanie (11,7M€) et dans une moindre mesure les Pays de la Loire (8,7M€) et le Grand Est (6,6M€). Un rendement annuel moyen de 9,4%, la durée moyenne d'investissement en baisseIndicateur scruté par les investisseurs, le rendement annuel moyen proposé pour les opérations financées au premier semestre était de 9,4%. En légère hausse par rapport au rendement du premier semestre 2019 (+0,2 point), il devrait a minima se stabiliser sur l'année 2020. Alors que les promoteurs ont vu certains de leurs chantiers se prolonger en raison des mesures sanitaires, cela va de fait entraîner un blocage plus long de leurs fonds propres sur ces projets. Pour dégager de nouveaux fonds propres afin de se positionner sur d'autres opérations, ils pourraient être amenés à proposer des rendements plus élevés afin d'accélérer leurs levées de fonds.Si l'on se fie aux données communiquées par plusieurs plateformes, représentant 50% de la collecte totale du marché, les projets ont attiré en moyenne 490 investisseurs qui ont placé 1640€. Combiné au rendement et à la durée moyenne de placement, ces chiffres permettent de calculer un gain moyen de 270€ brut par projet dans lesquels les épargnants ont investi.Le résidentiel monte en puissance et représente la majorité des projets financésParmi les 229 opérations immobilières financées au premier semestre, 86% d'entre elles concernaient des opérations résidentielles. C'est nettement plus qu'au premier semestre 2019 (79%). Plusieurs explications à cette hausse, d'une part l'augmentation constante des projets marchands de biens sur le marché dont la proportion a quasi doublé par rapport à l'an dernier passant de 24 à 38% des projets. D'autre part, on constate depuis 2019 l'émergence de nouveaux projets de co-living, une diversification qui préfigure une évolution intéressante pour le marché. Le crowdfunding immobilier se démocratise également en tant qu'outil de financement de nouvelles formes d'habitats urbains, renforçant le lien social, en adéquation avec les aspirations des nouvelles générations notamment.Les autres classes d'actifs enregistrent toutes une légère baisse sur les 6 premiers mois de l'année par rapport à la même période l'an dernier.Le « projet moyen » financé durant le premier semestre était une opération résidentielle de 40 logements en Ile-de-France, réalisée par un opérateur réalisant un chiffre d'affaires de 11 millions d'euros. Les retards de remboursement en légère hausse, le taux de défaut moyen reste stableLe taux de retard moyen, qui prend en compte uniquement les dépassements de l'échéance contractuelle maximum depuis 2012, est en hausse de 3,07 points sur les retards de moins de 6 mois, et de 2,41 points pour les retards de plus de 6 mois par rapport à l'année 2019. Ils s'élèvent respectivement à 9,48% et 10,10%. Dans le détail, on remarque que seulement quelques acteurs concentrent des retards conséquents.Quant au taux de défaut moyen, calculé sur la base des projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,74%, en hausse de 0,17 points. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets Hello Crowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.Etude réalisée auprès de 26 plateformes ouvertes ou ayant financé des projets immobiliers, et immatriculées auprès de l'AMF ou de l'ACPR (données analysées sur la période de janvier à juin 2020) : Anaxago, Beefordeal, Clubfunding, Euroraiser, Finple, Fundimmo, Gwenneg, Homunity, Immocratie, Immovesting, Inidev, Koregraf, La première brique, Look and fin, Lendopolis, Lymo, Monego, My Capital immo, October, Pret-up, Raizers, Upstone, Vatel Direct, Weeximmo, Wesharebonds, Wiseed.Analyse des résultatsPar Jérémie Benmoussa, Président du directoire de FUNDIMMOAprès un 1er trimestre très dynamique, nous pouvions nous interroger sur la réaction des épargnants et des promoteursaprès l'annonce du confinement, et nos activités ont repris un rythme soutenu. C'est un enseignement fort de la période compliquée que nous avons traversé, le crowdfunding immobilier est installé dans le paysage à la fois en tant que produit d'épargne et de financement pour les promoteurs. Sans préjuger de la suite, les chiffres globaux de ce 1er semestre qui atteignent de nouveaux records, nous rendent confiants pour les prochains mois.Du côté des promoteurs, les mesures sanitaires ont provoqué un arrêt ponctuel des chantiers qui ont aujourd'hui quasi-intégralement repris. Quelques retards administratifs ont également été enregistrés en lien avec le décalage des élections municipales, qui sont désormais derrière nous. Le résultat de ces dernières dans quelques grandes villes pourraient avoirdes effets à long terme sur la conception des opérations immobilières pour répondre à la volonté citoyenne d'une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux. Pour autant ce serait plus une accentuation d'une tendance de fond qui préexistait bien avant les élections qu'un changement radical, ce mouvement est déjà en marche chez les opérateurs immobiliers. Qu'ils s'agissent d'immobiliers de bureaux ou de logements, la valeur verte a désormais un véritable sens, notamment pour les investisseurs.Ces ralentissements pourraient avoir deux principaux effets dans les mois à venir. D'une part, un retard de quelques mois des projets, durant lesquels, et c'est important de le souligner, les intérêts des investisseurs - définis contractuellement - continueront à courir. D'autre part, l'allongement des chantiers va bloquer les fonds propres des promoteurs sur les projets durant des périodes plus longues. Ces-derniers devront donc nécessairement trouver des leviers pour dégager de nouveaux fonds propres indispensables au lancement de toute nouvelle opération.In fine, cette situation peut constituer un levier de croissance additionnel pour le marché du crowdfunding immobilier, d'autant que le besoin important et rapide de liquidité pourrait inciter les promoteurs à mieux rémunérer les investissements. Reste également à analyser l'évolution des comportements des épargnants dans les prochains mois, eux qui auraient mis quelques 60 milliards d'euros de côté durant le confinement. Le succès des dernières levées de fonds réalisées depuis mi-mai, malgré un délai de collecte parfois un peu allongé, semble confirmer l'attrait des investisseurs vers ce produit désormais connu par plus d'1/3 des Français*.*Étude OpinionWay pour FUNDIMMO, Janvier 2020
Il y a 4 ans et 296 jours

EAS Solutions présente Victoria, luminaire LED à très haut rendement pour l'éclairage professionnel et public

Conçu en aluminium (LM6), le luminaire LED VICTORIA est disponible en trois versions (mini, standard, maxi), une douzaine de puissances allant de 6W à 200W, trois optiques (étroite, médium, large) et plusieurs températures de couleur (3000K, 4000K, 5000K, Golden Orange, Bat Light). Son flux lumineux atteint 28 000 lm avec une efficacité lumineuse de 140 lm/W en 3000K. Il possède un angle d'inclinaison de -15° à +15°, un diamètre de mât de 48 à 76 mm, un indice de protection IP66 et une température de fonctionnement comprise entre -40°C et +50°C. Il peut fonctionner sur variateur 1-10V standard et programmable. Sa durée de vie L80B10 est de 100 000 heures.Avec son disjoncteur intégré, le boîtier du luminaire LED VICTORIA peut être ouvert sans outils et il est possible d'intervenir immédiatement en toute sécurité dès son ouverture. Les sources lumineuses LED et le driver sont remplaçables. La tête du luminaire est modulable et réparable même après la période de garantie de 5 ans.Diverses solutions d'éclairage intelligent sont intégrables en option au luminaire LED VICTORIA conçu pour fonctionner par exemple avec les connecteurs Zhaga. Installé sur des mâts allant de 3 à 14 mètres, le luminaire LED VICTORIA convient aux installations d'éclairage extérieur, professionnel et public, dédiées à la sécurité des activités et des déplacements de personnes et de biens sur les routes, aires de parking ou de chargement, zones d'activités et sites professionnels.Application : Exemple d'installation de luminaires VICTORIA EAS SOLUTIONS s'est vu confier début 2020, la rénovation de tous les éclairages des parkings de la base logistique EUROLOGISTIC à Villabé. En remplaçant 124 éclairages traditionnels au sodium 400W, énergivores et obsolètes, par 124 luminaires LED VICTORIA 175W, EAS SOLUTIONS améliore la qualité de l'éclairage, avec une température de couleur de 3000K conformément à la nouvelle législation de l'éclairage extérieur, et réduit d'environ 2/3 la consommation d'énergie. Instantanément, cette dernière passe de 59 520 kWh à 21 700 kWh par an.
Il y a 4 ans et 300 jours

Une histoire des ambassades françaises

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Ambassades Françaises du XXe siècle. Au cours du XXe siècle, face aux transformations de la diplomatie, la France a dû réaliser un important rééquipement de ses chancelleries à travers le monde. Après le Première Guerre mondiale, elle chercha à étendre le nombre de ses ambassades neuves. Il s’agissait alors de dépasser le poncif de l’hôtel aristocratique de l’Ancien Régime pour inventer un édifice polyvalent. Ainsi, un véritable “modèle français” fut mis en place, influençant nombre d’autres grandes puissances. La réalisation d’édifices français à l’étranger était une question de prestige pour la France. La diplomatie française veilla à demeurer en phase avec son temps. En évitant d’imposer une ligne stylistique nette, elle sut souvent laisser les architectes libres de déterminer l’image extérieure du pays. On peut retrouver dans l’ouvrage “Ambassades françaises au XXe siècle” l’architecte Eugène Beaudoin à Ottawa, au Canada. Le Corbusier et Guillermo Jullian de la Fuente à Brasilia, au Brésil. Ou encore, Bernard Zehrfuss à Varsovie, en Pologne. Et Christian de Portzamparc à Berlin, en Allemagne. Editeur : Editions du PatrimoineAuteur : Fabien BellatPrix : 25 €TTC Retrouvez l’ouvrage en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 300 jours

Nouvelle VMC simple flux Styl'Air Qai avec bouches de ventilation design

AUTOGYRE, spécialiste de la ventilation et du traitement de l'air depuis plus de 60 ans, oeuvre pour le développement de solutions visant à améliorer la qualité de l'air intérieur dans un souci de bien-être, de confort et de santé dans l'habitat.Dans sa nouvelle gamme de VMC simple flux (SF), AUTOGYRE a développé la VMC STYL'AIR QAI.Fabriquée en France, cette VMC SF filtre l'air entrant et assainit l'air intérieur, grâce à des modules électroniques de détection, de contrôle et d'évacuation performants. Son système QUICK'AIR STOP© (brevet AUTOGYRE) rend son installation très facile.Cette année, AUTOGYRE dote la VMC STYL'AIR QAI de nouvelles façades de bouches design, compatibles avec toutes les manchettes existantes.Qualité de l'Air Intérieur (QAI ) STYL'AIR QAICertifiée NF électricité, la VMC SF autoréglable STYL'AIR QAI d'AUTOGYRE est idéale en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec une cuisine et jusqu'à 4 sanitaires.Les débits de l'air extrait et insufflé sont constants et automatiques quel que soit le nombre d'occupant.Une VMC SF dédiée à un air sain 24h/24La VMC SF STYL'AIR QAI se distingue par de nombreux atouts. Elle réalise de bonnes perfor- mances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine de seulement 21 dB(A). D'un design ergonomique, elle permet de :Filtrer l'air entrant :Les entrées d'air sont équipées d'un filtre qui capte la pollution extérieure et délivre un air sain.Détecter les polluants et l'humidité :Les modules électroniques (sondes) QAI et 2 HR Control présents dans le caisson détectent l'humidité et les polluants (H2O, CO2 et COV).Assainir l'air intérieur :Grâce à son caisson à 2 vitesses et à ses sondes électroniques, en cuisine ou salle de bains, capables de détecter les détériorations de l'air intérieur (humidité, fumées, mauvaises odeurs, COV...), la VMC passe automatiquement en grande vitesse (GV) pour évacuer les polluants. Une fois l'air assainit, elle repasse en petite vitesse (PV).La grande vitesse peut être également activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la petite vitesse se réenclenche.Une installation facile avec le système QUICK'AIR STOP©Le caisson STYL'AIR QAI est équipé de piquages amovibles QUICK'AIR STOP©, une innovation brevetée, qui simplifie les raccordements des gaines sans ruban adhésif, ni collier de serrage. De plus, ce système garantit une parfaite étanchéité entre les gaines et chaque bouche du caisson.Une nouvelle façade de bouche design et personnalisable !AUTOGYRE propose de nouvelles façades de bouches de ventilation design et compatibles avec toutes les manchettes existantes (ø 80, 100 et 125 mm).Extra-plates (< 20 mm) et faciles à poser à l'aide de clips, ces nouvelles façades peuvent, en insufflation, orienter le flux d'air. Il suffit d'insérer 1 ou 2 lamelles sur la face intérieure. L'orientation du flux d'air permet de conserver des murs propres et d'éviter toute sensation de courant d'air.Composition du kit VMC STYL'AIR QAI1 caisson STYL'AIR QAI1 bouche Design cuisine Ø 125 mm2 bouches Design sanitaires Ø 80 mm2 entrées d'air acoustique + 4 filtres1 bouton poussoir temporisé 30 mn Puissance électrique 22,5 W en GV / 9 W en PVConso électrique moyenne 9,6 W-Th-CNiveau sonore 21 dB (A)Garantie 5 ansPrix de vente conseillé 329 euros T.T.CPoints de vente Grandes Surfaces de Bricolage, Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 301 jours

Georgelin promeut les métiers d'art sur les palissades de Notre-Dame

Le président de l'Etablissement public présentait sur les palissades de la rue du Cloître, le long de la cathédrale, une exposition de photos, "Les bâtisseurs d'aujourd'hui : les corps de métiers au coeur du chantier de sécurisation de Notre-Dame"."La loi me demande à moi de valoriser les métiers d'art. Nous espérons le faire en montrant l'excellence, en suscitant des vocations", a-t-il argué, soulignant qu'il y a "sûrement un gisement important d'emplois". Plus de quarante entreprises interviennent sur le chantier.L'acceptation par l'Elysée d'une reconstruction à l'identique et l'abandon du geste architectural novateur qu'Emmanuel Macron avait souhaité, est le choix du "bon sens, de la fidélité, de la loyauté et de l'amour de l'art gothique", a-t-il plaidé."C'était le voeu des donateurs, de la quasi-totalité des grands architectes, et des Français dans leur immense majorité, si on avait fait un réferendum", a-t-il argué."Nous entrons dans une nouvelle phase, car nous savons maintenant que nous reverrons la flèche de Viollet-Le-Duc, nous allons rebâtir la charpente selon des modalités qui restent encore à préciser et nous reconstruirons la couverture du grand comble en plomb, quels que soient les combats qu'il faudra mener", a-t-il martelé."Entre 150 à 180 personnes travaillent sur le chantier qui connaît un dynamisme qu'il n'avait jamais connu avant, et nous allons monter en puissance. Très vite nous allons passer à 300/450 personnes d'ici la fin de l'année", a-t-il estimé.Il a défendu le plomb pour "la couverture du grand comble": "tous les toits des grands monuments de Paris et des grandes cathédrales françaises sont en plomb". Et "il y a des moyens de traiter le plomb de façon à ce qu'il ne soit pas une atteinte à la santé".Quant à la charpente en chêne, cela "représente 1.000 à 2.000 arbres, c'est à dire 0,0125 de la production française de chênes", a-t-il argumenté.L'exposition montrant les diverses phases et aspects du sauvetage de la cathédrale, réalisées par le photographe Patrick Zachmann (Magnum), met en valeur quelques-uns des corps de métiers -charpentiers, cordistes, échafaudeurs, grutiers, maîtres verriers, tailleurs de pierre et maçons.
Il y a 4 ans et 302 jours

Les escroc fragilisent le marché de la rénovation et les aides associées

La FFB alerte sur les dérives constatées depuis que les pouvoirs publics ont intégré les offres à 1€ comme politique de rénovation énergétique. Elles dévalorisent les travaux et permettent à des escrocs de capter à bon compte les Certificats d’Économie d’Énergie associés en bâclant les travaux. C’est ce qu’il vient de se passer avec l’Isolation Thermique par l’Extérieur à 1€ mise en place en 2020. Pour palier à ça, le gouvernement a modifié les critères de MaPrimeRénov’, nouveau dispositif qui n’a pas sept mois d’existence ! Depuis le 15 juillet, le montant de l’aide pour les travaux d’ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant). De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération. Pour Olivier Salleron, le nouveau Président de la FFB, « ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l’instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov’ peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d’un mois un grand plan de rénovation énergétique. »
Il y a 4 ans et 304 jours

Le bâtiment fustige le rabotage de MaPrimeRénov' pour l'isolation thermique par l'extérieur

Malgré les alertes de la FFB, les fraudes se sont multipliées depuis la mise en place en 2020 de l'Isolation Thermique par l'Extérieur à 1€.Face à ce constat, le gouvernement a décidé de modifier brutalement les critères de MaPrimeRénov', nouveau dispositif qui n'a pas sept mois d'existence !Depuis le 15 juillet, le montant de l'aide pour les travaux d'ITE a été abaissé à 60 €/m² pour les ménages modestes et 75 €/m² pour les ménages très modestes (contre respectivement 75 €/m² et 100 €/m² auparavant).De plus, la surface éligible de murs isolés se trouve dorénavant limitée à 100 m² par opération.« Ces dispositions pénalisent avant tout les ménages modestes et les entreprises qui travaillent bien. En revanche, elles ne règlent pas le problème de fond, puisque les intermédiaires peu scrupuleux bénéficieront toujours des CEE, qui suffisent à financer une intervention de piètre qualité. En outre, ce rabotage introduit à nouveau de l'instabilité dans le principal mécanisme public de soutien à la rénovation énergétique. Il tombe au plus mal, alors que MaPrimeRénov' peine à monter en puissance, et brouille le message du gouvernement qui annonce depuis plus d'un mois un grand plan de rénovation énergétique. » Olivier Salleron, Président de la FFB
Il y a 4 ans et 308 jours

La justice donne raison aux notaires et retoque la "déesse du foyer" de la Fnaim

Les notaires, qui avaient saisi le Tribunal judiciaire de Paris, souhaitaient faire interdire l'utilisation par les agents immobiliers d'un logo spécifique témoignant de leur statut officiel et qui représentait la silhouette d'une déesse romaine, Vesta.Or, cette déesse ressemblait un peu trop à la figure représentant traditionnellement les notaires (une autre figure féminine mythologique portant une couronne), a estimé le Conseil du notariat, jugeant qu'il y avait là un risque de "pratiques commerciales trompeuses".Les deux symboles présentent "d'évidentes similitudes", a tranché vendredi le tribunal des référés, jugeant que "l'adoption et l'utilisation par ses promoteurs du signe +Vesta+ constitue un trouble manifestement illicite"."Le #CSN poursuivra avec détermination tous les braconniers du sceau qui misent sur la confusion. L'emblème de la #République ne saurait être galvaudé", a tweeté mercredi son président, Jean-François Humbert, en réaction à cette décision de justice rendue en procédure rapide."Il est le symbole des seuls officiers publics et agents qui représentent l'Etat, et de la puissance publique qui les a nommés", a ajouté le dirigeant. Il a par ailleurs cité auprès de l'AFP un sondage montrant que "les personnes interrogées pensaient aux notaires lorsqu'elles voyaient ce signe", en référence à la déesse choisie par la Fnaim.Le tribunal a expliqué avoir notamment fondé sa décision sur des détails précis pouvant prêter à confusion, notamment la forme ovoïde des deux logos et le drapé porté par les deux femmes représentées.Première victoireIl s'agit là d'une première victoire pour le CSN, qui cherchait à travers cette action en justice à éviter tout risque de confusion entre le rôle d'authentification de transactions dévolu aux notaires, et celui des agents immobiliers servant d'intermédiaires entre vendeurs et acheteurs de biens.Une première victoire -- car la Fnaim, contrainte par la justice de faire retirer sous huit jours l'ensemble des supports utilisés par toute personne, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour et par infraction, a d'ores et déjà annoncé son intention de faire appel.La première organisation d'agents immobiliers veut conserver ce choix de déesse du foyer comme "le symbole d'une profession réglementée"."Nous n'avons pas conçu ce caducée contre les notaires, mais pour affirmer notre identité d'agents immobiliers qualifiés, titulaires d'une carte professionnelle", a affirmé son président Jean-Marc Torrollion dans une déclaration transmise à l'AFP."Je déplore le mépris affiché une nouvelle fois par le Conseil supérieur du Notariat vis-à-vis des professionnels de l'immobilier", a-t-il ajouté.M. Torrollion réclame par ailleurs un "arbitrage politique" de cette affaire, estimant avoir reçu le soutien de Julien Denormandie, ancien ministre de la Ville et du Logement --passé entre-temps au portefeuille de l'Agriculture à la faveur du remaniement ministériel.Loin d'être simplement une querelle de voisinage, cette bataille en justice est l'expression d'un malaise plus profond entre ces deux maillons de l'immobilier français: les deux organisations ont difficilement cohabité lors du récent confinement pour cause de coronavirus.Dès les premiers jours, la Fnaim a reproché aux notaires d'être nombreux à fermer leurs études et à ne plus authentifier les opérations immobilières, une étape essentielle pour les mener à bien et permettre aux professionnels d'être payés.Le gouvernement a tenté de résoudre le conflit en servant d'intermédiaire. Rapidement, il a pris un décret pour faciliter la signature virtuelle de documents auprès de notaires. Mais la mesure, difficile à généraliser techniquement, n'a guère débloqué la situation.Les notaires ont de leur côté attaqué début avril la Fnaim, lui reprochant des "chiffres fantaisistes et trompeurs" sur le nombre de projets immobiliers bloqués.