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Résultats de recherche pour architecture

(19723 résultats)
Il y a 5 ans et 136 jours

Architecture - PADW se refait une santé de vert

Intervenant jusqu'en Chine, l'agence nantaise entame une nouvelle vie, tournée vers l'environnement.
Il y a 5 ans et 137 jours

UNIK, un écrin mixte à l’architecture ambitieuse signé SPLAAR

Emblème de l’innovation en cours sur l’Ile de Nantes, le projet UNIK, conçu par Sandra Plachez (SPLAAR) propose une étonnante mixité. Sur 5 000m², deux bâtiments distincts – de hauteur et de forme différentes mais se répondant dans leur matérialité […] L’article UNIK, un écrin mixte à l’architecture ambitieuse signé SPLAAR est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 138 jours

Trophée Béton Ecoles : Les résultats

Revalorisation du quartier des Chiffonniers au Caire. [©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin] Pour cette nouvelle édition, le Trophée Béton Ecoles a récompensé quatre lauréats. Organisé par Bétocib et le Cimbéton, le concours permet de mettre en avant les jeunes talents des écoles d’architecture françaises. Cette année, une nouvelle catégorie “Studio” a invité les étudiants en 1er et 2e cycle à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton. Le choix du moyen d’expression était libre pour les candidats. Près de 140 postulants se sont inscrits de manière individuelle ou en groupe (mixant architectes et ingénieurs). Sur ce grand nombre de dossiers, 11 ont été sélectionnés pour défendre leur projet devant un jury de professionnels. Ce dernier était présidé par Jean-François Briand, architecte et directeur de l’école d’architecture de Strasbourg. A la maison de l’architecture Ile-de-France, les membres du jury ont pu départager les candidats et ainsi désigner 3 lauréats dans la catégorie “Classique” et 1 dans la “Studio”. Les prix ont été remis le 9 janvier dernier. L’occasion aussi de lancer la 9e édition du Trophée Béton Ecoles. La version “Pro” sera, quant à elle, de retour en octobre 2020. Les gagnants sont : – 1er prix : Alexandra Kienlen & Tom HirtzlinRevalorisation du quartier des Chiffonniers – Le Caire (Egypte)Ensa Strasbourg – Sous la direction de Dominique Coulon [©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin][©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin][©Alexandra Kienlen/Tom Hirtzlin] Les deux lauréats ont imaginé au Caire, en Egypte, un dispositif de télécabines. Il répond à la question de la mobilité urbaine, tout en étant écologique, peu coûteux et rapide d’installation. Pour le concours, ils ont transposé leurs travaux dans le secteur de Mokattam, connu pour être habité par les chiffonniers et éboueurs de la ville. Installé dans une ancienne carrière de pierre, le projet peut utiliser les matières premières sur place. La structure peut se remplir de briques en béton de mâchefer. Un système de poteaux poutres en béton préfabriqué est utilisé, afin de laisser une grande flexibilité et d’appréhender les futures constructions. – 2e prix : Ophélie DozatLe Mur (de soutènement) comme paradigme du territoireEnsa Versailles – Sous la direction de Cédric Libert et Philippe Potié [©Ophélie Dozat] [©Ophélie Dozat] [©Ophélie Dozat] A travers son projet : “Le Mur comme paradigme du territoire”, Ophélie Dozat se questionne sur la construction du territoire à partir d’un mur de soutènement. Pour ses travaux, la jeune architecte s’est intéressée au massif des monts du Cantal, en Auvergne. Une zone modelée par des phénomènes d’érosion et des coulées de laves il y a 13 M d’années. Ici, les murs de soutènement et à contreforts protègent ou constituent une porte. Dans tous les cas, ils trouvent leur place dans l’équilibre du lieu. – 3e prix : Paul de CathelineauTemple urbain : se déconnecter de la frénésie de Tokyo (Japon)Ensa Normandie – Sous la direction de Laurent Salomon [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] [©Paul de Cathelineau] Paul de Cathelineau a imaginé un temple urbain au cœur du quartier de Shinjuku, à Tokyo. Ici, près de 1,3 Md de personnes transitent tous les ans. Dans ce lieu en perpétuel mouvement, le jeune architecte a donc voulu créer un espace de pause. Le programme de Paul s’organise autour d’espaces publics suspendus, proposant différentes expériences spatiales et nouveaux points de vue sur le paysage urbain de Tokyo. Le béton prend sa place dans la structure principale et accueille le bois en structure secondaire éphémère. – 1er prix catégorie Studio : Frédéric Livar Chapelle Saint-Pierre / Paulo Mendes Da RochaEnsa Lyon – Sous la direction de Laurent Mayoud [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] [©Frédéric Livar] Dans cette toute nouvelle catégorie, Frédéric Livar s’est inspiré de l’œuvre de l’architecte brésilien Paulo Mendes da Rocha. Et de son approche brutaliste de la construction, avec une utilisation du béton brut de décoffrage. Pour cela, l’étudiant a réalisé une maquette en béton au 1:200 de la chapelle Saint-Pierre. Construit en 1989 à Sao Paulo, cet ouvrage a entièrement été réalisé en béton. Il comporte quatre éléments structurels significatifs : le pilier cylindrique central, le toit, la dalle intermédiaire accueillant la nef et l’autel, et enfin, le balcon pour le chœur.
Il y a 5 ans et 138 jours

Wicona présente sur l'une des tour les plus hautes du district Meatpacking de New-York

Conçu par CetraRuddy Architecture, l'immeuble du 412 West 15th Street, situé en plein Manhattan - à deux pas du célèbre Chelsea Market - se dote d'une nouvelle tour de 18 étages connectée à un édifice originel de 5 étages en briques apparentes.
Il y a 5 ans et 138 jours

La cathédrale de Clermont-Ferrand examinée sous toutes les coutures

Une importante opération de restauration de la cathédrale de Clermont-Ferrand est programmée par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes à partir de 2021, pour trois ans. Les travaux concerneront la restauration des couvertures et des terrasses des bas-côtés pour un montant estimé à 8 millions d’euros. Une étude en plusieurs volets, qui a été confiée en août 2017, à l’architecte en chef des monuments historiques a permis de constituer un bilan de connaissances sur l’état du monument. Le volet documentaire est constitué d’un relevé géométral complet de la cathédrale (ensemble de plans, coupes et élévations au 1/100e et 1/250e tiré d’après un scan et une orthophotographie) ; d’un relevé photographique de l’ensemble des espaces ; d’une nomenclature de l’ensemble des espaces de la cathédrale ; d’une base de données documentaire recensant l’ensemble des fonds archivistiques connus sur l’édifice ; d’une base de données iconographique ; d’un fonds d’archives numérisé ; d’une synthèse bibliographique et d’une synthèse historique. L’édifice a aussi fait l’objet d’un bilan sanitaire via un reportage photographique renseignant l’état actuel de l’édifice et de ses pathologies ; un tableau synthétique précisant l’état de chaque type d’ouvrage, bâti ou mobilier, espace par espace ; des planches graphiques de synthèse, niveau par niveau. Visuel : Raphaël Drizard, architecte DPLG – 2A8 SARL d’architecture/DRAC Auvergne-Rhône-Alpes/CRMH
Il y a 5 ans et 138 jours

Pays de Rohan, Saint-Nazaire et Béziers reçoivent le label « Villes et Pays d’art et d’histoire »

Franck Riester, ministre de la Culture, sur proposition du Conseil national des Villes et Pays d’art et d’histoire, a attribué le label “ Villes et Pays d’art et d’histoire ” à trois nouveaux territoires et d’étendu le label de deux territoires déjà labellisés. Le label Pays d’art et d’histoire est attribué au « Pays des Rohan », territoire assis sur un périmètre historique correspondant à l’ancienne terre de pouvoir de la famille de Rohan pendant 700 ans d’histoire. Le Conseil national salue le long processus de fédération entre les communes autour du projet de label, dans lequel il voit la garantie d’un projet durable, de même qu’il reconnaît la richesse du projet culturel, construit à partir d’une diversité patrimoniale et de la prise en compte de l’art contemporain. L’attention portée à l’architecture du XXe siècle viendra renforcer la cohérence de ce projet tourné vers l’avenir. La candidature de Béziers au label Ville d’art et d’histoire est l’aboutissement d’un long travail de mise en valeur de son patrimoine – ses nombreux hôtels particuliers notamment -, de ses musées et de ses espaces publics, valorisés par des installations d’art contemporain. Le Conseil national salue la pertinence de cette requalification du patrimoine et de l’espace public, ainsi que la volonté d’inscrire la ville dans la contemporanéité via la création artistique et architecturale. Avec l’obtention du label Ville d’art et d’histoire, Il voit des atouts certains pour la renaissance de la ville. Ville de la Reconstruction, à l’important patrimoine industriel, Saint-Nazaire peut aujourd’hui, grâce à l’obtention du label Ville d’art et d’histoire, exprimer plus fortement le plaisir et la fierté retrouvée de ces habitants d’être Nazairiens. Elle porte une attention particulière au lien entre patrimoine et création, en développant l’art dans l’espace public. Le Conseil national salue l’ambition et la qualité de la politique culturelle de la ville, formalisée par plusieurs conventionnements avec la direction régionale des Affaires culturelles (DRAC). Il reconnaît en outre dans le patrimoine de la ville des éléments d’intérêt national. Une première convention Ville d’art et d’histoire avait été signée par la ville d’Auxerre en 1995. L’extension du territoire labellisé à la Communauté d’agglomération (CA) de l’Auxerrois, – désormais Pays d’art et d’histoire – permettra de faire rayonner le label sur un territoire de 29 communes. Le Conseil national souligne le rôle déterminant qui sera celui de la CA dans l’accompagnement des communes, afin que puissent se développer la connaissance et les politiques de préservation des patrimoines et du paysage. La dimension de la création artistique mérite également d’être présente dans le projet. En proposant d’étendre la Ville d’art et d’histoire de Langres, labellisée en 1985, et renouvelée en 2016, au Pôle d’équilibre territorial rural (PETR) du Pays de Langres, les élus ont répondu aux préconisations qui avaient été formulées par le Conseil national en 2016. Le label Pays d’art et d’histoire rayonnera désormais sur un territoire composé de trois communautés de communes (CC), soit 168 communes. Le Conseil national salue l’ambition de cette extension au regard de son étendue, et souligne l’importance du lien à établir entre le PETR et les 3 CC dans le cadre de la mise en œuvre des outils de gestion et de planification garants de la qualité du territoire. Photo : pont de Saint-Nazaire – Wikimédia commons – Pouick44
Il y a 5 ans et 139 jours

Planète – Les propositions citoyennes sont piquées de vert

Vox populi vox Dei ? Dans le cadre de la Convention citoyenne pour le climat, qui a débuté ses travaux en octobre 2019, le Président Emmanuel Macron a réuni 150 citoyens tirés au sort dont le rôle est de trouver […] L’article Planète – Les propositions citoyennes sont piquées de vert est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

Débat citoyen : les propositions de Chroniques pour un monde meilleur

Chroniques d’architecture n’a pas été tiré au sort parmi les 150 membres du panel citoyen mis en place par Emmanuel Macron en octobre 2019 afin d’apporter des «solutions concrètes» pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Pourquoi […] L’article Débat citoyen : les propositions de Chroniques pour un monde meilleur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

A Roissy, du cheminement voyageur à l’expérience usager, question d’image

Pour rester concurrentiel, le Groupe ADP inaugurera à l’été 2020 le nouveau terminal 2BD (T2BD) de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. L’augmentation du trafic voyageur annoncée en 2019 de 2,5% devrait alors être absorbée en partie par cette infrastructure qui mêle la réhabilitation […] L’article A Roissy, du cheminement voyageur à l’expérience usager, question d’image est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

Le rayon vert, lien entre le centre et la périphérie de la ville

Lorsque le soleil se couche et commence à s’enfoncer dans l’océan, le ciel se pare de rougeoiements et tous les yeux sont rivés sur l’horizon, en quête du rayon vert. Ce spectacle n’existe pas en ville. Il y a pourtant, […] L’article Le rayon vert, lien entre le centre et la périphérie de la ville est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

Qui va Renzo va Piano

Dans un Pavillon de l’Arsenal débordant de toute part, il fallait le 15 janvier 2020 chercher le bon angle pour voir ce qui se passait en contrebas et apercevoir la figure longiligne de Renzo Piano. Pendant près d’une heure, Renzo […] L’article Qui va Renzo va Piano est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

Constructeurs de maison individuelle et architectes à la barre

A la Cour d’Appel d’Audubonsens, étaient entendus début janvier 2020 les conseils de Monsieur Alphonse Monmoulin, résident de Sainte-Gemmes, et de la société Maisons-Hypnos Construction, «pour dormir sur ses deux oreilles», dont le siège social est aux Iles Caïman. L’objet […] L’article Constructeurs de maison individuelle et architectes à la barre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

A Strasbourg, signée Loci Anima, une tour multimodale à parcourir à pied

A Strasbourg (Bas-Rhin), Loci Anima et DEA architectes sont lauréats du concours Archipel 2 pour trois tours et une crèche. L’occasion pour Françoise Raynaud (Loci Anima) de construire la première tour multimodale, laquelle propose un cheminement, pallier par pallier, rythmé […] L’article A Strasbourg, signée Loci Anima, une tour multimodale à parcourir à pied est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 139 jours

A Avignon, la bibliothèque Jean-Louis Barrault de Jakob + Macfarlane

L’agence d’architecture parisienne Jakob + MacFarlane (Dominique Jakob, Brendan Macfarlane) signe pour la Ville d’Avignon (Vaucluse) la réhabilitation de la bibliothèque Jean-Louis Barrault. Livraison prévue à l’été 2022. Communiqué du maître d’ouvrage. Une bibliothèque nouvelle génération La future Bibliothèque Jean-Louis […] L’article A Avignon, la bibliothèque Jean-Louis Barrault de Jakob + Macfarlane est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 140 jours

Les Coulisses du Palmarès Architecture Aluminium Technal 2019

Mercredi 02 octobre, se tenait la cérémonie de remise des prix Palmarès Architecture 2019 au Musée ethnographique de Russie à Saint-Saint-Pétersbourg. Une soirée qui réunissait ceux qui font le succès du Palmarès Architecture Aluminium Technal grâce à leur collaboration les architectes et les Aluminiers Agréés Technal.
Il y a 5 ans et 140 jours

Luc Schuiten, un architecte visionnaire

Latitude21, la maison de l’architecture et de l’environnement du Grand Dijon propose de découvrir le ravail de Luc Schuiten à travers 71 dessins et estampes. Jusqu’au 30 avril 2020. «Pour les gens qui veulent bâtir un modèle de société en […] L’article Luc Schuiten, un architecte visionnaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 140 jours

Terrasses D’Ingouville, de CVAAU et Archipel Zéro, pour Réinventer Le Havre

Avec son projet Les Terrasses D’Ingouville, l’équipe portée par ICADE associée aux agences d’architecture Corinne Vezzoni et Frédéric Denise, est lauréate en décembre 2019 du concours Réinventer Le Havre sur le site Flaubert et se voit confier la mutation de […] L’article Terrasses D’Ingouville, de CVAAU et Archipel Zéro, pour Réinventer Le Havre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 141 jours

Trésors de l’Albertina. Dessins d’architecture

L’exposition Trésors de l’Albertina. Dessins d’architecture est une occasion unique de découvrir les chefs-d’œuvre de l’une des plus grandes collections d’Europe, celle de l’Albertina Museum de Vienne. Jusqu’au 16 mars 2020. Pour la première fois en France sont rassemblés des […] L’article Trésors de l’Albertina. Dessins d’architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 141 jours

Session 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP)

Le concours des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) est organisé tous les deux ans depuis 2001 par le ministère de la Culture avec le concours de la Cité de l’architecture & du patrimoine et le soutien de l’Institut […] L’article Session 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 141 jours

A Goustranville, un centre équin franc du collier

L’agence Jean Amoyal, groupe Franc Architectures, a remporté en décembre 2019 le concours de l’appel à projet du futur grand campus équin international de Goustranville (Calvados). L’ouverture est prévue début d’année 2023. Communiqué. Au coeur de la Normandie, terre équine […] L’article A Goustranville, un centre équin franc du collier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 142 jours

A Paris-Saclay, un Centre Teilhard de Chardin, par l’agence duthilleul

L’EPA Paris-Saclay a signé une promesse synallagmatique de vente avec la SCI Saclay – Teilhard de Chardin en vue de la construction d’un centre de 1 651m² conçu par l’architecte Jean-Marie Duthilleul. L’ouvrage a pour ambition d’offrir un espace de […] L’article A Paris-Saclay, un Centre Teilhard de Chardin, par l’agence duthilleul est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 143 jours

LafargeHolcim Awards : Dernier appel

LafargeHolcim Awards 2019 : Lauréats de l’édition Amérique du Nord. [©Fondation LafargeHolcim] L’édition 2020 des LafargeHolcim Awards va bientôt clôturer ses inscriptions. En effet, à partir du 25 février prochain, les candidats ne pourront plus s’inscrire. Organisé en parallèle dans 5 régions du monde, le concours sera présidé par Jeanette Kuo1 pour la zone Europe. L’Amérique du Nord et latine connaîtront Reed Kroloff2 et Loreta Castro Reguera3 comme jury. Quant à l’Afrique et l’Asie, elles seront présidées par Mariam Kamara4 et Nirmal Kishnani5. Portant sur la construction durable, le concours hébergera, cette année, une section “Next Generation” dédiée aux jeunes professionnels de moins de 30 ans et aux étudiants. L’objectif de cette catégorie est d’ouvrir les portes du concours à un plus large public, grâce à des critères d’entrées moins restrictifs. Ainsi, les projets seront à présenter au stade de conception préliminaire. Quant à la section principale du concours, elle est ouverte aux architectes, urbanistes, ingénieurs, porteurs de projets, constructeurs et entreprises de construction. Elle s’intéresse aux projets, dont la construction a débuté après le 1er janvier 2019. La sélection… Afin de départager les candidats, 5 critères d’évaluation ont été établis. A savoir, “l’innovation et le potentiel de transfert”, “les standards éthiques et l’inclusion sociale”. Mais aussi “Les ressources et la performance environnementale”, “la viabilité et la compatibilité économique” et “l’impact contextuel et esthétique”.Les lauréats seront annoncés durant la seconde partie de 2020. Les vainqueurs dans chacune des 5 régions seront qualifiés pour l’édition 2021 des Global LafargeHolcim Awards. Ce dernier sera évalué par un jury international présidé par Hashim Sarkis6. La participation au concours est gratuite et l’inscription se fait en ligne. 1 Jeannette Kuo, Karmuk Kuo Architects, Suisse (Europe)2 Reed Kroloff, Illinois Institute of Technology, Etats-Unis (Amérique du Nord)3 Loreta Castro Reguera, Taller Capital, Mexique (Amérique latine)4 Mariam Kamara, Atelier Masōmī, Niger (Afrique Moyen-Orient)5 Nirmal Kishnani, National University of Singapore (Asie Pacifique) 6 Hashim Sarkis, Doyen du département d’architecture et urbanisme du Massachusetts Institute of Technology et commissaire de la Biennale internationale d’architecture de Venise de 2020.
Il y a 5 ans et 143 jours

Rencontre avec : Cutwork

Depuis sa création en 2016, le studio d'architecture et de design Cutwork propose des solutions flexibles et fonctionnelles adaptées à la réalité de nos modes de vie contemporains. À l'occasion du lancement de leur projet social Cortex Shelter – un prototype d’abri durable pour les réfugiés –, la rédaction de Muuuz a rencontré les deux fondateurs de la start-up : l'architecte franco-japonais Antonin Yuji Maeno et l'entrepreneuse américaine Kelsea Crawford. Muuuz : Quelle est la genèse de Cutwork ? Antonin Yuji Maeno : Cutwork est né de la rencontre entre trois personnalités, un architecte, une entrepreneuse, Kelsea Crawford, et un investisseur, le designer graphique Robert Nakata. Avec Kelsea, nous avons fondé notre studio en 2016 autour d’une réflexion sur les nouvelles manières de vivre – la fin de la famille mononucléaire et la grande fragmentation des liens sociaux –, de travailler – la croissance exponentielle des travailleurs indépendants – et de produire – le début de l’économie collaborative, l’essor des technologies de pointe et la fabrication digitale –, car nous avons réalisé que le monde avait beaucoup évolué depuis trois décennies. Depuis 2016, on a réalisé des projets clés : une partie de la Station F, le mobilier des espaces de coliving Flatmates (ajouter le lien vers notre article) et l’abri pour les réfugiés Cortex Shelter. Tous ces projets s’appuient sur une analyse des nouveaux usages de la ville et de l’espace causés par l’arrivée des nouvelles technologies. Nous nous sommes spécialisés dans la conception et l’aménagement d’espaces de coworking et de coliving, car nous avons observé les changements profonds de notre société. Grâce à l’ordinateur portable, la fonction de la pièce n’est plus préétablie : on peut travailler partout, dans le salon, la salle à manger ou encore la chambre. La destination des pièces et des lieux n’est plus standardisée. L’enjeu de notre studio est donc de rendre les espaces plus souples. Kelsea Crawford : Aujourd’hui, nous souhaitons embaucher afin d’agrandir notre équipe de six architectes et designers pour faire face aux projets d’ampleur qui nous tombent dessus, notamment le premier coliving de Russie et la fondation de l’artiste Takesada Matsutani à Paris. Quels ont été vos parcours respectifs ? En quoi vos profils sont-ils complémentaires ? Antonin Yuji Maeno : J’ai d’abord étudié l’architecture à l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Paris Belleville, puis celle de Paris La Villette. Ensuite, je suis partie un an en Inde pour travailler avec l’architecte Balkrishna Vithaldas Doshi, qui a reçu le prix Pritzker en 2018. A mon retour, j’ai suivi une formation d’entreprenariat dans les domaines de l’ingénierie, des matériaux et des techniques à l’École Nationale Supérieure d'Arts et Métiers pour développer mon procédé breveté de métal pliable. Ce produit a d’ailleurs été le point de départ de notre studio et lui a donné son nom. Kelsea Crawford : J’ai fait des études de communication et de journalisme à l’Université de Géorgie (Etats-Unis), mais mon parcours d’entrepreneur a commencé dès ma plus tendre enfance. Mon père m’a toujours poussée à entreprendre. A vingt ans, j’ai fondé ma première entreprise de marketing digital en Géorgie. Puis je l’ai vendue, avant de venir m’installer en France où j’ai rencontré Antonin. Pour Cutwork, je m’occupe surtout de la communication, du marketing, des budgets et du business plan, tandis qu’Antonin se charge de la partie créative. Il est aussi très doué pour l’entreprenariat et l’innovation, ce qui est rare. Avec votre mobilier modulable réalisé pour les appartements Flatmates, vous vous êtes référés à la conception japonaise de l’espace. Qu’en est-il de l’utilisation de ces notions architecturales nippones dans votre travail ?Antonin Yuji Maeno : Nous nous inspirons constamment de la conception japonaise de l’espace. Notre idée est de rendre les espaces plus flexibles, plus modulables, et donc plus proches de la manière dont nous vivons réellement dans les villes. Les Japonais sont les maîtres du design compact et des intérieurs modulables. Kelsea Crawford : En France, on utilise un mot pour désigner l’espace, alors qu’au Japon plusieurs termes le définissent. Les notions WA, BA et MA désignent l’espace et ce qui s’y passe. WA nomme l’harmonie, l’espace de concentration, BA signifie l’espace de collaboration, le lieu où il se passe quelque chose, et la notion MA est synonyme d’interstice, l’espace de liberté dans lequel l’inattendu peut se produire. La combinaison de ces trois notions nous permet de repenser et de réévaluer notre conception occidentale de l’espace. Cutwork est né de l’invention de votre procédé innovant de pliage de métal. Quel est son intérêt écologique ? Antonin Yuji Maeno : Notre procédé permet de fabriquer uniquement à la demande. Produire des éléments d’architecture et des pièces de mobilier à la demande est une réponse concrète au contexte de crise écologique actuelle, car ce mode de fabrication évite la délocalisation de la production, la surproduction et le stockage inutile de marchandises invendues. Kelsea Crawford : Cette technologie a l’avantage d’être très efficace. Les pièces métalliques sont produites grâce à des machines de découpe laser à partir de fichiers digitaux. Les pièces de mobilier peuvent donc être fabriquées à proximité du lieu où elles seront montées, puis installées. Le contexte politique et la crise écologique actuels influencent donc votre travail et vos projets. Quel avenir pour le design ? Dans quelle mesure peut-il être une réponse à ces problématiques-là ? Antonin Yuji Maeno : Les changements actuels justifient l’existence de Cutwork. Au niveau environnemental, nous sommes conscients de l’importance du choix des matériaux et des modes de production. C’est pourquoi, nous refusons la production de masse, ainsi que les projets qui ne préservent pas l’environnement et la dignité humaine. Cutwork a d’ailleurs été référencée par l'EIT Climate-KIC parmi les trente premières start-up CleanTech d'Europe.Kelsea Crawford : Notre approche est politique, car nous réfléchissons à la manière d’habiter la ville en tenant compte de la crise environnementale et des enjeux sociaux actuels. Notre conception du design et de l’architecture lutte contre la précarité et l’isolement. La promesse de notre coliving réside dans l’aménagement d’espaces partagés modulables. Avec Cortex Shelter, vous vous tournez vers une architecture sociale. Pourquoi ce projet ? Est-ce également une façon de parler d’un sujet politique extrêmement actuel à travers un dispositif concret ? Antonin Yuji Maeno : Nous avons travaillé avec la société Cortex Composites, qui a inventé et développé le béton roulé, un béton textile mobile sur lequel il suffit d'ajouter de l'eau pour fabriquer des canaux d’irrigation agricole et des murs de rétention durables. Kelsea a rencontré son dirigeant à une conférence Hello Tomorrow qui réunit les acteurs de l’innovation. Suite à cet événement, Cortex Composites nous a missionné pour réfléchir à des applications architecturales de son produit. De cette collaboration est née cette idée de logements abordables, à la fois faciles à fabriquer et durables. Constitué d’une structure de tubes en métal pliables et de pans de ciment, Cortex Shelter est une solution d’habitat pour les réfugiés installés dans des camps. Kelsea Crawford : L’abri Cortex Shelter peut être construit par deux personnes en moins d’une journée. Conçu pour être assemblé facilement à la main avec des matériaux trouvés sur place, la construction du logement ne nécessite aucune compétence technique et aucun équipement. Cortex Shelter permet d’améliorer les conditions de vie des réfugiés, en leur offrant une certaine stabilité et une plus grande sécurité. L’intérêt de ce nouvel abri est de prendre en compte la réalité concrète des camps de réfugiés, car les solutions actuelles destinées à abriter des réfugiés comme les tentes n’offrent pas des conditions de vie décentes. Aujourd’hui, les camps ne sont plus des espaces transitoires, mais sont bâtis comme des villes. Certains réfugiés vivent plusieurs décennies dans le même camp. Si vous aviez un budget illimité et zéro contrainte, quel serait votre projet rêvé ? Antonin Yuji Maeno : Notre projet rêvé pourrait être la conquête de l’espace… Réaliser le premier coliving du futur sur une autre planète, la Lune ou Mars. J’aimerais aussi concevoir une petite cabine préfabriquée à installer sur les toits des immeubles déjà existants. Kelsea Crawford : Nous aimerions également travailler sur des projets urbains de grande ampleur qui ont un véritable impact social sur le long terme. La réalisation d’un coliving intergénérationnel, où cohabiteraient des jeunes et des seniors, serait une belle avancée sociale. Pour en savoir plus, visitez le site de Cutwork Photographies : © Ladegaine Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 144 jours

Commande publique : sur le terrain, c'est "n'importe quoi"

ARCHITECTURE. Les évolutions réglementaires dans la commande publique liées à la loi Elan causent des situations "à la limite de la légalité", a assuré Denis Dessus, président du Conseil national de l'ordre des architectes, lors de la cérémonie des voeux 2020 de l'organisation.
Il y a 5 ans et 144 jours

Rénovation d’un cours dans le respect des années 30

La société Fernandes, retenue suite à un appel d’offres, s’est vu confier l’ensemble des travaux de façades : gommage et restauration de la pierre sur l’avenue Kléber, gommage des briques et peinture sur la façade arrière, rue Lauriston, et réfection des façades des deux cours en plaquettes de terre cuite émaillées. Sur ce chantier, des StoPanneau Ventec en billes de verre expansé avec liant époxy ont été fixés sur le support via des profilés aluminium en oméga. Un primaire (StoPrim) a été appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les plaquettes de terre cuite émaillée ont ensuite été collées une à une à l’aide de mortier de collage avant d’être jointoyées. Helder Fernandes a indiqué : « Nous avons réalisé un prototype grandeur nature pour valider la solution. La façade a été réalisée après la pose des cadres métalliques des fenêtres, en coordination avec le lot menuiserie. Le défi a été de respecter à la lettre le calepinage d’origine des plaquettes émaillées ». En effet, un énorme travail de calepinage des plaquettes a été réalisé avant l’exécution, les plans de détail dessinés plaquette par plaquette en intégrant les menuiseries afin d’être validés par la maîtrise d’œuvre. L’ouvrage est à la hauteur des attentes des ABF, du maître d’ouvrage et de l’architecte qui saluent unanimement l’excellent travail de l’entreprise. La qualité et l’effet esthétique des travaux a très sûrement séduit également les dirigeants de la banque HSBC qui installera le siège de sa filiale française dans l’immeuble en septembre 2020, après les aménagements nécessaires. Surface de façade traitée : 3 200 m2Maîtrise d’ouvrage : Covea ImmobilierMaîtrise d’œuvre : Architecture StudioEntreprise façade : Fernandes RavalementPhoto : Manuel Panaget
Il y a 5 ans et 144 jours

Chercher la femme ? (2)

L’Académie des Beaux-Arts vient d’annoncer l’élection d’Alain-Charles Perrot, membre de la section d’architecture, au poste de vice-président pour l’année 2020. En décembre dernier, l’architecte Pierre-Antoine Gatier avait été élu à la section architecture de l’Institut de France, suite au décès de Paul Andreu. L’institution créée en 1795 promeut la création artistique française et veille à la défense de notre patrimoine culturel. La section architecture – qui...
Il y a 5 ans et 145 jours

Kebony®, la nouvelle essence de bois durable

À Dorking, dans le Surrey anglais, le cabinet d'architecture Lees Munday Architectes transforme une maison traditionnelle du XXe siècle en maison familiale contemporaine accueillante et durable à l'aide du bois Kebony®.
Il y a 5 ans et 145 jours

Les lauréats de la neuvième édition du prix Patrimoines pour tous

Le prix Patrimoines pour tous distingue une démarche remarquable en matière d’accessibilité généralisée pour les personnes en situation de handicap moteur, visuel, auditif ou mental. La neuvième édition de ce rendez-vous annuel a donné lieu au palmarès suivant : Premier prix ex aequo : le musée de Pont-Aven et le musée de l’Aurignacien Le musée de Pont-Aven et le musée de l’Aurignacien présentent l’un et l’autre la caractéristique d’avoir connu des périodes de travaux et de rénovation importantes leur ayant permis d’optimiser de manière remarquable et substantielle leur politique d’accessibilité généralisée. Le musée de l’Aurignacien a rouvert ses portes en 2014 après dix ans de travaux et dispose aujourd’hui d’un bâtiment neuf adapté à son environnement. Son approche intégrée de l’accessibilité généralisée lui a permis d’obtenir la marque « Tourisme et Handicap » en 2018 pour les quatre types de handicap (auditif, visuel, mental et moteur). Cette distinction particulièrement recherchée est évidemment la garantie d’une politique volontariste et aboutie. Il a su développer des guides et outils de visite adaptés facilement accessibles à toutes et tous sans exclusive. Il s’illustre en outre par une collaboration étroite et régulière avec le réseau des associations du handicap et les acteurs institutionnels de proximité. Son action témoigne une fois encore du dynamisme de nos musées en zone rurale. Le musée de Pont-Aven a rouvert ses portes en 2016 après une refonte complète de ses infrastructures et de ses équipements. Il se fait fort depuis d’assurer l’autonomie de la visite via des supports de médiation et de communication interactifs et résolument modernes, sans obérer l’importance et la pertinence des visites de groupes et « sur mesure ». Il a fait le choix déterminant de se doter d’un comité de pilotage et consultatif associant les acteurs du handicap avant, pendant et après les travaux de rénovation. Il nous faut aussi saluer l’intérêt de ses actions hors les murs. Ce musée, qui a obtenu la marque « Tourisme et Handicap » en 2018 pour les personnes en situation de handicap visuel et mental, poursuit ses efforts pour répondre totalement aux exigences de l’accessibilité généralisée. Deuxième prix : les Archives municipales de Saint-Brieuc Les Archives de Saint-Brieuc ont pris l’engagement de résoudre leurs difficultés d’accès au cadre bâti en programmant d’importants travaux structurels inscrits dans la stratégie globale d’accessibilité généralisée de la municipalité. Les Archives proposent une démarche originale et séduisante autour des enjeux des droits culturels et de la citoyenneté. Ainsi, dès 2008, une charte d’accessibilité collaborative fut élaborée avec douze associations du handicap. Cette charte trouve aujourd’hui son prolongement dans un rendez-vous annuel intitulé « Printemps du patrimoine » et proposant de nombreuses actions dans les murs et hors les murs en partenariat avec la société civile et les acteurs sociaux. Photo : musée de l’Aurignacien – Daniel Moulinet—Basalt Architecture
Il y a 5 ans et 146 jours

Les entreprises générales, masse critique et standard de fait

Voici venu le temps des entreprises générales. La loi ELAN leur déroule le tapis rouge, à bon droit sans doute car elles seules sont évidemment en mesure de relever le défi du réchauffement climatique et de la course à l’armement […] L’article Les entreprises générales, masse critique et standard de fait est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Des municipales, affaires à suivre en 2020

En 2018, il fallait converser AMI, en 2019, J.O. En 2020, les élections municipales sont sur tous les trottoirs. Pour avoir une chance de les remporter, et plus tard de gouverner, quel sera le lexique de la ville ? Le […] L’article Des municipales, affaires à suivre en 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Les Utopiales de Nantes décodent les codes

Les Utopiales – Festival International de Science-Fiction, a fêté sa vingtième édition entre les 31 octobre et 4 novembre 2019. D’abord installé au Futuroscope de Poitiers, il fut transféré à Nantes en 2000, dans la Cité des Congrès dessinée par […] L’article Les Utopiales de Nantes décodent les codes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

A la Philharmonie de Paris, la musique se regarde…

Quand avez-vous pour la première fois… ? En tout cas, chacun s’en souvient toujours. Ici un architecte amateur de musique découvrait pour la première fois, en 2017, la grande salle de Brigitte Métra et Jean Nouvel. Un concert du saxophoniste […] L’article A la Philharmonie de Paris, la musique se regarde… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Chroniques-photos : Jean Pierre Porcher à main levée

Envoyer un photographe en reportage est ne jamais rien espérer en retour sinon la certitude d’être surpris. Décembre à Paris, c’est SIMI. Chronique-photos de Jean Pierre Porcher, envoyé spécial. Hier, aujourd’hui et deux mains Il y a des mains d’hier […] L’article Chroniques-photos : Jean Pierre Porcher à main levée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Isolant FOAMGLAS + étanchéité – Une longévité garantie 25 ans pour les toiture

Pittsburgh Corning, fabricant d’isolation thermique en verre cellulaire et filiale d’Owens Corning, vient bouleverser les habitudes en proposant la GarantieToiture25®. Il s’agit d’une garantie de 25 ans sur les toitures plates sous étanchéité, isolées avec le FOAMGLAS®. Dispositif de la GarantieToiture25® – 25 ans de garantie sur la résistance thermique de l’isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® dès la réception du chantier. Performances thermiques : le nouveau FOAMGLAS® T3+, qui bénéficie d’un Avis technique (DTA) depuis 2018, représente à ce jour le meilleur isolant incombustible sous étanchéité (lambda = 0,036 W/m.K). – 15 ans de garantie sur l’étanchéité à l’eau de la toiture, après la fin de la garantie décennale réglementaire. Une sécurisation sur le long terme Rappelons que les isolants et leurs performances thermiques ne font pas partie du champ de la garantie décennale des entreprises d’étanchéité. À ce jour, les entreprises ne garantissent pas dans le temps la résistance thermique de l’isolation mise en œuvre. La GarantieToiture25® FOAMGLAS® constitue donc un changement radical dans la façon de concevoir les toitures terrasses. La garantie de 25 ans sur l’isolation thermique mise en œuvre sous l’étanchéité est unique à ce jour et correspond à une demande de garantie financière des maîtres d’ouvrage sur leurs investissements. De plus, elle permet de sécuriser certaines applications, comme les toitures équipées de panneaux solaires ou les toitures jardins, et de garantir leur rentabilité et leur amortissement sans se soucier de la rénovation éventuelle du complexe de toiture. En effet, est-ce bien économique d’investir dans une toiture qui doit être rénovée 15 ans plus tard ? La garantie de 15 ans, complémentaire de l’assurance décennale, sur l’étan-chéité apporte un élément tangible du choix économique réalisé en investissant dans la Toiture ‘Compacte FOAMGLAS® + Étanchéité’. La couche isolante FOAMGLAS®, rigide et stable, apporte en effet une grande longévité aux étanchéités. Et, étant étanche elle-même, elle sécurise de façon exceptionnelle les toitures en cas de perforation de l’étanchéité. Conditions de la garantie La GarantieToiture25® prend effet à la réception des toitures via un contrat engageant Pittsburgh Corning vis-à-vis du maître d’ouvrage. Deux principales dispositions doivent être respectées dans le cadre de cette Garantie : la mise en œuvre de chanfreins en FOAMGLAS® au droit des relevés d’étanchéité (ou l’isolation des relevés d’étanchéité), et une assistance technique sur les chantiers par les techniciens FOAMGLAS®. Les extraits suivants des témoignages de maîtres d’ouvrage publiés dans la brochure « GarantieToiture25® 25 ans de garantie UNE TOITURE SANS SOUCIS » ci-jointe rendent compte des performances du système : « (…) D’après un sondage, il s’est avéré que la toiture était en parfait état et n’avait nul besoin d’être refaite (après 25 ans…) », observe Pascal Denisse, Responsable des services techniques, Grand Hôpital de l’Est Francilien, site de Coulommiers (77). « (…) Il y a environ 35 ans, nous avons découvert l’existence de FOAMGLAS® (…) Il peut être garanti car il fait l’objet d’un très bon retour d’expérience (…) nous n’avons jamais eu de désordre avec cet isolant », se félicite Philippe Gautier, ARCOS Architecture (75). « (…) En 1993, nous avons réalisé la réfection complète d’une toiture terrasse avec ce produit, et depuis nous n’avons plus eu le moindre problème d’infiltration. Désormais nous n’utilisons plus que le FOAMGLAS® pour les travaux nécessitant une parfaite et durable étanchéité (…) », remarque Jean-Yves Dupuis, Directeur des services techniques des Hospices de Beaune (21). « (…) L’autre grand intérêt est d’éviter les fuites en toiture, même en cas de percement des membranes d’étanchéité car l’isolant FOAMGLAS® est totalement étanche à l’eau (…) Nous ne sommes plus revenus sur la première toiture réalisée en 1993, et depuis nous avons couvert 50 000 m2 sur la plupart de nos collèges », constate Alain Leduc, Chargé d’études bâtiment, Conseil départemental du Pas-de-Calais (62). « Avec cet isolant très stable, non seulement nous n’avons plus de fuite, mais l’étanchéité double la durée de vie théoriques des toitures-terrasses soit environ 40 ans au lieu de 20. (…) Depuis ce choix du verre cellulaire pour l’isolation des toitures (il y a plus de 20 ans), l’OPH de Malakoff bénéficie d’un taux de sinistralité de 0 en toiture et n’a plus aucun sinistre de toiture à gérer », note Jean-Pierre Chassin, Ingénieur territorial à l’Office public de l’habitat de Malakoff (92).
Il y a 5 ans et 146 jours

Moby Dick livré à Bordeaux par Cap’taine Elua

L’agence bordelaise elua (Clément Miglierina architectes) a livré Moby Dick en 2018 à Bordeaux pour 1,5M€ HT. L’ouvrage de 2 200m², capable d’avaler de gros bâtiments, abrite la réparation et la construction de bateaux. Communiqué. Le studio a imaginé ce […] L’article Moby Dick livré à Bordeaux par Cap’taine Elua est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Lettre ouverte pour la défense des aménagements de Bernard Huet

Lettre ouverte aux maires et aux autorités municipales de Paris pour la défense des aménagements parisiens de Bernard Huet. A l’heure où le ministère de la Culture a demandé à des chercheurs et historiens d’approfondir l’histoire de l’enseignement de l’architecture […] L’article Lettre ouverte pour la défense des aménagements de Bernard Huet est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 146 jours

Pour sa crèche à Paris, Olivier Palatre a fait très attention

L’agence parisienne Olivier Palatre Architectes a livré en août 2019 pour la ville de Paris la restructuration et surélévation de deux crèches de 144 places (1 593.2 m² SDP ; 2,75M€). Rue Max Jacob (Paris XIIIe), la crèche entend se […] L’article Pour sa crèche à Paris, Olivier Palatre a fait très attention est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 147 jours

Architect@work

Le salon d'architecture
Il y a 5 ans et 147 jours

Le 1er village Alzheimer de France s’inspire de l’architecture traditionnelle landaise avec les tuiles Aquitaine Poudenx d’EDILIANS

Créé à l’initiative d’Henri Emmanuelli, ancien président du Conseil Départemental des Landes, le Village Landais Alzheimer va bientôt accueillir ses premiers résidents. S’inspirant du modèle néerlandais de Weesp, 1er du genre en Europe, cette structure d’accueil vise à maintenir au maximum les repères des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Pour y parvenir, l’équipe de maîtrise d’œuvre franco-danoise, composée de Champagnat & Grégoire Architectes et Nord Architects, a recréé un véritable village landais dans lequel la tuile Aquitaine Poudenx d’EDILIANS contribue à rappeler les bastides à l’ancienne typiques de la région. Une architecture familière rassurante Dédié à l’accueil des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, le programme du Village Landais implique de prendre en compte tous les aspects de la maladie. Les futurs résidents souffrant d’une perte de la mémoire proche, il est essentiel, pour le maître d’œuvre comme les maîtres d’ouvrage, de créer un environnement favorable à leur bien-être, leur rappelant des souvenirs. « D’où l’idée, pour ne pas les désorienter, de partir sur les bastides à l’architecture traditionnelle que nous avions dans les Landes », comme l’explique Nathalie Grégoire du Cabinet Champagnat & Grégoire Architectes. Implanté à Dax, dans un environnement arboré de plus de 5 hectares, le Village Landais Alzheimer s’organise ainsi autour de la Bastide, espace central et ouvert, qui propose des lieux de vie et de services (restaurant, magasin d’alimentation, pôle médical, salon de coiffure, …). Se déploient ensuite quatre quartiers de quatre maisonnées, d’une surface de 300 m2 chacune, pouvant accueillir jusqu’à 120 habitants. Tous les bâtiments du village font écho au style architectural landais tant au niveau des couleurs que des matériaux choisis, principalement issus de la région. Cette volonté conjointe du Conseil Départemental et des architectes d’utiliser des produits locaux se retrouvent dans le bardage de certaines habitations ainsi que dans l’ossature bois des maisonnées et de la Bastide réalisés en pin des Landes. Mais elle se voit surtout dans les toitures recouvertes de tuiles Canal traditionnelles. Aquitaine Poudenx, la tuile landaise par excellence Pour intégrer le projet harmonieusement dans le tissu urbain du Grand Dax et « donner l’impression que le village a toujours existé », les architectes recherchaient une tuile fortement galbée. Avec son esthétique Canal et son galbe significatif de la côte Atlantique, l’Aquitaine Poudenx d’EDILIANS s’est naturellement imposée. L’usine de production de la tuile à emboîtement étant en plus située à proximité du chantier, à Saint Geours d’Auribat, elle s’inscrivait parfaitement dans la démarche environnementale du programme. Caractéristique de la région, le coloris Paysage a aussi été une évidence car « cette teinte référence de la tuile Aquitaine Poudenx se retrouve souvent dans les constructions locales ». De la Bastide aux 16 maisons en passant par les locaux techniques, 12.000 m2 de tuiles Aquitaine Poudenx ont été posées à joints droits avec rives à rabat, à raison de 11 tuiles au m2, avec une pente de toiture de 35%. Pour leur mise en œuvre, l’entreprise Houeye a mobilisé une équipe de 4 personnes qui, sans les liteaux, « posait environ 200 m2 de couverture par jour, accessoires inclus (tuiles chatière de ventilation, tuiles à douille avec lanterne, tuiles d’about de faîtière, tuiles d’about d’arêtier, rencontres porte poinçon plat…) », indique Florient Houeye. Au préalable, toutes les toitures ont été protégées par un écran de sous-toiture AERO 2 HPV d’EDILIANS personnalisé au nom de l’entreprise. Une première pour ce couvreur fidèle à EDILIANS depuis des générations qui a apprécié « la qualité de cette solution Hautement Perméable à la Vapeur d’eau ainsi que sa facilité de pose, sans aucune difficulté ». En choisissant les solutions durables d’EDILIANS pour la toiture (avec la tuile terre cuite Aquitaine Poudenx) et l’éco-habitat (avec l’écran de sous-toiture AERO 2 HPV), le Village Landais Alzheimer illustre l’offre globale du spécialiste de l’enveloppe du bâtiment.
Il y a 5 ans et 147 jours

Dossier : 5 décors d’opéra réalisés par des artistes contemporains

Alors que le Centre Pompidou-Metz (57) met à l’honneur jusqu’au 27 janvier la rencontre entre les arts visuels et le genre lyrique dans l’exposition « Opéra Monde, la quête d’un art total », la rédaction de Muuuz revient sur les plus belles scénographies d’opéras signées par des grands noms de l’art contemporain. D’Anish Kapoor à Berlinde De Bruyckere, retour sur les plasticiens qui ont fait de l’opéra un terrain de jeu fertile d’expérimentations et de créations.  Pelléas et Mélisande, opéra de Claude Debussy (1902), nouvelle production au Théâtre royal de La Monnaie – De Munt (Belgique), avec une mise en scène de Pierre Audi et un dispositif scénique d’Anish Kapoor (2013)Le plasticien britannique Anish Kapoor est surtout connu pour ses sculptures monumentales polémiques – il est notamment le père de Dirty Corner, dit Le Vagin de la Reine, une oeuvre en acier rouillé, installée dans les jardins de Versailles le temps de sa carte blanche au château, qui a défrayé la chronique après avoir été vandalisée en 2015 –, moins pour ses collaborations avec des metteurs en scène. Avant son décor controversé pour l’opéra Tristan und Isolde (Tristan et Isolde) mis en scène par Daniel Kramer au London Coliseum en 2016, il imagine en 2013 le dispositif scénique de l’opéra Pelléas et Mélisande pour le directeur artistique franco-libanais Pierre Audi. Loin de transposer son vocabulaire plastique à l'échelle de la scène, Anish Kapoor orchestre la rencontre féconde de son art avec la dramaturgie et la musique. . Norma, opéra de Vincenzo Bellini (1831), nouvelle production au Teatro La Fenice à l’occasion de la 56e Biennale de Venise (Italie), avec une mise en scène, des décors et des costumes de Kara Walker (2015)L’artiste afro-américaine féministe Kara Walker aborde l’histoire de l’esclavage, ainsi que la persistance des discours phallocentriques et racistes dans le contexte socioculturel actuel des Etats-Unis. Elle propose en effet de les déconstruire à travers un langage artistique protéiforme et critique. Ses célèbres silhouettes noires, découpées dans du papier, puis disposées sur un fond blanc, rappellent la dimension symbolique des couleurs. En 2015, elle est invitée à la 56e Biennale de Venise par le commissaire d’exposition Okwui Enwezor à réaliser la mise en scène, les décors et les costumes de Norma au Teatro La Fenice. Kara Walker remanie alors l’intrigue et transforme la Gaule envahie par l’Empire Romain vers –50 avant J.-C. en une colonnie africaine imaginaire placée sous le joug du pouvoir européen à la fin du XIXe siècle. Sa réinterprétation audacieuse de ce grand classique de Vincenzo Bellini et son détournement des modèles archétypaux de l’africanité et de la féminité remettent en cause les hiérarchies raciales et sexuelles telles qu’elles ont été conçues par l’Occident. . Moses und Aron, opéra d'Arnold Schoenberg (1954), nouvelle production à l’Opéra Bastille (France), avec une mise en scène, des décors, des costumes et des lumières de Romeo Castellucci (2015)Romeo Castellucci est un plasticien et scénographe italien passionné de théâtre. Devenu célèbre en Europe pour ses mises en scènes avant-gardistes, il crée, depuis les années 1990, des interprétations radicales qui s’inscrivent dans l’héritage du « théâtre de la cruauté » tel qu'il est conceptualisé par l'écrivain français Antonin Artaud dans son essai Le Théâtre et son double. Sur la scène de l’Opéra Bastille à Paris, il confronte le public à une version onirique du chef-d’oeuvre inachevé d’Arnold Schoenberg. Dans les mains de Romeo Castellucci, Moïse et Aaron – opéra éminemment religieux – vient porter une réflexion sur le pouvoir de l’image à travers une série de tableaux vivants, qui transportent le public dans un univers mystérieux. .   Penthesilea, opéra de Pascal Dusapin, création mondiale mise en scène par Pierre Audi au Théâtre Royal de La Monnaie – De Munt (Belgique), avec une scénographie et décors de Berlinde De Bruyckere (2015)Plasticienne flamande contemporaine, Berlinde De Bruyckere développe un univers artistique empreint de spiritualité et de violence : des sculptures, des dessins et des installations qui mêlent sensualité morbide et scènes angoissantes, s’inspirant à la fois des symboles de la chrétienté – comme la figure du martyre – et des drames de son époque – tels que la guerre au Kosovo et le génocide rwandais. En 2015, elle s’essaye à la conception d’un décor d’opéra, lorsqu’elle réalise la scénographie saisissante du septième opéra de Pascal Dusapin, qui met en musique l'un des mythes antiques revisités les plus remarquables de l’ère moderne. Pour raconter la passion destructrice complexe entre Penthésilée et Achille, Berlinde De Bruyckere imagine un dispositif scénique immersif imprégnée de violence, constitué de vidéos et d’accumulations de peaux de chevaux. . Tristan und Isolde (Tristan et Isolde), opéra de Richard Wagner (1865), nouvelle production à l’Opéra Bastille (France), avec une mise en scène par Peter Sellars et une scénographie vidéo de Bill Viola (2005) Figure de la scène artistique contemporaine américaine, Bill Viola s’est spécialisé dans l’art vidéo par la création de tableaux numériques et d’installations vidéo. Fort de son succès international, il a été mis à l’honneur au Grand Palais (8ème arrondissement) en 2014 dans une rétrospective dévoilant pour la première fois en France un large corpus de son oeuvre filmique. Invité par Gerard Mortier à l’Opéra Bastille en 2005, Bill Viola sublime le chef-d’oeuvre de Richard Wagner, avec une installation vidéo narrative. En établissant un dialogue avec la mise en scène de Peter Sellars, Bill Viola explore toute la puissance expressive et la richesse picturale de l’art vidéo. Plusieurs années après sa création, cette nouvelle production a été rejouée à l'Opéra Bastille, au printemps 2014, puis à l’automne 2018. Pour en savoir plus, visitez le site du Centre Pompidou-Metz Photographies : 1) Moses und Aron (Moïse et Aaron), Opéra Bastille, Paris, 2015, Photo Bernd Uhlig Courtesy du photographe et de l’Opéra national de Paris, © Bernd Uhlig / Opéra national de Paris © Romeo Castellucci 2) Pelléas et Mélisande, Théâtre royal de La Monnaie – De Munt, Bruxelles, 2013, © Théâtre royal de La Monnaie – De Munt © Anish Kapoor 3) Norma, Teatro La Fenice, Venise, 2015, Photos Michele Crosera Courtesy du photographe et du Teatro La Fenice, Venise 4) Moses und Aron (Moïse et Aaron), Opéra Bastille, Paris, 2015, Photo Bernd Uhlig Courtesy du photographe et de l’Opéra national de Paris, © Bernd Uhlig / Opéra national de Paris © Romeo Castellucci 5) Penthesilea, Théâtre Royal de La Monnaie – De Munt, Bruxelles, 2015, © Théâtre royal de La Monnaie – De Munt © Berlinde De Bruyckere 6) Tristan und Isolde, Opéra Bastille, Paris, 2005, Photo Vincent Pontet / OnP Courtesy du photographe et de l’Opéra national de Paris, © Vincent Pontet / OnP © Opéra national de Paris © Bill Viola Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 147 jours

Pour Valode & Pistre, le Pavillon 6, pour faire la foire à Paris

L’agence Valode & Pistre (mandataire – Ateliers Jean Nouvel pour l’auvent) a livré en novembre 2019 Porte de Versailles le nouveau Pavillon 6 de Paris Expo (Paris XV). Sur une surface de plancher de 21 400 m², l’ouvrage compte, en […] L’article Pour Valode & Pistre, le Pavillon 6, pour faire la foire à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 148 jours

World Architectural Technal Awards (WATA) : les lauréats

Le World Architectural Technal Awards (WATA) est un trophée bisannuel mettant en lumière les solutions sur-mesure Technal à travers le monde. Huit réalisations ont été primées, et deux ont reçu une mention, dans huit catégories. Les lauréats. Les catégories : […] L’article World Architectural Technal Awards (WATA) : les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 148 jours

H-bar pour Dominique Lyon à Saclay, c’est physique

Le bâtiment d’enseignement de la physique ħ (Constante de Planck. Se prononce H-bar), conçu par Dominique Lyon, et la place Hubert Coudane, espace public majeur du quartier de Moulon dessiné par TAKTYK, situés sur la commune d’Orsay (Essonne), ont été […] L’article H-bar pour Dominique Lyon à Saclay, c’est physique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 149 jours

Pour l’Institut de l’Audition, VIB architecture appelle à la différence

L’agence parisienne VIB architecture (Franck Vialet, Bettina Ballus) a livré en septembre 2019 à Paris (XIIe) la transformation d’un ensemble immobilier en un nouvel Institut de l’Audition de 4 160 m² doté d’un centre dédié aux recherches en neurosciences de […] L’article Pour l’Institut de l’Audition, VIB architecture appelle à la différence est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.