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Il y a 2 ans et 165 jours

  » Smart hospital  » : la smart building alliance dévoile R2S 4 CARE , un cadre de référence inédit qui met le numérique au service du bâtiment hospitalier et de tous ses usagers

L’association Smart Buildings Alliance (SBA), qui fédère plus de 450 entreprises de la filière du bâtiment et de la ville, présente son nouveau cadre de référence Ready2Services 4 Care à destination de l’écosystème hospitalier. Décliné du référentiel Ready2services et élaboré par la commission  » Smart Hospital  » de la SBA, ce cadre méthodologique a vocation […]
Il y a 2 ans et 166 jours

FOAMGLAS – 25 ans de garantie sur l’isolation des toitures du Centre aquatique de Vitry-le-François… 

@foamglas Oui, c’est possible. Et, c’est surtout remarquable de pouvoir appliquer à ce type de  bâtiment une durée de garantie de 25 ans. Cette garantie concerne : 1. les performances thermiques, 2. l’étanchéité à l’eau de l’isolant et 3. l’absence de condensation dans la toiture. Le Centre aquatique de Vitry-le-François bénéficie de 25 ans de garantie pour ses toitures. Un bâtiment fort sollicité par l’humidité de l’air extérieur, classé en Très Forte Hygrométrie par les DTU.Le maître d’ouvrage du Centre aquatique de Vitry-le-François a demandé à son architecte, CHABANNE ARCHI\\INGE, une conception d’ensemble privilégiant un objectif d’économie sur le long terme lors de l’exploitation de la piscine. Il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. Ainsi, le Centre aquatique gagne sur trois critères.  À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, la pérennité de la performance thermique, l’étanchéité à l’eau et l’absence de condensation dans toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans. De nombreux aspects de l’ouvrage ont été travaillés avec un objectif de durabilité fixé par la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der (51). Ainsi, par exemple, c’est de l’inox qui a été retenu pour réaliser l’étanchéité et le revêtement des bassins.Il est encore rare que les toitures fassent l’objet d’une telle analyse tant l’Assurance Décennale est bien installée dans les esprits en France. Les dix ans de garantie qu’offre l’entreprise au maître d’ouvrage sont souvent considérés comme suffisants. Or, 10 années passent bien vite et refaire une toiture de piscine au frais du contribuable 15 ans après sa construction n’est pas satisfaisant d’un point de vue écologique et financier. La même analyse vaut pour les toitures actives (avec accès piétons, véhicules, jardins, installations photovoltaïques…) : refaire les toitures plates avec un nouvel isolant et une nouvelle étanchéité, avec dépose préalable des complexes existants, coûte très cher. Avec la seule Assurance Décennale, la maîtrise d’ouvrage se trouve à la merci d’une mauvaise mise en œuvre ou d’une conception peu qualitative entraînant des désordres au bout de 12 à 14 ans.  La GarantieToiture25®, une avancée considérableFace à cette situation, et fort de l’expérience de 60 ans d’isolation thermique de toitures parmi les plus contraignantes, Owens Corning FOAMGLAS® propose depuis 3 ans une GarantieToiture25®. Soit 25 ans de garantie thermique de la toiture et 15 ans sur l’étanchéité de la toiture après la garantie décennale. Deux critères sont exigés pour d’obtenir cette garantie : en conception, l’isolation des relevés d’étanchéité (ou la mise en place de chanfreins en FOAMGLAS®) et, en phase chantier, l’établissement d’un plan d’assurance qualité par l’entreprise en collaboration avec l’Équipe Technique de Owens Corning FOAMGLAS®. Ce plan d’assurance qualité demande la présence du technicien FOAMGLAS® au démarrage des travaux d’isolation et d’étanchéité afin de délivrer un training rigoureux des compagnons, et son intervention à tout moment du chantier avec l’accord de l’entreprise d’étanchéité. Ce dispositif apporte une amélioration reconnue de la gestion des risques en phase chantier et in fine une garantie contractuelle apportée par Owens Corning FOAMGLAS® au maître d’ouvrage qui confère une valeur considérable à l’ouvrage.Cette garantie souligne aussi deux points importants restant à améliorer dans l’acte de construire :– À ce jour, les fabricants ne sont pas obligés de garantir leurs matériaux isolants une fois mis en œuvre, ni même de garantir dans le temps une partie de la résistance thermique annoncée dans leur validation technique. En effet, les PV ACERMI concernant les isolants engagent l’ACERMI sur des valeurs obtenues en sortie d’usine seulement et suivant un protocole d’essai précis visé par les normes EN. Obtenir un engagement de 25 ans sur 100 % de maintien de la performance thermique de l’isolation de la toiture représente une avancée considérable.– L’Assurance Décennale engage l’entreprise d’étanchéité pour 10 ans sur l’étanchéité de l’ouvrage. Du point de vue écologique et financier (économie des matériaux, transport, immobilisation de l’ouvrage, gestion des déchets…) refaire une toiture 15 ans après sa réfection devient peu satisfaisant. Disposer d’une garantie complémentaire de 15 ans sur l’étanchéité après la décennale de l’entreprise représente, là aussi, un progrès considérable pour l’ouvrage et le maître de l’ouvrage.Les Services de la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der, appuyés par les analyses de CHABANNE ARCHI\\INGE, ont bien analysé ces diverses données. CHABANNE ARCHI\\INGE a proposé les deux solutions avec leurs incidences financières, et il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, l’isolation thermique et l’étanchéité de toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans.  Le verre cellulaire sécurise totalement les toitures de piscine. Pourquoi ?Le verre cellulaire sait garantir 25 ans une résistance thermique constante dans le temps et une absence de condensation dans les toitures de piscine, quel que soit l’élément porteur : bac acier, bac acier acoustique, bois ou dalle béton. FOAMGLAS® garantit une réelle performance thermique des toitures, même celles des bâtiments les plus sollicités par l’humidité de l’air intérieur, classés en Très Forte Hygrométrie par les DTU. Isolé avec du verre cellulaire (isolant étanche dans la masse, mis en œuvre avec le collage des plaques entre elles sur toute leur épaisseur), la couche isolante de la toiture d’une piscine restera sèche, et gardera, toute la vie du bâtiment, une performance thermique intacte. Si sa Résistance Thermique d’origine est de 5 m².K/W, soit une Conductance Thermique de 0,2 W/m².K, alors, 25 ans plus tard, la conductance de la toiture sera toujours de 0,2 W/m.K ! La GarantieToiture25® d’Owens Corning FOAMGLAS® l’atteste.Seule une isolation en verre cellulaire permet cette performance très économique pour le maitre d’ouvrage !   En piscine, la garantie d’une absence de condensation en toiture est essentielle, tant les risques sont grands lorsque la température extérieure est froide, compte tenu de l’air intérieur du bâtiment très humide. Comme sur le sujet de la résistance thermique, FOAMGLAS® est au rendez-vous : le verre cellulaire est de perméabilité nulle (PV du CSTB) et les plaques sont collées entre elles avec une colle imperméable à la vapeur. Si l’épaisseur de la couche isolante est de 18 cm (Rth = 5), alors il y aura une épaisseur de colle de 18 cm située au droit des joints de FOAMGLAS® ! Ainsi, l’humidité intérieur de la piscine ne peut pas migrer dans une couche isolante de FOAMGLAS®, qui est pare-vapeur dans la masse. Et, le point de rosée (appelé aussi température de rosée) ne peut pas être atteint par la vapeur située à l’intérieur de la piscine. Il ne peut donc pas y avoir de condensation dans la toiture. www.foamglas.fr
Il y a 2 ans et 167 jours

comment sto veut embarquer les professionnels du btp vers la renovation globale

Être moteur de la création progressive d’une filière de rénovation globale pour rendre les bâtiments performants et multi-usages, tel est l'objectif du spécialiste de l'isolation thermique par l'extérieur Sto. Une ambition que le fabricant traduit dans le choix de ses projets et de ses services d'accompagnement.
Il y a 2 ans et 167 jours

Troisième évacuation d'immeubles à Lille après un effondrement meurtrier

"A l'appel d'une locataire, les pompiers sont intervenus au 52 rue Esquermoise" dans le Vieux-Lille, "ils ont décidé de faire évacuer immédiatement" cet immeuble et le bâtiment mitoyen pour des vérifications, a indiqué mardi soir la mairie de Lille dans un communiqué. Selon une source proche des secours, les pompiers avaient constaté des fissures. Les accès à une dizaine d'immeubles ont été bloqués vers 13H00, incluant les boutiques situées au rez-de-chaussée, contraintes de fermer pour l'après-midi, ont raconté à l'AFP plusieurs habitants et commerçants présents sur place.Parmi les résidents touchés, Téo Cahagne, 22 ans, venu dans l'après-midi "récupérer quelques affaires" après un appel de son propriétaire. Mais après des vérifications, les services ont "conclu que, si des travaux dans la cave sont nécessaires, pour autant l'immeuble ne présentait pas de difficultés particulières", a précisé la mairie. "L'ensemble des locataires, propriétaires et commerçants" ont pu réintégrer les lieux, a-t-elle indiqué.Depuis l'écroulement de deux immeubles qui a fait un mort rue Pierre Mauroy, deux opérations d'évacuation avaient déjà eu lieu dans le centre historique. Trois immeubles ont été évacués la semaine dernière rue de la Monnaie, avant trois autres évacués en pleine nuit samedi, rue Lepelletier. Les habitants de cette rue ont pu depuis regagner leurs logements, selon la mairie, mais 12 habitants de la rue de la Monnaie restent eux relogés à l'extérieur.Sur cette zone, l'alerte avait été donnée par un syndic, sur la base d'un "rapport fait par le propriétaire il y a un an, et qui n'avait pas donné lieu aux travaux nécessaires", selon la mairie. Les services municipaux y ont constaté "des désordres importants"."Selon les experts, on ne pourra pas revenir avant un an. On a ouvert notre chocolaterie il y a six mois, et on doit tout recommencer ailleurs. Heureusement la mairie nous aide", avait raconté dimanche à l'AFP l'un des commerçants concernés, le chocolatier Christian Roux.
Il y a 2 ans et 167 jours

Pour se chauffer, penser aux réseaux de chaleur

6.500 km aujourd'huiLe pays compte 898 réseaux de chaleur, soit 6.500 km de canalisations de chauffage urbain courant dans 850 villes, selon un état des lieux de la Fédération des Services énergie environnement (Fedene) publié mercredi.Les réseaux ont livré 29,8 térawattheures (TWh) de chaleur en 2021, à près de 45.000 bâtiments raccordés; c'était encore 22 TWh il y a dix ans. Les destinataires sont pour la moitié des bâtiments résidentiels.Ces réseaux ont en 2021 été alimentés en moyenne à 62,6% par des énergies locales renouvelables et de récupération (biomasse, géothermie, déchets non recyclables incinérés...), le gaz complétant.Avec des émissions de CO2 réduites pratiquement de moitié en dix ans, ils émettent désormais 45% de gaz à effet de serre en moins que ne le ferait un chauffage au gaz naturel, selon leurs gestionnaires, qui promettent d'accélérer (avec 73% de sources renouvelables d'ici 2030)."Nous sommes de plus en plus vertueux, et nous augmentons nos livraisons, mais pas assez vite", résume Yann Rolland, président du Syndicat national du chauffage urbain (SNCU)."Nous ne représentons que 4-5% des besoins de chaleur des Français. C'est d'autant plus dommage qu'on est plutôt moins cher", la stabilité des renouvelables ayant "un effet amortisseur sur les prix des énergies fossiles".AmbitionsDans l'immédiat, le secteur vise la création de 1.600 réseaux supplémentaires, ou leur extension, d'ici 2030.Et d'ici 15 ans, le réseau urbain pourrait assurer 20% du chauffage national, un objectif "à la fois ambitieux et raisonnable", dans la moyenne européenne."On est sûrs de notre coup", dit le président de la Fedene, Pierre de Montlivault. "On a la demande des villes, et l'offre de sources renouvelables".Pour lui, le retard est "le fruit de l'histoire: la politique énergétique française s'est focalisée depuis des décennies sur l'électricité et le chauffage a toujours été vu comme un sujet un peu moins important"."On a développé après-guerre les infrastructures électriques et gazières et on a considéré que c'était réglé. De ce fait, il n'y a pas eu de volonté de planification des réseaux de chaleur", contrairement à l'Europe du nord, précise-t-il.Un milliard annuelAujourd'hui ces projets sont soutenus en France par le Fonds chaleur, instrument principal de leur essor, dont le montant est de 520 millions d'euros pour 2022. Pour accélérer, il faudrait un milliard d'euros, estime la filière.Pour l'instant, l'Ademe, qui gère le Fonds, a enregistré 190 demandes de dossiers de création de réseaux.Sur fond de flambée des prix du gaz, "nous sommes dans une dynamique nouvelle", observe Yann Rolland qui dirige Engie Solutions: "on n'a jamais eu autant de demandes de raccordement".Ce développement bénéficie aussi de dispositifs réglementaires, dont le texte "raccordement express" permettant aux copropriétés près d'un réseau de profiter d'aides pour se raccorder.Et le froid !Le premier réseau de froid est arrivé dans les années 1990 à Paris où il rafraîchit, grâce à la Seine, hôpitaux et musées. A Annecy c'est grâce au lac, à Marseille grâce à la mer.La France compte 33 réseaux de froid, qui permettent d'éviter les climatiseurs, économisant fluides frigorigènes et énergie. Ils ont livré en 2021 quelque 0,8 TWh de froid. Avec le réchauffement climatique, selon l'Ademe, les besoins de froid dans le résidentiel et le tertiaire pourraient dépasser 28 TWh en 2050.Il est donc "essentiel de développer des solutions vertueuses et décarbonées", insiste la Fedene, relevant que le soutien au froid manque encore en France.
Il y a 2 ans et 167 jours

Place à la couleur au nouvel Espace Social Commun de Rennes grâce aux tuiles émaillées d’EDILIANS

Porté par la volonté commune du Département d’Ille-et-Vilaine, de la ville de Rennes et de la Caisse d’Allocations Familiales, le nouvel Espace Social Commun (ESC) finit de voir le jour au nord de Rennes, dans le quartier de Maurepas. Celui-ci vise à centraliser dans un lieu unique un ensemble de services publics destinés à soutenir les habitants et à faciliter leurs démarches administratives. Lauréate du concours lancé par le département, l’agence d’architecture Beal & Blanckaert a souhaité conférer à ce nouvel établissement une échelle humaine. L’objectif est double : marquer le quartier de Maurepas d’une nouvelle institution majeure, tout en reflétant l’ambition publique initiale, synonyme d’accueil et d’accompagnement. Un pari réussi grâce à une décomposition de l’ensemble en quatre grandes maisons, rythmées en toiture et en façade par des tuiles émaillées Stretto Huguenot d’Edilians. UN PROJET COMPLEXE FIDÈLE À LA DIVERSITÉ ARCHITECTURALE DU QUARTIER Pour Beal & Blanckaert, l’enjeu majeur était de « donner une échelle humaine à cette réalisation afin d’éviter l’effet d’un établissement trop imposant » dans un quartier emblématique du renouvellement urbain rennais. D’où l’idée de « décomposer le programme en plusieurs maisons pour lui donner un caractère résidentiel tout en unifiant le tout à l’aide d’un matériau que nous souhaitions vibrant » explique Antoine Beal. Répartis sur une parcelle de 2.000 m2, les quatre pavillons de 2 à 5 étages, symbolisant la pluralité des services de l’ESC Simone IFF, se composent d’une structure poteau- poutre béton avec des façades à ossature bois revêtues de tuiles terre cuite. Au-delà de répondre à l’une des exigences du cahier des charges du département qui souhaitait une construction bas-carbone, le choix de l’architecte d’intégrer de la tuile en bardage et en toiture permet de jouer sur une colorimétrie bâtiment par bâtiment et ainsi de « concilier en même temps unité et diversité ». LA STRETTO HUGUENOT ÉMAILLÉE POUR CRÉER UNE MATÉRIALITÉ CHATOYANTE Ayant déjà expérimenté la tuile terre cuite en bardage, c’est tout naturellement que l’agence Beal & Blanckaert s’est intéressée une nouvelle fois à ce matériau. Par sa grande dimension (265 x 370 mm) et sa compatibilité de mise en œuvre sur tous les types de toiture y compris en faible pente (environ 75% à l’ESC Rennes), ainsi qu’en bardage, la tuile Stretto Huguenot s’est imposée. « Mais plus encore ce sont la large palette de teintes personnalisables ainsi que la qualité des émaux développés par Edilians qui ont définitivement séduit aussi bien l’architecte que le maître d’ouvrage », souligne Eric Lebeau, Directeur National de la Prescription. En effet, pour différencier les maisons, chacune possède une tonalité légèrement différente. Cette variation chromatique, réalisée de façon aléatoire à l’aide d’un logiciel spécifique paramétré de manière fine par les architectes, s’exprime au travers de 13 coloris parmi lesquels 3 nuances de verts, 4 rouges, 3 bleus. Afin d’éviter une uniformité totale en toiture et de respecter les contraintes budgétaires du chantier, à cela s’ajoute une déclinaison de 3 blancs à raison de : 20% de tuiles émaillées monocuisson, en Blanc Platine, fabriquées dans l’usine Edilians de St Germer de Fly, et 80% de tuiles double cuisson de la gamme Ultra dans une variation de blanc chaud et froid. Placées principalement en couverture, ces tuiles émaillées blanches présentent un avantage certain en termes de luminosité et de pouvoir réfléchissant en ayant un impact positif global sur le confort et l’efficacité énergétique du bâtiment.Assurant une continuité d’une façade à l’autre, cet effet de pixellisation, qui part d’une teinte très foncée au sol pour se dégrader progressivement vers les blancs, offre ainsi cette matérialité chatoyante à l’échelle du piéton voulue par l’architecte. UNE GESTION MAÎTRISÉE DE L’ÉNERGIE GRÂCE À UNE CENTRALE PHOTOVOLTAÏQUE SOLAIRE MAX Pour contribuer à atteindre l’objectif de performance énergétique de -30% attendu par l’ESC Rennes, 100 tuiles Solaires Max 16 cellules ont été installées directement sur les liteaux d’un pan de toiture de l’un des pavillons. En coloris rouge, elles s’intègrent en toute discrétion aux tuiles Stretto Huguenot et permettent une production énergétique optimale à raison de 59 Wc par tuile, soit près de 6000 Wc. De quoi contribuer à rendre l’espace social plus autonome en énergie ! UNE PROUESSE TECHNIQUE DE L’ÉTUDE À LA MISE EN ŒUVRE Si l’ESC Rennes constituait un véritable défi au niveau esthétique quant au choix des couleurs, il l’était également d’un point de vue dimensionnel. Raison pour laquelle, afin d’éviter toute mauvaise surprise sur le chantier, un important travail d’approche technique et de calepinage a été réalisé très en amont par l’agence Beal & Blanckaert et sa cheffe de projet Hélène Verniers, en fonction de la spécificité de chacune des façades. En étroite collaboration, l’architecte, l’entreprise de pose Loire Atlantique Toiture et Eric Martinat, Directeur Développement Produits d’Edilians, ont ainsi étudié : l’implantation précise des tuiles en façades afin de faciliter leur mise en œuvre et de minimiser le travail de coupe en jouant sur les tuiles et demi-tuiles, l’habillage de la façon la plus discrète possible autour des menuiseries, le traitement des points singuliers pour répondre notamment à la demande de l’architecte en ce qui concerne l’écoulement des eaux pluviales. Une fois achevé cet accompagnement personnalisé, la mise en œuvre des 2.700 m2 de tuiles émaillées Stretto Huguenot dont 1.100 m2 en façade s’est effectuée sans encombre grâce au plan de calepinage minutieusement préparé par l’architecte imprimé en très grand format. Ainsi, pour chaque façade, Loire Atlantique Toiture a trié les tuiles par coloris puis, rangée par rangée dans le bon ordre, avant de les poser à joints croisés, avec un pureau de plus ou moins 14 cm. Quant aux tuiles Solaire Max, même si leur installation constituait une première pour l’entreprise « cela s’est très bien passé. La pose est très simple, de même que le raccordement électrique Plug & Play. C’est presque un jeu d’enfant finalement ! Et ce d’autant plus que nous avions bénéficié au préalable d’une formation technique d’Edilians sur le site pour nous expliquer le fonctionnement », détaille Romain Rouaud qui a repris l’entreprise familiale depuis 5 ans. Le résultat est à la hauteur des enjeux : « l’entreprise Loire Atlantique Toiture a vraiment effectué un travail impeccable. Une mise en œuvre aussi soignée d’un produit noble tel que la tuile, c’est véritablement de l’art » déclare Eric Martinat, enthousiaste. Une composition artistique tant dans la palette de coloris que dans la qualité de finition qui interpellent les habitants du quartier de Maurepas qui confient « trouver cela vraiment très beau ». A propos d’EDILIANS : Leader français de la toiture en terre cuite (9 appellations terroir, 96 modèles et 380 coloris de tuiles) et pionnier de la tuile solaire photovoltaïque universelle depuis 2002, Edilians crée des solutions toitures innovantes au coeur de l’éco-habitat. Edilians fait partie d’Edilians Group : 1700 collaborateurs 400 M€ de CA en 2021 16 sites industriels (France et Europe) 7 marques commerciales edilians.com
Il y a 2 ans et 167 jours

Novade annonce l'intégration avec Autodesk Construction Cloud

Cette intégration supprime les barrières entre les différentes équipes d'un projet de construction en permettant l'échange des données entre les plateformes Novade et BIM 360 de la suite Autodesk Construction Cloud.« Cette intégration entre Novade et Autodesk marque le début d'une longue série de relations entre Novade et différents acteurs technologiques. Notre but est de proposer un véritable écosystème connecté pour le secteur de la construction ». Explique Denis Branthonne, CEO de Novade. « Les entreprises technologiques doivent évoluer avec leur temps - nos clients veulent que leurs données se déplacent de manière transparente entre leurs systèmes et leurs applications. Plus nous pourrons aider l'industrie de la construction à éliminer les frictions liées à la donnée, plus vite l'industrie réalisera sa transformation numérique ».Novade digitalise tous les processus de construction sur le terrain tels que les inspections de sécurité, les fiches d'accueil, le suivi qualité ou les journaux de chantier. Autodesk BIM 360® est adopté par de nombreux acteurs de la construction à travers le monde et facilite la collaboration entre les équipes d'un projet, de la conception à la construction jusqu'à l'exploitation et la maintenance du site. Ces deux outils ont largement été adoptés par les plus grandes entreprises de la construction et de services ainsi que par les promoteurs immobiliers à travers l'Europe, l'Asie et le Moyen-Orient.En connectant les plateformes Autodesk et Novade, les utilisateurs peuvent désormais partager les données collectées sur chantier avec Novade, directement avec les utilisateurs sur BIM 360. De même, les utilisateurs de Novade sur le terrain peuvent désormais travailler avec les dernières versions des plans issus de BIM 360 et ainsi éviter les problèmes liés à l'utilisation des mauvaises versions.« Les projets de construction évoluent rapidement, les équipes sur le chantier et celles dans les bureaux doivent rester synchronisées pour s'assurer que tout le monde travaille sur des données à jour » déclare James Cook, responsable des intégrations chez Autodesk Construction Solutions. « En permettant aux clients d'échanger toutes les données et les documents du projet entre la plateforme de management projet BIM 360 et l'application terrain Novade, les équipes bureau et chantier peuvent renforcer la collaboration et minimiser les erreurs de communication et la ressaisie ». Tiong Seng, un des leaders de la construction à Singapour, est l'un des premiers à adopter l'intégration Autodesk de Novade. Colin Tan, Directeur Général de Tiong Seng Contractors Pte Ltd, déclare : « Pouvoir partager des informations entre nos logiciels existants est essentiel pour réduire les contraintes de notre industrie. Mes équipes disposent désormais d'une visibilité complète sur les projets ainsi que sur l'avancement, qu'elles soient sur site ou hors site, avec un accès au suivi qualité et sécurité en temps réel ».Pour permettre aux entreprises de la construction d'optimiser facilement la quantité colossale de données qu'elles collectent et gèrent, les entreprises technologiques cherchent des moyens de synchroniser, de partager et de rendre accessible leurs données.Pour résoudre ce problème, Novade a récemment lancé Novade Connect, un ensemble d'intégrations logicielles permettant une connexion « plug and play » avec les leaders du digital.
Il y a 2 ans et 168 jours

Béton[s] le Magazine 103

Daté novembre/décembre 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Innover autrement dans le béton TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle. Béton sur enrobé, du jamais vu en aéroportuaire ZOOM SUR. Le sol se prépare FONDAMENTAUX. Juridique. La clause de non-concurrence des salariés BETON D’ANTAN. Ville de Royan. Une nouvelle architecture en béton Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 168 jours

Reprise d’un point de vente et développement en multi-sites, le réseau Lorenove est toujours aussi attractif !

Avec 60 points de vente en activité, le réseau LORENOVE signera en 2023 ses 40 ans d’activité !Une longévité qui doit notamment sa prospérité à l’accompagnement des concessionnaires et aux outils et services qui leur sont proposés. En outre, l’activité du marché, qui a connu une croissance de près de 20% en 2021, ne se tarit pas en 2022 et offre l’opportunité à de jeunes entrepreneurs de lancer leur entreprise ou bien de reprendre les parcours actifs de leurspatrons. Ce sont les illustrations types des nouvelles concessions de Sainte-Geneviève-des-Bois et Cannes qui sont respectivement un rachat à la suite d’un départ en retraite ainsi qu’une création dans le cadre d’un projet de vie. Voici les portraits de ces entrepreneurs. KEVIN GUEUDIN, L’ÉVOLUTION D’UNE CARRIÈRE, D’AIDE POSEUR À GÉRANT. Entré en activité en 2011 en tant qu’aide poseur chez LORENOVE, c’est dans la concession d’Etampes que Kevin Gueudin a débuté sa carrière. A cette époque, la concession « Ecole de Fenêtres » est détenue par Monsieur Ecole ainsi que deux autres concessions à Sainte-Geneviève-des-Bois et Orléans. De 2012 à 2014, il prend un poste de commercial toujours au sein de la concession d’Etampes puis intègre l’équipe commerciale de Sainte-Geneviève-des-Bois. Une opportunité professionnelle – qu’il saisit sans hésitation – vient s’offrir à lui, lorsque M. Ecole souhaite prendre sa retraite en 2022 et lui propose de racheter la concession. Ainsi en juillet 2022 le rachat est officialisé et la concession est renommée Fenêtres et Fermetures de l’Essonne. Kevin Gueudin qui conserve ses fonctions commerciales, est entouré d’une équipe de 9 personnes dont 6 poseurs, une assistante commerciale, un commercial et un chef d’agence. À court terme, l’un des objectifs premiers est d’embaucher un second commercial pour le remplacer afin qu’il puisse se concentrer sur la gérance administrative. Concession Lorenove Sainte-Geneviève-des-Bois 91 En activité depuis 2000 la concession de Sainte-Geneviève-des-Bois bénéficie d’une renommée et d’une implantation locale profitable avec une belle visibilité, notamment avec son showroom de près de 100 m². L’équipe en place est performante et l’activité florissante avec un carnet de commande bien rempli. « Nous bénéficions également de lanotoriété nationale de l’enseigne Lorenove qui nous amène des contacts et dont la majorité sont issus du site Internet. En local, le bouche à oreille fonctionne également très bien, nos clients sont un peu nos ambassadeurs » témoigne Kevin Gueudin. Sagace, Kevin Gueudin se fixe des objectifs de développement stratégiques comme l’intégration de vérandas, produit complémentaire aux menuiseries et très demandé ; la prospection vers les copropriétés qui amènent des chantiers conséquents, l’embauche et la formation d’un maçon pour intégrer la gestion des chantiers (portails, clôtures, etc.) de A à Z, ainsi que l’achat d’un nouveau local afin d’être propriétaire des murs. Kevin Gueudin Gérant CAROLINE ET GEOFFREY KETTERER, DE DREUX À CANNES, ITINÉRAIRE D’UN PROJET DE VIE. Dirigeant de l’entreprise de bâtiment « Plein Jour Habitat » à Chartres, Geoffrey Ketterer évolue depuis ses 18 ans, sur le secteur de la rénovation de l’habitat. Approché par le Groupe Lorillard pour son activité en menuiserie, Geoffrey Ketterer est séduit par le concept du réseau LORENOVE qu’il rejoint en 2017 pour ouvrir sa concession sur le territoire de Dreux en Eure-et-Loir (28). Etoffée d’un chef d’agence, d’un commercial, d’une assistante et de 2 poseurs, la concession de Dreux évolue sur un marché favorable avec un secteur pavillonnaire abondant. Sa femme, Caroline, a rejoint les équipes en 2018 et s’occupe des taches relatives à la gestion et au contrôle de conformité pour l’ensemble des enseignes. Le savoir-faire des équipes, la notoriété de l’enseigne LORENOVE ainsi que leur travail sérieux ont porté leurs fruits et la concession bénéficie aujourd’hui d’une renommée qui se propage principalement par le bouche à oreille. Cette prospérité aurait pu être le symbole d’une évolution professionnelle paisible mais c’était sans compter sur le caractère entreprenant de Geoffrey Ketterer et le projet de vie du couple ; qui choisit de partir vivre dans le sud de la France, à Cannes. Justement, l’enseigne LORENOVE n’étant pas implantée à Cannes, l’opportunité leur tend les bras et l’enseigne voit le jour en février 2022. Installée en plein centre-ville de Cannes, la concession est dotée d’un showroom de 100 m². Une assistante a été recrutée ainsi qu’un métreur, avec qui le couple travaille de longue date, et qui a saisi également l’occasion de s’implanter dans le sud de la France. Concession LORENOVE Cannes 06 Le marché de l’habitat Cannois est particulièrement différent de celui de Dreux. « L’activité pavillonnaire concerne beaucoup de résidences secondaires et ce sont majoritairement des immeubles en copropriété pour lesquels le mode de commercialisation et d’exécution des travaux est totalement différent. Par ailleurs les projets de rénovation sont en grande partie axés sur les extérieurs (piscine, terrasse, etc.). Le climat étant différent, les ménages sont moins portés sur la facture énergétique de leur habitat » témoigne Caroline Ketterer.Des facteurs qui n’auront pas d’incidence majeure sur le développement de l’activité de la concession, dont l’objectif premier est de développer le marché des architectes afin de capter la rénovation ou la construction de maisons.Un schéma de prospection familier et déjà éprouvé sur le territoire Drouais. Showroom LORENOVE Cannes 06 Pour rappel, le réseau LORENOVE donne une exclusivité territoriale à chaque contrat de concession. Les concessionnaires bénéficient d’un accompagnement personnalisé, de l’élaboration de leur projet à l’exploitation de leur point de vente au quotidien.Au-delà de ces aides, il existe une réelle entraide entre tous les adhérents, qui partagent également leurs bonnes pratiques à l’occasion de rencontres réseau régulières.
Il y a 2 ans et 168 jours

Inquiets face à la hausse des prix de l'énergie, 55% des maires envisagent de jeter l'éponge aux prochaines élections

L'Ifop a mené pour Hellio, en partenariat avec Acteurs Publics, une étude à laquelle 609 maires représentatifs de l'ensemble des collectivités de France ont répondu entre le 20 octobre et le 10 novembre 2022 [1].[1] La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (taille de la commune, région). Les données ont été redressées lors du traitement sur la base des variables suivantes : le sexe, l'âge, la région et la taille de l'unité urbaine de la commune.Une vision morose de l'avenirPour l'Ifop, c'est un résultat jamais vu depuis 20 ans ! 55% des maires n'ont pas l'intention de briguer un nouveau mandat aux prochaines élections municipales de 2026.Dans le contexte actuel, leur moral est en berne. Hausse des prix de l'énergie, surmenage, responsabilités croissantes, indemnités trop faibles, projets à mener avec un budget de fonctionnement réduit, l'ensemble de ces facteurs concordants amplifient la morosité des maires.Une tendance exacerbée dans les communes de 2.000 à 9.999 habitants (59%), où les élus locaux se retrouvent en prise directe avec leurs administrés et doivent gérer des situations de plus en plus conflictuelles.Pour contenir l'hémorragie et éviter de payer le surcoût aux fournisseurs d'énergie, la mutualisation des approvisionnements énergétiques avec d'autres collectivités est l'une des solutions envisagées par un peu plus de la moitié des élus locaux (55%). Hellio précise que c'est déjà le cas pour certaines communes qui se sont associées par le biais des syndicats départementaux d'énergie. Cette majorité est davantage prononcée dans les communes de plus de 10.000 habitants.L'action du Gouvernement pour aider les communes jugée par les mairesLa satisfaction à l'égard de la politique du Gouvernement33% des maires se montrent satisfaits de l'accompagnement du Gouvernement pour lutter contre la hausse des prix. L'État doit intensifier ses efforts pour soutenir les collectivités territoriales, les élus en attendent plus ! Depuis cette étude, les annonces faites viennent apporter quelques réponses mais celles-ci restent insuffisantes au regard des moyens nécessaires pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments publics :Pour Pierre-Marie Perrin, directeur des affaires publiques et juridiques de Hellio : « Signal positif, le Gouvernement vient d'annoncer, depuis la réalisation de cette étude, un engagement de 1,5 milliard d'euros supplémentaires pour la rénovation énergétique au sein des collectivités. Cette mesure a été votée dans le cadre du projet de loi de finances 2023. »L'approbation des mesures et dispositifs financiers annoncésPour réduire les consommations d'énergie et éviter les coupures cet hiver, le Gouvernement a appelé les collectivités à prendre un certain nombre de mesures. Parmi elles, la réalisation de travaux de rénovation énergétique fait l'unanimité auprès de 89% des sondés. Viennent ensuite les actions de sobriété telles que la réduction ou la coupure de l'éclairage public la nuit (84%) et la baisse du chauffage dans les établissements publics (mairie, école, etc.), des décisions pourtant mal perçues par les administrés.Les communes rurales de moins de 2.000 habitants sont un peu moins enclines à baisser le chauffage, laissant apparaître un clivage entre petites (77%) et grandes collectivités (95%). Cet écart s'explique notamment par le fait que la proportion de passoires thermiques dans le patrimoine géré par les communes rurales est globalement plus élevée que sur la moyenne des collectivités. Réduire le chauffage ne fait qu'aggraver la sensation de froid. Pour limiter l'impact de la hausse des prix de l'énergie, plusieurs dispositifs ont été mis en place ou sont envisagés par l'État. Perçu comme indispensable par 29% des maires, le bouclier tarifaire mérite cependant d'être prolongé et intensifié pour une écrasante majorité, de manière uniforme quelle que soit la taille des collectivités. Du côté des financements d'aides à la transition énergétique des bâtiments publics, même son de cloche, avec encore plus d'insatisfaction : 73% des élus estiment qu'ils sont insuffisants. Ce résultat reste cependant à nuancer : l'annonce du budget supplémentaire de 1,5 milliard d'euros, faite après ce sondage, devrait contribuer à rassurer les élus. Seul bémol, cette enveloppe reste largement inférieure aux 100 milliards alloués lors du plan de relance.La mise en place d'un dispositif financier comparable à MaPrimeRénov' remporte une nette adhésion : 90% des maires souhaitent en bénéficier. Bien compris par le grand public depuis la transformation du crédit d'impôt en une prime forfaitaire, ce levier présente également un intérêt pour les collectivités.Les décrets pris pour l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peu connusPhénomène jugé inquiétant par Hellio, 60% des élus locaux interrogés ont indiqué ne pas connaître le décret tertiaire, aussi appelé dispositif Éco Énergie Tertiaire, alors que celui-ci existe pourtant depuis 2019, avec une proportion accentuée chez les élus des communes rurales (75%).Pour rappel, les échéances de réduction des consommations d'énergie sont les suivantes : – 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040 et – 60% d'ici 2050.Les collectivités ont jusqu'au 31 décembre 2022 pour déclarer les consommations énergétiques de leur parc immobilier tertiaire concerné sur la plateforme OPERAT de l'Ademe. Ce décret arrivera-t-il à atteindre les objectifs définis ? Telle est la question qui peut se poser. Autre échéance réglementaire encore plus largement ignorée par une écrasante majorité (86%) : le décret BACS (pour « Building Automation & Control Systems ») impose de mettre en place un système d'automatisation et de contrôle dans certains bâtiments tertiaires d'ici le 1er janvier 2025.Pour Augustin Bouet, directeur Grands Comptes de Hellio : « Ces résultats laissent apparaître un besoin de formation et un travail de sensibilisation et d'information encore plus accru, notamment auprès des élus des communes de petites tailles. Les collectivités sont pourtant un des publics les plus concernés par ces décrets. »90% des maires inquiets vis-à-vis de la hausse des prix de l'énergieC'est unanime ! Une majorité écrasante des maires (90%) se montrent inquiets face à la hausse des prix de l'énergie (gaz, électricité et carburant) pour leur budget de fonctionnement. Ils sont même 55% à se dire très inquiets. Un sentiment partagé par tous les types de collectivités, qu'elles soient petites ou grandes.En moyenne, la part relative de l'énergie dans le budget de fonctionnement des maires a augmenté de 4 points en un an, passant de 10% en décembre 2021 à 14% en novembre 2022. Mais ce résultat est à pondérer selon Hellio.Pour Augustin Bouet : « Ce n'est que le début, cette hausse devrait s'aggraver dans les mois à venir puisque un grand nombre de collectivités bénéficient encore sans doute de tarifs négociés avant la hausse et font appel à des fournisseurs institutionnels, comme EDF ou des établissements locaux de distribution, ayant moins impacté leurs prix. »Les mesures envisagées pour faire face à la hausse des prix de l'énergie Pour contrer la hausse des coûts de l'énergie, les maires privilégient en premier lieu des actions de sobriété énergétique, comme chauffer moins les locaux et équipements (85%) ou couper l'éclairage la nuit (82%). Des mesures moins contraignantes et plus rapides à mettre en place, mais qui ne résoudront pas les problèmes à long terme.Plus difficiles à mettre en oeuvre, les travaux de rénovation énergétique n'arrivent qu'en 3e position, avec 11 points de moins (74%), alors qu'ils représentent une solution pour consommer moins et mieux, de manière plus durable, avec à la clé des économies d'énergie bien plus importantes.Pour Augustin Bouet : « Pour préserver l'environnement, les leviers de sobriété énergétique ne suffiront pas. »Le quatuor de tête des travaux de rénovation énergétique les plus plébiscités par les élus correspond à celui pour lequel Hellio est le plus sollicité par les collectivités: l'isolation thermique (56%), le remplacement des menuiseries (45%), la pose de panneaux solaires / photovoltaïques (44%) et le changement de chauffage (42%).Des résultats décevants pour le raccordement au réseau de chaleurHellio regrette que le raccordement à un réseau de chaleur arrive loin derrière, avec seulement 10% des intentions. Une solution pourtant intéressante en termes d'indépendance énergétique, de recours aux énergies renouvelables, d'efficacité énergétique et de réduction réelle sur le long terme des consommations.Ce résultat révèle qu'il y a un travail à faire de la part de l'État sur la formation et la sensibilisation auprès des collectivités sur le sujet des réseaux de chaleur. Beaucoup de collectivités pensent que ce système de chauffage est réservé aux grandes villes, alors qu'il y a beaucoup de réseaux de chaleur en milieu rural.Pour Augustin Bouet : « Il est primordial de développer de nouvelles unités de production de chaleur car la capacité de chauffer en amont fait défaut aujourd'hui, le seul raccordement ne suffit pas. Il y a beaucoup à faire auprès des acteurs de l'industrie et de l'agriculture sur la récupération de chaleur fatale, souvent non utilisée, qui pourrait servir à alimenter les réseaux de chaleur. C'est un sujet qu'il faut remettre au goût du jour et qu'il faut aider. Le raccordement bénéficie déjà d'une aide financière, via le Coup de pouce Chauffage des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), mais on peut aller encore plus loin en mettant en place des leviers supplémentaires dédiés aux unités de production de chaleur. »Constat rassurant, la fermeture des services publics, comme les crèches ou les piscines, n'est pas envisagée par les collectivités, ils sont seulement 9% à y songer.Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Dans un contexte de crise énergétique jamais connu jusqu'alors, et une inquiétude grandissante des maires de France dans l'exercice de leurs fonctions, les acteurs privés comme Hellio doivent accentuer leur soutien auprès des élus dans la rénovation et l'efficacité énergétique de leurs bâtiments publics. Accélérer cette transition énergétique permettra d'apporter rapidement un confort pour les usagers du service public, mais également de redonner de nouvelles marges de manœuvre pour les élus. C'est ce à quoi nous nous attelons ! »
Il y a 2 ans et 169 jours

Trois immeubles évacués à Lille dans la nuit de samedi à dimanche pour un risque "d'effondrement"

Trois autres immeubles avaient déjà été évacués par la mairie cette semaine dans une autre rue, à quelques centaines de mètres.Samedi, les secours ont été appelés aux alentours de minuit rue Lepelletier, une artère commerçante au cœur du "vieux Lille", indiquent-ils dans un communiqué de presse. "Au total, ce sont 17 personnes au sein de trois immeubles qui ont été évacuées. Un périmètre de sécurité a été effectué et un arrêté de mise en péril a été rédigé par la mairie de Lille", précisent-ils.En début de matinée, des barrières de sécurité barraient l'accès d'une partie de la rue, a constaté une journaliste de l'AFP. Elles fermaient ainsi l'entrée de ces trois immeubles, d'un restaurant et deux boutiques situées au rez-de-chaussée, ainsi que d'une bijouterie et d'un opticien situés en face.Les secours "ont constaté des fissures au niveau du mur mitoyen" entre les numéros 28/30 et 32, explique la mairie de Lille dans son arrêté placardé sur place. "Selon les employés du restaurant l'Orange Bleue, la fissure qui existait déjà (...) a évolué en s'agrandissant les dernières 48 heures avec chute de torchis", et "des bruits de craquements ont été entendus" en fin de soirée, précise ce texte.Les services municipaux ont ainsi jugé nécessaire de "faire interdire l'accès" aux trois immeubles comptant au total une quarantaine d'appartements, et aux deux boutiques situées en face, jusqu'à ce que des expertises soient menées, selon l'arrêté.Mercredi, la ville avait déjà fait évacuer deux immeubles rue de la Monnaie, à quelques centaines de mètres. "Alertés par le syndic" de "l'existence de problématiques structurelles" sur un des deux bâtiments, les services municipaux avaient pu constater "des fissures inquiétantes", a expliqué la mairie à l'AFP.Après une expertise, un troisième immeuble, mitoyen, a dû être évacué vendredi. Au total, "une quinzaine de personnes" ont dû être relogées avec l'aide des services, dans des hôtels ou auprès de proches, a-t-on précisé de même source.Trois boutiques situées aux rez-de-chaussée des bâtiments ont dû être fermées.
Il y a 2 ans et 169 jours

"La conjoncture nous oblige à accélérer la décarbonation", PDG Soprema

INTERVIEW. Comme de nombreux industriels, le spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, doit faire face à l'inflation et la hausse des coûts de l'énergie. Malgré ce contexte, le groupe poursuit son entreprise de décarbonation avec de nouveaux services et solutions. Son PDG Pierre-Étienne Bindschedler, nous en dit plus.
Il y a 2 ans et 169 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 169 jours

L’hôtellerie réinvente ses espaces outdoor

Hôtel Adlon en Italie, un espace bien-être face à la merCet hôtel 4 étoiles en bord de mer est situé dans la ville de Jesolo Lido près de Venise. L’hôtel Adlon est reconnu pour la qualité de ses services haut de gamme et pour son très grand niveau de confort. Situé dans le quartier Piazza Drago, près de la mer Adriatique, à quelques pas du musée d’histoire naturelle de Jesolo, il abrite en plus de ses 70 chambres, une salle de fitness, un restaurant ultra lumineux et une terrasse avec piscine extérieure ouverte en hiver. Piscine et terrasse surplombent la mer offrant un superbe panorama pour se baigner et se relaxer.Propriétaire : Rizzante HotelsDate des travaux : début juillet 2021Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été sollicitée par l’établissement pour créer une zone protégée dans l’espace extérieur du restaurant et dans l’espace piscine. Ont été installés 8 Stores KE avec coffre QUBICA LIGHT, teinte 9006 Aluminium Mat, dans les dimensions : largeur 512 cm x avancée 210 cm, toile Tempotest Starlight resinato 6079/200, avec anémomètre, capteur soleil/vent et télécommande moteur.Hôtel-restaurant Les Sables Blancs en Bretagne, une terrasse de restaurant confortable et accueillante... en toutes saisonsSitué à Concarneau et surplombant l’une des plus belles plages de Bretagne, l’établissement 4 étoiles Les Sables Blancs bénéficie d’un cadre privilégié pour accueillir une clientèle en recherche de quiétude et de services haut de gamme. L’établissement conjugue haut standing et dépaysement avec ses 18 chambres et balcons dominant la mer, 3 suites, terrasse avec jacuzzi, restaurant panoramique avec double terrasse, accès direct à la mer, etc.Propriétaire : Les Sables BlancsDate des travaux : mai 2022Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été choisie par l’établissement pour couvrir et agrandir la terrasse du restaurant afin de pouvoir accueillir davantage de clients sur les demi-saisons. Ont été installées en quinconce 3 pergolas bioclimatiques KEDRY SKYLIFE à lames rétractables (80 m2 de couverture totale), en version autoportante, équipées de fermetures en vitrages panoramique Line Glass.Falkensteiner Hôtel & SPA Jesolo, une salle de relaxation panoramique baignée de lumièreNiché en plein cœur de la riviera vénitienne, ce complexe balnéaire 5 étoiles au design épuré et contemporain porte la signature de l’architecte américain Richard Meier, spécialiste d’une architecture abstraite reliée à son environnement. Colossal, l’hôtel propose 102 chambres double et 52 suites ultra-modernes, avec vue sur la mer. L’établissement accueille également 3 restaurants aux influences du monde, un SPA avec piscines (espace sauna, de relaxation, plusieurs espaces de bien-être, salle de sport...). La station bénéficie également d’une plage de sable privée et préservée pour une plus grande intimité et un séjour sur-mesure.Propriétaire : Falkensteiner Hotels & ResidencesSavoir-faire KE Outdoor DesignEn partenariat avec l’architecte d’intérieur Bea Mitterhoffer, KE a été chargée de protéger avec discrétion et efficacité la terrasse extérieure de l’espace détente du Spa, via la mise en place d’une couverture lumineuse. Un choix qui a permis de masquer la vue des chambres des étages supérieurs donnant sur la terrasse. Ont été installées côte à côte 3 voiles d’ombrage KHEOPE (80 m2 de couverture) motorisées et équipées d’un anémomètre pour assurer une fermeture automatique en cas d’intempéries.Dans l’univers de l’hôtellerie, les espaces extérieurs de détente et de restauration reflètent la qualité du lieu. C’est pourquoi ils font l’objet de plus en plus d’attention de la part de professionnels parfaitement conscients de la plus-value qu’ils représentent en termes d’attractivité et de fidélisation. L’un des équipements clés pour valoriser ces espaces réside dans les systèmes d’ombrage qui doivent garantir la protection solaire de manière esthétique.KE Outdoor Design accompagne les professionnels de l’hôtellerie et plus largement des cafés et restaurants partout dans le monde. La marque dispose d’une ligne de produits parfaitement adaptée au marché du CHR avec des protections solaires qui font dialoguer formes architecturales, attentes esthétiques et exigences du chantier.Lumière sur trois solutions KE dédiées aux professionnelsLes pergolasParmi les solutions KE les plus plébiscitées sur ce marché, la pergola toile ISOLA 3 avec sa double toiture* spéciale CHR et la pergola bioclimatique KEDRY SKYLIFE et son toit à lames orientables et rétractables, figurent en bonne place. Elles bénéficient d’un large choix de couleurs et d’options personnalisées : éclairage par leds, fermetures latérales, automatisation... Avec une configuration sur mesure, ces structures fixes s’intègrent dans leur environnement et assurent une protection maximale tout en offrant le prolongement de la saison en extérieur, un atout à haute valeur ajoutée. Ces pergolas participent à créer des cadres de réception exceptionnels et à assurer le confort.* Toile rétractable en PVC sur le dessus et toile micro-perforée sur le dessous.Les storesAutre solution KE appréciée par les professionnels du secteur de l’hôtellerie, café restauration : le store banne coffre QUBICA imaginé par le Designer italien à la renommée internationale, Robby CANTARUTTI. Ce store haut de gamme aux performances techniques élevées s’adapte à tous les types d’architecture. Il est doté de lignes géométriques, d’un coffre bicolore, de dimensions généreuses avec notamment une inclinaison importante qui permet de bien ombrager balcons et terrasses aux heures les plus chaudes de la journée. Il est également entièrement personnalisable en termes d’automatisation, d’éclairage, de coloris (coffre et toile), de technologie (pour les bras mécanisés du store)... autant d’atouts pour valoriser les terrasses.Les voilesLes voiles tendues élégantes et aériennes sont de plus en plus recherchées par les établissements haut de gamme pour aménager leurs espaces extérieurs : terrasses, aires de repos, de bien-être... KE propose plusieurs modèles de voile d’ombrage parmi lesquels KHEOPE dont les lignes fluides peuvent couvrir environ 20 m2 et près de 50 m2 avec le système motorisé. Confectionnée sur mesure, elle allie protection solaire efficace, raffinement, confection de qualité supérieure et installation simple. Composée de matériaux d’origine nautique comme le Dacron, elle est résistante à l’usure et au vent. Pratique à utiliser, simple à manœuvrer, elle permet de modifier librement l’inclinaison de la voile depuis le sol, de jouer avec les hauteurs pour adapter la zone ombrée aux besoins. KHEOPE se décline aussi en version adossée au mur pour limiter l’utilisation de poteaux de soutien et souligner le panorama environnant, tout en préservant l’esthétique du lieu.
Il y a 2 ans et 169 jours

Ubéton : Une plate-forme pour la réduction de l’impact carbone

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Ubéton permet d’utiliser les retours de frais plutôt que de les diriger vers le recyclage. [©ACPresse] Le gaspillage des matières premières, les livraisons de matériaux, et les eaux usées constituent des facteurs importants des émissions de C02 dans le secteur de la construction. En France, 260 000 toupies reviennent avec du béton en surplus dans les centrales BPE afin d’être réapprovisionné. Cela représente un rejet de 448 000 t de CO2 et 292 Mm3 d’eau gaspillée chaque année. Pour pallier ce problème, Ubéton offre une solution innovante pour limiter les déchets. La start-up propose ainsi Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 169 jours

Weber MT : Le pro du sciage

La scie la plus puissante de Weber MT est la SM82-3 Hd. [©Weber MT] Weber MT compte 3 scies à sols dans sa gamme de solutions pour la mise en œuvre du béton. Parmi elles, c’est la SM 82-3 Hd qui fait preuve de la plus grande puissance. Une profondeur de coupe de 190 mm, un moteur essence de 13 ch et un réservoir d’eau de 35 l constituent les principales Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 169 jours

Tyrolit : Des classiques et une réorganisation à venir

La FBE350 de Tyrolit est destinée aux sols les plus durs. [©Tyrolit] Tyrolit déploie une large gamme de machines pour la construction : depuis les outils électroportatifs jusqu’aux scies à sol, en passant par les carotteuses ou la préparation de surface. Bien entendu, la marque justifie sa présence dans ce dossier avec une gamme dédiée au ponçage et à la préparation des sols. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 169 jours

So.Ma.S : Le spécialiste

La PM Eco de chez So.Ma.s. [©So.Ma.S] De par son nom Sols Machines Services, la société So.Ma.S a fait le choix de se placer comme un spécialiste de la préparation des sols. Elle s’appuie sur 3 gammes majeures : les surfaceuses, les fraiseuses, les raboteuses, et enfin les rectifieuses et les ponceuses. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 169 jours

Sept Tools : Le bras et le chariot

La ponceuse à béton de Sept Tools, ici sans son chariot. [©Sept Tools] Sept Tools est plutôt un spécialiste du traitement des murs, mais compte à son catalogue une ponceuse à béton. Cet équipement permet de poncer avec précision les sols et les murs, sans effort et surtout sans poussière. Un aspirateur adapté est proposé en option. Les plateaux diamant Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Paclite : Vers l’électrique

La truelle mécanique M600 de Paclite dans sa version à moteur thermique. [©Paclite] Paclite possède une large gamme de solutions, allant des truelles mécaniques aux règles vibrantes, en passant par les ponceuses et raboteuses. Paclite est l’un des partenaires de Boels Rental, le leader des loueurs au Benelux. La marque a, par exemple, développé 2 versions de sa truelle mécanique M600. La Superior est destinée à la vente et est équipée d’un anneau rotatif en matière ABS Polylac,Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Norton Clipper : Préparation et sciage

La surfaçeuse CG252 de Norton Clipper. [©Norton Clipper] Membre de la division Saint-Gobain Abrasives, Norton Clipper propose des scies à sols, des truelles mécaniques et des surfaceuses. La gamme surfaçage compte la CG252, qui offre une surface de travail de 250 mm. Elle est conçue pour la rectification et la réparation de petites et moyennes surfaces, et l’enlèvement de revêtements ou d’adhésifs. La tête peut être orientée à 90° pour un travail Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Lumag : Aide à la mise en œuvre

Lumag propose notamment la truelle mécanique BT800. [©Lumag] L’Allemand Lumag propose deux talocheuses mécaniques pour la préparation des sols. Il s’agit des BT800 et BT900. Idéales pour les surfaces jusqu’à 100 m2 ou en complément des truelles mécaniques conventionnelles ou des talocheuses doubles. L’anneau de protection rotatif permet de contourner sans problème les supports et les tuyaux, ainsi que de lisser jusqu’au mur. Ce qui minimise les retouches Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Lissmac : Scies et bien d’autres…

Au sein de la gamme de scies à sols Lissmac, la Compactcut 601 E se distingue. [©Lissmac] Lissmac compte à son catalogue ponceuses, fraiseuses et scies à sol. Côté ponceuses, la BSM 650 E est la machine destinée aux chantiers les plus complexes. A 3 disques, elle est entraînée par un moteur de 11 kW à 400 V qui, avec sa vitesse réglable, coupe avec puissance les travaux les plus difficiles. La largeur de travail de 650 mm assure une Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

K-Dis : Solutions multiples

K-Dis propose la large gamme de solutions Barikell pour la préparation des sols. [©K-Dis] K-Dis est le distributeur de la marque Barikell, en particulier de différents types de talocheuses mécaniques. La gamme compte cinq truelles doubles, dont l’une des solutions les plus populaires est la Bipal Barikell 120 Monster. Cette machine est équipée de huit bras qui ne se croisent pas, permettant une surface de travail de 2 045 mm. Elle existe en motorisation essence B&S ou diesel Kubota. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Durabilité : Mewa mise sur une logistique verte

Grâce à son approche globale, le prestataire de services textiles allemand Mewa rend peu à peu sa logistique plus respectueuse de l'environnement. La gestion durable de la distribution englobe tous les aspects de la chaîne d'approvisionnement : de la planification des tournées à l'utilisation d'emballages réutilisables en passant par la flotte de véhicules.
Il y a 2 ans et 170 jours

Traace : Une plate-forme pour contrôler l’empreinte carbone

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Rodophe Denieau, directeur général de Traace. [©ACPresse] Fondée en 2020, la greentech Traace a pour ambition d’aider les entreprises à réduire leur empreinte carbone. Cette idée a émergé, lorsque les fondateurs Rodolphe Denieau, Thomas Guyot et Patrick Nollet ont échangé avec de nombreuses sociétés qui étaient confrontées à cette problématique. Ces dernières ont toutes souligné l’importance de mesurer, de surveiller et de réduire leurs émissions de carbone. Pour pallier ces besoins et faire face au défi climatique, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 170 jours

Imer : Truelles et règles

La BT120 est la truelle mécanique la plus puissante d’Imer. [©Imer] Imer propose une gamme de truelles mécaniques, complétée par des règles vibrantes. Les truelles se nomment BT60, BT90 et BT120. Les versions BT60 et BT90 sont disponibles en version thermique ou électrique pour des performances équivalentes. A noter que la version thermique de la BT90 n’est disponible qu’avec un timon fixe, là où les trois autres modèles bénéficient de timons pliables. La BT120 travaille sur un diamètre de 1 200 mm, avec quatre pales. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Le batimédia des prescripteurs de Novembre 2022

J’ai le plaisir de vous mettre à disposition le dernier BMP – Batimédia des prescripteurs, numéro 301, de novembre 2022.L’objectif est de vous apporter une information technique de qualité sur les produits et services du bâtiment. Très peu de pub, surtout des reportages, des espaces produits de fabricants , les informations techniques sur les produits, les […]
Il y a 2 ans et 170 jours

Husqvarna : Toujours plus de choix

La nouvelle BGS250 d’Husqvarna. [©Husqvarna] Chez Husqvarna, l’actualité de la préparation des sols est l’intégration, au fil du temps, des produits Blastrac. Pour le moment, il s’agit surtout de les faire passer de blanc et bleu à orange et noir. Les produits Blastrac sont présents dans la gamme des raboteuses-fraiseuses, qui compte 8 modèles. Allant de 200 mm de largeur de travail à 400 mm. Pour cette gamme, Husqvarna a conçu un système de changement latéral du tambour, permettant d’effectuer les remplacements, sans déplacement de la machine. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Gölz : Large gamme

Parmi les scies à sols de la marque Gölz, la FS175 est très populaire. [©Gölz] Le constructeur allemand Gölz vient de lancer la raboteuse industrielle GFP 200, disponible en version thermique et électrique, destinée aux petites surfaces. Compacte et maniable, cette machine embarque une gamme complète d’outils pour le traitement du béton. Ainsi, avec une unique machine, il est possible de rainurer, de surfacer, de rectifier, de raboter les peintures, laitances, résidus de laitance. Enfin, une brosse métallique permet le nettoyage de sol acier, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Geroquip Inc : Un classique et sa petite soeur

La Magic Screed est proposée par Geroquip Inc. [©Geroquip Inc] Le distributeur d’équipements pour la mise en œuvre du béton Geroquip Inc propose la règle vibrante Magic Screed. Venue des Etats-Unis, elle est la plus populaire du marché. Elle est dotée d’un moteur Honda GX35 TMS3 conçu et adapté pour la machine. Elle est aussi pourvue Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Bosch : Surfaçage et batteries

La nouvelle batterie Pro Core 18V équipe désormais les nouvelles machines de Bosch. [©Bosch] Spécialiste des outils électro-portatifs, Bosch compte dans sa gamme quelques solutions utiles à la préparation des sols en béton. Aux premiers rangs desquels figure la GBR 15 CAG, une ponceuse à béton destinée à traiter les angles et les bords de murs. Elle possède un moteur d’une puissance de 1 500 W, afin de poncer toutes les surfaces de béton. Et comme le reste de la gamme Bosch, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 170 jours

Inex Circular : Pour une valorisation totale

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Louison le Nahedic, responsable commercial chez Inex Circular, à Batimat. [©ACPresse] Pour diminuer l’empreinte écologique du secteur de la construction, de nombreuses initiatives voient le jour. Entre décarbonation du carbone et économie circulaire, chaque acteur apporte sa pierre à l’édifice. Inex Circular est une start-up qui a pour objectif la valorisation des ressources non exploitées. « Nous aidons des acteurs du BTP à valoriser leurs déchets de chantier, explique Louison le Nahedic, responsable commercial chez Inex Circular. Nous voulons faire des déchets des uns, les ressources des autres. » C’est cette idée et ces valeurs qui ont conduit à la naissance du projet en 2018. Avec l’envie de développer l’économie circulaire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 171 jours

Aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle : Béton sur enrobé, du jamais vu en aéroportuaire

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Les taxiways sont reconstruits par bandes de 5 m de large, goujonnées entre elles. [©ACPresse] Historique, la piste n° 1 de l’aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle est en service depuis 1974. D’une longueur de 4,2 km, elle fait aujourd’hui l’objet d’une réhabilitation lourde. Des travaux réalisés par phases, prévus pour durer jusqu’en 2025. Toutefois, la campagne “2022” ne concerne que 3 des 23 taxiways1 reliés à la piste. En l’occurrence, ceux identifiés D4, Q4 et Q6. Ces ouvrages ont été construits en totalité en béton, ce qui n’est pas le cas de la piste, qui additionne une structure porteuse en béton sur laquelle est déposée une couche de roulement en enrobé. Le choix du béton pour les taxiways est somme toute très logique : ces points constituent des zones d’attente pour avions, nécessitant une structure rigide et résistante. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 171 jours

Suite Dispatch : Faciliter le travail et le quotidien des professionnels du BTP

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Lélio Renard-Lavaud, fondateur de Suite Dispatch. [©ACPresse] Faciliter le travail et le quotidien des professionnels du BTP, tel est l’objectif de la start-up Suite Dispatch. Dès 2017, une conviction est née, celle d’améliorer l’efficacité des chantiers grâce aux nouvelles technologies. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 171 jours

Zeloce, du parking Ikea à la digitalisation des transports des chantiers

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Laszlo Kiss, président de Zeloce, à Batimat. [©ACPresse] A l’heure où la société se digitalise, le secteur de la construction se doit de se mettre à la mode. Zeloce a, en ce sens, développé une technologie digitale. Elle permet de suivre et optimiser les opérations de livraison des chantiers sur toute la chaîne. Laszlo Kiss, président de la start-up, raconte l’histoire de sa création : « Il y a 6 ans, sur le parking d’un Ikea, nous avons créé une solution de livraison en moins d’une heure. Nous avons commencé à travailler avec des négoces et nous avons mis en place pour Kiloutou un système de livraisons en deux heures. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 171 jours

Saône-et-Loire : Kronimus embellit Paray-Le-Monial

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Le boulevard Dauphin Louis, axe important de la ville de Paray-Le-Monial, a été rénové avec les produits Kronimus. [©Kronimus] Lire aussi : Kronimus lance City Linea Verde Située au cœur du Charolais, la ville de Paray-Le-Monial (71), autrement connue sous le nom de la “cité du Sacré-Cœur”, a entrepris plusieurs travaux de réaménagement ces dernières années. Au printemps 2021, le boulevard Dauphin-Louis, l’un des principaux axes touristiques, a été rénové. Auparavant caractérisé par un grand terre-plein central et des voies de chaque côté, l’espace a été réaménagé. A présent, une voie de circulation et des places de stationnement sur les côtés de la chaussée constituent le boulevard renouvelé. Les travaux concernent aussi des trottoirs partagés entre piétons et espaces verts. « La réorganisation de ce lieu était la suite logique d’un projet plus grand, précise Pascal Davoust, responsable des services techniques de la ville. Les objectifs premiers étaient d’offrir des aménagements de qualité, faciliter l’accessibilité des commerces et permettre à ces derniers de rester dans le centre-ville. Sans oublier l’intérêt touristique. » Des aspects techniques et esthétiques Plusieurs solutions Kronimus ont ainsi été mises en place pour rénover le boulevard. Plus de 2 600 m2 de pavés Barretto (épaisseur de 10 cm) et 1 000 m2 de pavés K4 ont été posés. Les raisons de ces choix ? Des aspects techniques et esthétiques qui répondent aux attentes du projet.  « Les contraintes de stationnement nous ont poussé à choisir les pavés K4 pour leur grande résistance, déclare Roch Dury, directeur d’Ingérop. Ces choix apportent ainsi une diversité unique sur le projet et évitent l’uniformité. » Autre particularité, ils ont été sélectionnés grâce à leurs modularités afin de les déposer et reposer sans reconstituer les sols. De plus, avec des dimensions, de couleurs et des traitements différents, Krominus a permis à la ville de positionner sur des pavés de teintes anthracite, blanche et jaune clair. Un design unique qui permet au centre-ville historique de conserver sa couleur initiale tirant sur le jaune. Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 172 jours

Les dates des RenoDays avancées aux 12 et 13 septembre 2023

Créés par le pôle Construction de RX France et construits avec toutes les parties prenantes engagées dans la sobriété énergétique, les RenoDays suscitent d’ores et déjà un intérêt certain.Face à cet engouement, les RenoDays réaffirment leurs ambitions : accélérer la mise en œuvre de travaux de rénovation efficaces en donnant les moyens aux professionnels de prendre ces chantiers à bras le corps.Afin de rassembler toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique des logements, l’évènement inédit accueillera tous les acteurs engagés dès le 12 et 13 septembre 2023, dans le Pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles. Il était préalablement prévu début octobre.En s’appuyant sur une centaine d’exposants attendus, parmi lesquels des industriels, société de services et institutionnels, les RenoDays proposeront un format innovant, construit sur une grande diversité de sessions de rencontres pour :échanger des conseils, des expertises et des bonnes pratiques ;s’informer sur les évolutions de la réglementation ;apprendre et se former, présenter ou découvrir les solutions les plus innovantes, et communiquer.
Il y a 2 ans et 172 jours

Bouygues Energies & Services complète son offre industrielle

ACQUISITION. Bouygues Energies & Services a finalisé le rachat d'une entreprise spécialisée dans les métiers de l'ingénierie de conception et de la maîtrise d'oeuvre des projets des industries de procédés.
Il y a 2 ans et 172 jours

Le marché du chauffage : gérer la crise, préparer l’après... le compte à rebours est lancé

En 10 ans, la consommation moyenne d’énergie pour le chauffage a baissé de 30% dans le résidentiel. Signe que les efforts de rénovation thermique portent peu à peu leurs fruits, mais aussi que le réchauffement climatique est devenu, malheureusement, une réalité, avec des hivers de plus en plus doux. Derrière cette baisse, c’est un nouvel équilibre entre énergies de chauffage qui est en train de se jouer. Les ventes de gaz naturel, première énergie utilisée pour se chauffer, diminuent tendanciellement à l’instar des autres énergies fossiles (GPL, fioul). En revanche, les consommations d’électricité, de bois énergie et de chauffage urbain se maintiennent voire augmentent.Une hiérarchie bousculéeSi les transformations étaient déjà fortes, la filière du chauffage est entrée, ces derniers mois, dans un nouveau paradigme. Les enjeux de sobriété énergétique et l’envolée des prix mettent, plus que jamais, les fournisseurs sous tension. Depuis le 1er juillet 2022, les vendeurs de fioul ne peuvent plus compter sur le renouvellement du parc de chaudières puisque l’installation de ces équipements est désormais impossible. De son côté, la RE 2020 porte un coup rude au gaz naturel et au propane, en bannissant ces énergies des maisons individuelles neuves depuis le 1er janvier 2022, et des logements collectifs à partir de 2025. Certes, l’installation d’une solution hybride avec le gaz en appoint sera possible mais la donne change radicalement pour les fournisseurs de gaz naturel, qui voient disparaître l’opportunité d’imposer leur énergie dans l’habitat neuf alors qu’ils avaient largement profité de la RT 2012.Un changement de modèleL’horizon est sombre pour les fournisseurs d’énergies fossiles, en particulier pour les fournisseurs de fioul, qui doivent engager une transformation d’ampleur, au risque de disparaître. Ils peuvent prendre le virage du Biofioul, biopropane et biométhane, mais les volumes de production sont aujourd’hui marginaux et des incertitudes pèsent sur la capacité de ces nouvelles énergies à prendre réellement le relais de leur équivalent fossile. La diversification vers une autre énergie bien implantée va être une étape obligée. Contraints dans les logements neufs, les fournisseurs de gaz naturel vont miser, eux, sur le marché de la rénovation énergétique des logements. Comme pour les fournisseurs d’électricité, et même de GPL, ils sont aussi lancés dans la conquête des clients fioul à convertir.Virage vers l'électricité et les servicesPour tous les fournisseurs d’énergies fossiles, l’électricité apparaît comme un territoire à investir, s’ils ne l’ont pas déjà fait. La flambée des prix limitent pour l’instant leurs marges de manœuvre. Mais, le marché de l’électricité est aujourd’hui très difficile à cause de la flambée des prix de gros. Plusieurs fournisseurs sont sortis du marché de l’électricité contraints ou volontairement. Ils sont encore plus nombreux à avoir renoncé à conquérir de nouveaux clients. Lorsque la crise sera terminée, les velléités des uns et des autres vont se réveiller. Nombre de fournisseurs vont venir tenter leur chance, probablement d’ici 2 à 3 ans. En attendant de passer cette période de turbulence, les services (assistance, dépannage, installation d’équipements…) vont constituer l’autre axe de développement majeur de tous les fournisseurs d’énergies.
Il y a 2 ans et 172 jours

Vinci Construction France : Le Grand Paris Express fait le pont à Saclay

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. La viaduc du plateau de Saclay positionne les rames de métro à 10 m au-dessus du sol pour une moindre emprise au sol du projet. [©ACPresse] C’est pour ainsi dire une des rares sections aériennes du Grand Paris Express. La densité urbaine de l’Ile-de-France n’y est sans doute pas étrangère, imposant pour l’essentiel des cas des constructions en souterrain. Le lot 1 de la ligne 18* du métro ne déroge pas à cette règle, sachant qu’il passe sous les pistes de l’aéroport d’Orly sur la première partie de son tracé. Avant de poursuivre sa course sous les communes d’Anthony et de Massy-Palaiseau. Un parcours global de 11,8 km qui débouche enfin à la surface à la hauteur du Centre d’exploitation de Palaiseau, le long du CD 36. C’est aussi le point de départ du lot 2, qui doit relier Massy-Palaiseau à la gare “CEA Saint-Aubin”, sur le plateau de Saclay.Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 172 jours

La Réunion : Deux bétonniers mobilisés pour le projet Run’Eva

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Le projet Run’Eva vise à traiter 145 000 t/an de déchets ménagers des Réunionnais. [©Spie Batignolles] Sur l’île de La Réunion, l’entité Ileva est en charge du traitement des déchets. Toutefois, l’enfouissement reste la solution par défaut. Ainsi, en 2018, ce sont 227 000 t qui ont été déversées dans les décharges de la perle de l’océan Indien. Sachant qu’à lui seul, le site de Pierrefonds, qui en stocke les deux tiers, arrive à saturation… Conscient que cette technique de gestion, non pérenne, n’est plus en adéquation avec les inspirations écologiques, tant de l’île que de la planète, Ilvea a lancé les travaux de construction d’une unité de traitement des déchets. Nommée Run’Eva, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 172 jours

Nooco : Mesurer et optimiser son impact environnemental

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Guillaume Jarlot, directeur général de Nooco. [©ACPresse] En France, les modalités de calcul de l’empreinte carbone changent d’une entreprise à l’autre et engendrent des écarts de résultats. Fort de ce constat, la start-up Nooco, fondée en 2020, a pour ambition d’accélérer la mise en mouvement de la profession du bâtiment vers le bas carbone. « Notre objectif est d’apporter une information fiable à l’opérationnel, déclare Guillaume Jarlot, directeur général de Nooco. Nous nous sommes rendu compte qu’il y avait beaucoup de solutions de calcul, mais que le résultat variait du simple au quadruple. Le besoin était de concevoir un projet bas carbone selon des méthodes communes. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 172 jours

Biogaz : quand crottin et déchets agricoles alimentent l'indépendance énergétique

Entourées de champs de céréales, des cuves géantes coiffées de dômes de plastique abritent un processus discret: la transformation de milliers de tonnes de déchets organiques en biogaz, qui alimentera le réseau de gaz et contribuera à chauffer une demi-douzaine de communes environnantes.Ici, chaque année, 25.000 tonnes de matières, dont des poussières de céréales, du crottin de cheval et des déchets alimentaires... sont ainsi "valorisées", selon le terme usité."Le biogaz est issu de la dégradation de la matière organique par un régime bactérien en l'absence d'oxygène", explique Arnaud Bossis, directeur général de CVE Biogaz, qui gère l'usine d'Equimeth, à Moret-Loing-et-Orvanne, en Seine-et-Marne.Le biogaz est ensuite pré-traité "pour en retirer uniquement la molécule de méthane", alors injectée dans le réseau gazier, explique M. Bossis.Pour en arriver là, les matières sont d'abord broyées et liquéfiées, pour rejoindre "des cuves d'hygiénisation", où leur "pasteurisation, à 70°C pendant une heure, permet un traitement sanitaire".Le flux est ensuite transféré vers le processus de méthanisation, et brassé pendant 20 jours dans une cuve, puis une quarantaine de jours dans une deuxième, à 38°C.Le gaz ainsi produit est alors aspiré en direction de l'unité d'épuration. Dans ce petit container vert, il "est analysé, odorisé", avant d'être injecté dans le réseau de distribution de gaz, couvrant ainsi "15% des besoins de la population et des activités" alentour, notamment pour le chauffage et des véhicules (bioGNV), décrit Arnaud Bossis.Nuisances olfactives"Dans le contexte de pénurie et de raréfaction du gaz russe, on est vraiment content d'avoir du biométhane en France", dit à l'AFP Thierry Trouvé, directeur général du gestionnaire du réseau gazier français GRTGaz."Renouvelable" puisque non fossile, ce gaz vert réduit de 80% les émissions de gaz à effet de serre par rapport au gaz naturel, selon le cabinet Carbone 4.Pour autant, cette catégorie ne représente que 2% de la consommation de gaz de la France. L'Etat vise 10% en 2030 et le secteur estime pouvoir atteindre 20%, plaidant aussi les services rendus: emplois, revenu agricole pour les sites adossés à des exploitations, résidu fertilisant, etc..Des externalités positives à prendre en compte pour M. Bossis, qui évoque un coût de production relativement élevé du biométhane, de l'ordre de 90 euros le mégawattheure - mais désormais un peu moins que les prix actuels du gaz naturel en Europe, qui ont beaucoup augmenté depuis un an.Principale critique contre ces usines: les nuisances olfactives potentielles pour les riverains. Mais les quelques épisodes de ce type signalés par des habitants sont essentiellement "liés aux campagnes d'épandage" des engrais également produits sur le site, selon Olivier Théo, conseiller municipal à Moret-Loing-et-Orvanne.La mise en place d'un comité de suivi a permis de faire remonter rapidement les témoignages de riverains incommodés au printemps 2022, dans une des communes et de parvenir à un accord avec le maire "pour essayer de ne pas épandre dans les parcelles les plus proches des habitations" et faire en sorte que les camions d'engrais ne passent pas dans le centre de la commune, a assuré l'élu.On pourrait "parvenir à une capacité de production de 60 térawattheures par an d'ici 2030, ce qui couvrirait deux tiers de ce qu'on importait de Russie avant le conflit", ajoute M. Trouvé.GRTGaz va jusqu'à estimer que d'ici 2050, la France pourrait bénéficier d'une indépendance gazière totale, sans toucher au potentiel agricole à destination de l'alimentation des Français, par le recyclage des matières et des déchets agricoles."Le secteur du biométhane en France connaît la croissance la plus rapide d'Europe", renchérit la European Biogas Association (EBA), lobby du biogaz à Bruxelles, qui estime que la France pourrait devenir à l'horizon 2030 le deuxième producteur du continent.Un millier de projets pourraient voir le jour d'ici 2025, selon l'EBA.Ce développement devrait être favorisé par une disposition de la loi Anti-gaspillage (Agec), qui prévoit que tous les particuliers disposent d'une solution pratique de tri de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.