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Il y a 2 ans et 234 jours

PLACO lance PLACO INFINI 13 : la première plaque de plâtre fabriquée à partir de plus de 50 % de matière recyclée

Placo® annonce le lancement de Placo® Infini 13, la première plaque de plâtre au monde fabriquée à partir de plus de 50 % de plâtre recyclé. Commercialisée dès le premier trimestre 2023, cette plaque a été mise au point dans l’usine de Chambéry.  Placo® Infini 13 est déjà disponible en avant-première pour certains acteurs tels […]
Il y a 2 ans et 235 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 235 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres float à empreinte carbone réduite

Cette amélioration permettra à AGC – l’un des plus grands producteurs de verre plat au monde – de réduire de plus de 40 %[1] les émissions de carbone du processus de production de ce verre float. Pour parvenir à une production de verre carboneutre d’ici 2050, tous les éléments de la chaîne de valeur sont à prendre en considération : la décarbonisation du processus de production du verre proprement dit, mais aussi l’élimination des émissions de CO2 en amont, dans la chaîne d’approvisionnement, ainsi que des autres émissions indirectes. S’attaquant à l’ensemble des émissions dans la chaîne de valeur, AGC est aujourd’hui en mesure d’annoncer une première grande avancée sur son trajet vers la neutralité carbone grâce au lancement, fin 2022, d’une nouvelle gamme de verres float à moindre empreinte carbone. Une approche holistique pour la production de verre bas carboneAGC adopte une approche holistique de la durabilité pour produire du verre bas carbone :Approvisionnement durable en matières premièresUtilisation de fours de fusion à haute efficacitéUsage accru du groisil (verre recyclé)Recours aux énergies vertesOptimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition Optimisation du transport des produits finisApplication de l’approche holistique pour une première production bas carbone à MoustierL’usine de production d’AGC Glass Europe à Moustier en Belgique sera le premier site AGC à produire du verre bas carbone, après avoir opéré une conversion réussie en vue de répondre aux conditions rigoureuses qui sont nécessaires pour cela. De plus, la localisation de l’usine de Moustier la met en situation idéale pour un approvisionnement en matières premières durables et constitue un atout stratégique pour assurer une livraison aux clients dans des conditions optimales de durabilité. 1. Approvisionnement durable en matières premièresMoustier, l’usine historique de production de verre float d’AGC en Europe continentale, bénéficie notamment de la disponibilité locale d’un sable très pur, ne nécessitant qu’un traitement léger avant de pouvoir être utilisé pour la production de verre float. Depuis plusieurs années, 75 % de ses matières premières – non seulement le sable, mais aussi d’autres matières premières – sont transportées par péniches jusqu’à l’usine située le long de la rivière de la Sambre pour y être déchargées sur le site même. Le carbonate de sodium est une matière première essentielle pour la fabrication du verre en raison de sa capacité à réduire la température de fusion de l’ingrédient principal, le sable. L’empreinte CO2 du carbonate de sodium varie considérablement selon le procédé utilisé pour sa production. Pour la fabrication de verre bas carbone, l’usine de Moustier aura recours à du carbonate de sodium ayant une faible empreinte carbone.2. Utilisation de fours de fusion à haute efficacité L’un des fours de Moustier tire déjà parti d’améliorations apportées lors d’une récente réparation à froid (les fours de fusion font l’objet d’une révision générale tous les 15 à 18 ans), par l’intégration de nouvelles technologies telles que l’électro-boosting, qui recourt à l’énergie électrique pour la fusion du sable et permet ainsi de réduire la dépendance vis-à-vis du gaz naturel importé. Ce processus de production novateur représente un important pas en avant sur la feuille de route vers la neutralité carbone à l’échelle de l’entreprise.3. Usage accru du groisil (verre recyclé)Implantée dans une région comptant un grand nombre de transformateurs, de clients de longue date et de filiales du Groupe, l’usine de Moustier tire parti depuis de nombreuses années de différentes solutions de recyclage pour accroître la quantité de groisil utilisée dans la production de son verre. Pour ce nouveau verre float à moindre empreinte carbone, de nouvelles sources de groisil permettront d’augmenter de plus de 50 %[2] la quantité de verre recyclé en production.4. Recours aux énergies vertesAGC compte accroître au maximum sa propre production d’électricité. En Belgique, le pays d’origine du Groupe, celle-ci a pu réduire considérablement son empreinte carbone grâce à la présence de panneaux photovoltaïques sur tous les toits de ses usines de production, sites administratifs et bureaux. AGC dispose même de sa propre éolienne sur son site de Seneffe, à quelques kilomètres de Moustier.L’usine de Moustier bénéficiera d’un nouvel apport d’électricité renouvelable fourni grâce à des installations sur site et hors site (dont une installation de cogénération (production combinée de chaleur et d’électricité ou PCCE) et des panneaux solaires).5. Optimisation du transport entre les sites du Groupe pour les traitements de finition La logistique fait elle aussi partie intégrante de la stratégie holistique d’AGC. Afin de favoriser autant que possible les synergies entre production et finition de façon à réduire les opérations de transport et les émissions de CO2, l’assemblage en verre feuilleté pour la fabrication du verre de sécurité est réalisé sur le site de Moustier même, l’application des couches étant réalisée dans l’usine spécialisée de Lodelinsart située à 25 km à peine.6. Optimisation du transport des produits finisLa situation stratégique de l’usine de Moustier lui vaut des distances de transport optimales pour la livraison des produits finis. Les régions environnantes – le nord de la France, les pays du Benelux et l’ouest de l’Allemagne constituent des territoires densément peuplés, totalisant des millions de clients se trouvant dans un rayon de moins de 250 km.Le verre bas carbone se prête à de multiples possibilités de transformationD’ici la fin 2022, le Groupe lancera sa nouvelle gamme de produits verriers float bas carbone, basés sur du verre float clair dont l’empreinte carbone a pu être réduite de plus de 40 % (par comparaison avec la valeur de référence d’AGC Glass Europe), à moins de 7 kg de CO2 par m2 pour le verre clair (épaisseur 4 mm). Ce verre float bas carbone sera utilisé dans les principales gammes de vitrages fonctionnels d’AGC :verre de sécurité : gammes Stratobel et Stratophoneverre pour l’isolation thermique : gamme iplusverre de contrôle solaire : gammes Stopray, ipasol et EnergyCes nouveaux verres bas carbone offriront le même aspect, la même qualité et les mêmes performances techniques que les verres float classiques d’AGC. AGC compte généraliser l’expérience acquise à Moustier en étendant progressivement sa stratégie bas carbone à d’autres sites, à commencer par l’usine de Seingbouse en France début 2023. Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC, conclut : « Notre première gamme de verres bas carbone constitue un jalon important sur le trajet de décarbonisation d’AGC. Nous sommes très heureux de proposer à nos clients un verre qui, de l’extraction des matières premières à l’installation finale, génère environ 40 % de CO² en moins que notre verre standard. C’est une réduction significative, et un grand pas en avant vers la neutralité carbone dans le secteur de la construction. »[1] Par comparaison avec la référence AGC Glass Europe : FDES du Planibel dans la base de données INIES[2] La quantité totale de groisil ajoutée dans le four float pour la production de verre clair est généralement d’environ 20 %.
Il y a 2 ans et 235 jours

La station de recharge pour les voitures électriques la plus rapide de France ouvre en Normandie

C'est la première station de recharge ouverte par Kallista Energy, qui exploite 36 parcs éoliens en Europe. Détenue par les fonds français Ardian et néerlandais APG, Kallista compte ouvrir à terme un réseau de 90 stations sous la marque "Yaway", alimentées principalement par le vent.La station de Vernon-Douains, non alimentée par le vent, propose deux bornes de recharge ultrarapide, atteignant jusqu'à 360 kW, une puissance bien supérieure à ce qu'acceptent même les véhicules les mieux équipés, comme la Porsche Taycan ou la Tesla Model 3.Cette borne encore en test permettra aux prochaines générations de voitures de récupérer jusqu'à 100 kilomètres d'autonomie en moins de trois minutes, selon son concepteur, le groupe helvético-suédois ABB.Des exemplaires de ce modèle fabriqué en Italie et appelé "Terra 360" fonctionnent déjà en Allemagne avec le pétrolier Shell et en Norvège avec l'énergéticien Eviny.La borne partage sa puissance entre les voitures qui s'y branchent, jusqu'à quatre en même temps. La charge coûte encore 0,55 euro la minute mais sera bientôt facturée au kWh.En route pour Paris depuis la côte, un SUV Audi s'y est rechargé mercredi, passant de 2 à 80% d'autonomie en 32 minutes, a expliqué son propriétaire Benoist Girard, 43 ans, repassant sur le chemin du retour.Sur un marché de la recharge en pleine explosion, avec la multiplication des voitures électriques sur les routes, Kallista utilise de l'électricité produite par des éoliennes pour "la majorité" de ses bornes.Cette première station de recharge de Kallista Energy n'est pas alimentée par une éolienne, car elle est trop proche d'une base aérienne. Mais il y a "beaucoup de synergies" entre ces métiers, et l'investissement dans les bornes est bien plus léger, a indiqué le directeur général de Kallista, Johann Tardy.En reliant la production et la distribution d'énergie renouvelable, Kallista compte à terme offrir des tarifs de recharge attractifs, a souligné M. Tardy.L'agglomération Seine Normandie a mis à disposition ce terrain au bord de l'autoroute et à deux pas de la future usine Hopium, qui mise sur les voitures à hydrogène.Chaque point de charge a aussi été financé à hauteur de 18.000 euros par le programme public Advenir, qui a mis l'accent depuis 2020 sur la recharge ultrarapide.
Il y a 2 ans et 236 jours

La première plaque de plâtre fabriquée à partir de plus de 50% de matières recyclées

Placo lance Placo Infini 13, une plaque de plaque fabriquée à partir de plus de 50% de plâtre recyclé. Mise au point dans son usine de Chambéry, cette plaque sera commercialisée dès le premier trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 236 jours

Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain

Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine. Thierry Bernard est le président de Chryso depuis plus de 10 ans aujourd’hui. [©ACPresse] A l’échelle de la planète, le marché de la chimie de la construction pèse près de 90 Md€. Il y a donc encore beaucoup de place pour les concentrations industrielles. Avec Weber à son capital, après le rachat de Chryso en 2021 et l’intégration effective de GCP Applied Technologies durant le second semestre 2022, Saint-Gobain entend y jouer un rôle de premier plan. « Cette activité particulière devrait représenter un chiffre d’affaires de l’ordre de 4 Md€ », souligne David Molho, directeur général des solutions de haute performance de Saint-Gobain. Certes, derrière le mastodonte Sika et ses 8 à 9 Md€ annoncés, mais en très bonne position. D’autant plus, comme le souligne Thierry Bernard, président de Chryso, que « la construction en tant que telle est avant tout un marché local, qui bénéficie et bénéficiera de réponses locales ». Ainsi, à travers Chryso, Saint-Gobain vient de renforcer ses positions en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient. GCP Applied Technologies, lui, apporte les Amériques et la zone Asie-Pacifique. Ce qui est d’une importance stratégique, quand l’activité du groupe est organisée à 80 % par pays… Consolidée par la présence de 263 sites de production locale… Réduire l’empreinte carbone du béton L’important essor de Saint-Gobain dans le domaine de la chimie de construction s’explique aussi par sa volonté d’apporter des solutions concrètes pour lutter contre le changement climatique. « Notre industrie est en train de muter, à cause ou grâce au développement durable », reprend Thierry Bernard. A ce niveau, la France vient de franchir un seuil particulier avec l’entrée en application de la RE 2020. « Cette règlementation va avoir un effet d’entraînement sur le secteur de la construction et va stimuler les efforts de R&D. » A lui seul, Chryso y consacre près de 3 % de son chiffre d’affaires, qui se monte à quelque 400 M€. L’industriel des adjuvants indique ainsi réaliser 35 % de son activité sur des produits ayant moins de 5 années d’existence. Telle la ligne EnviroMix, qui permet de réduire jusqu’à 70 % l’empreinte carbone d’un béton. Chryso, c’est aussi 5 centres de R&D, 26 laboratoires appliqués, 200 chercheurs, ingénieurs et techniciens, 340 brevets actifs et 1 500 collaborateurs en tout. « Malgré cela, Chryso était devenu trop petit face aux enjeux actuels et futurs », souligne Thierry Bernard. Des stratégies croisées avec Weber Son intégration au sein de Saint-Gobain s’inscrit donc dans une stratégie de développement tout à fait logique. Et qui sera renforcée par GCP Applied Technologies dans les mois qui viennent, ainsi que par des investissements. A l’image de la mise en service d’une nouvelle usine de production d’adjuvants, sur le site Isover d’Hyderabad, dans le Sud de l’Inde. Ou encore avec l’installation de nouvelles capacités sur le site Weber en Côte d’Ivoire. A l’échelle de la France, Chryso entend mettre en place des stratégies croisées avec Weber. Déjà en proposant la vente d’adjuvants via la distribution. Ensuite, en se déployant sur les marchés du gros œuvre bâtiment et des infrastructures. L’industriel veut aussi promouvoir ses bétons décoratifs avec Weber. Ou encore ses technologies de chapes fluides. Toutefois, il n’y a aucune volonté de fusionner les activités “chapes” des deux entités, car « les typologies de clients ne sont pas les mêmes », confirme Thierry Bernard. Et de poursuivre : « Chryso travaille en direct avec le BPE, tandis que Weber vend ses chapes en sacs aux applicateurs finaux ». Bien entendu, ces approches commerciales différentes n’interdisent pas la mise en place de synergies, en termes de développements de produits… Frédéric Gluzicki Article paru dans le n°102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 236 jours

Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée

Liebherr présente la nouvelle génération de centrales à béton Betomix/Mobilmix. [©Liebherr] Constructeur de centrales à béton depuis plus de 60 ans, Liebherr dévoile en avant-première la nouvelle génération Betomix/Mobilmix, disponible seulement à partir de de 2023 ! Cette ligne s’articule autour de modules pré-assemblés et pré-câblés en usine, qui permettent de construire sa centrale idéale. Pour l’utilisateur, cette approche offre une très grande liberté de configuration. Mais aussi des délais de livraison plus courts, un montage ultra rapide et la garantie d’une disponibilité des pièces détachées. Par ailleurs, les dimensions des modules sont optimisées pour assurer leur transport routier et ne dépassent jamais les 3 m.  Liebherr intègre ses propres malaxeurs dans ses centrales. Les Betomix/Mobilmix ne dérogent pas à cette règle. L’utilisateur peut ainsi choisir entre les turbo-malaxeurs de la marque ou les malaxeurs à doubles arbres horizontaux, pour des rendements de 100 à 210 m3/h de béton vibré.  Un des grands avantages de cette nouvelle génération de centrales est la grande précision du pesage de +/- 0,5 %. Ce qui permet une belle préservation des ressources. Sur une formule type à 300 kg de ciment, il devient possible d’économiser jusqu’à 7,50 kg/m3. Un argument écologique comme économique à ne pas négliger…  Outre cette nouvelle génération de centrales, Liebherr devrait aussi présenter d’autres nouveautés “béton”, dévoilées seulement à partir de la fin du mois d’octobre ! Bauma – Zone extérieure FM – Stand 809 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 236 jours

INVITATION 03 AU 06 OCTOBRE – burgbad à IDÉOBAIN.

burgbad,ambassadeur de l’écodesign depuis 75 ansdans l’univers de la salle de bains, sera présent sur le salon incontournable IDÉOBAIN. L’occasion de faire (re)découvrir les gammes FREE – LAVO – SANAet les lancements 2022 LIN20 – MAX. Et de présenter le nouveau partenariat pour plus de durabilitéavec REFOREST’ACTION :burgbad France s’est engagé à planter 2000 arbresdans le département Eure-et-Loir où se trouve l’usine.Sur IDÉOBAIN, un […]
Il y a 2 ans et 236 jours

Rector : Décarbonation à tous les niveaux

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Rector dispose de 14 sites de production et de 17 dépôts, une organisation qui aide à limiter l’impact carbone. Siège du groupe à Mulhouse. [©Rector] A la fin du XIXe siècle étaient les Tuileries Oscar Lesage, entreprise familiale fabricant de tuiles et briques de terre cuite dans la région de Mulhouse. Au début des années 1960, les dirigeants alsaciens prennent le virage de la préfabrication béton, en lien avec les énormes besoins de construction de logements dans la période des Trente Glorieuses. En 1993, Lesage rachète Rector et devient licencié du procédé de poutrelles précontraintes Rector, avec la marque Lesage Préfabrication. C’est le début d’une aventure qui mène au groupe que nous connaissons aujourd’hui. En 2022, l’industriel représente en France 1 100 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 250 M€. Les 14 usines produisent chaque année 500 000 m2 de prémurs, 2 M de prédalles et 12 000 km de poutrelles. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 237 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills est constitué de montants réglables verticalement et de lisses horizontales coulissantes et articulées. Il s’installe depuis une tour d’étaiement Touréchaf. Dans un premier temps, l’opérateur depuis la tour fixe sur cette dernière, les montants extensibles GCC en position fermée. Il les relie ensuite avec les lisses extensibles placées horizontalement. Comme pour un étai, il rehausse les coulisses des montants GCC une par une pour placer les lisses du garde-corps à la bonne hauteur par rapport au futur coffrage du plancher. La coulisse se règle à l’aide de trous espacés tous les 5 cm et d’une broche imperdable. Une lumière astucieuse permet un ajustement rapide de la sortie de la coulisse et du niveau du futur coffrage. Le GCC Mills fournit ainsi une plus grande sécurité, tout en améliorant le rendement de coffrage. Sa mise en œuvre est simple. Il est conçu et fabriqué en France dans l’usine Mills située en Corrèze. Batimat – Hall 4 – Stand D12 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 237 jours

M-CUBE® by Würth : clé à chocs à batterie Li-ion 18 V Ass 18-1/2' Compact

Force et résistanceEn complément de la visseuse à chocs, la nouvelle clé à chocs (Art. N° 5701 406 004) permettra désormais d’effectuer des vissages plus puissants et plus importants. Que ce soit pour le chevillage, pour l’assemblage métallique ou pour la charpente bois, plus aucun support ne résistera à la ASS 18-1/2" compact M-CUBE® !Les caractéristiques techniquesCette clé à chocs permet un vissage de diamètre M10 à M20. Elle possède un couple serrage à 4 positions (160 / 260 / 300 / 460 Nm). Le serrage se réalise de manière régulée en fonction du diamètre de vis et du type de matériau. La machine s’arrête automatiquement et instantanément dès que le couple de vissage est atteint en mode auto-stop. Elle est équipée de 3 ampoules LED blanches et d’un crochet attache-ceinture. Elle est livrée en coffret avec 2 batteries 5 Ah et 1 chargeur rapide.Équipée d’une poignée avec revêtement antidérapant « soft-grip », elle vous garantit un maintien confortable et sans fatigue !Découvrez la clé à chocs en vidéo :Inspiré par vous, développé par WürthM-CUBE® est une plate-forme de batteries Lithium-Ion puissantes et résistantes, fabriquées exclusivement par le groupe Würth ! Les besoins des clients sont au cœur des préoccupations, c’est donc conjointement que cette nouvelle gamme de machines propre à Würth a été conçue. Toutes les machines ont été inspirées par des besoins, des souhaits et des idées des clients avant d’être conçues et fabriquées dans les usines du Groupe Würth. La batterie est la pièce maîtresse de cette nouvelle génération de machines innovantes. Le concept M-CUBE® permettra, à terme, d’utiliser la même batterie pour l’ensemble des machines de la gamme. Les caractéristiques exceptionnelles de ces nouvelles batteries comprennent une capacité élevée permettant une longue durée d'utilisation, une gestion intelligente de la batterie pour une surveillance électronique unicellulaire et un rendement maximal. De plus, tous les produits M-CUBE® sont équipés d'une structure robuste à double soudure et d’une protection en caoutchouc de haute qualité.
Il y a 2 ans et 237 jours

Saint-Goblain Weber : La RSE par l’exemple

Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. [©ACPresse] Chez Saint-Gobain Weber, le programme RSE est porté par le slogan “#VertEtFier”. Pour autant, afficher un emblème n’a jamais été une fin en soi. L’action doit surtout être appliquée sur le terrain. « Notre stratégie de développement durable s’articule autour de trois axes : l’offre de produits, la manière de les produire et un engagement sur des modes constructifs plus vertueux », confirme Marine Charles, directrice générale de Saint-Gobain Weber France. L’industriel a lancé nombre de démarches allant dans ce sens. Par exemple, il a fait le choix d’une électricité renouvelable. De quoi diviser par 3 les émissions de CO2 liées à l’électricité, soit une économie de 500 t/an. Autre engagement fort, l’économie de matières non renouvelables. Sur trois de ses usines (Bonneuil-sur-Marne – 94, Ludres – 54 et Nemours – 77), l’industriel utilise, à présent, des cendres de biomasse d’origines locales. Résultat : une substitution du ciment à hauteur de 15 % dans les mortiers-colles et de 30 % des fines minérales dans les mortiers et les bétons en sacs. Soit 1 700 t de matières premières économisées. Le site de Sorgues (84), lui, bénéficie d’un partenariat interne avec Saint-Gobain SEPR (industrie céramique). Ce dernier fournit son sable de moulage usagé, permettant un remplacement à 100 % de la charge minérale des mortiers produits. Réduire le gaspillage au maximum Toujours côté usines, certains process industriels ont été revus. Ludres a inauguré un système de récupération des matériaux générés lors de l’élaboration des enduits et des colles. Il s’agit des produits tombés sur les tapis, sous les ensacheuses. « A ce niveau, ce sont 145 t qui ont été réinjectées dans les produits finis en 2021. » Le site de Dissay (86), lui, a mis en place un processus permettant de réduire le volume de reliquats de chaque campagne de production. Cette initiative consiste à renvoyer le reliquat sur un seul bec d’ensacheuse au lieu de 4 auparavant, réduisant ainsi la perte globale. « Là, on parle d’une économie de 230 t/an ! » Un autre moyen de préserver la ressource est de prolonger la date limite d’utilisation des produits. Celle-ci passe à 1 an pour les produits en poudre, à 18 mois pour les enduits de façades et à 2 ans pour les colles à carrelage. Saint-Gobain Weber prend aussi soin de ses contenants. « Nous utilisons 50 % de plastique recyclé dans nos hausses, ce qui correspond à 450 t de polyéthylène vierge non utilisées et 1 000 t de CO2 non émises. » Idem pour les seaux, dont la moitié du polypropylène est issue du recyclage. Un accord de distribution exclusif Les mêmes seaux et autres sacs usagés profitent de points de collecte, grâce à un partenariat avec Rekupo. A présent, six sites Saint-Gobain Weber (Habsheim – 68, Heyrieux – 38, Ludres – 54, Mérignac – 33, Nemours – 77 et Sorgues – 84) assurent ce service. La mixité des matériaux et les nouveaux modes constructifs représentent un autre pan de la démarche engagée par Saint-Gobain Weber. Déjà, 4 systèmes d’ITE sur ossatures bois sont sous Avis technique : les webertherm XM Natura (basé sur un isolant liège), Fibre de Bois, Roche et PSE ECA. D’un point de vue esthétique, on retrouve les mêmes types de finitions minérales que sur maçonnerie. Enfin, la construction hors site laisse présager de beaux lendemains. La première étape s’appelle Tradical. « Depuis le 1er mars dernier, nous avons un accord avec le groupe Lhoist pour distribuer les produits de cette gamme », confirme Camille Fabre, nouvelle directrice stratégie et construction durable. Dans un second temps, des synergies devraient être mises en place avec des industriels de construction hors site, tant bois que béton. Des développements à suivre… Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 237 jours

Elematic : L’automatisation comme invitée vedette

Nouveau robot de positionnement des pièces de coffrage signé Elematic. [©Elematic] Le Finlandais Elematic met l’automatisation des usines de préfabrication en haut de l’affiche. Le premier à entrer en scène est le robot de positionnement des pièces de coffrage. Ceci, pour la production de murs pleins, de prémurs ou d’éléments plats. Ce robot est présenté comme le “chaînon manquant” de l’offre technologique complète d’Elematic en matière d’automatisation des process de production. Il entre aussi dans le champ d’utilisation de la suite de logiciels Plant Control. Cet élément central du passage à l’automatisation et des process de production sans papier rationalise, en effet, les opérations et les flux de travail, tout en minimisant les erreurs. Le second rôle de cette présentation est tenu par le Sawpreparer S5. Cette nouvelle famille de scies pour dalles ne se contente pas de nettoyer l’élément avant la coupe, il sait aussi tirer les torons de précontrainte, réduisant d’autant les interventions manuelles. Sa capacité de coupe va de 100 à 500 mm en profondeur et selon plusieurs angles possibles. Un carter télescopique protège la lame, ce qui réduit le bruit et bloque la projection de débris. Semi-automatique, la scie P7 constitue l’autre nouveauté dans la même famille. Elle offre une profondeur de coupe similaire.  Vient ensuite le Drillbeam E9. Cet outil de forage offre plusieurs fonctions. Non seulement il peut soulever les dalles pour les déposer sur les wagons de transport, mais ses trois forets intégrés peuvent percer en même temps et avec une précision tous les trous d’évacuation requis dans les planchers à âme creuse… Compagne du Drillbeam, le Wagon E9 est 100 % automatique et autonome, grâce à une alimentation par batterie. Des radars en assurent le guidage à travers l’usine. Bauma – Hall B1 – Stand 232 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 240 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 240 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 240 jours

Doubs : l'économie mixte réagit au quart de tour pour l'automobile

Avec la cession d'une portion inactive de l'usine Stellantis (ex-PSA) de Sochaux (Doubs), l'économie mixte locale trouve un vaste terrain...
Il y a 2 ans et 240 jours

Cantillana passe sous giron Holcim

Holcim a complété le rachat de Cantillana. [©Cantillana] Holcim annonce avoir complété l’acquisition du Belge Cantillana, spécialiste des produits de gros œuvre, des enduits de façade et des granulats. Les bénéfices de Cantillana sont estimés à 80 M€ pour 2022. Les 200 employés et les neuf usines de production de la marque passent donc dans le giron d’Holcim. Avec les achats récents de PRB en France, de PTB-Compaktuna en Belgique et d’Izolbet en Pologne, Holcim renforce sa présence sur les marchés allemands, belges, français et hollandais. Les actifs et les solutions de la marque belge rejoignent le catalogue “Solution et Produits” d’Holcim. Lire aussi : Holcim en passe de racheter Cantillana « Je suis heureux d’accueillir tous les employés de Cantillana dans la famille Holcim, déclare Miljan Gutovic, responsable des marchés Europe, Moyen-Orient et Afrique d’Holcim. Cet achat constitue une nouvelle avancée dans l’expansion de notre catalogue “Solutions et Produits”. Et une progression dans notre “Stratégie 2025 -accéléré la croissance verte”. Ainsi, cette acquisition renforce notre présence en Europe. Notamment sur les secteurs de la rénovation, et des solutions d’efficience énergétique. » Cantillana a été fondée en 1875 à Sint-Niklaas, en Belgique. La société avait été acquise en 1982 pour la compagnie Stadsbader Group.
Il y a 2 ans et 241 jours

La révolution du béton magnétique

Les bétons magnétiques doivent permettre de recharger les véhicules électriques par induction lorsqu’ils circulent. [©Magment] On n’arrête plus le progrès ! Du béton magnétique pour recharger des véhicules électriques ! Ainsi, le groupe cimentier Holcim étend sa collaboration avec l’Allemand Magment, spécialisé dans la mise au point de bétons aux propriétés magnétiques. Ce procédé va permettre de recharger les véhicules par induction lorsqu’ils circulent sur des routes équipées d’une telle technologie. Une ambition commune « Holcim et Magment partagent un objectif commun : accélérer la transition de notre monde vers un taux net zéro, grâce à des solutions innovantes et durables, déclare Edelio Bermejo, responsable du Global Innovation Center de Holcim. D’ici 2040, pratiquement toutes les nouvelles voitures vendues seront électriques. Nous sommes ravis d’associer notre béton magnétisable à la technologie de Magment. Cela va permettre aux véhicules de se recharger pendant qu’ils se déplacent. » Électrification des sols industriels Parmi les autres applications en cours de développement, il existe aussi des projets d’électrification des sols industriels. Leur objectif est de recharger en continu les robots des entrepôts et des usines. Forte de ses 120 start-up, Holcim continue d’innover, à travers le monde, en développant de nouvelles technologies pour accélérer la transition vers le zéro carbone.
Il y a 2 ans et 242 jours

Aménagement : les pistes pour réindustrialiser les territoires

Entre un foncier rare, des règlements superposés et des délais à rallonge, les implantations d'usines sont parfois ralenties. Mais des...
Il y a 2 ans et 242 jours

Aménagement : les pistes pour réindustrialiser les territoires

Entre un foncier rare, des règlements superposés et des délais à rallonge, les implantations d'usines sont parfois ralenties. Mais des...
Il y a 2 ans et 243 jours

Val-d’Oise : le Sedif poursuit les travaux de transformation de son usine pour produire une eau pure, sans calcaire et sans chlore

À Méry-sur-Oise (Val-d’Oise), le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) poursuit les travaux de modernisation de son usine de production...
Il y a 2 ans et 243 jours

Val-d’Oise : le Sedif poursuit les travaux de transformation de son usine pour produire une eau pure, sans calcaire et sans chlore

À Méry-sur-Oise (Val-d’Oise), le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) poursuit les travaux de modernisation de son usine de production...
Il y a 2 ans et 243 jours

comment simplifier votre veille chantier et accelerer votre business

Acteurs de la construction et de la prescription, vous souhaitez identifier les meilleures opportunités d’affaires avec un maximum d’impact et d’efficacité. Il est temps de passer à une approche structurée, en appui sur une solution professionnelle pensée pour les professionnels ! La nouvelle plateforme développée par EXPLORE répond à vos besoins spécifiques pour détecter de nouveaux chantiers et identifier leurs acteurs.
Il y a 2 ans et 243 jours

Menace de fermeture d'une usine Saint-Gobain près de Lyon : les salariés mobilisés

RÉORGANISATION. Le site vénissian (69) de l'entreprise Savoie Réfractaires, filiale du groupe Saint-Gobain spécialisée dans les matériaux réfractaires, pourrait fermer ses portes en 2023. Si les salariés tentent de sauver leur usine, Saint-Gobain semble davantage tabler sur le dialogue et le reclassement.
Il y a 2 ans et 244 jours

B2O innove dans le secteur des installateurs d’équipements techniques avec son tout nouveau module IoT

 Business Office Oxygen, éditeur et intégrateur d’ERP SaaS pour les installateurs et le BTP, lance son module IoT. C’est le premier logiciel français du secteur à intégrer nativement les données de capteurs IoT à un ERP. Cette innovation va aider les installateurs à optimiser la planification de toutes leurs interventions, qu’elles soient curatives, préventives et […]
Il y a 2 ans et 244 jours

Marion Martinez nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE

Marion Martinez, nouvelle chargée de mission Sud-Est du SNBPE [©SNBPE] Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) annonce la nomination de Marion Martinez. Elle intègre le syndicat au poste de chargée de mission Sud-Est. Ayant pris ses fonctions le 22 août dernier, elle devra assurer la promotion des solutions bétons dans le cadre de la RE 2020. Marion Martinez aura pour mission de sensibiliser le grand public sur les angles morts des bétonnières. Et de mettre en lumière les métiers de la filière. Elle reprend aussi la main sur les opérations déjà en cours dans les régions Paca et Occitanie.  Nouveau départ C’est un nouveau challenge pour celle qui a commencé son parcours au sein de la CCI du Var. « Outre l’animation du réseau des adhérents, mes actions vont se concentrer sur les enjeux liés à la RE 2020, à la sécurité. Ceci, à travers des opérations de sensibilisation, par le partage de la voirie et la valorisation des métiers de la filière », explique Marion Martinez. Après des études à l’école de commerce Kedge Business School, elle est titulaire d’un master 2 en communication marketing. De plus, Marion Martinez est diplômée en gestion des entreprises. Depuis son arrivée au poste, elle mène une campagne de sensibilisation du grand public sur les angles morts des bétonnières.  Pour rappel, le SNBPE regroupe plus de 200 adhérents et 1 800 unités de production. Lire aussi : SNBPE : Vingt mille lieux sous la terre
Il y a 2 ans et 244 jours

Le projet de giga-usine de panneaux solaires de Carbon trouve un nouvel investisseur, ECM

Le groupe industriel ECM est entré au capital de la start-up française Carbon, qui porte un projet de "giga-factory" de panneaux photovoltaïques nécessitant près de 6 milliards d'euros d'investissement.
Il y a 2 ans et 247 jours

Parution du Smart Guide de la RE2020 : Construire des logements avec les Smart Systèmes en Béton

Il a pour objectif de guider les acteurs de la construction à mieux comprendre les trois objectifs de la RE2020 et de démontrer qu’utiliser les solutions préfabriquées en béton permet d’ores et déjà de répondre pleinement aux exigences environnementales et de confort de la nouvelle réglementation et de favoriser la sobriété énergétique du bâti.Destiné à tous les acteurs de la construction et en priorité aux CMistes, promoteurs et bureaux d’études thermiques et environnementaux, ce guide de 24 pages, pédagogique, ludique et étayé par des cas concrets, est divisé en deux grands chapitres :Comprendre les objectifs de la RE2020 : ses trois objectifs (sobriété énergétique, fraîcheur des bâtiments en cas de fortes chaleurs et diminution de l’impact carbone) et son calendrier d’application, les évolutions entre la RT2012 et la RE2020, le calcul de l’impact carbone à l’échelle du bâtiment et la méthode ACV, le respect des seuils carbone construction nécessitant que tous les lots contribuent à la réduction de l’impact carbone des bâtiments.Utiliser les Smart Systèmes en Béton pour passer la RE2020 : les solutions préfabriquées en béton pour les logements pour répondre aux trois objectifs de la RE2020, et donc, construire bas carbone, diminuer toujours plus l’impact carbone des systèmes constructifs en béton et favoriser le confort d’été lié à l’inertie des bâtiments.Au travers des Smart Systèmes en Béton, la FIB a initié un programme pour valoriser l’intelligence embarquée dans chacune des solutions préfabriquées en béton, en termes d’économie des territoires, des ressources, de l’énergie et de la fonctionnalité, résolument inscrites dans une voie de production responsable et connectée.La publication du guide s’inscrit dans ce cadre et dans la communication collective initiée par la Fédération pour valoriser l’apport des solutions préfabriquées en béton pour réduire l’empreinte environnementale, notamment les murs et planchers destinés aux marchés des maisons individuelles et logements collectifs.Elle est complétée par une panoplie d’autres outils : des études de cas, outils d’aide à la décision, fiches chantiers avec le témoignage de bureaux d’études pour quantifier les paramètres d’application de la RE2020, une web série de vidéos témoignages pour faire incarner les messages par des bureaux d’études, des constructeurs…La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100% d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec plus de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15.000 m 2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche.L'industrie du béton en France461 entreprises722 sites de production2,8 milliards d’€ de CA départ usine, hors taxes et hors transport, dont : 62,8% à destination du bâtiment37,2% destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton en volume19.200 emplois directs100% réseau localLe 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de construction.
Il y a 2 ans et 248 jours

Une nouvelle usine dédiée au hors site pour Vestak

SITE DE PRODUCTION. Disposant d'un premier site d'assemblage en Seine et Marne, le groupe Vestak, spécialiste de la construction hors-site de bâtiments en matériaux biosourcés, annonce l'ouverture d'un deuxième site d'ici à la fin de l'année.
Il y a 2 ans et 249 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.
Il y a 2 ans et 250 jours

Prolongement et simplification de l'aide d'urgence "gaz et électricité"

Le ministère de l’Économie et des Finances a décidé de simplifier et de prolonger cette aide, destinée aux entreprises grandes consommatrices de gaz et d'électricité, jusqu'à fin décembre 2022. Photo © cwizner de Pixabay
Il y a 2 ans et 250 jours

Une centrale électrique flottante acheminée en Nouvelle-Calédonie par la SLN (Eramet)

La Société Le Nickel (SLN) a réceptionné le 3 septembre une centrale au fioul flottante pour sécuriser la production de son usine métallurgique de Nouméa.
Il y a 2 ans et 250 jours

Tension sur le granulé de bois

La situation internationale actuelle entraîne des incertitudes sur les énergies et les matières premières. Malgré ses particularités, la filière du chauffage au granulé de bois est inévitablement impactée en termes de prix et d’approvisionnement. Grâce à l’extension de certaines lignes de production et la construction de nouvelles usines de granulation, la filière prévoit 1 million de tonnes supplémentaires réparties entre 2021 et 2024 et un doublement de la capacité de production d’ici 2028. L’an dernier, la France a consommé 2,4 millions de tonnes de granulés, dont 400 000 tonnes importées. Avec la guerre en Ukraine, les livraisons depuis la Russie ou la Biélorussie ont cessé. Pour pallier à la pénurie qui se profile, les distributeurs appellent à ne pas acheter plus que nécessaire pour se chauffer cet hiver.   Photo : Gérard Cottet/Propellet  
Il y a 2 ans et 250 jours

Economie circulaire : la route passe la seconde

Augmenter la part des agrégats d’enrobés lors des travaux de réfection des voies suppose le renouvellement des usines d’enrobés, en fixe comme...
Il y a 2 ans et 251 jours

Habillage en métal coloré pour la route de la soie

A Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), à proximité de l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle et du parc d’affaires d’Aerolians, le Paris Asia Business Center (ou Silk Road Paris) conçu par l’agence ArchiFrance compte 22 pavillons à usage de comptoirs de commerce de gros (387 comptoirs). Le tout est vêtu d’une robe colorée par Métal déployé. Faisant partie de la […] L’article Habillage en métal coloré pour la route de la soie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 251 jours

Rehau Window Solutions et AGC Glass Europe partenaires pour développer des portes et fenêtres avec du verre isolant sous vide

Zoom sur la fenêtre du futur REHAU Window Solutions et AGC Glass Europe franchissent une étape stratégique, le 20 juillet dernier à Erlangen (siège social de REHAU), dans le développement et la commercialisation de solutions innovantes et d'avenir pour les fenêtres avec vitrage isolant sous vide. Ces deux leaders mutualisent leur savoir-faire et leur expertise technique pour proposer des solutions complètes et durables, apportant une meilleure efficacité énergétique, un niveau de confort plus élevé et une recyclabilité optimale. Une solution pérenne qui répond aux attentes du marché et aux défis énergétiques Pour Frank Zimmermann, CTO de REHAU Window Solutions : « Nous nous réjouissons de cette collaboration très réussie entre deux leaders de l'innovation. REHAU Window Solutions franchit ainsi une nouvelle étape cohérente sur le chemin de la croissance que nous poursuivons activement avec nos clients et nos partenaires dans le but de toujours oser la différence et booster notre business. » Une fenêtre à la pointe de la technologique, toujours plus écologique Fortement engagée en faveur du développement durable, REHAU a mis en place, depuis de nombreuses années, un système de recyclage de chutes de production pour les réintégrer dans la fabrication de nouveaux profilés de fenêtres EcoPuls (contenant entre 40 et 75% de matière première recyclée). En utilisant de la matière première recyclée issue notamment des fenêtres en fin de vie, REHAU réduit de plus de 88% les émissions de CO2 liées à la production*, soit 97.000 tonnes de CO2 en moins. Leur approche unique de recyclage EcoPuls représente un concept de durabilité inégalé dans l'industrie. Le vitrage isolant ultra-mince sous vide FINEO d'AGC Glass Europe (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) contribue également à atteindre des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. Grâce à son faible poids (jusqu’à 4 fois plus léger et plus fin qu’un triple vitrage traditionnel), ce nouveau vitrage représente un véritable avantage dans les phases de production et d'installation. Le vitrage plus fin et les valeurs de performances énergétiques plus élevées, se traduisent par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. La construction monolithique, composée exclusivement de verre, permet un recyclage simple et complet de la vitre FINEO, qui est donc 100% recyclable.Pour Serge Martin, CEO de FINEO Glass : « Nous sommes très enthousiastes quant à cette collaboration avec REHAU. Ce développement conjoint apportera des solutions parfaitement en phase avec les attentes du marché, à travers des produits innovants, économes en énergie et durables. » La combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide FINEO permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. Une deuxième collaboration entre REHAU et AGC Glass Europe pour le marché Français Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle collaboration entre CLARA by AGC et REHAU France, visant à combiner le design unique en verre Clara avec les avantages d’un cadre de fenêtre en PVC de la marque REHAU. Grâce à ce nouveau partenariat nous accélérerons la sortie sur le marché d’une des fenêtres les plus modernes de sa génération dans un matériau 100% recyclé et recyclable. La fenêtre Clara by Rehau est en cours de développement et sera disponible en 2023 sur le marché Français.
Il y a 2 ans et 251 jours

Le plâtre à la trace

Pari Plâtre est une nouvelle unité de recyclage des plaques de plâtre collectées par Bennes Services et le réseau Placo Recycling, en vue d'une réintroduction du gypse dans le cycle de production d'une usine Placo.
Il y a 2 ans et 254 jours

Hoffman Green ouvre sa première filiale en Suisse

La future usine suisse d’Hoffmann Green sera calquée sur le site de production H2 de Bournezeau, en Vendée. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement annonce l’ouverture de sa première filiale à l’international, en Suisse, en partenariat avec plusieurs acteurs locaux du secteur de la construction. Un développement qui s’inscrit dans la continuité d’un premier accord signé, en avril 2021, avec le groupe Maulini, pour la fourniture de ciment sans clinker issu de la technologie H-UKR. Un contrat opéré pour une durée de deux années et qui semble avoir fait de nouveaux émules, intéressés par ce type de solutions constructives décarbonées. L’essor d’Hoffmann Green en dehors des frontières nationales repose sur la signature d’accords de licences avec des partenaires locaux. Ces derniers sont en charge de financer, de construire et d’opérer des unités de production, puis de commercialiser les ciments décarbonés 0 % clinker d’Hoffmann Green sur leur territoire. C’est sur ce modèle que vient d’être mis en place, en Suisse, une première joint-venture. Société commune qui sera contrôlée par des signataires locaux, licenciés exclusifs des ciments Hoffmann sur le territoire helvète. Le miroir de l’usine de production H2 Disposant des mêmes caractéristiques que les ciments produits sur les sites de Bournezeau, les ciments décarbonés fabriqués en Suisse le seront dans une unité calquée sur l’usine H2. Cette deuxième unité de production d’Hoffmann Green est aujourd’hui en cours de construction en Vendée. « Après avoir signé il y a plus d’un an notre premier contrat hors de France, nous sommes fiers d’accélérer notre développement à l’international au travers d’un modèle de licences sur les technologies et les process Hoffmann Green, résument Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. L’ouverture de cette première filiale en Suisse prouve l’attractivité de notre solution décarbonée sans clinker en dehors de nos frontières et constitue une étape structurante dans le développement de notre marque. »
Il y a 2 ans et 254 jours

Arkema relève ses prévisions, malgré un bénéfice net en baisse

Le chiffre d'affaires du chimiste français a augmenté de 31,4%, à 6 milliards d'euros, par rapport au premier semestre 2021, a indiqué le groupe dans un communiqué, malgré une baisse de 5,3% des volumes au deuxième trimestre à cause d'un "ralentissement observé en Europe, notamment sur les marchés de la construction et de l'automobile".Cette baisse est compensée par un "effet prix (qui) s'établit à +28,5%, reflétant principalement les hausses de prix de vente pour s'adapter à la très forte augmentation des matières premières, de l'énergie et du transport", précise le groupe aux 20.600 collaborateurs, citant "le contexte toujours fortement inflationniste".Le bénéfice net d'Arkema, qui possède une dizaine d'usines en France, est tombé à 730 millions d'euros sur le semestre.Pour autant, le PDG d'Arkema Thierry Le Henaff, cité dans le communiqué, vante une "excellente performance" et le groupe se montre confiant en l'avenir malgré un contexte pourtant "marqué par les risques de confinement en Chine, les tensions géopolitiques liées à la guerre en Ukraine, les craintes concernant la disponibilité et le prix du gaz naturel et de l'électricité en Europe ", grâce à sa "présence géographique équilibrée".Si bien que "malgré l'environnement macroéconomique incertain et le recul observé des volumes en Europe", le numéro trois mondial des adhésifs industriels a relevé ses objectifs annuels et vise désormais en 2022, "hors nouvelle perturbation significative du contexte mondial", une croissance de 17% à 22% de son excédent brut d'exploitation Ebitda, contre une "légère hausse" précédemment annoncée.Le groupe français de chimie a par ailleurs rappelé ses nouveaux engagements climatiques publiés début juillet : il s'engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre directs et indirects (scopes 1, 2 et 3) de 46% d'ici 2030, par rapport à 2019.
Il y a 2 ans et 255 jours

Indemnisation du chômage : ce qui pourrait changer

Comment se passe actuellement l'indemnisation ? Les salariés sont assurés contre le risque chômage. Mais tous les demandeurs d'emploi ne sont pas indemnisés, loin de là (pour certains parce qu'ils n'ont pas assez travaillé). Selon des données de l'Unédic, on dénombrait 6,5 millions de personnes inscrites à Pôle emploi en décembre 2021, mais seulement 2,6 millions (40%) d'entre elles étaient indemnisées. L'organisme qui gère le régime d'assurance chômage prévoit qu'elles seront 2,4 millions fin 2022. Le montant net moyen d'indemnisation est de 960 euros pour l'ensemble des indemnisés (1.070 euros pour les allocataires qui ne travaillent pas et 720 euros pour ceux qui travaillent et complètent ainsi leur revenu). Les allocataires consomment en moyenne 68% de leurs droits. Avec la dernière réforme, depuis le 1er octobre 2021, le calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, a été modifié. Il prend en compte à la fois les jours travaillés et les jours non travaillés durant les 24 mois précédant le chômage (avec un plancher garantissant une allocation minimale). Cela pénalise les demandeurs d'emploi alternant chômage et activité, "les permittents". L'indemnisation était auparavant calculée en divisant les revenus par les seuls jours travaillés pendant la période de référence. Pour ouvrir des droits, il faut aussi, depuis le 1er décembre, avoir travaillé six mois (soit 130 jours travaillés ou 910 heures) au cours des 24 derniers mois (36 mois pour les plus de 53 ans). Auparavant, il fallait avoir travaillé 4 mois. Pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perçu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut, une dégressivité de -30% des allocations s'applique à partir du 7e mois. Qu'est-ce qui pourrait changer ? L'exécutif souhaite moduler les conditions de l'assurance chômage selon la situation du marché du travail, à l'image de ce qui se fait par exemple au Canada --mais sans calquer ce modèle à l'échelon régional. "Quand ça va bien, on durcit les règles et, quand ça va mal, on les assouplit", a résumé le ministre du Travail Olivier Dussopt. Trois paramètres peuvent ainsi potentiellement bouger: montant de l'indemnisation, critères d'éligibilité, durée d'indemnisation. Olivier Dussopt écarte la réduction du montant de l'allocation mensuelle, car "il y aurait une forme de contradiction" alors que "nous sommes dans une période de défense du pouvoir d'achat". "Nous pouvons agir sur la durée maximale d'indemnisation, qui est aujourd'hui de 24 mois, nous pouvons agir sur les conditions pour être éligible. Aujourd'hui, il faut avoir travaillé 6 mois sur les 24 derniers (..). Est-ce que ce sera 7 ou 8 mois ou est-ce que ce sera 6 mois sur 18 au lieu de 24 ?", s'est-il interrogé mercredi sur franceinfo. Pour Marc Ferracci, député Renaissance et un des inspirateurs de la précédente réforme, "l'éligibilité produit les résultats les plus rapides sur l'emploi". "Si on ne joue que sur la durée, les effets se feront attendre, or on a besoin d'avoir des résultats rapides", explique-t-il à l'AFP. Le Medef est favorable à une évolution des règles d'indemnisation en fonction de la conjoncture, mais les syndicats, eux, sont tous contre le principe même de modulation.Sur les critères pour moduler, "il faut faire simple, transparent, éviter de croiser plusieurs indicateurs", plaide Marc Ferracci, pour qui l'indicateur de choix pourrait être le taux de chômage BIT publié par l'Insee.Concernant d'autres critères de conjoncture comme la croissance, il faut garder "une prudence à l'esprit", a déclaré Olivier Dussopt sur BFM Business, car "la croissance peut être présente sans nécessairement se manifester par des créations d'emplois" et inversement.Quant à une modulation par région, "c'est une complexité supplémentaire", a-t-il jugé, tout en ne fermant pas la porte au débat sur la question.
Il y a 2 ans et 255 jours

Edilians signe un partenariat avec Materrup

Dans le cadre de sa démarche RSE, EDILIANS, leader français des tuiles terre cuite s’associe à MATERRUP, acteur spécialisé dans la fabrication et la commercialisation de ciments innovants à base d’argile non calcinée. Signé fin août, l’accord de ce premier partenariat porte sur la fourniture d’argile crue entre le site de production landais d’EDILIANS situé à St Geours d’Auribat (40) et l’usine MATERRUP basée à Saint-Geours-de-Maremme. Cette initiative vise à valoriser l’argile stérile issue des carrières situées à proximité de l’usine d’EDILIANS. Inutilisable dans le process de fabrication afin de garantir la qualité des tuiles en terre cuite, cette matière première va ainsi être valorisée par MATERRUP dans la production de ses ciments locaux bas carbone de type 42.5, matériau à haute valeur environnementale. Alors qu’EDILIANS vient de publier son premier rapport RSE, cette démarche illustre d’ores et déjà l’engagement pris par le fabricant depuis plusieurs années de « façonner un avenir durable ». http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 255 jours

Les ventes de Vicat progressent au 1er semestre, mais les bénéfices sont plombés par les coûts de l'énergie

Le groupe affiche un chiffre d'affaires de 1,755 milliard d'euros, en progression de 12,5% par rapport au premier semestre 2021. Cette "forte progression" est "le fruit d'une hausse sensible des prix de vente, qui a largement compensé la baisse des volumes livrés", détaille l'entreprise dans un communiqué publié mercredi 27 juillet.Chacune des principales activités du groupe fondé en 1953 par le fils d'un des inventeurs du ciment, Louis Vicat, a contribué à cette évolution "favorable", avec une hausse des ventes de 17,3% pour le Ciment et de 14,8% pour le Béton & Granulats.Pour autant, Vicat accuse une baisse de 16,8% de son bénéfice net, qui s'élève à 78 millions d'euros au premier semestre 2022, contre 94 millions en 2021.En cause: "la très forte inflation des coûts de production, notamment de l'énergie (...) qui s'est sensiblement accélérée en 2022", avec la guerre en Ukraine et les sanctions économiques prises par les Occidentaux contre Moscou. "La hausse des coûts de l'énergie s'élève à +64,7%", détaille le groupe familial, qui emploie plus de 9.500 personnes dans 12 pays."Ce premier semestre a été marqué par une base de comparaison très défavorable compte tenu des niveaux d'activité et de profitabilité atteints l'année dernière sur la même période", tente de rassurer le PDG Guy Sidos, cité dans le communiqué, soulignant que "la rentabilité opérationnelle reste très supérieure au niveau d'avant crise sanitaire".Face à la "forte inflation des coûts de l'énergie", le groupe va s'adapter "en diversifiant ses sources d'approvisionnements" et "en travaillant sur l'efficience énergétique de son outil de production", a plaidé son PDG.Vicat précise ainsi que la construction entamée en 2019 d'un nouveau four moins vorace en énergie dans son usine américaine de Ragland, dans l'Alabama, vient de s'achever. "La technologie utilisée, particulièrement efficace d'un point de vue énergétique, permettra de réduire les coûts de production de l'ordre de 30% par tonne produite", vante Vicat, promettant une "montée en puissance" au second semestre.Si bien que le groupe confirme ses prévisions pour 2022, tablant toujours sur une "hausse sensible de son chiffre d'affaires soutenue par la progression de son activité et la forte augmentation des prix de vente" et une croissance de son résultat d'exploitation (Ebidta), "mais de façon moins sensible qu'en 2021".
Il y a 2 ans et 255 jours

Cembureau soutient l’industrie du ciment face à l’inflation

Cembureau délivre ses intentions pour aider l’industrie du ciment. [©ACPresse] Coup de massue dans le secteur cimentier… Les marchés européens de l’énergie connaissent actuellement, une flambée des prix de l’électricité. Dans certains Etats-membres de l’Union européenne, ces tarifs ont été multipliés par dix par rapport à l’année dernière. Par conséquent, les coûts de production du ciment au sein de l’UE ont triplé. Cela s’ajoute à la hausse déjà significative des prix d’autres secteurs énergétiques. Et constitue, à court terme, une menace directe pour les activités de l’industrie cimentière européenne. C’est dans ce contexte que Cembureau, fédération européenne des industries cimentières, propose des mesures immédiates. Réduire les coûts des entreprises cimentières Ainsi, Cembureau souhaite que l’UE se projette dans un avenir proche et intervienne sur les règles d’organisation du marché de l’électricité. En particulier, sur le mécanisme de fixation des prix marginaux qui devraient être modifiés, afin d’éviter de nouvelles envolées. Adopté fin mars 2022, le cadre temporaire des aides d’Etat de l’UE doit permettre à toutes les industries énergivores d’avoir accès à un soutien financier. Ces dernières couvrent 70 à 80 % des coûts éligibles. Hélas, le secteur du ciment n’est, lui, éligible que jusqu’à 50 %. Pour la fédération, cette différence de traitement n’est en aucune manière justifiée. Des précautions en faveur de l’environnement Concernant la transition écologique, Cembureau sollicite l’UE sur l’importance d’appliquer des mesures ciblées au sujet du co-traitement dans les fours à ciment.  L’utilisation de déchets non recyclables et de biomasse permet de réduire la dépendance aux combustibles fossiles importés. Cela aide aussi à décarboner la production de ciment. Au niveau local et national, Cembureau appelle ainsi les autorités à rediriger les déchets non recyclables et les déchets de biomasse vers ces fours plutôt que vers la mise en décharge ou l’incinération.   Face aux importations De plus, les données d’Eurostat1 montrent que les importations de ciment de l’UE ont augmenté de façon significative (+ 300 % en cinq ans, + 54 % rien qu’en 2021).  Une tendance qui s’est poursuivie au cours des trois premiers mois de 2022 (+ 47 % par rapport à la même période en 2021). Cembureau souligne la nécessité de mettre en œuvre un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières suite à l’accroissement des importations de ciment. Face à la flambée des prix, Cembureau se dit prêt à continuer à travailler avec les décideurs politiques pour remédier rapidement aux difficultés que rencontre l’industrie du ciment. Si aucune mesure n’est trouvée, de nombreuses usines risquent d’être à l’arrêt dans toute l’UE. Un cercle vicieux qui entraînera par la suite une crise dans la chaîne d’approvisionnement de la construction. 1Direction générale de la Commission européenne, chargée de l’information statistique à l’échelle communautaire.
Il y a 2 ans et 255 jours

Coup d'envoi d'une nouvelle réforme de l'assurance chômage contestée

Ouvrant la voie à la première réforme sociale du second quinquennat, le projet de loi vise paradoxalement dans un premier temps à pouvoir prolonger les règles actuelles de l'assurance chômage. Issues d'une réforme déjà controversée du premier quinquennat, elles arrivent à échéance le 31 octobre. Il s'agit d'éviter "une rupture d'indemnisation" d'environ 2,5 millions de demandeurs d'emplois, a souligné le porte-parole du gouvernement Olivier Véran à l'issue du Conseil des ministres. Plus que le contenu du texte, qui sera discuté dès le début de la rentrée parlementaire d'octobre, le débat porte sur la séquence qu'il enclenche "dans la logique de la double temporalité de l'urgence et des réformes profondes" selon M. Véran. "A très court terme", d'ici "quelques semaines", selon M. Véran, le gouvernement va saisir les partenaires sociaux de la question d'une modulation de l'assurance chômage afin qu'elle soit, selon les mots d'Emmanuel Macron, "plus stricte quand trop d'emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé". Cela se fera "dans le cadre d'une concertation" et non d'une négociation, a précisé mercredi sur franceinfo le ministre du Travail Olivier Dussopt, ajoutant que dans ce cas, "c'est un échange, c'est une discussion, ce sont des propositions, des contre-propositions (..) et à la fin le gouvernement prend les décisions qu'il doit prendre" par décret. L'objectif est d'aboutir à des critères --le taux de chômage par exemple--, dont l'évolution à la hausse ou à la baisse pourrait déterminer le nombre de mois de travail requis pour accéder à l'indemnisation (6 mois actuellement sur les 24 derniers) ou encore la durée de celle-ci. L'exécutif martèle, à l'image d'Olivier Dussopt, qu'il y a urgence face aux difficultés de recrutement et fait de cette réforme une des conditions pour atteindre l'objectif de plein emploi (un taux de chômage d'environ 5% contre 7,4% actuellement) en 2027. Cette réforme est réclamée par les organisations patronales, la CPME (petites et moyennes entreprises) la jugeant "urgente" car certaines entreprises doivent, faute de personnel, "renoncer à des marchés ou réduire leur activité". "Avant la fin de l'année" Selon l'économiste et député Renaissance (ex-LREM) Marc Ferracci, un des inspirateurs de la réforme de 2019, "des dizaines d'études prouvent que les règles de l'assurance chômage, notamment la durée et les seuils d'éligibilité, ont un effet sur le niveau de l'emploi", notamment pour les chômeurs les plus autonomes dans leur recherche. Faux, rétorquent les syndicats pour qui les difficultés de recrutement sont d'abord liées à la formation et à l'attractivité des métiers (salaires, conditions de travail, mobilité, etc.). Réunis lundi au siège de la CFDT, les syndicats se sont mis d'accord sur leur opposition à négocier une telle mesure "contracyclique" et devraient publier la semaine prochaine un texte commun en ce sens. Il portera "sur la problématique actuelle de l'emploi et des difficultés de recrutement qui ne trouveront pas de réponse efficace avec une réforme qui réduit encore les droits des chômeurs", a précisé Marylise Léon (CFDT). "On veut négocier une nouvelle convention d'assurance chômage, mais à condition qu'on nous laisse la main", renchérit Michel Beaugas (FO). "La réalité, c'est que l'exécutif donne des gages au Medef qui n'a donc aucun intérêt à négocier avec les syndicats", déplore François Hommeril (CFE-CGC). De fait, le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, a déjà jugé qu'"ouvrir une négociation ne servira à rien vu qu'elle n'aboutira pas faute de diagnostic partagé avec les syndicats". En faisant le choix d'une concertation, le gouvernement, qui veut aller vite, semble avoir acté ce manque d'appétence des partenaires sociaux à négocier. Il souhaite une mise en oeuvre "avant la fin de l'année" selon M. Dussopt.A plus long terme, le gouvernement compte ouvrir un autre chantier sur la gouvernance de l'Unédic, le régime paritaire de l'assurance chômage, en lien avec la réforme de l'accompagnement du RSA et la création de France Travail, qui doit succéder à Pôle emploi et mieux coordonner les acteurs intervenant sur l'emploi. Sur ce dernier point, "je souhaite que la mise en place soit possible progressivement à partir de 2024", a-t-il indiqué mercredi sur BFM Business.