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Résultats de recherche pour architecture

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Il y a 5 ans et 204 jours

Événement : Robert Cottingham à la galerie Vallois

Après l’exposition dédiée à John DeAndrea en juin 2018, la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois (6ème arrondissement) poursuit son étude de l’hyperréalisme américain en présentant pour la première fois les œuvres hyperréalistes de l’artiste Robert Cottingham. Zoom sur son inventaire quasi photographique des paysages urbains nord-américains, des villas hollywoodiennes aux détails des architectures citadines. Jusqu’au 23 décembre, la rétrospective « Fictions in the Space Between » célèbre l’artiste Robert Cottingham. Elle dresse en effet un panorama complet de la carrière de cette figure majeure de l’hyperréalisme américain, un mouvement artistique né au début des années 1970 aux Etats-Unis. L’exposition monographique est répartie entre les deux espaces de la galerie Vallois. Tandis que dans le premier, au 36 rue de Seine, est accroché plusieurs huiles sur toile et leurs études préparatoires – des dessins et des aquarelles –, le second, au 33 rue de Seine, présente une sélection de ses créations sur papier. De 1969 à aujourd’hui, des villas californiennes aux tous récents objets du quotidien, l’événement rend hommage à la diversité de l’œuvre hyperréaliste de Robert Cottingham. On y remarque surtout les motifs architecturaux, qui l’ont rendu célèbre, notamment les enseignes commerciales qui pullulent dans les rues des villes nord-américaines. Ces panneaux lumineux de professions diverses, symboles de la société de consommation et de l’Amérique moderne, l’obsèdent. Robert Cottingham les fige sur la toile ou le papier à la manière d’un photographe sur un négatif. Leurs cadrages serrés, leurs compositions travaillées, leurs couleurs vives et leur graphisme épuré leurs confèrent en effet une dimension très réaliste. Toutefois, on aurait tort de croire que Cottingham se limite à reproduire fidèlement ces fragments urbains. Il les transforme au contraire pour créer un univers tout à fait pictural. Dans son huile sur toile Catwalk, par exemple, l’artiste s’amuse avec le mot et sa signification : l’enseigne en forme de podium figure son concept. Entre le dessin, l’aquarelle et la peinture finale, le peintre pose un regard aussi photographique que poétique sur les décors urbains qui saturent le quotidien des citadins. Un accrochage qui nous rend nostalgique d’une époque révolue. Pour en savoir plus, visitez le site de la galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois Visuels : Robert Cottingham / Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 204 jours

L'activité de SergeFerrari progresse au 3e trimestre grâce au continent américain

Le spécialiste des matériaux composites souples utilisés en architecture SergeFerrari Group a vu ses ventes progresser de 4,2% au troisième semestre, grâce à de solides performances sur le continent américain.
Il y a 5 ans et 204 jours

Detlef Schneider, nouveau Pdg d’Allplan

Detlef Schneider est le nouveau Pdg d’Allpan. [©Allplan] Detlef Schneider est le nouveau Pdg d’Allplan, fournisseur international de solutions pour le BIM destinées à l’industrie AEC (architecture, ingénierie et construction). Detlef Schneider relèvera de Viktor Várkonyi, directeur de la division “Planification et Conception”. Ainsi que des membres du conseil de direction du groupe Nemetschek, maison-mère d’Allplan.  Ingénieur et doctorant de l’université allemande de Karlsruhe, Detlef Schneider a occupé différents postes de direction dans le secteur des logiciels. Il a été le Pdg d’AutoForm, fournisseur suisse de logiciels de simulation pour l’industrie du formage de tôle. Il a aussi occupé le poste de vice-président sénior des opérations EMEA1d’Altair. Avant d’accepter cette nouvelle mission, il a passé 2,5 ans en Californie, à la tête des innovations d’Altair en tant que vice-président sénior du développement de logiciels.  1Europe, Moyen-Orient et Afrique.
Il y a 5 ans et 204 jours

Ropa & Associés Architectes livre le nouveau gymnase du collège Marguerite Duras à Colombes

Le sinistre qui a ravagé le gymnase du nouveau collège Marguerite Duras en 2010 a laissé place à un horizon dégagé. La démolition nécessaire de toutes les fondations de l’ancien gymnase rendue obligatoire en raison des procédures, devait conduire à excaver la quasi-totalité du terrain. Cela à permis aux architectes de définir un projet basé sur une « logique d’excavation » avec une architecture partiellement enterrée.
Il y a 5 ans et 204 jours

Logique d’excavation pour un gymnase selon Bernard Ropa

En décembre 2018, l’agence Ropa & Associés Architectes a livré à Colombes (Hauts-de-Seine) le gymnase du collège Marguerite Duras, un programme de reconstruction du gymnase et de quatre classes relais (2 100m², 5,5 M€ HT). Un bâtiment enfoui qui propose […] L’article Logique d’excavation pour un gymnase selon Bernard Ropa est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 204 jours

Delabie : Urinoir HYBRIMATIC FINO

Qui a dit que design et WC ne pouvaient pas s’accorder ? Certainement pas les équipes de Delabie qui dévoilent leur nouveau produit : l’urinoir HYBRIMATIC FINO. Alliant raffinement et utilité, les concepteurs imaginent un lieu d’aisance tout en inox à la finition mat élégante. Le goût même dans les pièces les plus intimes, voilà qui décrit parfaitement les produits de la marque française Delabie. Exit la porcelaine blanche traditionnelle, pour sa gamme d’urinoirs HYBRIMATIC FINO, la société imagine des toilettes dédiées aux hommes tout d’inox vêtu, en version poli satiné pour un fini mat des plus contemporains. En effet, pourquoi le sens du détail et de l’esthétique s’arrêterait-il aux pièces de vie telles que le salon ou la cuisine, quand on sait que l’on utilise les cabinets près de 2 500 fois par an ? Non seulement la silhouette et le revêtement de ces urinoirs sans arrêtes ni soudures les feraient presque passer pour des ouvrages sculpturaux, mais leurs propriétés font également rentrer ces WC masculins dans une nouvelle catégorie. En effet, l’HYBRIMATIC FINO est doté d’un système de rinçage hybride ne nécessitant pas de contact manuel, limitant ainsi la transmission de bactéries. De plus, l’inox est caractérisé par des propriétés bactériostatiques et l’ensemble possède deux modes de rinçages, adaptés aux différents usages. En effet, lorsqu’il est installé dans des lieux largement fréquentés, l’urinoir peut être configuré en « mode affluence » et bénéficiera alors d’un rinçage périodique hygiénique de 14 secondes toutes les 12 heures, empêchant ainsi la saleté de s’incruster et limitant les remontés d’odeur et l’obstruction des canalisations. En « programme éco », le procédé reste le même mais ne s’activera que toutes les 24 heures durant 7 secondes. Compatible avec tous les bâti-supports standard du marché, l’HYBRIMATIC FINO s’adapte ainsi à diverses configurations et lieux publics. Un urinoir de qualité auquel il ne manque que la signature de Marcel Duchamp. Pour en savoir plus, visite le site de Delabie Photographies : DR Zoé Térouinard  
Il y a 5 ans et 204 jours

[Livre] HABITER LA TERRE, une révélation culturelle et un manifeste écologique, par Jean Dethier

Ce livre d’art remédie à une longue amnésie culturelle. Il révèle un «chapitre oublié» de l’histoire et du renouveau du génie créatif de multiples civilisations : celui des architectures, habitats et villes bâtis en terre crue. Son parcours transhistorique – des origines au 21e siècle – témoigne de la fascinante beauté, diversité et intelligence d’un […]
Il y a 5 ans et 205 jours

Les Tasses : Toilettes Publiques – Affaires Privées

Exposition dédiées aux «tasses» ou vespasiennes, qui autrefois étaient érigées au sein même de l’espace public. Au Point Ephémère, à Paris. Jusqu’au 1er décembre 2019. «Vous qui venez ici dans une humble posture, de vos flancs alourdis, décharger le fardeau. […] L’article Les Tasses : Toilettes Publiques – Affaires Privées est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 205 jours

Aux Variétés de Marseille, essai et transformation pour Jean-Marc Lalo

En juillet 2019, l’Atelier d’architecture Lalo a livré à Marseille la restructuration et rénovation du Cinéma les Variétés (1 702 m²). Pour un budget de 2.5 M€, ce lieu historique du cinéma d’art et d’essai a rallumé ses projecteurs sur […] L’article Aux Variétés de Marseille, essai et transformation pour Jean-Marc Lalo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 205 jours

Le Nant’île, signé Leibar & Seigneurin, vient clore l’îlot des Fonderies

Sur l’Ile de Nantes, les agences d’architecture Leibar & Seigneurin et Raum Architectes ont livré Nant’île, une opération mixte de logements, commerces et bureaux sur le site de l’ancien garage Citroën, s’inscrivant ainsi dans le renouveau du quartier des Fonderies. […] L’article Le Nant’île, signé Leibar & Seigneurin, vient clore l’îlot des Fonderies est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 206 jours

Campus biophilique à Benguérir, signé Architecture-Studio

L’agence Architecture-Studio (mandataire), avec NY Architecture, a livré en 2019 une étude de faisabilité pour le nouveau Campus Universitaire de Benguérir au Maroc. D’une surface de 140 000 m², l’établissement se veut un exemple d’urbanisme biophilique. Livraison prévue en 2023. […] L’article Campus biophilique à Benguérir, signé Architecture-Studio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 206 jours

A la Joliette, Europacorp réalisé par MAP – Renaud Tarrazi

Le nouveau cinéma Europacorp, la société crée par Luc Besson, a trouvé sa place à la Joliette, à Marseille. A partir d’un premier projet signé de l’architecte Christian Marina, détenteur du permis de construire, l’agence MAP – Renaud Tarrazi et […] L’article A la Joliette, Europacorp réalisé par MAP – Renaud Tarrazi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 207 jours

TheSize : Neolith® Mar del Plata

Spécialiste de la pierre fritée, TheSize nous charme aujourd’hui avec un nouveau modèle à l’identité unique : Neolith® Mar del Plata. Définie par son aspect non poli situé entre marbre, ardoise et béton, la dalle s’inscrit pile dans la tendance des matières naturelles et confère aux cuisines et autres salles de bain une ambiance brute à laquelle il ne manquera que quelques touches de verdure ! « Retour aux sources ! ». Les bureaux de style ne semblent qu’avoir ces mots à la bouche. Et pour cause, un vrai désir d’authenticité se manifeste dans notre façon de consommer, de nos caddies de courses à l’aménagement de notre chez-nous. Plantes à gogo, coloris neutres et matériaux aux allures brutes et naturelles constituent ainsi notre décor quotidien. Une tendance que la marque espagnole TheSize semble avoir bien compris avec sa nouvelle réalisation, Neolith® Mar del Plata, une dalle de pierre frittée inspirée de l’exotique granit Dark Pearl, une pierre brésilienne de la Granith Collection de la marque. Nouveau modèle phare de TheSize, Mar del Plata présente des rayures de quartz blanc ondulées sur un fond gris, conférant à l’ensemble une texture proche de celle de l’ardoise. Fabriquée en appliquant de la pression et de la chaleur sur les matières premières qui la compose – argile, feldspath, silice et oxydes minéraux naturels –, la dalle de pierre fritée bénéficie d’un rendu des plus réalistes et résiste à l’épreuve du temps.Le plus de Mar del Plata ? Ses stries blanches et gris clair qui mettent en valeur la texture unique de ses veines et texturisent le produit, créant une apparence proche du nacre et une sensation au touché unique. Non seulement l’esthétique de la gamme s’inscrit dans un style naturel en vogue, mais son processus de fabrication respecte également l’environnement. En effet, les dalles sont conçues à partir de l’HYDRO Neolith Digital Design 2.0, une technique de décoration à base d’eau qui permet de réduire les émissions polluantes. La qualité reste la même quand l’empreinte carbone, elle, est amoindrie. Pour en savoir plus, visitez le site de TheSize. Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 207 jours

VINSON & Co : Showroom Birkenstock 1774

De ringarde à ultra branchée, la marque allemande de sandales Birkenstock ouvre un showroom parisien dédié à l’exposition de ses dernières collaborations. Désormais inscrite dans l’air du temps, la firme germanique s’offre un intérieur contemporain imaginé par le studio britannique Vinson & Co. Un espace lumineux au décor raffiné qui devient l’écrin tendance de ces chaussures confortables d’outre-Rhin. C’est le comble du chic. Situé dans un appartement parisien de la rue Saint Honoré (1er arrondissement), le Showroom Birkenstock 1774 s’installe dans un espace de 170 mètres carrés typiquement haussmannien, avec ses riches moulures, ses grands miroirs, ses cheminées en pierre et son parquet à chevrons au sol. A la demande de la marque patronymique, le studio Vinson & Co conserve la simplicité de l’appartement d’origine en ajoutant simplement une sélection pointue de meubles et d’objets d’exception. Les modèles Birkenstock les plus créatifs – tels que la mule fausse fourrure dessinée par Phoebe Philo pour Céline – côtoient ainsi des pièces design célèbres. On y retrouve notamment la chaise Roly Poly de la créatrice britannique Faye Toogood, les élégantes assises en bois de l’architecte suisse Pierre Jeanneret et la table en chêne Big Foot du designer allemand Philipp Mainzer. Le tout couplé à des œuvres textiles abstraites imaginées par la brodeuse londonienne Geraldine Larkin. Architecture historique, mobilier iconique et chaussures créatives se rencontrent donc pour nous plonger dans le nouvel l’univers Birkenstock. Si le style hype de la sandale germanique fait encore débat, la décoration teintée d’élégance signée Vinson & Co se veut à la pointe de la mode. Dans son ascension vers la hype, la marque trouve enfin chaussure à son pied. Pour en savoir plus, visitez le site du studio Vinson & Co Photographies : DePasquale+Maffini Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 207 jours

Dossier : 5 installations urbaines à découvrir à Paris

Controversées hier, appréciées aujourd’hui, les installations disposées par des artistes contemporains dans les rues de la capitale provoquent souvent des débats médiatiques avant de se fondre dans le paysage urbain. Après la récente polémique du Bouquet of Tulips de Jeff Koons, la rédaction de Muuuz vous propose une visite des installations urbaines les plus remarquées et remarquables de Paris ! Les Colonnes de Buren, 1986Baptisés « Colonnes de Buren », Les Deux Plateaux est une installation réalisée par l’artiste français Daniel Buren en 1986 dans la Cour d’Honneur du Palais Royal (1er arrondissement). Suite à une commande publique lancée par le ministre de la Culture Jack Lang en 1983, le plasticien conçoit une œuvre très urbaine : un ensemble de 260 cylindres en marbre habillés des célèbres rayures Buren et disposés selon deux plans. Aujourd’hui star des feed Instagram, Les Deux Plateaux ont pourtant fait couler beaucoup d’encre dans les années 1980. Le projet a longtemps suscité des controverses médiatiques et des recours juridiques menés par des détracteurs fermement opposés à l’implantation d’une œuvre contemporaine dans un site historique classé. En plus de trente ans, les colonnes ont fini par mettre tout le monde d’accord. . La Fontaine Stravinsky, 1983La Fontaine Stravinsky est le fruit de la collaboration entre Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle, couple iconique de l’art contemporain. Construite en 1983 sur une place adjacente au Centre Pompidou (4ème arrondissement), l’installation rend hommage au musicien russe Igor Stravinsky. Elle comprend en effet seize sculptures monumentales mécanisées faisant chacune référence à une composition de l’artiste. A la fois animé, colorée et hybride, le chef-d’œuvre a pu voir le jour grâce au financement public et au soutien de Claude Pompidou. . Bouquet of Tulips, Jeff Koons, 2019 – Jardin des Champs Elysées Après trois ans de polémique, le Bouquet of Tulips de l’artiste américain Jeff Koons prend désormais place sur un carré de pelouse du Jardin des Champs Elysée. Le bouquet de fleur monumental avait été imaginé par l’artiste en 2016 comme un cadeau à un Paris récemment touché par les attentats. Une attention qui ne semble pas être au goût de tous et qui, une fois inaugurée, continue de faire parler d’elle. Si l’artiste y voit des références à la Statut de la liberté et au Bouquet de l’amitié de Picasso, grand nombre de français considère ce présent comme une preuve d’opportunisme et décrie le manque de raffinement de la sculpture. Elle a d’ailleurs été vandalisée la semaine dernière, et nettoyée depuis. Jamais un bouquet de fleurs n’aura autant fait débat ! . Le Bel costumé, Jean Dubuffet, 1998 – Jardin des Tuileries Le Jeu de Paume, le Louvre ou encore le Musée de l’Orangerie, nombreuses sont les institutions artistiques qui rythment la vie du Jardin des Tuileries. C’est dans ce contexte d’effervescence culturelle qu’en décembre 1998, l’Etat et le Fond National d’Art Contemporain Direction de l’Architecture et du Patrimoine demandent à une dizaine de sculpteurs de peupler le parc parisien d’œuvres contemporaines. Parmi elles, Le Bel Costumé de Dubuffet interloque les passants par sa forme biscornue et ses couleurs primaires. Cette sculpture de 4 mètres de haut issue du cycle de l’Hourloupe de l’artiste est un agrandissement en époxy d’une maquette imaginée en 1973. Roi de l’art brut, Dubuffet enchante les promenades dominicales du 1er arrondissement grâce à ce personnage naïf et attachant. . Cœur de Paris, Joana Vasconcelos, 2019 – Porte de Clignancourt Installée à l’occasion de la Saint-Valentin dans le cadre de l’accompagnement artistique du prolongement du Grand Paris, le Cœur de la plasticienne franco-portugaise Joana Vasconcelos célèbre son amour pour Paris ainsi que ses racines portugaises. Culminant à 9 mètres de haut, l’installation se compose d’un mat et d’un gros cœur rouge revêtu de 3 800 azulejos, carreaux de faïence typique de la péninsule ibérique. Egayant le quartier de la Porte de Clignancourt, l’œuvre a tout même fait grincer des dents les locaux qui condamne son prix de 650 000 euros financé avec l’agent des contribuables. Pas que de l’amour donc pour Joana Vasconcelos.   La Rédaction
Il y a 5 ans et 207 jours

David Chipperfield Architects : Centre Pompidou x West Bund Museum Project

Après une implantation à Malaga, puis à Bruxelles, le Centre Pompidou s’exporte à Shanghai en Chine. Suite à l’inauguration de l’édifice construit par David Chipperfield, le musée vient d’ouvrir ses portes au public samedi dernier. Retour sur la genèse d’un projet d’ampleur favorisant les échanges culturels et économiques entre la France et la Chine. Le Centre Pompidou x West Bund Museum Project est né de l’association du West Bund Group – une société chinoise chargée du développement du nouveau quartier Xuhui Waterfront – avec l’institution muséale. Durant les cinq prochaines années, l’antenne chinoise du Centre Pompidou accueillera des expositions diverses conçues à partir des collections du musée français, afin de participer au rayonnement culturel de la plus grande ville du pays. C’est sur la rive nord du fleuve Huangpu que s’élève l’écrin de verre réalisé par l’architecte britannique David Chipperfield. Installé sur une esplanade surélevée bordée par un parc, le bâtiment de 25 000 mètres carrés se divise en trois volumes, distincts et linéaires, organisés autour d’un hall central avec un atrium à double hauteur. D’une hauteur de 17 mètres, chaque module comprend deux niveaux. L’espace supérieur abrite toujours une galerie, tandis que les salles inférieures accueillent respectivement une salle polyvalente baptisée The Box, un studio d’art dédié à la création contemporaine et des espaces pédagogiques dont un auditorium. Trois accrochages semi-permanents et dix expositions temporaires rythmeront la programmation transdisciplinaire du centre tout au long du partenariat. Les façades du bâtiment recouvertes de verre recyclé translucide soulignent l’horizontalité des trois volumes et répond aux miroitements du fleuve, tout en offrant aux visiteurs une vue panoramique sur la rivière et la ville depuis les intérieurs du musée. On pourra d’ailleurs y contempler des chefs-d’œuvre modernes et contemporains prêtés par l’institution française, de la sculpture à la photographie, en passant par des installations. Depuis le 8 novembre, l’exposition inaugurale fait la part belle aux nouveaux médias en exposant des plasticiens contemporains remarquables comme Pierre Huyghe, Bruce Nauman, ou encore Hito Steyerl. Une architecture monumentale mise au service de la culture. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence David Chipperfield Architects Photographies : David Chipperfield Architects / Centre Pompidou x West Bund Museum Project Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 207 jours

Changement de têtes à l'Architecture

NOMINATIONS. Le ministère de la Culture a annoncé des changements au sein du cabinet du ministre, et de la section architecture de la direction générale des patrimoines.
Il y a 5 ans et 207 jours

Événement : Utopia, art et design italiens

Utopia désigne d’abord une lampe iconique, celle dessinée par la designer italienne Nanda Vigo pour Arredoluce en 1970. A la galerie Tornabuoni Art (3ème arrondissement), « Utopia » devient le titre d’une exposition collective, imaginée en collaboration avec l’architecte français Charles Zana, qui met à l’honneur l’effervescence créative dans l’Italie d’après-guerre. Aperçu d’un événement inédit qui explore les synergies entre art et design italiens. Inscrit dans un cycle d’expositions collectives dédié à la création italienne des années 1950 à 1980, Tornabuoni Art explore, à travers l’événement « Utopia », les relations entre les grands noms de l’art et du design italiens. Avec près d’une quarantaine de pièces, l’accrochage fait dialoguer des œuvres d’art avec des pièces design de la même époque afin de révéler l’esprit audacieux de toute une génération de créateurs transalpins. Collectionneur érudit, Charles Zana signe une scénographie ambitieuse qui transforme la galerie en une suite de salons intimistes dans lesquels se rencontrent des chefs-d’œuvre et du mobilier d’exception. L’exposition « Utopia » établit donc des liens pertinents entre art et design à travers des tandems séduisants tels que Gino Sarfatti et Paolo Scheggi, Carlo Scarpa et Dadamaino ou encore Enrico Castellani et Nanda Vigo.Ces mises en scène aussi didactiques qu’épurées – à l’image de l’association des deux toiles de Giorgio de Chirico à un vase en céramique et un cabinet en bois massif de l’architecte Ettore Sottsass – fantasment alors des parentés entre les génies d’une période majeure de l’histoire de l’art italien. Architectes, designers et artistes se répondent dans une série de dialogues étonnants. L’exposition met ainsi l’accent sur la richesse de la création italien du XXe siècle. Des utopies à découvrir au Passage de Retz jusqu’au 21 décembre. Pour en savoir plus, visitez le site de la galerie Tornabuoni Art Photographies : Tornabuoni Art / Jacques Pépion Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 208 jours

Des logements collectifs patrimoniaux réhabilités à Créteil

DISTINCTION. La réhabilitation d'une résidence de 602 logements, à Créteil, a été l'un des dix lauréats des trophées béton pro 2019. Ce projet, qui concerne la résidence des Bleuets à Créteil (Val-de-Marne), a été imaginé par l'agence d'architecture RVA.
Il y a 5 ans et 208 jours

L’importance d’utiliser la réalité virtuelle en architecture

La réalité virtuelle est surement l’une des innovations technologiques révolutionnaires les plus impressionnantes. Elle permet par exemple de visiter un endroit,  un bien immobilier à louer ou une entreprise à distance. Les images en 3D sont tellement réelles qu’on croirait presque rêver. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les architectes ont décidé d’utiliser la VR (Virtual Reality). L’objectif est, bien entendu, de faciliter le travail entre architecte et clients. La réalité virtuelle va révolutionner le secteur de l’architecture Il est indiscutable que le travail d’un architecte est compliqué. Il doit en effet établir des plans détaillés (dessins manuels) à ses clients. Mais le problème c’est que les porteurs de projets architecturaux sont de plus en plus exigeants en ce qui concerne le suivi de la réalisation des tâches. La bonne nouvelle c’est qu’il est possible d’utiliser la réalité virtuelle en architecture, à condition de maîtriser ce domaine, bien entendu. En tout cas, grâce à cette innovation technologique révolutionnaire, l’architecte pourra inviter ses clients à évoluer à l’intérieur des structures des bien immobiliers ou de l’espace.   Il est bon de noter que la visite virtuelle permet d’améliorer l’expérience client. C’est pourquoi la grande majorité des architectes n’hésitent plus à recourir aux services d’une agence de réalité augmentée. Les clients pourront ainsi visiter les lieux en temps réels, peu importe l’endroit où il se trouve. Il doit, bien sûr, utiliser un casque VR pour pouvoir bénéficier de ce type de service. D’ailleurs, les avantages sont nombreux, aussi bien pour les clients que pour l’architecte. Les avantages de la réalité virtuelle en architecture On dit souvent que la réalité virtuelle et/ou la réalité augmentée sont une nouvelle forme de divertissement pour les adolescents qui passent la plupart de leurs temps à jouer à des jeux vidéo stupides. Et pourtant, la VR et l’AR sont des outils révolutionnaires pouvant être utilisés pour faciliter le travail des architectes. En effet, s’ils savent comment en tirer profit, ils pourront maximiser leurs chiffres d’affaires. Comme mentionné précédemment, les visites virtuelles permettent aux clients de visiter un lieu éloigné sans se déplacer. Une bonne nouvelle pour les personnes qui sont obligées de voyager dans leurs quotidiens. Par ailleurs, l’immersion totale de l’utilisateur dans un univers virtuel lui permettra de découvrir de nouvelles expériences. Bien entendu, les architectes les plus intelligents sont déterminés à offrir le meilleur service de suivi de chantier à leurs clients. C’est pourquoi ils sont de plus en plus nombreux à intégrer une une stratégie de marketing immobilier axée sur la réalité virtuelle ou la réalité augmentée. En tout cas, la VR ou AR permet de bénéficier un gain de temps tout au long de la réalisation d’un projet architectural. C’est plus pratique de dessiner des plans ou des esquisses sur papier. Si l’architecte possède des compétences en matière de VR ou AR, l’architecture virtuelle peut avoir un plus grand impact sur le client.  
Il y a 5 ans et 208 jours

Zakarian-Navelet : Place du village

Construire un refuge familial pour des escapades dans le sud de la France, cela suppose de créer une « architecture habitée », un lieu aussi confidentiel que fonctionnel. Pari tenu pour l’agence d’architecture et d’urbanisme Zakarian-Navelet avec sa villa privée « Place du village ». Stanislas Zakarian et Olivier Navelet érigent une demeure épurée parfaitement installée dans le paysage paradisiaque de la presqu’île de Giens (83). Une maison de rêve entre terre et mer. Nichée au milieu des arbres, la villa « Place du village » s’élève dans une nature sauvage et foisonnante, dominant la mer Méditerranée. Harmonieusement intégrée au site de la presqu’île, cette maison de vacances d’inspiration brutaliste s’installe sur un terrain légèrement pentu scindé en quatre par des anciennes restanques aujourd’hui végétalisées. L’agence Zakarian-Navelet s’est ainsi employée à construire une villa à la fois fonctionnelle et confortable pour en faire le théâtre des farnientes joyeux de la famille du commanditaire. Cette demeure familiale de 237 mètres carrés comprend trois volumes de béton brut effet bois abritant le pavillon d’entrée, l’habitation principale et deux chambres d’amis indépendantes. Les trois modules sont tous implantés autour d’une place centrale qui, comme dans un village méditerranéen, se pare de pavés en calcaire. Un banc en béton et un olivier complètent ce décor de cinéma. La villa a également été astucieusement conçue. Comme dans les mas provençaux traditionnels, la villa se dote de murs épais - ici 60 centimètres d’épaisseur - afin de conserver un intérieur frais en été et de protéger les habitants du froid en hiver. Des équipements tels que la cheminée, le plancher chauffant, les panneaux solaires font également de la « Place du village » un refuge confortable au fils des saison. Les intérieurs quant à eux sont à la fois minimalistes et fonctionnels. Les espaces collectifs, vastes et sobrement décorés, sont ajourés de grandes baies vitrées coulissantes. La maison s’ouvre ainsi sur le dehors. De quoi profiter d’une vue exceptionnelle sur la mer et le paysage environnant. A la fin de la construction, les architectes Stanislas Zakarian et Olivier Navelet ont d’ailleurs demandé au photographe Stephen Dock et à l’écrivain Arnaud Maïsetti de raconter la villa simplement. De cette rencontre est né un récit visuel et textuel The Lying Forest. Un livre poétique publié aux éditions Sometimes. Une maison idéale pour se rasséréner au rythme de la dolce vita. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Zakarian-Navelet Photographies : Stéphane Chalmeau Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 209 jours

Ciguë : Café Kitsuné

Le Label discographique franco-japonais Maison Kistuné – devenu marque de prêt-à-porter ultra branchée – lance son premier café-bar-restaurant Place André Malraux, à deux pas du Palais Royal (1er arrondissement). L’aménagement du nouveau Café Kistuné confié au studio ciguë revisite l’iconique bistrot parisien. Une décoration contemporaine et minimaliste à l’image de la Maison. Si aujourd’hui le studio d’architecture cigüe est internationalement reconnu, l’agence se destinait à la base à une activité de menuiserie. Des débuts qui poussent finalement les fondateurs à s’orienter vers une approche transdisciplinaire et instinctive de la conception. Un parti pris aussi bien visible au Pavillon de l’Arsenal où le studio expose son prototype de chambre d’hôtel pour demain qu’au sein du projet du Café Kitsuné. L’aménagement de ce nouvel établissement consiste en la réhabilitation des quatre niveaux inférieurs d’un immeuble parisien historique. Les deux niveaux en sous-sol répartis sur 100 mètres carrés abritent désormais la cuisine et les espaces techniques, tandis que les étages supérieurs étendus sur 170 mètres carrés accueillent le café et le restaurant. Le rez-de-chaussée se dote d’un comptoir à café en inox monolithique à faire rougir de jalousie les amateurs les plus érudits. Le jeu de néons au plafond, la piste en zinc et les marbres colorés revisitent les intérieurs typiques des brasseries parisiennes. La salle au dessus, plus intimiste mais plus spacieuse, nous invite à siroter un cocktail accoudé au bar en cuivre ou à partager un repas confortablement installé sur une assise en velours autour d’une table en plastique recyclé. Le tout, avec une vue imprenable sur Le Louvre. Six ans après la création du concept Café Kitsuné, la marque revisite les classiques du bistrot parisien en les conjuguant à de discrètes influences américaines et nippones. Pour l’établissement du Louvre, Maison Kistuné a ainsi joué la carte de la mixité, de l’intérieur raffiné à la cuisine simple et créative imaginée par le chef japonais Yuji Tani. Une fusion savamment travaillée de la bistronomie à la française et de la culture nippone. Pour en savoir plus, visitez le site du studio d’architecture ciguë Photographies : © Café Kitsuné, ciguë Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 209 jours

Rianne Koens pour Puik : Collection Dost

Diplômée en 2011 de la Design Academy Eindhoven, Rianne Koens est à la tête du label de design turc Otura, lancé en 2012. Mais c’est indépendamment qu’elle réalise pour l’éditeur de mobilier néerlandais Puik la collection « Dost », une ode à l’amitié bien particulière. Si le design scandinave est souvent mis en lumière, la production néerlandaise réserve aussi son lot de surprises, dont une réelle identité malheureusement pas toujours valorisée. Un constat qui pousse les entrepreneurs passionnés d’art et de design Freek Claessen et Daan Gescher à créer leur marque en 2012, Puik, dont le but est d’éclairer la création des Pays Bas et de l’imposer sur le marché. N’éditant donc que des créateurs néerlandais, Puik propose des collections douces et tendances, dont les formes voluptueuses et les couleurs pastel sont de véritables fils conducteurs. Bel exemple de ces choix esthétiques, « Dost », imaginée par Rianne Koens, comprend des fauteuils, tabourets, chaises et sofas aux formes rondes et accueillantes. Bien qu’originaire d’Eindhoven, Rianne Koens est aujourd’hui basée en Turquie, un pays à mi-chemin entre l’Orient et l’Occident dont elle nourrit sa création. Signifiant « amitié » en turc, « Dost » invite ses propriétaires à se lover confortablement. À la manière de l’étreinte d’un vieil ami, le fauteuil se veut agréable et rassurant. « Je suis inspiré par la culture orientale, que je transforme en conceptions intérieures occidentales simples pour répondre aux besoins domestiques. » Rianne Koens, desginer Revêtus de tissus Camira délicat, les différentes assises sont installées sur un piétement disponible en acier et en bois. La large gamme de couleur – gris, vert, rose, lavande, terracotta et ivoire – appuient cette idée de chaleur rassurante voulue par Koens et viennent gracieusement réveiller les espaces dans lesquels le mobilier s’inscrit. Une bonne raison de garder un œil sur le design néerlandais ! Pour en savoir plus, visite le site de Puik Photographies : Puik Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 209 jours

Le Grand Prix AMO 2019 récompense l'architecte Sophie Delhay

REALISATIONS. Le Prix AMO (Association Architecture et Maîtres d'Ouvrage) innove. Au-delà de ses cinq catégories habituelles, il a décerné le 6 novembre à Paris un prix TransEuropArchi, en cette année "d'élections européennes" et qui consacre "le trentième anniversaire de la chute du mur de Berlin", explique un communiqué. Une façon, pour AMO, "d'encourager l'hybridation." Sur les 170 projets, le jury a décerné deux mentions, six prix et un grand prix. Découverte en images.
Il y a 5 ans et 209 jours

Les nouveautés GYPASS s’ouvrent à BATIMAT

C’est à travers une gamme étendue de menuiseries extérieures – portes de garage, portes d’entrée, portails, clôtures et claustras – que GYPASS* a présenté au salon BATIMAT ses dernières innovations conjuguant savoir faire techniques et esthétiques, s’inscrivant parfaitement dans l’écosystème de la maison connectée. Parmi les nombreuses nouveautés proposées, voici 4 modèles inédits qui ont en commun de s’adapter à tous les espaces et de simplifier la vie quotidienne des utilisateurs. PORTAILS : DE NOUVELLES OUVERTURES TOUT TERRAIN. L’offre de portails GYPASS se dote cette année de deux nouveaux systèmes d’ouverture particulièrement adaptés aux terrains disposant d’une surface de dégagement limitée. – LE PORTAIL BATTANT REPLIABLE Avec ce tout nouveau modèle de portail battant compact, GYPASS s’affranchit des contraintes d’emprise au sol indispensable à son ouverture. Chaque vantail est constitué de deux parties qui se replient l’une sur l’autre grâce à un ensemble de charnières. L’ouverture motorisée s’effectue ensuite vers l’intérieur ou l’extérieur du terrain. En divisant par deux la surface de dégagement du portail battant, GYPASS apporte une solution technique innovante aux professionnels, leur permettant de répondre à de nombreux projets en rénovation jusqu’ici difficilement réalisables. Visuel ci-dessus : Portail EVOLYS compact « MONDRIAN » : Type d’ouverture battant repliable. 58 couleurs thermolaqués au choix avec possibilités de teintes personnalisables sur demande. Motorisation SOMFY IO. – LE PORTAIL COULISSANT TÉLESCOPIQUE Système d’ouverture le plus utilisé après le portail battant, le portail coulissant classique nécessite une surface de dégagement latéral importante, soit une longueur au moins égale à la distance entre les deux piliers. Grâce aux nouveaux modèles télescopiques développés par GYPASS, le portail coulissant convient désormais à des configurations plus petites. Son secret : les deux vantaux du portail glissent l’un sur l’autre sur deux rails différents réduisant à minima la surface de refoulement. A découvrir : Le portail coulissant télescopique NODDI de la gamme OXYGEN. Lames de 250 mm. Thermolaquage blanc – décor motif Geomack coloris bleu canon satiné. Motorisation SOMFY IO. PORTE DE GARAGE : NOUVEAU PORTILLON INTEGRE AUTOMATISE Un nouveau modèle de porte de garage fait son entrée dans la famille GYPASS : la porte de garage sectionnelle plafond avec portillon à ouverture à distance. Une nouvelle fonctionnalité offrant un plus grand confort d’utilisation et une sécurité renforcée. Piloter via une télécommande ou un lecteur biométrique, le portillon s’ouvre intégralement, se referme derrière l’utilisateur et se verrouille automatiquement (le temps de maintien du portillon ouvert modifiable par l’utilisateur). Très pratique pour un accès piétonnier au garage, ce nouveau modèle de portillon offre une véritable seconde porte d’entrée à la maison, avec le même niveau de confort et de sécurité. Conforme à la norme PMR, il facilite le passage d’un deux-roues, d’une poussette ou encore d’un fauteuil roulant. A découvrir : la porte de garage sectionnelle plafond OSILYS, modèle VEKAM. Structure en acier thermolaqué finition lisse. Motorisation SOMMER. PORTE D’ENTREE CONNECTEE KARA La porte d’entrée KARA allie design contemporain épuré et innovation technologique à des performances élevées en matière de confort thermique et de sécurité. La porte monobloc en aluminium thermolaqué est agrémentée de décors en Alunox® et de vitrage opale (triple vitrage sécurisé) réhaussé par une touche de bois (impression thermique). La poignée est incrustée dans la partie horizontale et se révèle grâce à un rétro-éclairage placé à l’intérieur. Sa préhension aisée est facilitée par un système d’ouverture automatisé parfaitement intégré (serrure électrique connectée et lecteur biométrique) offrant un confort d’usage inégalé. Pour plus de personnalisation, un emplacement spécifique a été prévu pour ajouter le numéro de la maison. A découvrir : la porte d’entrée KARA en aluminium (épaisseur 78 cm) à rupture de pont thermique, finition par thermolaquage RAL 7021, triple vitrage opale, décor ton bois. Poignées de tirage intégrée Alunox®. Numéro de maison Alunox rétro-éclairé. Imposte et tierce double vitrage opale. Serrure électrique avec lecteur biométrique. Judas vidéo. *A propos de GYPASS Depuis 1992, GYPASS conçoit et fabrique, en Normandie, des ouvrants extérieurs en acier et aluminium personnalisables. Spécialiste reconnu de la porte de garage, l’entreprise a su faire évoluer son outil industriel vers la conception et la fabrication sur-mesure alliant savoir-faire artisanal et technologies de pointe. Au fil des années, l’offre s’enrichit : portails, clôtures, portes d’entrée, complétée en 2019 par une première gamme de claustras et brise-vues. Une démarche d’innovation et de créativité permanente qui participe à créer un design extérieur en parfaite harmonie avec l’architecture ou les spécificités de son habitat. www.gypass.fr Copyright : Red Agency pour GYPASS
Il y a 5 ans et 209 jours

L'agence d'architecture et d'urbanisme Le Dylio change de nom et devient l'agence Archivolto

En juin 2018, l’agence d’architecture et d’urbanisme Le Dylio a été reprise par un duo dont une architecte. Ils avaient l’autorisation de garder ce nom, qui était celui de son fondateur, pour une durée de cinq ans maximum.
Il y a 5 ans et 209 jours

AU MONDIAL DU BÂTIMENT 2019, LE 1ER BATEAU AMIRAL EDILIANS : 300m2 d’innovation au service d’une construction esthétique et durable

A l’architecture résolument moderne qui mixe habilement espaces ouverts et fermés, le stand d’EDILIANS affiche fièrement sa nouvelle identité de marque. En partie basse de l’enseigne, un bandeau rappelle les noms des appellations terroir auxquelles est attachée l’entreprise, dont pour la première fois celui d’Umbelino Monteiro. Véritable vitrine de l’innovation reflétant l’offre globale d’EDILIANS, le stand propose aux visiteurs de découvrir les 11 gammes de produits grâce à un parcours articulé autour des trois pôles d’expertise de ce créateur de solutions durables pour : • la TOITURE (tuiles terre cuite, accessoires fonctionnels, eaux pluviales), • la FAÇADE (profilés terrasse, accessoires sol, profilés bardage, profilés enduits extérieurs, pliage à façon), • et l’ECO-HABITAT (étanchéité à l’air, solaire, isolation). Un espace sera également dédié aux services et des animations rythmeront les 5 jours du salon. Ainsi, une expérience en réalité virtuelle plongera les plus curieux au cœur de l’une des usines d’EDILIANS et du process de fabrication d’une tuile et tous les visiteurs pourront participer à un jeu concours autour de l’offre solaire. Parmi les innovations présentées sur le stand EDILIANS qui répondent aux enjeux environnementaux, d’économie énergétique et esthétiques, citons l’écran de sous-toiture AERO TOP 30 et la protection de bords de toiture RESIWOOD.   AERO TOP 30 : 30 ans de sérénité garantie avec les tuiles terre cuite EDILIANS ! Destinées à l’enveloppe du bâtiment, toutes les solutions globales d’EDILIANS s’inscrivent dans une perspective de construction durable. Le nouvel écran de sous-toiture AERO TOP 30 illustre parfaitement cette volonté d’avoir une offre de produits toujours plus inaltérables et performants. Proposé en exclusivité par EDILIANS, AERO TOP 30 est un écran souple de sous-toiture composé de deux couches fonctionnelles d’étanchéité aux propriétés uniques de durabilité et d’étanchéité. Grâce à cette technologie et à sa structure respirante hautement perméable à la vapeur d’eau (HPV), l’AERO TOP 30 additionne les performances : • une imperméabilité à la pluie et une insensibilité à l’humidité exceptionnelles, • une excellente résistance mécanique (résistance à la traction R2), • une longévité à toute épreuve, • une grande légèreté. Inédites, ces propriétés techniques renforcées permettent à EDILIANS de garantir pendant 15 ans la durabilité de son nouvel écran de sous-toiture. Associé à des tuiles terre cuite neuves EDILIANS dans le cadre d’une solution de toiture complète, l’AERO TOP 30 bénéficie en plus d’une garantie étendue jusqu’à 30 ans, véritable gage de sérénité pour les artisans couvreurs et de longévité pour leurs clients particuliers quant à l’étanchéité de leur couverture. RESIWOOD : les bords de toiture sous très haute protection Point de fragilité d’une habitation, les bords de toiture sont particulièrement sensibles aux conditions climatiques. Insuffisamment protégés, ils se dégradent rapidement causant des dommages parfois irréversibles. Expert incontournable du toit et des façades, EDILIANS enrichit aujourd’hui son offre d’accessoires fonctionnels avec RESIWOOD, une gamme unique de protection de bords de toiture en fibre de verre. RESIWOOD, la protection durable des bords de toiture Utilisée dans de nombreuses applications, la fibre de verre est reconnue pour ses qualités esthétiques et ses propriétés mécaniques. Sa légèreté en fait un substitut naturel aux matériaux métalliques, en particulier dans le bâtiment. Grâce à un process exclusif breveté, EDILIANS va plus loin et propose, avec RESIWOOD, une solution de protection des bords de toiture hautement performante. Intégrée lors de la fabrication, une résine spécifique renforce la résistance aux chocs physiques et thermiques de RESIWOOD tout en lui conférant une bonne tenue au feu. Inaltérable dans le temps, elle dispose d’un retour goutte d’eau et d’un bossage sous l’habillage qui laisse un passage d’air pour la ventilation. De quoi assurer la pérennité du support de fixation et garantir une durée de vie optimale à cette nouvelle génération de protection des bords de toiture, le tout avec un minimum d’entretien. RESIWOOD, une protection esthétique pour embellir les toitures Reproduisant à la perfection les veinages du bois, la fibre de verre RESIWOOD protège les bords de toiture tout en valorisant l’esthétique de la maison. Teintée dans la masse, la gamme bénéficie d’une parfaite tenue dans le temps et se décline en 5 nuances standards (blanc, gris anthracite, gris souris en mono-couleur et chêne clair, chêne foncé en bi-couleur) pour s’adapter à tous les styles d’architecture, des plus traditionnels aux plus contemporains. Réalisée sur-mesure RESIWOOD peut habiller toutes les configurations de bords de toiture. RESIWOOD, la performance économique A l’image de l’ensemble des Solutions Toiture conçues par EDILIANS, la fibre de verre RESIWOOD est facile à poser. Outre sa légèreté, un système de numérotation des planches simplifie sa mise en œuvre sur le chantier. De même, un soyage permet le recouvrement et le parfait positionnement de la planche voisine. Alliant durabilité exceptionnelle et esthétique, RESIWOOD d’EDILIANS répond à toutes les exigences techniques d’une construction, en neuf comme en rénovation.
Il y a 5 ans et 209 jours

La Gare TGV de Kenitra (Maroc) par Silvio d’Ascia Architecture

En association avec Omar Kobbité Architectes, l'agence parisienne Silvio d'Ascia Architecture a récemment livré la nouvelle gare TGV de Kenitra, au nord de Rabat (Maroc).
Il y a 5 ans et 210 jours

Réinventons nos coeurs de villes : 33 appels à manifestation déjà lancés

VILLES MOYENNES. Huit mois après l'annonce des lauréats du concours "Réinventons nos coeurs de villes", le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) et le Plan urbanisme construction et architecture (Puca) ont présenté un état des lieux du programme de réhabilitation de sites pour la revitalisation des villes moyennes.
Il y a 5 ans et 210 jours

Europacity, merci l’Etat visionnaire !

Bon, pour Europacity, c’est mort depuis le 7 novembre 2019 et l’annonce d’Emmanuel Macron qu’il s’agissait d’un projet «daté et dépassé». Dit autrement, le gouvernement vient de changer d’avis : de ce BIG projet, subito presto, il ne veut plus. […] L’article Europacity, merci l’Etat visionnaire ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

Centre Pompidou – Bernard l’hermite cherche coquille vide

La France a tout lieu d’être fière de ses monuments, de ses chefs d’œuvres, de ses collections et l’art moderne tient chez nous une place importante. Il n’est donc pas étonnant que l’on ait envie de partager nos trésors. La […] L’article Centre Pompidou – Bernard l’hermite cherche coquille vide est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

La ville peut-elle reconstruire les valeurs de la Cité ?

Le contexte social de 2019 aura été riche de revendications, d’oppositions, de violences jetant pêle-mêle sur la voie publique les crispations sociales, politiques, religieuses, éthiques, identitaires, technologiques de tous bords. Autant de signes que nos communautés humaines se délitent. Quelles […] L’article La ville peut-elle reconstruire les valeurs de la Cité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

Farce ou avant-garde : qu’en est-il de l’ornement aujourd’hui ?

Dans le cadre de la cinquième édition de la Triennale d’architecture de Lisbonne, dont le thème général est «La poétique de la raison», une exposition pose la question vieille comme le monde : qu’est-ce que l’ornement ? Derrière cette interrogation […] L’article Farce ou avant-garde : qu’en est-il de l’ornement aujourd’hui ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

Peut-on être innocent lorsqu’on aime un coupable ?

Ethel Hazel est en train de se régaler dans le Parigot des histoires de la campagne des municipales à Paris – de par sa profession, elle trouve le personnage de Cédric Villani, Brutus parmi les Brutus, assez extraordinaire, au sens […] L’article Peut-on être innocent lorsqu’on aime un coupable ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

Usine des Cinq Sens, de Loci Anima, dans le sens de l’histoire ?

Avec une auberge de jeunesse, des commerces, des ateliers pédagogiques, des jardins partagés et une ferme urbaine, l’usine des Cinq Sens, un projet imaginé par Loci Anima (Françoise Raynaud) à Paris (XVIe), propose sur 2 879 m² une grande variété […] L’article Usine des Cinq Sens, de Loci Anima, dans le sens de l’histoire ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 210 jours

Une gendarmerie bien au carré à Saclay, par PALAST et Nicolas Lombardi

PALAST et Nicolas Lombardi architecture (architecte associé) réaliseront la caserne de gendarmerie au sein du Campus urbain de Paris-Saclay. L’ouvrage de 2 853 m² (SDP), situé dans le quartier de Moulon, à Gif-sur-Yvette (Essonne), est prévu pour livraison en août […] L’article Une gendarmerie bien au carré à Saclay, par PALAST et Nicolas Lombardi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 211 jours

A Compiègne, Jean-Michel Wilmotte architecte en chef d’état-sénior

La Cour d’Orléans de l’ancienne Ecole d’état-major de Compiègne (Oise), restaurée et restructurée, accueillera une nouvelle résidence pour séniors conçu par l’agence Jean-Michel Wilmotte & Associés. De l’état-major à l’état-sénior ? Livraison prévue 20121. Coût estimé : 15,2M€. Communiqué de […] L’article A Compiègne, Jean-Michel Wilmotte architecte en chef d’état-sénior est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 212 jours

‘Business Resort’ pour la tour Pleyel, par Sretchko Markovic

L’architecte Sretchko Markovic (Cabinet : 163 Ateliers) signe la métamorphose de l’historique tour Pleyel de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) en hôtel de 700 chambres. À cette opération de restructuration lourde est associée la création au pied de la tour de deux nouveaux […] L’article ‘Business Resort’ pour la tour Pleyel, par Sretchko Markovic est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 213 jours

Hypérion, Jean-Paul Viguier, un Titan à Bordeaux

Conçue par l’agence d’architecture Jean-Paul Viguier et Associés, Hypérion, plus haute tour résidentielle en structure bois construite en France, se dressera à partir de 2021 au centre de Bordeaux, près de la gare Saint-Jean. Communiqué. Le quartier Saint-Jean Belcier fait […] L’article Hypérion, Jean-Paul Viguier, un Titan à Bordeaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 213 jours

De la complexité entre patrimoine et modernité… Netter social housing, signé Fres

FRES Architectes (Laurent Gravier + Sara Martin Camara) ont livré à Paris (XIIe) en 2017 un bâtiment de neuf logements sociaux et d’un local d’activité. Intitulé ‘Netter social housing’, ce projet est lauréat de la seconde édition du Trophée Béton […] L’article De la complexité entre patrimoine et modernité… Netter social housing, signé Fres est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 213 jours

Etat d’urgence en matière de climat et de biodiversité : la pétition des architectes

La pétition Architects Declare a été lancée en juin 2019, par 17 agences d’architecture lauréates du prix Stirling. Plusieurs agences d’architecture ont créé une version française du mouvement international Architects Declare et lancé une pétition engageant la profession à agir […] L’article Etat d’urgence en matière de climat et de biodiversité : la pétition des architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 214 jours

BATIMAT 2019 – Retour d’expérience : enveloppe pour bâtiment passif et bas carbone

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Retour d’expérience : enveloppe pour bâtiment passif et bas carbone Intervenante :  Julia Turpin, Architecte – Grand Huit
Il y a 5 ans et 214 jours

Marret & Fernandez Architectes : Un centre dentaire à Marseille

Sur un terrain dépouillé et étroit de la zone portuaire de Marseille (13) s'élève un petit édifice vertical en béton brut qui cache un programme étonnat. L'agence française Marret & Fernandez Architectes a réussi le tour de force de tirer profit d'une parcelle à première vue inconstructible. Une réalisation discrète tout en verticalité plutôt inattendue dans le contexte portuaire environnant. Un terrain étroit, une surface au sol de 40 mètres carrés, une rivière souterraine, une accumulation de remblais inexploitables... Rares sont les architectes qui accepteraient le défi de construire sur une telle parcelle ! Ce n'est heureusement pas le cas de Marret & Fernandez qui ont su tirer le meilleur d'un site sans potentiel apparent, aux contraintes évidentes. L'agence a en effet réuni ses forces pour y construire un édifice aussi esthétique que fonctionnel abritant aujourd'hui un centre dentaire. Ici, le gain de place permis par la verticalité est une réponse à l'étroitesse du terrain et à la densification toujours croissante de la métropole. Entre un tissu résidentiel à l'Est et un boulevard bâti à l'Ouest, cet édifice discret à la matérialité brute contraste avec le contexte urbain dans le dans lequel il s'insère. Cependant, par sa volumétrie sculpturale et son enveloppe de béton armé, l'écriture architecturale du bâtiment se réfère autant à l'univers naval que militaire, ce qui permet finalement de l'intégrer dans le bâti portuaire alentour. Résulte de ce projet un édifice élégant aux accents brutalistes marqués. Pour en savoir plus, visitez le site de Marret & Fernandez Architectes Photographies : Lisa Ricciotti Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 214 jours

Comment intégrer des modénatures sur Cedreo ?

Avec Cedreo, notre logiciel d'architecture dédié aux constructeurs de maisons individuelles, la personnalisation des façades de vos avant-projets avec différents revêtements (crépis, parements,...) se fait en quelques clics !