Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour architecture

(19725 résultats)
Il y a 5 ans et 214 jours

Comment intégrer des modénatures sur Cedreo ?

Avec Cedreo, notre logiciel d'architecture dédié aux constructeurs de maisons individuelles, la personnalisation des façades de vos avant-projets avec différents revêtements (crépis, parements,...) se fait en quelques clics !
Il y a 5 ans et 214 jours

Jeune talent : Daria Zinovatnaya

Designer ukrainienne, Daria Zinovatnaya se démarque par un style coloré largement inspiré des années Memphis. Un esprit à mi-chemin entre nostalgie pop et colorée et réalisation contemporaine qui se manifeste dans chacune de ses créations. À seulement 26 ans, Daria Zinovatnaya a déjà tout d'une grande ! Dotée d'une solide culture design et art, allant de Le Corbusier à Ettore Sottsass en passant par Matisse et Eilen Gray, la conceptrice et architecte d'intérieur puise son inspiration dans les plus grands noms de la discipline. Diplômée d'un master en design intérieur de l'Académie Architecturale d'Ukraine, elle se démarque par des réalisations aussi nostalgiques qu'avant-gardistes où la couleur et les volumes sont plus qu'assumés. « Les gens ont peur de la couleur ! Dans les intérieurs, elle se limite la plupart du temps à une petite touche, quelques accessoires. Je veux casser cette idée et montrer qu'elle peut être utilisée partout, qu'elle dynamise. » Daria Zinovatnaya, designer Un goût du risque qui semble être payant puisque sa chaise Cherokee a remporté le précieux Red Dot Design Award en 2017. Décrite comme « un vieil ami que l'on est toujours heureux de voir », la chaise issue de la collection éponyme a séduit le jury par ses contrastes, son piètement rigide bleu nuit et son dossier voluptueux rouge vif.Des contrastes, justement, qui définissent parfaitement la démarche et le travail de la créatrice. Allant des lignes franches noires et blanches à la combinaison de volumes contraires, rien ne semble effrayer Daria Zinovtnaya. Loin ne concevoir qu'un objet seul, elle s'atèle à personnaliser toutes les surfaces entourant ses pièces de mobilier. Sol, murs, plafonds et panneaux abstraits complètent ainsi ses ensembles hauts en couleur. Un nom que l'on n'est pas prêts d'oublier ! Pour en savoir plus, visite le site de Daria Zinovatnaya Photographies : DR
Il y a 5 ans et 215 jours

BATIMAT 2019 – Mur-Manteau, façade ventilée : dernières innovations

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Mur-Manteau, façade ventilée : dernières innovations Intervenants : Philippe Boussemart, Président – Groupement Mur Manteau | Directeur Général – STO France Pascal Chillet, Porte-Parole – SNBVI | Directeur Général – Fundermax France Antoine Monnot, Responsable bardage – Socateb
Il y a 5 ans et 215 jours

BaBatchas : Monsieur Didot

Si, lors d'un séjour à Athènes, vous cherchez un pied à terre loin des chambres impersonnelles souvent proposées, ne sondez plus ! À mi-chemin entre l'hôtel bourgeois et l'auberge chaleureuse, Monsieur Didot combine architecture néoclassique, design contemporain et confort comme à la maison ! Imaginé par le studio athénien BaBatchas, l'hôtel Monsieur Didot est conçu comme la résidence d'un aristocrate fictif. Installé dans un bâtiment centenaire classé entre le quartier chic de Kolonaki et celui d'Exarchia, plus branché, l'établissement – ayant accueilli John Lennon et Yoko Ono il y a cinquante ans – est un savant mélange de design actuel et de patrimoine néoclassique. Ainsi, les concepteurs conservent les moulures décoratives, les manteaux de cheminée en marbre et les superbes parquets à motif chevron. Un décor léché et daté dynamisé par le mobilier minimaliste. L'hôtel ne joue pas dans la démesure et conserve un esprit familial tant dans le décor que dans la proposition. En effet, comptant uniquement deux suites et quatre chambres, la résidence mise sur un aménagement confortable et personnel des pénates, les agrémentant de bibliothèques, de plantes et d'éléments chinés. Même traitement pour les espaces communs qui font tout pour rendre l'expérience touristique la plus agréable possible.Ainsi, au dernier étage, les voyageurs peuvent profiter du climat méditerranéen de la Grèce grâce à une véranda et une terrasse privée et se détendre en soirée au sein d'une bibliothèque intimiste. De quoi se glisser dans la peau d'un intellectuel aux valises bien fournies ! Pour en savoir plus, visite le site de BaBatchas Photographies : Ioanna Roufopoulou Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 215 jours

Wilmotte déplore la mainmise de la finance dans les appels d'offres

ARCHITECTURE. Jean-Michel Wilmotte, qui s'exprimait dans le cadre d'un point presse ce jeudi 7 novembre, a souligné le poids grandissant des aspects financiers dans le choix des maîtres d'oeuvre par les maîtres d'ouvrage, au détriment de l'intérêt architectural des projets.
Il y a 5 ans et 215 jours

Événement : Julio Le Parc à la Galerie de Sèvres

A 91 ans, le plasticien argentin Julio Le Parc orchestre une rencontre inédite entre art cinétique et céramique. De sa dernière résidence à la Manufacture de Sèvres résultent des créations colorées inspirées de la vaste palette de la Cité de la céramique. Un retour à la couleur qui s'expose à la Galerie de Sèvres (1er arrondissement) jusqu'au 23 novembre. Maître de l'art cinétique et lauréat du grand prix international de peinture de la Biennale de Venise en 1966, Julio Le Parc est une figure majeure de l'art contemporain des années 1960 à aujourd'hui. Ses créations optiques – peintures illusionnistes, sculptures lumineuses, installations monumentales – lui valent d'être exposé sur la scène artistique internationale. Son œuvre a en effet été mis à l'honneur dans des institutions prestigieuses, notamment au Palais de Tokyo en 2013, au MET Breuer (New York) en 2018, ou encore au National Museum of Fine Art de Buenos Aires (Argentine) en 2019. Après ses biscuits de porcelaine blancs qui avaient fait sensation à la Foire Internationale de l'Art Contemporain en 2018, Julio Le Parc retourne à la couleur avec une seconde série. Un vase Pierre Charpin multicolore revisite sa série « Alchimies », tandis qu'un mobile de 121 fines plaquettes de porcelaine s'habille aux couleurs de la Manufacture, bleu de Sèvres et or 24 carats. Suite à ses deux résidences, Julio Le Parc expérimente la porcelaine de manière créative. Fruits de la rencontre entre un savoir-faire artisanal et un langage artistique illusionniste, les pièces produites révèlent les stries hypnotiques et les lignes sinueuses chères à l'artiste. De l'art à la céramique, Julio Le Parc nous surprend une fois de plus. Pour en savoir plus, visitez le site de la Manufacture de Sèvres – Cité de la céramique Photographies : Rebecca Fanuele / DR Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 215 jours

Paris Photo 2020 : La sélection de photographes urbains de Muuuz !

Les amateurs de photo attendaient ce weekend avec impatience ! Jusqu'au 10 novembre, c'est sous la nef du Grand Palais que la crème de la crème de la discipline se retrouve pour un événement d'exception accueillant plus de 200 exposants. Portraits, nus ou photographies conceptuelles, il y en a pour tous les goûts, y compris pour les architectophiles que nous sommes. Focus sur le meilleur de la photographie urbaine et d'architecture du salon ! Jabulani Dhlamini, Metse e metle kantle, 2019 (Goodman Gallery) Originaire de Johannesburg (Afrique du Sud), Jabulani Dhlamini est un véritable prodige de la photographie. Major en photographie documentaire au Market Photo Workshop de Johannesburg ou encore lauréat de l'édition 2011-2012 du Edward Ruiz Mentorship, cet artiste de 36 ans capture son environnement comme personne et rend hommage à une Afrique du Sud contemporaine, souvent délaissée pour des visions plus exotiques et fantasmées du pays. Son œuvre, Metse e metle kantle, sublime les habitations de son quartier qu'il considère comme « belles à l'extérieur ». . Joel Sternfeld, American Prospects Now, 1987 (Galerie Xippas) Photographe américain de 75 ans, Joel Sternfeld a traversé les états de son pays natal dans les années 1970-1980, appareil à la main, pour réaliser sa série American Prospects Now. Entre banlieues pavillonnaires, rapport au paysage naturel ou construit et classe moyenne, ses prises de vues témoignent d'un quotidien brut et insolite, toujours avec une touche d'humour. Ses grands formats présentés à Paris Photo enchantent et fascinent et sont complétés par une exposition d'œuvres encore jamais accrochées à la galerie Xippas jusqu'au 29 décembre. . Yanning Hedel, De Labore Solis, 1990 - 1996 (Thierry Bigaignon) Aujourd'hui basé à Saint-Nazaire (44), Yanning Hedel est exposé au secteur Prisme de Paris Photo. Un écrin plus intimiste que la nef, éclairée par son œuvre De Labore Solis, un ensemble de 45 clichés réalisé entre 1990 et 1996. Après avoir porté son regard sur un seul immeuble de la région lyonnaise, l'artiste capture les effets de la lumière et du temps sur la façade en noir et blanc. « Le mur est un écran où travaille le soleil », résume d'ailleurs justement l'auteure Corinne Ibram à propos du travail d'Hedel dans son ouvrage « Dernières Nouvelles d'Alsace » de 1993. . Marcel Giró, Linhas e Prédios, c.1950 (Galerie RocioSantaCruz) D'abord photographe amateur, Marcel Giró se consacre à la photographie professionnelle tardivement. Ce n'est qu'après son mariage avec Palmira Puig qu'il part s'installer à Sao Paulo (Brésil) où il ouvre son studio éponyme en 1953. Il devient dès lors un acteur majeur du mouvement photographique brésilien Escola Paulista né dans les années 1950. Du pictorialisme à la photographie architecturale, son œuvre oscille entre abstraction et figuration. . Alfred Seiland, Thousand Oaks, California, 1979 (Galerie Johannes Faber) Déjà trois ans que l'Autrichien Alfred Seiland a fait sensation à la Villa Méditerranée (Marseille) pour sa série documentaire Imperium Romanum. A l'occasion de la 23ème édition de Paris Photo, la galerie autrichienne Johannes Faber revient sur les débuts de sa carrière en exposant des clichés issus de sa série East Coast-West Coast qui l'a rendu célèbre dans le monde entier. Ces clichés réalisés aux États-Unis entre 1979 et 1986 dépeignent avec brio l'immensité horizontale et l'esthétique cinématographique des paysages nord-américains. . Harry Gruyaert, USA, Las Vegas International Airport, 1982 (Gallery Fifty One) Membre reconnu de la prestigieuse agence Magnum Photos, le Belge Harry Gruyaert nous charme depuis plus de quarante ans avec ses grands formats aux couleurs contrastés. Au cours de ses pérégrinations, il immortalise, derrière son objectif, l'âme des endroits qu'il visite. Il se fascine d'ailleurs pour les lieux de passage comme les gares et les aéroports. Les clichés sélectionnés par la galerie belge Fifty One unis par une même dimension contemplative mettent à l'honneur le génie du coloriste.   Pour en savoir plus, visitez le site de Paris Photo La Rédaction
Il y a 5 ans et 215 jours

Zurich et ses coopératives investissent la Cité de l’architecture et du Patrimoine

En 2017, Dominique Boudet  publiait « Nouveaux logements à Zurich. La renaissance des coopératives d’habitat ». L’ouvrage prolongeait le dossier sur la capitale économique Suisse, paru dans le d’a n°229 en septembre 2014. Ne pas confondre coopératif avec participatif. Être sociétaire d’une coopérative d’habitation, c’est se retrouver à mi-chemin entre la location et la propriété privée : les membres de la coopérative d’habitation n’achètent pas de logement, mais...
Il y a 5 ans et 216 jours

BATIMAT 2019 – Design et matérialité en façade

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Design et matérialité en façade Intervenants : Maud Caubet, Architecte – Maud Caubet Architects Pascal Violleau, Directeur Prescription – Technal
Il y a 5 ans et 216 jours

BATIMAT 2019 – Rénovation basse énergie et bas carbone

Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. Sujet : Rénovation basse énergie et bas carbone Intervenants : Philippe Alluin, Fondateur – Reezome Charles Arquin, Associé, Responsable Rénovation – Pouget Consultants Laurent Raimbault, Architecte Gérant – SoléCité Scop d’Architecture
Il y a 5 ans et 216 jours

Volume ABC : Café Jacques

Le célébrissime chef Alain Ducasse a encore frappé. Installé au cœur des jardins du musée du Quai Branly (7ème arrondissement), le Café Jacques fait peau neuve à sa demande. Cet édifice en béton réalisé par Jean Nouvel au début des années 2000 se pare aujourd'hui d'un nouveau décor : une architecture d'intérieur élégante et contemporaine conçue par Volume ABC. A deux pas du musée du Quai Branly s'élève un bâtiment discret. Largement vitré, l'édifice érigé par Jean Nouvel s'ouvre sur une terrasse semi-ouverte donnant sur les vastes jardins. A la nuit tombée, l'installation lumineuse L'Ô imaginée par le plasticien Yann Kersalé illumine de mille reflets colorés la façade du café. Surprenant. Sous la houlette d'Alain Ducasse depuis quelques années, le restaurant change de visage pour devenir un lieu à l'image de la ligne éditoriale créative défendue par le chef esthète. Le Café Jacques associe désormais une cuisine empreinte de naturalité à un décor contemporain épuré, le tout devant une vue imprenable sur la Tour Eiffel. Privilégiant un intérieur raffiné, l'agence française d'architecture d'intérieur et de design Volume ABC joue la carte de la sobriété. Un béton brut immaculé relevé de touches dorées, des tables de marbre blanc et des assises de cuir beige, on pénètre dans un écrin de verre lumineux à l'ambiance feutrée. Une halte idéale pour se sustenter entre deux expositions. Une décoration élégante de simplicité qui célèbre le bien manger et le bien vivre si chers à Ducasse. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Volume ABC Photographies : SCAB Design / DR Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 217 jours

BATIMAT 2019 – Façade double peau : le retour

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Façade double peau : le retour Intervenants : Emmanuel Viglino, Directeur – Arcora Eric Perraudin, Architecte – Art & Build Alexandre Krupka, Responsable prescription – Schüco International S.C.S
Il y a 5 ans et 217 jours

Dans la tête de Jean Nouvel, un espace intersidéral

D’un côté, Jean Nouvel, Pritzker français, dont la tête est mise à prix pour 170M€ par Patrice Januel, dans le coin opposé, maître d’ouvrage du troisième type d’une philharmonie dont les renvois judiciaires ne laissent pas d’étonner. Les architectes n’en […] L’article Dans la tête de Jean Nouvel, un espace intersidéral est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Dans les villages, des architectes aussi saccagent le jardin

A l’heure où les démêlés de Jean Nouvel avec l’autorité judiciaire font les grands titres de journaux nationaux, d’aucuns de s’inquiéter de l’image déplorable des architectes offerte une nouvelle fois en pâture au grand public. Mais la célébrité du fantasque […] L’article Dans les villages, des architectes aussi saccagent le jardin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Pour un bus d’hypertourisme, combien de SDF morts ?

Hypertourisme vs SDF : quelle est la probabilité que la disparition du premier réduise le nombre des seconds ? Au cours des jours précédents, deux informations simultanées sont responsables d’un choc émotionnel vif. Pas qu’elles soient passionnantes prises individuellement, mais […] L’article Pour un bus d’hypertourisme, combien de SDF morts ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Lemoal Lemoal : Garden Tennis de Cabourg

Club historique de la ville de Cabourg (14), le Garden Tennis de Cabourg se voit aujourd'hui agrémenté d'un nouveau bâtiment. Un programme classique de vestiaires et sanitaires qui se manifeste par une réinterprétation contemporaine et élégante de l'architecture normande venant asseoir le programme de rénovation globale du site. Intégré au Circuit National des Grands Tournois de tennis, le Garden Tennis de Cabourg fait l'objet d'une rénovation majeure, largement guidée par l'agence Lemoal Lemoal. Déjà à l'origine du lifting du club house et de l'ajout d'un restaurant et de locaux administratif, les architectes signent ici un ouvrage modeste de 100 mètres carrés contribuant à harmoniser l'ensemble des structures constituant le club. Le projet reprend le principe constructif de l'architecture en colombage, typique de la région, et valorise l'ossature bois en laissant libres les pans de bois habituellement comblés. La trame dépouillée offre au paysage un bâtiment minimaliste résolument contemporain sans trancher trop violemment avec l'architecture alentour. La présence d'une double peau en polycarbonate laisse apparaître le travail du bois et permet de créer un voile d'intimité indispensable pour une telle typologie. En effet, à l'intérieur, les deux vestiaires – agrémentés d'un sanitaire chacun – bénéficient, grâce au principe structurel, d'une importante hauteur sous-plafond où apparaissent les éléments techniques et sont baignés de lumière naturelle sans une réelle ouverture sur l'extérieur. Une réalisation aussi sobre qu'élégante. Pour en savoir plus, visite le site de Lemoal Lemoal Photographies : Javier Callejas Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 217 jours

De la blonde, de l’architecte ou de la psy, qui est coupable d’hybris ?

L’architecte est à l’heure et, s’il a un peu les traits tirés et le teint pâle de qui dort peu, il rayonne cependant d’enthousiasme et de joie de vivre. Il a les vêtements froissés de quelqu’un entre deux avions. *** […] L’article De la blonde, de l’architecte ou de la psy, qui est coupable d’hybris ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Frédéric Imbert : Totem 03

Le designer français Frédéric Imbert – à qui l'on doit le mobilier contemporain des boutiques Isabel Marant – signe une table d'appoint en marbre noir à l'épure architecturale. Editée par Archimobilier et limitée à vingt exemplaires, Totem 03 – Side Table 03 est une pièce d'exception à la matérialité assumée. Depuis l'obtention de son diplôme en Architecture d'intérieur en 2010, Frédéric Imbert s'intéresse à des projets variés. Son parcours conduit en effet rapidement le jeune Français à imaginer des architectures, des intérieurs, des scénographies et des pièces de mobilier. Aujourd'hui, il vit et travaille entre Paris et Beyrouth (Liban). Sensorielle et raffinée, la table d'appoint Totem 03 – Side Table 03 se caractérise d'abord par la dualité de son épure. Une forme singulière en effet, entre courbes sensuelles et lignes droites, qui fait de ce totem abstrait démythifié un véritable objet de délectation visuelle. La création de Frédéric Imbert oscille alors art et design. Objet du quotidien, la table s'apparente pourtant à une œuvre sculpturale tant par l'éclat de son marbre aux veines blanches apparentes que par sa silhouette contrastée. Une pièce design à regarder sans modération. Pour en savoir plus, visitez le site de Frédéric Imbert Photographies : DR Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 217 jours

A Bayeux, le salon de David Serero fait tapisserie

Serero Architectes Urbanistes a livré en mars 2019 la médiathèque intercommunale de Bayeux. L’ouvrage de 2 550m² (5,02M€ HT) se veut «bâtiment paysage» et vitrine urbaine. Un travail de broderie. Communiqué. La nouvelle médiathèque Intercommunale de Bayeux (Calvados) s’inscrit dans […] L’article A Bayeux, le salon de David Serero fait tapisserie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

A Nanterre, LAN en semi-liberté

A Nanterre (Hauts-de-Seine), LAN a livré en 2019 pour le ministère de la Justice, un Quartier de semi-liberté (QSL) et les bureaux des services pénitentiaires d’insertion des Hauts-de-Seine (4 400 m² ; 9.5M€ HT). Une juxtaposition de programmes inédite. Communiqué. […] L’article A Nanterre, LAN en semi-liberté est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Zurich : Les coopératives réinventent le logement social

La Cité de l’architecture & du patrimoine, dans la Galerie d’architecture moderne et contemporaine, présente Zurich : Les coopératives réinventent le logement social. Dynamique de réinvention ? Jusqu’au 19 janvier 2020. Zurich, la capitale économique de la Suisse, est devenue […] L’article Zurich : Les coopératives réinventent le logement social est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 217 jours

Studio Razavi : Appartement XVI

Imaginez. Une petite rue en face des Jardins du Luxembourg où Man Ray, Hemingway ou encore Jacques Prévert posèrent jadis leurs valises. C'est dans ce Paris bohème au doux parfum nostalgique que le Studio Razavi signe la rénovation d'un appartement de 145 mètres carrés accueillant un couple franco-américain. Au programme : un ensemble chaleureux et intemporel où le mobilier de designer et les œuvres d'art règnent en maîtres. Situé dans un immeuble typiquement parisien, l'appartement de 145 mètres carrés avait bien besoin d'une petite rénovation. Circulation étroites, obscurité et décoration datée font désormais place à un ensemble chaleureux et ergonomique baigné de lumière. Une résidence bien dans son temps qui relie parfaitement architecture et design contemporain au charme unique de la capitale. Les architectes pensent la nouvelle organisation spatiale en fonction du positionnement latérale de toutes les fenêtres. En effet, la façade se regardant vers l'ouest, il était essentiel que l'éclairage naturel puisse se transmettre d'une pièce à l'autre sans entrave. Ainsi, grâce à la suppression de nombreuses cloisons, les espaces s'agrandissent et l'éclairage se diffuse uniformément, à l'image des deux pièces de vie disposées en enfilade à l'ouest de l'appartement. Dans l'héritage du patrimoine architectural parisien, le studio Razavi mise sur la combinaison gagnante du parquet à motif chevron et des murs blancs agrémentés de moulures. Si ces appartements anciens sont habituellement dotés de mobilier en bois lourd, les maîtres d'œuvres déclinent ici le bois en parois ou en rangement encastré, prolongeant ainsi la tradition tout en l'inscrivant dans une tendance à l'épuration plus contemporaine. Clin d'œil aux ouvrages luxueux du quartier, du marbre Mutina gris habille la salle de bain ainsi que le plan de travail de la cuisine. Si la réalisation réinterprète les codes du logement bourgeois traditionnel, les architectes et les propriétaires font la part belle aux œuvres d'art et au design, mélangeant ainsi masques africains, méridiennes et lits anciens à des tableaux, sculptures et mobilier contemporain. Le mariage parfait entre passé et présent. Pour en savoir plus, visite le site du Studio Razavi Photographies : Simone Bossi Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 217 jours

Chandigarh : “The City Beautiful” de Le Corbusier

Le Palais de l’Assemblée (38 m de haut à son point culminant) se trouve à l’extrémité Nord-Ouest de la cité de Chandigarh. Ce bâtiment est moderne par ses piliers, de forme rectangulaire, qui soutiennent un « avant-toit » arrondi, creusé, comme une gouttière, et par son toit plat auquel on a accès, et qui comporte un cône en béton de 40 m, sous lequel se trouve la salle où les députés de l’Assemblée se réunissent. [©Manuel Bougot ©F.L.C._ADAGP, Paris, 2019, pour l’ensemble des œuvres de Le Corbusier ©ADAGP, Paris, 2019, pour l’ensemble des œuvres de Pierre Jeanneret] Située à proximité du Pakistan, Chandigarh était dans les années 1980 l’objet d’un conflit territorial avec la communauté sikh. « Y faire des photos avait été à l’époque impossible. C’est seulement à partir de 2010 que j’ai pu commencer à réaliser ce projet de voyage photographique », explique Manuel Bougot, l’auteur du livre de photographies “Voyage à Chandigarh”, publié aux éditions du Patrimoine. En effet, le photographe restitue l’appropriation par les Indiens de cette architecture toute occidentale. Et au-delà, la confrontation de deux cultures que tout semblerait opposé. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 217 jours

Événement : Anselm Kiefer au Couvent de La Tourette

A Éveux (69), la transcendance se coule dans le béton armé. Anselm Kiefer confie d'ailleurs avoir découvert « la spiritualité du béton » en 1966 lors de son séjour au Couvent de La Tourette. Cinquante-deux ans plus tard, en parallèle de la Biennale de Lyon, les frères Dominicains invitent le plasticien allemand à dialoguer avec l'architecture brute de Le Corbusier. Visite d'une exposition aussi esthétique que mystique mêlant art, architecture et spiritualité. Niché dans la vallée de la Brévenne, le Couvent de la Tourette fut construit par l'architecte moderniste dans les années 1950 à la demande du Père Couturier. Érigé selon les « cinq points de l'architecture moderne » et la notion de « Modulor », ce complexe conventuel en béton armé est aujourd'hui emblématique de l'architecture brute du génie franco-suisse. Depuis 2009, les frères Dominicains qui occupent le couvent demandent chaque année à des artistes contemporains – tels que le Français François Morellet en 2009, le plasticien britannique Anish Kapoor en 2015 ou encore le créateur sud-coréen Lee Ufan en 2017 – d'investir l'édifice brutaliste. A l'occasion de la 12ème édition de l'événement, le frère Marc Chauveau, commissaire de l'exposition, invite Anselm Kiefer à dialoguer avec une architecture iconique. Radicales, les œuvres exposées – installations, peintures, sculptures et vitrines – ont toutes une dimension spirituelle forte, perceptible dès la lecture des titres donnés comme Résurrection, Jérusalem céleste ou Les Femmes martyres. Anselm Kiefer s'intéresse ici à la manière dont ses productions empreintes de religion peuvent s'inscrire de manière symbolique dans les espaces réalisés par Le Corbusier. À cela s'ajoute une scénographie savamment pensée qui dévoile la « spiritualité du béton », si évidente dans l'œuvre de Kiefer et le bâtiment moderniste. En voilà une rencontre surprenante entre art, architecture et religion ! Pour en savoir plus, visitez le site du Couvent de La Tourette Photographies : Anselm Kiefer et Jean-Philippe Simard Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 217 jours

BATIMAT 2019 – Optimiser apports solaires et lumière naturelle par la façade

Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. Sujet : Optimiser apports solaires et lumière naturelle par la façade Intervenants : Rodolphe Godin, Directeur Général – Tellier Brise Soleil Nelly Philipponnat, Présidente – Cekal Olivier Devès, Responsable Bâtiments durables – Velux France
Il y a 5 ans et 218 jours

Coldefy & Associés Architectes Urbanistes : Peuple Belge

L'agence française Coldefy & Associés Architectes Urbanistes livre un complexe mixte installé dans le Vieux-Lille (59). Surtout connu pour ses anciennes maisons en briques rouges, le quartier se dote désormais d'un édifice à la blancheur éclatante. Une réalisation dont l'écriture contemporaine tranche avec le paysage urbain alentour. Au 14 avenue du Peuple Belge, un complexe composé de quinze logements collectifs et de deux restaurants au rez-de-chaussée participe au renouveau architectural et au dynamisme du quartier du Vieux-Lille. Ce bâtiment s'élève dans un îlot urbain historique, à deux pas du musée de l'Hospice Comtesse et du Tribunal de Grande Instance de Lille. Ancrée dans un contexte architectural hétéroclite, le nouvel édifice structure l'angle de la rue Saint-Joseph et de l'avenue par sa silhouette singulière et sa matérialité travaillée. Immaculé et épuré, ce bâtiment en béton blanc présente une volumétrie en gradins. Le vocabulaire contemporain s'adapte ainsi aux multiples facettes du projet. Les grandes baies vitrées en partie basse ouvrent les restaurants sur la rue, tandis que dans les étages, l'écriture se densifie pour assurer aux habitants confort et intimité tout en leur permettant de bénéficier de vues imprenables sur la ville. L'édifice s'étend sur 1 900 mètres carrés dont 1 186 mètres carrés sont destinés aux logements quand 714 mètres carrés sont dédiés aux deux restaurants : Le Cerisier en Ville et La Griotte, les deux nouvelles adresses du chef étoilé Éric Delerue,Au rez-de-chaussée, la brasserie contemporaine La Griotte revisite la bistronomie de quartier. La salle du restaurant donne sur une cuisine ouverte et peut accueillir jusqu'à soixante-dix couverts. Contemporaine et raffinée, la décoration – des dalles de granit anthracite au sol, des tables en chêne massif, des luminaires en céramique – façonne l'ambiance conviviale du bistrot. À l'étage, niché dans un écrin de verre, le restaurant gastronomique Le Cerisier en Ville comprend des grands salons privés et un boudoir plus confidentiel, ainsi qu'un fumoir à cigares et un bar réservés aux gourmets les plus bons vivants d'entre nous. De quoi se sustenter en bas de chez soi. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Coldefy & Associés Architectes Urbanistes Photographies : Salem Mostefaoui Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 218 jours

BATIMAT 2019 – Améliorer le cadre de vie et le bien-être avec le bois

La Matinale de la construction bois en partenariat avec Wood Surfer Industrialisation, préfabrication, valorisation des bois locaux, bois d’ingénierie (CLT), impact carbone, cadre de vie, confort et bien-être, ou encore Jeux Olympiques… La construction bois joue dans la cour des grands et se rapproche de la première marche du podium. Nous verrons qu’avec elle le mot innovation prend tout son sens. Sujet : Améliorer le cadre de vie et le bien-être avec le bois Intervenants : Alain Paris, Architecte – Human Architecte Hidékazu Moritani, Architecte Associé – Studios Architecture
Il y a 5 ans et 218 jours

Dossier : Cinq jeunes designers français

Deux filles, trois garçons. Thomas Ballouhey, Fabien Cappello, Elise Fouin, Léonard Kadid et Hélène Labadie incarnent la crème de la crème des jeunes designers français. Une génération qui voyage, s'expose, crée librement. Zoom sur les cinq créateurs français du moment à suivre de très prés. Thomas BallouheyDiplômé de la Design Academy d'Eindhoven (Pays-Bas), Thomas Ballouhey a récemment installé son atelier dans la ville néerlandaise. Tel un archéologue du présent, le designer s'intéresse aux matériaux et aux modes de production. Dans sa série « Ways of Altering » [Manières d'altérer], par exemple, il associe des objets industriels – bancs, tabourets, tréteaux, entre autres – à des matériaux divers – carton, élastiques, polystyrène – et enduit le tout d'époxy et de sable pour produire des meubles hétéroclites dont l'aspect rudimentaire les fait s'apparenter à des trésors passés. Un résultat saisissant qui questionne les moyens de production de masse actuels. En octobre dernier, il participait à la cinquième édition de la Biennale Émergences à Pantin (93), puis à l'exposition collective « La Totale » au Studio Orta – Les Moulins (77). . Fabien CappelloAprès des études de design à l'ECAL (Suisse) et au Royal College of Art (Royaume-Uni), le jeune Français fonde son studio éponyme en 2010 à Londres. Il se fait rapidement connaître pour son utilisation créative de la fabrication et des ressources locales, ce qui lui vaut de partir en résidences en Corée, au Portugal et en Italie. De son apprentissage auprès des artisans locaux il construit sa propre approche du design et se tourne vers des modes de production sériels. Depuis 2015, il a installé son studio dans le centre historique de Mexico (Mexique), une métropole dynamique qui l'inspire quotidiennement. . Elise FouinElise Fouin étudie l'orfèvrerie à l'Ecole Boulle (Paris), avant de se former au design de mobilier. Une double formation qui la conduit à développer un style singulier bien à elle. Pour le Salone del Mobile (Milan) de 2016, la designer française réalise ainsi une scénographie immersive faite de textiles multicolores baptisée Sunbrellacanapy. Egalement textile, son luminaire Saika réalisé en collaboration avec le maître artisan nippon Yoshishige Tanaka est une création contemplative unique qui met en valeur les savoir-faire ancestraux, le hyogu – art de traiter le papier washi –, et le kakejiku – peinture sur papier ou sur soie enroulée sur un bâton. Une pièce qui a fait une forte impression en 2018 au salon parisien Maison & Objet. . Léonard KadidAujourd'hui concepteur de produits, Léonard Kadid s'est d'abord formé à l'architecture. Sur les bancs de l'université d'une part, à Ecole Polytechnique de Lausanne (Suisse) et à l'Ecole d'Architecture de la Ville et des Territoires Paris-Est. Auprès des grands noms de l'architecture d'autre part, Muoto, Dominique Perrault et Cigüe, Herzog & de Meuron. Son studio basé à Paris se concentre donc sur des projets divers, de l'architecture à la conception d'objet. En résulte des pièces travaillées telles que le système de table TAL conçu pour la scénographie de l'exposition « Réinventer la Seine » au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) en 2017. . Hélène LabadieDéjà quatre ans que la jeune Française a obtenu son master design d'objet à L'ESAD de Reims avec les félicitations du jury. Comme projet de fin d'études, elle a imaginé des fontaines d'apparat en verre. Un coup de maître pour un premier projet. Depuis, Hélène Labadie se donne une liberté d'artiste et signe des pièces créatives inspirées du septième art. Exposée au Bon Marché Rive Gauche en 2018, sa série de contenants « Les Noirs » dévoile la dimension anthropomorphique de son travail. Sa sensibilité artistique la pousse désormais vers la création de pièces sculpturales. . Photographies : 1) Thomas Ballouhey, Ways of Altering © Ronald Smits, Design Academy Eindhoven2) Fabien Cappello, Chambre With a view, Hôtel Dos Casas, 20173) Elise Fouin et Yoshishige Tanaka, Saika, 20184) Léonard Kadid, Tal table, 20175) Hélène Labadie, Les Noirs, 2018 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 218 jours

Présence humaine – Memories of a silent world, Brodbeck & de Barbuat

Un monde pour plusieurs planètes – Memories of a silent world Paris, New-York, Pékin, Rome. Cette exposition photographique consacrée à Brodbeck & de Barbuat est une représentation de plein air d’une vision intérieure et silencieuse. En collaboration avec la Galerie […] L’article Présence humaine – Memories of a silent world, Brodbeck & de Barbuat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 218 jours

Le Belaroïa, long continuum et salon urbain selon Manuelle Gautrand

L’agence Manuelle Gautrand Architecture a livré en septembre 2019 le Belaroïa (bijou en occitan), une opération mixte en plein cœur de Montpellier. Le bâtiment, situé en face de la gare Saint-Roch, accueille un hôtel 4*, un hôtel 3*, 12 logements […] L’article Le Belaroïa, long continuum et salon urbain selon Manuelle Gautrand est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 218 jours

Fabrizio Fiorentino Architecture : projets privés à Paris et à Rome

Passant de l’urbain à l’objet, du paysage à l’architecture, Fabrizio Fiorentino Architecture oeuvre à différentes échelles. L'agence livre aujourd’hui des projets d’architecture intérieure réalisés à Paris et à Rome, pour [...]
Il y a 5 ans et 218 jours

Le Mondial du Bâtiment ouvre ses portes

Évènement international de référence des secteurs de l’architecture, du bâtiment et de la construction, le Mondial du Bâtiment - INTERCLIMA, IDÉOBAIN et BATIMAT - ouvre ses portes du 4 au 8 novembre 2019 à Paris Nord-Villepinte. Les visiteurs ont rendez-vous avec près de 2.300 exposants et avec toutes les solutions innovantes du marché.
Il y a 5 ans et 219 jours

Grand Central Saint-Lazare de Ferrier Marchetti Studio : impressionniste !

Rue d’Amsterdam et de Londres, à Paris (IXe), Ferrier Marchetti Studio a livré en octobre 2019 Grand Central Saint-Lazare, un programme de bureaux, commerces et espaces publics d’une superficie de 23 600 m². Comme à Rouen, un nouvel hommage de […] L’article Grand Central Saint-Lazare de Ferrier Marchetti Studio : impressionniste ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 220 jours

2 parcelles, 5 maisons : métissage d’architecture par Philippe Tirot (T.8)

Sur deux parcelles pavillonnaires classiques rue Marcelle à Pantin (Seine-Saint-Denis), l’architecte Philippe Tirot (T.8 Atelier d’Architecture) est parvenu à insérer cinq maisons neuves, dont une en surplomb, au travers de ce qu’il appelle métissage d’architecture. Ou comment densifier dans son […] L’article 2 parcelles, 5 maisons : métissage d’architecture par Philippe Tirot (T.8) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 220 jours

[vidéo] Anna Chavepayre : la chantre de la préservation de l’habitat en campagne

Deuxième femme à recevoir le prix suédois d’architecture Kasper Salin, en 2018, Anna Chavepayre est reconnue pour ses positions avant-gardistes en matière d’architecture et d’aménagement du territoire. Invitée de la Nuit du Monde Festival au Théâtre des Bouffes du Nord, dans la nuit du 5 au 6 octobre, l’architecte franco-suédoise du Collectif Encore, qui vit aujourd’hui […]
Il y a 5 ans et 222 jours

Tristan Auer : Hôtel Sinner

Au nom du père, du fils et du Saint-Esprit, l'architecte d'intérieur Tristan Auer – à qui on doit notamment Les Bains et l'hôtel de Crillon – signe un établissement aux inspirations multiples, à l'image du Marais dans lequel il s'inscrit, quartier autrefois ecclésiastique, puis aristocratique, et aujourd'hui terre du cool parisien. Savant mélange d'excentricité et de luxe, le Sinner n'a pas fini de faire parler de lui. Fièrement installé rue du Temple (3ème arrondissement), l'hôtel Sinner ne pouvait pas mieux porter son nom. Mêlant dangereusement religion et esprit sulfureux, l'ouvrage signé Tristan Auer a tout pour devenir le nouveau spot à la mode du quartier branché de la capitale. Comprenant un restaurant, un bar, un spa privé et 43 chambres dont une suite, l'ensemble est caractérisé par d'impressionnants volumes et une atmosphère feutrée, à mi-chemin entre univers monacal et maison close. Arches géométriques et persiennes filtrant la lumière extérieure, vitraux contemporains ou éclairages à la bougie nous donnent en effet des envies de confession quand les salons privés et les œuvres érotiques nous invitent à nous désinhiber. Les couloirs obscurs menant aux 43 chambres sont peuplés de références au catholicisme et plongent les résidents dans une ambiance mystique qui se prolonge une fois les portes rouges des pénates franchies. Largement influencés par l'esthétique des cellules des moines, les appartements associent bois sombre des parloirs aux velours des robes d'évêques. L'unique suite - nommée Justine, en référence à l'ouvrage du Marquis de Sade - synthétise toutes les inspirations du lieu, entre vertu et péché. La messe est dite ! Pour en savoir plus, visite le site de Tristan Auer Photographies : Amaury Lappara Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 222 jours

Dans la tête de Jean Nouvel à Shanghai

La Power Station of Art de Shanghai présente la première exposition individuelle en Chine de Jean Nouvel. Intitulée Jean Nouvel, in my head, in my eye…belonging… (‘Jean Nouvel, dans ma tête, dans mes yeux… appartenant…‘ en français). L’occasion pour l’architecte […] L’article Dans la tête de Jean Nouvel à Shanghai est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 222 jours

OH!SOM architectes : La Capitainerie de Saint-Chamas

La jeune agence française OH!SOM architectes a récemment réalisée une capitainerie – équipement portuaire – pour la commune de Saint-Chamas (13). Volume minimaliste en béton brut, l'édifice actuel résulte d'un brillant travail de réhabilitation d'un hangar existant et d'une réflexion collective sur l'activité du port du Pertuis. Une réalisation petite par sa taille, mais grande par ses fonctions. A l'abordage ! Soumis au regard de l'architecte des bâtiments de France, la capitainerie de Saint-Chamas livrée en janvier 2019 consiste en la réhabilitation d'un ancien espace de stockage afin de le transformer en une capitainerie digne de ce nom. Installé sur le port du Pertuis et donc sujet aux aléas des intempéries maritimes, le nouveau bâtiment de 89 mètres carrés privilégie les matériaux durables tels que le béton pour limiter les risques d'inondation. Assurant aujourd'hui le renouveau de l'activité de pêche locale, l'édifice destiné aux pêcheurs de la commune a pour vocation d'améliorer la vie des professionnels en mettant à leur disposition des équipements modernes de conditionnement et de conservation du poisson, ainsi qu'un bureau surélevé. Également ouverte aux plaisanciers, la capitainerie est rendue accessible aux personnes à mobilité réduite. Le vocabulaire architectural épuré du bâtiment actuel s'inscrit dans l'architecture vernaculaire portuaire et s'inspire des arcades élégantes et régulières des équipements voisins, s'intégrant ainsi subtilement au site. Aussi esthétique que fonctionnel, l'ouvrage contribue également à l'amélioration du quotidien des pêcheurs et au développement du port du Pertuis. Un projet qui a le vent en poupe ! Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence OH!SOM architectes Photographies : Florence Vesval Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 223 jours

HABITER le Radisson Blu avec l’Atelier King Kong

L’Atelier d’architecture King Kong, qui signe le Dock G6 Radisson Blu livré en 2018 à Bordeaux (Gironde) est lauréat des Trophée Eiffel 2019 dans la Catégorie ‘Habiter’. Une résille métallique enveloppe l’intégralité du bâtiment vitré, pour intimiser les espaces. Dock […] L’article HABITER le Radisson Blu avec l’Atelier King Kong est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 223 jours

FRANCHIR un fleuve ferroviaire avec une passerelle signée Marc Mimram

L’agence Marc Mimram Architecture & Associés, qui signe la conception de la Passerelle Marcelle Henry, installée en 2017 et inaugurée en 2019 à Paris (XVIIe), est lauréate des Trophée Eiffel 2019 dans la Catégorie ‘Franchir’. Une structure fine et légère […] L’article FRANCHIR un fleuve ferroviaire avec une passerelle signée Marc Mimram est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 223 jours

Ardoises naturelles pour le Northern Star Council des Scouts américains

Le nouveau siège social du Northern Star Council des Boy Scouts of America, a été livré en 2018 à Saint-Paul, dans le Minnesota, aux USA, par l’agence d’architecture Cuningham Group de Minneapolis. Ce centre communautaire de 4 000m² à la […] L’article Ardoises naturelles pour le Northern Star Council des Scouts américains est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 223 jours

Événement : Affiches cubaines. Révolution et Cinéma

Soixante ans après la révolution, l'exposition « Affiches cubaines. Révolutions et Cinéma » présentée au MAD jusqu'au 2 février 2020 retrace l'histoire du design graphique cubain de 1959 aux années 2000 en célébrant les figures majeures du médium. Retour sur un laboratoire d'expérimentations visuelles et textuelles, entre propagande et création. Qui a dit que l'affiche était un art mineur ? Sûrement pas le Musée des Arts Décoratifs (1er arrondissement) qui met à l'honneur l'ampleur d'une école graphique longtemps restée méconnue. Jusqu'au 2 février, l'exposition présente en effet près de 300 affiches dont les plus incontournables de l'histoire de Cuba. Qu'elle soit culturelle, politique ou publicitaire, l'affiche est un objet de communication à la dimension artistique forte. Ce travail graphique, visuel et textuel, a pour vocation de séduire le spectateur grâce à un slogan percutant et un design travaillé. A Cuba, le médium se développe activement. Alors que certains designers graphiques s'alimentent de l'effervescence révolutionnaire, d'autres valorisent le septième art pour saturer la population d'images de propagande. Objet visuel attrayant placardé sur les murs des villes, l'affiche devient un instrument résolument politique. Le parcours, chronologique et monographique, ainsi que la scénographie dépouillée invitent le visiteur à comprendre les tumultes historiques de l'Etat insulaire et son impact sur la production graphique cubaine depuis 1959, date de la révolution et de l'arrivée de Fidel Castro au pouvoir. L'occasion donc de découvrir l'évolution du médium, notamment l'affiche de cinéma et ses figures majeures, comme René Azcuy Cardenas, Antonio Pérez González, dit Ñiko, Eduardo Muñoz Bachs et Antonio Fernández Reboiro. L'exposition met aussi l'accent sur l'esprit contestataire de la nouvelle génération de graphistes et leurs créations contemporaines.La manifestation célèbre ainsi tout un patrimoine stylistique qui demeure encore dans l'ombre des productions graphiques occidentales – notamment américaines – pour lui redonner ses lettres de noblesse et le replacer dans l'histoire globale du genre. En parallèle de l'événement, un ouvrage collectif dirigé par Amélie Gastaut la conservatrice en chef des collections design graphique et publicité est édité. Des activités sont également prévues : un atelier cinémato-graphico pour les jeunes et une soirée animée par des étudiants de l'école Boulle. Tout un programme ! Une exposition didactique qui vous fait plonger dans l'histoire politique et artistique de Cuba. Pour en savoir plus, visitez le site du MAD Visuels : MAD, Paris Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 223 jours

Trophée Béton Pro : Les lauréats

A la maison de l’architecture, à Paris, les membres du jury du Trophée Béton Pro ont récompensé 10 projets. Pour sa 2e édition, le concours organisé par Bétocib et le Cimbéton a reçu pas moins de 204 candidatures. Sous la présidence d’Etienne Tricaud, architecte-ingénieur et président de Bétocib, le jury a ainsi évalué la qualité architecturale et constructive des ouvrages. La réflexion en termes de pertinence de la mise en œuvre du béton, d’usage, d’esthétique, d’intégration dans le site, de performance structurelle et environnementale ou encore de durabilité… A l’issue d’une 1ère sélection, 25 dossiers ont été distingués, concourant pour la dernière ligne droite. En plus des 10 lauréats, le soir de la remise des trophées, 3 autres projets ont été couronnés d’une mention spéciale expérimentation et du prix du public via Facebook.
Il y a 5 ans et 224 jours

Une grande room avec View, sauf qu’elle est vide

Porte des Lilas, à l’est de Paris(XXe), l’agence Baumschlager Eberle Architekten a livré en 2018 un bâtiment de bureaux baptisé View (vue en français). Coût de construction : 46 M€. Une telle somme est un investissement ! L’ouvrage, plutôt réussi […] L’article Une grande room avec View, sauf qu’elle est vide est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.