Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour chaleur

(3583 résultats)
Il y a 2 ans et 121 jours

Obligation de DPE et interdiction de louer des passoires énergétiques : qui est concerné et comment y remédier ?

Cette interdiction va petit à petit concerner de plus en plus de logements. Quels sont donc les biens concernés ? Comment faire pour améliorer l’efficacité énergétique de son logement ? Et quelles sont les aides pour entreprendre des travaux ? Cotoit, syndic de copropriété en ligne, fait le point sur la situation.Un point sur les passoires thermiquesLe terme de passoire thermique, ou passoire énergétique, est fréquemment employé aujourd’hui. Il désigne un logement dont le DPE est de classe F ou G, énergivores, qui consomment trop de chauffage et sont mal isolés.En France, cela concerne principalement de vieux bâtiments non-rénovés qui datent d’avant 1975 c’est-à-dire avant l’instauration des premières règles sur l’isolation et de la première loi sur les économies d’énergie de 1978.Bientôt, la location de logements passoires thermiques sera interdite, parce que ces logements surconsomment en été comme en hiver. De ce fait, ils contribuent au dérèglement climatique par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre.Obligation d’audit et interdiction de location : le calendrierPour résoudre les problèmes liés aux logements passoires thermiques, les propriétaires devront réaliser un audit énergétique pour la vente de leur bien à compter du 1er avril 2023 pour les biens classés F&G. Cette mesure concernera les biens classés E en 2025 et les biens classés D en 2034.De plus, depuis le 24 août 2022, les propriétaires bailleurs ont l’interdiction d’augmenter les loyers des logements classés F et G si aucun travail de rénovation n’a été effectué. Les logements doivent, en effet, être au minimum classés E.Pour vendre ou louer un appartement passoire thermique, le propriétaire devra alerter les futurs occupants du montant des factures énergétiques. En cas de vente, le propriétaire devra quantifier les dépenses que devra effectuer le prochain propriétaire pour isoler le logement.A noter :L’énergie primaire correspond à l’énergie totale pour extraire, produire, acheminer l’énergie finale jusque chez vous. C’est la somme de toutes ces énergies.L’énergie finale, désigne l’énergie réellement livrée, consommée et facturée au consommateur. C’est l’énergie disponible.En 2023, un logement consommant plus de 450 kWh/m² par an d’énergie finale sera considéré comme indécent et donc, comme impropre à la location.À partir de 2025, un logement consommant plus de 420 kWh par an d’énergie primaire par mètre carré habitable par an sera impropre à la location. Sont concernés tous les logements classés G.En 2028, il sera interdit de louer des logements classés F. Les locataires pourront exiger du bailleur qu’il réalise des travaux de rénovation et d’isolation thermique.En 2034, les logements classés E seront considérés comme indécents et donc interdits à la location.En règle générale, pour faire sortir un logement de son état de passoire thermique, plusieurs actions correctives sont à réaliser en même temps.Comment améliorer son isolation thermique ?Le premier poste d’investissement consiste à bien isoler son logement. Une mauvaise isolation provoque des déperditions de chaleur importantes.Isoler la toiture et les combles permet une économie de chauffage de 30%Isoler les murs par l’intérieur ou l’extérieur permet d’économiser 25% d’énergie.Changer ses fenêtres et passer au double-vitrage permet d’obtenir 15% de plus.Opter pour une isolation d’un plancher bas offre 10% d’économie énergétique.Il existe d’autres sources de déperditions thermiques : air renouvelé, fuites par la cheminée, ponts thermiques autour des portes…Installer un système de chauffage performantUne fois que le logement est bien isolé, il faut s’équiper d’un système de chauffage qui offre un meilleur rendement.Il existe de nombreux choix tels qu’une pompe à chaleur air-eau, des radiateurs à inertie ou un poêle à bois et/ou à granulés.Améliorer la ventilationPour améliorer l’efficacité énergétique de son logement, il peut être judicieux de revoir sa ventilation. En effet, 20 % des déperditions de chaleur sont dues à un mauvais renouvellement de l’air. La ventilation est donc importante pour améliorer son confort thermique.On peut installer une ventilation mécanique (obligatoire dans les constructions neuves), notamment car son efficacité n’est plus à prouver. Les propriétaires peuvent avoir accès à des aides à la rénovation s’ils souhaitent changer les ventilations de leur logement passoire thermique.Rénovation énergétique : quelles aides pour financer les travaux ?MaPrimeRénov’ de l’AnahCette subvention de l’État est calculée en fonction des revenus et du gain écologique des travaux. MaPrimeRénov’ permet une prise en charge des travaux jusqu’à 90% pour les ménages modestes avec une dégressivité qui va jusqu’à 40% pour les ménages plus aisés.Le dispositif prévoit plusieurs bonus cumulables pour les passoires énergétiques si un gain énergétique d’au moins 55% est obtenu, ainsi qu’un bonus “sortie de passoire” pour les logements qui sortent des catégories F ou G, et enfin un bonus Bâtiment Basse Consommation (BBC) pour les habitations qui atteignent la classe énergie A ou B.Les travaux éligibles doivent être réalisés par un artisan qualifié RGE (reconnu garant de l’environnement). Autre condition indispensable : le logement doit être une résidence principale construite depuis au moins 15 ans.Les copropriétés peuvent aussi bénéficier de cette aide pour financer des travaux globaux sous l’égide du syndicat.L’éco-prêt à taux zéroLa plupart des travaux de réhabilitation d’une passoire énergétique peuvent bénéficier de l’éco-PTZ.Il s’agit d’un prêt sans intérêts pour les projets de rénovation énergétique. Son plafond passe à 50 000 euros en 2022, remboursables sur 20 ans.Une version de l’éco-prêt est aussi disponible pour les copropriétés.Le DPE : rappel et explicationsDepuis 2006, le DPE indique la performance énergétique d’un logement ou d’un bâtiment, en évaluant sa consommation d’énergie.L’étiquette énergétique (A, B, C, D, E, F et G) est calculée en fonction de deux facteurs : l’énergie primaire et les émissions de gaz à effet de serre. Depuis le 1er janvier 2023, l’énergie finale est obligatoire sur les DPE.Les seuils de chaque classe énergétique sont donc déterminés sur ces deux critères. Un logement est classé selon sa plus mauvaise performance, en énergie primaire ou en gaz à effet de serre.Le DPE liste les caractéristiques du logement : surface, orientation, matériaux des murs, des fenêtres, luminaires etc. ainsi que ses équipements de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation.Chiffres clefs sur les passoires thermiques en FranceLes statistiques du Ministère du Développement durable permettent de dresser un portrait robot des passoires thermiques. Sur les 30 millions de résidences principales au 1er janvier 2022, environ 1,5 million de logements seraient peu énergivores donc classés A et B.À l’opposé, environ 5,2 millions de logements soit 17% du parc de résidences principales seraient des « passoires énergétiques ».L’étiquette D est la plus fréquente soit 32% du parc immobilier.Les passoires énergétiques sont plus souvent des maisons individuelles que des logements situés dans un habitat collectif soit 19,6% contre 14,5%.Les logements les plus petits sont souvent les plus énergivores : près de 34% des logements de moins de 30 m² ont une étiquette F ou G, contre seulement 13% des logements de plus de 100 m².Les logements chauffés au fioul sont 44% à être classés F ou G ce qui est logique puisque le nouveau DPE prend en compte les émissions de gaz à effet de serre du logement.20% des Français déclarent avoir eu froid chez eux pendant au moins 24h durant l’hiver 2020-2021. Plus de 10% dépensent plus de 8% de leurs revenus dans leurs factures énergétiques.
Il y a 2 ans et 121 jours

Le Groupe BDR Thermea chauffe des habitations historiques grâce à des chaudières 100% hydrogène

Mené dans la ville de Lochem dans l’est des Pays-Bas, ce projet pilote est une première mondiale. Il consiste à chauffer 12 maisons individuelles à l’hydrogène. Construites dans les années 1900 et classées monuments historiques, ces maisons seront chacune équipées d’une chaudière brûlant l’hydrogène pur sans aucune émission carbone. L’hydrogène sera directement injecté dans le réseau de gaz existant situé dans une zone industrielle voisine.Né d’une collaboration entre BDR Thermea et Alliander, l’opérateur du réseau, ce projet durera trois ans. Des tests approfondis seront réalisés en hiver lorsque la demande en chauffage est la plus importante. Ces maisons ont délibérément été choisies comme parc immobilier résidentiel pour leur ancienneté mais également en raison de leur statut patrimonial.Bertrand Schmitt, PDG du groupe BDR Thermea déclare : « Le chauffage des bâtiments et de l’eau contribue de manière significative à la consommation d’énergie et aux émissions de CO2. : le chauffage des locaux représente 63,6% et le chauffage de l’eau 14,8% de la consommation d’énergie résidentielle de l’UE. La décarbonation des bâtiments est donc urgente et l’hydrogène est l’une des technologies clé pour y parvenir au même titre que les réseaux de chaleur, les pompes à chaleur électriques et les solutions hybrides qui combinent pompes à chaleur et chaudières à gaz. »Une étude récente, publiée par le cabinet de conseil Guidehouse, montre qu’un mélange de technologies de chauffage est le moyen le plus rapide pour réduire de 45% la consommation de gaz naturel en 2030. Ce mélange pourrait générer un avantage financier cumulé de plus de 520 milliards d’euros jusqu’en 2050.Les pompes à chaleur jouent un rôle clé dans la décarbonation du chauffage et conviennent parfaitement aux maisons bien isolées et aux nouvelles constructions. Les hybrides peuvent réduire rapidement les émissions de carbone dans les bâtiments existants moins isolés, en réduisant la consommation de gaz jusqu’à 70%. A terme, la consommation de gaz restante peut être réduite en utilisant des gaz renouvelables comme l’hydrogène vert.
Il y a 2 ans et 123 jours

Nuisances sonores et pompes à chaleur : quelles solutions ?

EXPLICATIONS. Alors que les règles de construction neuves interdisent pratiquement le recours à d'autres types de générateurs que la pompe à chaleur (Pac) et que certains annoncent qu'il est incontournable et indispensable d'en généraliser l'usage, depuis quelques mois, une nuisance nouvelle émerge : le bruit. Quelles solutions ?
Il y a 2 ans et 127 jours

qarnot computing leve 35 millions d euros pour deployer ses data centers

Qarnot Computing annonce avoir levé 35 millions d’euros pour continuer le déploiement massif de ses infrastructures IT pour les bâtiments et sites ayant besoin de chaleur. Spécialiste de l’exploitation de la chaleur « fatale » informatique, les solutions Qarnot permettent notamment de réduire la facture écologique et économique de ses clients.
Il y a 2 ans et 129 jours

Catastrophes météo majeures aux Etats-Unis : un coût de 165 milliards de dollars en 2022

Ce montant annuel représente le troisième plus haut depuis que ces données sont suivies par l'Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA) en 1980. L'événement de loin le plus coûteux en 2022, l'ouragan Ian ayant dévasté la Floride fin septembre, a causé à lui seul 112,9 milliards de dollars de dommages.Les deux années ayant enregistré davantage de dégâts par le passé sont 2005 (ouragan Katrina) et 2017 (ouragans Harvey et Irma).Les Etats-Unis confirment ainsi leur place particulière à l'échelle du globe. L'ouragan Ian a aussi été de loin la catastrophe la plus coûteuse dans le monde, selon un bilan du réassureur Munich Re également publié mardi, qui a estimé les pertes globales à 270 milliards de dollars."Aux Etats-Unis, nous avons de façon constante eu à la fois le plus grand nombre -- davantage que n'importe quel autre pays chaque année -- et la plus grande diversité de types d'extrêmes météorologiques", a souligné lors d'une conférence de presse l'administrateur de NOAA, Rick Spinrad."Le changement climatique crée de plus en plus d'événements extrêmes causant des dégâts importants, et provoque souvent des dangers en cascade, comme une sécheresse intense suivie par des incendies dévastateurs, suivis par de dangereuses inondations et glissements de terrain", a-t-il ajouté.Pour son calcul, l'agence américaine prend en compte les destructions de bâtiments, d'infrastructures publiques (ponts, routes...), le manque à gagner pour les commerces, ou encore les pertes pour l'agriculture -- mais pas les coûts en soins de santé ou d'autres coûts indirects.Après Ian, le deuxième événement le plus coûteux a été la vague de chaleur et la sécheresse ayant touché l'ouest et le centre des Etats-Unis, avec une facture à plus de 22 milliards de dollars (notamment liée aux pertes de cultures, ou encore touristiques). Des inondations ont également touché le Kentucky et le Missouri en juillet, et des tornades ont ravagé certaines parties du sud-est des Etats-Unis fin mars.18 désastres majeursAu total, les Etats-Unis ont expérimenté l'année dernière pas moins de 18 désastres météorologiques avec un coût de plus d'un milliard de dollars, soit également la troisième année avec le plus grand nombre de ces catastrophes – derrière 2020 et 2021.Cette concentration d'événements météorologiques majeurs ces dernières années pointe vers "une nouvelle normalité", a averti NOAA.Entre 1980 et 2022, le nombre annuel de ces catastrophes était d'en moyenne huit. Mais en ne considérant que les cinq dernières années, la moyenne s'envole à 17,8 par an.Les experts martèlent que cette hausse est une conséquence directe des émissions de gaz à effet de serre, qui réchauffent la planète. Les saisons des feux sont par exemple rallongées, et la hausse du niveau de la mer aggrave les inondations lors de tempêtes.Les huit dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées à l'échelle mondiale, selon un rapport européen également publié mardi. Or les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis ne sont pas en recul: elles ont légèrement augmenté en 2022 par rapport à l'année précédente (+1,3%), selon une analyse du groupe de recherche Rhodium Group mardi."Climat du 21e siècle"Ces 18 catastrophes majeures recensées par NOAA ont causé la mort de plus de 470 personnes, selon son rapport.Le montant de 165 milliards pourrait encore augmenter de quelques milliards, car les coûts liés à la vague de froid extrême ayant touché le nord des Etats-Unis fin décembre n'ont pas été tous arrêtés.Et comme ce rapport ne prend en compte que les désastres majeurs, le coût total lié aux événements météo est encore supérieur, en ajoutant les plus petits. Les catastrophes les plus grosses représentent toutefois une proportion croissante du total au fil des années, selon l'agence (environ 85% en 2022).Outre la fréquence accrue de ces désastres, l'augmentation des coûts est en partie liée à une croissance de la population (et donc à l'accumulation des biens) dans des zones à risque, par exemple sur les côtes."Il existe un besoin croissant de nous focaliser sur où nous construisons, comment nous construisons, et sur les investissements pour rénover les infrastructures en accord avec le climat du 21ème siècle", a souligné NOAA.Depuis 1980, les Etats-Unis ont subi 341 événements météo à plus d'un milliard de dollars, pour un coût total d'environ 2,5 millions de milliards.
Il y a 2 ans et 129 jours

Quels sont les équipements de chauffage les plus économiques ?

Quand on souhaite remplacer son système de chauffage, il ne suffit pas de comparer uniquement l'investissement de départ / à terme, la part que représente l’achat du combustible est beaucoup plus importante.Hello Watt a étudié les modes de chauffage à travers une facture annualisée qui prendrait en compte.1/20ème de l’investissement de départ (20 ans étant la durée de vie moyenne de tous les appareils de chauffage)Une année de combustible, en considérant un prix moyen sur les 20 prochaines années basé sur une augmentation annuelle de 5% pour les énergies fossiles, 3% pour l’électricité et le bois*Les calculs ont été effectués pour une maison de 100 m2, avec 12.000 kWh de chaleur nécessaire.Hello Watt a considéré les rendements suivants :Pompe à chaleur : Coefficient de performance = 3 (pour 1 kWh d’électricité, 3 kWh de chaleur sont produitsPoêle à bois : 95%Chaudière biomasse : 95%Chaudière gaz Très Haute Performance Énergétique : 90%Radiateurs électriques Haute Performance : 100%Propane : 85%Vieille chaudière fioul : 80% Convecteurs électriques (dit « grille-pain ») : 80%Hello Watt a négligé le coût d’entretien des équipements dans les calculs car il est quasiment égal entre chaque équipement. Par exemple, l’entretien d’une chaudière gaz coûte 125 €/an, quand l’entretien d’une pompe à chaleur coûte 250 € tous les 2 ans.*Pour 2023, pour l’électricité et le gaz, nous avons appliqué 15% d’augmentation au lieu de 5% pour le gaz et 3% pour l’électricité, suite aux annonces gouvernementales.Le classement des systèmes de chauffagePour les ménages équipés d’un réseau d’eau chaude (cas des maisons anciennement équipées d’un chauffage au gaz ou au fioul par exemple).Podium des meilleurs systèmes de chauffage pour les ménages équipés d'un réseau d'eau chaude, selon Hello Watt1er : Pompe à chaleur air-eau Même si elles peuvent être chères à l’achat, les pompes à chaleur sont largement subventionnées. Elles fonctionnent à l’électricité, une énergie relativement chère, mais transforme un kWh consommé en 3 kWh de chaleur produite. Cela permet d’avoir une consommation très faible, ce qui en fait le système de chauffage le plus intéressant à installer aujourd’hui. 2ème : Chaudière biomasse Ces chaudières utilisent un combustible peu cher : le bois. Elles sont écologiques, mais il faut pouvoir stocker les granulés ou les bûches ! 3ème : Chaudière gaz Si le logement est raccordé au réseau, le gaz naturel est l’option à privilégier. Sinon, c’est du gaz propane en citerne qu’il faudra utiliser. Non adapté : Chauffage tout électrique Interdit : Chauffage au fioulPour les ménages qui ne sont pas équipés d’un réseau d’eau chaude (cas des maisons anciennement équipées de chauffage électrique par exemple).Podium des meilleurs systèmes de chauffage pour les ménages qui ne sont pas équipés d'un réseau d'eau chaude, selon Hello Watt1er : Pompe à chaleur air-air La pompe à chaleur air-air puise les calories présentes dans l'air extérieur puis les diffuse à l'intérieur du logement sous forme d'air chaud. 2ème : Poêle à granulés Même s’il est plutôt à envisager sous forme de chauffage d’appoint, le poêle à bois reste une solution écologique et économique.3ème : Chauffage électrique Se chauffer exclusivement à l’aide de radiateurs électriques revient très cher. Dans ce cas, l’installation de panneaux solaires pour produire sa propre électricité peut être une très bonne option. Non adapté : Gaz naturel, propane, chaudière biomasse, pompe à chaleur air-eau Interdit : Chauffage au fioulDétails des calculs Prix des combustiblesPrix d’achat d’une installation neuveOn constate, pour certains appareils de chauffage, des variations importantes d’investissement en fonction des revenus. Même si la part de l'investissement initial est moins déterminante que celle du combustible, les revenus d’un ménage peuvent donc faire légèrement varier le choix du meilleur système de chauffage.C’est pour cela que chaque cas est particulier, et qu’il est important de faire appel à un expert comme Hello Watt pour trouver le bon système de chauffage dans sa situation.
Il y a 2 ans et 130 jours

Nouvelle fenêtre Prismatic Oknoplast avec poignée centrée

Ce nouveau modèle se distingue par son design épuré et ses hautes performances d'isolation. Grâce à un profilé affiné de 76 mm et un battement central de 120 mm, il propose de plus grandes surfaces vitrées qui laissent entrer plus de lumière à l'intérieur de l'habitat. Salon, bureau, cuisine, chambre..., toutes les pièces de la maison profitent d'une grande clarté à laquelle s'ajoute de remarquables performances thermiques, pour un plus grand confort et d'importantes réductions de la consommation d'énergie.Harmonie & designAvec son design exceptionnel, la nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST répond aux dernières tendances architecturales avec des formes plus modernes, sans arrondis. Conçue pour une harmonie parfaite, la PRISMATIC est un élément de décoration qui sublime l'habitat. Et pour mettre en avant et affiner ce profilé élégant, OKNOPLAST propose une nouvelle poignée centrée très esthétique.24 couleurs de plaxage sont également disponibles afin de donner un caractère unique aux pièces de la maison. Couleur béton brut ou effet bois, le plaxage peut être choisi en fonction du style de l'habitation.À la pointe des dernières innovations sur le marché, la fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST combine design et technologie.« PRISMATIC est une fenêtre destinée aux personnes qui recherchent une solution complète. L'association d'un profilé exclusif et moderne, et d'un grand vitrage n'est pas seulement esthétique, mais offre également plusieurs fonctions : avant tout, la fenêtre «capte» les rayons du soleil, ce qui rend l'intérieur nettement plus lumineux, plus confortable et plus chaleureux. En même temps, grâce à la faible perte de chaleur, notre produit permet d'augmenter les économies de chaque maison », déclare Mike Żyrek, directeur recherche et développement du groupe OKNOPLAST.Un vitrage 4xglass pour une isolation thermique et acoustique renforcéeLa finesse du profilé de la nouvelle PRISMATIC OKNOPLAST réduit la quantité de PVC utilisé dans la production de la fenêtre. Le vitrage 4Xglass plus grand, aux propriétés thermiques élevées, permet de profiter d'espaces plus lumineux et agréables en toute saison. Innovant, il est composé d'une vitre de 4 mm d'épaisseur, de deux vitres de 3 mm d'épaisseur et de deux intercalaires de largeur différentes : 18 mm et 16 mm. Avec ces différentes épaisseurs des vitres et des intercalaires, le vitrage 4Xglass constitue une protection efficace contre les déperditions de chaleur et supprime la sensation de parois froides à l'intérieur de l'habitat.La nouvelle fenêtre PRISMATIC OKNOPLAST dispose de belles performances d'isolation avec son profilé de classe A à 5 chambres qui garantit une protection phonique, supprime les déperditions thermiques, les infiltrations d'air et la condensation. Grâce à un triple joint, la fenêtre PVC PRISMATIC assure une très bonne isolation thermique de la maison, ce qui permet de réduire les dépenses en chauffage. De plus, avec une épaisseur de vitrage allant de 24 à 48 mm, elle offre également une très bonne isolation acoustique, idéale pour un intérieur calme. Elle affiche ainsi un coefficient de performance thermique Uw = 0,78 W/(m²K)* et un coefficient d'isolation phonique Rw = 34 dB**.La sécurité avant toutLes fenêtres étant avec les portes la principale voie d'accès des cambrioleurs, OKNOPLAST a doté sa nouvelle fenêtre PRISMATIC d'une nouvelle génération d'équipements destinés à assurer la sécurité des biens et des personnes : renforts brevetés des ouvrants et dormants, double point de sécurité, vitrage retardateur d'effraction, ainsi que deux gâches anti-effraction vissées dans le renfort en acier du dormant. Les classes de résistance RC1 ou RC2 sont disponibles en option.* Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de Ug=0,5W/(m²K) munie d'un intercalaire Warmatec.** Pour une fenêtre de référence avec un vitrage de 4/18/3/16/3
Il y a 2 ans et 130 jours

UMGCCP et GRDF partenaires pour décarboner le secteur du logement à l'aide d'équipements gaz et gaz verts

L’UMGCCP, Union Métiers de la fédération française du bâtiment (FFB) et GRDF, principal distributeur de gaz en France, signent un partenariat de 3 ans pour accompagner les entreprises et artisans chauffagistes vers une utilisation efficace et sobre de l’énergie.Pour Pascal Housset : « ce partenariat initié permet de mutualiser nos expertises respectives afin de favoriser le déploiement de technologies innovantes, telles que la pompe à chaleur hybride gaz - la PAC hybride -. Nous partageons avec GRDF la conviction qu’un mix énergétique diversifié, s’appuyant sur la complémentarité des énergies et sur les atouts du gaz et du gaz vert, reste la meilleure solution au profit des consommateurs français. »Pour Laurence Poirier-Dietz : « le renouvellement de cet engagement illustre notre volonté commune de faire du gaz une énergie essentielle pour atteindre la neutralité carbone dans les bâtiments, grâce à l’essor des gaz verts. La France ne peut se passer du gaz pour décarboner le secteur du logement. »Maintenir une diversité de solutions, indispensable pour réussir la transition écologique à un coût acceptableDans les logements collectifs comme individuels chauffés au gaz, la chaudière à très haute performance énergétique (THPE) permet de réduire immédiatement jusqu’à 30 % les consommations d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre et la facture des particuliers et des entreprises. L’installation de chaudières THPE - solution techniquement robuste - est totalement maitrisée par les installateurs comme par les professionnels de la maintenance et ce, à un coût compétitif.PAC hybride, une solution adaptée au chauffage des logements en rénovation comme neufs ...Dans les logements individuels déjà raccordés au gaz, et dans les bâtiments neufs à proximité du réseau de gaz, l’installation de PAC hybride permet également de décarboner les bâtiments. L’équipement combine une PAC électrique de moyenne puissance et une chaudière gaz THPE grâce à un système de régulation intelligent, qui permet jusqu’à 40 % d’économies d’énergie par rapport à une ancienne chaudière. La PAC hybride apporte une réponse à la nécessaire question de l’efficacité énergétique en alliant les atouts des deux technologies. Cette solution illustre parfaitement la complémentarité nécessaire des énergies pour la maitrise des coûts et le pouvoir d’achat des clients. Conforme à la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs - la RE2020 - la PAC hybride est une solution adaptée aussi bien à la rénovation qu’aux logements neufs.... et compatible avec le gaz vertLe gaz vert, énergie renouvelable produite localement à partir de matières organiques et de déchets des territoires, permet d’augmenter la part d’énergie renouvelable dans les consommations d’énergie. Dès 2030, les gaz renouvelables pourraient représenter 20 % de la consommation de gaz ; en 2050, la France a le potentiel de couvrir 100 % de sa demande de gaz grâce aux gaz renouvelables. Le gaz vert est déjà 100 % compatible avec les équipements gaz.Professionnalisation de la filière et partage d’expertises, au cœur du partenariatLes adhérents de l’UMGCCP pourront se professionnaliser afin de se prévaloir de « mentions » pour attester de leur expertise et de leur engagement pour valoriser certaines solutions - mentions « PAC hybride » ou encore « acteur engagé gaz vert » -. L’évacuation des produits de combustion est également un sujet central en rénovation pour les logements collectifs et fait l’objet d’une mention « conduit de fumée ».
Il y a 2 ans et 131 jours

Calixta, nouvelle application thermique 2.0 au service des professionnels du chauffage & de la climatisation

Dans le cadre de l’objectif de neutralité carbone visé par l’Accord de Paris d’ici 2050 et afin de poursuivre son ambition de lutte contre la précarité énergétique, l’État a mis à la disposition des particuliers de nombreuses aides financières pour les aider à améliorer la performance de leur habitat. Pour bénéficier de ces dispositifs, ils doivent faire appel à des artisans labellisés RGE, garants de la qualité des travaux.C’est dans ce contexte visant à professionnaliser l’approche de la rénovation énergétique que la société Wendel lance Calixta, une nouvelle solution web, tout en un, de dimensionnement et de chiffrage thermique pour les installateurs chauffagistes, climaticiens et auditeurs énergétiques. En quelques clics, cet outil leur permet de réaliser l’étude thermique, de chiffrer et comparer les différentes solutions de chauffage et de climatisation d’un projet, tout en minimisant les risques d’erreurs. Un assistant digital au service des prosLa nouvelle application en ligne Calixta, accessible depuis n’importe quel navigateur, marque une avancée majeure dans l’univers de la rénovation énergétique. Elle a été créée pour aider les professionnels à déterminer, pour chaque projet, la meilleure solution thermique pour leurs clients, en fonction de la nature de leurs logements, des aides auxquelles ils ont droit et du coût des énergies. Des fonctionnalités avancéesPensé comme une boîte à outils, tout en un, Calixta offre aux installateurs, à partir d’un plan du logement, les fonctionnalités suivantes : 1. Le calcul des déperditions thermiquesEn fonction des données relevées sur le chantier (superficie, nature des murs, isolation, etc.) et des apports de chaleur de chaque pièce, Calixta détermine les déperditions thermiques. En s’appuyant sur la norme EN 12831, le logiciel garantit un résultat de dimensionnement fiable des générateurs. 2. Le dimensionnement automatique et précis de plusieurs variantes.En simulant différents équipements de chauffage et de climatisation (chaudière hybride, pompe à chaleur, poêle à bois, VMC, etc.) pour un projet, Calixta guide le professionnel dans son choix.Elle lui donne la possibilité de comparer les propositions et sélectionner la plus performante thermiquement en fonction des spécificités du logement, des besoins de ses clients et des aides à la rénovation dont ils bénéficieront. 3. Le chiffrage completPour chaque solution, Calixta liste l’intégralité des composants nécessaires au chantier (émetteurs, accessoires, fumisterie, plomberie, etc.). 4. La réalisation du dossier completIl comprend l’étude (estimation de la consommation d’énergie annuelle des systèmes chiffrés, etc.), les dimensionnements, les devis et les fiches techniques des produits proposés ainsi que les aides de l’État rattachées au projet.Avantage indéniable, cet audit énergétique per- met à l’artisan de se prévaloir de tout recours en cas d’inspection des organismes de contrôle RGE ou de contestation de la part du client. Des tarifs adaptésAfin de s’adapter à la taille et à l’activité de ses clients, le logiciel Calixta est proposé selon différents tarifs, avec 30 jours d’essai gratuits : de 69€ à 119€ HT par mois et par utilisateur.Offre de lancement à 99€ HT / mois la première année.Prix sur demande pour des entreprises réalisant plus de 70 études par an. Bénéficiant de véritables innovations dans la conception de sa riche base de données produits et dans les algorithmes pour générer, en quelques clics, le dimensionnement et le chiffrage complet d’un projet de rénovation thermique, Calixta est aujourd’hui l’unique application en ligne sur le marché à proposer ce service qui constitue un gage de professionnalisme pour ses utilisateurs. www.calixta.net
Il y a 2 ans et 131 jours

Protection des réseaux d’eau potable : Watts propose une gamme complète de solutions antipollution pour répondre aux exigences de l’arrêté du 10/09/2021

Applicable dès le 1er janvier 2023, l’arrêté du 10 septembre 2021 définit les situations exigeant la mise en place de dispositifs de protection des réseaux d’adduction et de distribution d’eau potable contre les pollutions par retours d’eau. Celle-ci, de même que leur entretien, incombe à tous les acteurs des installations en eau, du concepteur aux propriétaires des réseaux intérieurs (lieux de travail, logement collectif, Etablissement Recevant du Public…). Pour aider chacun à respecter les dispositions de l’arrêté, Watts, fournisseur leader en protection anti-pollution des réseaux d’eau au travers de sa marque Socla, dispose d’une large gamme de solutions parfaitement adaptées aux contraintes de chaque installation. Parmi elles : son offre complète de clapets anti-retour et de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie. Que dit l’arrêté relatif à la protection des réseaux d’eau potable ? Distribuée au travers d’un réseau de plus en plus complexe et de canalisations maillées entre elles, l’eau potable est exposée à des variations de débit et de pression. En cas de siphonage ou de refoulement, ces phénomènes peuvent entraîner un retour d’eau. Autrement dit, une inversion du sens normal de circulation de l’eau susceptible de polluer l’eau potable par des eaux impropres à la consommation humaine ou des fluides circulant dans les réseaux intérieurs. Afin d’éviter toute contamination, l’arrêté impose que tout équipement raccordé à un circuit d’eau potable soit pourvu de dispositifs de protection correspondant au niveau de risque du fluide (classé sur une échelle de 1 à 5 selon sa dangerosité). Conformes aux exigences de sécurité sanitaire, accessibles, démontables et contrôlables, ils doivent être placés à différents points du réseau. Au plus près des équipements : une protection fiable assurée par les disconnecteurs de type BA et CA Contre les retours de fluide pollués de la catégorie 3 à la catégorie 4 présentant respectivement un certain danger pour la santé du fait de substances toxiques ou un risque toxicologique, Watts préconise les disconnecteurs à zone de pression réduites contrôlables Socla de type BA et non contrôlables de type CA. Le disconnecteur contrôlable BA2860 protège les réseaux d’eau potable en interrompant l’alimentation d’eau par auto-vidange et mise à l’égout du fluide de niveau 4 en cas de danger de retour dans la canalisation principale. Il comprend : – trois zones de pression (amont, intermédiaire et aval), – deux dispositifs de non-retour indépendants séparant la zone intermédiaire de chacune des autres zones, normalement fermés hors eau, – un dispositif de décharge à l’air libre installé avec un entonnoir muni d’une garde d’air. Situé dans la zone intermédiaire, il est normalement ouvert en situation hors eau. D’une grande fiabilité de fonctionnement, le disconnecteur contrôlable BA2860 garantit un haut niveau de sécurité dans un grand nombre de réseaux qu’il soit professionnel (chimie, agro-alimentaire…), sanitaire (milieu hospitalier, traitement de l’eau…), technique (chauffage, climatisation…) ou incendie. Le disconnecteur non contrôlable CA 2096 convient plus particulièrement pour les installations à moindres risques, en contact avec des fluides de catégorie 3 (chauffage domestique inférieur à 70 Kw, installation de pompes à chaleur, équipements de laboratoire…). Il se compose de deux clapets de non-retour séparés par une chambre communiquant avec l’atmosphère. La fermeture de cette chambre est obtenue par un obturateur lié au clapet amont. En cas de dépression à l’amont de l’appareil ou de surpression à l’aval avec fuite au deuxième clapet, la chambre intermédiaire est mise à l’atmosphère, ce qui entraîne la séparation des circuits amont et aval et interdit tout retour d’eau polluée. Au niveau des piquages : une sécurité garantie grâce aux disconnecteurs d’extrémité HA Pour éviter tout retour d’eau polluée par des fluides de catégorie 2/3 dans le réseau par disconnexion en cas de siphonage ou de surpression, le disconnecteur d’extrémité HA216 s’intercale sur tous les robinets de puisage et d’arrosage entre le flexible et le nez du robinet. A double protection, il est équipé, dans le sens de l’écoulement, d’un clapet de non-retour à ressort avec obturateur à guidage axial et d’un système casse-vide dont l’étanchéité est assurée par une membrane. C’est ce dernier qui assure une vidange de l’aval à l’arrêt du débit et évite, en cas de dépression sur le réseau d’eau potable, toute contamination par fuite éventuelle du clapet de non-retour. Non générateur de coups de bélier, il bénéficie en plus d’une grande robustesse. Au point de livraison : l’efficacité des clapets antipollution EA Recommandés pour le montage après le compteur d’eau, le clapet antipollution EA 251 protège le réseau d’eau potable de toute contamination par des liquides pollués ne représentant pas un risque toxique ou microbiologique pour la santé humaine (fluides de catégorie 2). Accompagné obligatoirement d’un robinet d’arrêt, il se compose d’un corps en laiton, d’un clapet anti-retour à ressort avec obturateur à double guidage axial et de deux prises de pression sous forme de bossage taraudés qui délimite deux zones différentes : – Amont ou d’entrée pour le contrôle de l’étanchéité du clapet ainsi que le prélèvement pour vérification de la qualité de l’eau distribuée, – Aval ou de sortie pour la vidange de l’installation et le prélèvement intérieur pour contrôle de la qualité de l’eau utilisée. Fonctionnant dans toutes les positions par des températures de -10°C à 65°C en continu (maximum 80°C pendant 1h), il s’installe au point de livraison, au niveau des piquages. Outre la mise en place de dispositifs de protection sur les réseaux d’eau intérieurs, l’arrêté du 10 septembre 2021 exige enfin leur entretien et leur maintenance par un professionnel qualifié a minima une fois par an. Une procédure simplifiée grâce au service dédié de Watts, le CRAN, ou encore son application DigiscoTM qui permet de planifier les interventions sur les disconnecteurs de type BA, CA et clapets EA à brides. De plus, l’application offre la possibilité de remplir et d’envoyer les formulaires de contrôle directement depuis son smartphone. De quoi avoir l’assurance pour tous les acteurs de l’alimentation en eau (bureaux d’études, installateurs, exploitants du réseau…) de disposer d’une installation toujours parfaitement conforme aux dispositions réglementaires en vigueur ! www.wattswater.fr
Il y a 2 ans et 131 jours

Twin’AirDF 90 : VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMC et éligible à MaPrimeRénov’

Des dispositifs tels que MaPrimeRénov ont été mis en place pour aider les ménages à améliorer le confort de leur logement et réduire le coût des travaux. Cette aide permet de financer une partie des dépenses engendrées par les travaux d’isolation, de chauffage ou encore de ventilation.Primordiale pour assurer un air sain dans les espaces intérieurs, mais aussi pour préserver le confort et la santé des occupants, la ventilation permet également de limiter les pertes thermiques et les fuites énergétiques qui pourraient être générées par l’ouverture répétée des fenêtres en hiver. AUTOGYRE, spécialiste du traitement de l’air et de la ventilation depuis 70 ans, propose sa nouvelle VMC Double Flux monobloc avec by-pass intégré : la TWIN’AIR DF 90.Conçu et fabriqué en France, ce système tout-en-un améliore l’air intérieur et le confort thermique, tout en conservant la chaleur en hiver et la fraîcheur en été. Avec un rendement pouvant atteindre 86% et un classement énergétique A, il limite les pertes d’énergie et permet de réaliser jusqu’à 14% d’économies sur la facture de chauffage. Grâce à sa certification NF VMC, il permet de profiter des subventions MaPrimeRénov’ et CEE selon les revenus du foyer.La VMC Double Flux : Comment ça fonctionne ?La VMC Double Flux est un système d’extraction et d’insufflation motorisé avec échange thermique entre l’air vicié et l’air neuf. Elle permet d’expulser l’air pollué vers l’extérieur et de filtrer l’air entrant. L’air vicié passe par un échangeur thermique avant d’être rejeté à l’extérieur. L’air neuf, sans se mélanger à l’air pollué, récupère l’énergie en traversant l’échangeur de flux croisés. Ainsi thermiquement tempéré, cet air sain est diffusé dans les pièces principales par les bouches d’insufflation via le caisson de répartition.VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMCMonobloc, la nouvelle VMC autoréglable TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE est conçue pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements neufs ou en rénovation, de 2 à 7 pièces principales, équipés d’une cuisine et jusqu’à 6 sanitaires.Elle est conforme aux exigences fixées par le référentiel de certification de la marque NF VMC (NF 205) et est donc éligible à MaPrimeRenov’ qui offre jusqu’à 3000 € d’aide selon les revenus du foyer. Équipée d’un caisson économe en énergie avec un moteur basse consommation électrique de classe A, la VMC TWIN’AIR DF 90 répond à la RE2020 et convient pour les constructions basse consommation et les maisons passives.Economies d’énergieDotée de 2 vitesses, la VMC TWIN’AIR DF 90 s’adapte au plus juste des besoins et offre un excellent confort de vie. Son échangeur thermique récupère jusqu’à 86% des calories contenues dans l’air extrait et permet de réaliser une économie de 14% sur la facture annuelle de chauffage.Une sonde qui mesure l’humidité du logementLa VMC TWIN’AIR DF 90 est équipée d’une sonde qui détecte l’humidité globale dans la maison. Dès que le taux dépasse 75%, la VMC passe en grande vitesse. Elle repasse en petite vitesse après 30 minutes si l’humidité a été évacuée. Le passage en grande vitesse peut être activé par un commutateur installé dans la cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse automatiquement en petite vitesse.Une filtration renforcée et facilement accessibleDisposant d’une filtration G4 pour l’air vicié, la VMC TWIN’AIR DF 90 protège l’échangeur de la poussière et de l’encrassement, ce qui garantit la performance et la longévité de l’installation.La filtration renforcée classe M5 de l’air entrant élimine moisissures, allergènes, particules moyennes et bactéries.Par ailleurs, un témoin lumineux, situé sur le boîtier sans fil de gestion des filtres, alerte l’utilisateur lorsque les filtres d’extraction et d’insufflation doivent être remplacés.Un by-pass intégré pour un meilleur confort thermiqueLa VMC TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE dispose d’un by-pass partiel à commande automatique. Cet équipement dévie l’air neuf afin de l’insuffler directement dans le logement.L’échange thermique est ainsi diminué et l’air entrant continue d’être filtré si bien qu’il peut rafraîchir l’air intérieur en été quand la température extérieure est inférieure à celle de l’habitat, ce qui offre d’avantage de confort notamment la nuit.Le by-pass peut aussi récupérer la chaleur extérieure de mi-saison en insufflant l’air chaud vers l’intérieur après avoir été filtré. Il contribue au confort en réduisant l’amplitude thermique entre intérieur et extérieur.2 positions d’installationLe caisson de la VMC TWIN’AIR DF 90 peut s’installer dans 2 positions : au sol dans les combles, au mur dans une pièce technique ou dans une buanderie.Composition du CAISSON VMC TWIN’AIR DF 90 1 caisson motorisé avec échangeur, 1 bouton poussoir Grande Vitesse temporisée 30 mn, 1 boîtier sans fil de gestion du remplacement des filtres par témoin lumineux (pile fournie) et 4 colliers de fixation métallique.Kits d’accessoires TWIN’AIR DF 90 disponibles : kit Réf. 913107 : 2 caissons NÉO 125 (extraction et insufflation), 1 bouche Design cuisine Ø 125 mm, 9 bouches Design sanitaires Ø 80 mm, 8 régulateurs de débit 30 m3/h Ø 80 mm, 2 chapeaux de toiture carrés ø 125 tuile/ardoise et 1 ruban alu 30µ 50 mm x 10 ml.Kit Réf. 913108 comprend le contenu du kit Réf. 913107, 2 gaines PVC isolées Ø 125 mm x 10 ml, 9 gaines PVC isolées Ø 80 mm x 10 ml et 3 lots de 10 colliers serrage 60/215.
Il y a 2 ans et 135 jours

Pose de la première pierre du projet "Le 8ème Chemin" à Bron

Première opération de Léon Grosse Immobilier dans la métropole lyonnaise, ce projet mixte porte sur la réalisation de bureaux neufs, de logements et de divers services.Implanté à Bron depuis 55 ans, Léon Grosse, Groupe diversifié du BTP, spécialisé dans la construction, les solutions de transitions énergétiques et l’immobilier, vient de dévoiler ce projet de construction qui accueillera notamment les nouveaux locaux de sa Direction régionale, opérationnels à l’été 2024. Il s’agira de la troisième plus grande implantation du Groupe, après l’Île-de-France et le siège historique d’Aix-Les-Bains.Ce projet éco-conçu, mobilise les expertises des trois pôles du Groupe (Construction, Solutions et Immobilier). Il contribue à l’accélération du développement de son activité dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et la consolidation de son ancrage territorial à Bron.Tourné vers le bien-être de ses futurs occupants et soucieux des performances énergétiques, Léon Grosse Immobilier valorise cet ancien site tertiaire en le transformant, dans un environnement paysager de qualité, en un projet qui regroupe :5.100 m2 de bureaux70 logements en accession15 logements locatifs sociaux2 locaux à vocation de service ou commercial en pied d’immeuble230 places de stationnement“Le 8ème Chemin”, un démonstrateur des savoir-faire et des engagements de Léon GrosseGrâce à l’intégration de la géothermie, les logements et les bureaux seront alimentés par un réseau de chaleur renouvelable, qui couvrira plus de 80% des besoins du chauffage du site. L’opération bénéficiera également de l’électricité renouvelable produite sur site par des panneaux photovoltaïques, avec près de 1.800 m2 d’ombrières. Ces solutions permettent de garantir un prix de l’énergie sur des durées longues à un niveau compétitif.En matière d’impact environnemental, Léon Grosse a fait le choix de dépasser les standards de la construction, en expérimentant avec son partenaire VICAT, unique cimentier français, un béton très bas carbone (utilisant le liant CARAT), permettant une réduction de près de 90% de son empreinte carbone. Le 8ème Chemin est la première utilisation à grande échelle de cette solution innovante sur des bâtiments de bureau en France.De plus, l’entreprise a conçu l’ouvrage dans une logique d’économie circulaire pour favoriser le réemploi d’un certain nombre de matériaux grâce au curage, récupérant ainsi 13 tonnes de matériaux. En phase avec les valeurs et les engagements RSE ambitieux du Groupe, au bénéfice des futurs habitants et salariés, toutes ces démarches auront un effet de levier qui permettront de mieux répondre aux différents enjeux climatiques.En adaptant ce projet autour de ces ambitions environnementales, l’opération vise à s’affranchir de la dépendance aux énergies fossiles, sans transiger sur le niveau de confort des usagers et l’esthétique du projet.“Le 8ème Chemin” illustre de manière concrète l’accélération de la transformation du Groupe dans un souci de performance globale et durable, intégrant le triptyque économique, environnemental et sociétal.L’opération reflète les engagements ambitieux et la politique RSE de Léon Grosse qui constitue véritablement « le bras armé » de sa stratégie d’entreprise. Le Groupe s’engage à agir à son échelle dès l’horizon 2025.Pour Lionel Christolomme, Président du Directoire de Léon Grosse : « Ce projet ambitieux, illustrant notre fort ancrage local et régional, permet de répondre au plus près aux attentes de nos clients et contribue à l’attractivité du territoire. Agissant comme un véritable démonstrateur de nos savoir-faire, il témoigne de notre capacité à mobiliser toutes les ressources et expertises nécessaires à la bonne conception et réalisation d’une telle opération. Elle incarne notre Raison d’Être* et notre modèle d’entreprise responsable et responsabilisant. »* « Entreprendre pour laisser une empreinte qui suscite la fierté de tous »Pour Rémi Hovaere, Directeur régional Bâtiment Sud de Léon Grosse : « Cette nouvelle implantation de la Direction Régionale illustre nos ambitions pour développer notre activité économique au sein de la région Auvergne-Rhône-Alpes, au cœur d’un écosystème dynamique. Notre objectif est de réunir nos trois entités opérationnelles sur un même site, afin d’optimiser notre organisation au service de nos clients. »Pour Emilie Palanque, Directrice Générale de Léon Grosse Immobilier : « C’est dans un souci permanent de prendre soin de la ville et de ses habitants, que Léon Grosse Immobilier a conçu cet ensemble mixte de bureaux et de logements, autour du bien être au quotidien, de la qualité de l’environnement, de la sobriété énergétique pour les utilisateurs et acquéreurs, dans le respect du quartier. “Le 8ème Chemin” offre ainsi des espaces de vie qualitatifs et confortables, regroupant tous les services de proximité, conformes à notre volonté d’épanouissement des futurs habitants. »
Il y a 2 ans et 135 jours

Deux nouvelles finitions huilées Bois Naturel et Amande pour la collection de parquets Diva de Panaget

Huile Bois naturel est l’équivalent de son best-seller Bois flotté (vernis mat) en finition huilée. Les nuances de bois sont mises en valeur pour signer l’authenticité du parquet et offrir des sols encore plus naturels. Avec la finition Amande, au nom évocateur de douceur et de raffinement, les singularités du bois sont sublimées par une patine naturelle et un veinage légèrement blanchi. Focus sur ces nouveautés dont les déclinaisons du bois créent des décorations stylées et apaisantes.La finition Huile Bois naturel totalement en phase avec notre époqueEn France, les clients de la côte atlantique férus de la finition Bois Flotté demandaient une version huilée pour des effets de matière encore plus naturels et pour une meilleure réparabilité (micro-rayures liées au sable par exemple). À l’export et plus précisément en Suisse et en l’Allemagne, où la consommation en parquet huilé est plus importante qu’en France, les clients exprimaient le souhait de disposer d’une huile « invisible » afin de jouer sur toutes les singularités du bois : fentes, veinages et nervures. C’est chose faite puisque Huile Bois naturel, une nouvelle exclusivité Panaget, offre assurément un support idéal à toutes les idées d’ambiances.La finition Amande : pour une intimité retrouvée à la maisonCette coloration huilée légèrement blanchie, discrète et subtile, capte la lumière, sans brillance, et donne de l’ampleur au volume tout en procurant une indéniable sensation de confort. Pour un art de vivre chaleureux et authentique, rien de tel que les charmes naturels du chêne combinés à la nouvelle finition Amande. C’est un bel exemple d’innovation. Et c’est surtout le résultat d’un savoir-faire acquis depuis plus de 90 ans par la Maison Panaget !Entretenir et rénover son parquetLa finition huilée Panaget, qui conserve tout l’aspect naturel du bois, est obtenue grâce à une huile d’imprégnation ; sa formulation offre une protection efficace et durable du parquet aussi bien contre les rayures et les abrasions que les taches et les salissures.Facile d’entretien, il suffit d’un simple passage au savon sur les zones sollicitées pour que le parquet retrouve tout son éclat. Afin de garantir l’aspect esthétique du parquet dans le temps, il est très important d’adapter l’entretien à son utilisation et de respecter les précautions d’entretien.Caractéristiques techniquesAMANDE est proposée en :Chêne Zenitude Amande, Diva 139 12 ClicChêne Zenitude Amande, Diva 184 14 RLHUILE BOIS NATUREL est proposée en :Chêne Authentique Huile Bois naturel, Diva 184 12 ClicChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 184 14 RLChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 139 12 Clic
Il y a 2 ans et 136 jours

Comment fonctionne le nouveau "carnet de santé" des logements ?

Qu'est-ce que ce carnet ?Prévu par la loi Climat et résilience de 2021, le "carnet d'information du logement" (CIL) est entré en vigueur au 1er janvier.Il vient s'ajouter aux diagnostics obligatoires à la mise en vente, ou en location, d'un logement, dont le DPE pour la performance énergétique.Il devra être établi à la construction d'un logement neuf, ou, dans l'ancien, aux premiers travaux "ayant une incidence significative sur la performance énergétique", selon le décret du 27 décembre précisant ses modalités d'application.Sa forme est "libre", précise-t-on au ministère du Logement. "Ca peut être un dossier papier, une clé USB, une plateforme...".Qu'est-ce que l'on y consigne ?Pour un logement neuf, les plans du logement, les caractéristiques des équipements de chauffage, refroidissement, ventilation et production d'eau chaude et les matériaux utilisés pour l'isolation de la toiture, des murs, des portes et fenêtres et des planchers.Dans l'ancien, des travaux sur l'un de ces éléments, comme des travaux d'isolation ou un changement de chaudière, doivent y être intégrés au fur et à mesure.Dans les départements d'outre-mer, où l'ennemi principal est la chaleur, on y inclut aussi les travaux visant à protéger le bâti du soleil, comme une surtoiture ventilée ou un pare-soleil.Le DPE, ainsi que les audits énergétiques et certifications environnementales du bâtiment, y sont également consignés.Pour quoi faire ?"Son grand intérêt, c'est d'abord de transmettre des informations associées au logement, et deuxièmement, de faciliter et d'accompagner des travaux de performance énergétique du logement à l'avenir", explique-t-on au ministère. "Puisqu'une fois qu'on a une connaissance de certains éléments du logement, c'est plus facile de penser, à l'avenir, une rénovation."Comme le carnet de santé des enfants, qui consigne croissance, vaccins, traitements... "C'est quelque chose de bien pour les locataires, pour les gens qui achètent, mais c'est bien aussi pour nous, les entreprises", juge David Morales, vice-président de la Confédération de l'artisanat du bâtiment (Capeb)."Ce n'est pas toujours évident, une fois que l'intérieur est habité, de voir ce qui a été fait ou pas sans faire de trous partout", dit-il. Dans la construction neuve, l'exhaustivité des informations fournies permet d'avoir une connaissance très fine des caractéristiques du logement. "Là, on est sur l'entretien et sur une étape suivante qui est la réutilisation, le réemploi" des matériaux de construction, juge Norbert Fanchon, président du groupe Gambetta, un promoteur immobilier."Je vois ça comme une réglementation qui est en avance sur l'évolution des moeurs", dit-il.Il émet cependant des doutes sur la facilité des démarches pour le créer et l'entretenir dans l'immobilier ancien."Quand vous êtes particulier, que vous rénovez votre appartement, les entreprises sont petites et pas forcément structurées (...) et c'est là que je ne pense pas que ce soit très facile à mettre en oeuvre", craint-il."Il va falloir qu'on aie quelque chose d'un peu coordonné et qu'on ait des choses identiques, que ce soit simple, pas en faire des usines à gaz", prévient aussi David Morales.
Il y a 2 ans et 136 jours

La nouvelle génération de vestes chauffantes Milwaukee

Milwaukee lance des vestes chauffantes de nouvelle génération. [©Milwaukee] Milwaukee met sur le marché ses nouvelles vestes de hautes technologies thermo-diffusantes pour l’extérieur. Destinées aux professionnels du bâtiment, elles protègent contre les conditions météorologiques difficiles. Confortables et résistantes, elles maintiennent au chaud pendant 8 h, grâce à une batterie M12 Redlithium 3 A ou la batterie Redlithium USB. Conçues en fibre de carbone, ces vestes garantissent 5 zones chauffantes pour une bonne conservation et une répartition de la chaleur sur l’ensemble du corps. Les professionnels peuvent régler la température, grâce à la commande sensitive placée en haut de la veste, en fonction des conditions météo. La gamme est composée de 3 modèles allant de la taille S à la taille XXXL, pour homme comme pour femme. Les vestes chauffantes ont été créées par des ingénieurs et des stylistes pour allier utile et esthétique. Elles sont lavables en machine et existent en 3 coloris : noir, gris et dessin camouflage. Lire aussi : Milwaukee dévoile 4 nouveautés Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 136 jours

NOUVEAUTÉ AUTOGYRE : TWIN’AIR DF 90 – La VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMC et éligible MaPrimeRénov’

©Autogyre Le logement est le premier poste de consommation d’énergie d’un ménage. Face à la flambée des prix de l’énergie, nombreux sont ceux qui souhaitent réaliser des travaux de rénovation pour limiter leurs factures. Des dispositifs tels que MaPrimeRénov ont été mis en place pour aider les ménages à améliorer le confort de leur logement et réduire le coût des travaux. Cette aide permet de financer une partie des dépenses engendrées par les travaux d’isolation, de chauffage ou encore de ventilation. Primordiale pour assurer un air sain dans les espaces intérieurs, mais aussi pour préserver le confort et la santé des occupants, la ventilation permet également de limiter les pertes thermiques et les fuites énergétiques qui pourraient être générées par l’ouverture répétée des fenêtres en hiver. AUTOGYRE, spécialiste du traitement de l’air et de la ventilation depuis 70 ans, propose sa nouvelle VMC Double Flux monobloc avec by-pass intégré : la TWIN’AIR DF 90. Conçu et fabriqué en France, ce système tout-en-un améliore l’air intérieur et le confort thermique, tout en conservant la chaleur en hiver et la fraîcheur en été. Avec un rendement pouvant atteindre 86 % et un classement énergétique A, il limite les pertes d’énergie et permet de réaliser jusqu’à 14 % d’économies sur la facture de chauffage. Grâce à sa certification NF VMC, il permet de profiter des subventions MaPrimeRénov’ et CEE selon les revenus du foyer. VMC Double Flux monobloc à haut rendement certifiée NF VMC Monobloc, la nouvelle VMC autoréglable TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE est conçue pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements neufs ou en rénovation, de 2 à 7 pièces principales, équipés d’une cuisine et jusqu’à 6 sanitaires. Elle est conforme aux exigences fixées par le référentiel de certification de la marque NF VMC (NF 205) et est donc éligible à MaPrimeRenov’ qui offre jusqu’à 3000 € d’aide selon les revenus du foyer. Équipée d’un caisson économe en énergie avec un moteur basse consommation électrique de classe A, la VMC TWIN’AIR DF 90 répond à la RE2020 et convient pour les constructions basse consommation et les maisons passives. Dotée de 2 vitesses, la VMC TWIN’AIR DF 90 s’adapte au plus juste des besoins et offre un excellent confort de vie. Son échangeur thermique récupère jusqu’à 86% des calories contenues dans l’air extrait et permet de réaliser une économie de 14% sur la facture annuelle de chauffage.  Une sonde qui mesure l’humidité du logement La VMC TWIN’AIR DF 90 est équipée d’une sonde qui détecte l’humidité globale dans la maison. Dès que le taux dépasse 75%, la VMC passe en grande vitesse. Elle repasse en petite vitesse après 30 minutes si l’humidité a été évacuée. Le passage en grande vitesse peut être activé par un commutateur installé dans la cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse automatiquement en petite vitesse. Une filtration renforcée et facilement accessible Disposant d’une filtration G4 pour l’air vicié, la VMC TWIN’AIR DF 90 protège l’échangeur de la poussière et de l’encrassement, ce qui garantit la performance et la longévité de l’installation. La filtration renforcée classe M5 de l’air entrant élimine moisissures, allergènes, particules moyennes et bactéries. Par ailleurs, un témoin lumineux, situé sur le boîtier sans fil de gestion des filtres, alerte l’utilisateur lorsque les filtres d’extraction et d’insufflation doivent être remplacés. Un by-pass intégré pour un meilleur confort thermique La VMC TWIN’AIR DF 90 AUTOGYRE dispose d’un by-pass partiel à commande automatique. Cet équipement dévie l’air neuf afin de l’insuffler directement dans le logement. L’échange thermique est ainsi diminué et l’air entrant continue d’être filtré si bien qu’il peut rafraîchir l’air intérieur en été quand la température extérieure est inférieure à celle de l’habitat, ce qui offre d’avantage de confort notamment la nuit. Le by-pass peut aussi récupérer la chaleur extérieure de mi-saison en insufflant l’air chaud vers l’intérieur après avoir été filtré. Il contribue au confort en réduisant l’amplitude thermique entre intérieur et extérieur. www.autogyre.fr
Il y a 2 ans et 137 jours

quel chauffage est le plus economique pour 2023

Le système le plus économique reste la pompe à chaleur, mais le chauffage au bois est très avantageux. Top 4 des modes de chauffage les plus économiques et leurs prix.
Il y a 2 ans et 137 jours

Prello transforme une longère normande en résidence traditionnelle de standing

Achevé en seulement 2 mois, ce projet de réfection a su répondre au grand enjeu du renouvellement des habitats traditionnels : concilier modernité et valorisation de l’identité architecturale locale.Une parenthèse pittoresque et paisible dans un village typique de la Haute-NormandieTransformer une maison de charme normande à colombages en un espace contemporain de bien-être, et ce tout en respectant l’esprit unique des lieux, tel était le nouveau pari de Prello.Nichée au cœur du département de l’Eure, dans un village pittoresque renommé pour ses petites ruelles boutiquières et son architecture typiquement haut-normande, la villa bénéficie d’un cadre privilégié entre littoral et campagne, à l’abri de toute nuisance. On éprouve ici le sentiment d’être hors du temps, presque hors du monde, loin de l’ordinaire, bien que la demeure soit située à proximité immédiate de toutes les commodités et à moins de trente minutes de Rouen.Cette belle résidence pouvant accueillir 11 personnes propose 292 m2 habitables répartis en 7 pièces principales sur 2 niveaux érigés sur une parcelle arborée de 4914 m2.Dès le départ, l’ensemble offre de beaux volumes parfaitement agencés et permettant différents usages : au rez-de-chaussée, une entrée, une cuisine rénovée et aménagée reliée à une grande salle à manger, un petit salon avec une cheminée et un bar, et une grande pièce de vie de 80 m2 ; à l’étage, trois chambres privatives avec toilette et douche, une chambre d’ami et une chambre d’enfants avec une salle de bain de bain commune ainsi qu’un bureau ; au sous-sol, une cave aménagée et un local technique ; au grenier, de grands espaces pour le rangement.À l’extérieur, tout a également été conçu pour garantir récréativité et détente, mais aussi praticité et autonomie à tous les résidents. Jouxtant la maison et sa terrasse, une piscine couverte et chauffée avec de grandes baies vitrées ouvrables fait face à un grand jardin. Juste à côté, un dernier bâtiment abritant un double garage et un home cinéma à l’étage complète le bien.Un subtil mélange de traditionnel contemporain Chauffage, isolation, assainissement, menuiserie, sol et revêtement… La maison était en parfait état et présentait de bonnes performances énergétiques lors de son acquisition par Prello.Récente mais restée « dans son jus », la villa nécessitait néanmoins des travaux de rafraîchissement, en particulier au niveau des peintures et des tapisseries – passées de mode et sans cohérence globale –, pour être pleinement en phase avec les attentes les plus exigeantes d’aujourd’hui. Confié à une architecte d’intérieur, le chantier s’est étalé sur 2 mois à peine, un temps record !5 grandes transformations ont ainsi été opérées, dans les espaces de vie comme de nuit. Les deux premières concernent le grand salon, qui a été entièrement repensé. Ici, la volonté était, d’une part, de donner un « coup de jeune » à la pièce, et d’autre part, d’y installer une salle de jeux.Dans cet objectif, un nouveau parquet a été posé, les peintures ont été rafraîchies et le mobilier a été intégralement remplacé. Ces modifications ont permis d’apporter luminosité et modernité à la pièce, à présent plongée dans des tons clairs de blancs, de beiges et de gris qui enveloppent l’espace de douceur. Équipé de trois grands canapés, d’un bar et d’un billard, le salon instaure désormais une ambiance chaleureuse, propice à des soirées mémorables en famille ou entre amis.La troisième transformation porte sur le petit salon avec cheminée, lui aussi mis au goût du jour. Une nouvelle fois, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été repensés dans un style plus contemporain tout en conservant l’esprit rustique du bâti existant. Une association de couleurs tout en contraste avec des tons blanc / beige clair sur les murs qui apportent de la clarté. L’utilisation du bleu clair sur les colombages et du bleu foncé au plafond procure originalité et modernité à ce lieu singulier, tout en soulignant avec finesse les différents éléments architecturaux dans les tons naturels et doux.La quatrième transformation a consisté en l’embellissement de la salle à manger. Là encore, les peintures, l’ameublement et la décoration ont été complètement revus. Les couleurs claires et les matières naturelles ont été privilégiées pour valoriser la lumière naturelle de la pièce et mettre en avant les tomettes et poutres apparentes de la villa. Une grande nouveauté également : l’installation d’un panoramique sur mesure à même le mur de la salle. Ce grand décor confère une touche d’originalité tout en accentuant le caractère champêtre de la résidence. Enfin, la cinquième et dernière grande transformation concerne la salle de cinéma. Dans une grande pièce aux beaux volumes sous pentes, la salle a été réaménagée avec l’installation d'une VMC pour ajouter du confort de vie tout au long de l'année. Une peinture noire a été choisie, ainsi qu’un vidéo projecteur et un immense canapé, idéal pour des soirées films comme au cinéma en famille ou entre amis.Le projet de rénovation en brefLe lieu : Saint-Ouen-de-Thouberville (Eure).La surface : 292 m2 habitables (terrain de 4914 m2).Durée des travaux : 2 mois
Il y a 2 ans et 139 jours

Nicoll by Aliaxis dévoile son récupérateur de chaleur sur eaux usées de douche

Face aux enjeux actuels de réduction de l’empreinte carbone et de sobriété énergétique, Nicoll by Aliaxis dévoile le premier récupérateur de chaleur des eaux usées de douche. Ce système à faible impact environnemental récupère la chaleur de l’eau de la douche jusqu’alors perdue vers les systèmes d’évacuation de la salle de bains. Cette énergie réexploitée […]
Il y a 2 ans et 141 jours

Green Touch pour des sols textiles engagés et responsables

Respirez… Entrez dans des lieux à la fois chaleureux et sains, aussi vivifiants et agréables à vivre qu’une balade à la campagne, grâce aux dalles de moquette éco-conçues créées par des industriels engagés et conscients des enjeux environnementaux. Focus sur quelques-uns des adhérents de l’UFTM qui ont développé des innovations écologiques en cohérence avec leurs valeurs, […]
Il y a 2 ans et 141 jours

La nouvelle gamme d’alarmes Honeywell Home R200 CO, fumée, chaleur et combinée de Resideo est désormais disponible en France

Les produits sont fournis avec une durée de vie de 10 ans et une garantie de 10 ans. Paris, 08 Décembre 2022 – Resideo, fournisseur mondial de solutions de confort et de sécurité pour la maison, a annoncé que sa nouvelle gamme d’alarmes Honeywell Home R200 CO, fumée, chaleur et combinée est désormais disponible en […]
Il y a 2 ans et 144 jours

Les sociétés du Groupe Lorillard se mobilisent autour de l’opération pour l’Ukraine « Lumière et Chaleur cet hiver »

Les menuisiers français se mobilisent pour le peuple d’Ukraine et répondent à l’appel du maire de Kharkiv par l’organisation d’une opération caritative nommée «Lumière et Chaleur pour l’hiver»Une collecte de groupes électrogènes a ainsi été initiée auprès du secteur de la menuiserie et des adhérents de l’UFME et du SNFA pour atteindre – voire même dépasser – l’objectif fixé à 200 groupes électrogènes.Les sociétés LORILLARD, BOURNEUF, MOLENAT, MESLIN et POUPIN du Groupe Lorillard y répondent favorablement en finançant plusieurs groupes électrogènes pour les habitants de Kharkiv qui sont actuellement sans ressource énergétique et pour qui ces groupes électrogènes sont une nécessité vitale.Tous les dons seront acheminés vers la plateforme logistique des Transports Groussard au plus tard le 5 janvier 2023 afin d’être expédiés pour l’Ukraine le 9 janvier. A gauche Olivier Fondecave, Directeur Général Délégué aux Fonctions Supports à droite Pierre Lorillard, Directeur Général Délégué au Commerce, au Marketing et à la Communication, dans l’Atrium du siège de Chartres (28). ©Lorillard.
Il y a 2 ans et 148 jours

A La Défense, la plus grande tour de bureaux d'Europe économise l'électricité

"L'efficacité énergétique, ça fait trois ou quatre ans qu'on en parle", explique le directeur technique Ludovic Levavasseur, 52 ans qui accompagne le changement, déjà bien engagé avec près de 40% de consommation en moins entre octobre 2021 et octobre 2022.Invisible sur la facture, car le prix du kWh a augmenté en parallèle, la baisse va continuer, assure-t-il, notamment grâce aux milliers de détecteurs de présence implantés progressivement dans les 170.000 m2 de bureaux.Heure par heure, jour après jour, ces automates communiquent avec l'ordinateur d'une modeste pièce aveugle du sous-sol où Nicolas Puype, 42 ans, surveille. Salarié du prestataire de maintenance Engie Solutions, il est depuis trois ans le "manager énergie" du bâtiment.Six à 7.000 personnes travaillent dans les sept bâtiments de Cœur Défense, avec une tendance à la baisse liée au télétravail.Sans les voir, Nicolas Puype assiste au ballet de leurs arrivées et départs, instantanément transmis au système de gestion technique du bâtiment (GTB)."Je sais presque tout ce qui se passe, sans me déplacer, je n'ai même pas besoin de caméra", confesse l'automaticien qui va jusqu'à deviner quel train les gens ont emprunté pour gagner le quartier d'affaires.Sur ses écrans, les ascenseurs montent, les lumières s'allument, les ventilo-convecteurs démarrent, et la courbe de consommation électrique grimpe, puis s'effondre en fin de journée.Quand un bureau est inoccupé, il est automatiquement éteint.Nicolas Puype ne dicte pas la température, pas plus qu'il ne la règle à distance, mais il a l’œil.Sur un écran à sa droite, toute la production d'énergie est synthétisée, la moindre anomalie signalée. Des graphiques en couleurs se superposent, la consommation du jour, celle de la veille.Tous les capteurs de Cœur Défense, et les ordinateurs que Nicolas Puype surveille, ont une mission finalement simple: ne chauffer, n'éclairer que lorsque que les travailleurs sont présents. "Si déjà vous ne consommez que ce que vous devez consommer, vous êtes tranquilles", commente Thierry Chambon, directeur général d'Energisme, société qui vend un logiciel de maîtrise d'énergie.Tout électriqueLe gratte-ciel, reconnaissable à ses deux tours de 40 étages aux bords arrondis culminant à 161 mètres et à ses baies vitrées formant un damier blanc changeant, est occupé à 80%.Impossible par définition d'y arrêter le chauffage ou la climatisation, ni bien sûr d'ouvrir les fenêtres.Pour respirer, il faut pulser de l'air neuf, chaud ou froid selon la saison, alimenter 42.000 points d'éclairage, 76 ascenseurs, 11 escalators, 14.000 stores, plus de 8.000 ventilo-convecteurs, etc.Tout est électrique. Des groupes électrogènes de sécurité démarrent en cas de coupure. La facture électrique est donc le deuxième poste de dépenses pour la tour, après la sécurité et la sûreté incendie.Et à l'heure où les tarifs s'envolent, l'homme de la situation, c'est M. Puype : "Ici c'est un paquebot. Une fois que ça dérive, pour rattraper c'est un peu tard, c'est pour ça que je surveille au jour le jour", dit-il.En 2021, l'immeuble a remplacé ses six groupes froids à récupérateurs de chaleur. Un matériel qui produit tout le chaud et le froid dont la tour a besoin, le réseau urbain ne servant qu'en appoint.Ces équipements dataient de l'inauguration en 2001. Neufs, ils sont plus performants et c'est cet investissement qui a permis la spectaculaire baisse de consommation électrique de l'an dernier.Pour l'an prochain, la baisse attendue, de 10 à 15%, sera moins facile: "On va essayer", assure Frédéric Galvez, directeur général adjoint Property Management chez BNP Paribas Real Estate qui gère 2.000 immeubles en France, dont Coeur Défense.Reste l'isolation. "Ce serait un investissement colossal, monstrueux, coûtant presque le prix de l'immeuble (acheté 1,8 milliard d'euros en 2017, ndlr)", dit-il. "Cela obligerait à déposer toute la coque, à faire sortir les locataires et laisser le propriétaire sans revenu pendant le chantier".Pour l'heure, la tour réfléchit plutôt à s'équiper en photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 148 jours

Chauffer à 19°C : 70% des Français comptent appliquer cette consigne et 63% jugent cette demande justifiée

Dans le cadre du plan de sobriété énergétique, la Première ministre Elisabeth Borne a martelé à plusieurs reprises au cours du mois d’octobre 2022 « La règle, c’est de se chauffer à 19 C ». Principaux concernés (avec les entreprises), les foyers français sont ainsi appelés par la Première ministre à faire face aux difficultés énergétiques attendues cet hiver via une plus forte responsabilisation individuelle quant à leurs habitudes en matière de chauffage de leur logement.Température intérieure idéale, podium des pièces où il doit faire chaud, petits gestes pour réduire la facture énergétique, utilisation de chauffages d’appoint… les Français ont-ils changé leur rapport au chauffage depuis 2018 ? Comment réagissent-ils aux annonces gouvernementales et à la « règle des 19°C » ? Sont-ils de meilleurs élèves en matière d’économies d’énergie ?A travers ce deuxième volet, Eni et l’IFOP s’intéressent aux attitudes et comportements des Français vis-à-vis du chauffage, dans le but de prendre la température de l’opinion à l’égard de cette « règle » des 19°C, et d’actualiser plus largement les connaissances du rapport des Français à leur chauffage par rapport à 2018. Une étude menée du 25 octobre au 4 novembre 2022 auprès d’un échantillon de 2500 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.Impacts de la crise énergétique sur les ménages et leur rapport au chauffage19,9°C, la température intérieure idéale des français… en légère baisse par rapport a 2018Pour les Français, la température moyenne idéale du foyer est de 19,9°C. Une moyenne en légère baisse par rapport au sondage mené en 2018, où la température idéale se situait à 20,2°.Coté spécificités à signaler, la différence entre « Mars et Vénus » est toujours persistante. Les hommes se sentent à l’aise à 19,7°C (contre 20°C en 2018) tandis que les femmes aiment disposer de quelques décimales supplémentaires à 20°C (contre 20,4°C en 2018).En région, ce sont les Bretons qui se révèlent les moins frileux, avec une température intérieure idéale moyenne de 19,4°C. A l’opposé, pour les Bourgo-Francs-Comtois, la température intérieure idéale est bien au-dessus : 20,2°C !Halte aux idées reçues ! Côté âge, pas de différence significative, avec une température intérieure moyenne à 19,9°C, aussi bien chez les moins de 35 ans que pour les plus de 35 ans.Règle des 19°c en intérieur : forte adhésion des français !Depuis 2018, la température intérieure idéale des Français a baissé. Pour autant, se situant à presque 20°C, elle reste supérieure à la règle fixée par le Gouvernement : 19°C en intérieur. Alors comment les Français réagissent-ils à cette injonction ?70% des Français sondés comptent bien appliquer cette consigne et 63% jugent cette déclaration justifiée.Une adhésion plus marquée chez les plus jeunes, avec 74% des 18-24 comptant appliquer cette mesure et 65% dans cette même tranche estimant cette déclaration justifiée, soit deux points de plus que la moyenne nationale ! Les seniors (65 ans et plus) y adhèrent également d’avantage : 73% comptent appliquer la règle et 68% la trouvent justifiée.A contrario, en région, les habitants de la région Bourgogne-Franche-Comté s’avèrent plus réticents, avec seulement 56% des sondés considérant cette mesure justifiée. En toute logique, pour les Bourgo-Francs-Comtois, les plus frileux des sondés, seulement 59% comptent appliquer cette consigne, 11 points de moins que la moyenne nationale !Si cette consigne remporte de prime abord une large adhésion, la propension à appliquer la consigne des 19°C reste cependant très dépendante des habitudes de chauffage au sein du foyer et du degré de sensibilité aux économies d’énergie.7 Français sur 10 (70%) déclarent qu’ils vont appliquer la règle des 19° C en moyenne au sein de leur logement. Dans les faits, cette volonté à appliquer « tout à fait » la consigne émane principalement des Français les plus sensibles aux économies d’énergie, ou ceux pour qui cette règle aurait peu d’impact sur leurs habitudes à l’égard de leur chauffage.Si une large majorité d’interviewés qui considèrent que la température idéale au sein de leur foyer est supérieure à 20° C déclarent être prêts à faire un effort c’est-à-dire concernant leur confort en appliquant la consigne des 19°C (59%), ils ne sont en revanche que 19% à déclarer qu’ils sont « tout à fait » prêts à le faire. Par opposition, ceux pour qui l’application de la consigne est moins coûteuse en matière de confort c’est-à-dire ceux dont la température idéale pour se sentir bien chez soi est inférieure ou égale à 19°C sont beaucoup plus nombreux à déclarer qu’ils vont appliquer la consigne (88%). Ces derniers sont par la même occasion plus nombreux à la considérer comme justifiée (47%).Ce constat peut donc laisser penser que le choix du confort inciterait à une certaine irrégularité des plus frileux dans l’application quotidienne de cette consigne jugée moins largement parmi eux comme justifiée. Elle est peut être alors le signal d’une adhésion plus théorique, qu’une application de faits qui entrainerait dans la foulée une transformation des habitudes à l’égard de son chauffage.Au-delà du confort, le degré de sensibilité aux économies d’énergies joue un rôle majeur. Parmi les répondants qui se déclarent sensibles aux économies d’énergie, 85% déclarent qu’ils vont appliquer la consigne des 19°C (contre 49% qui le sont mais pas au point de réduire leur confort et 30% pour ceux qui ne sont pas sensibles aux économies d’énergie). De même, 77% d’entre eux jugent cette déclaration justifiée (contre 43% de ceux qui sont sensibles aux économies d’énergies mais pas au point de réduire leur confort et 29% pour ceux qui n’y sont pas vraiment sensibles).Dans un contexte de forte inflation, où le pouvoir d’achat se hisse parmi les sujets qui préoccupent le plus les Français, la propension plus forte à respecter la consigne des 19° C dans les foyers aux plus faibles revenus n’est pas observée. Alors que l’on aurait pu s’attendre à une plus forte adhésion, pour des raisons financières notamment et de baisse de pouvoir d’achat, les plus faibles revenus sont en revanche surreprésentés parmi les répondants ayant déclaré qu’ils n’appliqueraient « pas du tout » la consigne.De plus en plus de français sensibles aux économies d’énergie, au point de réduire leur confortLes répondants à l’enquête font en effet état d’une sensibilité quasi unanime à l’égard des économies d’énergie (95%, stable par rapport à 2018) même plus marquée encore cette année qu’en octobre 2018 puisque 61% des Français déclarent même l’être « au point de réduire un peu leur confort » +8 points.Dans le détail, les principaux concernés sont les plus âgés et les plus faibles revenus. A 35 ans et moins, 56% des sondés se disent prêts à réduire leur confort, contre 62% au-delà de 35 ans.Les Français sont par conséquent moins nombreux à déclarer ne pas vouloir répercuter leur sensibilité vis-à- vis de sujets énergétiques sur une détérioration de leur confort thermique (34%, -8 points par rapport à 2018 et -7 points par rapport à 2012) et la proportion de Français ne se déclarant pas vraiment sensible aux économies d’énergies reste stable, mais marginale (5% en 2022 et 2018). 84% déclarent ainsi qu’ils préfèreront s’habiller plus chaudement cet hiver pour maîtriser leur consommation d’énergie (+1 point par rapport à 2018).Le soir, moment cocooning où le besoin de chaleur est le plus importantDepuis 2018, les Français ont évolué dans lesur rapport à la chaleur. S’ils tolèrent une température plus basse, ont-ils besoin de confort aux mêmes moments, et aux mêmes endroits ?Et bien… pas totalement ! En 2018, 1 Français sur deux indiquait avoir le plus besoin d’avoir chaud, de se sentir bien sans avoir à se couvrir, le matin. En 2022, ce chiffre est en baisse avec seulement 41% des sondés indiquant le matin comme le moment le plus important pour avoir bien chaud chez soi.A contrario, le confort du soir devant la télévision gagne du terrain, avec 34% des sondés en 2022 estimant ce moment comme celui où le besoin de chaleur est le plus important, contre 26% en 2018. Malgré l’essor du télétravail, bien moins pratiqué en 2018, le besoin de chaleur en journée reste identique en 2022 et en 2018 ; seulement 16% des sondés considèrent qu’il s’agit du moment où le besoin d’avoir chaud, sans avoir besoin de se couvrir, est le plus important.Côté distribution, peu voire pas d’évolution depuis 2018. En toute logique, les pièces du logement dans lesquelles le besoin de chaleur est le plus important sont le salon (85% du total des citations) et la salle de bain (77% du total des citations). Les toilettes (6%) ou encore le garage (1%) arrivant en fin de classement.Si le recours au chauffage est de plus en plus raisonné, l’habitude de mettre ses appareils en veille se perd !Les Français sont de plus en plus sensibilisés au besoin de réduire leur consommation énergétique. Dernier exemple en date, la vaste campagne de communication portée par le Gouvernement : « Chaque geste compte », visant à rappeler tous ces écogestes qui permettent de réduire sa consommation énergétique, et par la même occasion, sa facture. Alors, depuis 2018, les Français ont-ils vraiment modifié leurs habitudes de consommation en vue de réaliser des économies d’énergies ?Selon les résultats de l’enquête, le taux de « bons élèves » en matière d’écogestes progresse sur une majorité d’items.En 2018, 53% des sondés avaient toujours pour habitude d’ajouter un pull ou une couverture quand ils avaient froid plutôt que d’allumer ou d’augmenter le thermostat de leur chauffage. En 2022, ils sont désormais 58% à le faire systématiquement.De même, 51% des sondés indiquaient mettre toujours le chauffage en veille durant la journée et durant leurs absences en 2018, en hausse de 4 points en 2022.De plus en plus de Français pensent également désormais systématiquement à dégivrer leur réfrigérateur : 34% en 2022 contre seulement 23% en 2018.A contrario, certains écogestes se perdent. Alors que 64% des Français sondés en 2018 éteignaient toujours leurs appareils électroniques (ordinateur, télévision, box) pour ne pas le laisser en veille, ils ne sont plus que 41% en 2022.Côté écogestes, une fracture générationnelle existe. Si 85% des seniors (65 ans et plus) indiquent utiliser toujours des ampoules basse consommation… seulement 57% des moins de 35 ans ont cette même habitude.En cuisine, même constat. 77% des seniors sondés mettent toujours un couvercle sur leurs casseroles lors de la cuisson… contre 44% des moins de 35 ans.La mise en route des appareils électroménagers pendant les heures creuses peine à entrer dans la routine des Français… tout particulièrement des Franciliens. S’ils sont en moyenne 36% à toujours utiliser leurs appareils électroménagers en heures creuses, ils ne sont que 26% en Île-de-France. Côté bons élèves, l’Occitanie sort son épingle du jeu avec 46% de sondés le faisant toujours.Quand la nuit tombe, les habitudes diffèrent selon les régions. Quand 39% des Bretons sondés indiquent toujours arrêter leur chauffage pour dormir… seuls 25% des Normands témoignent de cette même habitude.Ces 5 dernières années un tiers des français ont revu leur isolation et leur équipement de chauffageAu cours des 5 dernières années, une part importante de Français a réalisé des travaux de rénovation énergétique pour réduire leur consommation d’énergie.Près d’un propriétaire sur deux (47%) a investi dans l’isolation (combles, murs, sous-sols, fenêtre) au cours des 5 dernières années.C’est la Bourgogne Franche Comté qui comptabilise le score le plus important, avec 46% des sondés ayant réalisé des travaux d’isolation ces 5 dernières années (propriétaires et locataires confondus) … contre seulement 27% en Bretagne !En seconde place des travaux les plus réalisés au cours de ces 5 dernières années arrive la régulation du chauffage (thermostats programmables, robinets thermostatiques…) avec 30% des sondés indiquant avoir mis en oeuvre ces travaux de rénovation.Près d’un tiers des Français (27%) ont également revu l’installation de leur mode de chauffage pour un équipement plus performant (chaudière individuelle, pompe à chaleur, radiateurs nouvelle génération…).En revanche, ils ne sont que 18% à avoir installé un équipement de chauffage renouvelable, tel qu’un chauffage au bois, des panneaux solaires ou un chauffe-eau solaire. Des équipements qui séduisent majoritairement les plus jeunes : 24% des moins de 35 ans ont indiqué avoir investi dans un équipement de chauffage renouvelable, contre seulement 12% des plus de 65 ans.Un engouement en faveur de la rénovation énergétique qui se maintient… mais pas a court terme !Dans le contexte énergétique actuel, les économies d’énergie préoccupent de plus en plus les Français et de fait, accroit le besoin de réaliser des travaux de rénovation énergétique.Si près de la moitié des Français sondés (43%) envisagent de réaliser des travaux énergétiques, ils ne sont que 8% à l’envisager à court terme (c’est-à-dire dans l’année). Pour 16% des sondés, ce projet s’inscrit dans une durée à moyen terme, il s’agit d’un projet certain mais pas dans les années à venir. 19% des sondés indiquent quant à eux l’envisager, mais à long terme et sans savoir quand exactement.Dans les faits, ceux qui songent à réaliser ce type de travaux, quelle que soit la temporalité sont les plus hauts revenus, les propriétaires (55%, 43% pour l’ensemble) et les Français qui passent plus de temps chez eux en journée, notamment ceux qui pratiquent le télétravail (dont 64% pour la totalité de leur temps de travail, contre 38% pour ceux qui n’en n’ont jamais fait).Du côté du portefeuille, le budget moyen qu’ils seraient prêts à dépenser pour effectuer ces travaux s’élève en moyenne à 5 991€. A noter qu’une forte proportion de Français n’a sans doute pas commencé à concrétiser ce projet, notamment par la réalisation de devis, puisque 65% des interviewés ne parviennent pas à indiquer quel montant ils seraient prêts à investir.Légère baisse du recours au chauffage d’appointEn 2018, 67% des sondés indiquaient avoir rarement, voire jamais recours, au sein de leur logement principal, à un chauffage d’appoint (électrique ou à pétrole), en complément de son chauffage principal.De moins en moins plébiscité par les Français, 71% indiquent désormais avoir recours rarement, voire jamais à ces chauffages d’appoint, souvent très énergivores.Une habitude qui persiste pourtant chez les plus jeunes. Ils sont en effet 38% des moins de 35 ans à y avoir recours souvent, ou de temps en temps, en complément du chauffage principal.Une région, une typicité ! la carte des spécialistes régionales du chauffage en 2022Frédéric DABI, Directeur Général de l’IFOP indique : « Le message de la Première ministre, perçu comme légitime par une majorité de Français, est le signe d’une réelle prise de conscience collective. L’adhésion mesurée à la consigne des 19°C est en effet le corolaire d’un processus de plus long terme de progressive adoption de comportements destinés à réduire ses dépenses énergétiques. La crise énergétique annoncée pour cet hiver a en revanche accéléré ce processus, et renforcé de manière indéniable les habitudes de chauffage de son foyer qui avaient déjà été observées en 2018 ». Benoît IGNACE, Directeur Général Adjoint d’Eni précise : « Si l’énergie a toujours été une préoccupation importante, la prise de conscience écologique couplée à la crise énergétique en ont fait un enjeu majeur pour les Français. Lancé en 2018, le sondage « ENI – IFOP, les français et le chauffage » permet de mieux comprendre le rapport des Français à leur consommation d’énergie et surtout d’y déceler les enjeux de demain. Cette nouvelle édition nous offre un nouvel éclairage sur la nécessité d’assister les Français sur les travaux d’efficacité énergétique car si près de 50% envisagent de réaliser des travaux d’amélioration énergétique, seuls 8% l’envisagent à court terme alors que c’est un levier majeur d’économies d’énergie… Il est urgent d’accompagner les consommateurs et c’est la mission que s’est donnée Eni depuis plusieurs années. » En complément de cette grande vision nationale, l'enquête Eni - Ifop permet également d'observer les grandes typicités régionales, le chauffage n'échappant pas au phénomène de « frontières territoriales ».
Il y a 2 ans et 150 jours

En manque d'élan, la chaleur renouvelable attend "des décisions politiques fortes"

ANALYSE. Bien que sa production issue de sources d'énergie renouvelable et de récupération progresse, la chaleur "verte" ne représente même pas un quart de la consommation finale de chaleur en France. Pour rattraper ce retard, les acteurs appellent à renforcer le Fonds chaleur et à décarboner "massivement" le secteur.
Il y a 2 ans et 150 jours

Les solutions Owatrol pour Magnifier les intérieurs

Le bois s’est installé depuis toujours sur le sol des habitats des plus somptueux aux plus simples, chez les particuliers comme dans les lieux de travail. Il ne subit pas les intempéries mais face à son usage, il est essentiel de les protéger correctement pour garantir un vieillissement optimal.Souvent en chêne, parfois en bois exotiques, les parquets, plan de travail,… sont généralement faits de bois durs difficilement imprégnables. Laissés bruts ils vont rapidement se tacher, s’abîmer (griffures, usure…) du fait de leur utilisation plus ou moins intensive. Il est donc indispensable de les protéger si l’on souhaite garder leur bel aspect. Autrefois la cire était le moyen utilisé pour assurer leur longévité et leur bel aspect. Néanmoins, celle-ci présente plusieurs inconvénients :Elle nourrit et protège en surface mais encrasse le bois au fil du temps, le fait monter en teinte et le rend glissant.Elle nécessite un entretien très régulier, plusieurs fois par an dépendant du trafic.Après la cire, l’ère des vitrificateurs a pris la relève depuis plusieurs décennies :Ils apportent une solution très résistante aux taches et à l’eau, seules les zones de passages peuvent devenir très visibles dès que l’usure due au trafic apparaît.La maintenance peut être lourde avec un ponçage fastidieux. De plus, le film donne un aspect satiné ou brillant qui peut ne pas être apprécié.Actuellement certains produits apparentés à des huiles donne un effet seconde peau qui permet de conserver l’aspect naturel du parquet.Fort de son expertise pour la protection des bois marine et extérieurs, Owatrol® a su développer une gamme technique spécifique dédiée aux parquets et bois d’intérieur.Les finitions de la famille OLÉOFLOOR®, résultent d’un savant mélange d’huiles d’origine naturelle et de résines ultra performantes pour apporter un fini magnifié avec une protection optimisée.OLÉOFLOOR®, décryptage : imprégnation / fini seconde peau / résistance :Imprégnation : comme pour les bois extérieurs avec les saturateurs, l’excellent pouvoir d’imprégnation conféré aux huiles permet à l’OLÉOFLOOR® de pénétrer dans tous les bois d’intérieur pour les protéger à coeur et garantir une belle durabilité.Fini seconde peau : la composition fluide et pénétrante de l’OLÉOFLOOR® lui permet de faire corps avec le support sans laisser de film, de magnifier le fini du bois tout en conservant la teinte d’origine.Résistance : les résines d’OLÉOFLOOR® se combinent entre elles à la surface et génèrent une véritable barrière aux agressions extérieures aussi bien celles mécaniques que chimiques. Les parquets, plans de travail protégés à l’OLÉOFLOOR® résistent mieux aux passages répétés et aux produits chimiques variés (détergents, feutres…).Les plus :Maintenance allégée : grâce à leur pouvoir d’imprégnation, les huiles de l’OLÉOFLOOR® ne restent pas en surface et le bois ne s’encrasse pas tout en résistant aux taches. Lors de sa maintenance il n’est pas nécessaire de procéder à un ponçage systématique et il est même possible de faire de simples retouches locales.Déco :OLÉOFLOOR® CLASSIC qui avive le bois pour donner un aspect chaleureux avec un beau fini mat satiné.OLÉOFLOOR® NATURAL qui agit comme une seconde peau avec un fini mat. OLÉOFLOOR® NATURAL est totalement invisible avec la version Incolore, ou trendy dans ses versions blanc antique et gris antique.À noter : OLÉOFLOOR® bénéficie de l’effet vaccin des saturateurs Owatrol®, c’est-à-dire : un bois nourri à l’OLÉOFLOOR® s’en souvient et les quantités nécessaires à sa maintenance sont réduites.Afin de répondre à toutes les demandes, Owatrol® propose aussi avec le VEGAFLOOR® et l’ULTIMAFLOOR® une gamme de vitrificateurs particulièrement performants grâce à leurs résines hybrides polyuréthanes acryliques garantissant une protection optimale face à un usage intensif.VEGAFLOOR® : apporte la garantie d’un vitrificateur haute résistance : idéal pour le salon, la salle à manger ou les chambres d’enfants, il résiste aux rayures, passages répétés, poinçonnement, impacts. Également adapté aux environnements plus difficiles, Vegafloor est le soin parfait pour les salles de bains ou cuisines : il ne craint ni les projections, ni l’eau stagnante, tout en résistant aux produits ammoniaqués. Son film qui présente une souplesse à coeur lui permet de suivre les éventuelles déformations du sol sans craquer : il est idéal avec les parquets anciens.ULTIMAFLOOR® : avec ses qualités « extrêmes » est la réponse pour protéger efficacement les parquets à forts trafics des bureaux, musées, lieux publics ainsi que les escaliers… Ces deux solutions s’appliquent facilement sur tous les bois, sèchent rapidement (2/3 heures) sans dégager d’odeur, garantissant le confort de l’applicateur. Le fini est non glissant, l’aspect naturel du bois est préservé, le film obtenu ne jaunit pas dans le temps et ne craint pas la lumière.La touche déco :VEGAFLOOR® est disponible en mat, satin ou brillant et ULTIMAFLOOR® en mat et satin. Ils peuvent aussi être préalablement teintés avec une teinte à bois, permettant d’obtenir des effets tendance tels que « faux cérusé » ou blanc « vieilli ».À savoir : une passe de PRIMAFLOOR® avant le VEGAFLOOR® permet aussi de préparer et teinter le parquet.Une gamme parquet respectueuse de l’environnement : En tête de liste avec son taux de COV bien inférieur aux normes réglementaires et son classement A+ (cf nouvelle norme « émissions dans l’air intérieur).GAMME OLEOFLOOR®, gamme vitrificateur : des solutions owatrol® techniques et novatrices pour des bois intérieurs magnifiés !Pour en savoir consultez la page du Groupe DURIEU ou visitez le site OWATROL.
Il y a 2 ans et 151 jours

AIRZONE : la sobriété énergétique grâce à la régulation du chauffage

Leader dans son domaine depuis plus de 20 ans, AIRZONE conçoit et fabrique des systèmes de contrôle et de qualité de l’air. Les équipements de régulation AIRZONE s’intègrent aux climatiseurs pour gérer les apports en froid et en chaud en fonction des besoins de chaque espace. Grâce aux systèmes AIRZONE, les consommations énergétiques des bâtiments sont réduites pour gagner jusqu’à 53 % d’économies d’énergie, en comparaison à un équipement Inverter standard. Engagé dans le respect de l’environnement et la réduction des consommations de chauffage, AIRZONE est un acteur de la sobriété énergétique depuis toujours. L’intégration du système AIRZONE dans les climatiseurs permet de générer la quantité nécessaire, en froid ou en chaud, à tout moment. AIRZONE apporte une réponse concrète à la problématique environnementale en se concentrant sur l’optimisation du confort thermique pour l’utilisateur et l’amélioration de la performance énergétique du bâtiment. Les systèmes de contrôle AIRZONE permettent de proposer une solution valide dans les logements RE2020 pour couvrir efficacement les besoins de l’utilisateur en termes de performances énergétiques et de confort. Les systèmes de régulation AIRZONE s’adaptent à l’ensemble des équipements de chauffage et de climatisation, alimentés par pompe à chaleur, et s’intègrent facilement et efficacement dans les systèmes domotiques. L’installation est connectée à une platine centrale AIRZONE qui analyse ses données et régule sa consommation, le tout contrôlable depuis des thermostats sur place ou via le Webserver Airzone Cloud. Easyzone QAI : le contrôle pièce par pièce du chauffage, de la climatisation et de la qualité d’air intérieur Grâce à l’intégration d’un plénum motorisé à ioniseurs dans son système de régulation, AIRZONE propose désormais une solution capable d’optimiser l’installation de chauffage/climatisation et d’améliorer la qualité de l’air intérieur. Easyzone QAI permet de réduire de 30 à 65 % la durée d’exposition des personnes aux poussières, acariens, pollen, bactéries et virus en suspension en1 heure, et de 80 à 90 % en 24 heures. Le système Easyzone QAI est aussi facile à poser qu’un système de régulation classique : un système Plug&Play, câblé en usine, s’intègre aux installations gainables et l’accès aux paramètres du système se fait par Bluetooth via l’application Airzone Cloud. Compatible avec plus de 80 fabricants du marché, Easyzone QAI peut être intégré en neuf comme en rénovation, dans les bâtiment résidentiels et tertiaires. Aidoo Pro Ventilo-convecteur : la solution qui donne une seconde vie aux installations en les dotant des dernières avancées technologiques. Parce que la gestion optimisée d’une installation passe dorénavant par un contrôle précis de ses équipements, la question de changer des appareils non connectés est fréquente. Pourtant, la durée de vie des ventilo-convecteurs ne demande pas systématiquement de les renouveler, et encore moins de les gaspiller. C’est pourquoi AIRZONE propose une solution simple et économique pour connecter les ventilo-convecteurs existants à son application Airzone Cloud et transformer ainsi son installation en une solution d’optimisation des consommations et d’économies d’énergie. Aidoo Pro Ventilo-convecteur est une solution unique pour lutter contre l’obsolescence technologique et réaliser des économies pour un minimum de frais. Idéal pour les hôtels et les bureaux, Aidoo Pro Ventilo-convecteur permet une gestion centralisée de tous les ventilo-convecteurs de l’installation depuis l’application Airzone Cloud, ou le système de gestion du bâtiment, afin : d’avoir une vue d’ensemble de toutes les installations réalisées et créer des groupes, si nécessaire, pour contrôler tous les dispositifs ensemble ; d’effectuer des configurations avancées des systèmes. Cette configuration comprend, par exemple, le choix de la température de consigne maximale ou minimale ou la sélection du mode de fonctionnement de l’équipement ; de surveiller l’installation à distance afin qu’en cas d’erreur du système, l’installateur puisse rassembler les informations instantanément depuis son smartphone et régler le problème plus efficacement.
Il y a 2 ans et 153 jours

la France ne couvre que 22,3% de sa consommation par des énergies renouvelables

La France a tout pour réussir la décarbonation de la chaleur. Elle dispose de solutions matures et performantes qui valorisent de nombreuses ressources locales (biomasse, chaleur du sous-sol, chaleur fatale, déchets ménagers, …) : le bois-énergie domestique et collectif, les pompes à chaleur aérothermiques, la géothermie de surface et la géothermie profonde, la chaleur solaire, les gaz renouvelables et la valorisation énergétique des déchets. Pourtant, un bilan* montre que malgré une augmentation de la production issue de sources d’énergie renouvelable et de récupération (EnR&R), la chaleur renouvelable ne représente que 22,3 % de notre consommation finale de chaleur en 2021. Elle continue de progresser en valeur absolue : elle est passée de 152,6 TWh en 2020 à 157,8 TWh en 2021. Toutefois, la forte reprise de la consommation globale de chaleur en 2021 (708 TWh pour cette première année post pandémie, contre 669 TWh en 2020) a largement contribué à annuler l’impact des 5,2 TWh supplémentaires produits par les sources renouvelables. Pour atteindre l’objectif fixé par la loi de 38 % d’EnR dans la consommation finale de chaleur en 2030, il faut que la dynamique de croissance de la production de chaleur renouvelable s’amplifie et s’accélère, en complément d’efforts significatifs en matière d’efficacité et de sobriété énergétiques. Des décisions politiques fortes, comme le doublement du Fonds Chaleur, doivent être rapidement prises pour décarboner massivement la chaleur et l’ensemble de la consommation énergétique nationale. * L’AFPG, le CIBE, la FEDENE, le SER et UNICLIMA, avec la participation de l’ADEME, ont publié la sixième édition du Panorama de la chaleur renouvelable et de récupération Cet article la France ne couvre que 22,3% de sa consommation par des énergies renouvelables est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 153 jours

Rehau équipe un nouvel établissement d’accueil médicalisé (EAM) pour personnes en situation d’autisme

35 jeunes adultes souffrant de trouble du spectre de l’autisme seront hébergés jour et nuit dans ce centre qui, sur une superficie totale de 2 665m², offre à la fois des espaces de vie et des bureaux pour le personnel. Le GAPAS, association gestionnaire de 33 établissements et services sociaux et médico-sociaux, a confié la construction de son nouvel établissement à Carré Constructeur, qui accompagne depuis plus de 40 ans les entreprises et les associations dans leurs projets. Dans le cadre de bâtiments à vocation médicale, le constructeur travaille en étroite collaboration avec les encadrants afin de répondre au mieux aux besoins spécifiques des futurs usagers.Un système de chauffage plébiscité pour les personnes souffrant de cette maladie« Le secteur du médico-social implique un suivi particulier auprès du client dans la définition des choix de matériaux mais aussi de conception, tel que le chauffage », explique Damien Charbonnier, chargé d’opérations chez Carré Construction.Il faut savoir que les personnes souffrant de troubles de l’autisme peuvent avoir des réactions particulières liées à leur sensibilité, et notamment sur les phénomènes de sensation de chaud et de froid. « En l’occurrence, poursuit-il, on a conseillé au GAPAS de mettre en place sur les espaces de vie un système de plancher chauffant qui offre un ressenti moins contraignant que des radiateurs, qui vont renvoyer une chaleur plus ponctuelle et peut-être plus perturbante. » Outre un meilleur confort, le système de surface chauffante va aussi éviter les éventuels risques d’arrachage ou de blessures par rapport à un matériel fixé au mur. Grâce à la répartition des tubes sur la totalité du sol, la sensation de chaleur est ainsi uniformément répartie dans les pièces et apporte beaucoup plus de confort.Réduire les dépenses énergétiques et l’empreinte environnementaleUne des lignes directrices de Carré Constructeur est de construire durablement pour l’entreprise et aussi pour l’environnement de demain. « Dans la conception de nos bâtiments, nous essayons de sortir des énergies fossiles. On en vient de plus en plus à proposer des solutions de type pompes à chaleur qui vont permettre une réduction de l’énergie consommée », complète Damien Charbonnier.Environ 8,5 km de tubes RAUTHERM en PE-Xa sont installés associés à 13 collecteurs polymères qui gèrent les arrivées et départ d’eau chaude et froide, le tout relié à une pompe à chaleur afin de chauffer ou rafraîchir les pièces selon les besoins. Fonctionnant à basse température et avec une excellente inertie, le système REHAU ne demande ainsi que peu d’énergie et ne pose aucun problème de santé ou de sensation de jambes lourdes.La livraison de l’établissement a été faite en juillet 2022 et l’ouverture est prévue prochainement.
Il y a 2 ans et 155 jours

Mermet fournit une protection thermique et visuelle optimale pour un nouveau restaurant scolaire à Vinay (38)

Doté d’une façade 100% en verre, le bâtiment nécessitait une protection thermique et visuelle optimale afin de répondre aux problématiques de chaleur et d’éblouissement tout en s’intégrant parfaitement à la façade. L’architecte a donc choisi le Satiné 5500 de Mermet et son coloris 0909 Mandarine très chaleureux pour équiper les stores intérieurs de presque 5 mètres de haut, réalisés par le fabricant de stores Warema.Le tissu permet :une parfaite maîtrise de l'éblouissement grâce à son tissage satiné en diagonale, toute en optimisant l'apport de lumière naturelleune bonne protection contre la chaleur : en application extérieure, il rejette 76% de l'énergie solairele maintien de la vision sur l'extérieur : transparence inégaléeun nettoyage simplifié : une éponge humide suffitune excellente stabilité dimensionnelle avec une planéité parfaite pour des stores de grande hauteurDisponible en 52 coloris et 4 largeurs allant jusqu’à 320 cm pour équiper les baies de grandes dimensions, le Satiné 5500 répond aux exigences des établissements recevant du public avec son classement de réaction au feu M1 et est certifié Greenguard Gold pour garantir la qualité de l’air intérieur.
Il y a 2 ans et 156 jours

Le Gouvernement et les grandes enseignes font le point sur le plan de sobriété dans les commerces

Cette campagne sera mise en place dans de nombreux commerces et magasins sur tout le territoire pendant l’hiver afin de valoriser les initiatives des enseignes et d’inciter les consommateurs à en faire de même à la maison.Lancé dès le 23 juin dernier par la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, le plan de sobriété a mobilisé de très nombreux secteurs professionnels. Parmi eux, la distribution et le commerce, réunis dans l’un des neuf groupes de travail lancés avec Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, ont acté dès le mois de juillet, sous l’égide de Perifem, le premier plan d’action sectoriel de sobriété énergétique. Ce dernier a été mis en place le 15 octobre dernier, soit une semaine après la présentation globale du plan.Réunis au ministère de la Transition énergétique ce mercredi 14 décembre, les adhérents de Perifem ont fait le point sur la mise en place de ce plan d’action qui devrait permettre d’économiser 1 million de MWh sur un an, soit 7% de la consommation énergétique du secteur.Au-delà de leur propre plan, les acteurs du secteur se mobilisent à nouveau à travers une campagne de communication inédite par son ampleur.Depuis la rentrée, Perifem a mis en place un groupe de travail entre le Gouvernement et les plus grandes enseignes de la distribution afin de préparer une campagne adaptée de celle des cinq gestes quotidiens d’économie d’énergie lancée par Agnès Pannier-Runacher début octobre. La campagne mettra en parallèle les gestes mis en place par les magasins dans le cadre du plan d’action énergétique avec ceux recommandés aux particuliers, autour d’un axe fort : « La distribution s’engage à vos côtés : en magasin comme à la maison, chaque geste compte pour faire des économies d’énergie. »Un message clé expliquant l’économie d’énergie réalisée par le changement des habitudes et deux visuels apparaitront en miroir autour des 5 grands gestes à adopter pour réduire le chauffage, limiter l’utilisation de l’éclairage, mettre en veille ou éteindre les appareils, conserver la chaleur ou décaler l’utilisation d’équipements énergivores :Le Gouvernement et le groupe de travail mené par Perifem ont conçu et produit 5 visuels (voir en annexe) communs qui seront adaptés et diffusés par les enseignes dans différents formats : en affichage papier, pour être intégrés dans des catalogues ou prospectus, pour les réseaux sociaux... Tous les signataires de la charte d’utilisation y ont accès librement.Les dirigeants des plus grandes enseignes alimentaires comme Michel-Edouard Leclerc (E.Leclerc), Laurent Vallée (Carrefour), Dominique Schelcher (Système U), Didier Duhaupand (Groupement Les Mousquetaires), Philippe Brochard (Auchan), Tina Schuler (Enseignes Casino - groupe Casino), Vincent Doumerc (Franprix – groupe Casino), Guillaume Sénéclauze (Monoprix – groupe Casino), Friedrich Fuchs (Lidl), Ludovic Chatelais (Cora-Match), mais également non alimentaires comme Alexandre Falck (But), Bastien Grandgeorge (Decathlon), Anne-Laure Jacquemart (Ikea), Louis Bonelli (Klepierre), ont d’ores et déjà acté la charte et déploieront la campagne dès aujourd’hui avec l’ambition de participer à l’effort collectif.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Deux mois après la présentation du plan de sobriété aux côtés de la Première ministre, il était important de faire ce point d'étape avec les grandes enseignes et de montrer que les grandes entreprises se sont mobilisées pour réduire leur consommation d’énergie. Cette journée a également permis de lancer une vaste opération de sensibilisation dans les magasins. A l'approche de l'hiver, cette campagne permettra d'encourager les enseignes mais aussi les citoyens à adopter les bons gestes pour faire la chasse au gaspillage d’énergie. Cela s'inscrit dans l'esprit de la grande campagne de communication gouvernementale : chaque geste compte ! »Thierry Cotillard, Président de Perifem, a déclaré : « Je me félicite de l’implication forte de nos plus grandes enseignes et je crois en notre capacité individuelle et collective pour garantir un comportement responsable et citoyen en termes de baisse des consommations d’énergie. Je remercie les équipes de Perifem qui se sont une nouvelle fois mobilisées au service de nos adhérents pour rendre cette communication inédite possible. Nous sommes tous solidaires et tous concernés par cette crise de l’énergie, clients comme magasins. »Plus d’infos sur www.perifem.com et www.magasinresponsable.com
Il y a 2 ans et 157 jours

Très forte baisse de la consommation d'électricité et de gaz des français en 2022 selon une étude Hello Watt Linky Gazpar

Grâce à son application gratuite de Suivi Conso, Hello Watt a pu collecter et décrypter les données présentées dans cet article, afin de vous proposer un baromètre de la consommation d'électricité et de gaz en France, en 2022. Cette première édition de notre baromètre force à constater une baisse significative de la consommation d'énergie sur l'année 2022, tant pour le gaz que pour l'électricité. Plusieurs causes peuvent être attribuées à cette réduction de la consommation :2022 fut une année aux températures clémentes, ayant d’ailleurs enregistré des records de chaleur aux mois de mai, juin, octobre et novembre. Ces températures ont ainsi permis aux particuliers d’allumer leur chauffage tardivement et donc de consommer moins d’énergie ;si le Gouvernement a instauré, en octobre 2021, un bouclier tarifaire pour protéger les consommateurs de la flambée des prix de l’énergie, liée à la crise énergétique actuelle ; certains Français ont tout de même pu subir de plein fouet des augmentations sur leurs factures énergétiques. En résulte une contrainte, pour certains ménages, de réduire leur consommation, dans le but de réaliser quelques économies d’énergie ;enfin, pour inciter les Français à la sobriété énergétique, une campagne gouvernementale de sensibilisation aux écogestes a été lancée en octobre 2022. Une campagne qui semble avoir un effet, si l’on en croit les tendances décryptées dans cet article.Rappel : quelles étaient les tendances de consommation en France en 2021 ?Avant d’étudier l’évolution de la consommation sur l’ensemble de l’année 2022, rappelons les tendances de 2021.Selon le Bilan RTE 2021 (Réseau de Transport d’Électricité), l’année 2021 a connu à la fois une augmentation de la production (+4,5%) et de la consommation d’électricité (+1,7%) par rapport à l’année 2020.Cette augmentation pouvait être expliquée en partie par la crise de la covid-19, qui avait radicalement réduit la production et la consommation des ménages en 2020.Les chiffres de 2021 correspondent alors davantage à ceux de l’année 2019 : l’on observait donc un “retour à la normale”. Mais cette tendance a-t-elle suivi son cours sur l’année 2022 ? On fait le point !Consommation d’électricité en France : quelles sont les tendances d’évolution observées en 2022 ?Alors, comment a évolué la consommation moyenne d’électricité des Français sur l’année 2022 ? Pour le savoir, nous avons analysé les données récoltées à partir d’un échantillon d’utilisateurs inscrits sur l’application Hello Watt.Consommation totale d’électricité, par mois, tous logements confondusSur les 69 175 ménages étudiés, les données recueillies nous permettent d’observer une baisse de la consommation moyenne d’électricité mensuelle des particuliers sur l’année 2022, en comparaison avec l’année 2021. La tendance s’inverse alors, comparée aux années 2020 à 2021, où la consommation d’énergie était en hausse.On relève notamment une forte baisse sur les mois d’octobre et novembre 2022, avec une réduction de la consommation de l’ordre respectif de -23,86% et -27,78% !Bien que la consommation moyenne d’électricité du groupe étudié soit globalement en baisse, elle reste sensiblement la même sur certaines périodes, à savoir les mois de février, juin, juillet, août et septembre 2022.Grâce aux données collectées, nous avons également pu établir que la tendance observée (baisse ou similarité selon les périodes de l’année) est identique pour les logements chauffés à l'électricité et pour les logements non équipés d’un chauffage électrique.De la même manière, si les données du mois de décembre ne sont pas encore disponibles, on peut tout de même prédire que la tendance restera à la baisse en vue des données observées aux mois d’octobre et de novembre.De plus, l’évolution du prix de l’électricité, en forte hausse depuis 2021 malgré l’instauration d’un bouclier tarifaire par le Gouvernement, contraint la population française à réduire sa consommation pour ne pas voir flamber son budget énergétique…Une autre cause peut aussi entrer en jeu : depuis le 17 octobre 2022, le Gouvernement a instauré une campagne publicitaire de masse, visant à sensibiliser les Français à la sobriété énergétique. La campagne gouvernementale Je baisse, j’éteins, je décale encourage en effet les ménages à consommer moins d’énergie, afin d’éviter les risques de courtes coupures potentielles, annoncées par RTE.Consommation d’électricité après correction des effets météorologiques, par moisEn novembre 2022, sur les 28% de baisse de consommation observés par rapport à l’année précédente : 16% sont dus au changement de comportement des consommateurs ; et 12% aux températures plus clémentes. Ces 16% sont à mettre en relation avec les chiffres annoncés par RTE (7%) et EDF (10%) : on observe ici l’intérêt d’avoir un bon outil de suivi et d’analyse de la consommation fondé sur Linky, comme l’application de suivi conso Hello Watt, pour faire encore plus d’économies.Consommation d’électricité pour le chauffage uniquement, par moisSelon les chiffres de Climat Air et Énergie, le chauffage représente 66% de la consommation électrique d’un appartement (ou d’une maison). Il est donc pertinent de s’intéresser à l’évolution de la consommation de chauffage des foyers français inscrits sur l’application Hello Watt et chauffés à l’électricité en 2022 ; cela dans le but d’évaluer la tendance de consommation en chauffage électrique de l’ensemble des ménages français.De fait, des algorithmes de décomposition spécialement créés pour isoler les chiffres concernant le chauffage uniquement tournent sur l’application de suivi conso Hello Watt. Nous pouvons ainsi déterminer quelle est la part du chauffage sur l’ensemble de la consommation d’un ménage. On fait le point !D’après les données observées sur cet échantillon de 3 563 foyers, les ménages chauffés à l’électricité ont revu à la baisse leur consommation de chauffage sur l’année 2022, et notamment sur les mois d’octobre et novembre. On observe en effet une baisse de la consommation de l’ordre de -75,41% en octobre et -57,13% en novembre, en comparaison avec l’année 2021 !Plusieurs causes peuvent être attribuées à cette réduction générale sur la consommation de chauffage électrique : tout d’abord, les températures douces de l’année 2022 ont permis aux ménages de retarder la période de chauffe, et donc de réduire leur consommation de chauffage électrique. Cette tendance peut notamment être observée sur les mois d’octobre et de novembre 2022, qui ont battu des records de chaleur (respectivement +4 °C et +3 °C en octobre et novembre 2022, comparé à 2021) et où l’on constate une forte baisse de la consommation par rapport à 2021 ;autre raison : l’inflation des prix de l’énergie, qui force de nombreux ménages à baisser leur chauffage, voire à ne pas se chauffer, pour ne pas se retrouver avec des factures d’électricité exorbitantes… ;vient enfin la campagne gouvernementale, lancée depuis le 17 octobre, qui incite les particuliers à consommer moins, notamment en leur communiquant des températures de consigne s’élevant à 19 °C pour les pièces de vie et 17 °C pour le reste du logement, chambres comprises.Consommation de gaz en France : quelles sont les tendances d’évolution observées en 2022 ?Comme pour l’électricité, nous avons analysé les données d’un échantillon d’utilisateurs de l’application Hello Watt, afin de connaître l’évolution de la consommation moyenne de gaz chez les Français de l’année 2021 à 2022.Consommation totale de gaz, par mois, tous logements confondusOn observe, ici aussi, une baisse globale de la consommation de gaz mensuelle au sein de l’échantillon de 13 377 foyers français étudiés sur l’année 2022. On relève cependant une légère hausse de la consommation de gaz sur les mois de juin et de juillet 2022, par rapport aux mêmes mois de l’année précédente. Celle-ci peut notamment être due :à la consommation du chauffe-eau des ménages. En effet, avec la chaleur observée lors de ces deux mois d’été, les particuliers ont peut-être pris plus de douches ou de bains pour se rafraîchir ;au fait que cette période soit éventuellement moins sujette à des départs en vacances.Les données que nous avons collectées nous ont par ailleurs permis de relever que les tendances de consommation observées selon les périodes (baisse ou correspondance avec l’année 2021) sont les mêmes pour les logements chauffés au gaz que pour ceux disposant d’un autre moyen de chauffage.Aussi, et de la même manière que pour l’électricité, la consommation de gaz estimée pour le mois de décembre 2022 devrait respecter la tendance de baisse observée sur le reste de l’année. Cette hypothèse se base sur les données disponibles pour les mois d’octobre et novembre 2022, au cours desquels la consommation de gaz a connu une forte réduction, de l’ordre de -60,42% en octobre et -32,77% en novembre.De fait, depuis 2021, les factures de gaz naturel se sont également vu augmentées, conséquence directe de la crise énergétique actuelle et de l’évolution du prix du gaz, en forte hausse suite aux conflits géopolitiques entre la Russie et l’Ukraine.Par conséquent, nombreux sont les ménages qui ont dû restreindre leur consommation pour garder le contrôle sur leur facture de gaz, et ce, malgré le bouclier tarifaire mis en place par le Gouvernement depuis octobre 2021.Consommation de gaz pour le chauffage uniquement, par moisComme vu pour l’électricité, le chauffage représente une part majoritaire de la consommation énergétique d’un foyer (66% selon les chiffres de Climat Air et Énergie). Grâce aux algorithmes de décompositions développés pour notre application, nous pouvons déterminer la part que représente le chauffage sur l’ensemble de la consommation d’énergie d’un ménage. Intéressons-nous donc désormais à l’évolution de la part de chauffage sur la consommation globale de gaz des particuliers en France.Les données ne sont pas encore disponibles pour les mois de novembre et décembre 2022.Le graphique ci-dessus, qui prend en compte les données de 1 778 ménages inscrits sur l’application Hello Watt et chauffés exclusivement au gaz, démontre une fois encore une baisse globale de la consommation de gaz des particuliers en France, de l’année 2021 à 2022.Si les données pour les mois de novembre et décembre 2022 ne sont pas encore disponibles, on peut toutefois prévoir une régularité dans la tendance observée, et donc une réduction de la consommation également. Cette prévision s’établit en effet sur la forte baisse constatée en octobre, où la réduction de 2021 à 2022 était de l’ordre de -76,43% !Là encore, cette réduction de consommation peut être une conséquence :de la crise énergétique et des augmentations du prix du gaz, qui forcent certains ménages à consommer plus prudemment et à réduire leur consommation de chauffage pour s’y retrouver financièrement ;des températures clémentes de l’année en cours, qui a permis de retarder l’allumage des chauffages et donc de baisser la consommation hivernale des foyers chauffés au gaz ;de la campagne de sensibilisation diffusée par le Gouvernement, qui a potentiellement incité les Français à consommer de manière plus responsable.
Il y a 2 ans et 157 jours

7 choses à savoir avant d'investir dans un programme immobilier

Investir dans l'immobilier neuf présente de nombreux bénéfices mais peut sembler difficile au premier abord. Pourtant les avantages sont nombreux et les projets ne manquent pas dans lesquels investir comme par exemple ce programme immobilier neuf à Tours. La sécurité de votre investissement Au contraire de l'immobilier ancien qui nécessite souvent des travaux de rénovation coûteux, l'immobilier neuf bénéficie des dernières avancées en terme d'isolation et d'une conception réfléchie pour une performance énergétique optimale. Autre différence majeure avec l'immobilier ancien, vous bénéficiez de la garantie Constructeur. En effet, en cas d'un éventuel défaut de construction ou d'un vice caché, les charges et les démarches sont prises en charge par le promoteur pendant plusieurs années. Ainsi, pas de stress supplémentaire pour vous ! Les avantages fiscaux Investir dans du neuf représente toujours une importante dépense mais celle-ci sera toujours plus intéressante que dans de l'immobilier ancien. En misant sur l'immobilier neuf, vous pouvez bénéficier d'une défiscalisation partielle de votre achat grâce au dispositif Pinel. Depuis 2014 ce dispositif permet d'avoir une déduction fiscale allant de 12 à 21% du prix du logement, pour une durée de mise en location minimum de 6, 9 ou 12 ans. Dans le cas des meublés et des loueurs meublés non professionnels, la loi Censi-Bouvard permet également de récupérer la TVA immobilière ainsi que de bénéficier d'une réduction d'impôts à hauteur de 11% du montant de l'investissement pendant 9 ans de mise en location. Si vous souhaitez toutefois investir hors d'une zone Pinel (zones tendues) ou que vous comptez habiter le logement dans lequel vous investissez, il est tout à fait possible de le faire mais vous ne bénéficierez pas d'autant d'avantages fiscaux. Un patrimoine durable Étant donné que l'humain aura toujours besoin de se loger, il n'y a pas de crainte à avoir que l'immobilier disparaisse un jour. Investir dans l'immobilier neuf représente donc une valeur sûre et la garantie d'un patrimoine qui va durer dans le temps. L'immobilier ancien peut réserver des mauvaises surprises après quelques années pour un propriétaire. L'immobilier est une valeur refuge, elle est stable et à tendance haussière. Avec les garanties mentionnées précédemment et la stabilité de l'immobilier, vous pouvez être serein dans votre investissement. Investir à crédit Il est possible d'investir à crédit dans du neuf avec un prêt immobilier. Celui-ci permet d'emprunter la somme nécessaire et de rembourser tout ou partie des mensualités avec les loyers. L'un des deux avantages de cette méthode est de fournir un effort d'épargne raisonnable tout en disposant au final d'un patrimoine immobilier. L'autre est de pouvoir vous permettre une acquisition plus importante qu'en puisant dans votre épargne personnelle via l'effet de levier du crédit. La rente locative Si malgré tout vous souhaitez vous assurer de la rentabilité de votre projet, il est possible de louer votre bien. Une fois votre crédit immobilier remboursé, vous percevrez des loyers bruts pouvant profiter d'un abattement de 30% ou de 50% pour les loueurs en meublé non professionnels. Vous limitez donc votre imposition sur les revenus fonciers. Une facture énergétique et écologique attrayante En choisissant l'immobilier neuf, vous vous assurez d'avoir un bien conforme aux dernières normes écologiques. Dans le contexte actuelle de crise énergétique, ces nouvelles constructions bénéficiant de meilleures isolations et donc de moins de déperditions de chaleur. Elles sont donc un moyen d'alléger la facture et de s'inscrire dans une démarche environnementale ce qui ne manquera pas d'attirer de potentiels locataires fuyant des passoires énergétiques. Alléger les frais de notaires Les frais de notaires sont à ajouter au prix de vente du bien immobilier que vous ciblez. Que ce soit de l'ancien ou du neuf, ils servent à couvrir le coût des démarches administratives, la rémunération de l'office national et les taxes ou impôts . En revanche, l'immobilier neuf profite d'avantages financiers concernant les frais de notaires, en plus d'un prix d'achat généralement plus bas. Ces frais sont réduits pour l'achat d'un bien neuf et représentent 2 à 3% du prix d'achat par rapport à 7 à 8% pour l'ancien.
Il y a 2 ans et 158 jours

Chauffage bois : le parc d'appareils sur la bonne voie pour atteindre son objectif PPE

FOCUS. Élément central de la production de chaleur renouvelable, nécessaire pour répondre aux besoins énergétiques du pays, le chauffage au bois domestique est présenté comme "la première source d'énergie renouvelable du pays". Toutes les familles d'appareils - poêles à bûches et granulés, inserts, cheminées et chaudières à pellets - sont en croissance.
Il y a 2 ans et 159 jours

Équilibre des énergies vise 10 millions de logements chauffés par pompes à chaleur en 2030

L'association Équilibre des énergies, dont les membres comportent notamment EDF, Dalkia, Atlantic, l'Afpac (...), recommande de prioriser l'installation de pompes à chaleur pour la rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 2 ans et 162 jours

quelles sont les aides pour une pompe a chaleur

Quelles sont les aides pour une pompe à chaleur ? MaPrimeRénov' · Les CEE · L'eco-PTZ · TVA 5,5% · Le chèque Energie ·les aides des collectivités
Il y a 2 ans et 162 jours

BURGERHOUT lance une solution unique en Europe : Delta-Discovery Air est le premier caisson pour pompe à chaleur sur toit incliné 

La filiale française de M&G Group, le leader mondial des systèmes d’évacuation de fumée et de ventilation, lance son système exclusif de caisson pour pompe à chaleur qui s’installe sur les toitures en pente, en neuf comme en rénovation. Plus discret que les installations le long des maisons, Delta-Discovery Air est également un gain de confort pour les installateurs qui peuvent accéder au système de l’intérieur de la maison grâce à un espace prévu à cet effet ! Delta-Discovery Air a été conçu pour s’installerentièrement à l’extérieur de l’enveloppe isolante de la maison, ce qui permet de maintenir la valeur de la performance énergétique de l’habitation. Pour réaliser une installation aussi durable et recyclable que possible, BURGERHOUT a réalisé l’embase d’étanchéité de son caisson en Leadax, le premier substitut de plomb au monde ayant les mêmes propriétés que le plomb traditionnel, sans aucun effet nocif sur la santé ou l’environnement. Une solution facile et confortable pour les occupants comme pour l’installateur Pour développer le Delta-Discovery Air, BURGERHOUT a travaillé en collaboration avec des installateurs, des entreprises de construction, des fabricants de pompes à chaleur et des clients finaux (notamment des bailleurs ou syndics de copropriété). En combinant les attentes de chacun, BURGERHOUT a imaginé ce caisson unique pour les différentes pompes à chaleur, systèmes split ou monobloc, à la fois esthétique, intelligent et efficace : Grâce à une installation sur les toitures en pentes, Delta-Discovery Air n’empiète pas sur l’espace extérieur ou habitable de la maison. Le caisson est livré avec son embase d’étanchéité, adaptée aux pentes de toits de 20° à 60°, pour une esthétique homogène et dans la continuité du toit. Le caisson est fixé sur le toit, à l’extérieur de la maison, et des plaques d’étanchéité permettent de maintenir l’isolation et les performances énergétiques de l’habitat. L’installation sur le toit permet de réduire la quantité de tuyauterie nécessaire et améliore l’efficacité de la pompe à chaleur. De plus, la conception unique du caisson permet d’atténuer les bruits de vibrations de la pompe à chaleur. Pour accéder à l’installation, que ce soit pour l’entretien ou les réparations, une trappe est intégrée et permet à l’installateur d’intervenir directement dans le caisson, à l’abri des intempéries. L’installateur n’a pas besoin de monter sur le toit pour l’entretien annuel. Une conception unique pour des installations de haute qualité Rattachée au leader mondial M&G Group, BURGERHOUT développe des solutions combinant à la fois économies d’énergie et protection de l’environnement. Pour assurer la durabilité et les performances d’étanchéité de son système, BURGERHOUT a développé l’embase du Delta-Discovery Air en Leadax. Le Leadax possède les mêmes propriétés uniques que les matériaux d’étanchéité traditionnels tels que le plomb et le zinc, sans devoir faire de compromis sur la qualité ou la flexibilité. Il n’a aucun effet nocif sur la santé ou l’environnement. De conception robuste, le caisson Delta-Discovery Air permet également de protéger la pompe à chaleur et de prolonger sa durée de vie. Un rail flexible permet de fixer des unités monoblocs et split de différentes marques dans le caisson. De plus, la version standard du Delta-Discovery Air est équipée d’un raccord pour la ventilation de fosse toutes eaux et la ventilation mécanique, ce qui permet d’obtenir une meilleure efficacité. Pour s’adapter à la fois aux chantiers neufs ou en rénovation, le système Delta-Discovery Air est modulaire. Ainsi, l’embase d’étanchéité et le caisson intermédiaire peuvent être livrés directement à l’installateur pour réaliser la construction du toit. Le caisson supérieur peut-être livré indépendamment à l’installateur ou au distributeur spécialisé. L’ensemble du système, avec la pompe à chaleur, peut alors être assemblé sur place, directement sur la charpente à l’aide d’une grue. Delta-Discovery Air est disponible en deux formats : Delta-Discovery Air : hauteur 850 mm, longueur 1 000 mm, largeur 410 mm Delta-Discovery Air XL : hauteur 1 005 mm, longueur 1 155 mm, largeur 465 mm
Il y a 2 ans et 162 jours

Les énergies renouvelables plaisent aux entreprises

La dernière annonce est venue jeudi de Renault, qui a signé avec le producteur français Voltalia un contrat sur 15 ans pour une puissance de 350 mégawatts (MW) d'électricité solaire.Des panneaux photovoltaïques installés sur les sites de Voltalia doivent lui permettre de couvrir d'ici 2027 jusqu'à 50% de la consommation électrique du constructeur."Il s'agit d'un engagement inédit en France en termes de puissance", a précisé Voltalia, très familier de ces contrats de fourniture d'électricité à long terme, souvent désignés par le terme anglais de "corporate PPA" (power purchase agreement) car venus des Etats-Unis.Jeudi encore, Engie a annoncé un contrat d'achat de 100 MW pendant 12 ans avec Google au Royaume-Uni, à partir du projet éolien offshore de Moray West au large de l'Ecosse.Si solaire et éolien dominent, on voit apparaître des contrats sur le biogaz, et la géothermie (contrat inédit - "Heat Purchase Agreement", HPA - entre Renault et Engie pour verdir la chaleur pour l'usine de Douai). On en parle aussi pour l'hydrogène.Ces contractualisations en direct ne constituent toujours qu'une mince partie du volume vendu. Mais elles sont une petite révolution car il s'agit de ne plus acheter aux fournisseurs habituels comme EDF.Dans la course actuelle à la neutralité carbone, basculer sur des énergies bas carbone est souvent l'étape la plus facile pour les entreprises. Les géants du numérique américains dans les années 2010 ont été pionniers de ces PPA, pour tenter de verdir la forte consommation de leurs centres de données."Tendance de fond"Depuis, l'Europe rattrape son retard, notamment le nord du continent mais aussi l'Espagne, profitant de la spectaculaire chute des coûts des technologies renouvelables."En France, le marché a démarré plus lentement qu'ailleurs, car le pays bénéficiait d'un approvisionnement électrique plutôt compétitif et décarboné" avec sa forte portion de centrales nucléaires amorties depuis longtemps, souligne Alexis Gazzo, associé chez EY."Mais depuis quelques mois il y a un fort regain d'intérêt", avec la flambée des prix de l'électricité, dit-il, évoquant "un changement culturel dans les divisions Achats d'énergie des entreprises et une réflexion nouvelle sur le risque".Le mouvement en France a commencé en 2018 avec des précurseurs comme Aéroports de Paris et la SNCF, qui cette année-là lançait un appel d'offres pour sécuriser sur 20 ans 20% de sa consommation renouvelable.Avec la crise actuelle, Voltalia, leader des PPA en France et plus actif encore au Royaume-Uni, constate un boom de la demande des entreprises, où le sujet énergie remonte désormais jusqu'aux conseils d'administration.Pour son directeur général, Sébastien Clerc, les producteurs de renouvelables eux-mêmes s'y retrouvent: "l'inconvénient de la plupart des appels d'offres publics en France est que l'essentiel du prix de vente n'est pas indexé sur l'inflation. Avec les corporate PPA on négocie librement la structure du tarif, de privé à privé, et intégrer l'inflation est protecteur pour les deux parties", dit-il à l'AFP.En France, une part de la gauche rejette ces contrats, qui reviennent pour elle à privatiser une part de la production. Mais des collectivités expriment leur intérêt, et l'Etat vient d'annoncer un "fonds de garantie" pour faciliter ces accords en couvrant le risque de défaut des industriels.Les PPA forment "une tendance de long terme", dit Nicolas Goldberg, chez Colombus Consulting, pour qui "cette crise laissera des traces: on voit que si on ne sécurise pas une part des approvisionnements, si on ne diversifie pas, avec une vision à long terme, on s'expose"."Les entreprises sont demandeuses car les énergies renouvelables tirent les prix de marché à la baisse", souligne l'analyste. Et pour lui, ces PPA sont "une bonne chose, car cela aide aussi la société à comprendre un peu mieux les énergies renouvelables".
Il y a 2 ans et 163 jours

BURGERHOUT lance une solution unique en Europe

La filiale française de M&G Group, le leader mondial des systèmes d'évacuation de fumée et de ventilation, lance son système exclusif de caisson pour pompe à chaleur qui s'installe sur les toitures en pente, en neuf comme en rénovation. Plus discret que les installations le long des maisons, Delta-Discovery Air est également un gain de confort pour les installateurs qui peuvent accéder au système de l'intérieur de la maison grâce à un espace prévu à cet effet !
Il y a 2 ans et 163 jours

Baisser ou éteindre son radiateur ? Le dilemme de l'hiver pour réduire sa facture

La réponse dépend de la durée et d'autres paramètres, en premier lieu de l'isolation du logement.La durée de l'absenceQue l'on quitte son logement pour quelques heures ou quelques jours, baisser la température de son radiateur d'une poignée de degrés suffit. Selon l'Ademe, un degré en moins "permet de réduire la consommation de 7%". Le gouvernement a appelé les Français à ne pas se chauffer à plus de 19°C.Si l'on s'absente la journée, on peut baisser le chauffage de 19 à 16°C, conseille l'agence française de la transition écologique, l'Ademe. Pour plusieurs jours d'absence, on peut descendre à 14°C. Cela permet "d'éviter un appel de puissance trop fort à la remise en route", détaille Cyril Radici, directeur général du Synasav, un syndicat national qui regroupe des professionnels de la maintenance du chauffage.Si l'absence doit se prolonger plusieurs semaines, il est conseillé de mettre ses radiateurs en mode "hors gel", pour éviter au logement de tomber en-dessous de 8°C.La météo du jourS'il s'agit d'"une belle journée d'automne ensoleillée", on peut complètement couper le chauffage avant de le relancer "à son retour le soir", précise Florence Clément, de l'Ademe.Mais s'il fait très froid, alors il faut maintenir ses radiateurs en activité et se contenter de les baisser de quelques degrés, toujours pour éviter un pic de consommation à la remise en route.Réguler et programmerPour les logements avec chauffage individuel, "le thermostat programmable est incontournable", explique l'Ademe. Connecté à la chaudière, il permet de maintenir le logement à température constante. Il existe désormais des thermostats programmables à distance via smartphone. Ils coûtent entre 60 et 250 euros et permettent de réaliser "jusqu'à 15% d'économie d'énergie", selon l'Ademe.Des robinets thermostatiques peuvent être installés sur les radiateurs à eau pour ajuster la température de chaque pièce. Les solutions connectées se multiplient. Sowee, fournisseur d'énergie filiale d'EDF, propose un dispositif permettant d'adapter sa consommation pour "jusqu'à 25% d'économies", selon Tiphaine Bougeard, sa directrice générale. Pour cet hiver, il est même possible de "s'effacer" du réseau électrique en baissant les radiateurs à "12 degrés pendant une heure lors des pics de consommation".Dans les logements à chauffage collectif, "il est possible d'individualiser les frais de chauffage afin de payer des charges au plus juste de sa consommation", ajoute Florence Clément, notamment en installant des compteurs individuels d'énergie thermique.Entretenir les chaudièresEntretenir son équipement "est la clé", conseille Cyril Radici. Selon lui, 25% des foyers sont "sans contrat d'entretien" et un mauvais réglage de chaudière fait grimper la note.Si les radiateurs électriques sont moins onéreux à l'achat qu'un système de chauffage à eau chaude (chaudière au gaz, à bois, au fioul, électrique ou pompe à chaleur), leur consommation est plus élevée. Aussi, le chauffage à eau chaude constitue "un investissement plus intéressant sur le long terme", pour Cyril Radici.Une solution : l'isolationPour éviter les pertes de chaleur, il est conseillé de fermer les volets la nuit, d'installer des rideaux épais et des bas de portes, de fermer les portes des pièces peu chauffées...L'inertie thermique du logement entre aussi en compte: plus les matériaux de construction sont lourds et denses (béton, briques pleines, pierre...), plus ils absorbent et stockent la chaleur, et peuvent donc la retransmettre progressivement. Ils mettent du temps à monter en température, mais "gardent longtemps les calories et les restituent sur plusieurs jours, limitant les besoins de chauffage", selon Engie.Mais in fine, "peu importe" l'inertie et les petits gestes des particuliers. "Si le logement est mal isolé", ils "n'auront aucun impact", insiste Florence Clément."On ne veut pas donner de faux espoirs, les écogestes ne suffisent pas". Aussi faut-il avant tout "penser à l'isolation et à la rénovation énergétique" pour "gérer cet hiver mais également ceux à venir".
Il y a 2 ans et 165 jours

chaudiere biomasse caracteristiques prix aides

La chaudière biomasse qu'est-ce que c'est ? Elle utilise comme combustible le bois, afin de produire de la chaleur. Le prix varie entre 3 000 € et 25 000 €
Il y a 2 ans et 165 jours

Et la chaleur renouvelable ?

Les acteurs de la chaleur renouvelable – solaire thermique et géothermie de surface principalement – ont le sentiment d’être oubliés dans les débats sur la décarbonation.
Il y a 2 ans et 166 jours

Cepsa va investir 3 Mds d'euros dans un projet d'hydrogène vert en Andalousie

Ce projet, baptisé "Vallée andalouse de l'hydrogène vert", permettra la production de 300.000 tonnes de ce gaz considéré comme crucial pour la décarbonation de l'économie, sur une vaste zone située entre Cadix et Huelva, a indiqué l'entreprise espagnole dans un communiqué.Il s'accompagnera d'un investissement additionnel de deux milliards d'euros pour le développement de parcs éoliens et solaires et devrait générer "10.000 emplois", selon le groupe.La production d'hydrogène sera "une contribution vitale pour la transition énergétique et la sécurité d'approvisionnement du continent" européen, a souligné le directeur général de Cepsa, Maarten Wetselaar, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.Selon ce dernier, l'investissement réalisé par Cepsa devrait permettre à l'Andalousie, qui bénéficie en particulier d'un fort ensoleillement toute l'année, de devenir "l'une des régions les plus compétitives au monde en matière de production d'hydrogène" vert à partir d'énergie solaire et éolienne.L'hydrogène vert est actuellement en plein essor en Espagne, qui cherche à s'affirmer comme un acteur clé de la transition énergétique en Europe. Ce gaz, produit en décomposant les molécules de l'eau à l'aide d'un courant électrique (dont l'origine peut être renouvelable ou non), ne libère en brûlant que de la vapeur d'eau, à la différence des carburants fossiles.Il peut être utilisé pour remplacer le charbon dans les industries ayant besoin de beaucoup de chaleur, comme la sidérurgie, et est perçu comme une solution d'avenir pour faire marcher les bus, les trains et même les avions.