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Il y a 2 ans et 92 jours

Du thermique au solaire : le cas d'école de la centrale d'Ambès

"Notre projet de loi sur le déploiement des énergies renouvelables s'illustre ici de manière extraordinairement concrète", s'est d'ailleurs réjouie jeudi la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, deux jours après l'adoption définitive du texte au Sénat.Sur cette ancienne friche industrielle située à une trentaine de kilomètres au nord de Bordeaux, qui abritait de 1959 à 2004 une centrale au fuel et au gaz démantelée en 2014, 25.000 panneaux photovoltaïques brillent sur dix hectares depuis 2021.Mais la différence de puissance entre l'ancienne et la nouvelle centrale illustre le bond en avant que va devoir effectuer la France, condamnée par Bruxelles à une amende de 500 millions d'euros pour n'avoir pas respecté en 2020 son engagement de parvenir à 27% d'électricité d'origine renouvelable. Selon les derniers chiffres, elle était à 24,2% fin 2021.Avec une puissance maximale installée de 9,6 mégawatts-crête, la nouvelle unité peut couvrir dans des conditions optimales l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 6.000 habitants, mais elle est loin d'atteindre celle de l'ancienne centrale thermique à son apogée (1250 MW en 1972).Pour atteindre le cap de plus de 100 gigawatts (GW) d'énergie solaire à l'horizon 2050 fixé dans la loi votée cette semaine, soit cinq fois plus qu'aujourd'hui, il va donc falloir beaucoup d'espace, tout en s'inscrivant dans la stratégie de zéro artificialisation nette.Réduire les délaisLe texte voté cette semaine veut donc "limiter les défrichages et accompagner des projets dont l'impact en termes de biodiversité est minime, en privilégiant des zones dégradées et artificialisées."En Nouvelle-Aquitaine, première région française productrice d'électricité solaire, avec une puissance raccordée de 2.667 MW, soit 26% du total national, ce tournant est récent.En 2018, 74% des installations photovoltaïques étaient installées dans des forêts de pins pour seulement 6% sur des sols déjà artificialisés. Un immense projet de 1.000 hectares est encore dans les cartons dans la forêt landaise à Saucats, mais comme à Ambès, des fermes photovoltaïques poussent depuis peu sur d'anciennes friches.La plus grande centrale photovoltaïque urbaine d'Europe (60 hectares) a été inaugurée l'an dernier sur une ancienne décharge à Bordeaux et une autre doit être mise en service prochainement sur une ancienne déchetterie à Pessac.Les délais sont encore trop longs, regrette Agnès Pannier-Runacher. Initié en 2015, le projet à Ambès, n'a vu le jour que six ans plus tard, dont une seule année pour la construction proprement dite. La ministre de la Transition énergétique souhaite "diviser par deux le temps d'instruction et de développement de ce genre de projet."Et pour faciliter leur acceptabilité, elle souhaite davantage associer les riverains pour qu'ils "ne se sentent pas agressés par ce type d'installation" et puissent en récolter des bénéfices, comme à Ambès où un taux d'intérêt de 5,5% vient récompenser les investisseurs qui ont permis de collecter 200.000 euros dans le cadre d'un financement participatif."En associant les habitants et les élus locaux au projet, ça devient leur projet", estime Mme Pannier-Runacher.
Il y a 2 ans et 92 jours

Testo renouvèlle sa gamme

Testo renouvèlle sa gamme Installations de climatisation et de ventilation : mesurer le flux et le débit volumique 
 
 
 Le bon andresudrie ven 17/02/2023 - 15:53 En savoir plus sur Testo renouvèlle sa gamme Partager
Il y a 2 ans et 92 jours

Nouvelle génération d’appareils de mesurecompacts et connectés Testo pour le secteur CVC: l’assurance d’un travail rapide, simple et précis

Que ce soit dans le cadre d’installation, d’entretien ou de maintenance, les professionnels du secteur du chauffage, de la ventilation et de la climatisation sont toujours en quête d’outils facilitant leur quotidien. Proche de leurs attentes, Testo fait évoluer sa gamme d’appareils de mesure pour le secteur CVC. Plus compacts, équipés d’un grand écran intuitif, les onze nouveaux appareils, connectés à l’appli testo Smart sur leur smartphone, fournissent des résultats de mesure précis, de manière simple, rapide et conviviale. De quoi satisfaire tous leurs besoins ! Des appareils pour chaque grandeur de mesure et chaque application : Installations de climatisation et de ventilation : mesurer le flux et le débit volumique Le bon réglage des centrales de traitement d’air et des systèmes de VMC est essentieldans un bâtiment pour garantir une quantité suffisante d’air frais et l’évacuation de l’airvicié dans les pièces.Testo propose trois nouveaux appareils de mesure permettant de réaliser ces tâchesde manière plus rapide, simple et précise et avec le soutien de l’App testo Smart : testo 417, anémomètre numérique à hélice de 100 mm pour la mesure du flux, dudébit volumique et de la température aux entrées et sorties d’air, testo 416, anémomètre numérique à hélice de 16 mm pour la mesure du flux et lecalcul du débit volumique dans le conduit d’air, testo 425, anémomètre numérique à fil chaud pour la mesure du flux, de latempérature et le calcul du débit volumique dans le conduit d’air. Confort thermique et qualité d’air intérieur Passant quotidiennement 90% de notre temps à l’intérieur d’un bâtiment, bénéficierd’une qualité de l’air intérieur optimale et d’un confort thermique est primordial pour lasanté et le bien-être des occupants.Pour surveiller la qualité de l’air et assurer un climat sain dans les pièces, la nouvellegamme de Testo comprend : testo 535, un nouvel appareil de mesure du CO2 testo 535 mesure précisément la concentration de dioxyde de carbone dansl’air intérieur. En cas de dépassement des limites, une alarme sonore retentit.Grâce aux capteurs infrarouges stables à long terme, les valeurs de mesure sontreproductibles et comparables même sur de longues périodes. Le calcul desmoyennes temporelles et multipoints est effectué directement dans l’appareil.Connecté à l’App. testo Smart, les valeurs de mesure sont affichées sur lesmartphone de l’utilisateur sous forme de tableau ou de graphique. Les résultatssont enregistrés et documentés dans l’application ce qui permet de générer desrapports directement sur site et envoyés par e-mail. testo 545, nouveau luxmètre numérique pour la mesure de l’éclairement lumineux(lux) conformément à la courbe lambda-V, pour toutes les sources d’éclairagecourantes. L’éclairement lumineux participant activement au bien-être et à laproductivité notamment sur les lieux de travail, testo 545 est compatible avecquasiment toutes les LED du marché pour en mesurer leur efficacité. Grâce à lafonction de calcul automatique des moyennes temporelles et multipoints du luxmètre,le professionnel visualise toutes les informations importantes d’un coup d’œil. testo 625, thermo-hygromètre numérique pour la mesure de la température de l’airet de l’humidité relative de l’air. Installations de chauffage : mesure de pression et de température Les nouveaux appareils de mesure compacts de testo assistent, de façon fiable,les professionnels lors des deux mesures les plus importantes sur les installations dechauffage : testo 512-1 et testo 512-2, manomètres différentiels numériquesLes manomètres 512 contrôlent, rapidement et précisément, la pression de gaz surles brûleurs par la mesure de la pression de gaz dynamique et au repos, élémentindispensable pour la maintenance.testo 512 assure également la mesure de pression générale, le contrôle des filtreset la mesure au moyen d’un tube de Pitiot dans le conduit d’air. testo 922, appareil numérique de mesure de la température différentielle avec deux entrées thermocouple de type K (2 sondes TC de type K fournies). Idéal pour la mesure des températures aller et retour des répartiteurs de circuit de chauffage, testo 922 est adapté à de nombreux domaines d’utilisation grâce à la grande étendue de mesure de -50°C à 1 000°C. testo 925, appareil numérique de mesure de la température à 1 canal, avec la sonde thermocouple de type K (1 sonde TC de type K fournie). App. testo Smart, l’assistant indispensable des pros Gratuite, l’application testo Smart, téléchargée sur le smartphone ou la tablette du professionnel, lui permet de tirer le meilleur profit de son nouvel appareil de mesure grâce aux fonctions suivantes : configuration rapide de l’appareil de mesure, affichage de la courbe de mesure, sous forme de tableau ou graphique, pour une visualisation facilitée des valeurs, enregistrement des données de mesure et des clients, création aisée de rapports directement sur site et envoi par e-mail Ingénieuse, elle fait office de second écran, permet également l’échange de données avec le logiciel PC testo DataControl et offre des mises à jour et extensions en continu. Extrêmement riche, la nouvelle gamme d’appareils de mesure de Testo offre des possibilités infinies aux professionnels du secteur de la climatisation, de la ventilation et du chauffage. https://www.testo.com/fr-FR/
Il y a 2 ans et 93 jours

Nouvelle génération d’appareils de mesure compacts et connectés Testo pour le secteur CVC l’assurance d’un travail rapide, simple et précis

Que ce soit dans le cadre d’installation, d’entretien ou de maintenance, les professionnels du secteur du chauffage, de la ventilation et de la climatisation sont toujours en quête d’outils facilitant leur quotidien. Proche de leurs attentes, Testo fait évoluer sa gamme d’appareils de mesure pour le secteur CVC. Plus compacts, équipés d’un grand écran intuitif, […]
Il y a 2 ans et 93 jours

Bardage extérieur : plutôt composite aluminium ou composite bois ?

Le choix du bardage pour la façade extérieure doit être fait judicieusement. Pour vous aider dans cette décision, nous vous présentons le bardage en composite aluminium et le bardage en composite bois. En effet, ces matériaux sont idéaux pour la réalisation d’une façade extérieure, mais ils présentent des différences au niveau de leur composition, de leurs performances et de leur apparence. Tout savoir sur le bardage composite aluminium Le bardage en composite aluminium est fabriqué d’une couche de plastique, du polyéthylène, placée entre deux feuilles d’aluminium. Ce matériau est exploité pour la construction ou la rénovation de façades extérieures de bâtiments. Le bardage en composite aluminium est réputé pour sa facilité d’installation, sa facilité d’entretien, sa résistance aux intempéries extérieures, sa résistance dans le temps ainsi que ses possibilités de personnalisation. Ces avantages séduisent notamment les constructeurs et rénovateurs de bâtiments commerciaux et industriels. Toutefois, ce matériau présente un coût plus élevé que les matériaux généralement utilisés pour les façades extérieures, tels que le béton et la brique. De plus, ce type de bardage peut inquiéter en matière de sécurité incendie. Effectivement, en plus de la combustion potentielle du plastique, celle-ci peut entraîner le rejet de fumées toxiques. Tout savoir sur le bardage composite bois Le bardage en composite bois est conçu à partir de fibres de bois mélangées à des résines synthétiques telles que le polyéthylène recyclé. On peut retrouver ce matériau sur les façades extérieures de bâtiments pour lesquelles il est très utilisé. Fréquemment utilisé pour la construction et la rénovation de bâtiments commerciaux et résidentiels, le bardage en composite bois présente un grand nombre d’avantages. En effet, il est apprécié pour son esthétisme naturel et attrayant, sa résistance aux intempéries quotidiennes, sa durabilité, sa facilité d’entretien ainsi que sa capacité à être recyclé. De plus, le bardage en composite bois est généralement plus abordable que le bardage en composite aluminium. Il offre également un aspect naturel et un large panel de personnalisations, notamment au niveau de la couleur. Cependant, le prix des matériaux traditionnels comme le bois, le béton et la brique reste plus attractif que celui du bardage composite bois. De plus, il nécessite un entretien plus important que le bardage en composite aluminium. Effectivement, le bardage composite bois est sensible à la décoloration, aux fissures, aux insectes et à la moisissure. Pour éviter ces risques, il est nécessaire d’avoir recours à un traitement spécial qui va demander du temps et de l’argent. Quel bardage composite pour une façade extérieure ? Pour choisir le bardage composite de sa façade extérieure, il est primordial d’identifier l’environnement du bâtiment, le budget disponible ainsi que le style souhaité. Pour des bâtiments industriels, le bardage composite aluminium est à préférer pour sa résistance, tandis que le bardage composite bois est un choix judicieux pour les bâtiments résidentiels qui recherchent davantage d’esthétisme. Quoi qu’il en soit, les deux matériaux combinent esthétisme et compétences techniques. Néanmoins, ce sont le style du bâtiment et son utilisation qui influenceront le choix final.
Il y a 2 ans et 94 jours

Adrien Fainsilber, 1932 – 2023

L’architecte et urbaniste connu pour avoir conçu et réalisé la Cité des sciences et de l’industrie et la Géode s’est éteint à l’âge de 90 ans le 11 février. Il était célèbre pour avoir mené à bien l’initiative du président Valery Giscard d’Estaing pour l’installation d’un bâtiment favorisant la diffusion de la science et de la technique auprès du plus grand nombre aux côtés des autres équipements du Parc de la Villette dans le 19e arrondissement de Paris. Il avait...
Il y a 2 ans et 94 jours

Les Français & les énergies renouvelables : quelles perspectives face à la crise ?

Cette année, Qualit’EnR a souhaité proposer un éclairage spécifique sur la perception de la crise énergétique, les EnR sur le pouvoir d’achat des Français. Plus de 2.800 interviews ont été menées auprès des Français afin de disposer de résultats suffisants pour analyser l’évolution des comportements et opinions concernant la rénovation énergétique de leur foyer, leur confiance dans les solutions EnR de chauffage, d’eau chaude et d’électricité, leur connaissance des réseaux professionnels et labels de qualité. Il en ressort qu’une culture de la sobriété énergétique, de la consommation raisonnée est en train d’émerger chez les Français qui agissent par la force des choses. Cette culture passe par des écogestes et par la volonté d'un mix énergétique intégrant les énergies renouvelables dans les équipements de chauffage, d'eau et d'électricité. Mais les Français souhaitent s’y retrouver financièrement et demeurent pragmatiques.Crise énergétique et pouvoir d'achat : quelle perception des français ?45% des Français sont inquiets de leur capacité à faire face à la hausse des factures de chauffage, d'eau chaude et d'électricité et 11% sont très inquiets de leur capacité à gérer l’augmentation (notamment les foyers avec personnes à charge, la Région Bourgogne-Franche-Comté). À contrario, 55% se déclarent confiants et 12% très confiants dans leur capacité à gérer l’augmentation des factures (notamment les jeunes, les seniors, les hommes, les Régions PACA et Île-de-France).Face à la crise, 55% des Français s’estiment incapables d’estimer la hausse de leur facture énergétique cette année. Sur les 45% qui s’estiment en capacité de l’évaluer, 26% pensent que l’augmentation sera supérieure à 500 € (parmi eux, les jeunes et les seniors, les CSP+ et les inactifs). 14% des Français estiment que les factures n’augmenteront pas (notamment les femmes, les 18-24 ans).Pour faire baisser les factures, les Français se montrent pragmatiques et pratiquent les écogestes : 96% déclarent avoir pris des mesures pour réduire leurs dépenses énergétiques. Ainsi, 92% privilégient les programmes éco, 90% économisent l’eau chaude, 89% diminuent sensiblement la température de leur chauffage (notamment en Bretagne), 89% repoussent la date d’allumage de leur chauffage.Dans ce contexte, 30% des Français se renseignent sur les solutions EnR pour le chauffage, l’électricité ou l’eau chaude et 36% l’envisagent.Crise et pouvoir d'achat : quelles énergies ont la confiance des français ?Pour 82% des Français, l’efficacité énergétique passe par un mix associant EnR et énergies conventionnelles (+2 points / moyenne nationale).Dans ce contexte, 98% des Français soutiennent le développement des filières EnR pour le chauffage, l’eau chaude et l’électricité (+1 point / 2022). Notamment le solaire thermique (86%, +1 point / 2022), l’hydraulique (84%) et les panneaux photovoltaïques (83%, +2 points / 2022). À noter que la filière nucléaire connaît un soutien grandissant (65%, +5 points / 2022).Pour 88% des Français, les énergies renouvelables sont chères. L’aspect économique est essentiel à leurs yeux puisqu’ils affirment dans le même temps que les EnR permettent d’augmenter la valeur d’un bien immobilier (80%, +4 points / 2022) et qu’elles permettent de faire des économies et de gagner en pouvoir d’achat (73%, +2 points / 2022).En outre, les EnR sont respectueuses de l’environnement (84%, +5 points / 2022) et permettent de se sentir bien chez soi (83%, +1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : quelles solutions de chauffage et eau chaude plébiscitées ?En 2023, 37% des Français ont pris la décision d’effectuer des travaux de rénovation énergétique. La progression est remarquable (+12 points / 2022). Idem pour ceux qui ont maintenu leurs projets de travaux dans ce contexte (26% ; +10 points / 2022). La décision de procéder à des travaux de rénovation énergétique reste conditionnée par l’aspect économique : 30% des consommateurs ayant décidé de ne pas faire de travaux estiment qu’ils sont trop chers (-4 points / 2022).Aujourd’hui, 45% des Français déclarent disposer d’au moins un équipement EnR (+1 point / 2022). En 2023, leur top 3 des solutions EnR et à haute performance énergétique installées talonne les équipements gaz et fioul (16%) : le chauffe-eau thermodynamique (15%, +2 points / 2022), le poêle à bois (14%, -1 point / 2022), la pompe à chaleur (13%, +2 points / 2022). Les panneaux solaires photovoltaïques connaissent une certaine progression (10%, +3 points / 2022). Les équipements électriques restent les plus installés (28%, -1 point / 2022).Rénovation énergétique et EnR : comment les français choisissent leur installateur ?71% des Français ont aujourd’hui confiance dans les installateurs de solutions de chauffage, d’eau-chaude et d’électricité : c’est un record (+2 points / 2022). Parmi les plus confiants, on trouve les catégories populaires (74%), les femmes (73%), les jeunes (80%), et la région des Pays de la Loire.Pour leurs travaux de rénovation énergétique, les Français réclament une installation technique de qualité (56%), une maintenance et un service après-vente de qualité (44%) et souhaitent que les délais d’intervention soient respectés (27%).Pour choisir leur installateur (plombier, chauffagiste, électricien, climaticien), les Français se tournent vers des professionnels disposant d’un label qualité ou d’une qualification (78%), disposant de la mention RGE (77%). Les professionnels de proximité implantés près de chez eux (72%, +25 points en 9 ans) et ceux présentant de bons avis sur internet (57%, +13 points sur 4 ans) progressent fortement.Pour cette édition du baromètre, 2.806 personnes de 18 ans et plus ont été interrogées par questionnaire selon la méthode des quotas et une approche par région.
Il y a 2 ans et 94 jours

LS Touch : un écran tactile numérique de la taille d’un interrupteur

La surface Touch & Swipe innovante est déclinée dans Les Couleurs® Le Corbusier et constitue de nouveau points phares dans le design en plus de la commande Smart Home axée sur l'avenir.Le nouveau contrôleur d'ambiance numérique de JUNGGrâce à LS TOUCH, JUNG a fait progresser la commande des fonctions KNX. LS TOUCH est un contrôleur d'ambiance numérique, il permet de commander tous les éléments électriques d'une pièce tout en réduisant le nombre de points de commande nécessaires. Chaque appareil compte jusqu'à 32 fonctions KNX. Ainsi, JUNG combine de nombreuses possibilités de commande sur un seul écran - y compris, par exemple, le contrôle de la lumière, l'ombrage, la température, l'heure, etc. L'objectif de LS TOUCH est de multiplier les fonctions de la commande classique de la maison intelligente dans un seul appareil.Tout comme sur un smartphone, les utilisateurs peuvent naviguer dans les menus et accéder à la fonction souhaitée. Les mouvements de balayage sont possibles dans toutes les directions, l'attribution des menus est totalement individuelle. L'interface utilisateur de LS TOUCH repose sur des symboles clairs et nets. La philosophie d’utilisation rappelle celle des smartphones modernes, la répartition du célèbre bouton JUNG KNX F 40 - Ainsi, les utilisateurs s'y retrouvent tout de suite.Un design très variéLS TOUCH est conçu avec un simple cadre de la gamme d'interrupteurs JUNG LS 990 ou LS ZERO. Ainsi, il existe jusqu'à 7 variantes en plastique de LS TOUCH. En outre, JUNG propose le contrôleur d'ambiance numérique dans les 63 couleurs selon Les Couleurs® Le Corbusier. L'esthétique de sa forme réduite, la ligne claire et la grande facilité d’utilisation de la gamme LS 990 séduisent toujours les architectes et les maîtres d’ouvrages. Les variantes en véritable métal de la gamme sont parfaitement adaptées au design et à la fonction de LS TOUCH. La fabrication de haute qualité reflète le savoir-faire de qualité artisanale et l'attention portée aux détails.JUNG LS TOUCH en un coup d’œil :Hauteur : 12 mmÉcran tactile couleur IPS capacitif avec cadre intégré des gammes LS 990 ou LS ZEROCapteur d’approche et de luminosité intégréRéglage de la luminosité de l’écran et différencié entre jour et nuitJusqu’à 32 fonctions KNXJusqu'à huit fonctions de minuterie (selon l'heure, l'horloge astronomique ou aléatoire)Fonction d'alarme (optique et en option acoustique)Sonde de température ambiante intégréeCoupleur de bus intégréBranchement possible de boutons d'installation ou de contacts ReedMise en service et support de KNX Data Secure avec ETS à partir de la version 5.7.4
Il y a 2 ans et 95 jours

Lafarge ouvre sa 2e ligne de production d’argile activée

Site industriel de la cimenterie Lafarge France de Saint-Pierre-la-Cour, en Mayenne. [©ACPresse] Depuis le début du mois de février 2023, une nouvelle ligne de cuisson est entrée en service au cœur de la cimenterie Lafarge de Saint-Pierre-La-Cour, en Mayenne. Résultat d’un investissement de 40 M€ du groupe Holcim et lauréat d’un financement France Relance, cet équipement met en œuvre la technologie Holcim ProximA Tech. Ainsi, il est prévu pour la production à grande échelle d’argile activée, qui vient se substituer au clinker dans la constitution des nouveaux ciments EcoPlanet (CEM II/C et CEM IV). Ce qui contribue à réduire de moitié leur empreinte carbone par rapport à un ciment Portland traditionnel CEM I. La majorité du CO2 lié au ciment provient de sa fabrication. Traditionnellement, la calcination du mélange argile-calcaire à 1 450 °C est très émissive de CO2 (décarbonatation du calcaire). Dans ce processus, 40 % du total des émissions sont liés à l’énergie nécessaire à la calcination et 60 %, à la réaction chimique naturelle de décarbonatation. Pour sa part, l’additif ProximA TechZéro est obtenu par cuisson à température beaucoup moins élevée. Environ 800 °C et qui génère très peu de CO2. Lire aussi : Lafarge France lance Concrete Direct L’installation de Saint-Pierre-la-Cour va aujourd’hui encore plus loin, grâce à un processus industriel inédit n’émettant quasiment aucun carbone. Ceci, grâce à la réutilisation de la chaleur fatale du four principal de la cimenterie. Et à l’emploi exclusif de combustibles alternatifs non fossiles. En majorité, de la biomasse issue de boucles locales d’économie circulaire… ProximA Tech, une technologie d’argile activée brevetée Cette étape est rendue possible par une toute nouvelle technologie propriétaire développée par les équipes de Lafarge France et du Holcim Innovation Center, installé près de Lyon. Baptisée ProximA Tech, la technologie permet la transformation de l’argile kaolinique, une ressource locale abondante, en un additif décarboné pour la production des ciments. Lorsque les conditions de production sont optimisées comme à Saint-Pierre-la-Cour, les émissions de carbone sont proches de zéro, offrant un additif très fortement décarboné : l’argile activité ProximA TechZero. Lire aussi : L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse Outre Saint-Pierre-la-Cour, l’usine de La Malle dans les Bouches-du-Rhône assure aussi cette production. L’installation existante a aussi fait l’objet d’investissements importants. Au total, avec ses deux unités, Lafarge France va pouvoir produire, dès 2024, plus de 2 Mt de ciments “ProximA inside”. Des ciments pour l’Ile-de-France et la façade Ouest Les ciments EcoPlanet produits à Saint-Pierre-la-Cour alimenteront le marché de la construction de la façade Ouest, ainsi que l’Ile-de-France. « En industrialisant ce nouveau composant des ciments bas carbone EcoPlanet, Lafarge France et le groupe Holcim poursuivent leur engagement. Celui de faire progresser le secteur de la construction vers des modes constructifs moins carbonés, conclut François Petry, directeur général de Lafarge France. Pour répondre aux enjeux écologiques de nos clients, nous réinventons le ciment. En valorisant des ressources abondantes localement et à faible empreinte carbone. » Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 95 jours

Le Tapis-Glisse, un convoyeur lève-tuiles au service des artisans

Dans sa version en longueur fixe de 8 m, le Tapis-Glisse présente un poids de 70 kg grâce à sa structure légère en aluminium. [©LMat49] La manutention et l’acheminement des matériaux de couverture représente un travail pénible pour les couvreurs. Pour relever ce défi quotidien, l’industriel LMat49 répond avec une solution originale, le Tapis-Glisse. Ce convoyeur lève-tuiles mobile a été conçu pour diminuer la fatigue et la pénibilité liées à la manutention des tuiles et des ardoises par les couvreurs. Solution de levage efficace, le Tapis-Glisse permet ainsi de réduire les risques d’accidents et de blessures. Tout en améliorant la rapidité et l’autonomie des couvreurs. Grâce à sa bande transporteuse tournant en continu, les matériaux peuvent être chargés par petits paquets et sans effort. Il évite les charges lourdes et les gestes brusques. Ainsi que les montées et descentes du sol au toit. Quand rapidité rime avec efficacité En plus de la rapidité d’installation en seulement quelques minutes, le Tapis-Glisse s’avère aussi très efficace lors de l’acheminement des matériaux. En moyenne, une palette de tuiles est montée en 12 mn ! Avec une économie de plus de 30 mn/j en comparaison avec des solutions de levage traditionnelles, il améliore la productivité des artisans et optimise le temps passé sur chaque chantier. Un facteur important à prendre en compte lors des travaux de couverture est la densification des zones pavillonnaires qui rend l’accès aux maisons de plus en plus difficile. Dans sa version en longueur fixe de 8 m le Tapis-Glisse présente un poids de 70 kg grâce à sa structure légère en aluminium. Et du fait de son moteur démontable, il est simple à transporter. Lire aussi :  Nemetschek investit dans la start-up Kewazo Autonomie et flexibilité Son système de roues amovibles lui permet de se faufiler dans des endroits exigus et difficiles d’accès. Et aussi d’être déplacé le long de la toiture pour y faciliter la répartition des matériaux. Son faible poids et son emprise réduite au sol évitent toute détérioration des jardins et bien des soucis avec les propriétaires. Enfin, la période actuelle avec les hausses des prix et les difficultés d’approvisionnement pointe l’importance pour les artisans de surveiller leurs dépenses par chantier. Notamment les frais liés à l’amortissement et entretien des engins. Ou encore la gestion de locations, souvent complexes et impactées par les aléas rencontrés sur les chantiers. Le Tapis-Glisse offre une flexibilité maximale, car il se transporte directement sur la galerie d’une camionnette. Il permet ainsi aux artisans de travailler de manière autonome, sans dépendre de la gestion de machines de location. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 95 jours

OPÉRATION VISSERIE fischer : Une campagne qui donne vie aux différents projets bois

Que ce soit pour la construction en ossature bois (maison en bois, carport, charpente, abri de jardin…), la pose d’une terrasse, l’isolation de surtoiture, l’aménagement extérieur,… les vis fischer couvrent l’ensemble des besoins en matière d’assemblage bois. De grande qualité, elles permettent une fixation propre, sûre, rapide et facile, grâce à la combinaison de plusieurs innovations technologiques.Pour valoriser les performances, la polyvalence et la facilité d’utilisation de ses différentes vis auprès des bricoleurs comme des menuisiers, des charpentiers,… fischer lance au printemps une campagne dédiée à sa gamme visserie. À partir du 1er mars et jusqu’au 30 juin 2023, offres de remboursement, jeu-concours et outils de communication vont être déployés et relayés dans les points de vente partenaires et les réseaux sociaux de la marque pour offrir un maximum de visibilité aux vis terrasse, vis sarking, vis Power-Fast et vis de construction fischer. OPÉRATION VISSERIE – Faites le plein de visLa campagne de fischer se déroulera du 1er mars au 30 juin 2023 et s’adresse aussi bien à ses partenaires-revendeurs qu’à ses utilisateurs finaux. Pour booster les ventes de sa vis terrasse, fischer propose une offre de remboursement couplée à un jeu-concours. Des coupons détachables et des stop-rayons, disponibles dans les linéaires, permettront aux utilisateurs de découvrir l’offre. Pour chaque palier de 1000 vis terrasse fischer achetées, 20 euros TTC seront remboursés.De plus, les personnes ayant participé à l’offre de remboursement seront inscrites automatiquement pour le jeu-concours. Elles auront une chance de gagner par tirage au sort un four à pizza Ooni avec ses accessoires d’une valeur 1150 euros. fischer a également développé différents outils de communication tels que des affiches déclinées sous forme de saga. Didactiques, elles mettent en lumière les principales caractéristiques des vis terrasse, mais aussi des vis de construction, des vis sarking et des vis à bois.  Des outils promotionnels seront également proposés pour démarquer l’offre dans les rayons. Vis terrasse et Accessoires Terradec « 3765 jours plus tard, ma terrasse ne bouge toujours pas »Pour assurer la pérennité de sa terrasse en bois, et ainsi en profiter sur le très long terme, matériaux et mise en œuvre doivent être de grande qualité.  Pour garantir une fixation durable et simplifier la pose de terrasse en bois, fischer propose la vis terrasse FTS-ST A2P et la gamme d’accessoires Terradec.Et grâce à l’opération visserie, tous ceux qui ont un projet terrasse pourront profiter de l’offre de remboursement déployée.– Vis terrasse FTS-ST A2PExposées toute l’année aux aléas climatiques, les terrasses sont soumises à l’acide tannique du bois qui corrode l’acier des vis. En acier inoxydable, la vis terrasse FTS-ST A2P fischer assure une très grande résistance aux intempéries et garantit la durabilité des fixations.De diamètre 5,0 mm et 5,5 mm, elle allie rapidité et précision de mise en œuvre grâce à son filetage spécial et à la pointe tranchante qui évitent tout éclatement de la lame. Le filetage partiel permet de visser facilement mais fermement les lames à la structure, même dans les bois durs et exotiques.La vis de terrasse FTS-ST A2P offre une résistance plus élevée à la torsion et aux variations dimensionnelles du bois. Conforme au D.T.U 51.4, elle est idéale pour le vissage à fleur de la surface car la géométrie fine de la tête permet une finition de surface nette et sans éclats, même avec des fixations proches du bord.  Accessoires de terrasse TerradecAvec la gamme Terradec, fischer propose différents accessoires pour la protection des lambourdes, l’installation et la fixation des lames de terrasse.– Cale de réhausse caoutchouc FTA-UPPlacée entre le sol et la lambourde, la cale de réhausse FTA-UP fischer assure l’écoulement de l’eau, évite une stagnation qui dégradera le bois à moyen terme et assure une bonne isolation phonique. Imputrescible, elle protège le bois contre l’humidité.-Bande adhésive FTA-RT IILa bande de protection adhésive FTA-RT II fischer protège efficacement la lambourde contre l’humidité.Elle est plus résistante au déchirement (avec ses 1 mm d’épaisseur) que les autres produits du marché, mais aussi aux conditions atmosphériques, aux UV et à l’ozone.De 80 mm de largeur, elle adhère facilement aux lambourdes et recouvre la majeure partie de la surface.– Espaceur de lames FTA-SPPour faire face aux variations dimensionnelles du bois liées aux conditions climatiques, il est impératif de respecter un espacement entre les lames.Les espaceurs de lames terrasse FTA-SP fischer apportent un écartement uniforme entre les lames, quelle que soit la physionomie de la terrasse. Ils sont disponibles en 6 positions : de 3 à 8 mm.– Clip invisible FTA-IPWLe clip FTA-IPW fischer assure une installation rapide et invisible des lames car il n’y a pas de vis apparentes. Sa conception prend en compte le comportement de dilatation et de rétractation du bois. Doté d’ergots espaceurs, il convient à tous les types de platelages bois.Réglable de 120 à 150 mm, il s’adapte à toutes les largeurs de lame. Grâce à son effet réhausseur, il ventile la terrasse et assure un écartement automatique des lames. Il est proposé sous forme de kit de 50 clips avec les vis inox.– Espaceur réhausseur de la lame FTA-VL’espaceur réhausseur de la lame FTA-V fischer assure une bonne ventilation de la terrasse, évitant les effets de l’humidité lors du contact lame/lambourde, tout en permettant un écartement automatique entre les lames (ergot espaceur de 7 mm). Il se pose rapidement et sans outils.Découpable par simple pliage, il peut se positionner en 1ère lame contre une fondation pour apporter l’écartement nécessaire.– Foret fraisoir à butée FTA-CDWLe foret fraisoir à butée FTA-CDW permet de pré-percer les lames et d’effectuer un fraisage pour éviter l’éclatement du bois, et garantir un aspect visuel esthétique de la terrasse. Doté d’une butée ajustable, la profondeur de fraisage peut être définie selon le type de tête de vis utilisé.Il est conforme aux recommandations du D.T.U 51.4 « Platelages extérieurs en bois » qui préconise le pré-perçage et le fraisage des lames bois avant vissage.Vis Power-Fast II « 6 heures plus tard, mon cabanon de jardin est déjà installé »La vis à bois Power-Fast II fischer offre une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides, en un minimum d’efforts, grâce à son filetage spécial jusqu’à la pointe. Polyvalente, elle s’attaque à tous les bois (dur, tendre), agglomérés, contreplaqués… et couvre un large champ d’applications : assemblages bois sur bois, métal sur bois ou avec des chevilles nylon.Disposant du marquage CE et bénéficiant de l’Évaluation Technique Européenne (ETE), qui garantit un standard de qualité et des résistances en charge extrêmement élevées, la vis Power-Fast II offre d’excellentes performances et une grande sécurité d’utilisation.La tête de vis a été optimisée et son empreinte est profonde pour diminuer le risque de ripage. Les fraisoirs à facettes réduisent le fendage et n’altèrent pas les pièces métalliques.Grâce à la géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage,  aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort.Par ailleurs, la Power-Fast II est parfaitement compatible avec des chevilles nylon telles que la Duopower.Enfin, son revêtement zingué blanc, sans chrome VI (Cr3) est plus respectueux de l’environnement et des utilisateurs. Vis Power Full ISO « 2 jours plus tard, l’isolation en sarking est déjà réalisée »L’isolation toiture en Sarking nécessite la fixation de l’isolant sur les chevrons. La vis Power Full ISO fischer évite l’écrasement de l’isolant (laine de verre, panneaux éco-isolants, polystyrène…) par la couverture. Elle empêche donc la détérioration de l’isolation et limite les ponts thermiques.Les charges agissant sur la couverture sont transmises par le filetage de la vis et non sur l’isolant.Le bon écartement entre la couverture et la charpente est maintenu par le double filetage de la vis. L’effet de soulèvement par le vent est également transféré sur la vis, qui est particulièrement résistante à l’arrachement.La vis Power Full ISO dispose d’une vrille de coupe sur chaque filet qui assure une bonne pénétration de la vis sans éclatement du bois, quelle que soit l‘essence. La géométrie de la pointe de vis permet un vissage sans pré-perçage.De haute qualité, elle détient une Evaluation Technique Européenne (ETE). Vis de construction « 5 jours plus tard, l’ossature bois est déjà montée »Les vis dédiées à la Construction Ossature Bois fischer sont faciles à visser. Dotées d’un filetage spécial jusqu’à la pointe, elles assurent une accroche rapide dans le bois et ne nécessitent pas de pré-perçage.– Vis de charpentier Power-Fast FPF-STIdéale pour les charpentes bois, elle dispose d’un filetage partiel qui permet de fixer solidement les éléments en bois les uns aux autres. La meule réduit la résistance au vissage, diminue les efforts pour l’utilisateur et protège les batteries. Sa tête autofraisante assure une finition parfaite. Son revêtement est sans chrome VI (Cr3). Elle bénéficie d’une Evaluation Technique Européenne (ETE).– Tirefond Power-Fast FPF-HT ZPPA tête hexagonal avec rondelle intégrée, il est une alternative au tirefond DIN 571. Son empreinte TX assure une transmission des forces maximale avec une grande stabilité de l’embout. Grâce à son filetage partiel, il peut relier solidement les éléments métalliques au bois. Il dispose d’une Evaluation Technique Européenne (ETE). – Vis Power-Fast spéciale connecteurs de charpenteElle remplace les pointes traditionnellement utilisées pour la fixation des connecteurs métalliques dans la construction bois tels que sabots et équerres métalliques. Sa tête cylindrique, avec renfort sous la tête, est adaptée aux perforations standards des connecteurs métalliques. Son empreinte TX permet une transmission des forces maximale et son filetage total offre une plus grande résistance à l’arrachement. Elle est dotée d’une Evaluation Technique Européenne (ETE 11/0027).– Vis de renfort PowerFull IIPour le renforcement des raccordements de poutres, d’entailles et d’appuis en compression, la vis de renfort PowerFull II garantit une mise en œuvre rapide et efficace, avec des reprises de charges très élevée et des distances aux bords et entraxes réduits. Sa géométrie spéciale permet un assemblage invisible et le renforcement des structures, sans avoir recourt à des connecteurs métalliques. La géométrie innovante de la pointe assure une pénétration rapide et sans éclats.Enfin, la PowerFull II dispose d’une Évaluation Technique Européenne ETA 21/0751. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 96 jours

LPP : La tour MDS à tout niveau

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. La tour d’étaiement MultiErgo de LPP intègre un plancher à chaque niveau. [©LPP] La tour d’étaiement MultiErgo de LPP s’articule autour de structures métalliques modulaires servant d’étais et assurant la reprise de 8 t/pied. Elle n’autorise pas l’installation d’un plancher sans la mise en place préalable d’un cadre. A l’inverse, le démontage d’un cadre courant Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 96 jours

Attention à l'installation de pompes à chaleur sans isolation !

Selon une étude technique menée par le CLER-Réseau et l'association négaWatt, les pompes à chaleur ne sont pas une "recette miracle" de la transition énergétique et fonctionnent mal dans les logements mal isolés.
Il y a 2 ans et 96 jours

Une aide de 5.000 € pour tous les ménages souhaitant passer à la géothermie dès mars 2023

Le Gouvernement veut augmenter de 40% le nombre de projets de géothermie profonde d'ici 2030 et doubler le nombre d'installation de pompes à chaleur géothermique chez les particuliers d'ici 2025.
Il y a 2 ans et 96 jours

Beige et Anthracite : 2 nouvelles couleurs pour la Poly Max Fix & Seal Express

Grâce à sa formulation unique sans solvant à prise rapide « express », Poly Max Fix & Seal Express offre une résistance finale après seulement 4 heures. De plus, sa facilité d’extrusion permet une application plus précise et aisée, idéale pour de grandes surfaces à coller ou à étanchéifier.Pour répondre aux attentes des professionnels et apporter une finition soignée qui se fond à la couleur des supports, Griffon lance 2 nouvelles versions Beige et Anthracite (RAL 7016) de sa désormais célèbre Poly Max Fix & Seal Express. Adaptées aux exigences de chaque chantier, ces nouveautés complètent les 6 couleurs déjà existantes : blanc, noir, crystal clear, gris, gris transparent et terracotta.Coller des appuis de fenêtre, réaliser des raccordements entre de la maçonnerie et des menuiseries, coller des panneaux d’isolation, des plinthes, des installations sanitaires (receveurs de douche, éviers, baignoires...), la Poly Max Fix & Seal Express Griffon est un indispensable pour les travaux de construction, d’aménagements et de rénovation, en intérieur comme en extérieur.Une excellente adhérence quel que soit le matériauUltra-puissantes et polyvalentes, les nouvelles Poly Max Fix & Seal Express Beige et Anthracite Griffon sont idéales pour coller et assurer une excellente étanchéité sur différents matériaux : verre, bois, pierre naturelle, mousse rigide, béton cellulaire et certains plastiques*. Leur elasticité élevée et leur forte adhérence permettent de fixer solidement les surfaces même humides. Leurs champs d’applications intérieures et extérieures sont très nombreux : fixation de panneaux isolants, appuis de fenêtres, travaux de lattage, plinthes, frises, étanchéité des joints, bordures de toit, gouttières, dômes vitrés et cheminées, lavabos, parois de douche, bardages, portails, clôtures...Sa formule unique « express » à élasticité élevée permet à la Poly Max Fix & Seal Express Griffon d’épouser à la perfection les formes pour une pose harmonieuse. De plus, elle ne se retracte pas, supporte de forts écarts de températures (de - 40 °C à + 100 °C) et elle est particulièrement résistante aux moisissures et au vieillissement.Un résultat propre et esthétiqueLes Poly Max Fix & Seal Beige ou Anthracite Griffon offrent une finition soignée pour réaliser un collage propre et des joints d’étanchéité parfaits. La Poly Max Fix & Seal Express existe également en blanc, noir, crystal clear, gris, gris transparent et terracota pour s’adapter aux couleurs des supports. Il peut aussi être peint pour se fondre entièrement au décor.*À noter : la Poly Max Fix & Seal Express ne convient généralement pas pour les matières plastiques PE, PP, PTFE, le plâtre pur et le bitume. Dans le cas des autres plastiques, il faudra d’abord effectuer un test d’adhérence afin de s’assurer de l’efficacité du produit sur la matière synthétique à assembler ou jointoyer
Il y a 2 ans et 96 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour Vinci, géant français du BTP et des autoroutes

Plus de la moitié des profits vient des autoroutes, soit 2,2 milliards d'euros (+15%), au côté des pôles Construction et Energies, dont tous affichent des progressions marquées, à part Vinci Immobilier en léger repli. Au total, le chiffre d'affaires du groupe progresse de 25%, à 61,675 milliards."Dans un contexte géopolitique et macroéconomique particulièrement perturbé, Vinci a réalisé en 2022 une performance d'ensemble de grande qualité", a commenté son PDG, Xavier Huillard, cité dans le communiqué. "La forte hausse du chiffre d'affaires et des résultats s'accompagne d'une génération de cash-flow libre record", ajoute-t-il, relevant que toutes ses régions se portent bien (et pour la première fois, Vinci réalise plus de la moitié -- 55% -- de son activité hors de France).Pour Antoine Fraysse-Soulier, analyste de marchés chez eToro, "Vinci profite des effets post-pandémie", avec "comme un bon nombre de sociétés du CAC40, des résultats meilleurs qu'attendus".Ainsi, le bénéfice net de ses concessions dans les infrastructures a quasiment doublé à 2,7 milliards d'euros (soit +96,3%, par rapport à une année 2021 post-Covid négative pour Vinci Airports).L'activité aéroports profite en effet d'une vive reprise du trafic, sortant du rouge l'an dernier pour engranger plus de 500 millions d'euros: ses sites ont accueilli deux fois plus de passagers qu'en 2021, retrouvant les trois quarts de leur niveau de 2019.Côté autoroutes, le trafic remonte "légèrement", en Amérique du nord, Portugal, Grande-Bretagne... Celui des poids lourds en particulier continue à progresser du fait du e-commerce, selon le PDG, qui constate un doublement du nombre d'entrepôts logistiques le long des corridors autoroutiers.Ces résultats sont publiés alors qu'est relancé en France le débat sur les concessions d'autoroutes, attribuées depuis 2006 à des entreprises privées dont Vinci. Le ministère de l'Economie, interpellé sur la hausse des péages et sur la rentabilité des concessionnaires, a indiqué mercredi réfléchir à la possibilité de raccourcir la durée des concessions.Accent sur l'énergieCe sujet "m'inspire un sentiment de redite", a répondu jeudi devant la presse le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, blâmant plus généralement une "incompréhension" du modèle économique des concessionnaires. Autre activité en croissance, Vinci Energies, à 693 millions d'euros de bénéfice net (+25%), et pour laquelle 31 acquisitions ont été réalisées l'an dernier.Cette année a notamment marqué l'intégration de Cobra IS, rachété à l'espagnol ACS et qui va par exemple lui permettre de faire de l'éolien offshore au large de l'Allemagne, ou l'installation de lignes à haute tension au Brésil.Pour Xavier Huillard, ce pôle énergie, qui a fait "une très très belle année", "à 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires, va continuer de performer car il est au coeur des puissantes transformations liées à la transition énergétique et à la révolution numérique".Du côté de Vinci Construction, principal pôle du groupe (la moitié du chiffre d'affaires), le bénéfice net est à 680 millions (+19%), avec "un renouvellement satisfaisant des carnets de commandes"."Ici on ne vise pas les volumes mais l'excellence opérationnelle, la taille de nos carnets de commandes nous confère la sérénité nécessaires pour nous permettre d'être sélectifs", explique le PDG.Parmi ses chantiers, le nouveau métro de Toronto, ou encore une part du village des athlètes des JO de Paris 2024, qu'"on sera dans les temps pour livrer", a-t-il assuré. En France il constate que la commande publique se porte plutôt bien, et entrevoit avec satisfaction un éventuel nouveau programme de contruction de réacteurs nucléaires.Époque plus compliquée en revanche pour Vinci Immobilier, avec une baisse des réservations de logements et "un attentisme" dans la construction. In fine, pour 2023, le groupe aux 270.000 collaborateurs prévoit une "nouvelle progression du chiffre d'affaires" et un résultat net "légèrement supérieur à son niveau de 2022".
Il y a 2 ans et 99 jours

installation de la bnf a amiens le concours d architecture est ouvert

Le concours pour désigner l'architecte en charge de l’antenne d’Amiens de la Bibliothèque nationale de France (BnF) est ouvert depuis ce jeudi 9 février. Le futur site abritera notamment d’immenses collections de presse.
Il y a 2 ans et 99 jours

Evolution de la facture d’électricité des Français

Le prix de l’électricité en hausseLe prix de l’électricité sur les marchés a beaucoup augmenté, obligeant le Gouvernement à mettre en place un bouclier tarifaire. Les causes de ces augmentations sont multiples :Forte hausse de la demande en lien avec la reprise économique mondialeHausse du prix de l’électricité indexée sur une hausse du prix du gaz liée à la guerre en UkraineFaible production nucléaire liée à des problèmes de corrosion sur plusieurs centrales[1] INSEE, Les dépenses des Français en électricité depuis 1960 [2] Commission de Régulation de l’ÉnergieMalgré l’augmentation, les Français restent bien lotis en EuropeEvolution de la facture d’électricitéVoici l'impact sur la facture de 3 ménages types suite à la hausse du prix de l’électricité de 15% TTC en février 2023.La hausse de 15% résulte d'une hausse du prix de l'abonnement de 3 à 5% selon la puissance, et d'une hausse du prix du kWh de 18,5% en moyenne. Ainsi, un ménage consommant beaucoup d'électricité pourra constater une hausse supérieure à 15%. A contrario, les ménages consommant très peu pourront connaître des hausses inférieures à 15%.[1] Simulation pour une consommation annuelle de 2400 kWh, compteur 6 kVA, option Base [2] Simulation pour une consommation annuelle de 8500 kWh, compteur 9 kVA, option Base [3] Simulation pour une consommation annuelle de 14.000 kWh, compteur 9 kVA, option heures pleines / heures creuses Comment réduire sa facture d’électricité ?-277 €[3] (-9%) Choisir un fournisseur alternatif compétitif, avec une offre à prix fixe ou bloquée.-416 €[4] (-14%) Suivre sa consommation en ligne, par exemple depuis l application Hello Watt, fondé sur les données de Linky.-500 €[5] (-17%) Isoler son logement, en commençant par ses combles perdus et ses murs grâce aux aides de l’État.-833 €[6] (-28%) Passer à l’autoconsommation grâce à l installation de panneaux solaires photovoltaïques.-833 €[7] (-28%) Installer une pompe à chaleur air/air en remplacement du chauffage électrique.[1] Estimation Hello Watt pour une maison de 100 m² tout électrique occupée par une famille type de 4 personnes. Prix de l électricité au TRV d'EDF (tarifs de février 2023). [2] Appareils électriques, électroménagers et éclairage. [3] Estimation pour une offre de marché avec une remise de 10% par rapport au prix HT du tarif réglementé de vente. [4] Source : Étude Hello Watt sur 170.000 utilisateurs de l application [5] Estimation pour une réduction de 30% sur la consommation de chauffage. [6] Estimation pour une maison dans le Centre de la France et répondant au critère définis en (1), avec une installation solaire de 6 kWc, soit 16 panneaux, 30 m² . [7] Estimation pour une réduction de 50% sur la consommation de chauffage.
Il y a 2 ans et 99 jours

Le Forum Bois Construction trace son layon guyanais

L’installation inédite proposée au Forum Bois Construction de Lille par l’Interpro bois de Guyane est une immersion dans la plus belle forêt française, qui est sans doute aussi la mieux gérée.
Il y a 2 ans et 100 jours

L’irrésolue au Frac Ile-de-France

Les artistes réunies dans le cadre de L’Irrésolue au Frac Ile-de-France Le Plateau (Paris XIXe) partagent entre elles une appétence pour le mystère, le secret, l’incertain et l’invisible autant que l’indicible. Jusqu’au 23 avril 2023. Photographie, film, peinture, sculpture, installation : si elles relèvent d’une diversité de médiums et de techniques, les œuvres des six […] L’article L’irrésolue au Frac Ile-de-France est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 101 jours

Corse, Guadeloupe, Guyane, Réunion, Martinique, Mayotte : accélération des projets d'énergie solaire

Les modifications des cahiers des charges portant sur la réalisation et l'exploitation d'installations solaires de production d'électricité à partir de l'énergie solaire situées dans des zones non interconnectées (ZNI) visent à "permettre la mise en œuvre rapide" de 212 MW en Corse, Guadeloupe, Guyane, à La Réunion, en Martinique et à Mayotte, précise la CRE.L'objectif de cette mise à jour du cahier des charges est de "prendre en compte l'augmentation des coûts des matières premières et du transport" ainsi que "la hausse des taux d'intérêt auxquelles sont confrontés les porteurs de projets depuis plusieurs mois", précise la CRE.La décision intervient le même jour que l'adoption définitive au Parlement de la loi d'accélération des énergies renouvelables, portée par la crise énergétique et l'urgence climatique.La loi entend répondre à l'objectif fixé par le président Emmanuel Macron pour 2050 de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Les zones non interconnectées au réseau électrique métropolitain français sont régies par une législation spécifique.Outre la Corse, la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, la Réunion et Mayotte, elles comprennent aussi Saint-Pierre et Miquelon, Saint Martin, Saint Barthélemy, la Polynésie française, Wallis-et-Futuna ainsi que la Nouvelle Calédonie et les îles du Ponant et Chausey.Fin 2021, les énergies renouvelables couvraient en moyenne 32% du mix électrique de ces zones non interconnectées (contre 29% en 2020).La hausse du rythme du développement de ces énergies observée ces dernières années demeure "insuffisante" pour atteindre les objectifs fixés par la loi, soulignait la CRE dans une délibération du 8 septembre 2022.
Il y a 2 ans et 101 jours

Loi Energies renouvelables : les supermarchés veulent être aidés pour pouvoir s'adapter

Rassemblant l'ensemble des acteurs de la distribution (comme Carrefour, Decathlon, E. Leclerc, Intermarché, Ikea, Metro ou Picard) pour agir sur les sujets énergétiques ou environnementaux, Perifem alerte sur les "conséquences économiques lourdes" de la loi ENR, qui a pour objectif de faire rattraper à la France son grand retard sur les énergies renouvelables. Mais la fédération n'en conteste pas le fond.Dans le détail, elle note que "l'installation d'ombrières photovoltaïques" pourrait concerner "l'intégralité des places de stationnement pour les parkings de plus de 1.500 mètres carrés", contre 2.500 prévus dans le texte avant le débat parlementaire. Ce qui a pour conséquence d'élargir le dispositif à 21.000 magasins concernés par l'obligation."Les obligations sur les sites neufs sont aussi devenues plus exigeantes avec une obligation de couvrir 50% de la toiture en panneaux photovoltaïques d'ici 2027 (contre 30% précédemment), et ce de façon rétroactive pour l'ensemble des toitures existantes", dit encore Perifem.Selon les professionnels, ces mesures coûteront au secteur 2 d'euros chaque année, un montant qui, pour les plus petits, pourrait être rédhibitoire. Perifem demande donc "des mesures d'incitation", comme l'aide à l'emprunt, "un dispositif de suramortissement" ou encore "le recours à des certificats d'économie d'énergie".En outre, l'énergie produite par les panneaux photovoltaïques sur certains parkings de supermarchés "excéderont les besoins propres des sites", la production dépassant parfois "le seuil d'obligation d'achat", au-delà duquel "les conditions de vente des surplus d'énergie produites ne sont pas claires et difficiles à mettre en œuvre".Dernier point, la "mise en œuvre difficile de certains aspects de la loi" selon Perifem, qui évoque "des contraintes techniques s'appliquant aux parkings ou aux toitures" qui ne sont pas prises en compte. La fédération rappelle aussi que l'obligation de couverture des parkings doit "cohabiter avec les obligations de diversité et de végétalisation des parkings, mais aussi d'infiltration de l'eau dans les sols".La loi ENR entend répondre à l'objectif fixé par le président Emmanuel Macron pour 2050 de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.
Il y a 2 ans et 101 jours

Nemetschek investit dans la start-up Kewazo

Les solutions Kewaso ont permis d’économiser 70 % des heures de travail. [© KEWAZO GmbH] Nemetschek continue de valoriser l’efficacité et l’innovation dans le secteur de la construction. Le fournisseur de logiciels pour les secteurs de l’AEC/O1 a investi dans une start-up de robotique : Kewazo. Les solutions Kewazo permettent l’automatisation et la digitalisation du flux de matériaux sur site. Depuis 2021, Liftbot, son robot de manutention qui se charge de l’installation des échafaudages est utilisé sur les chantiers. Ce robot offre aux professionnels une fiabilité du processus de montage. « Nous voyons une grande adéquation entre nos logiciels et les solutions robotiques de Kewazo. En pilotant les deux, nous libérons un grand potentiel pour l’industrie de la construction. Nous permettons à toutes les parties prenantes de faire face aux défis actuels de l’industrie », déclare Yves Padrines, Pdg du groupe Nemetschek. Un gain de temps considérable Lire aussi : Nemetschek : Solution BIM dédiée aux architectes Sur les chantiers où elles sont mises en place, les solutions Kewaso ont permis d’économiser 70 % des heures de travail. La start-up répond aussi à la problématique de la pénurie de main-d’œuvre. La réalisation de tâches pénibles sur le chantier par des robots permet d’améliorer les conditions de travail et de réduire les risques d’accident. « L’investissement dans Kewazo est la poursuite logique de notre stratégie. Cela vise à stimuler l’innovation et la digitalisation dans toute la chaîne de valeur de la construction », poursuit Tanja Kufner, responsable des start-up et des investissements au sein de Nemetschek Group. Cet investissement permettra à la start-up de poursuivre son bon développement. « L’investissement de l’acteur mondial Nemetschek Group est un grand pas en avant pour nous. Il comble le fossé entre le matériel et les logiciels sur site. Il nous permet de rendre le chantier de construction plus numérique, plus intelligent et plus sûr pour tous », se réjouit Artem Kuchukov, directeur général et co-fondateur de Kewazo. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux ! 1Architecture, Ingénieurie, Construction et Exploitation
Il y a 2 ans et 102 jours

Agrivoltaïsme : "le tout début" d'une filière mondiale, assure un chercheur

Ces installations, répandues au Japon ou en Corée du Sud, suscitent un engouement croissant dans le monde mais des réticences du monde agricole qui redoute ses conséquences sur les prix du foncier et pour la productivité des exploitations.Fervent partisan, Christian Dupraz, 64 ans, chercheur à Montpellier à l'Institut national de recherche pour l'agriculture et l'environnement (INRAE) et ex-élu régional EELV, assure au contraire que cela apporte de "vrais outils agricoles au même titre que les systèmes d'irrigation".QUESTION : Pourquoi des panneaux solaires dans les champs et pas ailleurs ?REPONSE : "L'idée nous est venue car on constate, comme agronomes, que les plantes n'utilisent qu'une faible fraction du rayonnement du soleil: elles ne capturent en gros que 30% du rayonnement solaire.Donc, à condition de laisser la lumière aux plantes au moment où elles en ont besoin, il y a là un gisement très important d'énergie solaire sans pénaliser l'agriculture.Les simulations montrent qu'avec moins de 2% de la surface agricole utilisée en France (30 millions d'hectares), on pourrait produire autant d'électricité que le parc nucléaire français actuel, ce n'est donc pas anecdotique et à mon avis, ce sera un des composants majeurs du mix énergétique du futur.J'insiste: aujourd'hui, il y a un million d'hectares consacrés aux agrocarburants et qui sont en compétition avec la production alimentaire. Si on remplace ça par de l'électricité agrivoltaïque, on prendra moins de surface et ce sera plus efficace."Q : Ces installations font-elles débat ? R : "Aujourd'hui, il y a des débats techniques sur où on l'autorise, comment on l'autorise et comment on évite que cela crée de la spéculation sur les terres agricoles.La loi est très intéressante en ce qu'elle interdit les panneaux photovoltaïques au sol sur les terrains agricoles, sauf pour des friches de très longue durée, à savoir des terrains agricoles qui seraient abandonnés depuis très longtemps. C'est très important.La loi n'autorise que l'agrivoltaïsme qui est défini comme un outil au service de la production agricole pour la protéger contre le changement climatique.C'est quasiment imperceptible dans le paysage. C'est pour cela qu'il n'y avait pas de raison de restreindre l'implantation des centrales agrivoltaïques à des +zones d'accélération+ définies par les maires comme le fait la loi. C'est la porte ouverte à toutes les embrouilles."Q : Quel est l'intérêt agricole de ces installations ? R : "Dans un vrai projet agrivoltaïque, la culture produit autant qu'avant voire mieux.C'est une activité à la fois commerciale (NDLR : portée par des industriels comme EDF Renouvelables, Engie Green, TSE, Valeco, Valorem, Solar Cloth, Urbasolar, Technique Solaire, etc.) et en faveur des cultures.Cela permet jusqu'à 30% de réduction d'évapotranspiration sous les panneaux selon leur densité, leur orientation, leur pilotage, et une protection contre le gel en mettant les panneaux horizontaux la nuit. L'été, la baisse de température au sol peut aller jusqu'à 20°C degrés.On peut faire pousser des arbres fruitiers sous les panneaux, avec du maraîchage, et entourer les projets de haie.Donc c'est vraiment agricole, au même titre que des filets contre la grêle, des systèmes d'irrigations ou des ombrières.Il y a plein d'innovations: des panneaux qui bougent, se plient, se déplacent, servent de haies, s'adaptent aux serres ou à la culture en plein champ, ou qui ne laissent passer que la longueur d'onde de la photosynthèse et transforment le reste en électricité.Il existe déjà une cinquantaine de centrales agrivoltaïques en France en service ou en construction, et qui font en général deux à trois hectares. Ca reste une installation coûteuse, la loi donne un coup de fouet, c'est le tout tout début."
Il y a 2 ans et 102 jours

La mairie de Paris va installer 6.000m² de panneaux solaires sur ses bâtiments publics

ÉNERGIE. La Ville de Paris lance son programme "Energiculteurs", pour dynamiser l'installation de panneaux solaires sur les toits de bâtiments publics municipaux. La municipalité compte ainsi accélérer le développement des énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 102 jours

The UK Concrete Show

UK Concrete Show est un salon qui s'inscrit dans la UK Construction Week. L'ensemble des acteurs de la conception, fabrication, spécification, installation sur site, essais, entretien et réparation se retrouvent au même endroit. Les dernières nouveautés des industriels sont présentées, que ce soit du ciment, des pompes à béton ou des produits de préfabrication...
Il y a 2 ans et 102 jours

Énergies renouvelables : les principales mesures du texte qui devrait être définitivement adopté

En pleine crise énergétique et sous la pression du réchauffement climatique, ce texte a pour objectif de faire rattraper à la France son grand retard sur les énergies renouvelables. Après avoir fait l'objet d'un compromis entre députés et sénateurs, il doit être adopté dans l'après-midi, au cœur d'une journée de mobilisation contre la réforme des retraites.Il entend répondre à l'objectif fixé par le président Emmanuel Macron pour 2050 de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Il vise à "lever tous les verrous qui retardent le déploiement des projets", a souligné la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher qui a bataillé ferme pour se ménager des appuis dans les oppositions à droite comme à gauche."Nous sommes le seul pays européen à ne pas avoir atteint ses objectifs" en matière d'éolien et de solaire, a-t-elle affirmé devant les députés qui ont donné la semaine dernière leur dernier feu vert.Le texte s'articule en grands volets: allègement des procédures administratives pour réduire le temps de déploiement des projets; accélération du développement de l'énergie solaire et de l'éolien en mer; amélioration de l'acceptabilité locale des projets."Idéologie anti-éolienne"Dans les deux chambres, comme en commission mixte paritaire, les négociations les plus âpres ont notamment porté sur la planification des zones d'accélération du déploiement des énergies renouvelables, avec l'aval des communes, et sur les possibles zones d'exclusion.Les élus locaux "proposent et ont le dernier mot sur le zonage", a souligné Agnès Pannier-Runacher. Et les zones d'exclusion ne seront possibles que pour des territoires qui valident des zones d'accélération, a-t-elle rappelé.La gauche redoute le retour du veto des maires, que réclamait LR pour l'ensemble du territoire. Et des ONG et des acteurs du secteur des renouvelables critiquent une "usine à gaz".Pour Greenpeace France, "si le texte est plutôt satisfaisant sur l'éolien en mer, il reste trop tardif et limité sur le solaire, et surtout très insuffisant sur l'éolien terrestre"."L'idéologie anti-éolienne a trop influencé cette loi", a souligné un de ses représentants dans un communiqué.Autre sujet sensible, l'encadrement de l'agrivoltaïsme, combinant agriculture et production d'énergie.A fin 2022, la France affichait environ 66 GW de capacités électriques renouvelables totales réparties entre 40% pour l'hydraulique (barrages), 31% pour l'éolien terrestre et 24% pour le photovoltaïque.Une étude publiée fin janvier a estimé que la France ne devrait pas atteindre les objectifs qu'elle s'était fixés pour le déploiement des énergies renouvelables électriques sur la période 2019-2023.Pour l'éolien terrestre, l'objectif officiel de 24,1 gigawatts (GW) de capacités installées établi pour fin 2023 "ne sera pas atteint", le pays parvenant à peine à 20 GW à fin septembre 2022, note ce baromètre annuel Observ'ER.Du côté du photovoltaïque, malgré un rythme de croissance accru depuis 2021 et un "relèvement partiellement confirmé en 2022 (...) le secteur n'est toujours pas dans la bonne trajectoire", ajoute l'Observatoire qui se base, entre autres, sur les données d'Enedis et d'EDF.Ce texte n'est que le premier volet d'un triptyque sur l'énergie. Au printemps, l'exécutif compte défendre à l'Assemblée nationale le projet de loi favorisant la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, voté aisément en première lecture au Sénat le 24 janvier.Puis le Parlement se prononcera, au mieux cet été, sur le futur énergétique de la France, avec la loi de programmation pluriannuelle, fixant la part de chaque énergie.Un dernier texte qui prendra en compte le débat public sur le nucléaire, mais que les parlementaires auraient souhaité examiner avant les deux textes techniques d'accélération.Les principales mesures du texteAlléger les procédures administratives, installer des panneaux solaires en bord d'autoroute et sur les parkings, développer massivement l'éolien en mer: le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables doit permettre à la France de rattraper son retard.Des objectifs ambitieuxEn France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, les énergies renouvelables ne représentent que 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et déjà en-deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23%.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW, et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Délais réduitsIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais.Le gouvernement veut notamment réduire certains recours, en reconnaissant une "raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM)" pour des projets d'énergies renouvelables.Planification et approbation des communesC'était un des sujets les plus sensibles du texte.Après un compromis trouvé au Sénat, les maires pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones d'accélération, prioritaires pour déployer des projets d'énergies renouvelables.Pour la validation de ces zones "propices", l'avis conforme des communes sera requis. Et seuls les territoires qui donnent leur feu vert pour ces zones d'accélération pourront également définir certains "secteurs d'exclusion", sans énergies renouvelables.La mesure a crispé la gauche, qui redoute le retour du "veto des maires" que réclamaient des élus LR pour l'ensemble du territoire. À l'exception de procédés de production en toitures, les zones d'accélération ne pourront être incluses dans les parcs nationaux et les réserves naturelles.AcceptabilitéL'Assemblée a adopté des amendements écologistes pour instaurer un observatoire et un médiateur des énergies renouvelables.Pour une meilleure "acceptabilité", les députés ont ajouté au texte un objectif paysager incitant les collectivités à "veiller à limiter les effets de saturation visuelle", notamment des éoliennes.Afin de mieux répartir les énergies renouvelables sur le territoire, le texte rend possible une modulation tarifaire qui inciterait des porteurs de projets à s'installer dans des zones aux conditions naturelles a priori moins favorables.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux dans des "friches". Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne. Il impose l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 1.500 m2 avec des ombrières photovoltaïques.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer pour améliorer la planification et accélérer leur développement.L'Assemblée a rejeté en séance des amendements LR réclamant que les zones d'implantation soient situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Seront toutefois "ciblées en priorité des zones propices situées dans la zone économique exclusive", soit un peu plus de 22 km des côtes, et en dehors des parcs nationaux ayant une partie maritime.RedistributionLes parlementaires ont retoqué un principe de ristourne sur la facture des riverains d'énergies renouvelables. Ils ont privilégié des mesures territoriales plus larges, laissant aux communes et intercommunalités la possibilité de financer des projets en faveur de la transition énergétique ou pour aider les ménages dans la lutte contre la précarité énergétique.AgrivoltaïsmeLe texte entend définir "l'agrivoltaïsme", combinant exploitation agricole et production d'électricité, par exemple avec des panneaux solaires montés sur des pieds, permettant la culture voire le passage d'animaux. La production agricole devrait rester "l'activité principale" ou les installations être "réversibles".
Il y a 2 ans et 102 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 102 jours

VMC double flux : la baisse des aides MaPrimeRénov' se fait déjà sentir

CONJONCTURE. Les industriels ressentent déjà les effets de la diminution des forfaits MaPrimeRénov' pour les VMC double flux. Et regrettent l'installation, sur le terrain, de nombreux appareils ne respectant pas les exigences minimales.
Il y a 2 ans et 103 jours

Temponox, le nouveau système de tuyauterie en acier inoxydable de Viega

Le domaine d’application du système « Temponox » — chauffage/refroidissement — est reconnaissable au premier coup d’œil grâce aux deux lignes brunes sur les tuyaux, aux points correspondants et aux logos bien connus « eau non potable » sur les extrémités serties des raccords. Dans l’agitation quotidienne des chantiers, ces marquages évitent toute confusion avec les systèmes de tuyauterie en acier inoxydable de Viega pour l’installation d’eau potable.Une résistance à la corrosion exemplaireLa gamme « Temponox » de Viega est une excellente alternative pour les installations de chauffage et de refroidissement de qualité dans un milieu exigeant. Les tubes en acier inoxydable avec leurs raccords à sertir adaptés n’assurent pas seulement un aspect de haute qualité, mais garantissent également la longévité. Avec « Temponox », il n’y a aucun risque de corrosion, même lorsque l’humidité touche directement la surface du tube. Cette situation se produit souvent lorsque les raccords de radiateurs ne sont pas protégés correctement par le sol ou en raison de dommages accidentels lors de la construction. La protection contre la corrosion, exigée dans les installations de refroidissement, n’est donc plus nécessaire avec le système « Temponox ».Un système complet et attrayant « Temponox » se présente comme un système complet composé de tubes et de raccords dans des dimensions de 15 à 108 mm disponibles chez les grossistes spécialisés. De plus, le raccord à sertir a été testé par le TÜV Rheinland. Outre les éléments tels que les coudes, les pièces en T, les manchons, les raccords et les brides, tous les composants d’installation essentiels pour les systèmes de chauffage et de refroidissement sont disponibles. D’autres composants suivront rapidement. Les raccords à sertir sont équipés en usine de joints d’étanchéité en EPDM. Pour des exigences encore plus élevées, il est très facile de les remplacer par des joints en FKM. Ces derniers sont nécessaires pour les conduites de raccordement des capteurs tubulaires sous vide.Les raccords à sertir « Temponox » sont compatibles avec les machines à sertir Viega Pressgun 6 bien connues et leurs mâchoires correspondantes. Les artisans spécialisés peuvent donc utiliser leur outillage existant pour le système de tuyauterie en acier inoxydable de haute qualité.
Il y a 2 ans et 103 jours

La vente d'un site du CNRS au promoteur Vinci contestée

La division technique de l'Institut national des sciences de l'Univers du CNRS, située à Meudon, doit être vendue par l'organisme public de recherche au promoteur Vinci Immobilier, sur "ordre" du gouvernement, pour un prix "au rabais" de 38,7 millions d'euros au lieu des 45 millions estimés, selon un communiqué des syndicats SNTRS-CGT et SNCS-FSU.Les lieux, où travaillent plusieurs dizaines de personnes sur des programmes d'astronomie et de sciences de la Terre, doivent être libérés "pour le 15 mars au plus tard", poursuivent ces syndicats qui y voient "une expulsion brutale".En six semaines, le site "doit déménager avec, parmi le matériel à évacuer, des machines-outils de plusieurs tonnes" nécessaires notamment à l'équipement de télescopes. Les personnels de recherche seront "isolés de tout collectif de travail et même sans travail pour certains jusqu'à la réinstallation de leur service" ailleurs en région parisienne "au plus tôt fin 2023", ajoutent le SNTRS-CGT et le SNCS-FSU."Sur le plan scientifique, les travaux à réaliser dans le cadre de programmes spatiaux ou d'observation au sol se verront retardés", selon ces syndicats qui fustigent un "profond mépris du gouvernement envers les personnels et les intérêts du CNRS et, à travers eux, toute la recherche publique".Interrogée par l'AFP, la direction du CNRS dit "travailler pour préserver au maximum les conditions de travail de la quarantaine de personnes concernées ainsi que pour limiter au maximum l'impact sur les activités scientifiques et administratives concernées".Réuni en assemblée générale ce jeudi, le personnel a décidé de manifester devant le siège du CNRS à Paris le 10 février, jour où un conseil d'administration sur la vente est prévu, a précisé à l'AFP Josiane Tack du SNTRS-CGT.
Il y a 2 ans et 104 jours

Calvados : Drive Béton revient vers le futur

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. “Robi”, le patron de Drive Béton, a fait décorer par le graffeur Déco Real sa nouvelle toupie évoquant le thème du film “Retour vers le futur”. [©Drive Béton] A l’origine, Robert Gantzer, dit “Robi”, était chaudronnier, spécialisé dans la réparation de centrales à béton sans les arrêter… Mais en 2012, il franchit un nouveau cap en ouvrant sa propre unité de production de BPE, à deux pas de Caen. L’outil fonctionne super bien et le chiffre d’affaires suit, mais on n’en saura pas plus… Amateur de fast-foods, Robi intègre sur sa centrale un distributeur automatique de béton, en juillet dernier. Ce service est accessible entre 16 h 00 et 22 h 00 la semaine et le week-end. Ce distributeur est à destination des particuliers et des professionnels, à partir de seulement 100 l de béton. Lire aussi : Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable Dans un souci d’originalité, Robi demande au graffeur Déco Real de customiser son installation. En grand fan du film du “Retour vers le futur”, mais aussi parce que dans l’opus 2, les héros font un voyage temporel en 2015 et découvrent des technologies de pointe, “Robi” l’a fait décorer autour de ce thème. Mais le “voyage” ne s’est pas arrêté là… « J’ai aussi acheté un Arocs 3245 8×4 gréé en malaxeur-pompe par le carrossier Cifa au lieu de le louer. » Rien d’original dans cet équipage : moteur Mercedes 6 cylindres en ligne type OM 471 de 12,8 l de cylindrée et d’une puissance de 330 kW/449 ch. Nettement plus fun est la décoration choisie, puisqu’elle reprend le même thème. Un logo Drive Béton orangé sur la proue, mais aussi et surtout Doc sur la porte-conducteur et un… hoverboard sur celle du passager. Une chose est sûre : à Caen et ses alentours, tout le monde connaît désormais Drive Béton et son camion ! Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Loiret : BLM remplace une de ses trois centrales

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Basée à la Ferté-Saint-Aubin, la nouvelle centrale de BLM sera en mesure de produire 400 000 m3/an de BPE.[©Béton Logistique Maréchal] Fondé en 2008 et aujourd’hui filiale du groupe Nivet, Béton Logistique Maréchal poursuit son essor. En effet, l’industriel du BPE va inaugurer au printemps 2023 sa nouvelle centrale à béton. Située à la Ferté-Saint-Aubin, elle remplace l’ancienne devenue obsolète. Plus sûr en termes de sécurité, plus performant, cet outil industriel offrira davantage de produits spéciaux. Ce sera l’aboutissement d’un travail commencé en 2019 avec la recherche d’un nouveau terrain… « Nous tenions à rester sur la commune de la Ferté-Saint-Aubin, déclare Laurent Viton, chef de la centrale. Nous avons pu compter sur le soutien de la mairie durant toute cette étape. Nous sommes fiers et satisfaits d’avoir mis les moyens dans la construction de notre troisième centrale à béton. Une évolution qui permet de répondre aux problématiques d’aujourd’hui. » Lire aussi : Maine-et-Loire : Partenariat Hoffmann Cement et les Carrières Nivet Un malaxeur Teka TPZ Débutés en 2021, les travaux ont été confiés à l’industriel Stimm. La nouvelle centrale s’articule autour d’un malaxeur planétaire Teka TPZ de 2 m3, qui permettra une production annuelle estimée à 400 000 m3. Côté granulats, BLM a mis les moyens, puisque l’installation intègre 10 cases primaires au sol et 9 trémies secondaires sur la centrale, pour un volume global de stockage de 450 t. Une flotte de 7 toupies aux couleurs de BLM complète le dispositif. « Avec cette centrale, nous souhaitons développer notre présence dans le domaine des matériaux de construction autour d’Orléans. Nous faisons de nos clients, notre préoccupation première. » Implantées à proximité des zones urbaines, les 3 centrales à béton BLM répondent aux besoins des artisans et des entreprises du bâtiment situés dans un rayon de 35 à 40 km. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 106 jours

Deux ouvriers sans-papiers morts sur un chantier : délibéré le 4 avril

Le 8 juin 2019, les deux victimes, Kamel Benstaali, 34 ans, et Omar Azzouz, 29 ans, travaillaient à la réhabilitation de la cité La Source à Epinay-sur-Seine, un chantier de 478 logements dont le bailleur est Plaine Commune Habitat.Recrutés peu de temps avant le drame, ils s'employaient à la rénovation thermique, depuis l'extérieur, du 18e étage d'un bâtiment lorsque la nacelle sur laquelle ils se trouvaient s'est détachée. Aucun des deux n'était formé pour effectuer des travaux en hauteur.Sept hommes âgés de 37 à 61 ans et trois entreprises du BTP sont jugés depuis lundi à Bobigny notamment pour homicide involontaire et travail dissimulé.Une grande majorité des avocats des prévenus ont plaidé jeudi la relaxe.Ils encourent jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende. La procureure de Bobigny Alix Bukulin avait réclamé mercredi une peine de deux ans avec sursis et 5.000 euros d'amende à l'encontre du gérant de la société SRI et son chef de chantier qui avaient embauché les deux victimes. Pour l'expert qui devait vérifier la conformité de l'installation de la nacelle, une peine de dix-huit mois de prison avec sursis dont huit mois ferme a été demandée."Il a reconnu ne pas avoir réalisé l'essai statique" de la nacelle, a déclaré son avocate Me Juliette Lévy-Bissonnet mais "il savait que ce contrôle n'avait pas de grande utilité", a ajouté son conseil."Un essai statique effectué à deux mètres n'aurait pas permis d'identifier des malfaçons au 18e étage", affirme son avocate.Un rapport d'expertise a pointé "un défaut d'ancrage" de la plateforme.L'entreprise Isore Bâtiment qui avait remporté le marché de réhabilitation d'une partie de la cité pour sept millions d'euros et les deux entreprises sous-traitantes ont rejeté la faute sur la société SRI "agrée pour travailler dans un chantier", a affirmé un avocat de la défense.Spécialisée dans l'isolation thermique, la société SRI a été liquidée et son gérant est en fuite en Egypte.Les victimes vivaient en France depuis trois ans. Kamel Benstaali, de nationalité algérienne devait se marier prochainement. Quelques jours avant le drame, "il travaillait sur les marchés", avait confié Me Jean-Philippe Feldman, l'avocat des deux familles des victimes. Omar Azzouz, de nationalité marocaine, était lui plaquiste.Les deux ouvriers "n'étaient pas déclarés le jour des faits mais deux jours après leur mort", avait précisé la procureure de Bobigny.
Il y a 2 ans et 107 jours

Renouvelables : un plan d'actions pour doubler les installations de Pac géothermiques

ÉNERGIE. Le Gouvernement vient d'annoncer une quinzaine de mesures visant à faciliter le déploiement de la géothermie, notamment en aidant les ménages à s'équiper de pompes à chaleur. Les professionnels de la chaleur et du froid renouvelables s'en félicitent.
Il y a 2 ans et 107 jours

pompe a chaleur geothermique un coup de pouce revalorise a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que le coup de pouce pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 107 jours

pompe a chaleur geothermique l aide maprimerenov augmentee a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 107 jours

L'aide pour une pompe à chaleur géothermique va passer à 5.000 euros

Ce dispositif "doit permettre de produire en 15 à 20 ans suffisamment de chaleur géothermale pour économiser 100 TWh/an de gaz, soit plus que les importations de gaz russe avant 2022", vise la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Il s'agit à la fois de soutenir l'essor d'une filière industrielle (forage, production), et les projets portés notamment par les particuliers.Ainsi l'aide pour l'installation d'une pompe à chaleur géothermique en remplacement d'une vieille chaudière thermique sera portée dès mars à 5.000 euros quel que soit le niveau de revenu (contre 4.000 euros jusqu'ici pour les ménages les plus modestes et 2.500 euros pour les autres).Le coût varie beaucoup selon l'installation, mais peut largement dépasser 20.000 euros, selon les travaux nécessaires et les forages nécessaires.Ce "coup de pouce" pourra être cumulé avec d'autres dispositifs de soutien. Jusqu'à 90% du coût total de l'installation pourra ainsi être pris en charge par l'Etat pour les ménages les plus modestes, selon le ministère.Le chauffage absorbe 50% de l'énergie consommée en France, et il reste majoritairement issu d'énergies fossiles (fioul et gaz). La géothermie, qui consiste à aller puiser dans le sous-sol de la chaleur renouvelable liée au fonctionnement géologique de la Terre, ne représente au contraire qu'une petite fraction du chauffage.In fine, le gouvernement voudrait augmenter de 40% le nombre de projets de géothermie profonde lancés d'ici 2030, et doubler le nombre d'installations de pompes à chaleur géothermique chez les particuliers d'ici 2025.Au prix actuel des énergies, un ménage moyen économiserait chaque année au moins 800 euros en substitution d'un chauffage fioul et près de 500 euros en substitution d'un chauffage gaz, selon les calculs du ministère.
Il y a 2 ans et 107 jours

Acorus réalise la réhabilitation énergétique de 32 logements pour RIVP Paris 14

L’éco-rénovation au service de la sobriété énergétiqueL’éco-rénovation est un mélange de deux procédés qui permet à la fois de proposer des produits techniques dont les performances permettent de limiter les déperditions thermiques et d’améliorer les consommations énergétiques d’un bâtiment (isolation, système de chauffage, de ventilation), tout en ayant des caractéristiques de fabrication peu émissives en carbone. Et également de prendre en compte le bien-être des habitants dans leur logement.Pour illustration, Acorus s’est occupé du chantier de la RIVP (deuxième bailleur social parisien avec plus de 60.000 logements sociaux en gestion), dans le 14e arrondissement de la capitale. Le bouquet de travaux consistait en la réhabilitation thermique Plan Climat en milieu occupé d’un immeuble d’habitation R+7 (et caves) constitué de logements et ateliers d’artistes, soit environ 70 locataires. Acorus a réalisé une rénovation globale et performante permettant d’obtenir des gains énergétiques considérables de l’immeuble, en actionnant tous les leviers de corps d’état possible : Une isolation thermique extérieure, majoritairement en laine de roche, a été mise en œuvre sur l’ensemble de l’enveloppe du bâtiment (murs, toitures terrasses, rampants des toitures en pente et planchers sur le sous-sol). Objectif de consommations après travaux : Cep = 103 kWhep/m2shon.an (classe C), contre 206 kWhep/m2shon.an (classe D) avant travaux. Remplacement des menuiseries extérieures par des nouvelles en double vitrage et huisseries aluminium pour les parties courantes et en bois pour les balcons. La couverture des rampants a été entièrement remplacée en ardoise naturelle. Mise en place d’un système de ventilation plus performant. Installation d’un système de chauffage plus économique avec pilotage des radiateurs.Remplacement des luminaires moins énergivores et à extinction automatique. En parallèle, d’autres travaux ont été entrepris pour améliorer le confort des locataires : Les gardes corps des balcons ont été déportés pour ne pas perdre d’espace (pris par l’ajout d’isolant) Les menuiseries ont été mises au nu extérieur du bâtiment pour libérer de l’espace intérieur dans les logements Les entrées d’air de ventilation ont été renforcées pour affaiblir les nuisances acoustiques provenant de l’extérieurRemaniement des espaces verts (hôtels à insectes, perchoirs à oiseaux)En outre, Acorus avait un AMO Environnement qui notait, entre autres, l’organisation du chantier et son impact vis-à-vis de l’environnement (consommation d’eau, d’électricité, tri des déchets, kit antipollution...).Pour Philippe Benquet, Président du Groupe Acorus : « Nous sommes très fiers de cette réhabilitation thermique Plan Climat pour la ville de Paris, qui respecte l’existant tout en étant au service d’une amélioration de l’architecture et de la qualité d’usage. Grâce aux économies d’énergie qu’elles permettent de réaliser, les solutions d’entretien, de rénovation et de réhabilitation installées quotidiennement par nos 850 techniciens, constituent des gains sur les consommations énergétiques des logements. »
Il y a 2 ans et 107 jours

Parution de la 2e édition du Guide Installations photovoltaïques en toiture et façade du CSTB Editions

Il s’applique aux installations photovoltaïques mises en œuvre en :toitures inclinées en petits éléments de couverture (tuiles ou ardoises) ;toitures inclinées en grands éléments de couverture (plaques nervurées en acier ou aluminium ou plaques ondulées en fibre-ciment ou feuilles métalliques) ;toitures avec étanchéité (toitures-terrasses ou toitures inclinées) ;façades ;verrières, ombrières ou pergolas.Après une description détaillée des types de procédés photovoltaïques, les auteurs présentent les méthodes de dimensionnement et les détails de mise en œuvre avec de nombreux schémas détaillés dans le respect des divers DTU (toitures et façades). Des listes de points de contrôle avant, pendant et après chantier sont aussi proposées.Basé sur la jurisprudence des Avis Techniques et des Appréciations Techniques d’Expérimentation (ATEX), ce guide a été rédigé par deux experts du CSTB : Jean-Charles Corbin, ingénieur études et évaluation de procédés photovoltaïques et David Le Bellac, rapporteur du Groupe Spécialisé n° 21 - Procédés Photovoltaïques.Pour en savoir plus, consulter l’extrait du guide et le commander.Parution : Janvier 2023Edition : 2eNb de pages : 130Format : 16 x 24 cmCouverture : BrochéIntérieur : Quadri
Il y a 2 ans et 108 jours

pompes a chaleur et renovation performante une combinaison gagnante

De plus en plus appréciée par les ménages français, la pompe à chaleur (PAC) est aujourd’hui en pleine expansion avec plus d’un million d’unités vendues en 2021. Toutefois, l'association négaWatt alerte sur les conditions d’installation de ces appareils.
Il y a 2 ans et 109 jours

rairies montrieux va installer 8 robots dans son usine

Rairies Montrieux, fabricant de matériaux de construction en terre cuite, annonce l’installation de huit robots sur son site de production. Ces derniers, qui visent à accroître la productivité, n’entraîneront pas de suppression de postes, assure l’entreprise.
Il y a 2 ans et 109 jours

Eloge d’Anne Démians à Roger Taillibert (et à Sebastião Salgado)

Le 18 janvier 2023, lors de sa séance d’installation à l’Académie des beaux-arts, Anne Démians a prononcé le traditionnel éloge à son prédécesseur au fauteuil n°IV : Roger Taillibert. L’éloge est un exercice littéraire difficile et peu usité mais encore à l’honneur sous la Coupole. Eloge in extenso d’Anne à Roger (et à Sebastião). Discours d’Anne […] L’article Eloge d’Anne Démians à Roger Taillibert (et à Sebastião Salgado) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.