Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour qualite air

(3349 résultats)
Il y a 2 ans et 356 jours

Eclisse se démarque auprès des étudiants en architecture

Sur chaque panneau, un échantillon physique est directement connecté à la bibliothèque numérique, pour un accès facile et rapide à ses caractéristiques techniques. Actif en digital, ECLISSE adhère immédiatement à cette démarche pédagogique innovante.Son objectif : informer les futurs architectes des nouvelles techniques, évolutions et innovations du marché des portes d’intérieur. Développés par la maison mère Italienne, les châssis à galandage et les huisseries invisibles ECLISSE bénéficient d'un savoir-faire reconnu par leur design et leur qualité. Les portes d'intérieur, en perpétuelle évolution, proposent de nouveaux aménagements d'espaces sur le marché français, belge et luxembourgeois. Pour l’année scolaire 2021/22, ECLISSE a choisi de valoriser son huisserie ECLISSE 40 et son châssis Syntesis® Line. L'huisserie permet d'installer une porte battante invisible et architecturale. D'un côté, la porte est à fleur de mur et de l'autre, son cadre en aluminium est apparent pour donner de la profondeur. Le châssis Syntesis® Line, quant à lui, permet d'installer une porte coulissante à galandage. La porte coulisse à l'intérieur de la cloison et laisse un mur épuré d'habillage de finition.En septembre 2021, Franck Dietmann, Directeur d’Archimatérial, installe avec ses équipes les 32 panneaux connectés ECLISSE, dans la rubrique « Aménagement & mobilier ». Le panneau connecté ECLISSE 40 Accessible à 25.000 étudiants et 4.000 enseignants architectes en France, Belgique et au LuxembourgEchantillon physique de l'huisserie ECLISSE 40.Visuels et illustrations de mise en situation. Dimensions et montage de l’huisserie et du chassis.QR Code pour accéder à la bibliothèque numérique : caractéristiques techniques, installation et vidéo de mise en oeuvre des produits.La connaissance des nouveaux matériaux et de leurs évolutions est essentielle aux élèves architectes ; elle peut en effet faire la différence lors de la présentation de projets. L’accès dématérialisé aux produits présentés physiquement incite les étudiants à mieux découvrir l’univers de la matière. Depuis la rentrée, la documentation Eclisse a été téléchargée 1200 fois. En juin, viendra s’ajouter le nombre de scans effectués sur le panneau connecté par les étudiants.En moyenne, chaque année, cinq écoles adhèrent à la Matériauthèque Campus, soit 2.000 étudiants architectes. D’ici la fin 2022, Eclisse participera à l’animation d’une table ronde. Un événement qui permet aux élèves un échange direct avec le fabricant, pour compléter leurs connaissances des matériaux, les procédés de fabrication, de mise en oeuvre et de recyclage. « Ce partenariat est une première pour ECLISSE et nous sommes convaincus de son efficacité pédagogique. Les étudiants en architecture sont tous connectés et sont potentiellement nos futurs prescripteurs. Ils ont aussi des projets, des suggestions et des interrogations pertinentes à remonter à notre service recherche et développement, » déclare Christian Renévot, Directeur Général d’Eclisse France.
Il y a 2 ans et 356 jours

Campa présente de nouveaux radiateurs d’exception au design épuré

Depuis plus de 40 ans Campa a su imposer un véritable parti-pris dans la conception de ses radiateurs électriques haut de gamme. La sélection et la mise au point de matériaux les plus nobles adaptés à la fois aux exigences de la décoration d’intérieurs mais aussi à celle du confort thermique le plus précis sont au cœur de l’univers CAMPA. Conçus et fabriqués en France, ces radiateurs sont intelligents et 100% connectés (sans aucun accessoire supplémentaire) grâce à la technologie Muller’ Intuitiv pour une consommation adaptée au rythme de vie des utilisateurs. Une connectivité qui permet d’associer la performance technologique aux lignes remarquables de ces radiateurs. KERAMOS, le radiateur issu de la terre et du feu Cette nouvelle ligne de radiateur CAMPA valorise les qualités de la céramique, l’inertie, la conductivité thermique et la résistance élevée aux chocs. Le confort apporté par la seule façade et ses éléments chauffants intégrés est tel qu’il peut être suffisant pour couvrir l’essentiel des besoins durant la saison de chauffe. Il associe l’action d’éléments chauffants les mieux adaptés aux qualités thermo-physiques uniques de la céramique. Sa conception privilégie l’inertie et le rayonnement d’un matériau noble qui émet une chaleur d’ambiance douce, régulière et bien repartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. Comme tous les radiateurs d’exception CAMPA, les KERAMOS sont des modèles de référence du confort thermique bas carbone. Le style KERAMOS aux effets rouille, associe sa texture brute à une sensation de chaleur et confort unique. Née du mariage de la terre et du feu, la céramique s’affirme aujourd’hui comme une véritable tendance dans l’aménagement de l’habitat contemporain. Caractéristiques techniques :KERAMOS3 dimensions horizontales et 4 puissances : 84,4cm x 58,9cm à 1000W: 1460€ / 112,2 x 58,9cm à 1500: 1659€ / 112,2cm x 71,4 à 2000w : 1964€Épaisseur : 128mm1,546 x 45,1cm en 1100W : 1675€ et 1600W : 1911€Épaisseur : 125mm CAMPAVER Dépoli, un radiateur au caractère bien trempé Le radiateur Campaver Dépoli émet une chaleur d’ambiance douce, sans à-coup et bien répartie dans la pièce, avec une finesse de réglage extrêmement précise. L’élément rayonnant interne apporte un complément immédiat de chaleur en cas de besoin. La façade en verre trempé dépoli est déclinable en blanc et ficelle (beige) et permet une diffusion de la chaleur sur toute la surface avec une véritable inertie. CAMPAVER combine l’action de deux corps de chauffe associés aux qualités thermo-physiques de la glace de verre et au dessin de sa ligne. Avec sa façade transparente ou à effet miroir, le radiateur en verre ne sert pas seulement à chauffer une maison, mais il est également un élément de décoration à part. Ses lignes élégantes et épurées rehaussent tous les types d'aménagement. Il est très discret grâce à son faible encombrement et sa façade ultra-fine. Caractéristiques techniques :CAMPAVER DEPOLIDéclinable en deux couleurs : Dépoli blanc et Dépoli ficelle (beige)3 dimensions horizontales et 4 puissances :82cm x 56,5cm à 750W : 1225€ / 82 x 56,5cm à 1000W : 1264€ / 109,8cm x 56 ,5 à 1500w : 1450€ / 109,8CM X 69cm à 2000W : 1604€Épaisseur : 121mm 2 dimensions verticales et 2 puissances :1,522m x 42,7CM en 1100W : 1294€ et 1600W : 1450€Épaisseur : 121mm Une fabrication française qui garantit qualité, sécurité et traçabilitéCampa a défini comme une priorité d'intégrer l'ensemble des processus depuis la conception jusqu'à la fabrication sur le territoire national. La conception, le prototype, les opérations de préparation, de transformation et de conditionnement se déroulent en France, dans l’usine de Fismes en Champagne avec leurs réseaux de sous-traitants locaux. Toute la chaîne de production des créations est ainsi maitrisée. Cette volonté lui permet également de participer activement au développement du tissu économique régional et national. Une philosophie industrielle exigeante La notion de “design technologique” décrit la volonté dont Campa a toujours fait preuve pour imposer l’idée qu’un radiateur haut de gamme se définit par les qualités esthétiques de ses lignes mais également par des performances remarquables. Tous les modèles de la gamme CAMPAVER sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives «fabriqué en France» atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire. La connectivité au service de l’efficacité énergétique Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie sont accessibles via l’application et sont simples d’utilisation.
Il y a 2 ans et 356 jours

ITE-SHOP lance sa peinture façade PROMUREX, conçue et fabriquée exclusivement en France

Après avoir lancé le premier site de vente en ligne dédié à l’Isolation Thermique par l’Extérieur (www.ite-shop.com), ITE-SHOP lance sa gamme de peintures professionnelles pour les façades. Entièrement élaborées en France, les peintures PROMUREX permettent : d’offrir des produits dédiés aux professionnels avec un excellent rapport qualité/prix ; de couvrir 80 % des besoins en peinture extérieur de façade avec une gamme réduite ; d’assurer une livraison en 72 heures partout en France depuis le stock local.   Exclusivement commercialisée via le site www.ite-shop.com, la gamme PROMUREX propose en effet un rapport qualité/prix sans équivalent, la vente en ligne permettant de réduire les frais généraux. Sa fabrication française permet d’alimenter un stock en local et de livrer, directement à l’adresse souhaitée, en un minimum de temps ! Développée par les pros pour les pros, PROMUREX c’est avant tout de la qualité. ‘’PROMUREX est une gamme de peintures façades et extérieurs développée grâce à l’expertise et au savoir-faire technique d’entreprises applicatrices disposant de plus de 20 ans d’expérience sur le terrain. Les essais sur chantiers et en laboratoire ont permis de formuler des peintures de façades de qualités exceptionnelles’’ témoigne Franck Porcel, Dirigeant ITE-SHOP. Pour répondre à la majorité des chantiers, la gamme PROMUREX se décline en 7 formulations seulement : Impression fixatrice à base de résine acrylique : pour toutes les surfaces en neuf comme en rénovation. Peinture pour façade film mince de classe D2, proposée à base de copolymères acryliques en phase aqueuse ou à base de résine siloxane : idéale pour décorer les façades tout en conservant l’aspect du support. Peinture pour revêtement semi-épais D3, proposée à base acrylique ou à base acrylique et siloxane : adaptée aux enduits à fort relief pour un rendu homogène des façades grâce à un grand pouvoir couvrant et opacifiant. Peinture Bois: peinture solvantée microporeuse haute technicité pour permettre au bois de respirer, tout en le protégeant. Cette peinture permet la protection et la décoration des supports bois dans de multiples couleurs. La dureté du film permet de résister aux épreuves du temps tout en étant souple lors de l’application. Peinture Fer: peinture solvantée antirouille 2 en 1. Elle a une fonction de primaire, pour protéger, et de finition, pour décorer les métaux ferreux, avec une forte opacité et une résistance aux chocs et aux abrasions.  
Il y a 2 ans et 356 jours

Bilan 2021 et perspectives du groupe immobilier Mercure

Le groupe immobilier Mercure a entamé l’année 2021 avec un calme relatif, dans la continuité du dernier trimestre de 2020, marqué par le second confinement. Les deuxième et troisième trimestres de l’année ont cependant connu une accélération des actes et des visites, avec une clientèle plus mature dans ses projets immobiliers. La fin de l’année a quant à elle été caractérisée par un ralentissement de son activité commerciale en région, contrastant avec une reprise à Paris ainsi que dans les grandes métropoles françaises sur le marché urbain.Si cette année 2021 fut globalement bonne pour le groupe immobilier Mercure (+9% de chiffre d’affaires), on observe les conséquences du contexte Covid, à savoir une accélération de nouvelles tendances de vies de ses clients avec un attrait grandissant pour les belles propriétés en zones périurbaines. On constate une baisse de sa clientèle étrangère hors Europe qui représente aujourd’hui 75% des acquéreurs étrangers.2021 : un marché urbain contrastéTout comme pour l’année 2021, le marché de l’urbain a été largement influencé par l’effet Covid caractérisé par le développement du télétravail et la quête d’authenticité. Les centre villes ont perdu, dans un premier temps, de leur attrait au profit des zones péri-urbaines et rurales, permettant de gagner de la surface ou un extérieur. Les ventes de maisons et appartement avec terrasse ont ainsi représenté 64% des ventes en 2021.Avec la pérennisation du télétravail, les zones rurales ont gagné en attractivité : les Parisiens ou habitants de grandes métropoles envisagent de plus en plus de faire de longs trajets deux ou trois fois par semaine au profit d’une meilleure qualité de vie et d’une plus grande surface.Face à ces nouvelles tendances, le groupe immobilier Mercure a décidé d’adapter ses stocks de biens en choisissant de rentrer en portefeuille les beaux biens situés en zone rurale (70% de son stock actuel).2022 : des perspectives d’évolution tournées vers la clientèle« Propriétés d’Excellence : une promesse de qualité totale. A la fois sur le caractère exceptionnel de nos biens, mais également sur L’Engagement de nos équipes, véritable marque de fabrique du groupe Mercure »Le groupe immobilier Mercure a décidé d’orienter sa stratégie vers sa clientèle. Dans un marché de l’immobilier de luxe à la concurrence accrue, Mercure se différencie par la qualité de ses services, une expertise reconnue, et en modélisant toujours plus ses services d’Excellence. Il entend pour cela améliorer ses formations et recrutements ainsi que la structuration de ses réseaux. À l’international, il souhaite pérenniser ses partenariats internationaux tout en développant les perspectives offertes par sa participation à la création de Forbes Global Properties.Au niveau national, le groupe souhaite également se développer en ouvrant 15 agences supplémentaires d’ici 2026.Les domaines viticoles : une expertise du groupe Mercure au service du patrimoineToujours dans un contexte Covid, Mercure a constaté l’apparition d’une clientèle nouvelle, attirée par l’union d’un bâti d’exception et de la vigne. Projet successoral ou fiscal, cet engouement des néo vignerons a donné l’ambition au groupe de pousser son expertise encore plus loin en engageant un expert du monde viticole et de l’œnotourisme.Celui-ci propose son expertise sur cette typologie de biens spécifiques en permettant à ses clients d’avoir une vue globale sur leurs projets : sur les éléments d’acquisition ainsi que l’entretien et la rentabilisation du domaine. Il peut ainsi proposer son expertise sur l’œnotourisme ou sur les modes de commercialisation du vin.Fidèle à son ADN, le groupe suit sa clientèle dans ses les envies de beau et d’espace avec une expertise fine et de proximité.
Il y a 2 ans et 357 jours

Label “Centre agréé de Recherche et Développement” pour Capremib

Capremib vient de recevoir le label “Centre agréé de Recherche et Développement” par le ministère de l’Enseignement et de la Recherche dans le domaine du béton préfabriqué.[©Hervé Vadon] Reconnue des professionnels du BTP et des maîtres d’ouvrage pour la qualité de ses bétons préfabriqués sur mesure, et désormais décarbonés, Capremib franchit une nouvelle étape dans son positionnement sur le marché du béton préfabriqué. En effet, l’entreprise vient de recevoir le label “Centre agréé de Recherche et Développement” par le ministère de l’Enseignement et de la Recherche dans ce domaine. Cela permettra aux partenaires, clients et fournisseurs de Capremib d’utiliser ses services, son personnel et ses infrastructures pour y développer toutes les formulations de béton. Et ainsi bénéficier de crédit d’impôt recherche. A cela s’ajoute l’obtention de la marque NF-BPE pour sa centrale à béton, qui permet d’assurer une traçabilité et une qualité des bétons produits en propre sur le site de Cormicy (51).
Il y a 2 ans et 357 jours

Le groupe Poujoulat inaugure BF 70, sa plus importante unité de production française de bois bûche

Ces trois usines « nouvelle génération » au process exclusif ont été conçues par le groupe pour garantir la production de biocombustibles de qualité constante toute l'année et ainsi répondre à la demande croissante du marché.Car en une décennie, tout a changé…Les équipements de chauffage ont gagné en performance et en design, les appareils les plus récents ne tolèrent plus de bois de chauffage de mauvaise qualité… et c'est tant mieux pour la qualité de l'air !Les nouvelles générations veulent des produits prêts à consommer, sans avoir besoin de « faire » son bois de chauffage le week-end ! Et là encore, c'est une bonne nouvelle, car le bois « brut », non écorcé et mal séché, n'est pas le meilleur des combustibles, contrairement à l'idée encore trop répandue.Le bois se positionne désormais comme un vrai combustible, le plaisir de la flambée en plus !Acteur central du marché des conduits de cheminée, équipant 50 % des 7 millions de foyers français, le Groupe Poujoulat a décidé, dès la première heure, de s'investir pour lever les principaux freins existants au premier rang desquels la qualité des combustibles.Son objectif : obtenir la qualité, le volume et la disponibilité qui font défaut sur ce marché encore peu structuré.Poujoulat s'est ainsi doté d'une gamme complète de combustibles bois de qualité, certifiés NF biocombustibles, vendue sous les deux marques Woodstock® et Crépito®. Le Groupe a organisé une distribution effi cace et a lancé un produit entièrement nouveau, le bois bûche haute performance.Avec BF 70, Poujoulat poursuit sa stratégie d'implantation au cœur des régions de production et des bassins de consommation. La Haute-Saône est réputée pour sa gestion sylvicole en futaie régulière, qui donne des bois de très belle qualité, conformes au cahier des charges du bois bûche haute performance.BF 70 vise une production de 150 000 stères de bois bûche, 20 000 m³ de bois d'allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées par an, ce qui en fait le 1er site du groupe en termes de capacité.
Il y a 2 ans et 361 jours

Le Baromètre de l’Habitat Sain 2022 de Velux pointe l’urgence d’une rénovation globale des bâtiments

Si l’étude souligne la nécessité d’une rénovation massive des bâtiments, à l’origine de 40% de la demande d’énergie en Europe, elle pointe surtout la nécessité de dépasser le seul critère de la performance énergétique pour englober les enjeux de climat, de santé et d’environnement. Le mal-logement touche près d’un Français sur trois La pandémie a mis en évidence les inégalités face au logement dans toute l’Europe. Au fils des confinements successifs, l’habitat s’est adapté pour répondre aux multiples besoins : logement, lieu de travail, salle de classe ou lieu de loisirs. Ce changement de vie a été particulièrement difficile pour tous ceux qui vivent dans des logements insalubres. Et ils sont nombreux. L’étude montre en effet que 32% des Français se disent exposés à un risque lié à l’environnement intérieur. Elle quantifie les quatre principaux facteurs de risque : le bruit excessif (pour 17 % des Français), l’humidité et les moisissures (pour 11% des Français), le manque de lumière (pour 7% des Français, au-dessus de la moyenne européenne) et froid excessif (pour 6% des Français). La France se situe dans la moyenne des pays européens. Les risques liés à l’environnement intérieur affectent notre santé et notre bien-être psychologique La qualité de l’environnement intérieur a un impact direct sur notre santé physique et mentale. Ainsi, 69 millions d’européens se disent concernés par des problèmes d’humidité et de moisissures. Ces risques sont à l’origine d’asthme, de problèmes respiratoires ou de maladie cardiovasculaires. En cas d’exposition simultanée aux quatre principaux risques environnementaux intérieurs (humidité, bruit, froid et lumière), les chances de développer un problème de santé sont multipliées par quatre par rapport à une personne vivant dans un bâtiment sain. Et pour les enfants, ce chiffre est encore plus élevé. Nous sommes loin de la représentation habituelle du logement comme cocon de protection, alors même que le temps que nous y passons a augmenté pendant la crise Covid-19 et que les besoins d’habitat chauffés, lumineux et aérés, sont essentiels pour notre santé. L’enjeu d’équité sociale des bâtiments durables Le Baromètre de l’Habitat Sain 2022 met également en avant une réalité sociale, révélant que 50 % des Européens ne disposent pas de suffisamment d’épargne pour maintenir leur niveau de vie au-delà d’une durée de trois mois. Ainsi 50 millions de ménages européens se trouvent actuellement en situation de précarité énergétique, avec l’incapacité de chauffer leur logement en hiver. C’est le cas pour 18 % des Français à faibles revenus. Cette situation alarmante risque de s’amplifier, portée par la hausse des prix de l’énergie et les répercussions directes sur les factures des ménages. Le fait de vivre avec un chauffage insuffisant ou inexistant exerce un impact sur la santé mais aussi sur le bien-être et la satisfaction dans la vie, une réalité exposée dans l’étude. Et ce sont les 18 % de Français à faibles revenus qui ne peuvent pas chauffer correctement leur logement qui sont particulièrement exposés à l’altération de leur santé et de leur bien-être. L’urgence d’investir dans un habitat sain et durable Le rôle des bâtiments est essentiel dans nos vies. Parce qu’ils sont au cœur des enjeux climatiques, sociaux et sanitaire, la rénovation doit se penser en 3D pour répondre à trois urgences : climatique, car 40 % de la demande d’énergie en Europe concerne les bâtiments ; sociale, pour les 50 millions de ménages européens qui vivent en situation de précarité énergétique et sanitaire, car un Européen sur trois est affecté par au moins un des risques liés à l’environnement intérieur. Si l’urgence de décarboner les bâtiments n’est plus à prouver pour agir sur le climat, la volonté d’agir sur les risques liés à l’environnement intérieur reste trop souvent reléguée au second plan. En investissant dans la rénovation du parc immobilier, il est possible d’investir simultanément dans la santé des citoyens et dans l’économie. Le Baromètre de l’Habitat Sain 2022, constitué d’études principalement menées par RAND Europe, révèle qu’une réduction de l’exposition à l’humidité et aux moisissures, ainsi qu’une amélioration de l’exposition à la lumière du jour dans les habitations, entraîneraient en France des bénéfices économiques estimés à près de 7,8 milliards d’euros d'ici 2050. Parallèlement, cela pourrait renforcer l’efficacité énergétique et réduire l’empreinte environnementale. L’Europe et la France se trouvent aujourd'hui à l’aube d’une vague de rénovation qui pourrait permettre de s’attaquer à la crise climatique en décarbonant notre parc immobilier. C’est également le moment de rénover et de créer des bâtiments à la fois plus durables et plus résilients, ainsi que des habitats plus sains. Téléchargez l’édition 2022 du Baromètre de l’Habitat Sain 2022
Il y a 2 ans et 361 jours

La CAPEB et Mercedes-Benz France s’associent pour permettre aux artisans d’optimiser leur outil de travail

Cet accord de partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, Jean Christophe Ajax, Directeur Commercial Vans de Mercedes-Benz France et Brice Grevaz, Directeur Administratif et Financier de l’entreprise, vise à accompagner les entreprises artisanales du bâtiment adhérentes dans l’acquisition de véhicules utilitaires Mercedes- Benz.Mercedes-Benz France permettra aux entreprises adhérentes de la CAPEB d’être accueillies dans les meilleures conditions dans le réseau pour l’achat de leurs véhicules utilitaires et de leur offrir un contrat d’entretien Complete, 36 mois et 60.000 Km comprenant l’extension de garantie, l’entretien et le remplacement des pièces de rechange d’usure sur l’ensemble de la gamme véhicules utilitaires.Dans le cadre de son rôle de référencement et de coordinatrice, la CAPEB s’engage à recueillir et à analyser les besoins d’achat des adhérents, d’analyser les propositions et solutions techniques et de tester les produits et matériels.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Nous sommes fiers de nous associer à Mercedes-Benz France afin de faire bénéficier d’un accueil privilégié à nos entreprises adhérentes pour tout achat d’un véhicule utilitaire. En tant qu’artisan du bâtiment, je sais à quel point le véhicule est important pour la réalisation de notre activité. Nos adhérents vont ainsi pouvoir bénéficier d’utilitaires de qualité pour assurer leurs déplacements, leur maintenance ou encore leurs services auprès de leurs clients. »Pour Jean Chabrol, Responsable du Département Ventes Grands Comptes utilitaires Mercedes-Benz France : « Mercedes-Benz France est ravi de pouvoir équiper les entreprises artisanales du bâtiment. Depuis 125 ans, notre Groupe ne cesse d’évoluer dans son expertise en matière d’utilitaires légers thermiques et électriques et de services à nos clients. Dans le cadre de ce partenariat, nous sommes ravis d’améliorer le quotidien des adhérents de la CAPEB en facilitant leurs déplacements et en leur proposant, à des conditions privilégiées, la référence en termes de robustesse, de confort et de sécurité. En outre, 2022 est l’année où l’ensemble de nos gammes se déclinera en électrique, le eCitan viendra compléter la gamme comprenant déjà le eVito et le eSprinter »
Il y a 2 ans et 362 jours

Une politique soutenue d’investissements pour le site de production Watts/Socla de Virey-le-Grand (71)

Présentation du site de production Créée en 1951 par la famille Trémeau Jambon à Chalon-sur-Saône, l’unité de production SOCLA est implantée aujourd’hui à Virey-le-Grand, au cœur de la région Bourgogne Franche Comté, sur un site d’une surface de 20.600 m2. Filiale du groupe WATTS Water Technologies Inc. depuis 2011, l’entreprise, dont le nom signifie SOciété des CLApets, a développé son savoir-faire au fur et à mesure de différentes acquisitions pour devenir la marque leader dans les domaines de l’eau et du contrôle des fluides en mouvement. Son expertise s’articule autour de 4 thématiques principales : – la protection des réseaux d’eau potable au travers d’une large gamme de clapets anti-pollution avec dispositifs de contrôle d’étanchéité et de vidange de l’installation, mais surtout de disconnecteurs hydrauliques à la pointe de la technologie, dont l’un des modèles s’est imposé comme une référence sur le marché (BA2860). Des solutions pour lesquelles Socla associe un service dédié, le CRAN ou encore l’application DigiscoTM, afin de répondre aux exigences de la réglementation qui impose l’entretien annuel obligatoire des disconnecteurs. – le non-retour grâce à une offre complète de clapets allant de 15 à 800 mm, d’une fiabilité à toute épreuve et proposant différentes technologies (16 systèmes d’obturation intérieurs) pour s’adapter aux contraintes liées à chaque installation (pression, étanchéité, perte de charge, type de fluide…), – la régulation au travers d’une large gamme de vannes de régulation automatiques, de réducteurs de pression, ventouses, dispositifs anti-bélier destinés à contrôler ou réguler la pression, niveau de l’eau et de l’air dans les réseaux de distribution d’eau potable, – l’obturation grâce à la richesse d’une offre de vannes papillon proposées en standard et sur-mesure, les seules sur le marché à disposer d’un papillon flottant sur un axe traversant, garantie d’étanchéité et de maintenance facilitées. Elles équipent les réseaux afin de réguler ou d’interrompre le débit qu’il s’agisse d’eaux ou de fluides industriels. Autant de produits phares qui bénéficient d’agréments reconnus (NF, ACS, Bureau Veritas, WRAS, Kiwa, VA, Uni, Belgaqua) et d’une garantie de 5 ans. D’une capacité de production de plus de 9,5 millions de produits, le site de Virey-le-Grand dispose d’un laboratoire d’analyse à la pointe de la technologie, d’une surface de 620 m2. Equipé d’une piscine d’une capacité de 340 m3, il permet à l’entreprise de réaliser une multitude de tests tels que des essais d’endurance ou encore de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité de ses solutions à la corrosion. Fonctionnant en circuit fermé, le débit maximum de ces installations est de 3400 m3/heure soit l’équivalent de 5,5 baignoires (170 litres) par seconde. Par ailleurs, dans une véritable démarche d’amélioration continue, le site de production de Virey-le-Grand est certifié ISO 9001 (management de la qualité), 14001 (management environnemental) et 45001 (management de la santé et de la sécurité au travail). Une politique soutenue d’investissements Afin de moderniser son site de production et ce, dans une volonté d’augmenter l’engagement qualité et d’optimiser la sécurité des équipes sur le site, SOCLA a investi près de 900.000 € à raison de : – 450.000 € pour automatiser la production des clapets incorporables afin de gagner en productivité sur certaines opérations (montage des joints, tests d’étanchéité, marquage) et d’améliorer le process en remplaçant l’utilisation des encres à solvant par des cartouches d’impression, – 300.000 € pour l’usinage des vannes papillon de gros diamètre (supérieur à 400 mm) afin d’améliorer la sécurité des opérateurs, d’optimiser la flexibilité de la ligne de production et ainsi de gagner en réactivité pour répondre aux demandes des clients, – 140.000 € pour maîtriser son empreinte carbone via la récupération de chaleur du compresseur situé dans le laboratoire d’analyse pour chauffer en autonomie différents locaux (service maintenance, laboratoire), mais aussi en remplaçant dans les bâtiments de grande surface les anciens éclairages par des lampes LED dimmables qui captent la lumière naturelle et s’ajustent en fonction. En plus d’offrir un meilleur confort visuel et de chauffe à ses collaborateurs, cette démarche environnementale a permis au site d’économiser 548.516 kWh par an. La protection de l’environnement s’inscrivant au cœur de la stratégie de SOCLA, d’autres investissements sont d’ores et déjà à l’étude avec pour objectifs, d’ici 2023-2024, de : – récupérer la chaleur des fours de l’activité poudrage pour chauffer une partie de l’usine, – mettre en place des panneaux photovoltaïques sur les parkings et ainsi produire de l’énergie verte, – tondre naturellement les espaces verts grâce à des ovins. Un site en constante évolution qui participe au dynamisme de la région Après une première campagne de recrutements initiée en 2021 qui lui a permis de passer de 180 à 204 collaborateurs, SOCLA propose actuellement une quinzaine de postes supplémentaires à pourvoir immédiatement en CDI afin d‘accompagner son évolution. En parallèle, plaçant l’inclusion au cœur de sa démarche RSE, le site de production de Virey-le-Grand accorde sa confiance à des travailleurs handicapés issus des Etablissements ou Services d’Aide par le Travail depuis  bientôt 10 ans. Grâce à son partenariat avec l’ESAT Georges Fauconnet, une équipe d’une vingtaine de personnes en situation de handicap travaille au sein de l’usine pour assurer des opérations telles que le contrôle et le conditionnement de certaines solutions du fabricant (réducteurs de pression, robinets de purge, clapets), la soudure de composants sur des machines semi-automatiques ou encore le test de produits finis. Un peu d’histoire 1951 : Création de la société à Chalon sur Saône par la famille Trémeau Jambon 1973 : Introduction du nom de SOCLA (SOciété des CLApets TJ) 1992 : Rachat de la société par le Groupe Danfoss 1996 : Acquisition de Oreg, ajout de la gamme des vannes papillon 2003 : Acquisition de la société Desbordes, ajout de la gamme des réducteurs de pression 2006 : Acquisition de la société BAR, actionneur pneumatique 2008 : Acquisition de la société Valpes, actionneur électrique 2011 : Rachat de la société par le groupe Watts Quelques chiffres clés – plus de 70 ans d’expérience – plus de 77 pays utilisateurs des produits SOCLA – plus de 25.000 références – plus de 6 millions de vannes papillons en service – plus de 8 millions de réducteurs de pression installés http://www.wattswater.fr/
Il y a 2 ans et 362 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 362 jours

Oknoplast s’associe à Cofidis pour proposer des solutions de financement à tous ses partenaires premium

Une expertise métierEn choisissant le groupe Cofidis, OKNOPLAST s’est appuyé sur un acteur majeur du crédit en Europe, et ce depuis 40 ans maintenant. Rattaché à de très grands noms et enseignes commerciales, ce nouveau partenaire est également un grand habitué du secteur de l’habitat et de la rénovation. « Nous voulions un organisme de financement leader bénéficiant d’une bonne notoriété auprès des professionnels et des particuliers, mais aussi capable de déployer ce service à l’échelle nationale. De son côté, Cofidis était en quête d’un nouveau réseau majeur du domaine de l’amélioration de l’habitat. Ce partenariat est naturellement devenu une évidence pour les deux entités. » explique Romain Somet, Directeur Commercial France OKNOPLAST.Proposer une offre de financement est loin d’être une démarche aisée, c’est pourquoi il était essentiel pour OKNOPLAST de s’associer à un partenaire qui serait à même d’apporter un accompagnement constant et de proximité pour chacun de ses revendeurs. Ces derniers sont en contact direct avec les responsables commerciaux Cofidis de leur région pour bénéficier de formations auprès de leurs équipes. Au travers de cet accompagnement l’objectif est simple : faire monter en compétence les équipes commerciales sur l’intégration de dispositif de financement dans chacun de leurs projets clients. Un accompagnement sur mesure Soucieux d’accompagner au mieux ses clients dans ce nouveau dispositif, OKNOPLAST et Cofidis offrent la possibilité à chaque Partenaire Premium de bénéficier d’outils marketing afin d’animer leur point de vente. Pour cela, des affiches, des stickers et des roll-up vont être réalisés afin de permettre une mise en avant au sein de chaque showroom, mais également lors d’évènements externes de type salons, foires, portes ouvertes…« Notre but est de simplifier la démarche des Partenaires Premium OKNOPLAST et de démocratiser le financement auprès des clients finaux. Les avantages sont multiples : Pour les particuliers, une simplification du parcours client et la possibilité de réaliser la totalité des travaux envisagés en une seule opération.Pour les Partenaires Premium, l’amélioration du panier moyen et l’augmentation du taux de transformation des devis.Pour OKNOPLAST, l’apport d’un service compétitif au réseau Premium et l’augmentation des ventes de menuiseries à forte valeur ajoutée (Pack, options, finitions…). » reprend Romain Somet.Grâce à ce partenariat, les revendeurs Premium disposent d’une offre sur mesure négociée avec OKNOPLAST définissant une enveloppe budgétaire projet, un éventail de mensualités adapté, un parcours 100% dématérialisé, des outils de simulation et souscription simplifiés et un suivi personnalisé pour chaque dossier. Delphine Tricoire, Responsable Commerciale de la société A4 Rénovation (14) collabore avec Cofidis depuis janvier 2022 et partage son expérience : « Sensibilisés en novembre 2021 lors des Roadshow OKNOPLAST, nous étions très demandeurs de la mise en place d’un tel partenariat. C’est donc tout naturellement que nous avons lancé ce projet début janvier 2022. Solidement accompagnés par les équipes Cofidis, réactives et force de proposition, il a été simple et rapide pour nous de mettre en place ce dispositif. Nous allons prochainement intégrer un onglet financement à notre outil de chiffrage pour nous permettre d’informer plus facilement le client final sur les solutions qu’il est possible de leur proposer. Nous enregistrons déjà de beaux projets, notamment avec le 10 fois sans frais qui séduit énormément le client final et qui est devenu pour nous un vrai atout pour la conversion de nos devis. ». Arnaud Le Gall, Directeur des partenariats Cofidis France, ajoute sur l’expertise Cofidis : « Nous sommes ravis d’accompagner OKNOPLAST et ses équipes commerciales dans l’élaboration d’offres sur mesure pour l’animation des points de vente de leurs clients. Le virage de l’omnicanalité demande une forte expertise tant le marché du paiement à distance exige une innovation constante, à la fois sur les produits et services que dans la qualité de la relation. Cela nécessite une solide maîtrise de l’expérience digitale. Chez Cofidis, nous développons cette expertise depuis de nombreuses années pour accélérer le business de nos partenaires ».
Il y a 2 ans et 362 jours

Quels sont les avantages des tablettes durcies pour les professionnels

Avec l’avancée des technologies, de nombreuses innovations améliorent bon nombre de pratiques. C’est le cas des tablettes durcies. En milieu professionnel, ces tablettes contribuent à améliorer les performances des collaborateurs ainsi que leur rendement. Grâce à leur qualité industrielle, elles résistent bien aux environnements difficiles. Notamment adaptées à la production, la maintenance, la qualité et la logistique, les tablettes durcies présentent divers avantages pour les industriels. Découvrez dans ce billet quelques-uns de ces avantages. Une connectivité universelle Le premier avantage qu’offre la tablette durcie pour les professionnels est la connectivité améliorée. À la différence des autres tablettes ordinaires qui sont conçues sur le principe de l’esthétique, les tablettes durcies présentent une haute performance. En plus d’avoir une élégance remarquable, les périphériques de cet appareil sont très performants et illimités. Avec les tablettes durcies, on a la possibilité d’avoir des ports COM ou des ports USB. Vous aurez également la chance de trouver le scanner de code-barres, le connecteur Ethernet et bien d’autres. Tous ces différents ports vont interagir aisément avec les imprimantes, les  claviers et les lecteurs externes. Une bonne résistance Les tablettes durcies sont très réputées à cause de leur résistance. C’est l’une des principales propriétés de ces outils.En effet, ces appareils ont fait l’objet d’un test de résistance avant leur mise à disposition sur le marché. Ainsi, les tablettes résistent parfaitement à la pression, aux chutes, aux vibrations, aux chocs thermiques, etc. Les tablettes durcies peuvent s’utiliser à des températures froides de moins de 20 degrés Celsius. Elles peuvent aussi être utilisées à des températures chaudes qui peuvent atteindre jusqu’à 60 degrés Celsius. Compte tenu de leur flexibilité, elles s’adaptent bien à tout type d’environnement. Ces tablettes sont alors adaptées pour les professionnels qui exercent dans les domaines où des appareils s’abîment très vite. De ce fait, les tablettes durcies peuvent être utilisées dans les secteurs de la logistique, du BTP, du transport, de l’infrastructure, de l’énergie, etc. Une bonne pérennité La pérennité des tablettes durcies est bien durable. À la différence des tablettes grand public qui offrent une pérennité de 6 mois, la pérennité des tablettes durcies va jusqu’à 7 ans. L’appareil peut ainsi être utilisé pendant longtemps. Il est donc préférable d’investir dans des tablettes durcies que dans des tablettes grand public. Toutefois, en plus de la connectivité, de la résistance et de la pérennité observées avec les tablettes durcies, les professionnels ont une autre bonne raison de choisir cet appareil. Un gain de temps Au regard de toutes les fonctionnalités qu’elles présentent, les tablettes durcies ont le pouvoir de simplifier le quotidien des professionnels. Grâce à ces tablettes, les activités les plus difficiles sont effectuées en un laps de temps. Il s’agit d’un appareil performant qui permet aux professionnels qui l’utilisent d’effectuer la version mobile des applications de leurs métiers. En outre, les tablettes durcies sont équipées d’une excellente luminosité qui permet aux travailleurs d’exécuter leurs tâches même en journée. Tous ces atouts permettent ainsi aux professionnels de gagner du temps dans l’exercice de leurs travaux. Ils peuvent profiter de ce gain de temps pour se consacrer à d’autres occupations. Ils pourront par exemple mettre en place un nouveau projet qui pourra contribuer à l’épanouissement de l’entreprise. Cela constitue donc un avantage considérable pour les professionnels.
Il y a 2 ans et 362 jours

Saint-Gobain Ecophon lance deux solutions pour faire face à la problématique du bruit et des basses fréquences en milieu scolaire

Pourtant, la mise en œuvre de solutions de plafonds modulaires et de panneaux muraux adéquates permet de répondre aux différentes problématiques liées au bruit, pour rendre les établissements scolaires plus agréables et propices à l’apprentissage. Aujourd’hui, Saint-Gobain Ecophon lance deux nouvelles solutions permettant d’améliorer efficacement l’acoustique au sein des établissements scolaires :Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural dont les performances acoustiques répondent aux besoins de basses fréquences ;Super G Plus A, une solution de plafond modulaire acoustique particulièrement adaptée aux salles de sport grâce à sa résistance aux chocs.Le bruit en classe, une réalité qui impacte le quotidien des élèves comme des professeursSaint-Gobain Ecophon s’est penché sur les conséquences des nuisances sonores en milieu scolaire, en réalisant, en partenariat avec la Semaine du Son de l’UNESCO, deux sondages OpinionWay auprès des élèves1, puis des enseignants2. Les résultats sont sans appel. En effet, la première étude fait apparaître que la plupart des élèves (86%) considèrent qu’il y a trop de bruit dans leur établissement, notamment dans les espaces suivants :La cantine (89%)Le couloir (83%)Le hall d’entrée (83%)Le gymnase (79%)Les salles de cours (34%)Les salles d’études (33%)Ces nuisances ont inévitablement des conséquences sur le bien-être et la concentration des élèves. Ainsi, 3 élèves sur 4 déclarent éprouver des difficultés à se concentrer à cause du bruit. Pour 74% des élèves interrogés, le bruit empêche également d’entendre correctement la voix de leur professeur.Le constat est le même du côté des enseignants, pour qui le bruit a également un impact important sur la qualité de leur travail, voire leur santé. Ils sont en effet 66% à trouver leur classe trop bruyante, et 69% à déclarer que le bruit est difficilement supportable dans les couloirs. Sur le long terme, l’impact du bruit sur leur santé physique et mentale est considérable.« Les résultats des sondages démontrent que le bruit dans les établissements scolaires représente un véritable enjeu de santé publique. Ce n’est pourtant pas une fatalité : des solutions de traitement acoustique adaptées existent afin de réduire le niveau sonore tout en améliorant la clarté de la parole. Celles-ci favorisent à la fois l’apprentissage des élèves et le confort des enseignants. » Sylvain Coudret, Concept Developer Education & Bureau Ecophon.Akusto Wall C Extra Bass, un panneau mural adapté aux basses fréquencesSystèmes de ventilation, conversations, bruit du mobilier dans les classes, passage dans les couloirs sont autant de bruits du quotidien qui viennent perturber élèves et enseignants en milieu scolaire. Ces bruits sont majoritairement composés de basses fréquences, gênantes pour l’oreille. En effet, celles-ci se propagent facilement, y compris à travers les murs, et dégradent la capacité à entendre des fréquences plus élevées. La perception de la parole se fait alors plus difficilement.La nouvelle solution murale Akusto Wall C Extra Bass de Saint-Gobain Ecophon est un système unique sur le marché. Composé de la solution Ecophon Akusto Wall C et d’un absorbant Extra Bass supplémentaire, le panneau combine une absorption acoustique de classe A à une action ciblant particulièrement les sons à basses fréquences. Cela permet de les traiter pour mieux entendre des fréquences plus élevées, comme les consonnes.De plus, sa conception ingénieuse intègre une coulisse à joint creux ConnectTM dont le design crée un effet d’ombre, ce qui donne au panneau une apparence de 40 mm seulement.Le panneau est disponible dans une large gamme de couleurs et surfaces intemporelles, et en dimensions 2 700 x 600 x 40 mm. Il peut être posé à la verticale comme à l’horizontale, pour une installation modulable, au gré des besoins des espaces.Super G Plus A, une solution de plafond acoustique résistant aux chocsSaint-Gobain Ecophon étend également sa gamme de plafonds acoustiques Super G, consacrée aux environnements nécessitant des solutions d’absorption acoustique particulièrement robustes et capables de résister aux chocs.La solution Super G Plus A a été développée pour les espaces dans lesquels une résistance maximale aux impacts est requise, tels que les gymnases et salles de sport. Ce système dispose d’une ossature robuste composée de profilés semi-encastrés, fixés directement sur le plancher support ou sur une ossature suspendue.Cela permet de maintenir les panneaux en place et de mieux résister à des chocs mécaniques élevés. De classe 1A, Super G Plus A peut ainsi résister à des impacts jusqu’à 60 km/h.Par ailleurs, conscient des enjeux environnementaux actuels et engagé en faveur de bâtiments durables, Saint-Gobain Ecophon s’appuie sur des matériaux plus durables et une politique de transparence vis-à-vis de ses produits. Aussi, comme l’ensemble de ses panneaux absorbants acoustiques, ces nouvelles solutions contiennent au minimum 42% de matières recyclées. L’entreprise a également réalisé l’Analyse du Cycle de Vie de ces produits et les rend publics dans des Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES), disponibles en téléchargement sur la base INIES.1 Sondage réalisé du 4 au 6 janvier 2021 auprès d’un échantillon de 506 élèves représentatif de la population des collégiens et lycéens de France.2 Sondage réalisé en ligne du 1er au 6 décembre 2021 auprès d’un échantillon de 318 enseignants représentatif de la population des enseignants de primaire, collège et lycée.
Il y a 2 ans et 363 jours

Doctorants au CSTB, ils présentent leurs thèses en 180 secondes

Afin de valoriser les travaux de recherche de ses doctorants, et d'encourager ces jeunes chercheurs à transmettre leurs connaissances, le CSTB leur a demandé de présenter leurs thèses en 180 secondes. Une démarche qui confirme la pluridisciplinarité des projets au cœur de la recherche du CSTB. Gabriel, Merveil, Nada, Miora et Martin… Tous ont un point commun : ils font partie de la cinquantaine de doctorants et doctorantes qui se forment à la recherche, et par la recherche, au CSTB. Leurs cinq projets attestent ainsi de la diversité des domaines de recherche : économie circulaire, qualité de l'air intérieur, rénovation énergétique du parc, décarbonation du secteur de la construction, sécurité et effet des incendies sur les structures. Les doctorants au CSTB Les travaux des doctorants sont menés dans le cadre de collaborations entre le CSTB et des laboratoires académiques. Après trois ans de recherche, co-encadrés par leur directrice ou directeur de thèse et un chercheur du CSTB, ils aboutissent à la soutenance d'une thèse en lien avec les quatre domaines d'actions stratégiques recherche du CSTB : Bâtiments et Quartiers pour bien vivre ensemble, Bâtiments et villes face au changement climatique, Rénovation, Fiabilisation de l'acte de construire & Innovation, Economie circulaire et ressources pour le bâtiment. La diffusion et la validation de ces travaux s'effectuent notamment par des articles et des communications scientifiques. Intégrés aux équipes de recherche du CSTB, ou hébergés chez ses partenaires, ces chercheurs en herbe contribuent à l'émergence de nouvelles pistes de recherche qui participent à la conception des bâtiments et villes de demain. « Ma thèse en 180 secondes » MIORA ROBSON, 28 ans Université d'Orléans Thèse : Résistance du béton des ancrages chimiques sous sollicitation thermomécanique (3ème année) Le cadre pluridisciplinaire et les équipements de pointe du CSTB sont un réel atout. MERVEIL MUANDA LUTETE, 29 ans Nantes Université Thèse : Évaluation des mesures d'adaptation de l'environnement urbain aux contraintes du réchauffement climatique (2ème année) Proposée par le CSTB, ma thèse a suscité l'intérêt de l'entreprise Ingérop. Dans le cadre de cette thèse CIFRE, dispositif qui encadre une collaboration entre une entreprise publique et un laboratoire de recherche, mes travaux ont pour objectif de faire avancer la recherche en lien direct avec les problématiques de l'entreprise sur les questions d'adaptation au changement climatique dans les projets d'aménagement urbain. MARTIN RIT, 27 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Évaluation du potentiel de rénovation énergétique d'un territoire dans le cadre de démarches de massification (1ère année) Dans le domaine du bâtiment et de la rénovation, le CSTB reste l'une des références en France. En termes d'encadrement, il me donne notamment la possibilité de m'enrichir des autres projets liés à la thématique de ma thèse. NADA BENDAHMANE, 26 ans École des Mines de Saint-Étienne Thèse : Développement d'indicateurs de pression sur les ressources minérales et métalliques pour une approche performancielle de l'économie circulaire (3ème année) J'ai effectué un stage au CSTB Grenoble pour réaliser des données environnementales par défaut des produits de construction et équipements du bâtiment afin de préparer la RE2020. Eloignée du domaine de la recherche, les discussions avec les autres doctorants et l'accompagnement de l'équipe Environnement du CSTB pendant ce stage m'ont donné envie de poursuivre dans cette voie. Faire une thèse au CSTB permet d'être rapidement confrontée au terrain et d'être constamment en lien avec les besoins concrets des acteurs. GABRIEL ROSSIGNOL, 25 ans Institut Mines-Telecom de Lille Thèse : Impact de la présence de Libérateurs de formaldéhyde dans la formulation des produits ménagers sur la Qualité de l'Air des environnements intérieurs (2ème année) Ma thèse est co-financée par le CSTB et l'ADEME. Etant plus habitué aux manipulations en laboratoire, mon intégration à la direction Santé Confort du CSTB est très enrichissante sur le plan de la recherche pure, et particulièrement sur la transmission et le partage des résultats.
Il y a 2 ans et 363 jours

Les représentants de l’ingénierie appellent Elisabeth Borne et le nouveau gouvernement à réviser l’audit énergétique

Néanmoins, le syndicat Cinov Ingénierie regrette la non prise en compte des recommandations et avertissements exprimés par les acteurs du secteur.Un manque d’anticipation et de préparation dans l’élaboration de l’audit énergétiqueLe syndicat Cinov Ingénierie a pu constater que les apports des experts et professionnels n’ont pas contribué à la construction de cette mesure réglementaire. Alors que les précipitations autour du nouveau DPE ont déjà coûté aux propriétaires près de 9 millions d’euros, les représentants de l’ingénierie ont largement alerté en phase de concertation sur le calendrier de mise en œuvre de l’audit énergétique. Le syndicat estime notamment que la date d’entrée en vigueur de l’audit énergétique réglementaire au 1er septembre 2022 n’est pas un délai suffisant pour former les professionnels nécessaires à la mise en place de cette nouvelle obligation et développer les logiciels correspondants.Pour Julien Garnier, administrateur du syndicat Cinov Ingénierie : « Les éditeurs de logiciels ne sont pas encore prêts et la Direction de l'Habitat, de l'Urbanisme et des Paysages (DHUP) prévoit une période de tests pendant la période des congés d’été. Au sortir d’une difficile période de confinement, réaliser ces phases de tests pour une mise en œuvre en septembre semble mener inévitablement à l’échec. »Outre le délai d’application, le syndicat s’inquiète d’un texte qui laisse entendre que l'objectif de la rénovation d'une passoire thermique est de le convertir en classe D ou E. Ce type de démarche amènera à des travaux de piètre qualité et à l'installation de systèmes de chauffage, qui resteront énergivores. Le syndicat Cinov Ingénierie a proposé de revoir les objectifs, en défendant une rénovation performante en une fois et à coût maîtrisé. Force est de constater que les retours d’experts sur la baisse des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre n’ont pas été pris en considération, du fait des seuils retenus dans ce décret.Il est encore temps de mettre en place une politique de rénovation pragmatique et efficace Pour les représentants de l’ingénierie, la sensibilisation des futurs propriétaires à la performance énergétique de leur bien, constitue un facteur clé de réussite des travaux de rénovation. Au moment où les taux d’emprunt et la facture énergétique augmentent fortement, il est nécessaire de sensibiliser les acquéreurs à une logique de coût global, c’est-à-dire au-delà du prix d’achat, les charges liées à l’énergie, la santé ou la résilience. Alors que les particuliers ont besoin d’un partenaire de confiance pour leur rénovation, les textes réglementaires autour de l’audit énergétique induisent une confusion entre un diagnostic incitatif obligatoire imposé au vendeur et un audit énergétique volontaire, réalisé par un professionnel hautement qualifié. A noter qu’un prestataire en ingénierie qui réalise un audit de qualité permet de sécuriser l'orientation du particulier vers des travaux plus adaptés auprès d'entreprises compétentes, locales et impliquées. L’incitation à la rénovation et sa massification doit être portée par des dispositions claires, des mécanismes simples et lisibles pour les bénéficiaires. Or, le secteur redoute les effets engendrés par les maladresses des textes réglementaires. Le syndicat Cinov Ingénierie appelle ainsi le futur gouvernement, en particulier Elisabeth Borne, Première ministre en charge de la planification écologique, à revenir sur ces dispositions dans un objectif de résultat qualitatif et pérenne.
Il y a 2 ans et 363 jours

VEKA Spectral : une offre exclusive pour des menuiseries PVC architecture contemporaine de haute qualité

Grâce à ces nombreux atouts, VEKA SPECTRAL est donc en mesure de séduire architectes, maîtres d’ouvrage, fabricants de menuiseries, poseurs et amoureux de design à la recherche de produits durables. Ainsi, pour le fabricant, VEKA SPECTRAL s’impose comme une véritable opportunité : différenciation et exclusivité sur son marché, création de valeur ajoutée, le tout sans avoir à investir dans un nouveau processus d’assemblage. Pour l’installateur/artisan, cette finition VEKA SPECTRAL, en plus d’apporter un design unique et abouti, se veut résistante et incomparable. Enfin, le particulier y trouvera un rendu inédit visuellement et étonnant par le toucher, le tout associé à des menuiseries VEKA performantes et recyclables. VEKA SPECTRAL : 10 teintes disponibles pour habiller profilés PVC et produits complémentaires S’appuyant sur une technologie maîtrisée, associant laquage et plaxage, VEKA propose VEKA SPECTRAL. Cette finition couleur exclusive allie design et technologie et s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales actuelles, ainsi que dans la progression des menuiseries couleurs sur le marché.VEKA SPECTRAL séduit immédiatement par ses qualités esthétiques et sensorielles, inédites dans le monde de la menuiserie. Sa technologie brevetée génère un aspect ultramat qui absorbe la lumière, plutôt que de la réfléchir. Son interaction avec la lumière crée une qualité de couleur particulièrement dense et riche, pour un aspect unique. Son apparence interpelle également et incite à tester de ses propres mains, pour expérimenter un toucher velours exceptionnel ; une sensation inhabituelle et très agréable.VEKA SPECTRAL se décline en un large éventail de coloris, idéal pour accompagner des projets modernes et élégants, et d’ores et déjà riche d’une dizaine de possibilités : Blanc Pur, Blanc, Gris, Anthracite, Noir Graphite, Umbra, Vert Sapin, Vert Noir, Bleu Acier ou encore le tout nouveau Bordeaux. Cette palette couleur s’enrichit régulièrement de nouveaux tons pour répondre aux dernières évolutions et tendances du marché.Mentionnons aussi que VEKA SPECTRAL propose la possibilité de réaliser des menuiseries plus personnelles, en bicoloration, pour une plus grande harmonie avec la décoration intérieure et l’architecture extérieure.Par ailleurs, l’étendue de la gamme de profilés PVC proposés en VEKA SPECTRAL ainsi que les accords noués avec de nombreux partenaires* de produits complémentaires à la menuiserie (portes d’entrée, portes de garage, bardages, coffres de volet roulant, panneaux de remplissage, habillages et croisillons…) permettent de proposer une collection complète et harmonisée de produits destinés à l’habitat.Une finition haute qualité répondant aux exigences de durabilité et de stabilité Si cette nouvelle technologie de colorisation s’adapte particulièrement aux architectures contemporaines de haute qualité, le rendu haut de gamme des profilés VEKA SPECTRAL s’allie à des qualités techniques appréciées aujourd’hui tant en neuf qu’en rénovation. Ainsi, le film de plaxage laqué associé à une résine de protection Radcure®, durcie par faisceaux d’électrons, rend la surface des profilés VEKA SPECTRAL particulièrement résistante aux variations de température comme à l’humidité, aux rayures ou à l’abrasion. Cette surface s’avère d’ailleurs plus globalement insensible à toutes les influences climatiques, chimiques et mécaniques de l’environnement extérieur. Ce traitement exclusif, antistatique et très résistant, prodigue aussi stabilité et durabilité des teintes et de leur aspect.Les films exclusifs VEKA SPECTRAL sont certifiés QB33-CSTB et RAL et sont produits dans l’usine CELOTEC du groupe VEKA (20 000 m² spécialement dévolus à la fabrication des films VEKA SPECTRAL ; un marché d’ailleurs ouvert à d’autres acteurs du bâtiment, comme les industriels du bardage PVC).Pour continuer d’accompagner ses clients dans leurs activités, VEKA propose également des kits complets pour rénover les surfaces qui auraient subi des dégradations (que ce soit en atelier durant la phase de production comme lors de la mise en œuvre in-situ). Gommes pour effacer les marques surfaciques, stylos de peinture pour faire disparaître les rayures, Celotape pour restaurer les surfaces plus abîmées : toutes les situations trouvent une solution simple, efficace et durable dans l’exhaustivité de l’offre VEKA SPECTRAL.Une gamme étendue sans changement du process industriel pour les fabricants VEKA propose un large choix de profilés PVC pour fabriquer des menuiseries VEKA SPECTRAL. Cette gamme étendue et les accords noués avec de nombreux partenaires* permettent de répondre à tout type de marché, en neuf comme en rénovation.Solution industrielle par excellence, VEKA SPECTRAL rime avec simplicité et valeur ajoutée pour les fabricants de menuiseries. Rappelons en effet que VEKA SPECTRAL ne nécessite aucune modification des processus de fabrication. Usinage, soudure et ébavurage sont standards. Les performances thermique, acoustique et mécanique de la fenêtre PVC restent par ailleurs inchangées.Une finition couleur 100 % recyclableLes films VEKA SPECTRAL sont conçus et développés par la filiale CELOTEC du groupe VEKA. Intégrant une ligne de production et une ligne de découpe, le site CELOTEC de 20 000 m² est situé à Sendenhorst, près du siège social du leader allemand. Il respecte parfaitement l’engagement environnemental de la marque VEKA avec des films qui sont totalement recyclables.Le groupe VEKA intègre en effet les enjeux de développement durable dans sa stratégie d’entreprise depuis plus de 30 ans. Conscient de l’impact de ses activités sur l’environnement et sur l’homme, il prend en compte le cycle de vie de ses produits et s’attache à utiliser des matières premières de manière responsable. Par ailleurs, le Groupe compte pas moins de 3 unités de recyclage en Europe, dont VEKA Recyclage en France, à Vendeuvre-sur-Barse (10).Une large panoplie de supports d’aide à la vente disponibleParce que VEKA se tient toujours aux côtés de ses clients directs ou indirects pour les accompagner dans leur démarche commerciale, l’entreprise a conçu de nombreux outils d’aide à la vente destinés aux maîtres d’œuvre, fabricants de menuiseries, entreprises de pose ou encore au grand public.Alliant outils numériques (site internet, galerie virtuelle**, vidéos), supports physiques (brochure B2B, documentation grand public, nuanciers, coffrets d’échantillons, signalétique pour showroom) et argumentaires commerciaux adaptés à chaque équipe commerciale, la panoplie des supports d’aide à la vente de VEKA SPECTRAL répond là-encore à chaque besoin.Précisons aussi que cette démarche d’accompagnement se double d’un fort investissement de VEKA dans les médias digitaux et traditionnels, et d’un effort particulier pour la mise en avant de VEKA SPECTRAL dans les points de vente du réseau Fenétrier® VEKA.Pour en savoir plus et découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL, rendez-vous sur la galerie virtuelle dédiée : www.veka.fr/experience-spectral* EURADIF, ISOSTA, VOLMA, Novatech Europe, Rodenberg, Frager Fralu, Europlacage, Sunclear, Indupanel, Elibois, Profiline, SPPF, Geplast, Coprodex, PBI, SDA, Vnylit… ** Rendez-vous sur la galerie virtuelle pour découvrir de façon interactive les caractéristiques et possibilités de la finition couleur VEKA SPECTRAL : www.veka.fr/experience-spectral Ce qu’en disent les fabricants VEKA Une source de nouveaux chantiers pour BIASON FENÊTRES « Depuis quelques années, la part de marché représenté par le PVC plaxé chez BIASON FENÊTRES était supérieure à celle du marché français. Néanmoins, nous rencontrions un plafond chez le particulier sur le segment CSP+. Le ressenti qualitatif du plaxé « classique » restait une barrière psychologique. La finition VEKA SPECTRAL nous a semblé la réponse à cette problématique. En effet, avec cette finition, les menuiseries PVC à frappe présentent un ressenti qualitatif digne de l’aluminium tout en conservant la performance thermique du PVC. Pour compléter ce tableau, le positionnement tarifaire est plus intéressant que les frappes en aluminium. Nous avons donc mis VEKA SPECTRAL à notre offre.Dans un premier temps, l’offre VEKA SPECTRAL nous a permis de concrétiser des dossiers volumes, initialement voués à l’Aluminium. Ce n’est que dans un second temps, avec la mise à disposition progressive de produits complémentaires (cornières, panneaux de portes, coffres de volets roulants, croisillons...), que la finition SPECTRAL a été adoptée par nos clients artisans et fenêtriers. Ils disposent désormais d’une offre étoffée, permettant de répondre aux attentes d’harmonisation du client final CSP+. Ce marché du particulier est en plein essor actuellement et reste prometteur. L’augmentation du prix de l’énergie et la tension sur le pouvoir d’achat des ménages sont deux facteurs qui devraient ancrer durablement cette finition VEKA SPECTRAL dans notre offre produit et développer nos ventes.Côté fabrication, nous avons fait le choix de rester avec des soudures ébavurées et l’intégration de cette nouvelle finition dans notre process industriel a quasiment été transparente. » - Hugo Van den Eede, Directeur Commercial, GROUPE BIASON FENÊTRESUn positionnement haut de gamme et gagnant pour VMA Fenétrier® VEKA« Il a toujours été dans l’ADN de VMA Fenétrier® VEKA de proposer à ses clients les dernières innovations et nous avons rapidement cru au potentiel de la finition VEKA SPECTRAL. Celle-ci fait partie des solutions haut de gamme de notre offre commerciale et nous permet de véritablement nous démarquer sur notre marché. En cohérence avec notre offre, nous avons décidé de proposer VEKA SPECTRAL uniquement avec notre gamme premium HP Line 82. Nous sommes le seul fabricant à commercialiser ce type de menuiserie, ce qui nous permet de proposer une solution véritablement différenciante.En termes de couleurs, le Noir Graphite Ultramat et le Blanc VEKA Ultramat rencontrent le plus de succès auprès de nos clients particuliers. Cet engouement pour des couleurs plus contemporaines confirme que la fenêtre est devenue un objet de décoration à part entière.VEKA SPECTRAL se révèle donc comme un pari gagnant pour notre entreprise et sa part de marché ne cesse de croître. » - Marc Rechard, Président-Directeur Général, VMA Fenétrier® VEKA
Il y a 2 ans et 364 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 2 ans et 364 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 2 ans et 364 jours

Le site de production historique d’Acova : des investissements au service de la qualité et de l’environnement

2022 est l’année du renouveau pour ACOVA, fabricant français et inventeur du radiateur décoratif et du sèche-serviettes. Cette dynamique se traduit par la collaboration avec Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations. D’un point de vue industriel, la création de ce nouveau nuancier a eu un impact sur le process de fabrication, notamment pour la qualification des couleurs. Ceci a également engendré des investissements sur la ligne de peinture pour garantir une qualité constante des radiateurs tout en améliorant l’ergonomie des postes de travail et en limitant l’impact environnemental. 2022 a également été l’occasion pour la marque d’adopter une nouvelle signature de marque : « créons du beau, créons durable », reflet de ses valeurs. Comme l’explique Fernando Ribeiro, Directeur Marketing : « Chez Acova, nous proposons une très large gamme de radiateurs qui, au-delà du confort qu’ils procurent, permettent à chacun d’embellir son intérieur de manière personnelle. C’est ainsi qu’ensemble, nous créons du beau. Et comme nous pensons qu’il n’y a rien de plus beau que ce qui dure, nous travaillons au sein de nos ateliers, avec nos fournisseurs, nos partenaires et nos clients, dans une exigence de durabilité. Ensemble, nous créons durable. C’est-à- dire, des produits de qualité qui durent dans le temps et dont la fabrication est la plus respectueuse possible de l’environnement. » L’Atelier de Construction de Vaux Andigny, le site de production historique d’Acova Unité de production historique de la marque en France, l’Atelier de Construction de Vaux-Andigny, qui a donné son nom à ACOVA, marque du groupe Zehnder, existe depuis plus de 100 ans. Aujourd’hui sont fabriqués dans ce village de l’Aisne : • des radiateurs et radiateurs sèche-serviettes en acier à tubes plats électriques, eau chaude et mixtes, • des radiateurs électriques en aluminium, • des radiateurs sur-mesure. D’une capacité de production d’environ 1000 radiateurs par jour, elle emploie 185 salariés et comprend également un laboratoire certifié disposant d’une chambre bi-climatique. Dans une démarche d’amélioration continue, le site de Vaux Andigny est certifié ISO 9001 (management de la qualité) et ISO 14001 (management environnemental). Des investissements au service de la qualité et de l’environnement Riche de 46 teintes dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques, le nouveau nuancier Acova a mobilisé pendant 6 mois les équipes de l’unité de production de Vaux Andigny. Plaçant la qualité au cœur de leurs préoccupations, ces dernières ont dû s’assurer, avant leur validation, de la qualification des nouvelles couleurs dans le process industriel sur la base de deux critères essentiels : • Tests de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité du radiateur à la corrosion, • Tests de colorimétrie pour vérifier le niveau de brillance, l’uniformité, la restitution des couleurs par rapport à un échantillon de départ et leur reproductibilité selon les différentes gammes. Cette première étape décisive s’est accompagnée de la modernisation de la ligne de peinture avec des équipements de dernière génération. D’un montant de 1,3 millions d’euros, cet investissement, qui s’inscrit également dans la démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Enteprises) d’ACOVA, avait un triple objectif : • Augmenter la performance et la qualité grâce notamment à l’installation d’un tunnel de lumières en fin de process permettant une inspection visuelle et l’identification d’éventuelles irrégularités avec précision ; • Améliorer l’ergonomie des postes de travail et réduire la pénibilité pour les opérateurs : Mise en place d’un système de stockage dynamique de poudre plus proche de la machine pour éviter les manipulations et réduire les distances à parcourir pour les peintres. La cabine de peinture manuelle est, quant à elle, dotée d’une meilleure aspiration des poudres limitant ainsi la poussière et le bruit. • Réduire les déchets et l’impact environnemental en utilisant par exemple : — des sacs de poudre recyclables de 300 kgs au lieu de cartons de 20 kgs. — des camions roulant au biogaz qui effectuent les navettes, reliant deux à quatre fois par jour l’usine au centre logistique, — 40% des approvisionnements venant à moins de 500 km autour de l’usine. Des résultats déjà perceptibles Cet investissement, qui a bénéficié du Plan France Relance, s’ajoute à celui déjà effectué par ACOVA en 2021 pour la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface, représentant un montant de 3 millions d’euros, et qui portait sur : • Le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse. Cette technologie innovante de protection anticorrosion est beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • Le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz, doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface. Cet équipement et l’étuve de séchage ont permis une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). http://www.acova.fr/
Il y a 2 ans et 364 jours

UBBINK complète sa gamme air excellent avec une solution dédiée à l’équipement des VMC SIMPLE-FLUX

Dans des bâtiments de plus en plus étanches (RT2012), un air sain est un air renouvelé dont la qualité dépend aussi des performances du réseau de distribution installé. Largement plébiscitée par les professionnels, la gamme de ventilation AIR EXCELLENT d’Ubbink se complète de nouveaux kits permettant d’équiper la quasi-totalité des centrales Simple-flux hygroréglables ou autoréglables. […]
Il y a 3 ans et 0 jours

Testo fait évoluer la thermographie avec ses nouvelles caméras thermiques intelligentes et connectées

Bénéficiant de plus de 60 ans d’expertise dans le domaine de la mesure, Testo est engagé depuis toujours dans l’innovation pour offrir aux professionnels de tous les secteurs d’activités (bâtiment, industrie, &#8230;) des appareils de qualité, faciles à utiliser. Après avoir lancé en 2007 la première caméra thermique entièrement développée en Allemagne, Testo n’a eu de cesse de faire évoluer ses solutions de thermographie infrarouge. Visant l’excellence, Testo lance une nouvelle gamme de caméras thermiques intelligentes et connectées disposant de la meilleure qualité d’image de leur catégorie, en plus de leurs fonctions avancées. Utilisée dans de nombreux corps de métiers, la thermographie infrarouge est indispensable pour détecter et visualiser les déperditions de chaleur ou les vices de construction cachés d’un bâtiment, les fuites sur des installations de chauffage, ou encore, en maintenance préventive des installations électriques. Permettant de mesurer les températures avec précision et sans contact, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge testo (testo 865s, testo 868s, testo 871s et testo 872s) se distingue par ses nombreux atouts. Des images thermiques de très grande qualité • Les caméras thermiques testo offrent une sensibilité thermique (NETD) très élevée puisqu’elles visualisent les différences de température à partir de 0,1 °C jusqu’à 0,05 °C. • testo SuperResolution pour une haute résolution d’image. Cette fonction multiplie le nombre de pixels par quatre et permet de visualiser directement sur l’écran de la caméra des images avec des résolutions pouvant atteindre jusqu’à 640 x 480 pixels selon les modèles. • testo ScaleAssist pour un réglage toujours optimal du contraste et l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective, quelles que soient les différences de température intérieure/extérieure. Cette fonction rend l’évaluation des anomalies et des ponts thermiques d’un bâtiment plus facile que jamais. En effet, la répartition des couleurs de l’image thermique est automatiquement adaptée pendant la mesure en fonction de la température intérieure et extérieure. Les erreurs d’interprétation dues à un mauvais cadrage thermique sont ainsi réduites. • l’avertisseur IFOV testo permet de voir, grâce à un curseur carré qui s’affiche sur l’écran de la caméra, si l’objet mesuré se trouve bien à l’intérieur de ce cadre. L’utilisateur peut ainsi éviter les erreurs de mesure. Ces deux dernières fonctions facilitent l’utilisation et l’interprétation. Des fonctions pratiques Outre la testo 865s, caméra idéale pour s’initier à la thermographie, les 3 autres modèles de la gamme (testo 868s, testo 871s et testo 872s) sont équipés d’un appareil photo numérique. Elles peuvent être connectés à l’Application testo Thermography, disponible sur IOS et Android, pour une analyse rapide sur site : génération de rapports succincts, enregistrement en ligne et envoi de ceux-ci par e-mail, ajout de points de mesure supplémentaires. Elle permet également de transmettre les images thermiques en direct à un Smartphone ou une tablette et de l’utiliser comme deuxième écran. Pratiques, les caméras testo 871s et 872s disposent, en plus, d’une connectivité sans fil avec le thermo-hygromètre testo 605 i et la pince ampèremétrique testo 770-3 pour rechercher les zones humides et à risque de moisissures dans un bâtiment ou pour détecter la charge d’une armoire électrique. Les valeurs de mesure des deux appareils de mesure sont transmises aux caméras via Bluethooth. Une manipulation aisée Grâce à une interface optimisée, la commande des caméras est intuitive. Elles sont faciles à tenir en main et assez robustes pour résister aux conditions de travail parfois extrêmes. Une gamme pour toutes les exigences Avec différents niveaux d’équipements et fonctions, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge de testo répond à tous les besoins : testo 865s Avec ses 160 x 120 pixels, cette caméra est idéale pour les novices en thermographie. Elle permet de visualiser les différences de température à partir de 0,10 °C et de détecter automatiquement les points chauds et froids. Elle intègre les fonctions testo SuperResolution (320 x 240 pixels) et ScaleAssist. testo 868s Appareil photo numérique et images thermiques de 160 x 120 pixels permettant de visualiser les différences de température de 0,08 °C. Fonctions SuperResolution (320 x 240 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Connexion avec l’Application testo Thermography via WiFi. testo 871s Résolution de 240 x 180 pixels, sensibilité thermique < 80mK et détection de différences de température à partir de 0,08 °C. Appareil photo numérique, fonctions SuperResolution (480 x 360 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Application testo Thermography et connectivité via Bluethooth avec testo 605i et testo 770-3. testo 872s Cette caméra thermique professionnelle convainc par une qualité d’image maximale (320 x 240 pixels) et une très bonne sensibilité thermique (
Il y a 3 ans et 0 jours

DOM UNICO : la nouvelle gamme d’anti-panique 100% compatible

Obligatoires dans tous les types d’E.R.P. (Etablissements Recevant du Public tels que les centres commerciaux, les bureaux, les hôtels, les sites industriels&#8230;), les issues de secours sont soumises à une réglementation spécifique. Celle-ci exige, entre autres, que les portes dédiées à la sortie d’urgence soient équipées de dispositifs permettant d’assurer une évacuation fluide et sécurisée des personnes. Pour aider les gestionnaires de ces bâtiments à répondre à cette obligation notamment dans le cadre d’une rénovation, DOM présente sa nouvelle gamme d’anti-panique interchangeable DOM UNICO. 100% compatible Universelle, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO présente l’avantage de pouvoir remplacer très facilement n’importe quel modèle standard du marché tout en conservant la manœuvre extérieure (béquille, bouton). En effet, ses platines d’adaptation pré-percées en fonction des différents entraxes existants sont dotées, en plus, de repères visuels qui indiquent l’initiale de la marque à changer. A l’instar des nombreuses solutions anti-panique proposées par DOM-Metalux, son mécanisme symétrique et réversible sans démontage, associé à la possibilité de recouper sa barre et ses tringles verticales à la dimension requise, rendent d’autant plus rapide son installation. De même, le faible encombrement de ses coffres autorise sa mise en œuvre sur profils étroits et augmente le passage libre. Un atout non négligeable pour une évacuation plus rapide ! Afin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO se compose de serrures 1 et 2/3 points pour un stockage optimisé. Elle est proposée en version cross-bar, avec des pênes haut et bas ou latéraux. Au design élégant, elle se décline dans les trois coloris les plus courants (blanc, gris, noir) pour s’intégrer harmonieusement à tous les espaces. Une fiabilité hors-pair à tous les niveaux D’une grande qualité de conception de par le choix des matériaux utilisés, l’anti-panique DOM UNICO est certifiée EN1125 : 2008 en grade 7, soit le niveau le plus élevé exigé. Equipée de pênes en acier, elle est coupe-feu en standard. Pour concilier haute sécurité et protection sanitaire renforcée, elle est traitée de série avec une finition antibactérienne Protect Touch reposant sur la technologie des ions d’argent. Résistant au nettoyage, cet agent actif antimicrobien recouvre l’ensemble de l’anti-panique, même les parties qui ne sont pas exposées à un contact direct. Ajoutés au revêtement pendant la production pour garantir l’efficacité du traitement dans le temps (testé selon la norme ISO 22196:2011), les ions d’argent agissent 24 heures sur 24 pour éliminer plus de 99,99% des bactéries et des germes en surface grâce à une libération continue. Interchangeable rapidement avec tous les standards du marché, la gamme DOM UNICO constitue un véritable atout pour tous les professionnels (installateur, distributeur, gestionnaire d’un bâtiment), qui ont ainsi l’assurance en cas de besoin de remplacement de toujours disposer d’un modèle d’anti-panique adapté et de haute sécurité ! http://www.dom-europe.com/
Il y a 3 ans et 0 jours

FINALCAD lève 10M$ pour accélérer son développement et la numérisation du secteur de la construction

Finalcad : plus de 10 ans d’innovation au service de la digitalisation du BTPLancé fin 2011 par Jimmy Louchart, Joffroy Louchart et David Vauthrin, Finalcad a vu le jour avec l’ambition d’aider les entreprises du secteur de la construction à optimiser leur efficacité opérationnelle grâce aux outils digitaux. Pour relever ce défi, la société a conçu une plateforme SaaS de gestion des chantiers qui permet de digitaliser les données et les processus liés aux projets de construction. La solution permet de faciliter la collaboration et la coordination entre les différentes parties prenantes sur site et hors site, et ainsi d’optimiser la qualité des projets livrés. Nombreux sont les acteurs à faire confiance à Finalcad parmi lesquels le groupe Eiffage qui vient de prolonger de plusieurs années son partenariat engagé en 2017 avec l’éditeur pour l’accompagner dans la transformation digitale de ses chantiers.Une levée de fonds pour renforcer les investissements et accélérer la transformation de l’entrepriseCette levée a été menée par l'équipe de direction de Finalcad qui s’est vu renforcée récemment par l’arrivée de Pascal Laik en qualité de Chief Executive Officer pour soutenir l’ambitieux programme de développement de la société.Pascal Laik a été nommé CEO de Finalcad fin 2021. Il apporte à l’éditeur son expérience de plus de 30 années acquise dans les nombreux postes à responsabilité qu’il a occupés chez des éditeurs leaders dans leur spécialité comme Oracle, Siebel Systems, Informatica et C3.AI dont il a accompagné la croissance et le développement à l’international. Sa profonde expérience dans l’univers du SaaS, ainsi que dans la gestion, la commercialisation et la mise en œuvre de plateformes de transformation numérique acquise dans l'univers IoT, Big Data et IA sont autant d’atouts au service des objectifs d’excellence opérationnelle et de croissance des ventes que visent Finalcad.Fort de ce nouveau financement, Finalcad va renforcer les investissements et la transformation entamée il y a quelques années, dans un esprit de continuité avec les investisseurs historiques. Cette levée de fonds va notamment permettre de soutenir les investissements R&D sur des sujets tels que la sécurité et l'environnement sur les chantiers ainsi que l’exploitation des données dont l’utilisation de l’Intelligence Artificielle au service des équipes terrain et de management. Enfin, après avoir développé son activité en Asie du Sud-Est ces dernières années, Finalcad va poursuivre son déploiement à l’international, en Europe mais aussi en Afrique du Nord.« Nous nous réjouissons de cette levée de fonds dont l’objectif est de rendre accessible à tous les professionnels de la construction une plateforme collaborative unique et personnalisable permettant de digitaliser en toute autonomie chaque étape de la vie des ouvrages, depuis le début des travaux jusqu’à leur exploitation.Grâce à elle, nous allons renforcer notre positionnement en tant que Field Experience Platform - solution de productivité orientée terrain – afin d’apporter une meilleure réponse aux besoins quotidiens des équipes opérationnelles, et, pour leur management, en facilitant le pilotage et la gestion de la performance via l’analyse des données remontées des chantiers. Ce financement va nous permettre d’aller encore plus loin dans cette direction, en exploitant pleinement le potentiel des données BIM et les capacités offertes par l’Intelligence Artificielle. », indique Pascal Laik, CEO de Finalcad. Jean-François Cochy, Partner chez Cathay Innovation déclare à propos de cette levée :« Grâce à sa suite technologique moderne et à ses outils numériques évolutifs et user-friendly, Finalcad est aujourd’hui un leader incontesté de la digitalisation du secteur de la construction. Finalcad fournit des solutions qui aident les professionnels du BTP à optimiser leurs opérations et leur expérience sur le terrain.Depuis notre investissement initial en 2018, nous avons accompagné le renforcement de l’équipe - ce qui s’est traduit au cours de l’année dernière par l’acquisition d’une large base d’utilisateurs de Finalcad One, tout en conservant les clients historiques avec des contrats renouvelés. Nous nous réjouissons de soutenir l’équipe dans cette prochaine phase de développement et d’expansion grâce aux atouts de notre plateforme mondiale. »Jonathan Sibilia, Partner chez Molten Ventures insiste quant à lui sur les perspectives pour les professionnels du BTP :« Finalcad fournit une solution dont la valeur est aujourd’hui largement prouvée et reconnue. Des gains de temps significatifs ont été remontés suite aux retours d’expérience de nombreux conducteurs de travaux qui utilisent la solution depuis plusieurs mois : plus de 28 heures/mois pour chaque utilisateur ! Ces gains de temps sont déjà considérables, mais des gisements de valeur gigantesques restent à exploiter en poussant plus loin l’analyse des données chantiers. Nous sommes convaincus que cette analyse sera demain le moteur principal de la transformation digitale des entreprises de construction. »
Il y a 3 ans et 0 jours

MELJAC célèbre l’année internationale du verre avec sa collection Pierrot

MELJAC, leader des appareillages haut de gamme, honore l’année internationale du verre en unissant savoir-faire français et façonnage de précision pour sa collection Pierrot exclusivement en verre trempé. Ce matériau noble, solide et délicat, garantit au produit une longue durée de vie et une qualité exemplaire.&nbsp; Cette gamme offre une esthétique haute en couleur avec [&hellip;]
Il y a 3 ans et 3 jours

Renouvellement du partenariat entre le Conseil supérieur du notariat et la Direction de l’immobilier de l’État

Ce renouvellement signé le 11 mai par David AMBROSIANO, président du CSN et Alain RESPLANDY-BERNARD, Directeur de l'immobilier de l’État, a été conclu pour une durée de 4 années. Il s’inscrit dans le cadre de la 1ère Convention d’Objectifs du notariat pour la période 2021-2024, signée le 8 octobre 2020 entre le CSN et l’Etat représenté par le garde des Sceaux, ministre de la Justice, le ministre de l’Économie, des finances et de la relance et le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des finances et de la relance, chargé des Comptes publics.Ce partenariat entre le CSN et la Direction de l’immobilier de l’État confirme leur engagement commun dans une démarche de confiance et de qualité au bénéfice des actes réalisés par l’État propriétaire. La Direction de l’immobilier de l’État et le Conseil supérieur du notariat souhaitent ainsi renforcer la collaboration entre les notaires et les services du Domaine pour répondre aux enjeux suivants :Identifier et sélectionner des études notariales partenaires sur le plan national et en lien avec les instances locales de la profession (Conseils régionaux & Chambres interdépartementales du notariat),Faciliter l’accès des services locaux du Domaine aux notaires identifiés au niveau local,Clarifier les obligations réciproques des parties en présence,Contribuer à une meilleure circulation des informations entre les services de l’État et les notaires en charge des dossiers,Réduire la durée de traitement des dossiers et garantir une forte exigence de qualité quant à la rédaction des actes. Le choix des notaires qui interviendront se fera de manière transparente, en coordination entre les Instances notariales et les services de la Direction de l’immobilier de l’État au niveau local, dans le strict respect des procédures de l’État.
Il y a 3 ans et 3 jours

PRO-ZINC certifié QUALIOPI

VMZINC obtient la certification QUALIOPI pour son organisme de formation PRO-ZINC. Elle est la seule marque spécialisée dans le zinc à dispenser des formations dans des centres dédiés, sur ses sites de Bray-et-Lû (95) et Viviez (12). Attribuée à PRO-ZINC® par l’organisme accrédité Icert, QUALIOPI garantit des stages de qualité, répondant aux exigences réglementaires et aux besoins des entreprises, selon le référentiel définit par l’État. Elle est acquise pour une durée de 3 ans avec des audits de suivi annuels. La certification permet aux stagiaires de faire valoir, sur le marché du travail, une acquisition des compétences. Ils peuvent également prétendre à une prise en charge par des financeurs tels que Constructys. Six modules de formation, initiation ou perfectionnement, sont proposés : couverture en longues feuilles à joint debout, bardage en longues feuilles à joint debout, couverture en longues feuilles à tasseaux, soudo-brasage &#8211; Évacuation des eaux pluviales, abergement de cheminée et zinguerie sur tuiles ou ardoises et systèmes de façade. Photo : VMZINC
Il y a 3 ans et 3 jours

« La qualité de vie au travail supplante de plus en plus souvent le salaire », Marc-Antoine Delobel, manager Fed et Jérémy Randoing, consultant senior Fed

Recrutement - Impacts du contexte géopolitique, critères des candidats, évolution des métiers… Le point sur l'actualité du marché de l'emploi dans le BTP.
Il y a 3 ans et 4 jours

Le Carrefour International du Bois fêtera ses 30 ans du 1er au 3 juin 2022

En 2022, ce RDV unique en Europe fêtera également ses 30 ans d’existence ; l’occasion pour Jean PIVETEAU, nouvellement nommé Président du Carrefour International du Bois après Pierre PIVETEAU, Président du salon depuis 1992, d’évoquer ses attentes et ambitions pour cette prochaine rencontre. En effet, face à un contexte actuel exceptionnel pour toute la filière bois (augmentation de la demande mondiale de bois, tensions sur les marchés …) le Carrefour International du Bois est, plus que jamais, un événement incontournable pour rencontrer de nombreux acteurs et échanger avec eux sur l’ensemble des sujets liés à l’univers du bois.Jean PIVETEAU, nouveau Président du Carrefour International du Bois En octobre 2021, Jean PIVETEAU a pris la suite de Pierre PIVETEAU en qualité de Président du Carrefour International du Bois. Il a d’ailleurs présidé son premier comité de pilotage le 26 octobre dernier. « Ce salon est un outil de filière incontournable. C’est mon frère Pierre PIVETEAU qui l’a fondé au sein de FIBOIS Pays de Loire, porté par l’interprofession en partenariat avec le port de Nantes en 1992. L’idée était de mettre à disposition un outil pour permettre aux entreprises de la filière bois d’avoir un lieu pour présenter leurs produits et savoir-faire. Très vite, ce salon a rencontré un grand succès au point de prendre une dimension internationale tant du point de vue des exposants que des visiteurs », évoque Jean PIVETEAU. Reprendre le fil des échanges dans un contexte inédit pour toute la filière boisAvec sa fréquentation record de 11 500 visiteurs et ses 563 exposants, l’édition 2018 du Carrefour International du Bois fut un réel succès. Et alors que cette biennale vient de connaître une pause inédite de 4 ans, la commercialisation des stands est, à 4 mois de l’événement, toujours très encourageante : « le succès de la commercialisation des stands démontre l’impatience des exposants de se retrouver », explique Jean PIVETEAU. L’événement sera en effet l’opportunité pour tous les professionnels de reprendre contact, entre eux et avec les visiteurs, ainsi que de dresser le bilan de ces 4 années qui ont apporté leur lot de rebondissements au sein de la filière bois. En effet, depuis la dernière édition, l’utilisation du matériau bois a fait des bonds dans l’ensemble des secteurs d’activité et pans de la vie quotidienne. Pour Jean PIVETEAU, cela s’explique par une prise de conscience généralisée sur le fait que le matériau bois répond favorablement à l’actuelle, et indispensable, transition énergétique : « la 16e édition du Carrefour International du Bois sera également l’occasion de construire l’avenir au regard de l’augmentation mondiale de la demande de bois. Ce salon est d’ailleurs le lieu unique et idéal où les utilisateurs de bois vont rencontrer des fabricants, des exploitants, des transformateurs ou encore des institutionnels et distributeurs pour trouver des solutions à chacun de leurs besoins ». Le Carrefour est effectivement un indéniable temps fort pour échanger, entre professionnels, sur les marchés actuels et les perspectives. C’est aussi le moment pour les visiteurs de sécuriser leurs approvisionnements. Des thématiques fortes au cœur des échangesLe Carrefour International version 2022 fera du sujet de la ressource l’une de ses priorités lors de ses temps de conférences. Pour Jean PIVETEAU l’enjeu est très clair : « la filière doit rassurer les utilisateurs de notre matériau : Il y a du bois dans les forêts. Chaque année, seulement 80 % de l’accroissement biologique de la forêt française est récolté. Devant la forte demande du marché, notre pays doit montrer sa capacité à se réindustrialiser et à investir dans les usines de transformation : le plan de relance de l’État devrait y contribuer fortement ». Le Président du salon ajoute que les acteurs de la filière bois se mobilisent d’ailleurs à travers un Manifeste visant à interpeller les candidats à l’élection Présidentielle avec 23 propositions concrètes pour défendre les intérêts de la filière et les bénéfices du matériau bois. Les organisateurs du salon proposeront par ailleurs 3 nouveaux formats de conférences : des tables rondes en format long, des conférences en mode plateau TV et des formats pitch sur l’espace innovation du Hall 1.
Il y a 3 ans et 4 jours

Construction modulaire hors-site : enjeux, évolutions et impacts sur les bureaux de contrôle

La construction hors-site et ses avantages pour le secteurElle est issue DFMA - Design for Manufacturing & Assembly -, “Concevoir pour la Préfabrication et l’Assemblage”. Cette méthode moderne de construction intègre dans un processus industriel tous les métiers du bâtiment et impose à l’ensemble de la filière de se réinventer et d’adapter ses méthodes.En pleine croissance, la construction hors-site représentera d’ici 2030, 20% des bâtiments construits dans le monde (source : McKinsey). Cet essor s’explique notamment par la raréfaction de la main d’œuvre qualifiée, la hausse du coût de la construction et des sinistres, l’allongement des retards sur les chantiers et la prise en compte croissante des impacts environnementaux du secteur de la construction.Les grandes différences entre les modes constructifsLa construction traditionnelleÉconomiqueLes retards de livraison sont en moyenne de 5 mois sur près de 30% des programmes immobiliers livrés (source : UFC Que Choisir, 2017).L’augmentation des coûts de construction est de +5,5% entre 2019 et 2021 en France (source : INSEE, 2022).La baisse cumulée de la productivité sur les chantiers est de 19,3% depuis 2001 (souce : Xerfi).ÉcologiqueLe béton représente 8% des émissions mondiales de CO2 (source : Guardian, 2019).L’équivalent d’1,5 milliard d’euros de produits et matériaux non utilisés sur les chantiers sont jetés, ou à minima stockés chaque année sans être répertoriés par les 400.000 entrepreneurs français du BTP.La sinistralité a augmenté de 75% en 10 ans (source : SMABTP).La construction hors-siteÉconomiqueLa productivité d’un ouvrier sur un chantier classique correspond à 20% de son temps, contre 80% pour une construction hors-site (source : Etude université de Aalto).La non-qualité dans le bâtiment coûte quasiment 10 milliards d’euros par an, soit environ 10% du chiffre d’affaires du secteur (source : Agence qualité construction).Les accidents de travail sont réduits car l’environnement de travail en usine présente moins de risques.ÉcologiqueLes coût des transports sont divisés par 5 car les matériaux peuvent être stockés en usine, à l’inverse des chantiers sur lesquels ils sont livrés au compte-goutte et où ils peuvent se dégrader. De plus, les ouvriers n’ont pas besoin de se déplacer sur chaque opération.Les ressources sont mieux gérées et triées ce qui permet une réduction du gaspillage.L’utilisation de matériaux renouvelables ou recyclables est facilitée : bois, acier, matériaux biosourcés, etc.Le recyclage des matériaux est mieux optimisé grâce à la démontabilité des éléments et modules ou leur réutilisation dans un autre lieu et parfois pour un tout autre usage.Construction hors-site et RE2020Construire hors-site permet de diminuer significativement l’empreinte carbone des ouvrages, ce qui fait de cette méthode constructive un atout majeur pour la mise en application de la RE2020.Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la RE2020 est la nouvelle réglementation environnementale qui vient remplacer la réglementation thermique 2012 (RT2012). Un de ses objectifs est de limiter les gaz à effet de serre générés par la construction du bâtiment et les consommations d’énergie.D'une démarche projet à une démarche produit : les impacts sur les bureaux de contrôleAlors que le développement de la construction hors-site en France en est à ses prémices, cette méthode constructive si particulière est une opportunité à saisir pour l’ensemble du secteur dont les bureaux de contrôle technique. Toutes ces évolutions engendrent un profond changement dans les méthodes de travail... et nécessitent l’engagement de tous les acteurs !L'évolution de la mission du contrôleur techniqueLe rôle d’un bureau de contrôle technique est de contribuer à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages.Dans le cadre d’un projet industrialisé, le contrôleur technique s’implique davantage en phase de conception. Son rôle est de vérifier la faisabilité de la conception, de la conformité des solutions industrielles mais aussi de détecter les techniques non- traditionnelles ou innovantes nécessitant des justifications spéciales de type ATEX.En phase exécution, la mission de contrôle technique sur le chantier est complétée par des vérifications hors-site en usine. En phase chantier, des points de contrôle spécifiques à ce mode constructif sont réalisés.Le contrôleur technique doit prendre en compte les spécificités de ce mode constructif, et comprendre sa philosophie pour remplir au mieux sa mission principale de prévention des risques et des aléas.Pour Elia Abou Chaaya, Directeur de l’Activité hors-site de BTP Consultants : « La construction hors-site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire, des autorités publiques jusqu’à l’utilisateur final, en passant par les assureurs, les concepteurs et les bureaux de contrôle. Actuellement, le rythme classique d’un contrôleur technique, même s’il intervient à toutes les phases, n’est pas adapté à l’industrialisation. C’est tout un état d’esprit qui évolue, en passant d’une démarche projet à une démarche produit. Par cette démarche de standardisation, les constructeurs ou les maîtres d’ouvrage cherchent l’optimisation du temps, des coûts des matériaux et des services intellectuels. La mission de contrôle technique initialement prévue pour un “projet”, s’adapte donc pour amener plus de valeur ajoutée en phase conception et est complétée par des vérifications en usine. »Les changements pour le coordinateur SPSLe coordonnateur SPS intervient à toutes les phases d’une opération de construction et a pour rôle d’évaluer les risques sur le chantier et les interventions ultérieures sur l’ouvrage.Sur des projets de construction hors-site, le coordonnateur SPS adapte sa vision pour prendre en compte le risque d’accidents maîtrisé en usine, la réduction de la phase chantier et le traitement particulier des livraisons et du mode de montage des modules. De plus, les interventions ultérieures sur l’ouvrage sont mieux définies et mieux maîtrisées que dans un schéma traditionnel.La nécessité de l'évolution de l'arsenal réglementaireLes normes, les règles et les validations des techniques “non-traditionnelles” allongent les délais et peuvent complexifier l’aboutissement d’un projet. La France doit savoir innover par rapport au cadre réglementaire actuel. Les concepts de mise en sécurité des bâtiments doivent être remis à plat et les règles de l’art de tous les corps d’état doivent être repensées autour d’un processus d’industrialisation de la construction.Comment BTP Consultants fait bouger les lignes de la construction hors-site ?Pour Roland Le Roux, Président du Groupe BTP Consultants : « Conscient des atouts et du potentiel de la construction hors-site en France, BTP Consultants s’est très tôt positionné comme précurseur du contrôle technique pour ce type de construction. Nous avons créé une direction dédiée aux projets hors-site et formé un réseau national d’une vingtaine de collaborateurs capables de répondre aux spécificités de ces interventions. À travers notre soutien au Campus Hors-Site lancé par Pascal Chazal et l’organisation d’événements sur le sujet, nous nous engageons au quotidien pour sa démocratisation en France. »Le bureau de contrôle est un acteur-clé dans un projet de construction, et son rôle est particulièrement central dans les projets de construction hors-site qui font parfois appel à des techniques et des méthodes innovantes.Pour Pascal Chazal, Fondateur du Campus hors-site : « BTP Consultants réalise un module dédié au contrôle technique sur la plateforme du campus hors-site. Son implication aux côtés des différentes parties prenantes du chantier, sa compréhension de l’approche industrielle et sa capacité à s’y adapter sont autant de facteurs essentiels pour que la mission de contrôle technique soit au service d’un projet de construction hors-site réussi. Avec l’industrialisation du concept et la reproduction des projets issus de la même conception, le contrôleur technique maîtrise de plus en plus sa démarche de vérification et de contrôle. Il adopte une approche industrielle et optimise ainsi le temps à passer pendant la réalisation. »Les chiffres clés 2021 de BTP ConsultantsChiffre d’Affaires : 57M€Nombre de collaborateurs : +450Nombre de projets en cours : +12000Nombre d’agences en France : 28Note moyenne de satisfaction clients : 8,7/10Note moyenne de satisfaction collaborateurs : 8,9/10
Il y a 3 ans et 4 jours

Nouvelle cheville bi-matière Duoxpand

Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries... et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux.Fischer DUOLINE : La gamme bi-matièreHaute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres...), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique... Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing... Une expansion douce qui n’endommage pas les matériauxLa cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire.Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord.Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation.La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support.Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applicationsLa DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis.La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses,70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire.Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.Points de vente : Négoces, Négoces en matériaux et GSB
Il y a 3 ans et 4 jours

Nouvelle plateforme logistique de Reynaers Aluminium &amp; Forster France

Cet événement clé est une nouvelle étape dans le plan d'investissement industriel défini jusqu'à 2025 renforçant la position du groupe Reynaers en tant qu'acteur majeur dynamique et engagé depuis plusieurs années dans une politique de développement forte et affirmée. Un investissement de 6 millions d'euros pour répondre à la demande croissanteCe nouveau bâtiment porte les infrastructures du Groupe Reynaers à 15.000m² de surface logistique en France. L'investissement était devenu indispensable pour faire face à la demande croissante que connaissent les deux marques Reynaers Aluminium et Forster sur le marché français. Proche des principaux axes routiers qui desservent la France et la Belgique, ce site stratégique permet d'optimiser les transports de marchandises entre les sites de production et de renforcer la qualité de des services auprès des spécialistes de la menuiserie aluminium et acier.Une croissance soutenue des activités de Reynaers Aluminium et de ForsterFocus Reynaers Aluminium :Reynaers Aluminium a enregistré une croissance de 27% entre les années 2016 et 2019. En 2021, le chiffre d'affaires de l'entreprise a progressé de 24%, traduisant sa capacité à concevoir et à distribuer des solutions techniques pour les projets les plus variés en neuf comme en rénovation.Projet significatif Reynaers Aluminium : le savoir-faire de Reynaers Aluminium s'est illustré récemment dans la conception et la fourniture de solutions sur mesure pour le projet « Jardins du Lou » situé au cœur du quartier de Gerland à Lyon. Les six immeubles de bureaux , signés par l'agence d'architecture AIA Life Designers, représentent 28.000m² de surface et près de 13 000m² de façades.. Focus Forster :Partenariat, excellence et accompagnement sont les maîtres mots qui caractérisent l'offre de solutions techniques et de services proposée par la société Forster. Spécialisée dans la conception et la vente de systèmes de menuiseries en acier, Forster a repris ses ventes en direct en France depuis août 2020. La nouvelle organisation logistique sur le site de Brouchy permet de répondre aux projets les plus variés avec des délais de livraison optimisés. Les professionnels de la menuiserie acier bénéficient ainsi d'une offre complète permettant de réaliser tout type de portes, de fenêtres et de façades, sans oublier la profondeur de l'offre des solutions coupe-feu ou antieffraction indispensable pour les projets nécessitant un traitement spécifique en matière de sécurité des édifices et des occupants.Projet emblématique Forster : le savoir-faire des équipes projets de Forster a permis de répondre aux exigences réglementaires et architecturales de la rénovation de la Samaritaine. Les 800 châssis acier des séries Unico XS et Fuego Light fabriqués et installés dans le bâtiment ont permis de recréer à l'identique l'esthétique des menuiseries acier de cette architecture art moderne et art déco du 19ème siècle.Un investissement logistique pour gagner en performance ServiceCe nouveau site a permis de repenser et d'optimiser les flux logistiques. Ainsi, le site de Brouchy recentre son activité sur le pré équipement de profilés de la gamme Reynaers Aluminium, le stockage et la préparation des commandes en finition thermolaquée et anodisée . La plupart des produits proposés dans l'offre sont stockés dans les teintes blanche et «gris anthracite, permettant de livrer partout en France sous un délai de 8 jours. Afin de gagner en réactivité, les activités de stockage des profilés bruts seront centralisées en 2022 dans les usines de thermolaquage et d'anodisation du groupe en Belgique. Un bâtiment conçu pour améliorer les conditions de travail et réduire les coûts énergétiquesSoucieux de créer un cadre de travail agréable et sécurisant pour les salariés, le bâtiment s'est doté de nouveaux espaces favorisant l'échange entre le personnel administratif et la production. Pour gagner en confort d'été et minimiser les transferts de température toute l'année vers l'intérieur, la toiture de la nouvelle surface logistique est équipée du système CoolRoof (Soprema) limitant la température de surface à 42° durant les fortes chaleurs (72° pour une toiture traditionnelle). Conçue pour recevoir en 2022 des panneaux photovoltaïques, l'installation permettra de réduire de 14% la consommation électrique et d'ouvrir une partie du bâtiment à l'auto consommation. Une attention particulière a été portée également sur le traitement de l'éclairage avec LED, ce qui permet de renforcer le bien-être au travail et de diminuer de 11% la consommation électrique de l'ensemble du bâtiment.Un engagement au quotidien pour répondre aux enjeux environnementauxSensible aux enjeux environnementaux actuels et à venir, ce projet s'inscrit pleinement dans la démarche que le groupe Reynaers mène depuis plusieurs années visant à réduire son impact carbone.Grâce à cette nouvelle chaîne logistique optimisée, le groupe Reynaers diminue significativement les étapes de transports entre les différentes unités et renforce son engagement dans la protection de l'environnement. Les nouvelles installations ont permis de concentrer également les efforts sur la réduction des déchets et notamment sur la mise en place de nouveaux modes d'emballage des commandes clients. Grace à l'utilisation de films recyclables et de civières spécialement conçues pour garantir la qualité des produits transportés, la consommation de carton a été réduite de 50%, avec un objectif de -70% sur les prochaines années.Le Groupe Reynaers, acteur économique de la région PicardieLe site de Brouchy emploie 93 personnes dont 53 permanents et 40 salariés intérimaires permettant de s'adapter avec souplesse et efficacité aux pics d'activité de plus en plus réguliers. En se dotant de cette extension de 5.400m², Reynaers Aluminium et Forster affichent de belles perspectives laissant entrevoir un renforcement de ses activités économiques au plan local et national.
Il y a 3 ans et 5 jours

Ôm2c et Chablais Habitat lancent « Les Balcons du Lyaud » : un programme de 40 logements sur les hauteurs de Thonon-les-Bains

Située au cœur du village Le Lyaud – à deux pas de la mairie, de l’église, de la micro crèche, du cabinet médical et de l’école primaire – la résidence compte 40 logements (du T2 au T4) organisés en 2 bâtiments qui s’élèvent sur 3 étages pour une surface habitable totale de 2.805 m². Mitoyenne, mais sans vis-à-vis de la résidence Odelia pour seniors, que le Groupe em2c a livrée en 2021, elle bénéficie de la sérénité de son emplacement et tire parti d’un cadre naturel et d’une orientation favorable à un réel confort.La grande majorité des logements ont des vues dégagées soit sur les champs voisins soit sur le Lac Léman au lointain, ainsi que sur les collines environnantes. De larges ouvertures dans toutes les pièces permettent à la lumière naturelle d’irradier les intérieurs pour le bien-être des occupants. Ces espaces se prolongent tous sur des Rez-de jardin, des terrasses ou des balcons généreux.L’architecture, signée par Yohann Forel du cabinet Thononais 58 bis, est simple et traditionnelle dans le respect des codes architecturaux de la région. Les constructions sont couvertes de vastes toits en pente avec des débords qui protègent tant les balcons que les pieds de façade. Durables et d’entretien facile, les matériaux sélectionnés renforcent le caractère recherché et l’intégration de la résidence dans son environnement.Les extérieurs comptent une part importante d’espaces végétalisés, qu’ils soient des jardins privatifs ou des espaces communs à la résidence. Tous participent à la qualité visuelle générale du lieu mais aussi à la qualité de l’air et à la réduction des surchauffes estivales. Les prestations sont soignées, en termes d’esthétique, de confort thermique et d’usage. Chaque appartement offre des volumes fonctionnels et généreux où chaque m² est valorisé. Les équipements ont quant à eux et rigoureusement sélectionnés pour un quotidien confortable et facilité (volets roulants électriques, double vitrage, revêtement stratifié dans les chambres et carrelage dans les pièces de vie, serrure sécurisée des portes palières. Les stationnements sont en sous-sol (certains boxés).La commercialisation des logements vient de commencer. Cette opération est menée en co-promotion avec Chablais Habitat (promoteur à Thonon-les-Bains). Les travaux sont programmés en juin 2022 pour une livraison envisagée au 1er trimestre 2024.Avec Les Balcons du Lyaud, ôm2c propose un nouveau programme accessible et en phase avec les attentes et les nouveaux usages des familles en matière de logement. öm2c poursuit sa progression sur le marché de l’immobilier résidentiel.
Il y a 3 ans et 6 jours

Estelle Breillat devient déléguée du SNBPE et du SNPB Grand Ouest

Portrait d’Estelle Breillat, nouvelle déléguée régionale Grand Ouest du SNBPE et du SNPB. [©SNBPE] Le SNBPE et le SNPB nomment Estelle Breillat, au poste de déléguée régionale Grand Ouest. Ainsi, elle sera en charge de l’animation syndicale pour les régions Bretagne, Centre &#8211; Val de Loire et Pays de la Loire. Avec 20 ans d’expérience dans le domaine du BTP, et particulièrement dans le béton acquise chez Edycem, Estelle Breillat aura pour mission de garantir les intérêts de la profession et de valoriser les engagements du secteur. Tout en continuant de renforcer les relations entre adhérents et syndicat. « Outre l’animation du réseau des adhérents, mes motivations vont se concentrer sur les enjeux, notamment environnementaux, qui concernent notre secteur d’activité. Et, dans cette optique, apporter conseils, prescriptions et outils d’accompagnement à nos professionnels, afin de relever et gérer ces défis », témoigne Estelle Breillat. Par ailleurs, elle a déjà participé à divers commissions techniques et groupes de travail pour le SNBPE. Son parcours Diplômée de l’Institut universitaire scientifique et technique, ainsi que d’un BTS Travaux publics, Estelle Breillat a terminé son parcours par une formation en management chez Audencia. En 2007, elle intègre le groupe Herige au poste de chef marché béton. Après 6 ans, elle rejoint Edycem en tant que directrice qualité développements produits. Elle y a coordonné les travaux d’une chaire de Recherche et Développement avec l’école d’ingénieurs Centrale Nantes. Depuis 2010, Estelle Breillat est membre d’un groupe d’experts au sein du CSTB, dont les travaux portent sur les procédés de mise en œuvre des revêtements.
Il y a 3 ans et 6 jours

FCBA &amp; Würth France associent leurs expertises

FCBA et Würth France: des objectifs et ambition partagés, autour de la R&D FCBA organise ses activités autour d’une double mission : promouvoir l’innovation technologique et participer à l’amélioration du rendement et à la garantie de la qualité dans les filières industrielles forêt-bois et ameublement. L’acquisition et la diffusion d’une information scientifique et technique fiable et éprouvée, associées à l’enjeu prioritaire du déploiement efficace de l’innovation, constituent l’une de ses trois grandes orientations stratégiques. FCBA se positionne comme un partenaire privilégié des entreprises, à l’écoute de leur environnement technique et économique, pour les aider à intégrer les innovations technologiques et s’adapter à l’évolution rapide des marchés. C’est dans ce contexte qu’il se rapproche aujourd’hui de Würth France, spécialiste des systèmes d’assemblages, de liaisons et de renforcement dans le domaine de la construction bois, béton et métallique. Würth France souhaite en effet accélérer ses développements technologiques autour de différents enjeux : compréhension et modélisations des systèmes d’assemblages structurels complexes, en particulier ceux combinant plusieurs matériaux ; accompagnement de l’innovation en lien, notamment, avec l’intégration de procédés industriels dans un contexte de modélisation numérique de la construction ; développement d’outils d’aide à la conception… Les deux acteurs renforcent ainsi leur collaboration, dans le cadre de leurs activités liées à la construction et l’agencement, autour du matériau bois.Partenariat FCBA –Würth France : orientations & programmationLe partenariat engagé s’articulera autour de 2 axes principaux :Identification de sujets prioritaires pour le marché, permettant de définir et engager des programmes de R&D collaboratifs directement utiles au développement et à la commercialisation, à moyen terme, de solutions et réponses techniques concrètes ;Partage et déploiement de connaissances techniques et scientifiques ainsi acquises, au service du développement de la filière bois.Plusieurs typologies de travaux seront pour cela mises en œuvre, tout au long du partenariat programmé sur 3 ans. Ainsi par exemple :En termes d’accompagnement technique à la définition d’axes de R&D collaboratifs : au-delà d’une interaction constante avec FCBA en termes de veille technologique, Würth France pourra plus largement contribuer à des projets de R&D portés par FCBA, via la fourniture de matériel et échantillons… ;En termes de partage d’informations et d’expertises, au service de la filière : FCBA proposera à Würth France de participer aux groupes de travail spécifiques intégrant des thématiques en lien avec les projets de R&D portés en collaboration. À l’inverse, Würth France pourra remonter à FCBA son expertise terrain, enrichissant ainsi les projets d’un retour d’expérience particulièrement utile pour fiabiliser les connaissances techniques nouvellement acquises.
Il y a 3 ans et 7 jours

Bilan positif pour le salon GIC/Italian Concrete Days

Les GIC/Italian Concrete Days ont réuni plus de 5 000 visiteurs sur 3 j. [©GIC/Italian Concrete Days] La 4eédition des GIC/Italian Concrete Days vient de s’achever sur une note très positive. Avec 5&nbsp;000 visiteurs confirmés, 234 exposants présents sur 15&nbsp;000 m2de foire, 8 conférences organisées et 27 prix décernés, le plus grand salon européen du béton a tenu toutes ses promesses.&nbsp; Organisés tous les deux ans, les GIC/Italian Concrete Days se sont déroulés du 28 au 30 avril dernier, à Piacenza, ville située dans le Nord de l’Italie sur l’axe Milan &#8211; Bologne. La sécurité au travail, l’éco-durabilité et l’innovation en ont été les thèmes fédérateurs. « Cette 4eédition peut être considérée comme celle du redémarrage d’un salon important, dans lequel les acteurs du secteur ont retrouvé l’enthousiasme, dont ils avaient manqué durant la pandémie du Covid. Chacun d’entre nous a pu constater la grande passion qui a uni exposants et visiteurs pendant toute la durée de ce salon »,constate Fabio Potestà, directeur de Mediapoint & Exhibitions, organisateur des GIC/Italian Concrete Days. Et de poursuivre : « C’est le même enthousiasme que j’ai vu lors de la cérémonie des Italian Concrete Technology Awards. Ces prix qui récompensent les entreprises et professionnels italiens du secteur du béton qui se sont distingués au cours des 36 derniers mois. » Rendez-vous en 2024 La présence de visiteurs et d’acteurs du béton étrangers a été particulièrement importante pour l’organisateur, confirmant le rôle croissant des GIC/Italian Concrete Days dans le panorama européen des salons. Un grand succès a aussi été remporté par la formule inédite “GIC by Night”. Il s’agissait d’un programme spécial de soirées dédié aux exposants et à leurs invités&#8230; «&nbsp;Cette édition se clôt sur un bilan très positif quant à la qualité des visiteurs, en majorité des acteurs de la “supply chain” du béton,&nbsp;reprend Fabio Potestà. Une satisfaction croissante, si l’on considère le moment économique très particulier pour l’ensemble de la filière. Je ne peux donc que remercier tous les exposants et, en même temps, promettre que nous continuerons à faire plus et mieux pour améliorer notre événement.&nbsp;»D’autant que la 5eédition est déjà annoncée pour 2024, toujours au Piacenza Expo. Mais avec des dates qui restent encore à préciser, pour éviter les chevauchements avec d’autres événements reportés à cause du Covid et/ou à la suite du conflit en cours entre la Russie et l’Ukraine.
Il y a 3 ans et 7 jours

Lois "Anti-gaspillage pour une économie circulaire" et "Climat et Résilience" : des textes d'application importants ont été publiés

Depuis leur promulgation, de nombreux décrets ayant un impact direct sur le quotidien des Français ont été publiés, dont plusieurs importants ces dernières semaines.Une responsabilité plus importante des producteursRéduction, réutilisation et recyclage les emballages en plastique à usage uniqueLe décret n° 2022-549 du 14 avril 2022 acte la stratégie nationale pour la réduction, la réutilisation, le réemploi et le recyclage des emballages en plastique à usage unique dite « Stratégie 3R », qui vise à :définir les actions à mettre en place par les entreprises, les collectivités territoriales, les éco-organismes et l’Etat pour atteindre les objectifs définis par le décret 3R d’ici 2025 : 20 % de réduction dont au moins la moitié atteinte par le recours au réemploi, tendre vers 100 % de recyclage et donc un objectif que tous les emballages en plastique à usage unique soient recyclables en 2025, et tendre vers l'élimination totale des emballages inutiles. La stratégie prévoit notamment l’élaboration par chaque grande filière de feuilles de route sectorielles 3R, qui pourront bénéficier d’un financement spécifique dans le cadre du plan de relance ;dresser les perspectives et problématiques à l'horizon 2040 concernant l'objectif de la fin de la mise en marché des emballages en plastique à usage unique.Développement des emballages réemployés mis sur le marchéLe décret n° 2022-507 du 8 avril 2022 définit la trajectoire minimale d'emballages réemployés à mettre sur le marché annuellement en France pour la période 2023-2027 afin d'atteindre les objectifs fixés par la loi AGEC et viser ainsi 10% d'emballages réemployés en 2027. Il précise également comment les producteurs participeront à cet objectif, en s'appuyant notamment sur les éco-organismes des filières à responsabilité élargie des producteurs (REP) et en mobilisant un fonds de développement de solutions de réemploi et réutilisation des emballages de près de 50 M€/an.Verdissement des véhicules utilisés dans la mise en relation par des plateformes de livraisonLe décret n° 2022-474 du 4 avril 2022 prévoit l'obligation pour les plateformes de livraison de plus de 50 travailleurs de respecter une part minimale, croissante dans le temps, de véhicules à très faibles émissions à deux ou trois roues, vélos et vélos à assistance électrique.L’objectif est d’atteindre 100% de véhicules à très faibles émissions d’ici 2030. Pour la mise en relation, à partir de juillet 2023 et jusqu’à fin 2024, la part de vélos, vélos à assistance électrique, et véhicules motorisés à très faibles émissions à deux ou trois roues devra atteindre au moins 20%. Cette transition se poursuit sur les années suivantes : 50% à partir de 2025, 80% à partir de 2027 et 100% à partir de 2030.Lancement de l'expérimentation "Oui Pub" le 1er mai 2022Afin de tendre vers une publicité moins subie et de réduire le gaspillage, l'article 21 de la loi Climat et Résilience prévoit la possibilité d'expérimenter le dispositif « Oui Pub », visant à restreindre la distribution d'imprimés publicitaires non adressés aux seuls ménages ayant explicitement indiqué de manière visible sur la boîte aux lettres leur volonté de les recevoir.Treize collectivités territoriales ou groupements de collectivités territoriales prendront part à cette expérimentation entre 2022 et 2025 (cf. décret n°2022-764). La restriction de diffusion des imprimés publicitaires sans adresse (IPSA) sera effective à partir du 1er septembre 2022, après un délai assurant la bonne information des habitants des collectivités concernées et la distribution des autocollants « Oui Pub », en étroite concertation avec les acteurs économiques locaux. La liste des treize territoires concernés est fixée dans le décret n°2022-765. Deux autres territoires, Troyes Champagne Métropole et la Communauté urbaine de Dunkerque Grand Littoral, rejoindront l’expérimentation une fois leur programme local de prévention des déchets ménagers voté, pour un démarrage de la phase d’information le 1er décembre 2022 et de la phase de restriction de distribution le 1er février 2023.Un comité de pilotage associant l’ensemble des collectivités et entreprises concernées sera prochainement mis en place sous la présidence de l‘Ademe. Un comité d’évaluation sera également institué afin d'évaluer l'impact de l’expérimentation sur la production et le traitement des déchets papier, ses conséquences sur l'emploi, sur les secteurs d'activités concernés, sur les comportements des consommateurs, mais aussi sur les éventuelles difficultés de généralisation d'une telle mesure.Obligation de compensation des émissions de gaz à effet de serre (GES) des vols domestiquesLa loi Climat et Résilience a instauré l’obligation d’une compensation progressive des émissions de gaz à effet de serre des vols domestiques pour les exploitants d’aéronefs soumis au Système d’échange de quotas d’émission de l’UE (SEQE-UE) sous peine de sanction. A l’heure actuelle, les vols entre la métropole et les départements et régions d’outre-mer ne sont pas soumis au SEQE-UE. Pour l’année 2022, les exploitants doivent compenser 50% de leurs émissions, ce sera 70% en 2023 et l’ensemble de leurs émissions dès 2024.Le décret n° 2022-667 du 26 avril 2022 fixe l’obligation pour les exploitants d’aéronefs générant plus 1 000 tonnes de CO2 par an sur le territoire national de transmettre au ministère de la Transition écologique une déclaration portant sur les émissions de l'année précédente ainsi qu‘un rapport de compensation justifiant les réductions et séquestrations de ces émissions déclarées. Le pourcentage minimum d’émissions réduites ou séquestrées par des projets situés dans l’Union européenne est fixé à 20% pour les émissions de 2022, 35 % pour les émissions de 2023, 50% pour les émissions de 2024. Une clause de revoyure est prévue en 2024 pour fixer l’évolution de la trajectoire à partir de 2025.Interdiction des terrasses chaufféesL’interdiction des terrasses chauffées, fixée au 1er avril 2022 par la loi Climat et Résilience, vise à mettre fin au gaspillage d’énergie consistant à chauffer l’air extérieur. Fruit d’une concertation étroite et constructive avec les fédérations de professionnels et des collectivités, le décret du 30 mars 2022 permet de créer des dérogations encadrées, notamment pour les terrasses hermétiquement fermées (fermées, étanches à l’air et avec des parois latérales rigides). Le décret crée par ailleurs une sanction pécuniaire en cas d’infraction, visant à apporter une réponse graduée pour les contrevenants.Une accélération de la transition énergétiqueRéduction des émissions de particules du chauffage au bois domestiqueSi les bûches de bois ou les granulés de bois sont une source d’énergie renouvelable, leur utilisation dans de mauvaises conditions leur combustion peut générer une part significative de la pollution aux particules fines. Celles-ci ont un fort impact sur la santé humaine, puisqu’elles sont responsables de 40.000 décès prématurés par an selon les estimations de Santé Publique France.Le décret n° 2022-446 du 30 mars 2022, publié en application de la loi Climat et Résilience, garantit une meilleure information des consommateurs. La qualité du combustible utilisé, notamment son taux d’humidité, et son utilisation ont une forte influence sur la quantité de particules émises et le rendement énergétique de la combustion. La connaissance par les usagers de ces enjeux demeure cependant faible.Le décret fixe les modalités d’informations générales sur les conditions appropriées de stockage et d’utilisation que les distributeurs devront fournir lors de la vente à des utilisateurs non professionnels. Une information devra ainsi être réalisée sur le lieu de vente et sur la facture, s’agissant de la nature du combustible utilisé et de son taux d’humidité. De plus, des recommandations sur le stockage ainsi que des informations générales sur l’impact d’un combustible de mauvaise qualité sur la qualité de l’air et la consommation énergétique devront être fournies par le distributeur.Évolution des règles de classement des réseaux de chaleur et de froidEn application de la loi Climat et Résilience, le décret n° 2022-666 du 26 avril 2022 fait évoluer les règles de classement des réseaux de chaleur et de froid. Ces réseaux sont appelés à se développer massivement pour faire face aux enjeux majeurs du réchauffement climatique et pour l'atteinte de la neutralité carbone à horizon 2050.Ce décret permet de faciliter le classement pour favoriser leur développement dans des périmètres prioritaires, et ainsi encourager les collectivités territoriales à poursuivre le développement des énergies renouvelables et la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Ce classement permet d’imposer, sauf dérogation, le raccordement au réseau de chaleur ou de froid des bâtiments neufs ou remplaçant une installation de chauffage ou de refroidissement d'une puissance supérieure à 30 kilowatts, situés dans le périmètre de développement prioritaire du réseau. Par ailleurs, un arrêté listant les réseaux concernés à partir du 1er septembre 2022 a été publié.Certificats de production de biogaz par les fournisseursLes fournisseurs de gaz naturel auront désormais l’obligation de contribuer à la production de biogaz. Les fournisseurs de gaz naturel pourront s’acquitter de cette obligation soit en produisant directement du biogaz injecté dans un réseau de gaz naturel, soit en acquérant des certificats auprès de producteurs de biogaz. Ce dispositif, précisé dans le décret n° 2022-640, permet ainsi aux producteurs de biogaz de disposer d’un revenu associé à la commercialisation des certificats de production de biogaz, venant s’ajouter au revenu de la vente physique du biogaz.Une meilleure information du consommateurInformation du consommateur sur les qualités et caractéristiques environnementales des produits générateurs de déchetsLe décret n° 2022-748 du 29 avril 2022 mettant en application l'article 13 I de la loi AGEC encadre désormais les allégations environnementales des metteurs sur le marché et rend obligatoire l’information du consommateur sur certaines caractéristiques environnementales des produits achetés. Cette information sera donnée sous la forme d’une fiche produit des qualités et caractéristiques environnementales, sous forme dématérialisée, accessible au moment de l'acte d'achat.Ce dispositif d'affichage dématérialisé permettra à partir de 2023 au consommateur de connaitre, selon les catégories de produits et pour chaque modèle, leur proportion de matière recyclée, leur recyclabilité, la présence de substances dangereuses, de métaux précieux ou de terres rares, ou encore leur compostabilité ou leur caractère réemployable. Pour les textiles, deux informations supplémentaires seront obligatoires : la traçabilité géographique des 3 grandes étapes de fabrication (tissage, teinture, assemblage/finition) ainsi qu'un avertissement pour les textiles majoritairement synthétiques qui rejettent des fibres micro plastiques lors du lavage.Par ailleurs, le texte reprend et précise l'interdiction déjà prévue par la loi d'utilisation, pour tout produit ou emballage, de l'allégation « biodégradable », « respectueux de l'environnement » ou toute autre allégation similaire.Extension de l'indice de réparabilité à 4 nouvelles catégories de produitsL’indice de réparabilité, note sur 10 obligatoire, sera visible, dans un délai de six mois, sur 4 nouvelles catégories de produits, à savoir les lave-linges « top » (à chargement par le dessus), les lave-vaisselles, les aspirateurs et les nettoyeurs haute pression. Ils viennent ainsi s’ajouter aux téléphones mobiles, ordinateurs portables, téléviseurs, lave-linge hublot et tondeuses à gazon qui étaient déjà concernés par l’indice de réparabilité depuis 2021. Les tablettes ne figurent pas dans cette liste, car elles vont prochainement faire l'objet d'un indice de réparabilité européen.Encadrement des allégations de neutralité carboneA compter du 1er janvier 2023, il sera interdit aux annonceurs d'affirmer dans une publicité qu'un produit ou service est « neutre en carbone » sans présenter un bilan des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie du produit ou service, la trajectoire de réduction prévue des émissions, ainsi que les modalités de compensation des émissions résiduelles. Ces éléments devront être facilement accessibles pour le public et mis à jour tous les ans.Ce dispositif, prévu à l'article 12 de la Loi Climat et Résilience, vise à garantir une information complète du public sur les allégations « neutre en carbone » et permettra de renforcer progressivement les engagements des annonceurs tout en luttant contre « l’éco-blanchiment » (cf. décrets n° 2022-538 et 2022-539).Publication des premiers « contrats climat » dès le 15 juillet 2022En application de l’article 7 de la loi Climat et Résilience, le ministère de la Transition écologique a lancé, le 25 avril dernier, une plateforme numérique sur laquelle les entreprises soumises à des obligations d'affichage environnemental doivent se déclarer. Toutes les entreprises volontaires peuvent également y souscrire un « contrat climat communications commerciales et transition écologique ». Ces contrats visent à réduire les communications commerciales relatives à des produits ou des services ayant un impact négatif sur l'environnement, mais aussi à favoriser la transparence de la publicité et l’engagement des annonceurs, médias, plateformes, agences et régies pour la transition écologique.La liste des acteurs ayant souscrit un « contrat climat » sera publiée le 15 juillet de chaque année et leurs contenus seront rendus publics. Par ailleurs, la plateforme dévoilera la liste des entreprises assujetties à une déclaration mais ne l'ayant pas réalisée, ainsi que la liste des entreprises s’étant déclarées mais n’ayant pas souscrit un contrat climat (cf. décret n°2022-616).Un prêt à taux zéro pour financer l’acquisition de véhicules propres expérimenté de 2023 à 2025 dans certaines zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m)Le décret n° 2022-615 du 22 avril 2022 définit les modalités de l’expérimentation, débutant le 1er janvier 2023, d’un prêt à taux zéro pour l’acquisition de véhicules neufs ou d'occasion, électriques ou hybrides rechargeables, dans, ou à proximité, des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) en dépassement régulier des normes de qualité de l’air. Les particuliers ainsi que les microentreprises seront éligibles à ce prêt sous conditions de ressources.Le montant du prêt ne pourra pas excéder le coût d’acquisition du véhicule, aides publiques déduites, et sera plafonné à 30.000 € dans le cas d’un achat et 10.000 € dans le cas d’une location. Il sera cumulable avec les aides à l’acquisition de véhicules peu polluants (bonus écologique et prime à la conversion). Dans l’attente des données locales sur la qualité de l’air en 2022, sont éligibles au dispositif les ZFE-m de Paris et des Métropoles du Grand Paris, de Lyon, d’Aix-Marseille et de Rouen.Protection et préservation des espaces menacésRéduction de l’artificialisation des solsDans le cadre des objectifs d'atteinte du « zéro artificialisation nette des sols », le décret n° 2022-763 du 29 avril 2022 précise les critères des surfaces considérées comme artificialisées ou non artificialisées. Ces surfaces sont appréciées compte tenu de l’occupation des sols observée, qui résulte à la fois de leur couverture mais également de leur usage. Cette appréciation est réalisée en fonction de seuils de référence, qui seront définis par un arrêté du ministre en charge de l’urbanisme et révisés autant que de besoin en fonction de l’évolution des standards du Conseil National de l’Information Géographique.Le décret n° 2022-762 du 29 avril 2022 permet de préciser le contenu des objectifs et des règles du SRADDET (schémas régionaux d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) en matière de gestion économe de l'espace et la lutte contre l’artificialisation des sols. Il permet notamment de fixer les modalités de la déclinaison infrarégionale des objectifs d'atteinte du « zéro artificialisation nette des sols ».Prise en compte du risque de déforestation importée dans les achats de l’EtatL'article 272 de la loi Climat et Résilience fixe pour objectif aux acheteurs de l’Etat - ceux des services centraux comme ceux des services déconcentrés - de ne plus acheter de biens ayant contribué directement à la déforestation, à la dégradation des forêts ou à la dégradation d'écosystèmes naturels en dehors du territoire national.Le décret n° 2022-641 du 25 avril détaille notamment la liste des segments d’achats concernés par cette mesure et les modalités de mise en œuvre.Établissement d’une liste des communes littorales concernées par le recul du trait de côteLe décret n° 2022-750 du 29 avril 2022 établit la liste des communes dont l’action en matière d’urbanisme et la politique d’aménagement doivent être adaptées aux phénomènes d’érosion du littoral. La liste comprend 126 communes ayant délibéré favorablement à leur inscription et sera progressivement complétée au gré des expressions de volonté de communes qui souhaiteraient l'intégrer, et a minima révisée une fois tous les 9 ans.Les communes figurant sur la liste seront accompagnées par l’Etat et ses opérateurs. Elles devront intégrer avant 2026 au plus tard, une cartographie d’exposition au recul du trait de côte aux horizons 0-30 ans et 30-100 ans dans leur document d’urbanisme, sauf celles qui disposent d’un Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL) et font le choix de le maintenir. Au sein des zones d’exposition, les collectivités pourront utiliser les nouveaux outils créés par la loi Climat et Résilience (droit de préemption trait de côte, bail réel d'adaptation au changement climatique, possibilités de déroger à certaines dispositions de la loi littoral, etc.).Définition de la notion de protection forte et modalités de mise en œuvreFace à l'érosion de la biodiversité, la Stratégie nationale pour les aires protégées 2030 a pour ambition de couvrir 30% du territoire national en aires protégées dont 10% en protection forte. Le décret n°2022-527 du 12 avril 2022 vient préciser la définition de la notion de protection forte ainsi que les conditions de reconnaissance des zones de protection fortes pour les espaces terrestres et maritimes. Cette labellisation est automatique pour un certain nombre d'outils. Dans les autres cas, la reconnaissance intervient après un examen au cas par cas au regard de critères, à travers une procédure régionalisée et sur décision des ministres compétents. Mise en place du bureau « enquête accidents risques industriels » A la suite de l'accident de Lubrizol et Normandie Logistique, le Gouvernement a décidé de constituer un « bureau enquête accidents risques industriels », à l'instar des bureaux enquêtes accidents qui existent déjà pour les transports aériens et les transports terrestres. Ce bureau est en préfiguration depuis 2021. La loi Climat et Résilience, et le décret n° 2022-427 du 25 mars 2022, permettent désormais de lui donner une assise juridique, de garantir son indépendance et la qualité de ses recrutements, ainsi que les accès aux pièces et aux experts nécessaires pour ses enquêtes.
Il y a 3 ans et 7 jours

Pourquoi des éoliennes flottantes en Méditerranée ?

Pour lutter contre le réchauffement climatique et répondre à ses besoins, la France doit accroître fortement sa production électrique décarbonée d'ici 2050, ce qui implique, nucléaire ou pas, un déploiement massif des énergies renouvelables, soulignent tous les scénarios récents.Le pays, très en retard dans l'éolien en mer, compte à ce stade sept parcs "posés" dans les tuyaux, dont quatre en construction. Le premier doit démarrer en mai pour mise en service complète fin 2022, face à Saint-Nazaire.Dans le flottant, technologie non mature et donc plus chère, un premier appel d'offres commercial a été lancé mi-2021 par l'Etat, pour un parc au large de Belle-Ile-en-Mer et Groix : 250 mégawatts (MW), avant un autre de 500. En grandes profondeursA partir de 60 mètres de fond, au moins pour des raisons économiques, il faut passer au flottant. Cela permet de s'installer à plus grande distance des côtes, à moindre impact visuel, et en zones plus ventées, ce qui améliore la capacité de production.En Méditerranée, cette technique s'impose car le plancher marin descend vite.Chaque éolienne est fixée sur un flotteur maintenu par des lignes d'ancrage reliées au fond, plus ou moins tendues. La stabilité est garantie par la taille du flotteur ou par un centre de gravité très bas, expliquent les industriels.Les flotteurs des fermes pilotes vont jusqu'à 100 m de long. Ils dépendront aussi de la taille des éoliennes choisies.Car plus le diamètre de l'éolienne est grand, plus elle produit d'électricité : par exemple, un parc de 250 MW nécessite 42 éoliennes de 6 MW, mais 17 suffisent avec des modèles de 15 MW.Boom attenduAu niveau mondial, 80% du potentiel de l'éolien en mer repose sur des technologies flottantes, selon l'Agence internationale de l'énergie. En France, l'Ademe a évalué le potentiel à 16 gigawatts (GW) accessibles pour l'éolien posé et 33 GW pour le flottant.L'Europe fait figure de pionnière. Un premier parc commercial, "Hywind", a été inauguré en Ecosse en 2017, pour plus de 30 MW. Au Portugal, WindFloat Atlantic a été mis en service mi-2020: les trois plus grandes turbines au monde sur flotteur, pour 25 MW au total.Des parcs commerciaux bien plus grands s'annoncent: au large de la Corée du Sud, en face des Canaries, de l'Ecosse, dans la baie de Rosas (nord de la Catalogne)... Un autre, 7SeasMed, porté par des développeurs danois, est évoqué entre Sicile et Tunisie, où les fonds atteignent 300 m.En Méditerranée française, on attend dans l'immédiat des fermes pilotes, avec 3 éoliennes à chaque fois. C'est le projet EolMed, 30 MW à 18 km de Gruissan (Aude), attendu cette année. En 2023, ce sera les éoliennes du golfe du Lion, au large de Leucate, et Provence Grand Large face à Port Saint-Louis du Rhône.Questions environnementalesObjectif de ces sites pilotes : tester flotteurs et impacts. Mais l'Autorité environnementale, sollicitée sur Provence Grand Large, avait rendu un avis prudent : quel impact sur la biodiversité ? Ces pilotes suffiront-ils à répondre ?De nombreux participants au débat public sur l'installation d'éoliennes flottantes en Méditerranée, mer particulièrement fragile, ont pour leur part demandé un report, le temps d'étudier les effets sur l'environnement.Lundi le gouvernement a maintenu son calendrier. Tout en promettant de revoir la localisation au large de Fos en fonction d'études environnementales en cours, notamment sur les oiseaux migrateurs.Avantage industrielLa France compte plusieurs "flottoristes", comme Ideol à La Ciotat ou Eolink en Bretagne. C'était en 2020 plus de 600 emplois (5.000 pour les énergies marines dans leur ensemble), selon l'Observatoire des énergies de la mer.Les énergéticiens y voient aussi un débouché. Comme TotalEnergies qui, pour le projet pilote EolMed, a fait appel à une trentaine d'ingénieurs pétroliers experts des plateformes offshore.Lundi, le gouvernement a lancé deux appels à manifestation d'intérêt pour le développement de la filière industrielle et d'infrastructures portuaires dédiées. Objectif : "que la France devienne une nation clef" dans ce secteur, dit Matignon.Dans le cadre de France 2030, quelque 300 millions d'euros lui auront été consacrés, ajoute-t-on.EnvironnementLe développement de l’éolien ne pourra se faire que dans le plus grand respect de l’environnement. A cet effet, la création de l’Observatoire national de l’éolien en mer, annoncé par le Premier ministre en août dernier et doté de 50 millions d’euros sur trois ans, a vocation à nourrir les démarches de planification du développement à venir de l’éolien en mer et répondre aux préoccupations des acteurs, notamment en ce qui concerne les impacts sur la biodiversité marine et sur la ressource halieutique. Ses objectifs sont doubles : valoriser les connaissances existantes et lancer de nouveaux programmes d’acquisition de connaissances afin de garantir la bonne prise en compte des enjeux de biodiversité dans le déploiement de l’éolien en mer.Les travaux pour mettre en place l’Observatoire ont débuté dès l’automne 2021 et ont associé les conseils scientifiques des comités de façade. Le travail réalisé a permis d’établir un premier programme d’études pour l’Observatoire et des premières études seront menées dès 2022. Le Premier ministre a notamment annoncé le lancement d’un programme de grande ampleur sur les migrations de l’avifaune et des chiroptères sur l’arc Atlantique. Il est également prévu que l’Ifremer lance un travail de cartographie des frayères en Méditerranée.Afin de se prononcer sur l’intérêt et la qualité scientifique des études, un conseil scientifique national va être mis en place. Ce conseil sera épaulé dans son action par un comité des parties prenantes regroupant des représentants des principales ONG environnementales, de la pêche, des industriels, des énergéticiens, des élus littoraux, des associations de riverains, des services de l’Etat, etc.La filière s’engage : sur la base des premiers projets attribués, depuis 2011, une filière de l’éolien en mer s’est structurée en France, comptant déjà des implantations industrielles de premier plan et plus de 5 000 emplois à la fin de l’année 2020.Afin de favoriser la création d’emplois dans l’éolien en mer en France, il est nécessaire que soit donnée de la visibilité sur les volumes qui seront attribués dans les années à venir. Cette visibilité doit permettre aux industriels d’investir massivement en France en offrant des perspectives fortes de débouchés.L’Etat et la filière de l’éolien en mer en France s’engagent donc collectivement pour un développement massif de l’éolien en mer et de l’industrie afférente par la signature d’un Pacte éolien en mer.Dans ce pacte, l’Etat confirme son engagement pour un déploiement ambitieux de l’éolien en mer au large des côtes françaises avec un objectif d’attribution d’environ 2GW/an dès 2025 et 40 GW installés en 2050. La filière s’engage quant à elle à quadrupler le nombre d’emplois directs et indirects liés à l’éolien en mer d’ici 2035, à engager plus de 40 milliards d’euros d’investissement au cours des 15 prochaines années et à atteindre un contenu local à hauteur de 50 % sur les projets.
Il y a 3 ans et 7 jours

La RE2020 révèle peu à peu ses travers en logements collectifs neufs

En collectif neuf, la RE2020 n’aime pas les balcons, ne fait pas attention à la qualité de l’air intérieur et défavorise les logements traversants. On se demande bien pourquoi.
Il y a 3 ans et 7 jours

La mairie de Créhen obtient le « Certificat Équivalent Bouteilles Recyclées » délivré par Polieco France pour son engagement dans l’économie circulaire

La mairie de Créhen voit aujourd’hui ses efforts récompensés en obtenant le « Certificat Équivalent Bouteilles Recyclées » créé et délivré par Polieco, l’une des entreprises leaders en Europe dans la fabrication et la vente de tubes annelés double paroi en polyéthylène haute densité.La préservation de l’environnement est aujourd’hui une priorité. Consommation raisonnée des ressources, de matériaux et d’énergies, mise en place de pratiques qui génèrent moins de gaz à effet de serre, gestion et recyclage des déchets… représentent des enjeux majeurs pour les années à venir.Cette prise de conscience conduit aujourd'hui les collectivités à agir en faveur de l’environnement. C’est notamment le cas de la mairie de Créhen qui s’est engagée dans une approche écoresponsable visant à privilégier des projets verts intégrant une démarche de développement durable.Dans le cadre de ces travaux initiés en avril 2021, Polieco France a fourni des tubes réalisés en 100% PEHD recyclé issu du tri sélectif des Français. A faible empreinte carbone et 100% recyclables, ces tubes sont également reconnus pour d’autres atouts et qualités, notamment leur résistance, étanchéité, légèreté et longévité (avec une garantie de 30 ans).La mairie de CRÉHEN s’engage dans des chantiers plus respectueux de l’environnementLa commune conduit depuis plusieurs années de nombreuses actions structurantes qui témoignent d’une dynamique de développement durable intégrée dans l’ensemble de ses politiques publiques avec des démarches structurées et en cohérence avec les enjeux du territoire. Le champ environnemental s’inscrit de plus en plus dans une approche territoriale de développement, au-delà d’une approche environnementale relevant du seul volet réglementaire.Avec la volonté de poursuivre son action en faveur du développement durable, la commune de Créhen a fait le choix de plébisciter la solution proposée par Polieco France qui s’inscrit ainsi dans une démarche environnementale globale.Pour Jean-Luc BOURSEUL, responsable des services techniques de la mairie de Créhen : « Nous sommes en recherche permanente de solutions respectueuses de l’environnement pour aménager le territoire de manière durable et responsable. La question environnementale est prise en compte aux différentes étapes du projet. Plusieurs facteurs ont permis de retenir les tubes de Polieco France proposés par Frans Bonhomme, notamment le prix et la technicité du produit. L’aspect environnemental a quant à lui été déterminant. Les tubes constituaient ainsi le choix le plus évident car ils répondaient à tous ces critères. »Le « Certificat Équivalent Bouteilles Recyclées » pour témoigner de l’engagement de la mairie de CRÉHENToujours soucieuse de la préservation des ressources et engagée durablement dans la production de matériaux de construction en plastique recyclé, Polieco France fabrique et commercialise, depuis près de 20 ans, des tubes réalisés en 100% polyéthylène recyclé issu de la collecte sélective. Bouteilles de lait, de shampoing et bidons de lessive connaissent ainsi une seconde vie.Fort d’un partenariat de plus de 20 ans entre Paprec et Polieco France, le leader du recyclage garantit la fourniture d’un PEHD exclusivement issu de la collecte sélective des Français pour la production de la gamme de tubes annelés ECOBOX/FLOWRAIN et des drains ECODREN de Polieco.Polieco France est désormais en mesure de délivrer à la demande de collectivités, mairies, bureaux d’études, entreprises de pose… le « Certificat Équivalent Bouteilles Recyclées ».Ce dernier atteste que les tubes, utilisés dans le cadre de leurs chantiers, sont constitués de PEDH recyclé, issu uniquement de la collecte sélective française, et fait un lien entre la quantité de tube installée et le nombre de bouteilles PEHD recyclées.Pour Nicolas VOLLERIN, directeur technique et communication de Polieco France: « Ce certificat véhicule un message à la fois informatif - sur la finalité des gestes citoyens de chacun - et très positif et encourageant pour le grand public. Cela signifie concrètement que le tri a un impact et que lorsque les bouteilles plastiques PEHD sont collectées, triées et recyclées, elles ne sont pas enfouies ou incinérées mais ont une seconde vie. »Pour Jean-Luc BOURSEUL, responsable des services techniques de la mairie de Créhen : « Ce certificat a été présenté à une commission environnement où il a été accueilli favorablement. Nous sommes très fiers de constater que nos engagements en faveur du développement durable sont récompensés. Cela nous permettra de communiquer auprès des citoyens et contribuera à changer l’image du secteur de la construction et des TP. »
Il y a 3 ans et 10 jours

En forêt de Bercé (Sarthe), les chênes volent pour préserver la terre

Au bout d'une parcelle déboisée, non loin d'une route forestière, un opérateur fixe un câble sur le tronc d'un chêne fraîchement coupé. Puis un chariot tire l'énorme grume de plusieurs tonnes, le long d'un câble de 400 mètres de long, perpendiculaire à la route.Soulevée du sol, la grume est tractée dans un bruit assourdissant avant de venir chuter au bord de la route, au pied du câble-mât.D'habitude utilisée en montagne, la technique du débardage par câble a fait cet hiver son apparition en forêt de Bercé, réputée pour ses chênes d'exception."sols sensibles""On démocratise le débardage par câble en forêt de plaine sur des sols sensibles", souligne Brice Gaumont, technicien forestier territorial à l'office national des forêts (ONF)."Actuellement il pleut, les sols sont un peu gorgés d'eau, cette technique est adaptée pour ne pas abîmer les sols et les tasser", ajoute-t-il.En cette fin d'hiver, le débardage par tracteur forestier est impossible, sauf à entraîner de fortes dégradations du sol."Un sol qui est tassé n'est plus arable, on ne peut plus faire de forêt sur un sol tassé", explique encore le technicien forestier. Un tel sol "va mettre des dizaines, des centaines, des milliers d'années à se restructurer pour être à nouveau arable et faciliter la pénétrabilité des racines en terre".Or, "notre gagne-pain, c'est la forêt. La forêt si on veut qu'elle pousse, il ne faut pas qu'on abîme nos sols", confesse M. Gaumont. Et puis sur cette zone humide, "les engins s'embourberaient facilement", pointe Thierry Brun, câbliste venu du Puy-de-Dôme avec sa grande barbe grise."chantiers tests"A contrario, attendre l'été pour débarder peut avoir des conséquences sur la qualité du bois, et donc sur son prix, pour des grumes qui se vendent jusqu'à 15.000 euros et dont plusieurs ont été envoyées sur le chantier de reconstruction de Notre-Dame-de-Paris."Des insectes vont pondre leurs larves dans le bois, faire des galeries et l'abîmer. Les champignons se développent et ça altère la qualité du bois", décrit le technicien forestier.L'enjeu est d'autant plus fort à Bercé, forêt réputée pour ses futaies de chênes dont certaines ont plus de 200 ans.Déjà expérimenté à la Forêt du Gâvre (Loire-Atlantique) et Saint-Aubin-du-Cormier (Ille-et-Vilaine), le débardage par câble reste cependant réservé à des secteurs sensibles en plaine."Ce sont des chantiers tests", explique Bruno Cochet, responsable service bois Bretagne et Pays de la Loire à l'ONF. "C'est intéressant pour entretenir la profession de câbliste, un réseau d'entrepreneur spécialisé qui ne peut pas travailler en hiver car il y a de la neige".Il confirme que la technique "se développe sur la moitié ouest de la France alors qu'(elle) était extrêmement rare auparavant".
Il y a 3 ans et 10 jours

Sergic annonce le développement de son activité d’administrations de biens au Maroc

Après un développement réussi au Canada, le groupe SERGIC franchit une étape supplémentaire dans son développement à l’international avec la création d’une joint-venture spécialisée dans l’administration de biens au Maroc.Accompagner le développement du secteur immobilier marocain, c’est dans cette perspective que Biben est né.Pour Emilie d’Avout, Partner et Co-Head de Yamed Promotion au sein de Yamed Group : « En tant qu'investisseur et promoteur immobilier, nous sommes très sensibles à l’importance des métiers de l’administration de biens et à leur impact sur la qualité de vie de nos clients et sur la valorisation de leur patrimoine. La création de Biben traduit ainsi la volonté de Yamed Group de contribuer au développement de ces métiers cruciaux dans la chaîne de valeur immobilière. Avec l’appui d’un partenaire international, Biben propose un service de syndic professionnel aux meilleurs standards. En complément, Biben assure également des services de gestion locative pour accompagner nos clients dans la gestion de leur investissement s’ils ne souhaitent pas occuper leur bien. »Une équipe d’experts dédiéeS’appuyant sur l’expertise métier de Sergic et sur le savoir-faire de Yamed Group sur l’ensemble de la chaîne de création de valeur immobilière, Biben entend redéfinir les codes de la gestion de copropriétés en y apportant proximité, transparence et innovation. L’entreprise bénéficiera ainsi de l’expérience de 60 ans de Sergic dans l’administration de biens, doublée de la compétence de près de 1.000 collaboratrices et collaborateurs et de solutions technologiques de pointe.Nicolas Milhe, Directeur Général Délégué du groupe Sergic, et notamment en charge du développement de Sergic à l’international, assurera la direction générale de Biben. Ce professionnel de plus de 25 ans d’expérience dans le digital et l’immobilier, ancien dirigeant d’IBM Services Center et diplômé de Télécom Paris Sud et de Sciences Po Paris ; déclare que « les synergies avec Yamed Group, de par sa maîtrise de l’ensemble de la chaine de valeur immobilière, permettront de pérenniser le développement à l’étranger de Sergic, tout en plaçant les usagers des services de Biben au cœur de son approche, à travers la création d’une offre de premier plan. » La direction générale déléguée de Biben a été confiée à Dalila Ennaciri, fondatrice de la société de syndic professionnel Gestis, acteur majeur du secteur au Maroc. En intégrant Biben, Dalila apportera, en plus de sa maîtrise du métier, une grande connaissance du marché marocain et de son contexte économique, social et juridique. Camal Adda Ali, directeur opérationnel de Biben complète l’équipe de direction et apportera son expertise de plus de 15 ans dans l’administration de biens en France, où il gérait près de 120 immeubles et plus de 8.000 logements.Une gestion sur mesure, moderne et innovanteEn complément de la gestion de copropriété, Biben propose également une offre de gestion locative et un accompagnement sur mesure, allant de la recherche de locataires à l’optimisation de la rentabilité locative, en passant par l’entretien des biens, le recouvrement des loyers et la gestion des impayés et des contentieux. L’entreprise mise sur l’innovation pour offrir une prestation aux meilleurs standards et met un accent particulier sur le digital pour garantir l’optimisation de l’expérience client, notamment à travers une application mobile offrant une gestion transparente et autonome et une communication efficace et en temps réel. Le lancement de Biben fait suite à l’annonce de Yamed Group en novembre 2021 de restructurer ses activités autour de quatre pôles métiers distincts et complémentaires, à savoir l’Investment Management, la Promotion Immobilière, une plateforme de services (articulée autour d’une branche « Design & Construction Services » et d’une branche « Sales & Property Management Services ») et de l’investissement et la gestion dans l’industrie hôtelière (« Hospitality »).
Il y a 3 ans et 11 jours

Amexso lance une nouvelle gamme de pergolas

Une gamme de pergolas sur mesure qui répond à toutes les envies et à tous les budgetsCette gamme de pergolas, basée sur 4 produits permet plus de 100 combinaisons ! Entièrement sur mesure, les utilisateurs finaux peuvent personnaliser leurs pergolas : couleur, choix de la toiture, option protection de toiture solaire, option stores latéraux et de façade, option éclairage LED… et couvrir ainsi de multiples besoins.La pergola à toiture fixeLa pergola jardin d’hiverLa pergola rétractable à toile enrouléeLe carportDe fabrique 100% française made in Maine-et-Loire, 100% en aluminium, chacun des produits a été conçu pour non seulement se protéger du soleil et des intempéries mais aussi pour maintenir la luminosité de la pièce intérieure.Apporter de nouvelles perspectives de développement aux menuisiers indépendants grâce à une offre de pergolas complèteGrâce à cette gamme de pergolas, Amexso apporte la solution aux menuisiers indépendants pour proposer des produits de haute qualité, pérennes et avec de forts bénéfices.Par ailleurs, les menuisiers indépendants bénéficient :d’un partenariat SANS engagement ni redevancedes produits SUR MESURE, en PRET A POSERde la garantie d’une assistance technique, dès la réalisation du devis et jusqu’à la posede produits boosteurs de chiffre d’affairesde projets clés en main
Il y a 3 ans et 12 jours

Fin des lampes et tubes fluorescents : des millions d’installations à remplacer

Dans les prochains mois et années, des centaines de millions de lampes et tubes fluorescents en fin de vie devront être remplacés. Pour trouver un équivalent, les professionnels auront le choix parmi de multiples solutions LED. Le catalogue des produits d’éclairage s’est en effet transformé pour offrir aujourd’hui un panel complet de solutions lampes et/ou luminaires. Cette évolution est le fruit des innovations des fabricants pour répondre aux grands enjeux de l’efficacité énergétique et de la protection de l’environnement, avec toujours un triple objectif : consommer moins de ressources, réduire la facture énergétique, tout en améliorant l’usage et la qualité de la lumière.Pour plus de détails sur cette réglementation et les alternatives disponibles, n’hésitez pas à vous rapprocher des adhérents du Syndicat de l’éclairage. D’ici là, vous pouvez d’ores et déjà noter les différentes échéances officielles de fin de mise sur le marché : 24 février 2023, fin des tubes fluorescents à longue durée de vie et lampes fluorescentes compactes avec appareillage non intégré (CFL-ni) de moins de 20 000 heures, 24 août 2023, fin des tubes fluorescents T5 et T8, lampes fluorescentes compactes avec un durée de vie de plus de 20 000 heures, 31 août 2023, fin des capsules halogènes à culot G9 G4 GY 6.35. Passées ces dates, les produits déjà mis sur le marché européen pourront continuer à être vendus jusqu’à épuisement des stocks, les lampes spéciales et lampes UV n’étant pas concernées par ces échéances.**(Règlement (UE) 2019/2020 et directive européenne 2011/65/UE sur la réduction des substances dangereuses)
Il y a 3 ans et 12 jours

Infographie de la consommation d'électricité : dans quelles villes françaises consomme-t-on le plus ?

Consommation par habitant et par ville d'électricité en FranceConsommation d'électricité par habitant : 2.223kWh/anLes villes qui consomment le plus en France : Aix-en-Provence, Bordeaux, NiceLes villes qui consomment le moins en France : Saint-Étienne, Rennes, MulhouseLes conclusions :Cette disparité peut être liée à une électrification des usages qui varie d'une ville et/ou d'une région à l'autre, ainsi qu'à des investissements dans les solutions d'isolation plus ou moins élevés (grâce au dispositif MaPrimeRenov').À noter :Concernant l'électrification des usages que certaines villes ont des usages du fioul et du gaz encore importants ce qui réduit leur consommation d'électricité par habitant.Ce qu'il faut anticiper : Les actions du gouvernement en terme de renouvellement d'équipements incitent à se tourner vers des équipements de plus en plus électriques. Il faut donc prévoir dans les années à venir une part plus importante de l'électricité dans notre consommation d'énergie versus les énergies fossiles (fioul, gaz, charbon…). Ce constat nous oblige à anticiper un accroissement de la consommation et donc de la production d'électricité qui nous sera nécessaire.Le top trois des villes qui consomment le plus ?Les trois villes qui consomment le plus en France sont Aix-en-Provence, Bordeaux et Nice. Situées dans des régions aux hivers doux, ce résultat a de quoi surprendre. On consomme en effet davantage en hiver quand les températures sont au plus bas. Mais c'est sans compter les étés chauds. Lorsque les températures grimpent trop, les particuliers enclenchent la climatisation ou la ventilation.Or, les études montrent que 1°C de plus entraîne une hausse de consommation de 500MW. Ainsi lors des pics d'été, la consommation s'élève à 12.3kWh par habitant, soit 2 fois plus qu'en Île-de-France à la même saison.A contrario, les villes où l'on consomme le moins d'électricité sont Saint-Étienne (- 7°C en hiver), Rennes (ville très humide) et Mulhouse (climat semi-continental avec des chutes de neige fréquentes). Ce classement se vérifie à l'échelle de l'hexagone si l'on compare la consommation électrique par habitant dans plusieurs villes françaises :Fréjus (Var) : 3.15 MWh/habitantNarbonne (Occitanie) : 2.77 MWh/habitantLa Rochelle (Nouvelle-Aquitaine) : 2.08 MWh/habitantIssy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) : 2.05 MWh/habitantParis (Île-de-France) : 1.82 MWh/habitantNancy (Grand Est) : 1.83 MWh/habitantLille (Hauts-de-France) : 1.87 MWh/habitantLyon (Rhône) : 1.73 MWh/habitantPlusieurs hypothèses peuvent expliquer ces écarts de consommation. Si les régions les plus froides ne sont pas les plus grandes consommatrices d'électricité, c'est peut-être parce que dans le Nord, les particuliers utilisent encore leur vieille chaudière au fioul domestique.En revanche, si les régions du Centre-Val de Loire et de Normandie ont consommé la plus grande quantité d'électricité en 2021, c'est parce qu'elles sont aussi les plus équipées en chaudières électriques.La démographie jouerait aussi un rôle. En Occitanie par exemple, la population a augmenté de 10.3% entre 2006 et 2009 d'après l'Insee, ce qui justifierait une augmentation de la consommation de 9.5% sur la même période.Enfin, les Français sont thermosensibles, ce qui expliquerait leur comportement de chauffe. Cela explique que plus les températures baissent, plus les Français ont tendance à augmenter la température du chauffage.Le RTE (Réseau de transport d'électricité) estime d'ailleurs qu'une baisse de 1°C entraîne une hausse de consommation de 3,2% sur la période hivernale. Concrètement, cela correspond à une consommation supplémentaire de 24MW soit la consommation totale de Paris intra-muros.Sensibilité aux variations du thermomètreC'est dans les Hauts-de-France que l'on est plus sensible aux variations du thermomètre si l'on en croit les chiffres. En 2021, la consommation y a en effet augmenté de 7,3% sur l'année. Parallèlement, elle n'a augmenté que de 5,6% dans la région PACA.L'écart de consommation entre le nord et le sud de la France dépend très certainement aussi de la qualité de l'isolation des logements. Un logement moins isolé souffre davantage de déperditions de chaleur, il faut donc chauffer davantage pour compenser cette perte. D'ailleurs, dans les villes où le nombre de logements BBC (Bâtiment basse consommation) construits selon la RT 2012 est important, les factures d'énergie sont beaucoup moins élevées.Le type de logement importe plus que le nombre de personnesLes données fournies par la Commission de régulation de l'Énergie ont servi de base de calcul à la consommation moyenne d'électricité par personne et par an dans le secteur résidentiel en France. Pour le troisième trimestre 2020, elle s'élève à 2240kW, soit une moyenne de 6kW par jour.L'étude montre aussi qu'une personne supplémentaire dans un logement ne génère que 5 à 10% de consommation supplémentaire. En revanche, une pièce augmente la consommation électrique de 20%. Ce qui signifie que la consommation par personne n'est pas un critère suffisant.En effet, plus que le nombre d'occupants dans un logement, c'est sa taille qui explique la consommation électrique (nombre de pièces à éclairer et à chauffer), le nombre d'équipements installés (électroménager, électronique…) et la qualité des équipements (étiquette A+++).La consommation électrique est également à pondérer selon que le logement est tout électrique (avec chauffe-eau et chauffage) ou partiellement électrique (uniquement éclairage, électroménager, électronique). La consommation dépend ainsi des usages.Répartition des usages en électricité (source ADEME, 2019) :Chauffage : 27.6%Ventilation : 1.7%Éclairage : 5.6%Cuisson : 7.8%Eau chaude sanitaire : 12.9%Multimédia et informatique : 13.6%Froid et lavage : 18.6%S'agissant du chauffage, la consommation dépend d'un certain nombre de paramètres : la surface à chauffer, l'isolation thermique et les habitudes de chauffe (certains sont plus frileux que d'autres et ont besoin de monter la température).Exemples de consommation moyenne selon le type d'installation, la surface et le nombre de personnes :Tout électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 5.261kWh – 13.292kWhPartiellement électrique : 50m²/ 2 personnes – 80m²/ 3 personnes, consommation de 1.669kWh – 2.092kWhLe chauffage : poids lourd des dépensesD'après l'ADEME, le chauffage représente 60% de la consommation électrique en France. Les statistiques du Ministère du Développement durable illustrent ces chiffres puisque 10 millions de logements étaient encore chauffés à l'électricité en 2018.La performance des équipements joue donc un rôle important dans la consommation électrique. Des convecteurs, des radiateurs, une chaudière électrique ne consomment pas la même quantité d'énergie. Un radiateur à inertie par exemple est bien moins énergivore qu'un convecteur basique. Un logement équipé d'une pompe à chaleur ou de panneaux photovoltaïque fait baisser la facture d'énergie jusqu'à 80%.