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Il y a 2 ans et 150 jours

Le Conseil constitutionnel censure une disposition sur les arrêts de travail dans le budget de la Sécurité sociale

Pilule du lendemain gratuite, hausse des prix du tabac, internat des médecins généralistes allongé d'un an... Les mesures emblématiques de la loi de financement de la Sécurité sociale, adoptée définitivement par le Parlement le 2 décembre, sont validées.Feu rouge, en revanche, devant l'article 101, qui prévoyait que les arrêts de travail prescrits en téléconsultation par un autre professionnel que le médecin traitant ou un médecin vu au cours des 12 derniers mois ne seraient plus remboursés.Selon le Conseil constitutionnel, ces dispositions "peuvent avoir pour effet de priver l'assuré social (...) du versement des indemnités journalières alors même qu'un médecin a constaté son incapacité physique de continuer ou de reprendre le travail".Pour cette raison, l'article visé n'est pas conforme au 11e alinéa du préambule de la Constitution de 1946, selon lequel "tout être humain qui (…) se trouve dans l'incapacité de travailler a le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence", estiment les sages de la rue de Montpensier dans leur décision.Le Conseil constitutionnel a par ailleurs censuré 11 autres dispositions considérées comme des "cavaliers sociaux", qui n'avaient pas leur place selon lui dans un budget de la Sécurité sociale. Ces mesures pourront cependant être reprises dans d'autres textes.C'est notamment le cas de l'article 39, qui prévoyait que les chirurgiens-dentistes, les sages-femmes et les infirmiers avaient "vocation à concourir à la permanence des soins".Même chose pour l'article 42, qui visait à limiter la possibilité, pour certains établissements de santé, laboratoires de biologie médicale et établissements médico-sociaux, de recourir à l'intérim avec des personnels en début de carrière.Les Sages ont en revanche donné tort aux députés de gauche qui avaient déposé un recours sur les conditions d'adoption du texte via l'arme constitutionnelle du 49.3. Ce faisant, "aucune exigence constitutionnelle n'a été méconnue" par l'exécutif, affirme le Conseil.Le budget de la Sécu ne prévoit pas de coup de rabot sur l'hôpital, mais des économies d'environ un milliard sur le médicament, 250 millions sur les laboratoires d'analyses, 150 millions sur l'imagerie, et autant sur les complémentaires santé.Sans le juger insincère, le Conseil constitutionnel relève qu'il est fondé sur des prévisions de croissance ambitieuses, à +1% du PIB. Or la hausse du produit intérieur brut devrait ralentir à +0,3%, selon les dernières projections de la Banque de France."Si, ainsi que pourraient le laisser penser de récentes prévisions, il apparaissait en cours d'année que ces prévisions (...) étaient remises en cause, il appartiendra au gouvernement de soumettre au Parlement les ajustements nécessaires dans une loi de financement de la sécurité sociale rectificative", préviennent les sages.
Il y a 2 ans et 151 jours

Case Construction Equipment lance une gamme de pelles sur pneus

Cette gamme de pelles sur pneus CASE comprendra des modèles conventionnels WX140E et WX160E, ainsi que des modèles à rayon court WX155E SR et WX175E SR. Ces quatre modèles seront rejoints plus tard par une pelle classique à déport arrière, WX210E. Les caractéristiques sont les suivantes :Fonctionnement souple et contrôle maximal grâce aux systèmes hydrauliques éprouvés Bosch Rexroth à répartition de débit indépendante de la charge, sur les quatre plus petits modèles.Durabilité, fiabilité et bonne capacité de roulage grâce aux essieux et transmissions hydrostatiques ZF à usage intensif.Sécurité accrue sur le chantier grâce à la grande cabine pour l’opérateur, équipée du moniteur CASE MaximumView permettant d’afficher une vue périphérique à 360° ainsi que du radar de recul supplémentaire.Régulateur de vitesse ultra-confortable, commande de conduite de direction par joystick en option.Fonctionne aux biodiesels, à l’huile végétale hydrogénée (HVO) et autres carburants synthétiques, grâceau moteur diesel Cummins Stage V qui ne nécessite pas d’équipement spécial de recirculation des gaz d'échappement (EGR)Les nouvelles pelles sur pneus CASE Série E bénéficient de composants de qualité éprouvés. Elles seront disponibles en différentes configurations de châssis, et avec plusieurs combinaisons de lames de remblayage avant et arrière, et de stabilisateurs avant et arrière.L'équipement supérieur comprend le choix d’une flèche en une ou deux parties sur toutes les machines, sauf sur la WX175E SR, qui n’est disponible qu’avec une flèche articulée en deux parties. Le régulateur de vitesse de série facilite les déplacements entre les sites, tandis que le déplacement de matériaux sur le site de travail est rendu plus efficace par le contrôle de conduite en option, ou par l'utilisation de la commande de direction à joystick.Technologie éprouvéeLes nouvelles pelles sur pneus CASE sont équipées de moteurs diesel Cummins conformes à la norme européenne Stage V. Les 4 plus petits modèles utilisent un moteur Cummins B4.5, délivrant une impressionnante puissance maximale de 129 kW, supérieure à la moyenne du marché, tandis que la WX210E recevra le plus gros B6.7, offrant jusqu'à 145 kW de puissance maximale.Les moteurs sont équipés d'un module de post-traitement des gaz d'échappement très efficace, comprenant un catalyseur d'oxydation diesel (DOC), une réduction catalytique sélective (SCR) et un filtre à particules diesel (FAP).Étant donné qu’il n'est pas nécessaire d’avoir recours à un système complexe de recirculation des gaz d'échappement (EGR) pour se conformer aux exigences de la phase V, les coûts d'entretien sont considérablement réduits. En outre, les intervalles d'entretien sont de 1 000 heures pour le filtre à carburant et de 800 heures pour l'huile et le filtre du moteur, ce qui augmente encore la disponibilité opérationnelle de la machine pour l'opérateur.Les moteurs peuvent fonctionner avec toute une gamme de carburants pour répondre aux besoins du client. Cela comprend le biodiesel B7 et B20, les huiles végétales hydrogénées (HVO) et les carburants paraffiniques obtenus à partir de gaz (GTL), de charbon (CTL) ou de biomasse (BTL).Les modèles WX140E à WX175E SR utilisent tous un système hydraulique à répartition de débit indépendant de la charge, fourni par Bosch Rexroth. L'opérateur profite ainsi de commandes souples et progressives, et d’un fonctionnement multifonctionnel de la flèche, du bras et du godet. Un compensateur de pression est intégré au système de commande, afin de permettre le partage de débit en cas roulage et déplacement simultanés.La plus grosse version WX210E sera équipée d'un système hydraulique à centre ouvert et commande électrique de débit positif, fourni par Kawasaki. Elle utilise un système à deux pompes, offrant la distribution de puissance requise pour un fonctionnement souple et productif. Un réducteur de pression électrohydraulique proportionnel permet de réduire la consommation de carburant et d'améliorer les performances.Les opérateurs peuvent profiter d'un frein de fouille automatique en option et d'une commande de rotation fine, pour faciliter encore le contrôle des mouvements de la machine. Un verrouillage de sûreté automatique, similaire au système présent sur les modèles à chenilles CASE Série E, empêche tout mouvement indésirable de la tourelle lorsque la porte n’est pas verrouillée.Les spécifications de la cabine améliorent le confort de l'opérateurLa cabine de la Série E est équipée d'une colonne de direction télescopique à deux points d'articulation, pour permettre aux opérateurs de toutes tailles de trouver facilement une position de conduite confortable. Le pare-brise est équipé d'essuie-glaces parallèles en parties supérieure et inférieure pour une couverture aussi large que possible, et les machines peuvent être fournies avec une caméra de recul en option sur le côté droit. Le moniteur CASE Maximum View à 360° est également proposé en option, ainsi qu'un radar monté à l'arrière assurant une visibilité et une sécurité maximales.Le moniteur CASE Maximum View utilise quatre caméras, montées autour de la machine, pour fournir une vision périphérique à 360°. L'opérateur dispose ainsi d'une vue à 360° de la machine sur le chantier, ce qui améliore la sécurité et la visibilité, et permet d’éviter d’éventuelles collisions. L'alarme radar en option peut être réglée selon cinq distances par rapport à la machine, ce qui permet d'avertir l'opérateur de tout risque de collision avec l'arrière ou les côtés de la pelle. Six feux de travail à LED équipent la pelle série, ce qui améliore encore la visibilité dans les conditions de faible lumière.Un écran tactile 8 pouces permet d'accéder à un système de menus pour piloter toutes les fonctions de la machine. Un écran secondaire est disponible pour les caméras. L'opérateur peut naviguer sur l'écran principal à l'aide d'une molette à pression de sélection, qui sert aussi à commander l'accélérateur du moteur. Cette molette permet de choisir parmi 10 régimes moteur.Le moniteur fournit des conseils ECO à l'opérateur, en affichant différentes informations, notamment les temps d'inactivité, afin de permettre au conducteur d’améliorer ses performances et sa productivité au travail. Le joystick de commande proportionnelle est de série, et comporte un sélecteur de marche AV/AR en haut du levier. Le levier dispose aussi d’un système de verrouillage d'oscillation d'essieu avant et d’une fonction de détente. La direction à joystick est en option, tout comme le démarrage sans clé par bouton-poussoir.L'opérateur peut sélectionner jusqu'à 10 réglages prédéfinis de débit et de pression hydraulique auxiliaire, dans les menus du moniteur. L’adaptation des débits hydrauliques à chaque outil de travail favorise l'interchangeabilité des accessoires hydrauliques. Le joystick de droite comporte également un commutateur permettant d'activer un débit auxiliaire unidirectionnel ou bidirectionnel.Disponibilité en concessionCASE élargit son offre de machines avec l'ajout de pelles sur pneus Série E, afin de répondre aux besoins croissants de ses clients en Europe. Les concessionnaires seront en mesure de fournir aux clients une gamme d'accessoires et de spécifications machine répondant aux besoins de chaque entreprise.Solutions de service CASELa gamme de services CASE, développée pour soutenir tous les clients utilisateurs d’équipements CASE, booste la productivité et améliore la disponibilité opérationnelle de n’importe quel engin CASE. En outre, ces services aident les gestionnaires de parcs et de sites à optimiser le fonctionnement, l'utilisation et la maintenance des engins. Spécifications généralesWX140EPoids en ordre de marche : 14 900 à 15 860 kgMoteur : Cummins B4.5 Stage VPuissance maxi : 129 kWFlèche : Monobloc ou en deux partiesEmpattement : 2.6 mVitesse sur route : 20 km/h ou 35 km/hWX155E SRPoids en ordre de marche : 16 860 à 17 170 kgMoteur : Cummins B4.5 Stage VPuissance maxi : 129 kWFlèche : Monobloc ou en deux parties Empattement : 2.6 mVitesse sur route : 20 km/h ou 35 km/hWX160EPoids en ordre de marche : 17 580 à 18 390 kgMoteur : Cummins B4.5 Stage VPuissance maxi : 129 kWFlèche : Monobloc ou en deux parties Empattement : 2.6 mVitesse sur route : 20 km/h ou 35 km/hWX175E SRPoids en ordre de marche : 18 820 kgMoteur : Cummins B4.5 Stage VPuissance maxi : 129 kWFlèche : Deux partiesEmpattement : 2.6 mVitesse sur route : 20 km/h ou 35 km/hWX210EPoids en ordre de marche : 21 280 à 22 510 kgMoteur : Cummins B6.8 Stage VPuissance maxi : 145 kWFlèche : Monobloc ou en deux partiesEmpattement : 2.85 mVitesse sur route : 35 km/h
Il y a 2 ans et 152 jours

Politique RSE : où en est la mise en pratique du développement durable au sein des entreprises du BTP ?

Le terme de Responsabilité Sociétale de l’Entreprise reste encore assez peu répandu au sein des plus petites entreprises, qui composent la grande majorité des entreprises du BTP. Cependant, bien qu’un certain nombre d’actions ne soient pas directement rattachées ou valorisées dans le cadre d’une démarche RSE, elles sont nombreuses à être mises en œuvre par les entreprises de ces deux secteurs.« La Responsabilité sociétale des Entreprises est définie comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. En d'autres termes, la RSE c'est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable » [1], pouvant s’articuler autour de grandes thématiques : gouvernance, droits de l’Homme, relations et conditions de travail, environnement, loyauté des pratiques, questions relatives aux clients, communauté et développement local [2]. Elle se traduit concrètement par la mise en place d’engagements et d’un plan d’actions pour progresser (ex : tri des déchets, politique de santé et de sécurité au travail, promotion de la diversité au sein des collaborateurs, transparence des pratiques…).Si la RSE a été tout d’abord destinée à des entreprises de taille importante, concernées par un cadre règlementaire, « toutes les entreprises peuvent mettre en œuvre une démarche RSE, et ce quel que soit leur taille, leur statut, leur secteur d’activité » [3].Les enjeux et les thématiques RSE majeurs dans les entreprises du Bâtiment et des Travaux PublicsSur la base d’une enquête en ligne réalisée auprès d’un panel représentatif de 716 entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics, trois grands positionnements face aux thématiques « RSE » ont pu être analysés :Dans une logique d’amélioration continue, certaines entreprises déclarent juger importantes ou mènent des actions sur les thématiques relatives à la santé-sécurité, les conditions de vie au travail, la gestion des déchets et l’économie circulaire.Certaines thématiques sont intégrées aux pratiques des entreprises, comme la formation des salariés, l’amélioration de la performance énergétique du bâti, et le recours à des matériaux locaux, comme en témoignent certains résultats de l’enquête.Enfin, d’autres thématiques sont traitées en fonction des besoins. Elles ont été identifiées selon les caractéristiques propres des entreprises, et concernent principalement :Des items généralement moins accessibles ou pertinents, pour des TPE en particulier, comme la définition d’indicateurs de pilotage ;Des items ne relevant pas d’action formalisée mais intégrées aux démarches de ressources humaines (diversité, mixité, insertion des publics fragiles…) ;Des items plus spécifiques comme l’intervention sur des chantiers relevant du patrimoine, l’accessibilité, qui ne concernent pas toutes les entreprises.Différents niveaux de pratiques et de formalisation d’une démarche de responsabilité sociétaleAu travers des entretiens et de l’enquête quantitative, 3 niveaux de pratiques ont pu être identifiés :Actions mises en œuvre sans formalisation (84% des répondants à l’enquête quantitative).Formalisation et proactivité (15,7% des répondants à l’enquête quantitative). Les entreprises formalisent une démarche structurée et se distinguent par un niveau d’engagement élevéAbsence de démarche de Responsabilité sociétale (0,3% des répondants à l’enquête quantitative). Cette catégorie d’entreprises est très minoritaire et tend à disparaître du fait de la pression croissante des réglementations et des différentes parties prenantes (clients, collectivités, etc.) et de la sensibilisation sociétale aux enjeux sociaux et environnementaux.Évolution des compétences métiers et développement durable dans les formations BTPLa transition écologique amène à des évolutions des compétences dans le Bâtiment et les Travaux Publics :Par exemple, en amont du chantier, les profils de conception nécessitent de mieux connaître les matériaux, leurs interactions, la maîtrise du cycle de vie du bâtiment.Sur les gestes métiers également dont, notamment, ceux en lien avec des techniques de construction et d’isolation supposant d’intégrer de nouveaux savoir-faire et connaissances.Enfin, sur l’organisation du travail sur le chantier, appelant à une transversalité et un décloisonnement entre les corps de métier renforcés, afin d’assurer un niveau maximum de performance énergétique.L’offre de formation s’est adaptée à ces nouvelles exigences et propose désormais des modules de formation en lien avec la « transition énergétique » ou l’« écoconstruction ».Dans la formation continue, on note notamment le dispositif FEEBAT (Formations aux Économies d’Énergie dans le Bâtiment), et différentes formations concernant les énergies renouvelables, l’enveloppe « bâti », ou encore les éco-matériaux.Concernant la formation initiale, les rénovations et créations de diplôme prennent en compte une multiplicité de concepts liés à la transition énergétique : diagnostic et mesure de l’efficacité énergétique, gestion active du bâtiment, ; sources renouvelables et mix énergétique, etc. De plus, pratiquement toutes les grandes écoles d’ingénieur en Bâtiment et Travaux Publics intègrent des options ou proposent des diplômes liés aux spécificités de la transition énergétique.Comment accompagner le déploiement de la RSE au sein des secteurs du BTP ?Si la majorité des entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics considèrent la RSE et le développement durable bénéfiques (79 % des répondants à l’enquête), le manque de temps et la complexité du sujet notamment, peuvent constituer des freins à la mise en place d’une démarche pertinente à long terme.5 grands axes ont été identifiés à l’appui des résultats de l’étude, afin de favoriser le déploiement ou la valorisation d’actions déjà mises en œuvre :Une démarche de responsabilité sociétale de l’entreprise adaptée aux TPE et PME Une aide à la prise de recul et la recherche de sens dans les enjeux et les démarches RSE Comprendre et valoriser les bénéfices d’une démarche RSE Favoriser l’engagement des salariés dans les démarches RSEValoriser les progrès liés à la mise en œuvre de la réglementation[1] https://www.economie.gouv.fr/entreprises/responsabilite-societale-entreprises-rse[2] Thématiques définies par la norme ISO 26000[3] Ministère de l’Économie, Bercy Infos, Qu’est-ce que la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)
Il y a 2 ans et 152 jours

Le budget 2023 est un budget sans précédent pour la transition écologique

Ce budget 2023 amorce une hausse des moyens de la France (+9%) avant la déclinaison de la feuille de route en matière de planification écologique dans le cadre de «France nation verte».Le budget du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires permettra de :Accélérer la transition écologique dans les territoires : pour 2023 met en place un fonds vert inédit, doté de 2,0 Md€, qui permettra de réaliser la transition écologique dans, par et pour les territoires, en soutenant les projets des collectivités en matière de rénovation des bâtiments publics, de renaturation des villes ou de prévention des risques naturels (inondations, incendies, etc.) ;Investir dans les transports en donnant la priorité à la régénération du réseau ferroviaire et au développement des transports du quotidien. Un nouveau plan vélo sera financé à hauteur de 250 M€ en 2023 et une enveloppe exceptionnelle de 300 M€ est prévue pour accompagner les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) en 2023, dont 200 M€ pour les transports franciliens ;Poursuivre la rénovation énergétique des logements par la hausse des moyens financiers et humains de l’Agence nationale de l’habitat (+0,5 Md€) et une enveloppe dédiée à la rénovation des passoires thermiques des bailleurs sociaux (0,2 Md€) ; MaPrimeRénov’, grand succès du quinquennat précédent, est pérennisée à hauteur de 2,5 Md€ sur les crédits du Ministère de la transition énergétique ;Sanctuariser les moyens des agences de l’eau (2,2 Md€) pour assurer une meilleure gestion de la ressource et mieux prévenir les crises ; une enveloppe exceptionnelle de 100 M€ sera mobilisée sur le budget des agences de l’eau en vue de mieux prévenir les épisodes de sécheresse ;Renforcer l’économie circulaire, avec une enveloppe supplémentaire de 90 M€ sur le budget de l’Ademe pour la collecte des biodéchets, soit un doublement du fonds économie circulaire (300 M€ en 2023).Financer la stratégie nationale pour la biodiversité à hauteur de 150 M€ en 2023, pour réduire les pressions sur la biodiversité, protéger et restaurer les écosystèmes.Le budget 2023 garantit la cohésion de nos territoires en accompagnant les collectivités territoriales dans le contexte de hausse des prix de l’énergie. La DGF augmentera pour la première fois depuis 13 ans (+ 320 M€), ce qui permettra de préserver la dotation de plus de 80% des collectivités. Un bouclier tarifaire bénéficiant à près de 28000 communes et un « amortisseur électricité » sont mis en place pour réduire la facture d’électricité des collectivités territoriales. Le dispositif de filet de sécurité mis en place en 2022 est renforcé et reconduit en 2023 pour aider de manière ciblée les collectivités qui en ont le plus besoin à honorer leurs factures d’énergie, qu’il s’agisse du gaz ou de l’électricité. Au total, le Gouvernement permet à 100% des collectivités de bénéficier d'un soutien de l'État à travers un effort inédit de 5 Mds€ face à cette situation exceptionnelle.Après plus de vingt années de baisse, le budget pour 2023 marque la fin des suppressions de poste pour le ministère, et sur toute la durée du quinquennat. Les effectifs du ministère augmenteront même en 2023 (+ 45 ETP), signe de la mobilisation de l’Etat pour l’atteinte des objectifs en matière de transition écologique.Pour Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires : « Le budget 2023 est un budget sans précédent pour la transition écologique, avec des crédits en hausse de 9 % pour investir dans les transports du quotidien, rénover nos logements, préserver nos ressources en eau et notre biodiversité. C’est le budget d’une nouvelle méthode également : avec le fonds vert, nous traduisons notre conviction que le soutien aux territoires sera la condition de notre réussite. »Pour Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports : « Avec le budget 2023, nous renforçons notre investissement dans les transports du quotidien, afin de concilier nos grands objectifs : le pouvoir d’achat, la sobriété énergétique et la transition écologique. Ces financements s’ajoutent aux investissements prévus dans le rapport du COI en janvier. Ils montrent notre détermination et engagement pour les transports du quotidien et nos objectifs en matière de réduction des gaz à effet de serre. »Pour Olivier Klein, ministre délégué chargé de la Ville et du Logement : « Le budget 2023 conforte l’ambition d’un parcours résidentiel adapté aux besoins de chacun, de l’insertion par le logement au bien vieillir chez soi, dans tous les territoires, et notamment les quartiers en politique de la ville. Il permet de poursuivre l’effort en matière de rénovation énergétique avec l’objectif présidentiel de 700.000 rénovations par an. C’est enfin un budget jamais atteint pour l’hébergement d’urgence avec 198.000 places et l’ambition d’un accompagnement des plus fragiles vers un logement pérenne grâce au second plan quinquennal, logement d’abord. »Pour Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité : « Le budget 2023 est celui du soutien massif apporté aux collectivités territoriales, et c’est donc un budget de progrès pour la cohésion de nos territoires. Pour la première fois depuis 13 ans, la dotation globale de fonctionnement (DGF) augmentera et des moyens exceptionnels seront mis en place pour soutenir toutes les collectivités face à la hausse des prix de l’énergie et préserver l’investissement public local dont nous avons besoin ! »Pour Bérangère Couillard, secrétaire d’État chargée de l’Écologie : « Parce que le climat et la biodiversité sont indissociables, le budget 2023, en lien avec le déploiement de la planification écologique, porte un effort exceptionnel en matière de biodiversité : ce sont 150 M€ qui nous permettront de protéger les milieux. Ce budget 2023 nous permettra également de mieux préserver nos ressources en eau et de prévenir les risques naturels au plus proche des territoires. »
Il y a 2 ans et 152 jours

Hager lance quadro evo, un nouveau système de distribution d'énergie

Elle illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés. Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées : le nouveau système d'équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55, les nouveaux supports de jeux de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000 A, quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau.Une mise en œuvre facilitée Avec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide : la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur, le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité, un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées.Une compatibilité avec l'écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent dès 2021. Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d'équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu'à 4000 A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires. Le système de distribution d'énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 155 jours

Dix morts, dont cinq enfants, dans un incendie "effroyable" à Vaulx-en-Velin

"J'ai entendu des gens crier 'au secours, au secours, au secours, aidez-nous' ", a déclaré à l'AFP Assed Belal, un jeune habitant du quartier, arrivé sur place pendant l'incendie. "Il y avait des gens par terre, d'autres bloqués sur les balcons et les pompiers avaient du mal à intervenir à cause des arbres".Alors que la fumée s'échappe du bâtiment, des occupants de l'immeuble, prisonniers des flammes, se sont jetés dans le vide, selon des informations recueillies par l'AFP."Mes amis m'ont dit qu'ils avaient réussi à rattraper un jeune de dix ans": sa mère, réfugiée sur un balcon au troisième ou au quatrième étage, l'a "jeté pour le sauver", a ainsi expliqué Assed Belal, en précisant n'avoir pas assisté à cette scène."C'est un choc, le bilan est extrêmement grave (..) je me suis entretenu avec le président de la République", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin vendredi matin à Paris, avant de se rendre sur place en compagnie d'Olivier Klein, le ministre délégué à la Ville et au Logement.Le parquet de Lyon a ouvert une enquête et saisi la police judiciaire pour déterminer les causes de ce "dramatique" incendie dont il a établi le décompte des victimes. "Aucune hypothèse n'est écartée, notamment la piste criminelle", précise son communiqué.Le feu s'est déclaré peu après 03H00 dans un immeuble de sept étages situé dans une barre d'immeubles du quartier du Mas du Taureau et a mobilisé près de 170 pompiers et 65 engins, selon la préfecture. L'intervention s'est faite "dans des conditions difficiles", selon M. Darmanin.Les flammes sont parties du rez-de-chaussée pour se propager vers les étages, piégeant certains habitants chez eux, tandis que les fumées envahissaient les parties communes, selon les pompiers."C'était effroyable", a déclaré à l'AFP Mohamed, le cousin d'un habitant du 4e étage qui a réussi à s'échapper par l'escalier avec ses deux enfants.Les autorités ont évacué les habitants dans une salle municipale à proximité et des opérations de relogement sont en cours, selon les informations recueillies par l'AFP.Deux cellules d'écoute ont été déployées à l'école Jean-Vilar et au collège Simone-Lagrange, dont des élèves seraient parmi les victimes de l'incendie, selon un communiqué du recteur de l'académie de Lyon, Olivier Dugrip."Tragique"Des constatations sont en cours pour déterminer les causes du feu, selon un porte-parole de la préfecture sur place.La maire socialiste de Vaulx-en-Velin, Hélène Geoffroy, "signale très souvent les immeubles de sa commune, et notamment du quartier du Mas du Taureau qui présentent des risques en terme de sécurité", a souligné le député LR Alexandre Vincendet dans un communiqué."Ce drame doit nous inciter à être plus réactifs concernant la sécurité au sein des logements collectifs", a-t-il estimé, plaidant pour qu'un diagnostic de risque incendie soit lancé sur tous les logements signalés par les élus locaux.Deux sapeurs-pompiers ont été légèrement blessés lors de l'intervention, selon la préfecture. Un important dispositif de gendarmerie a également été déployé sur le terrain, a constaté l'AFP.L'incendie est survenu au Mas du Taureau, un quartier populaire en plein renouvellement urbain, après avoir été longtemps le symbole des quartiers sous tension dans la banlieue lyonnaise.La métropole a lancé au début des années 2000 un programme de 100 millions d'euros pour repenser ce qui doit devenir un "éco-quartier", en développant commerces de proximité et transports en commun.Le taux de pauvreté à Vaux-en-Velin, une commune peuplée par une population jeune (près de 50% de moins de 30 ans) s'élevait à 33% en 2019, selon les dernières statistiques de l'Insee.Les réactions de solidarité envers les victimes et leurs familles affluaient sur les réseaux sociaux. "Tristesse face au tragique incendie", a tweeté la Première ministre Elisabeth Borne. Une "horreur", pour le maire écologiste de Lyon Gregory Doucet.
Il y a 2 ans et 155 jours

Le marché de l'emploi dans l'immobilier profite aux candidats en 2022 selon Recrutimmo

Cinquième volet pour la grande étude annuelle menée par Recrutimmo afin de dresser un état des lieux du marché de l’emploi dans l’immobilier. Un secteur qui attire toujours autant les candidats, même si le marché reste déséquilibré au bénéfice de ces derniers. Face à ce constat, plusieurs axes de réflexion et de travail se détachent : l’accompagnement de la reconversion professionnelle, la formation pour fidéliser les talents, la marque employeur pour les attirer et la flexibilité du statut, questionnement essentielle à l’heure de l’explosion du modèle de mandataires.Une étude menée sur près de 2.300 candidats et recruteursPour son cru 2022, l’étude annuelle de Recrutimmo a été menée sur plusieurs mois, ce qui a permis de sonder plus de 2.000 candidats et 250 recruteurs. Côté candidats, 42% d’entre eux ont plus de 10 ans d’expérience dans l’immobilier, et un tiers est issu d’une reconversion professionnelle. Du côté des recruteurs, 90% déclarent avoir du mal à recruter et presque autant (88%) affirment ne pas avoir de service des ressources humaines au sein de leur entreprise.Tous évoluent dans un marché dynamique, même si leurs points de vue concernant l’emploi dans le secteur de l’immobilier divergent. Alors que les recruteurs sont 91% à déclarer qu’ils connaissent de véritables difficultés dans le recrutement, trois quarts des candidats affirment qu’il est, au contraire, facile de trouver un emploi dans l’immobilier. Il est également intéressant de souligner que la grande majorité des talents (83%) sont particulièrement à l’écoute du marché du recrutement et surtout très sollicités (86%).Une situation dont chaque partie a parfaitement conscience, faisant définitivement basculer le marché du côté des candidats. De quoi générer un turn over particulièrement élevé dans les entreprises du secteur.La reconversion professionnelle devenue incontournableCe n’est plus une nouveauté, la reconversion professionnelle est un immense vivier de talents pour le secteur de l’immobilier. Et la tendance n’est pas nouvelle : 84% des professionnels de l’immobilier sont issus de la reconversion et ont travaillé dans un autre secteur avant d’arriver à l’immobilier. D’ailleurs, ce genre de profil attire puisque 87% des recruteurs se disent en recherche de candidats en reconversion professionnelle. Pour aller plus loin, ils sont même 68% à affirmer que le diplôme n’est pas un critère d’embauche.Parmi les critères qui comptent pour les recruteurs : la proximité géographique, qui assure une véritable connaissance du marché local et une meilleure disponibilité. De quoi satisfaire les candidats, qui désirent de plus en plus mieux équilibrer leur vie professionnelle et leur vie personnelle et n’ont plus envie de passer trop de temps dans les transports.La formation pour attirer et fidéliserPar les différentes compétences qu’ils demandent, autant juridiques, que comptables ou encore commerciales, les métiers de l’immobilier peuvent être complexes à appréhender. C’est pour cela que les entreprises doivent désormais disposer de programmes d’intégration et de formation performants. C’est d’ailleurs ce qui ressort des réponses des candidats : ils sont en effet 95% à avoir des attentes en termes de disponibilité de leur manager ou de formation aux méthodes de travail (70%).Pourtant, la réalité est toute autre : un tiers des collaborateurs quittent en effet leur entreprise pendant leur période d’essai. En parallèle, 33% des candidats interrogés estiment ne pas avoir été suffisamment intégrés ou formés lors de leur arrivée. Et pour cause : pour 52% d’entre eux, la formation ou l’intégration n’a pas dépassé une semaine.La marque employeur comme fer de lanceAvec le développement des multiples canaux de communication, il est devenu très facile de se renseigner sur une entreprise et de connaître les avis de ses salariés. C’est pour cela que la marque employeur est devenue absolument incontournable pour les entreprises qui veulent attirer les talents. Ils sont ainsi 98% à se renseigner sur une entreprise avant d’y postuler ou de s’y rendre.Cette recherche vise à les conforter dans leur décision de rejoindre l’entreprise. Ils s’en servent notamment pour vérifier que l’entreprise répond aux critères les plus importants pour eux : rémunération (62%), équilibre vie privée/vie professionnelle (61%) ou encore ambiance au sein de l’entreprise (47%). Des attentes dont les recruteurs ont bien conscience, ce qui les poussent à porter leur attention sur certains points : les avantages pécuniers (57%), les after work d’équipe (55%) et l’environnement de travail (45%).Malgré tout, candidats et recruteurs ne se retrouvent pas sur les canaux où se trouver. Les candidats cherchent ainsi un emploi via les jobboards (83%), Pôle Emploi (83%) et les réseaux sociaux (35%). Les recruteurs, eux, misent en priorité sur le bouche à oreille (64%), les réseaux sociaux (63%) et les sites vitrines (38%).Le statut : que proposer aux candidats ?C’est un fait : la demande des recruteurs en profils indépendants progresse. Ils sont d’ailleurs 47% à déclarer ne recruter que des indépendants. Les 53% restants préfèrent recruter des salariés. Une progression qui s’explique par le coût plus faible (en théorie seulement) que représentent les indépendants, ainsi que par leur autonomie.Côté candidats, ils ne sont que 8% à être prêts à devenir ou à rester indépendants. Un petit chiffre qui traduit notamment l’importance du contrat de travail en France, qui représentent la sécurité de l’emploi (31%).Retrouvez la cinquième étude “Recruteurs VS Candidats” de Recrutimmo en intégralité ici.
Il y a 2 ans et 155 jours

Fischer, l’ancrage du siècle

La Fis V Plus de Fischer a une durée de vie de plus de 100 ans. [©Fischer] C’est un cap passé dans le domaine des solutions de fixation durables. Fischer a mis au point Fis V Plus. C’est la toute première résine d’injection universelle d’une durée de vie de 100 ans sur le marché. Ceci a été confirmé par l’Evaluation technique européenne (ETE). Ce nouveau produit augmente aussi de 45 % les performances de la résine. Fis V assure une sécurité supplémentaire pour les chantiers et les installations. Dotée d’une grande polyvalence, cette résine peut s’appliquer sur plusieurs types de structures en acier et en béton. Une résine HP pour tous les matériaux pleins ou creux Lire aussi : Fisher lance une nouvelle génération de systèmes de rails insert La Fis V Plus se démarque par sa polyvalence. Comme déjà précisé, elle dispose de plusieurs agréments ETE. Tout d’abord, l’ETE-20/0663 concernant la fixation dans le béton fissuré et non fissuré. Ensuite, l’ETE-20/0729, qui concerne les briques et la maçonnerie courante. Enfin, l’ETE-20/0728, qui touche au scellement de fer à béton. Au-delà de ces agréments, la Fis V Plus présente aussi une résistante R120 au feu. Elle peut être utilisée dans des forages inondés et pour des applications sismiques de catégorie C1 et C2. C’est une révolution dans le secteur de la fixation béton, qui pourrait faciliter la vie des acteurs du monde de la construction. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 156 jours

ITE-SHOP lance ses nouveaux accessoires : nouvelle équerre ISODEPORT GC et nouveaux blocs de montage à haute densité ajustables ISODEPORT

Le spécialiste français de l’Isolation Thermique par l’Extérieur complète sa gamme d’accessoires avec une nouvelle équerre pour déport de charge (garde-corps et charges moyennes/lourdes) ISODEPORT GC et les blocs de montage universels ISODEPORT BM70 et BM100. ISODEPORT GC : une seule équerre pour répondre à 100 % des besoins Conçue pour le déport de garde-corps en tableau ou en façade, le déport de gonds de volets ou tout autre charge moyennes ou lourdes, l’équerre ISODEPORT GC est une équerre à rupture de ponts thermiques de120 mm, fournie avec un talon de 20 mm empilable pour d’adapter aux dimensions standards des isolants en 120 et 140 mm. Pour les épaisseurs spéciales, il suffit d’emboîter d’autres talons si besoin ou de couper proprement le corps de l’équerre, marqué tous les 10 mm pour assurer une précision de travail. Fabriquée en Polyamide 6-6 avec 30 % de fibre de verre, l’équerre ISODEPORT GC assure une résistance de charge jusqu’à 2 138 kg sur un point de fixation, soit la meilleure résistance du marché selon le rapport d’essais réalisés par le CSTB (Rapport d’essais n° DSSF 21-06582). Pour faciliter la pose, le kit comprend un gabarit de perçage autocollant et la visserie nécessaire (sous avis technique) pour tout support (plein ou creux). ISODEPORT BM70 et BM100 : des blocs de montage à haute densité ajustables Les nouveaux blocs de montage ISODEPORT BM70 et BM100 sont fabriqués en polystyrène expansé haute densité à 150 kg/m3 pour supporter en toute sécurité les charges légères telles que les points lumineux, les boîtes aux lettres ou encore les colliers de descentes. Conçus et produits en France, ils s’ajustent à toutes les épaisseurs grâce à des traits de marquage tous les 10 mm (découpe au fil chaud ou à la scie à main). Les blocs ISODEPORT BM70 et BM100 viennent se fixer directement dans l’épaisseur de l’isolant en PSE, en laine de roche, en fibre de bois ou en liège. Pour répondre à tous les besoins, ITE-Shop propose deux formats de bloc : ISODEPORT BM70 : bloc circulaire de 70 mm de diamètre avec une résistance de charge jusqu’à 20 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 0.65 kN). ISODEPORT BM100 : bloc carré de 100 x 100 mm avec une résistance de charge jusqu’à25 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 1.00 kN).
Il y a 2 ans et 156 jours

Doosan annonce la DX20Z-7, une nouvelle mini-pelle de deux tonnes

Avec sa tourelle sans déport arrière et sa canopy démontable, cette nouvelle DX20Z-7 constitue une solution idéale pour les espaces étroits et les chantiers intérieurs. La DX20Z-7 combine productivité accrue, excellent confort de l'opérateur, poste de conduite aisément accessible, longévité maximale et facilité d'entretien.Plus de productivitéLe système hydraulique optimisé de la DX20Z-7 exploite au mieux la puissance de son moteur diesel 3 cylindres Yanmar 3TNV70 Phase V, qui développe 10,3 kW (13,8 Ch) à 2200 tr/min. La DX20Z-7 se distingue ainsi par des mouvements rapides, alliés à un contrôle précis de forces d'arrachement exceptionnelles : 1,55 tonne (ISO) au godet, notamment !Dans sa configuration standard, la DX20Z-7 affiche un poids opérationnel de 1995 kg. Avec le balancier long de 1,10 m (option), sa profondeur de fouille max. est de 2345 mm, sa hauteur de déversement max. de 2750 mm et sa portée au sol max. de 3975 mm. Cette enveloppe de travail assure performances et polyvalence maximales dans l'utilisation d'une vaste gamme d'accessoires. Grâce à ses capacités de levage et sa grande hauteur de déversement, la DX20Z-7 convient parfaitement au chargement de camions tandis que sa portée au sol réduit le nombre de repositionnements en cours d'excavation.Avec son châssis inférieur rétracté à la largeur minimum de 950 mm, la DX20Z-7 passe facilement par des portes et des passages étroits. Lorsque le châssis inférieur est étendu à 1360 mm, la pelle dispose d'une stabilité maximale, particulièrement appréciable pour travailler sur le côté. Le châssis inférieur s'étend ou se rétracte en un instant : il suffit d'actionner un contacteur électrique au tableau de bord.Un confort de haut niveauLa DX20Z-7 est conçue autour de l'opérateur et offre une ergonomie optimale. Le poste de conduite offre un espace généreux aux pieds avec un plancher plat, facile à nettoyer, des pédales ergonomiques et un accès facile à toutes les commandes. La visibilité sur la zone de travail est maximisée par un feu de travail LED à haute intensité monté sur la flèche.Doosan a employé des matériaux de la plus haute qualité pour que la DX20Z-7 combine performances, longévité et résistance à toute épreuve. La conception et les composants de la machine ont été testés de manière intensive en conditions extrêmes. Pour un travail en toute tranquillité d'esprit, la porte arrière en acier massif assure une excellente protection contre les impacts. Les carénages des vérins et le robuste capot de batterie sont un autre gage de sécurité et de tranquillité.Grâce à la grande porte arrière, tous les composants sont aisément accessibles, notamment les refroidisseurs faciles à nettoyer ainsi que les autres points de maintenance quotidienne, de sorte que la durée des contrôles et des entretiens courants est réduite au minimum.Caractéristiques en bref de la mini-pelle DX20Z-7Poids opérationnel avec canopy, chenilles en caoutchouc, balancier standard et godet : 1995 kgProfondeur de fouille max. (balancier standard / balancier long) : 2180 / 2345 mmHauteur de déversement max. (balancier standard / balancier long) : 2650 / 2750 mmPortée max. au niveau du sol (balancier standard / balancier long) : 3705 / 3875 mmVitesse de pointe : gamme lente – 2,0 km/h, gamme rapide – 3,7 km/hDébit hydraulique : 2 x 17,26 L/min +13,2 L/minLargeur châssis inférieur (rétracté / étendu) : 950 / 1360 mmMoteur : Yanmar 3TNV70 développant 10,3 kW à 2200 tr/minDimensions hors tout en position de transport : hauteur 2360 mm x largeur 950 mm x longueur 3476 mm
Il y a 2 ans et 156 jours

Démarche RSE récompensée : le groupe RECTOR LESAGE obtient le label engagé RSE de l’AFNOR, niveau confirmé

Le groupe Rector Lesage vient d’obtenir le label Engagé RSE, au niveau confirmé (3ème niveau sur une échelle de 4), de l’AFNOR. Rector est ainsi le premier industriel du secteur du béton à s’inscrire dans cette voie. Cette distinction crédibilise et récompense l’engagement fort du groupe dans sa démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises, commencée depuis 2021, sous l’impulsion de la nouvelle génération d’actionnaires et de la Direction. Sous l’impulsion actionnariale, la direction du groupe a créé fin 2020 un Comité de Pilotage RSE lui confiant notamment la mission de définir les 4 piliers fondateurs de la démarche RSE du groupe :  décarboner les produits et les activités, limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité, assurer la sécurité et le bien-être au travail, maintenir son ancrage territorial. Afin de mieux la structurer et la crédibiliser, Rector a créé une Direction RSE et a décidé de s’engager dans le processus de labellisation « Engagé RSE de l’AFNOR » qui repose sur la norme ISO 26000, norme en vigueur en matière de RSE. Pour préparer l’audit de labellisation de l’AFNOR en juin 2022, Rector Lesage s’est fait accompagner par le CERIB pour constituer l’ensemble documentaire et rédiger son premier rapport RSE. « Label Engagé RSE » de l’AFNOR, une évaluation du niveau d’avancement de Rector sur tous ses axes RSE  Le « label Engagé RSE » de l’AFNOR est structuré en 5 indicateurs de moyens (vision et gouvernance, mise en œuvre, RH, modes de production et ancrage territorial) et 3 indicateurs de résultats (environnementaux, économiques et sociaux). Au travers de chacun d’eux, les 4 axes de la démarche RSE de Rector ont été explorés et évalués au siège du groupe et sur 3 sites de production (Mulhouse, Couëron et Ravel) en incluant des interviews auprès d’une trentaine de salariés et des parties prenantes externes (fournisseurs, clients, actionnaires, …). Des initiatives concrètes pour faire de la RSE un projet d’entreprise La stratégie RSE de Rector se déploie sur la base d’une démarche d’amélioration continue. Elle implique aussi un vaste programme d’appropriation de celle-ci et des objectifs qui en découlent auprès des managers puis des collaborateurs. Les actions déjà entreprises par le groupe sur les 4 axes de la démarche ont permis d’atteindre le niveau confirmé du Label Engagé RSE de l’AFNOR. Parmi celles-ci, citons : Décarboner les produits et les activités Axe prioritaire de la stratégie RSE du groupe, il vise à mettre sur le marché des gammes de produits moins carbonés, à développer et promouvoir des modes constructifs plus vertueux et à réduire les émissions de CO2 directement liées à ses activités. La priorité de Rector a donc été de réduire l’empreinte carbone des bétons en substituant les clinckers par des laitiers de haut fourneau, en utilisant de l’acier recyclé à la place d’acier primaire et en optimisant l’énergie en phase de production. C’est ainsi que Rector a développé sa gamme de prédalles et prémurs RSOFT Bas Carbone. Un autre axe de réflexion a consisté à concevoir une solution de plancher qui permet plus de sobriété à l’échelle du bâtiment et donc une réduction de l’indice carbone du bâti par surface de plancher. Le système plancher dalle Caméléo, qui permet de s’affranchir de mètres linéaires de murs porteurs et de poutres tout en favorisant l’intégration de façades légères tels que des panneaux de façade bois , en est le parfait exemple. Offrant plus de modularité, cette solution permettra par ailleurs une modification d’usage du bâtiment plus facile et plus sobre après sa première phase de vie. Concernant ses activités, Rector a lancé un vaste programme de rénovation des systèmes de régulation énergétique de ses étuves. En permettant le contrôle en temps réel de la performance de chaque résistance et de chaque zone de chauffe de l’équipement de production, il est possible de mieux contrôler l’efficience électrique de celui-ci. Rector a ainsi constaté une réduction pouvant atteindre jusqu’à 50% des puissances nominales sur les étuves des sites concernés. En parallèle, le groupe projette l’installation de 80 000 m2 de panneaux photovoltaïques sur 5 de ses sites de production qui permettront de couvrir près de 90% de ses consommations électriques sans augmenter les surfaces imperméables. Limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité Un levier d’action pour améliorer la performance environnementale de son activité est de s’approvisionner autant que possible en matériaux recyclés (vs matières vierges) réduisant ainsi la pression sur la ressource naturelle. A titre d’exemple, 100% des entrevous en plastique et 90% des aciers passifs utilisés dans la fabrication des bétons armés sont d’origine recyclée, tout comme 100% des emballages carton des Box. Au-delà des bassins de décantation dont 100% des sites Rector français sont équipés, l’entreprise a défini une politique « eau » ambitieuse visant notamment à réduire les consommations d’eau et la production d’effluents. Dans ce cadre, ce sont d’ores et déjà 86% des sites qui recyclent les eaux de lavage des machines à béton. Assurer la sécurité et le bien-être au travail En plus des actions déjà engagées depuis plus de deux ans, Rector a mis en place trois jours de télétravail par semaine pour les postes télétravaillables et sur la base du volontariat. Pour les salariés qui ne peuvent pas en bénéficier, un jour de congés supplémentaire leur est alloué en compensation. En parallèle, Rector a poursuivi ses actions pour réduire la pénibilité des taches des opérateurs (réduction de moitié du poids de certains outils permettant de vérifier la qualité du béton, par exemple). Maintenir son ancrage territorial Outre ses sites industriels implantés au plus proche de ses fournisseurs de granulats et de ciment favorisant les circuits courts, Rector mène des actions de mécénat participant à l’attractivité du territoire. Ainsi, Rector vient de signer une convention avec le Centre national de Réadaptation de Mulhouse qui permet à des personnes ayant subi un accident de se former à un nouveau métier. Parmi les formations proposées, une est dédiée à l’apprentissage de logiciels utilisés par les Bureaux d’Etudes de Rector qui accueillera des stagiaires.  « L’obtention du label Engagé RSE de l’AFNOR au niveau confirmé n’est pas une fin en soi. Rector agit avec humilité et détermination. Nous ne comptons et ne devons pas nous arrêter là » conclut Cécile Roland, nouvelle Directrice RSE de Rector.  Reflet de la volonté du groupe de placer la RSE au cœur de sa stratégie, Cécile Roland est arrivée en Février 2022 pour structurer et formaliser la politique RSE de l’entreprise jusqu’à sa mise en œuvre opérationnelle. Cette démarche vise à rendre l’entreprise plus durable et responsable tout en se préparant à répondre aux enjeux de la nouvelle directive CSRD. Celle-ci rendra obligatoire, à horizon 2030, pour toutes les entreprises – à l’exception des micro-entreprises – le déploiement d’une stratégie RSE et la déclaration de leur performance en la matière. A propos de Rector Lesage Créée en 1953, Rector Lesage est une société familiale spécialisée dans le domaine des produits préfabriqués en béton pour le bâtiment, elle développe et commercialise des systèmes constructifs pour le gros oeuvre des bâtiments. Elle est leader en France dans le domaine des planchers en béton précontraint pour les maisons individuelles ou groupées. Rector Lesage est présente sur tout le territoire français et en Europe avec ses 25 implantations et près de 1 000 salariés. https://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 156 jours

Dassault Systèmes et Bouygues Construction renforcent leur engagement à réinventer le secteur de la construction

Bouygues Construction a choisi la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud de Dassault Systèmes pour mener sa transformation métier et accroître la productivité de ses projets de construction. Cette deuxième phase succède aux phases initiales de numérisation et d'automatisation des processus de Bouygues Construction.Les citoyens attendent de nouvelles approches en matière d'urbanisation et une plus grande attention à la durabilité. Or, le secteur de la construction doit faire face à des problématiques de productivité, tant en raison de la complexité des projets que de la fragmentation des métiers. La transformation numérique permet de soutenir une économie à la fois plus durable et circulaire, en partageant les connaissances et savoir-faire dans toute la chaîne de valeur, et en donnant naissance à de nouveaux modèles économiques.Avec la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud, Bouygues Construction peut adopter une approche systémique de la gestion des projets qui intègre des expériences de jumelage numérique d'un bout à l'autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer de documents où les différents métiers interviennent de façon indépendante, à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs.Cet environnement intégré, inclusif et collaboratif qui utilise une source unique de données exploitables permettra de rationaliser le processus décisionnel entre les différents intervenants - de la direction générale à l'opérateur de terrain - à chaque étape d'un projet. Cela permettra à Bouygues Construction d'augmenter encore la sécurité de ses collaborateurs et partenaires. Cela permettra aussi au groupe de réduire son volume de déchets et d'améliorer la qualité produit de la conception à la construction, en définissant des composants d'assemblage modulaires intégrés dans des lignes de produits telles que les maisons de retraite ou des résidences étudiantes. Cette modularité permettra de faire face à la complexité des projets futurs, tout en répondant à des besoins croissants de personnalisation et de durabilité, et en s'adaptant aux évolutions du marché.« Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d'usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur. » déclare Philippe Bonnave, président directeur général de Bouygues Construction. « Nous sommes donc à la recherche d'une transformation plus forte qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l'entreprise : une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. »« L'utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et - grâce au cloud et à la mobilité - abordable. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d'innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? » déclare Bernard Charlès, Vice-Président du Conseil d'Administration et Directeur général de Dassault Systèmes. « Cette approche révolutionnaire, basée sur la plateforme 3DEXPERIENCE, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d'allier nos leaderships et nos expertises respectifs, ainsi que d'amorcer une nouvelle dynamique dans l'écosystème du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 2 ans et 156 jours

Ingérop : Conquérir le monde via l’Australie

De gauche à droite, de haut en bas : Yves Metz, président du groupe Ingérop, Christophe Blanc, directeur international d’Ingérop, Neil Kerridge, directeur de Rendel Ingérop en Australie, Frank Gatto et Richard Morgan, directeurs d’Aspec Engineering, Vardaman Jones, directeur général de Rendel Ltd, et Daniel Squires, directeur de Rendel [©Ingérop] Ingérop vient d’acquérir une participation majoritaire dans la société australienne Aspec Engineering. Réalisée via sa filiale Rendel, cette acquisition est un véritable atout stratégique pour le groupe français. L’entité australienne est spécialiste dans les domaines de la manutention de matériaux, de l’ingénierie portuaire, des mines et des infrastructures. « Je me réjouis de rejoindre le groupe Ingérop, déclare Richard Morgan, directeur général d’Aspec Engineering. A la fois pour étendre notre portée mondiale dans le domaine de la manutention et pour élargir l’étendue de notre offre en matière d’infrastructure. » Ce rapprochement s’inscrit aussi dans un objectif environnemental. Le gouvernement australien souhaite améliorer les performances de l’industrie minière sur ce sujet. « Notre engagement envers la qualité, la sécurité et l’environnement, ainsi que nos outils et systèmes de conception, viendront compléter les compétences de Rendel Ingérop en matière de génie civil et structurel. » Ingérop, une implantation australienne forte Lire aussi : Ingérop poursuit son développement à l’international Le groupe français est présent en Australie depuis 2018 à travers sa filière Rendel. Cela fait plusieurs années déjà qu’Ingérop et Aspec collaborent ensemble. Le rapprochement lui permet d’étendre son réseau australien. Il est aujourd’hui implanté dans 4 Etats du pays, avec 5 nouvelles implantations, à Brisbane, Melbourne, Newcastle, Perth et Wollongong. Ingérop a déjà participé à de nombreux projets sur le territoire australien. Il a contribué aux auto-ponts et ouvrages de franchissement de la nouvelle liaison Sydney Gatemay à proximité de l’aéroport. Ingérop a agi pour le nouveau métro de Melbourne et pour le remplacement du chargeur de navires de Hay Point Berth 2. Après l’Allemagne et l’Australie, il est évident qu’Ingérop n’a pas fini sa conquête internationale. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 157 jours

Réforme des retraites : Borne "intéressée" par un mix de mesures, selon les sénateurs centristes

La cheffe du gouvernement "est intéressée" par la formule adoptée au Sénat "depuis pas mal d'années, mix entre l'âge de la retraite et la durée de cotisation", a rapporté le président du groupe Union centriste au Sénat et président de l'UDI, à l'issue de sa rencontre.Mme Borne entamait avec M. Marseille une nouvelle et longue journée de consultation des groupes politiques sur sa réforme controversée des retraites, dont la présentation a été reportée au 10 janvier.Également reçu mercredi matin, Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants-République et Territoires au Sénat et membre du parti Horizons d'Edouard Philippe, a lui aussi jugé que la position du Sénat pouvait être "une base de proposition, et une base que peut entendre la Première ministre", tout en soulignant que le texte serait d'abord examiné à l'Assemblée nationale.La cheffe du gouvernement avait déjà reçu les groupes parlementaires à la mi-octobre.Le gouvernement privilégie un report progressif de l'âge de départ de 62 à 65 ans, sans écarter la piste d'un âge de départ à 64 ans avec un allongement de la durée de cotisation, autant de propositions contestées par les syndicats et la plupart des groupes d'opposition.Prenant de court forces politiques et syndicales, Emmanuel Macron a annoncé lundi un report au 10 janvier de la présentation de cette réforme, initialement prévue jeudi.Elisabeth Borne a affirmé que le gouvernement restait "ouvert aux propositions" des organisations politiques et syndicales, mais jugé "intenable" le projet "Panot-Le Pen" de retraite à 60 ans défendu par les cheffes de file des députés RN et LFI.Pour Hervé Marseille, le gouvernement veut "utiliser (ce) temps" supplémentaire "pour convaincre, partager, dialoguer", mais il s'est montré dubitatif sur la possibilité d'un accord avec LR. "Il faut qu'ils se mettent d'accord entre eux. Je ne sais pas comment ça va finir", a-t-il dit.Bertrand Pancher, et Christophe Naegelen, président et co-président du groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (Liot) à l'Assemblée ont redit à Mme Borne qu'ils voteraient une motion de censure si le gouvernement décidait de reporter l'âge de départ à 65 ans.Mais, "après il faut voir quelles seront les autres propositions" du gouvernement notamment sur les petites pensions et l'emploi des seniors. Selon M. Pancher, le gouvernement envisage des "mesures contraignantes" en la matière.Le gouvernement souhaite faire passer sa réforme par le projet de loi rectificatif de financement de la Sécurité sociale (PLFSSR), un texte budgétaire sur lequel il peut utiliser sans limite l'article 49.3 de la Constitution, qui permet son adoption sans vote, sauf motion de censure.Mme Borne recevra les organisations syndicales au cours de la semaine du 2 janvier
Il y a 2 ans et 157 jours

7 choses à savoir avant d'investir dans un programme immobilier

Investir dans l'immobilier neuf présente de nombreux bénéfices mais peut sembler difficile au premier abord. Pourtant les avantages sont nombreux et les projets ne manquent pas dans lesquels investir comme par exemple ce programme immobilier neuf à Tours. La sécurité de votre investissement Au contraire de l'immobilier ancien qui nécessite souvent des travaux de rénovation coûteux, l'immobilier neuf bénéficie des dernières avancées en terme d'isolation et d'une conception réfléchie pour une performance énergétique optimale. Autre différence majeure avec l'immobilier ancien, vous bénéficiez de la garantie Constructeur. En effet, en cas d'un éventuel défaut de construction ou d'un vice caché, les charges et les démarches sont prises en charge par le promoteur pendant plusieurs années. Ainsi, pas de stress supplémentaire pour vous ! Les avantages fiscaux Investir dans du neuf représente toujours une importante dépense mais celle-ci sera toujours plus intéressante que dans de l'immobilier ancien. En misant sur l'immobilier neuf, vous pouvez bénéficier d'une défiscalisation partielle de votre achat grâce au dispositif Pinel. Depuis 2014 ce dispositif permet d'avoir une déduction fiscale allant de 12 à 21% du prix du logement, pour une durée de mise en location minimum de 6, 9 ou 12 ans. Dans le cas des meublés et des loueurs meublés non professionnels, la loi Censi-Bouvard permet également de récupérer la TVA immobilière ainsi que de bénéficier d'une réduction d'impôts à hauteur de 11% du montant de l'investissement pendant 9 ans de mise en location. Si vous souhaitez toutefois investir hors d'une zone Pinel (zones tendues) ou que vous comptez habiter le logement dans lequel vous investissez, il est tout à fait possible de le faire mais vous ne bénéficierez pas d'autant d'avantages fiscaux. Un patrimoine durable Étant donné que l'humain aura toujours besoin de se loger, il n'y a pas de crainte à avoir que l'immobilier disparaisse un jour. Investir dans l'immobilier neuf représente donc une valeur sûre et la garantie d'un patrimoine qui va durer dans le temps. L'immobilier ancien peut réserver des mauvaises surprises après quelques années pour un propriétaire. L'immobilier est une valeur refuge, elle est stable et à tendance haussière. Avec les garanties mentionnées précédemment et la stabilité de l'immobilier, vous pouvez être serein dans votre investissement. Investir à crédit Il est possible d'investir à crédit dans du neuf avec un prêt immobilier. Celui-ci permet d'emprunter la somme nécessaire et de rembourser tout ou partie des mensualités avec les loyers. L'un des deux avantages de cette méthode est de fournir un effort d'épargne raisonnable tout en disposant au final d'un patrimoine immobilier. L'autre est de pouvoir vous permettre une acquisition plus importante qu'en puisant dans votre épargne personnelle via l'effet de levier du crédit. La rente locative Si malgré tout vous souhaitez vous assurer de la rentabilité de votre projet, il est possible de louer votre bien. Une fois votre crédit immobilier remboursé, vous percevrez des loyers bruts pouvant profiter d'un abattement de 30% ou de 50% pour les loueurs en meublé non professionnels. Vous limitez donc votre imposition sur les revenus fonciers. Une facture énergétique et écologique attrayante En choisissant l'immobilier neuf, vous vous assurez d'avoir un bien conforme aux dernières normes écologiques. Dans le contexte actuelle de crise énergétique, ces nouvelles constructions bénéficiant de meilleures isolations et donc de moins de déperditions de chaleur. Elles sont donc un moyen d'alléger la facture et de s'inscrire dans une démarche environnementale ce qui ne manquera pas d'attirer de potentiels locataires fuyant des passoires énergétiques. Alléger les frais de notaires Les frais de notaires sont à ajouter au prix de vente du bien immobilier que vous ciblez. Que ce soit de l'ancien ou du neuf, ils servent à couvrir le coût des démarches administratives, la rémunération de l'office national et les taxes ou impôts . En revanche, l'immobilier neuf profite d'avantages financiers concernant les frais de notaires, en plus d'un prix d'achat généralement plus bas. Ces frais sont réduits pour l'achat d'un bien neuf et représentent 2 à 3% du prix d'achat par rapport à 7 à 8% pour l'ancien.
Il y a 2 ans et 157 jours

Avec le visiophone connecté Hi), CDVI revient sur le marché de l'interphonie

Hi) simple comme « bonjour »Doté d’une caméra haute résolution et fonctionnant en 4G, le visiophone connecté Hi) de CDVI permet d’accueillir des visiteurs à distance à partir d’un smartphone et de surveiller l’accès à son domicile partout et à tout moment.Conçu et fabriqué en France, il se présente sous la forme d’un kit complet prêt à poser (système plug and play) qui comprend :une platine de rue extrêmement simple à câbler. Certifiée IP54, elle résiste à toutes les conditions météorologiques,deux contacts qui permettent de connecter jusqu’à deux serrures (portail, portillon...) pour déclencher leur ouverture,une carte SIM à insérer dans la platine pour bénéficier de la connexion à Internet en 4G pendant 1 an (partenariat avec SFR ou Orange avec plus-value), renouvelable à expiration (forfait Serenity ou Premium au choix). Une fois l’ensemble installé et activé, il ne reste plus qu’à l’utilisateur de télécharger gratuitement l’application mobile associée (App Store, Google Play Store) pour profiter des multiples fonctionnalités du visiophone connecté.Allier sérénité et sécuritéPolyvalent, le visiophone connecté Hi) offre la possibilité : d’accueillir avec son smartphone les visiteurs qui sonnent à son domicile, même en cas d’absence, de les voir et de dialoguer avec eux. Grâce au nombre d’utilisateurs illimités, la notification envoyée par Hi) bascule automatiquement vers les personnes habilitées. Pratique, pour ne plus rater aucune livraison !de surveiller à distance ce qui se passe devant la porte à l’aide du monitoring vidéo, accessible via l’application, et de la détection automatique de mouvement. En cas d’activité devant la platine, Hi) envoie immédiatement une alerte sur le téléphone et permet d’activer, si besoin, son alarme intégrée (92 dB). De quoi dissuader les rôdeurs mal intentionnés !d’autoriser les accès de façon temporaire ou permanente en générant des clés virtuelles sous forme de QR codes sécurisés à présenter devant la platine de rue. Exclusivité de CDVI sur une solution d’interphonie, cette fonctionnalité pratique n’en reste pas moins sûre puisque l’utilisateur peut, dans la seconde, modifier les horaires d’accès ou désactiver le QR code.Idéal aussi bien en résidentiel qu’en petit tertiaire par la richesse de ses fonctionnalités, le visiophone connecté Hi) de CDVI s’impose comme le système d’interphonie équipé d’une caméra le plus intelligent de sa génération.
Il y a 2 ans et 158 jours

Les gratte-ciels ont toujours la cote en Europe

Avec 330 mètres de haut, ce sera le plus haut gratte-ciel d'Europe occidentale: la construction de la tour Madrid Norte doit débuter en 2025 dans la capitale espagnole, sans susciter de polémique. La "skyline" du nord de Madrid, déjà composée de cinq gratte-ciels très reconnaissables, y suscite plutôt la fierté.Loin des débats à Paris ou Berlin, où les projets de tours sont vivement combattus.A Paris, l'inauguration en septembre, sans grande pompe, des tours Duo, conçues par l'architecte-star Jean Nouvel, est symbolique du peu d'appétence pour les gratte-ciels.La maire Anne Hidalgo est confrontée à l'opposition de ses alliés écologistes et de la droite, qui jugent ces projets énergivores et inesthétiques, et l'ont forcée à abandonner ou redimensionner d'autres projets.Signe de la sensibilité du sujet, le quartier d'affaires de La Défense, où vient d'être inaugurée la tour Hekla - là encore dessinée par Jean Nouvel - a lancé début décembre des "Etats généraux de la transformation des tours" pour réduire leur impact carbone.A Berlin, riverains et personnalités politiques critiquent un projet de tour de bureaux de 140 mètres de haut, qui va abriter le siège allemand du géant Amazon, l'accusant entre autres de favoriser la gentrification.Polémiques"Si vous avez des débats en Allemagne, ils sont davantage sociologiques et politiques que liés à la planification", souligne Hermann Horster, responsable ESG (critères environnementaux, sociaux et de gouvernance) chez BNP Real Estate."On va discuter sur le mode +voulons-nous encore ces tours aussi énormes issues des fantasmes d'architectes masculins ?+", détaille M. Horster."L'acceptation, aujourd'hui, des projets qui ont un impact urbain fort par les populations, est de plus en plus difficile. Et plus le projet est impactant, plus il va y avoir des oppositions, des polémiques...", juge Olivier Estève, directeur général délégué de la foncière française Covivio.Mais les gratte-ciels, ou "IGH" pour "immeubles de grande hauteur" dans le jargon de l'immobilier d'entreprise, continuent de se multiplier dans les quartiers d'affaires européens."Il n'y a qu'à voir ce qui peut se passer à Londres, où les tours sont plébiscitées, toujours parce qu'elles sont dans le centre de Londres, à la City, et parce qu'il y a un niveau de services qui est poussé à son maximum", tranche Vincent Bollaert, directeur France de Knight Frank, société britannique spécialisée dans l'immobilier d'entreprise.Restauration, salles de sport et surtout balcons, terrasses et autres espaces à l'air libre, sont particulièrement demandés."Ça, c'est une vraie révolution, parce qu'avant, le seul espace extérieur, c'était le pied de tour. Vous aviez 80 fumeurs en permanence devant", raconte Yannis de Francesco, directeur de l'agence Bureaux Ile-de-France du spécialiste de l'immobilier d'entreprise JLL.Arguments verts"On pense aussi bien-être: ce sont les services, c'est la lumière, c'est la taille des plateaux, la hauteur libre, intégrer tout ce qui est mobilités douces...", énumère Vincent Bollaert.Car les tours, malgré leur caractère énergivore, font également valoir des arguments écologiques: elles sont souvent proches des centres-villes et donc bien desservies par les transports en commun, contrairement aux "campus" en vogue dans les années 2000.Dans une époque marquée par le traumatisme des attentats du 11 septembre 2001 à New York, "il y avait vraiment la panique des grandes tours, donc on était plutôt sur la sécurité accrue et plus trop sur la tour la plus haute", se souvient Ingrid Nappi, professeure à l'Ecole des Ponts.Plus récemment, la pandémie a accru les craintes vis-à-vis des ascenseurs. "Toutes les crises remettent en cause les tours", dit-elle.Les gratte-ciels limitent aussi l'artificialisation des sols, nocive pour la ville et le climat, et les plus emblématiques collectionnent des labels de qualité environnementale plus ou moins reconnus: Leed, Well, Breeam, HQE...Ils se veulent aussi pionniers dans la mixité d'usages.Ainsi la future - et contestée - Tour Triangle au sud de Paris, qui inclut, en plus des bureaux, un hôtel, une crèche et des commerces, est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.C'est aussi le cas du projet FOUR Frankfurt dans la métropole allemande, dont quatre tours incluront aussi des logements, y compris aidés, pour donner de la vie au quartier d'affaires.
Il y a 2 ans et 159 jours

Recommandations pour une livraison du béton à la pompe en sécurité

Les recommandations SNPB et du SNBPE pour une livraison du béton à la pompe en sécurité sont disponibles. [©SNPB] Le Syndicat national du pompage du béton (SNPB) et le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) viennent de publier une toute nouvelle fiche métier. Celle-ci rappelle les recommandations essentielles à respecter pour une livraison du béton à la pompe en sécurité. Ainsi, ce document mentionne tout d’abord les vérifications nécessaires avant toute livraison. A savoir : • Présence éventuelle de lignes électriques aériennes ou de réseaux enterrés à proximité de la zone de coulage ;• Dérogation de voirie ou de tonnage sur le chantier si nécessaire ;• Accès viabilisé au chantier et une zone de déploiement de la pompe ;• Fourniture par les chantiers d’un accès et d’un cheminement en hauteur sécurisé aux techniciens de pompage ;• Présence de garde-corps ou de protections collectives sur les planchers ou tous les ouvrages à couler situés en hauteur. Lire aussi : Le portrait du pompage du béton en France Cette fiche précise aussi les points à réaliser lors de la prise de commande et les différents documents à prévoir. Ainsi, le formulaire “Allo Commande” permet de signaler au prestataire de pompage tous les points nécessaires à connaître pour réaliser une prestation en toute sécurité. Autant d’éléments à intégrer au bon de commande : • Adresse du chantier, dérogations éventuelles…• Mentions de présence de lignes électriques, à préciser par oui ou par non. L’option “Ne sait pas” n’est pas conforme.• Nécessité de visiter ou faire visiter par le prestataire le chantier en cas de doute ou d’imprécisions. Des documents obligatoires à posséder Enfin, les recommandations SNPB listent les documents obligatoires à posséder. Le récépissé de Dict est le premier. En effet, avant d’effectuer des travaux à proximité de réseaux, les entreprises comme les particuliers doivent adresser une déclaration préalable aux exploitants concernés. Ceci, après avoir consulté le téléservice de recensement des réseaux ou un prestataire conventionné par le guichet unique. Les récépissés de Dict doivent être demandés aux clients utilisateurs de pompe lors de la prise de commande de la pompe et être ensuite fournis aux prestataires de pompe avant coulages. Pour mémoire, en cas de livraison chez un particulier, la délivrance d’une Dict demande entre 7 à 9 j non compressibles. Enfin, depuis le 1er janvier 2018, tous les techniciens de pompage doivent être détenteurs de l’AIPR (autorisation d’intervention à proximité des réseaux). Cette dernière à une durée de validité de 5 ans. Un technicien détenteur de l’AIPR a été formé à la “Mise en œuvre en sécurité des pompes à béton” par un formateur certifié Afnor Compétence. Aussi, s’il constate le non-respect de règles ou de recommandations de sécurité, il peut exercer son droit de retrait et doit en informer son responsable. Téléchargeable uniquement par les adhérents. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 159 jours

Wardian Londres, un programme résidentiel au sommet

Dominant le quartier financier prestigieux de l’Isle of Dogs sur le quai de Canary Wharf de Londres, le programme résidentiel de luxe, Wardian, s’ancre toute en transparence. Le complexe construit par EcoWorld Ballymore se compose de deux tours résidentielles de 50 et de 55 étages qui abritent au total 768 logements,ce qui en fait l’un des programmes les plus haut de Grande Bretagne.   Immédiatement reconnaissables à leurs balcons généreux et à leurs profils élancés, les deux tours sont situées au-dessus d’un podium, qui abrite un grand hall, des installations communes, des commerces, une salle de cinéma et un café au bord de l’eau.  Le complexe a été habillé de façades vitrées de haute technicité signées WICONA, participant directement au confort thermique et acoustique des usagers. Pour répondre aux besoins particuliers des immeubles de grande hauteur soumis à une forte exposition (vent, pluie) WICONA a développé pour ce projet la fenêtre à translation WICSLIDE 150 « Pull and Slide », depuis commercialisée en gamme. Une première mise en œuvre spectaculaire. Crédit photo : John Kees  Inspiré par l’explorateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward Wardian London a été inspiré par le grand explorateur et innovateur Dr Nathaniel Bagshaw Ward, responsable de la création du Wardian Case, utilisé pour transporter des plantes autour du monde à l’apogée de l’Empire britannique.  Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. Le renommé cabinet de design Glenn Howells Architects a été chargé d’élaborer non seulement le concept global et la conception détaillée, mais aussi une grande partie de l’aménagement intérieur. Le choix d’utiliser des portes WICLINE 75 de WICONA, des vitrages coulissants WICSLIDE 150 PS sur mesure et des fenêtres WICLINE 90 SG, tous intégrés dans la solution de façade à éléments personnalisée, a été défini par le constructeur de façade tchèque Sipral.  Les installations techniques contribuant de manière significative à la consommation d’énergie d’un bâtiment tout au long de son cycle de vie, la gestion des apports solaires et la volonté d’éviter le recours à la climatisation ont été des principes majeurs dans la philosophie de conception du Wardian. Par conséquent, en plus d’aménager des jardins sur le toit avec des arbres matures pour tempérer l’air entrant, la conception des tours fait un usage impressionnant de mesures passives pour protéger les espaces de vie contre les apports solaires.  Crédit photo : John Kees  « Le projet s’inspire de la botanique et de l’idée des serres portables inventées par Nathaniel Bagshaw Ward, tout en considérant la durabilité comme un autre facteur clé. La conception du complexe Wardian avec des terrasses en saillie permet de limiter les apports solaires et ainsi de réduire de 42% la charge de refroidissement par rapport à des tours dont les façades sont moins ombragées. Cette réduction devrait atteindre 55% d’ici 2050 face au réchauffement climatique.   Au lieu de miser sur des systèmes de climatisation, les jardins de toit du Wardian rafraîchis-sent l’air entrant tout en offrant à chaque logement un grand espace ombragé. La végétalisation contribue également à la qualité de l’air, tout en créant un environnement relaxant et convivial. Nous avons aussi étroitement collaboré avec Sipral pour mettre au point les spécifications du vitrage et satisfaire aux exigences en matière d’apport solaire mais avons également dû investir beaucoup d’efforts pour relever les défis d’isolation acoustique. Les niveaux inférieurs qui font face à ligne de métro léger DLR ont été dotés d’une seconde couche de vitrages alors qu’une grande partie de la façade orientée vers l’aéroport de Londres City a été équipée de vitrages insonorisants. »  Porte-parole de Glenn Howells Architects. Ouverture maximale et confort optimal  Spécifiés en fonction de leur position sur les façades des deux tours, les systèmes de fenêtres et de portes WICONA installés par Sipral assurent une réduction sonore de 35 dB ou de 41 dB, obtenue à la fois par le soin apporté aux détails des châssis et par l’utilisation de verre acoustique. La majorité des fenêtres, y compris les éléments de balustrade peints en arrière, affichent une valeur de 1,0 W/m2K.  Les appartements et les penthouses sont équipés de fenêtres WICLINE 90 SG, avec plus de mille unités installées sur les deux bâtiments. Le contrat de Sipral incluait l’installation de 3 525 m2 de façade rideau dotés de plus de 50 éléments sur mesure tels que des capots.  Crédit photo : John Kees  Crédit photo : John Kees  Le système WICLINE offre à la fois une flexibilité esthétique et un haut niveau de fonctionnalité, permettant ainsi au spécificateur d’optimiser la performance énergétique, l’isolation acoustique et la sécurité. Comme tous les autres systèmes WICONA, il est compatible avec les différents types de façade WICTEC, des assemblages classiques à montants et traverses aux grandes façades à éléments, voire même aux façades à vitrage structurel. WICTEC satisfait pleinement aux exigences des essais de résistance aux intempéries et au feu définies par la norme EN 13830 et s’adapte facilement à presque tous les styles architecturaux grâce à la disponibilité de différents types de profilés.  « Le Wardian a été un projet difficile face aux défis acoustiques et d’autres exigences technologiques qui ont nécessité une solution de façade à éléments sur mesure. Notre client Sipral a fourni à cet effet des portes de balcon WICLINE 75, des fenêtres WICLINE 90 SG et des portes coulissantes WICSLIDE 150 PS, alors que la façade à éléments même a nécessité la mise au point de 54 nouveaux profilés. » Tim Rook, concepteur de projet pour Wicona  Parties-prenantes Projet: Wardian  Lieu: London, Royaume-Uni  Architecte: Glenn Howells  Façades par: SIPRAL  Solutions WICONA: WICTEC EL evo (solution personnalisée), WICLINE 75, WICLINE 90 SG, WICSLIDE 150 PS (solution personnalisée)  Photographe: John Kees 
Il y a 2 ans et 162 jours

Le Qatar dit enquêter sur le décès d'un travailleur sur un site du Mondial

"Si l'enquête conclut que les protocoles de sécurité n'ont pas été respectés, l'entreprise s'expose à des poursuites judiciaires et à de lourdes sanctions financières", a précisé le gouvernement dans un communiqué.D'après The Athletic, la victime serait un Philippin d'une quarantaine d'années tombé d'un chariot élévateur alors qu'il réparait les éclairages d'un parking. Plusieurs sources ont indiqué qu'il ne portait pas de harnais de sécurité."L'ambassade des Philippines à Doha enquête toujours sur cette affaire", a fait savoir le ministère philippin des Affaires étrangères à l'AFP, en disant ne pas être en mesure de donner plus de détails dans l'immédiat.Dans un communiqué, la Fifa s'est dite "profondément attristée par cette tragédie". "Nous avons contacté les autorités locales pour demander plus de détails", a ajouté l'organisation dans un communiqué.A Doha, le Comité suprême d'organisation du Mondial a assuré dans un communiqué qu'il n'employait pas l'ouvrier en question, et que l'accident s'était produit "sur une propriété ne relevant pas de sa compétence".Il a toutefois dit suivre l'affaire "avec les autorités compétentes" et être en "contact avec la famille" de la victime.Le Qatar dispose d'un mécanisme de compensation des accidents du travail et des salaires non payés, qui a permis le versement de plus 350 millions de dollars jusqu'à présent, selon les autorités.Depuis qu'il s'est vu attribuer l'organisation du Mondial-2022 en décembre 2010, le petit émirat du Golfe est sous le feu des critiques concernant les conditions de travail et de vie de ses centaines de milliers de travailleurs migrants venus d'Asie et d'Afrique.En réponse, Doha fait valoir des réformes inédites du code de travail, saluées par des organisations syndicales, qui appellent néanmoins à une application plus rigoureuse.Le chiffre du total des morts dans des accidents du travail pendant les préparatifs du Mondial varie selon les sources, allant de 414 décès entre 2014 et 2020, d'après le Qatar, à plusieurs milliers depuis 2010, selon des ONG.
Il y a 2 ans et 162 jours

Comprendre, Agir, Partager : les fondamentaux de l’UNPG

L’Union nationale des producteurs de granulats a été reconnue “Partenaire engagé pour la nature”. [©Unicem] Comprendre, Agir, Partager. Ce sont les 3 fondements de la feuille de route établie par l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG). En juin dernier, elle a été reconnue “Partenaire engagé pour la nature” par l’Office français de la biodiversité. S’inscrivant dans un programme initié par le ministère de la Transition écologique, cette récompense vise à renforcer la mobilisation de l’ensemble de la société civile vis-à-vis de la biodiversité. Elle vient mettre en lumière un engagement d’une trentaine d’années des producteurs français de granulats dans des démarches environnementales. Un programme précis est établi sur chaque carrière, afin de préserver l’éco-système du site et de restaurer, voire de créer, des espaces favorables à la biodiversité. Comprendre, Agir, Partager : 3 axes fondamentaux Lire aussi : UNPG et SNBPE : Qu’est-ce qu’un “Passeport Sécurité” ? L’UNPG a établi une feuille de route sur 3 axes clefs. Tout d’abord, Comprendre. Il s’agit de savoir évaluer l’empreinte biodiversité de la filière construction, par exemple grâce à des outils de calcul adaptés. C’est aussi l’amélioration des connaissances sur les fonctionnalités des sols en carrière et la participation à des programmes de recherche ou d’amélioration de la connaissance de certaines espèces. Ensuite, Agir. Former les acteurs sur la biodiversité, afin d’optimiser les connaissances et les compétences des exploitants de carrière. Il s’agit aussi de valoriser les “chantiers nature” et inciter les professionnels à suivre ces exemples. L’UNPG prévoit de mener des enquêtes et d’informer régulièrement les acteurs du monde de la construction sur le sujet du respect de la biodiversité. Enfin, Partager. L’UNPG ambitionne de partager les bonnes pratiques en matière de biodiversité, génie écologique et géo-diversité. Il faut ouvrir ce sujet aux jeunes et maintenir les relations entre acteurs publics et privés de la biodiversité. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 163 jours

innovations chez jk technic le specialiste du caillebotis depuis 1996

De nouveaux produits viennent compléter l’offre de caillebotis de JK Technic : grilles de sécurité et marches PMR, un système de fixation et un nouveau coloris pour le polyester.
Il y a 2 ans et 163 jours

Réforme des retraites : malgré les syndicats, 65 ans et 49.3 tiennent la corde

Les secrétaires généraux de la CFDT et de la CGT, Laurent Berger et Philippe Martinez, ont déjà promis une mobilisation sociale "déterminée" en cas de report de l'âge de départ, à l'issue de leurs rendez-vous jeudi avec Elisabeth Borne, pour parler de cette réforme qu'elle doit présenter autour du 15 décembre.Son contenu se dessine de plus en plus clairement. "Tout le monde était d'accord sur 65 ans", a résumé un participant d'un dîner mercredi soir à l'Élysée, autour du président de la République Emmanuel Macron et de la Première ministre, avec les responsables de la majorité et plusieurs ministres."Le président de la République a été ferme, il a dit (...) qu'il s'était engagé sur 65 ans. Donc on ne va pas tourner casaque avant le match", a ajouté ce participant.La patronne des députés Renaissance Aurore Bergé a redit sur LCI jeudi matin "assumer" un report de l'âge de départ à 65 ans, qui a été convenu à ce dîner.49.3 "pas tabou" Le patron du MoDem François Bayrou, autour de la table mercredi soir, a selon différentes sources plaidé pour faire davantage "la pédagogie de la réforme".Emmanuel Macron avait défendu pendant la campagne présidentielle un report de l'âge légal de 62 à 65 ans, avant d'évoquer une fois réélu un recul à 64 ans couplé à une augmentation de la durée de cotisation.Ces points font l'objet d'une concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux qui doit se terminer vendredi.Quand à la méthode, le projet de loi rectificatif de financement de la Sécurité sociale (PLFSSR) est le "véhicule qui est envisagé" pour cette réforme "pour ne pas hypothéquer la cartouche unique de 49.3", selon deux participants au dîner.Sur les textes budgétaires, comme le PLFSSR, le gouvernement peut dégainer à loisir l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote. Mais sur un texte non budgétaire, il ne peut l'utiliser qu'une seule fois par session.Le 49.3, "ça ne doit pas être tabou", a confirmé Aurore Bergé, si les oppositions, et notamment la droite qui a des propositions "pas si éloignées de celles que nous avons portées", sont "arc-boutées"."On a besoin de partenaires. Aujourd'hui c'est pas un secret, il n'y a personne qui veut jouer avec nous", a reconnu un cadre de la majorité, espérant encore un "geste" de la CFDT."Tout report de l'âge légal de départ en retraite fera que la CFDT sera en intersyndicale pour se mobiliser", a pourtant prévenu M. Berger à sa sortie de Matignon.Les syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU) ont annoncé qu'ils décideraient d'une "première date de mobilisation unitaire" en janvier "si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet" ."Coup de force"Sur le front politique, la recherche d'alliés paraît tout aussi compliquée pour la Première ministre qui s'entretiendra la semaine prochaine avec les différents groupes parlementaires, de la majorité comme de l'opposition.Même si Bruno Retailleau, qui brigue contre Éric Ciotti la présidence de LR, ne ferme pas la porte. "Si c'est une réforme qui vient sur nos propositions à nous, je ne vois pas pourquoi je m'y opposerai", a-t-il assuré sur Sud Radio, en citant un report à 64 ans, ainsi qu'un allongement de la durée de cotisation.Rien à espérer en revanche pour le gouvernement du côté du RN, ou, à l'autre bout de l'échiquier, de La France insoumise.En cas de 49.3, "nous voterons l'intégralité des motions de censure qui seront déposées, quel que soit le groupe qui les dépose, et évidemment nous en déposerons une", a déjà averti sur RTL Marine Le Pen, opposée à ce "coup de force"."Il n'y a aucune raison de briser un système qui n'est pas en péril", a aussi déploré la députée LFI Clémentine Autain au micro de Public Sénat.
Il y a 2 ans et 163 jours

Accidents du travail : pour Dussopt, "600 morts par an, ce n'est pas acceptable"

"600 morts par an, ce n'est pas acceptable. Il faut diffuser une culture de prévention dès la formation initiale, pendant la formation continue et auprès des chefs d'entreprises", a-t-il déclaré à l'issue d'un bilan d'étape avec les partenaires sociaux "du plan de prévention des accidents de travail graves et mortels" lancé en mars 2022.En 2021, il y a eu, selon l'Assurance maladie, 645 décès reconnus en accident du travail, dont 361 malaises, 88 accidents de la route (hors accidents de trajet domicile-travail), 38 suicides et 158 autres (chutes de hauteur, utilisation des machines, etc).Le plan cible les salariés les plus vulnérables (jeunes et nouveaux embauchés, travailleurs intérimaires, indépendants ou détachés), notamment lors de leur formation initiale pour les jeunes ou lors de la prise de poste.Par exemple, un mémo est donné aux jeunes en formation professionnelle avant qu'ils aillent en entreprise, la communication est renforcée à l'égard des directions des lycées professionnels, des centres de formation d'apprentis...Selon l'Assurance-maladie, près de 15% des accidents graves et mortels surviennent au cours des trois premiers mois suivant l'embauche.D'autres campagnes ciblées sont organisées, notamment dans le BTP."Il ne faut pas jeter l'opprobre sur un secteur, car les branches accidentogènes sont souvent celles qui font le plus d'effort comme le BTP", a souligné M. Dussopt."Mais on peut encore progresser. Il faut agir sur tous les leviers: prévention, équipement matériel, publics fragiles, contrôle", estime le ministre qui a demandé à être informé de chaque accident mortel dans les 48 heures.Depuis le début 2022, 5.300 décisions d'arrêts de travaux ont été ordonnées par l'inspection du travail en raison d'un risque pour le salarié, "ce qui montre l'ampleur des défis devant nous", a-t-il dit.Selon Pascal Jacquetin, de l'Assurance maladie, les accidents du travail qui provoquent une incapacité permanente ou un décès sont passés de 10 à 5% depuis les années 50 du fait "de la tertiarisation de l'économie et des mesures de sécurité prises dans le BTP et la métallurgie"."Mais ils représentent entre 55 et 60% du coût des accidents pour le régime général", a-t-il souligné.
Il y a 2 ans et 163 jours

Z'Tower, le tout nouvel échafaudage roulant télescopique pour le bâtiment et l'industrie

Garantir plus de sécurité et répondre aux besoins des utilisateurs : les axes de développement majeurs pour TUBESCA-COMABITubesca-Comabi travaille sur l'amélioration continue de ses gammes, toujours à l'écoute des distributeurs et utilisateurs. De nouvelles technologies sont constamment mises en oeuvre afin de concevoir de nouvelles solutions et le Z'TOWER en est le résultat.Substitut du NANO'TOWER, il offre 7 niveaux de plancher (de 0,30 m à 1,80 m), soit 7 réglages de hauteur possibles tous les 25 cm, au lieu des 4 réglages précédemment et permet de travailler à une hauteur de travail maxi de 1,80 m contre 1 m. Comme le précise David Flour, Chef de projets BE de Tubesca-Comabi : "Il fallait faire un produit plus haut que le NANO'TOWER, tout en apportant des améliorations conséquentes. Il fallait un produit compact qui puisse s'utiliser à plusieurs hauteurs de travail." Facile à manipuler grâce à sa légèreté (50 kg - hors plinthes), il peut être déplacé facilement par une seule personne, permettant ainsi un gain de temps et de productivité considérable. Il a été ainsi pensé comme le compagnon de tous les chantiers.Conforme au décret 2004-924, relatif à l'utilisation des équipements de travail mis à disposition pour des travaux temporaires en hauteur, il est également conforme à la norme en 1004-1. Équipé d'un plancher anti-dérapant intégré, de garde-corps et de stabilisateurs rétractables, proposant un montage rapide et facile depuis le sol sans outil, il garantit un travail conforme aux exigences du MDS (Montage et Démontage en Sécurité).La parole à Richard Perrin, responsable marketing de Tubesca-ComabiRetour sur les atouts du Z'TOWER :Conception "monobloc" : pas de perte ni d'oubli d'éléments sur les chantiersMontage facile et rapide en 2 minutes seulement !Sans vis ni outils, par une seule personne7 réglages de hauteur possibles : de 30 cm à 1,80 m plancherExcellente compacité : se transporte dans un petit utilitaireStabilisateurs rétractables pour franchir aisément les portesUltra mobile : roues à frein orientables à 360° anti-trace Ø125 mmDimensions repliées : 0,69 x 0,95 x 1,65Conforme aux réglementations Décret FR et EN 1004-1Conçu et fabriqué en FranceToutes les pièces de rechange sont disponibles en cas de besoin et peuvent être directement commandées en ligne : https://boutique.tubesca-comabi.com
Il y a 2 ans et 164 jours

L'Observatoire national du cadre de vie dévoile les résultats de son Baromètre annuel

L’Ordre des géomètres-experts, le Conseil national des architectes, l’OPQU, l’UNAM, l’Association Française Interprofessionnelle des écologues, la Fédération des SCOT, l’OFB et le pôle habitat de la FFB ont présenté la nouvelle enquête réalisée par OpinionWay. Les résultats de ce Baromètre permettent de comprendre comment les Français perçoivent leur cadre et de vie et de livrer des indicateurs sur les principaux facteurs de satisfaction chez eux ou au travail.En 2021, OpinionWay avait déjà réalisé un premier Baromètre pour l’ONCV, particulièrement marqué par les effets de la pandémie. Réalisée auprès d’un échantillon de plus de 1.000 personnes représentatif de la population, cette enquête permet de suivre le rapport des Français à leur cadre de vie en fonction de leur région, leur lieu d’habitation (agglomérations, villes moyennes et communes rurales), leur âge et leur catégorie socio-professionnelle. Le Baromètre est segmenté en 3 parties : « les perceptions du cadre de vie actuel », « les critères les plus importants dans le choix de son cadre de vie » et « l’impact du changement climatique sur le choix du cadre de vie ».Des Français attachés au confort de leur logement et à la proximité des services de santé, mais qui souhaitent préserver leur pouvoir d’achat Sans surprise, « le confort et la qualité de leur logement » demeure le premier critère d’importance du cadre de vie pour les Français (61%), en progression par rapport à 2021 (+4 points). Viennent ensuite le calme (55%, +2 points) mais aussi la sécurité, en forte hausse (54%, +5 points). Ce dernier critère est plus important pour les personnes âgées de 65 ans et plus (63%), les habitants de villes moyennes (62%) et les personnes vivant dans un quartier proche du centre-ville (58%).En période de forte inflation, deux Français sur cinq mentionnent « l’argent et le pouvoir d’achat » comme un élément important lorsqu’on évoque leur cadre de vie, et ce critère est en forte hausse (41%, +11 points).Dans une période où les pouvoirs publics sont en recherche de solutions pour remédier à la désertification médicale, la proximité des services de santé est un autre critère qui prend de l’importance pour les Français (41%, +12 points). 23% d’entre eux considèrent même que cette proximité est indispensable pour leur cadre de vie. Sept Français sur 10 (69%) estiment d’ailleurs qu’il est tout à fait prioritaire de disposer d’un médecin généraliste à moins de 15 minutes de chez eux, et 65% d’une pharmacie. Les Français qui jugent prioritaire la présence d’un médecin généraliste sont plutôt des personnes âgées de 50 ans et plus (76% contre 61% des personnes âgées de moins de 50 ans, voire 52% des personnes âgées de 18 à 24 ans) ou des personnes vivant en province (71% contre 61% des Franciliens). Ces résultats confirment l’enjeu générationnel et territorial des déserts médicaux.Enfin, il convient de relever que les Français jugent leur cadre de vie moins satisfaisant en matière d’offre de services qu’en 2021 (72% de satisfaits et -4 points pour l’accès aux loisirs, idem pour la proximité avec les services de santé). En revanche, d’autres dimension comme la présence de nature (80%, +3 points) ou l’absence de pollution (65%, +2 points) gagnent en satisfaction.Les Français privilégient éloignement du centre-ville et tranquillité… tout en conservant l’accès aux services Alors que la crise sanitaire a suscité des désirs de changement de cadre de vie, plus d’un tiers des Français déclarent vouloir déménager pour gagner en confort (35%, +1 point). Cette aspiration est particulièrement forte chez les femmes (40% contre 30% des hommes), les jeunes (54% des personnes âgées de moins de 35 ans contre 29% des personnes âgées de 35 ans et plus), les actifs (40% contre 29% des inactifs) et les urbains (43% des habitants de l’agglomération parisienne contre 30% des ruraux).Partagés quant à l’idée de se rapprocher de leur travail (53%) ou de leurs proches (46%), les avis des Français sont plus tranchés concernant l’environnement de leur logement : ils penchent pour un logement fonctionnel mais éloigné du centre-ville (75% contre 23% qui, au contraire, mettent la dimension fonctionnelle au second plan par rapport à la localisation en centre-ville). En effet, le besoin de calme est un critère important pour une grande partie des Français. Ces derniers souhaitent voir le moins de personnes possible lorsqu’ils sortent de leur maison/appartement (72%).Enfin, la proximité avec les commerces et les services est un critère ambivalent selon les Français : si 52% d’entre eux préfèrent avoir un espace plus petit mais être proches des services commerciaux, médicaux, etc., l’autre moitié favorise l’espace quitte à s’éloigner des services (46%). Ce clivage s’explique en partie par l’habitude des modes de vie : 86% des ruraux privilégieront leur logement, quand les habitants de l’agglomération parisienne préfèreront l’accès aux services, commerces, soins, etc. (36%, soit +24 points par rapport aux ruraux). À l’avenir, le réchauffement climatique entrera en ligne de compte dans le choix de cadre de vie des Français Interrogés sur les projets de végétalisation dans les villes et territoires, les Français plébiscitent prioritairement la préservation de la biodiversité (59% tout à fait prioritaire), le développement d’espaces naturels près des centres-villes (57%) et la plantation d’arbres, de fleurs dans les espaces publics et chez les particuliers (55%). L’accès à la nature est, en effet, un enjeu important pour 85% des Français (dont 44% tout à fait prioritaire).À cette volonté de végétalisation, de verdure, s’ajoute la question du changement climatique et de ses effets, dont les Français ont pleinement conscience. Bien qu’il n’ait pas encore pesé sur leur choix du lieu de vie actuel (71% dont 39% de non, pas du tout), à l’avenir, le changement climatique va avoir un impact pour les Français dans le choix de leur cadre de vie (57% dont 18% de oui, tout à fait). Une tendance particulièrement marquée chez les plus jeunes, les habitants de l’agglomération parisienne et les personnes qui ont envie de déménager. Ils sont respectivement 69%, 64% et 69% à déclarer que les effets du réchauffement climatique pèseront sur le choix de leur futur lieu de vie.L’augmentation des températures et les canicules, ressenties notamment pendant l’été et l’automne 2022, sont la première crainte mentionnée par un quart des personnes interrogées (25%). Viennent ensuite le besoin d’adapter les équipements du logement (13%) et l’augmentation des catastrophes naturelles (12%).L’impact du changement climatique devient, dès lors, un autre motif pour souhaiter vivre ailleurs : près d’un Français sur cinq déclare qu’il pourrait reconsidérer son lieu d’habitation en fonction de l’évolution du réchauffement climatique (19%, dont 9% dans une autre région ou pays).« Ce rendez-vous annuel permet de capter l’évolution des attentes des Français et livre des indicateurs précieux qui permettent aux collectivités d’affiner leurs politiques publiques et aux acteurs du cadre de vie d’identifier les leviers à actionner pour renforcer l’attractivité des lieux de vie », estime Bruno Jeanbart, Vice-Président d’OpinionWay.Le baromètre annuel du cadre de vie réalisé par Opinionway est disponible ici : LIEN.
Il y a 2 ans et 164 jours

WICONA a présenté au salon BATIMAT sa façade nouvelle génération : la WICTEC 50 NG

WICONA a présenté au salon BATIMAT une nouvelle façade, très attendue des clients : la WICTEC 50 NG. Techniquement avancée, WICTEC 50 NG traverse égale montant est l’alliance réussie des points forts du système WICTEC (technologie et performances) et du système MECANO (facilité de fabrication). Cette nouvelle référence en aluminium recyclé Hydro CIRCAL® concentre de nombreuses innovations au niveau de la fabrication, et notamment de l’assemblage et de l’étanchéité. Elle viendra enrichir le catalogue de la marque début 2023. Crédit photo : Patrick Loubet Une fabrication et un système d’assemblage ingénieux Le mur-rideau WICTEC 50 NG se distingue par une conception ingénieuse dont l’objectif est de concilier hautes performances, esthétique, facilité de fabrication et compétitivité. Pour satisfaire ces ambitions, WICONA a conçu une solution économique selon laquelle la même référence de profilé est utilisée en traverse et en montant, ce qui permet d’économiser 25% de matière par rapport à une façade où les profils de montant et de traverse sont différents. L’usinage en coupe droite simplifie également la fabrication. Pas de programmation nécessaire au niveau des bancs d’usinage, ni besoin de recourir à un outil de délardage. Le profilé est scié à la verticale à la dimension adéquate. La traverse et le montant sont ensuite assemblés à sec en atelier via un accessoire d’étanchéité. Ce dernier est mis en oeuvre en pose de face, ce qui renforce la facilité de fabrication. Cet accessoire auto-étanche est prééquipé d’une pièce d’étanchéité qui évite le recours au butyle. La façade WICTEC 50 NG peut intégrer du double ou du triple vitrage jusqu’à une prise de volume de 62 mm d’épaisseur. Cela se traduit par des performances thermiques maximales conformes avec le label Passive House, acoustique et d’étanchéité élevées (jusqu’à 1 500 Pa). En termes de sécurité, la façade présentera dès sa commercialisation un classement retard à l’effraction de niveau 2 ou 3 selon les applications. Deux solutions d’assemblage sont proposées, selon les dimensions et les besoins de poids de vitrage : Pour des reprises de charge allant jusqu’à 200 kg (vs 100 kg avec le système MECANO), un support de cale de vitrage standard est utilisé, associé au raccord pose de face, fixé mécaniquement à l’aide de vis. Cette solution autorise des vitrages allant jusqu’à 50 mm d’épaisseur. Pour des reprises de charges lourdes allant jusqu’à 500 kg (vs 300 kg avec la façade MECANO), la cale de vitrage standard est remplacée par une version tubulaire, associée à 2 goupilles et un pièce anti-rotation, qui supporte aisément des remplissages de vitrages allant jusqu’à 62 mm (vs 32 mm auparavant). L’étanchéité intérieure du système est assurée par la mise en oeuvre d’un nouveau joint bidensité. Cette innovation brevetée WICONA admet des tolérances d’épaisseur de remplissage accrues jusqu’à +/- 2 mm. Elle permet de réaliser des angles et des facettes plus importantes (+/- 10°) et des jonctions auto-étanches, par compression des sur longueurs au niveau des angles, garantissant une étanchéité dans des conditions climatiques extrêmes, sans avoir besoin de recourir à du mastic à base de butyle. L’étanchéité extérieure est quant à elle assurée par la pose d’un joint sur le serreur filant ou le serreur ponctuel. Là aussi, deux solutions sont proposées : soit le recours au joint EPDM, solution éprouvée par les clients, soit le recours à une autre innovation WICONA : le joint TPE, 100% recyclable, compatible avec le nouveau service de prémontage industriel proposé par la marque. WICONA proposera de livrer des serreurs filants prêts à l’emploi, déjà équipés de joints TPE, afin de limiter les manipulations et ainsi d’optimiser l’espace de stockage et le temps de pose. Crédit photo : Patrick Loubet Des dimensions conditionnées au demi-périmètre de 5 mètres Économique et facile à fabriquer, le mur-rideau WICTEC 50 NG permet d’aller chercher des reprises de charges de vitrage importantes, allant jusqu’à 500 kg et autorise de grandes dimensions, à la condition de respecter des demi-périmètres de 5 mètres. Pour répondre aux différentes configurations de mur-rideaux, WICONA propose une gamme de traverses allant de traverses simples, dotées d’une toile standard à des traverses charges lourdes. Pour ces dernières, WICONA a créé une série des traverses renforcées comprenant une toile épaissie, une gorge pour les goupilles et un ergot permettant l’insertion de renforts en acier. L’ensemble de ces accessoires augmente l’inertie et permet de supporter des tailles et des poids de vitrages supérieurs. Esthétique soignée Le mur-rideau WICTEC 50 NG offre un vaste choix de solutions esthétiques, qui démultiplient les possibilités lors de la conception d’une façade. Ce système est disponible dans différentes applications : aspect grille, trames verticales et horizontales et un capot discret extra plat offrant un rendu lisse proche d’un vitrage VEC… Il crée des formes d’enveloppes originales, avec des angles ou encore des facettes sortants ou rentrants, des trames asymétriques, qui se distinguent dans le paysage urbain. Les solutions techniques permettent une grande variété d’esthétiques. Une collection de capots est proposée pour signer l’identité de chaque façade. Des formes en « T » ou en « U », avec des profondeurs comprises entre 17 mm et 100 mm, pour accentuer les lignes géométriques ou en arrondir l’écriture. Le tout étant compatible avec les nouveaux serreurs filants et les serreurs ponctuels qui ont été développés. L’ensemble pouvant être laqué ou anodisé dans la teinte souhaitée. Plus d’écoconception, moins d’impact carbone Ce mur-rideau est fabriqué en Hydro CIRCAL®. Constitué d’au minimum 75 % d’aluminium post-consommation recyclé, ce matériau garantit une empreinte carbone de 2,3 kg de CO2e/kg d’aluminium, soit la plus basse du marché. L’énergie nécessaire pour fondre cet aluminium est 95 % inférieure à celle de l’aluminium primaire obtenu à partir de l’extraction de la bauxite. La marque travaille également plus largement sur les matériaux avec des solutions de ruptures thermiques fabriquées en XPET à partir de bouteilles plastiques qui permettent d’atteindre la certification Passive House, ou encore des joints d’étanchéité extérieure TPE 100% recyclables. La réintroduction dans le cycle de vie de tonnes de matériaux déjà utilisés réduit significativement les déchets. Les composants du mur-rideau facilitent l’assemblage en atelier puis le démontage lorsque celui-ci arrive en fin de vie. Leur démantèlement est aisé, simplifiant le recyclage.
Il y a 2 ans et 164 jours

En deux ans, 87 accidents sur les chantiers des JO 2024

SANTÉ/SÉCURITÉ. La direction régionale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités d'Ile-de-France (Drieets) a dressé un bilan des accidents du travail qui ont eu lieu depuis le début des chantiers liés aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
Il y a 2 ans et 165 jours

Fenêtre praticable DXW adaptée pour marcher dessus

ConstructionLe châssis de fenêtre de toit plat est fait de profilés en PVC de plusieurs chambres, partiellement produits à partir de matières premières traitées. Les profilés sont blancs côté intérieur . Le matériau utilisé se caractérise par une haute résistance aux acides, ainsi qu'une absorption d'humidité très faible grâce auxquelles la fenêtre peut être posée dans chaque pièce.L'intérieur des profilés est rempli d'un matériau isolant, améliorant ainsi les paramètres isolants du produit. Les profilés supplémentaires qui pressent le matériau couvrant sous la châssis, facilitent le finissage de connexion de la fenêtre avec la couverture. La fenêtre DXW est disponible en double vitrage, coefficient Ug = 0,5 m2/K.FonctionnalitéUne construction spéciale, une capacité de charge renforcée et une couche antidérapante, permettent de marcher sur la fenêtre, pour se déplacer librement sur la terrasse. L’utilisation de la fenêtre DXW permet de créer une surface exploitable, sans être encombrés par la surface extérieure volumineuse des fenêtres de toit, ou puits de lumière.Sa construction optimal accepte l'installation d'accessoires intérieurLa fenêtre DXW est fournie avec le feuillard de fixation, permettant la jonction entre le dormant de la fenêtre et l’étanchéité du toit platLa fenêtre doit fournir une lumière naturelle à l'intérieur de la pièceSécuritéGrâce à une construction renforcée, une couche antidérapante et un double-vitrage sécure avec une vitre laminée, la fenêtre DXW est un produit fiable agréant la libre circulation au-dessus de sa surface.Économie d'énergieLa fenêtre de toits plats est conçue pour réduire les pertes de chaleeur dans la pièceLes profilés sont remplis d’un matériel thermo-isolant, améliorant ainsi les paramètres isolants du produitLa fenêtre DXW est disponible en double vitrage, coefficient Ug = 0,5 m2/KPour plus informations: cliquez ici
Il y a 2 ans et 165 jours

La "faible mixité" au sein des équipes favorise les cas de harcèlement sexuel

SANTE. L'Institut national de recherche et de sécurité a publié un nouveau dossier sur le harcèlement sexuel et les agissements sexistes au travail. Valérie Langevin, psychologue du travail et experte d'assistance conseil au sein de l'institut, décrypte pour Batiactu les risques liés à ce type de comportements et les moyens de les éviter .
Il y a 2 ans et 165 jours

Sonepar et Bureau Veritas s'allient pour répondre aux enjeux énergétiques des bâtiments tertiaires

Alors que les questions liées à la sobriété énergétique occupent une place centrale dans le débat public, de nombreuses entreprises réfléchissent à la manière de se conformer aux nouvelles obligations en la matière avec le décret tertiaire (« dispositif éco-énergie tertiaire ») qui concerne tous les bâtiments à usage tertiaire de plus de 1000 m2. Après avoir défini une année de référence pour leur consommation énergétique, les propriétaires et exploitants devront réduire cette consommation de 40% en 2030, et jusqu'à 60% d'ici à 2050.Pour accompagner ses clients dans cette démarche, Sonepar a fait le choix de mettre à disposition, une plateforme omnicanale, sur laquelle toutes les solutions Bureau Veritas liées au enjeux énergétiques seront présentées.« Grâce à cette plate-forme, les clients de Sonepar pourront commander des audits énergétiques, de l'accompagnement à la mise en oeuvre de plans de sobriété, ou encore avoir accès à des financements via les Certificats d'économie d'énergie. Par ailleurs, nous ouvrirons plus largement notre offre de services pour ces utilisateurs en y ajoutant des missions de vérifications électriques et des formations ad hoc. C'est avec fierté et engagement que Sonepar et Bureau Veritas allient leurs forces et leur expertise pour contribuer efficacement aux efforts de sobriété énergétique nécessaires aujourd'hui et essentiels sur le long terme pour répondre à l'enjeu climatique » explique Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique, France et Services aux Gouvernements de Bureau Veritas.Et Jérôme Malassigne, Président Sonepar France de poursuivre : « Les structures concernées sont nombreuses : plateaux de bureau, établissements de santé, établissements scolaires, équipements sportifs ou encore monuments historiques… En France, ce sont plus de 940 millions de mètres carrés qui sont concernés par le décret tertiaire. Notre volonté : accompagner nos clients installateurs et les utilisateurs des bâtiments dans leurs démarches de réduction de consommation d'énergie, et faire de cette réglementation une opportunité de business au service des enjeux énergétiques de demain. C'est ainsi une couverture de l'ensemble de l'écosystème électrique qui sera proposée aux professionnels du marché afin de leur apporter, partout en France, des réponses adaptées à leurs besoins de sécurité, de qualité et de conformité. »
Il y a 2 ans et 165 jours

Nouveautés sans-fil BITURBO Bosch Professional – Pour percer, scier et couper tout en puissance et en toute liberté 

Bosch étoffe sa gamme BITURBO avec 3 nouveaux outils sans-fil 18V. Le perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Professional offre la liberté du sans-fil avec les performances d’un outil filaire et davantage de confort. Quant à la GSA 18V-28 Professional, elle est la première scie sabre sans-fil avec la technologie BITURBO. Son rapport poids/puissance et ses performances de coupe font toute la différence. Enfin, la meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Professional combine les avantages des grandes et des petites meuleuses d’angle : une grande profondeur de coupe, un poids réduit et un design optimisé. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah) du système Professional 18V, permet aux outils d’atteindre leurs pleins potentiels en termes de puissance et d’autonomie. NOUVEAU PERFORATEUR SANS-FIL GBH 18V-40 C : LE PLUS PUISSANT DE SA CATÉGORIE Le nouveau perforateur sans-fil GBH 18V-40 C Bosch Professional offre des performances équivalentes à un outil filaire pour percer dans le béton, la pierre et la maçonnerie grâce à la technologie BITURBO Brushless. Il dispose d’une force de frappe élevée de 9,0 J pour buriner et percer rapidement des trous jusqu’à 40 mm dans du béton. Il bénéficie d’un rapport poids/puissance optimal grâce à son mécanisme de frappe optimisé, qui contribue à le rendre plus léger, et son système d’entraînement très performant. Un affichage interactif et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone permettent aux artisans de contrôler la machine, l’état de la batterie, et de personnaliser les réglages via 3 modes de travail : – le mode « Auto » pour des performances maximales, par exemple lors du percement dans le béton,– le mode « Soft » pour travailler dans des matériaux fragiles tels que la maçonnerie ou les carreaux,– le mode « Favori » pour personnaliser les performances de perçage via l’application Bosch Toolbox. Pour un meilleur confort d’utilisation, la batterie du perforateur est intégrée à l’avant de l’outil, ce qui optimise son centre de gravité et le rend plus facile à manier. La poignée déportée permet une manipulation aisée et une réduction des vibrations de l’outil. Les fonctions de démarrage progressif EPC (Electronic Precision Control) et ASC (Adaptive Speed Control) assurent un maximum de précision et de confort lors des travaux de perçage et burinage. En plus du débrayage de sécurité, le système KickBack Control protège l’utilisateur. Un capteur arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l’accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Le perforateur est également équipé d’un éclairage LED, d’un variateur de vitesse, d’un interrupteur blocable et de la fonction Vario-Lock. Il est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. Bosch propose également une large gamme d’accessoires dont les forets Expert, particulièrement résistants à l’usure.  ©Bosch NOUVELLE SCIE SABRE SANS-FIL GSA 18V-28 : DES PERFORMANCES DE COUPE ÉQUIVALENTES AUX OUTILS FILAIRES 1 100 W La nouvelle scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Bosch Professional BITURBO a été conçue pour répondre aux travaux de démolition ou de rénovation les plus exigeants. Métal, maçonnerie, isolant, plastique ou bois, tous les matériaux courants sont facilement et rapidement sciés. Grâce à la nouvelle technologie BITURBO Brushless, la GSA 18V-28 Professional profite des performances de coupe équivalentes à celles d’une scie sabre filaire de 1 100 W. Pour réaliser chaque découpe avec une grande précision, elle bénéficie d’un variateur de vitesse sur la gâchette qui assure un démarrage progressif et en douceur. Compacte et parfaitement équilibrée, la scie sabre sans-fil GSA 18V-28 Professional offre un grand confort d’utilisation grâce à sa poignée optimisée, aux formes ergonomiques, et son très bon rapport poids/puissance. Elle est idéale pour effectuer des coupes à ras des tuyaux ou près des murs, et permet à l’utilisateur de travailler facilement et sans effort, quelle que soit sa position : en hauteur, dans les endroits difficiles d’accès, exigus… La GSA 18V-28 Professional dispose du système SDS sans outil qui permet de changer la lame facilement et rapidement en toute sécurité, d’une seule main. Pratique, elle est dotée d’un crochet métallique, situé à l’arrière de l’outil, pour être suspendue dans une position équilibrée à une échelle ou un échafaudage entre 2 utilisations. Par ailleurs, lorsque la scie sabre GSA 18V-28 Professional est équipée de la lame à technologie carbure Expert Thick Tough Metal, les artisans peuvent couper rapidement, de manière précise et droite, du métal épais, des tuyaux en fonte, des profilés en acier… La GSA 18V-28 Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch. La large gamme d’accessoires Bosch permet à la scie sabre GSA 18V-28 Professional de couvrir un large champ d’applications. ©Bosch NOUVELLE MEULEUSE D’ANGLE SANS-FIL GWS 18V-180 PC PROFESSIONAL : L’ERGONOMIE DES PETITES MEULEUSES, LA PERFORMANCE DES GRANDES D’un design ergonomique et compact, la nouvelle meuleuse d’angle sans-fil GWS 18V-180 PC Bosch Professional BITURBO combine les avantages des petites meuleuses en termes de confort et maniabilité, et les performances des grandes. En effet, elle offre la même profondeur de coupe qu’une grande meuleuse d’angle de 230 mm, tout en étant 30 % plus légère et plus petite grâce au disque de 180 mm et à sa tête d’engrenage réduite. La technologie BITURBO Brushless lui permet de disposer de suffisamment de puissance pour effectuer des coupes rapides et tronçonner tous types de métaux, béton, brique et carrelage. Autre avantage, la GWS 18V-180 PC Professional assure une très bonne protection de l’utilisateur, notamment lorsqu’il est sur un échafaudage ou un toit, grâce à différentes fonctions. Le système PROtection switch (interrupteur homme mort) arrête immédiatement la meuleuse dès que l’utilisateur relâche l’interrupteur. La fonction KickBack Control prévient les rebonds imprévisibles et le système de freinage intelligent réduit considérablement les risques d’accidents. Par ailleurs, la protection anti-redémarrage, le démarrage progressif ainsi que la poignée latérale anti vibrations garantissent une maîtrise et une sécurité totales de l’outil. La GWS 18V-180 PC Professional BITURBO est équipée d’un module Bluetooth Connectivity qui permet aux professionnels de coupler la meuleuse avec un Smartphone pour voir, définir et personnaliser ses fonctions via l’application ToolBox. Enfin, la meuleuse possède un carter d’engrenage rotatif à 90° et des disques qui permettent de découper une grande variété de matériaux (métal, béton, pierre) tout en protégeant l’utilisateur. D’autres accessoires sont également disponibles tels que le disque à tronçonner Expert « Diamond Metal Wheel » pour des applications plus exigeantes dans le métal et les matériaux abrasifs. La GWS 18V-180 PC Professional est compatible avec toutes les batteries et tous les chargeurs du système Professional 18V Bosch.  ©Bosch www.bosch.fr
Il y a 2 ans et 165 jours

Locken Smart Access un logiciel pour paramétrer et gérer l’ensemble des accès

Spécialisée depuis près de 20 ans dans le développement de solutions de gestion des accès personnalisés et de services à valeur ajoutée, LOCKEN a notamment mis en avant sa solution LSA (Locken Smart Access) particulièrement adaptée aux grandes infrastructures et aux entreprises composées de sites dispersées. En effet, le logiciel Locken Smart Access (LSA) est le cœur des solutions de contrôle d’accès développées par Locken. Simple et sécurisé, il gère, à partir d’une même interface, l’ensemble des solutions proposées par Locken : clés électroniques, mécaniques, solutions smartphones, badges, …Multi-technologies & multi-environnements, le logiciel LSA permet de renforcer la chaîne de valeur des entreprises, de paramétrer et gérer l’ensemble des accès. Le logiciel LSA peut être utilisé tel quel, mais aussi s’intégrer au système d’information de l’entreprise. Il reprendra alors automatiquement des informations comme le statut contractuel des intervenants, la prévention des risques au travail, ou les consignes à transmettre en cas d’incident. Dans certaines entreprises, cette solution de gestion des accès contribuera à l’amélioration du niveau de service en s’intégrant aux données préexistantes, celles par exemple des Responsables Sécurité ou des Ressources Humaines.Un logiciel sécurisé et personnalisableLe logiciel de contrôle LSA permet de configurer les accès sur mesure. Dans sa version « Plug & play », il couvre la totalité des besoins des utilisateurs. Sur mesure, il répond aux attentes spécifiques de chaque entreprise. Le logiciel LSA peut alors s’interfacer avec le système d’information de chaque client et intégrer des fonctionnalités avancées comme la visualisation graphique ou la validation instantanée des demandes d’accès. Ainsi, avec l’appui des experts Locken, chaque entreprise peut disposer d’une solution entièrement adaptée à ses besoins.Un logiciel de gestion des accès convivialLe logiciel LSA, est un logiciel de gestion des accès de nouvelle génération qui bénéficie des dernières avancées en matière d’ergonomie et d’affichage. La cartographie – ou mapping – est l’une des fonctionnalités phare de la solution : les points d’accès positionnés sur une carte Google facilitent la visualisation et le suivi des activités. Interactifs et liés, ils permettent au gestionnaire de naviguer et d’ouvrir de nouvelles pages donnant accès à davantage d’informations. Entièrement personnalisable, la représentation graphique peut se conformer à l’univers visuel et aux besoins de chaque entreprise.Focus : les composantes de la solution Locken La solution de contrôle d’accès développée par LOCKEN repose sur les éléments suivants : Un logiciel de gestion LSA - Locken Smart Access -Une application mobile MyLOCKEN Une gamme de produits incluant une clé électronique à induction sans contact certifiée ATEX et une gamme complète de cylindres et de cadenas électroniques. Des services additionnels standards ou personnalisés.
Il y a 2 ans et 166 jours

Cepsa va investir 3 Mds d'euros dans un projet d'hydrogène vert en Andalousie

Ce projet, baptisé "Vallée andalouse de l'hydrogène vert", permettra la production de 300.000 tonnes de ce gaz considéré comme crucial pour la décarbonation de l'économie, sur une vaste zone située entre Cadix et Huelva, a indiqué l'entreprise espagnole dans un communiqué.Il s'accompagnera d'un investissement additionnel de deux milliards d'euros pour le développement de parcs éoliens et solaires et devrait générer "10.000 emplois", selon le groupe.La production d'hydrogène sera "une contribution vitale pour la transition énergétique et la sécurité d'approvisionnement du continent" européen, a souligné le directeur général de Cepsa, Maarten Wetselaar, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.Selon ce dernier, l'investissement réalisé par Cepsa devrait permettre à l'Andalousie, qui bénéficie en particulier d'un fort ensoleillement toute l'année, de devenir "l'une des régions les plus compétitives au monde en matière de production d'hydrogène" vert à partir d'énergie solaire et éolienne.L'hydrogène vert est actuellement en plein essor en Espagne, qui cherche à s'affirmer comme un acteur clé de la transition énergétique en Europe. Ce gaz, produit en décomposant les molécules de l'eau à l'aide d'un courant électrique (dont l'origine peut être renouvelable ou non), ne libère en brûlant que de la vapeur d'eau, à la différence des carburants fossiles.Il peut être utilisé pour remplacer le charbon dans les industries ayant besoin de beaucoup de chaleur, comme la sidérurgie, et est perçu comme une solution d'avenir pour faire marcher les bus, les trains et même les avions.
Il y a 2 ans et 166 jours

La colocation se réinvente pour séduire toutes les générations

Avec ses immeubles de nouvelle génération équipés de salle de coworking ou de restaurants, ses appartements ou maisons rénovés proposant des chambres spacieuses et pléthore de services - salle de sports, de cinéma ou cours de cuisine - l'habitat partagé s'est métamorphosé.Plébiscitée par les étudiants en raison du coût souvent exorbitant de l'immobilier dans certaines villes, il s'ouvre désormais aux actifs "en transition" professionnelle."Les jeunes repoussent leur décision d'acquisition" pour des questions "de budget et de liberté", explique Benoît Joubert, un des cofondateurs de The Babel Community, qui propose des immeubles mixant "coliving", avec de multiples espaces partagés, et coworking pour les entrepreneurs locaux.Il n'est donc plus rare de voir des trentenaires tenter de vivre dans le partage pendant quelques mois pour prendre la température d'une ville, constate Benoît Joubert.C'est ce qu'a fait Pauline, 28 ans. Saisonnière dans l'animation, elle s'est installée en colocation en banlieue de Nantes entre deux contrats à l'automne. "Ça m'a évité les démarches" d'internet, d'électricité et l'achat de meubles, explique-t-elle.Comme un studioLa France a pris le train de la colocation bien après les pays anglo-saxons ou asiatiques. En cause, un "manque de produits" adaptés et la frilosité des propriétaires, dit Sébastien Champion, directeur et fondateur associé du réseau d'agences Colocatère.Si la colocation est largement associée dans l'imaginaire commun au film "l'Auberge espagnole" (2002), ce n'est toutefois pas ce que recherchent les locataires, avertit M. Champion.Et notamment les plus aisés, qui souhaitent profiter, en plus de grandes salles communes, d'espaces privés ressemblant davantage à un studio qu'à une chambre chez l'habitant.Certains restent néanmoins contraints de partager une salle de bain, car le prix de ces nouvelles formes d'habitat partagé, dans des logements décorés et rénovés, avoisine voire égale ceux des studios classiques.Depuis moins de dix ans, les entreprises de colocation ou coliving se sont multipliées et redoublent d'initiatives pour attirer de nouveaux locataires, particulièrement des CSP+.La Casa a choisi de proposer des maisons thématiques pour ses locataires, en majorité des actifs de 30 ans de moyenne d'âge, selon son fondateur et PDG, Victor Augais. Casa "verte" agrémentée d'un grand jardin, Casa "des chefs" pour les gourmets ou Casa "des sportifs" avec salle de sport...Les demandes affluent, avec en moyenne "huit candidatures par chambre" disponible, selon M. Augais.Ouverture aux seniorsCorentin Durin, 26 ans, y a loué une chambre toute équipée quand il a obtenu son premier CDI. "Je suis quelqu'un de sociable, je n'avais pas envie de vivre seul" dans une chambre de bonne ou un petit studio parisien, explique-t-il.Les "services inclus évitaient les problèmes" entre colocataires, détaille-t-il encore, notamment le passage d'une femme de ménage deux fois par semaine dans les parties communes. Financièrement, ces nouveaux habitats peuvent être "plus chers" qu'une colocation classique, confirme-t-il, mais les prestations font qu'il "s'y retrouvait" quand même.Outre ce public de jeunes actifs, Casa doit s'ouvrir au printemps prochain aux seniors, via deux maisons en banlieue parisienne. Une réponse au "besoin" de trouver une alternative aux Ephad, assure Victor Augais.Les personnes âgées "encore autonomes" y partageront des espaces communs en profitant de chambres adaptées.Une idée déjà mise en place par l'entreprise CetteFamille qui offre, en périphérie des grandes métropoles, des colocations de huit seniors, assistés en permanence d'auxiliaires de vie.Cette formule permet de s'implanter "là où les grands opérateurs ne vont pas" et de "faire revenir des services d'aide à domicile" dans les zones rurales "qui sont souvent des zones blanches", relève Paul-Alexis Racine Jourdren, son président et cofondateur.A l'origine, CetteFamille réalisait de l'accueil familial, qui permettait d'orienter un senior dans une famille d'accueil."Mais nous avions beaucoup de demandes et pas assez de familles", détaille M. Racine Jourdren, alors que les personnes âgées réclamaient "de la proximité, de la sécurité et du lien social". C'est finalement la colocation qui s'est imposée.
Il y a 2 ans et 166 jours

FIS V Zero, la première résine sans substances nocives ! fischer France engagé avec EcoTree dans le reboisement des forêts françaises dans le cadre d’une campagne inédite 

Depuis plus de 60 ans, fischer parfait sa démarche environnementale à bien des niveaux car limiter l’impact des produits utilisés dans l’industrie, la construction, la décoration… sur l’environnement et la santé des utilisateurs est une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine sans substances nocives :  FIS V Zero.Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero est plus respectueuse de l’homme et de l’environnement. Puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle est exempte de pictogrammes de danger et de fiche de données de sécurité. De plus, les cartouches usagées peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Au cours du premier semestre, pour soutenir le lancement de la résine sans substances nocives FIS V Zero et accentuer son engagement en faveur de l’environnement et du développement durable, fischer s’est associé à EcoTree et Papier Ensemencé. Ces partenariats inédits, avec des acteurs qui œuvrent pour l’environnement et dont les missions sont vertueuses, prennent tout leur sens avec la résine FIS V Zero fischer.  SOUTENIR DES DÉMARCHES ENVIRONNEMENTALES VERTUEUSESActeur français engagé, EcoTree œuvre à la préservation et à la valorisation des forêts françaises ainsi qu’à la protection de la biodiversité. fischer s’est engagé à ses côtés pour participer au reboisement.Ainsi, en achetant la résine FIS V Zero, les utilisateurs ont contribué au reboisement de forêts françaises, gérées par EcoTree. Ce sont 2000 arbres, 1000 pins maritimes et 1000 chênes sessiles dits « chênes noirs », qui ont été plantés dans la forêt de Berné (Morbihan).Fidèle à sa démarche de développement durable, fischer a souhaité faire évoluer ses supports de communication, favorisant des matériaux recyclés, recyclables et biodégradables, en s’associant à Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables. Aussi, pour promouvoir l’opération sur la résine FIS V Zero, ancrée dans une démarche environnementale, fischer a opté pour un flyer ensemencé, 100% biodégradable. Une fois le flyer humidifié et planté, les graines qu’il renferme donnent naissance à de belles fleurs des champs. Véritable alternative au recyclage, le papier ensemencé est l’illustration parfaite du zéro déchet !À travers cette belle opération FIS V Zero et l’aide des nombreux distributeurs partenaires, fischer a mis en exergue l’art de mixer innovation et environnement. Des partenariats vertueux que l’entreprise entend bien renouveler. FIS V Zero : PLUS RESPECTUEUSE DE L’HOMME ET DE L’ENVIRONNEMENT Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement. fischer a remplacé ce composé par des substances plus respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté.Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées.UNE RÉSINE POLYVALENTELa résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage. Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains- courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires… et est agréée pour tous les matériaux de construction (brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse…). Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits.  D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton.Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C.PLUS DE CONTRAINTE DE RECYCLAGE ET DE STOCKAGE Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier, les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Et, puisqu’aucune substance nocive n’entre dans sa composition, elle est la seule résine à être exempte de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques. Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’extrusion du produit, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 166 jours

Isover présente Isocoton, un nouvel isolant biosourcé en textiles recyclés

Au delà de son savoir-faire historique sur la laine de verre et la laine de roche, ISOVER est une marque pionnière sur le marché des isolants biosourcés. Depuis le lancement de ses premières gammes, il y a près de 20 ans, la marque œuvre à la professionnalisation de ce segment de marché en proposant à ses clients la garantie de produits et de systèmes performants, certifiés et au cycle de vie plus vertueux.L’urgence climatique encourage aujourd’hui l’économie circulaire et une meilleure isolation des bâtiments pour plus de confort et moins d’émissions de CO2. ISOVER, acteur français de l’Isolation, développe et commercialise depuis de longues années des isolants issus de matières premières recyclées ou de chutes de production d’autres industries. Ainsi, ses laines de verre contiennent jusqu’à 80% de verre recyclé et ses isolants en fibre de bois sont issus de chutes de scieries approvisionnées en local.Il est donc aujourd’hui naturel pour ISOVER de présenter Isocoton, un isolant biosourcé performant, issu de textiles recyclés en local, ultra doux au toucher, confortable à poser et 100% made in France.Un lancement qui complète la large gamme d’isolants ISOVER et apporte une nouvelle alternative responsable pour l’isolation intérieure des bâtiments.De nombreux bénéfices pour l’homme et pour l’environnementIsocoton est un matériau répondant aux enjeux de l'économie circulaire et aux grandes tendances de la consommation responsable. Il s’agit d’une nouvelle alternative aux autres matériaux isolants commercialisés par ISOVER (laine de verre, laine de roche, fibre de bois, XPS, PSE). Isocoton vient renforcer la stratégie de développement de solutions d’isolation multi-matériaux, chacun de ces matériaux répondant à des enjeux et problématiques spécifiques de ses clients et usagers.Isocoton, comme les textiles que nous portons, a pour but de protéger durablement la maison contre le froid et le chaud. Un choix de bon sens pour améliorer le confort des ménages français.Confort et bien-être toute l’année, été comme hiverIsocoton apporte, via ses propriétés thermiques, un grand confort aux occupants des bâtiments toute l'année. En été comme en hiver. En plus d’être une bonne isolation contre le froid, Isocoton permet de lutter contre la chaleur en été et de conserver la fraîcheur nocturne durant les canicules. Son étiquetage sanitaire (A+), contribue activement à conserver la qualité de l’air de l’habitat.Les performances thermiques d’Isocoton atteignent un pouvoir isolant (lambda λ) de 37 mW/m.K, qui le positionne parmi les isolants biosourcés les plus performants du marché.Hautes performances certifiéesIsocoton est sous certification ACERMI (Association pour la Certification des matériaux isolants, n° ACERMI 21/018/1558).Il est le seul à se décliner en 5 épaisseurs de 40 mm / 100 mm / 120 mm / 140 mm / 200 mm pour répondre efficacement à tous les besoins et toutes les applications en isolation intérieure : cloisons, murs, combles perdus ou aménagés, plafonds.Côté phonique, Isocoton réduit la propagation du bruit grâce à sa texture fibreuse qui en fait un excellent isolant acoustique. Ses performances sont équivalentes à celles de la laine de verre Par Phonic ou celles des isolants flexibles Isonat en fibres de bois, notamment pour les cloisons distributives (RA = 38 dB pour une cloison 72/48 avec une plaque BA 13 et de l’Isocoton 40 mm).Isocoton bénéficie d’une réaction au feu sous ACERMI ainsi que des extensions feu avec l’ensemble des systèmes de plaques de plâtre Placo®, en cloisons, contre-cloisons et plafonds, assurant pour les logements collectifs et les Établissements Recevant du Public, la sérénité et la sécurité des occupants.Un produit biosourcé et issu du recyclage pour une gestion optimisée des ressourcesIsocoton permet la revalorisation de vêtements destinés au rebut et de chutes de tissu de l’industrie textile. En transformant cette matière en isolant, ISOVER participe à valoriser une matière première disponible en très grande quantité, en un produit à haute valeur ajoutée pour l’efficacité thermique des bâtiments et le confort des occupants.Cette solution d’isolation biosourcée s’inscrit en droite ligne avec les exigences de la RE 2020.Parallèlement, cette transformation par voie sèche 100% réalisée en France réduit l’impact de sa production sur l’environnement en limitant fortement sa consommation en eau.Confort de pose inégaléUne douceur extrêmeBénéfice majeur pour le poseur, Isocoton est un produit doux et moelleux, agréable à poser.Un poids plumeIsocoton, par sa légèreté, offre plus de confort aux poseurs tant dans sa pose que lors de la manutention sur les chantiers.Une mise en œuvre aiséeLégers, souples et semi-rigides (à partir de 100 mm), les panneaux se glissent facilement dans les espaces difficiles d’accès, entre chevrons notamment ou derrière les fourrures, permettant un calfeutrage optimal. Ils reprennent également leur forme grâce à leur haute conformabilité et épousent ainsi parfaitement la structure y compris sur les supports irréguliers.Isocoton est compatible avec les systèmes Optima (en murs) et les membranes Vario® Confort d’ISOVER.Enfin, la mise en œuvre des panneaux Isocoton est sous avis techniques, pour une pose sereine et assurable :DTA n° 20/19-439_V2_E1 pour l’application murs et cloisonsDTA n° 20/19-440_V2_E1 pour l’application comblesIsocoton s’associe à Placo® pour proposer des systèmes de cloisons, contre-cloisons et plafondsA l’écoute des évolutions et des besoins, ISOVER propose également une solution Isocoton avec Placo®, leader français du confort intérieur, mutualisant ainsi leurs expertises.Disposant de plus de 30 PV et extensions feu et acoustique pour valider un très grand nombre de configurations, ces systèmes répondent à la demande croissante du biosourcé en cloisons et contre-cloisons en murs maçonnés dans les Établissements Recevant du Public tels que les lieux de santé, d’enseignement, ou encore dans les logements collectifs.Ces systèmes allient les performances et bénéfices d’Isocoton aux qualités techniques multiples de la large gamme de plaques de plâtre Placo®.Plus de 30 PV et extensions validésCes solutions permettent d’atteindre des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons, et EI45 à EI120 en contre-cloisons.Côté confort acoustique, elles offrent les avantages de l’isolant cumulés à celui de la plaque, procurant ainsi un important confort phonique.Isocoton est compatible avec les aides financièresAfin d’améliorer l’isolation des logements, de diminuer les factures de chauffage et de permettre d’éviter des émissions de CO₂, des aides financières existent en rénovation.Isocoton est éligible aux aides à la rénovation selon les épaisseurs et les applications.Cela concerne entre autres MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ), les CEE ou encore la TVA à 5,5 % pour les travaux de rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 169 jours

Rockwool dévoile son nouveau positionnement de marque « By Nature », inspiré des performances naturelles de la laine de roche

A l’occasion du lancement de la campagne, qui intervient au moment de la COP27, l’ensemble du concept « By Nature » est poétiquement résumé dans un court métrage réalisé par le cinéaste primé, Martin Aamund.Les 6 performances naturelles de la laine de rocheLa nouvelle signature de marque "By Nature" (« par nature » /NDLR), constitue la clé de voute du positionnement de ROCKWOOL. Cette expression a été développée afin révéler les performances intrinsèques à la matière première de la laine de roche : le basalte. En tant que matériau principal de tous les produits ROCKWOOL, la laine de roche est circulaire, respirante, résistante à l'humidité, insonorisante, durable et résiliente au feu. Ce sont ces performances intrinsèques qui contribuent à créer des environnements bâtis sains pour les personnes et la planète - "par nature".Afin d’illustrer ce concept, ROCKWOOL a confié au cinéaste primé Martin Aamund la réalisation d’un film. Tournée à l'envers, ce court métrage retrace le parcours d'une femme, dont chaque étape de sa vie est une manière de souligner avec émotion l’importance d’un habitat sain et sur pour ses occupants.Un intérieur qui compteLe film débute sur son accouchement, puis remonte le fil de sa vie pour clore sur une image d’elle enfant, courant vers son père qui inscrit sa taille sur un cadre de porte. Le message hautement humain qui résume cette position stratégique pour ROCKWOOL est "Ce qui est à l'intérieur compte" : Alors que les discussion à la COP 27 battent leur plein, le message sous-jacent est que, en tant que choix naturel d'isolation, la laine de roche ROCKWOOL est également un choix responsable - pour l'environnement, la sécurité incendie, la santé et le bien-être.Une protection invisibleA travers cette campagne la marque souhaite mettre en évidence les fonctions essentielles de l'isolation en laine de roche dans les bâtiments qui nous entourent. Bien qu’invisible, l’isolation protège. S’adressant aux propriétaires de maisons et de bâtiments, aux architectes, aux prescripteurs et autres professionnels du bâtiment, en proposant des produits qui respecte l’humain et la planète, le groupe invite l’ensemble des parties prenantes à faire des choix responsables en termes de matériaux.Enfin, à l’heure où la transition énergétique des bâtiments est plus que jamais un enjeu pour lutter contre les changements climatique, la campagne vient sensibiliser le grand public à l’importance d’une bonne isolation pour réduire sa consommation d’énergie.Pour Mirella Vitale, Directrice Marketing, Groupe ROCKWOOL : "Les bâtiments sont la plus grande source d'émissions au monde. Les choix que nous faisons lors de leur conception et de leur spécification doivent donc être faits de manière responsable - pour le climat, pour notre santé et notre bien-être collectifs. Pour ROCKWOOL, cela signifie innover en proposant des produits qui réduisent les émissions et les déchets, et qui contribuent à la création d'espaces plus sains et plus responsables. Pour les professionnels du bâtiment - les architectes de nos maisons, écoles, hôpitaux, bureaux et établissements de soins - cela signifie faire des choix intelligents et conscients en matière de matériaux, de traitements et de finitions. C'est pour les aider à faire ces choix que nous avons adopté le positionnement "By Nature".Une campagne d’envergure internationaleLa nouvelle campagne de positionnement de la marque ROCKWOOL "By Nature" a été lancé au siège de la marque le 8 novembre 2022 sous la forme d'un film d'une minute et demie et de ressources numériques. La campagne est lancée en Italie, en France, en Espagne, au Danemark, au Royaume-Uni et aux États-Unis. D'autres marchés suivront au début de 2023.
Il y a 2 ans et 169 jours

TomTom et Webfleet Solutions lancent une solution mobile intégrée

Les deux entreprises ont combiné leur expertise pour créer une application unique dédiée aux gestionnaires de flotte et aux conducteurs leur permettant de relever les défis auxquels ils sont confrontés quotidiennement, notamment la conformité des itinéraires, le respect des délais de livraison et les problématiques de sécurité.WEBFLEET Work App permet aux conducteurs professionnels de réaliser leur travail facilement et efficacement grâce à leurs appareils mobiles Android uniquement. Les gestionnaires de flotte et leurs conducteurs, ont accès à un large éventail de fonctionnalités de gestion de la main-d'œuvre sans avoir besoin de matériel supplémentaire. Cette application comprend la localisation des véhicules, l'enregistrement des temps de travail, l’identification des conducteurs, la gestion des missions et des plannings et une communication bidirectionnelle avec le back-office. L'application TomTom GO Fleet y est parfaitement intégrée, et permet aux conducteurs de toujours disposer des cartes les plus à jour, ainsi que les infos trafic et la navigation dans un outil unique. Ils peuvent démarrer automatiquement leur itinéraire vers la destination de leur choix depuis WEBFLEET Work App, et les gestionnaires de flotte bénéficient d'une visibilité en temps réel sur les heures d’arrivée estimées et la destination en cours. La combinaison de WEBFLEET Work App et TomTom GO Fleet, permettent aux conducteurs de bénéficier d'une navigation professionnelle pour tous les types de véhicules. Une navigation dédiée aux poids lourds est également disponible en fonction des caractéristiques du véhicule, du type de cargaison, des réglementations locales et des caractéristiques de la route empruntée. De plus, TomTom GO Fleet assiste les chauffeurs routiers en localisant des points d'intérêt (POIs) dédiés aux poids lourds tels que les parkings et les stations-service, et offre les cartes les plus à jour, même en l'absence de connectivité. L'application propose également les heures d'arrivée estimées fiables et des informations sur le trafic en temps réel, ce qui permet aux conducteurs de respecter aisément les délais et de réduire les coûts de carburant en empruntant les meilleurs itinéraires.Pour Paul Verheijen, Vice President Product Management chez Bridgestone Mobility Solutions : « WEBFLEET Work App est la solution idéale pour les entreprises et les conducteurs qui souhaitent profiter de leurs appareils mobiles existants pour gérer efficacement les tâches quotidiennes. La configuration et l'intégration sont rapides et faciles à réaliser, avec une interface utilisateur intuitive, ce qui en fait une combinaison parfaite avec l'application TomTom GO Fleet. Ensemble, nous pouvons offrir encore plus de valeur à nos clients en leur fournissant une solution intégrée. »Pour Mike Schoofs, Vice President Product Management chez TomTom Enterprise : « Simplifier la technologie de localisation et aider à résoudre les problèmes des conducteurs ont toujours été au cœur des priorités de TomTom. C'est enrichissant de travailler avec des partenaires comme Webfleet Solutions, qui ont les mêmes objectifs que nous. Cette collaboration permet aux deux entreprises d'intégrer ce qu'elles font le mieux dans une seule solution dédiée aux conducteurs professionnels. » WEBFLEET Work App est désormais disponible pour tous les clients Webfleet Solutions disposant d'un dispositif de suivi LINK 740/710/530/510/410 installé. L'option de suivi mobile - sans aucune installation matérielle nécessaire - sera disponible dans les mois à venir.
Il y a 2 ans et 169 jours

Lourds travaux de rénovation en vue pour le tunnel du Mont-Blanc

Construit il y a près de 60 ans, emprunté quotidiennement par des milliers de voitures et de poids-lourds, ce tunnel bidirectionnel d'une longueur de 11,6 km "arrive dans une phase où il faut faire des travaux importants de rénovation", notamment de réhabilitation de la voûte, a expliqué Grégory Schwarshaupt, directeur adjoint du Tunnel du Mont Blanc dans un entretien avec l'AFP. Un premier temps, qualifié de "phases-tests", entraînera une fermeture totale du tunnel pendant 3 mois et demi en 2023 et 2024, de septembre à décembre pour rénover 600 mètres de voûte à chaque intervention. Le calendrier précis des fermetures, rendues nécessaires par le démontage d'une grande partie des équipements de sécurité, devrait être communiqué début 2023, selon l'exploitant. "Sans ces phases tests, il est impossible pour nous, et même inconsidéré, d'annoncer aujourd'hui un quelconque programme de travaux d'ampleur" à mener, explique M. Schwarshaupt. Alors que, de l'autre coté des Alpes, des responsables italiens s'inquiètent de possibles fermetures "trois mois par an pendant 18 ans", "il n'y a aujourd'hui pas de scénario privilégié, c'est trop tôt", indique le responsable. Grâce aux tests, l'exploitant espère "minimiser l'impact sur la liaison franco-italienne" en optimisant les procédures. "Pour d'autres chantiers, on a réussi à trouver des solutions pour le faire en fermeture nocturne", explique ainsi Grégory Schwarshaupt. Le tunnel voit passer toute l'année environ 1.500-1.700 camions poids lourds par jour, tandis que le trafic de véhicules légers oscille entre quelque 4.000 voitures/jour en octobre-novembre et des pics de 8.000 l'été. D'où le choix de la saison automnale pour les fermetures prévues en 2023 et 2024. Côté italien, les milieux économiques s'inquiètent déjà du futur chantier alors que "92% des marchandises exportées vers la France le sont par voie routière", comme l'a récemment rappelé Ivan Russo, directeur de la société publique RAM chargée de la mobilité durable au ministère de l'Economie. "Les hypothétiques fermetures prévues du tunnel du Mont Blanc, trois mois par an pendant 18 ans, risquent de mettre à genoux l'économie italienne qui a en grande partie recours au transport par la route", a prévenu le président de l'association italienne des transporteurs routiers Conftrasporto-Confcommercio, Paolo Uggè. "Des fermetures de trois mois par an pendant les 18 prochaines années sont programmées.(...) Si le projet est confirmé, ce serait un coup très dur pour tout le Nord-Ouest" de l'Italie, a estimé de son côté le président du lobby patronal Confindustria, Carlo Bonomi. "Je crois nécessaire à ce stade de mettre immédiatement en chantier le second tube du tunnel. Mais la France s'y oppose et nous avons des doutes sur le futur", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 171 jours

qu est ce que batiimmo

Comment augmenter sa productivité ? Comment assurer la santé et la sécurité des occupants de mon bâtiment ? Comment piloter la conformité de mes bâtiments et équipements ? Comment être accompagné d'experts du bâtiment ? Découvrez BatiIMMO, une nouvelle solution métier développée par le CSTB, permettant de piloter les contrôles et vérifications réglementaires et assurantielles obligatoires, à l’échelle d’un parc immobilier, d’un site ou d’un bâtiment.
Il y a 2 ans et 171 jours

Des annonces concernant la réforme des retraites "d'ici la fin de la 2e semaine de décembre", assure Véran

Lors du compte-rendu du Conseil des ministres, M. Véran a démenti des informations de RTL qui affirme mardi qu'un recul de l'âge de départ à 65 ans était la piste privilégiée par le gouvernement."Il n'y a pas de nouveautés dans ce qui est sorti ce matin", a-t-il affirmé. "Il n'y a pas d'annonce à faire, il y aura des annonces bientôt puisque d'ici la fin de la deuxième semaine de décembre il y aura une communication qui sera faite, qui préfigurera le futur projet de loi de réforme des retraites", a-t-il développé.Interrogé, le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt, en charge des concertations, a rappelé que le 3e cycle de celles-ci devait s'ouvrir "jeudi" puis serait décliné sur plusieurs jours sur la cruciale question de l'équilibre du système, donc de son financement, de l'âge de départ et de l'allongement de la durée de cotisation."Tout ce qui serait information sur un arbitrage sur l'âge relève de la rumeur. La concertation se poursuit", a-t-on précisé.Mardi matin, les députés des trois groupes de la majorité (Renaissance, MoDem, Horizons) se sont réunis en présence de la Première ministre sur ce sujet notamment."Elle est venue pour réaffirmer notre engagement à porter la réforme des retraites", qui est "une réforme de justice sociale", a déclaré devant la presse Aurore Bergé, patronne du groupe Renaissance, en assurant qu'"il n'y a pas d'inquiétude" mais une "obligation de réussir"."Nous étions plus sur la méthode" que sur une discussion portant sur les paramètres, a aussi rapporté le président des députés MoDem Jean-Paul Mattei. Les groupes de la majorité pourraient recevoir les partenaires sociaux, en amont du débat à l'Assemblée début 2023."Le texte (sur les retraites) sera présenté en conseil des ministres en début d'année prochaine", a affirmé la Première ministre à cette réunion, selon un participant."Ne nous laissons pas impressionner par les intox insoumises sur une réforme (qui passerait, ndlr) au détour d'un 49.3 dans le PLFSS", le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, a ajouté Mme Borne, selon la même source."La majorité relative ne nous conduit pas à être empêchés de mener les réformes nécessaires pour le pays", a-t-elle encore souligné, a rapporté cette source.Pendant sa campagne, Emmanuel Macron avait promis de reculer l'âge de départ à 65 ans. Ensuite, il a évoqué un recul à 64 ans accompagné d'un allongement de la durée de cotisation.L'âge de 65 ans est la "feuille de route", a rappelé M. Véran. "Ce qui ne veut pas dire que la concertation ne sera pas utile, nécessaire et qu'elle ne peut pas faire changer les choses".
Il y a 2 ans et 171 jours

Avec le visiophone connecté Hi), CDVI revient sur le marché de l’interphonie

Les objets connectés rencontrent un succès croissant chaque année. Une tendance qui s’est même accentuée lors de la période du confinement pour atteindre 37% de français équipés en 2020. Si la domotisation des logements est en marche, les équipements jugés utiles répondent principalement à des enjeux de protection des biens et des personnes (alarme, vidéosurveillance…). En tant que spécialiste dans ce domaine, c’est tout naturellement que CDVI lance aujourd’hui Hi), son visiophone connecté qui allie simplicité, sécurité et confort d’utilisation. Hi) simple comme « bonjour » Doté d’une caméra haute résolution et fonctionnant en 4G, le visiophone connecté Hi) de CDVI permet d’accueillir des visiteurs à distance à partir d’un smartphone et de surveiller l’accès à son domicile partout et à tout moment. Conçu et fabriqué en France, il se présente sous la forme d’un kit complet prêt à poser (système plug and play) qui comprend : une platine de rue extrêmement simple à câbler. Certifiée IP54, elle résiste à toutes les conditions météorologiques, deux contacts qui permettent de connecter jusqu’à deux serrures (portail, portillon…) pour déclencher leur ouverture, une carte SIM à insérer dans la platine pour bénéficier de la connexion à Internet en 4G pendant 1 an (partenariat avec SFR ou Orange avec plus-value), renouvelable à expiration (forfait Serenity ou Premium au choix). Une fois l’ensemble installé et activé, il ne reste plus qu’à l’utilisateur de télécharger gratuitement l’application mobile associée (App Store, Google Play Store) pour profiter des multiples fonctionnalités du visiophone connecté. Allier sérénité et sécurité Polyvalent, le visiophone connecté Hi) offre la possibilité : d’accueillir avec son smartphone les visiteurs qui sonnent à son domicile, même en cas d’absence, de les voir et de dialoguer avec eux. Grâce au nombre d’utilisateurs illimités, la notification envoyée par Hi) bascule automatiquement vers les personnes habilitées. Pratique, pour ne plus rater aucune livraison ! de surveiller à distance ce qui se passe devant la porte à l’aide du monitoring vidéo, accessible via l’application, et de la détection automatique de mouvement. En cas d’activité devant la platine, Hi) envoie immédiatement une alerte sur le téléphone et permet d’activer, si besoin, son alarme intégrée (92 dB). De quoi dissuader les rôdeurs mal intentionnés ! d’autoriser les accès de façon temporaire ou permanente en générant des clés virtuelles sous forme de QR codes sécurisés à présenter devant la platine de rue. Exclusivité de CDVI sur une solution d’interphonie, cette fonctionnalité pratique n’en reste pas moins sûre puisque l’utilisateur peut, dans la seconde, modifier les horaires d’accès ou désactiver le QR code. Idéal aussi bien en résidentiel qu’en petit tertiaire par la richesse de ses fonctionnalités, le visiophone connecté Hi) de CDVI s’impose comme le système d’interphonie équipé d’une caméra le plus intelligent de sa génération.  Réseaux de vente : distribution professionnelle Prix public indicatif HT : 950€ incluant le kit et un forfait Premium d’1 an prépayé  cdvi.com
Il y a 2 ans et 171 jours

Le gouvernement détaille le dispositif amortisseur électricité pour aider les entreprises et collectivités

Efficacité : l’amortisseur électricité permettra de protéger les consommateurs ayant signé les contrats les plus élevés, avec un plafond d’aide unitaire renforcé.Lisibilité : l’aide sera définie sur un indicateur présent sur les factures et devis des entreprises et collectivités locales, grâce à un calcul simple.Rapidité : le dispositif sera appliqué par les fournisseurs d’électricité et les consommateurs en percevront les effets dès le début d’année 2023.L’amortisseur électricité sera destiné à toutes les PME (moins de 250 salariés, 50 M€ de chiffre d’affaires et 43 M€ de bilan) non éligibles au bouclier tarifaire, et à toutes les collectivités et établissements publics n’ayant pas d’activités concurrentielles, quel que soit leur statut.Pour un consommateur ayant une part énergie de 350 €/Mwh (0,35 kWh), l’amortisseur électricité permettra de prendre en charge environ 20% de la facture totale d’électricité.L’aide sera intégrée directement dans la facture d’électricité des consommateurs et l’Etat compensera les fournisseurs. Les consommateurs n’auront qu’à confirmer à leur fournisseur qu’ils relèvent du statut de PME, d’association, de collectivité ou d’établissement public et qu’ils n’ont pas d’activités concurrentielle.Ce dispositif viendra s’ajouter aux nombreuses mesures d’ores et déjà mises en œuvre pour accompagner les entreprises et les collectivités locales face aux hausses des prix de l’électricité :La baisse de la fiscalité sur l’électricité à son niveau minimal.Un bouclier tarifaire pour les TPE et collectivités locales de moins de 10 salariés, 2 millions d’euros de chiffre d’affaires et ayant un compteur électrique d’une puissance inférieure à 36 kVA.Un filet de sécurité pour les collectivités locales.Un guichet d’aide au paiement des factures d’électricité, de gaz, de chaleur et de froid. Ce guichet est ouvert à toutes les entreprises jusqu’au 31 décembre 2023. A partir de début 2023, les TPE non éligibles au bouclier tarifaire et les PME bénéficieront de l’amortisseur électricité et ne pourront donc plus déposer de dossier au guichet d’aide au titre de leurs factures d’électricité.Comment sera calculé l’amortisseur électricité ?Cette aide sera calculée sur la « part énergie » d’un contrat donnée, c’est-à-dire le prix annuel moyen de l’électricité hors coûts d’acheminement de l’électricité dans le réseau (tarif réseau ou Turpe) et hors taxes.Cette « part énergie », présente sur les contrats et propositions commerciales de la grande majorité des TPE et PME, est exprimée en €/Mwh ou en €/kWh.L’amortisseur viendra ramener le prix annuel moyen de la « part énergie » à 180 €/Mwh (ou 0,18€/kWh) sur la moitié des volumes d’électricité consommée, dans la limite d’un plafond d’aide unitaire de la « part énergie » du contrat à 500 €/Mwh.La réduction maximale du prix unitaire sera de 160 €/Mwh sur la totalité de la consommation (ou de 0,16 €/kWh).