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Il y a 2 ans et 256 jours

Holcim met fin à ses activités au Brésil

CESSION. Annoncée en septembre 2021, la cession des activités du cimentier Holcim au Brésil vient d'être finalisée. Le repreneur, Companhia Siderúrgica Nacional, met la main, entre autres, sur cinq usines intégrées de ciment.
Il y a 2 ans et 256 jours

Wienerberger affiche une forte croissance au premier semestre 2022

Wienerberger constate à l’échelle du Groupe une forte progression de son chiffre d’affaires (+38%), pour atteindre 2.572 millions €, tandis que l'EBITDA opérationnel grimpe à 545 millions €, soit un bond de 79% par rapport au premier semestre 2021.Faits marquantsCroissance généralisée de Wienerberger dans toutes ses régions et secteurs d'activitéForte progression (+38%) du chiffre d'affaires, qui s’établit à 2.572 millions €EBITDA opérationnel en hausse de 79% à 545 millions €Intégration réussie des acquisitions réalisées en Europe et en Amérique du NordPerspectives pour 2022Poursuite de la croissance attendue au second semestre grâce à l'innovation et aux solutions systèmesEBITDA opérationnel prévu pour 2022 > 900 millions €Grâce à la résilience de son modèle économique, Wienerberger réalise une solide performance au premier semestre 2022 malgré un environnement difficile caractérisé par l'instabilité géopolitique, la hausse des taux d'intérêt, notamment en Europe, ainsi que l’envolée des coûts et de la dette publique qui en résulte.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration de Wienerberger AG : « Le Groupe doit son excellente performance au travail acharné de tous nos salariés et à la transformation réussie de notre modèle économique, sans oublier notre force d'innovation dans tous les secteurs où nous évoluons. Aujourd'hui, nos activités sont davantage diversifiées en matière de débouchés et de répartition géographique. Étant donnée notre forte exposition aux marchés de la rénovation et des infrastructures dans le secteur de l’eau, nous avons indiscutablement gagné en résilience. Nous sommes résolus à poursuivre sur cette voie, grâce à une stratégie de croissance éprouvée, axée sur l'innovation, les solutions système et le développement durable. Ces efforts soutenus, qui sont essentiels pour élaborer des solutions durables et économes en énergie, nous permettent de contribuer utilement à l’atteinte des objectifs climatiques. »La performance du premier semestre 2022 a bénéficié d’une forte demande, de la mise en œuvre de gains d’efficacité, d’une excellente gestion des achats et de l'intégration rapide et efficace des sociétés acquises l'année dernière, dont la contribution aux bénéfices a été substantielle.Depuis plusieurs semaines/mois, Wienerberger œuvre sans relâche pour sécuriser l'approvisionnement énergétique de ses 220 sites de production. À cette fin, l'entreprise a élaboré des plans d'urgence et travaillent en étroite collaboration avec les États. Conformément aux ambitions de notre stratégie ESG, nous accélérons notre programme d'investissements pour convertir nos usines de production à des sources d'énergie renouvelables comme l'électricité, l'hydrogène, le biogaz et le gaz de synthèse. Nous privilégions un approvisionnement énergétique local et indépendant.Performance des entités opérationnelles de WienerbergerAu cours du premier semestre 2022, Wienerberger Building Solutions a affiché des résultats extrêmement satisfaisants malgré un marché du logement en légère baisse, de - 2% à - 5%. Grâce à une forte demande et à un carnet de commandes bien rempli, l'activité Wienerberger Building Solutions a enregistré une forte croissance de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices. Au cours des six premiers mois de l'année, le chiffre d’affaires externe a crû de 22% pour atteindre 1.358,3 millions € (2021 : 1.115,4 millions €). L'EBITDA opérationnel a grimpé de 56% pour s’établir à 341,4 millions € (2021 : 218,8 millions €) sur la même période.L’activité Wienerberger Piping Solutions continue sur sa lancée avec une croissance soutenue et d’excellents résultats au premier semestre 2022. Dans le domaine des infrastructures, l’entité opérationnelle a de nouveau enregistré une forte demande pour les systèmes « tout-en-un » associant gestion de l'eau et de l'énergie. Dans l'ensemble, le chiffre d’affaires externe généré par Wienerberger Piping Solutions a grimpé de 30% pour atteindre 742,2 millions € (2021 : 569,7 millions €), tandis que l'EBITDA opérationnel s'est amélioré de 56% pour s’établir à 92,7 millions € (2021 : 59,4 millions €).Grâce à des conditions de marché favorables, l’activité Wienerberger Amérique du Nord a de nouveau enregistré une augmentation remarquable de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices au cours du premier semestre. On doit cet excellent résultat à une croissance interne toujours forte dans le secteur des tuyaux en plastique, à la bonne tenue du marché de la brique et à l'acquisition de Meridian Brick, dont la contribution est satisfaisante. Le chiffre d’affaires a plus que doublé pour s’établir à 470,6 millions € (2021 : 180,2 millions €) au cours de la période considérée. L'EBITDA opérationnel a atteint le niveau exceptionnel de 111,2 millions € (2021 : 26,8 millions €).Perspectives pour 2022Wienerberger anticipe un développement stable du secteur de la rénovation en 2022. Des fonds considérables sont disponibles pour améliorer l'efficacité énergétique du parc immobilier vieillissant et réduire ainsi les émissions de CO2 (Pacte vert de l'UE et autres initiatives nationales). De même, nous anticipons une évolution stable dans le secteur des infrastructures, car des fonds supplémentaires sont également disponibles pour la modernisation et la réparation des réseaux d'eau et d'énergie en Europe et en Amérique du Nord. La rénovation et l'infrastructure représentaient 51% de l'exposition totale de Wienerberger au marché en 2021. Le marché du logement neuf pâtit actuellement d’une offre insuffisante, tandis que la demande de logements reste élevée. Compte tenu d’un environnement difficile, Wienerberger anticipe un léger déclin des marchés du neuf en Europe et en Amérique du Nord au cours du second semestre. En fonction de chaque marché, cette baisse pourrait atteindre - 5%, dans la ligne droite du premier semestre.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration du groupe Wienerberger : « Nous sommes bien conscients que les marchés financiers anticipent actuellement une tendance à la récession sur l'ensemble des marchés du BTP. Cependant, nos activités sous-jacentes se portent bien. Nous n’anticipons pas d’apaisement sur le plan géopolitique au cours du second semestre, et l’incidence sur l'économie restera perceptible. Chez Wienerberger, nous sommes préparés à toute éventualité et en mesure de réagir rapidement à toute évolution du marché. Nous poursuivons donc nos investissements dans le développement de solutions novatrices et durables pour la construction, la rénovation et les infrastructures dans le domaine de l’eau. C’est en privilégiant l'innovation et les solutions systèmes que nous maintiendrons une croissance interne forte. »Wienerberger a réussi à diversifier son modèle économique ces dernières années, réalisant ainsi des gains de résilience conséquents. Grâce aux mesures mises en œuvre ces derniers mois et à la poursuite du bon développement de l'activité, Wienerberger cible en 2022 un EBITDA opérationnel > 900 millions €.Le rapport semestriel 2022 complet est disponible à l’adresse suivante : https://www.wienerberger.com/en.
Il y a 2 ans et 258 jours

Saint-Gobain va céder son activité cristaux et détecteurs

Le groupe indique être "entré en négociations exclusives" pour la cession de cette activité à un consortium mené par SK Capital Partners associé à Edgewater Capital Partners, deux fonds américains de capital-investissement spécialisés dans les matériaux de haute technologie.Ces derniers ont soumis "une offre d'achat ferme et irrévocable pour une valeur d'entreprise de 214 millions de dollars américains", a précisé le groupe.Saint-Gobain espère finaliser au quatrième trimestre 2022 cette transaction, après une consultation des instances représentatives du personnel et à condition d'obtenir le feu vert des autorités réglementaires.L'activité emploie environ 400 personnes dans six usines (deux en France, trois aux Etats-Unis et une en Inde) et a généré en 2021 un chiffre d'affaires de près de 75 millions d'euros avec une marge d'Ebitda ajusté d'environ 20%.Elle fournit des solutions de détection de radiations pour l'imagerie médicale, la sécurité, la sûreté nucléaire, l'exploration pétrolière et gazière, et pour la surveillance environnementale, ainsi que des produits à base de saphir pour la médecine, l'industrie, l'électronique et l'aérospatial, a indiqué le groupe.Saint-Gobain entend, via cette transaction, concentrer les activités de sa division "Solutions de Haute Performance" sur les marchés où le groupe "permet à ses clients d'accélérer leur démarche vers la neutralité carbone et la circularité", dans le cadre de son plan stratégique baptisé "Grow & Impact".
Il y a 2 ans et 262 jours

La Chine construit la "plus grande usine" d'hydrogène vert au monde

INTERNATIONAL. La production de cette énergie devrait commencer en 2023. Le pays espère réduire ses émissions de CO2 grâce au développement d'énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 262 jours

Matterport révolutionne les jumeaux numériques avec la caméra Pro3 et sa nouvelle plateforme cloud

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), a présenté le 30 août sa toute nouvelle caméra Matterport Pro3 ainsi que des mises à jour majeures de sa plateforme cloud de jumeaux numériques, leader du secteur. La Pro3 représente une avancée majeure dans la technologie de capture 3D, permettant de numériser chaque aspect du monde physique, à l'intérieur comme à l'extérieur. La plateforme de jumeaux numériques de nouvelle génération de Matterport s'appuie sur les expériences virtuelles immersives révolutionnaires de la société pour permettre une collaboration et une productivité avancées, se traduisant par des économies et une augmentation des revenus pour les organisations de toutes tailles, des petites entreprises aux multinationales.Ces nouvelles offres arrivent alors que la demande mondiale de jumeaux numériques - des modèles 3D interactifs et visuellement immersifs de bâtiments et d'espaces - continue d'augmenter. Selon Forrester Research, 55 % des décideurs mondiaux en matière de technologie logicielle ont déjà adopté les jumeaux numériques[1]. En tant que leader du secteur, Matterport a enregistré une croissance de 52 % de son nombre total d'abonnés au deuxième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, et sa plateforme de jumeaux numériques est utilisée par déjà 23 % des entreprises du classement Fortune 1000.Pour RJ Pittman, président-directeur général de Matterport : « Ce jour est un tournant pour la technologie 3D avec l'introduction des produits les plus puissants que Matterport ait jamais créés. Notre nouvelle caméra Pro3 et notre plateforme cloud créent des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et époustouflants au monde. L'opportunité n'a jamais été aussi grande pour les entreprises d'embrasser la puissance des jumeaux numériques de Matterport pour transformer leur activité. »Les solutions « Enterprise » de MatterportLes jumeaux numériques permettent aux chefs d'entreprise de naviguer en toute confiance dans un environnement économique incertain tout en accélérant la productivité d'une main-d'œuvre mobile et globale. 79% des chefs d'entreprise citent les économies de coûts et 71% les gains d'efficacité opérationnelle comme les principaux moteurs de leurs investissements dans les jumeaux numériques[2]. C'est la raison pour laquelle la nouvelle caméra Pro3 et la plateforme cloud ont été conçues pour répondre aux exigences des entreprises en matière de flexibilité, de fiabilité et de sécurité, faisant de la plateforme de jumeaux numériques de Matterport l'une des plus fiables du secteur.Les avancées de la nouvelle caméra Pro3 et de la plateforme cloud facilitent plus que jamais la création de jumeaux numériques immersifs pour les clients. Des clients de tous les secteurs - usines, détaillants, hôtels et compagnies aériennes - indiquent que les jumeaux numériques ont permis de réduire la durée des projets de 30% et de diminuer les frais de déplacement jusqu'à 50% grâce à une meilleure collaboration à distance. Un client du secteur de l'immobilier commercial a déclaré avoir conclu des ventes jusqu'à 85% plus rapidement. Les clients du secteur de l'hôtellerie constatent que les réservations et les taux d'occupation augmentent de 14% dans les établissements dotés d'un jumeau numérique.Et les avantages ne sont pas réservés aux grandes entreprises : les agents immobiliers qui utilisent des jumeaux numériques obtiennent jusqu'à 74% de biens en plus et 71% des acheteurs particuliers se déclarent aujourd’hui prêts à acheter une maison sans l'avoir vue si elle dispose d'une visite numérique en 3D.La plateforme pour jumeaux numérique de MatterportMatterport a imaginé une nouvelle plateforme logicielle cloud qui permet de créer, publier et gérer les jumeaux numériques de bâtiments et d’espaces de toute taille et forme, en intérieur comme en extérieur. Toutes ces nouvelles fonctionnalités s’intègrent de manière harmonieuse afin de permettre aux clients de créer en toute sécurité des environnements immersifs à explorer et où collaborer pour leurs employés, clients et partenaires.Parmi les fonctionnalités phares, il est possible :D’optimiser la productivité à partir d'un jumeau numérique unique grâce à un nouvel outil de travail collaboratif appelé Views, pour permettre aux groupes et aux grandes organisations de créer des flux de travail distincts, grâce à un système d’autorisations, pour gérer différentes tâches avec différentes équipes, telles que : les inspections virtuelles, la formation à distance, l'aménagement de l'espace, les visites virtuelles personnalisées, et bien plus encore.D’augmenter l'engagement des clients, la productivité et le taux de conversion avec les toutes nouvelles visites guidées et les étiquettes qui améliorent l'expérience des visiteurs. Désormais, les équipes de marketing et de vente peuvent créer des visites virtuelles de tout espace commercial ou résidentiel adaptées aux intérêts de leurs visiteurs, et les équipes d'exploitation peuvent créer des formations en ligne guidées pour les travailleurs à distance.D’aller plus loin en recourant aux services de capture « à la demande » de Matterport, disponible dans les grandes villes du monde et toujours plus performants avec la nouvelle caméra Pro3, et ainsi d’obtenir un jumeau numérique professionnel de la plus haute qualité, réalisé par un technicien de capture. Capture Services for Enterprise permet de numériser un seul espace ou un portefeuille de milliers de bâtiments, à l'intérieur comme à l'extérieur. Qu'il s'agisse de chaînes de magasins, de groupes hôteliers ou de campus d'entreprises, il n'a jamais été aussi facile d'obtenir un jumeau numérique Matterport photoréaliste et dimensionnellement précis pour gérer ses propriétés en ligne.D’accéder à l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme, où que l’on soit, grâce à une solution mobile entièrement activée qui rassemble les capacités de capture, de personnalisation, de visualisation, de modification, de publication et de restauration des jumeaux numériques avec la nouvelle application Matterport pour les appareils iOS et Android.La caméra Matterport Pro3La caméra Matterport Pro3 est le dispositif de capture 3D Matterport le plus avancé, avec une puissante combinaison de capteurs travaillant en harmonie pour créer des images étonnantes, à l'intérieur comme à l'extérieur. Aucune autre caméra ne combine l'incroyable puissance de cet appareil à ce prix, rendant la capture 3D plus largement accessible.Grâce à un capteur personnalisé de 20 mégapixels et à un objectif à 12 éléments couvrant un angle ultra large, la caméra Pro3 produit des jumeaux numériques précis et détaillés aux couleurs vibrantes et réalistes. Les avancées du capteur LiDAR haute précision permettent de capturer des millions de mesures dans diverses conditions, de la lumière tamisée à la lumière directe du soleil, jusqu'à une portée de 100 mètres, en moins de 20 secondes par balayage.La caméra Pro3 révolutionne la capture 3D, établissant de nouvelles normes en matière de vitesse, de fidélité, de polyvalence et de précision. Alors que le maillage interactif était auparavant limité à 50.000 polygones, il est désormais illimité et le maillage des grands espaces peut facilement dépasser un million de polygones. De nouveaux jumeaux numériques sont désormais diffusés à la demande, au fur et à mesure que l'utilisateur se déplace dans un espace, disponibles sur les plateformes mobiles et web pour tous les utilisateurs avec des temps de chargement plus rapides, des fréquences d'images plus rapides et beaucoup plus de détails sans compromettre les performances.Le moteur Cortex AI de Matterport est mis à niveau pour capturer une portée 5 fois supérieure, permettant aux clients de transformer leurs espaces intérieurs et extérieurs, même lorsqu'ils rencontrent des zones denses comme des feuillages, des éclairages et des surfaces réfléchissantes difficiles. La puissance combinée de la nouvelle plateforme Matterport Digital Twin, de la caméra Pro3 et du moteur Cortex AI amélioré permet d'obtenir des jumeaux numériques parmi les plus précis, immersifs et étonnants jamais créés.Pour Lou Marzano, vice-président de la Recherche et du Développement et de la fabrication : « La caméra Pro3 est le fruit d'années de recherche avancée et d'une écoute attentive de nos clients. Le résultat est une véritable révolution dans la technologie de capture 3D. Les exigences de l'industrie du numérique poussent les normes de nos produits à de nouveaux niveaux, rendant la précision, la portée et la mobilité essentielles au succès de nos clients. Nous avons réuni tout cela dans un appareil portable qui atteint un nouveau palier en termes de rapport prix/performance pour la capture LiDAR commerciale. Certaines de nos plus grandes entreprises clientes ont déjà mis la Pro3 à l'épreuve en capturant de grands sites extérieurs, des stades aux campus, avec une vitesse et une précision jamais vue auparavant. Comme les Pro1 et Pro2 qui l'ont précédée, la caméra Pro3 est dans une classe à part et je suis très fier de l'équipe qui est à l'origine d'une autre première dans le secteur. »Dotée d'un nouveau design saisissant, propre à Matterport, la Pro3 regorge de fonctionnalités révolutionnaires, notamment :Un capteur de 20 mégapixels et un objectif à 12 éléments fabriqués sur mesure pour une capture ultra large de grands espaces ;Une capacité de capture de 100k points par seconde à des profondeurs allant de 0,5m à 100m ;Un capteur LiDAR haute précision pour une précision inégalée dans diverses conditions de lumière ;Un temps de démarrage de la caméra de moins de 40 secondes ;Des blocs de batteries amovibles pour un balayage continu, les batteries se rechargent complètement en 3,5 heures ;Un poids plume de moins de 2 kilos 5 - la Pro3 est 30 % plus petite et 35 % plus légère que la caméra Pro2 ;Une nouvelle fixation de trépied conçue pour la Pro3 et de nouveaux étuis pour une portabilité et une protection maximales.Prix et disponibilitéLa caméra Pro3 de Matterport est disponible sur matterport.com/pro3 ou chez les revendeurs partenaires de Matterport dont Amazon, B&H Photo et Video ou encore Adorama.La caméra Matterport Pro3 est vendue au prix de 5695 euros et comprend :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport ;Un support de trépied ;Une batterie et un kit de chargement ;Un an de garantie.Le kit Matterport Pro3 Accélération, au prix de 7695 euros. Il comprend tout ce qui est nécessaire pour une journée complète de capture :Une caméra Pro3 dans une mallette de transport10 fichiers de nuages de points haute densité Matterport E57 pour réaliser rapidement de grands projets;10 MatterPaks pour extraire des plans d'étage, des fichiers de nuages de points et des fichiers OBJ à partir de jumeaux numériques ;Un support de trépied ;Deux piles avec un kit de chargement ;Un trépied, un chariot à roulettes, deux butées de porte, une valise rigide et un sac à dos ;Une garantie de 3 ans sur la caméra Pro3 et le support de trépiedLes accessoires sont disponibles séparément aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'Union européenne via Amazon. Pour obtenir des informations sur les prix, rendez-vous sur le site Web de Matterport.Disponibilité de la caméra Pro3 en fonction des régions :Amérique du Nord : commandes ouvertes dès aujourd'hui, date d’expédition estimée à début septembre 2022.EMEA/Asie Pacifique : ouverture des commandes imminente (date à confirmer), date d’expédition estimée à début octobre 2022.
Il y a 2 ans et 263 jours

Interview de Jean-Gabriel Niel, co-dirigeant et CEO de Graneet

Batinfo : Pouvez-nous faire un résumé de l'histoire de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Graneet est un projet que j'ai démarré avec mes associés en 2020. En 2019, alors que j’accompagnais une PME du BTP pour acheter un logiciel de gestion, j’ai découvert à quel point le suivi administratif et financier des chantiers était complexe et chronophage de part les spécificités métiers du secteur. En étudiant l’offre d’équipement disponible pour des PME, nous avons réalisé que les solutions existantes étaient généralement inadaptées, compliquées à mettre en place et à utiliser, et souvent très coûteuses. Pour toutes ces raisons, plus de 50% des sociétés utilisent encore Excel aujourd’hui pour gérer leur activité... Pour Véronique Combès, Gérante de Combès Bâtiment : « Graneet c'est très bien, c'est très simple et on va vite à l'essentiel. Je ne me suis jamais adaptée aux autres outils, pourtant j'en ai essayé plusieurs. » Forts de ce constat, nous y avons vu une opportunité unique d’apporter une solution 100% adaptée aux besoins de ces PMEs. Nous étions convaincus que la clé pour réussir était de construire un produit simple à prendre en main, mais très puissant et flexible. Et pour cela, nous avions besoin d’écouter les futurs utilisateurs. Nous avons passé près de 2 mois avec Enzo Dozias, co-fondateur et CPO de Graneet, à faire des entretiens avec une centaine de patrons d'entreprises du BTP pour mieux cerner leurs besoins. Nous avons pu construire lors de ces échanges l’ébauche de ce que serait la solution Graneet et cela nous a permis de signer nos 3 premiers clients. Avec cette validation en main, début 2020, nous avons décidé de créer l’entreprise et avons convaincu Raphaël Moulin, co-fondateur et CTO, de nous rejoindre. Après 6 mois de travail acharné, nos premiers clients commencent à utiliser Graneet en juin 2020. Les choses s'accélèrent pour nous à partir de là : nous rejoignons le Founders Program de Station F, l’équipe grossit et passe à 10 personnes, et forts de nos premiers succès et de la confiance de nos clients, nous réalisons une levée de fonds qui nous permet d’accélérer le développement du logiciel en recrutant de nouveaux talents, et de nous installer dans nos propres bureaux dans le XIème arrondissement à Paris.Nous sommes aujourd’hui une équipe de 20 personnes, les deux tiers travaillant à la construction du produit Graneet, le tiers restant étant en charge du commercial et de l’accompagnement des nouveaux clients. Convaincus de l’importance de construire une solution très puissante mais ultra simple d’utilisation, nous passons énormément de temps à travailler les composants et l'interface de notre solution. Nous co-construisons notre logiciel avec nos clients et nous réalisons par conséquent systématiquement des tests utilisateurs des nouvelles fonctionnalités sur lesquelles nous travaillons. Les professionnels du BTP ont peu de temps en dehors du terrain pour gérer le suivi financier et administratif de leurs projets et nous voulons les aider à mettre en place de meilleures pratiques de gestion pour maximiser leur marge en tant que partenaire de confiance. Pour Arnaud Mercier, Associé de Innovative & Smart Buildings : « Graneet est un logiciel simple à utiliser et agréable en plus d’être ergonomique. Le support est très réactif, l’équipe est super disponible en cas de problème et on sent qu’il y a un réel accompagnement derrière. D’autre part, son développement est co-construit avec l’équipe. »Batinfo : Actuellement quel est le positionnement de votre produit et de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Nous adressons les PME du BTP de tous les corps d’état qui font au moins 1 millions d'euros de chiffre d'affaires. Pour des entreprises de plus petite taille, notre solution est sans doute un peu trop poussée pour leurs besoins. Contrairement à la majorité des solutions de gestion commerciale BTP, notre solution est “cloud”, accessible en ligne par abonnement, et construite sur les dernières technologies avec une attention toute particulière portée à l'expérience utilisateur. Nous faisons attention à ce que l'accès aux données soit le plus simple et intuitif possible et, que les interfaces soient les plus performants. Nos clients apprécient particulièrement les tableaux de bord d’activité dans Graneet qui en sont un très bon exemple. Nous nous différencions également sur notre méthode de commercialisation : nous ne passons pas par des revendeurs mais vendons uniquement en direct à nos clients, ce qui permet un lien fluide entre nos équipes et les utilisateurs. Lorsqu’un de nos clients a un problème, il a accès à un canal de communication direct avec nos équipes techniques. Enfin, avec notre volonté d'être proches et réactifs pour aider nos clients rapidement, nous investissons aussi beaucoup dans l'accompagnement et le support qui sont au cœur de l'ADN de Graneet. Le temps de réponse moyen à un client est de 5 minutes et le temps de traitement moyen d'une demande est de moins de 30 minutes. Chiffres clés :8500 situations de travaux créées directement via GraneetPlus de 3000 chantiers gérés actuellement dans le logiciel500 millions d'euros facturés l'année dernière par les clients de GraneetBatinfo : Quel est l'avenir de Graneet ?Jean-Gabriel Niel : Notre objectif est de démocratiser l'utilisation de solutions de gestion par les PME du BTP, les aider à mieux appréhender le suivi financier de leur activité et à booster leurs marges en leur fournissant une visibilité et une transparence sur leur business, en temps réel. Nous sommes en train de finaliser le développement d’un groupe de fonctionnalités permettant le contrôle de gestion des projets pour pouvoir gérer l'allocation des différentes dépenses projet par projet : édition des bons de commandes, suivi des achats et des heures de main d’œuvre, analyse du budget. Nous cherchons à aller plus profond dans la chaîne de valeur du BTP et voulons intégrer le plus de services possibles à notre solution qui peuvent être utiles à nos clients et nous allons donc à partir de là travailler sur les connexions à des services externes au travers de partenariats. Pour pouvoir mettre en place ce plan ambitieux, nous continuons d'ailleurs à recruter dans toutes les équipes et serons une trentaine de personnes d’ici à la fin de l’année. Vos lecteurs pourront également nous retrouver pour la première fois sur le salon Batimat en octobre prochain !
Il y a 2 ans et 263 jours

Hunter Douglas, nouveau propriétaire de Derako International Architecture Bois

Une acquisition qui fait du sens…Aad Kuiper, directeur général de Hunter Douglas EMEA & Océanie, a déclaré : « L'acquisition de Derako s'inscrit dans notre stratégie visant à offrir une large gamme de systèmes de plafonds uni-ques et durables, permettant aux architectes et aux designers de réaliser des projets révolution-naires et créatifs. Nous sommes convaincus que Hunter Douglas et Derako constituent une base solide pour la poursuite de notre croissance et notre succès commun. »Pieter van Rees, Business Development & Marketing Manager chez Hunter Douglas Architectural, voit une grande opportunité dans cette acquisition : « Les deux entreprises ont leurs propres do-maines d'expertise qui se complètent très bien. Grâce à la longue expérience de Derako, de nou-velles possibilités s'ouvrent dans le monde entier pour continuer à développer le marché des sys-tèmes de plafonds et revêtements muraux durables en bois massif dans la construction. Hunter Douglas dispose d'un vaste réseau de distribution international à fort potentiel de croissance, par le biais duquel les solutions personnalisées de Derako peuvent être commercialisées.…, après un partenariat de longue date« Une longue période de fiançailles qui a débouché sur un mariage », c'est ainsi que Peter van Laar, directeur général de Derako International, décrit l'acquisition par Hunter Douglas. L'étroite colla-boration qui existe depuis deux décennies sur le marché européen a été déterminante pour que les deux parties finissent par se dire « oui ». Par le passé, Hunter Douglas a déjà collaboré avec Derako sur de nombreux projets dans le monde entier pour la fabrication de ses plafonds modulaires et systèmes de cloisons en bois massif.Les deux entreprises seront désormais dirigées par un seul et même management. Le site de production de Derako International à 't Zand (Pays-Bas) ainsi que la direction restent inchangés.Derako conçoit et produit des systèmes durables de plafonds, de revêtements muraux et de façades en bois massif, qui sont fabriqués exclusivement sur la base de projets et donc sur mesure. L'entreprise emploie 32 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 6,8 millions d'euros en 2021.
Il y a 2 ans et 264 jours

Hérault : l’usine Lafarge à Frontignan sera entièrement démolie en octobre 2022

À Frontignan (Hérault), la cimenterie Lafarge va laisser place à un parc naturel ouvert au public.
Il y a 2 ans et 265 jours

En Anjou, le briquetier Rairies Montrieux porte la tradition familiale et patrimoniale

REPORTAGE. Le fabricant de solutions en terre cuite pour la maison et la façade des bâtiments pour professionnels et particuliers investit massivement dans son usine. Depuis une centaine d'années, la famille Montrieux promulgue le savoir-faire traditionnel et local, en développant toutefois une logique d'internationalisation.
Il y a 2 ans et 265 jours

Des vélos indestructibles, en béton armé

La station vélo de Léopold Kessler prend place à côté du Musée d’art contemporain de Cracovie, en Pologne. [©ACPresse] Inutile de tenter de garer son Vélib’ au niveau de la Surrogate Citybike, à Cracovie, en Pologne. Malgré son apparence classique, avec borne de retrait et bicyclettes stationnées, nous ne sommes pas en présence d’une station urbaine pour vélos. Mais d’une œuvre signée de l’artiste contemporain Léopold Kessler. Né à Munich, en 1976, il aime à explorer la limite entre l’espace public et la sphère privée. Léopold Kessler réalise de petites interventions dans l’environnement urbain qui l’entoure. Ces travaux reposent sur des observations malicieuses et humoristiques de la vie urbaine. Et montrent une conscience aiguë des systèmes qui font fonctionner la société d’aujourd’hui. Ces œuvres sont parfois difficiles à remarquer, mais restent toujours très précises et spécifiques à chaque site. Léopold Kessler vit et travaille à Vienne, en Autriche. Ville où il a étudié la sculpture et obtenu son diplôme en 2004. A côté de l’usine d’Oskar Schindler La Surrogate Citybike (station vélo de substitution) s’inscrit tout à fait dans cette démarche artistique. De prime abord, on ne la remarque pas. C’est une station vélo comme une autre, installée sur le côté d’un bâtiment public. En l’occurrence, le Musée d’art contemporain de Cracovie, qui occupe une partie de l’ancienne usine de production de biens d’équipements en acier émaillé d’Oskar Schindler. L’œuvre de Léopold Kessler est un miroir de l’évolution des mentalités et des habitudes des urbains. Au cours des dernières années, le principe du vélo partagé a prospéré dans les villes du monde entier. En effet, la bicyclette semble constituer la solution adéquate à de nombreux problèmes contemporains, comme les embouteillages et la pollution. En outre, elle tend à améliorer la santé des personnes l’utilisant. Toutefois, les systèmes de vélos en libre-service exigent une société adulte, car ils incitent les gens à abandonner leur voiture. Et nécessitent la création de pistes cyclables. Il faut aussi outrepasser certains instincts archaïques-capitalistes : au lieu d’acheter son vélo pour un usage privé, on profite d’un véhicule collectif standardisé… Les vélos sont fabriqués en béton armé. [©ACPresse]Tout y est : cadre, selle, pédalier et même le petit panier accroché sur le guidon. [©ACPresse]Malgré son apparence, ce n’est pas une station de location de vélos. [©ACPresse]Le message sur le panneau d’informations est clair : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler…” [©ACPresse]De loin, les vélos sont plus vrais que nature. De près aussi, mais la selle en béton semble tout de même un peu dure ! [©ACPresse]Le logo ne laisse planer aucun doute : c’est une station vélos. [©ACPresse] Ce n’est pas pour garer son vélo Aujourd’hui, le principe du vélo partagé prospère même dans des endroits qui semblent incompatibles avec son apparition. Du fait de l’absence de pistes cyclables, de la présence d’une circulation automobile dense et difficile, ou encore à cause d’un climat très rigoureux, en hiver.  La station Surrogate Citybike est entièrement construite en acier et en béton, selon un processus de fabrication standardisé, solide et bon marché. Elle n’est pas faite pour être utilisée, et ne peut pas l’être. C’est une installation permanente du musée. La vraie station se situe tout près, comme le précise un petit panneau d’informations : “Merci de ne pas garer ou attacher de vélos sur l’installation de Léopold Kessler. Un parking à vélos est présent au niveau de l’entrée principale du musée, à côté de la Galerie Re”. Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 269 jours

Une trop forte concentration d'usines de panneaux photovoltaïques en Asie s'inquiète l'AIE

Le monde doit diversifier ses approvisionnements en panneaux photovoltaïques s'il veut garantir sa transition énergétique, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) début juillet.
Il y a 2 ans et 275 jours

Wienerberger réduit son impact carbone grâce à la technologie innovante de l'Eco-Stock®

Cette collaboration mise en place sur le site de production de tuiles en terre cuite de Pontigny (89) permettra de réduire les émissions CO2 de l’usine de plus de 450 tonnes par an, grâce à l’installation d’une innovation technologique : l’Eco-Stock®.En septembre dernier, Wienerberger présentait sa stratégie environnementale visant en priorité à réduire les émissions de CO2 de 15% d’ici 2023, 40% en 2030, jusqu’à atteindre la neutralité carbone en 2050. Pour atteindre ses objectifs, de nombreuses actions ont déjà été mises place comme la construction d’ échangeurs thermique sur plusieurs sites de fabrication de briques de structure permettant d’économiser 6 000 MWh/an sur la consommation de gaz d’un site, mais également l’utilisation à 100% d’électricité verte provenant entre autre d’un parc éolien, ou encore la signature d’un partenariat avec l’ADEME au travers d’un dispositif FRET21, pour la réduction des émissions de CO2 dans le transport des matériaux.Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe aujourd’hui avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard.Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale (ou chaleur perdue) rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée à bon escient et au bon moment vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ainsi, ces mêmes séchoirs n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Résultats : le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co² de 6 000 000 de kms de voiture.Qu’est-ce que l’Eco-Stock ?Innovation technologique de l’entreprise Eco-Tech Ceram, l’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. L’Eco-Stock® est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Le système permet de valoriser au mieux les énergies renouvelables et de récupération conformément aux exigences de performance de l’industrie.« Nous sommes très fiers de lancer ce projet d’Eco-Stock® sur notre site de Pontigny en bénéficiant ainsi des dernières innovations technologiques de l’entreprise Eco-Tech Ceram. Cette installation, visant à la réduction des émissions de CO2, est une nouvelle étape dans notre stratégie de décarbonation avec comme objectif final la neutralité carbone en 2050 » commente Frédéric Didier, Directeur Général de Wienerberger France.« Alors que les crises climatiques et énergétiques s’intensifient, nous nous félicitons de notre partenariat avec Wienerberger et sommes très heureux de pouvoir accompagner ce géant de l’industrie céramique dans sa transition bas carbone. Avec l’Eco-Stock, nous avons été en mesure de leur proposer une solution technique clé en main et entièrement financée, avec le soutien de l’ADEME. En contractant avec ETC invest, Wienerberger va donc acheter de la chaleur décarbonée et compétitive pour remplacer le gaz naturel fossile, le tout sans avoir à investir », déclare Antoine Meffre, Président et Fondateur d’Eco-Tech Ceram.
Il y a 2 ans et 276 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 283 jours

Revitaliser les centres-villes : un défi toujours en chantier

Les sénateurs à la tête de la mission Revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs en ont fait un premier bilan le 7 juillet et doivent rendre un rapport complet fin septembre.D'après une consultation menée par Opinion Way pour cette mission, une majorité des 856 élus répondants juge positivement les mesures de la loi Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan), votée en 2018.Les sénateurs constatent aussi un retour positif des maires engagés dans Action cœur de ville (ACV), lancé en 2017, doté de 5 milliards d'euros de financements et auquel ont souscrit 234 communes de taille moyenne.51% des répondants concernés par ce programme jugent que la situation de leur centre-ville s'est améliorée, contre seulement 25% pour l'ensemble des élus.C'est le cas à Tarare, une ancienne cité textile du Rhône, autrefois célèbre pour sa mousseline, ses rideaux puis son voile Tergal, à une quarantaine de kilomètres de Lyon.Le projet Cœur de ville y a été signé en septembre 2018 et vient d'être prolongé jusqu'en 2026.A première vue, Tarare ressemble à de nombreuses villes moyennes victimes de l'effondrement de leur industrie unique. Mais les bâtiments et usines, longtemps désaffectés, y laissent peu à peu place aux grues et édifices neufs.Mise en œuvreInstallation d'un établissement du brasseur lyonnais Ninkasi en 2023, ouverture du tiers-lieu La Bobine, avec espace de coworking et campus connecté : la ville connaît un nouvel élan.Le taux de chômage a reculé de 7,3 à 4,8% de 2016 à 2022, se réjouit le maire DVD Bruno Peylachon, élu en 2014. "On tire un bilan extrêmement positif du projet +Cœur de ville+ (...) la plupart des objectifs ayant été atteints", poursuit l'élu.En recul, la population est aujourd'hui stabilisée autour de 10.500 habitants, note M. Peylachon."Forcément, dans les années à venir la population va croître", anticipe-t-il, "sur le logement, d'ici 2026 nous aurons entre 400 et 500 nouveaux logements neufs et 322 rénovés".Selon une étude de l'Agence nationale de la cohésion des territoires, publiée en juin, les ventes immobilières ont augmenté de 17% dans 200 villes moyennes en France, bénéficiant du programme Action cœur de ville.Les sénateurs pointent toutefois des limites aux dispositifs de revitalisation, dont "des difficultés de mise en oeuvre" et "des objectifs locaux pas toujours bien précis".Ainsi à Villers-sur-Mer (Calvados), où le programme Petites villes de demain a été signé en mai, la mairie peine à détailler les "problèmes structurels" qu'elle entend régler.Pour le maire Thierry Granturco, le principal défi de cette cité balnéaire - 2.700 habitants l'hiver, dix fois plus l'été - est l'évolution du quartier Villers 2000."Des gens à petits moyens ont acheté leurs 30m2 à la mer il y a quarante ans pour venir de Paris passer le weekend sur la côte. Aujourd'hui ils sont retraités et vivent ici à l'année", dit-il.Eloigné du centre-ville, Villers 2000 doit bénéficier d'un programme de désenclavement, avec construction d'un centre sportif traversant et d'une voie verte végétalisée, pour permettre à ses habitants du quartier d'accéder plus facilement au centre-ville et à ses commerces.Mais sans garantie que les résidents de Villers 2000, souvent âgés, s'y rendront effectivement. Le flou règne aussi sur l'occupation réelle du quartier en hiver."Déficit de notoriété"Les sénateurs relèvent en outre une autre inquiétude: les financements sont jugés "difficiles" voire "illisibles". Des élus s'interrogent aussi sur leur pérennisation, surtout pour les petites villes.Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet directeur du programme national ACV, a tenu à rassurer les maires réunis au Congrès des villes de France le 11 juillet.Il veut aller "plus fort, plus vite et plus loin" pour la phase 2 d'ACV, étendue jusqu'en 2026. Il préconise ainsi de remettre en question la différence entre zones tendues (fort déséquilibre entre l'offre et la demande de logements) ou détendues: "il n'y a pas assez de logements adaptés".Il veut également élargir la revitalisation "aux quartiers de gare et aux entrées de ville" et poursuivre les programmes de défiscalisation des travaux de rénovation dans l'immobilier locatif."La politique publique de revitalisation souffre d'un déficit de notoriété manifeste qui nuit à son efficacité", constate la mission sénatoriale. Les élus ont de nombreux outils à leur disposition, insiste-t-elle, mais ils ne se sentent pas assez accompagnés par l'Etat.
Il y a 2 ans et 283 jours

Pyrénées-Atlantiques : le parking de l’Usine des tramways à Pau sera en chantier en septembre 2022

Le parking de l’Usine des tramways, fermé au public à partir de la rentrée prochaine, rouvrira en 2023.
Il y a 2 ans et 289 jours

La collection Organic s'enrichit de nouvelles baffles acoustiques

En neuf comme en rénovation, Organic Claustra et Organic Factory se destinent tout particulièrement aux ERP (hôtels, brasseries, restaurants…), et aux bâtiments tertiaires (bureaux, open space, locaux d’entreprises...), hors locaux humides. La collection Organic sera à découvrir sur BATIMAT, (Pavillon 1, espace K66), du 3 au 6 octobre prochain à la Porte de Versailles. Organic Claustra : une séparation esthétique des espaces doublée d’une absorption acoustique idéale Baffle acoustique rectangulaire sur câbles, superposable et modulable, Organic Claustra séduit d’emblée par l’étendue de ses possibilités. Permettant tout à la fois de rythmer les espaces, les personnaliser à souhait, cette nouvelle solution Knauf traite efficacement l’acoustique.Disponibles dans l’éventail des 25 coloris de la collection Organic, mais également en Organic Creative Impression (personnalisation par impression monochome ou polychrome de motifs) ces nouvelles baffles Organic sont proposées en plusieurs dimensions (1955/1155/955 x 295/600) pour une épaisseur de 35 mm. Le champ des possibles est ainsi varié pour répondre à toutes les envies de créations audacieuses.Avec une masse surfacique de 17 kg/m2, Organic Claustra revendique une réaction au feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour le coloris White.De plus, ces nouvelles baffles Organic Claustra affichent des performances acoustiques allant jusqu’à aw 0,50 pour améliorer le confort sonore des usagers.S’adaptant à tous types de supports, ces baffles offrent également une grande facilité d’installation grâce à un ingénieux et discret kit de suspension comprenant deux câbles fixés au sol et au plafond, vendus séparément (câbles de 4 mètres de long, avec deux fixations déco plafond et 2 fixations déco sol), les dalles étant maintenues sur les côtés.Organic Factory : des baffles acoustiques verticales suspendues en toute légèreté Autre innovation signée Knauf, Organic Factory, un nouveau système de baffles acoustiques de plafonds sur câbles, au style industriel, minimaliste et épuré, jouant à 100 % l’effet matière.Le prescripteur et l’acousticien pourront donc à loisir rythmer et jouer sur les divers formats proposés pour des créations uniques qui se démarquent et se remarquent, tout en étant des sources de confort sonore et visuel.Disponibles en plusieurs dimensions (1000/1200/2000 x 600/295 x 35 mm), les baffles Organic Factory se déclinent dans l’intégralité de la palette de couleurs du nuancier Organic, pour toujours plus d’audace architecturale.Les baffles Organic Factory sont équipées en usine de 2 fixations permettant une installation aisée, sûre et pérenne grâce au kit de câbles et de fixation (vendus séparément) qui comporte deux fixations déco plafonds, 2 câbles de 1 mètre et 2 embouts déco tarraudés M6.Côté performances, Organic Factory affiche le même niveau d’exigences et de résultats qu’Organic Claustra, à savoir, une absorption acoustique allant jusqu’à w 0,50, une réaction feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour la référence White.Organic, une gamme biosourcée et fabriquée dans la seule usine de laine de bois en France Les dalles Organic sont issues de la seule usine de laine de bois en France, implantée en Haute-Saône. Organic est un produit biosourcé (laine de bois d’épicéa de 1 mm issue d’exploitations locales situées à moins de 200 km du site de production, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche). Ces dalles sont particulièrement appréciées et prescrites de plus en plus, en particulier dans le cadre de chantiers à approche environnementale.Organic répond totalement aux exigences des constructions HQE®, LEED et BREEAM, et justifie du label Zone Verte Excell Gold et de la meilleure classe d’émission française dans l’air intérieur A+. Outre ses qualités esthétiques, avec une large palette de couleurs et la personnalisation à souhait, Organic est aussi reconnu pour ses qualités techniques. D’un point de vue acoustique, la laine de bois permet en effet de maîtriser la réverbération des bruits et garantit ainsi un confort acoustique remarquable dans toutes les situations données.Organic sur Knaufstudio.fr, comme source d’inspiration La collection Organic est à retrouver sur le site Knaufstudio.fr. Cet espace, dédié aux acteurs de la prescription, fait la part belle à l’esthétique, la matière, l’inspiration et la créativité pour les accompagner dans la signature de projets architecturaux uniques.Pour Emmanuel Blaudez, Chef de Marché Plafonds : « Avec Organic Claustra et Organic Factory, Knauf offre aux prescripteurs de nouvelles perspectives dans l’univers des baffles acoustiques, pour des réalisations qui conjuguent créativité et performances. L’origine naturelle et biosourcée d’Organic répond également aux attentes des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour des bâtiments plus responsables. »
Il y a 2 ans et 289 jours

Sites Seveso : des accidents réguliers, le réchauffement climatique à prendre en compte

Plus de 1.000 sites SevesoChimie, raffinage, munitions, engrais...: la France comptait 1.302 établissements Seveso sur son territoire en 2021, dont 691 dits "seuil haut". Ce seuil est fonction de la quantité totale de matières dangereuses présentes sur site.Cette classification des sites dangereux prend le nom de la ville italienne de Seveso, qui a connu un rejet accidentel de dioxine en 1976.Cet accident "a incité les États européens à se doter, à travers la mise en œuvre de la directive +Seveso+, d'une politique commune en matière de prévention des risques industriels majeurs", rappelle le gouvernement.Cette directive a été adoptée initialement en 1982 puis révisée deux fois, la dernière version (SEVESO 3) datant de 2012.La France s'est aussi dotée d'une loi "risques" en 2003, à la suite de la catastrophe du site AZF, qui a tué 31 personnes à Toulouse en 2001. Elle s'est notamment traduite par une remise à plat de l'urbanisme existant autour des sites à haut risque - avec parfois des expropriations de riverains - et un renforcement de la réglementation."Il y a eu un travail significatif effectué dans la plupart des sites Seveso, qui a pris un temps fou, pour certains 10 ou 15 ans, pour recenser tous les facteurs de risques", explique Patrick Chaskiel, chercheur spécialisé dans les risques technologiques à l'université de Toulouse. "Désormais on ne prend plus en considération un seul facteur de risque, on en prend parfois 500 ou 600".Des accidents réguliers"Bien qu'en légère augmentation, les accidents majeurs restent de l'ordre d'une demi-douzaine par an" dans les établissements Seveso, conclut le gouvernement dans son inventaire des accidents pour l'année 2021.Ce sont ainsi 78 accidents et 6 accidents "majeurs" qui ont été recensés l'an dernier.Pour expliquer leur survenue dans les installations classées, l'inventaire distingue les causes premières des causes profondes. Les premières sont des écarts matériels (71% des cas), les interventions humaines (29% des cas) et les pertes de contrôle des procédés (23,5% des cas).Les causes profondes, lorsqu'elles sont identifiées, ressortent en premier lieu de l'"organisation des contrôles", "l'identification des risques" et le "choix des équipements et procédés".Les accidents les plus graves sont toutefois beaucoup plus rares: le dernier en date est l'incendie sur le site Lubrizol à Rouen en 2019."Pour réduire le nombre d'accidents, on a comme solution de faire se conjuguer une double pression", intérieure et extérieure à l'entreprise (associations de riverains, ONG, élus...), avance Patrick Chaskiel. "Ou alors il y a la solution radicale, qui est de supprimer toutes les usines dangereuses !".Le rôle de la chaleur ?"Dans les installations industrielles, les fortes chaleurs, qu'elles soient caniculaires ou supérieures aux températures observées à la même période, sont à l'origine de nombreux événements industriels, qu'elles en soient la cause ou un facteur aggravant", rappelait le Bureau d'analyse des risques et pollutions industriels (BARPI) dans une note publiée en mai."Le principal phénomène rencontré est l'incendie", soulignait cet organisme gouvernemental.Dans le cas de l'accident de la poudrerie Eurenco de Bergerac mercredi, les causes ne sont toutefois pour l'instant pas avérées. "On ne peut pas dire que c'est à cause du réchauffement climatique", a indiqué jeudi le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.Mais "personne ne peut nier qu'on a un réchauffement qui met à l'épreuve les hommes, la nature et les infrastructures. Et donc que c'est toute notre procédure de prévention des risques qui doit être renforcée à l'aune de ce réchauffement", a-t-il ajouté."C'est un sujet mais à multiples facettes", estime Patrick Chaskiel. Il observe que la chaleur a de multiples effets, par exemple sur la capacité des ouvriers à porter des équipements de protection lourds."La chaleur est un facteur à prendre en considération sur différents plans, pas seulement sur celui du réchauffement des matières dangereuses; ça peut aussi être à prendre en considération sur l'organisation du travail", observe-t-il.
Il y a 2 ans et 293 jours

ADEME [Finance Climact] - Présentation des Plans de transition sectoriels

Chacune de ces feuilles de route s’articule en quatre volets – Technologique, Financement, Marché/emploi et Plan d’actions publiques et privées – et s’appuie sur une collaboration étroite avec les principaux acteurs du secteur concerné (fédérations et majors des secteurs).Un Plan de Transition Sectoriel se déroule sur une durée de 12 à 18 mois selon la complexité du secteur, et est rythmé par des échanges avec les industriels (collectifs et bilatéraux) ainsi que des réunions élargies avec les parties prenantes de la filière.Concertation et modélisation au cœur de la méthodologieTravail bibliographique et échanges pour dessiner l’état des lieux technico-économique du secteurDéfinition et validation d’usines de référence sur le parc industriel françaisModélisation de chemins technologiques évaluant la capacité de réduction d’émissions et les besoins d’investissement à l’échelle du parcAnalyse de la demande en matériaux et évolutions liées à la transitionAnalyse du marché de l’emplois et des compétencesConcertation et élaboration d’un plan d’actions, publiques et privées, permettant une décarbonation viable du secteurPlusieurs livrables seront mis à disposition des pouvoirs publics, des industriels et des institutions financières tout au long du projet et serviront de support dans les processus de décisions.Les 9 secteurs concernés sont : acier, aluminium, ciment, ammoniac, chlore, éthylène, papier-carton, sucre, verre.
Il y a 2 ans et 296 jours

Le prince héritier saoudien dévoile les plans de sa mégapole futuriste NEOM

Appelés "The Line", les deux immenses gratte-ciels parallèles de 500 mètres de haut formeront le centre de la ville sur la mer Rouge, projet phare de plusieurs centaines de milliards de dollars de Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, qui cherche à diversifier l'économie du pays pétrolier.Avec ses taxis volants et robots domestiques, NEOM a fait beaucoup parler d'elle depuis sa première annonce en 2017, même si des architectes et des économistes ont mis en doute sa faisabilité.Au départ, NEOM a été présentée comme une "Silicon Valley" régionale, un centre de la biotechnologie et du numérique s'étendant sur 26.500 kilomètres carrés.Mais lors de la présentation lundi soir de "The Line", le prince a esquissé une vision encore plus ambitieuse, décrivant une ville utopique sans voitures, la plus vivable "sur toute la planète".L'idée est de repenser la vie urbaine sur une surface de seulement 34 kilomètres carrés pour répondre aux "crises de l'habitabilité et de l'environnement", a-t-il ajouté, suscitant une nouvelle fois le scepticisme chez certains."Le concept a tellement évolué depuis sa conception initiale qu'il est parfois difficile de déterminer sa direction", commente Robert Mogielnicki de l'Arab Gulf States Institute à Washington.Boom démographiqueLes autorités ont évoqué dans le passé le chiffre d'un million d'habitants à NEOM.Le prince héritier a désormais fixé la barre à 1,2 million d'habitants d'ici 2030 et neuf millions à l'horizon 2045, en misant sur un boom démographique nécessaire, selon lui, pour faire de l'Arabie saoudite une puissance économique capable de rivaliser dans tous les secteurs.A l'échelle nationale, l'objectif est d'atteindre 100 millions d'habitants en 2040, "près de 30 millions de Saoudiens et 70 millions ou plus d'étrangers", contre environ 34 millions d'habitants aujourd'hui, a déclaré Mohammed ben Salmane."C'est l'intérêt principal de la construction de NEOM : augmenter la capacité (démographique, ndlr) de l'Arabie saoudite (...). Et puisque nous le faisons à partir de zéro, pourquoi copier les villes normales ?".D'une largeur de 200 mètres seulement, "The Line" doit répondre à l'étalement urbain incontrôlé et nuisible à l'environnement, en superposant maisons, écoles et parcs, selon le modèle de "l'urbanisme à gravité zéro". Les résidents auront accès à "tous leurs besoins quotidiens" en cinq minutes à pied, ainsi qu'à d'autres facilités comme des pistes de ski en plein air et "un train à grande vitesse avec un trajet de bout en bout (de la ville) de 20 minutes", selon le communiqué de presse publié lundi.NEOM devrait aussi être régie par sa propre loi, en cours d'élaboration, mais les responsables saoudiens ont d'ores et déjà affirmé qu'ils n'avaient pas l'intention de lever l'interdiction de l'alcool imposée dans le royaume conservateur.Trouver des fondsAutre défi pour NEOM : respecter les promesses en matière de protection de l'environnement du pays qui s'est engagé -sans convaincre les défenseurs de l'environnement- à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060. Selon une vidéo promotionnelle publiée lundi, le site sera totalement alimenté par des énergies renouvelables et présentera "un microclimat tempéré toute l'année avec une ventilation naturelle".NEOM est bien positionnée pour bénéficier de l'énergie solaire et éolienne, et la ville devrait accueillir la plus grande usine d'hydrogène vert du monde, note Torbjorn Soltvedt, du cabinet de conseil Verisk Maplecroft. "Mais la faisabilité de NEOM dans son ensemble n'est pas claire étant donnée l'ampleur et le coût sans précédent du projet".Le coût de la "première phase", qui s'étend jusqu'en 2030, est évalué à 1.200 milliards de riyals saoudiens (environ 319 milliards de dollars), selon le prince Mohammed.Outre les subventions gouvernementales, les fonds devraient provenir du secteur privé et de l'introduction en bourse de NEOM prévue en 2024.Le financement reste un défi potentiel, même si le contexte actuel, marqué par la flambée des prix du pétrole, est plus favorable pour le royaume que durant la pandémie de Covid-19.Par ailleurs, "le financement n'est qu'une partie de l'équation", souligne Robert Mogielnicki."La demande est plus difficile à acheter, surtout quand on demande aux gens de participer à une expérience sur la vie et le travail dans le futur."
Il y a 2 ans et 296 jours

Saint-Gobain annonce des bénéfices semestriels en hausse malgré l'inflation

Son bénéfice net a progressé de 32,8% à 1,72 milliard d'euros sur les six premiers mois de l'année. Le chiffre d'affaires a pour sa part progressé de 15,1% à 25,48 milliards, porté par la rénovation en Europe et la construction dans les Amériques et en Asie.Les résultats sont "très bons malgré un environnement relativement chahuté avec la hausse des taux d'inflation, les difficultés d'approvisionnement qu'on connaît bien et la situation énergétique et géopolitique tendue", a salué Benoît Bazin, le directeur général, lors d'une conférence de presse.Le groupe a dans la foulée confirmé ses perspectives. "Saint-Gobain confirme viser une nouvelle progression du résultat d'exploitation en 2022 par rapport à 2021 à taux de change comparables", indique-t-il dans un communiqué.Saint-Gobain a par ailleurs revu à la hausse l'effet de l'inflation, avec des coûts d'énergie et de matières premières attendus en progression de près de 3 milliards d'euros cette année par rapport à 2021, contre 2,5 milliards attendu auparavant.Cette révision concerne "plutôt les matières premières", a précisé M. Bazin. "On avait été précautionneux, on avait couvert nos achats d'énergie par anticipation sur l'année 2022 : on est couverts à 80% sur nos besoins d'énergie et on a d'ores et déjà couvert 60% de l'année 2023".Saint-Gobain se dit en outre "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" cette année, bénéficiant notamment d'un "écart prix-coûts positif au premier semestre".Le groupe indique par ailleurs se préparer à une éventuelle coupure totale de l'alimentation en gaz russe dans les pays qui y sont le plus sensibles : Allemagne, République tchèque et Pologne.L'effet négatif serait limité à "environ 2% du chiffre d'affaires du groupe" grâce à divers leviers (qualification d'industrie prioritaire, recours au fioul plutôt qu'au gaz, moindre utilisation d'énergie dans les usines).
Il y a 2 ans et 299 jours

Icade solide au 2e trimestre malgré un contexte peu propice au foncier

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé sur le trimestre un chiffre d'affaires de 823 millions d'euros, soit 6,3% de plus qu'en 2021.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence est en hausse de 7,1% par rapport au même trimestre en 2021, s'établissant à 205 millions d'euros, soit 2,7 euros par action.Son résultat net bondit de 68% sur un an pour atteindre 251 millions d'euros."Nos trois métiers sont bien orientés, malgré le contexte actuel, les loyers restent stables malgré la conjoncture", a expliqué sur BFM Business son directeur général, Olivier Wigniolle.L'une des clés de cette solidité est le marché de l'immobilier résidentiel qui "se porte très bien, voire trop bien", selon le directeur du groupe."Nous avons beaucoup de clients et pas assez de produits après cette période de Covid-19, les Français cherchent à se loger bien", a t-il ajouté. Tout en confirmant ses objectifs pour 2022 (une hausse autour de 4% pour son cash flow net), le groupe d'immobilier redoute des turbulences sur le secteur foncier liées à l'inflation et à la hausse des taux d'intérêt, redoutable pour son activité foncière.Pour l'immobilier de bureau ou tertiaire, la récession historique observée pendant la période du confinement a été compensée par des cessions d'actifs. "C'est une situation à gérer", élude le directeur général d'Icade, rappelant que la "production du bureau est à l'arrêt".Dans le secteur de la Santé, le groupe qui investit dans les hôpitaux privés et cliniques n'annonce ce trimestre aucune cession de sa filiale d'immobilier de santé.Le projet annoncé avait été reporté en 2021 faute d'une levée de fonds satisfaisante.
Il y a 2 ans et 300 jours

Daikin Europe va construire une usine de pompes à chaleur en Pologne

INVESTISSEMENT. Daikin Europe va investir 300 millions d'euros dans la construction d'un site de production dédié à la fabrication de pompes à chaleur résidentielles en Pologne.
Il y a 2 ans et 300 jours

Négoce de matériaux et transformation digitale : naissance de nouveaux enjeux

Le négoce des matériaux de construction est lui aussi concerné par cette tendance : 60% des décideurs de l’étude menée par DL Négoce cette année estiment que la transformation digitale contribue à fidéliser la clientèle et voit ses métiers évoluer selon la Commission paritaire nationale de l’Emploi et de la Formation professionnelle.[2]Le parcours client a connu ses dernières années une transformation sans égal, quel que soit le secteur de l’activité commerciale. Le client est de plus en plus informé, de plus en plus exigeant et ultra connecté. Par conséquent, de la vente à la logistique, en passant par la communication ou le marketing, une adaptation des entreprises est devenue indispensable pour répondre aux enjeux actuels.Une évolution des métiers face aux nouveaux usagesL’omnicanalité occupe une place prépondérante aujourd’hui, conduisant au constat suivant : les métiers de la force de vente et du commerce sont les premiers influencés par la digitalisation. Selon l’étude, ils sont parmi ceux les plus impactés (à hauteur de 80%). En effet, les vendeurs conseils et les commerciaux ont besoin d’accéder à tout type d’information pour être efficaces et offrir une expérience client individualisée. Qu’il soit question des réseaux sociaux et plus largement d’Internet pour valoriser l’offre de services du négoce ou suivre les actions de la concurrence; d’outils pour accéder à différentes informations pour, par exemple, établir des devis en temps réel, les équipes voient leurs fonctions évoluer et demander toujours plus d’agilité. Il en va de même pour les métiers de la chaîne logistique. 70% des décideurs interrogés lors de l’étude affirment que les métiers de la logistique et du dépôt ne sont pas épargnés par la transformation digitale (préparateur de commande, livreur et magasinier…). E-commerce, click and collect… Les clients, TPE et PME confondues, sont de plus en plus nombreux à acheter sur Internet. Parmi les artisans, 27% déclaraient l’année dernière y acheter du gros matériel, tandis qu’ils étaient 88% à se procurer des fournitures diverses.[3] Aussi, 84% des négoces interrogés dans le cadre de l’étude ont investi dans la supply chain pour avoir une gestion des stocks plus fine (une disponibilité au bon endroit et au bon moment) à l’aide d’un écosystème numérique facilitant la circulation et l’exploitation des informations, voire une certaine automatisation des plateformes au sein des parcs de matériaux.[4]Changement de paradigme, nouveaux défis RHSi les initiatives ont été nombreuses et variées en termes de digitalisation (la dématérialisation des factures arrive en tête avec 48%, suivent la vente en ligne des produits 38% et la mise en ligne d’informations sur la disponibilité des stocks avec 37%), cette accélération de la digitalisation dans les négoces doit toutefois être nuancée. Le secteur se retrouve en effet confronté à différentes difficultés. 41% des répondants à l’étude se disent en retard par rapport à leurs concurrents. Plusieurs freins ont été identifiés : tout d’abord le manque de ressources internes, difficulté phare rencontrée par 43% des négociants de matériaux. Actuellement, recruter et fidéliser devient de plus en plus ardu en raison d’une pénurie de talents liée à un marché du travail bouleversé par la crise COVID, avec un nombre d’emplois plus important qu’à l’accoutumée concernant certaines professions. « La forte concurrence crée un climat de recrutement “compliqué” pour 78% des répondants à l’étude »[5], alors qu’ils doivent investir dans les nouveaux métiers de la communication/marketing digital jusqu’alors inexistants dans l’univers du négoce et renforcer certains services pour accompagner cette mutation générale (RH, comptabilité…). Parallèlement, on observe de la part des dirigeants une volonté d’accompagner les personnels dans leur montée en compétences pour qu’ils puissent notamment gagner en autonomie et répondre aux enjeux de l’automatisation progressive des tâches.Malgré tout, le digital reste un levier de développement pour le secteur du négoce dont le chiffre d’affaires est en nette augmentation. Perçu comme un allié favorisant l’amélioration de l’expérience client et par voie de conséquence la performance business, il contribue à accroître le niveau de qualification des collaborateurs et la diversification des métiers. La vraie difficulté réside dans le fait d’avoir des ressources en interne suffisamment à l’aise avec les outils digitaux pour piloter les projets, mais aussi dans la conquête de nouveaux talents capables d’accompagner l’organisation dans sa transformation numérique.Tribune de Pascal Andries, Directeur de Général DL Négoce (LinkedIn).[1] Source : Comment tirer parti de la transformation numérique pour modifier la chaîne de valeur de l'entreprise ?[2] Source : https://www.dlnegoce.fr/digitalisation-quelle-influence-sur-les-metiers-dans-le-negoce-de-materiaux/[3] Source : E-commerce : approvisionnement pour artisans | Batiadvisor[4] Source : https://www.dlnegoce.fr/etat-des-lieux-perspectives-investissements-quelle-meteo-chez-les-negociants-de-materiaux/[5] Ibid.
Il y a 2 ans et 305 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs de 5,7 mds euros doit naître près de Grenoble

Afin de répondre à la pénurie actuelle, les fabricants GlobalFoundries et STMicroelectronics vont construire une usine de semi-conducteurs en Isère, un investissement estimé à 5,7 milliards d'euros.
Il y a 2 ans et 306 jours

Avec 22.000 visiteurs, l’édition 2022 de Rexel Expo est un succès

Les visiteurs ont pu découvrir toutes les dernières innovations Rexel, et celles de ses 200 partenaires fabricants, en matière d’efficacité énergétique, de mobilité électrique, de bâtiments intelligents et de solutions connectées, destinées aux marchés résidentiel, tertiaire et industriel.De l’amélioration du parcours sur le webshop client, au showroom digital, de l’assistance à distance aux conférences autour de thèmes essentiels pour les acteurs de l’énergie tels que : l’autoconsommation solaire ou la décarbonation des bâtiments, en passant par le lancement de « So Watt » le premier réseau d’artisans experts de l’électricité et du génie climatique, la semaine a été riche en évènements !Les clients professionnels ont pu être acteurs du salon en testant et en donnant leur avis sur les innovations présentées en avant-première. Leurs retours sont précieux car ils vont permettre aux équipes Rexel France de travailler sur le développement et d’éventuels axes d’amélioration dans les semaines et mois à venir. Cette notion de « co-construction » AVEC et POUR les clients étant un élément constitutif de l’ADN de Rexel.Thomas Moreau, Président de Rexel France, fait part de sa satisfaction : « Rexel Expo c’est un peu notre « défilé de mode », l’occasion pour nos équipes de présenter nos dernières innovations. Nous avons eu d’excellents retours clients et une fréquentation exceptionnelle, avec 22 000 visites ! Nous avons présenté, entre autres, en avant-première notre nouvel outil le « Carbon Tracker » qui permet à nos clients de mesurer l’impact carbone d’un chantier sur toutes les étapes du cycle de vies de produit et avons eu la belle surprise de remporter le 28 juin dernier avec cet outil « Le Prix énergie climat décarbonation » dans le cadre des « Trophées Industrie durable 2022 » organisés par l’Usine Nouvelle. Une belle récompense pour les équipes qui travaillent sur des solutions innovantes et durables pour répondre aux enjeux écologiques de demain. »Fidèle aux engagements de responsabilité sociale et environnementale de Rexel France, le salon a été organisé dans une démarche de minimisation de son empreinte écologique (mise en place du tri sélectif, utilisation d’une moquette 100% recyclable, 100% des gobelets utilisés sur le salon étaient recyclés etc.). Rexel France a également décidé de financer une association via la Fondation Rexel pour le progrès énergétique afin de compenser l’empreinte écologique tout de même générée par le salon.Les partenaires exposant sur le salon étaient eux aussi engagés dans cette démarche sociétale. En attestent les 75 % des stands partenaires qui affichaient un macaron EcoVadis (une certification mondiale qui évalue la performance RSE des entreprises) Bronze, Silver, Gold, ou Platinium.
Il y a 2 ans et 306 jours

L’usine Bosch Thermotechnologie de Saint-Thégonnec opère une complète mutation

Exit, les chaudières fioul ou gaz, l’usine finistérienne de Bosch Thermotechnologie se consacre désormais aux ballons Inox, dont la production monte en flèche, grâce à un investissement de 4,4 M€ sur trois ans.
Il y a 2 ans et 306 jours

L’usine Bosch Thermotechnologie de Saint-Thégonnec se spécialise dans les ballons inox

L'arrêt de la fabrication des chaudières fioul et gaz se fait au profit d’une importante augmentation de la capacité de production de ballons en acier inoxydable, surtout pour les pompes à chaleur.
Il y a 2 ans et 307 jours

Ce qu’il faut savoir avant d’acheter une charpente en bois en kit

Vous envisagez d’acheter une charpente en bois en kit ? Notez que ce choix peut vous offrir différents avantages. Il suffit de bien choisir le modèle dont vous avez besoin. Vous obtiendrez ainsi une construction solide répondant parfaitement à vos attentes. Vous pouvez aussi confier l’intervention à un spécialiste en charpente de maison. C’est quoi une charpente en bois en kit ? Généralement coupée par le constructeur, une charpente en bois en kit affiche de bonnes mesures pour couvrir votre habitation. Vous pouvez tomber sur un modèle doté de différents éléments réassemblés. De nombreuses essences de bois peuvent être proposées sur le marché. Vous pouvez par exemple opter pour l’épicéa ainsi que le pin sylvestre. N’oubliez pas de solliciter un couvreur charpente pour vous aider à réaliser les travaux dont vous avez besoin. Il faut noter que l’opération peut prendre moins de temps que prévu surtout si vous contactez un spécialiste. Les principaux points à retenir Votre charpente est normalement offerte avec un dossier de montage, mais aussi les accessoires qu’il faut. Vous n’aurez aucune rectification à réaliser pour assurer la réalisation de votre toiture. Cela est dû au fait que le fabricant réalise les découpages convenables en usine. Il faut noter que des techniciens qualifiés s’occupent de tout pour faciliter la pose de votre revêtement. Il suffit de ce fait de contacter un professionnel comme cet artisan couvreur charpentier en Bas de Rhin sur ce site : https://www.couvreur-charpentier-67.fr/  pour réaliser les travaux comme il se doit. Vous êtes libre de choisir le modèle dont vous avez besoin avec l’aide du spécialiste que vous choisirez. Un kit de charpente en bois pour couvrir votre garage N’oubliez pas qu’un kit de charpente en bois ne se pose pas uniquement sur le toit de votre maison. Vous avez aussi la possibilité de faire ce choix pour couvrir d’autre construction. Cela est par exemple le cas pour le toit de votre garage qui doit être assez solide et résistant. Ce type de réalisation se fait en principe avec 1 ou 2 pentes. Vous pouvez en choisir en plus pour ces dernières pour profiter d’une meilleure qualité pour la charpente. Les principaux points forts de ce type de kit Le choix d’un kit de charpente en bois offre des avantages considérables. Le matériau peut en premier lieu améliorer l’esthétisme de votre habitation. Vous pouvez par exemple ajouter une décoration avec des poutres apparentes. Il suffit d’avoir les bonnes connaissances pour réaliser les travaux comme il se doit. D’ailleurs, l’opération de pose de la réalisation ne prend pas beaucoup de temps. Il ne faut pas non plus négliger la durée de vie de votre construction qui peut aller jusqu’à 50 ans. Il suffit de trouver un modèle qualifié FCBA et proposé avec le marquage CE. Combien coûte un kit de charpente en bois ? Vous devez savoir qu’un kit de charpente en bois ne coûte pas une fortune. Il suffit de préparer le budget essentiel pour obtenir le modèle dont vous avez besoin. Une couverture avec une seule pente peut par contre coûter 135 €/m² contre 150 €/m² si vous en avez deux. Une commande pour kiosque peut toutefois atteindre 320 €/m². Cela implique que vous devez prendre le temps de bien choisir le style que vous voulez adopter pour votre habitation. Tout peut toutefois dépendre du produit que vous voulez adopter en prenant en compte l’essence utilisée ainsi que le style que vous voulez adopter. La dimension de votre charpente est aussi à prendre en compte pour la préparation de votre budget.
Il y a 2 ans et 310 jours

Construction industrialisée : Willy Naessens réussit son intégration dans les Hauts-de-France

Installé à Bapaume (Pas-de-Calais) en 2017, le constructeur belge de bâtiments industriels multiplie les chantiers au nord de Paris. Et réfléchit sérieusement à l’ouverture d’une usine de fabrication en France.
Il y a 2 ans et 310 jours

« Viessmann prendra sa part de responsabilité dans la transition de l’Europe », Maximilian Viessmann

A l’occasion d’un déplacement le 13 juillet dans son usine de Faulquemont (Moselle), Maximilian Viessmann, PDG du groupe allemand éponyme, a expliqué vouloir développer des systèmes capables de renforcer l’autonomie énergétique en Europe. Le fabricant allemand d'équipements de chauffage et de réfrigération estime que les batteries fabriquées en Moselle pourraient générer à termes 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Il y a 2 ans et 310 jours

Paschal : Emballé, c’est coffré !

Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. [©Paschal] En Allemagne, près d’Europapark, se situe Ringsheim, une commune de 2 000 habitants. Là, un complexe hôtelier de style méditerranéen a été construit entièrement en béton. Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. L’ouverture de l’hôtel est prévue fin 2022. En forme de “L”, comptant cinq étages pour une hauteur totale de 16 m, il comprendra 110 chambres et un parking souterrain. Le bâtiment est entouré de bungalows à un ou deux étages, soit 40 logements supplémentaires. Malgré sa taille imposante, le complexe offrira aux visiteurs d’Europapark une nouvelle possibilité d’hébergement confortable de proximité. Pour la construction, l’entreprise Weisenburger Bau a fait confiance aux matériels de coffrage Paschal. Paschal assure le coffrage de l’hôtel La solution Logo.3 de l’industriel a pu démontrer tous ses avantages dans ce projet. Avec seulement 430 m2 de coffrages, les compagnons ont pu réaliser toutes les surfaces verticales. Y compris les trémies d’escalier et d’ascenseur, grâce aux panneaux d’une hauteur de 3,70 m. Mais pour les murs du rez-de-chaussée, des éléments de coffrage d’une hauteur de 1,35 m ont été utilisés, en complément, en tant que coffrage de rehausse. Pour la réalisation des dalles d’étages, environ 1 300 m2 du coffrages de dalles flexibles Paschal Deck avec des poutrelles primaires et secondaires ont été utilisés sur le chantier. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Par ailleurs, la voie d’accès arrondie du parking souterrain a été traitée avec 112 m2 de coffrages circulaires à poutres trapézoïdales d’une hauteur de 4,50 m. D’ailleurs, les banches de coffrage ont été pré-arrondies et livrées prêtes à l’emploi sur le chantier. Enfin, Paschal a veillé à ce que toutes les exigences soient satisfaites et que les délais soient respectés. Pour cela, le service technique d’application de Steinach, où est située l’usine, a élaboré un plan de coffrage sophistiqué pour les murs, les cages d’ascenseur, les dalles et la rampe. Permettant ainsi d’obtenir une structure uniforme en qualité apparente, avec une réalisation ordonnée des joints de bétonnage.
Il y a 2 ans et 312 jours

Combien de temps faut-il à une jeune entreprise pour devenir rentable selon son secteur d'activité ?

En moyenne, 56% des TPE deviennent rentables plus rapidement que les autres types d'entreprise, entre la première et la deuxième année, alors qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le deviennent entre 4 et 5 ans en moyenne20% des entrepreneurs français sondés considèrent la gestion du temps comme le challenge le plus important5 jeunes entrepreneurs sur 6 utilisent aujourd’hui des outils digitaux pour gérer leur entrepriseDevenir son propre patron représente l’avantage principal de l’entrepreneuriat pour près de 40% des répondants33% des entrepreneurs du secteur de l'éducation ont investi entre 25.000 et 49.999 € au démarrage, soit 2 fois plus que dans le secteur juridiquePrès de la moitié des entreprises deviennent rentables au cours de la première annéeEn France, près de 45% des entreprises deviennent lucratives entre la première et la deuxième année, et ce sont majoritairement les TPE qui deviennent rentables le plus rapidement (56%), qu’un quart des entreprises de plus de 500 employés le devenant entre 4 et 5 ans en moyenne.Selon une analyse par secteur, une majorité des entreprises les plus performantes s’inscrivent dans les domaines de l’architecture, de l’ingénierie et du bâtiment ; 69% d’entre elles deviennent rentables entre la première et la deuxième année. Par ailleurs, le secteur de la santé se distingue parmi les plus performants du marché dès la première année. Cela s'explique notamment par le fait que de nombreuses sociétés se sont établies durant la pandémie afin de venir en aide aux établissements de santé dans la gestion de la crise sanitaire. A l’inverse, la marge d'amélioration est plus conséquente pour 60% des entreprises du secteur du juridique ou 44% dans le secteur de la finance, voyant leur société générer du profit uniquement à partir de la 3ème année d'activité en moyenne.De la création à la pérennité de l'entreprise, différents challenges et opportunités s’imposent aux entrepreneurs, l’étude s’est attachée à comprendre les défis financiers liés à la création d'une entreprise à succès. En matière d’investissement de départ, alors que près d’un tiers des entrepreneurs du secteur de l’art et de la culture n’investissent pas plus de 9.999 €, 40% des entrepreneurs dans le secteur du juridique injectent entre 10.000 € et 24.000 € au démarrage. C’est toutefois dans le secteur de l’éducation que les investissements sont les plus conséquents puisque 33% des chefs d’entreprise déclarent avoir injecté entre 25.000 € et 49.999 €.La gestion du temps représente le challenge le plus important pour les entrepreneurs françaisMonter une entreprise pérenne est autant une affaire de passion, d'organisation que de gestion avisée de son temps. A ce titre, 20% des entrepreneurs français sondés considèrent le facteur de la gestion du temps comme le challenge le plus important auquel ils ont dû faire face depuis la création de leur entreprise. En effet, la planification du temps de travail et la priorisation des tâches peuvent avoir un impact considérable sur la productivité et par conséquent sur la rentabilité de l’entreprise, que cela soit positif comme négatif.Mais ce n’est pas le seul ; le graphique ci-dessous révèle les 5 plus fréquents :Qu’il s’agisse de réaliser des gains de temps ou de productivité, s’appuyer sur des outils et des services numériques dernière génération permet de se concentrer sur l’essentiel, gérer et développer son activité. Les avantages de l’entrepreneuriatAfin de comprendre les avantages de l’entrepreneuriat, les entrepreneurs ont été interrogés sur les critères qui constituent, selon eux, des leviers clés de différenciation et de satisfaction :Être son propre patron : 40% des répondants considèrent cet aspect comme le plus important.Flexibilité des heures de travail : 52% des sondés de plus de 55 ans jugent la flexibilité des horaires comme l’avantage le plus agréable.Voir son entreprise grandir apparaît comme une priorité pour 38% des entrepreneurs dans le business depuis 11 à 20 ans.Potentielle autonomie financière : 23% des chefs d’entreprise interrogés voient l’autonomie financière comme un élément essentiel de l’entrepreneuriat.Flexibilité du lieu de travail : 35% des entrepreneurs de plus de 55 ans jugent cet aspect important, contre seulement 15% chez les moins de 24 ans.Vous pourrez retrouver la recherche complète sur le site de SumUp à cette adresse.
Il y a 2 ans et 312 jours

La production de tuiles est à son plus haut niveau depuis 2014

La production de tuiles et accessoires est en hausse de 15,9% en 2021 par rapport à 2020 et de 5,9% sur les 6 premiers mois de 2022 par rapport à la même période en 2021.Depuis 2020, la profession se mobilise pour répondre à une demande hors norme et servir ses clients dans des conditions d’activités difficiles (crise sanitaire et crise de l’énergie).Les lignes de production tournent à plein régime malgré l’augmentation massive et inédite des prix de l’énergie.Les niveaux de stock sont historiquement bas, les fabricants constatent une forte baisse du taux de retour des palettes consignées.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Les équipes des fabricants sont conscientes des difficultés rencontrées par les sinistrés et elles sont mobilisées pour tout mettre en œuvre pour produire et servir les clients dans des conditions très tendues pour tous et avec un niveau de demande déjà très élevé. Les lignes tournent à plein régime, souvent organisées en 5x8 pour produire 24h sur 24 et sur 7 jours sur 7. La profession vend au négoce tout ce qu’elle produit, les stocks sont historiquement bas. Les tensions durent depuis plusieurs mois et les récents et tragiques épisodes de grêle n’arrangent rien. Sur le terrain et au travers de leurs organisations professionnelles, les fabricants, les négoces, les couvreurs travaillent pour prioriser les sinistrés. »+15,9% pour la production de tuile et +15 % pour les livraisons en 2021La production de tuiles et accessoires en tonnes est en hausse de 15,9% et les livraisons en hausse de 15 % (+15,1 % en France et 13,9 % à l’export). Ce sont plus de 42 millions de m2 de tuiles qui ont été produits et livrés au total et 5,5 millions de m2 supplémentaires en 2021 par rapport à 2020.Le stock en tonnes au 31 décembre 2021 était de 41,6% inférieur au stock avant COVID au 31 décembre 2019 et de 27,7% par rapport à celui de décembre 2020.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Dès mars 2020, la profession s’est mobilisée pour servir ses clients et accompagner la reprise des chantiers. La branche a été parmi les 4 premières à obtenir la validation par le ministère du travail et le ministère de la santé de son protocole de travail pendant le COVID. Fin mai 2020, le taux de production et de livraison des tuiles et briques était à 95% de son niveau par rapport à la même période de 2019*. Fin 2020, la production n’a baissé que de 7% par rapport à 2019, mais, la demande était telle, que les stocks de tuiles et accessoires avaient déjà diminué de 20%. »Une demande toujours forte sur les 6 premiers mois 2022 accentuée par les épisodes de grêleLa production de tuiles et accessoires est en hausse de 5,9% et les livraisons sont en hausse de 1,7% en France pour les 6 premiers mois 2022 par rapport à la même période de 2021.Le stock de tuiles et d’accessoires à fin juin 2022 est diminué de 45% par rapport à celui de fin juin 2019 (avant COVID) et de 16,5% par rapport à fin juin 2021.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « On nous demande pourquoi ne pas ajouter des lignes de production. Malheureusement, il est compliqué et long de modifier une ligne production. Selon les produits, les sites, les modèles, les argiles ne sont pas les mêmes, les équipements ne sont pas les mêmes, les mises au point et les réglages sont longs. Ce n’est pas possible rapidement surtout dans un contexte de forte demande et créer une ligne requiert plusieurs années. »Energies, recrutement, palettes, transport : des conditions d’activités en tensionAlors que la filière des tuiles et briques n’est pas concernée par des difficultés d’approvisionnement pour sa matière première, l’argile, car les fabricants travaillent avec des argiles extraites dans leurs carrières à proximité des usines, les tensions sont principalement liées aux postes énergie, transport, logistique et main d’œuvre. Dès l’été 2021, la profession comme d’autres industries est ainsi fortement touchée par les hausses massives, brutales et inédites du coût de l’énergie, particulièrement du gaz naturel.Le mégawattheure (MWh) de gaz coûtait au quatrième trimestre 2021 en moyenne 91€ contre 19€ au premier trimestre1. Pour l’électricité, les tarifs sont passés de 50 à 156€/MWh2. Pour fabriquer une tonne de tuiles le poste énergie coûte en moyenne cinq fois plus au quatrième trimestre 2021 qu'au premier trimestre 2021. Pour le premier semestre 2022, la moyenne du cours s’établit à environ 100€.Pour Isabelle Dorgeret, Directrice Générale de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « L’augmentation des prix de l’énergie et en particulier du gaz pourrait aussi avoir amené certains acteurs à stocker plus qu’avant à titre préventif. La pénurie de chauffeurs routiers, les tensions en délais et en prix sur les palettes affectent aussi nos capacités à livrer nos clients dans les délais et conditions auxquels ils étaient habitués et comme beaucoup de secteurs nous avons aussi des postes à pourvoir dans les usines pour lesquels nous peinons à recruter. Nous alertons aussi les pouvoirs publics sur les conséquences désastreuses pour la filière et nos concitoyens, si nous devions arrêter des lignes de production du fait de réductions d’approvisionnement en gaz liés aux plans de délestage en cours d’élaboration pour faire face dans les mois à venir à une interruption totale ou partielle des importations de gaz russe. »
Il y a 2 ans et 312 jours

Duoprotect, isolant en fibre de bois rigide

La plus haute résistance mécanique de la gamme rigide d’Isonat  L’isolant Duoprotect est un panneau rigide composé de fibres de bois issues de plaquettes de scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production.  Isolant biosourcé, le produit dispose de la résistance mécanique la plus importante de la gamme rigide […]
Il y a 2 ans et 313 jours

BWT France lance son réducteur de pression d’eau BWT D1

Conçu et fabriqué avec le savoir-faire et l’expertise de BWT France, ce réducteur de pression diminue les consommations d’eau, apporte une protection aux équipements et une barrière contre les impuretés. Une autre façon de préserver durablement nos ressources.Pourquoi réduire la pression d’eau ?Une pression excessive de l’eau de ville a des effets dommageables souvent méconnus.D’abord une surconsommation d’eau inutile, puisqu’on estime que 1 bar de pression en trop génère 20% de consommation d’eau supplémentaire. Pour une famille type de 4 personnes cela représente environ 120 € annuels*.Trop de pression nuit également à tout le circuit résidentiel de distribution d’eau sanitaire -canalisations, chaudière, installations sanitaires, robinetterie et appareils électroménager consommant de l’eau- et peut entrainer une usure prématurée de ces équipements.Enfin, une pression excessive peut générer des « coups de bélier » sonores et très néfastes pour la plomberie (fuites, déformation de conduits, cassures, usure des joints…).La solution pour parer à tous ces problèmes : l’installation d’un réducteur de pression pour diminuer la pression d’eau à la valeur souhaitée et à la juste valeur nécessaire.*Pour une consommation moyenne de 150 m3/an au prix moyen de 4 € le m3Le réducteur de pression BWT D1 : une nouvelle barrière protectriceConcepteur, fabricant et intégrateur de solutions de traitement d’eau, BWT France est leader dans son domaine et maîtrise toute la chaîne du traitement de l’eau de la maison. En ajoutant un réducteur de pression à sa gamme, BWT propose une nouvelle solution simple et efficace pour une eau de qualité et le confort des utilisateurs.Conçu comme une station de protection, ce réducteur en bronze assure comme fonction principale de réguler la pression entrante (jusqu’à 16 bars) à la valeur souhaitée (conseillée et pré-réglée d’usine à 3 bars). L’utilisation d’un effet Venturi breveté optimise le contrôle de pression et limite les pertes de charge sur l’installation. La graduation visible des deux côtés de la molette facilite le réglage et le contrôle de la valeur de pression sortante.Pour améliorer encore la qualité de l’eau, le BWT D1 est également équipé d’un tamis filtrant 160µm en inox qui retient les impuretés les plus grossières de l’eau (sables, particules, résidus de tartre ou de corrosion…) et protège l’installation. Son bol en plastique transparent permet un contrôle facile de l’état du filtre. En cas d’encrassement il se démonte sans outil.Le + produit : en enregistrant son réducteur de pression BWT D1 sur l’appli mobile BEST WATER HOME du fabricant, l’utilisateur reçoit des notifications pour le remplacement et le nettoyage du tamis filtrant en inox et peut suivre ses économies d’eau en temps réel.Pour en savoir plus sur le réducteur de pression BWT D1 : cliquez iciLe bon moment, les bons arguments pour faire le bon choixDans le cas d’une installation existante, le réducteur de pression est recommandé lors d’un remplacement de chaufferie ou de ballon d’eau chaude sanitaire (ECS). Et généralement, il vient compléter le système de filtration à l’arrivée d’eau générale.Pour une nouvelle installation, il est idéal de s’équiper de la station de protection E1 : une station complète et prête-à-installer qui combine 5 fonctions : filtration à 90µm, réducteur de pression, manomètre de contrôle, clapet anti-retour et vanne de coupure d’eau. La station E1 offre une protection maximale du réseau d’eau contre impuretés et excès de pression, pour un encombrement minimal.En maison individuelle, collective ou appartement, ces deux solutions BWT réduisent considérablement les risques de grippage des équipements et prolongent leur durée de vie. Elles réduisent la consommation d’eau. Enfin, elles offrent aux utilisateurs le confort d’une eau sans Impuretés et composants indésirables.Pour en savoir plus sur la station de filtration BWT E1 : cliquez ici
Il y a 2 ans et 313 jours

Transformation du site industriel de Saint-Thégonnec (29) et développement de nouvelles solutions PAC, climatisation et hydrogène : Bosch Thermotechnologie poursuit ses ambitions

Le site industriel de Saint-Thégonnec dédie son savoir-faire au ballon inox  L’usine Bosch Thermo technologie de Saint-Thégonnec, sur une surface de 23 000 m2, vit sa plus importante transformation, devenant exclusivement un Centre de compétence ballon inox. Avec l’arrêt des chaudières fioul et gaz à fin juin 2022, le site industriel rebondit : s’appuyant sur […]
Il y a 2 ans et 313 jours

Nouveaux groupes d’eau glacée – ECOi-W au R32 pour Panasonic

Groupe d’eau glacée réversible ou froid seul ;  Dix capacités disponibles (de 50 à 170 kW) ;  Efficacité saisonnière élevée grâce au réfrigérant R32 ;  Haute qualité et durabilité (tests réalisés en usine) ;  Solution personnalisable.  Gennevilliers – Panasonic annonce le lancement de ses nouveaux groupes d’eau glacée ECOi-W au R32. Avec un large choix […]
Il y a 2 ans et 313 jours

Haute-Garonne : un nouveau campus pour Toulouse Business School d’ici à 2026

Le futur campus de Toulouse Business School, réparti sur 30 000 m², sera situé dans le centre-ville de Toulouse.
Il y a 2 ans et 313 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 314 jours

Valame innove contre l’amiante

L’entreprise nordiste Valame a mis au point un procédé chimique pour le traitement des déchets amiantés. Son usine pilote, unique au monde, les transforme en matériaux à valoriser.
Il y a 2 ans et 314 jours

Le fabricant de nacelles Haulotte souscrit un PGE de 96 millions d'Euros

L'ETI dirigée par Alexandre Saubot, président de France Industrie, indique dans un communiqué que "ce financement permet de sécuriser la trésorerie du groupe pour faire face à un contexte opérationnel qui demeure compliqué, tout en conservant la faculté de saisir les opportunités actuelles et à venir d'un marché dynamique".Le groupe coté sur Euronext Paris indique être "confronté depuis plusieurs mois à des difficultés d'approvisionnement de composants, notamment électroniques, et des perturbations fortes des chaines logistiques, conséquences de la crise sanitaire et du conflit ukrainien".Haulotte annonce avoir "sollicité l'ensemble des prêteurs de son crédit syndiqué ainsi que Bpifrance pour l'obtention, le 28 juin dernier, du prêt qui sera garanti à hauteur de 90% par l'État français, avec une maturité d'un an, et une option d'extension jusqu'à cinq années additionnelles", soit juin 2028.Le numéro un européen de la nacelle élévatrice a réalisé en 2021 un chiffre d'affaires de 495,8 millions d'euros, en croissance de 13%, avec un résultat net consolidé redevenu positif de 8,1 millions.La prévision de croissance du groupe, qui a mis en service au printemps sa nouvelle usine chinoise pour servir la zone Asie-Pacifique où la demande est soutenue, est de l'ordre de 20% sur l'année 2022.
Il y a 2 ans et 314 jours

Alkern : Une politique de prévention qui a fait ses preuves

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Des formations régulières sensibilisent les équipes évoluant sur les zones de chargement/déchargement. [©Alkern] Tout commence en 1972 avec la création dans le Pas-de-Calais de l’entreprise Hecquet, qui deviendra Tarmac en 1990, puis Alkern après un rachat en 2010. L’expansion se fait pour l’essentiel par l’acquisition externe de petites structures, le plus souvent à l’occasion du départ en retraite de leurs dirigeants. Ces unités possèdent chacune leur histoire et leur mode de fonctionnement. Mais ont en commun la fabrication de composants en béton, des produits pondéreux nécessitant d’être fabriqués à proximité de leur zone de chalandise. Les marchés d’Alkern concernent pour moitié le bâtiment, avec les blocs béton sous toutes leurs déclinaisons, et les planchers. L’autre moitié de l’activité englobe les travaux publics, avec les bordures, les pavés de voirie, l’assainissement, les regards, le mobilier urbain, les margelles de piscine, les chapeaux, les poteaux… Au total, les 55 unités de production emploient 1 000 personnes pour un chiffre d’affaires annuel de 250 M€. Pour les dirigeants, la contrainte première est de mettre en place, et surtout de faire respecter dans la durée, des procédures identiques sur tous les sites de production. Les résultats obtenus prouvent que les méthodes choisies sont efficaces. Les mesures de prévention se situent à plusieurs niveaux. En premier lieu, elles concernent la gestion du risque d’écrasement, du port des charges ou de la mécanisation (qui ne peut être totale). Puis, viennent la surveillance de la co-activité entre piétons, chargeurs et véhicules sur les zones de stockage et de chargement. Sans oublier, la gestion du risque routier, pour les commerciaux qui parcourent l’Hexagone. La problématique des interventions sur machines Différents dispositifs de protection interdisent toute intervention sur une machine en marche. [©J. B. Vetter/Alkern] En temps normal, les différents systèmes de sécurité mis en place, sur et autour des machines, qu’il s’agisse des barrières physiques ou des procédures de consignation, interdisent toute possibilité d’intrusion auprès de mécanismes en mouvement. Néanmoins, l’expérience montre que le cerveau humain, pour de multiples raisons, ne fonctionne pas toujours de façon rationnelle et amène à des prises de risques inconsidérées. Les causes sont variées : l’envie d’aller plus vite, de brûler les étapes, de penser que l’accident n’arrive qu’aux autres… Pour supprimer ces comportements à risques, l’équipe en charge de la prévention et de la sécurité (4 personnes au niveau du siège) multiplie les formations, insiste sur le respect absolu des procédures de consignation et sur la nécessité de prendre le temps de se mettre en sécurité. L’expérience dans l’entreprise est aussi prise en compte. Les nouveaux arrivants et les intérimaires n’interviennent jamais sur les machines. Les statistiques démontrant, assez logiquement, que les incidents et accidents sont majoritaires chez ce profil de personnel. Grâce à un turn-over limité, la mise en place progressive d’une culture de groupe est une réalité, que seules des formations et informations dans la durée permettent de cultiver et d’ancrer dans les esprits. Dans ce contexte, l’accueil, l’information et la formation des nouveaux arrivants comme des intérimaires est une priorité permanente. Chacun prenant en charge un nouveau poste avec ses propres expériences, bonnes ou moins bonnes, il importe d’apporter aux personnels venus de l’extérieur une culture de prévention qui doit être identique pour tous les salariés. Cette démarche vaut aussi auprès des chauffeurs extérieurs à l’entreprise, qui bénéficient à leur arrivée sur chaque site de production, d’un accueil les informant des règles de sécurité, avec vérification du port des EPI prévus pour cette fonction. Transmettre “la bonne parole” Les performances en termes de prévention et de sécurité sont mises en valeur par l’organisation de moments festifs. [©Alkern] Le partage d’information (accidents, bonnes pratiques…) est un élément essentiel de pédagogie permanente. Ainsi, tout incident ou accident est de manière systématique remonté et analysé. A la clef, des décisions en rapport avec l’évènement, qui peuvent se situer au niveau de l’information, des formations auprès du personnel, voire de l’ergonomie des postes concernés. Afin d’identifier au maximum tous les risques existants, et donc sources potentielles d’accidents, Alkern favorise la contribution de tous ses collaborateurs au travers des remontées de “presqu’accidents”. Pour faciliter ce processus, l’industriel a ainsi développé sa propre application mobile spécifique pour plus de simplicité et de réactivité. Chaque risque identifié doit faire l’objet d’une action correctrice. Tous les managers de l’entreprise, quelles que soient leurs fonctions, participent à ce processus, avec un œil “neuf”. Une autre difficulté consiste à faire passer les messages, sans déperditions, auprès des salariés et intérimaires. Pour cela, d’une part, l’équipe “hygiène/santé/sécurité” se déplace sur les différents sites pour assurer la transmission des différents messages et réaliser des audits ponctuels. Environ chaque mois, les collaborateurs en charge de la prévention définissent des problématiques et des campagnes de prévention spécifiques. Ceci, pour éviter la routine et les messages trop répétitifs, dont l’impact diminue dans la durée. D’autre part, tous les responsables d’usine organisent une réunion sécurité hebdomadaire. En complément et deux fois par an, lors d’une demi-journée sécurité, ils rassemblent leur personnel pour des réunions de sensibilisation. Ces dernières se veulent à la fois ludiques et renouvelées, au travers de documents écrits, de dessins et de vidéos, mettant en exergue les différents risques et les moyens de les éviter. Enfin, Alkern tient à mettre en avant les bons résultats, en termes de sécurité. Dès qu’une unité de production atteint 1 000 j sans accident, l’évènement est valorisé par un moment festif et un arrêt de la production. Port de charges, poussières et bruits Les différentes zones de circulations piétons/engins/camions sont matérialisées, afin d’éviter toute co-activité. [©J. B. Vetter/Alkern] Malgré l’automatisation poussée des lignes de production, les opérateurs doivent toujours gérer quelques interventions manuelles. Par exemple, lors des opérations de tri sur ligne. Pour ces manutentions incontournables et quelques autres, les gestes et postures sont analysés, avec un travail, poste par poste, d’optimisation ergonomique. L’arrivée sur le marché des exosquelettes est vue comme une piste possible par les dirigeants d’Alkern, sachant que ces systèmes doivent encore s’affiner pour “coller” aux besoins spécifiques de chacun. Chez l’industriel, les responsables de la prévention en sont au stade d’observation, pour comprendre et imaginer quels équipements peuvent aider et dans quelles configurations. Sous cet angle, Alkern intègre aussi la problématique des chantiers, la réduction de la fatigue et les risques de TMS à moyen et long terme. A titre d’exemple, depuis 10 ans, les blocs béton rectifiés permettent de réduire les volumes de mortiers-colles fabriqués et manutentionnés. Ceci, avec l’atout d’une mise en œuvre plus précise. Par ailleurs, les unités de béton préfabriqué doivent prendre en compte les contraintes des émissions de poussières et de bruits. La captation des poussières est réalisée à la source, grâce à des systèmes d’aspiration sur machine, le nettoyage des postes étant permanent. De plus, des expérimentations sont en cours concernant les espaces extérieurs de stockage et de chargement, pour procéder à un arrosage à intervalles réguliers à l’aide d’eau non potable. En fonction des zones de bruits et des désirs de chacun, le personnel est équipé de casques et/ou de bouchons d’oreille, personnalisés ou non. Enfin, les espaces de stockage et de chargement intègrent plusieurs procédures de prévention et de sécurité. Tout risque de co-activité est écarté par une séparation complète des circulations piétons/camions/chargeurs. Gérard Guérit Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 314 jours

Une néo-usine pour le tramway

Tout de verre et métal, le flambant neuf centre de maintenance et de remisage du tramway T9, à Orly (94), opère une relecture de l'architecture industrielle du XIXe siècle.
Il y a 2 ans et 316 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants : fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine