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Il y a 3 ans et 176 jours

Chargeurs connaît une reprise inégale au 3e trimestre, les masques s'effondrent, les films s'envolent

De juillet à septembre, Chargeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 172,9 millions d'euros, en hausse de 1,9%, selon un communiqué du groupe publié il y a quelques jours.Les ventes de films destinés à protéger vitres, plaques d'inox, ameublement ou électroménager ont fait un bond de 28% à 86 millions d'euros, qui reflète "le boom du bâtiment partout dans le monde".Le chiffre d'affaires textile s'est aussi envolé, avec la réouverture des commerces et la fin de l'écoulement des stocks.Chargeurs est l'un des deux leaders mondiaux des textiles techniques et de l'entoilage (renforcement technique des tissus qui donne sa structure aux vêtements pour les cols de chemise ou vêtements de sports par exemple), avec l'Allemand Freudenberg.Le chiffre d'affaires de la division "technologies de la mode" a ainsi progressé de 19% à 39 millions d'euros. Celui de "la division "matériaux de luxe" (laine haut de gamme notamment) de 125% à 22 millions d'euros.En revanche, la division "solutions de santé" a vu son chiffre d'affaires plonger de 76% à 11 millions d'euros avec les chutes de vente de masques, textiles ou chirurgicaux.Le groupe maintient néanmoins ses capacités de production pour "être en mesure de fournir des masques en cas de demande ou de nouvelle épidémie", a commenté un responsable auprès de l'AFP.Pendant la pandémie, Chargeurs a ouvert des lignes de masques textiles dans le nord et en Alsace en faisant pivoter ses outils industriels de production liés à la mode et au textile.Il a aussi investi, avec l'aide de subventions publiques, dans la production de "meltblown", le matériau filtrant des masques chirurgicaux, et dont le pays manquait l'an dernier au moment du début de l'épidémie.Les ventes de la division "solutions muséales", centrée sur l'aménagement intérieur et la scénographie des expositions et musées, ont progressé de 7,6% à 14 millions d'euros."Nous avons un carnet de commandes épais, mais les facturations ont pris du retard en raison de l'empêchement de certains chantiers dû aux restrictions de voyages ou de travail sur les sites", a dit un responsable.Chargeurs a notamment remporté un projet de musée en plein air sur plusieurs hectares en Arabie Saoudite, et le réaménagement d'une aile du musée de l'air et de l'espace de Washington aux Etats-Unis.Dans ce domaine, le groupe a annoncé son intention d'acquérir "100% du britannique Event Communications", spécialiste de design et planification de projets muséaux.Au total, le groupe prévoit un chiffre d'affaires "supérieur à 700 millions d'euros" pour 2021.A la Bourse de Paris, le titre progressait de 3,42% mercredi en fin de matinée, à 27,8 euros.
Il y a 3 ans et 284 jours

Des Yéménites obligés de mettre la main à la poche pour construire une route

Une seule autre route, nommée Hayjat al-Abd, relie Taëz, dans le sud-ouest du Yémen, au reste du pays sans passer par les zones sous contrôle rebelle.A flanc de falaises et ponctuée de virages en épingle ou encore de nids-de-poule, celle-ci est réputée pour être périlleuse et souvent étroite. Coup de grâce: des pluies torrentielles ont récemment entraîné des glissements de terrain et des chutes de pierre, bloquant quasiment toute circulation.La nouvelle route doit partir du district d'Al-Shamaïtine à Taëz et passer par la région de Lahj avant d'arriver à Al-Bariqa à Aden, située à quelque 140 kilomètres à vol d'oiseau.Ce projet, nommé Zreikat al-Sham, est né il y a six mois d'une initiative locale et dépend de dons d'hommes d'affaires ou encore de citoyens. Selon des responsables, la route devrait être en grande partie fonctionnelle dans les prochaines semaines.Pour cheikh Abdullah al-Mohammadi, coordinateur général, la nouvelle route est "extrêmement importante" car elle "soulagera beaucoup de souffrances des citoyens" dans ce pays qui connaît la pire crise humanitaire au monde selon l'ONU.Les rebelles contrôlent toutes les autres voies menant à Taëz, ville aux mains du gouvernement qui peine toutefois à y asseoir son pouvoir. Assiégée par les Houthis depuis 2015, la ville entourée de montagnes et habitée par environ 600.000 personnes a été maintes fois bombardée par les insurgés depuis le début de la guerre.Le conflit a fait des dizaines de milliers de morts, selon des organisations humanitaires, et des millions de déplacés. Selon le Programme alimentaire mondial, environ 50.000 personnes sont déjà touchées par la famine et plus de cinq millions sont proches de l'être. Quelque 80% des Yéménites dépendent par ailleurs de l'aide internationale."Sans aide de l'État"Déclenché en 2014 par la prise de Sanaa par les rebelles Houthis, la guerre oppose les forces loyales au pouvoir -- appuyées par l'Arabie saoudite -- aux rebelles -- soutenus par l'Iran -- qui contrôlent la majeure partie du nord du pays, dont la capitale Sanaa.En plus d'être assiégée par les Houthis, Taëz est tiraillée en son sein entre des groupes rivaux, dont certains appartiennent au parti islamiste Al-Islah, affilié aux Frères musulmans, ou à des groupes salafistes.Dans le reste de la province qui échappe aux Houthis, le camp gouvernemental est miné par les divisions internes et le gouverneur, Nabil Chamsane, ne dispose que de peu de pouvoir."Nous construisons cette route en temps de guerre. Nous la construisons sans l'aide de l'Etat", affirme à l'AFP un responsable technique du projet, l'ingénieur Wael al-Maamari."A l'exception d'une petite contribution, cette route est financée par des institutions caritatives, des hommes d'affaires et d'autres acteurs de la société civile", ajoute-t-il.Cette nouvelle artère sera "stratégique et vitale (...) C'est la route optimale en termes de longueur -- 182 kilomètres -- et d'emplacement géographique", précise l'ingénieur.Construire une route aussi large -- 14 mètres selon le coordinateur du projet -- relève de l'exploit dans ce pays qui manque cruellement de matériaux de construction et dont les équipements et infrastructures sont en déliquescence.Mais le chemin est encore long et les financements manquent."Nous appelons tous les philanthropes, fondations et organisations locales, régionales et internationales, à fournir une assistance généreuse afin de finir proprement la route", lance le coordinateur général Abdullah al-Mohammadi.
Il y a 4 ans et 117 jours

Les lauréats du 14ème Prix DuPont Safety & Sustainability sont désormais connus

Le 25 février 2021 se déroulera une table ronde en ligne sur la thématique : Comment l’excellence opérationnelle, la sécurité et le développement durable contribuent-ils à la résilience ? Genève, le 20 Janvier 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS) dévoile les lauréats du 14ème prix DuPont Safety & Sustainability, récompensés pour les évolutions innovantes mises en place dans leurs organisations. Les lauréats des trois prix internationaux sont : Engro Fertilizers Limited, Pakistan – Prix International de l’Innovation en matière de Sécurité Municipalité de Dubaï, UAE – Prix International du Développement Durable SMRT Trains Ltd, Singapore – Prix International de l’Excellence Opérationnelle Les lauréats se retrouveront autour d’une table ronde en ligne pour discuter de la capacité à soutenir les améliorations opérationnelles et consolider les performances, même pendant des périodes difficiles. Animée par Davide Vassallo, Président de DSS, la table ronde sera diffusée le jeudi 25 Février 2021 et sera suivie d’une cession de questions/réponses. Parmi les participants : Mme Akanksha Sharma, Responsable Monde – Impact Social & Développement Durable, Sterlite Technologies Ltd. Alvin Kek Yoke Boon, Vice-Président Senior – Opérations Ferroviaires, SMRT Trains D’autres participants seront annoncés ultérieurement. « Je voudrais inviter chacun à trouver l’inspiration dans les changements entrepris par les entreprises lauréates, au-delà de leurs initiatives et de leurs programmes spécifiques » déclare Mieke Jacobs, président du Jury. « Les facteurs du succès sont transposables au-delà des régions, des secteurs, de la taille et de la maturité des entreprises. Ils commencent par impliquer toutes les parties prenantes de la société, à tous les niveaux, dans l’urgence du changement. Cela nécessite de la résilience et de la persévérance durant les périodes difficiles. Cela exige du courage et de la créativité pour développer des solutions innovantes et de nouvelles technologies en gardant une longueur d’avance. Lors de nos tables rondes, nous interrogerons les lauréats sur les enseignements tirés de leurs expériences. » Les projets des lauréats  Engro Fertilizers a entrepris une réorganisation complète de ses systèmes de sécurité, a investi dans le numérique et a redoublé d’efforts pour développer de nouvelles compétences. En phase avec cette philosophie, qui est d’avoir une politique RSE internationale, la stratégie mondiale « Safety Beyond Excellence » a conduit à une réduction de 87% du taux total d’accidents enregistrés, mais également à une forte réduction des perturbations opérationnelles et des incidents liés à un incendie/dégagement de fumée ainsi qu’une amélioration significative de la gestion des risques. Cela se traduit par un plus fort engagement des employés. Finalement, toutes ces actions ont contribué à augmenter les bénéfices de l’entreprise. La ville de Dubaï a été récompensée pour le développement d’un programme durable de recyclage des eaux usées, ce qui lui a permis de doubler sa capacité quotidienne de traitement tout en utilisant environ 25% de puissance en moins pour fonctionner. La commune a réalisé des progrès significatifs en appliquant un des principes de l’économie circulaire. Les équipes de SMRT, un opérateur actif de la mobilité à Singapour, ont fait preuve d’initiatives innovantes en mettant en place un chariot laser pour contrôler de façon plus sûre et plus efficace l’usure des rails et des voies, un système automatisé de gestion des accès aux voies et un système d’exploitation et de maintenance mobile. A elles seules, ces améliorations, qui s’inscrivent dans la philosophie d’amélioration continue Kaizen, ont permis une réduction substantielle des heures de travail équivalant à une économie annuelle de 10,3 millions de dollars singapouriens, tout en améliorant la sécurité, le bien-être, l’efficacité et la qualité. Pour plus d’infos sur les lauréats internationaux et régionaux, rendez-vous sur https://www.consultdss.com/dssa-awards/ La table-ronde en ligne suivie de la cession questions/réponses se déroulera le 25 Février 2021 à 11h00 (fuseau horaire Europe Centrale : http://bit.ly/dssa-14). Les prix DuPont Safety & Sustainability Depuis leur lancement en 2002, les prix DuPont Safety & Sustainability ont mis à l’honneur des organisations qui innovent, se mobilisent et s’engagent sur la sécurité, le développement durable et l’excellence opérationnelle. Ils valorisent les initiatives qui sauvent des vies, protègent l’environnement et engagent une culture d’apprentissage et d’amélioration continue. Liste complète des Lauréats de la 14ème édition du Prix DuPont Safety & Sustainability Prix ​​de l’Excellence Opérationnelle Gagnant mondial : SMRT Trains Ltd, Singapour Prix ​​de l’Innovation en matière de sécurité Gagnant mondial : Engro Fertilizers Limited, Pakistan Gagnant régional EMEA : Saudi Aramco – Power Systems, Arabie Saoudite Vainqueur régional Amériques : Usina Coruripe, Brésil Mention honorable : Neste Corporation, Finlande Prix ​​du Développement Durable Gagnant mondial : Municipalité de Dubaï, EAU Gagnant régional Asie-Pacifique : Sterlite Technologies Ltd., Inde, Italie, Chine et Brésil Gagnant régional Amériques : Grupo Boticário, Brésil Mention honorable : Groupe KCB, Afrique de l’Est Pour plus d’informations sur les réalisations des lauréats 2020, merci de nous contacter. https://www.consultdss.fr/about-us/
Il y a 4 ans et 125 jours

L'Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole, va construire une ville sans voiture

Région futuriste et touristique, NEOM figure sur la liste des nombreux méga-projets en cours destinés à diversifier l'économie de l'Arabie saoudite qui dépend très largement de l'exportation de l'or noir."En tant que président du conseil d'administration de NEOM, je vous présente "THE LINE", une ville pouvant accueillir un million d'habitants, de 170 km de long et qui préservera 95% des zones naturelles", a annoncé le prince héritier Mohammed ben Salmane dans une déclaration retransmise à la télévision."Il n'y aura ni voiture, ni route et zéro émission de carbone", a ajouté le dirigeant de facto de la première économie du monde arabe, régulièrement classée parmi les pays les plus pollueurs au monde."Nous devons transformer les villes en villes du futur", a-t-il déclaré, parlant d'une "révolution civilisationnelle".Les détails du projet seront communiqués ultérieurement, a assuré le prince Mohammed, avant de montrer des images de synthèses de la "ligne" ainsi que des paysages de déserts immaculés et de mers bleues.La ville piétonne disposera de services tels que écoles ou centres de santé, ainsi que d'espaces verts, mais aussi des transports en commun à grande vitesse, avec aucun trajet qui ne devrait durer plus de 20 minutes, selon un communiqué de NEOM.Elle reposera également sur les technologies de l'intelligence artificielle (IA) et des "équipements à faible impact carbone, alimentés par une énergie 100% renouvelable".La construction de "THE LINE" débutera au premier trimestre 2021 et sera financé par le Fonds d'Investissement Public (PIF) saoudien, principal instrument de la politique de diversification de l'économie du pays.Le projet permettra de créer 380.000 emplois et sa contribution au PIB est estimée à 180 milliards de riyals (plus de 39 milliards d'euros) d'ici 2030, selon le communiqué de NEOM.
Il y a 4 ans et 200 jours

Le ScanTubes® : relevé 3D à grand rendement et inspection photogrammétrique de structures tubulaires

Pour répondre aux enjeux de surveillance et de gestion de la durabilité des infrastructures de génie civil tout en prenant en compte les problématiques de contraintes d’exploitation et d’exhaustivité des constats, SITES a développé une solution dédiée innovante conforme aux instructions techniques ITSEOA : le ScanTubes®. Ce système unique offre la possibilité de réaliser l’inspection visuelle et géométrique de différents types d’ouvrages tout en minimisant le délai d’intervention et les impacts sur l’exploitation (tunnels routiers et ferroviaires, puits, etc.). L’outil ScanTubes® parcourt des structures tubulaires horizontales ou verticales pour réaliser automatiquement des photos haute résolution à 360° à partir de 12 caméras industrielles numériques calibrées avec des flashes asservis. Concrètement, le système ScanTubes® est poussé sur un chariot routier ou ferroviaire, ou bien suspendu au bout d’un câble, et prend dynamiquement des images jusqu’à une vitesse de 3 km/h. Un odomètre déclenche précisément les clichés et les rattache en points kilométriques. Ce relevé exhaustif permet ensuite de modéliser via traitement photogrammétrique le jumeau numérique de l’ouvrage afin d’être inspecté et potentiellement comparé dans le temps lors de futures inspections.   EN EXEMPLE INSPECTION DÉTAILLÉE DE LA LIGNE b DU MÉTRO DE RENNES MÉTROPOLE Sur la future ligne b du métro de Rennes Métropole, SITES a déployé son système ScanTubes® pour le compte de la Semtcar (Société d’Économie Mixte des Transports Collectifs de l’Agglomération Rennaise), Maître d’Ouvrage sur cette infrastructure de transport en commun en construction. En quelques heures, 8 600 m du métro (environ 8 000 m de tunnel et 600 m de tranchées couvertes) ont été parcourus et entièrement photographiés à 360°. Le jumeau numérique créé à l’issue de ce relevé sert de support aux experts SITES pour inspecter, relever de potentiels désordres, extraire une cartographie précise et donner au Maître d’Ouvrage une vision globale de l’état de la structure. Ce procédé permet également de conserver une archive numérique (visuelle et géométrique) de l’installation à l’instant t   LE SYSTÈME SCANTUBES® PAR SITES L’inspection sur la base des supports numériques permet aux ingénieurs de détecter, d’identifier et de cartographier tous les décollements, les fissures, les venues d’eau ou encore les traces d’infiltration avec un seuil de détection de l’ordre du millimètre. SITES met à profit ce système dans le cadre de relevés et d’inspections de tunnels routiers ou ferroviaires, de conduits de ventilation, d’intérieurs de piles de ponts, de silos, de puits, de cheminées ou de conduites forcées en France et à l’International.   A propos Fondé en 1984, SITES est un acteur référent et indépendant qui apporte son expertise et son savoir-faire au service d’infrastructures durables. SITES, compte plus de 400 docteurs, ingénieurs et techniciens, 5 agences en France, 3 filiales en Chine, en Afrique du Sud et en Arabie Saoudite, générant un chiffre d’affaires de 35.1 M€ en 2019. Avec plus de 5 000 structures suivies en France et à l’international, les équipes de SITES interviennent sur tous types de structures (nucléaire, infrastructure de transport, énergie, industrie sensible, patrimoine et monument historique, bâtiment, voisinant naturel et défense) avec un large spectre de compétences : ingénierie, monitoring, instrumentation, expertise, inspection ou encore assistance technique aux maîtres d’ouvrage.   Contacts Presse : Sylvain KOLLI Chargé de communication 04 37 49 94 98 – sylvain.kolli@sites.fr Christelle THAVEL DUBOURG Consultante Sénior RP-Social Media 06 13 82 17 68 – christelle.d@oxygen-rp.com Anne MASSON Directrice Clientèle anne@oxygen-rp.com
Il y a 4 ans et 290 jours

La 100 000e toupie est sortie des usines Liebherr

Le directoire de Liebherr (à gauche) s’est réuni pour offrir les clefs de la 100 000e toupie produite à l’entreprise Heinz et à ses représentants (à droite). [©Liebherr] Au printemps 2020, Liebherr a remis les clefs de la 100 000e toupie portée de son histoire. Il s’agit d’une HTM 905, qui a été réceptionnée par Heinz Transportbeton Ingolstadt. Pour l’occasion, la direction de cette entreprise s’est rendue en personne à l’usine Liebherr de Bad Schussenried. Chez Heinz Transportbeton Ingolstadt, les douze toupies du parc, ainsi que la centrale à béton de type Betomat viennent de chez Liebherr. Il y a 45 ans déjà, l’entreprise Heinz avait démarré avec le modèle Liebherr Betomix. De son côté, Liebherr a produit sa première toupie en 1967, dans cette même usine de Bad Schussenried. Ces toupies sont désormais produites en Allemagne, en Arabie saoudite, au Brésil, en Chine et en Thaïlande. De nombreux avantages Cette 100 000e toupie est une HTM 905, avec un volume nominal de 9 m³. Cette 5e génération offre un très grand nombre d’avantages par rapport à ses prédécesseuses. Déjà, le poids à vide été réduit d’environ 180 kg. Ce qui augmente en conséquence la charge utile disponible. De plus, pendant le développement, Liebherr a mis l’accent sur son nettoyage. Les arêtes qui accumulaient les salissures ont été éliminées et les surfaces lissées. Résultat : moins de salissures et moins de nettoyage. Par ailleurs, la commande Litronic-EMC, en option, régule le régime du moteur diesel selon les besoins lors du chargement et du déchargement. Pendant les déplacements, des rotations inutiles de cuve sont évitées grâce à la fonction “Constant-Speed-Drive”. Celle-ci permet d’économiser du carburant et de réduire l’usure. En outre, la Litronic-EMC augmente la sécurité, en empêchant les erreurs de manipulation, comme une modification soudaine du sens de rotation.
Il y a 4 ans et 332 jours

Malgré le report, contre-la-montre à Dubaï pour finir le chantier de l'Expo universelle

Dubaï a investi 8,2 milliards de dollars pour assurer le succès, durant six mois, de l'exposition universelle présentée comme le plus grand événement jamais organisé dans un pays arabe. Voulue comme un moyen de stimuler l'attractivité de la ville, l'exposition affiche déjà son logo partout dans l'émirat.Aussi, malgré le report à octobre 2021, Dubaï semble vouloir mettre un point d'honneur à livrer dans les délais les principales infrastructures dédiée à l'événement.Pourtant, les organisateurs font eux-mêmes face à des vents contraires, comme l'apparition de cas d'infections au nouveau coronavirus sur des chantiers."Le Covid-19 a affecté bien sûr la logistique et les processus de livraison de certains travaux", reconnaît auprès de l'AFP Ahmed al-Khatib, responsable du développement et des livraisons.Mais ceux-ci "se poursuivent et certains pavillons ont atteint un stade final. 2020 est l'année de livraison", insiste-t-il.25 millions de visiteurs ?Sur le site de 4,5 km2, les pavillons ont commencé à prendre forme. Celui des Emirats arabes unis, en forme de faucon volant, est en voie d'achèvement. Le pavillon adjacent de l'Arabie saoudite ressemble maintenant à une immense fenêtre à ciel ouvert.Sous le thème "connecter les esprits, créer le futur", l'Expo, qui visait les 25 millions de visiteurs, verra la participation de 192 pays, dont Israël, qui n'a pourtant pas de relations avec les Émirats arabes unis.Servi par une importante campagne de promotion avec des vedettes comme le footballeur Lionel Messi, l'événement avait vocation à servir de planche d'appel pour les secteurs de l'immobilier, du tourisme et du commerce, atones ces dernières années.Mais la situation a au contraire été aggravée par le ralentissement de l'économie mondiale provoqué par le Covid-19.Manal AlBayat, chargée de mission à l'Expo 2020 Dubai, veut rester optimiste: le report n'a pas eu d'impact sur "l'engagement à réaliser une exposition qui inspire le monde", assure-t-elle."Fort malheureusement, un certain nombre d'employés vont nous quitter. La décision a été très difficile à prendre", ajoute la responsable, en allusion à une vague de licenciements parmi le personnel de l'Expo 2020 Dubai car les budgets ne seront pas augmentés à la suite du report, approuvé en mai par le Bureau international des Expositions (BIE) basé à Paris.InfectionsSur les chantiers, dans le sud de Dubaï, le Covid-19 n'a pas épargné un certain nombre d'employés et les Emirats arabes unis annoncent encore des centaines de nouvelles infections chaque jour.Mais des tunnels ont été creusés, des routes pavées, un système de sonorisation et des antennes 5G installés. Et les manguiers et oliviers plantés continuent eux aussi de pousser sous un soleil brûlant.Parmi les mesures de précaution prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie figure la création de centres de tests sur le site et le lancement d'une campagne de sensibilisation, selon Mme AlBayat.Là encore, si elle reconnaît "quelques cas positifs" au sein des ouvriers et parmi le personnel de l'Expo, aucun chiffre ne filtre. Toute personne infectée n'est acceptée sur le site qu'une fois totalement rétablie, enchaîne-t-elle.Plus de la moitié des cas de coronavirus enregistrés dans les six pays arabes du Golfe, qui dépassent aujourd'hui les 355.000, concernent des travailleurs étrangers, lesquels vivent souvent dans des conditions d'exiguïté.Pour contenir la pandémie, Dubaï s'est fermée en mars mais veut rouvrir ses portes avant le début de la saison touristique en septembre. L'an dernier, l'émirat avait accueilli 16,7 millions de visiteurs et visait les 20 millions en 2020.Dans le "monde d'après", Dubaï devra-t-il revoir à la baisse ses objectifs de fréquentation pour son exposition universelle?"Nous travaillerons pour atteindre la meilleure fréquentation possible. (...) Un an de report signifie plus de marge de manoeuvre pour améliorer les choses", veut croire Ahmed al-Khatib.
Il y a 4 ans et 343 jours

Le coût des énergies renouvelables s'avère de plus en plus compétitif face au charbon

Selon un nouveau rapport de l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA), publié aujourd'hui, les énergies renouvelables sont de moins en moins chères par rapport toute autre source de nouvelle électricité à base de combustibles fossiles. Le rapport Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 montre que plus de la moitié de la capacité renouvelable ajoutée en 2019 permettait de réduire les coûts de l'électricité par rapport à ceux des nouvelles centrales au charbon les moins chères.Le rapport souligne que les nouveaux projets de production d'énergie à partir de sources renouvelables sont aujourd'hui de moins en moins chers par rapport aux centrales à charbon existantes. En moyenne, il est moins cher de mettre en service de nouvelles installations d'énergie solaire photovoltaïque et éolienne que de maintenir de nombreuses centrales au charbon en exploitation. Les résultats des enchères montrent que cette tendance s'accélère et viennent confirmer le besoin de mettre définitivement fin à la filière charbon. Le rapport montre que l'année prochaine, il pourrait être plus coûteux d'exploiter 1 200 gigawatts (GW) de capacité existante dans des centrales à charbon que de mettre en service de nouvelles installations solaires photovoltaïques à l'échelle industrielle.Le remplacement des 500 GW les moins chers de la filière charbon par du solaire photovoltaïque et de l'éolien terrestre pourrait réduire sur l'année prochaine les coûts du système électrique de 23 milliards de dollars par an, et les émissions annuelles de dioxyde de carbone d'environ 1,8 Gt, soit l'équivalent de 5% du total des rejets mondiaux de CO2 en 2019. Cela représenterait également un stimulus de 940 milliards de dollars, à savoir environ 1% du PIB mondial.« Nous avons atteint un tournant important dans la transition énergétique. Tant sur le plan environnemental qu'économique, les arguments en faveur de l'installation de nouvelles centrales à charbon ou du maintien de celles qui existent sont injustifiables », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « De plus en plus, les énergies renouvelables sont la source de nouvelle électricité la moins chère. Leur potentiel pour stimuler l'économie mondiale et créer des emplois est considérable. Les investissements dans les énergies renouvelables sont stables, rentables et attractifs ; ils offrent des rendements constants et prévisibles, et l'économie tout entière profite de leurs bénéfices. »« La stratégie mondiale de relance doit être une stratégie verte », a ajouté La Camera. « Les énergies renouvelables constituent un moyen d'aligner les initiatives politiques à court terme sur les objectifs à moyen et long terme en matière d'énergie et de climat. Les efforts déployés par les nations pour relancer les économies après la crise du COVID-19 doivent reposer sur les énergies renouvelables. Par la mise en œuvre de politiques appropriées, la chute des coûts de la production d'électricité à base d'énergies renouvelables peut transformer les marchés et contribuer dans une large mesure à une relance verte. »Au cours des dix dernières années, l'amélioration des technologies, les économies d'échelle, la compétitivité des chaînes d'approvisionnement et l'expérience croissante des développeurs ont entraîné une forte baisse du coût de l'électricité provenant de sources renouvelables. Depuis 2010, la plus forte baisse des coûts a été enregistrée par l'électricité solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle, avec 82%. Venaient ensuite l'énergie solaire à concentration (CSP), avec 47%, l'éolien terrestre, avec 39%, et l'éolien offshore, avec 29%.Le coût des technologies solaire et éolienne a également poursuivi sa diminution d'année en année. Le coût de l'électricité de source solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle a baissé de 13% en 2019, atteignant une moyenne mondiale de 6,8 cents (0,068 USD) par kilowattheure (kWh). L'éolien terrestre et l'éolien offshore ont tous deux diminué d'environ 9%, pour atteindre respectivement 0,053 et 0,115 USD/kWh.Les enchères et contrats d'achat d'électricité (CAE) les plus récents montrent que la tendance à la baisse se poursuit pour les nouveaux projets mis en service en 2020 et au-delà. Les prix de l'électricité de source solaire photovoltaïque basés sur un approvisionnement compétitif pourraient en moyenne s'établir à 0,039 USD/kWh pour les projets mis en service en 2021, ce qui représente une diminution de 42% par rapport à 2019. Cette valeur est par ailleurs inférieure de plus d'un cinquième à celle de l'électricité issue de combustible fossile la moins chère, qui est celle produite par les centrales à charbon. Les chiffres record atteints par les enchères d'électricité de source solaire photovoltaïque à Abou Dhabi et Dubaï (EAU), au Chili, en Éthiopie, au Mexique, au Pérou et en Arabie saoudite confirment que des valeurs de seulement 0,03 USD/kWh sont déjà possibles. Pour la première fois, le rapport annuel de l'IRENA examine également la valeur des investissements par rapport à la baisse des coûts de production. Pour la même somme d'argent investie en énergies renouvelables aujourd'hui, les nouvelles capacités produites sont supérieures à celles d'il y a dix ans. En 2019, la capacité de production d'énergie renouvelable mise en service était deux fois plus élevée qu'en 2010, mais elle avait nécessité seulement 18% d'investissements en plus. Découvrez les conclusions principales du rapportLisez le rapport complet « Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 »
Il y a 4 ans et 343 jours

Un troisième stade achevé pour le Mondial-2022 au Qatar

Cette annonce intervient alors que le petit pays du Golfe marque vendredi le troisième anniversaire de l'embargo terrestre, maritime, aérien imposé par l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Émirats arabes unis et l'Égypte. Ces pays accusent Doha d'être trop proche de l'Iran, rival régional de Ryad, et de soutenir des islamistes radicaux, ce que le Qatar dément.Situé dans la ville d'Al Rayyan, à l'ouest de Doha, le stade devait initialement être inauguré le 18 décembre 2019 à l'occasion de la seconde demi-finale du Mondial des clubs.Mais le stade, intitulé "Education City" en raison de sa proximité avec une université et ses campus, n'a pas été homologué à temps par les autorités.Après la tenue du Mondial-2022, la moitié des 40.000 sièges du stade seront donnés à des pays en voie de développement afin de les aider à construire des infrastructures sportives.Cinq stades sont encore en construction au Qatar, qui accueillera en novembre et décembre 2022 le plus grand rendez-vous du monde du football.
Il y a 4 ans et 352 jours

Amaala – the island, un ‘resort’ dédié à l’art et au ‘soft power’

L’Arabie Saoudite préfère montrer la beauté de ses paysages plutôt que la noirceur de son âme et, plutôt que promouvoir institutions arriérées et décapitations publiques, vendre le luxe clinquant d’Amaala et ses installations pour nouveaux riches. Communiqué. Amaala, la destination ultra-luxe située le long de la côte nord-ouest de l’Arabie Saoudite, a annoncé en avril […] L’article Amaala – the island, un ‘resort’ dédié à l’art et au ‘soft power’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 353 jours

FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building

L’agence FAAB Architektura (Adam Białobrzeski, Adam Figurski, Maria Messina), fondée à Varsovie (Pologne) en 2003, propose pour l’Arabie Saoudite une tour de 53 étages et 220 m de haut, intitulée Vertical Oasis Building, censée prendre soin d’elle-même et de son environnement. Intelligence artificielle ? Communiqué. Capter l’électricité du soleil, réduire la demande énergétique du bâtiment, créer […] L’article FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 6 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.
Il y a 5 ans et 68 jours

DuPont Sustainable Solutions annonce l’acquisition de Lodestone Partners

Genève, Suisse, 4 Mars 2020 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil indépendant en matière de sécurité au travail et gestion des risques opérationnels, a annoncé aujourd’hui l’acquisition des actifs de Lodestone Partners, une société de conseil internationale reconnue pour aider les entreprises issues du secteur de l’exploitation des ressources naturelles à améliorer durablement leurs performances opérationnelles. Effectif au 29 Février, ce rachat permet à DSS d’élargir ses compétences et son expertise en matière d’excellence opérationnelle, en particulier dans le secteur des ressources naturelles et de l’industrie minière. « Associer l’expérience hautement reconnue de Lodestone en matière d’amélioration opérationnelle aux compétences en gestion des risques de DSS nous permet de proposer désormais une expertise intégrée en transformation opérationnelle qui n’existe pas actuellement sur le marché » déclare Davide Vassallo, Directeur Général de DuPont Sustainable Solutions. « Cette acquisition accroît considérablement la capacité de DSS à aider ses clients à protéger leurs employés et à améliorer leurs opérations. Elle constitue aussi une étape importante dans la stratégie que nous avons déployée depuis que nous sommes devenus une entreprise indépendante en Septembre dernier, et qui vise à accélérer notre croissance dans certaines zones géographiques et certaines industries ». « DSS est un leader mondialement reconnu qui aide les entreprises à protéger leurs employés et à anticiper les risques, avec des ressources incroyablement solides en matière de gestion des risques opérationnels, de développement des compétences, d’analyse des données et d’intégration des technologies numériques. Nous sommes heureux de rejoindre DSS et ainsi d’élargir le portefeuille de services proposés par DSS à ses clients en matière d’excellence opérationnelle », affirme Robin Schleich, ancien Directeur de Lodestone Partners. Basée à Toronto (Canada), Lodestone Partners a collaboré avec des clients dans le monde entier, notamment au Canada, aux Etats-Unis, en Australie, en Afrique du Sud et en Arabie Saoudite. Elle compte parmi ses clients aussi bien les plus grandes entreprises mondiales d’exploitation de ressources naturelles que des industries minières de taille intermédiaire. Au sein de DSS, Robin Schleich, ancien Directeur de Lodestone Partners, est nommé Directeur de l’Excellence Opérationnelle. En renforçant ses équipes avec les consultants expérimentés de Lodestone Partners, DSS dispose maintenant de plus de 900 consultants opérationnels répartis dans 40 bureaux dans le monde.
Il y a 5 ans et 75 jours

A Toronto, le fiasco de la smart city ni smart ni city

Un nouveau phénomène se fait jour, la ville prescrite non par les urbanistes ou les architectes, ce qui serait un moindre mal, mais par des comiques. Ainsi en est-il par exemple de Neom*, en Arabie Saoudite, dessinée par les décorateurs […] L’article A Toronto, le fiasco de la smart city ni smart ni city est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 363 jours

Amey Kandalgaonkar : House in a Rock / Rock House 3

Bien qu'en constante évolution technique, spatiale ou idéologique, l'architecture ne s'affranchit jamais vraiment des notions de patrimoine. Un constat fort dont s'inspire l'architecte et photographe basé à Shanghai (Chine) Amey Kandalgaonkar avec une expérience consistant à imaginer un projet résidentiel construit autour du tombeau en pierre de Madain Saleh en Arabie Saoudite. Véritable trésor archéologique, la cité de Madain Saleh raconte bien des histoires. Taillée par dans la pierre rose par les Nabatéens, elle est pourtant bien moins populaire que sa voisine jordanienne de Pétra, capitale politique de ce peuple antique. On la dit parfois maudite, parfois passage obligatoire des musulmans en pèlerinage vers la Mecque. Mais tous les discours s'accordent pour souligner la beauté exceptionnelle de ce lieu, premier à être inscrit sur la liste du patrimoine mondial et contenant pas moins de 138 tombeaux rupestres monumentaux.L'un d'entre eux a su attirer l'attention de l'architecte et photographe Amey Kandalgaonkar qui conçoit deux propositions de structures habitables qui, plutôt que de contourner les éléments naturels, se nourrissent des contraintes et les intègrent au résultat final, créant ainsi des ensembles uniques, entre patrimoine et architecture contemporaine. Prenant en compte la volumétrie et la complexité de la composition des rochers de Madain Saleh, l'architecte utilise des plans et des volumes simples dans son premier projet, House in a Rock, créant ainsi un dialogue sain entre naturel et artificiel. Après avoir modélisé le rocher grâce à un logiciel 3D, il fusionne une villa à toit plat en béton avec la masse rupestre, dissimulant au maximum l'intervention architecturale.La deuxième proposition prend le pli inverse et minimise son impact au maximum sur le site archéologique. Ainsi, le concepteur imagine une construction toute en courbes – toujours en béton – surélevée sur pilotis. La structure et sa silhouette voluptueuse renvoient aux constructions contemporaines aux allures futuristes de Shanghai. Un site, deux projets et des discussions infinies sur l'intégration du patrimoine dans l'architecture d'aujourd'hui. Pour en savoir plus, visitez le site d'Amey Kandalgaonkar
Il y a 6 ans et 208 jours

Norman Foster suspend sa collaboration le gouvernement Saoudien

L'architecte anglais Norman Foster vient d'annoncer qu'il suspendait son travail pour la pharaonique cité NEOM en Arabie Saoudite suite à la mystérieuse disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul. Le projet de ville aux 500 milliards de dollars est momentanément interrompu tant que la situation autour de l'éditorialiste du Washington Post n'est pas éclaircie. Nouvelle mégalopole futuriste, NEOM serait localisée en plein milieu du désert saoudien avec une...
Il y a 6 ans et 242 jours

Métro de Riyad : Alstom en charge de la maintenance du système

Le consortium Flow, composé d'Alstom, d'Ansaldo STS et Ferrovie dello Stato Italiane, a remporté un contrat d'un an, de près de 2,5 milliards d'euros, portant sur l'exploitation et la maintenance des lignes 3, 4, 5 et 6 du métro de Riyad, en Arabie Saoudite.
Il y a 7 ans et 43 jours

Du fossile au solaire, les ambitions saoudiennes font des sceptiques

Des ingénieurs testent en laboratoire la résistance d'un panneau solaire à une tempête de sable en Arabie saoudite, où les autorités ont lancé un ambitieux programme pour diversifier les sources d'énergie mais dont le gigantisme suscite des interrogations.
Il y a 7 ans et 150 jours

Le prince héritier saoudien acquéreur de la demeure la plus chère au monde

Mohammed ben Salmane, nouvel homme fort d'Arabie saoudite qui se veut le chantre de l'anticorruption, est le mystérieux acquéreur du "Château Louis XIV", près de Paris, demeure privée la plus chère au monde cédée pour 275 millions d'euros, affirme le New York Times.
Il y a 7 ans et 202 jours

KAPSARC : Zaha Hadid dans le désert saoudien

Agglomérat énigmatique de blocs anguleux posé sur un plateau désertique à la sortie de Riyadh, la Capitale de l’Arabie Saoudite,… Cet article KAPSARC : Zaha Hadid dans le désert saoudien est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 261 jours

EDF EN en lice pour un projet éolien au Moyen-Orient

EDF énergies nouvelles (EDF EN) est en compétition pour créer un parc éolien de 400 mégawatts en Arabie Saoudite.
Il y a 7 ans et 322 jours

Volvo booste la production de produits chimiques saoudiens

La société familiale Saudi Dolomite emploie des machines de Volvo Construction Equipment pour accroître la productivité de son unité de transformation implantée à Abqaiq, en Arabie Saoudite.
Il y a 7 ans et 333 jours

MAN équipe l'Arabie Saoudite

SAPTCO et RATP Dev ont commandé 242 autobus MAN Truck & Bus pour équiper la capitale saoudienne, Riyad.
Il y a 7 ans et 333 jours

MAN équipe l'Arabie Saoudite

SAPTCO et RATP Dev ont commandé 242 autobus MAN Truck & Bus pour équiper la capitale saoudienne, Riyad.
Il y a 8 ans et 3 jours

L'achèvement de la tour de 1.000 mètres repoussé d'un an en Arabie saoudite

Le record du monde attendra : l'inauguration de la Kingdom Tower de Djeddah, qui doit être la première construction humaine à dépasser le kilomètre de hauteur, a été repoussée à 2019. La chute des cours du pétrole aurait compliqué le financement de cette opération titanesque.
Il y a 8 ans et 23 jours

L'Arabie saoudite aussi entame (timidement) sa transition énergétique

Le premier exportateur mondial de pétrole se décide à préparer "l'après" : l'Arabie saoudite prévoit de tirer 10 % de son électricité à partir de sources renouvelables en 2023. La quasi-totalité est aujourd'hui produite par des unités thermiques qu'il faudra remplacer par des installations solaires ou éoliennes. Détails.
Il y a 8 ans et 29 jours

Arabie Saoudite : le réseau électrique musclé

Siemens a remporté une commande portant sur la fourniture de deux sous-stations mobiles à National Grid SA, le gestionnaire de réseau de transport et de distribution d'électricité de la Saudi Electricity Company (SEC). Ces équipements doivent permettre d'améliorer la résilience du réseau électrique d'Arabie Saoudite.
Il y a 8 ans et 108 jours

Engie poursuit son développement en Arabie saoudite

Le groupe industriel français Engie a de quoi être heureux ! L'entreprise a en effet annoncé la signature d'un contrat de construction, d'exploitation et de maintenance pour une centrale de production indépendante d'électricité en Arabie saoudite. Un projet dont l'investissement est estimé à 1,2 milliard de dollars et qui devrait permettre de couvrir la consommation électrique de 1,4 million de personnes.
Il y a 8 ans et 119 jours

L'Arabie saoudite inaugure sa première éolienne

L'Arabie saoudite a inauguré mardi sa première éolienne dans le cadre d'un programme de diversification de ses sources d'énergie.
Il y a 8 ans et 120 jours

Don de 5 millions d'euros de l'Arabie Saoudite pour rénover l'IMA

L'Arabie saoudite va participer à la rénovation et à la modernisation de l'Institut du monde arabe (Ima) à Paris, à hauteur de 5 millions d'euros, a indiqué lundi l'institut connu pour son bâtiment emblématique conçu il y a trente ans par l'architecte Jean Nouvel.
Il y a 8 ans et 122 jours

L'Institut du monde arabe va rénover ses moucharabiehs

L'Arabie saoudite va participer à la rénovation de l'Institut du monde arabe (Ima) à Paris, à hauteur de 5 millions d'euros. L'IMA a été conçu il y a trente ans par l'architecte Jean Nouvel.
Il y a 8 ans et 204 jours

Un centre administratif pour le site historique de Diriyah

    Zaha Hadid Architects (ZHA) va construire le centre administratif du Musée du Patrimoine urbain de Diriyah, en Arabie Saoudite. Le projet fait partie d’un travail plus large de préservation du site historique de la ville classée au patrimoine mondial de l’Unesco. L’eau et la lumière seront au centre de cette réalisation.
Il y a 8 ans et 205 jours

Zaha Hadid Architects remporte la construction d'un musée en Arabie Saoudite

A l'issue d'une compétition lancée en 2015, c'est l'agence Zaha Hadid Architects qui a remporté la première place pour la construction du centre administratif du Musée du patrimoine à Diriyah, en Arabie Saoudite. Découverte.
Il y a 8 ans et 206 jours

Un centre administratif pour préserver le patrimoine de Diriyah

Zaha Hadid Architects a décroché le contrat de construction du Centre d'administration du patrimoine urbain de Diriyah, en Arabie Saoudite, qui doit contribuer à préserver le site historique de la ville classé patrimoine mondial de l'Unesco.
Il y a 8 ans et 213 jours

Manitowoc distingue son concessionnaire Kanoo Machinery

Kanoo Machinery, distributeur historique de Manitowoc au Moyen-Orient, s'est vu remettre la prestigieuse distinction "Manitowoc Cranes Elite Dealer" pour ses opérations en Arabie Saoudite.
Il y a 8 ans et 240 jours

Innotrans 2016 : découvrez le design du métro de Riyad

La première rame du métro de Riyadh (Arabie Saoudite) a été présentée ce jour par Siemens sur le salon ferroviaire Innotrans qui se tient en ce moment même à Berlin (Allemagne).
Il y a 8 ans et 252 jours

28 grues Potain sur le métro de Riyad

Une armée de 28 grues à tour Potain s'emploie à achever le plus grand projet de métro (22,5 milliards de dollars) du Moyen Orient en Arabie Saoudite. Elles réalisent 4 des 6 lignes du réseau de la capitale Riyad, soit 176 km de voie.
Il y a 8 ans et 252 jours

28 grues Potain sur le métro de Riyad

Une armée de 28 grues à tour Potain s'emploie à achever le plus grand projet de métro (22,5 milliards de dollars) du Moyen Orient en Arabie Saoudite. Elles réalisent 4 des 6 lignes du réseau de la capitale Riyad, soit 176 km de voie.
Il y a 8 ans et 253 jours

À l'automne, MB met le cap sur les salons

Comme chaque année, le spécialiste du godet concasseur MB Crusher se prépare à son marathon annuel des principaux salons internationaux : Nordbau et Galabau en Allemagne, Minexpo à Las Vegas, Marmomacc en Italie, la SIM en France, Saudi Build en Arabie Saoudite, Ecomondo de nouveau en Italie, Bauma China à Shanghai et bC India à New Delhi.
Il y a 8 ans et 323 jours

Haulotte sur les traces du métro de Riyad

Quelque 150 machines Haulotte fournies par Roots Group Arabia (RGA) s'affairent sur le chantier du métro de Riyad en Arabie Saoudite.
Il y a 8 ans et 350 jours

YBA Kanoo expose ses grues Grove en Arabie Saoudite

YBA Kanoo a tenu une journée portes ouvertes en Arabie Saoudite en partenariat avec Manitowoc. Les visiteurs ont pu découvrir la quasi intégralité de la galle de grues tout-terrain Grove.
Il y a 8 ans et 356 jours

Iveco Astra investit l'Arabie Saoudite

Iveco Astra, en partenariat avec le distributeur Famco, a participé à trois évènements en Arabie Saoudite visant à présenter sa gamme complète de véhicules devant 650 professionnels.
Il y a 8 ans et 358 jours

Haulotte joue du ciseau à La Mecque

Des nacelles ciseaux Compact 14 du constructeur Haulotte ont joué un rôle important lors de la cérémonie du changement de couverture de la Kaaba à La Mecque en Arabie Saoudite.
Il y a 9 ans et 26 jours

SNC-Lavalin : un contrat en Arabie Saoudite

SNC-Lavalin a annoncé le 20 avril 2016 qu'elle a remporté un contrat auprès de Saudi Aramco, par le biais de sa filiale Kentz, en Arabie saoudite, pour l'exécution des services d'ingénierie, d'approvisionnement et de construction (IAC) dans le cadre du projet d'agrandissement des installations de production de bitume de la raffinerie Ras Tanura.