Résultats de recherche pour architecte espagnol

Aménager un restaurant dans un local de seulement 40 mètres carrés ? Défi relevé, pour le jeune architecte-designer espagnol Valentin Sanz qui réalise la PIVVZZA, pizzéria originale et minimaliste située dans le centre-ville de Soria (Espagne). Organisé sur un plan carré de 40 mètres de côté, l'établissement se compose principalement d'une salle à manger de 15 mètres carrés, autour de laquelle prennent place deux espaces organisés sur un plan en L : une cuisine ouverte et des WC situés au fond de la zone d'accueil. Dans une surface si réduite, le stockage est au c"ur des problématiques d'aménagement. Ainsi, avant de dessiner le projet, le concepteur a tout d'abord effectué un minutieux inventaire des outils indispensables au bon fonctionnement du lieu, puis a pris le soin d'intégrer dans une ossature métallique orthonormée de nombreux rangements et plans de travail adaptés. Chacun des éléments en bois possède ainsi une place spécifique dans cette grille faisant également office de montants de fixation pour des parois en contreplaqué. Ce jeu de pleins et de vides organise le local de manière rationnelle et efficace, afin de ne pas encombrer ou gêner restaurateurs et clients.   Valentin Sanz a en outre dessiné le mobilier composé de tables en métal et bois, et de tabourets en chêne " empilables bien entendu, pour se transformer en chaises hautes. Cet ameublement sur-mesure prodigue alors un maximum de flexibilité d'agencement tout en apportant une atmosphère de terrain de jeux. Un endroit chaleureux et ludique optimisé avec brio, où toutes les conditions sont réunies pour se régaler. Pour en savoir plus, visitez le site de Valentín Sanz Photographies : Luis Diaz Diaz

Grâce à une multitude de projets d'art, d'aménagement et de design produits, l'architecte d'intérieur espagnol Jaime Haynon s'est aujourd'hui bâti une réputation de renommée mondiale. Un savoir-faire mis aujourd'hui au service de sa cité natale, Madrid, avec l'aménagement de l'Hôtel Barceló situé dans la Tour de Madrid. Pour ce projet conçu au c"ur de la ville qui l'a vu naître, Jaime Haynon nous transporte dans un voyage architectural à travers l'histoire espagnole, teintée d'influences arabes et maures. Avec 258 chambres, réparties sur neuf des 34 étages de la Tour de Madrid, l'hôtel Barceló offre à ses résidents tout le luxe et le confort d'un établissement cinq étoiles : un restaurant, une partie piscine/spa ou encore un rooftop. L'ensemble est décoré d'éléments exubérants qui entrent en décalage avec une architecture épurée : sculptures, volumes colorés et autres objets fantasques, comme l'immense ours zébré réceptionnant les nouveaux arrivants. La présence de bleu et de vert aux tons pastel égaye le décor tout en assurant sa sobriété. Le bar, habillé de bois et de marbre, se dresse au fond de l'accueil, derrière deux cloisons percées d'arches, dont le motif est par ailleurs repris dans les étagères servant au rangement des bouteilles. Le meuble rejoint le plafond situé à six mètres de hauteur, lui-même affublé de miroirs, qui agrandissent encore un peu plus ce vaste volume. Avec cet ouvrage aussi luxueux que luxuriant, l'architecte d'intérieur madrilène redonne un coup de jeune à la mythique Tour de Madrid, réalisée par l'architecte Julián Otamendi dans les années 1950. Pour en savoir plus, visitez le site de Jaime Haynon  Photographies :KluderBie

L'architecte italien Renzo Piano, en collaboration avec l'agence madrilène Luis Vidal + Architects, signe un nouveau musée très attendu sur le front de mer de la ville espagnole de Santander. Sur près de 10 300 m2, l'édifice bicéphale de métal et de verre accueillera les collections d'art ainsi que la programmation culturelle et pédagogique de la Fondation privée Botín. Ce qui était il y a encore quelques mois une aire de stationnement dédiée au terminal des ferrys devient...

Les architectes espagnols de l'agence Otxotorena Arquitectos ont récemment transformé un palais traditionnel de San Sebastián en lieu d'enseignement, qu'ils ont par ailleurs agrandi afin d'y accueillir un internat pour les étudiants, sur une surface totale de 2820 mètres carrés. Placé sur les hauteurs de la ville, l'ancien palais privé datant du début du XXe siècle bénéficie d'un panorama imprenable sur la Baie de la Concha, qui constitue la toile de fond de ce projet. Son esthétique raffinée et néo-mauresque mêle arcs typiques, fenêtres inspirées des moucharabiehs, corniches travaillées et balcons aux garde-corps à volutes, dont un est soutenu par une colonne d'inspiration ionique. Les architectes ont peu touché à l'architecture du lieu d'origine aristocratique, conservant aussi bien le carrelage caractéristique de la région que les vitraux ou les escaliers en marbre, auxquels ils ont simplement ajouté quelques cloisons vitrées, apportant ainsi un contraste entre ancien et contemporain. Sur le terrain en pente, l'édifice a été complété par un nouveau corps de bâtiment horizontal en béton banché, agrémenté à l'est d'une façade en métal et de fenêtres-miroirs. Si le bâtiment réhabilité sert à l'apprentissage, le nouvel espace est, quant à lui, destiné à l'hébergement et à la vie étudiante avec une cinquantaine de dortoirs répartis sur trois niveaux. L'écriture architecturale de cette partie contemporaine s'inscrit en complète rupture avec le palais : aux carreaux de céramique chargés et autres colonnes antiques succèdent donc sols aux tons clairs et neutres, et murs où alternent revêtements vitrés, boisés et immaculés. Ce projet original permet aux étudiants du campus de Jaizkibel d'étudier et d'évoluer dans un cadre incomparable, bien loin des internats traditionnels peu engageants. Photographies : Rubén Pérez Bescós Pour en savoir plus, visitez le site de Otxotorena Arquitectos

Pour 2017, la célèbre marque espagnole de meubles Kettal offre un nouveau visage à son showroom barcelonais, dont la conception a été confiée au Studio Urquiola. Un réaménagement intérieur radical en profond accord avec l'image de la marque mêlant créativité et innovation. L'architecte et designer Patricia Urquiola s'est donc penchée sur la nouvelle boutique Kettal qui, par son design et son agencement sublime ce grand nom du mobilier. Le premier élément qui saute aux yeux du visiteur est la tripartition de l'espace réalisée par le biais de cloisons à clairevoie blanches et rouges, en référence à l'architecture en métal et brique du lieu. Ces éléments créent ainsi deux zones d'exposition des produits et un espace central en double-hauteur réinterprétant le fameux patio à l'espagnole. Le Studio Urquiola s'approprie à merveille l'identité de la marque d'ameublement et transpose dans ce showroom le mode de vie ibérique : entre couleurs vives, fraîcheur méditerranéenne et " symbole du vivre dehors ". Photographie : Salva López Pour en savoir plus, visitez le site de Kettal et de Patricia Urquiola

Pour 2017, la célèbre marque espagnole de meubles Kettal offre un nouveau visage à son showroom barcelonais, dont la conception a été confiée au studio Urquiola. Un réaménagement intérieur radical en profond accord avec l'image de la marque mêlant créativité et innovation. L'architecte Patricia Urquiola s'est penchée sur la nouvelle boutique Kettal qui, par son design et son agencement sublime ce grand nom du mobilier design. Le premier élément qui saute aux yeux du visiteur est la tripartition de l'espace réalisée par le biais de cloisons à clairevoie blanche et rouge, en référence à l'architecture en métal et brique du lieu. Ces éléments créent ainsi deux zones d'exposition des produits et un espace central en double-hauteur réinterprétant le fameux patio à l'espagnole. Le studio Urquiola s'approprie à merveille l'identité de la marque d'ameublement et transpose dans ce showroom le mode de vie ibérique : entre couleurs vives, fraîcheur méditerranéenne et " symbole du vivre dehors ". Photographie : Salva López Pour en savoir plus, visitez le site de Kettal et de Patricia Urquiola

Bâti en 1897 par l'architecte danois Neckelmann Skjold, le palais de justice de Strasbourg est l'un des fleurons architecturaux de la ville. Après 15 ans de négociation, le tribunal a enfin pu être restauré de 2013 à 2016 par les agences espagnoles Garcés.De Seta.Bonet Arquitectes et Serra-Vives-Cartagena, lauréates du concours lancé un an plus tôt. Le maître d'"uvre s'est ici lancé dans un vaste programme de rénovation et un agrandissement de ce monument de 7 200 mètres carrés de surface utile. Depuis l'extérieur, seul l'ajout d'une nouvelle toiture en inox dépassant légèrement des façades classées au patrimoine des Monuments historiques trahit l'intervention. L'intérieur a quant à lui totalement été repensé afin de faire pénétrer les rayons du soleil au c"ur de l'édifice. Dès l'entrée, la lumière naturelle prédomine donc grâce à l'adjonction d'un patio central sur lequel donne également au rez-de-chaussée la salle des pas perdus, la cafétéria, la bibliothèque et la salle d'audience ; et la circulation des deux étages. Une partie de ce dernier est couverte par une verrière, l'autre est plantée et laissée à l'air libre. Un projet à la fois audacieux et contemporain qui respecte néanmoins le caractère historique de l'édifice, à l'intérieur comme à l'extérieur. Les faux raccords sont inexistants et c'est une atmosphère solennelle qui se dégage de cette architecture. Photographies : Adrià Goula Pour en savoir plus, visitez le site de Garcès " De Seta " Bonet Arquitectes et de Serra - Vives - Cartagena Arquitectes    

Le travail des trois architectes espagnols Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, a été récompensé par l'honorifique Pritzker Architecture Prize 2017 mercredi 1er mars. Leur "uvre commune, initiée il y a trente ans sous la bannière RCR Arquitectes, a su convaincre le jury. Outre l'esthétique ou la fonctionnalité des projets, ce qui distingue l'agence de ses concurrents est sa forte volonté d'insuffler des inspirations à la fois locales et mondiales à ses édifices. À l'heure de la mondialisation il est ardu de conserver ses racines, pourtant les trois associés ont réussi au fil des années et des collaborations à instaurer un dialogue continu entre l'architecture et son environnement. Par le choix des matériaux, l'implantation et la géométrie des volumes la bâtisse devient ainsi pleinement une entité locale intégrée à son milieu. Étroitement attachés à leurs racines, Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, ont installé leurs bureaux dans leur ville natale, Olot en Catalogne. Ces origines regionales, et plus largement nationales, ont marqué toute leur carrière de bâtisseurs. À titre d'exemple, la cave de Bell-Lloc, dans la ville de Palamós, près de Gérone, est un bâtiment semi-enterré en acier recyclé qui fusionne avec la terre brune environnante. De la même manière la passerelle La Lira Theater Public Open Space, à Ripoll en Espagne, intègre en son sein l'espace public tandis que sa peau d'acier remémore le passé métallurgique de la ville. Dans tous leurs projets, à l'image du musée Pierre Soulages à Rodez (France), l'architecture et ses environs sont donc intimement liés. Pour en savoir plus, visitez le site du Pritzker Architecture Prize 2017 Photos 2 à 3 : Bell"Lloc Winery, 2007, Palamós, Girona, Spain © Hisao SuzukiPhotos 4 à 6 : La Lira Theater Public Open Space, 2011, Ripoll, Girona, Spain In collaboration with J. Puigcorbé © Hisao SuzukiPhotos 7 à 8 : Soulages Museum, 2014, Rodez, France In collaboration with G. Trégouët © Hisao Suzuki

Le travail des trois architectes espagnols Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, a été récompensé par l'honorifique Pritzker Architecture Prize 2017 mercredi 1er mars. Leur "uvre commune, initiée il y a trente ans sous la bannière RCR Arquitectes, a su convaincre le jury. Outre l'esthétique ou la fonctionnalité des projets, ce qui distingue l'agence de ses concurrents est sa forte volonté d'insuffler des inspirations à la fois locales et mondiales à ses édifices. À l'heure de la mondialisation il est ardu de conserver ses racines, pourtant les trois associés ont réussi au fil des années et des collaborations à instaurer un dialogue continu entre l'architecture et son environnement. Par le choix des matériaux, l'implantation et la géométrie des volumes la bâtisse devient ainsi pleinement une entité locale intégrée à son milieu. Étroitement attachés à leurs racines, Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta, ont installé leurs bureaux dans leur ville natale, Olot en Catalogne. Ces origines regionales, et plus largement nationales, ont marqué toute leur carrière de bâtisseurs. À titre d'exemple, la cave de Bell-Lloc, dans la ville de Palamós, près de Gérone, est un bâtiment semi-enterré en acier recyclé qui fusionne avec la terre brune environnante. De la même manière la passerelle La Lira Theater Public Open Space, à Ripoll en Espagne, intègre en son sein l'espace public tandis que sa peau d'acier remémore le passé métallurgique de la ville. Dans tous leurs projets, à l'image du musée Pierre Soulages à Rodez (France), l'architecture et ses environs sont donc intimement liés. Pour en savoir plus, visitez le site du Pritzker Architecture Prize 2017 Photos 2 à 3 : Bell"Lloc Winery, 2007, Palamós, Girona, Spain © Hisao SuzukiPhotos 4 à 6 : La Lira Theater Public Open Space, 2011, Ripoll, Girona, Spain In collaboration with J. Puigcorbé © Hisao SuzukiPhotos 7 à 8 : Soulages Museum, 2014, Rodez, France In collaboration with G. Trégouët © Hisao Suzuki

L'édition 2017 du prix Pritzker a récompensé non pas un, ni deux, mais trois architectes ! Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta du cabinet catalan RCR Arquitectes ont été désignés ce mercredi lauréats de la plus haute distinction architecturale. Doté de 100 000 dollars, le prix leur sera remis lors d'une cérémonie à Tokyo le 20 mai prochain.

Rafael Aranda, Carme Pigem et Ramon Vilalta sont les lauréats 2017 du prestigieux Prix Pritzker. Les trois architectes, originaires de Catalogne, travaillent ensemble depuis 1988 dans le cabinet RCR Arquitectes. Leur travail démontre un engagement permanent pour la narration en créant des espaces co...

Carlos Quevedo Rojas est un architecte espagnol basé à Cadix. Il livré en 2015 à Villamartin le ?château de Matrera', soit la réhabilitation d'un tour médiévale isolée de 136 m2. Projet sans programme mais qui apporte une réponse sensible à la question de l'usage du patrimoine. Et si, comme le propose cet architecte, de ces […]

Basée à A Coruña depuis 2000, l'architecte espagnole Elsa Urquijo promeut "une architecture qui stimule les sens au-delà de la vue, au travers de la matérialité et de l’échelle". Démonstration avec ce refuge " le mot est bien faible " livré dans sa ville en 2016 pour la fondation charitable Padre Rubinos. Communiqué. L’institution sociale […]

En bordure du parc naturel de Yellowstone, le Tippet Rise Art Center accueille des performances artistiques et musicales au c"ur de milliers d'hectares de nature préservée. Différents architectes et designers, parmi lesquels Ensamble studio, sont régulièrement conviés à investir le parc d'expériences inédites où se marient art, architecture et paysage.   En 2010, Arup, Gunnstock Timber Frames et Alban Bassuet, directeur du centre, livrait l'Olivier Music Barn, salle de concert et centre névralgique du projet, évoquant une grange traditionnelle. Plus loin, le Tiara accueille les visiteurs sous une monumentale canopée de bois. Le parc est également ponctué de de différentes sculptures imaginées par Patrick Dougherty, Mark di Suvero ou Stephen Talasnik. " How the current local fauna and ranching activity can coexist with the added artistic and architectural interventions is a challenge that the project needs to embrace " Ensamble studio Sollicités à son tour par le Tippet Rise Art Center, le studio Ensamble imagine trois installations permanentes. Inspirés par les formations géologiques des environs et les processus naturels dont elles résultent, les designers espagnols conçoivent des modules monumentaux qu'ils assemblent deux à deux, ainsi qu'une série de cavernes formant des habitats primaires cultivant une relation des plus intimes avec leur environnement. Avec ses stries, ses plies et ses strates, le béton armé qui les composent racontent une histoire ancestrale. " [The structures] resonate with the immensity, the roughness, the silence and the magic loneliness of the place amplifying its values, and situate our actions in an ambiguous position between nature, architecture and art; they can be one and all, or a completely different category that only makes sense where it was born. " Ensamble studio Photographies : Ensamble Studio Pour en savoir plus, consultez le site d'Ensamble studio.    

Le projet de la Casa MA, mené par les architectes espagnols du Studio PYO Arquitectos, offre de la lumière et de la fluidité à l'ancien plan de l'appartement. Ses cloisons déplacées, se parent de matériaux simples où, en revanche, une attention particulière a été donnée aux détails de pose. Ce sont eux qui donnent le ton et l'originalité du projet. Les architectes ont souhaité simplifier l'aménagement de cet appartement de 80 m² afin de créer une meilleure connexion depuis l'entrée principale vers les pièces de vie situées à l'opposé du projet. Le déplacement des chambres aurait isolé le balcon et rapproché les lits du bruit de la rue. Avant l'intervention, l'appartement semblait sombre et la séquence d'entrée se faisait sans lumière du jour et dans un recoin isolé. Les architectes font tomber les cloisons et dessinent une continuité offrant une généreuse respiration aux volumes de l'appartement. L'air et la lumière traversent les pièces, et les nouvelles cloisons sont complétées en partie haute d'une ouverture horizontale vitrée amplifiant leurs rayonnements. "The project promotes a domestic space of relationship while visually and programmatically linking the hall and the kitchen." PYO Arquitectos L'ancienne cuisine, voisine de l'entrée se retrouve transformée en chambre. La pièce s'épaissit grâce à une oblique trouvée dans une nouvelle cloison. Dynamisant le plan, elle permet d'offrir l'espace nécessaire au lit. La nouvelle cuisine s'accroche à la cloison et devient ouverte. Elle occupe l'espace disponible entre la chambre et les salles d'eau laissées en place. Possédant des fenêtres sur la cour, elle est le premier apport lumineux de l'espace. La visite se poursuit par un court couloir donnant sur le salon et la salle à manger réunis en un seul volume. Au mur les architectes ont choisi des matériaux simples, et travaillent avec précision les détails d'assemblages. Des carreaux blancs recouvrent les pièces d'eau, la cuisine et d'autres parois. Le joint coloré transforme de manière simple mais originale l'apparence de ce revêtement. À chaque pièce sa couleur de joint. Au sol, le projet joue avec deux orientations des lames de bois, le changement se produit avec le débordement orthogonal du revêtement de la cuisine. Les espaces sont différenciés mais la continuité reste. Photographies : Miguel de Guzmán Pour en savoir plus, visitez le site de PYO Arquitectos  

Installée à Milan, l'architecte et designer espagnole Patricia Urquiola, directrice artistique de la marque de mobilier Cassina depuis 2015, a conçu le dernier hôtel de la chaîne espagnole Room Mate…Cet article Un hôtel signé Patricia Urquiola à Milan est apparu en premier sur Archicree.

Pour la Médiathèque Françoise Sagan, les architectes ont mené une réforme extensive de la partie extérieure du bâtiment, notamment les arcades qui caractérisent la façade. Elles apportent généreusement de la lumière naturelle, occultée au besoin par d'élégants rideaux posés entre la pierre des anciens murs et les nouvelles menuiseries.  Elément fort du projet, la finition des baies au moyen de toile technique POLYSCREEN® 550 du fabricant espagnol VERTISOL assure au bâtiment une protection solaire esthétique et fonctionnelle et participe du dialogue entre l'histoire du lieu et le projet contemporain. Avec plus de 30 ans d'expérience, VERTISOL INTERNACIONAL SRL propose des solutions qualitatives et originales pour la protection solaire et dispose d'une expertise forte dans la fabrication de tissus technique de haute qualité, incluant des Polyscreen®, tissus PES et tissus 100% recyclé de PET certifiés CRADLE TO CRADLE. L'entreprise répond aux demandes des programmes LEED, BREEAM et HQE.     Intitulé du projet: Médiathèque Françoise Sagan Lieu: Paris (75) Produit: Vertisol Polyscreen 550 Entreprise: Toutentissus Maîtrise d'ouvrage: Ville de Paris / DPA Maîtrise d'"uvre: Bigoni Mortemard Architectes Surface: 4 300 m² Montant des travaux: 13 000 000 ¤ Calendrier: livraison janvier 2015 Pour en savoir plus, visitez le site de Vertisol.    

À l'heure de l'urgence du développement d'une architecture et d'une ville durable, cet ouvrage rassemble les manifestes d'architectes du monde entier, lauréats du Global Award for Sustainable Architecture, remettant en question le modèle du fonctionnalisme fondé sur l'exploitation sans limites des ressources et l'aménagement souvent trop autoritaire de l'espace. Sous la direction de Jana Revefin, l'ouvrage La Ville Rebelle recueille les textes théoriques et les réflexions d'architectes qui, aux quatre coins du monde, partagent une même conviction : le modèle du fonctionnalisme, qui a accompagné au XXe siècle une vision du progrès fondée sur l'exploitation sans limites des ressources et l'aménagement autoritaire de l'espace, est épuisé, après avoir gravement obéré les grands équilibres humains et naturels de la planète. Cette idéologie de la table rase qui rêvait d'émanciper l'homme lui a en fait ôté tout droit d'agir sur son habitat. Il faut changer de paradigme pour rétablir des conditions humaines plus équitables et des modes de vie plus durables : dans les mégapoles, les quartiers précaires, les territoires ruraux paupérisés, au c"ur des villes les plus développées en apparence. Tous les architectes coauteurs de ce livre sont lauréats du Global Award for Sustainable Architecture. Chacun expose, à partir de ses propres expériences de terrain, comment il invente des processus fondés sur l'analyse et la conception participatives, en étudiant les milieux habités par le biais des besoins humains, en liant les processus d'intervention à la mémoire collective et à l'engagement citoyen. La ville rebelle, Démocratiser le projet urbainOuvrage collectif de Christopher Alexander, Al Borde, Marco Casagrande, Santiago Cirugeda, Marie-Hélène Contal, Salma Samar Damluji, Yona Friedman, Lu Wenyu, Philippe Madec, Juan Román, Rotor et de Wang Shu. Édition publiée sous la direction de Jana RevedinTextes traduits de l'anglais par Édith Ochs et de l'espagnol par Varinia Taboada et Francisca Burgos Sous la direction de Jana Revedin, La Ville Rebelle, Paris, Collection Manifestô - Alternatives, Gallimard, 2015, 160 pages. 17¤, paru le 29 octobre, 14x19cm, ISBN 9782072619564 Pour en savoir plus, visitez le site des Editions Alternatives

Le projet de l'architecte Mike Niven était de créer un lieu de présentation et de vente d'un futur projet de condominium à Toronto au Canada. Le commanditaire souhaitait se démarquer des autres promoteurs privés en créant un lieu aux atmosphères proches de celles d'un showroom. Déjà proposé à la vente, le promoteur du condominium souhaitait démontrer, à l'intérieur du lieu prévu pour la vente, les singularités et la forte identité du projet. Le lieu, conçu par l'architecte Mike Niven, est composé d'une entrée aux allures théâtrales de bureaux et d'une salle d'exposition recevant maquettes et plans. Dès l'entrée, le style noir et luxueux du projet habille les murs. Une paroi de verre sablé recouverte d'une dentelle noire, au dessin inspiré des zelliges espagnols, dissimule un éclairage diffus et offre une atmosphère tamisée. Photographies : Paul Casselman Pour en savoir plus, visitez le site de Mike Niven Interiors  

Le monde et les espaces virtuels peuvent-il être imaginés par des architectes ? C'est la question à laquelle le groupe Seat a invité 40 étudiants à répondre lors d'un événement exceptionnel à Barcelone. Architon a été un concours d'idée, de 48 heures, autour du défi de concevoir le musée digital de la marque. Nous sommes tous connectés de plus en plus à de multiples interfaces permettant d'explorer un des plus importants prolongements de notre univers physique : le monde virtuel. Depuis nos ordinateurs, nos tablettes, nos téléphones, et récemment nos montres, nous pouvons explorer de nouveaux horizons qui paraissent infinis. De multiples chemins sont encore à inventer, à dessiner, les architectes ont sans doute beaucoup de choses à apprendre et à offrir à ces nouveaux espaces numériques. Première difficulté : celle d'imaginer une architecture sans contexte, sans contrainte territoriale ou physique, presque sans limite. La marque espagnole Seat voulait offrir un musée dédié à ses voitures, et à son histoire. Séduite par les nouvelles technologies, elle a pensé à créer un musée digital accessible sans limites depuis n'importe où dans le monde. Pour la conception d'un espace pareil, Seat a réuni 40 étudiants en architecture allemands et espagnols pendant 48 heures autour d'un défi : celui de présenter le concept de musée digital à la fin de la charrette. Par petits groupes, les idées se sont formées, à la fin 12 équipes présentaient chacune une idée innovante. Les 48 heures se sont déroulées à la manière d'un "hackaton", concept emprunté aux développeurs informatiques, baptisé pour l'occasion "Architon". L'événement a récompensé 3 équipes, dont un premier prix dont le groupe a été invité à prolonger le séjour afin de développer leur concept auprès des équipes de Seat. Le musée virtuel sera inauguré à l'automne, à l'occasion du salon automobile de Frankfort. Les lauréats ont imaginé un musée se déplaçant librement et avec poésie, de ville en ville, d'utilisateur en utilisateur, et inspiré par la forme d'un nuage, et du concept informatique du "cloud". A propos du projet lauréat, Christian Stein, directeur marketing du groupe précise :"The winning project is based on a cloud that can travel freely from one city to another. We think it's a very international concept that perfectly matches our brand values and explains the history of SEAT in a very original manner." Pour en savoir plus, visitez le site de Seat

Architecte espagnol, Julio Barreno a réalisé la nouvelle aire de jeu de l'école communale de la ville d'Algodonales. De fines feuilles d'acier peintes de couleurs vives ont été pliées pour donner forme à un préau en origami. Algodonales est un village andalou situé dans un paysage soumis aux caprices des pluies et du soleil. Le préau de l'architecte a été conçu pour abriter l'aire de jeu des enfants. Les feuilles d'acier semblent pliées et offrent une forme irrégulière et dynamique à l'ensemble, ce qui doit stimuler l'imaginaire des enfants. L'architecte a joué du contraste entre deux couleurs, un rose vif pour la sous-face du préau et un turquoise pour ses facettes extérieures. Le sol est resté blanc, à la manière des sols traditionnels des villages andalous. Sur ce projet l'architecte précise :"The architectural tool was found in the fancy children's world full of colour and fun. The structural quality and the inherent flexibility of origami, typical of the many craft activities developed in class by the children themselves, became the genetic property to formally develop the managed element." Photographies : Julio Barreno Pour en savoir plus, visitez le site de Julio Barreno