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Résultats de recherche pour bambou

(157 résultats)
Il y a 4 ans et 231 jours

Oasis de Terra Botanica ou l’architecture végétale de l’Atelier Déambulons

A l’été 2020, l’atelier lyonnais Déambulons, fondé par l’artisan bamboutier Jean-Baptiste Dubois, a livré pour le parc angevin Terra Botanica l’Oasis, la plus grande structure architecturale en bambou d’Europe. Tour de force ? Découverte. L’objectif de Terra Botanica, maître d’ouvrage, était de créer une installation pérenne et légère à l’entrée ‘visiteurs’ du parc pour faire évoluer […] L’article Oasis de Terra Botanica ou l’architecture végétale de l’Atelier Déambulons est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 352 jours

Moso International enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme®

Un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie De nouvelles dimensions pour libérer sa créativité MOSO® international, pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme® avec de nouvelles dimensions et un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie. Un profil « fermé » pour une sécurité incendie renforcée Le bardage MOSO® Bamboo X-treme® est une lame extérieure de bambou massive de haute densité fabriquée à partir de lamelles en bambou compressées. Un procédé de traitement thermique à 200°C permet au Bamboo X-treme® d’avoir la plus haute classe de durabilité qui existe selon les normes européennes, l’augmentation de la stabilité et de la densité, et par conséquent de la dureté. Le nouveau profil fermé ne présente aucun espace entre les lames ; il ne permet donc pas la circulation de l’air entre les lames ce qui réduit considérablement la propagation des flammes et de la fumée. Il permet ainsi au bardage Bamboo X-treme® d’atteindre la classe feu B-s1-d0 (EN 13501-1) et un indice de propagation de la flamme Classe A (ASTM E84). Ce classement ne s’applique pas seulement au produit installé mais à l’ensemble du système, des lames au bardage. Le bardage Bamboo X-treme® ne nécessite aucune adjonction de produits ignifuges coûteux et nocifs à la fois pour l’environnement et les personnes qui le manipulent pendant le processus de production et d’installation. Il peut ainsi être installé en toute sécurité dans des lieux très fréquentés, tels que les immeubles d’habitation, les stations-service, les bâtiments commerciaux… Lame Bamboo X-treme® en 75mm Le bardage en MOSO® Bamboo X-treme® est disponible en deux usinages : forme à double feuillure inversée ou trapèze. La première se fixera grâce aux clips de fixation (18 mm), la seconde par vissage en parement. Ces deux formes sont désormais disponibles dans des dimensions 1850x75x18 et 1850x75x12. La combinaison de différentes largeurs et profils autorise des créations design et de façades en bambou originales. L’alternative écologique aux bois tropicaux Le bambou est la plante possédant la croissance la plus rapide sur terre. Matériau disponible en abondance, sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les produits en bambou MOSO® ont une empreinte carbone négative sur l’ensemble du cycle de vie. Le site Le rapport d’ACV (analyse du cycle de vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que le revêtement Bamboo X-treme®, évalué sur l’ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à la possibilité de l’utiliser comme matériau certifié FSC, le bambou massif contribuent à l’évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM. Durables, sûrs et beaux, les produits en bambou MOSO® représentent une alternative durable au bois tropicaux de plus en plus rares. www.moso-bamboo.com/fr
Il y a 4 ans et 363 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 16 jours

Le catalogue Atlantem « Portails, clôtures et claustras 2020-2021 » est disponible

Les clôtures et claustras prennent une place importante pour créer un ensemble complet et un cocon harmonieux. Également au cœur des évolutions : la connectivité avec l'intégration d'un visiophone consultable à distance.Les coordonnés : tout en délicatesse et éléganceParmi les rares industriels à concevoir et fabriquer les trois familles de produits portes d'entrée, de garage et de portails, ATLANTEM favorise l'harmonie. Sa gamme TENDANCE s'élargit avec six nouveaux modèles (Abott, Bridge, Clayton, Gill, Lamb ou Patton) dont le design est coordonné à celui des autres fermetures. Les effets d'optique sont diversifiés : spirales en mouvement, lignes sans fin, ombres de bambous…Tôles découpe laser : le style végétal a le vent en poupeATLANTEM pousse la qualité de précision à son paroxysme avec sa gamme de portails en tôles découpe laser. De nombreux motifs sont disponibles et se voient enrichis avec les modèles Jungle et Papyrus. Leur finition met en lumière le détail des lignes et des motifs au style résolument végétal.Toujours plus loin dans la connectivité utileLe portail connecté peut aujourd'hui disposer d'un visiophone fonctionnant en wifi. Grâce à une application sur smartphone, il permet de savoir qui se présente sans être contraint par exemple de descendre de l'étage. Si l'utilisateur est au travail ou au marché, il peut ouvrir le portail à un livreur afin qu'il dépose un colis.La part belle aux clôtures et claustrasLa préservation de l'intimité constitue un critère de choix de plus en plus plébiscité. En complément du portail, les clôtures et claustras figurent parmi les équipements incontournables. Dans sa logique d'harmonie des extérieurs, ATLANTEM étoffe sa gamme avec des designs résolument tendance. Les tôles découpe laser apportent de la finesse avec les motifs jungle, bambou, papyrus, bienvenue, cubes, alvéoles et chevrons. Le claustra Nigelle se pare d'une lame en polycarbonate transparente ou effet dépoli, pour une touche de clarté.À l'écoute du terrain, ATLANTEM propose des claustras intégrant une plaque ciment. Une solution pratique pour ne plus abîmer la lame du bas lorsqu'on passe la tondeuse. Disponible en gris brut, anthracite, ton pierre et vert étuvé, elle se fond dans le décor environnant.
Il y a 5 ans et 19 jours

Moso® lance quatre nouveaux parquets de bambou

Moso® étoffe sa gamme de parquets de bambou avec quatre nouveaux revêtements aux lames XXL et clipsables... Cet article Moso® lance quatre nouveaux parquets de bambou est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 20 jours

Quatre nouveaux revêtements de sol haut de gamme s'ajoutent à la collection MOSO® Bamboo Elite

MOSO® a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. La gamme Bamboo Elite affirme ainsi son originalité, tout en conjuguant durabilité et esthétisme contemporain.Extra large pour créer un aspect luxueuxLe format XXL donne non seulement l'impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d'élégance supplémentaire. Les lames MOSO® Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par ses grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO® comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.Des couleurs et finitions tendances Les quatre nouvelles versions sont disponibles dans deux styles différents : Vertical et Density®. L'aspect naturel du revêtement de sol en bambou durable est accentué par un verni extra mate avec une légère pigmentation blanche. Bamboo Elite Premium est disponible dans les versions suivantes :À l'instar de tous les revêtements de sol MOSO®, une attention particulière a été accordée aux aspects environnementaux lors du développement des quatre nouveaux produits ; ces derniers sont déjà conformes à la nouvelle réglementation sur les émissions qui entrera en vigueur en Allemagne en 2020. Aux versions vernies Caramel et Naturel White, s'ajoute une finition huilée pour le style vertical Caramel. La collection Bamboo Elite est désormais disponible dans toutes les structures et couleurs de bambou : vertical, horizontal et Density®, Caramel et Naturel.Un sol en bambou massif répondant aux plus hautes exigences Bamboo Elite Premium Density® est très stable grâce à la structure symétrique d'une couche supérieure et inférieure de bambou Density®. La dureté Brinell élevée, allant jusqu'à 9,5 kg/mm² (EN 1534), lui confère une résistance à l'usure impressionnante : il est plus robuste que tout autre parquet en bois. Ainsi, a longue durée de vie des sols Bamboo Elite Premium est garantie 30 ans. Ces propriétés techniques sont complétées par la classe de feu particulièrement élevée allant jusqu'à Bfl-s1 (versions Density®, selon la norme EN 13501-1), ce qui rend le parquet Bamboo Elite Premium Density® spécialement adapté aux applications résidentielles, mais aussi aux applications commerciales telles que les bureaux, les restaurants et les magasins de détail. Grâce au système de clic, la pose flottante du revêtement de sol permet de gagner du temps. Lors de la pose sur un sol chauffant ou dans le secteur commercial, MOSO® recommande de coller entièrement le revêtement de sol sur le support.Écologique - plus qu'une simple déclaration L'écologie fait partie intégrante des valeurs de la société MOSO®. Le bambou Moso est une graminée qui atteint les caractéristiques du bois dur après une période de croissance d'environ 5 ans. Il peut être récolté pour être transformé. Pendant cette période, le bambou Moso croît six fois jusqu'à la maturité de la récolte. La plante ne meurt pas après la récolte ; sa culture ne provoque donc pas de déforestation. Le rapport ACV (Analyse du Cycle de Vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que Bamboo Elite Premium, évalué sur l'ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à sa disponibilité optionnelle en tant que revêtement de sol certifié FSC®, le sol en bambou massif contribue à l'évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM.Prix public : 78 -98€/m² (sans TVA)
Il y a 5 ans et 26 jours

Nouveaux revêtements de sol en bambou

Fort du succès de sa collection de revêtements de sol en bambou massif MOSO Bamboo Elite, le spécialiste du bambou MOSO étoffe son offre avec de nouvelles références qui bénéficient, entre autres, de la nouvelle couleur Natural White et d’une nouvelle finition de surface. MOSO a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. Le format XXL donne non seulement l’impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d’élégance supplémentaire. Les lames MOSO Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par leurs grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.
Il y a 5 ans et 104 jours

Un jardin plus sur avec un aménagement en aluminium

Le jardin est une pièce maîtresse de l’habitat. En prendre soin est nécessaire pour faire ressortir toute la beauté de la demeure. Alors que certains optent pour le bois, qui est une matière noble, il est aujourd’hui plus futuriste d’avoir recours à l’aluminium pour son jardin. Pourquoi une clôture en aluminium ? L’aluminium se présente comme le matériau de référence pour un aménagement d’extérieur. Il dispose de plusieurs avantages indéniables, notamment pour une porte de service en aluminium tels que : – la résistance à l’eau : grâce à cet aspect, l’aluminium peut résister à toutes les intempéries – le fait qu’elle ne nécessite pas d’entretien particulier – la légèreté et la bonne résistance mécanique : l’aluminium est idéal pour tous les genres de créations contemporaines et épurées Toutefois, un aménagement en aluminium pour votre jardin présente quelques légers bémols. En effet, il faut savoir que tous les ouvrages à partir de ce matériau affichent un coût élevé sur le marché. Cela reste par contre un investissement intéressant dans le temps. A l’heure de la transition écologique et climatique, l’empreinte écologique de l’aluminium est élevée. Cet argument risque de désintéresser les propriétaires pointilleux. Pour sa fabrication, il est nécessaire de consommer beaucoup d’énergie. Une clôture en aluminium pour votre jardin L’aménagement du jardin évolue selon les tendances du marché. Pour la clôture, les consommateurs optent pour un matériau plus sécurisant comme l’aluminium. En effet, ce matériau protège le jardin des regards indiscrets. Toutefois, cela n’enlève pas moins l’aspect esthétique de l’aluminium. Cette touche décorative est un plus que plusieurs promoteurs estiment intéressant. En outre, l’aluminium brille par sa résistance et sa durabilité dans le temps. Pour les plus exigeants, ce matériau demande peu d’entretien. Le panneau plein, un design classique Pour un jardin sécurisant, le panneau plein se présente comme la solution la plus adéquate. Outre l’aspect résistant, une clôture en aluminium sous ce style est facile à installer. D’ailleurs, elle s’adapte à tous les aménagements et décorations. Si vous estimez qu’un panneau plein risque de vous enfermer dans votre jardin, vous pouvez opter pour un modèle plus fin avec des lames inclinées. De cette manière, vous obtenez une ouverture penchée vers l’extérieur. Une clôture originale Contrairement aux idées reçues, une clôture en aluminium n’est pas exclusivement destinée à cacher la vue. En effet, il existe d’autres manières de combiner transparence et praticité. Il s’agit pour ce faire d’installer une clôture avec une imitation en tige de bambou. Cet aspect apporte à la fois un effet contemporain et exotique. Cet aménagement est destiné à un jardin décoratif à thème. Une clôture en mélange de matériaux Ce design est destiné à ceux qui hésitent entre l’aluminium et le bois. En effet, ces deux matériaux sont très appréciés pour leur aspect noble et esthétique. Ce mélange offre un style très moderne à la clôture. Il s’agit de créer un panneau en aluminium avec des lames de bois inclinées. Le style traditionnel Pour un jardin au style traditionnel, une clôture en fer forgé peut très vite être remplacée par une en aluminium. Ce design saura ravir les fervents défenseurs du style vintage. Ces modèles sont également disponibles en panneaux pleins, pour ceux qui désirent plus d’intimité dans leur jardin. L’avantage de ces modèles est qu’ils peuvent s’installer soit sur un muret en pierre, soit à même le sol. Une clôture au design accentué Dans un jardin contemporain, il est nécessaire que les autres aménagements suivent la tendance. Pour cela, une clôture en aluminium, légèrement ajourée est l’idéal. Pour réaliser ce modèle, le panneau présente une découpe laser. Comme il est assez malléable, il est facile de créer d’autres modèles plus créatifs les uns des autres. Pour l’installation, vous pouvez suivre le guide pratique ici : https://www.youtube.com/watch?v=U1cXmJSrokU.
Il y a 5 ans et 197 jours

Comment aménager une terrasse

Pouvant accueillir un brunch ou un barbecue, une terrasse est un véritable espace de vie. Voici quelques conseils et astuces pour en faire un lieu agréable. Créer une terrasse à l’abri des regards indiscrets et du soleil Une terrasse agréable à vivre est un abri terrasse caché des regards indiscrets ou des éléments disgracieux du quartier. Plusieurs options peuvent être envisagées pour la protéger du vis-à-vis. En plus de préserver la confidentialité, les installations suivantes permettent de créer une zone ombragée protégée des éléments : Le voile d’ombrage À la fois décoratif et économique, le voile d’ombrage est une excellente solution pour apporter de l’ombre et de la fraîcheur à une terrasse. Servant à la fois de protection contre le soleil et le vent, cette toile de forme triangulaire peut aussi être utilisée comme article de décoration. Pour une utilisation optimale, il est conseillé de choisir des voiles imperméables qui protègent également de la pluie. Le parasol Le parasol est une solution simple et efficace. Il se décline en une multitude de versions pour répondre à tous les besoins : rond, rectangulaire, droit, déporté, etc. Et se prête à diverses décorations. La pergola Habituellement utilisée comme support pour les plantes grimpantes, la pergola peut également isoler une terrasse. Les versions bioclimatiques sont la meilleure alternative pour créer un véritable espace de vie. En effet, leurs pales réglables permettent de contrôler le flux lumineux solaire et de préserver la fraîcheur ainsi que la quantité d’ombre souhaitée à tout moment de la journée. Les treillis Les treillis permettent de délimiter une terrasse tout en préservant les regards extérieurs. En plus de servir d’écran, ils peuvent être utilisés comme supports pour les plantes grimpantes. A la fois pratiques et décoratifs, les panneaux en bois perforés constituent également une bonne alternative pour aménager une terrasse. Miser sur le mobilier d’extérieur Le mobilier de jardin est un must sur une terrasse. Il est principalement choisi en fonction de l’espace disponible et du style souhaité : Les meubles de jardin Associé au partage et à la convivialité, le mobilier de jardin est un must. Il est fabriqué dans des matériaux reconnus pour leur résistance et leur durabilité. En bois, en résine tressée, en rotin ou en aluminium, il y en a pour tous les goûts. La table de jardin Qu’elle soit basse ou haute, la table de jardin est indispensable sur une terrasse. En effet, cela permet de profiter d’un déjeuner en plein air en famille ou entre amis. Il faut penser à choisir les chaises assorties à ce mobilier d’extérieur. Le siège Rien de mieux qu’un banc pour créer un espace extérieur propice à la détente. Plaids et coussins sont les bienvenus sur ce mobilier pour optimiser le confort et créer une atmosphère chaleureuse. Ajouter une touche de verdure Planter des fleurs sur une terrasse est le meilleur moyen de l’embellir. Il y a plusieurs façons de la transformer en un charmant coin de verdure : Jardinières et pots originaux Pour embellir une terrasse, rien de plus simple que de planter des plantes en pots ou des jardinières à poser au sol ou accrochées aux murs. Pour conserver les contenants d’origine, vous pouvez mettre de côté le plastique traditionnel et opter pour des objets recyclés tels que des pots de confiture, une vieille théière en fonte, etc. Un rideau végétal Les plantes grimpantes sont idéales pour créer un coin intime dans votre jardin. Grandissant rapidement et offrant une floraison d’une beauté incroyable, le lierre, les bougainvilliers, les volubilis, le jasmin étoilé ou la clématite apportent des couleurs et une touche naturelle à une terrasse. Il est également possible de planter une haie de bambou pour une touche plus tropicale.
Il y a 5 ans et 208 jours

Cette maison d’architecte brésilienne est en terre crue et bambou

Conçue par CRU! Architectes, cette maison d’hôtes en terre crue et bambou située au Brésil dans un paysage naturel et luxuriant a été bâtie avec une attention particulière aux détails et à l’expression des matériaux et de la structure. [De l’architecte] Les exigences minimales du client ont abouti à un aménagement compact comprenant une seule […]
Il y a 5 ans et 222 jours

Événement : PAD London 2019

Le PAD London revient en 2019 pour sa treizième édition. Après le London Design Festival et la London Design Fair en septembre, ce salon est le troisième rendez-vous design de la rentée à Londres. Au programme : une très belle sélection d'antiquités, d'objets d'exception, d'œuvres d'art, de pièces design modernes et contemporaines. Du 30 septembre au 06 octobre, le Pavillon des Arts et du Design de Londres se tiendra au Berkely Square dans le quartier chic de Mayfair. Plus de soixante-huit exposants, dont les illustres galeries de design Fumi, Kreo ou Nilufar, représenteront quatorze pays et dévoileront leurs plus belles pièces afin de captiver un public de visiteurs curieux et de collectionneurs avertis. Cette année, le PAD London rend hommage à l'authenticité, au savoir-faire et à la créativité. Le pavillon donne carte blanche studio new-yorkais Todd Merrill. Ce dernier crée pour l'occasion un décor immersif composé notamment de pièces signées Marc Fish, d'un coffret en métal texturé de Jean-Luc Le Mounier et d'une composition conçue par le jeune designer Brecht Wright Gander.Pour sa troisième participation au PAD, la galerie parisienne Mouvements Modernes propose de son côté un bureau de collectionneur aux murs tapissés du papier peint de François Mascarello. Le mobilier fantasque Rodéo du duo Garouste et Bonetti côtoie les pièces les plus remarquables de sa collection, des œuvres de l'artiste Daniela Busarello au travail sculptural de Jeremy Maxwell Wintrebert. La 88 Gallery présente quant à elle des pièces design incontournables comme un fauteuil de Joseph André Motte édité par Artifort.La jeune galerie parisienne Wa Design, qui représente des créateurs japonais et français de l'épure, réunit arts nippons, modernisme occidental et création contemporaine. Parmi les œuvres notoires figurent les productions du britannique Harry Morgan, mention spéciale 2019 du prestigieux Loewe Craft Prize, ainsi que le célèbre fauteuil en bambou d'Ubunji Kidokoro. Un événement incontournable ! Pour en savoir plus, visitez le site du PAD London Photographies : 1) Courtesy of Side Gallery2) Jean Luc Le Mounier, Courtesy of Todd Merrill3) Courtesy of Todd Merrill4) Courtesy of WA Design5) Garoute & Bonetti, Cabinet de Sèvres, 1989, Courtesy of Mouvements Modernes6) Ubunji Kidokoro Chair, Courtesy of WA Design7) Light Object, Ane Lykke, Courtesy of Maria Wettergen
Il y a 5 ans et 236 jours

LE PARQUET DU MÉDIACAMPUS DE NANTES PROTÉGÉ ET SUBLIMÉ AVEC LES PRODUITS PLASTOR

Inauguré en 2017 à Nantes (44), MÉDIACAMPUS est le premier MÉDIACAMPUS français dédié aux métiers de l’information et de la communication. Ce bâtiment de 5 700 m2 sur 5 niveaux rassemble une école de communication, une télévision locale et un incubateur d’entreprises dédiées aux industries culturelles et créatives. Dans le cadre de sa construction, un appel d’offres a été lancé pour la réalisation de 1 250 m2 de plancher en bambou. L’entreprise Les Sens du Bois à Ducey-Les-Chéris (50) est intervenue pour le ponçage et la vitrification du parquet de ce magnifique bâtiment. Partenaires depuis plus de 10 ans avec PLASTOR, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d’escaliers, ont utilisé les produits PLASTOR pour réaliser les finitions. D’ailleurs, ils ont reçu le 1ER prix des trophées de la vitrification PLASTOR 2017 en participant à ce projet unique.   Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT – Gérants de l’entreprise Les Sens du Bois « Le poseur qui a remporté l’appel d’offres nous a sollicité pour les finitions. Il s’agissait de poncer et vitrifier 108 marches d’escalier et 4 espaces distincts : une passerelle, un hall d’accueil, une grande salle de réunion et un espace de convivialité. Le bambou qui a été choisi est un bois très dur et très résistant aux sollicitations fréquentes et extrêmes. Les multiples différences de niveaux de ce parquet en lamelles de 1,5 cm sur chant nécessitent un important travail de ponçage que nous avons l’habitude de réaliser sur les sols des salles de sport qui sont soumis à de nombreux passages et impacts. Le temps imparti pour intervenir a été d’autant plus court que nous avons dû composer avec d’autres artisans sur le chantier (peintres, poseurs de plafond) et avancer par zones. Heureusement, notre méthode de travail consiste à mobiliser la totalité de l’équipe si bien que nous avons pu opérer à 5 à plusieurs reprises, par sessions de 2 jours. Au moment de la vitrification, le choix de la sous-couche fond dur universel PRIM’SO de PLASTOR nous a permis de gagner un temps précieux grâce à sa rapidité de séchage. Ainsi, nous avons pu appliquer la première couche de PUR-T®4 Extramat le même jour. Ces 2 produits que nous utilisons souvent permettent d’obtenir un rendu moderne très naturel, sans reflets. Leur application est agréable car ils sont classés A+ en termes d’émissions de COV. » Les Sens du Bois – Parqueteur Lieu-Dit La Cour – 50220 Ducey-Les-Chéris Tél : 06 71 14 71 75   Sous-couche fond dur universel PRIM’SO Fond dur universel, monocomposant et prêt à l’emploi, le PRIM’SO de PLASTOR forme un film lisse et homogène et réchauffe l’aspect du bois. Son haut pouvoir pénétrant permet d’imprégner le bois en profondeur et de former une base d’accrochage idéale pour la finition. Sans odeur gênante, il permet de neutraliser les anti-oxydants pour assurer un séchage parfait du vitrificateur. Rapidité de temps de séchage : de 30 minutes à 1 heure. Rendement : 10 m2/L par couche Existe en 1L, 5L et 10L Vitrificateur PUR-T®4 Extramat En phase aqueuse, ce vitrificateur bicomposant PASTOR est parfaitement adapté à la vitrification des parquets très exposés au trafic car il est très résistant aux chocs et à l’abrasion. Sa formule, plus performante et plus résistante, est à base de polycarbonate, une résine d’une grande dureté qui a la capacité de se déformer pour mieux absorber les chocs et les rayures. Sa viscosité est très importante (50 secondes). Très agréable à appliquer, il est sans odeur et est formulé avec 0 % de NMP et NEP. Rendement : 10m2/L par couche Existe en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L) Disponible en 3 aspects : Extra mat, Satiné et Haut brillant
Il y a 5 ans et 244 jours

MOSO® Bamboo présente une gamme complète de solutions pour extérieur à Architect@Work Paris 2019

Stand 22 MOSO® Bamboo renouvelle sa participation au salon Architect@ Work à Paris les 26 et 27 septembre. Durant cette nouvelle édition, MOSO® présentera sa dernière innovation auprès des architectes, paysagistes et designers. La gamme MOSO® Bamboo X-treme® s’élargit avec des carrelets pour extérieur permettant de réaliser diverses applications comme du mobilier urbain, des façades aussi bien en jalousie qu’en revêtement vertical ou horizontal. MOSO® Bamboo X-treme en habillage de façades Bénéficiant d’un classement au feu B, les carrelets MOSO® Bamboo X-treme® s’avèrent être une excellente option comme revêtement de façade. Ils présentent un aspect naturel et qualitatif et ne nécessitent peu ou pas d’entretien. La couleur d’origine des carrelets Bamboo X-treme® est brune et deviendra grise naturellement sous l’effet des rayons UV et des intempéries ce qui, toutefois, n’altère pas les caractéristiques du matériau. MOSO® Bamboo X-treme® comme mobilier urbain Les carrelets Bamboo X-treme® peuvent aussi être appliqués comme mobilier urbain, offrant aux municipalités une alternative aux bois tropicaux. En effet, grâce à sa dureté extrême, le carrelet bambou est moins sensible au vandalisme. Leur haute durabilité et stabilité sont aussi d’importants atouts pour une application en mobilier d’extérieur. Retrouvez MOSO® Bamboo à Architect@Work Paris 26 et 27 Septembre PARIS EVENT CENTER, Stand 22 20, avenue de la Porte de la Villette 75019 Paris, France MOSO Bamboo X-treme® présente d’excellentes propriétés pour des applications extérieures : Durabilité : classe d’usage 4 (EN335) – Classe 1 durabilité biologique (EN350) Résistance et dureté : haute densité 1150kg/m3 – résistance brinell >9.5kg/mm2 Stabilité : coefficient de dilation très faible Ignifuge : résistance au feu classe Bfl-s1-d0 pour le bardage, Bfl-s1 pour la terrasse Écologique : CO2 neutre, crédits LEED, HQE, BREEAM Applications multiples : terrasse, bardage, mobilier urbain, pergola, jalousies et plus Garantie 10 ans (carrelets et bardage) – 25 ans (terrasse) Maintenance faible Un matériau noble et durable Le bambou MOSO® est une espèce de bambou chinois, appelée également « phyllostachys pubescens », à forte croissance et très résistante. Le bambou n’est pas un bois mais une graminée ; sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les 4-5 ans, les cannes sont récoltées, laissant la place aux jeunes pousses de bambou qui se développent naturellement chaque année. Généralement 20-25% des cannes d’une forêt de bambous bien gérée peuvent être récoltées chaque année. Enfin, durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les analyses officielles du cycle de vie (ISO 14040/44) montrent que les produits MOSO® Bamboo X-treme® sont neutres ou négatifs en CO2 tout au long du cycle de vie.   À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 5 ans et 246 jours

Une bulle d’Oxygen à la Défense avec le bambou MOSO®

Installé dans le quartier d’affaires de La Défense, Oxygen est un nouveau complexe de 3500 m2 en forme de vaisseau spatial dessiné par l’architecte Stéphane Malka. Né de la volonté de redynamiser ce grand pôle financier, Oxygen accueille de nouveaux lieux de vie s’articulant autour d’un grand bar-afterwork, d’enseignes de restauration et de lieux d’animation, aménagés à la fois au-dessus et au-dessous de la dalle, sur plus 2000m2 dont 800m2 de terrasses végétalisées. Dans cette architecture qui rompt avec les tendances faites de minéralité et de béton, le bambou MOSO® Bamboo X-treme® a su trouver sa place, grâce à son rendu esthétique et ses propriétés techniques, telles que la durabilité et la résistance. « Utilisé en lames verticales double épaisseur, ce système de bambou permet de créer un brise soleil efficace tout en ouvrant la vue vers l’axe royal. Sa durabilité, sa facilité d’entretien, son aspect minimaliste et baroque sont des atouts majeurs pour le projet Oxygen » déclare Stéphane Malka. MOSO® Bamboo X-treme®, carrelets en bambou garantie 10 ans Au total, 5500ml de carrelets MOSO® Bamboo X-treme® habillent les façades et les garde-corps d’escalier du nouveau complexe. Les lames MOSO® Bamboo X-treme® revêtissent également la terrasse du Bioburger, implanté dans le complexe Oxygen. Doté d’une certification dans la classe de durabilité la plus élevée, MOSO® Bamboo X-treme® est installé dans les environnements les plus exigeants dans le monde entier. La gamme de solutions Bamboo X-treme® est fabriquée à partir de lamelles en bambou thermo-traitées à 200°C qui sont ensuite compressées à très haute densité. Ce double traitement les rend aptes à l’installation en extérieur, comme le bardage et les persiennes, et plus particulièrement comme platelage. MOSO Bamboo X-treme® présente d’excellentes propriétés pour des applications extérieures : Durabilité : classe d’usage 4 (EN335) – Classe 1 durabilité biologique (EN350) Résistance et dureté : haute densité 1150kg/m3 – résistance brinell >9.5kg/mm2 Stabilité : coefficient de dilatation très faible Ignifuge : résistance au feu classe Bfl-s1-d0 pour le bardage, Bfl-s1 pour la terrasse Écologique : CO2 neutre, crédits LEED, HQE, BREEAM Applications multiples : terrasse, bardage, mobilier urbain, pergola, jalousies et plus Maintenance faible Détails du projet Oxygen La Défense Lieu : Paris La Défense – Esplanade de La Défense – Puteaux / Courbevoie Architecte : Stéphane Malka Applications en bambou : Carrelets Bamboo X-treme 2000x90x40mm 5500ml: façade et mains courantes des escaliers Terrasse Bamboo X-treme 1850x137x20mm 100m2 (restaurant Bioburger) Installateurs : Façade et mains courantes : Treuil Charpente Terrasse (bioburger) : Prosbois Des informations sur le site de MOSO : https://www.moso.eu/node/1126/ Un matériau noble et durable Le bambou MOSO® est une espèce de bambou chinois, appelée également « phyllostachys pubescens », à forte croissance et très résistante. Le bambou n’est pas un bois mais une graminée ; sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les 4-5 ans, les cannes sont récoltées, laissant la place aux jeunes pousses de bambou qui se développent naturellement chaque année. Généralement 20-25% des cannes d’une forêt de bambous bien gérée peuvent être récoltées chaque année. Enfin, durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les analyses officielles du cycle de vie (ISO 14040/44) montrent que les produits MOSO® Bamboo X-treme® sont neutres ou négatifs en CO2 tout au long du cycle de vie.   À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr
Il y a 5 ans et 294 jours

Laura Gonzalez : Restaurant La Gare

Nul besoin de booker son aller-retour pour s’offrir une escapade ensoleillée, le restaurant La Gare est à lui seul un voyage en soi. Si sa façade ferroviaire d’antan garde les empreintes de son passé, son intérieur signé Laura Gonzalez – nommée designer de l’année 2019 par Maison & Objet – nous le fait vite oublier.  Cent cinquante ans après s’être métamorphosé une première fois en bistrot, l’ancienne petite gare de Passy-La-Muette entièrement reliftée conserve toutefois ses deux niveaux. L’espace supérieur complètement agrandi accueille un patio végétalisé entouré de cuisines ouvertes – fief du chef péruvien Gaston Acurio – laissant s’échapper des effluves d’épices provenant des quatre coins du monde, à l’instar des inspirations de sa décoration.    En son centre, agencé en piscine recouverte de zelliges marocains verts, s’invitent une banquette de cuir bordeaux ainsi qu’un ensemble d’assises en bois habillées de tissus aux motifs chatoyants. Surplombé d’une toiture de verre et d’acier toute en longueur ainsi que de délicates suspensions japonisantes en lin, cet espace aux influences méditerranéennes, américo-latines et asiatiques, se referme sur deux cabanes de bambous aux allures de cages à oiseaux.    A l’ombre d’une végétation luxuriante, une terrasse attenante s’étend sous les arbres du jardin de Ranelagh. Les carreaux d’argiles cuits au feu de bois de l’atelier zelij s’invitent au sol sur lequel se pose une série de banquettes outdoor et de chaises parées d’entrelacs de fils colorés que l’on retrouve au salon de thé du rez-de-chaussée. Ce dernier, disposant également d’un espace extérieur ainsi que d’un bar, est tout aussi dépaysant. Les motifs de la créatrice, dessinés pour Pierre Frey s’affichent aux murs, alternant peinture et papier-peint aux côtés d’un pan de mur investi par l’artiste Claire Quénetain.    Une nouvelle adresse gourmande qui vient réveiller le 16e arrondissement de la capitale !   Pour en savoir plus, visitez le site de Laura Gonzalez   Photographies : Jérôme Galland  
Il y a 5 ans et 308 jours

Événement: Ceremonial Pieces by Studio Mumbai

L'architecte indien Bijoy Jain dévoile une série de mobilier sous la bannière du Studio Mumbai à l'occasion de l'exposition « Ceremonial Pieces » présentée à la galerie Maniera de Bruxelles (Belgique) jusqu'au 24 août. Une collection emprunte d'une apparente fragilité entièrement confectionnée à la main, reflétant le travail minutieux de matériaux simples si chers à leur créateur. Véritable alchimiste des matières, Bijoy Jain dévoile vingt-cinq pièces de design inédites au sein de la galerie bruxelloise Maniera, trois ans après y avoir présenté ses premières créations, réalisées avec des artisans locaux du Studio Mumbai, qu'il a lui-même fondé en 2005. A la croisée des cultures, chaque élément fabriqué par ses acolytes du studio – lit de repos, table d'appoint, lampe etc. – est le fruit d'artefacts aux influences diverses, puisés dans les savoir-faire locaux, de l'Egypte ancienne ou encore du Japon. Ainsi, les assises conçues en bambou relié par des cordes de soie se posent en majesté aux côtés d'une console en contreplaqué décorée de papier Washi, tandis que la Cubic Chair aux lignes brutalistes, taillée dans un bloc de pierre trouvé sur les ruines d'un chantier, se trouve recouverte d'argile lui conférant un aspect non fini. Car ce qui fait la particularité de ces meubles au style dépouillé, c'est le recours aux matériaux simples à l'instar de la balle de riz – l'enveloppe des grains –, de pigments naturels, de bouse de vache ou encore de bois recyclé. En d'autres termes, donnez-leur de la boue ils en feraient de l'or. Pour en savoir plus, visitez le site de la galerie Maniera Photographies : Jeroen Verrecht
Il y a 5 ans et 316 jours

Produits & design – Kostum s’inspire de la nature

Cadiou Industrie et sa marque premium Kostum se situent à Locronan, en Bretagne. Fiers de leurs racines, la nature fait partie de leur ADN tant en termes de création que de production. En intégrant les matériaux durables existant, les menuisiers fabriquent à la main des solutions pour la structuration des espaces extérieurs (portails, clôtures, portillons, claustras et garde-corps) en conformité avec leur vision de vivre et d’être.   La nature inspire Kostum ou Kostum s’inspire de la nature La marque Kostum s’inspire beaucoup des tendances « déco » pour ses nouveaux modèles. Les designers recherchent à créer des produits design et les réfléchissent en « collection ». « L’univers végétal est très en vogue ; il fait partie des collections « déco » 2019. En matière de design, le végétal est un atout. Il nous offre des motifs très graphiques, qui fonctionnent déjà « à l’état naturel ». Ils sont donc très harmonieux » explique Jean-François Legault, Directeur commercial de Cadiou Industrie. Création – Patio du Festival de Cannes Dans cet esprit, Kostum a créé un nouveau motif inspiré du cannage : le modèle SINEMA (cinéma en breton). Créé spécialement pour les garde-corps et jardinières du patio CANAL + lors du Festival de Cannes 2019, ce nouveau modèle a été intégré à l’offre Kostum en juin. L’info en + ! Les produits Kostum sont fabriqués en aluminium. Matériau durable, indéfiniment recyclable, l’aluminium, plus léger que l’acier, permet une aisance de création et de fabrication sur-mesure dans le respect de l’environnement.   La nature autour de la maison Dans un monde où tout va vite, se « ressourcer » en famille ou entre amis, chez soi en toute sécurité, devient indispensable. Et pour profiter pleinement des extérieurs, leur design doit être en cohérence avec l’envie des habitants. « Chaque produit est étudié de façon à ce qu’il y ait une cohérence entre le projet des propriétaires, le design souhaité ainsi que les impératifs de sécurité et de confort. Nous sommes capables de leur proposer des créations exclusives avec le même design sur le portail, le portillon et la clôture » poursuit Jean-François Legault. • Dune ou le biomimétisme Portail & clôture – Dune L’histoire… Imaginant les clôtures en bambou sur les dunes de sable (appelées ganivelles), les designers ont créé le design dune. Idéal par exemple pour les villas situées en bord de mer, le design Dune permet de laisser entrer un maximum de lumière tout en sécurisant les espaces de vies extérieurs grâce à sa durabilité et sa solidité. Le modèle Dune se décline sur les portails, portillons et clôtures et existe dans 300 teintes. Le cadre aluminium et l’équerre de renfort sont assemblés par colle bi-composant. • Aziliz en communion avec la nature Garde-corps – Aziliz L’histoire… Une sécurisation des espaces en communion avec la nature… Avoir un patio ou un balcon en hauteur qui laisse les propriétaires profiter de la vue sans limite. Le nouveau garde-corps Aziliz, fait l’objet d’un intérêt grandissant pour toutes les propriétés bénéficiant d’une vue qu’il ne faudrait occulter pour rien au monde.   Le concept Fresk apporte une touche naturelle Fresk permet de personnaliser ses espaces extérieurs au travers d’un décor inséré dans le portail, portillon ou le garde-corps. Avec Fresk, il est possible de créer son modèle de portail. Lancé en 2017, Fresk décline de nombreux décors inspirés de la nature. Oiseaux et feuillages (décors Nijad, Brodiri et Milzin), plumes (décor Aelig) et tout dernièrement Orchidée (décor du même nom). « Ces décors apportent une touche de finesse et d’élégance aux portails, portillons et clôtures aluminium. Les tôles se déclinent dans plus de 300 coloris et s’insèrent dans les portails verticalement ou horizontalement, sur un vantail seulement ou sur les deux. Ils peuvent aussi se décliner sur les claustras ou clôtures séparatives pour aménager patio ou jardin » ajoute Jean-François Legault. Brise-vue – Orchidée Décor Nijad Décor Milzin           Portail base Onen – Décor Brodiri   Portail base Onen – Décor Brodiri Portail base Onen – Décor Aelig                           L’info en + ! Fin 2018, Cadiou Industrie s’est équipée d’une machine à découpe laser qui ouvre des possibilités infinies de créations. De nombreux designs personnalisés ont été créés ces derniers mois.
Il y a 6 ans et 21 jours

La mélodie des échafaudages de Huang Sheng-Min

Regard personnel dans les photographies du taïwanais Huang Sheng-Min qui représente sous forme d’ombres chinoises les ouvriers des chantiers de construction des grands buildings de la ville de Tainan à Taïwan. A travers les échafaudages de bambous, les corps se […] L’article La mélodie des échafaudages de Huang Sheng-Min est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 84 jours

Moso et grad présentent une solution unique pour les terrasses en bambou nouvelle génération

Le 18 février 2019. MOSO® International B.V., pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l'intérieur et l'extérieur, et grad, la marque de terrasse nouvelle génération, allient leur expertise pour proposer une solution de terrasse en bois complète et clé en main, reposant sur le système de pose unique et breveté " Système grad " et la lame de terrasse en bambou, MOSO® Bamboo X-treme®.
Il y a 6 ans et 91 jours

Chang-Tsung Feng : Fish Trap House

La Fish Trap House imaginée par l'artiste taiwanais Cheng-Tsung Feng, est une installation en bambou située sur le lac Sun Moon à Nantou (Taïwan). Le plasticien y transforme un objet utilitaire commun, le piège à poisson, en une réalisation esthétique et légère mettant en lumière des techniques ancestrales. La Fish Trap House " littéralement " piège à poisson " ", trouve son logis sur un lac au c"ur des chaînes de montagnes centrales de Taiwan, dans la région de Nantou. Un emplacement tout sauf anodin puisqu'il abrite les Thao, une population taïwanaise aborigène connue pour ses méthodes de pêche ancestrales, célébrés ici par l'artiste contemporain Cheng-Tsung Feng. Utilisé dans la fabrication de nombreux objets utilitaires asiatiques pour sa souplesse et sa polyvalence, le bambou est la source du travail de Feng qui le manipule de façon séculaire afin de le mettre au service de la création contemporaine. En reprenant la figure du piège à poisson, instrument humble et populaire, l'artiste imagine une structure éthérée où quiétude et lumière sont rois. Equipée d'un siège en son centre et de lampes suspendues, la structure révèle ainsi à travers ses filets la beauté scénique du paysage, et propose à la communauté un lieu de contemplation qui célèbre et immortalise le travail des artisans. Pour l'élaboration de cet ouvrage culminant à 3 mètres de haut, l'artiste mobilise une vingtaine de personnes issues de la communauté thao autour d'un workshop accompagnant les indigènes dans l'assemblage de petites cages en bambou, que le créateur reproduit par la suite à une échelle plus large sur une plateforme du lac Sun Moon, immergeant ainsi les touristes curieux dans la culture locale traditionnelle. Cheng-Tsung Feng participe à la survivance de ces techniques de création anciennes à travers leur partage et leur mise en commun. Il en dégage une réalisation qui témoigne du potentiel du design en tant que langage universel, qui invite au respect des traditions. Pour en savoir plus, visitez le site de Cheng-Tsung Feng Photographies : Chong Sheng Hsu
Il y a 6 ans et 104 jours

Formzero : Planter Box House

L'agence Formzero, basée à Kuala Lumpur (Malaisie), imagine une demeure au sein de laquelle la nature semble reprendre ses droits ! Composée de blocs de béton agglomérés sur trois niveaux, la maison permet à ses résidents de cultiver leur passion et leur potager, conférant à l'ensemble un aspect situé entre ouvrage brutaliste et jardin en plein air. Erigée à l'aide d'un coffrage en bambou fendu fourni par la population indigène " les Temuan ", le bâtiment de 340 mètres carrés à la volumétrie marquée célèbre l'architecture vernaculaire de la péninsule. Nommée la Planter Box House, la construction honore un mode de vie durable et auto-suffisant : entre jardin, ferme et habitat, cette réalisation permet à une cascade de plantes de traduire l'architecture tropicale dans son environnement de manière contemporaine et contrastée, en privilégiant une exposition lumineuse et une ventilation naturelle pour l'ensemble du bâti. Chaque bloc héberge une jardinière et l'ensemble contient une large variété de plantes " près de 40 espèces ", ainsi qu'un système d'irrigation interconnecté que le couple peut modifier à sa guise, et chaque réservoir est pensé pour la rétention d'eau de pluie. De la composition du sol au niveau d'eau, les propriétaires peuvent ainsi garder un "il averti sur leurs plantations. L'entrée et l'espace à vivre sont séparés de l'arrière du bâtiment par un escalier central qui mène aux deux autres niveaux de la résidence. Ne comportant que des cloisons en verre, la cuisine et le salon en double hauteur donnent accès au mur végétal de l'arrière de l'édifice via une baie vitrée en pleine hauteur, baignant ainsi les espaces de vie de lumière naturelle et les faisant bénéficier d'une ventilation optimale. En montant la première série de marche, les usagers accèdent au premier étage comportant une chambre et un bureau, tandis que le second étage, quant à lui, accueille une chambre doté d'un escalier héliocoïdale donnant accès au toit. La Planter Box House regorge d'astuces pour incarner le mode de vie sain et généreux de ses habitants, tout en inscrivant avec brio sa conception contemporaine dans un environnement luxuriant. Pour en savoir plus, visitez le site de Formzero. Photographies : Ameen Deen
Il y a 6 ans et 120 jours

Quand l'échafaudage bio-sourcé rime avec ville durable

En Asie, l’échafaudage en bambou est omniprésent, pratique et très peu émissif, tout en venant à bout de projets de tours de plus de 400 m de haut.
Il y a 6 ans et 242 jours

ZZHK : Ruyi Bridge

À Chengdu, au sud-ouest de la Chine, l'agence ZZHL livre une passerelle de 200 mètres de long enjambant une importante voie routière. Un ouvrage qui relie de manière élégante un parc naturel à la métropole et s'intègre ainsi avec finesse dans le paysage urbain. Fondée au IIe siècle avant Jésus-Christ, capitale de l'ancien royaume de Schu, Chendgu compte aujourd'hui plus de 7 millions d'habitants. Surnommée " ville des hibiscus ", elle s'est peu à peu transformée en agglomération à l'allure occidentale et aux proportions dantesques. Malgré son importante densité, la Municipalité tient à protéger ses paysages naturels spectaculaires " grottes, pagodes, temples entourés d'arbres séculaires " et à préserver sa faune et sa flore, dont 70 hectares sont destinés à la sauvegarde de 1 600 pandas sauvages et 1 520 variétés de bambous. Dans ce but, l'agence chinoise ZZHL conçoit le pont Ruyi, reliant le parc de Dayuanau au sud, à la métropole au nord. À l'origine, un ruyi est un grattoir traditionnel courbe pour le dos. Une esthétique que l'on retrouve en plan et en élévation dans l'ouvrage d'art métallique de 1 151 mètres carrés, revêtu d'un sol souple rouge et d'épines dorsales blanches éclairantes, accueillant à la fois piétons et cyclistes. Un parcours aérien marqué par une droite qui se divise en deux spirales réparties de part et d'autre de l'axe routier, proposant ainsi aux utilisateurs, cyclistes et piétons, deux voies d'accès : l'une en pente douce, l'autre en pente forte, allant de 4 à 12 %. Un trait d'union harmonieux entre la cité et son poumon vert. Pour en savoir plus, visitez le site de ZZHL Photographies : Arch-Exist
Il y a 6 ans et 242 jours

ZZHK : Ruyi Bridge

À Chengdu, au sud-ouest de la Chine, l'agence ZZHL livre une passerelle de 200 mètres de long enjambant une importante voie routière, s'intégrant avec finesse dans le paysage urbain. Un ouvrage qui relie de manière élégante un parc naturel à la métropole. Fondée au IIe siècle avant Jésus-Christ, capitale de l'ancien royaume de Schu, Chendgu compte aujourd'hui plus de 7 millions d'habitants. Surnommée " ville des hibiscus ", elle s'est peu à peu transformée en agglomération aux allures occidentales et aux proportions dantesques. Bien qu'elle s'illustre par une importante densité, la Municipalité tient à protéger ses paysages naturels spectaculaires " grottes, pagodes, temples entourés d'arbres séculaires " et à préserver sa faune et sa flore, dont 70 hectares sont destinés à la sauvegarde de 1 600 pandas sauvages et 1 520 variétés de bambous. Dans ce but, l'agence chinoise ZZHL conçoit le pont Ruyi, reliant le parc de Dayuanau au sud, à la métropole au nord. À l'origine, un ruyi est un grattoir traditionnel courbe pour le dos. Une esthétique que l'on retrouve en plan et en élévation dans l'ouvrage d'art métallique de 1 151 mètres carrés, revêtu d'un sol souple rouge et d'épines dorsales blanches éclairantes, accueillant à la fois piétons et cyclistes. Un parcours aérien marqué par une droite qui se divise en deux spirales réparties de part et d'autre de l'axe routier, proposant ainsi aux utilisateurs, cyclistes et piétons, deux voies d'accès : l'une en pente douce, l'autre en pente forte, allant de 4 à 12 %. Un trait d'union harmonieux entre la cité et son poumon vert. Pour en savoir plus, visitez le site de ZZHL Photographies : Arch-Exist
Il y a 6 ans et 249 jours

Une passerelle à capeline de bambou pour déambuler en toute sérénité

PAYSAGES. Le projet "Déambulons" a consisté à créer un habillage esthétique au-dessus d'une passerelle située à l'entrée d'un parc d'attraction végétal. Jean-Baptiste Dubois nous révèle les secrets de cette réalisation légère, à la technicité certaine.
Il y a 6 ans et 307 jours

Réalisation du Pavillon CONTEMPLATION

Dans le cadre d'un mécénat de compétences VINCI Construction France, sa filiale GTM Sud a réalisé un Pavillon en bambou Guadua de 1 000 m². Installé pour la première fois lors des Rencontres de la photographie d'Arles 2018, il a été imaginé par l'architecte colombien Simón Vélez et son associé Stefana Simic.
Il y a 6 ans et 329 jours

0 Architecture : 10 000/1 Office

Cette année, l'agence 0 Architecture a décidé d'installer ses locaux dans le district de Xicheng à Pékin (Chine), dans un siheyuan, une maison traditionnelle chinoise apparue au XIIIe siècle organisée autour d'une cour carrée, transformée en bureaux et studio d'artiste. Dans le quartier historique de Xicheng à Pékin (Chine), l'agence 0 Architecture installe ses locaux sur une parcelle de 130 mètres carrés dont la cour centrale est entourée d'un ensemble de trois constructions de plain-pied  ouvert à l'est. Au lieu de raser cette maison traditionnelle, vieille et vétuste, comme cela se fait beaucoup dans le pays, ceux qui sont à la fois maîtres d'"uvre et d'ouvrage ont décidé de la réhabiliter. Auparavant composé de douze pièces, ce siheyuan voit ses espaces décloisonnés pour n'en former plus que trois, soit un par corps de bâtiment, ayant chacun une fonction précise : au sud, les bureaux ; au nord, deux ateliers appartenant à un artiste chinois et à l'ouest, face à l'entrée principale, une salle de réunion. La volumétrie générale et les charpentes en bois ont été conservées et bardées de taule métallique ondulée, ainsi que trois arbres fruitiers " jujubiers " plantés lors de l'édification de la bâtisse.Les espaces intérieurs sont quant à eux complétés par des micro-échafaudages en bambou structurels, dont les tiges sont fixées à l'aide de vis, de façon à obtenir des cubes de 28 centimètres d'arêtes. Fils de fer, plaques en acier et en verre, peuvent compléter ce quadrillage pour former des surfaces de stockage ou de travail aux différentes fonctions, délimitant des espaces sans utiliser de cloisons et sans obstruer le passage de la lumière naturelle. De quoi animer la créativité des occupants de ce lieu ancestral. Pour en savoir plus, visitez le site de 0 Architecture Photographies : Jin Wei Qi
Il y a 6 ans et 347 jours

Archi-Union Architects : InBamboo

Bordé de forêts de bambous, le village de Daomingzhen (Chine) bénéficie depuis l'an dernier d'un centre culturel communautaire multifonctionnel, imaginé par l'agence Shanghaïenne Archi-Union Architects, dont le toit en forme de huit rappelle le symbole de l'infini. Lors de sa visite à Daomingzhen, le fondateur de l'agence Archi-Union Architects, Philip F. Yuan, est percuté par un poème qui lui est récité, chantant la relation idéale entre une maison et une forêt de bambous. Celui-ci illustre parfaitement le quotidien des habitants, dont la vie est rythmée par la présence du bois. Une thématique qui lui inspire le projet : InBamboo. La force de ce bâtiment de 1 800 mètres carrés de surface au sol réside dans son toit à chevauchement en forme de ruban de Mobius. Recouverte de tuiles de céramique grise, matériau local, la couverture repose sur une charpente mixte bois-métal préfabriquée à 70 % et montée en seulement 52 jours, dont les poteaux prennent appui sur des plots en béton. Elle suit l'implantation des deux salles circulaires qui composent l'ensemble, chacune organisée autour d'un patio central vitré. Grâce à des baies coulissantes, ces salles de plain-pied peuvent s'ouvrir sur l'extérieur, tout en étant protégées de la pluie par un massif débord de toiture. À la fois lieu d'exposition, de conférence, de loisir et de restauration, l'édifice accueille les tisseurs de bambou et offre un espace de partage ayant trait à l'utilisation de ce matériau traditionnel, à l'image du bardage extérieur ondulé réinterprétant l'art traditionnel de la vannerie en bambou. Une structure qui nous rappelle que ce qui est innovation aujourd'hui sera la tradition de demain. Pour en savoir plus, visitez le site d'Agence Archi-Union Architects Photographies :01) Li Han02-05) Bian Lin06-07) Philip F. Yuan08-09) Archi-Union Architects    
Il y a 6 ans et 361 jours

Événement : Akari, Sculpture by Other Means et Akari Unfolded

Si le nom Akari ne vous dit rien, vous ne pouvez pourtant pas être passé à côté de ces illustres luminaires. Inspirées des lanternes japonaises, ces suspensions iconiques font l'objet de deux expositions au Noguchi Museum de New York (USA) jusqu'à janvier 2019. Autant d'occasions de découvrir l'histoire et les déclinaisons de ce qui est plus qu'un simple abat-jour en papier... Dans un premier temps, " Akari, Sculpture by Other Means " retrace l'histoire de l'élément d'éclairage aux multiples déclinaisons, rendu célèbre par le sculpteur américano-japonais Isamu Noguchi dans les années 1950 : un clin d'"il à un rite nippon " la pêche de nuit sur la rivière Nagara éclairée par des veilleuses ", qui a aujourd'hui intégré la culture populaire mondiale. Faites de bambou et de washi " papier fabriqué à la main à partir d'écorce de mûrier ", ces sculptures lumineuses sont une parfaite combinaison d'inspiration orientale, de technologie " puisque cette technique ancestrale est ici combinée à l'électricité ", et d'art contemporain. Un mélange si détonnant qu'il sera mis à l'honneur en 1986 durant la Biennale d'Art Contemporain de Venise où il a été demandé au plasticien d'orner le pavillon américain de ses créations inédites aux silhouettes variées. Dans la continuité de ce premier événement, l'exhibition " Akari Unfolded: A collection by Ymer & Malta " présente une sélection de 26 déclinaisons du studio de design français Ymer & Malta, en collaboration avec six autres confrères " nendo, Sebastian Bergne, Stephen Burks, Océane Delain, Benjamin Graindorge et Sylvain Rieu-Piquet. Toujours en gardant en tête l'alliance entre artisanat traditionnel et réalisations contemporaines, les créateurs proposent ici des lampes toutes plus originales les unes que les autres, constituant l'héritage de l'Akari d'Isamu Noguchi. Un duo d'événements complémentaires, liant passé et avenir, à l'image des réalisations de l'artiste auxquelles il rend hommage. Pour en savoir plus, visitez le site du musée Isamu Noguchi Photographies : DR
Il y a 7 ans et 2 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 2 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 2 jours

SUP Atelier : Village Lounge

Redonner vie à une cour en ruine ? Un défi relevé par l'atelier SUP dans le village de Shangcun (Chine), où un préau composé d'une série de trois arches délimite un espace public aux multiples usages. Une intervention minimale et délicate visant à dynamiser cette petite commune de l'Empire du Milieu. Situé dans l'ancienne cour de la famille Gao, à la jonction de plusieurs routes majeures, ce préau majestueux est une ode à l'architecture vernaculaire chinoise. Conçu en bambou " matériau local ", l'ensemble de 150 mètres carrés se compose de trois voûtes parallèles culminant à 6 mètres de hauteur, reposant chacune sur deux colonnes centrales en parapluie, et abrite en effet des ruines de bâtiments du village, tout en faisant écho aux toitures traditionnelles, également sombres et courbées. Une édification simple et raffinée se fondant parfaitement dans le paysage, tout en lui offrant une toute nouvelle impulsion. Cette parcelle abritée est ainsi utilisée comme lieu d'ombre et de repos, et accueille de manière ponctuelle divers événements qui lui donne vie : banquets, projections de films ou encore performances artistiques. De quoi égailler les soirées de Shangcun ! Pour en savoir plus, visitez le site de SUP Atelier Photographies : Zhi Xia
Il y a 7 ans et 27 jours

Événement : Freeing Architecture

Jusqu'au 10 juin 2018, la Fondation Cartier pour l'art contemporain de Paris (14e) offre à ses visiteurs un voyage au c"ur de l'"uvre de l'architecte japonais Junya Ishigami. Une quarantaine de maquettes conçues spécialement pour l'occasion, accompagnées de films et de dessins, composent ainsi une promenade poétique intitulée " Freeing Architecture ". Pensée elle-même comme un projet d'architecture, l'exposition répond à l'un des enjeux majeurs de l'artiste : considérer le contexte comme partie intégrante de la réalisation. En effet, Junya Ishigami perçoit le premier art comme un phénomène naturel. C'est pourquoi des formes telles que la forêt, le rocher ou les animaux dessinent son imaginaire onirique, tout en effaçant la frontière entre le dehors et le dedans. Autour de maquettes façonnées à la main pendant près d'un an, de croquis et de documents techniques, l'on observe la construction d'"uvres phares de ce lauréat du Lion d'or 2010 de la Biennale de Venise. Parmi elles, la salle d'études de l'Institut de Technologie Kanagawa (Japon), espace de plus de 2 000 mètres carrés de plain-pied habillé de verre uniquement composé de 305 fines colonnettes, de sections variées, entre lesquelles se trouvent des zones de travail : menuiserie, administration, impression, etc. Une multiplicité de fins potelets, qui n'est pas sans évoquer une forêt de bambous. " J'aime penser librement, avoir une vision la plus souple, la plus ouverte, la plus subtile possible, pour dépasser les idées reçues sur l'architecture. " Junya Ishigami, architecte Bien plus qu'une source d'inspiration ou un obstacle, la nature est la réalité même de la réalisation. Le bâtiment devient alors un élément à inscrire dans le paysage, qu'il doit non pas supplanter mais magnifier. Junya Ishigami, reconnu dans le monde entier pour la délicatesse de ses constructions, esquisse sa vision d'une architecture qui ne cherche pas à dominer son environnement, seulement à le servir. En superposant différents environnements, l'architecte a su faire d'un jardin de plus de 16 600 m² à Tochigi (Japon) un lieu surnaturel où des arbres provenant du site de construction de l'hôtel limitrophe se mêlent à une myriade d'étangs irrigués par l'ancienne vanne de la rizière existante. Plus féérique encore, la Maison de la Paix à Copenhague (Danemark), nuage monumental de 17 mètres de hauteur sous lequel une centaine de visiteurs peut naviguer à bord de barques circulaires. Ou encore une maison/restaurant réalisée en béton moulé directement sur des monticules de terre, excavés par la suite afin de laisser place à des espaces de vie. Tout au long de l'exposition, Junya Ishigami nous dévoile un univers presqu'enfantin, dans lequel il semble s'affranchir de toute contrainte technique... et pourtant ses édifices ne sont pas des chimères. Une flânerie contemplative hors du temps qui ravira les plus grands rêveurs. Junya Ishigami, Freeing Architecture jusqu'au 10 juin 2018 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris (14e). Pour en savoir plus, visitez le site de la Fondation Cartier. Photographies : Luc Boegly
Il y a 7 ans et 97 jours

La polyvalence du bambou dans CityLife Shopping District

Le bambou: vous ne pouvez pas passer à côté dans le plus grand centre commercial d'Italie. Le CityLife Shopping District, conçu par Zaha Hadid Architects, montre la polyvalence de ce matériau naturel.
Il y a 7 ans et 98 jours

Yiduan Shanghai International Design : Shandao restaurant

Dans un ancien bâtiment tertiaire, l'agence d'architecture chinoise Yiduan Shanghai International Design réalise l'aménagement du Shandao, un restaurant au concept innovant où chaque table dispose de sa propre ambiance. Alliant béton brut et parois de bambou, la transformation nous plonge dans une atmosphère ténébreuse et solennelle. Lorsque Xu Xujin, l'architecte principale de l'agence Yiduan Shanghai International Design a été missionné par le propriétaire d'un ancien immeuble de bureaux de plus de 2 000 mètres carrés du centre-ville de Fuzhou (Chine) pour y aménager un restaurant, c'est un véritable terrain de jeux qui lui a été offert. En effet, avec son vaste atrium central et son ossature poteaux-poutres en béton brut de décoffrage libérant de larges plateaux libres, l'ouvrage construit dans les années 1980 possédait une configuration propice à l'expression de toute la créativité du maître d'"uvre chinois. Il y imagine alors une forêt de bambou, calme et apaisante, mais aussi bouillante d'activités. Pour matérialiser cette ambivalence, il conçoit quatre types d'ambiances différentes avec leur propre configuration spatiale qu'il sépare par de grandes parois métalliques habillées de bambous verticaux. Le rez-de-chaussée, consacré aux cuisines et à la réception, est pensé à la manière d'un hôtel à la décoration feutrée. Le premier étage, occupé par plus de 25 tables de 10 couverts disposées aléatoirement, est quant à lui beaucoup plus anarchique, à l'image de l'urbanisme des villes asiatiques. Le second héberge pour sa part huit salles d'une capacité d'accueil de 20 personnes à privatiser, quant aux deux derniers niveaux, beaucoup plus tranquilles, ils sont ponctués d'alcôves semi-privées. Comme creusées dans la dalle de béton, ces niches pentagonales sont de véritables havres de paix disposés au sein de l'immense établissement. La lumière y est plus douce, filtrée et tamisée par les tiges de bambou, une ambiance intime s'installe alors. Un lieu à retenir pour les amateurs de nouvelles expériences ! Pour en savoir plus, visitez le site de Yiduan Shanghai International DesignPhotographies : Quan Zhang
Il y a 7 ans et 111 jours

A Milan, les ateliers Zaha Hadid parent de bambou un centre commercial

HARMONIEUX. Le CityLife Shopping district, situé à Milan (Italie) et conçu par Zaha Hadid Architects, veut notamment montrer la polyvalence du bambou.
Il y a 7 ans et 132 jours

MAD Architects : Chaoyang Park Plaza

Aux abords du jardin de Chaoyang, le Central Park pékinois (Chine), l'agence sino-américaine MAD Architects livre un projet titanesque de 220 000 mètres carrés de plancher, comprenant bureaux, commerces et logements de standing. Figure de proue de la réalisation : deux incroyables tours noires de 120 mètres de haut aux arrêtes ondoyantes et saillantes. Un nouvel emblème pour la capitale. Situé dans le quartier d'affaires de Pékin, en bordure sud-est du parc de Chaoyang, ce gigantesque complexe mixte comprend sept immeubles répartis sur deux îlots. Le plus petit, à l'est, héberge deux résidences de 17 étages commandées par le groupe de luxe Armani Casa. Le plus grand, de 250 mètres de long par 100 de large, positionné à l'ouest, accueille pour sa part une galerie souterraine de cinq niveaux, deux imposantes tours de bureaux de 27 et 29 étages liées au centre par un socle vitré de trois étages et posées au centre d'un bassin, et une troisième, plus discrète, de 8 étages, bordée de part et d'autre par deux édifices commerciaux longitudinaux de même hauteur. Afin de créer un ensemble en accord avec son environnement verduré, les architectes ont placé les ouvrages en retrait des voies automobiles qui entourent la parcelle, et installé entre les constructions un jardin propice à la promenade où se trouvent pins, bambous, étangs et rochers " des essences présentes pour la plupart dans la province pékinoise du Hebei.  " On aimerait brouiller les frontières entre la nature et l'artificiel, et faire en sorte que l'un soit pensé en même temps que l'autre. "  Ma Yansong, MAD Architects Inspirés par la topographie des montagnes locales et le patrimoine culturel national " plus précisément l'encre de Chine ", les maîtres d'"uvres imaginent pour les édifices d'achalandage un système de strates horizontales " tel un empilement de pierres ", et verticales pour les deux tours principales ; ainsi que des façades ondulantes, dont le vitrage brun contraste avec le ciel et les alentours massivement bétonnés. L'uniformité des façades et l'aspect futuriste des gratte-ciels sont renforcés par leurs arêtes sombres qui camouflent la jointure des parois vitrées, assemblées entre elles par à un élément de menuiserie composite noir. Fixées au montant des baies par des tiges métalliques, ces nervures triangulaires arrondies et creuses participent en effet à la ventilation naturelle de l'ouvrage. Grâce à un mouvement de convection, l'air frais apporté par l'étang disposé sur le parvis est mené en partie supérieure de l'immeuble, chauffée par un soleil de plomb. Un ouvrage surprenant et atypique marquant fortement l'horizon urbain de la capitale. Pour en savoir plus, visitez le site de MAD Architects Photographies : Hufton+Crow
Il y a 7 ans et 206 jours

Jiakun Architects : West Village - Basis Yard

Au c"ur de l'effervescente capitale du Sichuan, Chengdu (Chine), se trouve le complexe West Village - Basis Yard conçu par Jiakun Architects. Un colosse de béton et de métal qui associe centre commercial et parc urbain dans une structure monumentale, qui apporte un lieu de calme et de vie commune dans un quartier densément peuplé. Occupant un îlot entier de 237 mètres par 178 mètres de Chengdu, où se trouvait à l'origine un golf, le projet consiste en l'édification d'un centre commercial de six étages, longeant les limites est, ouest et sud de la parcelle, restées vierges jusque-là. Suivant un plan en U, la construction encercle une gigantesque surface ouverte de plus de 9 600 mètres carrés, comprenant une forêt de bambou, deux terrains de football et un centre multiculturel de 1 600 mètres carrés réparti sur deux étages. Elle dispose de sept entrées sur la rue, qui menent à des boutiques traversantes par le biais de coursives avant et arrière, maximisant ainsi le nombre d'accès et d'espaces extérieurs pour les visiteurs. Au nord, deux impressionnantes passerelles aériennes inclinées, ferment l'ensemble bâti et relient les niveaux des galeries marchandes, offrant par ailleurs aux habitants, qu'ils soient marcheurs, joggeurs ou bien cyclistes, un lieu propice à l'exercice et une vue imprenable sur la ville. L'enjeu de l'opération était de réaliser un établissement brut, à l'échelle de la mégalopole chinoise, bouillonante d'activités, tout en amenant une vie de quartier. Un lieu de retraite qui attire autant les autochtones que les chalands. Les architectes ont porté une attention particulière aux détails de construction. Le béton utilisé au sol et aux murs, arbore ainsi une texture faisant écho aux traditionnels tressages de bambou, et les toitures-terrasses ont été couvertes de parpaings creux permettant aux végétaux de coloniser les immeubles et d'évoquer de cette manière l'environnement verdoyant de la vallée du Sichuan. Une conception à l'image de Chengdu, colossale et citadine. Pour en savoir plus, visitez le site de Jiakun ArchitectsPhotographies : © ArchExist Jiakun Architects
Il y a 7 ans et 206 jours

Jiakun Architects : West Village - Basis Yard

Au c"ur de l'effervescente capitale du Sichuan, Chengdu (Chine), se trouve le complexe West Village - Basis Yard conçu par Jiakun Architects. Un colosse de béton et de métal qui associe centre commercial et parc urbain dans une structure monumentale, qui apporte un lieu de calme et de vie commune dans un quartier densément peuplé. Occupant un îlot entier de 237 mètres par 178 mètres de Chengdu, où se trouvait à l'origine un golf, le projet consiste en l'édification d'un centre commercial de six étages, longeant les limites est, ouest et sud de la parcelle, restées vierges jusque-là. Suivant un plan en U, la construction encercle une gigantesque surface ouverte de plus de 9 600 mètres carrés, comprenant une forêt de bambou, deux terrains de football et un centre multiculturel de 1 600 mètres carrés réparti sur deux étages. Elle dispose de sept entrées sur la rue, qui menent à des boutiques traversantes par le biais de coursives avant et arrière, maximisant ainsi le nombre d'accès et d'espaces extérieurs pour les visiteurs. Au nord, deux impressionnantes passerelles aériennes inclinées, ferment l'ensemble bâti et relient les niveaux des galeries marchandes, offrant par ailleurs aux habitants, qu'ils soient marcheurs, joggeurs ou bien cyclistes, un lieu propice à l'exercice et une vue imprenable sur la ville. L'enjeu de l'opération était de réaliser un établissement brut, à l'échelle de la mégalopole chinoise, bouillante d'activités, tout en amenant une vie de quartier. Un lieu de retraite qui attire autant les autochtones que les chalands. Les architectes ont porté une attention particulière aux détails de construction. Le béton utilisé au sol et aux murs, arbore ainsi une texture faisant écho aux traditionnels tressages de bambou, et les toitures-terrasses ont été couvertes de parpaings creux permettant aux végétaux de coloniser les immeubles et d'évoquer l'environnement verdoyant de la vallée du Sichuan. Une conception à l'image de Chengdu, colossale et citadine. Pour en savoir plus, visitez le site de Jiakun ArchitectsPhotographies : © ArchExist Jiakun Architects
Il y a 7 ans et 244 jours

Bureaux Elipsys à Toulouse, du bon usage du bambou

Le site qui accueillait à Toulouse le collège Montalembert ne permettait plus de continuer à recevoir les élèves dans de bonnes conditions. Une réunion des deux entités, collège et lycée, a été réalisée dans un autre quartier de la ville. Ainsi libéré, le site a été requalifié en immeuble de bureau, projet de 9 900 […] L'article Bureaux Elipsys à Toulouse, du bon usage du bambou est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 284 jours

25 km de bambous couvrent un bâtiment de bureaux à Toulouse

EN IMAGES. A la suite d'une opération de démolition, l'immeuble "Elipsys" réalisé en centre-ville de Toulouse par l'agence Taillandier Architectes Associés se distingue sur près de 10.0000 m² par sa façade en bambous. Découverte.
Il y a 7 ans et 321 jours

David Trubridge : Navicula

Inspiré des diatomées " organismes unicellulaires microscopiques vivant dans les océans ", la suspension Navicula nous plonge dans les abysses; et fait partie des nombreux luminaires, toujours en contreplaqué de bambou, basés sur le thème du monde aquatique proposés par l'artiste designer néo-zélandais David Trubridge. Réalisé en contreplaqué de bambou, ce squelette fantomatique est découpé numériquement pour des finitions irréprochables, et les deux coques qui forment son ossature sont reliées par un système de clips en nylon. Inspiré des diatomées, êtres bactériologiques aquatiques luminescents, Navicula se compose d'une fine barre leds dissimulée dans ce squelette de bois. Disponible en trois tailles, allant de 144 centimètres de longueur, 57 de largeur et 20 de hauteur ; jusqu'au plus grand modèle de 250 centimètres de longueur, cet étrange corps aux allures de fossile semble flotter dans les airs " ou dans les eaux ", grâce à deux câbles en acier inoxydable. Objet mimétique d'une faune invisible à l'"il nu, mais néanmoins essentielle, Navicula est un luminaire au design à la fois sobre par ses matériaux, mais aussi technique par sa conception. Photographies : David Trubridge Studio Pour en savoir plus, visitez le site de David Trubridge
Il y a 7 ans et 342 jours

Maison&Objet : Rising Talents

Organisé dans le cadre de MAISON&OBJET PARIS, les RISING TALENTS AWARDS récompensent les jeunes designers les plus prometteurs du moment, sélectionnés parmi les diplômés de l'École Nationale Supérieure de la Création Industrielle (ENSI-Les Ateliers). Pour cette édition, huit lauréats exposeront leurs dernières créations lors de l'événement qui aura lieu en septembre prochain. Alexandre EchasseriauxDiplômé en 2013 de l'ENSCI-Les Ateliers avec félicitations du jury, Alexandre est d'abord formé, à l'École Boulle, au tournage ornemental et au métal en général avant de s'orienter vers le design industriel. Très influencé par l'artisanat ancien, le créateur réalise des objets hybrides situés entre technologie, traditions et techniques novatrices. En 2016, il monte en région parisienne CRAFTER STUDIO où il étend son savoir-faire à de nombreux domaines : design industriel, prototypage, etc. Son originalité et sa grande dextérité lui valent, en 2014, d'être lauréat des Audi Talents Awards et d'être nommé responsable de la direction artistique du FabLab du Centre Pompidou jusqu'en juillet 2017. Julien Phedyaeff & Christopher SanterreSortis de l'ENSCI-Les Ateliers en 2014, Julien et Christopher forment un duo complémentaire : le premier s'intéresse au prototypage et au travail de la matière tandis que le second se passionne pour la production industrielle. Leur attrait mutuel pour les modes et les habitudes de consommation les pousse à s'associer en 2015 sous le nom de L'Increvable SAS, une société d'électroménager visant à mettre l'utilisateur au centre des réalisations, pour des objets conçus et distribués de manière durable, réparable et évolutive.   Claire LavabreClaire est designer et photographe, diplômée de l'ENSCI-Les Ateliers en 2012. Après avoir multiplié les collaborations d'exception " avec Ronan et Erwan Bouroullec, Inga Sempé, Léon Ransmeier et l'agence d'architecture de Laurent Deroo ", elle crée son propre studio dans lequel elle jongle entre projets de design et d'architecture d'intérieur. Passionnée par les jeux d'optique, son travail mêle miroirs, cadres et lumières, créant des distorsions de vision, interrogeant les notions même de vanité, d'identité ou de dualité. Grâce à son univers unique et ses réalisations atypiques, les réalisations de Claire Lavabre ont été exposées à la Villa Noailles dans le cadre du festival Design Parade ainsi que le festival de Mode et de Photographie en Hyères en 2013, puis au Palais de Tokyo en 2014 et à la Great Design Gallery de Paris.   Luce CouilletSi Luce a d'abord emprunté la route du design produit lors de son apprentissage à l'ESAD de Reims, cette dernière se concentre par la suite sur la conception textile au sein de l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort diplômée en 2010. Son savoir-faire est unique : inspirée de la pratique artisanale du tissage et de la R&D low-tech, elle se dote d'une matériauthèque expérimentale aussi bien mise au service de la haute couture que de l'architecture d'intérieur ou encore du sport et des milieux médicaux. Récompensée en 2012 par le Grand Prix de la Création de la ville de Paris, elle rejoint cette année le showroom parisien DINES dans le but d'y fonder un laboratoire textile destiné aux architectes d'intérieur.   Jean-Baptiste FastrezDiplômé de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury en 2010, Jean-Baptiste travaille durant trois ans auprès de Ronan et Erwan Bouroullec, tout en fondant son propre studio dans lequel il expérimente différentes créations, mêlant tradition et technologies. Grâce à ses travaux, le designer remporte le Grand Prix du Jury de la Design Parade 6 à la Villa Noailles en 2011, puis un Wallpaper Design Award en 2015 et est également exposé au Grand-Hornu (Belgique), au Mudac (Lausanne), puis au VIA (Paris). Certaines de ses "uvres sont même intégrées aux collections permanentes de grandes institutions, comme le Centre Pompidou, le musée des Arts Décoratifs de Paris, la Villa Noailles et la collection du Cnap.    Samy RioAprès avoir étudié l'ébénisterie durant quatre ans, Samy intègre l'ENSCI-Les Ateliers et se forme au design industriel. Grâce à ces deux savoir-faire, Samy sort de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury, qu'il obtient grâce à un projet centré sur l'industrialisation de tubes de bambou en 2014 et qui lui permettra également d'être lauréat du Grand Prix Design Parade 10 à la Villa Noailles en 2015. Cette récompense lui offre l'occasion d'établir deux résidences l'année suivante : une au Cirva à Marseille, l'autre à la Cité de la céramique de Sèvres. Il collabore également avec la Galerie Kreo et travaille le bambou au NTCRI à Taïwan où il est invité à exercer au près de maîtres taïwanais. Ses réalisations questionnent sur les liens entre industrie et artisanat et techniques novatrices et traditionnelles.   Raphael Pluvinage & Marion PinaffoTous deux diplômés de l'ENSCI-Les Ateliers en 2013 pour l'un et 2015 pour l'autre, c'est pourtant grâce à leur travail respectif pour le studio Doshi Levien et Superflux à Londres que Marion et Raphaël commencent à collaborer ensemble. Le résultat est un premier projet, Papier Machine, en 2015 qui remporte l'Audi Talents Award en 2016 mêlant créations positives et légères de Marion et de réflexions technologiques, sociales et politiques de Raphael. Les différents fruits de leur collaboration ont été exposés à la Gaîté Lyrique et à la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne. Les designers ont en outre plus récemment contribué à l'élaboration de la scénographie d'un espace pour la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne de Mars 2017.   Lysandre GraeblingPassionnée par l'univers de la mode, Lysandre a d'abord étudié le stylisme avant de s'intéresser au design textile à l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort en 2013. Sa formation lui permet d'explorer différentes techniques liées aux tissus, comme le tissage, la maille, la broderie ou la sérigraphie. Son diplôme en poche, elle collabore avec de grandes maisons comme Hermès ou Sonia Rykiel pour laquelle elle dessine des motifs destinés à la ligne enfant. En 2015, Lysandre fonde le studio de design textile Tohu-Bohu avec Lucile Bonnaud où elles réalisent chaque saison une collection de motifs pour les créateurs de mode ou les architectes d'intérieur.   Maison&Objet, du 8 au 12 septembre 2017, au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte. Photographies : Maison&Objet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison&Objet
Il y a 7 ans et 342 jours

Maison&Objet : Rising Talents

Organisé dans le cadre de MAISON&OBJET PARIS, les RISING TALENTS AWARDS récompensent les jeunes designers les plus prometteurs du moment, sélectionnés parmi les diplômés de l'École Nationale Supérieure de la Création Industrielle (ENSI-Les Ateliers). Pour cette édition, huit lauréats exposeront leurs dernières créations lors de l'événement qui aura lieu en septembre prochain. Alexandre EchasseriauxDiplômé en 2013 de l'ENSCI-Les Ateliers avec félicitations du jury, Alexandre est d'abord formé à l'École Boulle aux techniques de tournage ornemental et de travail du métal en général, avant de s'orienter vers le design industriel. Très influencé par l'artisanat ancien, le créateur réalise des objets hybrides situés entre innovation et tradition. En 2016, il fonde en région parisienne CRAFTER STUDIO où il étend son savoir-faire à de nombreux domaines : design industriel, prototypage, etc. Son originalité et sa grande dextérité lui valent d'être lauréat des Audi Talents Awards en 2014 et d'être nommé responsable de la direction artistique du FabLab du Centre Pompidou jusqu'en juillet 2017. Julien Phedyaeff & Christopher SanterreSortis de l'ENSCI-Les Ateliers en 2014, Julien et Christopher forment un duo complémentaire : le premier s'intéresse au prototypage et au travail de la matière tandis que le second se passionne pour la production industrielle. Leur attrait mutuel pour les modes et les habitudes de consommation les pousse à s'associer en 2015 sous le nom de L'Increvable SAS, une société d'électroménager visant à mettre l'utilisateur au centre des réalisations, pour des objets conçus et distribués de manière durable, réparable et évolutive.   Claire LavabreClaire est designer et photographe, diplômée de l'ENSCI-Les Ateliers en 2012. Après avoir multiplié les collaborations d'exception " avec Ronan et Erwan Bouroullec, Inga Sempé, Léon Ransmeier et l'agence d'architecture de Laurent Deroo ", elle crée son propre studio dans lequel elle jongle entre projets de design et d'architecture d'intérieur. Passionnée par les jeux d'optique, son travail mêle miroirs, cadres et lumières, créant des distorsions visuelles, interrogeant les notions même de vanité, d'identité ou de dualité. Grâce à son univers unique et ses réalisations atypiques, les réalisations de Claire Lavabre ont été exposées à la Villa Noailles dans le cadre du festival Design Parade ainsi que durant le festival de Mode et de Photographie en Hyères en 2013, puis au Palais de Tokyo en 2014 et à la Great Design Gallery de Paris.   Luce CouilletSi Luce a d'abord emprunté le chemin du design produit lors de son apprentissage à l'ESAD de Reims, cette dernière se concentre par la suite sur la conception textile au sein de l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort diplômée en 2010. Son savoir-faire est unique : inspirée de la pratique artisanale du tissage et de la R&D low-tech, elle développe une matériauthèque expérimentale aussi bien mise au service de la haute couture que de l'architecture d'intérieur ou encore du sport et des milieux médicaux. Récompensée en 2012 par le Grand Prix de la Création de la ville de Paris, elle rejoint cette année le showroom parisien DINES dans le but d'y fonder un laboratoire textile destiné aux architectes d'intérieur.   Jean-Baptiste FastrezDiplômé de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury en 2010, Jean-Baptiste travaille durant trois ans auprès de Ronan et Erwan Bouroullec, tout en fondant son propre studio dans lequel il expérimente différentes créations mêlant tradition et technologies. Grâce à ses travaux, le designer remporte le Grand Prix du Jury de la Design Parade 6 à la Villa Noailles en 2011, puis un Wallpaper Design Award en 2015 et est également exposé au Grand-Hornu (Belgique), au Mudac (Lausanne), puis au VIA (Paris). Certaines de ses "uvres sont même intégrées aux collections permanentes de grandes institutions, comme le Centre Pompidou, le musée des Arts Décoratifs de Paris, la Villa Noailles et la collection du Cnap.    Samy RioAprès avoir étudié l'ébénisterie durant quatre ans, Samy intègre l'ENSCI-Les Ateliers et se forme au design industriel. Grâce à ces deux savoir-faire, Samy sort de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury, qu'il obtient grâce à un projet centré sur l'industrialisation de tubes de bambou en 2014 et qui lui permettra également d'être lauréat du Grand Prix Design Parade 10 à la Villa Noailles en 2015. Cette récompense lui offre l'occasion d'établir deux résidences l'année suivante : une au Cirva à Marseille, l'autre à la Cité de la céramique de Sèvres. Il collabore également avec la Galerie Kreo et travaille le bambou au NTCRI à Taïwan où il est invité à exercer auprès de maîtres taïwanais. Ses réalisations questionnent sur les liens entre industrie et artisanat et techniques novatrices et traditionnelles.   Raphael Pluvinage & Marion PinaffoTous deux diplômés de l'ENSCI-Les Ateliers en 2013 pour l'un et 2015 pour l'autre, c'est pourtant grâce à leur travail respectif pour le studio Doshi Levien et Superflux à Londres que Marion et Raphaël commencent à collaborer ensemble. Le résultat est un premier projet, Papier Machine, en 2015 qui remporte l'Audi Talents Award en 2016 mêlant créations positives et légères de Marion et réflexions technologiques, sociales et politiques de Raphael. Les différents fruits de leur collaboration ont été exposés à la Gaîté Lyrique et à la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne. Les designers ont en outre plus récemment contribué à l'élaboration de la scénographie d'un espace pour la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne de Mars 2017.   Lysandre GraeblingPassionnée par l'univers de la mode, Lysandre a d'abord étudié le stylisme avant de s'intéresser au design textile à l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort en 2013. Sa formation lui permet d'explorer différentes techniques liées aux tissus, comme le tissage, la maille, la broderie ou la sérigraphie. Son diplôme en poche, elle collabore avec de grandes maisons comme Hermès ou Sonia Rykiel pour laquelle elle dessine des motifs destinés à la ligne enfant. En 2015, Lysandre fonde le studio de design textile Tohu-Bohu avec Lucile Bonnaud où elles réalisent chaque saison une collection de motifs pour les créateurs de mode ou les architectes d'intérieur.   Maison&Objet, du 8 au 12 septembre 2017, au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte. Photographies : Maison&Objet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison&Objet