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Résultats de recherche pour bitume

(254 résultats)
Il y a 3 ans et 20 jours

La couverture, interface clé entre les éléments extérieurs et le bâtiment

Photo : ShutterStockLa couverture est la partie visible de la toiture qui recouvre la charpente et l'isolation du toit. Elle protège le bâtiment et ses occupants contre les agressions climatiques : la pluie, le soleil, la chaleur, la neige et le vent. Afin de remplir cette fonction, elle doit présenter des caractéristiques telles que l'imperméabilité et la résistance au poids et aux chocs. Pour s'assurer de l'efficacité du système, le choix d'éléments de couverture de qualité est essentiel. Il doit être déterminé en fonction des performances attendues des produits dans la durée, au regard du climat, des règles d'urbanisme et, idéalement, de l'utilisation des ressources locales. Les couvertures en tuiles sont les plus répandues dans l'Hexagone, devant celles en ardoises et les éléments en zinc, mais les bacs acier, les plaques en fibres-ciment ou, dans une moindre mesure, les bardeaux bitumés sont également utilisés pour certains types de bâtiments, industriels et agricoles notamment. Dans un contexte de fluctuations importantes des prix et de raréfaction de certains gisements comme ceux de zinc, on assiste à l'émergence de nouvelles applications pour certains matériaux de couverture - l'aluminium et l'acier notamment. La RE2020, nouvelle règlementation environnementale entrée en vigueur le 1er janvier 2022, met à ce titre l'accent sur la nécessaire optimisation de l'utilisation des matériaux et procédés, ainsi que sur leur durabilité, leur potentiel de circularité et de réemploi - facilité de réparation et de remplacement -, attributs décisifs pour réduire l'empreinte carbone de la couverture sur l'ensemble de son cycle de vie. La RE2020 a également stimulé l'innovation portée par les industriels du secteur. Ceux-ci proposent aujourd'hui des solutions améliorant significativement les performances énergétiques et thermiques des bâtiments, tout en procurant à leurs usagers davantage de confort, en hiver comme en été. Le sarking, par exemple, technique d'isolation de la toiture par l'extérieur, protège ainsi les bâtiments du froid en hiver et permet de limiter les apports de chaleur en été, sans occasionner de perte d'espace dans les combles, devenus de vraies pièces de vie dans de nombreux foyers. On observe également le développement et la démocratisation des écrans de sous-toiture, toujours plus performants, qui bien que non obligatoires dans les DTU, sont très fortement recommandés, car ils permettent de protéger les combles contre les fines particules : poussières, pollens et surtout neige poudreuse. Ils sont d'ailleurs systématiquement proposés par les tenants d'Avis Techniques de procédés de tuiles de terre cuite à pente abaissée, tendance forte portée par le marché et les architectes. Les innovations des fabricants concernent par ailleurs de nouvelles fonctionnalités de la couverture, qui répondent elles aussi aux exigences de la RE2020. Ainsi, la production d'énergie renouvelable au moyen de panneaux photovoltaïques intégrés à la couverture ou surimposés peut couvrir tout ou partie des besoins énergétiques de fonctionnement d'un bâtiment et de ses usagers, mais génère de nouveaux défis de conservation du niveau d'étanchéité de la couverture dans le temps. Dans cette optique, on constate une tendance forte du marché en faveur de la pose de modules photovoltaïques de plus grande dimension. Ces innovations supposent de nouvelles modalités de mise en œuvre, qui doivent être compatibles avec la sécurisation des chantiers de couverture, pour lesquels des guides de sécurité et de prévention sont disponibles. Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 78 jours

Flambée des prix : "Du jamais vu depuis 20 ou 30 ans", Bernard Sala, Président de Routes de France

Le représentant des entreprises de travaux routiers décrypte la hausse brutale et globale des prix du bitume, du gaz et des carburants. Un phénomène brutal lié à la guerre en Ukraine et qui pourrait déstabiliser la filière.
Il y a 3 ans et 118 jours

Nouvelles plaques Onduline Easystyle : une couverture imitation tuile facile à poser, durable et sûre

Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, Onduline Easystyle, expert en toitures et sous-toitures légères, lance la nouvelle plaque bitumée au profil moderne imitation tuile : Onduline Easystyle. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques Onduline Easystyle - composées à 50 % de matière recyclée - s'intègrent à la perfection aux différents aménagements grâce à leur bel aspect imitation tuile. Légère, souple, facile à manipuler et à installer, cette plaque bitumée garantie 10 ans offre une couverture durable et respectueuse de l'environnement. Un rendu esthétique De couleur rouge ombré, les nouvelles plaques de bitume ondulées Onduline Easystyle apportent une couverture contemporaine avec un effet relief qui imite les vraies tuiles. Ce rendu est très esthétique pour les couvertures de bâtiments auxiliaires extérieurs de petite à moyenne taille (abris de jardin, pergolas, carports, cabanes pour enfants, niches pour animaux…). À base de bitume renforcé, les nouvelles plaques Onduline Easystyle sont étanches et très résistantes aux chocs et aux intempéries. Leur épaisseur de 2,6 mm leur confère une bonne rigidité et une grande solidité, ce qui permet au fabricant de les garantir pendant 10 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps. Une installation rapide et accessible à tousLégères et souples, les nouvelles plaques Onduline Easystyle ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Simples d’installation, elles peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 36,6 cm sur une pente de 15 % minimum.Côté fixation, c’est à l’installateur de choisir en fonction de la qualité du support. Onduline propose des vis universelles de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Pour assurer une finition soignée de la toiture, le fabricant a également développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux.Un matériau fiable et respectueux de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’Onduline, sont utilisés pour la coloration de la plaque Onduline Easystyle. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque n’émettent aucune substance dangereuse dans l’atmosphère pendant l’installation ou tout au long de son cycle de vie.
Il y a 3 ans et 138 jours

Soprema Entreprises signe l'enveloppe forte hygrométrie du nouveau centre aqualudique l'Odyssée d'Aulnay-sous-Bois

Il s’étend sur 7 000 m2 et possède une surface de plan d’eau atteignant 2 600 m2, avec neuf bassins dont un olympique couvert, un espace balnéothérapie, une salle de fitness... 460.000 clients par an en moyenne y sont attendus. L’équipement sportif sera également l’un des centres d’entraînement des JO Paris 2024. Il a été construit, en lieu et place de l’ancien complexe de Coursaille devenu obsolète, par Spie batignolles Ile-de-France, mandataire d’un groupement de conception/réalisation aux côtés de l’agence Chabanne Archi/Ingé. Il est géré par Espacéo (Groupe Spie batignolles) dans le cadre d’une délégation de service public (financement, conception, construction et exploitation) signée avec la mairie d’Aulnay-sous-Bois.Entre mi-juillet et fin novembre 2020, les équipes SOPREMA Entreprises Paris Acier ont entrepris la mise en œuvre d’une enveloppe répondant à la problématique de forte hygrométrie du bâtiment avec 4.500 m2 de couverture acier, dont une membrane PVC blanche collée pour supprimer les ponts thermiques, et 2.200 m2 de bardage triple et simple peau.4 500 m2 de couverture acierElle se compose de bacs acier (74SPA 150 microns laqués sur les deux faces) visibles depuis l’intérieur ; de laine de roche dans les ondes pour optimiser l’acoustique ; de bandes de pontages aluminium ; d’une isolation thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur caractéristique de ce type de bâtiment en milieu humide ; et d’un pare-vapeur soudé en plein (Elastovap) destiné à recevoir la membrane PVC (FLAGON SFC 12). Les étancheurs, entre 6 et 8 en moyenne sur le chantier, ont réalisé la mise en œuvre du complexe en moins de trois mois, de mi-juillet à début octobre 2020.Au niveau de la toiture, le point spécifique résidait dans le système de pose de cette membrane. Afin de supprimer les phénomènes de condensation liés aux ponts thermiques, il était en effet impossible de la fixer mécaniquement. SOPREMA Entreprises a effectué une pose par collage, rare pour ce type de membrane en PVC. La prise étant rapide, elle a requis un travail de précision pour garantir une exécution en une seule fois. De couleur blanche, la membrane PVC se fond dans l’esthétique globale du bâtiment habillé d’un bardage blanc irisé. Cool roof, elle joue également un rôle dans le rafraîchissement du Centre Aqualudique, essentiel pour le confort des occupants et l’empreinte environnementale. La toiture est pliée avec des pentes d’environ 30 %. Lorsque l’équipe SOPREMA Entreprises intervenait sur ces pentes, elle devait faire preuve d’encore plus de minutie.Une centaine de plots auto-adhésifs, type SOPRASOLAR FIX EVO, sans percement, ont également été mis en œuvre sur une membrane bitume pour accueillir une moquette solaire qui produit l’eau chaude sanitaire de l’établissement. La liaison entre la membrane PVC et la bitume a été réalisée à l’aide d’un joint SIKA BR500.2 200 m2 de bardageLes plateaux de bardage (150 microns laqué sur les deux faces) ont été installés à la verticale, comme exigé par l’Avis Technique pour les ouvrages en milieux à très forte hygrométrie.Ils atteignaient 10 m de hauteur. Ils étaient ensuite recouverts d’un isolant thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur, d’une deuxième peau métallique pour l’étanchéité, puis de lames pliées décoratives en acier (ST 300 - l. 300 x h. 4 000/5 000 mm) pour les 700 m2 de bardages triple peau. 1 500 m2 de lames pliées décoratives étaient posées en simple peau sur support béton. Une équipe de 2 à 4 bardeurs a travaillé entre mi-juillet et fin février 2021 au fur et à mesure des zones libérées par les lots menuiserie extérieures, VRD...
Il y a 3 ans et 139 jours

La mairie de Paris promet la fin des pieds d'arbres décriés par #saccageParis

"Nous n'aurons plus de fosses d'arbre à Paris (...) parce que ce n'est pas satisfaisant sur le plan esthétique" et que "cela pose d'énormes problèmes d'entretien", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la maire PS Anne Hidalgo, en introduisant devant la presse son "manifeste pour la beauté" de la capitale.Enclos en bois pourris ou cassés, remplis de mégots et autres déchets, végétation non entretenue, épanchements d'urine ou déjections canines : ces fosses d'arbres de 3 mètres sur 3 étaient particulièrement visées par les militants de #saccageParis, un mouvement surgi en 2021 pour dénoncer le bilan d'Anne Hidalgo en matière de propreté, de mobilier urbain ou d'aménagement de l'espace public.A la place de ces "parcs à cochons", durant la période de deux à trois ans nécessaire au renouvellement de la terre et à la croissance du jeune arbre, "nous reviendrons à un aménagement provisoire avec du pavage", méthode "historique" à Paris, a indiqué Emmanuel Grégoire."Sauf", a-t-il précisé, "dans les cas où nous avons des liens avec des associations qui font de la végétalisation de pieds d'arbres qui sont très satisfaisants, mais il y en a peu"."Au bout de trois ans, soit on referme et on remet la grille Davioud", du nom du créateur du mobilier urbain parisien du Second Empire, "soit on fait des grandes bandes végétalisées", a ajouté M. Grégoire, pour qui "cette stratégie de reprise des pieds d'arbres mobilisera 12,5 millions d'euros dans les trois années qui viennent".Les "permis de végétaliser", lancés en 2015 pour permettre aux riverains de jardiner eux-mêmes dans la rue, au pied des arbres, après retrait du bitume ou dans des jardinières, "ne marchaient pas bien", a encore reconnu Emmanuel Grégoire, sauf quand ils étaient "portés par des collectifs très motivés"."Les permis de végétaliser, les Parisiens ne les tiennent pas assez longtemps et rapidement ils les abandonnent", a encore dit le bras droit d'Anne Hidalgo, disant vouloir "corriger ce qui peut l'être".Concernant le mobilier électrique et lumineux, autre cible de saccageParis, 350 mâts d'éclairage public accidentés ou rouillés vont être remplacés en 2022, a encore indiqué le premier adjoint.Sa collègue chargée de la propreté, Colombe Brossel (PS), va renforcer la lutte contre l'affichage sauvage et les tags. Dépôts sauvages et dégradations feront l'objet d'une "systématisation des actions en justice".M. Grégoire a aussi précisé la suppression de tous les marquages jaunes des pistes cyclables temporaires, désormais équipées "de nouvelles balisettes noires" et de glissières en béton armé "plus discrètes". Cette mesure faisait partie d'une précédente série d'annonces sur le mobilier urbain, faite en juillet 2021.Le banc Davioud racheté aux enchères par des habitants qui l'ont offert à la Ville afin d'alerter sur la sauvegarde de ce mobilier emblématique sera installé en juin en plein coeur du Marais.Alors que certains avaient critiqué la réfection de ce banc symbolique, ces amoureux du patrimoine sont maintenant "pleinement satisfaits" de sa rénovation, a assuré M. Grégoire.SaccageParis "a pu être utile aussi dans la dimension d'interpellation et la réactivité que cela nous impose", a reconnu le bras droit d'Anne Hidalgo. "Ce qu'ils dénoncent est vrai, parfois faux parce qu'ils reproduisent ad nauseam certaines photos" et "alimentent des fake news".
Il y a 3 ans et 139 jours

Woven Gradience, la nouvelle collection de revêtement de sol d’Interface qui célèbre la couleur

Woven Gradiance : une collection apaisante et stimulanteWoven Gradience possède des teintes audacieuses qui s’estompent pour laisser la place à des gris doux et relaxants, permettant aux concepteurs designers d'intégrer, facilement, des éclairs de couleur dans la conception des revêtements de sol. La collection est une option parfaite pour le secteur tertiaire, hospitalier ou encore celui de l’éducation.Pour Mandy Leeming, directrice du design chez Interface : « Pour créer Woven Gradience, l’équipe s’est inspirée du mélange de différentes couleurs et textures de la nature. Cette ode à la couleur trouve naturellement sa place dans les environnements de travail. En introduisant des tons vifs, audacieux et naturels, nous pouvons élaborer des motifs de revêtements de sol visuellement stimulants à l’esprit contemporain et original. Les gris, quant à eux, peuvent aussi se combiner pour créer des rendus aux tons feutrés. Les différents coloris peuvent se fondre l’un dans l’autre pour créer des allées ou des zones distinctes et sur mesure. Cette collection propose une approche astucieuse et fonctionnelle aux environnements de travail, sans jamais sacrifier la qualité, le design ni même la durabilité. »La collection Woven Gradience fait partie du programme Carbon Neutral FloorsTM d’Interface, ce qui confère à toutes ses dalles une neutralité en carbone tout au long de leur cycle de vie. Les dalles intègrent la sous-couche CQuestTMBio, sans PVC ni bitume, fabriquée avec un bio-composite à base de matériaux biosourcés et recyclés, lesquels présentent un bilan carbone net négatif.La collection comprend 12 coloris, tous inspirés par les couleurs de la nature, qui peuvent se positionner d’une multitude de manières pour créer des motifs de revêtement de sol uniques. Les huit teintes audacieuses de la sélection (Emerald, Ocean, Terracotta, Sunrise, Rose, Forest, Lagoon et Sage) côtoient des gris couvrant l’ensemble du spectre d’Ink à Charcoal, en passant par Stone et Pearl. Chaque coloris audacieux peut se mélanger à un gris ou à un autre ton afin de générer une palette de couleurs vives.
Il y a 3 ans et 156 jours

Interface dévoile la nouvelle palette de sa gamme la plus populaire Heuga 727

Une collection qui fait peau neuve...La sélection ainsi remise au goût du jour propose 48 couleurs, notamment des gris doux et neutres chauds, des bleus et verts généreux, des rouges et oranges vifs. La richesse de la palette permet aux designers et aux entreprises de trouver un revêtement de sol en accord avec leur espace, que ce soit avec un ton uni ou une combinaison d’options aux choix multiples.... Pour une plus grande créativitéHeuga 727 se marie également avec d’autres modèles de dalles de moquette, de dalles vinyle haute performance (LVT) ou encore avec les revêtements en caoutchouc nora® Interface, permettant une créativité maximale. Les dalles comprennent la sous-couche CQuestBioTM, sans PVC ni bitume, fabriquée avec un bio-composite à base de matériaux biosourcés et recyclés qui présentent un bilan carbone net négatif.Pour Mandy Leeming, directrice du design EAAA chez Interface : « Heuga 727 jouit d’une grande popularité depuis 11 ans notamment grâce à sa qualité élevée, son excellente durabilité et son bon rapport qualité/prix. Nous avons donc actualisé ses coloris pour refléter les tendances changeantes et émergentes du moment. La nouvelle palette propose 48 teintes. La grande diversité de couleur permet de répondre aux différents besoins, ambiances et thématiques. À l’instar de toutes les dalles de moquette Interface, Heuga 727 est neutre en carbone, conformément au programme Carbon Neutral FloorsTM, et dans le respect de notre engagement qui vise à réduire notre empreinte carbone, restaurer la planète et inverser la courbe du réchauffement climatique. »
Il y a 3 ans et 169 jours

Étanchéité d’une toiture plate : comment la garantir?

Il existe principalement deux formes de toiture. D’une part, il y a la toiture en pente et ; d’autre part, la toiture plate. La première permet facilement à l’eau de pluie de s’écouler vers les gouttières. En revanche, l’humidité a tendance à stagner sur la seconde. En raison de sa faible inclinaison, l’évacuation des eaux de pluie ne se fait pas de façon optimale sur un toit plat. Pour éviter qu’elles s’infiltrent, il est primordial d’assurer son étanchéité. Mais de quelle manière ? Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. En quoi est-il crucial d’avoir une toiture plate parfaitement étanche ? Également connues sous l’appellation « toitures-terrasses », les toitures plates sont très répandues en zones urbaines et en zones industrielles. En dessous de celles-ci existe souvent un espace qui peut éventuellement être habitable. Mais peu importe sa destination (ex. : stockage, garage, pièce chauffée, etc.), les infiltrations d’eau par la toiture sont à éviter. Cela passe par un système d’étanchéité efficace. Rappelons que l’humidité occasionne : Des dommages au niveau de la toiture et des éléments la composant (ex. : charpente, isolants, revêtement) ; Des dégâts des eaux au sein de l’habitat ; Des problèmes d’humidité sans fin débouchant sur le développement des moisissures sur les murs et la dégradation de leur revêtement, des traces sur le plafond et des mauvaises odeurs à l’intérieur de la maison Ce sont des signes qui témoignent de l’infiltration d’eau par la toiture. De ce fait, ils ne doivent pas être négligés. Faire appel à une entreprise d’étanchéité de toiture comme sur ce site : https://www.entreprise-etancheite-83.fr/ est donc la chose à faire. Comment faire l’étanchéité d’une toiture plate ? Pour garantir l’étanchéité d’une toiture plate, il est nécessaire qu’elle soit suffisamment inclinée. C’est cette inclinaison qui permettra l’écoulement des eaux de pluie vers les gouttières. Toutefois, on peut faire l’étanchéité d’une telle toiture en mettant en place le bon isolant. À ce titre, on peut citer : L’asphalte ; Les produits bitumés ; Les films multicouches qui se présentent soit sous la forme de feuilles de bitume armées soit sous la forme de bitume coulé. Ici encore, le recours aux services d’une entreprise d’étanchéité de toiture est recommandé. Un professionnel saura mieux vous guider quant aux choix de vos isolants. Il est d’ailleurs le mieux qualifié pour les installer. Quelques solutions pour réaliser l’étanchéité de la toiture plate À côté des trois systèmes d’étanchéité cités ci-dessus, les spécialistes du domaine peuvent proposer d’autres alternatives. En l’occurrence, il y a : La membrane d’étanchéité bitumeuse Des feuilles ou des rouleaux de bitume sont posés sur la surface du toit. Cette opération nécessite l’usage d’un appareil à flamme comme le chalumeau. Il existe cependant des modèles qui ne requièrent pas l’utilisation d’un tel outil. En l’espèce, une colle spéciale sera utilisée pour fixer les feuilles bitumeuses sur les zones concernées. La membrane d’étanchéité photovoltaïque De nos jours, on peut acheter des membranes qui intègrent des modules photovoltaïques souples ou des plots. Ce qui rend possible la mise en place de modules photovoltaïques rigides. On peut également recourir à des plots que l’on installe directement sur l’étanchéité, et ce sans qu’on ait besoin d’utiliser un traitement spécifique. Si de cette façon on génère de l’énergie solaire, il est à noter que ce système présente une faille. Comme les panneaux ne sont pas fixés sur la toiture, cela peut poser problème en cas de vent violent. La bâche EPDM Il s’agit d’un élastomère résistant et étanche. Il est produit en usine par la vulcanisation des lés EPDM. Un robot spécifique assure par la suite son pressage pour qu’il soit parfaitement étanche et inaltérable. Le système d’étanchéité liquide  ou SEL C’est la solution à adopter pour étanchéifier les zones difficiles d’accès. Ce produit est fait à base de résine. La même matière est utilisée pour la fabrication des membranes continues à épaisseur régulière.
Il y a 3 ans et 202 jours

Réparations et étanchéité des toitures-terrasses

L'étanchéité de la toiture est amenée à s'altérer sous l’effet de l'usure ou des dégradations causées par un défaut de mise en œuvre. À terme, les fissures, les fuites et les déperditions thermiques fragilisent le bâti et nuisent à son fonctionnement. Pour prévenir ces dégâts, SMAC, spécialiste des travaux d'étanchéité, met son expertise au service de ses clients.Confier ses travaux de réparation et d’étanchéité de la toiture-terrasse à des spécialistesProcéder à des travaux sur une toiture technique ou accessible au public requiert une expertise et un savoir-faire ciblés. Pour répondre aux demandes de ses clients, SMAC s’appuie sur un réseau d'agences dans toute la France.Un accompagnement de proximité qui s'étend à l'ensemble des travaux de maintenance, de réparation et d’amélioration des performances énergétiques. Le professionnel effectue les premières vérifications, puis propose et applique des solutions adaptées. Les toitures nouvelles ou anciennes, végétalisées ou équipées de panneaux photovoltaïques appellent un diagnostic précis (pression, support, revêtement). Nos équipes sont présentes à chaque étape, qu’il s’agisse d’un projet de travaux ou d’une intervention d’urgence.Le rôle de la toiture dans l'étanchéité du bâtimentLe toit joue un rôle décisif dans la gestion des eaux pluviales et l'efficacité énergétique du bâtiment.Exposées aux intempéries et aux variations de température, les toitures font l’objet d'une vigilance renforcée. L'étanchéité est assurée par le déploiement de solutions adaptées.Contrairement aux maisons traditionnelles, la plupart des bâtiments professionnels modernes affichent une toiture plate. Les jonctions entre les composantes d’une toiture à pente nulle doivent rester parfaitement étanches. Ainsi recouvert et complété d’un système d'évacuation des eaux pluviales, le toit est en mesure de remplir sa fonction de protection.La toiture constitue également une surface d’échanges thermiques. Son étanchéité à l’air conditionne le confort des usagers et le niveau de consommation énergétique du bâtiment.Les conséquences du défaut d'étanchéité sur une toiture-terrasseLes défauts de continuité dans l'étanchéité de la toiture entraînent un risque d'infiltration d’eau. Cela passe par les déchirures de la membrane (epdm, bitume, PVC, TPO). Mais également par des défaillances au niveau des relevés d'étanchéité ou de la dalle des ouvrages en béton. Rongée de l'intérieur, la construction manifeste ses premiers stigmates : moisissures au plafond et dégradations des peintures.La performance thermique du bâtiment est elle aussi impactée par les désordres de la toiture. Toute défaillance à ce niveau se traduit par une nette augmentation de la consommation en énergie de chauffage.Les opérations de nettoyage et d'entretien sont l'occasion de repérer les premiers signes de mauvaise gestion de l’eau et autres pathologies. Il convient alors d’agir rapidement avant que les dégâts ne s’intensifient.
Il y a 3 ans et 243 jours

La saison 2 du Grand Paris des écrivains est lancée

Le Grand Paris des écrivains saison 2 est toujours une collection de courts métrages. Ceux-ci donnent à entendre la voix d’écrivains contemporains sur des images de la ville aujourd’hui. Pour la deuxième saison de la manifestation “Le Grand Paris des écrivains”, le Pavillon de l’Arsenal (Paris IVe) propose dix nouveaux courts métrages documentaires avec les voix off d’écrivains contemporains : Laurent Binet, Patrice Blouin, Laurence Cossé, Marie Darrieussecq, Faïza Guène, Philippe Jaenada, Camille Laurens, Jean-Charles Massera, Emmanuelle Pireyre et Marie Richeux. Ces films courts ont été produits par Année Zéro et le Pavillon de l’Arsenal. Et tournés par Stefan Cornic. Diffusés chaque mercredi, à partir du 6 octobre 2021, les dix nouveaux épisodes dévoilent le paysage de la métropole que nous traversons quotidiennement sans toujours bien la regarder : le ballet des passants, le flux de véhicules. Mais aussi, les enseignes lumineuses, l’architecture remarquable ou insignifiante. Ou encore, les arbres et herbes folles qui se frayent un chemin dans le bitume… Les films ralentissent le temps et révèlent le Paris d’aujourd’hui, en pleine période de métamorphose. Le principe de cette manifestation est simple : un écrivain contemporain (différent pour chaque film) choisit avec le réalisateur, un bâtiment, un quartier, un axe, une zone du Grand Paris. Il ou elle écrit alors un texte, du style littéraire de son choix, en lien avec l’espace retenu. La caméra capte l’esprit du lieu. Au montage, des correspondances se tissent entre l’histoire racontée en voix off par l’écrivain et les images tournées. Les films expérimentent une autre manière de dépeindre le Grand Paris, en prenant des chemins de traverse. Ceux que la rêverie des écrivains nous invite à emprunter. Ceux que le Grand Paris en devenir offre à découvrir. Premier épisode « J’aime bien la gare Saint-Lazare. Ou plutôt non, je ne l’aime pas trop »,explique le romancier Philippe Jaenada. [©Stefan Cornic] Le 6 octobre était diffusé le premier opus de la série : “La gare Saint-Lazare” (Paris VIIIe) par Philippe Jaenada. La voix rauque du romancier évoque tour à tour son rapport à cette gare, presque insignifiante, mais aussi le quartier élégant dans lequel elle s’insère : la rue de Turin, la rue de de Constantinople, la rue de Rome… Si ces rues font voyager vers d’autres destinations lointaines, les trains de cette gare ne desservent que la banlieue et la Normandie… On déambule ainsi de la gare aux rues adjacentes, jusqu’au récit d’un fait divers tragique qui a ébranlé la France dans les années 1960. Une chute digne d’un vrai roman, comme Philippe Jaenada sait si bien le faire.  « J’aime bien la gare Saint-Lazare. Ou plutôt non, je ne l’aime pas trop. Comme tout le monde. Personne n’aime vraiment la gare Saint-Lazare. Elle ne mène pas loin, elle n’a pas le prestige, la charge romantique, le pouvoir propulseur de ses grandes homologues parisiennes. Elle n’évoque rien de spécial, ni le soleil et la Méditerranée, Train bleu, PLM, ni crêpes et les petits ports bretons, ni les pubs de Londres, ni même la choucroute. Ce qu’elle évoque, elle, c’est la petite et grande banlieue, le travail, les trains bondés le soir, au mieux les week-ends en Normandie, la porte à côté – c’est plus pratique en voiture, non ? On ne peut même pas la détester, comme les gares RER, parias ferroviaires. Tout le monde s’en fiche un peu, de la gare Saint-Lazare. On l’emprunte, voilà, avec un mélange d’indifférence et de lassitude. C’est justement pour ça que je l’aime bien, j’ai une certaine tendresse, comme pour un vieux chien boiteux. Car elle a eu son époque de gloire, quand Deauville semblait loin. Mais sa lumière n’a pas survécu aux années 1960. Elle est restée piégée dans le passé. Ou je l’aime bien comme on aime un bâtard sans classe, sans atout, sans éclat […] » Nous reviendrons chaque mercredi sur l’écrivain et le court métrage mis en avant, dont voici les dates : Emmanuelle Pireyre : Les Arcades-du-Lac – Mercredi 13 octobreMarie Darrieussecq : La Porte d’Orléans – Mercredi 20 octobre Patrice Blouin : Apollo Minor – Mercredi 27 octobreFaïza Guène : Quatre-chemins – Mercredi 3 novembre Marie Richeux : Meudon-La-Forêt – Mercredi 10 novembreLaurence Cossé : L’Arche de la Défense – Mercredi 17 novembre Camille Laurens : Le Père-Lachaise – Mercredi 24 novembre Jean-Charles Massera : Val Fourré – Mercredi 1er décembre Laurent Binet : Le dernier trajet de Roland Barthes – Mercredi 8 décembre
Il y a 3 ans et 251 jours

Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons

KEMICA COATINGS conçoit et fabrique des résines de haute performance, bio sourcées et non toxiques pour l’homme et l’environnement. Sans solvant, sans odeur, sans bisphénol A, les substances nocives ont été supprimées au profit de ressources naturelles et renouvelables. La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une étanchéité continue, sans joint, sur les toitures-terrasses, balcons, loggias, coursives et gradins à usage privatif ou public. UNE RÉSINE CERTIFIÉE Les certifications du CSTB assurent la qualité technique de la résine SOUPLETHANE 5 ATE pour traiter à la fois l’étanchéité et l’anticorrosion des toitures et terrasses, lui attribuant ainsi des valeurs de sécurité et de durabilité : en tant que système d’étanchéité liquide confirmé avec le D.T.A. N° 5.2/18-2615_V1 destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, avec extension aux DROM, en tant que système d’étanchéité liquide auto-protégée confirmé avec l’Avis Technique N°12/15-1704, en tant que revêtement de sol testé selon les normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839, en tant que revêtement non inflammable avec son classement européen de tenue au feu Bfl – s1, en tant que revêtement biosourcé avec son agrément environnemental HQE*. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE ET UN ENTRETIEN SIMPLISSIMES SOUPLETHANE 5 ATE est une résine polyurée-uréthane à deux composants (polyol et isocyanate) sans solvant et sans odeur. Ces composants sont des élastomères destinés à générer des membranes et joints élastomériques à très hautes résistances mécaniques, thermiques et chimiques. Son application est possible à des conditions climatiques extrêmes (température de –10°C à 50°C, humidité relative HR < 90%). Appliquée sur tous supports en neuf et en rénovation : béton, bois, isolants, métal, asphalte, membrane bitumineuse, PVC, elle va pallier les problèmes d‘étanchéité en résistant à la fissuration, aux écarts de température et aux agressions chimiques de l’atmosphère. Exempte de retrait, elle garantit l’étanchéité après polymérisation de la résine et ponte toutes les fissurations (tenue à la fissuration de 3 mm). SOUPLETHANE 5 ATE peut être appliquée aussi bien en étanchéité accessible (balcons, terrasses) qu’en étanchéité non accessible (terrasses sur toits, terrasses-parkings). Comme pour toute mise en œuvre d’étanchéité, une préparation des surfaces sera indispensable après dépose de l’ancienne membrane d’étanchéité avec la pose d’un primaire mono-composant sans solvant PU AQUEUX sur béton sec ou humide qui assure une adhérence au béton supérieure à 3,8 MPa – 150 g/m². L’application se fait manuellement au rouleau après mélange des 2 composants de la résine: 3/1 en volume : épaisseur du système : 1,2 à 1,5 mm Facile d’entretien et de réparation, la surface revêtue de SOUPLETHANE 5 ATE peut être de plus rendue antidérapante par projection de silice fine sur le film liquide, apportant un facteur supplémentaire de sécurité pour toute intervention humaine ultérieure. Elle est également directement applicable sur les résines de sol existantes (époxy, polyuréthane). Des finitions sont préconisées d’une part pour traiter l’anti-dérapance et d’autre part pour garantir la stabilité aux UV. &nbsp; &nbsp; La terrasse peut être praticable 24 heures après l’application. L’aspect lisse, neutre mais surtout antiadhérent du revêtement SOUPLETHANE 5 ATE facilite son entretien. Et, la facilité d’entretien n’amoindrit pas sa durabilité qui peut ainsi dépasser une trentaine d’années, tout en conservant ses performances. &nbsp; CERTIFICATIONS DTA pour l’étanchéité liquide de toitures « SOUPLETHANE 5 ATE ». Formulé pour la France et les DROM, et destiné aux toitures inaccessibles et accessibles, le SOUPLETHANE 5 ATE se pose sur béton, métal et bois (CSTB). Avis Technique 1215/1704 – V1 du CSTB. Classé A+ : Etiquetage réglementaire des émissions de COV et conformité au protocole AgBB (2012) – rapport CSTB. Tests revêtement de sol selon normes européennes et UPEC : RSET-09-26013839. Tests réaction au feu : SOUPLETHANE 5 : Bfl – s1. Partager la publication « Kemica Coatings présente Souplethane 5 ATE, une étanchéité liquide autoprotégée sans solvant et sans odeur pour les toitures et balcons. »
Il y a 3 ans et 260 jours

Comment l'adaptation aux événements climatiques extrêmes peut changer la face de la ville

Avec son "lac saisonnier" et la promesse d'un "meilleur écoulement de l'eau" entre les différents sites du campus universitaire de la ville Hyderabad, la réponse au risque d'inondation devient "un moteur du projet" encore en compétition, décrit Brice Piechaczyk, architecte au cabinet Enia.Vagues de chaleur, inondations, vent violent: impossible d'ignorer les conséquences du dérèglement climatique, qui s'expriment particulièrement en ville et demandent des aménagements pour en réduire la portée."Après la première vague de chaleur, en 2017, nous avons travaillé sur le réseau d'eau, afin de limiter le gaspillage qu'on avait identifié. Cette année [en raison notamment de l'anticyclone Lucifer], il y avait beaucoup d'incendies dans la région. Nous sommes en train de mettre en place un système de surveillance des forêts par drones et satellites", explique à l'AFP Virginia Raggi, la maire de Rome.Les épisodes caniculaires sont accentués en ville, où l'urbanisme et la concentration d'immeubles créé parfois des îlots de chaleur et augmente encore la température dans les hypercentres."Il faut dé-imperméabiliser la ville", explique l'architecte-urbaniste Ariella Masboungi, qui cite notamment la conception de "jardins de poche", pour remplacer le bitume afin de protéger de la chaleur et de faciliter l'écoulement de l'eau.Savoirs oubliésL'adaptation de la ville passe d'abord par des aménagements sur l'existant plutôt que par de nouvelles constructions."On peut régénérer les villes depuis les zones délaissées. Il y a des espaces à l'abandon comme d'anciennes usines, écoles, bureaux... Nous avons les moyens de redéfinir leurs usages", décrit Mme Raggi, qui vise notamment à relier les différents parcs et espaces verts de la capitale italienne pour créer un "Anello Verde" (bague verte).L'effort d'adaptation des bâtiments est notamment valable pour "ceux construits entre l'après seconde guerre mondiale" et "les premières règlementations thermiques", dans les années 1970 puis 2000 en France, estime Lois Moulas, directeur de l'Observatoire de l'immobilier durable.D'anciennes considérations ont été "oubliées", comme la "bio-conception" des villes, argumente également Mme Masboungi. "La ville de Gênes est construite avec des +couloirs de vent+, qui permet de ne pas avoir trop chaud, même par 40 degrés", illustre-t-elle."On savait faire, on doit retrouver" ces conceptions assure l'urbaniste.Ces changements amènent à mieux prendre en compte la région et les conditions locales des constructions. "Les Anciens construisaient différemment en Bretagne qu'en Côte d'Azur. Aujourd'hui on ne peut plus ignorer l'orientation des bâtiments, des ouvertures en fonction du soleil ou du vent", estime Abbès Tahir, directeur général délégué d'Arte Charpentier.Créatif et scientifiqueD'autant que les architectes peuvent désormais s'appuyer sur des données et des projections plus fines, afin de mieux identifier les risques et les impacts des solutions envisagées.L'observatoire de l'immobilier durable a par exemple lancé le programme Bat-Adapt, composé notamment d'une cartographie d'analyse des risques climatiques pour les bâtiments, comme les vagues de chaleur, les sécheresses, le retrait-gonflement des argiles ou encore les inondations. Cette cartographie est en libre accès.Limité pour l'instant au territoire français métropolitain, la carte sera à l'échelle européenne à terme, l'OID étant en phase de collecte des données."Les architectes doivent travailler beaucoup plus étroitement avec le monde scientifique et de l'ingénierie pour développer les analyses prédictives. Le coeur de notre métier est d'être créatif, mais nous devons mettre cette créativité à l'épreuve de la science", pense M. Piechaczyk."Mais nos bâtiments doivent aussi être plus agiles. Il faut garder en tête qu'ils doivent pouvoir être adaptés et rénovés plus facilement", pour mieux répondre aux conséquences climatiques pas encore anticipées et encourager leur reconversion, conclut-il.
Il y a 3 ans et 284 jours

Zoom sur les matériaux à utiliser pour la construction d’une maison

Construire une maison est quelque chose qui ne se fait pas à la légère. Il est nécessaire de prévoir les matériaux nécessaires pour la construction en plus des nombreux travaux à faire. La sélection de ces matériaux doit se faire avec minutie. Ceci afin d’obtenir un résultat à la hauteur de ses attentes. Les matériaux nécessaires pour la construction d’une maison Quand on construit une maison, la structure est un élément à ne surtout pas négliger. Effectivement, c’est en partie sur elle que repose la longévité de l’habitation. La structure métallique fait partie des plus résistantes. De plus, elle est économique et antisismique. Cependant, une bonne isolation doit être au rendez-vous afin d’assurer un confort optimal aux locataires. Pour cela, on peut choisir parmi différentes sortes de matériaux. On a, entre autres, le bois qui est simple à mettre en œuvre. En plus, il s’agit d’un matériau recyclable qui permet de créer plusieurs volumes et formes. Il y a aussi le parpaing qui résiste bien au feu et au gel. C’est également un bon isolant acoustique. En ce qui concerne la toiture, les matériaux disponibles sont assez nombreux. Entre autres, la tuile, l’ardoise ou encore le bitume. Les cloisons et le faux plafond sont aussi nécessaires pour la construction d’une maison. On a le choix entre la placo, le bois et la brique de verre. En outre, il faut prévoir des matériaux pour la plomberie et l’électricité. Cela assure le côté pratique de la maison. Bien choisir les matériaux à utiliser permet, en partie, de garantir le bon déroulement des travaux ainsi que le budget. Certains matériaux sont également plus simples à entretenir que d’autres. Pour la construction en elle-même, certains matériaux présentent aussi beaucoup d’avantages. C’est le cas, notamment, des briques en terres cuites. Briques en terre cuite : quels avantages ? La brique en terre cuite est un matériau sollicité dans la construction d’une maison. Généralement, elle est conçue à partir d’argile et de sable moulé. Son mode de fabrication en fait un matériau qui dure dans le temps. Ainsi, pour ceux qui souhaitent avoir une habitation pérenne, la brique terre cuite convient très bien. C’est aussi un matériau qui présente une grande inertie thermique. De ce fait, elle donne la possibilité de profiter d’une température bien régulée, en été comme en hiver. La brique en terre cuite est aussi résistante au feu. Par ailleurs, ce genre de matériau ne permet pas la formation de moisissures en raison de son caractère hygrométrique. De plus, il régule très bien l’humidité. Facile à poser, la brique en terre cuite ne risque pas de donner du fer à retordre aux ouvriers. Ce qui leur permettra d’avancer plus rapidement dans les travaux. Un habillage en briques terre cuite assure aussi une créativité architecturale hors du commun. En tout cas, l’esthétisme sera au rendez-vous. Ceux qui souhaitent utiliser de la brique en terre cuite pour la construction de maisons ne seront pas déçus. Pour en profiter, il est judicieux de recourir à un professionnel proposant des matériaux de construction de ce type.
Il y a 3 ans et 303 jours

Le groupe de travaux publics Boisset crée une nouvelle industrie de revêtement éco-responsable

La solution de revêtement drainant Qualirain® développée par Qualis® Technologie permet de réaliser tout type de travaux de voirie légère perméables, pistes cyclables, voies vertes, cours de récréation Oasis, abords de piscines, îlots, trottoirs et entourages d'espaces verts... qui laissent passer l'eau pour son retour àla nappe phréatique. Subventionnable jusqu'à 70% par l'Agence de l'Eau Rhône Méditerranée Corse au titre de la désimperméabilisation des surfaces, la solution de revêtement drainant Qualirain® est particulièrement adaptée aux collectivités et se destine très prochainement à une diffusion en grande distribution, jardineries et magasins de bricolage pour une utilisation par les particuliers, grâce à sa facilité d' application.C'est à la 3e génération, composée de Nicolas Boisset et Thomas Boisset que Luc Boisset confie le déploiement de Qualis®Technologie, dont les solutions sont déjà appliquées dans plusieurs communes de Drôme et Ardèche, mais aussi à Lyon et laMétropole de Bordeaux.Les applications écologiques de Qualirain® : cours de récréation, cimetières, roof top...Constituée d'un mélange de granulats naturels et de liant organo-minéral, la solution Qualirain® filtre plus de 325 litres d'eau/min/m² et permet son retour à la terre.« Nous avons créé un matériau recyclable avec cycle de vie infini grâce à l'exploitation brevetée d' un liant aqueux organo-minéral, qui associé à des granulats sans colorant, permet de créer des paysages avec la satisfaction de respecter notre environnement » Luc Boisset, PDG du Groupe Boisset.Les applications Qualis® Technologie sont adaptées aux zones de circulation des personnes à mobilité réduite, cheminements piétons, abords de bâtiments, zones piétonnes et parkings à vélo, mais aussi cours d' école, collège, lycée et université, hôpitaux, bornes fontaines, aires de livraison et voies d' accès de garage pour véhicules légers...Cours de récréation« Avec le réchauffement climatique, l'aménagement de cours de récréation Oasis pensées comme des îlots de fraicheur comprenant d'avantage de végétation, une meilleure gestion de l'eau de pluie et des points d'eau, revêtements drainants et clairs, jardins pédagogiques... vont se généraliser pour améliorer le bien-être des enfants. Nous sommes prêts ! » souligne Nicolas Boisset, directeur commercial Qualis® Technologie.Tout établissement recevant du public pourrait à court terme devenir des îlots de fraicheur pour les personnes vulnérables durant les vagues de chaleur... L'utilisation de couleurs claires permet de lutter contre les îlots de chaleur en ville comme dans les cours de récréation et les zones de jeux sur les aires d'autoroutes. « Notre revêtement contribue aussi à améliorer le confort acoustique car il absorbe le bruit des pas ! Sans solvant et sans émanation de chaleur, son application à froid n' émet pas de vapeurs toxiques et respecte la santé de nos compagnons et des applicateurs » préciseThomas BOISSET, Directeur des Travaux du Groupe Boisset.CimetièresAvec la particularité de s'étaler à la main, Qualirain® est adaptée aux terrains sensibles où l' utilisation d' engins de compactage est exclue, comme dans les cimetières dont les sous-sols, creux et fragiles, ne tolère pas les vibrations. Les risques d'effondrement sont alors limités, en plus de la disparition des flaques d'eau et des opérations de désherbageRoof top hydro-actifsLégère, la solution Qualirain® permet aussi la création de circulation piétonne sur les toitures qui deviennent hydro-actives avec la capacité de stocker, irriguer et réguler les eaux pluviales. De plus, l'utilisation du liant aqueux organo-minéral permet la réutilisation des eaux pluviales.Améliorer l'habitat et le cadre de vie des habitantsAvantagesRéduction de la taille et du coût des chantiers, petits conditionnements, fin des arrosages pleine-terre, lutte contre les îlots de chaleur, zéro pénibilité...Grâce au retour de l' eau à la terre, les solutions Qualis technologies permettent de réduire la taille et le coût des chantiers en raison d'utilisation de conduites d' évacuation de faible diamètre, voire même parfois la suppression totale des tuyaux. Par son application à la main, les nuisances pour les riverains sont diminuées ;« Nos solutions améliorent l'habitat et le cadre de vie des habitants. Elles permettent de lutter contre les îlots de chaleur par l' utilisation d' une solution alternative au bitume et aussi d' absorber les bruits par l' aération du revêtement. Elles permettent aussi de dessiner de nouveaux centre-ville et répondent aux enjeux des nouvelles mobilités en autorisant beaucoup de libertés avec la disparition des caniveaux et des trottoirs, voire la création de nouvelle signalétique au sol par zones identifiables selon la couleur des granulats... » Luc Boisset, Pdg Groupe BoissetPrêtes à l'emploi et livrées en petits conditionnements avec la QualiBox, les solutions Qualis Technologie ne craignent ni le sel, ni le gel. Elles évitent l'apparition de mauvaises herbes, les opérations de désherbage et donc l' utilisation de désherbant ;Zéro phyto, zéro pénibilité, zéro émanation toxique, zéro chaleur, zéro vibration lors de l'application...et lavage des outils à l' eau, les solutions sont adaptées à une utilisation pour les jardins des particuliers ; Elles permettent également de diminuer les arrosages pleine terre et font faire des économies d' eau.Le groupe BOISSET : une entreprise familiale de travaux publics tournée vers l'environnement et l'innovationL'arrivée en septembre et octobre 2020 de la 3ème génération permet d'envisager de nombreux déploiements, grâce à la dynamique nouvelle portée par Nicolas Boisset, titulaire d'un BTS Négociation et Relations Client et d' un master Commerce, passés en alternance, et de Thomas Boisset, diplômé de l'école d'ingénieurs CESI de Montpellier avec une expérience de 5 ans de direction de travaux à Grenoble, sous l'impulsion de leur père Luc Boisset qui a repris en 1991 l'entreprise familiale créée en 1967 par René Boisset.L'occasion pour l'entreprise basée à Chanos-Curson (26) spécialiste des réseaux humides et de terrassement - avec une activité carrière & recyclage de matériaux du BTP acquise en 1999 puis revendue en 2014 -, de se développer dans le domaine de l' innovation. Avec pour particularité la maîtrise de la technique de la chaux vive pour le traitement de l'argile des matériaux inertes, le groupe Boisset a reçu le prix de l'innovation en 2007.Depuis, l'entreprise « à la fibre canalisateur » travaille sans relâche, d' abord seule avec son réseau d' ingénieurs et de « chercheurs Géo Trouvetou », puis avec le Cluster INDURA d'infrastructures et de développement durable, le CERIB (Centre d'études et de recherche de l' industrie du béton) et le CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), au développement de nouveaux procédés plus respectueux de l'environnement et de la maitrise de la ressource naturelle, jusqu'à la découverte du liant organo-minéral. C'est en juin 2018 que naît Qualis® Technologie, après 5 ans de bons et loyaux services de Boisset Aménagement, la branche innovation du groupe créée par Luc Boisset.
Il y a 3 ans et 322 jours

ThermaCote®, une peinture avant gardiste pour l'isolation thermique des toitures, façades et sols

L’isolation thermique est aujourd’hui une préoccupation majeure et l’enjeu pour notre pays est devenu général pour toutes les régions et pas seulement les grandes villes. Isoler toitures, façades ou revêtements de sol, des fortes températures et limiter les déperditions de chaleur sont au cœur des réflexions pour les constructeurs, les particuliers et nos responsables politiques.Avec THERMACOTE®, Durieu apporte à l’isolation thermique une solution pointue très technique qui répond à de multiples contraintes actuelles.THERMACOTE® des atouts spécifiques :Très haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité imparable et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Composé essentiellement de céramique (80 % de la peinture), le revêtement protégé bénéficie de fait des capacités isolantes de la céramique et de sa résistance aux fortes chaleurs.En résumé : les supports protégés voient leur température diminuer sensiblement ou bien leur déperdition de chaleur se réduire pendant l’hiver.Explications :THERMACOTE® un revêtement isolant qui va plus loin, 3 vecteurs d’action : Isolation thermique/ Anti-humidité /Etanchéité à l’air.L’isolation thermique : Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie en surface. Ainsi, un support protégé avec du THERMACOTE® peut passer de 60° à 38°.Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle s’infiltre dans les parois et entraine la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.La combinaison de l’isolation des supports vis-à-vis du chaud, du froid, de l’humidité et de l’air permet de :Éviter les chocs thermiques et donc la présence d’humidité ou de condensation.Empêcher la formation de rouille induite par l’air ou l’humidité avec les supports en métal et d’éviter ainsi au béton armé de rouiller et donc d’éclater.THERMACOTE® c'est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd'hui en Europe et dans le mondeAux USA, THERMACOTE® est agréé par le Cool Roof Rating Council et en Europe par le European Cool Roof Rating Council, attestant de l’efficacité du produit pour la protection et l’isolation des toitures.À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’Etat de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, ...) afin de limiter l’effet d’îlots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’îlots de chaleur.
Il y a 3 ans et 341 jours

Nay Tawile, Directrice générale Onduline Europe, Eric Vincent, Directeur Transformation et RSE du groupe Ondura : 2 nouveaux membres au comité exécutif de Ondura

Ondura et sa filiale Onduline poursuivent leur dynamique de recrutement de talents et viennent d&rsquo;accueillir deux nouveaux membres qui siègeront au Comité Exécutif du groupe Ondura. Ces 2 nouvelles nominations font suite aux rachats d&rsquo;Alwitra et de CB et à la création du Groupe Ondura dont l&rsquo;entreprise Onduline est la tête de pont. Le groupe nouvellement créé s&rsquo;appuiera sur toute l&rsquo;expertise Onduline qui distribue ses produits dans plus de 100 pays vers 20 000 clients dont les plus grandes chaînes de distribution professionnelle et grandes surfaces de bricolage. &nbsp; Nay Tawile, Directrice générale Onduline Europe Nay Tawile vient d&rsquo;être nommée Directrice générale d&rsquo;Onduline pour l&rsquo;Europe. Diplômée de l&rsquo;UTC en génie biologique, Nay Tawile a débuté sa carrière en 2004 en tant qu&rsquo;ingénieur process au sein de l&rsquo;entreprise Valrhona. Dès 2006, elle est nommée Responsable de zone d&rsquo;export pour les secteurs Méditerranée et Moyen-Orient. Après avoir complété sa formation par un MBA à l&rsquo;EM Lyon Business School, elle rejoint le groupe Gerflor en 2010 en qualité de Directrice du développement commercial pour l&rsquo;Afrique. En 2013, elle est nommée Directrice des ventes et marketing des zones Moyen-Orient, Afrique et Méditerranée puis devient Directrice générale Benelux en décembre 2016, poste qu&rsquo;elle occupera jusqu&rsquo;en mars 2021. Forte de sa connaissance des marchés de la construction, Nay Tawile aura la charge d&rsquo;accompagner le développement d&rsquo;Onduline, de renforcer ses positions en Europe &#8211; un périmètre de plus de 100 millions d&rsquo;euros de CA &#8211; et de soutenir les synergies commerciales avec les autres entreprises du groupe Ondura. Avec son expérience et sa maîtrise des langues &#8211; elle parle couramment l&rsquo;anglais, l&rsquo;arabe, le français, l&rsquo;italien &#8211; Nay Tawile dispose de nombreux atouts pour faire de sa nouvelle mission un succès. &nbsp; Eric Vincent, Directeur Transformation et RSE Groupe Ondura Ondura a pour ambition d&rsquo;être un producteur responsable et de contribuer activement aux engagements de l&rsquo;accord de Paris. Son plan de financement est d&rsquo;ailleurs soumis à un prêt à impact qui prévoit une baisse des taux d&rsquo;intérêt si les critères ESG (environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance) préalablement définis sont atteints. Pour conduire la transformation du groupe et des sociétés Alwitra, CB et Onduline, en améliorer les pratiques d&rsquo;excellence opérationnelle et asseoir la stratégie de responsabilité sociale (RSE), Eric Vincent a été nommé Directeur Transformation et RSE Groupe. Eric Vincent profite d&rsquo;une formation d&rsquo;ingénieur complétée par un MBA à HEC Paris. En 1992, il intègre le groupe Sidel (emballage) où il occupe des fonctions de Directeur technique puis de Directeur de filiale. Il devient ensuite consultant en management pendant plus de 10 ans et en 2010, il rejoint Terreal en tant que Vice-président de la Performance industrielle, poste qu&rsquo;il occupera jusqu&rsquo;en 2018 pour devenir Senior Director chez Alvarez & Marsal, société de conseil en gestion, qu&rsquo;il rejoint pour accompagner les acteurs du Private Equity dans leurs projets M&A. Cette création de poste témoigne de la volonté du groupe Ondura de poursuivre son développement ambitieux, de consolider et renforcer ses opérations et sa responsabilité sociale et environnementale, au bénéfice de ses employés, ses partenaires et des collectivités locales où il opère. &nbsp; À propos d&rsquo;Onduline Créé en 1944, le Groupe Onduline, leader mondial des solutions de toitures légères, est un acteur international reconnu de la construction. Il est à l&rsquo;origine des plaques de toitures et de sous-toitures à base de fibres de celluloses recyclées, imprégnées de bitumes pour les rendre étanches à l&rsquo;eau. Onduline est le leader mondial sur ce segment. Ses produits sont valorisés pour leur très forte résistance au vent, leur facilité d&rsquo;installation et notamment, dans les pays tropicaux, leur capacité à réduire significativement le bruit de la pluie battante comparé aux toitures en métal. Onduline est présent sur les 5 continents grâce à 9 usines, 32 filiales commerciales et environ 1500 collaborateurs. Onduline distribue ses produits dans plus de 100 pays vers 20 000 clients dont les plus grandes chaînes de distribution professionnelle et grandes surfaces de ricolage. Le groupe réalise 85% de son chiffre d&rsquo;affaires à l&rsquo;export. www.onduline.com À propos d&rsquo;Ondura Le groupe international Ondura est spécialisé dans les solutions d&rsquo;étanchéité pour les bâtiments et regroupe des entreprises leaders dans leurs domaines : Onduline (toiture légère pour les toits en pente), CB (écrans de protection pour façades et de sous-toiture pour toits inclinés) et Alwitra (systèmes d&rsquo;étanchéité hautes performances pour les toits plats). Il dispose de 13 usines en France, Allemagne, Pologne, Espagne, Russie, États-Unis, Malaisie, Brésil et Turquie. Il réalise un chiffre d&rsquo;affaires consolidé de 350 M€ dans plus de 100 pays et emploie 2000 personnes de 34 nationalités différentes. www.onduragroup.com
Il y a 4 ans et 7 jours

Edma : Des lingettes nettoyantes pour les chantiers

Les lingettes nettoyantes Edma permettent d’accompagner les compagnons dans leurs travaux du quotidien. [©Edma] En complément des outils qu’il propose aux artisans, Edma intègre à son catalogue des lingettes nettoyantes efficaces pour nettoyer les outils des artisans, les surfaces lisses et non poreuses ou les mains. Ces lingettes nettoyantes mains et surfaces se révèlent particulièrement utiles sur un chantier, puisque leur usage ne nécessite aucun rinçage, ni séchage. Et ne laisse aucun résidu. Edma : Contre toutes les salissures En effet, leur fort pouvoir nettoyant se joue des salissures ordinaires, mais aussi des graisses dures (noires). Ainsi que des peintures, adhésifs, huiles, lubrifiants ou bien encore du cambouis. Ou bien des encres, cires, bitume, goudron ou des marques de gazon. D’autres produits fréquemment utilisés sur les chantiers, tels que silicone, polymères, colles, mousses polyuréthane ou résines époxy… ne résistent pas davantage à leur action détergente. Parfumées aux agrumes et sans danger pour l’épiderme, ces lingettes sont classées dans la catégorie “produits cosmétiques” et répondent à toutes les normes de sécurité et de santé publique en vigueur.
Il y a 4 ans et 34 jours

Le Grand Palais éphémère en bois de l'architecte Wilmotte sur le Champ de mars sera inauguré en juin

Tout près de l'Ecole militaire qui la surplombe de 16 mètres et dans la perspective de la Tour Eiffel au loin, cette structure claire de 10.000 m2, création de l'architecte Jean-Michel Wilmotte, sera inaugurée le 12 juin.En bois d'épicéa, le bâtiment tout en rondeur reproduit en plus petit la forme du Grand Palais désormais fermé de l'autre côté de la Seine. Il le remplace le temps de sa rénovation, soit trois ans.Il fallait inventer une nouvelle nef pour accueillir la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), les défilés Chanel, le Saut Hermès (sauts d'obstacles) et autres évènements de prestige.Couvert d'une toile transparente en polymère, le Grand Palais éphémère, "est comme un ovni qui aurait atterri sur le Champ de Mars. C'est de l'architecture aérienne", résume le président de la Réunion des musées nationaux (RMN)-Grand Palais, Chris Dercon."En août dernier on pouvait encore jouer aux boules ici", rappelle Jean-Michel Wilmotte. Après plusieurs mois de travaux préparatoires, 44 arches monumentales ont pu être assemblées sur place en trois mois.L'entrée se fait par un hall en vitres où se reflète la façade de l'Ecole militaire et qui englobe la statue rénovée du maréchal Joffre. Puis s'ouvre une nef au sol en bitume, à la voûte bleu nuit. Aucun poteau ne rompt l'espace de 51 m de largeur et 33 m de profondeur.Au dessus, six couches d'isolation phonique forment un coussin acoustique.La surface d'exposition est de 9.900 m2. Chaque année une structure additionnelle légère s'ajoutera pour offrir à la FIAC et à Paris Photo jusqu'à 18.000 m2. La jauge sera de 9.000 visiteurs maximum.Le comité d'organisation des JO "Paris 2024" a prévu d'y installer des tribunes à partir de juillet 2023 pour accueillir l'année suivante 8.000 spectateurs pour les épreuves de lutte et de judo.Mais un temps de cohabitation entre l'organisation des JO et les évènements organisés par le Grand Palais est envisagé.Ecoresponsable"On est en train de voir dans quelles conditions nous pourrions rester jusqu'au printemps 2024, échéance à laquelle on s'est engagé à rouvrir le Grand Palais", explique Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la RMN."Ici, la nuit, les arbres, les bâtiments, la Tour Eiffel illuminée rentrent par les baies vitrées. C'est presque comme un palais de vampires!", Chris Dercon se félicite de ce "dialogue avec tout ce qui se passe autour" et aussi "avec tout le passé" de deux siècles de foires industrielles dans ce lieu.Pour sa grande baie vitrée au nord, Wilmotte a choisi la même courbure que l'arrondi sous la Tour Eiffel. Et "la lumière fait la jonction entre Trocadéro, Tour Eiffel, Ecole Militaire. On n'a pas cassé la perspective", souligne-t-il.Le jeu des reflets superpose même de manière nouvelle et étonnante la Tour Eiffel et l'Ecole Militaire.Jean-Michel Wilmotte défend un projet "écoresponsable": "L'épicéa est un bois d'élevage. Dans l'ensemble de la forêt européenne, ce chantier correspond à une heure et demie de pousse, c'est très symbolique!".Le polymère est de source minérale, générant 90% d'énergie en moins dans la fabrication par rapport au verre, et entièrement recyclacle. L'électricité fournie est garantie d'origine 100% renouvelable.En septembre 2024, le démontage commencera. "Le bâtiment a été fait pour être vendu par morceaux", explique l'architecte. Cinq morceaux principaux qui pourront être réutilisées, reconstruits ailleurs. Des SMS de propositions arrivent déjà à l'architecte. Le chantier a été confié à la société GL Events. Son coût est de 40 millions d'euros. Un montant qui sera couvert, assure-t-on, par les revenus de location perçus par la Rmn-Grand Palais et les apports du Comité d'Organisation "Paris 2024".
Il y a 4 ans et 43 jours

Du liège dans le bitume pour atténuer le bruit de la circulation à Limoges

Du li&egrave;ge dans le bitume des routes ou des rues pour att&eacute;nuer le bruit de la circulation : une exp&eacute;rience vient d&#39;&ecirc;tre lanc&eacute;e pour trois ans &agrave; Limoges sur un axe tr&egrave;s fr&eacute;quent&eacute;.
Il y a 4 ans et 50 jours

Limoges : du liège mêlé à du bitume pour contrer les nuisances sonores de la route

EXPÉRIMENTATION. Limoges Métropole, Colas, l'Université de Limoges ainsi que le Cerema viennent de lancer une expérience consistant à mélanger du liège avec du bitume afin d'atténuer les bruits de la circulation. Le projet prend place sur un axe très fréquenté et devrait durer trois ans.
Il y a 4 ans et 69 jours

Parution de l'étude "Roulépur" sur la rétention et la réduction des eaux pluviales rejetées

Les conclusions du programme d'évaluation « ROULEPUR », financé par l'agence de l'eau Seine-Normandie, l'Office Français de la Biodiversité (OFB) et ECOVEGETAL(1), montre, qu'à l'échelle annuelle, les parkings perméables retiennent jusqu'à 90% des eaux pluviales et réduisent, de plus de 80%, la majorité des polluants présents.Le programme de recherche « ROULEPUR » (2014-2020) avait pour but d'évaluer en conditions réelles la performance de solutions de rétention et de réduction à la source des polluants liés aux eaux de voiries et de parking. Rappelons que la question se pose avec acuité car chaque année c'est plus de 3,5 millions de m² qui sont goudronnés et donc imperméabilisés(2) et plus de 3 millions de m3 d'eaux pluviales, non traitées ou trop rarement, qui sont rejetées dans les rivières et à la mer(3).Dans le cadre de « ROULEPUR », plusieurs expériences, complémentaires l'une de l'autre, ont été mises en place par l'ensemble des partenaires techniques du programme. Notons, parmi celles-ci, l'expérience menée par ECOVEGETAL, le LEESU et le CEREMA, qui avait pour but de mesurer les capacités de rétention et de traitement des eaux pluviales polluées de différents types de systèmes de parkings perméables (végétalisés ou non) versus un parking imperméable.Lucie Varnède, docteure et ingénieure recherche chez ECOVEGETAL, a réalisé sa thèse dans le cadre du programme ROULEPUR. Elle explique les moyens matériels mis en place pour la mesure : « Nous étudions un parking ECOVEGETAL à Villeneuve-le-Roi réalisé il y a 7 ans, le parking perméable de l'entreprise ECOVEGETAL et des maquettes de simulation. »Pour les 20% d'événements où de l'eau s'écoule des drains des parkings perméables, la percolation de l'eau de pluie à travers les parkings perméables ECOVEGETAL permet d'écrêter les débits et de réduire significativement les débits de pointe en sortie de drains (entre 84 et 89%). ECOVEGETAL réalise la plupart des parkings perméables sans drains pour infiltrer la totalité des pluies. Pour l'expérience, les parkings lieux des mesures, ont été équipés de drains.L'évapotranspiration est aussi un élément important à prendre en compte dans la capacité des parkings perméables à gérer les eaux de pluies, avec des coefficients de ruissellement très faibles voire nuls en période estivale.L'étude ROULEPUR montre que pour la plupart des parkings perméables en France, il est possible d'infiltrer la totalité des pluies reçues, cela permettra une réalimentation des nappes phréatiques en milieu urbain.En ce qui concerne le traitement des polluants liés à l'écoulement des eaux pluviales, on observe que les parkings perméables permettent d'abattre plus de 80% des masses annuelles de 51 polluants.On pense, en particulier, aux concentrations en hydrocarbure aromatique polycyclique (HAP) lourds (générés, notamment, par la combustion des moteurs) et aux phtalates (utilisés essentiellement dans les plastiques en PVC). Les parkings perméables apportent également une solution pour le traitement de certains polluants comme les nonylphénol(4) ou encore le Bisphénol A(5), avec un abattement compris entre 20 et 80% selon les polluants.« Voilà autant de polluants que nous pourrions retenir pour éviter de polluer nos rivières et, par conséquence, la mer et les océans. Le développement des sols perméables est une urgence de premier plan pour gérer les eaux pluviales, réalimenter les nappes phréatiques et contribuer efficacement au rafraichissement du climat de nos villes. »Pierre Georgel – fondateur d'ECOVEGETAL(1)ECOVEGETAL, co-leader des toitures végétalisées, avec plus de 3 Millions de m² de toitures, et leader des parkings perméabilisés, avec plus de 4 millions de m², emploie 100 personnes réparties sur 4 sites de production en France. Son siège social est situé à Broué dans l'Eure et Loir (28).(2)Selon les déclarations de permis de construire enregistrées par les mairies en France métropolitaine. De plus, on estime que le total des surfaces bitumées chaque année pourrait s'élever à plus de 8 Millions de m² si on prend en compte les maisons individuelles et les parkings des villes, soit un département entier imperméabilisé tous les 10 ans.(3)Sources Bureau d'étude ECOVEGETAL(4)Nonylphénols sont des composés organiques utilisés en chimie. Ils sont théoriquement biodégradables mais toxiques.(5)Le Bisphénol est un composé organique utilisé dans la fabrication de résines et de plastiques. Il est considéré comme un perturbateur endocrinien.
Il y a 4 ans et 89 jours

Comment entretenir une toiture-terrasse?

L’entretien de la toiture est une tâche que de nombreux propriétaires de maison omettent. En effet, il ne suffit pas de passer un coup d’aspirateur ou de balai pour la nettoyer. En raison de l’importance de son rôle, cet élément de la maison mérite une plus ample attention. En effet, le nettoyage du toit est une opération incontournable, et ce, qu’importe sa forme (pentu ou plat). Dans cet article, nous allons nous pencher sur l’entretien d’une toiture plate que l’on appelle également « toiture-terrasse ». Pourquoi entretenir sa toiture-terrasse ? Il faut rappeler que la toiture remplit une fonction protectrice. En effet, c’est la partie de la maison qui garantit son bon état et les autres éléments qui la composent (charpente, façade, fondation, etc.). En outre, la toiture peut être transformée en un espace de vie. C’est le cas de la toiture — terrasse. En général, on peut accéder à ce type de toit. Il est donc plus facile de l’entretenir. Encore faut-il utiliser le bon matériel pour obtenir un résultat impeccable. Au même titre que les autres sortes de toiture, la toiture-terrasse finit par être envahie par les mousses, les lichens et les algues à mesure que le temps passe. D’ailleurs, ces végétaux parasites ont tendance à se développer sur ce type de toit, et cela s’explique. À la différence de la toiture en pente, la forme plate de celle-ci favorise la stagnation des eaux de pluie du fait que leur évacuation s’opère difficilement. C’est une conséquence de la faible inclinaison de sa pente. Un toit humide est cependant un environnement favorable au développement et à la prolifération des champignons. Ces derniers n’affectent pas seulement le revêtement. Ils peuvent occasionner de sérieux problèmes d’infiltration d’eau. Il est donc primordial de les éradiquer pour que l’intégrité et la longévité de la toiture soient préservées. Pour cette tâche, vous pouvez vous adresser à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-60.fr/. Comment procède-t-on à l’entretien d’une toiture-terrasse ? Comme vous l’aurez compris, il faut nettoyer la toiture-terrasse à un intervalle régulier. Pour assurer sa propreté, il faudra : Nettoyer la toiture plate Les travaux de nettoyage se matérialisent par le retrait des impuretés présentes à sa surface. C’est le cas des débris de végétaux, des poussières et des champignons. Pour la mise en œuvre de cette opération, on peut se servir d’une brosse dure ou d’un nettoyeur à haute pression. Appliquer un traitement hydrofuge Après l’avoir nettoyé, il est vivement conseillé de pulvériser un produit hydrofuge sur la surface du toit. Cette opération est avantageuse sur différents plans. Elle empêche la formation et la propagation des pollutions vertes (mousses, lichens, algues). L’hydrofuge rend également le support plus étanche et moins sensible à l’encrassement. Toutefois, nous vous recommandons de solliciter les conseils d’un couvreur professionnel afin de savoir quel type d’hydrofuge convient le mieux aux caractéristiques de votre toit. Régénérer la membrane d’étanchéité Quand la membrane d’étanchéité n’a pas été entretenue depuis longtemps, des boursouflures finissent par apparaitre et l’altérer. Dans ce cas, il faut envisager sa rénovation complète ou partielle. Cette opération implique la mise en place d’un revêtement spécial sur les zones concernées. Il peut s’agir d’une feuille bitumée ou de l’asphalte. Ici encore, nous vous incitons à requérir les conseils d’un expert en travaux de toiture. Ce professionnel peut vous diriger dans votre choix du revêtement. Il peut même s’occuper de son installation. Nettoyer les gouttières Pour empêcher les stagnations d’eau, il est crucial de débarrasser les gouttières des saletés qui se longent dans leurs parois. L’idéal est de ramasser à la main les déchets qui sont vulnérables de les obstruer. Quant aux parties difficilement accessibles, un nettoyeur à haute pression sera utilisé pour leur nettoyage.
Il y a 4 ans et 90 jours

Bordeaux inaugure sa première micro-forêt destinée à "casser le bitume"

"On n'est pas là depuis longtemps mais on commence à casser le bitume. C'est une plus-value pour tout un quartier, il y a une obligation de créer des îlots de fraîcheur", a expliqué le maire de Bordeaux devant la presse après avoir planté le premier chêne de cette nouvelle place."Un espace de 100m2 de forêt réduit de un degré la température dans les rues adjacentes", a affirmé Pierre Hurmic, rappelant qu'une "dizaine de micro-forêts" similaires étaient à l'étude à l'échelle de la métropole bordelaise.Encore en cours de plantation, cette place de 180m2 dans un quartier résidentiel du sud de Bordeaux, doit accueillir une micro-forêt très dense constituée de 600 plants forestiers, comprenant 25 espèces d'arbres et une soixantaine d'herbacés différents, pour un coût total de 50.000 euros, selon la mairie. "La plantation est un acte altruiste", explique Christophe Dangles, responsable du service arbre et forêt à Bordeaux métropole. "On plante pour les générations suivantes", poursuit-il, précisant que cette place "imaginée comme un décor" n'était pas vouée à accueillir du public.Sur place, les riverains accueillent sans véritable enthousiasme ce nouvel aménagement, à l'origine de la suppression de "13 places de parking" selon Cyrille, installé depuis une quinzaine d'années dans le quartier, "pas content" de devoir payer "15 euros par mois pour chercher une place de stationnement" (résidentiel).Michel, 69 ans, propriétaire d'une maison donnant sur la future micro-forêt, est "plutôt favorable" au projet mais le retraité regrette une décision politique "sans concertation" pour planter "des chênes qui vont mettre 30 ans à pousser"."Il faudra plusieurs dizaines d'années avant d'avoir un arbre adulte", concède Didier Jeanjean, adjoint au maire en charge de la nature en ville, conscient de "changer les habitudes" après des "décennies de culture de la voiture".Cette première micro-forêt est conçue comme la première "déclinaison" de la stratégie de végétalisation de l'espace public portée par Pierre Hurmic, visant à "passer d'une ville très minérale à une ville plus végétale".Fin 2020, la municipalité avait présenté son plan "Bordeaux grandeur Nature" prévoyant notamment le triplement du budget consacré aux plantations, fixé à 300.000 euros, et la protection d'espaces en friche de la bétonisation.
Il y a 4 ans et 91 jours

Bordeaux "casse le bitume" avec une première micro-forêt urbaine

AMÉNAGEMENT URBAIN. Le maire EELV de Bordeaux, Pierre Hurmic, a inauguré le 9 mars la première micro-forêt de la ville sur une place jusqu'alors réservée au stationnement automobile, une opération "emblématique" du plan de végétalisation mené par la nouvelle mairie écologiste.
Il y a 4 ans et 110 jours

Le premier giratoire en béton isérois

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Aspect fini du giratoire sur la D 1015. [©MCA] ISERE. Situé sur la route principale d’accès à une cimenterie (celle de Vicat), le rond-point entre Montalieu-Vercieu et Porcieu-Amblagnieu, sur la D 1015, était arrivé en fin de vie. Ainsi, pour remplacer ce giratoire en enrobé, le département de l’Isère a fait un choix intéressant, un traitement de béton. Une première pour l’Isère. Géré par Sylvain Boyon, Mineral Concept Amenagement (MCA) en a effectué la mise en œuvre. «&nbsp;Pour répondre à la forte sollicitation due au trafic de la cimenterie, nous avons fait le choix d’un béton BC5G goujonné avec une finition balayée. Il s’agissait de couler 350 m3 d’un béton formulé sur la base d’un ciment CEM I 52-5 PEM ES et produit par la centrale Vicat de Pérouges. Les joints de retrait/flexion, dilatation ont été traités par la mise en place de paniers-porte-goujon et goujon. » Une première en Isère Mais c&rsquo;est l’entreprise Favier TP qui avait, au préaable, effectuée la préparation du support, le rabotage, le reprofilage en grave bitume et la pose des bordures. «&nbsp;L’ensemble de l’opération a été réalisé en un mois, entre octobre et novembre 2020. Nous sommes une entreprise qui œuvre quotidiennement dans l’application de béton de sol, mais plutôt en béton décoratif ou aménagement urbain. Pour nous, ce chantier était l’occasion de montrer l’intérêt de construire des routes en béton. Là où un giratoire classique tient entre 10 et 20 ans, ce type de rond-points a une durabilité de 30 à 40 ans&nbsp;! C’était une première pour l’Isère. Nous espérons qu’ils renouvelleront l’expérience et que d’autres départements comprendront leur intérêt&nbsp;», conclut Sylvain Boyon. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 131 jours

Collet : Etre au service des industriels

Grégoire Collet représente la 4e génération de la famille à la tête de l’entreprise éponyme. [©Collet] L’année 2020 a été compliquée pour le BTP. Est-ce aussi le cas pour vous&nbsp;? Nous avons un mode de fonctionnement un peu particulier. Nous sommes sous-traitants dans des domaines très diversifiés, que sont la route, le bâtiment, les lubrifiants, l’automobile, la cosmétologie, les engrais… Ce large panel nous a permis de passer entre les gouttes. D’autant que certains évènements industriels survenus au cours des 15 derniers mois ont été plutôt favorables aux sous-traitants que nous sommes…&nbsp;A ce jour, l’activité “bâtiment/produits bitumineux” chez Collet se porte bien. Pour le bâtiment, quelles sont les solutions bitumineuses que vous proposez&nbsp;? Notre entreprise bénéficie de&nbsp;75 ans&nbsp;d’expérience dans ce domaine. Je représente la 4e génération de la famille à sa tête. Nous avons toujours fait du bitume. Depuis le début, ce produit est utilisé pour l’imperméabilisation et la protection des bétons et fondations. Ou encore pour des applications dérivées, tels le collage d’éléments sur béton comme les panneaux d’isolants, voire le roofing avec les primaires d’adhérence pour étanchéité bitumineuse. Cependant, vous ne trouverez pas de produits portant le nom de Collet sur le marché. Nous les produisons pour le compte de grandes marques du bâtiment, en sous-traitance. Leur popularité ne s’est jamais démentie. Ils sont appelés “Noir de fondation” sur les chantiers. Vous produisez aussi des granualts en PSE destinés à la composition de bétons spéciaux. Nous produisons des billes de polystyrène expansé utilisées comme granulats dans les bétons dits “allégés”. Nous avons trois références dans ce domaine. Le plus connu est le Styrobéton, qui a déjà une trentaine d’années d’existence. Il bénéficie d’un Avis technique, ainsi que d’une accréditation Socotec relative aux formes de pente. Ce sont des billes expansées, calibrées et enrobées d’un additif, permettant leur meilleure dispersion. Le produit est installé sur le marché avec un volume conséquent, et est utilisé par les majors du secteur. Les billes bénéficient de deux autres références plus récentes… Le Styro Light Form est construit sur le même concept que le Styrobéton, mais avec des billes d’un diamètre supérieur. Il est employé en remplissage de fissures ou de désordres, ou en tant que ravoirage. Depuis 2016, nous avons aussi lancé le Styro Light Fluide. Comme son nom l’indique, il permet d’obtenir une matrice de béton allégé très fluidifiée, d’une consistance moins plastique, ce qui est en facilite la mise en œuvre. C’est un marché nouveau qui se développe. Selon l’évolution des ventes de ce produit en 2021, nous envisageons d’engager une démarche de certification visant à un Avis technique. C’est sans doute notre solution du futur. Il était évident qu’il nous fallait une gamme répondant à l’explosion du concept des chapes fluides sur le territoire français. Quels sont les leviers pour faire progresser le Styro Light Fluide ? A l’heure actuelle, l’ensemble de la gamme Styrobéton est commercialisé par notre distributeur. Cette gamme est d’ailleurs proposée sous notre propre marque&nbsp;: Collet-Cobil. Je pense qu’à travers la communication, mais surtout les références chantiers, le Styro Light Fluide va vite se faire connaître et convaincre ses futurs utilisateurs.
Il y a 4 ans et 133 jours

Interface® : CQuest™Bio

Forte de sa longue expérience, Interface®, leader mondial de la production de revêtements de sol modulaires écoresponsables, vient de lancer sa toute dernière collection de dalles de moquette : NY+LON Streets™. Celle-ci s’associe à CQuest™Bio, une nouvelle sous-couche à base de matériaux à empreinte carbone négative. Zoom sur un produit à la grande technicité et au design remarquable ! Interface® investit dans l’innovation et s’appuie sur la science des matériaux pour transformer son processus de fabrication en un mode de production respectueux de l’environnement. Sans PVC et sans bitume, la sous-couche révolutionnaire CQuest™Bio est fabriquée à partir d’un biocomposite de matières végétales renouvelables et de matériaux de remplissage recyclés, illustrant bien la volonté de l’entreprise de réduire son empreinte carbone.Aujourd’hui, Interface® a pour objectifs d’innover sur ses produits textiles et de travailler à la réduction de l’empreinte carbone de ses dalles LVT et produits en caoutchouc. La création de la sous-couche CQuest™Bio s’inscrit dans cette logique et constitue une étape majeure de l’engagement « Climate Take Back » mené par l’entreprise : elle a nécessité l’incorporation de nouveaux éléments bio-sourcés et de davantage de matières premières recyclées. Ces nouveaux matériaux, évalués de façon indépendante, ont un bilan carbone négatif net, ce qui diminue l’empreinte carbone totale du produit.En imaginant la sous-couche CQuest™Bio, l’entreprise réalise une gamme aussi esthétique que durable.À propos d’Interface®Créée en 1973 par Ray Anderson, Interface® propose aujourd’hui des solutions innovantes de revêtements de sol modulaires écoresponsables. Outre son savoir-faire, la réputation de la société réside également dans son engagement écologique et sa qualité de prestation. Aujourd’hui implantée à l’international, Interface® aide sa clientèle à créer des intérieurs uniques qui favorisent le bien-être, la productivité et la créativité, ainsi que le respect de l’environnement.Le choix de la rédactionCQuest™Bio est un produit à la fois décoratif et durable, ce qui lui a valu de se faire remarquer par la rédaction de Muuuz et de recevoir un Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Revêtements de sol écoresponsables ».Pour en savoir plus, visitez le site d’Interface®.Visuels : © Interface®La rédaction
Il y a 4 ans et 148 jours

Colas s’engage pour réduire son empreinte carbone

Centrale à béton Servant, marque appartenant au groupe Colas. [©Colas] Colas s’engage dans une stratégie de décarbonation de ses activités. Le groupe s’est fixé un objectif ambitieux : réduire de 30 % ses émissions directes de gaz à effet de serre (Ges) comme ses émissions indirectes en amont. Pour cela, il a élaboré une feuille de route “Carbone”. Cette dernière est pilotée par un comité stratégie carbone. Elle est déployée dans les entités opérationnelles. « Le changement climatique nous oblige et nous engage aujourd’hui et demain, indique Frédéric Gardès, directeur général de Colas. Etre leader mondial de la construction et de l’entretien d’infrastructures de transport, c’est avoir la responsabilité de faire évoluer tout ce secteur dans la bonne direction. Dès 2021, toutes les équipes de Colas dans le monde seront mobilisées pour concrétiser les engagements établis dans notre feuille de route carbone. » Celle-ci comporte d’ailleurs 24 engagements, mesurés à l’aide d’indicateurs existants ou en cours de création. L’objectif fixé est issu des estimations d’économies de CO2liées à la mise en place de diverses actions internes.&nbsp; Réduire la dépendance aux énergies fossiles La première d’entre elles consiste à intégrer les enjeux climatiques dans la stratégie du groupe. Pour y parvenir, Colas souhaite : • Analyser les risques et les opportunités du changement climatique sur les activités&nbsp;;• Sensibiliser tous les collaborateurs aux enjeux climatiques&nbsp;;• Développer de nouveaux segments métiers basés sur les offres énergies renouvelables&nbsp;;• Valoriser la stratégie bas carbone du groupe dans ses offres. La deuxième action vise à améliorer l’efficience énergétique pour réduire les émissions de Ges liées à la consommation directe d’énergie. A savoir :  • Mettre en place des outils de pilotage et de suivi énergétique des centrales d’enrobage, des engins et des véhicules. D’ici à 2024, près de 50 % de la flotte seront équipés en télématique embarquée&nbsp;;• Former à l’éco-conduite les collaborateurs utilisateurs d’engins et de véhicules&nbsp;;• Diminuer la consommation et le taux de ralenti des véhicules&nbsp;;• Réduire la dépendance aux énergies fossiles en recourant aux énergies renouvelables&nbsp;;• Favoriser les transports alternatifs (fret ferroviaire ou par voie navigable) à la route pour l’acheminement du bitume et des granulats&nbsp;;• Faire évoluer la flotte de véhicules vers des solutions bas carbone (électriques, hydrogène vert, biogaz, hybrides…). Développer l’achat de ciment et de liants hydrauliques bas carbone&nbsp; En troisième place viennent l’essor et la promotion des produits, techniques et solutions bas carbone. Aussi bien pour les activités “bétons” qu’“enrobés” : • Développer l’achat de ciment et de liants hydrauliques bas carbone&nbsp;;• Réduire l’intensité carbone des bétons produits sur les sites de BPE du groupe Colas&nbsp;;• Développer le recours aux matériaux biosourcés&nbsp;;• Faire du groupe un acteur de la recherche sur les liants bas carbone dans le domaine des infrastructures de transport&nbsp;;• Augmenter la part de matériaux recyclés dans les enrobés. L’objectif est de 18 % d’ici à 2024&nbsp;;• Développer le recyclage des chaussées en place&nbsp;;• Diminuer la température de fabrication des enrobés&nbsp;;• Promouvoir les enrobés tièdes, avec une production mondiale de 50 % à l’échelle mondiale d’ici 2030. Enfin, la quatrième grande action prévoit de contribuer à la neutralité carbone et à la réduction des émissions des clients et usagers. Pour ce faire, Colas prévoit de : • Proposer des services de mobilité innovants et responsables&nbsp;;• Optimiser les usages des infrastructures&nbsp;;• Favoriser la recherche et développement sur des techniques de captage et séquestration de CO2. Une démarche menée via des partenariats avec des entreprises ou start-up spécialisées dans le domaine.
Il y a 4 ans et 176 jours

Alain Boisselon élu à la tête de l’Unicem

Alain Boisselon, nouveau président de l’Unicem. [©Unicem] Alain Boisselon a été élu à la présidence de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem). Il succède à Nicolas Vuillier. Directeur de l’activité carrières de Granulats Vicat France, Alain Boisselon va ainsi renforcer le rôle fédérateur de l’Unicem vis-à-vis des unions régionales et des syndicats, membres de l’Union. Ceci, en favorisant la concertation dans l’étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes. Il va aussi développer une vision sur le long terme. Et travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. « Le président de l’Unicem entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société », peut-on lire dans le communiqué de presse. Sa carrière professionnelle « La nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité. Mais aussi de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l’air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes. A commencer par nos clients, explique Alain Boisselon. La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires. A savoir, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l’action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin. » Alain Boisselon a plus de 35 années d’expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur l’ESTP, il décroche celui de l’IAE Paris &#8211; Sorbonne Business School. Il débute ensuite sa carrière en tant qu’ingénieur bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l’emploi et des granulats. Sa carrière syndicale Tout au long de sa carrière, Alain Boisselon a occupé des mandats syndicaux. Président de l’Unicem Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les Unicem Auvergne et Rhône-Alpes. Dont il est devenu le président.  De plus, il a été membre du comité directeur du SNBPE en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000. Puis, du Bureau de l’Unicem de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) depuis 2019. Le tout, en assurant la présidence de la Commission économique pendant 20 ans. Et ce, jusqu’en 2016. A l’échelle européenne, Alain Boisselon a été président de l’Environment Commitee de l’Union européenne des producteurs de granulats (UEPG) pendant 6 ans, de 2014 à 2020.
Il y a 4 ans et 180 jours

Alain Boisselon élu président de l'UNICEM

Alain Boisselon a plus de 35 années d'expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d'Ingénieur option TP à l'ESTP en 1983, il est diplômé de l'IAE Paris - Sorbonne Business School, en 1984. Il débute ensuite sa carrière en tant qu'Ingénieur Bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le Groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l'emploi et des granulats. Il est aujourd'hui Directeur de Granulats Vicat, filiale qui gère les carrières de granulats du Groupe Vicat, en France.Des mandats régionaux, nationaux et EuropéensTout au long de sa carrière, Alain Boisselon a également occupé des mandats syndicaux. Président de l'UNICEM Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les UNICEM Auvergne et Rhône-Alpes, et est devenu Président de la région AURA.Son expérience syndicale est également riche à l'échelle nationale. Il a été, successivement, membre du comité directeur du SNBPE (Syndicat National du Béton Prêt à l'Emploi) en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000, membre du Bureau de l'UNICEM de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l'UNPG depuis 2019, tout en assurant la présidence de la Commission Économique pendant 20 ans et ce jusqu'en 2016. À l'échelle Européenne, Alain Boisselon a été Président de l'Environment Commitee de l'UEPG (Union Européenne des Producteurs de Granulats) pendant 6 ans, de 2014 à 2020. Travailler à la reconnaissance de matériaux à la fois durable et respectueux de l'environnementFort de ses années d'engagement et d'expérience dans la vie syndicale, Alain Boisselon souhaite, lors de son mandat, renforcer le rôle fédérateur de l'UNICEM vis-à-vis des unions régionales et des syndicats membres de l'UNICEM, en favorisant la concertation et l'union dans l'étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes.Il souhaite aussi développer une vision sur le long terme afin d'assurer la pérennité et le développement des entreprises de la filière et de travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. Le Président de l'UNICEM entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société. Pour Alain Boisselon, « la nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité, de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l'air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes, à commencer par nos clients.La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l'action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin » conclut-il.
Il y a 4 ans et 195 jours

Shell bitumes : 100 ans et un nouveau bitume innovant

La marque au coquillage a ouvert en 1920 sa première usine de bitume. 100 plus tard, un nouveau produit censé aider à faire baisser la pollution de l'air provoquée par l'enrobé cherche à s'imposer sur le marché.
Il y a 4 ans et 253 jours

Livraison des travaux pilotés sur l'aéroport de Toulouse Francazal

Avec le chantier de rénovation de la chaussée aéronautique de l'aéroport de Tarbes actuellement mené, Spie batignolles malet signe ici sa deuxième collaboration avec Edéis, et complète son expertise en chaussées aéronautiques.Mutation profonde d'un site originellement bâti pour l'arméeLes équipes de deux agences de Spie batignolles malet sont intervenues sur la transformation d'un site historique, s'agissant de la première plateforme aérienne de l'armée en France. A sa création en 1934, les activités militaires étaient alors seules autorisées sur l'aéroport Francazal-Toulouse.Au fil du temps, en complément de sa vocation initiale, l'aéroport voit son périmètre évoluer pour étendre son offre d'exploitation, ouvrant notamment son accès à l'aviation d'affaires, à l'accueil d'autres formes de transport en développement, et aux entreprises aéro-industrielles,C'est dans cette perspective qu'Edéis a lancé un vaste programme de réfection des voies existantes et de développement de nouvelles infrastructures, pour un montant de 7 millions d'euros.Edéis a confié ce nouveau marché de travaux à Spie batignolles malet, témoignant de sa confiance renouvelée.Le chantier de l'aéroport de Toulouse-Francazal a été mené sur 5 zones distinctes, incluant les réfections suivantes :la piste principale, nécessitant deux semaines pleines de travaux menés au cours de l'été dernier. Pour ce faire, les équipes de Spie batignolles malet ont employé 4 finishers de front (30 m de large) dont 2 grandes tables.le taxiwayles zones de circulation proches des hangarsles 40 000 m linéaires de joints et dalles béton avec la création d'ancragesl'ancienne zone ravitaillementAu total, les équipes ont mis en œuvre 40 000 tonnes d'enrobés de différentes compositions (BBA[1], BBME[2], BBSG[3] et Grave Bitume), en intervenant sur un périmètre de 161 000 m². Excepté pour les travaux réalisés sur la piste principale, Toutes les tâches ont été menées dans un site resté en activité.Ces travaux, démarrés le 20 janvier 2020, devaient durer 7 mois. Après la fermeture du chantier au cours de la période de confinement, la livraison a été décalée à septembre 2020.[1] Béton Bitumineux pour chaussées Aéronautiques[2] Béton Bitumineux à Module Elevé[3] Béton Bitumineux Semi Grenu
Il y a 4 ans et 286 jours

Duro SX 35 : La plaque nervurée et bitumée garantie 20 ans

Pour leur offrir une solution de couverture aussi durable que simple à poser, ONDULINE le spécialiste de systèmes de toitures et sous toitures légères lance DURO SX 35, une plaque nervurée et bitumée particulièrement résistante et garantie 20 ans.La plaque DURO SX 35 est une feuille de bitume renforcée par des fibres cellulosiques associées à une résine. Son épaisseur de 3,5 mm lui confère une bonne rigidité et une grande solidité ce qui permet au fabricant de la garantir pendant 20 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps.La plaque DURO SX 35 est la solution idéale pour tous ceux qui recherchent un système de couverture fiable, durable et facile à poser. Sa technologie de double guide de recouvrement permet un alignement aisé des plaques lors de la pose et assure l’étanchéité de l’ensemble.Légère, avec un poids de 5,9 kg pour une taille de 200 cm par 82 cm, et souple, la plaque est très facile à rouler, pour passer dans des endroitsexiguës, et à manipuler lors du chantier pour s’assurer du bon recouvrement des bords entre eux et ainsi permettre une bonne étanchéité.Une finition parfaitePour s’assurer d’une finition soignée de la toiture, ONDULINE a développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux. Les rives développées par ONDULINE tolèrent un rattrapage de 5 cm entre les plaques et la toiture.Côté fixation, c’est au choix de l’installateur selon la qualité du support. ONDULINE propose des pointes de 65 mm ou des vis de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Les vis universelles ONDULINE sont les mêmes pour l’ensemble des gammes ONDULINE.Différents coloris disponiblesAvec les plaques ONDULINE DURO SX 35, la nouvelle toiture s’intégrera harmonieusement à son environnement.Le fabricant propose, en effet, la plaque parmi un choix de 4 couleurs : rouge intense, rouge classique, gris anthracite ou vert.Une plaque respectueuse de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’ONDULINE, sont utilisés pour la coloration de la plaque DURO SX 35. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque sont sans amiante ni métaux ferreux, ce qui garantit qu’elle ne présente aucun risque pour la santé.Avec un bilan carbone positif de 4066g CO2/m2, le plus bas de sa catégorie, la DURO SX 35, comme tous les produits ONDULINE, est respectueuse de l’environnement.ONDULINE : Une entreprise performanteONDULINE® est la première entreprise à établir une EPD (Environmental Product Declaration) dans la famille des produits bitumés ondulés.Cette déclaration se base sur une évaluation du cycle de vie du produit et de son impact sur l’environnement.Elle a ainsi créé une Règle de catégorie de Produit (PCR Product Category Rule) pour les toitures et les façades qui a été acceptée en Juillet 2012 par l’institut Allemand IBU. Ce PCR est la base de toutes les futures EPD, quel que soit le producteur.Longueur : 20 cm - Largeur : 82 cmÉpaisseur : 3,5 mmHauteur de nervure : 38 mmSurface d’une plaque : 1,64 m2Poids : 5,9 kg - Poids/m2 : 3,62 kgPrix public indicatif : 12 euros TTC le m2Points de vente : Négoces en matériaux, GSB
Il y a 4 ans et 326 jours

Facibloc choisit Ecap® d'Edilteco pour l'ITE des maisons ossatures bois

Afin de proposer une finition sous forme de crépi, doublée d'une isolation thermique extérieure, sur ses constructions ossature bois, Sébastien Borie a choisi d'utiliser le système ITE ECAP® d'EDILTECO® France. ECAP® présente de nombreux avantages notamment sa capacité d'imperméabilité, sa bonne isolation thermique, ses multiples coloris et matériaux de finition (Acrylic Colour, Acrylic Siloxane Colour, Silicate Colour) mais c'est aussi sa simplicité de mise en œuvre qui a séduit l'entrepreneur.ECAP® et FACIBLOC®, plus de simplicité pour plus d'efficacitéTout comme le système FACIBLOC®, ECAP® est une solution efficace offrant simplification de pose et rapidité de mise en œuvre. En cours de fabrication, les plaques de polystyrène ECAP® reçoivent l'application d'un sous-enduit de 3 mm sur la surface du PSE et l'intégration, sur le sous-enduit, d'une armature en fibre de verre débordante des deux côtés.Les plaques sont préalablement découpées et dans le même temps, les emplacements des chevilles sont réalisés dans la couche de base et l'armature. La plaque est donc semi-finie en usine et cela offre un gain de temps considérable lors de leur mise en œuvre.Également, les travaux ne nécessitent pas l'utilisation d'une bâche de protection aux U.V. ce qui allège sensiblement le coût du chantier. A l'instar d'ECAP®, les blocs en bois FACIBLOC® sont fabriqués en usine. Ils sont composés de briques de bois conçues en Douglas et bénéficient d'un double contreventement en OSB (Oriented Strand Board) de 12 mm, sans formaldéhyde.Les blocs sont proposés en 2 épaisseurs : 119 et 169 mm et sont également pré-isolés en usine avec de la laine minérales ou laine de bois. Livrés ainsi sur chantier, les murs FACIBLOC® sont manuportables et donc faciles à mettre en œuvre. Le système d'emboitement breveté FACIBLOC® (système de clef de liaison) est unique et innovant, il simplifie le montage tout en conservant l'aspect technique de la maison ossature bois.Les premiers chantiersLes premiers chantiers ECAP® et FACIBLOC® viennent d'être mis en œuvre dans le Puy-de-Dôme et à Lyon pour la conception de 3 extensions, de maisons individuelles conçues en FACIBLOC®. Ces extensions de 30 m², 25 m² et 22 m² deviendront une chambre, une cuisine et un bureau.Les clients ont choisi d'agrandir leurs maisons rapidement et à moindre coût, mais avec la certitude d'obtenir des performances très intéressantes en matière d'isolation thermique et phonique, grâce au système FACIBLOC®.Les propriétaires ont tous optés pour des blocs isolés en laine de bois avec un revêtement en crépi blanc ocre et une finition grésée.Le système ECAP® d'EDILTECO® a été chevillé sur les blocs FACIBLOC® et revêtu de la finition ECAP® AC « Acrylic Colour » ; un enduit mince qui donne du caractère au bâti et permet de lier esthétisme et protection des façades. En outre, sa formulation est dotée d'un traitement anticryptogamique offrant au produit une haute résistance à l'attaque des mousses et des champignons.L'ensemble confère une excellente isolation thermique avec un R de 6,20, répondant aux exigences de la RT 2020 (complexe mur en laine de bois R de 4,3 et plaque ECAP® en PSE blanc de 60 mm R de 1,9).L'autoconstruction FACIBLOC®Du studio de jardin de 17 m² à la maison traditionnelle de plus de 100 m², avec un R+1, les constructions FACIBLOC® offrent tous les avantages de l'ossature bois.Tous les matériaux ont été choisis en fonction de leur qualité technique et du respect de l'environnement. Le bois notamment va permettre de réguler l'hygrométrie ambiante et reste respectueux de la nature grâce à ses bas rejets de CO².Les isolants concèderont une excellente isolation phonique et une isolation thermique performante répondant aux exigences de la RT 2012 et 2020. Dès leur usinage les blocs FACIBLOC® sont répertoriés afin d'être assemblés entre eux, suivant un schéma de calepinage.L'entreprise conçoit et fournit également au choix, une charpente traditionnelle, une charpente en fermette à 2 ou 4 pans ou un toit terrasse avec un système de poutres en I, trois fois plus légères que les poutres en bois massif et à performances mécaniques égales.Les éléments de la baie sont également calibrés dans les blocs pour y être intégrés. Les pré-cadres des menuiseries sont réalisés en usine et habillés d'acier laqué de la couleur des menuiserie choisies. En option, des menuiseries en PVC, en aluminium ou en bois sont livrées avec les blocs.De la même manière, pour les volets roulants, les coffres tunnels sont usinés et fixés au pré-cadre. Ainsi ils sont livrés encastrés comme pour une maison en maçonnerie traditionnelle. 2 types de finitions sont disponibles : un crépi avec le système ECAP® d'EDILTECO® qui est mis en œuvre sur chantier ; ou un bardage dont les liteaux et le pare pluie sont fixés sur le bloc en usine.En pratique...Dès la validation de la commande, l'usinage est lancé et les délais de fabrication sont d'un mois environ.Les murs FACIBLOCS® sont livrés palettisés suivant le plan de calepinage. La mise en œuvre de l'extension ou de la maison se fait sur une dalle bois ou béton.Les blocs sont emboités les uns aux autres selon le système de clef FACIBLOC® qui permet de conserver tous les aspect écologiques, économiques et performants de la maison ossature bois.Grâce à l'isolation de la clef de liaison, il n'y a pas de discontinuité entre les matériaux et les parois de la structure ; les ponts thermiques sont ainsi pratiquement inexistants.FACIBLOC® fournit la lisse basse, la bande bitumeuse étanche, les blocs muraux identifiés selon le plan de calepinage, la lisse de chainage ainsi que toute la quincaillerie afin de permettre, même à un particulier novice, de monter ses murs dans les règles de l'art et en toute sécurité.Les documents de montage accompagnent pas à pas le monteur afin qu'il puisse, s'il le souhaite, assembler seul sa maison. Pour rappel, les autoconstruction FACIBLOC® sont légères et manuportables, elles ne nécessitent donc pas l'intervention d'un engin de levage.Mais le client peut aussi faire appel à un piloteur FACIBLOC® qui viendra l'aider et le conseiller à monter sa maison ou son extension, ou alors solliciter une équipe de montage indépendante (2 personnes) sur demande, qui prendra en charge le montage des murs et de la charpente.Les autoconstructions FACIBLOC® sont livrées hors d'eau, hors d'air.Informations complémentairesUsinage : Usine FACIBLOC® Clermont-Ferrand.Hauteur maximale d'un panneau : 2,80 mètres.Essence de bois : Douglas ou Epicéa.Mise en œuvre : pas de temps de séchage, murs secs, pose été comme hiver.Prix indicatif : Murs, charpente, menuiseries et revêtement extérieur, livrés, entre 400 et 460 euros TTC le m².Distribution : FACIBLOC® est distribué sous licence aux artisans indépendants, spécialistes ou non de l'ossature bois.
Il y a 4 ans et 334 jours

Armacell présente ArmaComfort Barrier, solutions ultrafines à hautes performances acoustiques

Comme l'ont démontré des études récentes, le bruit est devenu l'un des principaux problèmes qui affectent directement la qualité de vie des personnes dans les espaces intérieurs. Une bonne isolation acoustique se traduit par plus de sécurité, de confort et aussi plus de productivité et d'intimité.En créant des zones calmes et des couloirs de bruit, les nouvelles solutions acoustiques d'Armacell peuvent réduire les effets néfastes de la pollution sonore dans les bâtiments, les environnements industriels et les véhicules. ArmaComfort Barrier procure une réduction significative de la transmission sonore grâce à des matériaux peu épais. Les parois, les plafonds et les équipements mécaniques peuvent être optimisés en termes de bruit en augmentant leur masse, sans perte d'espace.« Il y a aujourd'hui une forte demande de solutions intelligentes d'isolation acoustique adaptables également en rénovation, toujours avec une moindre incidence sur l'espace. ArmaComfort Barrier procure une très importante diminution de la transmission sonore, Rw de 30 dB, avec des parois d'une épaisseur de 3 mm seulement. Pour l'oreille humaine, une atténuation de 10 dB est perçue comme une réduction de moitié du volume sonore » explique Pascal Raphoz, directeur du développement Armacell Acoustics.Avec les solutions ArmaComfort Barrier, l'atténuation sonore peut être facilement obtenue sans perte d'espace, améliorant ainsi le confort de vie.Basées sur un mélange EVA/EPM unique, les solutions ArmaComfort Barrier offrent une combinaison idéale de propriétés techniques et mécaniques. Ces barrières acoustiques de pointe confèrent une isolation acoustique de premier ordre à travers une large gamme de produits. Elles sont faciles à installer et peu encombrantes.Les solutions ArmaComfort Barrier sont autoadhésives. Flexible, pliable et facile à appliquer, il suffit de retirer le film de protection du revêtement autoadhésif et de coller la barrière acoustique sur la surface sèche et sans poussière du support. Les produits peuvent être utilisés sur des équipements mécaniques verticaux ou horizontaux. ArmaComfort Barrier répond aux paramètres environnementaux stricts d'Armacell. Il est 100% recyclable et exempt d'halogènes, de phosphates, de bitume, de plomb et de solvants. De plus, c'est un matériau durable, imputrescible et résistant à la plupart des produits chimiques.ArmaComfort Barrier est ignifuge, ne goutte pas et émet peu de fumée ce qui offre une plus grande sécurité en cas d'incendie.Découvrez la gamme ArmaComfort BarrierArmaComfort Barrier P:Barrière acoustique couleur blanc perlé, haute performance et masse lourde EVA/EPM pour les cloisons existantes, les conduits d'air, les cabines et tout autre élément de construction ou équipement mécanique. Ces solutions autoadhésives haut-de-gamme sont classées B-s2,d0 selon EN 13501-1 (équivalent M1). Elles peuvent être peintes avec des produits acryliques à base d'eau.ArmaComfort Barrier B:Barrière acoustique noire haute performance et masse lourde EVA/EPM pour les applications invisibles en cloisons, plafonds et systèmes CVC, et pour de nombreux autres domaines. Il est classé C-s2,d0 selon NE 13501-1 (équivalent M2).ArmaComfort Barrier B Alu:Barrière acoustique recouverte d'une feuille d'aluminium qui présente la classe de réaction au feu la plus importante B-s1,d0 pour les produits organiques, conformément à la norme EN 13501-1 (équivalent M1). Le revêtement durable et résistant à la déchirure affiche un attrayant aspect argenté tout en procurant une protection facile d'entretien.
Il y a 4 ans et 339 jours

Support antivibratoire : le nouvel indispensable des entreprises

Nécessaires pour le confort des salariés, mais aussi pour la protection de vos appareils, les supports antivibratoires sont les nouveaux indispensables des entreprises modernes. Ils s’invitent aussi bien dans le domaine de la construction automobile que dans les industries. Et la société Solutions Elastomères basée à Saint-Etienne est la nouvelle référence en la matière. Les vibrations : une nuisance pour la productivité de vos salariés Les vibrations peuvent constituer des nuisances pour vos salariés, en plus de présenter des risques pour vos machines.  Depuis 2011 d’ailleurs, les autorités ont conclu que ces dernières pouvaient être un facteur à risque pour les travailleurs. Une remise aux normes de certaines entreprises a donc été demandée au cours de ces dernières années. On parle notamment des normes ISO 263-1 :1997 pour les vibrations sur tout le corps et ISO 5349-2 :2001 pour les vibrations au système main bras. Malgré tout, trouver des accessoires à même de réduire convenablement et facilement ces vibrations était pour le moins compliqués. La société Solutions Elastomères est donc venue combler un vide sur le marché en proposant sur https://www.solutions-elastomeres.com différentes alternatives pour les sociétés qui sont en quête de support antivibratoire. Non seulement sur cette plateforme dédiée, vous avez le choix entre différents accessoires, mais l’entreprise vous promet également une livraison rapide de ces derniers pour une remise aux normes efficace et simple de votre entreprise. Et en commandant sur le site, vous profiterez d’un système de paiement sécurisé. Ce qui ne vous empêche pas de contacter directement l’entreprise pour une expertise plus poussée. Un accompagnement personnalisé Expert depuis 50 ans dans le domaine des supports antivibratoires, Solutions Elastomères est à même aujourd’hui de vous proposer différentes alternatives pour réduire les vibrations de vos machines. Ce peut être des suspensions en caoutchouc, en métal, des articulations élastiques, des plaques antivibratoires ou bien d’autres. Le personnel de l’entreprise peut vous accompagner et vous aider dans la recherche de la meilleure alternative en fonction de la configuration de votre entreprise et de vos machines. Solutions Elastomères intervient dans plusieurs secteurs d’activités et est devenu une référence dans la proposition de support antivibratoire. Ces accessoires sont utilisés notamment pour l’isolation des machines-outils, des ventilateurs, des groupes moto-pompes, des groupes froids, des ascenseurs et même des armoires électriques et de bien d’autres encore. Solutions Elastomères vous propose des produits de qualité qui sont simples à installer et qui vous dureront des années. De quoi permettre une meilleure protection à la fois de vos machines et de votre personnelle, ainsi qu’un respect des normes en vigueur. Sans compter que ces solutions peuvent vous permettre de booster la production de vos machines en limitant les vibrations de manière optimale. Elles permettent de venir à bout simplement des inconvénients techniques liés aux vibrations. Pour un accompagnement optimal et réussi, les professionnels de Solutions Elastomères travaillent en collaboration avec SilentBloc PAULSTRA pour une expertise technique de vos besoins. Il est possible en effet de demander des supports personnalisés, plus adaptés à votre utilisation et à votre usine, et ce, à moindre coût. De nouvelles solutions disponibles tous les ans Pour répondre à tous les besoins et couvrir une large demande, Solutions Elastomères propose chaque année de nouvelles solutions pour permettre aux entreprises d’aménager simplement et efficacement leur appareil. Cela s’applique aussi bien aux très grandes entreprises qu’aux petites usines. Les suspensions notamment font l’objet de mises à jour fréquentes : supports marrons, Sylomer, accessoires élastiques, masses lourd bitume ou même des accessoires résistants au feu.
Il y a 4 ans et 340 jours

FACIBLOC® choisit le système ECAP® d’EDILTECO® FRANCE pour l’isolation extérieure de ses maisons et extensions en construction ossature bois

FACIBLOC® est un système constructif de maison en ossature bois, sous forme de blocs, prêts à être assemblés. Breveté par son concepteur, Sébastien Borie, le système est commercialisé depuis un peu plus d’un an, dans toute la France. Afin de proposer une finition sous forme de crépi, doublée d’une isolation thermique extérieure, sur ses constructions ossature bois, Sébastien Borie a choisi d’utiliser le système ITE ECAP® d’EDILTECO® France. ECAP® présente de nombreux avantages notamment sa capacité d’imperméabilité, sa bonne isolation thermique, ses multiples coloris et matériaux de finition (Acrylic Colour, Acrylic Siloxane Colour, Silicate Colour) mais c’est aussi sa simplicité de mise en œuvre qui a séduit l’entrepreneur. ECAP® ET FACIBLOC®, PLUS DE SIMPLICITÉ POUR PLUS D’EFFICACITÉ Tout comme le système FACIBLOC®, ECAP® est une solution efficace offrant simplification de pose et rapidité de mise en oeuvre. En cours de fabrication, les plaques de polystyrène ECAP® reçoivent l’application d’un sous-enduit de 3 mm sur la surface du PSE et l’intégration, sur le sous-enduit, d’une armature en fibre de verre débordante des deux côtés. Les plaques sont préalablement découpées et dans le même temps, les emplacements des chevilles sont réalisés dans la couche de base et l’armature. La plaque est donc semi-finie en usine et cela offre un gain de temps considérable lors de leur mise en oeuvre. Également, les travaux ne nécessitent pas l’utilisation d’une bâche de protection aux U.V. ce qui allège sensiblement le coût du chantier. A l’instar d’ECAP®, les blocs en bois FACIBLOC® sont fabriqués en usine. Ils sont composés de briques de bois conçues en Douglas et bénéficient d’un double contreventement en OSB (Oriented Strand Board) de 12 mm, sans formaldéhyde. ©Copyright FACIBLOC. Les blocs sont proposés en 2 épaisseurs : 119 et 169 mm et sont également pré-isolés en usine avec de la laine minérales ou laine de bois. Livrés ainsi sur chantier, les murs FACIBLOC® sont manuportables et donc faciles à mettre en oeuvre. Le système d’emboitement breveté FACIBLOC® (système de clef de liaison) est unique et innovant, il simplifie le montage tout en conservant l’aspect technique de la maison ossature bois. LES PREMIERS CHANTIERS Les premiers chantiers ECAP® et FACIBLOC® viennent d’être mis en oeuvre dans le Puy-de-Dôme et à Lyon pour la conception de 3 extensions, de maisons individuelles conçues en FACIBLOC®. Ces extensions de 30 m², 25 m² et 22 m² deviendront une chambre, une cuisine et un bureau. Les clients ont choisi d’agrandir leurs maisons rapidement et à moindre coût, mais avec la certitude d’obtenir des performances très intéressantes en matière d’isolation thermique et phonique, grâce au système FACIBLOC®. ©Copyright FACIBLOC. Mise en oeuvre des plaques ECAP® sur l’ossature bois. Les propriétaires ont tous optés pour des blocs isolés en laine de bois avec un revêtement en crépi blanc ocre et une finition grésée. Le système ECAP® d’EDILTECO® a été chevillé sur les blocs FACIBLOC® et revêtu de la finition ECAP® AC « Acrylic Colour » ; un enduit mince qui donne du caractère au bâti et permet de lier esthétisme et protection des façades. En outre, sa formulation est dotée d’un traitement anticryptogamique offrant au produit une haute résistance à l’attaque des mousses et des champignons. L’ensemble confère une excellente isolation thermique avec un R de 6,20, répondant aux exigences de la RT 2020 (complexe mur en laine de bois R de 4,3 et plaque ECAP® en PSE blanc de 60 mm R de 1,9). ©Copyright FACIBLOC. L’AUTOCONSTRUCTION FACIBLOC® Du studio de jardin de 17 m² à la maison traditionnelle de plus de 100 m², avec un R+1, les constructions FACIBLOC® offrent tous les avantages de l’ossature bois. ©Copyright FACIBLOC. Studio de 17m². Tous les matériaux ont été choisis en fonction de leur qualité technique et du respect de l’environnement. Le bois notamment va permettre de réguler l’hygrométrie ambiante et reste respectueux de la nature grâce à ses bas rejets de CO2. ©Copyright FACIBLOC. Conception maison traditionnelle avec R+1. Les isolants concèderont une excellente isolation phonique et une isolation thermique performante répondant aux exigences de la RT 2012 et 2020. Dès leur usinage les blocs FACIBLOC® sont répertoriés afin d’être assemblés entre eux, suivant un schéma de calepinage. L’entreprise conçoit et fournit également au choix, une charpente traditionnelle, une charpente en fermette à 2 ou 4 pans ou un toit terrasse avec un système de poutres en I, trois fois plus légères que les poutres en bois massif et à performances mécaniques égales. ©Copyright FACIBLOC. Finition Crépi avec le Système ECAP® Les éléments de la baie sont également calibrés dans les blocs pour y être intégrés. Les pré-cadres des menuiseries sont réalisés en usine et habillés d’acier laqué de la couleur des menuiserie choisies. En option, des menuiseries en PVC, en aluminium ou en bois sont livrées avec les blocs. De la même manière, pour les volets roulants, les coffres tunnels sont usinés et fixés au pré-cadre. Ainsi ils sont livrés encastrés comme pour une maison en maçonnerie traditionnelle. 2 types de finitions sont disponibles : un crépi avec le système ECAP® d’EDILTECO® qui est mis en œuvre sur chantier ; ou un bardage dont les liteaux et le pare pluie sont fixés sur le bloc en usine. ©Copyright FACIBLOC. Finition bardage bois. EN PRATIQUE… Dès la validation de la commande, l’usinage est lancé et les délais de fabrication sont d’un mois environ. Les murs FACIBLOCS® sont livrés palettisés suivant le plan de calepinage. La mise en œuvre de l’extension ou de la maison se fait sur une dalle bois ou béton. Les blocs sont emboités les uns aux autres selon le système de clef FACIBLOC® qui permet de conserver tous les aspect écologiques, économiques et performants de la maison ossature bois. Grâce à l’isolation de la clef de liaison, il n’y a pas de discontinuité entre les matériaux et les parois de la structure ; les ponts thermiques sont ainsi pratiquement inexistants. FACIBLOC® fournit la lisse basse, la bande bitumeuse étanche, les blocs muraux identifiés selon le plan de calepinage, la lisse de chainage ainsi que toute la quincaillerie afin de permettre, même à un particulier novice, de monter ses murs dans les règles de l’art et en toute sécurité. Les documents de montage accompagnent pas à pas le monteur afin qu’il puisse, s’il le souhaite, assembler seul sa maison. Pour rappel, les autoconstruction FACIBLOC® sont légères et manuportables, elles ne nécessitent donc pas l’intervention d’un engin de levage. Mais le client peut aussi faire appel à un piloteur FACIBLOC® qui viendra l’aider et le conseiller à monter sa maison ou son extension, ou alors solliciter une équipe de montage indépendante (2 personnes) sur demande, qui prendra en charge le montage des murs et de la charpente. Les autoconstructions FACIBLOC® sont livrées hors d’eau, hors d’air. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Usinage : Usine FACIBLOC® Clermont-Ferrand. Hauteur maximale d’un panneau : 2,80 mètres. Essence de bois : Douglas ou Epicéa. Mise en oeuvre : pas de temps de séchage, murs secs, pose été comme hiver. Prix indicatif : Murs, charpente, menuiseries et revêtement extérieur, livrés, entre 400 et 460 euros TTC le m². Distribution : FACIBLOC® est distribué sous licence aux artisans indépendants, spécialistes ou non de l’ossature bois.
Il y a 4 ans et 344 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo
Il y a 5 ans et 19 jours

Architectes et urbanistes cherchent à concevoir la ville de rêve post-confinement

Architectes, urbanistes, maires, mouvements citoyens se mobilisaient depuis une dizaine d'années, sans être beaucoup écoutés, pour une ville où vivrait un "homo qualitus" respectueux de l'environnement dans des espaces dilatés.Ils se sentent désormais mieux épaulés par nombre de Français, qui ont pris goût au télétravail dans un environnement silencieux et vert.Le premier chantier qui semble le plus prometteur à engager est celui des périphéries urbaines.Dans les années 60 et 80, "on a massacré les entrées des villes avec des zones commerciales et artisanales aujourd'hui obsolètes. Des centaines de milliers d'hectares avaient été artificialisés, étanchéifiés, asphaltées", explique à l'AFP Denis Dessus, président du Conseil national de l'Ordre des architectes.Parking de supermarché reconverti en parc"Transformer un parking de grande surface rapidement en un parc avec des milliers d'arbres, et densifier autour est assez facile", observe Philippe Goncalves, président de l'Ordre des architectes d'Occitanie, et militant passionné d'écologie."Il faut entre 18 mois et 3 ans pour que des vers de terre reviennent", observe sa femme Leslie, également architecte."Ramener de la ville là-dedans, repaysager, y remettre du logement", c'est possible, confirme Denis Dessus qui remarque qu'"aux Etats-Unis ou en Chine, les centres commerciaux traditionnels sont à l'abandon".Cependant, pour dessiner la ville de demain, avertit-t-il, "il ne suffit pas de tartiner en vert". Il déplore le peu de moyens mis dans la planification urbaine, alors qu'"il faudrait des équipes pluridisciplinaires, d'architectes, paysagistes, écologistes".Un puissant levier économiqueAujourd'hui, les logements doivent être polyvalents et traversants, avec internet à haut débit, où on puisse vivre en famille, travailler et faire du sport.Le couple d'architectes écolos vante les "matériaux bio sourcés" ou "géo-sourcés" pour construire des bâtiments "écolomiques", "durables, "recyclables", voire "biodégradables". Recyclage, ventilation, mise aux normes.. La construction neuve ou la rénovation du bâti ancien, "qui n'est ni inscrit ni classé mais qui a un intérêt" constituent un "vrai levier économique, qui fera travailler le plâtrier et le peintre" dans le contexte de crise, note Denis Dessus. 5 à 6 millions de personnes sont mal logées en France, selon lui.Partout, le "même mouvement de fond" est perceptible, qu'il s'appelle "slow down", "slow cities", circuits courts, analyse la géographe Lise Bourdeau-Lepage, de l'Université Lyon 3. Poumons verts, réduction des émissions polluantes et des voitures, ilôts de fraîcheur... De Lyon à Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Rennes, ces dossiers sont des enjeux municipaux: pistes cyclables, aménagement des berges."Les gens se réapproprient leur espace public", observe la géographe: ainsi "on va enlever le bitume pour permettre aux gens de cultiver des petits carrés végétalisés sur le trottoir à Lyon".De même "on peut cultiver son petit pied d'arbre" par exemple dans le XIIIe arrondissement de Paris. "Cela peut être vu comme une privatisation de l'espace public par les populations plus aisées", mais c'est un phénomène positif.Ce qui se passe, c'est aussi, dit-elle, "une revanche du voisinage" et "du piéton qui avait été violemment éjecté par l'automobiliste": désormais "le quartier est pensé de manière qu'à une distance d'un quart d'heure de marche un ensemble de services et de biens soient disponibles"."Au niveau d'un quartier, illustre Leslie Goncalves, imaginons qu'on ait un petit jardin. La ville le récupère, le met en gouvernance partagée avec des habitants. Les légumes et fruits sont redonnés en partie à une association. On va être plus autonome alimentairement". Et on pourra produire du biogaz à partir des bio-déchets...Seconde vie pour les bourgs ?M. Dessus espère que les petites villes et bourgs, aux centres souvent très dégradés, vont retrouver une deuxième vie avec l'arrivée de citadins et d'entreprises.Pour cela, il faut régler la fracture numérique, cette "diagonale du vide" qui fait que des gens ne peuvent pas avoir le téléphone, et veiller au maintien des dessertes de trains.Pour Leslie Goncalves, l'alternative "ce n'est pas soit tout ville soit tout campagne". "Il faut un rééquilibrage" grâce notamment aux implantations des bureaux des entreprises.Ces "smart cities" du futur seront-elles forcément démocratiques: avec les moyens d'informations, recours aux drones, connaissance spatiale, "elles pourraient être aussi très sécuritaires", s'inquiète Lise Bourdeau-Lepage.
Il y a 5 ans et 108 jours

Shell Bitumes reprend ses opérations sur le dépôt de Bayonne

Décidé à devenir un acteur incontournable du marché français de la construction routière, Shell Bitumes compte sur ce redémarrage pour pouvoir proposer à ses clients une alternative bitume dans le sud-ouest de la France.
Il y a 5 ans et 158 jours

FOAMGLAS® – Innovation chantier – Une toiture en bois à pente nulle pour la Maison de l’enfance d’Albertville

Des panneaux KLH sont associés à une isolation thermique en verre cellulaire penté FOAMGLAS® TAPERED T3+ 3,3 % pour construire une toiture-terrasse de conception unique. Démarré début 2019, le chantier de la Maison de l’enfance d’Albertville, en Savoie, offrira une structure multi-accueil de proximité de plus de 2000 m2. Mixte, en bois et en béton, la construction intègre une toiture-terrasse en bois à pente nulle. Cette innovation repose sur l’association d’éléments porteurs en panneaux de bois KLH posés en pente nulle et d’une isolation thermique en plaques de verre cellulaire FOAMGLAS® TAPERED T3+ à forme de pente intégrée (3,3 %). Ce système unique, couvert par une Enquête Technique Nouvelle (ETN) établie par SAS ALPHA Contrôle, présente de nombreux avantages : charpente plus facile à concevoir et à mettre en œuvre, plafond à pente nulle et gain en volume intérieur. La Maison de l’enfance d’Albertville, qui devrait ouvrir ses portes début 2020, formera un nouveau pôle dans le quartier du Val de Roses. La municipalité répond à un double objectif : mutualiser et centraliser des services et des équipements pour les parents. L’agence d’Architecture Tectoniques (69) a imaginé un bâtiment de 2 358 m2 entièrement consacré à l’enfance. Au rez-de-chaussée se trouvera un espace multi-accueil pour toutes les structures, le restaurant scolaire de 180 places, la crèche familiale, le relais d’assistantes maternelles ainsi que les éléments techniques : buanderie, vestiaires, entrée de service&#8230; Le centre de loisirs, quant à lui, disposera entièrement du premier étage et profitera d’un toit terrasse de plus de 900 m2 avec jeux et préau. Pour financer le projet, la mairie a bénéficié d’aides du département de la Savoie, de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Caisse d’allocations familiales. &nbsp; Un défi relevé par le FOAMGLAS® TAPERED T3+ L’une des spécificités architecturale de la Maison de l’enfance d’Albertville est de présenter en toiture un élément porteur en bois à pente nulle constitué de panneaux de bois CLT KLH. La difficulté d’une telle mise en œuvre réside dans le DTU 43.4 &#8211; Toitures en éléments porteurs en bois et panneaux dérivés du bois avec revêtements d’étanchéité &#8211; qui impose une pente de 3 % pour l’écoulement des eaux pluviales. Un défit rendu possible grâce à une isolation thermique en plaques de verre cellulaire FOAMGLAS® TAPERED T3+, de résistance à la compression élevée et sans tassement, qui intègre la pente voulue de 3 %. Ce système innovant offre de nombreux avantages : la sous-face des panneaux en bois KLH est horizontale, son taillage et sa mise en œuvre sont simplifiés, et il permet un gain appréciable du volume intérieur. &nbsp; Mise en œuvre Les panneaux d’isolation, en verre cellulaire FOAMGLAS® TAPERED, sont fixés sur les éléments porteurs KLH par collage, après application d’une membrane bitumeuse soudée en adhérence sur le KLH faisant interface entre l’isolant FOAMGLAS® et le KLH. L’isolant FOAMGLAS® est ensuite couvert d’une couche d’étanchéité bicouche ou monocouche bénéficiant d’un agrément technique. Ce système est compatible avec les toitures-terrasses inaccessibles, techniques, accessibles aux piétons, végétalisées et jardins. Ce n’est pas la première fois que ce système &#8211; panneau structurel KLH de pente 0° + isolation FOAMGLAS® pentée &#8211; est mis en œuvre. Il a été utilisé en 2018 pour réaliser les 680 m2 de toiture d’une école maternelle à Paris 13e (ouverture septembre 2019). Mise en œuvre avec des panneaux en bois CLT KLH commercialisés par la société Lignatec. Site : 805, rue du Commandant Dubois 73200 Albertville Maître d’ouvrage : Mairie d’Albertville (73) Maître d’œuvre : Tectoniques (69) B.E. Bois : Arborescence (73) Charpentier : LP Charpente (74) Étancheur : SOPREMA Entreprise (38) Surface de toiture : 911 m2 &nbsp; Verre cellulaire FOAMGLAS® T3+ Avec une conductivité thermique exceptionnelle de 0.036 W/m.K, le FOAMGLAS® T3+ représente à ce jour le meilleur isolant incombustible sous étanchéité pour les toitures-terrasses (sur éléments porteurs en béton, bac acier ou bois). Les Avis Techniques 2018 FOAMGLAS® et FOAMGLAS® TAPERED, intégrant le FOAMGLAS® T3+, assurent aux maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage que ce concept novateur est conforme et durable. Ce matériau offre de nouvelles possibilités aux constructions en bois et apporte les solutions les plus performantes en toiture-terrasse. Des propriétés exceptionnelles Matériau léger, rigide et pérenne, le FOAMGLAS® T3+ est composé de cellules de verre entièrement fermées. Il combine des propriétés qui en font un produit d’exception : 100 % incombustible, performance thermique qui ne se dégrade pas dans le temps, étanchéité à la vapeur d’eau, à l’eau et à l’air. Autre qualité notable : le FOAMGLAS® T3+ présente une grande résistance à la compression, sans tassement. Cette absence de tassement dans le temps assure la durabilité des pentes en FOAMGLAS® TAPERED. Mis en œuvre par collage (les plaques isolantes sont collées entre elles et au support, et l’étanchéité est en pleine adhérence sur le verre cellulaire), le FOAMGLAS® T3+ est depuis 2018 le meilleur isolant incombustible (A1) sous étanchéité pour l’isolation des toitures-terrasses inaccessibles, accessibles, techniques ou végétalisées (sur éléments porteurs en béton, bac acier ou bois). Il s’intègre dans un ensemble « Isolation + Étanchéité » parfaitement étanche et compact (ni l’air, ni l’humidité, ni l’eau ne peuvent migrer à l’intérieur d’un tel complexe de toiture). La toiture compacte FOAMGLAS® sécurise les toitures contre les risques d’infiltration et de condensation, et induit des économies importantes grâce à la pérennité des performances Isolation + Étanchéité. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolant rigide et 100 % minéral, est destiné à durer la vie du bâtiment. FOAMGLAS® T3+ Conductivité thermique : Lambda 0.036 W/m.K Densité : 100 kg/m3 Réaction au feu : A1 incombustible Résistance à la compression minimum : 400 kPa
Il y a 5 ans et 256 jours

Novacol, pour les chaussées fatiguées

Un coup de boost en un seul passage ! Pour offrir une seconde jeunesse aux routes fatiguées, il existe Novacol. Ce procédé de recyclage à froid simple, économique et efficace permet de régénérer la chaussée existante en réutilisant les matériaux rabotés avec ajout d'une émulsion de bitume. Découvrez toutes les étapes en vidéo.
Il y a 5 ans et 264 jours

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Il y a 5 ans et 273 jours

Pas de coup de chaud pour les travaux publics en juillet 2019

CONJONCTURE. L'activité des entreprises de travaux publics est restée limpide au mois de juillet 2019 : le montant de leurs facturations a augmenté de 13,8% en cumul depuis le début de l'année, et de 10,6% par rapport à la même période un an auparavant. Les sociétés continuent de plus à embaucher. Seul ombre au tableau : la menace fantôme d'une pénurie de bitume.