Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour bordure

(293 résultats)
Il y a 2 ans et 329 jours

Samedi 2 juillet. Étape 2 : ROSKILDE > NYBORG (199 km)

Au terme des 200 km de course, les coureurs du Tour vont devoir traverser le « Grand Belt », et rouler sur 18 kilomètres sur un ouvrage d’art construit au-dessus de la mer pour rejoindre Nyborg, sur la terre ferme. Pour cette deuxième journée donc, la mère des étapes à bordures ! Il va falloir batailler, le moindre […] L’article Samedi 2 juillet. Étape 2 : ROSKILDE > NYBORG (199 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 329 jours

Spie Batignolles intervient dans la rénovation énergétique d'un gymnase universitaire à Poitiers (86)

Ce projet soutenu par l'Etat dans le cadre du plan France Relance, d'un montant de 1.880.000 euros, a pour première ambition d'améliorer nettement la performance énergétique du bâtiment, avec comme objectif une réduction de la consommation d'énergie primaire de 60%, et d'énergie finale de 64% — au-delà donc des objectifs nationaux.Les solutions proposées par le groupement vont permettre de maintenir le gymnase en service durant les travaux et d'offrir à terme aux utilisateurs et à l'exploitant un équipement confortable, aux frais d'exploitation réduits.Les travaux réalisés sur l'enveloppe du bâtiment sont également l'occasion de donner une toute nouvelle image à cette salle multisports située en bordure du campus Est de Poitiers, et sa valorisation bénéficiera à l'image du quartier et de l'Université au sens large.L'achèvement de l'opération est programmé pour le mois de septembre 2022.Une démarche globale de durabilitéL'Université de Poitiers vise la réalisation d'un « éco-campus », et cela passe cette année entre autre par la rénovation de l'un des éléments phares de son équipement sportif. Elle a opté pour l'expertise et la proximité de l'équipe constituée autour de Spie batignolles grand-ouest qui comprend le cabinet Créature Architectes, le bureau d'études Climat Conseil et la société d'ingénierie 3Ia.Le projet a été pensé dans une logique de durabilité, avec l'usage de matériaux biosourcés ou issus du réemploi et obtenus en filière courte, ainsi qu'une contribution à l'insertion professionnelle au travers du tutorat.Les travaux se caractérisent aussi par l'utilisation de technologies numériques avec la création d'une maquette BIM, l'emploi du programme de planification Teamoty, ou encore la réalisation d'un Plan d'Installation de Chantier digital et dynamique permettant de communiquer en temps réel avec les utilisateurs sur l'avancement des travaux.L'équipe débutera la réhabilitation par l'isolation des façades de l'édifice en béton érigé dans les années 1970. Elles recevront ainsi une isolation thermique par l'extérieur en laine de bois, réalisée à partir de matériaux biosourcés, un enduit décoratif, un bardage en matériaux composite ou une maille métallique anti graffiti selon la localisation. Les menuiseries actuelles en simple vitrage seront remplacées par des ensembles en aluminium double vitrage.La couverture qui a bénéficié de travaux d'entretien récents et dispose déjà d'un bon niveau de performance, sera conservée en l'état, dans le cadre d'une démarche qui vise à optimiser le ratio coût, performance.Du côté de l'équipement de ventilation, le complexe sera équipé d'une nouvelle VMC double flux afin de fournir un chauffage et une ventilation plus homogènes à l'intérieur des zones de sport (dojo et grand gymnase).Des travaux de rénovation de la chaufferie prévoient la dépose des chaudières gaz existantes, la pose d'un nouveau ballon d'eau chaude sanitaire électrique, le changement de l'armoire électrique et l'installation de centrales de traitement d'air double flux.Des robinets thermostatiques seront placés sur chaque émetteur intérieur pour une utilisation plus raisonnée et la mise en place d'une GTC permettra le pilotage et le contrôle en temps réel des différentes consommations énergétiques. Les éclairages existants seront remplacés par des luminaires LED au rendement énergétique supérieur.Sur les toitures des bureaux seront installés environ 100 m² de panneaux photovoltaïques venant se rajouter aux travaux déjà prévus dans le marché initial.Les opérations de maintenance se retrouveront facilitées par la création d'un local technique au rez-de-chaussée qui regroupera l'ensemble des installations.
Il y a 2 ans et 362 jours

Loire : Rapid’Béton inaugure sa première centrale en libre-service

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine La première unité de distribution automatisée signée Rapid’Béton est en service à Saint-Etienne. [©Rapid’Béton] C’est à la sortie Nord de Saint-Etienne, dans le quartier Michon, que Rapid’Béton a installé la première concrétisation de son concept de site de distribution de béton automatisé. « Notre station de distribution permet de produire de 1 500 à 3 000 m3 de béton a l’année, en étant ouvert 24 h/7 j, explique Stéphane Thomas, fondateur de l’entreprise. Nous pouvons servir des clients ayant besoin de 87 l à 7 m3. » Les matériaux proposés sont de six types. Un béton C25/30 XF1 NF, un mortier, un béton à bordures et un mélange sec pour béton. Ainsi que des granulats et des sables. « Nous vendons des bétons avec une assurance décennale et nous proposons le Rapid’Bag, un big bag avec serrage, pour le transport. Au total, l’installation idéale s’étend sur au minimum 700 m2. Même si notre propre concept occupe 100 m2 au sol avec les stockages». Pour le stockage et l’approvisionnement, justement, deux solutions : soit une chargeuse pour les entreprises productrices de matériaux. Soit des bennes de type Ampliroll, qui viennent se plugger directement sur le système. « Pour la fourniture de ciment, nous avons mis en place un partenariat avec Vicat. En moyenne, il faut recharger en ciment une fois par mois, et trois à quatre fois par semaine pour les granulats. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Rapid’Béton, qui vend l’installation complète à ses clients, accompagne les futurs distributeurs dans l’élaboration de leur projet. « Nous sommes à leurs côtés à toutes les étapes. Que ce soit dans la recherche du terrain, dans la prise de contact et les explications auprès des mairies, ou dans les démarches avec les banques. » Une vingtaine de centrales automatiques devraient être installées d’ici la fin d’année. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 5 jours

Les plaques stabilisatrices de gravier pour zone urbaine Urbangravel de Jouplast séduisent à Chambéry

Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, des plaques alvéolées favorisant le drainage naturel et optimal des eaux de pluies, les professionnels du BTP disposent d’une solution fiable et performante qui permet d’aménager facilement des surfaces gravillonnées en milieu urbain. En voici une nouvelle illustration avec le chantier d’un parking de covoiturage sur la commune de Chambéry en Savoie. URBANGRAVEL®, la solution drainante pour parkings en milieu urbainLe covoiturage est de plus en plus prisé pour se déplacer. Cette pratique, qui répond à des exigences économiques, sociales et environnementales, fait aujourd’hui partie des habitudes d’un nombre croissant d’usagers. Afin de diminuer les émissions de polluants et les embouteillages, la commune de Chambéry continue de développer ses infrastructures, dont la dernière est un parking de covoiturage d’une vingtaine de places terminé en 2021. Pour les travaux, menés par Colas, la maîtrise d’ouvrage a choisi les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, le spécialiste en produits innovants et durables pour aménagements extérieurs.Faciles et rapides à mettre en œuvre, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont particulièrement efficaces pour stabiliser le gravier, drainer les eaux de pluie de façon naturelle et optimale et empêcher la dégradation des sols ou l’apparition de trous.Pour le parking de Chambéry, les plaques ont été posées après les travaux de terrassement et de mise en place des bordures délimitant la surface. Les opérations sur chantier n’étant pas sans comporter certains risques professionnels, des équipements adéquats ont été fournis aux ouvriers. Les consignes de sécurité ont également été respectées durant toute la durée des travaux.Haute résistance à la compression Préconisées pour résoudre les problèmes d’imperméabilisation des sols, et donc les risques d’inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds.Les parois de forte section des cellules alvéolaires garantissent la résistance à la pression, exercée sur le gravier lors de la circulation sur parkings à forte rotation. Couplées à la souplesse de la matière utilisée (polyethylène recyclé), les parois assurent une résistance remarquable à la friction et à la rotation des roues. À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent ainsi jusqu’à 600 tonnes au m2, soit l’équivalent de 30 camions remplis. Elles peuvent être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l’essieu de 20 tonnes, et sont compatibles avec les voies accès pompiers.Système d’assemblage exclusifFabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d’abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Elles sont à même de répondre aux exigences de chantiers de grande envergure. En polyéthylène 100 % recyclé, elles permettent d’installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent également d’un système d’assemblage exclusif sur les 4 côtés qui assure le bon maintien des plaques entre elles, et empêche la désolidarisation lors de fortes charges de circulation.Plots de marquageLes plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).Plaque stabilisatrice de gravier en milieu urbain URBANGRAVEL® JOUPLAST®Matière : polyéthylène recycléCouleur : grisDimensions utiles : 591 mm x 378 mm x 40 mmSurface utile : 0,223 m² , soit 4,484 plaques pour 1 m²Poids : 0,850 kg soit 3,63 kg /m²Volume/poids gravier par m2 : 33 litres - 48 kgRésistance en compression à vide : 112 T/m² (soit 3 camions remplis)Résistance en compression remplie : 600 T/m² (soit 30 camions remplis)Résistance aux températures : entre - 30 °C et + 60 °CConditionnement : 104 pièces/palette, préassemblées par 4Points de vente : négoces en matériauxPlot de marquage JOUPLAST®Couleurs : blanc/grisConditionnement : 40 pièces/cartonPoints de vente : négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 10 jours

KS groupe annonce la création d'un nouvel espace multiactivités à Goxwiller (67) - Le César

Bâti sur un terrain vague, le César (qui doit son nom à sa situation géographique sur l’ancienne voie romaine du Piémont…ainsi que la route des vins d’Alsace !) devrait accueillir d’ici 2023 des activités d’artisanat et de services.Avec une emprise au sol de 2.540 m2 , ce bâtiment offrira 12 lots allant de 120 à 300 m2. Idéalement situé en bordure d’autoroute, à 5 min d’Obernai et 25 min de Strasbourg, il offre une localisation stratégique dans un parc d’activité déjà existant et en plein développement.Sa hauteur utile de 6,20m, permettra diverses activités (hall de stockage, bureaux, showroom, commerces…) ; Chaque lot bénéficie d’une mezzanine, d’espace bureaux, d’un point d’eau, d’une porte sectionnelle et d’une entrée classique ainsi que de 2 à 6 places de stationnement. Bordé par de la végétation, Le César bénéficie en outre d’une toiture 100% photovoltaïque.Indépendants, les 12 lots du bâtiment bénéficieront d’un espace de convivialité sur le terrain et entouré de verdure. En effet KS groupe a fait appel à M KUBE, un acteur local engagé et aux valeurs similaires à celles du constructeur pour l’installation de cet espace original tout en bois.En bref :8.700 m2 au total2.540 m2 d’emprise au sol (bureaux, showroom, hall de stockage et commerces/services)Des espaces verts paysagés et de voiries12 lots disponibles : de 120 à 300m2Investissement total : 3 millions d’€Commercialisation des lots : en coursDémarrage des travaux : septembre 2022Livraison des lots : septembre 2023
Il y a 3 ans et 20 jours

L'innovation au cœur du Carrefour International du Bois

Disponible et renouvelable, le bois trouve également sa place dans des domaines d’applications nouveaux, notamment dans la tech et l’innovation.À cet égard, le Carrefour International du Bois, qui aura lieu du 1er au 3 juin 2022 au Parc des Expositions de Nantes, fera la part belle à l’innovation au sein d’un espace dédié pour la deuxième édition consécutive. Situé dans le hall 1, l’espace innovation présentera les avancées de la filière sur les sujets de R&D ainsi que sur les nouveautés en matière de produits et de services. L’Afpia Solfi2A, Bois HD et Xylofutur, acteurs du secteur, animeront ce plateau dédié à l’échange et aux découvertes. Pour cette édition 2022, la Wood Tech, premier réseau de start-up de la filière forêt bois, rejoint les rangs et sera accompagnée par 4 de ses adhérents sur un stand.Le Carrefour International du Bois fait la part belle aux métiers d'avenirAprès 4 ans d’absence dus à la pandémie de COVID-19, la seizième édition du Carrefour International du Bois est vivement attendue par l’ensemble de la filière. Salon leader, il est dédié aux professionnels et aux produits bois sous toutes ses formes. Il rassemble sur 3 jours 563 exposants et plus de 11.500 visiteurs venus de 85 pays différents. Incontournable RDV business, le Carrefour est aussi un point de rencontre avec les métiers de demain. Tournée vers l’innovation, la filière forêt-bois s’étend parfois à des secteurs d’activités ou des domaines d’applications inattendus mais néanmoins essentiels, tant sur le plan environnemental, économique que social. Premier réseau de start-up de la forêt et du bois, la Wood Tech en est l’exemple concret : « Après un peu plus d’une année d’existence, notre regroupement compte aujourd’hui 29 jeunes structures innovantes qui évoluent dans le domaine du digital pour faciliter les interventions en forêt ou améliorer la connaissance des essences. Certaines de ces start-up travaillent aussi dans la création de plateformes pour la mise en relation directe des professionnels du bois avec les particuliers ou encore dans des applications plus orientées « produits » comme des écrans tactiles en bois ou bien un emballage alimentaire réutilisable et composé uniquement de fibres végétales », explique François VULSER, responsable de la Wood Tech. Sur les 29 adhérents que compte la Wood Tech, 4 seront présents au Carrefour International du Bois au sein de l’espace innovation. Leur participation est une formidable opportunité d’aller à la rencontre de leurs marchés, leurs partenaires, leurs fournisseurs et leurs futurs clients. François VULSER l’admet : « Le Carrefour est un indéniable accélérateur de business et une vitrine qui peut être vitale pour le lancement de leur activité ».Les start-up de la wood tech présentes au Carrefour International du BoisEPUR (Occitanie) est une start-up dont les deux co-fondateurs, tous deux charpentiers, se sont associés pour concevoir et développer un robot numérique portatif qui facilite, optimise et sécurise les travaux des charpentiers. EPUR participe à relancer l’industrialisation par la production de machines-outils labellisée Origine France Garantie et Made in France. NOIRDEBOIS (Hauts-de-France) est le 1er fabricant français de bardage et d’habillement mural de bois brûlé. Cette technique ancestrale d’origine japonaise qui consiste à brûler la surface extérieure d’une lame de bardage bois afin de la rendre plus résistante. EKWATO (Occitanie) est une solution digitale professionnelle et innovante pour piloter et maîtriser le risque sur toute la chaîne d’approvisionnement des produits bois. Il facilite le suivi de l’application d’une politique d’achat des produits bois, des exigences RSE, normatives ou réglementaires qui demandent la réalisation d’une analyse de risque, du gestionnaire forestier au distributeur. CLICOBOIS (Auvergne-Rhône-Alpes) est un service de vente en ligne de bois en click and collect, mettant en relation les industries de la filière bois et les clients finaux, utilisateurs de bois. Cette mise en relation directe permet aux particuliers d'acheter à un prix compétitif des produits venant de leur territoire (traverse, bordure, bardage, poutre, planche...). Une édition rythmée par des temps forts, marqueurs des initiatives de la filièreLa deuxième édition du concours d’innovation forêt-bois « Canopée Challenge » bat son plein. Depuis le début de l’année 2022, les nominés présentent leur projet devant un jury à l’occasion d’un tour de France. À l’issu des 7 étapes, les lauréats nationaux viendront pitcher leurs projets sur l’espace innovation. Ces différents temps forts autour de l’innovation démontrent l’engagement du Carrefour International du Bois à valoriser l’ensemble des initiatives de la filière forêt-bois tournées vers l’avenir. Vertueux et durables, le bois et les matériaux biosourcés sont de véritables alliés pour répondre aux actuels enjeux climatiques. À ce titre, les visiteurs du Carrefour pourront, pendant les 3 jours de salon, identifier les projets innovants aux impacts positifs, significatifs et mesurables.
Il y a 3 ans et 41 jours

Le ponçage de béton : quel intérêt ?

Le béton est apprécié pour sa résistance et sa longévité. Vu sa texture et sa qualité, il requiert des techniques spécifiques aussi bien pour le travailler que pour l’entretenir. On peut notamment poncer du béton pour améliorer certaines de ses caractéristiques. Découvrez l’intérêt du ponçage de béton ! Augmenter l’adhérence du revêtement L’adhérence fait référence à la capacité d’une surface à en accepter une autre. Avec les revêtements, cette propriété devient la capacité à solliciter des forces avec l’objet en contact. L’adhérence d’un revêtement dépend directement de la nature et de l’état de surface des matériaux en contact. Les sols en béton récemment posés ont généralement des surfaces micro rugueuses. Poncer du béton permet ainsi de le rendre lisse et étanche. Ce traitement permet également de se passer d’une chape avant de poser un revêtement. Par ailleurs, poncer du beton permet d’en augmenter l’adhérence. Les conditions pour le recouvrir d’un revêtement sont ainsi plus souples. Ces travaux sont généralement réalisés pour des chantiers de construction neuve ou de rénovation. Les étapes à suivre pour réussir un ponçage de béton Le ponçage de béton se réalise avec des équipements spécifiques. Le choix de l’outil de ponçage tient compte de critères tels que la surface à couvrir, le budget disponible, les compétences nécessaires pour les travaux et la main-d’œuvre disponible. Une fois en possession des équipements, il est nécessaire de préparer l’endroit où l’on doit travailler. Poncer le béton engendre énormément de poussière. Il est donc conseillé de prendre certaines précautions comme : Revêtir des équipements de sécurité : lunettes, gants, masques, etc. ; Protéger les meubles et les autres pièces ; Aérer la zone en ouvrant toutes les fenêtres et autres ouvertures. Un spécialiste conduit au mieux de telles opérations. Lorsque toutes les mesures de sécurité sont prises, il est temps de commencer le ponçage du béton. Il est recommandé de débuter par le centre la pièce en effectuant des mouvements linéaires. Il faut passer de nombreuses fois au même endroit pour obtenir un résultat convenable. Environ 10 cm d’espace doivent être laissés à partir des murs pour éviter de trop se rapprocher de ces derniers. Ce n’est qu’une fois le sol bien poncé que l’on s’occupe des bordures de la pièce avec une ponceuse de taille adaptée. Lorsque les travaux sont terminés, il est conseillé d’aspirer la poussière et de nettoyer toute la surface afin d’y poser le revêtement. Bon à savoir Deux méthodes de ponçage sont distinguées : sec et humide. La réalisation du ponçage humide requiert l’utilisation de l’eau tandis que celle à sec n’en a pas besoin. Ce processus humide est plus efficace puisqu’il permet de contenir la poussière au niveau du sol. Il suffit de nettoyer la boue d’eau et de poussière générée plus tard. À grande échelle, le ponçage à sec n’est quant à lui pas du tout recommandé. Pour poncer du béton en toute sécurité, il est essentiel de respecter une réglementation. Une vérification du bon état du câble d’alimentation doit ainsi être faite avant de le brancher. Il est aussi primordial de protéger les voies respiratoires et d’utiliser un système d’aspiration.
Il y a 3 ans et 45 jours

« On peut rénover la ville sans la gentrifier », Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers (Hauts-de-Seine)

Rénovation urbaine près de la future gare du Grand Paris, nouveau quartier en bordure du parc départemental des Chanteraines, transformation de la halle des Grésillons en pôle d’économie circulaire : alimentés par un budget annuel d’investissement de 60 millions d’euros, les chantiers en cours et en projet à Gennevilliers (47 000 habitants, Hauts-de-Seine) alimentent les réflexions politiques de son maire Patrice Leclerc. Il les a synthétisées dans son essai publié en janvier chez Arcane 17, sous le titre « Inventons un nouvel art de vivre populaire en ville ».
Il y a 3 ans et 54 jours

Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Elément de bordure en béton bas carbone prêt à être posé. [©Esitc Caen/JCoiffey] L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote éco-responsable. Mené par Cléo Guis, Thomas Latini et Aude Bourgeois, élèves en 5e année, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre recyclés. Réalisé du 7 au 18 février dernier sur un chantier avenue André Morice à Caen, le test avait pour objectif de valider en conditions réelles la pertinence de cette solution. C’est d’ailleurs Eurovia, filiale de Vinci, qui a réalisé ces travaux. Tandis que François Moreno, ingénieur diplômé en 2000 à l’ESTIC de Caen, pilotait le chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie Ainsi, le projet s’inscrit dans des thématiques importantes dans les recherches de l’Esitc : le développement durable et la sécurité routière. En effet, le ciment CEM III, retenu pour le chantier, est composé majoritairement de matières premières issues de l’économie circulaire. Il se complète alors avec les résidus de verre, eux-aussi utilisés de manière éco-responsable. La production des bordures est d’ailleurs confiée en partie à TEP Construction, une micro-entreprise gérée par des élèves de l’école. Pour les réaliser, les trois étudiants ont pu accéder aux ressources de l’école. Dans un premier temps en utilisant le laboratoire mis à disposition pour les recherches. Puis, dans un second temps, avec les partenariats de l’Esitc de Caen avec des acteurs institutionnels régionaux et industriels pour concrétiser le projet. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 59 jours

Trois projets de rénovations esthétiques et durables avec Résineo

Pour chaque projet, le choix du coloris permet à Résineo de s’intégrer parfaitement dans l’environnement du lieu, tout en offrant aux propriétaires une solution durable, favorisant la perméabilité des sols.Effet de perspective pour une villa CorseDes lignes épurées qui soulignent une vue imprenable sur la Méditerranée : en Corse, ce projet de rénovation de 300m² sublime des espaces extérieurs grandioses. L’alliance de deux coloris Résineo marbre (nacré et gris volcan) permet la création de margelles à plat plus confortables, de pochoirs décoratifs sur-mesure, ainsi que la création d’une perspective unique dans les escaliers.Informations techniques : rénovation, pose sur sol béton, épaisseur 1 cm. Surface d’application 300m².Piscine privée en nuances de grisA proximité de Limoges, pour la rénovation des extérieurs de cette maison moderne aux lignes simples et épurées, les propriétaires ont fait le choix de marier plusieurs coloris de Résineo marbre (coquillage et nuances de gris) pour sublimer l’olivier en bordure de piscine, pièce maitresse de la terrasse.Informations techniques : rénovation, pose sur sol béton, épaisseur 1 cm. Surface d’application 140m², dont 37mL (ou 3,7m²) à la verticale (plinthes)Rénovation d’un ancien relai de Poste à Ussel (46)Dans le Lot, à Ussel, cet ancien relai de poste transformé en restaurant a fait le choix d’un revêtement Résineo coloris marbre coquillage pour la création de sa plage de piscine.Dans un esprit de bassin naturel, le projet s’intègre parfaitement dans son environnement tout en conservant le charme de ce lieu paisible.Informations techniques : création, pose sur sol béton, épaisseur 1 cm. Surface d’application 70m².
Il y a 3 ans et 67 jours

Chantier – Les plaques stabilisatrices de gravier pour zone urbaine URBANGRAVEL de JOUPLAST séduisent à Chambéry

580 m2 mis en œuvre pour créer un parking de covoiturage L’imperméabilisation des surfaces urbaines va de pair avec le phénomène de ruissellement des eaux pluviales, dont les conséquences dommageables sont connues : inondations, concentration de pollution, impact sur le cadre de vie et jusqu’à la sécurité des biens et des personnes. C’est pourquoi, les revêtements drainants sont de plus en plus mis en œuvre par les professionnels du BTP pour rétablir la perméabilité des sols. Avec URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, des plaques alvéolées favorisant le drainage naturel et optimal des eaux de pluies, les professionnels du BTP disposent d’une solution fiable et performante qui permet d’aménager facilement des surfaces gravillonnées en milieu urbain. En voici une nouvelle illustration avec le chantier d’un parking de covoiturage sur la commune de Chambéry en Savoie. URBANGRAVEL®, la solution drainante pour parkings en milieu urbain Le covoiturage est de plus en plus prisé pour se déplacer. Cette pratique, qui répond à des exigences économiques, sociales et environnementales, fait aujourd’hui partie des habitudes d’un nombre croissant d’usagers. Afin de diminuer les émissions de polluants et les embouteillages, la commune de Chambéry continue de développer ses infrastructures, dont la dernière est un parking de covoiturage d’une vingtaine de places terminé en 2021. Pour les travaux, menés par Colas, la maîtrise d’ouvrage a choisi les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST®, le spécialiste en produits innovants et durables pour aménagements extérieurs. Faciles et rapides à mettre en œuvre, les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® de JOUPLAST® sont particulièrement efficaces pour stabiliser le gravier, drainer les eaux de pluie de façon naturelle et optimale et empêcher la dégradation des sols ou l’apparition de trous. Pour le parking de Chambéry, les plaques ont été posées après les travaux de terrassement et de mise en place des bordures délimitant la surface. Les opérations sur chantier n’étant pas sans comporter certains risques professionnels, des équipements adéquats ont été fournis aux ouvriers. Les consignes de sécurité ont également été respectées durant toute la durée des travaux. Haute résistance à la compression Préconisées pour résoudre les problèmes d’imperméabilisation des sols, et donc les risques d’inondations ou de saturation des réseaux, les plaques alvéolées URBANGRAVEL® de JOUPLAST® assurent à la fois un parfait maintien des graviers et une résistance remarquable à la compression, autorisant le passage de véhicules lourds. Les parois de forte section des cellules alvéolaires garantissent la résistance à la pression, exercée sur le gravier lors de la circulation sur parkings à forte rotation. Couplées à la souplesse de la matière utilisée (polyethylène recyclé), les parois assurent une résistance remarquable à la friction et à la rotation des roues. À combler avec du gravier 8/16 mm, les plaques URBANGRAVEL® de JOUPLAST® supportent ainsi jusqu’à 600 tonnes au m2, soit l’équivalent de 30 camions remplis. Elles peuvent être utilisées pour le passage de véhicules avec une charge à l’essieu de 20 tonnes, et sont compatibles avec les voies accès pompiers. Système d’assemblage exclusif Fabriquées en France, les plaques URBANGRAVEL® structurées en nid d’abeilles sont simples et rapides à mettre en œuvre. Elles sont à même de répondre aux exigences de chantiers de grande envergure. En polyéthylène 100 % recyclé, elles permettent d’installer durablement une surface stable et perméable ne générant ni flaques, ni ruissellement, ni ornières, pour les aménagements gravillonnés. Antidérapantes, légères et faciles à découper avec une disqueuse, elles disposent également d’un système d’assemblage exclusif sur les 4 côtés qui assure le bon maintien des plaques entre elles, et empêche la désolidarisation lors de fortes charges de circulation. Plots de marquage Les plaques stabilisatrices de gravier URBANGRAVEL® peuvent être associées à des plots de marquage blancs ou gris JOUPLAST®, vendus séparément, pour délimiter aisément un espace (des places de parking, par exemple).
Il y a 3 ans et 101 jours

Projet de recherche : l’ESITC Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote de bordures éco-responsables réfléchissantes

Mené par trois élèves ingénieurs de l’ESITC Caen dans le cadre de leur cursus d’ingénieur, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes éco-responsables conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre en fin de vie. Le test réalisé à partir du 7 février sur un chantier de la […]
Il y a 3 ans et 108 jours

Cem’In’Eu : Deux nouveaux ciments pour 2022

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Fabien Charbonnel, directeur général de Cem’In’Eu : « Nous allons lancer un CEM II/C et un ciment pouzzolanique CEM IV en 2022 ». [©Cem’In’Eu] A la tête de deux usines cimentières en activité et d’une base logistique portuaire, l’industriel Cement Innovation in Europe – Cem’In’Eu – a bouclé la première phase de son développement. « Aliénor Ciments est la première unité que nous avons mise en service en 2018, rappelle Fabien Charbonnel, directeur général du groupe. Basée à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, elle a assuré une production de 180 000 t de ciments en 2020, soit 1 % de part de marché en France, pour un chiffre d’affaires de 20 M€. » L’entité compte aujourd’hui plus de 200 clients locaux. Car c’est bien là le leitmotiv et la raison d’être de Cem’In’Eu : être présent au cœur des territoires, donc des marchés. Rhône Ciments suit la même logique. L’usine est sise à Portes-lès-Valence (26), en bordure du Rhône. De quoi permettre un approvisionnement par voie d’eau ou par train. Aliénor Ciments est, elle, connectée exclusivement au fer. Mais qu’importe la manière, tant que les livraisons de matières premières n’imposent pas la mise sur les routes de centaines de semi-remorques ! Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 111 jours

La mairie de Paris revoit un projet de hautes tours en bord de Seine

"Les échanges au sein de la majorité démontrent qu'il est nécessaire de réajuster le projet", a indiqué la mairie à l'AFP, confirmant une information du Parisien.Les élus parisiens, la mairie d'Ivry-sur-Seine et les équipes retenues vont désormais revoir "la grande hauteur" des deux tours, mais aussi la destination des bâtiments, "notamment celle de bureaux", indique la mairie qui souligne la "responsabilité collective vis-à-vis des Ivryens qui attendent ce désenclavement depuis de nombreuses années".En bordure du périphérique qui sépare la capitale de cette commune du Val-de-Marne, et près des Tours Duo dessinées par Jean Nouvel, le projet Bruneseau nord, pour lequel quatre promoteurs avaient été choisis en mars 2019, devait voir l'édification de tout un quartier, pour un total de 95.000 m2, dont une moitié consacré au logement et un quart aux bureaux.Parmi les bâtiments prévus, 5 tours, dont une de 180 m et une de 100, suscitaient l'opposition d'associations et des élus écologistes malgré la perspective de planchers en bois, une "première mondiale", l'installation "massive" de panneaux solaires et la création d'espaces verts."Les écologistes obtiennent la fin du projet de tours sur la ZAC (zone d'aménagement concerté) Paris Rive gauche - Bruneseau", se sont félicités les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés turbulents de la maire Anne Hidalgo.Souvent opposés aux projets architecturaux d'envergure remontant à l'époque de Bertrand Delanoë, le prédécesseur à l'Hôtel de Ville de l'actuelle candidate à la présidentielle, ou au premier mandat de cette dernière, les écologistes n'hésitent pas à faire alliance avec l'opposition de droite pour tenter d'empêcher leur réalisation, comme sur la Tour Triangle (XVe arrondissement) ou le futur bâtiment de la gare d'Austerlitz (XIIIe)."Les tours de hauteur, c'était une aberration écologique", a réagi auprès de l'AFP le conseiller EELV Emile Meunier, pour qui "la ville de demain ne pourra plus être densifiée comme elle a pu l'être jusqu'à présent".En octobre, cet élu avait sérieusement contrarié le projet de la tour de 100 m en faisant voter un amendement, activant une clause résolutoire de l'acte de vente des parcelles.Les socialistes et communistes, favorables au projet, "ont compris que si ça bloquait pour une, ça bloquerait pour toutes", estime M. Meunier, partisan d'une "verticalité raisonnable" mais qui veut "tourner une page de l'urbanisme Missika", du nom de l'ex-adjoint à l'urbanisme qui avait lancé ces projets contestés dans la capitale.
Il y a 3 ans et 111 jours

Delta Light lance sa nouvelle gamme d'outils d'éclairage Entero

Et si un seul luminaire pouvait s'adapter à toutes les situations ? S'il existait un éclairage unique pour tout type de projet : intérieur ou extérieur, dans un plafond haut ou bas, pour un éclairage rasant, général ou ciblé, pour un éclairage fonctionnel ou pour créer une lumière d'ambiance ?C'est l'objectif que s'est lancé l'équipe R&D de Delta Light.Bienvenue à ENTERODe cette idée naît Entero, un ensemble d'outils conçus pour permettre aux architectes et aux concepteurs de créer des projets d'éclairage intégrés et diversifiés. En n'utilisant qu'une seule gamme de luminaires, il est maintenant possible d'équiper l'ensemble d'un projet et d'obtenir ainsi une continuité de style dans tous les espaces.La base est constituée de trois unités d'éclairage dont chacune est composée d'une LED de haute qualité et d'un bloc optique hybride. Les LEDs diffusent une couleur uniforme, et l'optique hybride assure une lumière confortable dont les faisceaux parfaitement tracés facilitent son intégration dans le projet.Unique mais multipleMalgré sa conception uniforme, la clé de la gamme ENTERO, c'est sa variété. Ce modèle offre une série d'options en format rond ou carré, une puissance réglable, tout comme le choix d'angle de faisceau. ENTERO se présente sous forme de luminaires modulables, avec ou sans bordure, adaptés aussi à l'intérieur, qu'à l'extérieur ou dans les endroits humides. Pour plus de flexibilité et de diversité dans les projets, des options telles que Soft Dim, Tunable White, et wall Wash complètent la famille ENTERO.Un effet lèche-mur parfaitement travailléEn plus de ses quatre angles de faisceau symétriques, ENTERO offre également des optiques avec effet lèche-mur pour un éclairage uniforme des surfaces verticales. Les designers exploitent l'optique brevetée Bartenbach pour obtenir une surface éclairée parfaitement uniforme à partir d'un luminaire encastré dans le plafond. En accord avec la philosophie d'ENTERO, la version Wall wash est également disponible en différentes formes, tailles et options d'installation, parfaite pour tout projet d'éclairage.Un résultat équilibréPour Peter Ameloot, directeur général de Delta Light : "Lorsque nous avons vu pour la première fois la fiche de projet d'ENTERO, il était clair qu'il s'agirait d'un travail d'équilibre. Une liste d'indispensables et d'options supplémentaires, associés à des mots-clés tels que prix abordable, design uniforme, technique et attractif. Un défi, mais un défi passionnant. Lorsque nous voyons le résultat, nous pouvons clairement affirmer qu'ENTERO a trouvé son équilibre, à la fois comme produit et comme famille. Le produit individuel combine un arrière-plan techniquement parfait avec un design épuré à l'avant, tandis que les produits en tant que famille présentent un design uniforme dans différentes tailles, différents types d'application, et différents aspects techniques de la lumière. Un résultat équilibré."
Il y a 3 ans et 112 jours

Wirtgen Group innove sur World of Concrete de Las Vegas

Train de pose de béton Wirtgen, avec le nouvel alimentateur latéral WPS 102i au premier plan. [©Wirtgen Group] Las Vegas n’est pas seulement le rendez-vous des amateurs de casinos. Les amoureux du béton y tiennent aussi salon… Cette année, World of Concrete s’est tenu du 18 au 20 janvier, réunissant quelque 37 000 visiteurs professionnels et plus de 1 000 exposants. Un des grands moments du show fut la démonstration du train de pose de béton Wirtgen, dont le tout nouvel alimentateur latéral WPS 102i constituait le point d’orgue. Quand une chaussée est réalisée avec une armature posée au préalable, l’alimentation en béton doit se faire par le côté. C’est là qu’intervient le WPS 102i. Constituant la première machine du train de pose, il se déplace devant la machine à coffrage glissant et la machine de traitement de surface. Il répartit de manière homogène le béton sur toute la largeur de travail. L’épaisseur de pose maximale est de 500 mm pour des largeurs comprises entre 4 et 12 m. Le WPS 102i peut être commandé avec précision par palpage sur fil de guidage, via des applications 3D sans fil de guidage ou avec le Wirtgen Autopilot 2.0. L’Inset SP 94i en avant-première Autre première, la machine à coffrage glissant Inset SP 94i avec TeleMold. S’inscrivant dans la gamme des 10 m, elle se destine à la construction d’autoroutes et de zones aéroportuaires. Quant au système TeleMold, il permet de changer la largeur de travail (+/- 1 m de chaque côté) de manière rapide et flexible. Cette rapidité de modulation augmente sa disponibilité et sa durée d’utilisation de la machine. TeleMold est aussi disponible sur les machines à coffrage glissant SP 64i, SP 94i et SP 124i. Enfin, Wirtgen a dévoilé les nouvelles fonctionnalités de sa SP 15i. Destiné à la réalisation de bordures et autres glissières, cet équipement dispose désormais d’une extension de plate-forme de travail. Ceci offre aux utilisateurs une meilleure vue sur la zone de pose, sur l’alimentation en béton, sur la trémie et sur la chambre de compactage. Autre nouveauté, le “coffrage curb depressor” est doté d’un compartiment à réglage hydraulique. Il est utilisé pour abaisser le profil de bordures, par exemple au niveau des entrées. Cela réduit de manière significative les reprises manuelles.
Il y a 3 ans et 126 jours

En Belgique, une "ville fantôme" bien décidée à renaître

Il s'agirait d'un spectaculaire revirement pour un lieu qui se vide régulièrement depuis la fin des années 1970, époque où sa population était 60 fois plus importante.Surtout connue pour héberger une centrale nucléaire, isolée au milieu des polders en bordure de l'Escaut, la petite cité flamande a été victime d'un projet d'extension du gigantesque port d'Anvers qui a poussé les habitants à fuir... mais n'a finalement jamais vu le jour.Conséquence : elle est devenue un terrain de jeu pour les graffeurs, ainsi qu'une sorte d'attraction morbide pour les touristes curieux et les "explorateurs urbains" venant se filmer dans des bâtiments en ruine.La police patrouille régulièrement pour prévenir le vandalisme et empêcher l'installation de squatteurs.Seuls une église et deux cafés -- dont un adossé à un moulin du XVIIe siècle -- rappellent aux visiteurs que le village n'est pas complètement déserté."Ce n'est pas une ville fantôme... Bien sûr si vous venez ici le dimanche, ou surtout le soir, vous voyez les maisons vides et c'est ça qui suscite ce type de commentaires", explique à l'AFP une habitante, Liese Stuer."Il est très important que les gens sachent qu'on peut encore vivre ici et venir s'installer", ajoute-t-elle.Cette femme de 37 ans, professeure de néerlandais pour les étrangers et graphiste indépendante, s'est installée il y a cinq ans à Doel où résidait déjà son conjoint.Enfant, elle s'y rendait avec ses grands-parents, qui vivaient à proximité, et elle se souvient du lieu comme d'une destination courue pour s'aérer dans la verdure.Mais le destin de Doel a dérapé à la fin des années 1990, lorsque les autorités belges ont décidé d'exproprier et de raser plusieurs zones urbanisées autour du port d'Anvers --le deuxième d'Europe-- pour construire un nouveau quai à conteneurs.Si la plupart des habitants sont partis, une poignée d'irréductibles est restée et a décidé de contester ce projet devant les tribunaux, tout en promouvant le street-art pour égayer les maisons vides."Cicatrices du passé"Après une série de rebondissements en justice, la victoire est acquise en 2019 quand le gouvernement régional flamand confirme que le village pourra être conservé.Trois ans plus tôt, en 2016, le Conseil d'État belge avait invalidé le projet d'extension du port, en s'appuyant sur une décision de la Cour de justice de l'UE qui insistait sur la nécessaire préservation des marécages au bord de l'Escaut.Liese Stuer explique être restée à Doel pour la nature, et pour la solidarité et les liens qui se sont créés entre résidents."Le vert que l'on voit ici l'été, c'est vraiment agréable (...) c'est l'endroit où je veux que mon enfant grandisse", poursuit la graphiste. "Et puis je n'ai pas l'impression d'être isolée, pas du tout, l'ambiance est très chaleureuse ici".Sur la forme que prendra la résurrection du lieu, les discussions se poursuivent entre autorités et habitants.En décembre, la commune a présenté un plan visant à accueillir progressivement de nouveaux habitants et à rénover un vieux bateau échoué, tout en construisant un nouveau quai pour les besoins du trafic portuaire."Nous savons que le village ne disparaîtra pas... Il a effectivement l'image d'une ville fantôme, mais il ne doit pas l'être", assure à l'AFP Matthias Diependaele, ministre flamand chargé des Finances et du Patrimoine immobilier. Le gouvernement flamand est aujourd'hui propriétaire de toutes les maisons sauf une."La chose la plus difficile est que nous savons pertinemment que juste à côté, il y aura une activité portuaire 24 heures sur 24 et sept jours sur sept", ajoute-t-il.À ce stade, aucun calendrier n'a été arrêté, il est seulement question de préciser dans les semaines ou mois à venir les projets pour faire revivre Doel."J'espère vraiment qu'ils évolueront dans le sens du retour à un village normal, avec ses cicatrices, bien sûr... Elles seront toujours visibles, les cicatrices de ce passé récent", lâche Liese Stuer.
Il y a 3 ans et 138 jours

L’Obélisque fait peau neuve

Monolithe de granit sculpté, l’Obélisque de Louxor est érigé au centre de la place de la Concorde depuis 1836. Il a été offert en 1830 par l’Égypte en reconnaissance du travail du Français Jean-François Champollion pour le déchiffrement des hiéroglyphes, réalisé en 1822. Grâce à un mécénat de compétences avec la société Kärcher, la DRAC Île-de-France engage la restauration du plus ancien monument de Paris en 2022, année du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion. Une restauration minutieusement préparée depuis plusieurs mois. Le chantier a débuté mi-novembre 2021 par l’installation des échafaudages, la restauration commence en janvier 2022. La préparation a duré plus d’une année avec le mécène Kärcher et les équipes du ministère de la Culture, afin d’élaborer les protocoles adéquats de restauration. Durant cette phase préparatoire, des tests de nettoyage du monolithe, du piédestal et du socle ont été organisés, sous le contrôle du Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH). Plusieurs méthodes ont été testées, dans le respect d’un protocole consistant à valider l’innocuité des technologies proposées par Kärcher, examiner la rugosité post-nettoyage par scan 3D et comparer l’état de surface du granit avec un échantillon de granit sain d’Assouan. Les analyses du LRMH ont conclu à l’utilisation de deux méthodes différenciées : la vapeur chaude pour le socle et le piédestal, le micro-sablage pour le monolithe L’opération comprend donc la restauration du monolithe, de son piédestal, de son podium et de la grille de clôture. Elle intègre une phase de consolidation des zones desquamées du monolithe et un nettoyage adapté aux différents matériaux composant le monument : révision et réparation des feuilles d’or du pyramidion, micro-sablage à basse pression pour le monolithe, vapeur d’eau et éponge pour le piédestal, éponge pour les décors gravés et dorée et vapeur d’eau et micro-sablage pour le podium. La présentation du podium sera améliorée par la reprise des joints et le goujonnage de la pierre formant bordure extérieure . La grille et les portillons font l’objet d’une révision et d’une reprise des peintures et la pointe manquante sur la grille sera restituée. Les restaurateurs permettront un rendu homogène de l’ensemble et reprendront les parties dorées à la feuille d’or. La bâche et les palissades de chantier décorées par un jeune artiste diplômé des Beaux-Arts de Paris Dans le cadre de la convention de mécénat avec Kärcher, un partenariat a été noué avec l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, qui a permis de lancer un appel à projet auprès des étudiants et diplômés de l’école. Un jury, composé de représentants du ministère de la Culture, des Beaux-Arts de Paris, du musée du Louvre, de l’architecte en chef des monuments historiques et de l’entreprise mécène s’est réuni à la DRAC Île-de-France le 29 novembre 2021. Parmi les 11 candidatures reçues, 3 artistes ont été sélectionnés et leur projet soumis à la ministre de la Culture. L’artiste retenu est Jonathan SOBEL, diplômé de l’école en 2021. Sa proposition, qui sera à découvrir à partir du 24 décembre, est un monolithe jaune (soleil égyptien) et gris (ciel parisien) présentant les effigies de Ramsès II (1304-1213 avant J.-C.), Méhémet Ali (1769-1849), Charles X (1757-1836) et Jean-François Champollion (1790-1832), quatre grands hommes liés à la création et la destinée du monument, comme sérigraphiés dans une matière révélant à l’observateur attentif des formes et caractères qui sont autant d’indices de cette histoire.   Source et photo : Drac Ile-de-France  
Il y a 3 ans et 172 jours

Sarthe : Girpav ouvre une nouvelle usine près du Mans

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine La dernière-née des usines Girpav est entrée en service sur la commune de Maresché. [©Méhat Girpav] Depuis plus de 75 ans, Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Au programme, plaques de soubassement en béton pour clôtures métalliques, composite, aluminium, clôtures traditionnelles et décoratives en béton, produits de sol en pierre reconstituée : pavés, dalles, bordures et caniveaux. L’ensemble est commercialisé sous les marques Girpav, Méhat et Clôtures Nicolas.  Pour renforcer son outil de production, l’industriel vient de mettre en service une toute nouvelle usine de préfabrication à Maresché, commune située à environ 25 km au Nord du Mans. Il bénéficie ainsi d’un emplacement stratégique, en plus du soutien de la Région Pays de la Loire. Lire aussi les autres actualités en région Complétant les usines déjà implantées dans le Calvados, le Loiret, le Morbihan, l’Oise et les Vosges, la nouvelle unité vise à répondre aux demandes de ses clients historiques du Grand Ouest : négoces matériaux et distributeurs spécialisés. Et devrait permettre de conquérir de nouveaux clients sur tout le territoire français… Après 18 mois de travaux, l’usine de 6 500 m2 implantée sur une parcelle de 10,5 ha vient de démarrer sa production. Une vingtaine de collaborateurs travaillent actuellement sur le site (production et administratif), et quelques embauches sont prévues dans les mois à venir… Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 174 jours

Alkern dévoile en avant-première sur Paysalia ses nouveaux catalogues 2022 et une offre dédiée aux professionnels de la piscine

Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, ALKERN en profitera pour mettre en lumière une offre dévolue aux professionnels avec ses Kits Piscine : des solutions en pierre reconstituée, clés en mains, livrées sous 15 jours partout en France et regroupant l’ensemble des produits nécessaires à l’habillage esthétique et pérenne des contours et plages de bassins aux dimensions allant jusqu’à 5 x 10 mètres.ALKERN sur Paysalia : de nouvelles éditions régionales pour trouver, à coups sûrs, son aménagement extérieur Le premier fabricant français de produits préfabriqués en béton profite de cet événement majeur pour mettre en lumière, sur son stand 6A102, les 3 nouvelles éditions régionales 2022 dédiées aux solutions pour l’aménagement extérieur (Nord IDF Centre Est, Sud-Est et Grand Ouest)… Exit le catalogue national unique riche de 2.500 références, place à une lecture plus simple et aux réponses couramment attendues et fabriquées régionalement, avec par exemple, une offre de pavés bien plus importante pour le Nord et de dalles dans le Sud. Une nouvelle offre qui va également dans le sens du développement durable puisqu’à la source d’un meilleur bilan carbone…Avec un panel de trois catalogues comme dignes reflets des spécificités régionales et de l’exhaustivité des solutions ALKERN, l’industriel qui dispose de plus de 50 sites de production sur l’Hexagone, a résolument misé sur une clarification de ses offres. Ces nouveaux catalogues, tirés à 35.000 exemplaires et disponibles en ligne sur le site alkern.fr, font en effet la part belle à la découverte de nombreuses solutions béton et pierre reconstituée, alliant technicité et esthétisme, qu’il s’agisse de pavés, dalles, bordures, margelles, terrasses, murets, piliers…Ces éditions inspirantes de 160 pages séduisent d’emblée par leur lecture plus facile, avec les « plus-produits » clairement mis en avant. Notons que si la richesse des illustrations aide à se projeter pour choisir aisément et assurément sa référence, ALKERN impulse une innovante arborescence pour la découverte de son offre au travers de 3 Univers : Jardin (dalles, pavés, gamme drainante, accessoires, piliers et couronnement, fontaines), Piscine (Kits, Margelles, Accessoires) et Décoration (parements et carrelages - pour le Grand Ouest-). Dans la même logique mentionnons enfin que l’offre tarifaire a elle aussi été repensée afin d’offrir une plus grande lisibilité avec une colonne tarif public HT et 3 niveaux de remises (départ, franco camion complet et franco 6/16 palettes).Les Kits Piscine ALKERN : des solutions clés en mains livrées sous 15 jours Précisons par ailleurs que Paysalia constitue aussi l’opportunité pour ALKERN de conforter sa position de partenaire privilégié des professionnels de la piscine. Toute l’expertise ALKERN, déjà reconnue et appréciée de ces acteurs, se cristallise dans d’innovantes offres qui leur sont spécialement dévolues. Avec ses nouveaux Kits Piscines, service unique sur le marché, ALKERN propose en effet aux professionnels une réponse simple et économique qui leur fait gagner en temps comme en sérénité. Ces kits complets (margelles, angles et produits de mise en œuvre) correspondent aux dimensions d’une grande majorité de bassins, qu’il s’agisse de piscines ou de couloirs de nage pour des dimensions types de 4 x 8 m, 3 x 9 m et 5 x 10 mètres.Précisons que les Kit Piscines ALKERN sont livrés sous 15 jours. Une solution alliant réactivité et souplesse libérant de la trésorerie, qui évite la gestion du stockage pouvant se prolonger à cause des aléas météo et autres reports possibles de chantier.
Il y a 3 ans et 180 jours

La pérennisation des coronapistes à Paris, un chantier au long cours

Entre les célèbres places de la Bastille et de la Nation, la rue du faubourg Saint-Antoine flambant neuve compte désormais une large (2 m) piste cyclable de chaque côté, séparée du reste de la chaussée par une bordure en pierre.Le calme qui en découle est un "bonheur absolu" pour Douchka, 39 ans, serveuse du Café Pierre qui a souffert des travaux. Mi-septembre, alors que les terrasses étaient pleines ailleurs, le bruit des marteaux-piqueurs lui donnait "l'impression d'avoir un aéroport dans la tête", et le bistro perdait "pas mal de monde".Sur l'autre trottoir, le Bidule n'a souffert du bruit "que quelques jours en septembre", dit Vincent, son responsable. "Mais après, c'est nous qui allons morfler", craint-il en désignant la rue perpendiculaire dans laquelle les blocs de béton, synonymes de piste cyclable provisoire, laissent deviner un futur chantier."Montée en puissance"Avenue de la République, les travaux ont débuté et ceux de l'axe gare Saint-Lazare - Porte de Saint-Ouen ne devraient pas tarder: avec les 80 millions d'euros provisionnés par David Belliard, l'adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public, pour la pérennisation des pistes provisoires, "on va avoir beaucoup de chantiers vélo en même temps d'ici 2024", anticipe Jacques Baudrier (PCF), son collègue chargé de la construction publique."La montée en puissance des chantiers, c'est en ce moment, début 2022 ils seront beaucoup plus importants", insiste l'élu communiste en réponse aux associations de cyclistes qui auraient aimé, comme Jean-Sébastien Catier, président de Paris en selle, "que ça embraye un peu plus rapidement après l'élection" municipale de juin 2020.C'est à cette période que les coronapistes, créées dès le début de la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun, surgissaient presque du jour au lendemain dans la capitale. Depuis, "il ne s'est pas passé grand-chose en termes de travaux", déplore M. Catier.M. Baudrier rétorque que "les pistes provisoires ont été installées jusqu'à fin 2020" et 2021 a servi à attribuer les appels d'offre avec "des lots beaucoup plus importants" pour les entreprises retenues. Et que l'augmentation en moyens humains de la mission aménagement cyclable (Macy), forte d'une dizaine d'agents, permet déjà d'aller plus vite."Pour se mettre au vélo, les Parisiens n'attendaient que la création d'aménagements sécurisés", estime la mairie. David Belliard présentera jeudi en conseil municipal le plan vélo pour la mandature (2021-2026), doté de 250 millions d'euros, soit bien plus que le précédent (environ 150 millions), pour faire de la capitale "une ville 100% cyclable".En 1995, 5 petits kilomètresSelon la mairie, l'Ile-de-France compte actuellement environ 800.000 déplacements cyclistes par jour, et la part des déplacements à vélo dans la capitale s'élève désormais à 5,6%, quand celle de la voiture individuelle ne représente plus qu'environ 9%.Et dans un rapport d'avril 2020, l'Ademe prévoit une explosion de la pratique entre 20 et 28% à l'horizon 2030... une révolution en l'espace d'un quart de siècle, au cours duquel la Ville Lumière est passée de 5 km de voies cyclables à près de 1.100!Comme la grève de 1995, lorsque "les gens se sont mis à faire du vélo" faute de transports en commun, la crise sanitaire a donné "un coup d'accélérateur" à cette "tendance de fond", souligne Patricia Pelloux, directrice adjointe de l'Apur, l'agence d'urbanisme sur laquelle s'appuie la Ville.Les coronapistes ne font pas que des heureux. Ainsi, le maire (LR) du XVe arrondissement, Philippe Goujon, estime que depuis l'aménagement d'une piste "au mois d'août sans prévenir les habitants", la rue Vaugirard "vit un enfer", avec des "conflits d'usage à tous les carrefours".Alexis Frémeaux, président de l'association Mieux se déplacer à bicyclette, relativise: si "ces coronapistes ont été très utiles, elles ont été faites rapidement et on voit bien qu'elles ont certains défauts". Pour ce cycliste, "la pérennisation va permettre d'améliorer la visibilité et le confort pour tous les usagers, cyclistes et autres".
Il y a 3 ans et 194 jours

Antique plateforme en bois sur les quais de Rezé

En amont d’un projet immobilier porté par Bati-Nantes, au cœur de la ville de Rezé (Loire-Atlantique), l’Inrap vient de fouiller sur prescription de la Drac des Pays de la Loire, deux emprises, de part et d’autre de l’avenue de Lattre de Tassigny. Les découvertes de nombreux vestiges antiques, médiévaux et modernes s’inscrivent dans un secteur déjà exploré au XIXe siècle. La parcelle fouillée cet été se situe en bordure d’un ancien bras de la Loire aujourd’hui disparu, d’un coteau rocheux et de la plaine alluviale. Les structures portuaires les plus anciennes, datées du courant du Ier siècle après J.-C., renvoient à des aménagements de berges rares en Gaule Lyonnaise. Il s’agit notamment de constructions en terrasse proches de celles déjà reconnues dans la zone portuaire de Saint-Lupien. Elles apparaissent sous la forme de murs et de caissons de poutres de bois et de dalles de schiste qui constituent des plates-formes techniques de chargement et déchargement. La conservation remarquable des matériaux organiques révèle une architecture exceptionnelle. Elle se caractérise par un assemblage de poutres de chêne pouvant atteindre jusqu’à 10 m de longueur et supportant des poteaux et des contre-fiches. Leur démontage minutieux a permis de relever les multiples techniques d’assemblage (tenon et mortaise, mi-bois, clous…), mais également d’observer les nombreuses traces laissées par les charpentiers (traces d’outils, marques, estampilles…). Cette architecture de bois est renforcée par un blocage aménagé de dalles de schiste, ainsi que par la construction d’un mur dans lequel une partie des poutres vient s’insérer. Ce dispositif de caissons est complété en arrière par la construction de murs de terrasses délimitant un espace de circulation. Après de multiples réaménagements, ces constructions sont peu à peu abandonnées vers le IIIe siècle et font place à une vaste cale en pente douce qui témoigne de la continuité de la fréquentation des berges. Au sud des plates-formes, un bâtiment antique chauffé par un système d’hypocauste, un four à chaux et divers creusements témoignent par ailleurs de l’urbanisation et de la vie du quartier. Cette découverte sera suivie d’importantes études et analyses, notamment xylologiques (études des bois), en partenariat avec le CNRS (UMR 7324, « Laboratoire Archéologie et Territoires »), qui apporteront des informations complémentaires sur Rezé et sur les aménagements portuaires en Gaule romaine.   Intervenants : Marie-Laure Hervé Monteil, inrap. Crédit photo : Inrap.    
Il y a 3 ans et 208 jours

Kross Builder, le chariot zéro effort d’Alphi

Le Kross Builder est un chariot de manutention 100 % électrique, apte à transporter une charge utile de 270 kg au maximum. [©ACPresse] Prendre soin. Un leitmotiv pour Alphi. Dès l’origine de l’entreprise, c’était un fil conducteur, en particulier dans la conception des produits. Ainsi, le tout nouveau Kross Builder s’inscrit en droite ligne dans cette logique. Ce petit véhicule de transport sur chantier vise à éliminer la pénibilité liée à la manutention. Donc à supprimer les risques d’accidents à court terme et les TMS à long terme. « Bien entendu, le Kross Builder permet aux entreprises de BPE d’optimiser la productivité des phases de coffrage et d’étaiement sur leurs chantiers », souligne Davylyn Khambay, responsable développement produits innovants et spéciaux chez Alphi.  Le Kross Builder est issu d’un développement réalisé par K-Ryole, une jeune start-up industrielle française. Il s’agit d’un chariot de manutention 100 % électrique, apte à transporter une charge utile de 270 kg au maximum. L’engin peut circuler dans tous les espaces d’un chantier, en sous-sol comme dans les étages. Y compris sur des terrains boueux ou accidentés. Il peut franchir des rampes ou des bordures jusqu’à 16 cm de haut.  Lire aussi : Alphi réorganise son capital pour mieux se développer Mais sa véritable force est de bénéficier d’une technologie d’annulation d’effort. « Le système est intégré au timon,explique Davylyn Khambay. Un simple appui ou une simple traction permet de mettre en mouvement le Kross Builder. Faisant oublier son poids global de 500 kg en charge. Les moteurs électriques réagissent instantanément et sans aucun effort de l’opérateur. » Le Kross Builder, disponible à la vente et à la location L’inclinaison de la benne jusqu’à 70° du Kross Builder simplifie le chargement et le déchargement. [©ACPresse] Pilotage sans certificat d’aptitude à la conduite en sécurité (Cases), le chariot offre une autonomie électrique de 2 à 4 j. Aucune maintenance particulière n’est nécessaire, sauf à vérifier et ajuster la pression des pneumatiques, de type tubeless (moins sensibles aux crevaisons). Et, une fois par an, une vidange du circuit hydraulique est à prévoir. Tout comme un contrôle des anneaux de levage.  Pour répondre à ses besoins spécifiques, Alphi a apporté quelques adaptations au Kross Builder. Et ce, au niveau de la benne de transport. Cette dernière intègre à présent différentes extensions permettant le transport d’étais, de poutrelles ou d’éléments pour tours d’étaiement. L’inclinaison de la benne jusqu’à 70° simplifie le chargement et le déchargement. L’opérateur n’a plus à se baisser pour saisir les objets, qui sont à sa hauteur.  Disponible depuis la mi-septembre chez Alphi, qui en a la distribution exclusive pour la France, le Kross Builder est proposé aussi bien à la vente qu’à la location. 
Il y a 3 ans et 209 jours

A Oslo, le trésor de Munch s'installe dans un nouvel écrin

Adieu le bâtiment vieillot, obsolète, mal sécurisé et excentré dans l'est de la ville. Ce vendredi, le musée Munch prend ses nouveaux quartiers dans l'hypercentre à l'intérieur d'une tour spacieuse, moderne et... décriée."C'est peut-être le plus grand musée consacré à un seul artiste", souligne le directeur du musée, Stein Olav Henrichsen, en faisant le tour du propriétaire.Avec ses 13 étages et ses 26.313 m2, le nouvel édifice baptisé "Lambda" offre cinq fois plus d'espaces d'exposition que la bâtisse tristounette qui abritait jusqu'à présent le trésor national dans le quartier populaire de Tøyen.Célibataire endurci et sans enfants, Edvard Munch (1863-1944) a légué son oeuvre à la municipalité d'Oslo choisie sur le tard aux dépens de l'Etat norvégien. Légataire initial, l'Etat était tombé sous la coupe de l'Allemagne nazie qui voyait dans ce pionnier de l'expressionnisme un représentant de l'"art dégénéré".En bordure de fjord, juste derrière l'opéra, le nouveau musée dessiné par le cabinet d'architectes espagnol Herreros répare une injustice historique en donnant à l'artiste l'écrin que son oeuvre mérite.Quelque 500.000 personnes sont attendues --et plus d'un million espérées-- pour venir contempler les quelque 200 oeuvres présentées en permanence sur un espace de 4.500 m2.Au milieu des récurrences lugubres telles que l'angoisse, le désespoir et la mort, quelques bouffées moins déprimantes: l'amour, des autoportraits, des paysages.... Au teint blafard des corps nus, malades ou sans vie, répondent les couleurs rougeoyantes des crinières ou des cieux.Il y a bien sûr "Le Cri", motif emblématique dont le musée possède plusieurs exemplaires (une peinture, un dessin, six lithographies et de multiples esquisses), et d'autres oeuvres majeures comme "Vampire", "La Madone" ou "L'enfant malade".Mais aussi d'innombrables pièces méconnues, des sculptures, des photographies, un film et des tableaux monumentaux ("Le Soleil", "Les Chercheurs") qu'il a fallu, au moment de la construction, hisser à travers une fente spéciale, ensuite rebouchée."Munch voulait avoir un musée. Il désignait ses oeuvres comme ses enfants et il voulait qu'elles soient toutes rassemblées au sein d'une collection", explique la conservatrice, Trine Otte Bak Nielsen. "Je pense qu'il serait très heureux de voir ce qu'on a fait".Un 'bâtiment brutal'L'édifice ne fait pourtant pas l'unanimité. Son sommet oblique fait tiquer et les lumineuses baies vitrées promises sur les planches à dessin sont désormais cachées par des rails en aluminium que certains apparentent à de hideuses "glissières de sécurité".Dès 2019, l'historien de l'art Tommy Sørbø avait pris la plume pour dénoncer un "saccage" d'Oslo, une "catastrophe annoncée". Il persiste et signe aujourd'hui, "en tout cas pour l'extérieur et l'entrée"."Le hall ressemble à un aéroport, un entrepôt, un hôtel ou un bâtiment commercial", dit-il à l'AFP. "Absolument rien dans le choix des couleurs et des matériaux n'annonce que l'endroit abrite un des plus grands artistes au monde".La direction, elle, fait le dos rond. Le musée, assure-t-elle, doit provoquer, tout comme l'oeuvre de Munch l'avait fait en son temps."Le bâtiment convient très bien à la collection car c'est un bâtiment monumental, c'est un bâtiment brutal, situé au coeur de la ville et qui oblige à la réflexion", estime M. Henrichsen.Les maudites "glissières de sécurité" sauront-elles au moins dissuader les esprits mal intentionnés? Au fil des ans, l'oeuvre de Munch a fait l'objet de multiples vols et cambriolages en Norvège.L'un des coups d'éclat les plus spectaculaires avait vu des malfaiteurs s'emparer du "Cri" et de "La Madone" dans l'ancien musée Munch en 2004. Une opération visant à divertir la police au lendemain d'un hold-up sanglant dans une banque et qui connaîtra heureusement une happy end: les deux chefs d'oeuvre seront retrouvés."C'est probablement le bâtiment le plus sûr de Norvège mais vous ne vous en rendrez pas compte: la sécurité est très discrète car nous voulons que l'attention puisse se porter sur l'art", affirme M. Henrichsen."Je peux le proclamer publiquement: il n'y aura pas de vol ici".
Il y a 3 ans et 221 jours

L’aménagement urbain sous toutes ses facettes avec Alkern

Qu’il s’agisse de réponses pour la voirie (pavés, bordures, marches jarterres…), la sécurité passive (blocs, ralentisseurs, bornes, îlots, giratoires…) ou encore pour le mobilier urbain (bancs, tables de ping-pong, jardinières…) Alkern propose ainsi une large panoplie de solutions réalisées en béton, donc particulièrement durables et résistantes. Et pour une parfaite intégration à leur environnement, les solutions Alkern sont disponibles sur une large palette de finitions, allant d’un classique aspect lisse à un rendu bois ou sablé. Précisons d’ailleurs que de nombreux coloris sont issus de granulats composant une offre 100 % minérale et recyclable. De plus, Alkern propose un service d’études de faisabilité et de design pour les demandes de mobilier urbain sur mesure, s’appuyant sur une large gamme de couleurs comme de finitions. De nombreux atouts pour les donneurs d’ordre de collectivités à la recherche de solutions esthétiques, pérennes, permettant aux concitoyens de profiter des espaces publics extérieurs et s’intégrant idéalement au paysage urbain. L’offre Alkern c’est la garantie d’une large gamme de produits d’aménagement urbain, sécurisés, valorisant la ville et son environnement.Le béton, un produit d’avenir pour la ville Pour satisfaire toutes les exigences, Alkern s’appuie sur une expertise de plus de 50 ans et les qualités reconnues du matériau béton. 100 % minéral et recyclable, d’une durée de vie de plus de 100 ans, le béton est aussi adapté aux différents climats et aux conditions d’usage de la ville : hautes températures, gel, résistance mécanique et aux agressions chimiques… Fabriqués dans une des 53 usines du groupe en France, avec des matières premières extraites en proximité et une main d’œuvre locale, les produits préfabriqués en béton Alkern favorisent de plus le développement de l’économie locale. Enfin, Alkern propose un pavé coquillage issu de l’économie circulaire, dont une partie des granulats sont remplacés par des coquilles de Saint-Jacques broyées, argument et produit séduisants pour les communes.Une offre large et facile d’accès Pour faciliter le travail des aménageurs et urbanistes, Alkern a structuré son offre autour de six thématiques. Si Aménager la ville est dédié aux éléments structurants de l’espace public et de la voirie (pavés, bordures, marches, murets, parking, zones partagées…), Protéger le public regroupe les produits pour sécuriser les déplacements et les espaces (bornes, ralentisseurs…). De son côté, Une ville verte propose jardinières, points d’eau et tout pour aménager des infrastructures de mobilité douce (pistes et bandes cyclables) et végétaliser au mieux. Une ville propre présente les réponses en bacs à papier et cendriers. Enfin, le chapitre Se reposer rassemble un large choix de bancs et tables et Se divertir fait la part belle aux tables de ping-pong et, exclusivité Alkern, à la nouvelle table Alkerball dédiée aux installations de loisirs de plein air.Alkerball, la nouvelle table de jeux de plein air Cette table, au plateau légèrement courbe, attire forcément l’attention : curiosité pour ses formes, admiration pour son design futuriste, imagination pour les potentialités de jeux que ce nouvel équipement de plein air propose. Dotés d’une balle ou d’un ballon, de raquettes ou non, à deux ou à quatre, les joueurs peuvent rivaliser d’adresse et d’inventivité pour adapter foot, volley ou ping-pong à cette table dénommée Alkerball. Proposant une nouvelle expérience collective, sportive et ludique pour tous les âges, Alkerball véhicule l’image d’une ville jeune, moderne, innovante. Précisons que le béton du plateau peut même être personnalisé aux couleurs de la commune ou de l’établissement. Livrée clé en main prête à être déchargée, avec une dalle en option si le terrain de destination s’avère trop meuble, la table Alkerball s’adapte facilement à tous les espaces par ses dimensions raisonnables (160 x 280 cm, pour une hauteur maximale de 90 cm) que ce soit en hyper centre urbain ou bien en commune rurale. Pour découvrir ce produit en vidéo : www.alkern.fr/products/alkerball/
Il y a 3 ans et 224 jours

Une histoire de béton entre ETPO et Le Voyage à Nantes

Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. [©Franck Tomps _ LVAN] Chaque année, Le Voyage à Nantes invite des artistes du monde entier à venir sur les deux rives de la Loire réaliser leurs œuvres. Le Voyage à Nantes est avant tout une société publique locale, qui développe le tourisme à Nantes. Ceci, via l’évènement du même nom et ses créations artistiques, et ce, depuis 2012. Il propose une soixantaine d’étapes artistiques le long d’une ligne verte dessinée au sol de 22 km. On y découvre les installations permanentes qui ponctuent la ville et ses alentours, ou celles, éphémères, qui restent le temps d’un été. Cette année, le groupe ETPO a accompagné ces artistes, afin de réaliser leurs œuvres. En s’adaptant à chacune de leurs idées. Le groupe nantais est spécialisé dans les travaux maritimes, fluviaux et sous-marins, les ouvrages d’art et le génie civil, le bâtiment. Il est présent en France métropolitaine et dans les départements d’Outre-mer. Et se développe à l’international en Afrique de l’Ouest et au Canada. Deux projets pour ETPO Pour Versus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIe siècle de la place Graslin. Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. [©Julien Lanoo _ LVAN]  « Nous avons participé à deux projets. Déjà, Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire, explique Didier Moretti, chargé d’affaires chez ETPO. En effet, à proximité de la capitainerie, sur la plage jalonnée de pins parasols qui plonge dans le bassin de l’avant-port de Saint-Nazaire, l’œuvre se compose de trois sculptures. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. « Tels des fragments de corps, d’architecture ou de monuments portuaires, elles dressent à l’échelle du paysage le portrait d’une civilisation moderne soumise à l’érosion et à la colonisation des éléments », indiquent les artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel, qui pratiquent la sculpture à quatre mains depuis 1998. Didier Moretti est chargé d’affaires chez ETPO. [©ETPO] Et Didier Moretti, de poursuivre : « Nous sommes intervenus aussi dans la piste de roller, Versus, place Graslin, à Nantes. Nous avons conçu une partie des études d’exécution. En clair, nous avons traduit les œuvres, en termes de faisabilité. Nous avons fourni le mode opératoire, structurel et réglementaire. Il a fallu concilier impératifs de construction et attentes artistiques. Nous avons utilisé des bétons résistants les agressions maritimes. Les granulats ont été choisis par les artistes avec des couleurs et des granulométries différentes. Pour la piste de roller, le béton a été livré par la centrale Lafarge de Saint-Herblain ». Un écho à l’architecture de la fin XVIIIesiècle Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. Elle a été conçue très simple épurée, de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. [©Martin Argyroglo _ LVAN] Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. [©Le Voyage à Nantes] « Pour Versus, la piste devait être réversible, montable et démontable. Elle a ainsi été démontée en l’espace de 5 j. Elle sera remontée en 2023 dans un nouvel espace urbain de la ville, sur l’île de Nantes à la pointe Ouest, dans le quartier de la création », complète Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. De plus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIesiècle de la place Graslin.  « Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. La piste est en forme de cercle qui épouse la place. Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. On l’a conçu simple de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. La glisse, c’est quelque chose de positif et de frais. Le ballet des rollers, des vélos, des piétons sur la place a ainsi créé un mouvement perpétuel et une perspective troublante », conclut Romain Pradeau, de l’agence d’architectes Titan.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 301 jours

Les tours Duo : une prouesse architecturale avec des contraintes structurelles exceptionnelles

Des gratte-ciel multiusages audacieux Inclinées à 5°, soit davantage que la célèbre tour pisane, les deux « sœurs » bâties sur une étroite parcelle située entre les boulevards extérieurs, le périphérique et en bordure des voies ferrées de la gare d’Austerlitz, abriteront prochainement des bureaux de Natixis / Groupe BPCE ainsi que d’autres activités. Duo 1 accueillera 69.000 m² de bureaux, un auditorium, un restaurant d’entreprise et des commerces, tandis que Duo 2 comptera 19.000 m² de bureaux, un restaurant d’entreprise, des commerces, mais également un hôtel de 139 chambres, un restaurant et un bar panoramiques. Les tours reposent sur une infrastructure de 9 niveaux de sous-sol (parking, archives et locaux techniques) d’une surface totale de 140.000 m². Duo 1, la tour la plus haute, dévie à partir du 29ème étage et différents retraits au niveau de Duo 2 contribuent à ce que les deux bâtiments, dans leur ensemble, forment un « V ».Des bétons spécifiques ultra-locauxEntre 2017 et 2020, depuis ses unités de production de Paris-Tolbiac et d’Ivry-sur-Seine situées à proximité du chantier, pour Duo 2, CEMEX aura fourni à Bateg, filiale de VINCI Construction France près de 40.000 m³ bétons prêts à l’emploi : 10.000 m³ de bétons de fondations pour les parois moulées, plus de 29.500 m³ de bétons génie civil et architectoniques pour les élévations, ainsi que des bétons hautes performances destinés au coulage d’une mégapoutre comprenant un système de refroidissement intégré et soutenant l’ensemble des tours, ces derniers ayant été conçus et livrés par l’unité de production de Paris Port-Victor. L’ensemble des bétons ont été conçus avec des formulations allégeant le bilan carbone du bâtiment, notamment pour les fondations. En 2021, 150 m³ de bétons horizontaux décoratifs noirs ont été livrés pour la réalisation des terrasses des deux tours tandis que les livraisons de chape anhydrite à séchage accéléré se poursuivent pour près de 2.000 m² de planchers chauffants en rez-de-chaussée et en étages. La plupart de ces bétons ont été pompés. Par ailleurs, durant ces trois années, grâce à son robuste dispositif logistique multimodal, CEMEX aura évacué la quasi-totalité des déblais, soit près de 42.000 tonnes.Technicité et communication Le cahier des charges pour les parois moulées des deux tours s’est avéré particulièrement exigeant : il a fallu par exemple garantir la fluidité du béton durant plus de six heures. L’exigence fut également très élevée en termes de qualité des parements. Le fort engagement des équipes techniques de CEMEX a néanmoins conduit au succès de l’opération. Par ailleurs, l’ampleur des travaux a eu pour conséquence un nombre d’interlocuteurs très important, et la qualité de la communication entre les différents départements CEMEX (commercial, technique, production) et les équipes travaux a elle aussi joué un rôle essentiel dans la fluidité des livraisons de bétons. Les coulages qui se sont régulièrement déroulés dans des amplitudes horaires très larges et parfois le week-end n’ont fait que renforcer l’implication des équipes CEMEX, ainsi que la fierté de participer à un projet aussi exigeant et renommé à travers le monde.
Il y a 3 ans et 312 jours

Où font construire les 7.000 franciliens qui ont demandé un permis pour une maison en 2020 ?

Marquée par un contexte sanitaire inédit, l’année 2020 a bouleversé les habitudes des Français en matière d’habitat. Pour exemples :La généralisation du télétravail a un impact sur le marché en Île-de-France : certains franciliens choisissent de s’éloigner de Paris et n’ont plus peur de rallonger leur temps de trajet pour se rendre sur leur lieu de travail.L’ouest de la France, et particulièrement la Bretagne, devient de plus en plus attractif pour les franciliens.La nouvelle édition du Baromètre Domexpo s’intéresse justement à la zone géographique choisie par les franciliens pour faire construire leur maison.Quelles sont les zones géographiques françaises choisies par les (futurs ex) franciliens qui décident de faire construire ?En 2020, 6 999 ménages originaires de l’Île-de-France ont demandé une autorisation pour la construction d’une maison individuelle neuve. Parmi eux :4 824 ont fait construire en Île-de-France, soit 69%. Le trio de tête des départements où les ménages ont fait le plus construire est : la Seine-et-Marne (77), les Yvelines (78) et l’Essonne (91).2 175 l’ont fait dans une autre région française, soit 31%.Parmi ceux qui ont choisi de faire construire en dehors de l’Île-de-France :33% ont choisi un département de la bordure Atlantique ;23% un département limitrophe à la région Île-de-France ;12% un département de la bordure méditerranéenne.Les autres sont dispersés sur le reste de la France.Le regard de Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo« En 2020, pour les raisons que tout le monde connait, le nombre de franciliens ayant obtenu une autorisation de construire une maison a baissé. Pour autant, le marché de la maison neuve a connu un fort regain d’activité, post 1er confinement. Sur les villages Domexpo par exemple, on a enregistré une hausse du nombre de prises de rendez-vous de 24% par rapport à 2019 (rappelons en plus que les maisons d’exposition étaient fermées au public pendant les confinements).Notons par ailleurs que la région Île-de-France reste atypique dans son fonctionnement : 1 francilien sur 3 choisit de s’en éloigner, alors que dans le reste de la France, les ménages préfèrent rester dans leur région d’origine.Ceux qui choisissent de faire construire en dehors de l’Île-de-France le font, à 23%, dans des départements limitrophes (majoritairement dans l’Oise-60, dans l’Eure et Loir-28 et dans l’Eure-27).Dans ces zones, particulièrement appréciées par les primo-accédants, le coût du foncier est plus abordable. Ce chiffre pourrait probablement évoluer dans les prochaines années : avec la crise du Covid-19 et la généralisation du télétravail, les particuliers font le choix de s’éloigner de la région parisienne, tout en y conservant une activité professionnelle, et de profiter, avec famille et amis, d’une maison avec jardin. »
Il y a 3 ans et 319 jours

Tarn : Kronimus revoit la place Soult de Castres

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine La nouvelle place Soult de Castres. [©Kronimus] Auparavant employée en tant que parking aérien et gare routière, la place Soult de Castres est, depuis 2020, une place à part entière. En totalité, réaménagée, elle est devenue un véritable lieu de rencontres et d’échanges. Pour cette transformation spectaculaire, Seura Architectes a choisi les dalles Grandezza de Kronimus. Ainsi, c’est désormais une toute nouvelle vie que connaît la place Soult, qui remplit avec merveille ses nouvelles fonctions. A savoir, passer du statut de “parking – gare routière” à celui de “lieu de rencontres” et “porte d’entrée vers un centre-ville historique”. Après quatre mois de travaux en totalité, ce sont 2 600 m2 de dalles Grandezza, ainsi que différentes bordures de trottoir Kronimus, qui ont été installées par les entreprises Sud-Ouest Pavage (SOP) et Eiffage Castres. Côté design, le choix s’est porté sur les dalles grand format en béton type “Grandezza” avec un parement en pierres naturelles. Lire aussi les actualités en région Réalisées suivant une recette spécifique pour ce projet, les couleurs s’inspirent de teintes beiges rosées et grises. De plus, ces dalles ont l’avantage d’être anti-dérapantes et plus faciles à nettoyer malgré la surface poncée et polie. Quant aux formats, réalisés sur mesure, ils ont été choisis à la fois pour répondre à l’enjeu patrimonial et pour faciliter la pose en fonction des exigences imposées par les grandes surfaces. Au final, ils renforcent la sensation de grandeur de la place. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 334 jours

Après la crise sanitaire, le service public aussi adapte ses bureaux

Avec "97 millions de mètres carrés sous-entretenus" malgré "sept milliards de dépenses annuelles" en loyers, entretien et investissements, l'Etat entend réduire la voilure immobilière et "libérer des mètres carrés" de bureaux, a expliqué Alain Resplandy Bernard, à la tête de la direction de l'immobilier de l'Etat, qui participait aux "rencontres autour de l'immobilier public demain" organisées par le ministère de l'Economie et des Finances.Le but: "faire baisser des deux-tiers la consommation énergétique" et "adapter les espaces de travail à une moindre occupation" par les agents publics, passés eux aussi à un rythme plus soutenu de télétravail avec la crise sanitaire.Cela fait "30 ans qu'on réfléchit à cela dans le privé" pour "accompagner la réduction d'environ 20% des surfaces de travail pour un meilleur bilan carbone", assure Pierre Bouchet, cofondateur de "Génie des Lieux", cabinet de conseil indépendant en études, programmes et réalisation d'espaces de travail.La crise du Covid "accélère" les choses et cela doit "s'accompagner d'une meilleure qualité d'occupation des espaces de travail", qui ne le sont aujourd'hui "qu'à 30, 40%" de leur capacité. "Il faut oublier la logique statutaire de l'espace et le penser en termes d'activité au service du collectif", estime-t-il."Flexoffice tribal"Objectif ? Moins de bureaux attitrés, plus d'espaces collaboratifs, décloisonnés --tout en préservant l'intimité--, des locaux adaptés au "passage" d'équipes ayant "besoin de travailler ensemble mais pas tous les jours". "Si on va vers deux jours et demi de télétravail en moyenne, avec les congés, les formations, soit des gens souvent absents, on ne peut plus garder de bureau attribué", estime M. Resplandy Bernard. Il prône le "flexoffice tribal (bureau non attitré) par familles de métiers".A Rouen, la cité administrative et ses 44.000 m2 a été réaménagée en ce sens, afin de regrouper 1.800 postes de travail dans un même espace, et d'utiliser "50% d'espaces de couloirs, archives et surfaces non utilisées", explique Yvan Cordier, secrétaire général de la préfecture de Seine-Maritime.Résultat d'une réflexion entamée en 2016 : "de nouveaux espaces de bureaux plus ouverts préservant des espaces de confidentialité, des lieux de convivialité en bordure de Seine, de nouvelles salles de réunion, un espace sportif", détaille-t-il.A Amiens aussi la cité administrative en cours de construction a été "totalement pensée" pour regrouper plus de 900 agents éparpillés dans plusieurs lieux, explique Romain Dehedin, responsable du pôle immobilier de l'Etat au secrétariat général commun de la préfecture de la Somme.Pour "du confort, beaucoup de luminosité, du bois pour bien s'y sentir, sans jamais perdre de vue l'enjeu: un aménagement suffisamment flexible pour déployer tous les espaces nécessaires de travail, une performance économique, énergétique et immobilière".D'autres projets, lancés en 2018, sont en cours à Lyon, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Lille, qui devraient aboutir à l'horizon 2023-2024, selon Christine Weisrock, responsable régionale de la politique immobilière de l'Etat en Ile-de-France.Pour elle, l'accueil du public doit lui aussi être "amélioré" tout comme l'espace de travail des agents qui en sont chargés. Il s'agit de "concilier" l'accueil "en face à face", le renseignement téléphonique, la prise de rendez-vous et des espaces "pour se ressourcer".Une réflexion qui ne peut s'exonérer des attentes des usagers, "qui viennent parfois payer une contravention, déclarer une naissance ou un décès", souligne Yoan Ollivier, cofondateur de l'agence franco-belge "Vraiment Vraiment", de design d'intérêt général."Réduire la taille des murs ne suffit pas", dit-il car les usages sont "multiples", les "services très divers". Pour lui, "tout l'enjeu" est de "réussir à changer les pratiques de travail par les lieux" en ménageant "une vraie transition", ce qui passe notamment par des "équipements numériques de qualité" pensés pour ceux qui les utilisent.
Il y a 3 ans et 335 jours

Lundi 28 juin. Etape 3 : LORIENT > PONTIVY (182.9 km)

Le mieux est encore d’arriver la veille en Bretagne sud, à Lorient, dans le Morbihan, ville de départ de cette 3ème étape promise aux sprinters puisque les 183 km de route sont plats comme une crêpe et, à l’intérieur des terres, peu de risque de bordure. C’est l’occasion d’aller rendre hommage à Eole en allant […] L’article Lundi 28 juin. Etape 3 : LORIENT > PONTIVY (182.9 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 336 jours

Cupa Stone inaugure une nouvelle agence à Toulouse

Un emplacement de plus de 1700 m²Articulées autour de 272 m² de show-room intérieur, de 300 m² d’exposition extérieur et d’un espace de stockage de 1200 m², les collections de dallages, carrelages, galets, graviers,bordures, margelles et parement mural Stonepanel® comptent une cinquantaine de pierres et 360 références disponibles : ardoise, calcaire, gneiss, grès, granit, marbre, quartzite,travertin....L’agence bénéficie d’une mise en scène conçue pour aiguiser la créativité, pour suggérer toujours plus d’idées aux paysagistes, artisans, maçons, entreprises générales du bâtiment, négociants de matériaux de construction et particuliers en quête d’idées de décoration intérieure et extérieure.À la tête de cette nouvelle agence, Charlotte Loiseau, qui quitte la direction de l’agence du Mans qu’elle dirigeait depuis 3 ans. « C’est un très beau challenge pour moi. Je travaille sur ce projet depuis juillet 2020 ; je m’occupe de toute la gestion des travaux d’aménagement du site ainsi que le recrutement de l’équipe, en n’oubliant surtout pas l’essentiel, le commerce. Mon investissement est très important mais quelle satisfaction, aujourd’hui, de voir l’agence ouverte » explique-t-elle tout en poursuivant « l’innovation est plus que jamais la priorité du plan de développement stratégique de Cupa Stone avec comme volonté d’offrir des produits et services toujours plus qualitatifs ».Une situation géographique stratégiqueSituée dans Toulouse même, dans la zone très prisée de Thibaud, cette ouverture est une étape importante pour Cupa Stone car la région offre de très belles opportunités commerciales. Le commerce de la pierre a, en effet, un très fort potentiel dans le sud de la France. Cupa Stone espère conquérir de nombreuses parts de marché dans ce secteur et assoir sa forte notoriété.
Il y a 3 ans et 363 jours

Début du gros œuvre de l'immeuble résidentiel "Link" au sein du programme "Les Jetées" à Huningue (68)

Une portée urbaine uniqueAux frontières de la France, de l’Allemagne et de la Suisse, aux portes de Weil-Am-Rhein et de Bâle, c’est en bordure de Rhin que le projet « Les Jetées », porté par Constructa, ambitionne de faire rayonner la ville de Huningue. Pour créer un véritable quartier fluvial, emblématique, carrefour des trois pays, « Les Jetées » ouvre la ville sur le Rhin en prolongeant le centre-ville jusqu’aux berges.Conscient de l’opportunité de ce site, le groupement d’architectes dont fait partie Triptyque porte un projet ambitieux, pour faire de ce nouveau quartier un lieu de vie unique, privilégié, au plus près du Rhin où l’on trouvera de nombreux logements au points de vues exceptionnelles, des commerces, des bureaux et des espaces de loisirs.Le bâtiment résidentiel Link, conçu par l’agence, vient former place avec ce futur ensemble urbain pour dévoiler un nouveau quartier aux lignes souples, à l’ambition paysagère respectueuse de l’environnement, le tout dans un esprit fédérateur en bordure de fleuve. Il comportera des commerces en rez-de-chaussée, faisant office de prolongement linéaire du centre-ville commerçant et reliant la passerelle à la place Abbatucci.Parti pris architectural« L’écriture architecturale et paysagère du projet global a été guidée par trois ambitions : ouvrir Huningue sur le fleuve en créant une nouvelle relation avec l’eau, mettre la ville dans l’agglomération bâloise avec un projet phare et offrir aux Huninguois un nouveau lieu de vie exceptionnel, au cœur du réseau vert. Chaque bâtiment, tout en affirmant sa singularité, contribue à la réalisation de ce projet de ville. » Olivier Raffaëlli, Associé-Fondateur de Triptyque ArchitectureAujourd’hui les travaux de l’immeuble résidentiel Link ont démarré, ce bâtiment nouvelle génération d’une surface totale de 4.000 m2 sur 5 niveaux offre des logements spacieux reposant sur des espaces innovants et de haut standing, prévus pour être cédés en accession libre. Les quatre premiers niveaux de l’ensemble forment un corps central entouré de débords de dalles, tandis que le R+5 vient couronner le bâtiment, en créant un attique.Les volumes dessinés par l’agence sont généreux, dépassant les standards classiques. Alliés à d’importantes hauteurs sous plafond de 2m70, ils viennent appuyer l’écriture moderne de cette résidence de haut standing. Longeant le parc et le fleuve, l’immeuble propose 44 logements répartis sur des halls offrant des accès privatifs par ascenseur. La plupart des appartements sont traversants : l’apport en lumière est généreux, notamment grâce à la façade Est totalement vitrée, dévoilant une vue sur le Rhin. Grâce à l’exosquelette, chaque appartement bénéficie d’un large balcon privatif.« Apporter de la lumière et démultiplier les espaces extérieurs était un pré-requis dans la conception, ce postulat résonne d’autant plus aujourd’hui. »Guillaume Sibaud, Associé-Fondateur de Triptyque ArchitectureLe bâtiment se veut clair et transparent, les architectes ont ainsi fait le choix d’utiliser du béton gris clair pour la grille des poteaux structurels obliques et des débords de dalles. Les façades Est, l’angle Nord-Ouest et l’angle Sud-Ouest largement vitrés sont pour leur part composés de menuiseries toute hauteur en aluminium laqué blanc. Enfin, les séparatifs de balcons ont été conçus en verre translucides, matériau également utilisé sur une partie des façades.Une ambition environnementale et socialeLe bâtiment de logements et l’hôtel imaginés par Triptyque prennent part à un projet d’envergure, tant environnemental que social. L’ambition paysagère est d’inscrire ce nouveau quartier dans la stratégie 3Land, menée par l’Eurodistrict Trinational de Bâle, qui prévoit la création d’une trame verte reliant le centre de Bâle à Huningue. Les cœurs d’îlots mêleront terre et eau, permettant une dissolution des bâtiments avec le fleuve.
Il y a 4 ans et 23 jours

La deuxième plus grande centrale photovoltaïque de France sera mise en service samedi dans la Meuse

En bordure des pistes qui accueillaient jadis les avions de chasse, sur cette ancienne base utilisée par les forces armées canadiennes, les panneaux solaires s'étendent à présent à perte de vue: environ 364.000 modules solaires sont installés sur une surface de 155 hectares.Deux sociétés se partagent les lieux, TSE et Enerparc. La première va "commencer à intégrer progressivement de l'énergie dans le réseau à partir de samedi, et fonctionnera dans son intégralité à partir du 1er juin", a expliqué une porte-parole.L'autre moitié de la centrale, gérée par Enerparc, a pris un peu de retard et entrera en service à son tour vraisemblablement en septembre."Avec une puissance installée de 152 MWc (Mégawatt-crête), la centrale dégagera une production totale d'environ 156 Gigawattheures par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle de 23.000 habitants", précise TSE dans un communiqué.Les deux entreprises ont investi au total 80 millions d'euros dans ce projet, à parts égales.Particularité de l'installation, "TSE a délégué la gestion des espaces enherbés à un jeune éleveur ovin local en agriculture biologique qui a pu s'installer grâce à ce projet", indique encore l'entreprise.Concrètement, ce sont donc ses moutons qui désherberont les pelouses au pied des panneaux solaires."Plusieurs éléments font qu'on ne peut que se ravir de ce projet", souligne Eric Dumont, président de la communauté de communes du Pays de Montmédy, propriétaire du terrain."Au niveau transition énergétique c'est une excellente contribution: la deuxième centrale photovoltaïque de France, ce n'est pas rien. Et cela nous permet de maîtriser une friche militaire, ce qui n'est pas simple à gérer", ajoute l'élu qui chapeaute 25 communes pour un bassin de population de 7.300 habitants.M. Dumont insiste en outre sur "le double aspect écologique", avec l'installation du jeune berger, et une partie de l'ancienne base également convertie en petite réserve ornithologique pour la protection du passereau.Eric Dumont évoque également "l'attractivité que ça peut amener sur le territoire" et explique que ses habitants sont favorables au projet: "Les installations n'ont pas d'impact visuel, ce n'est pas comme des éoliennes, c'est discret".La communauté de communes touchera 375.000 euros de loyer annuel pour la mise à disposition du terrain.Par ailleurs, comme les panneaux solaires sont installés sur les abords, la piste et les taxiways de l'ancienne base vont rester opérationnelles. La piste "est longue de plus de 3 kilomètres, elle pourrait accueillir des appareils gros porteurs, même si ce n'est plus sa vocation", note M. Dumont.Ce seront donc les petits avions de l'aéroclub local, et des ULM qui en profiteront.La plus grande centrale solaire photovoltaïque de France reste à ce jour celle de Cestas, en Gironde, gérée par la société Neoen, avec une puissance installée de 300 MWc.
Il y a 4 ans et 24 jours

Husqvarna Constructions Products France enrichit sa gamme de ponceuses de sol et propose une offre globale pour toutes les surfaces

Disposant déjà de nombreuses ponceuses de sol, Husqvarna Construction Products France enrichit aujourd’hui son offre avec de nouveaux modèles. PG et intègre les produits phares HTC, marque reconnue des professionnels, dans une seule et même gamme en capitalisant sur la marque Husqvarna Construction Products.Grâce à cet ensemble de machines qui allie hautes performances, fiabilité et ergonomie intuitive, Husqvarna Construction Products apporte ainsi une solution de ponçage adaptée à chaque surface et répond aux défis quotidiens des professionnels.Nouvelle gamme de ponceuses de sol PGHautes performancesAfin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme de ponceuses de sol PG est composée de 7 machines réparties en 3 tailles de ponçage différentes (PG 540 / PG 690 / PG 690 RC / PG 830 / PG 830 S / PG 830 RC).Plus puissante que jamais, elle offre des performances exceptionnelles, quelles que soient les conditions, pour un travail rapide et d’une très grande précision.Pour cela, elle s’appuie sur le système breveté Husqvarna Dual Drive TechnologyTM qui permet d’obtenir un meilleur rendement que le système classique. La technologie Dual Drive de Husqvarna repose sur deux moteurs séparés, l’un pour la tête de ponçage et l’autre pour les disques, qui fonctionnent indépendamment l’un de l’autre. Cette fonction unique autorise une combinaison quasi-illimitée de paramètres et un excellent contrôle du processus. Dual Drive TechnologyTM fait tourner la tête et les disques de ponçage en sens contraire ou dans le même sens de rotation. Cette dernière garantit des performances supérieures au niveau des arêtes (seulement 13 mm non poncés en raz de mur) alors que la rotation en sens inverse permet d’obtenir un effet de ponçage plus marqué au centre.La nouvelle gamme de ponceuses de sol PG radio-contrôlées est équipée :d’une fonction d’oscillation pour des sols plus plats et l’élimination des lignes et des crêtes,d’une propulsion stable et précise pour un ponçage au plus près des murs,d’un nouveau moteur haut de gamme de 15 kW/ 20 ch générant une augmentation de la puissance jusqu’à36%,de poids intégrés réglables (en option) pour une pression de ponçage supplémentaire,d’une télécommande radio légère et facile à utiliser, disponibles sur certains modèles (PG 690 RC et PG830 RC), offrant jusqu’à 40% de productivité supplémentaire par rapport à une ponceuse manuelle.FiabilitéLa nouvelle gamme de ponceuses de sol PG est conçue pour protéger ses composants essentiels de la boue, de la poussière et de la chaleur pour une plus grande fiabilité et durabilité. Le coffret électrique, doté d’une technologie de refroidissement externe, est étanche à la poussière tout comme la nouvelle conception de transmission Dual Drive TechnologyTM. Avec un intervalle d’entretien de 1000 heures, la tête de ponçage est étanche à l’eau et à la poussière.Une gamme complète pour tous les travaux de ponçageEn rationalisant ses gammes et en réunissant ses ponceuses sous une même marque, Husqvarna Construction Products France simplifie la lecture de celle-ci pour les professionnels. Pour afficher l’héritage de ses solutions techniques brevetées uniques dans le domaine de la préparation de surface, la marque HTC, à forte notoriété, demeure dans le nom du produit. De même, la technologie innovante Duratiq est mentionnée par une étiquette sur les modèles concernés.Adaptée à la préparation des sols, du ponçage des bords à celui des surfaces plus importantes, l’offre globale d’Husqvarna Construction Products France se compose :des grandes ponceuses, pour des ponçages industriels et commerciaux avec les modèles HTC (HTC T5 ; HTC T6/X6/RT6/RX6/XP6 ; HTC T8/X8/RX8 et HTC 950 RX) et les modèles PG (PG 540, PG 690/690P/690 RC et PG830S/830/830 RC) ;les petites ponceuses PG, pour des surfaces béton de petite et moyenne taille ( PG 280/400/450/510) ;la ponceuse HTC 270 EG, conçue pour les bordures.Des outils diamantés en complémentEn complément de ses ponceuses de sol, Husqvarna Construction Products dispose d’une offre complète d’outils diamantés de qualité professionnelle adaptée à toutes les étapes de ponçage et de polissage, à toutes les finitions et surfaces, du béton le plus dur au béton le plus tendre et poreux ainsi que pour la pierre naturelle et les terrazzo.Des services associésPartenaire de confiance, Husqvarna Construction Products France met à la disposition des professionnels des services dédiés :Husqvarna Fleet ServicesTM, nouveau système de connectivité embarquée qui collecte et affiche des analyses de données détaillées sur l’état de la machine : temps d’utilisation, suivi entretien, ... autant d’indicateurs permettant de gérer facilement et à distance la maintenance de l’appareil.Upcare, contrat d’entretien à prix fixe.TotalCare, combine les solutions Husqvarna FleetService et Upcare avec une solution de financement Husqvarna Financial Services pour être certain de travailler en toute tranquillité.
Il y a 4 ans et 39 jours

Projet national FastCarb : On peut réabsorber 40 kg de CO2/t de granulats recyclés

Retrouvez cet article dans le Process Industriel 950, supplément de Béton[s] le Magazine n° 93 Sécheur à lit fluidisé installé sur le site de la cimenterie LafargeHolcim de Val d’Azergues (69). [©ACPresse] Labélisé par l’Irex (Institut pour la recherche appliquée et l’expérimentation en génie civil), le Projet national FastCarb vise à étudier les modalités permettant de stocker du CO2dans des granulats issus des bétons de démolition. L’objectif est double. D’une part, réduire l’impact CO2du secteur de la construction. D’autre part, améliorer la qualité physico-chimique des granulats recyclés. « Le processus permet de boucher les pores présents dans les granulats grâce à la carbonatation », explique Jean-Michel Torrenti, directeur du PN FastCarb. Ceci, de manière accélérée.  La carbonatation reste un phénomène naturel. Dans un bâtiment ou un ouvrage d’art, le béton réabsorbe le CO2“perdu” au moment de la production du ciment. Toutefois, cette action est lente. Au final, le ciment du béton – car c’est lui qui réabsorbe de CO2– redevient ce qu’il était au départ : du calcaire.  Mais quelle quantité de CO2peut-on envisager de stocker ? Durant l’année 2020, plusieurs solutions ont été testées pour en vérifier la viabilité et l’efficacité. Ainsi, deux carbonateurs ont été installés sur les sites des cimenteries LafargeHolcim de Val d’Azergues (69)et Vicat de Créchy (03). Trois équipements testés A cela s’est ajouté un conteneur de carbonation implanté chez Clamens, à Villeparisis (77). Ce dernier équipement a permis de réaliser un premier test, en y introduisant des big bags remplis de granulats et soumis à une atmosphère carbonée. Le résultat n’a pas été concluant… Un second test a donc été conduit. Cette fois-ci, avec une couche de granulats étalée sur toute la surface intérieure du conteneur, pour un résultat plus probant.  Chez LafargeHolcim, comme chez Vicat, les équipements permettaient de soumettre les granulats à une atmosphère carbonée, de manière continue : sécheur à lit fluidisé pour le premier et tambour rotatif pour le second. « Au total, chaque cimentier a produit 50 t de granulats carbonatés », précise Jean-Michel Torrenti. Les analyses de ces matériaux ont déterminé que, grâce à ces méthodes, il est possible d’arriver à un stockage de 40 kg CO2/t de granulats recyclés. « En laboratoire, nous avons testé des concentrations à 100 % de CO2. Les rendements sont certes meilleurs, mais sans être proportionnels. »  Adapté au circuit court Une autre observation a montré que l’utilisation de gaz chauds, ce qui est le cas en cimenterie, améliore le rendement. Toutefois, la filière de production des ciments n’est pas la seule à être émettrice de CO2. De fait, les systèmes testés peuvent être adaptés à d’autres secteurs industriels. En fait, la problématique viendra de l’acheminement des granulats. Il ne faut pas que le CO2généré par ce transport supplémentaire soit supérieur au volume de CO2absorbé par les granulats. « La démarche doit donc être locale, réalisée dans le cadre d’un circuit court », insiste Jean-Michel Torrenti.  Jean-Michel Torrenti est le directeur du Projet national FastCarb. [©DR] Aujourd’hui, le PN FastCarb se poursuit. L’industriel Cemex réalise des bétons avec les granulats recyclés carbonatés, mais aussi avec des granulats recyclés simples. Il s’agit de vérifier la durabilité et les résistances des différents bétons ainsi formulés. Le Cérib et le SNBPE pilotent la partie “préfabrication”, avec la réalisation d’escaliers, de bordures de trottoirs ou encore de blocs béton.  L’ensemble des travaux doit s’achever au mois d’octobre 2021, pour une publication des résultats au début de l’année prochaine.« FastCarb a été prolongé de douze mois environ, compte tenu des différents retards accumulés, largement accentués par la crise sanitaire », conclut Jean-Michel Torrenti.  Frédéric Gluzicki Retrouvez cet article dans le Process Industriel 950, supplément de Béton[s] le Magazine n° 93
Il y a 4 ans et 53 jours

Faire de son extérieur un cocon avec les solutions d’aménagement Alkern

Chercher à ce que « dehors » soit aussi douillet, beau et protecteur que « dedans », c’est ce qu’Alkern revendique depuis 50 ans en développant des solutions béton et pierre reconstituée, techniques et esthétiques, pour donner corps à toutes les envies d’aménagement extérieur et réussir assurément ses abords de piscine, sa terrasse, ses allées ou bordures...Alkern propose ainsi une gamme particulièrement variée, de fabrication française, ingélive et d’entretien ultra-facile, répondant à tous les besoins comme à toutes les envies et tous les goûts. En effet, le large éventail de solutions Alkern, d’inspirations résolument contemporaine ou authentique, permet de personnaliser parfaitement son extérieur grâce à une multitude de réponses en pavés, dalles, margelles de piscine, piliers, murets, pas japonais ou encore parements et fontaines.Alkern propose ainsi pas moins de 32 gammes de pavés (dont 20 nationales et 12 régionales / 115 coloris) et 32 gammes de dalles de jardins (26 nationales et 6 régionales avec 87 coloris).Ainsi, sa nouvelle dalle Geoceramica® allie raffinement de la céramique et robustesse du béton, dans un esprit cocooning, tandis que sa dalle Infinito avec son effet dégradé dévoilera toute sa beauté aux rayons du soleil. Aux côtés de ces deux inédits, des références emblématiques, telles les gammes Ghisa et Volcanik, confortent le fait que l’ensemble des références Alkern constitue une véritable collection prêt-à-parer l’outdoor des plus beaux atours !Geoceramica® : un aspect brut pour un effet douxExclusivité Alkern, la dalle Geoceramica® arbore une élégante surface en grés cérame de qualité sur un support de béton drainant, dont la robustesse assure une durabilité optimale. Cette dalle est dotée d’écarteurs intégrés garantissant une pose facile et régulière. Geoceramica® présente l’avantage d’une mise en œuvre ultra facile, puisque très stable, il suffit de la poser directement sur sable ou gravillons. Cette simplicité caractérise également son entretien, sachant qu’elle s’avère résistante aux taches, aux efflorescences comme au verdissement. De dimension unique (60 x 60 cm, avec une épaisseur de 4 cm), lui conférant une grande maniabilité, les divers coloris tendances qu’elle propose (évoque greige, marmostone black, lava slate, et bien d’autres sur demande) rivalisent d’originalité et de subtilité. Non carrossable, Geoceramica® donne résolument matière aux extérieurs, conjuguant contemporanéité et confort.Infinito : la dalle qui donne du caractèreProposée en dalles de 60 x 60 cm pour 4,4 cm d’épaisseur, 4 teintes (Black, Textured Grey, Medium Grey et Tavo), la dalle Infinito, exclusivité Alkern 2021, conjugue pose rapide (sur sable, gravillons ou sur plots), finition originale et traitement hydro-M d’usine. Non carrossable, Infinito présente de belles tonalités dégradées qui seront sublimées à la lumière des rayons solaires. Prix public indicatif à partir de 82,36 euros le m2, HT et hors pose.Ghisa et Volcanik : créer un espace extérieur cosy et exceptionnelLe style industriel semble, de prime abord, éloigné de tout agencement chaleureux. Et pourtant, l’effet martelé des plus modernes de la gamme en pierre reconstituée Ghisa donne du caractère aux sols et joue savamment les contrastes avec un environnement végétal. Ces dalles épurées aux différentes finitions, presque « zen », invitent à la détente, d’autant plus quand elles sont mises en œuvre aux abords d’une piscine par exemple (avec margelles coordonnées). Disponibles en grand format 75 x 45 cm (épaisseurs de 3,5 cm en gris nuancé et ton pierre et 3,6 cm pour la finition Métal), là-encore très tendance, elles s’accompagnent d’une pose rapide collée, sur sable ou gravillons.Autre référence emblématique de l’expertise Alkern, les dalles aspect pierre de lave polie Volcanik, déclinées en tonalités gris ou sable, misent sur le minimalisme et la naturalité, pour des ambiances à la fois zen, chic et relaxantes grâce à leurs dimensions de 75 x 45 cm sur 3,5 cm d’épaisseur accentuant la sensation d’espace.Et toujours les valeurs sûres Alkern à sélectionner dans les 2.500 références, pour que chacun trouve son bonheurQu’il s’agisse d’aménager les abords d’une piscine, structurer un jardin, personnaliser la terrasse, installer un muret le long d’une allée pour renforcer son caractère, habiller ses murs extérieurs, ou encore créer une fontaine, Alkern propose une panoplie de solutions révélant le potentiel de ces espaces de vie au grand air.Côté pavés, outre des finitions vieillies ou non-vieillies, des formats simple ou multiple, une fonction drainante ou non, un triptyque de choix s’impose : Baroco, disponible en version vieillie ou classique, à l’aspect patiné, légèrement bosselé et aux bords irréguliers avec ses dimensions variées (panachage de 6 longueurs de 12 à 17 cm en 6 cm d’épaisseur), conviendra parfaitement au charme des zones circulables et piétonnes de demeures anciennes ou modernes. Le pavé Baroco bénéficie d’un traitement Aquaprotect lors de sa fabrication. Remarquons aussi un autre atout de poids pour Baroco qui revendique une pose rapide et facile, y compris en courbes.Newhedge vieilli, au naturel saisissant de réalisme et aux couleurs intemporelles nuancées (15 x 15 x 6 cm pour tous les coloris Grey, Coal, Ivory, Brick ou Sunset et en format 30 x 22,5 x 6 cm pour Coal et Grey) qui justifie un traitement Aquaprotect en usine. Quant à Reverso qui, comme son nom l’indique, peut s’utiliser sur lit de sable avec sa face structurée (à l’harmonieux effet matière), ou sa face lisse, ouvrant le champ des possibles aux projets les plus créatifs (19,5 x 13, 13 x 13 et 6,5 x 13 cm).Concernant les dalles, l’authenticité du design minéral de Grada (60 x 60 X 3 cm) en coloris Ferrum donne du style aux terrasses et patios, de même que le léger relief de Luna (50 x 50 x 2,3 et 60 x 40 x 2,5 cm) et son aspect pierre naturelle, leur apporte une note d’élégance qui se réaffirmera encore avec ses margelles assorties.Dans un autre registre, les dalles béton Novabois carrossables (50 x 50 x 4 cm et 50 x 50 x 5,3 cm, classement T11, soit jusqu’à 2 500 kg de charge par roue) déclinées en marron et gris, réchauffent les extérieurs par leur aspect bois, tout en offrant un réel confort de pose et comme toujours, d’entretien. Côté pratique, notons aussi la facilité et la rapidité de mise œuvre grâce à une pose sur plots, qui génère aussi un parfait écoulement de l’eau et simplifie le passage des gaines électriques.Pour ce qui est des pas japonais, dalles de cheminement, bordures, parements, jarterres, piliers et autres fontaines, Alkern propose un éventail riche d’une cinquantaine de références, qui peuvent s’associer en totale harmonie (ainsi, les bordures Ardoisière se coordonnent avec les dalles de cheminement assorties et une fontaine de même texture) ou, à l’inverse, jouer la carte de l’opposition (l’aspect rustique de la Rive Rétro contrebalançant la modernité du pas japonais Trapez par exemple).Alkern propose aussi de superbes références pour l’aménagement intérieur avec par exemple le parement Schiste à l’aspect brut et au relief déstructuré (60 x 14.5 cm en 0.5 ou 2 cm d’épaisseurs décliné en blanc ou anthracite), ou encore le carrelage Chatelaine, parfaites répliques de dalles en pierre conférant noblesse et élégance (4 couleurs disponibles Rouge Flamme, Ton Pierre, Rose Incarnat et Gris Nuancé).
Il y a 4 ans et 54 jours

Plusieurs centaines de manifestants à Besançon contre un projet d'aménagement urbain

Derrière des tracteurs et des banderoles appelant à "Protéger la terre des appétits spéculatifs" et à "Défendre le vivant", 650 manifestants (selon la préfecture) ont marché depuis le centre-ville vers les Vaîtes, une zone située en bordure de la ville.Cette zone de 34 hectares, partiellement urbanisée, est une ancienne friche agricole accueillant des terres maraîchères, des jardins ouvriers, "des zones humides et des forêts et bosquets dégradés", selon un rapport du Groupe d'étude de l'environnement et du climat, mis en place par la mairie. Cette dernière souhaite y aménager un "écoquartier", qui compterait à terme 1.800 nouveaux logements, ainsi qu'une école et des commerces."On espère que la mairie entende raison et abandonne totalement ce projet", a déclaré à l'AFP Claire Arnoux, présidente de l'association "Les jardins des Vaîtes", co-organisatrice de la manifestation avec le collectif du Quartier libre des Lentillères, quartier "autogéré" de Dijon."C'est un projet qui est un contre-sens historique, qui va à l'inverse de la pensée écologique actuelle, je ne comprends pas cet entêtement", a ajouté la militante.Le développement de la première tranche du projet, portant sur 23 hectares, est actuellement suspendu par un recours devant le tribunal administratif, contre les dérogations accordées aux "altérations de certains habitats naturels".En parallèle, la maire de Besançon, l'écologiste Anne Vignot, qui a hérité du dossier après son élection en juillet dernier, en lancé au cours du mois de mars une "consultation citoyenne", pour laquelle 50 Bisontins seront tirés au sort."Nous nous sommes engagés, au cours de la campagne électorale, à ce que ce dossier soit révisé dans sa forme et dans ses ambitions en fonction des avis qui seront exprimés lors de cette consultation", a souligné l'élue auprès de l'AFP.Cette manifestation est la première d'une série de mobilisations organisées dans le cadre des "Soulèvements de la Terre", un appel, formulé par plusieurs dizaines d'associations et de fermes, visant "à reprendre les terres et à bloquer les industries qui les dévorent". Un autre rassemblement aura lieu en avril à Rennes, puis en mai en Haute-Loire.
Il y a 4 ans et 54 jours

La noblesse de l'ordinaire: une extension d'école en territoire périurbain par Julien Boidot

Bientôt achevées, les tours Duo imaginées par Jean Nouvel forment déjà un trait d'union entre Paris et Ivry-sur-Seine. Situées dans le XIIIe arrondissement en bordure de Seine et des voies ferrées, elles affichent fièrement leurs silhouettes déhanchées dans la skyline de la capitale.  Les deux tours asymétriques […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 59 jours

Venteo lance cPURE, un purificateur d’air haute performance, en partenariat avec Eurevia

En effet, les particules virales peuvent se disperser dans un espace intérieur insuffisamment ventilé et rester en suspension dans l’air pendant des heures et s’y accumuler. Pour réduire significativement la concentration de particules virales, absorber les polluants et assurer un air sain, Venteo, expert en qualité de l’air intérieur, complète son expertise en lançant cPURE, un purificateur d’air mobile unique qui permet une décontamination en temps réel et rapide.Le seul purificateur d’air mobile efficace contre le coronavirus, doté d’un système de monitoring de la décontamination en temps réelUn purificateur d’air haute performance et naturel sans agent chimique et sans rayonnementAfin de lutter efficacement contre le coronavirus, d’absorber les polluants et d’améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos, Venteo propose cPURE un purificateur d’air haute performance. En effet, ce système a été conçu pour aseptiser l’air des salles blanches des hôpitaux et des industries de précision. Son niveau de performance exceptionnel lui permet d’agir efficacement dans tout type de locaux qu’il est nécessaire d’aseptiser tels que les bureaux, les écoles, les Ehpad, les restaurants, les lieux culturels, les magasins, les salles de sport...« Nous sommes ravis de compléter notre gamme d’expertise avec le lancement du purificateur d’air, cPURE. Ce système ultra performant permet d’apporter une protection supplémentaire contre la transmission des virus et d’assurer un assainissement optimal de l’air intérieur, particulièrement nécessaires en cette période de crise sanitaire », déclare Axel Ballion, DG de Venteo.cPURE est équipé d’un filtre absolu HEPA 13 haute efficacité, répondant aux exigences de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), qui offre une purification naturelle sans agent chimique et sans rayonnement. Ce système garantit également une préfiltration moléculaire favorisant la désodorisation et l’épuration des polluants gazeux présents dans la pièce traitée : micro-organismes, virus et bactéries ; particules fines atmosphériques ; allergènes et pollens ; odeurs de transpiration, de fumées... ; Composés Organiques Volatiles (COV).Seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de véhiculer le coronavirus.Chaque unité cPURE est livrée avec son certificat de test individuel justifiant d’une efficacité de filtration supérieure à 99,95% des particules de 0,3 μm.Une décontamination rapide de la pièce en temps réelcPURE est le seul système mobile doté d’un monitoring de la décontamination de la pièce en temps réel qui s’opère rapidement : 100 m2 sont décontaminés en moins de 30 min.Via un écran tactile, intuitif et ergonomique, les courbes de suivi de la décontamination apparaissent en temps réel et mesurent, grâce à des capteurs, le nombre et le type de particules fines présentes dans l’air en fonction de leurs diamètres. Lors de cette opération, la couleur de la bordure de l’écran change et indique l’état de la décontamination et donc celui de la qualité de l’air intérieur. Plus l’air est purifié et plus la courbe décroît.Ce purificateur d’air propose, notamment, une programmation de l’ensemble des paramètres de fonctionnement pour adapter le purificateur au plus près des besoins ainsi que l’affichage de l’état de santé de l’appareil.Les principales caractéristiques du cPURE sont :Equipé d’une régulation rCONNECT, le purificateur cPURE est capable de communiquer sous de nombreux protocoles (HMI via extensions IP, Ethernet via BACnet/IP, OPC, ModBus TCP/IP, sauvegarde USB...) permettant ainsi une supervision optimisée, simple d’utilisation et sécurisée. Performant, sobre et silencieux, l’appareil offre une mobilité aisée car il dispose de 4 roues pivotantes avec frein et une stabilité lorsqu’il est en fonctionnement. Il est équipé d’une prise électrique classique à brancher sur secteur 230 V.« Garantir et respirer un air sain dans un espace clos est synonyme, notamment, de l’allongement de l’espérance de vie, de la réduction des coûts médicaux, d’une amélioration de la bonne humeur et de la productivité. La solution cPure proposée par Venteo, en partenariat avec Eurevia, agit en ce sens en assurant le bien-être et la santé de chaque occupant », conclut Axel Ballion.
Il y a 4 ans et 60 jours

Aménagement urbain en béton vu par Fabemi

Le guide “Solutions Voirie & Réseaux” de Fabemi comprend de nombreux produits en béton employés dans les aménagements publics. [©Fabemi] Afin d’accompagner les professionnels dans la mise en œuvre de leurs projets, l’industriel du béton Fabemi vient de mettre à jour le guide “Solutions Voirie & Réseaux”, édition 2021. Cet ouvrage comprend de nombreux produits en béton employés dans les aménagements publics. Leurs caractéristiques et les modalités de leur usage sont expliquées en détail dans trois chapitres principaux : Produits de voirie, Produits d’aménagement urbain, et Produits de gestion de l’eau et réseaux secs. Le tout accompagné d’indications techniques propres à chaque type de chantier. Et suivi de conseils techniques de pose. Pour les pavés, est proposé un pas-à-pas illustré de photos légendées.  1er chapitre : Produits de voirie Ce chapitre décline un grand nombre de produits : bordures, caniveaux, îlots, quais de bus, glissières… Certains éléments sont dessinés en 3 D avec perspective. D’autres sont accompagnés de photos qui illustrent le thème abordé. 2e chapitre : Produits d’aménagement urbain Protections et équipements urbains, tours d’arbre, gammes de bordures, bandes d’éveil de vigilance, pavés drainants et de voirie… Ce chapitre met en avant une multitude de matériaux mis en œuvre pour sécuriser, protéger… Ou rendre accessible un espace pour les personnes malvoyantes. Des photos illustrent les produits, avec leurs tableaux techniques. 3e chapitre : Produits de gestion de l’eau et réseaux secs L’écoulement et la conduite de l’eau nécessitent des dispositifs techniques élaborés : tuyaux armés, têtes d’aqueduc de sécurité, têtes de pont, caniveaux, drains, buses, regards… La liste est longue et se découvre au fil des pages de ce chapitre très fourni. 
Il y a 4 ans et 60 jours

Manubois et Bouygues Bâtiment France Europe expérimentent une solution constructive innovante en hêtre lamellé-collé

Dans cette transition vers la neutralité carbone, les synergies se multiplient entre les acteurs de la construction et de l’immobilier et ceux de la filière bois, pour faire écho aux engagements du plan “Ambition Bois Construction 2030”, et notamment investir en Recherche & Développement, développer l’offre en bois français et soutenir l’économie des territoires. Ce sont les enjeux auxquels répondent Bouygues Bâtiment France Europe, qui ambitionne de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030, et Manubois, filiale du groupe Lefebvre, qui renouvelle les modes constructifs bois avec le lancement de bois lamellé-collé structurels en hêtre. Les deux entreprises vont expérimenter cette innovation technique dès l’été 2021 sur un projet tertiaire construit à Rouen par Bouygues Bâtiment Grand Ouest et développé par le promoteur Linkcity.Le hêtre fait son entrée sur le marché de la constructionSi la construction bois connaît un fort développement, boostée par les innovations techniques et encouragée par les pouvoirs publics, elle a majoritairement recours aux bois résineux, au coût généralement inférieur, mais qui représentent moins de 30% de la forêt française et sont donc largement importés d’Europe du Nord et de l’Est pour faire face à une demande croissante. Or les bois feuillus constituent plus de 70% de la surface forestière française, le hêtre étant la deuxième ressource après le chêne. Cette essence plébiscitée dans le domaine de l’ameublement etdes menuiseries intérieures, se distingue par une densité et une résistance mécanique remarquables qui laissent entrevoir de belles perspectives pour la construction bois.C’est le pari que fait Manubois, filiale du groupe Lefebvre spécialisée dans la seconde transformation du bois, qui produit du bois lamellé-collé abouté (LCA), principalement en hêtre, depuis 30 ans. L’entreprise normande se lance dans la production de hêtre lamellé collé pour un usage en structure. Ses process et outils industriels ont dû être adaptés à la fabrication de BLC de grandes dimensions, pour la réalisation de poteaux et poutres. Manubois a obtenu la certification “CTB” bois lamellé collé à base de hêtre pour un usage en “structure” délivrée par le FCBA, qui atteste de la fiabilité, de la qualité et de la performance de cette solution. La caractérisation du produit par l’institut FCBA a permis de mettre en lumière ses propriétés mécaniques - une densité et une résistance nettement supérieures à celles des résineux - qui en font une alternative durable au béton et au métal pour les fortes charges.Une innovation prometteuse pour la construction bois et biosourcéeHormis les atouts écologiques du bois - un matériau naturel, renouvelable et recyclable relevant de la filière sèche, et sa capacité à stocker le carbone (1 m3 de bois stocke environ 850 kg de CO2) - cette innovation présente de nombreux avantages pour la construction. Elle contribue au développement du bois français et même local : Manubois s’approvisionne essentiellement dans les forêts de Seine Maritime, exploitant des ressources dans un rayon de 50 km environ. Elle favorise ainsi les circuits courts, impactant positivement le bilan carbone de ses activités. De plus, “avec cette solution dédiée à la construction, nous utilisons des bois aujourd’hui peu ou mal valorisés, parce qu’ils comportent des nœuds par exemple, et contribuons ainsi à la bonne gestion des forêts” souligne Maxime CASTEL, Prescripteur Hêtre structurel chez Manubois.Le BLC+ Hêtre se distingue en outre par ses qualités esthétiques : composé de petites lamelles, il présente une homogénéité et un aspect de surface très qualitatifs, ainsi qu’une teinte claire et chaleureuse. Ces qualités alliées à sa résistance élevée permettent de mettre en œuvre des sections beaucoup plus fines, ce qui constitue un atout architectural et offre un précieux gain d’espace au sol dans les bâtiments. Cette finesse génère enfin des économies de matière qui, ajoutées à un bilan carbone réduit, compensent le surcoût de la transformation par rapport à celle des essences résineuses.Une dynamique partenariale pour accélérer l'essor du bois dans la constructionEngagé au quotidien pour bâtir un cadre de vie durable, Bouygues Bâtiment France Europe a fait de la construction bois l’une de ses priorités avec l’objectif de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030. Cette ambition est illustrée par la démarche WeWood et la création d’un pôle d’excellence bois constitué de 30 ingénieurs experts offrant conseil, expertise et formation à l’ensemble de ses équipes. Mais aussi par le club de partenaires et les solutions WeWood, pour faire émerger collectivement des innovations et les concrétiser dans les projets développés par toutes ses filiales. C’est dans cette logique de co-construction que Bouygues Bâtiment France Europe accompagne Manubois dans le développement de son innovation BLC+ Hêtre.« Notre stratégie est pragmatique, » explique Fabrice Denis, Directeur Stratégie Construction Bois –Bouygues Bâtiment France Europe, « mettre du bois partout où l’on peut, en capitalisant sur un pôle d’excellence, les atouts innovants des solutions bois, la formation et un club des partenaires ! »Un premier bâtiment tertiaire démonstrateur à RouenUne première expérimentation est ainsi prévue à Rouen, dans le cadre d’un ambitieux projet de renouvellement urbain, celui du quartier “L’éveil de Flaubert”, développé par Linkcity et dont le chantier sera réalisé par Bouygues Bâtiment Grand Ouest. Cette vaste opération mixte et intergénérationnelle est également la plus grosse opération tertiaire de la métropole, avec deux bâtiments de bureaux d’une superficie totale de 16 500 m². Un premier bâtiment tertiaireR+7, d’une superficie de planchers de 9 000 m² devrait sortir de terre entre mars 2021 et mars 2023 dans ce quartier situé en bordure de Seine. Environ 70 poteaux, soit 36 m³ de hêtre lamellé collé, seront mis en œuvre sur ce bâtiment, en support des planchers en béton.Ce bâtiment qui se veut exemplaire en termes d’impact sur l’environnement atteindra le niveau BEPOS Effinergie 2017 et E3 du label E+C-. Il vise également le label BBCA et la certification BREEAM Nouvelle Construction 2016, niveau VERY GOOD. Cette certification est aujourd’hui la plus utilisée en Europe.Fruit d’une véritable synergie entre les équipes de Manubois, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, Linkcity et le pôle d’expertise WeWood, ce projet collaboratif allie faible impact environnemental et fort ancrage local : il favorise à la fois l’innovation et les ressources du territoire au sein d’une opération pilote destinée à soutenir le développement d’une filière bois locale et ouvrir la voie à de nouvelles méthodes constructives.
Il y a 4 ans et 65 jours

Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A

L’agence DL2A (Didier Lefort) a livré en octobre 2019, pour SI Neuilly Château maître d’ouvrage, la rénovation totale des façades et la réhabilitation des parties communes d’un imposant immeuble industriel des années 30 d’une surface de 11 000 m², en bordure du canal Saint-Martin, quai de Jemmapes à Paris (Xe). Communiqué. Pour les parties communes […] L’article Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 69 jours

Comment procéder à l’isolation des murs intérieurs ?

Le sentiment de confort à l’intérieur de l’habitat est majoritairement dû à sa température ambiante. En effet, une température adaptée à la saison, chaud en hiver et frais en été, permet à ses locataires de s’y sentir à l’aise. Afin d’éviter des écarts voire des baisses de températures, il est primordial de choisir une bonne isolation. De plus, une isolation de qualité réduira votre facture d’énergie et par conséquent engendrera peu de coûts supplémentaires. Alors, quoi de mieux que l’isolation thermo-acoustique ? Ce procédé d’isolation possède de nombreuses qualités qui lui permettent de s’imposer de plus en plus au sein des foyers de manière durable. Choisir le bon isolant Le plus dur dans les travaux d’isolation est de choisir le parfait isolant. Vous avez l’embarras du choix en la matière, mais tout dépend des caractéristiques de votre maison. Dans bien des cas, utiliser un isolant thermo-acoustique peut être une bonne idée. Comme son nom l’indique, ce type d’isolation permet à la fois de bien vous chauffer (isolation thermique) et d’atténuer le bruit de l’extérieur et de l’intérieur (isolation phonique) pour vous garantir un confort maximum. Si vous avez une maison en bordure de route que vous souhaitez chauffer, n’hésitez plus ! À installer dans les murs, et disponible pour quelques centaines d’euros le m2, c’est le must des isolants proposés par les grandes marques. Cette isolation vous permettra d’améliorer votre confort de vie, de réduire votre impact environnemental mais aussi d’effectuer des économies sur vos factures d’énergie. Pour les petits budget, la laine de verre ou bien la ouate de celluloses peuvent également être de bonnes alternatives. Cependant, ces techniques possèdent quelques points négatifs, le principal étant l’apparition de ponts thermiques. Au fil des années, la laine ou la ouate va s’affaisser, ce qui créera un espace dans vos murs qui laissera passer le froid. A contrario, le procédé de l’isolation projetée permet de répandre la matière de manière uniforme et ainsi éviter les ponts thermiques. Pour ceux qui ont un petit budget, un isolant en laine de verre, en chanvre ou en celluloses, voire en fibre de bois peut également être une bonne idée. Ce sont les classiques de l’isolation. Il s’adapte à toutes les pièces et est facile à installer. Depuis plusieurs années, ils ont prouvé leur valeur. Pour l’isolation des murs, la mousse polyuréthane est également une alternative très en vogue. C’est une technique efficace et rapide qui consiste à verser de la mousse isolante dans les murs. L’isolant coûte assez cher, mais est très efficace pour couvrir chaque cm2 de vos murs. Cette isolation peut s’adapter à des combles aménagés. Mais si vous avez des combles perdus à isoler, on vous recommande le soufflage. C’est non seulement moins cher, efficace, mais c’est aussi plus rapide. Un Professionnel RGE pour vous aider Pour profiter des avantages du pacte d’isolation solidaire et garantir la réussite de votre projet d’aménagement, on vous conseille de faire appel à un professionnel RGE. Mais qu’est-ce que le label RGE ? Il s’agit d’un label que seuls les prestataires reconnus par l’État peuvent porter. Il est synonyme de compétence et de fiabilité. Il est important de vérifier que l’artisan engagé possède ce label avant les travaux, afin de s’assurer qu’ils soient éligibles aux aides. Il vous faut maintenant chercher votre artisan. Il existe plusieurs moyens de le trouver. Tout d’abord, sur Internet, mais veillez à choisir le prestataire qui aura la meilleure réputation. Vous pouvez également vous faire accompagner par l’agence nationale de l’habitat (Anah) ou encore avoir recours au bouche-à-oreille. L’isolation thermo-acoustique : des travaux qui prennent du temps mais qui sont bénéfiques. Cette isolation à base de polyuréthane projeté est un processus qui requiert du temps. Il faudra en effet démonter les murs avant de procéder à la mise en place des isolants. Vous devez donc prendre des dispositions pour votre hébergement. Tout le temps des travaux, votre maison sera inhabitable. Après la mise en place des isolants, ce qui peut prendre quelques jours en fonction de l’importance des travaux à faire, l’artisan procédera à la remise en état des lieux, à savoir la fixation des murs et aux colmatages des éventuels trous. Néanmoins, le jeu en vaut la chandelle ! Cette technique possède de nombreux avantages. Elle jouit d’une résistance optimale aux moisissures et d’une résistance thermique élevée. Cette technique est également capable de s’adapter aux imperfections de toutes les surfaces, ce qui n’est pas le cas de tous les isolants. En outre, il s’agit d’un procédé à la certification QB, gage de qualité et de sécurité. L’isolation polyuréthane est une solution durable avec un faible impact carbone. Quand rénover l’isolation de votre maison ? Contrairement à certaines informations, il n’est pas nécessaire de rénover votre isolation tous les ans. Il vous suffit de bien choisir votre isolant et votre prestataire. Mais alors, comment savoir si vous devez procéder à cette rénovation ou non ? Quand la performance énergétique de votre résidence commence à défaillir, il est temps de faire quelques changements. Si vous avez poussé votre appareil de chauffage dans ses retranchements, mais que vous sentez tout de même un courant d’air, c’est également le moment pour d’engager un professionnel de l’isolation pour vous accompagner dans la rénovation de votre habitation. Vous devez contacter un professionnel qui procèdera à un bilan thermique. Il s’agit d’un diagnostic d’isolation sur votre logement. Cela vous permettra de savoir s’il faut rénover ou non. En ce qui concerne la laine de verre, elle est assez économique et fait partie de l’un des isolant les plus performants. Pour ce qui est de l’isolation de polyuréthane, son atout majeur est sa longévité. En effet, contrairement aux isolation à la laine de verre ou ouate de celluloses, celle-ci a une plus grande durabilité dans le temps. Son installation par projection empêche l’apparition de ponts thermiques, et par conséquent perdure dans le temps. De plus, tout comme la liane de verre, elle est l’une des isolation les plus performante. De quelles aides pouvez-vous bénéficier ? Dans le cadre de la réduction de la consommation d’énergie, l’État français va l’inciter grâce à différentes stratégies. L’une d’elles consistant à financer les travaux d’économies d’énergie des habitations. La rénovation de l’isolation d’un habitat peut être une action onéreuse. Cependant, l’isolation projetée est moins coûteuse que dans l’imaginaire collectif. Il existe plusieurs aides, auxquelles elle est éligible, qui faciliteront le financement de ces travaux de rénovation. Depuis le 1er janvier 2020, l’État a mis en place une nouvelle aide : Ma Prime Rénov’. Il s’agit d’une aide financière reversée à la fin des travaux de rénovation énergétique. Cette prime varie, de 2000 à 20 000 euros, en fonction des revenus du propriétaire du futur logement rénové et des travaux engagés. Ces travaux doivent être réalisés par un professionnel RGE afin de pouvoir avoir recours à la prime. En 2021, quatre catégories de revenus seront créées afin de déterminer le montant de la prime. C’est une prime cumulable avec d’autres, sous certaines conditions. On peut également avoir recours à la prime CEE si les travaux sont réalisés par un artisan RGE. Il s’agit d’un dispositif mis en place en 2006 qui oblige les fournisseurs d’énergie à financer partiellement les travaux de rénovation énergétique faits par les particuliers. Il est intéressant de noter que cette prime est cumulable avec « Ma Prime Rénov’ » tout comme avec le crédit d’impôt. Le montant de cette prime dépend de la zone géographique mais aussi des caractéristiques de l’installation. Elle peut également donner lieu à une prime bonifiée si les revenus sont modestes. Certains artisans, comme Syneris par exemple, propose aux particuliers de leur monter le dossier de demande de CEE ou d’autres démarches administratives liées aux travaux d’isolation , afin de faciliter leur changement énergétique.