Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour bouygues batiment

(588 résultats)
Il y a 2 ans et 25 jours

Une fresque végétale s’invite à Puteaux

Grâce à une fresque au décor végétal signée Julien Colombier produite par Quai 36, Bouygues Bâtiment Ile-de-France et Nexity transforment poétiquement la palissade du chantier de la résidence Lilo, à Puteaux.
Il y a 2 ans et 32 jours

Bouygues Bâtiment Nord-Est se renforce

CARNET-NOMINATION. Karine Famy est la nouvelle directrice générale adjointe de Bouygues Bâtiment Nord-Est en charge du territoire Hauts-de-France. Cette création de poste renforce la filiale de Bouygues Construction.
Il y a 2 ans et 59 jours

julien antoine nouveau directeur general de bouygues batiment idf habitat social

Jusqu’ici directeur régional Grand Est et Luxembourg, Julien Antoine vient d’être nommé directeur général de Bouygues Bâtiment Île-de-France - Habitat social, après avoir passé près de 20 ans au sein du groupe.
Il y a 2 ans et 59 jours

Julien Antoine, Dg de bouygues Bâtiment IDF-HS

Julien Antoine a été nommé directeur général chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social. [©Bouygues] Julien Antoine devient le nouveau directeur général de Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social, acteur majeur du logement social en Ile-de-France depuis plus de 60 ans. Il rejoint l’équipe de Thierry Fisarol, directeur général délégué de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, et Philippe Jouy, directeur général de Bouygues Bâtiment France. « Depuis mon arrivée, j’ai pu apprécier au quotidien le formidable état d’esprit des plus de 1 000 collaborateurs qui composent les équipes d’Habitat Social ! Une attitude cruciale pour poursuivre nos engagements à construire, rénover, entretenir… de façon durable. Tout en préservant le climat et la biodiversité, ingrédients indispensables à l’harmonie de demain. La haute satisfaction de nos clients et de nos partenaires restera évidemment le fil rouge de notre action au quotidien ! » Un parcours au sein de Bouygues Bâtiment Nord-Est Diplômé de l’Institut national des sciences appliquées (Insa) de Strasbourg, en 2004, Julien Antoine a débuté sa carrière au sein du groupe Bouygues. Ceci, en tant qu’ingénieur travaux sur la région Grand-Est. Puis, a gravi les échelons. En 2015, il a été nommé responsable commercial. Et en 2017, il a été directeur régional Alsace – Bourgogne – Franche-Comté. Puis, son périmètre s’est étendu au Grand Est et au Luxembourg.  Lire aussi : Avec Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Anne est au 7e ciel ! Julien Antoine a travaillé 18 ans avec l’équipe de Bouygues Bâtiment Nord-Est, afin de renforcer l’ancrage régional par des mesures et des engagements d’intégration partenariats sociaux. Une expérience acquise sur plusieurs projets au service de clients publics et privés. En particulier, les chantiers emblématiques comme le Grand Nancy Thermal, les Black Swans à Strasbourg, la tour Sigma à Dijon et le Parlement européen… Un savoir-faire précis, des innovations et des approches concrètes lui ont permis de contribuer à mener à bien ces projets diversifiés et attractifs pour le territoire. Autant d’opérations en faveur de la biodiversité et de l’économie circulaire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 65 jours

Bouygues engrange des commandes dans son cœur de métier et réoriente sa stratégie avec Equans

Le conglomérat du BTP, des médias et des télécoms a enregistré en 2022 un bénéfice net en recul de 13,5% à 973 millions d'euros, mais le bénéfice opérationnel a progressé de 16,38% à 2 milliards d'euros.Le bénéfice net est en recul car il se trouve lesté de 90 millions d'euros de coûts exceptionnels liés notamment à des frais d'opérations de fusions-acquisitions concernant l'énorme rachat du groupe de services techniques Equans à Engie l'an passé, et à des frais liés au projet de mariage entre TF1 et M6, finalement avorté en septembre.Ces résultats sont à comparer à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data-centers et des cessions d'actions d'Alstom.Malgré la guerre en Ukraine, l'inflation et l'envolée des taux d'intérêts, l'activité est restée soutenue dans la quasi-totalité des métiers. Le chiffre d'affaires global s'est inscrit en hausse de 18% à 44,3 milliards d'euros, en progression surtout à l'international (+34%)."La croissance est tirée par l'intégration d'Equans, par Colas et la construction, et dans une moindre mesure par les télécoms", relèvent les analystes d'Oddo dans une note.Seul Bouygues immobilier a vu son chiffre d'affaires baisser (-4%), dans un marché "globalement attentiste", selon le communiqué du groupe.Le chiffre d'affaires de la division "construction et services" s'est, lui, établi à 30,5 milliards d'euros, en hausse de 9%, essentiellement porté par Colas.Fin décembre 2022, le carnet de commandes de la construction et des services était "en hausse de 2% à 33,8 milliards d'euros, un niveau historique", s'est félicité le groupe.La branche construction enregistre une progression des ventes de 3% à 13,17 milliards d'euros et offre "une bonne visibilité" avec un "haut niveau de carnet de commandes" de 20,6 milliards d'euros.Intégration d'EquansPour la suite, "dans un environnement instable, marqué par l'inflation, la hausse des taux d'intérêt et la volatilité des devises, Bouygues vise pour 2023 un chiffre d'affaires proche de celui de 2022, et une augmentation du résultat opérationnel courant de ses activités (ROCA)", a indiqué le groupe riche de 196.000 collaborateurs.Côté Bouygues Telecom, l'activité commerciale est "restée dynamique", avec des ventes en hausse de 4% et la conquête de 449.000 nouveaux clients mobiles et 674.000 dans la fibre (FTTH). Au total, le parc mobile et fibre compte 19,9 millions de clients.Dans l'autre vitrine du groupe, TF1, le bénéfice net a reculé de 21,8% en 2022, à 176 millions d'euros, malgré une progression de ses ventes de 3% et les bonnes performances publicitaires durant la Coupe du monde de football. L'année aura été ternie par le mariage raté de TF1/M6 à cause des concessions demandées par l'autorité de la concurrence.A 6,6 milliards d'euros, la reprise d'Equans et de ses 70.000 salariés, est le plus gros rachat de l'histoire de Bouygues. Elle "nous positionne dans une nouvelle dynamique de croissance", et "significative" a commenté Olivier Roussat, directeur général du groupe lors de la présentation des résultats.En 2022, Equans, intégré à la branche Bouygues Energies et Services en octobre, aura contribué pour 3,8 milliards d'euros au chiffre d'affaires global. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 13,8 milliards.Bouygues vise "une légère croissance de son chiffre d'affaires en 2023 et 2024", avant une "accélération" en 2025.Avec des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, ce rachat doit permettre à Bouygues d'accélérer dans le secteur porteur des services à la transition énergétique.Avant l'acquisition, la division "construction et services" pesait 75% dans l'activité du groupe (dont 10% pour les services).L'intégration d'Equans déplace "son centre de gravité" vers une activité "beaucoup plus orientée vers ce sujet des énergies et services", a souligné M. Roussat. Un secteur amené à peser désormais pour un tiers du portefeuille d'activités (48% pour la seule construction), selon les projections.
Il y a 2 ans et 81 jours

LOXAM ET BOUYGUES ENERGIES; services signent un partenariat stratégique pour accélérer la filière hydrogène

Dans le cadre du salon HyVolution, le groupe Loxam, leader français et européen, 4e acteur mondial du marché de la location de matériels et outillage, et Bouygues Energies & Services, acteur clé de la transition énergétique et digitale des territoires, des industries et des bâtiments, annoncent la signature d’un accord de partenariat stratégique pour le […]
Il y a 2 ans et 90 jours

Du béton bas carbone pour un collège public à Montpellier

Le nouveau collège Port Marianne situé au cœur de Montpellier, s’inscrit dans le programme d’insertion urbaine proposé par la ville L’objectif était de réaliser un ensemble de bâtiments capables d’accueillir 750 élèves à court terme, puis 900 à moyen terme, grâce à un système constructif modulaire.L’ensemble est composé d’un bâtiment d’accueil, dédié à l’administration, doté d’une salle polyvalente, d’un CDI et de locaux pour les enseignants d’un bâtiment d’enseignement, d’un bâtiment abritant un espace de restauration et des vestiaires de sport, de deux bâtiments de maintenance et de quatre logements de fonction.La mixité des matériaux bois et béton est particulièrement prégnante dans cette nouvelle réalisation publique.Soutenir la démarche environnementale avec du béton à faible teneur en CO2Depuis son unité de production de Montpellier, CEMEX a livré plus de 4 700 m3 de bétons bas carbone Vertua ® classic destinés à la réalisation d’éléments structurels comme le porche d’entrée de l’établissement, les poteaux pilotis en forme de V qui soutiennent les bâtiments, le RDC ainsi que les dalles et poteaux poutres de certains bâtiments.L’utilisation du béton bas carbone permet de diminuer les émissions de gaz à effet de serre liées à la production du matériau et de répondre aux enjeux environnementaux du projet, selon la volonté du maître d’ouvrage et des architectes.Des voiles de grande hauteur en béton architectoniquePar ailleurs, CEMEX a livré plus de 1 100 m3 de béton architectonique gris clair pour la construction des voiles de plusieurs bâtiments et dont certains s’élèvent jusqu’à 3 mètres.Faciliter l’organisation du chantierL’entreprise Bouygues, en charge des travaux de gros œuvre, a utilisé l’application CEMEX Go pour commander l’ensemble des bétons et en suivre la livraison en temps réel. Cet outil digital optimise ainsi l’organisation du chantier, un atout essentiel étant donné des délais de réalisation particulièrement serrés.IntervenantsMaître d’ouvrage : Conseil départemental de l’HéraultArchitectes : A+Architecture et AMG ArchitectesEntreprise : Bouygues Bâtiment Centre Sud OuestBET : Sodeba et Arborescence (structures) / Inddigo (environnement)
Il y a 2 ans et 95 jours

Les Jardins de Stains, une opération pilote offrant des logements solidaires labellisés Passivhaus à Stains (93)

Alors que l’opération les Jardins de Stains, est inaugurée ce jour, c’est toute une opération pilote, fondée sur une démarche sociologique inédite pour améliorer l’accès au parc social en France, qui se concrétise !Si à première vue les deux bâtiments de 59 logements locatifs neufs, situés rue Jean Durand à Stains, ressemblent à un ensemble immobilier comme les autres, il s’agit pourtant d’un projet remarquable à plus d’un titre !Il l’est tout d’abord, par la diversité des partenaires impliqués : L’EPT Plaine Commune, la Ville de Stains, Seine-Saint-Denis habitat, l’aménageur Plaine Commune Développement, l’association Action Tank Entreprise & Pauvreté, Linkcity, Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Atelier d’architecture Pascal Gontier.L’ensemble de ces acteurs ont décidé d’unir leurs forces et leurs savoir-faire respectifs vers un même but : produire des logements sociaux écologiques, qualitatifs et plus abordables.Pour y parvenir, ils ont mis en œuvre pour la première fois en France une démarche reposant sur une analyse fine des bases de données de demandeurs de logements, afin de proposer une programmation sur mesure : la bonne combinaison entre typologie, surface et mode de financement.Intégrés dans l’Ecoquartier intercommunal de la ZAC des Tartres, Les Jardins de Stains incarnent un nouveau modèle d’habitat social plus inclusif à travers l’amélioration du reste-pour-vivre des habitants (ce qu’il reste à une personne ou à un ménage lorsqu’on a enlevé toutes les dépenses incompressibles).À retenirAu-delà des enjeux de l’habitat social en France, ce projet pilote dont l’ambition est d’être réplicable, donne à repenser les méthodes traditionnelles de programmation et de conception immobilière des logements.Réinventer la méthode de détermination de la programmation pour rendre les logements sociaux plus accessiblesInverser le processus habituel en partant d’abord des besoins en logements non adressés ou mal satisfaits sur le territoire, puis en intégrant dans un second temps les contraintes économiques, administratives et politiques, pour aboutir à une programmation locative sociale qui contribue à réduire les inégalités d’accès au logement sur le territoire.Réinventer la méthode de conception immobilière pour rendre les logements sociaux plus abordablesUn pilotage par le coût global des futurs logements (coûts tout au long du cycle de vie du bâtiment, de sa conception, son exploitation à sa démolition) dans le cadre d’une méthode de conception intégrée prenant en compte les usages. La co-conception permet de rompre les silos entre les acteurs de la chaîne de valeur du logement : tous les acteurs sont mobilisés dès le début de la phase de conception et réunis autour de l’objectif de réduction du coût d’usage des logements et d’augmentation du reste-pour-vivre des futurs habitants.
Il y a 2 ans et 96 jours

Rénovation de l'éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d'énergie qui dépassent l'objectif attendu

D'une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d'un rez-de-chaussée où se trouve l'espace d'accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d'un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d'une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l'entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN.Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin - Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected.Un objectif initial de 75% d'économie d'énergie en hiverAfin d'atteindre les économies d'énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d'éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d'éclairage réalisée par le bureau d'études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer :les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected,les spots fluocompacts d'une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II.Pour apprécier l'efficacité de la solution d'éclairage recommandée et s'assurer qu'elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l'apport de lumière naturelle) ont d'abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l'ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022.Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d'éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 97 jours

Comment l’innovation technologique va-t-elle transformer l’immobilier ?

Les innovations technologiques submergent nos façons de vivre, de travailler, de consommer… Cependant, dans notre monde d’aujourd’hui, déstabilisé, en rupture, dans lequel les ressources s’amenuisent et qui nous oblige à tout repenser, ces innovations suffisent-elles, dans leur rythme et dans leur forme, à transformer notre industrie en pleine transition, face aux urgences climatiques et de décarbonation ? Doit-on faire le choix de la technologie ou de la frugalité ? Comment la technologie transforme-t-elle positivement la société, la Ville, l’immobilier, ses acteurs et leurs métiers ? Comment peut-elle être source d’inspiration ?Immobilier et Climat, choisir entre frugalité et innovation technologique ?Dans un contexte où la COP 27 vient de se s’achever, que les derniers rapports du GIEC nous rappellent clairement les impacts du changement climatique, nous soumettent des solutions, et où un plan national de sobriété énergétique a été publié par le gouvernement, nous devons nous interroger sur les leviers possibles afin que le secteur du bâtiment réduise ses émissions de gaz à effet de serre ainsi que sur la pertinence de ses leviers.L’industrie bâtimentaire pèse aujourd’hui 40% dans l’émission de CO2. Cette émission englobe en réalité toute la chaîne qui va du foncier jusqu’à la création et ensuite l’utilisation d’un bâtiment. En plus, nous pouvons y ajouter 20% de gaz à effet de serre pour tout ce qui touche aux déplacements, et c’est particulièrement le cas pour ce qui est des territoires et leur conception. « Est-ce qu’un territoire peut être frugal ? Non, car il n’agit pas seul, mais les habitants agissent. Il faut donc pouvoir réfléchir à une meilleure utilisation des matériaux, et de tout ce qui est à notre disposition » explique Matthias Navarro, CEO Redman. « La frugalité est donc un raisonnement sur une consommation modérée et réfléchie des ressources, et non une réduction de nos consommations parce que cela fait mal à nos finances » selon Arnaud Bekaert, Directeur Général Promotion Ile de France, Filiales, UrbanEra et Immobilier Commercial - Bouygues Immobilier.D’un autre côté, lorsque nous regardons l’histoire et la technologie au niveau global, celle-ci représente seulement 1% de l’impact carbone. Mais ce 1% a créé des transformations majeures dans d’autres secteurs. Elle permet aujourd’hui de faire beaucoup plus vite, de faire moins mais mieux.« La technologie nous fait agir en temps réel, 24/24, de prendre en compte les données météorologiques par exemple…La vraie question que l’on peut se poser est pourquoi la mise en place de ces innovations ne se fait-elle pas plus rapidement dans le secteur de l’immobilier ? » questionne Khadija Nadi, CEO DeltaQ. La crainte première est celle de l’obsolescence rapide de tout ce qui est hi-tech. Les objets connectés seraient mis au rebut plus rapidement, engendrant ainsi une accélération du sujet de l’impact climatique. Cela doit donc forcément amener un changement des mentalités. Aujourd’hui 85% des bâtiments existants seront encore debout en 2050. Et des solutions attendues pour 2030 sont déjà mises en oeuvre aujourd’hui au sein des Villes et des ruralités comme le changement des usages par exemple.« Au-delà du débat, ce combat se gagne et se perd ensemble. Ce qui est important c’est de comprendre que les enjeux ont changé, nous tendons vers un Temps que personne ne connait, vers une adaptation que personne n’a jamais faite, vers un modèle qui n’existe pas encore. Il faut donc travailler ensemble, main dans la main, et être ouvert d’esprit pour attaquer ce problème. » Philippe Le Fort, Director T&I – Head of Ambio Patrizia SE.La technologie aujourd’hui, une source d’inspiration pour l’immobilier ?Si la période du Covid a accéléré la transformation des usages que nous vivons aujourd’hui (le télétravail, la ville du quart d’heure), ces changements s’appliquent de fait au marché de l’immobilier. Les changements d’usages et de modèles viennent, en effet, de la demande et non plus de l’offre. Les habitudes de vie et de travail ont changé. Mais l’immobilier est souvent perçu comme étant lent à l’adoption de la technologie.Il y a beaucoup de choses qui ont changé dans la tech depuis 20 ans, avec notamment deux grands phénomènes clés qui ont transformés les industries : la convergence entre l’accès à la technologie avec le déploiement du smartphone (60 % de personnes en possède un aujourd’hui) et la démocratisation de la puissance de calcul à faible coût par le cloud. « Une capacité de calcul et de traitement qui était réservée à l’armée il y a à peine dix ans est devenue accessible à tout un chacun » explique Philippe Vimard, COO / CTO Doctolib.Dans l’hôtellerie par exemple, l’ère du digital a poussé le parc hôtelier et les hôteliers à améliorer leur qualité de service de façon significative et qualitative. « Finalement le Web 2.0 d’il y a quinze ans a challengé les hôteliers en leur apportant un accès direct au client, et en parallèle, en apportant au client un impact direct aussi sur le produit dans lequel il consomme. » énonce Alexandra Goguet, Senior Director Development France & Benelux Marriott International.Pour autant, les lignes vont devoir bouger. Les usagers cherchent davantage de services, de solutions, d’idées facilitant leur quotidien, afin de mieux habiter la ville et la consommer « utile ». « La technologie a un défi auquel elle doit composer : le capital humain et le capital planète/environnement. Toute technologie doit être pensée en ne perdant pas de vue l’aspect social, sociétal et planétaire. » détaille Stéphanie Zolesio Roux, Directrice Générale Executive, Casino Immobilier. La réalité aujourd’hui, c’est qu’il y a des technologies bien établies, qui existent, qui peuvent être déployées immédiatement dans les entreprises afin de faire une différence. Pour collecter de la donnée, créer une fondation, créer les produits de demain, de l’optimisation interne. « Si nous regardons ce qui s’est produit dans les autres industries, la technologie va venir disrupter l’immobilier, c’est une certitude. » explique Philippe Vimard. « Quand on manipule des actifs physiques, il est tentant de croire qu’on est assez immunisé face à la technologie. Mais je pense qu’on ne fera pas la transition environnementale, on ne réussira pas à attirer les talents de demain s’il n’y a pas de modernisation de la technologie. » conclut Robin Rivaton, CEO Stonal.Lorsque le Steering Committee de ULI France a réfléchi il y a quelques mois sur le thème de cette conférence, un accord a assez vite été trouvé, non sans débat sur le sujet de la technologie. La raison ? L’industrie immobilière tarde à intégrer les avancées technologiques alors que ces dernières ouvrent des possibilités incalculables sur l’avenir. « Nous avons des progrès à faire dans ce domaine. Alors oui la technologie c’est compliqué, ce n’est pas notre métier. Mais ne l’oublions pas, c’est aussi une vague que nous n’arrêterons pas. Nous devons être dans l’anticipation en stockant par exemple de la data pour un usage de demain. » résume Sébastien Chemouny, président ULI France et Head of France Allianz Real Estate.
Il y a 2 ans et 97 jours

La cité administrative d'Amiens : une nouvelle référence de construction bas carbone pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

Après le projet de réhabilitation de la Cité administrative de Rouen, le groupement mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest a remporté la construction d'une nouvelle Cité Administrative, celle d'Amiens. Ce Marché Public Global de Performance d'un montant total d'environ 46,5 M€ est un projet exemplaire de 20 000 m² répartis sur 3 bâtiments qui allie qualité énergétique, environnementale, fonctionnelle et d'usage. La future Cité intégrée à la ZAC Gare-La Vallée accueillera 1100 agents à l'automne 2023.La Cité Administrative d'Amiens est l'une des 4 cités administratives françaises qui font l'objet d'une construction neuve. Implantée au coeur d'Amiens, la future Cité, dite du XXIème siècle, va intégrer le nouveau quartier de La Vallée aussi nommé « Gare La Vallée », un projet urbain qui s'étend sur 170 hectares entre les voies ferrées de la gare d'Amiens et les berges de la Somme. Il a été validé dans le contrat de développement territorial de l'Amiénois et vise à moderniser les services publics et à assurer l'attractivité du territoire. Le Groupement de conception – réalisation – exploitation - maintenance, mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, compte 9 sociétés cotraitantes aux expertises complémentaires, contribuant ainsi à la dynamique économique du territoire picard. Après 9 mois et demi de conception, les travaux ont démarré en octobre 2021 et s'achèveront à l'automne 2023.Un projet de construction bas carboneLa future Cité a été pensée pour être exemplaire en termes de construction durable, c'est-à-dire à la fois peu consommatrice d'énergie en phase d'exploitation, tout en garantissant le confort des agents et du public. Elle vise la labellisation Passivhaus, un niveau 3 Bâtiment biosourcé et un niveau bas carbone E2C1.Pour atteindre ces objectifs, le projet repose sur plusieurs axes forts :Une conception bioclimatique qui favorise les économies d'énergie, permet de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation tout en améliorant le cadre de vie. Ainsi les volumes ont été pensés pour favoriser la lumière naturelle et bénéficier des apports solaires. De plus, la gestion de l'énergie sera optimale grâce au raccordement au réseau de chaleur urbain et au futur réseau de froid urbain ;Des solutions constructives préfabriquées en filières sèches : le projet intègre du bois à hauteur de 95 dm3/m2 de plancher avec notamment la mise en oeuvre de 9500m² de planchers bois CLT (Cross Laminated Timber), soit au total 1700m3 de bois pour les planchers. Ce projet est l'un des chantiers bois majeurs de Bouygues Bâtiment France, et les équipes chantier Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui en assurent la pose bénéficient de l'accompagnement de WeWood, le pôle d'expertise en construction bois de Bouygues Bâtiment France.Une enveloppe thermique très performante (laine de roche de 220 mm d'épaisseur pour les façades, isolant polyuréthane en toiture terrasse, fibrastyrène pour le parking, isolation performante des longrines et dalles portées…) et des menuiseries mixtes bois/alu dotées de triple-vitrage.La mise en œuvre de matériaux naturels comme, par exemple, les revêtements de sol Marmoleum ou la peinture Algo à base d'algues.Un projet misant sur le confort et le bien-être des agents et du publicD'une superficie totale de 20000 m2, les 3 bâtiments accueilleront 18 services administratifs, soit 1 100 agents, un restaurant inter-administratif de 900 m2 ainsi qu'une crèche de 15 berceaux avec un jardin attenant. Les flux seront bien identifiés pour optimiser l'accueil du public et l'environnement de travail des agents.L'architecture des 3 bâtiments se veut flexible, avec des aménagements intérieurs modulables : la structure en poteaux poutres et les cloisons amovibles ont ainsi été pensées pour permettre une flexibilité des espaces de travail.Elle repose en outre sur le concept de biophilie, c'est-à-dire l'intégration du vivant dans l'environnement bâti, ce qui se traduit par une valorisation du bois dans les espaces de travail, la végétalisation des passerelles de liaison entre bâtiments et des espaces extérieurs, etc.Enfin, le projet s'intègrera harmonieusement dans le quartier grâce à une large partie des façades des bâtiments revêtues de tuiles émaillées.Ce matériau fait écho, de manière contemporaine, à la brique omniprésente à Amiens. Ces tuiles sont produites localement, en Picardie, à Saint-Germer-de-Fly, par la société EDILIANS. Les 7000 m² de façades en bardage tuiles émaillées seront intégralement réalisés en part propre, par les équipes polyvalentes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest.
Il y a 2 ans et 110 jours

Rénovation de l’éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d’énergie qui dépassent l’objectif attendu !

Installée à Montigny le Bretonneux dans le département des Yvelines, SAIPEM en France est l’une des plus importantes sociétés d’ingénierie, d’exécution de projets et de développements technologiques offshore et onshore du Groupe SAIPEM. Dans le cadre du décret de la loi ELAN qui impose au parc tertiaire existant de réduire sa consommation énergétique de -40% en 2030 à -60% en 2050 par rapport à 2010, l’entreprise vient de remplacer son installation d’éclairage par des luminaires LED de Sylvania, associés à la solution de gestion d’éclairage intelligente SylSmart. D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d’un rez-de-chaussée où se trouve l’espace d’accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d’un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d’une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l’entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN. Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin – Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected. Un objectif initial de 75% d’économie d’énergie en hiverAfin d’atteindre les économies d’énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d’éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d’éclairage réalisée par le bureau d’études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer : – les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, – les spots fluocompacts d’une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II. Pour apprécier l’efficacité de la solution d’éclairage recommandée et s’assurer qu’elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l’apport de lumière naturelle) ont d’abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l’ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022. Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 130 jours

Palmarès des secteurs du BTP et de l'immobilier qui emploient les ingénieurs des Arts et Métiers

Cet outil interne, édité semestriellement, permet d’apporter aux Alumni des Arts et Métiers, mais aussi aux élèves et à leurs enseignants, une information objective et prospective sur l’emploi dans 12 secteurs industriels où les ingénieurs Arts & Métiers sont présents et reconnus (Aéronautique, Agroalimentaire, BTP, Conseil, Défense, Énergies renouvelables, Logistique, Luxe, Nucléaire, Informatique, Santé, Transports.)Fruit du travail des Groupes Professionnels de la Soce, réalisé en partenariat avec la Junior-Entreprise AMJE Paris, cet observatoire réunit des données sur l’actualité économique et technologique, les perspectives de croissance et l'évolution des indicateurs généraux d’employabilité, accompagnés de points de vue d’ingénieurs des Arts et Métiers, experts dans leurs différents secteurs.Afin de rendre compte rapidement de l’attractivité des secteurs étudiés, les Groupes Professionnels ont créé un indice global d’attractivité se définissant comme suit :Secteur BTP - immobilier1. AttractivitéSi le secteur connaît des difficultés conjoncturelles liées au COVID ou à la guerre en Ukraine, l’impulsion donnée par le gouvernement pour verdir le bâtiment, développer de nouvelles infrastructures dans les énergies ou développer l’industrie permet d’être optimiste quant à son avenir.Les entreprises du BTP connaissent de profonds bouleversements organisationnels avec la transition numérique, qui sera source de nombreuses opportunités d’emplois. Le besoin d’ingénieurs étant croissant dans le secteur, les salaires et le nombre d’emplois suivront.Par ailleurs, la présence des groupes français Vinci, Bouygues et Eiffage dans le top 6 européen du BTP témoigne du rayonnement et du savoir-faire français dans le domaine de la construction.Au premier semestre de 2022, le secteur du BTP est classé à la 4e place sur le critère de l’attractivité parmi les 12 secteurs analysés.2. Le point de vue d’un acteur du secteurJean-Marie DOLO - Directeur technique et de l’innovation - Eiffage« De très belles perspectives se présentent pour les travaux publics en France et à l’international, notamment grâce aux projets comme le Grand Paris ou les nouveaux programmes nucléaires. Les industriels du BTP, comme la construction ou l’entretien des routes auront des difficultés de rentabilité à cause d’un volume d’affaires insuffisant. Le bâtiment est lui porté par la construction de logements et non plus par le tertiaire. La réglementation de la RE2020 incite à diminuer l’utilisation de béton et à s’orienter vers des matériaux plus chers et qui sont en difficulté d’approvisionnement, à cause d’une offre insuffisante.Le digital va révolutionner le secteur en faisant évoluer les manières de construire, vers un mode de fonctionnement plus coopératif et avec l’apparition de nouveaux métiers autour de la transition numérique. Le domaine est aujourd’hui à la pointe de la technologie et propose de beaux métiers d’avenir. Il n’y a plus aujourd’hui de parcours type pour réaliser une belle carrière dans le secteur.La hausse des prix à cause de la guerre en Ukraine ou les retards de dépôts de permis de construire n’auront qu’un effet passager. La nécessité de réindustrialiser la France, le rayonnement des majors français du BTP à l’international, ainsi que l’impossibilité de délocaliser les métiers du secteur permettent d’être confiant sur son avenir en France. »3. Le point de vue du Président du Groupe Professionnel BTP - ImmobilierJean-Yves GABON, Président du Groupes Professionnels 28 - Chef de service - Bouygues Construction« Le secteur du BTP est attractif et vaste, avec un fort besoin d’ingénieurs et de nombreuses possibilités.Le VIE (Volontariat International en Entreprise) est la voie royale pour démarrer une carrière dans le secteur, il permet d’évoluer rapidement et de découvrir de grands chantiers à l’étranger. Pour ceux qui souhaitent rester en France, le métier de la conduite de travaux est formateur et est une bonne école de management, spécialement sur les ouvrages importants. Le besoin d’ingénieurs dans ces métiers-là est stimulé par les grands projets nationaux comme les chantiers du Grand Paris, des Jeux Olympiques ou encore du canal Seine Nord Europe.Les grands groupes de BTP s’implantent de plus en plus sur le marché des énergies renouvelables, ce qui crée un besoin d’ingénieurs dans les domaines de l’éolien, du nucléaire ou encore de l’hydrogène. De même pour les ingénieurs matériaux qui travaillent dans la valorisation des déchets de chantiers.Le bilan carbone des chantiers étant un critère de plus en plus déterminant dans les appels d’offre, les entreprises du secteur recherchent des ingénieurs dans ce domaine qui est réellement un métier d’avenir. »
Il y a 2 ans et 135 jours

En forêt ou dans la construction, les hauts fonctionnaires formés sur le terrain à la transition écologique

Gestion des forêts ou construction de bâtiments bas carbone: l'Etat s'efforce de conclure la formation de ses hauts fonctionnaires à la transition écologique par une illustration concrète des enjeux environnementaux et des solutions. Une démarche saluée par les participants, mais à l'impact encore incertain.La forêt de Montmorency "est la seule d'Île-de-France à être classée en état de crise sanitaire", explique Michel Béal, directeur de l'agence Île-de-France Ouest de l'ONF.Depuis quelques années, les nombreux châtaigniers qui la constituent sont touchés par la maladie de l'encre, un parasite qui serait "moins virulent" si les températures ne s'étaient pas autant réchauffées, explique-t-il.D'où les coupes sur la parcelle, pour limiter la propagation de ce parasite. L'ONF compte aussi diversifier les espèces d'arbres pour mieux adapter la forêt aux effets du changement climatique.Le chêne ne représentera plus que 50 à 55% des essences que l'ONF compte replanter. "Avant, on aurait dit 80% de chêne", détaille Philippe Belchi, référent territorial de l'office.Quelques minutes plus tard, le groupe s'arrête devant un amas de bois coupé. Le but est cette fois d'illustrer une autre priorité de l'ONF: la valorisation de la filière bois."En France, il y a plus de 400.000 emplois dans la filière forêt-bois, des emplois dans les territoires ruraux", insiste Olivier Rousset, directeur général adjoint de l'ONF.Au bout de deux heures en forêt, trois membres du groupe retrouvent les quais baignés de soleil de la gare de Saint-Leu-la-Forêt - les autres sont repartis en voiture.25.000 hauts fonctionnairesL'ambition de l'Etat est de former à la transition écologique l'ensemble de ses 25.000 hauts fonctionnaires d'ici à 2024, puis les 5,7 millions d'agents publics d'ici à 2027. Le gouvernement s'attend ensuite à ce que les cadres du secteur public élaborent des plans d'action en matière de transition écologique.Venus de Bercy, du ministère de la Culture ou encore de l'Académie de Poitiers, tous s'accordent à juger intéressantes la matinée en forêt et, plus généralement, la formation proposée.Grâce à ce module pratique, doublé d'ateliers de groupe et de conférences, "on sent que (les enjeux environnementaux) infusent" dans les sphères dirigeantes de l'Etat, avance une directrice d'administration du ministère de l'Economie.Une prise de conscience déjà opérée cet été au ministère de la Culture. Avec une température de "60 degrés" mesurée dans les bâtiments vitrés de la Bibliothèque nationale de France, la canicule a eu des effets physiquement palpables, relève un responsable de la Direction du Livre.Reste à voir comment les hauts fonctionnaires partageront à leurs équipes les connaissances acquises au cours de la formation et quel impact celle-ci aura sur l'action publique.Comme le confesse un haut fonctionnaire du ministère des Armées à la sortie d'un module de sensibilisation à la construction de bâtiments bas carbone, "c'est un peu éloigné" des thématiques qui l'occupent au quotidien.Le rôle des pouvoirs publics sera pourtant crucial pour répondre aux défis du changement climatique, rappelle Guillaume Carlier à une trentaine de hauts fonctionnaires réunis lundi pour ce module dans une tour du quartier Montparnasse à Paris."D'ici 2050, on doit diviser par cinq" l'empreinte carbone moyenne de chaque Français, souligne devant eux le directeur de la stratégie Climat Ressources de Bouygues Immobilier, une entreprise membre de l'Association pour le Développement du Bâtiment Bas Carbone (BBCA)."La part individuelle (de cet effort) est évaluée à 25% et la part de l'Etat et des entreprises à 75%", insiste-t-il.
Il y a 2 ans et 136 jours

Dassault Systèmes et Bouygues Construction renforcent leur engagement à réinventer le secteur de la construction

Bouygues Construction a choisi la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud de Dassault Systèmes pour mener sa transformation métier et accroître la productivité de ses projets de construction. Cette deuxième phase succède aux phases initiales de numérisation et d'automatisation des processus de Bouygues Construction.Les citoyens attendent de nouvelles approches en matière d'urbanisation et une plus grande attention à la durabilité. Or, le secteur de la construction doit faire face à des problématiques de productivité, tant en raison de la complexité des projets que de la fragmentation des métiers. La transformation numérique permet de soutenir une économie à la fois plus durable et circulaire, en partageant les connaissances et savoir-faire dans toute la chaîne de valeur, et en donnant naissance à de nouveaux modèles économiques.Avec la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud, Bouygues Construction peut adopter une approche systémique de la gestion des projets qui intègre des expériences de jumelage numérique d'un bout à l'autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer de documents où les différents métiers interviennent de façon indépendante, à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs.Cet environnement intégré, inclusif et collaboratif qui utilise une source unique de données exploitables permettra de rationaliser le processus décisionnel entre les différents intervenants - de la direction générale à l'opérateur de terrain - à chaque étape d'un projet. Cela permettra à Bouygues Construction d'augmenter encore la sécurité de ses collaborateurs et partenaires. Cela permettra aussi au groupe de réduire son volume de déchets et d'améliorer la qualité produit de la conception à la construction, en définissant des composants d'assemblage modulaires intégrés dans des lignes de produits telles que les maisons de retraite ou des résidences étudiantes. Cette modularité permettra de faire face à la complexité des projets futurs, tout en répondant à des besoins croissants de personnalisation et de durabilité, et en s'adaptant aux évolutions du marché.« Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d'usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur. » déclare Philippe Bonnave, président directeur général de Bouygues Construction. « Nous sommes donc à la recherche d'une transformation plus forte qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l'entreprise : une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. »« L'utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et - grâce au cloud et à la mobilité - abordable. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d'innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? » déclare Bernard Charlès, Vice-Président du Conseil d'Administration et Directeur général de Dassault Systèmes. « Cette approche révolutionnaire, basée sur la plateforme 3DEXPERIENCE, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d'allier nos leaderships et nos expertises respectifs, ainsi que d'amorcer une nouvelle dynamique dans l'écosystème du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 2 ans et 139 jours

MAF ATLANTIQUE met son expertise en portes et cloisons résistantes au feu, au service du chantier ISSY CŒUR DE VILLE

Issy cœur de ville, c’est un projet d’éco-quartier initié en 2016 par la ville d’Issy Les Moulineaux (92) dont la livraison a débuté en juin dernier. 17 270 m2 de commerces et services, 40 900 m2 de bureaux… un chantier gigantesque confié au promoteur Altaréa avec le cabinet d’architecture Valode & Pistre. En entreprise générale : Bouygues Construction. À l’ouvrage et mandatée par Bouygues Construction, pour les portes automatiques et les portes et parois vitrées anti incendie, dans les parties Bureaux et Infra/Mail/Commerces : l’entreprise RECORD. Celle-ci choisit d’emblée de s’associer à MAF ATLANTIQUE pour lui confier la conception et la fabrication des ouvrages résistants au feu dont il est spécialiste. Résultat : 450 m2 de surfaces vitrées fabriquées sur mesure pour ce projet d’envergure. Rdc IMC : menuiserie vitrée acier EI60 B1- Hall : cloison acier vitrée EI60 + Porte 1 vantail RdC B1 : Paroi monumentale bord à bord EI60 + partie ouvrante 2 vantaux vitrés acier E30. Lorsqu’il est contacté par Record en 2019 pour concevoir et fabriquer différents ouvrages feu de deux super-entités du projet Issy Cœur de Ville, MAF Atlantique accepte de relever le défi. Il s’agit certes d’un très grand chantier auquel la PME guérandaise peut répondre. Mais, c’est surtout l’occasion pour son DG Guillaume Leborgne, et ses équipes, de s’attaquer à un superbe défi technique d’ouvrages feu complexes et sur-mesure.   Record, n’étant pas spécialiste des normes anti incendie et ne possédant pas les PV et certifications feu, a spontanément choisi d’associer MAF Atlantique au projet. Il lui propose d’être son partenaire pour la conception et la fabrication des ouvrages feu, il se charge de l’installation. À la clé : 450 m2 de surfaces vitrées résistantes au feu incluant portes battantes et cloisons vitrées conçues et fabriquées sur mesure par MAF Atlantique, en partenariat avec Record.  » Nous ne pouvions répondre à cet appel d’offre sans s’appuyer sur un fabricant partenaire spécialisé dans les normes anti-incendie comme MAF Atlantique, avec qui nous avions déjà travaillé. Ce projet s’est d ’ailleurs mené en toute transparence et en bonne intelligence entre nos deux entreprises et Bouygues Construction, » déclare François-Xavier Vlin, directeur régional de Record. Au total MAF Atlantique a fourni 36 unités de portes battantes E et EI avec acoustique.Également, différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier pour parois bord à bord, toutes installées en intérieur (rez-de-chaussée, niveaux et sous-sols) par Record. Elles équipent, pour la majorité, la super-entité BUREAUX du chantier qui regroupe 3 ensembles de bureaux (répartis dans 3 bâtiments B1, B2, B3). Elles équipent également, dans la super entité INFRA/MAIL/COMMERCES, au niveau des ERP, la salle polyvalente, les parkings, les sas, les paliers, les escaliers et les locaux techniques. Pour Guillaume Leborgne, directeur de MAF Atlantique,    » Ce partenariat avec Record prouve que la mutualisation des compétences et la complémentarité des savoir-faire deviennent une vraie force, le projet étant davantage motivant lorsqu’il est partagé et qui plus est lorsque le suivi de chantier se passe bien et en confiance avec les partenaires. Il démontre aussi que notre PME est reconnue pour sa spécificité dans la protection incendie, mais aussi pour sa capacité à être force de proposition et à concevoir des ouvrages sur mesure, pour des chantiers d’envergure. «  La construction vitrée architecturale résistante feu : la spécialité de MAF Atlantique Les ouvrages résistant au feu, exigés dans le cahier des charges, devaient s’adapter aux contraintes techniques des matériaux, des emplacements et des volumes à équiper, mais aussi aux souhaits d’esthétisme voulus par les architectes. Les bureaux d’étude de MAF Atlantique, Record et Bouygues ont travaillé de concert et en bonne entente, pour définir les spécificités techniques et les adaptations des ouvrages à concevoir. Afin d’être en harmonie avec les valeurs et l’esthétisme du projet souhaité par l’architecte, MAF Atlantique a proposé une menuiserie en acier JANISOL© C4 (pour sa pérennité), un remplissage en simple vitrage ou double pour le hall principal, avec finition thermolaquage teinte RAL, condition intérieur. Pour assurer la tenue des portes lors de la pose par Record, MAF Atlantique a adapté des impostes spécifiques. En fonction des exigences des lieux, les portes et cloisons intérieures sont toutes normées E (Pare flamme) ou EI (coupe-feu) associées à leur performance en minutes de 30 ou 60 pour l’étanchéité au feu (E) ou l’isolation thermique (I). Les châssis des cloisons sont fixes et montés, selon le besoin, en bord à bord. Les portes sont en 1 vantail ou 2 vantaux.  » MAF est allé au-delà du simple schéma technique en proposant différents échantillons pour la teinte des miroiteries, les poignées et paumelles, pour répondre aux exigences esthétiques des architectes notamment sur la couleur des vitres intérieures selon l’exposition au soleil. En plus de leur réactivité, nous avons aussi apprécié leur efficacité logistique dans des lieux fréquentés et peu accessibles, pour la livraison d’ouvrages complexes. » poursuit François-Xavier Vlin. B2 : Cloison vitrée 2 vantaux de 2,83 m x 3 m de hauteur. RdC B1 : Paroi monumentale EI60 de 34,58 m de long x 2,9 m de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1,8 m x 2,4 m. Trois exemples d’ouvrages techniques réalisés par MAF Atlantique : Au rez-de chaussée du bâtiment 1, l’installation d’une paroi monumentale de 34,58 m de long x 2,90 m de haut, composée de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord. Adjointe, une partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mm. Dans le bâtiment 2, une cloison de 2,83 m x 3 m de haut, composé de menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 et une porte EI260 à 2 vantaux de 1 800 x 2 400mm. A l’étage du bâtiment 1, une paroi de 8,36 m x 2, 7 m en menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 + une partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mm. Ouvrages MAF Atlantique / Issy Coeur DE VILLESUPER ENTITÉ BUREAUXINFRA/MAIL/COMMERCE (IMC)B1 – RDC – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 5 720 x 2 900 mm + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E3 –1 800 x 2 400 mm – Différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord dont une paroi monumentale de 34 580 de long x 2 900 mm de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mmRDC : – Porte acier vitrée E30 2 vantaux  B1- Hall : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 2 000 x 1 500 mm en double vitrageIMC : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 3 400 x 1 200 mm  B1- R+1 : – Paroi menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 de8 360 x 2 700 mm + partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mmParking sous-sol 2 : – 2 Portes acier vitrées E30 2 vantaux + 1 porte à 1 vantail – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 3 500 x 1400 mm  B2 – RDC : – Cloison de 2 830 x 3 000 mm de hauteur en menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 + Porte EI260 2 vantaux – 1800 x 2400mmEscalier Monumental accès Bâtiment 1 : – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord de 4 860 de long x 2 700 mm de haut.  B3 – 6 Portes acier vitrées E30, 1 vantail avec serrure électrique– 1 100 x 2 650 mmSalle Polyvalente : – Ensemble EI60 composé d’une porte 2 vantaux avec châssis fixes latéraux – 5 900 x 2 500 mm À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. MAF Atlantique en chiffres Créée en 2004 3 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021 Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Pour en savoir plus : MAF Atlantique – contact presse : Agence Com4 – scruz@com-4.fr – 02 40 73 50 51
Il y a 2 ans et 139 jours

A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier

Le chantier de la nouvelle cité administrative de Lille (Nord) bat son plein pour les équipes menées par Valode & Pistres architectes, Coldefy & Associés (CAAU) et Bouygues Bâtiments Nord-Est (mandataire du MGP). Ce chantier est hors norme puisqu’il se revendique comme l’opération civile la plus importante de l’Etat en 2022. Il se déroule sur […] L’article A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 179 jours

A Lagord, Bouygues Immobilier livre Alma Terra, la première résidence du quartier bas carbone Atlantech

Un environnement unique en FranceAvec Alma Terra, Bouygues Immobilier livre la toute première résidence située au cœur du pôle ATLANTECH, le premier quartier bas carbone français, créé à l’initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle.Unique en Europe, ATLANTECH se veut précurseur dans les domaines du développement durable, de la mobilité douce et de l’écoconstruction. A la fois quartier d’habitation et espace d’activité dédié à la transition énergétique, ATLANTECH est conçu comme un territoire d’innovation en matière d’écologie, au service de l’habitat de demain.Insérée au cœur de cette environnement, Alma Terra comprend 1000 m2 de jardins potagers partagers, des composteurs collectifs, des récupérateurs d’eaux pluviales, et dispose également de panneaux photovoltaïques en toiture sur 135 m2, facilitant et incitant ainsi la mise en place de comportements vertueux au sein de la résidence.Une sobriété énergétique labelliséeNichés dans un îlot de végétation les appartements de la résidence viennent de se voir décerner la plus haute performance du label E+C-. Initié par le Ministère chargé de l’Environnement, ce label évalue la performance énergétique et environnementale des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie.La résidence Alma Terra a obtenu le niveau E3C2, soit la plus haute performance du label. Une labellisation qui garantit une limitation de l’empreinte carbone pour la construction et le fonctionnement, un confort thermique optimum été comme hiver et une diminution des coûts énergétiques du logement. Murs en ossature bois aux derniers étages, façades végétalisées au rez-de-chaussée, isolation thermique, chaufferie bois collective et panneaux photovoltaïques sont autant d’éléments garantissant de réelles performances énergétiques sans négliger pour autant la qualité de vie. Lors de la construction d’Alma Terra, Bouygues Immobilier a également collaboré avec le réseau Biotop en matière de gestion et de valorisation des déchets. Biotop a accompagné Bouygues Immobilier pendant toute la durée du chantier. L’objectif ? Identifier et mettre en œuvre des solutions de gestion des déchets en lien avec la stratégie de développement durable et d’économie circulaire de Bouygues Immobilier. Pendant ses 15 mois d’intervention, Biotop a collecté près de 6,5 tonnes de déchets recyclables. Ainsi, près de 5.000 tonnes d’équivalent CO2 ont pu être évitées.Présenté dans le cadre des prix décernés par la fédération des promoteurs immobiliers de France (FPI), le projet Alma Terra avait reçu en 2020 la Pyramide d’Argent du bâtiment bas carbone.
Il y a 2 ans et 193 jours

Retour sur le succès du SIBCA 2022

Le SIBCA a été le lieu de rencontres d’affaires, de démonstrations de savoir-faire pour concevoir, construire et rénover bas carbone les bâtiments, les quartiers, les villes et les grands projets urbains de demain. C’est au Grand Palais Éphémère – Paris, sous le Haut Patronage d’Emmanuel Macron, Président de la République, que la toute première édition du SIBCA, 1er salon de l’Immobilier bas carbone a eu lieu. Co-organisée par l’association BBCA et France Conventions, le salon s’est déroulé du jeudi 22 au samedi 24 septembre 2022.                 SIBCA 2022 EN QUELQUES CHIFFRES: 6575 participants au lieu de 3500 participants attendus 120 exposants 112 speakers 60 grands débats et conférences 108 journalistes présents 600 étudiants présents pour la journée dédiée au recrutement 20 partenaires écoles et associations Férielle Deriche, Directrice du Sibca à déclaré « Nous sommes très fiers du succès de cette première édition qui a pleinement répondu aux attentes des professionnels de l’Immobilier. Sélectionnées sur dossier, les meilleures solutions en matière de bas carbone étaient au rendez-vous. Les visiteurs et exposants ont ainsi pu échanger autour de réalisations exemplaires et ont participé activement aux nombreuses annonces et appels à projets »   Les thématiques engagées durant cette éditions 2022 sont « Concevoir, construire, rénover bas carbone » Le défi de la nouvelle réglementation RE2020 et la neutralité carbone 2050, la maîtrise du bilan carbone devient la priorité et l’affaire de tous les intervenants du secteur immobilier urbanisme, aménagement des territoires, énergie Bas Carbone, stockage carbone… sont les nouvelles thématiques qui révolutionnent la ville et les bâtiments. DES ENGAGEMENTS POUR L’AVENIR – GA Smart Building a dévoilé en avant-première sa nouvelle marque de logements bas carbone construits hors-site : Rooj by GA. – La Métropole Aix-Marseille-Provence et l’EPA Euro méditerranée se sont engagés, avec la Caisse des Dépôts et Consignations, à bâtir une ville méditerranéenne durable via la signature de la Convention « France 2030 ».   – La signature du partenariat entre Bouygues Bâtiment France x Linkcity x l’Institut technologique FCBA (Forêt Cellulose Bois Ameublement), acteur incontournable de la filière forêt-bois pour accélérer le développement de la construction bois en France en s’appuyant sur un partage de connaissances techniques et de retours d’expériences, participer à des appels à projets innovants, et anticiper les évolutions normatives et réglementaires (ex : incendie). – La signature du Contrat cadre entre Bouygues Immobilier et Algo Paint pour poursuivre la mise en œuvre de solutions décarbonées comme leur peinture écologique à base d’algues (gamme Algo). – Quartus et l’IFPEB ont officialisé l’adhésion du groupe Quartus au Booster du Réemploi ! – Appel à candidature la Ville de Demain pour rejoindre l’écosystème Station F. – Lancement du mouvement Unisson(s) pour rassembler tous les métiers de l’architecture décarbonée revisitant le rapport à la Nature et aux besoins de chacun, dans la lignée du New European Bahaus. REMISE DES TROPHEES BBCA ET LANCEMENTS DE NOUVEAUX LABELS L’Association BBCA a dévoilé les Trophées BBCA 2022 qui mettent en lumière les maîtres d’ouvrage, territoires et opérations immobilières exemplaires en matière de bas carbone. 450 opérations pour 3 millions de m2 – 67 opérations immobilières labellisées – le palmarès BBCA 2022 des maîtres d’ouvrage et territoires récompensés pour leur performance bas carbone – deux nouveaux labels lancés BBCA Quartier et BBCA Exploitation – un label BBCA Commerces pour 2023. LA «JOURNEE TALENTS» CONSACREE AU RECRUTEMENT Le samedi 24 septembre a été dédié au recrutement et à la formation, cette journée a réuni plus de 600 étudiants et une vingtaine de grandes écoles de commerce, d’architecture, d’urbanisme et d’ingénieurs. Au cours des présentations métier, les exposants ont pu échanger de façon concrète avec les étudiants présents auxquels ils ont pu présenter les opportunités d’emploi dans leur structure. Pour plus d’informations n’hésitez pas à cliquer sur les liens de renvoie ci-dessous : – Retrouvez l’intégralité du programme des grands débats et conférences du Sibca – Revivez l’évènement en vidéo
Il y a 2 ans et 202 jours

Philippe Jouy, directeur général adjoint de Bouygues Construction

Philippe Jouy est le nouveau DG adjoint de Bouygues Construction, en charge de Bouygues Bâtiment. [©Bouygues Construction] Nommé directeur général adjoint de Bouygues Construction, Philippe Jouy est en charge de Bouygues Bâtiment France. Il était précédemment à la tête de la zone Asie de Bouygues Bâtiment International, après avoir été président, de 2015 à 2021, de Bouygues Bâtiment Nord-Est. Il a rejoint le groupe Bouygues en 1993 dans des fonctions financières, après un début de carrière aux Etats-Unis en tant qu’ingénieur environnement. « La singularité de notre modèle associant entreprise générale et développement immobilier, l’engagement et les expertises des équipes, ainsi que l’ancrage local de Bouygues Bâtiment France sont nos meilleurs atouts. Ils nous donnent les moyens de renforcer notre position de partenaire de préférence des territoires, en les accompagnant sur des projets catalysant dynamique locale et transition environnementale » a déclaré Philippe Jouy. Ce dernier est diplômé de l’ESTP, d’un Master of Science de l’université de Birmingham et d’un MBA de la London Business.
Il y a 2 ans et 207 jours

Philippe Jouy prend la tête de Bouygues Bâtiment France

CARNET-NOMINATION. Le nouveau directeur général adjoint de Bouygues Construction est chargé de Bouygues Bâtiment France, une filiales aux nombreuses entités.
Il y a 2 ans et 216 jours

Bouygues Construction et Linkcity signent un partenariat avec FCBA

À l’occasion de la première édition du SIBCA, le salon de l’Immobilier Bas Carbone, la filiale bâtiment de Bouygues Construction en France et Linkcity, sa filiale de développement immobilier, ont signé un partenariat avec l’Institut technologique FCBA. Elles entendent ainsi renforcer leur engagement en faveur de la construction bois, en s’appuyant sur un partage de connaissances techniques et de retours d’expériences. Cet accord va en outre permettre aux partenaires de participer à des appels à projets innovants et d’anticiper les évolutions normatives et réglementaires. Ce contrat est signé pour 3 ans à compter du 22 septembre 2022. Bouygues Construction et Linkcity deviennent ainsi les premiers constructeur et promoteur partenaires de FCBA.
Il y a 2 ans et 219 jours

Bouygues Construction veut incuber les entreprises du réemploi

Bouygues Bâtiment France, filiale de Bouygues Construction, veut ouvrir des « centres techniques » destinés aux fournisseurs français de...-Immobilier
Il y a 2 ans et 219 jours

Bouygues Construction veut incuber les entreprises du réemploi

Bouygues Bâtiment France Europe, filiale de Bouygues Construction, veut ouvrir des « centres techniques » destinés aux fournisseurs français de...
Il y a 2 ans et 243 jours

La famille Bouygues dépasse le seuil des 25% du capital de Bouygues

Martin Bouygues, président du conseil d'administration du groupe, son frère Olivier et leurs familles détiennent désormais "25,02% du capital et 29,37% des droits de vote" du groupe, indique l'Autorité des marchés financiers (AMF)."Ce franchissement de seuil résulte d'une acquisition d'actions Bouygues sur le marché", précise l'AMF.Ces parts dans le groupe sont détenus par les deux frères et leurs familles en quasi totalité via leur société commune SCDM, qui a réalisé cette acquisition "en utilisant ses ressources financières disponibles".Selon la déclaration à l'AMF, les familles Bouygues "agissent de concert entre elles et n'ont pas conclu d'accord de concert avec un tiers". Elles indiquent aussi envisager "d'accroître leur participation dans la société Bouygues en fonction des conditions et des opportunités de marché, sans que cela ne leur fasse franchir 30% du capital ou des droits de vote".La réglementation boursière oblige un actionnaire qui dépasse le seuil de 30% d'une entreprise à lancer une OPA (offre publique d'achat).Les familles Bouygues "n'envisagent pas de prendre le contrôle de la société Bouygues", "n'envisagent pas de solliciter de sièges supplémentaires au conseil d'administration" et affirment qu'elles "soutiennent la stratégie actuelle mise en oeuvre par la direction générale de Bouygues".Celle-ci a été confiée en février 2021, à Olivier Roussat, lorsque Martin Bouygues a commencé à passer la main à la tête en dissociant ses fonctions de président et de directeur général.Le groupe français est actuellement engagé dans deux grandes et couteuses opérations de fusion-acquisition.Bouygues tente d'acquérir Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et de mener à bien le rapprochement entre sa chaîne TF1 et M6.Le bouclage du rachat d'Equans, qui regroupe des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la climatisation ou le numérique, est toutefois contestée par l'autorité de la concurrence britannique CMA.Bouygues, qui a conclu la séance de mercredi à la Bourse de Paris en baisse de 1,23%, est valorisé à 11,6 milliards d'euros sur la place parisienne.
Il y a 2 ans et 262 jours

JO-2024 : une passerelle pour relier la piscine olympique au Stade de France

"C'est le symbole des Jeux olympiques et paralympiques qui approchent", se réjouit Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, à une cinquantaine de mètres du tronçon de la passerelle, en passe d'être déplacé."Au delà du symbole, cette passerelle va être un lien qui va permettre de recoudre un peu plus deux morceaux de Saint-Denis qui ne pouvaient pas cohabiter", ajoute le président de Plaine commune, évoquant le noeud routier séparant le quartier La Plaine et le futur quartier de la ZAC Plaine Saulnier dont le développement est prévu après les JO-2024. Assemblée à côté du futur centre aquatique, la passerelle a été déplacée et pivotée dans la matinée pour être placée dans l'axe de son emplacement final, perpendiculaire à l'A1, qu'elle surplombera.A midi, l'imposante structure reposait sur des remorques modulaires autopropulsées, engins adaptés au transport de structures massives, ont constaté des journalistes de l'AFP.Les ouvriers s'activaient pour s'assurer de la répartition de la charge de l'ouvrage avant le début de la translation."La structure fait 70 mètres de long, 20 mètres de large et 900 tonnes. Il faut que tout soit parfait", commente Bruno Menez, chargé de la communication chantiers chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France, responsable de l'ouvrage. Le déplacement du tronçon sur 70 mètres s'effectuera sur plusieurs heures mardi après-midi."Ce n'est pas une course de vitesse mais de précision", note un des ingénieurs sur place.Après le déplacement, "il faut assurer les finitions de l'ouvrage", explique Jean-Michel Genestier, maire DVD du Raincy et conseiller métropolitain délégué à la logistique urbaine.La passerelle sera ouverte au public à l'été 2023, un an avant les JO-2024."On estime que 15% des spectateurs qui viennent sur le Stade de France ou le centre aquatique pendant les JO viendront par le Grand Paris Express (en construction, NDLR) et passeront par cette passerelle", détaille Mathieu Hanotin, évaluant le flux à 20.000 personnes par jour.Après les JO, la passerelle sera végétalisée et réduite à 12 mètres de large.L'ouvrage a engendré la fermeture exceptionnelle pendant 54 heures d'un tronçon de l'autoroute A1, qui rouvrira jeudi à 4H00 du matin.
Il y a 2 ans et 268 jours

Centre commercial GINKO 2, un projet hors norme sur Bordeaux

Dessiné et conçu par le cabinet international L35 Architecture, ce projet hors norme a fait l’objet d’un traitement particulier par l’entreprise COVERIS, spécialiste dans la fabrication et la mise en œuvre de solutions à hautes valeurs techniques et architecturales. Le savoir-faire de l’entreprise s’est particulièrement concentré sur la réalisation des façades mur rideau vitrées, notamment sur les espaces commerciaux et de restauration des lots P7, P5, P4 et P3. Comme le souligne Damien ROMANI, directeur commercial et développement chez Coveris, « l’objectif était d’avoir une façade lisse, proche de l’aspect VEC, en intégrant différentes contraintes et notamment le calcul des verres bombés qui se situent sur un des îlots tout en ayant une économie de projet qui permettait d’y répondre favorablement ».Des façades aux vitrages bombés et clamés de grande dimensionAfin d’obtenir une façade vitrée lisse de type VEC, le choix s’est orienté vers le système CW60 SC à vitrage clamé qui offre l’avantage d’une structure porteuse à la vue d’aluminium réduite de 60mm de largeur. « L’utilisation du système à vitrage à clamer permet de s’adapter parfaitement à l’esthétique recherchée d’une façade lisse. Cette solution reste une solution intermédiaire intéressante entre la façade mur rideau à serrage et la façade VEC » précise Damien ROMANI. Le caractère hors norme du projet se traduit notamment par la mise en œuvre de vitrages de 5m de haut allant jusqu’à 1,8m de large, ayant un poids unitaire de 440kg. L’exigence de performance thermique élevée a trouvé sa réponse par l’intégration de triples virages, à l’image de la zone de restauration du lot P4. Comme précisé par le responsable technique « une attention particulière a été portée sur les aspects environnementaux du projet, ce qui a donné lieu à l’obtention d’une certification BREEAM pour les commerces.Le caractère singulier du projet provient également des vitrages des murs rideaux qui ont nécessité une étude approfondie. Le principe mis en œuvre est un patchwork de 2 à 3 couches de sérigraphie en bande filante verticale sur chaque vitrage, avec des zones de positionnement qui se chevauchent et d’autres ouvertes procurant ainsi, côté extérieur, une véritable sensation de volume et de profondeur aux façades des bâtiments. Des adaptations spécifiques pour le traitement des façades mur rideauDestiné à recevoir un large éventail de marques commerciales, les façades mur rideau des différents lots ont fait l’objet d’adaptations spécifiques et notamment l’intégration dans la structure porteuse de points d’ancrage pour la mise en œuvre de la signalétique de chaque enseigne. Afin de conserver la cohérence architecturale de l’aspect lisse et continue de la façade CW60 SC, des pièces de fixation ont été conçues, garantissant ainsi la parfaite résistance des garde-corps situés sur le rooftop du bâtiment P7.L’aboutissement d’un travail conjointLa solution technique de la façade mur rideau CW60 SC utilisée sur le projet Ginko 2 est issue de la collaboration entre Reynaers Aluminium et l’entreprise Coveris. Comme le souligne Damien ROMANI « le système technique existait dans la gamme des solutions proposées par le groupe Reynaers, mais demandait des adaptations afin de répondre aux réglementations et aux exigences du marché Français ». Le traitement des façades avec le mur rideau à clamer est le résultat d’une collaboration qui s’est exprimée sur de précédentes opérations qui ont donné lieu à plusieurs ATEX. « On a fait valoir ces expériences communes en s’appuyant sur les justifications des ATEX précédentes. Cette réalisation est une forme de capitalisation sur les développements que nous avons faits ensemble sur la base du système CW60 SC » précise le responsable technique du projet Ginko 2.Informations ProjetsCalendrier du projet :2017-2018 : études techniques façades2019-2020 : fabrication et pose des façades2020-2021 : livraison Intervenants :Maître d’ouvrage : Bouygues ImmobilierAgence d’architecture : cabinet L35 Architecture (Paris)Maîtrise d’oeuvre d’exécution : EGIS Bâtiment Sud OuestAMO certification : ELAN Bureau d’études structure : BET Le Joncour et SSOEntreprise de menuiseries : société COVERISSolutions techniques utilisées :Façade mur rideau à clamer CW60 SC Pièces de fixation spécifiquesRAL 9007
Il y a 2 ans et 271 jours

Equans, TF1-M6 : Bouygues maintient le cap sur ses opérations de fusion-acquisition malgré leurs coûts

Bouygues a annoncé pour le 1er semestre un résultat d'exploitation courant en amélioration de 21 millions d'euros par rapport au 1er semestre, à 492 millions d'euros, mais un résultat net part du groupe de 147 millions d'euros, divisé par trois par rapport à celui de début 2021.Celui-ci intègre une charge exceptionnelle de 44 millions d'euros comprenant surtout des frais d'avocats et d'économistes liés aux deux grosses opérations structurantes dans lesquelles il est engagé : l'acquisition d'Equans auprès du groupe Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952, et le rapprochement entre TF1 et M6.La fusion-acquisition "c'est un sport de riche" a commenté le directeur général Olivier Roussat en annonçant lors d'un entretien téléphonique que le second semestre comportera encore "45 millions d'euros" de coûts exceptionnels : un tiers pour le dossier TF1-M6, et deux-tiers pour l'opération Equans. Le 19 juillet, Bouygues a obtenu le feu vert de la commission européenne pour le rachat d'Equans pour 7,1 milliards d'euros, sous réserve de la cession d'une filiale Colas Rail Belgium qui risquait de détenir une position dominante en Belgique.Mais le même jour, au Royaume-Uni, l'autorité de concurrence britannique CMA a considéré que l'opération était susceptible de conduire à un affaiblissement de la concurrence sur un appel d'offres en cours pour une ligne à grand vitesse en construction.Le groupe a déposé le 26 juillet des propositions de remèdes "sur lesquelles la CMA devrait statuer très prochainement" a indiqué Bouygues. Le bouclage du rachat d'Equans, regroupant des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, annoncé le 12 mai, reste toujours attendu au 2e semestre 2022, a indiqué Bouygues, se disant "assez serein" sur ce calendrier projeté.Logement : demande de mesures incitativesPour ce qui est de la fusion envisagée entre TF1 et M6, le groupe espère convaincre le collège de l'autorité de la concurrence les 5 et 6 septembre de revenir sur les réserves émises par ses propres services d'instruction considérant que l'opération soulève des problèmes de concurrence significatifs sur le marché de la publicité."On a un certain nombre d'arguments à faire valoir" notamment pour demander que les marchés pertinents à prendre en compte pour jauger de la concurrence ne se cantonnent pas aux seules télévisions, mais intègrent aussi les plateformes "où la publicité est en train de naître", a dit M. Roussat."Netflix a annoncé qu'il mettait de la pub dans son offre, cela n'existait pas il y a encore un an" a-t-il fait valoir, citant aussi Amazon qui a diffusé des matches importants de Roland Garros. "Le monde a changé" a-t-il dit.Globalement pour l'ensemble de 2022, le groupe a confirmé ses ambitions : il attend une "nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant", ainsi que la validation par le Science Based Target Initiative (SBTI) de ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Il a relevé ses objectifs financiers pour sa filiale telecoms, qui a lancé des partenariats stratégiques avec Ericsson ou Nokia concernant des réseaux d'entreprise 5G.Au 1er semestre, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires total de 18,5 milliards d'euros, en hausse de 6% par rapport à 2021.L'activité de construction, tirée par Colas et l'international, a vu ses ventes progresser de 7% à 13,7 milliards d'euros, malgré un recul de 11% de Bouygues immobilier. Le chiffre d'affaires de TF1 a progressé de 5% à 1,18 milliard d'euros, ainsi que celui de Bouygues Telecom, à 3,63 milliards d'euros.Bouygues souligne que le marché de la construction de logements résidentiel est "sous-offreur en France". "Globalement, il faudrait faire 500.000 logements, et on en fait un peu moins de 300.000, il y a un besoin assez important" a commenté le groupe qui demande des "mesures incitatives" notamment pour transformer des bureaux en logements.Peu avant 12H00, le titre Bouygues, qui a perdu 7% depuis le 1er janvier, progressait de 0,65% à la bourse de Paris, à 29,47 euros.
Il y a 2 ans et 292 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 297 jours

Marseille: trois Français et un Italien pressentis pour réhabiliter cinq groupes scolaires GEEP

Fayat Bâtiment, GCC, Bouygues Bâtiment et l’Italien Impresa Percassi seraient les lauréats du marché global de performance lancé en avril 2021 par la Ville de Marseille pour réhabiliter cinq groupes scolaires de type GEEP dans les quartiers nord de la ville. Les premiers coups de pioche sont prévus au printemps prochain.
Il y a 2 ans et 299 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 300 jours

SIBCA : le salon de l’immobilier bas carbone

Les leaders de la construction et l’immobilier se réuniront au Sibca : le premier salon de l’immobilier bas carbone du 22 au 24 septembre 2022 au Grand Palais Éphémère de Paris. Les acteurs de l’immobilier et du bâtiment bas carbone se réuniront pendant 3 jours pour explorer et présenter les solutions bas carbones existantes pour concevoir, construire et rénover les grands projets urbains et les bâtiments de demain. Bati-Journal et Planète Bâtiment sont partenaires de l’événement. Le Salon de l’Immobilier Bas Carbone, c’est :  – la présentation des innovations, des projets, des solutions techniques et des opérateurs exclusivement Bas Carbone. – La rencontre et les échanges concrets entre tous les professionnels engagés dans l’immobilier et le bâtiment Bas Carbone (maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, industriels, collectivités, aménageurs, investisseurs, foncières, promoteurs, équipementiers, industriels, réemploi, recyclage…) réunis autour des démonstrations de savoir-faire, présentations de réalisations exemplaires, conférences, rendez-vous d’affaires, dîner de gala. – La mise en lumière de l’excellence Bas Carbone et des remises de prix : Palmarès des Maître d’ouvrage Bas Carbone, Territoires Bas Carbone, lauréats label BBCA.
Il y a 2 ans et 325 jours

Plus de 1500 pompes à chaleur sur boucle d’eau dans un bâtiment à Issy-les-Moulineaux

La pompe à chaleur sur boucle d’eau est une solution peu connue, mais vertueuse en tertiaire neuf et en rénovation. Bouygues Immobilier l’apprécie et l’a retenue pour le bâtiment de Canal+.
Il y a 2 ans et 326 jours

INTAIRIEUR, le label pour la Qualité de l’Air Intérieur s’étend aux bâtiments tertiaires

INTAIRIEUR® : Un nouveau référentiel à destination des bâtiments tertiairesD’abord réservé aux logements collectifs neufs et maisons individuelles neuves en bandes, INTAIRIEUR®, étendait en mai 2021, le champ de son référentiel aux maisons individuelles diffuses, permettant ainsi aux futurs acheteurs de connaître la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) du bien qu’ils acquièrent et aux acteurs de l’immobilier neuf de valoriser leur engagement en matière environnementale et de santé publique.En cette année 2022, l’outil évolue pour permettre de valoriser la QAI des bâtiments réservés aux activités du tertiaire. Destinés à recevoir du public (bureaux, établissements de petite enfance, enseignement, hôtellerie, centres médico-sociaux) ces immeubles sont soumis à des normes strictes en matières de sécurité et d’environnement.Avec le label INTAIRIEUR®, les constructeurs, promoteurs du secteur peuvent désormais offrir à l’acquéreur professionnel le gage supplémentaire d’une démarche responsable et de qualité innovante de leur construction.La QAI résulte d’un équilibre fragile entres différents facteurs, qu’il s’agisse du choix des matériaux, des équipements, du mobilier, des conditions d’aérations, des systèmes de ventilation…Afin de pouvoir afficher la labellisation INTAIRIEUR®, les promoteurs et constructeurs doivent tenir compte de l’ensemble de ces facteurs en s’inscrivant dans une véritable démarche vertueuse, et ce, dès la conception du projet jusqu’à sa livraison.Une exigence partagée par tous les acteurs impliquésParce qu’il répond parfaitement à une problématique incontournable de notre société, le label INTAIRIEUR® fédère unanimement les grands acteurs du bâtiment.Maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage privés et publics, entreprises du bâtiment, institutions et professionnels de santé publique œuvrent ensemble pour l’amélioration de la Qualité de l’Air Intérieur.Le label permet maintenant :aux maîtres d’ouvrage de valoriser leurs projets immobiliers et de se démarquer,aux AMO, d’accompagner leurs clients dans une démarche où la sécurité et le bien-être des occupants sont au cœur des préoccupations,aux institutionnels, collectivités et aménageurs de mettre en œuvre des actions concrètes pour lutter contre la pollution de l’air intérieur,aux architectes de se démarquer à travers des projets innovants et responsables,aux particuliers de choisir leur logement en exigeant un air intérieur de qualité pour leur famille,INTAIRIEUR®, un outils de référenceAvec presque 5 années d’existence, le label INTAIRIEUR® a su s’imposer comme une référence en matière de valorisation et de contrôle de QAI sur l’ensemble du territoire.Aujourd’hui de nombreux maîtres d’ouvrage ont obtenu la labellisation pour leurs projets (ou sont en cours d’obtention) : Bouygues Immobilier, CDC Habitat, Cogedim, Coop Immo, Covivio,, Coop Immo, Crédit Agricole Immobilier, Elgea Habitat, Franco Suisse, Green City Immobilier, Groupe Arcade, Groupe Duval, Habitalys, Icade Promotion, Immobilière 3F, Kermarrec Promotion, La Cité Jardins, Linkcity, Mairie de Courbevoie, Marignan, Nacarat, Nodi, Pitch Immo, Promeo, Promologis, Promomidi, Saint-Georges Promotion, Searim, Toulouse Métropole Habitat, Vinci Immobilier.En 2019 le label a obtenu une récompense à l’ESSEC Business School aux Trophées de la Transformation et de l’Innovation.La Qualité de l’Air Intérieur, une préoccupation de santé publiqueLes français passent en moyenne 90% de leur temps dans des espaces clos dont l’air est 5 à 10 fois plus pollué qu’à l’extérieur. La Covid et les confinements qui ont suivi n’ont guère inversé la tendance et ont pour effet une véritable prise de conscience des dangers liés à la qualité de l’air intérieur. Irritations, nausées, céphalées, pathologies respiratoires…Chaque année en France, cette pollution est responsable de près de 20 000 décès prématurés et on estime à 19 milliards d’euros son coût socio-économique (prise en charge des soins, perte de productivité...).L’ensemble de la population est concerné par le problème et plus que jamais, la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) est devenue un enjeu majeur de santé publique.Fruit d’une réflexion collective menée depuis plusieurs années entre pouvoirs publics, opérateurs privés et citoyens, le label INTAIRIEUR® permet au grand public de pouvoir choisir son logement en toute connaissance, avec la certitude que tout a été mis en oeuvre pour préserver la qualité de l’air intérieur de leur logement. Désormais, les usagers, gestionnaires et investisseurs pourront eux aussi choisir leurs locaux tout en tenant compte de ce paramètre.Le label INTAIRIEUR® propose un référentiel simple et fiable qui à l’image des autres certifications environnementales, permet de mettre en place un affichage clair et facilement reconnaissable par tous.
Il y a 2 ans et 333 jours

Rockwool et Bouygues Construction s'associent pour transformer le Parc du Robec, près de Rouen

À l'origine de ce projet d'envergure, le bailleur social Logeo Seine assisté par Bouygues Bâtiment Grand Ouest. Ces travaux de rénovation ont pour but d'améliorer le confort des habitants de ce quartier, de réaliser des économies d'énergie et de revaloriser le quartier avec une architecture moderne et ambitieuse. Les bâtiments, actuellement classés E pour leur consommation, doivent voir leur consommation énergétique divisée par deux et, d'ici à 2024, obtenir une étiquette énergétique C. Pour répondre à ce défi lancé par le bailleur et maître d'ouvrage Logéo Seine, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement de conception-réalisation pour la réhabilitation du projet, a fait appel à l'expertise de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche. Après concertation, la mise en place d'un dispositif novateur d'isolation par l'extérieur sur des façades sous bardage métallique et d'un renforcement de la protection anti-incendies ont été choisi avec une méthode permettant une réduction des des déchets de chantier. Cette réduction des déchets est rendue possible grâce à Rockcycle, un service ROCKWOOL existant depuis 10 ans. Rockcycle offre une solution pour collecter et recycler les panneaux usagés et permet de relever le défi du recyclage ainsi que de la sécurité incendie, deux points majeurs pour ce chantier de 10 hectares parmi les plus remarquable actuellement en France. Au cours d'une visite sur site le 17 mai 2022, Jérôme Cacheleux, Responsable du chantier chez Bouygues Bâtiment Grand Ouest, et François Habalou, Responsable Produits Metal Box chez ROCKWOOL, expliquaient que « ROCKWOOL et Bouygues Bâtiment Grand Ouest engagés, conscients des problématiques et des enjeux environnementaux ont travaillés de concert et se sont organisés afin de réussir le recyclage de 30.000m² d'isolant vétuste ». Pour la transition énergétique et la sécurité des occupants, une solution : l'isolationPour répondre aux problématiques énergétiques, de circularité et de protection incendie, ROCKWOOL s'est imposé comme un prestataire de confiance auprès de la maîtrise d’œuvre exécutive pour assurer le confort thermique des 14 bâtiments comptant 645 logements et de la résidence pour personnes âgées La Belle Étoile (37 logements). Le chantier en rénovation du Parc du Robec est un véritable challenge puisqu'il intègre la réhabilitation des façades et le recyclage des déchets. Une combinaison de solutions qui en font un chantier exemplaire et précurseur, véritable figure de proue des chantiers de réhabilitation à venir. Limiter les ponts thermiques en façade Sur les 30.000m² de surface de façade à rénover, ce sont près de 17.000m² d'isolant sous bardage métallique sans bavette et 13.000m² d'isolant sous enduit qui ont été déployés. Cette innovation a été possible grâce aux essais CERIB avec Ecorock Mono qui permet la reconstruction de C+D défavorable sur certains bâtiments. Ce dispositif permet une optimisation du temps d'application car les solutions laine de roche ne sont pas affectées par la pluie et ne requièrent pas de bâchage, mais aussi une limitation au maximum du risque de ponts thermiques ainsi qu'une durabilité du système d'isolation en raison du format et de la densité des panneaux Rockfacade. Un défi relevé par les solutions ROCKWOOL pour éviter la propagation du feu En plus de sa durabilité, le dispositif permet la sécurité des résidents avec une excellente performance au feu. Des arrêtés du 7 août 2019 relatifs à la protection contre l'incendie des bâtiments d'habitation spécifient plusieurs exigences réglementaires concernant le risque de propagation de l'incendie en façade. Les produits ROCKWOOL sont prévus pour supporter des températures allant jusqu'à 1000C°. C'est avec cette proposition de solution de bardage « sans regroupement » et sans contribution au « C+D » de la façade des bâtiments du Parc du Robec que le challenge a pu être remporté pour les différents acteurs du chantier. La sécurité des résidents étant renforcée par l’excellente tenue au feu de l’isolation incombustible classée A1. Le recyclage, un concept central de la rénovation du Parc du Robec Chaque année, 46 millions de tonnes de déchets sont produit par le secteur du bâtiment. Pour faire face à ces enjeux, plusieurs acteurs du bâtiments n'ont pas attendu le législateur et se sont organisés, comme ROCKWOOL avec son service Rockcycle qui célèbre ses 10 ans cette année. L'année dernière ce sont plus de 1000 tonnes de laine de roche, dont 450 tonnes provenant de la collecte sur chantier, qui ont été recyclées. Le service Rockcycle neuf est adapté à la taille du chantier. Il inclut un pack avec des fiches de consignes de tri, un formulaire de demande d'enlèvement et des sacs de déchets (« big bags »). Il facilite le tri des différents déchets liés à l'utilisation des produits de manière efficace sur le chantier. Dans un délai de 10 jours après la demande du client, ROCKWOOL vient récupérer les déchets sur le chantier. Les chutes de laine de roche sont ensuite directement incluses dans la fabrication de nouvelle laine. Les palettes quant à elles sont récupérées, testées, réparées si besoin et réutilisées. Le site de production de ROCKWOOL en France, basé à Saint-Eloy-Les Mines (Auvergne), a obtenu quatre certifications internationales, toutes ont été renouvelées en 2021, pour la mise en place de ses systèmes de management liés à ses démarches : qualité (ISO 9001), environnementale (ISO 14001), énergétique (ISO 50001) et enfin santé et sécurité (ISO 45001). Ces certifications sont des témoins de l'engagement de ROCKWOOL au déploiement d'une dynamique de progrès continu dans le cadre de sa politique de développement durable. Rockcycle Réno ROCKWOOL continue d'élargir son programme de recyclage des déchets à tout type de bâtiment et renforce son offre avec Rockcycle Réno. En complément de la récupération des anciennes laines sur les chantiers de rénovation énergétique, ce programme intervient comme au Parc du Robec où ROCKWOOL s'est associé à NPC Alizay, un prestataire local qui est équipé d'une presse à balle et conditionne la laine de roche en ballot pour optimiser le stockage et la transport. NPC Alizay se charge de la location des bennes de 30m3, des rotations sur le chantier et se charger ensuite de collecter, compacter et expédier à Saint-Eloy-Les Mines les chutes tirées de la déconstruction. Le site à venir de Soissons (Hauts de France) permettra d'augmenter la quantité de déchets traités et de développer à plus grande échelle le programme Rockcycle. Le développement durable au cœur de l'ADN de ROCKWOOL Un rapport est publié chaque année par ROCKWOOL contenant ses objectifs de développement durable. En 2021 par exemple, ROCKWOOL s'est engagé dans une série de mesure pour atteindre son objectif de décarbonation visant à réduire d'un tiers ses émissions absolues globales de gaz à effet de serre d'ici 2034 en prévoyant notamment un taux entre 50% et 75% de laine de roche recyclées sur ses lignes en France et à l’étranger. Une autre de ces mesures consiste à diminuer de 38% les émissions de gaz à effet de serre en usine et de 20% les émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie hors usine. Pour atteindre ces objectifs, ROCKWOOL France va construire une nouvelle usine dans le Soissonais équipée de technologies de pointes, performantes, avec notamment un four électrique d'une taille inédite pour ROCKWOOL. Le fonctionnement de ce four (la fusion électrique) est plus performante énergétiquement qu'un four au coke (fusion classique) et permet une réduction de l'ordre de 70% des émissions de CO2, tout particulièrement lorsque la production d'électricité est elle-même décarbonée.Pour Jens Birgersson, PDG de ROCKWOOL : « Les bâtiments sont responsables de 28% des émissions mondiales et dans UE seule et environ 75% des bâtiments au niveau globalsont inefficaces sur le plan énergétique. Les produits ROCKWOOL jouent un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique en réduisant la consommation d'énergie dans les bâtiments. L'isolation des bâtiments que nous avons vendue en 2021 continuera à réduire la consommation énergétique annuelle de plus d'un million de foyers, pendant toute la durée de vie de l'isolation. »Issue d’une ressource naturelle et inépuisable, résistante au feu et recyclable à l’infini, la laine de roche ROCKWOOL est l’une des solutions les plus efficaces et durables en matière d’isolation thermoacoustique. Ces performances additionnées à une durée de vie de plus de 55 ans et une parfaite recyclabilité permettent aux produits ROCKWOOL d’être respectueux de l’environnement.Chiffres et dates clés du programme de réhabilitation Parc du Robec Dépôts des autorisations administratives : février 2021 Début des travaux : été 2021 Livraison finale prévue avant l’été 2024Budget des travaux : 22 M€645 logements répartis en 13 bâtiments de R+4 à R+181 résidence pour personnes âgées de 37 logementsDémolition de 20 logements pour créer une ouverture sur la VilleLes acteurs du projetMaître d'ouvrage : Logeo SeineGroupement de conception-réalisation : Constructeur : Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement, réalisation des travaux, accompagnement des résidents, organisation, pilotage et coordination Architectes : Boucles de Seine Architecture et Fabri Architectes o Urbaniste : Atelier LignesEconomiste et Bureau d’étudeTout Corps d’Etat : Economie 80 Paysagistes : Agence Architecture et Paysage et Les Cocottes Urbaines
Il y a 2 ans et 333 jours

Rockwool et Bouygues Construction s'associe pour transformer le Parc du Robec, près de Rouen

À l'origine de ce projet d'envergure, le bailleur social Logeo Seine assisté par Bouygues Bâtiment Grand Ouest. Ces travaux de rénovation ont pour but d'améliorer le confort des habitants de ce quartier, de réaliser des économies d'énergie et de revaloriser le quartier avec une architecture moderne et ambitieuse. Les bâtiments, actuellement classés E pour leur consommation, doivent voir leur consommation énergétique divisée par deux et, d'ici à 2024, obtenir une étiquette énergétique C. Pour répondre à ce défi lancé par le bailleur et maître d'ouvrage Logéo Seine, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement de conception-réalisation pour la réhabilitation du projet, a fait appel à l'expertise de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche. Après concertation, la mise en place d'un dispositif novateur d'isolation par l'extérieur sur des façades sous bardage métallique et d'un renforcement de la protection anti-incendies ont été choisi avec une méthode permettant une réduction des des déchets de chantier. Cette réduction des déchets est rendue possible grâce à Rockcycle, un service ROCKWOOL existant depuis 10 ans. Rockcycle offre une solution pour collecter et recycler les panneaux usagés et permet de relever le défi du recyclage ainsi que de la sécurité incendie, deux points majeurs pour ce chantier de 10 hectares parmi les plus remarquable actuellement en France. Au cours de la visite que nous avons pu faire le 17 mai sur le chantier, Jérôme Cacheleux, Responsable du chantier chez Bouygues Bâtiment Grand Ouest, et François Habalou, Responsable Produits Metal Box chez ROCKWOOL, expliquaient que « ROCKWOOL et Bouygues Bâtiment Grand Ouest engagés, conscients des problématiques et des enjeux environnementaux ont travaillés de concert et se sont organisés afin de réussir le recyclage de 30.000m² d'isolant vétuste ». Pour la transition énergétique et la sécurité des occupants, une solution : l'isolationPour répondre aux problématiques énergétiques, de circularité et de protection incendie, ROCKWOOL s'est imposé comme un prestataire de confiance auprès de la maîtrise d’œuvre exécutive pour assurer le confort thermique des 14 bâtiments comptant 645 logements et de la résidence pour personnes âgées La Belle Étoile (37 logements). Le chantier en rénovation du Parc du Robec est un véritable challenge puisqu'il intègre la réhabilitation des façades et le recyclage des déchets. Une combinaison de solutions qui en font un chantier exemplaire et précurseur, véritable figure de proue des chantiers de réhabilitation à venir. Limiter les ponts thermiques en façade Sur les 30.000m² de surface de façade à rénover, ce sont près de 17.000m² d'isolant sous bardage métallique sans bavette et 13.000m² d'isolant sous enduit qui ont été déployés. Cette innovation a été possible grâce aux essais CERIB avec Ecorock Mono qui permet la reconstruction de C+D défavorable sur certains bâtiments. Ce dispositif permet une optimisation du temps d'application car les solutions laine de roche ne sont pas affectées par la pluie et ne requièrent pas de bâchage, mais aussi une limitation au maximum du risque de ponts thermiques ainsi qu'une durabilité du système d'isolation en raison du format et de la densité des panneaux Rockfacade. Un défi relevé par les solutions ROCKWOOL pour éviter la propagation du feu En plus de sa durabilité, le dispositif permet la sécurité des résidents avec une excellente performance au feu. Des arrêtés du 7 août 2019 relatifs à la protection contre l'incendie des bâtiments d'habitation spécifient plusieurs exigences réglementaires concernant le risque de propagation de l'incendie en façade. Les produits ROCKWOOL sont prévus pour supporter des températures allant jusqu'à 1000C°. C'est avec cette proposition de solution de bardage « sans regroupement » et sans contribution au « C+D » de la façade des bâtiments du Parc du Robec que le challenge a pu être remporté pour les différents acteurs du chantier. La sécurité des résidents étant renforcée par l’excellente tenue au feu de l’isolation incombustible classée A1. Le recyclage, un concept central de la rénovation du Parc du Robec Chaque année, 46 millions de tonnes de déchets sont produit par le secteur du bâtiment. Pour faire face à ces enjeux, plusieurs acteurs du bâtiments n'ont pas attendu le législateur et se sont organisés, comme ROCKWOOL avec son service Rockcycle qui célèbre ses 10 ans cette année. L'année dernière ce sont plus de 1000 tonnes de laine de roche, dont 450 tonnes provenant de la collecte sur chantier, qui ont été recyclées. Le service Rockcycle neuf est adapté à la taille du chantier. Il inclut un pack avec des fiches de consignes de tri, un formulaire de demande d'enlèvement et des sacs de déchets (« big bags »). Il facilite le tri des différents déchets liés à l'utilisation des produits de manière efficace sur le chantier. Dans un délai de 10 jours après la demande du client, ROCKWOOL vient récupérer les déchets sur le chantier. Les chutes de laine de roche sont ensuite directement incluses dans la fabrication de nouvelle laine. Les palettes quant à elles sont récupérées, testées, réparées si besoin et réutilisées. Le site de production de ROCKWOOL en France, basé à Saint-Eloy-Les Mines (Auvergne), a obtenu quatre certifications internationales, toutes ont été renouvelées en 2021, pour la mise en place de ses systèmes de management liés à ses démarches : qualité (ISO 9001), environnementale (ISO 14001), énergétique (ISO 50001) et enfin santé et sécurité (ISO 45001). Ces certifications sont des témoins de l'engagement de ROCKWOOL au déploiement d'une dynamique de progrès continu dans le cadre de sa politique de développement durable. Rockcycle Réno ROCKWOOL continue d'élargir son programme de recyclage des déchets à tout type de bâtiment et renforce son offre avec Rockcycle Réno. En complément de la récupération des anciennes laines sur les chantiers de rénovation énergétique, ce programme intervient comme au Parc du Robec où ROCKWOOL s'est associé à NPC Alizay, un prestataire local qui est équipé d'une presse à balle et conditionne la laine de roche en ballot pour optimiser le stockage et la transport. NPC Alizay se charge de la location des bennes de 30m3, des rotations sur le chantier et se charger ensuite de collecter, compacter et expédier à Saint-Eloy-Les Mines les chutes tirées de la déconstruction. Le site à venir de Soissons (Hauts de France) permettra d'augmenter la quantité de déchets traités et de développer à plus grande échelle le programme Rockcycle. Le développement durable au cœur de l'ADN de ROCKWOOL Un rapport est publié chaque année par ROCKWOOL contenant ses objectifs de développement durable. En 2021 par exemple, ROCKWOOL s'est engagé dans une série de mesure pour atteindre son objectif de décarbonation visant à réduire d'un tiers ses émissions absolues globales de gaz à effet de serre d'ici 2034 en prévoyant notamment un taux entre 50% et 75% de laine de roche recyclées sur ses lignes en France et à l’étranger. Une autre de ces mesures consiste à diminuer de 38% les émissions de gaz à effet de serre en usine et de 20% les émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie hors usine. Pour atteindre ces objectifs, ROCKWOOL France va construire une nouvelle usine dans le Soissonais équipée de technologies de pointes, performantes, avec notamment un four électrique d'une taille inédite pour ROCKWOOL. Le fonctionnement de ce four (la fusion électrique) est plus performante énergétiquement qu'un four au coke (fusion classique) et permet une réduction de l'ordre de 70% des émissions de CO2, tout particulièrement lorsque la production d'électricité est elle-même décarbonée.Pour Jens Birgersson, PDG de ROCKWOOL : « Les bâtiments sont responsables de 28% des émissions mondiales et dans UE seule et environ 75% des bâtiments au niveau globalsont inefficaces sur le plan énergétique. Les produits ROCKWOOL jouent un rôle clé dans la lutte contre le changement climatique en réduisant la consommation d'énergie dans les bâtiments. L'isolation des bâtiments que nous avons vendue en 2021 continuera à réduire la consommation énergétique annuelle de plus d'un million de foyers, pendant toute la durée de vie de l'isolation. »Issue d’une ressource naturelle et inépuisable, résistante au feu et recyclable à l’infini, la laine de roche ROCKWOOL est l’une des solutions les plus efficaces et durables en matière d’isolation thermoacoustique. Ces performances additionnées à une durée de vie de plus de 55 ans et une parfaite recyclabilité permettent aux produits ROCKWOOL d’être respectueux de l’environnement.Chiffres et dates clés du programme de réhabilitation Parc du Robec Dépôts des autorisations administratives : février 2021 Début des travaux : été 2021 Livraison finale prévue avant l’été 2024Budget des travaux : 22 M€645 logements répartis en 13 bâtiments de R+4 à R+181 résidence pour personnes âgées de 37 logementsDémolition de 20 logements pour créer une ouverture sur la VilleLes acteurs du projetMaître d'ouvrage : Logeo SeineGroupement de conception-réalisation : Constructeur : Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement, réalisation des travaux, accompagnement des résidents, organisation, pilotage et coordination Architectes : Boucles de Seine Architecture et Fabri Architectes o Urbaniste : Atelier LignesEconomiste et Bureau d’étudeTout Corps d’Etat : Economie 80 Paysagistes : Agence Architecture et Paysage et Les Cocottes Urbaines
Il y a 2 ans et 339 jours

En Normandie, à la découverte d’un projet précurseur – ROCKWOOL accompagne Bouygues Construction dans la transformation du Parc du Robec à Darnétal, avec ses solutions d’isolation thermique et son service de collecte et de recyclage de laine de roche Rock

Situé au coeur de Darnétal, dans la Métropole de Rouen, le Parc du Robec fait l’objet d’un ambitieux projet de réhabilitation dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU). Pilotés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, les travaux de ce programme d’envergure, visent pour le bailleur social Logeo Seine à améliorer le confort […]
Il y a 2 ans et 342 jours

Transformation du Parc du Robec à Darnétal

Situé au cœur de Darnétal, dans la Métropole de Rouen, le Parc du Robec fait l’objet d’un ambitieux projet de réhabilitation dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU). Pilotés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, les travaux de ce programme d’envergure, visent pour le bailleur social Logeo Seine à améliorer le confort des habitants, réaliser des économies d’énergie et valoriser le quartier à travers un concept architectural audacieux. Diminuer en moyenne la consommation énergétique du quartier par deux, tel est l’un des défis lancés par Logeo Seine (maître d’ouvrage). Alors que la consommation actuelle des bâtiments est classée E, le bailleur souhaite d’ici la fin des travaux prévu en 2024, passer à une étiquette énergétique C. Pour répondre à cet objectif ambitieux, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement de conception-réalisation pour la réhabilitation du projet, a fait appel à ROCKWOOL pour mettre en place un dispositif d’isolation par l’extérieursur des façades sous bardage métallique, et renforcer la protection contre les incendies, tout en réduisant les déchets de chantier. Une réduction des déchets possible grâce au service Rockcycle développé il y a 10 ans par l’industriel et qui permet de collecter et recycler les panneaux usagés. Des innovations qui lui ont permis de relever le défi du recyclage et la sécurité incendie. Sur les 30 000 m2 de surface de façade à rénover, ce ne sont pas moins de 17 000 m2 d’isolant sous bardage métallique sans bavette et 13 000 m2 d’isolant sous enduit qui ont été déployé. Une innovation rendue possible par les essais CERIB avec Ecorock Mono qui permet la reconstruction de C+D défavorable sur certains bâtiments. Cet article Transformation du Parc du Robec à Darnétal est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 361 jours

Université de Paris-Saclay : Toute de blanc vêtue

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Plusieurs bâtiments, reliés par des passerelles et des cours intérieures composant le nouveau site “Métro” du Pôle Biologie – Pharmacie – Chimie de l’université de Paris-Saclay. [©ACPresse] Quelque 650 laboratoires différents composent le lieu. Rien d’étonnant, s’agissant d’un pôle universitaire… Celui de Saclay, en cours d’achèvement au Sud de Paris. Pour être précis, les travaux concernent la construction du Pôle Biologie – Pharmacie – Chimie. Un ensemble de près de 88 000 m2, divisé en deux sites distincts. Le plus important est celui de “Métro”, qui réunit 85 % des surfaces de planchers. Sis juste en face de la future gare de métro de la ligne 18, il rassemble la Faculté de Pharmacie, l’Institut de chimie moléculaire et des matériaux d’Orsay, ainsi que les Masters de biologie et de chimie. Des façades nervurées immaculées constituent la signature esthétique du Pôle, œuvre de l’architecte Bernard Tschumi et de Groupe-6, pleinement intégré au projet. « La conception, la réalisation et l’exploitation/maintenance de cet ensemble s’intègrent dans un contrat de partenariat public/privé signé avec Platon Saclay1, explique Daniel Barrier, directeur du projet. Les travaux sont menés par Bouygues Construction. » En réalité, par plusieurs entités régionales de l’entreprise de BTP2. C’est le matériau béton qui donne sa blancheur aux bâtiments. Un assemblage de 4 000 éléments préfabriqués décomposés en 930 allèges, 2 750 épines principales porteuses et secondaires non porteuses, ainsi qu’en 320 bandeaux. La production hors site de toutes ces pièces a été confiée à l’industriel du béton vendéen Soriba. Ce béton est formulé sur la base du ciment blanc photo-catalytique et auto-nettoyant i.Active de Ciments Calcia (HeidelbergCement Group). « La préfabrication extérieure a été l’un des critères, qui a décidé le client à nous choisir… », reprend Daniel Barrier. Elle a nécessité la mise en œuvre de 3 350 m3 de béton blanc. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 4 jours

BYSprong, l’innovation de Bouygues Construction pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments

Son caractère innovant : des solutions industrialisées pour réduire les coûts et la durée des travaux tout en augmentant la performance énergétique du bâti.Développée par la direction Recherche & Développement de Bouygues Construction, BYSprong apporte une réponse industrialisée pour accélérer la rénovation énergétique du parc immobilier. Une offre qui permet à la fois aux clients de transformer un bâtiment énergivore en bâtiment à énergie positive, et aux occupants de respecter leur confort, grâce à une exécution des travaux dans un délai optimisé.Comment ? L’offre BYSprong repose sur 5 solutions majeures. Industrialisées et standardisées, ces solutions de rénovation énergétique apportent des économies d’échelle aux clients et peuvent être mises en place collectivement ou séparément selon les besoins :Automatisation des études : le bâtiment est scanné. Les données 3D obtenues sont traitées informatiquement pour produire un bilan carbone, une étude thermique, une analyse des coûts et des plans de fabrication.Préfabrication de l’enveloppe isolante en atelier : BYSprong fait appel à des partenaires locaux et recourt à des matériaux biosourcés pour réaliser une enveloppe sur mesure à assembler sur site.Optimisation de la production et de la consommation énergétique : un module énergétique « tout en un » est intégré. Il assure la production du chauffage, de l’eau chaude sanitaire, la ventilation et la gestion de l’éventuelle installation photovoltaïque. Il est accessible pour la maintenance sans gêner l’occupant.Compensation de la consommation énergétique par la production d’électricité issue de panneaux photovoltaïques.Contrôle et pilotage de la consommation : Le locataire, le bailleur et le mainteneur peuvent surveiller et optimiser la consommation. La détection en temps réel de tout dysfonctionnement permet une intervention extrêmement rapide.Pour Nicolas Borit, directeur général délégué de Bouygues Construction : « Le parc social français représente cinq millions de logements, dont 25% sont dits « énergivores ». La réhabilitation de ce patrimoine est essentielle pour répondre à l’urgence climatique et notre volonté avec BYSprong est clairement de contribuer à cet enjeu majeur. »D’abord mise en œuvre sur plusieurs opérations (exemple dans l’encadré ci-après), l’offre BYSprong peut maintenant être déployée massivement. Deux projets vont notamment commencer en 2022 : 207 logements pour Vilogia à Hem (département du Nord, 59) et de 318 logements pour Maisons & Cités dans les Hauts-de-France.Un exemple concret de rénovation énergétique avec BYSprong à Longueau près d'AmiensCe premier projet BYSprong a permis de rénover douze maisons des années 1960, près d’Amiens, en les rendant autonomes en énergie.Le projet, qui couvrait les phases conception, réalisation, exploitation et maintenance, a été mené par les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest et par Dalkia (groupe EDF) pour la maintenance.Les équipes ont réalisé le scan 3D des façades d’origine pour permettre la production d’une enveloppe préfabriquée (40 cm d’épaisseur) et adaptée à l’existant.Les systèmes énergétiques ont été installés dans un module à l’extérieur des maisons, et mutualisés pour des ensembles de trois logements.Grâce à ces améliorations, les logements affichent un niveau A de Diagnostic de Performance Energétique (DPE), contre D ou E avant les travaux.La production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques en toiture (7 000 kWh par logement) couvre la consommation énergétique des habitants.Chiffres clés :7 000 kWh /par logement. C’est la production annuelle d’électricité par les capteurs photovoltaïques.30 ans de garantie de performance énergétique.
Il y a 3 ans et 23 jours

Atteindre zéro émission nette – Forum Bois Construction 2022

La neutralité carbone est un terme ambigu, le moins 50 % ne concerne que la phase exploitation du bâtiment, il faut regarder le secteur industriel avec son objectif à moins 35 % pour trouver tous les matériaux de construction, il y a également la restauration des puits de carbone… Avec Cécile Thévenin, Directrice de la transition environnementale – Bouygues Bâtiment France Europe
Il y a 3 ans et 23 jours

Atteindre zéro émission net – Forum Bois Construction 2022

La neutralité carbone est un terme ambigu, le moins 50 % ne concerne que la phase exploitation du bâtiment, il faut regarder le secteur industriel avec son objectif à moins 35 % pour trouver tous les matériaux de construction, il y a également la restauration des puits de carbone… Avec Cécile Thévenin, Directrice de la transition environnementale – Bouygues Bâtiment France Europe Cet article Atteindre zéro émission net – Forum Bois Construction 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 23 jours

Toutes les vidéos du plateau TV Bati-Journal au Forum Bois Construction

Découvrez dès maintenant toutes les vidéos plateau TV du Forum Bois Construction 2022. Une animation organisée par Wood Surfer et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofessionnel Nationale France Bois Forêt. >> Découvrez toutes les vidéos sur notre chaîne Youtube   Au programme du jeudi 7 avril sur le plateau TV : Stratégies forêt bois de la Grande Région avec Claude Turmes, Ministre de l’Énergie et de l’Aménagement du territoire du Luxembourg et Jean Rottner, Président de la région Grand Est Atteindre zéro émission net avec Cécile Thévenin, directrice de la transition environnementale à Bouygues Bâtiment France Europe Les métiers du bois : attractivité et formation, avec Mélanie Collin, chargée de projet forêt-bois à la Maison de l’emploi Grand Nancy et Pascal Triboulot, professeur à l’université de Lorraine, directeur honoraire de l’ENSTIB et Vice-Président de Fibois Grand Est La neutralité carbone avec Thomas Martal, président de Stock CO2 et David Bruchon, directeur technique National et RSE de Icade Promotion Mise en œuvre de la RE 2020 avec Yves Hustache, co-gérant de Karibati et Rodrigue Leclech, responsable Pôle Construction de Pouget Consultants Densification biosourcée avec Adrien Henocq, architecte chez Belus et Henocq Architectes Construire en feuillus, avec Johann Maître, ingénieur bosi chez Timbatec et Simon Hippens, architecte chez Simon&Capucine Architectes Réhabilitation – Siège RTL avec Axel Schoenert, architecte chez Axel Schoenert Architectes Réhabilitation avec Sébastien Eymard, architecte associé chez Encore Heureux    
Il y a 3 ans et 28 jours

A Mulhouse, le Platinium, immeuble de bureaux signé ANMA

En octobre 2021, les équipes de Linkcity et Bouygues Bâtiment Nord-Est ont livré à Mulhouse (Haut-Rhin) le Platinium, immeuble de bureaux de 6 000 m² au design novateur imaginé par l’agence ANMA Architectes Urbanistes, après 23 mois de travaux. Communiqué du promoteur. Le Platinium fait partie des projets tertiaires phares du moment dans le Haut-Rhin. […] L’article A Mulhouse, le Platinium, immeuble de bureaux signé ANMA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.