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Résultats de recherche pour compagnons

(491 résultats)
Il y a 2 ans et 1 jours

Christian Pons, président des Compagnons du Devoir

Christian Pons devient le 7e président des Compagnons du Devoir et du Tour de France. Il succède à Jérémie Mosnier, en poste depuis avril 2018.
Il y a 2 ans et 12 jours

Rhône : les Compagnons font feu de tous bétons

...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 34 jours

VIPros s’associe aux Compagnons du Tour de France

VIPros s’associe aux Compagnons du Tour de France L’événement, qui s’est déroulé au sein des ateliers de l’Institut Européen de Formation des primavera mer 19/04/2023 - 09:19 En savoir plus sur VIPros s’associe aux Compagnons du Tour de France Partager
Il y a 2 ans et 36 jours

VIPros s’associe aux Compagnons du Tour de France pour promouvoir l’excellence et l’innovation !

À l’occasion des sélections régionales 2023 des Worldskills, Olympiades des métiers de renommée internationale, VIPros et les Compagnons du Tour de France ont initié leur nouveau partenariat.L’événement, qui s’est déroulé au sein des ateliers de l’Institut Européen de Formation des Compagnons du Tour de France, a permis aux marques partenaires du programme VIPros de récompenser… Lire la suite VIPros s’associe aux Compagnons du Tour de France pour promouvoir l’excellence et l’innovation !
Il y a 2 ans et 47 jours

prot gez vos articulations elles vous remercieront

Avant d’avoir mal, agissez en mettant en œuvre des solutions simples pour améliorer les conditions de travail de vos compagnons.
Il y a 2 ans et 53 jours

Les 9 valeurs de l'Ordre du Minorange - La transmission du savoir

Reconnus pour leur éthique de travail, leur engagement et leur sens du partage, les Compagnons sont fiers de représenter les valeurs du groupe ! Rencontrez Henrique, champion du Minorange, qui vous parle de la transmission du savoir chez Bouygues Construction.
Il y a 2 ans et 57 jours

Laure Rousselet, la confiance en maître-mot

Laure Rousselet, 24 ans, est conductrice de travaux ingénieure diplômée. Elle raconte son quotidien, notamment son rapport avec les compagnons.
Il y a 2 ans et 57 jours

Une philosophie de travail et de vie : les Compagnons du devoir et du tour de France

Mars : le mois de l’orientation. Partout en France, les Compagnons du devoir ouvrent leurs portes. L’occasion d’évoquer l’éthique de vie et de travail qui accompagne l’enseignement des métiers du compagnonnage.
Il y a 2 ans et 59 jours

Nouveau centre de formation pour les Compagnons

Les Compagnons du Devoir achèvent la construction de leur nouveau centre de formation. Ce bâtiment à haute performance énergétique répond aux attentes pédagogiques liées aux enjeux environnementaux et numériques.
Il y a 2 ans et 68 jours

A Strasbourg, les Compagnons du Devoir voient la formation en grand

Le plus vaste centre de formation de France des Compagnons du Devoir est désormais prêt à recevoir ses jeunes, à Strasbourg (Bas-Rhin). Le...-Bâtiment
Il y a 2 ans et 89 jours

Votre partenaire design d’éclairage de sécurité

Une intégration esthétique d’éclairage de sécurité adaptée à chacun de vos projets Depuis 60 ans, nous accompagnons les architectes afin… Cet article Votre partenaire design d’éclairage de sécurité est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 96 jours

Les 10 tendances mondiales de l'immobilier pour 2023 selon Avison Young

Pour Nick Axford, Principal and Chief Economist chez Avison Young : « La compréhension des facteurs sociaux, économiques, environnementaux, géopolitiques et commerciaux est essentielle à la façon dont nous accompagnons nos clients dans le contexte actuel et les aidons à concevoir des stratégies immobilières pertinentes et résilientes pour l’avenir. L’environnement actuel est certes caractérisé par l’incertitude économique néanmoins, nos 10 tendances pour 2023 démontrent que de nombreuses opportunités sont encore à saisir.»Parmi les éléments exerçant une influence sur les stratégies immobilières et les décisions d’investissement :Une nouvelle donne financière : La remontée des taux devrait s’inscrire dans la durée, avec un impact concret et direct sur les valeurs immobilières ;La recherche de l’excellence opérationnelle : Les ensembles immobiliers nécessitent plus que jamais un asset management proactif afin d’adapter les actifs aux attentes des utilisateurs ;L’émergence de nouveaux actifs santé : Actifs contracycliques par excellence, les actifs santé sont plébiscités par les investisseurs. En parallèle, nous assistons à une mutation du secteur de la santé avec notamment un phénomène de regroupement de professionnels de la santé au sein d’ensembles modernes et ad hoc ;Le Metaverse appliqué à l’immobilier : Au-delà des crypto-monnaies et des mondes virtuels, les technologies sous-jacentes au Web 3.0 trouvent de nombreuses applications au sein du secteur de l’immobilier.(Dé)mondialisation 3.0 : La guerre en Ukraine et les perturbations post-pandémiques s'ajoutent aux facteurs de relocalisation et de proximité qui modifient les modèles de production et de distribution.Masse critique : La croissance de l'utilisation du bois lamellé-croisé comme élément structurel dans la construction commerciale soutient la décarbonisation de l'immobilier.Nouveau souffle de vie : Les baux verts existent depuis un certain temps, mais deviendront de plus en plus importants à mesure que la réglementation accroît la transparence autour des performances des bâtiments et que les droits et obligations des propriétaires et des locataires doivent être intégrés dans les contrats de location.Des villes revitalisées : Les villes reprennent vie après la pandémie, mais le travail flexible est là pour rester et certaines régions sont confrontées à des défis. L'analyse des données aide à donner un sens à ce qui se passe en temps réel.Impact maximal : Les villes sont confrontées à des défis. L'accent accru du secteur privé sur la valeur sociale (le « S » dans ESG) et la recherche d'opportunités d'investissement à valeur ajoutée à grande échelle entraînent un engagement accru du secteur privé et des partenariats public-privé pour la régénération urbaineCoût de la vie : L'investissement dans l'immobilier résidentiel a connu une croissance spectaculaire. Le secteur du logement abordable peut être difficile, mais l'opportunité est énorme et la demande ne fera qu'augmenter.
Il y a 2 ans et 103 jours

Durieu fête ses 100 ans

La volonté de transmettre des valeurs telles que l'innovation constante, l'éthique, la qualité, la performance, l'écoute et le suivi est un motto passé de génération en génération depuis les débuts de Durieu. À partir de ce constat et du fait que la société familiale crée des produits visant à rehausser l'esthétisme et la durabilité d'un support, la place de choix qu'ont l'art et la créativité dans l'esprit de Durieu est évidente. C'est pour cela que Durieu soutient le travail de réception d'un Aspirant charpentier.Le parcours d'un jeune chez les Compagnons est un engagement d'excellence et promet une transmission de savoir tout du long de sa carrière par la suite. Ces valeurs étant chères à Durieu, le mécénat du « chef-d’œuvre » par lequel Killian Choloux, charpentier démontrera ses capacités professionnelles et l’accomplissement de sa formation s'est imposé logiquement.Ce travail de réception représente la réalisation d’un tréteau composé de deux essences de bois (Chêne et Fresne). Prouesse technique et esthétique, cette réalisation marquera une étape clé de son parcours professionnel. Son atelier est basé dans une entreprise située à Monts (37).
Il y a 2 ans et 125 jours

Le sable Lafarge de Sandrancourt à la Conciergerie

Le sable Lafarge de Sandrancourt a été choisi pour réaliser les sculptures de l’artiste Théo Mercier, lors de l’exposition “The Sleeping Chapter” présentée à la Conciergerie, à Paris, en décembre dernier. [©Holcim] Le sable Lafarge de Sandrancourt (78) a été choisi pour réaliser les sculptures de l’artiste plasticien Théo Mercier, lors de l’exposition “The Sleeping Chapter” présentée à la Conciergerie, à Paris, en décembre dernier. « Lafarge souffre d’un déficit d’image. Pourtant, nous menons une politique active de décarbonation et de RSE. Ainsi, nous sommes toujours contents d’accompagner des artistes pour attirer l’attention du grand public. Lorsque nous avons été contactés par Théo Mercier, qui cherchait du sable, nous avons tout de suite répondu présents », se souvient Claude Etienne, responsable granulats pour la région Nord chez Lafarge. C’est ainsi que la carrière Sandrancourt a fourni quelque 70 t de sable, livrées entre le 22 et le 24 septembre dernier, de 23 h 00 à 6 h 00 du matin. Théo Mercier a fait découvrir des sculptures en sable qui rappellent la pierre de la Conciergerie, comme des prolongements métaphoriques de son histoire. [©Holcim] Lire aussi : Lafarge La Malle malmenée par des militants écologistes Des big bags de sable livrés en pleine nuit Quelque 70 t de sable ont été livrées à la Conciergerie. [©Holcim] « L’équipe de Théo a jugé que notre sable était le plus performant par rapport à ce qu’elle avait déjà vu. Ainsi, des big bags de 1 t ont été livrés par grue avec un mât télescopique. Nous les avons déposés dans la salle des Gens d’armes. » Ensuite, des sculpteurs sur sable ont pris le relais pour réaliser in situ la cinquantaine d’œuvres imaginées par l’artiste. « J’avais besoin d’un sable très fin avec un peu de charges argileuses. Et la proximité de la carrière était aussi fondamentale », reprend Théo Mercier. Mais pourquoi le sable ? « A la fois, parce que c’est une ressource très utilisée dans le monde et qui commence à manquer dans certains pays. Mais aussi parce qu’il a trait à l’enfance : les bacs à sable, les châteaux de sable sur la plage… » Ainsi, à la Conciergerie, sous les voûtes de la salle des Gens d’armes, gisaient une cinquantaine de sculptures de lits fraîchement défaits, veillés par une dizaine de chiens de sable. « Lafarge est fier d’avoir été le mécène de cette exposition », insiste Claude Etienne, responsable granulats pour la région Nord chez Lafarge. [©Holcim] Retour à Sandrancourt Des sculpteurs sur sable ont pris le relais pour réaliser in situ la cinquantaine d’œuvres imaginées par Théo Mercier. [©Holcim]A la Conciergerie, sous les voûtes de la salle des Gens d’armes, gisaient une cinquantaine de sculptures de lits fraîchement défaits, veillés par une dizaine de chiens de sable. [©Holcim] Dans ce paysage à la fois désert et vivant, Théo Mercier invitait le visiteur à une déambulation dans l’épaisseur de la nuit, le sommeil paradoxal et le rêve conscient. Le plasticien a fait découvrir des sculptures en sable qui rappellent la pierre du palais de la Cité, comme des prolongements métaphoriques de son histoire. Des lits défaits dont on sent encore les mouvements et les souffles à travers leurs plis. Des chiens en sable comme fidèles compagnons des dormeurs sont au centre de cette installation à la fois lumineuse et sonore autour des rêves et du sommeil. « Lafarge est fier d’avoir été le mécène de cette exposition. Et surtout d’avoir fourni la matière première des sculptures : le sable, « d’une qualité rare », selon les sculpteurs qui ont œuvré aux côtés de Théo Mercier », conclut Claude Etienne. A la fin de l’exposition, le sable a été lavé, les sculptures se sont délitées. Et les camions Lafarge sont venus récupérés cette matière première, qui est repartie dans la carrière à son emplacement initial, à Sandrancourt. La boucle était bouclée. M. C. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 126 jours

Miroiterie Dignoise

Depuis près de cinquante ans, nous accompagnons professionnels et particuliers pour des projets de fabrication et d’installation de produits verriers… Cet article Miroiterie Dignoise est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 131 jours

iBAT et Finalcad signent un partenariat stratégique pour améliorer le suivi du budget et des délais sur les chantiers

Une solution de digitalisation unique adaptée aux spécificités du secteur du BTP pour gagner du temps et optimiser le suivi des chantiersEn associant leur expertise respective, les deux éditeurs SaaS proposent aux secteurs du Bâtiment, de l’Énergie et des Infrastructures, une solution unique permettant de tirer le meilleur parti des feuilles de temps saisies sur le terrain pour contribuer à l’amélioration du suivi Qualité, Sécurité et Environnement des projets de construction.Les aléas et les points bloquants sont nombreux sur les chantiers et les demandes de travaux supplémentaires sont de plus en plus fréquentes. Avec Finalcad One, les professionnels du BTP disposent, à chaque étape de leurs travaux, d'une solution simple, ergonomique et opérationnelle pour suivre l'avancement de leur chantier, depuis un PC ou un terminal mobile, et faire face le plus efficacement possible aux aléas et aux imprévus.Une autre difficulté consiste à optimiser la planification des équipes et à réaliser le pointage des compagnons pour obtenir à la fois les éléments variables de paie et le bilan main d'œuvre du projet. Grâce à IBAT TEMPS, l’application de planification, pointage et gestion des équipes travaux proposée par IBAT, les conducteurs de travaux et chefs de chantier peuvent mieux maîtriser la planification des équipes, valider simplement le pointage des heures effectuées par poste et par chantier, et obtenir en temps réel le bilan main d’œuvre à jour. L’outil leur permet ainsi d’identifier en temps réel les dérives éventuelles sur les heures effectuées par rapport aux heures budgétisées. La solution IBAT TEMPS permet également d’obtenir les éléments variables de paie et de les rendre disponibles pour le service paie, voire de les intégrer directement dans le SI PAIE du Client.L'association des solutions des deux éditeurs, construites et enrichies en tenant compte du retour des utilisateurs, permettra d’être mieux adaptées aux spécificités du secteur du BTP, d’éviter la double administration des plateformes et des nombreuses ressaisies d’information et surtout de faire un pas de plus vers la digitalisation des processus chantier dans une optique « zéro papier ».Pour Pascal Laïk, CEO de Finalcad : « Sur les chantiers de nos clients, les feuilles d’heures papier ou Excel sont encore trop fréquemment utilisées. Elles font perdre énormément de temps, sont sources d'erreurs et d'imprécisions, voire de tensions. Nous avions donc vraiment à cœur d'aider nos clients sur le sujet en leur proposant une expérience digitale similaire à celle qu'ils connaissent déjà avec les solutions de Finalcad avec comme maître-mots facilité, flexibilité et gain de temps. En nous associant avec IBAT, nous permettons à nos clients de faciliter leurs relevés d'heures et de mieux maîtriser la productivité de leurs chantiers. Nous nous réjouissons de ce nouveau partenariat et des perspectives qu'il offre à nos clients et à nos deux entreprises. »Pour Mélanie Lehoux, fondatrice et CEO de IBAT : « Lorsque j’étais conductrice de travaux, je passais énormément de temps sur excel à piloter le bon avancement de mon chantier et mon bilan main d’oeuvre, plutôt que d’être sur le chantier avec mes équipes afin d’améliorer la sécurité, la qualité des travaux et d’assurer la satisfaction de mon client. Je rêvais d’une solution de digitalisation me permettant de gagner du temps. L’alliance de FINALCAD ONE et d’IBAT TEMPS permet d’offrir aux managers du chantier des fonctionnalités simples et intuitives leur faisant non seulement gagner en temps, mais aussi en sérénité. »
Il y a 2 ans et 131 jours

Le Groupe Acorus réalise un chantier zéro carbone à la Mairie de Champigny

Un hôtel de ville chargé d’histoireC’est en 1930 que ce bâtiment a été transformé, par l’architecte Julien Heulot, en hôtel de ville. Historiquement, la mairie de Champigny était un ancien orphelinat tenu par la Congrégation des Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul. Par la suite, il s’est transformé en hôpital auxiliaire, dirigé par l’Union des femmes de France pendant la première guerre mondiale.Un chantier à Haute Valeur Développement DurableC’est dans une approche de valorisation du patrimoine municipal que les travaux de rénovation de la façade ont été initié. Il s’agissait d’un décapage, ayant pour objectif de retrouver les modénatures masquées par l’épaisseur du revêtement et de la saleté. Puis de mettre le nouveau revêtement de façade dans les règles de l’art. La découverte d’archives a permis de recréer sur les façades le camaïeu ocre d’origine. C’est en toute logique que l’organisation d’un chantier à Haute Valeur Développement Durable s’est imposée. Allier le respect patrimonial et environnemental avec une approche de rénovation en chantier zéro carbone, représentait un réel défi. L’approche consistait à la mise en place d’installations de chantier et de mise à disposition de cantonnements allant au-delà des obligations légales, afin d’apporter aux compagnons de meilleures conditions d’accueil (frigo, douche, chauffe-gamelle…). Ces éléments alimentés de façon entièrement autonome par bouteilles de gaz et panneaux solaires. De plus, des lampes basse consommation et des minuteries équipaient tous les modules.Produits neutres et gestion des déchets optimiséeLe décapage des façades a été réalisé à l’aide d’un produit de fabrication française, neutre sur le plan environnemental, ininflammable et non-toxique. Les déchets ont été collectés et revalorisés pour être compactés et vendus à des cimentiers pour alimenter leurs fours.Pour la peinture la démarche est la même. L’impact carbone a été limité par la qualité environnementale des produits choisis, mais aussi par la livraison optimisée directement sur chantier et en conditionnements adaptés.Tous les outils manuels et de projection ont été nettoyés sur place ou en atelier à l’aide d’une station Rollers Cleaner, de façon à récupérer et traiter les déchets de peinture, sans aucun rejet à l’égout. Concernant les autres déchets du chantier, ils ont été triés puis recyclés, via une zone de stockage provisoire avant enlèvement, divisant par trois les rotations de camions, et permettant ainsi de réduire sensiblement l’empreinte carbone.« Nous sommes très fiers d’avoir livré le premier chantier zéro carbone mis en place en France, pour un hôtel de ville. Grâce à des actions de compensation (plantations certifiées), les émissions nettes de gaz à effet de serre de ce projet sont nulles ; cela prouvent que les rénovations de bâtiments peuvent être effectuées avec un très faible impact sur l’environnement. Le chantier n’était pas plus compliqué et les produits neutres sur le plan environnemental pas plus chers. Le résultat très satisfaisant nous encourage à généraliser cette approche pour tous nos projets », déclare Philippe Benquet, Président du Groupe Acorus.
Il y a 2 ans et 140 jours

Altarea annonce le renouvellement de son partenariat historique avec Habitat & Humanisme

Depuis le début de son partenariat avec Habitat & Humanisme, Altarea a participé au financement de plus de 20 projets, pensions de famille ou résidences intergénérationnelles, représentant 427 logements créés pour des familles et des personnes isolées.Dans les trois prbochaines années, Altarea poursuivra son soutien à travers l’accompagnement de projets immobiliers et le financement de trois postes permanents au sein de l’association pour participer à la lutte contre le mal logement. Conscient des enjeux de développement durable pour la société, et en particulier de l’impact carbone de l’activité immobilière, Altarea accompagnera également Habitat & Humanisme en matière d’ingénierie technique, pour améliorer la performance énergétique du parc des logements actuel et à venir. En effet, développer par la construction neuve et la rénovation un parc de logements de qualité présentant des performances énergétiques satisfaisantes reste un défi à relever.Altarea a souhaité poursuivre également son soutien sur les actions en faveur de l’habitat inclusif et intergénérationnel et ajouter une nouvelle dimension, sur l’accueil des personnes âgées et du personnel soignant, en lien avec la structure Habitat et Humanisme Soin.« Cela fait plus de 15 ans que nous accompagnons Habitat & Humanisme avec qui nous partageons des valeurs communes et la volonté de créer une ville plus inclusive, à impact positif où chacun trouve sa place. En cette journée de la solidarité internationale, et alors que 4 millions de personnes sont mal-logées ou privées de domicile en France, nous renouvelons notre partenariat pour apporter des réponses concrètes aux plus fragilisés. C’est un partenariat dont je suis particulièrement fier qui associe de nombreux collaborateurs du Groupe et qui illustre, à travers le logement, notre vision de la ville, celle d’une ville pour tous », affirme Alain Taravella, Président-Fondateur d’Altarea.« La journée internationale de la solidarité humaine est le jour retenu pour mentionner le renouvellement du mécénat qu’offre Altarea à Habitat et Humanisme. 15 ans, déjà qui témoigne de relations qui ont construit autour de la solidarité. L’accompagnement d’Altarea, notre premier mécène, n’est pas que financier, même s’il est important, il est aussi humain. Notre association est sensible à l’aide apportée par des professionnels qui ont une exigence de qualité en veillant à concevoir des lieux qui font naître des liens, d’où l’intergénérationnel qu’Altarea nous a aidés à développer. Alain Taravella, Président du Groupe, met l’accent sur la santé qui ne se réduit pas seulement à une exigence des soins, mais à une approche environnementale au sein de laquelle l’habitat doit trouver pleinement sa place. Bâtir doit se révéler un acte de réconciliation, un humanisme, celui-là même qui conduit à ce renouvellement d’un partenariat historique, non seulement pour continuer, mais pour faire du neuf. La solidarité est un appel à imaginer un autrement et à le construire », répond Bernard Devert, Président-Fondateur d’Habitat et Humanisme.
Il y a 2 ans et 173 jours

FOAMGLAS – 25 ans de garantie sur l’isolation des toitures du Centre aquatique de Vitry-le-François… 

@foamglas Oui, c’est possible. Et, c’est surtout remarquable de pouvoir appliquer à ce type de  bâtiment une durée de garantie de 25 ans. Cette garantie concerne : 1. les performances thermiques, 2. l’étanchéité à l’eau de l’isolant et 3. l’absence de condensation dans la toiture. Le Centre aquatique de Vitry-le-François bénéficie de 25 ans de garantie pour ses toitures. Un bâtiment fort sollicité par l’humidité de l’air extérieur, classé en Très Forte Hygrométrie par les DTU.Le maître d’ouvrage du Centre aquatique de Vitry-le-François a demandé à son architecte, CHABANNE ARCHI\\INGE, une conception d’ensemble privilégiant un objectif d’économie sur le long terme lors de l’exploitation de la piscine. Il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. Ainsi, le Centre aquatique gagne sur trois critères.  À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, la pérennité de la performance thermique, l’étanchéité à l’eau et l’absence de condensation dans toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans. De nombreux aspects de l’ouvrage ont été travaillés avec un objectif de durabilité fixé par la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der (51). Ainsi, par exemple, c’est de l’inox qui a été retenu pour réaliser l’étanchéité et le revêtement des bassins.Il est encore rare que les toitures fassent l’objet d’une telle analyse tant l’Assurance Décennale est bien installée dans les esprits en France. Les dix ans de garantie qu’offre l’entreprise au maître d’ouvrage sont souvent considérés comme suffisants. Or, 10 années passent bien vite et refaire une toiture de piscine au frais du contribuable 15 ans après sa construction n’est pas satisfaisant d’un point de vue écologique et financier. La même analyse vaut pour les toitures actives (avec accès piétons, véhicules, jardins, installations photovoltaïques…) : refaire les toitures plates avec un nouvel isolant et une nouvelle étanchéité, avec dépose préalable des complexes existants, coûte très cher. Avec la seule Assurance Décennale, la maîtrise d’ouvrage se trouve à la merci d’une mauvaise mise en œuvre ou d’une conception peu qualitative entraînant des désordres au bout de 12 à 14 ans.  La GarantieToiture25®, une avancée considérableFace à cette situation, et fort de l’expérience de 60 ans d’isolation thermique de toitures parmi les plus contraignantes, Owens Corning FOAMGLAS® propose depuis 3 ans une GarantieToiture25®. Soit 25 ans de garantie thermique de la toiture et 15 ans sur l’étanchéité de la toiture après la garantie décennale. Deux critères sont exigés pour d’obtenir cette garantie : en conception, l’isolation des relevés d’étanchéité (ou la mise en place de chanfreins en FOAMGLAS®) et, en phase chantier, l’établissement d’un plan d’assurance qualité par l’entreprise en collaboration avec l’Équipe Technique de Owens Corning FOAMGLAS®. Ce plan d’assurance qualité demande la présence du technicien FOAMGLAS® au démarrage des travaux d’isolation et d’étanchéité afin de délivrer un training rigoureux des compagnons, et son intervention à tout moment du chantier avec l’accord de l’entreprise d’étanchéité. Ce dispositif apporte une amélioration reconnue de la gestion des risques en phase chantier et in fine une garantie contractuelle apportée par Owens Corning FOAMGLAS® au maître d’ouvrage qui confère une valeur considérable à l’ouvrage.Cette garantie souligne aussi deux points importants restant à améliorer dans l’acte de construire :– À ce jour, les fabricants ne sont pas obligés de garantir leurs matériaux isolants une fois mis en œuvre, ni même de garantir dans le temps une partie de la résistance thermique annoncée dans leur validation technique. En effet, les PV ACERMI concernant les isolants engagent l’ACERMI sur des valeurs obtenues en sortie d’usine seulement et suivant un protocole d’essai précis visé par les normes EN. Obtenir un engagement de 25 ans sur 100 % de maintien de la performance thermique de l’isolation de la toiture représente une avancée considérable.– L’Assurance Décennale engage l’entreprise d’étanchéité pour 10 ans sur l’étanchéité de l’ouvrage. Du point de vue écologique et financier (économie des matériaux, transport, immobilisation de l’ouvrage, gestion des déchets…) refaire une toiture 15 ans après sa réfection devient peu satisfaisant. Disposer d’une garantie complémentaire de 15 ans sur l’étanchéité après la décennale de l’entreprise représente, là aussi, un progrès considérable pour l’ouvrage et le maître de l’ouvrage.Les Services de la Communauté de communes de Vitry-le-François, Champagne et Der, appuyés par les analyses de CHABANNE ARCHI\\INGE, ont bien analysé ces diverses données. CHABANNE ARCHI\\INGE a proposé les deux solutions avec leurs incidences financières, et il a été décidé d’isoler toutes les toitures en FOAMGLAS®. À la réception de l’ouvrage, Owens Corning FOAMGLAS® délivrera une GarantieToiture25® garantissant au total, en tenant compte de la décennale de l’entreprise, l’isolation thermique et l’étanchéité de toutes les toitures du Centre aquatique pendant 25 ans.  Le verre cellulaire sécurise totalement les toitures de piscine. Pourquoi ?Le verre cellulaire sait garantir 25 ans une résistance thermique constante dans le temps et une absence de condensation dans les toitures de piscine, quel que soit l’élément porteur : bac acier, bac acier acoustique, bois ou dalle béton. FOAMGLAS® garantit une réelle performance thermique des toitures, même celles des bâtiments les plus sollicités par l’humidité de l’air intérieur, classés en Très Forte Hygrométrie par les DTU. Isolé avec du verre cellulaire (isolant étanche dans la masse, mis en œuvre avec le collage des plaques entre elles sur toute leur épaisseur), la couche isolante de la toiture d’une piscine restera sèche, et gardera, toute la vie du bâtiment, une performance thermique intacte. Si sa Résistance Thermique d’origine est de 5 m².K/W, soit une Conductance Thermique de 0,2 W/m².K, alors, 25 ans plus tard, la conductance de la toiture sera toujours de 0,2 W/m.K ! La GarantieToiture25® d’Owens Corning FOAMGLAS® l’atteste.Seule une isolation en verre cellulaire permet cette performance très économique pour le maitre d’ouvrage !   En piscine, la garantie d’une absence de condensation en toiture est essentielle, tant les risques sont grands lorsque la température extérieure est froide, compte tenu de l’air intérieur du bâtiment très humide. Comme sur le sujet de la résistance thermique, FOAMGLAS® est au rendez-vous : le verre cellulaire est de perméabilité nulle (PV du CSTB) et les plaques sont collées entre elles avec une colle imperméable à la vapeur. Si l’épaisseur de la couche isolante est de 18 cm (Rth = 5), alors il y aura une épaisseur de colle de 18 cm située au droit des joints de FOAMGLAS® ! Ainsi, l’humidité intérieur de la piscine ne peut pas migrer dans une couche isolante de FOAMGLAS®, qui est pare-vapeur dans la masse. Et, le point de rosée (appelé aussi température de rosée) ne peut pas être atteint par la vapeur située à l’intérieur de la piscine. Il ne peut donc pas y avoir de condensation dans la toiture. www.foamglas.fr
Il y a 2 ans et 175 jours

La filière bois en quête de formation

Sous l’égide des Compagnons du Devoir, à l’Académie du Climat de Paris, les acteurs de la formation de la filière bois ont planché sur la question : quelles compétences pour la formation et les emplois de demain ?
Il y a 2 ans et 175 jours

L’OPPBTP propose un pack sécurité pour mieux intégrer les personnels intérimaires

Comme tous les salariés du bâtiment et des travaux publics, et en particulier les nouveaux arrivants, ces collaborateurs ont besoin d’un accompagnement pour bien appréhender tous les aspects de la prévention et préserver ainsi leur santé et leur sécurité. Selon les axes prioritaires définis par son plan stratégique @Horizon 2025, l’OPPBTP lance une campagne ciblée sur l’intérim dans le BTP à compter du 2 novembre et jusqu’à la fin de l’année. Ce dispositif de communication, d’information et d’actions terrain a pour ambition de mobiliser les entreprises du BTP autour des problématiques de prévention des salariés intérimaires. Un « pack sécurité » est ainsi proposé, avec des conseils et des outils pratiques, pour anticiper l’arrivée des intérimaires, mieux les accueillir et les accompagner durant leur mission.Faire évoluer les mentalités autour de l’intérimEn raison de la grande diversité des activités et des variations importantes de charge au quotidien, le BTP fait fortement appel à l’intérim, lequel pâtit d’une forte sinistralité, bien supérieure à celle des salariés permanents. Qualité de l’intégration des intérimaires aux collectifs de travail et disponibilité des compétences requises, associées à la pression temporelle des chantiers, sont souvent à la base des trop nombreux accidents.Dans le cadre du plan @Horizon 2025, l’OPPBTP a retenu l’intérim parmi les thématiques d’action prioritaires pour baisser les accidents graves et mortels et améliorer les conditions de travail des salariés intérimaires. En 2022, l’OPPBTP lance donc une campagne auprès des entreprises du BTP. Une action auprès des entreprises de travail temporaire est envisagée pour 2024.L’OPPBTP propose, avec cette campagne 2022, de mettre en avant l’importance de la bonne intégration des salariés intérimaires dans les équipes et collectifs de travail en s’appuyant sur trois piliers :L’anticipation : définir précisément le rôle et les missions de l’intérimaire, évaluer ses compétences en particulier en termes de sécurité ;L’accueil : vérifier l’adéquation des compétences avec le poste proposé et s’assurer de la bonne compréhension des messages et des directives données ;L’accompagnement : nommer un compagnon tuteur pour guider l’intérimaire mais aussi veiller à intégrer ce dernier aux moments de prévention sur le chantier.Pour Julien Asselin, Directeur des campagnes ciblées en charge de la campagne intérim : « Bien souvent, les entreprises du BTP se focalisent sur l’accueil des intérimaires, mais un réel progrès est à faire pour anticiper l’arrivée et l’accompagnement du collaborateur durant sa mission. Il est important d’insister sur ces trois aspects car c’est leur combinaison qui va aussi améliorer la performance des chantiers et réduire les accidents. »À travers cette campagne l’OPPBTP souhaite aussi faire prendre conscience aux entreprises des bénéfices qu’elles peuvent retirer d’une bonne intégration de leurs intérimaires : réduction des accidents, amélioration de la performance des chantiers, montée en compétences grâce à un bon accompagnement, fidélisation du personnel et attractivité de l’entreprise, optimisation de la communication.Une campagne ciblée et complète à destination des entreprisesDès le 2 novembre et pour huit semaines, l’OPPBTP met en place cette campagne intérim à destination de toutes les entreprises du bâtiment et des travaux publics faisant appel au travail temporaire avec comme cible prioritaire les chefs d’entreprise, les référents prévention, les compagnons, les intérimaires...Pour cela l’Organisme a conçu sa campagne autour de trois axes essentiels :Le déploiement de moyens de communication importantsAfin de sensibiliser les entreprises au sujet de l’intérim, l’OPPBTP met à leur disposition un pack sécurité. Véritable boîte à outils, ce pack est disponible sur le site dédié de la campagne : www.LePackSECURITEinterimairesBTP.frPar ailleurs, un e-mailing sera diffusé aux entreprises ciblées et un dispositif de visibilité sera mis en place sur les réseaux sociaux ainsi que sur les sites d’information du BTP afin de renvoyer vers le site de la campagne.Une campagne d’information et de sensibilisationLes entreprises pourront retrouver une offre documentaire spécifique et très complète sur le site internet.Un large panel d’actions d’information avec des webinaires, des réunions terrain, des temps d’échanges au sein du réseau Club Avenir Prévention (Club Fidélité de l’OPPBTP);Des questions réponses traitant de l’ensemble des thèmes d’intérêt ;Des vidéos de sensibilisation et de témoignages ;Des fiches outils pratiques (demande de personnel intérimaire ; check-list intégration intérimaire ; liste de postes à risques particuliers ; formation obligatoire) ;Des kits d’information pour les salariés (quart d’heure sécurité ; réunion de sensibilisation...).À partir du mois de novembre, l’ensemble des entreprises du BTP recevront par mail un numéro de La lettre de Prévention BTP dans l’objectif de toucher un maximum d’entre elles.Une présence sur le terrain pour accompagner les entreprisesDurant toute la durée de la campagne, l’OPPBTP accompagnera directement sur le terrain des entreprises pour les aider à appréhender tous les enjeux liés au travail temporaire. L’Organisme proposera ainsi un diagnostic intérim aux entreprises qui le souhaitent. A partir d’un questionnaire sur leur organisation, les experts de l’OPPBTP étudieront leur situation et proposeront des solutions en phase avec leurs besoins.Cette action de proximité s’accompagne de la création d’une formation dédiée, « Accueil et formation Sécurité, réussir l’intégration de vos salariés permanents et temporaires » ainsi que d’une enquête en ligne à destination des chefs d’entreprises comme des compagnons.Les partenaires de l’OPPBTP sont aussi investis dans cette campagne : DGT, CNAM, CARSAT, INRS, CAPEB, FFB, FNTP, FSCOPBTP, SIST-BTP, ANACT à travers la mise à disposition de documentations et le relai de la campagne.
Il y a 2 ans et 189 jours

Bâtiment bas carbone, les start-up se mobilisent

En France, le secteur du bâtiment est celui qui consomme le plus d’énergie parmi tous les secteurs économiques : 70 millions de tonnes d’équivalent pétrole. Cela représente 43 % de l’énergie finale totale (source Ademe). Motivées par cette réalité, les start-up se mobilisent pour apporter des solutions cherchant à réduire l’empreinte carbone. Elles proposent des solutions novatrices pour développer de nouveaux modes de conception, de construction et d’exploitation pour des bâtiments décarbonés. Découvrons trois solutions soutenues par Constructech Club. 1/ Kompozite, plate-forme pour la conception et la construction de bâtiments bas carbone   Kompozite compile les données des matériaux de construction pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. « À travers notre solution, les architectes, les bureaux d’études, les constructeurs et la maîtrise d’ouvrage peuvent prendre rapidement et efficacement des décisions complexes pour la construction des bâtiments durables, nous précise Damien Cuny, CEO de Kompozite. Notre solution permet de prendre des arbitrages techniques très rapidement en phase conception, appel d’offres ou chantier. » Kompozite permet d’augmenter la pertinence des matériaux mis en œuvre, notamment en termes d’empreinte carbone ; de maîtriser les contraintes réglementaires et les risques d’assurabilité liés aux matériaux ; et de diffuser l’innovation matériaux, notamment bas carbone. Seules quatre données sont nécessaires pour lancer la création d’un projet : adresse, emprise, destination et environnement. Une fois le projet créé, l’utilisateur peut bénéficier de l’ensemble des fonctionnalités de Kompozite, dont les principales sont :   Un moteur de recherche de produits classés par familles ou techniques : pour connaître l’impact carbone de n’importe quel matériau tout en précisant ses conditions d’utilisation ; Un générateur automatique de combinaisons de matériaux les moins polluants et adaptés aux contraintes de l’utilisateur ; La visualisation des données à l’échelle du bâtiment : donne accès à certaines statistiques telles que la répartition de l’impact carbone par lots ou un calcul de carbone biogénique. 2/ Teamoty Recycle, pour optimiser la gestion des déchets sur les chantiers   Teamoty Recycle est un logiciel qui permet de gérer et de tracer le tri des déchets de l’ensemble des entreprises d’un projet de construction. « Digitaliser le tri, c’est s’assurer de la traçabilité des déchets, c’est favoriser un tri sélectif, et faciliter la gestion des projets », nous explique Fabien Font, CEO de Teamoty Recycle. En France, chaque année, ce sont près de 46 millions de tonnes de déchets qui sont créées par le secteur. Autant de déchets qui doivent être triés pour répondre aux nouvelles réglementations et aux enjeux du changement climatique. » La mise en œuvre d’une filière à responsabilité élargie des producteurs (REP) pour que les industriels du secteur financent la collecte et la valorisation de ces déchets, dite filière « PMCB » pour produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment, initialement prévue pour janvier 2022, a été repoussée d’un an, mais ses contours sont déjà fixés. Ainsi, Teamoty Recycle permet d’ores et déjà aux acteurs du bâtiment d’être en conformité et de gérer le tri des sept flux à la source, c’est-à-dire sur le chantier. Le principe de Teamoty Recycle est simple et comporte quatre étapes : le responsable de déchets sur chantier déclare les bacs sur la plate-forme en les identifiant à l’aide d’un QR code ; il peut attribuer les bacs aux différentes sociétés (une signature ou photo sera nécessaire pour valider l’attribution) ; il définit ensuite si le bac est à trier ou non et en vérifie l’état avant de l’orienter vers la dernière étape : le tri ou le vidage. À l’issue de ce processus, le bac sera remis dans le système d’attribution. 3/ Optimiz Construction, les meilleures pratiques pour le poste de ferraillage En France, chaque année, c’est 10 fois le poids d’une tour Eiffel de treillis soudés qui est jeté : au mieux, ces chutes sont mises à la benne ; au pire, elles sont laissées dans la dalle de béton ! Optimiz Construction aide les entreprises de gros œuvre à gagner 20 % de performance sur leur poste de ferraillage en optimisant les matériaux et la mise en œuvre. Dès la phase de préparation du chantier, via son application web d’optimisation de découpes, Optimiz Construction permet aux conducteurs de travaux ou aux chefs de chantier de commander jusqu’à 25 % de treillis soudés standards en moins sans remettre en cause la solidité des structures. Durant la phase d’exécution, l’équipe de ferraillage dispose d’un plan de découpes optimisé et d’étiquettes générées automatiquement par l’application web. Cette approche, inspirée du Lean Construction, permet de gagner en efficacité sur le poste de travail et de réduire considérablement les déchets. S’inspirer des meilleures pratiques chantier et simplifier leur mise en œuvre, voilà la recette de Marion Malandain,CEO d’Optimiz Construction, pour se réapproprier le savoir-faire du poste de ferraillage. La solution permet à la fois des performances environnementales, avec la réduction des déchets, de l’empreinte carbone et des rotations de bennes, des performances économiques, avec la réduction des quantités de matériaux standards à commander et du temps de mise en œuvre sur le chantier, et des performances applicatives avec la simplification des plans de pose et la réduction de la découpe chantier et des déplacements. Bilan du Club Avec l’entrée en vigueur de la RE 2020 en 2022 et la mise en place de REP bâtiment en 2023, la réglementation se durcit pour contraindre le secteur de la construction à construire plus durable. La bonne nouvelle : les start-up françaises répondent présent quand il s’agit de créer des solutions innovantes pour réduire l’empreinte carbone dans tout le cycle de vie du bâtiment. À propos de Constructech Club J’ai créé Constructech Club dans l’objectif de favoriser le développement économique des métiers du BTP par l’innovation. Mon équipe et moi accompagnons les chefs d’entreprises et les directions opérationnelles des TPE et des PME du secteur dans le processus d’identification et d’adoption des solutions technologiques pour améliorer la productivité et la rentabilité de leurs entreprises. Nous avons été sélectionnés par BPI France et par France Num dans le cadre du plan France Relance pour accompagner 1 500 entreprises du BTP dans leur transformation numérique. Diana Gonzalez Pour plus d’information rendez-vous sur le site de Construtech.club Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Bâtiment bas carbone, les start-up se mobilisent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 201 jours

Point.P lance l’école des bâtisseurs

Point.P lance l’école des bâtisseurs afin de pallier le manque d’effectif dans le secteur de la maçonnerie.[©Point.P] Aujourd’hui, le secteur de la maçonnerie souffre d’une pénurie de main-d’œuvre. Un constat qui freine le rythme des rénovations et pénalise les entreprises. Ces dernières sont à la recherche de 26 000 maçons. Un chiffre en constante augmentation depuis 2015. Afin de pallier ce problème, Point.P lance l’école des bâtisseurs. En partenariat avec les BTP-CFA, l’enseigne de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France (SGDB) compte, à travers ce programme, relancer l’attractivité de la filière auprès des jeunes générations. Une profession en constante évolution La nouvelle école des bâtisseurs souhaite préparer, en un an, les jeunes de 18 à 29 ans au métier de maçon. Une profession en constante évolution qui met de plus en plus l’accent sur la transition écologique, les nouveaux systèmes constructifs et le digital. « Avec Point.P, nous partageons la même envie, le même enthousiasme de former des jeunes, de les professionnaliser et de construire une aventure humaine, déclare Eric Leymaire, secrétaire général du BTP-CFA Ile-de-France. L’apprentissage permet d’agir sur tous les enjeux environnementaux, d’insertion et de reconnaissance. Il est essentiel pour nous de former des compagnons qui bâtiront notre futur. » Le 4 octobre 2022, la première classe des bâtisseurs a été inaugurée au BTP-CFA de Brétigny-sur-Orge (91). Quinze jeunes ont intégré cette toute première promotion. Issus d’un bac ou en reconversion professionnelle, les apprentis suivront le rythme d’une semaine de cours pour trois semaines en entreprise. Un classique pour ce type d’apprentissages.
Il y a 2 ans et 209 jours

Action cœur de ville à Brignoles : NGE Immobilier pose la 1ere pierre du projet Cours Liberté

Ces ouvrages sont édifiés dans une opération d’aménagement confiée par la Ville de Brignoles à la SEM Var Aménagement Développement (VAD), relevant du dispositif Action Cœur de Ville. Ils symbolisent le renouveau du centre-ville de la sous-préfecture varoise.Conçu par l’architecte toulonnais Thierry Ami (Agence Flex Architectes) et construit par NGE BATIMENT, cet ensemble immobilier d’environ 8.200 m2 labellisé NF Habitat HQE comportera à sa mise en exploitation en 2024 :une emblématique offre culturelle avec un complexe cinématographique de six salles (848 fauteuils), grand public et art et essai, exploité par Cinéwest – 8ème opérateur français ;un établissement pour personnes âgées dépendantes et une résidence pour séniors avec services (92 chambres/logements au total), exploité par le Groupe Korian ;des commerces et un parc de stationnement de 250 places accessible au public.Générateur d’emplois et d’insertion, le chantier mobilise le réseau d’entreprises locales avec 150 compagnons attendus pour sa réalisation et participe au développement économique du territoire. Une opération d’insertion professionnelle menée en collaboration avec les Apprentis d’Auteuil du Var est en cours pour une POEI (préparation opérationnelle à l'emploi individuelle) aides maçons coffreurs bancheurs est en cours. A l’issue de leur cursus, un contrat à durée indéterminée sera proposé aux 11 stagiaires.Pour David Taglioni, Directeur Général de NGE Immobilier : « Nous sommes particulièrement fiers de contribuer au rayonnement de Brignoles et tout particulièrement de donner vie au futur pôle culturel de son centre-ville. Voilà un projet immobilier démonstrateur des engagements patrimoniaux, sociétaux et environnementaux de NGE Immobilier : Avec la conservation du fronton historique de l’ancien collège Liberté, le projet s’insère dans un site particulièrement riche de bâtiments remarquables. Il contribue à son rayonnement touristique. Particulièrement engagé sur le volet environnemental, le projet est mené dans une démarche « chantier faible nuisance » avec un ambitieux objectif de réemploi. Il concrétise l’engagement de NGE Immobilier en matière d’opérations à faible impact environnemental. »
Il y a 2 ans et 222 jours

Vaste escroquerie à l'immobilier : 19 personnes dont d'ex-légionnaires condamnés

La fraude consistait à souscrire des prêts auprès d'établissements de crédit en fournissant de faux documents, ce qui avait permis l'acquisition de plus de 80 biens immobiliers via des prête-noms ou des sociétés de façade. Leur revente rapide après des travaux souvent non réalisés permettaient des plus-values artificielles.Dépeint comme "le chef d'orchestre" de l'escroquerie, Sébastian Celea, 41 ans, engagé dans la Légion étrangère de 2001 à 2007, a été condamné à cinq ans de prison avec mandat de dépôt ainsi qu'à une interdiction définitive de gérer une entreprise et d'exercer une profession commerciale ou industrielle.L'accusation l'a dépeint comme "l'organisateur et l'animateur d'un système dont il a tiré d'importants bénéfices financiers". Son épouse a été condamnée à un an de prison à purger sous le régime de la détention à domicile sous surveillance électronique et à une amende de 15.000 euros.Un autre ancien légionnaire roumain a lui été condamné à trois ans de prison et une amende de 100.000 euros. Il a été placé sous mandat de dépôt. Les prête-noms, anciens compagnons d'arme de Sebastian Celea, ont été condamnés à des peines s'échelonnant d'un an de prison avec sursis assorti d'une amende de 10.000 euros à un an de prison dont six mois avec sursis.De nombreuses confiscations y compris un appartement en Roumanie ont été prononcées par le tribunal.Deux notaires du Sud-Ouest ont été relaxés des faits d'escroquerie en bande organisée mais condamnés à un an de prison avec sursis pour complicité de blanchiment. Le tribunal n'a pas retenu l'interdiction d'exercer requis contre l'un d'eux, ni le délit de participation à une association de malfaiteurs visant certains prévenus.Il a relaxé totalement deux d'entre eux, notamment un salarié d'une banque que l'accusation présentait comme un "facilitateur bancaire".
Il y a 2 ans et 224 jours

Lancement du concours des rubans du Patrimoine 2023 et remise des prix nationaux de l’édition 2022

Elles mettent en valeur le dynamisme des communes et de leurs groupements et les savoir-faire des artisans et entrepreneurs du bâtiment ainsi que de leurs compagnons.Vous trouverez toutes les informations et le formulaire de participation sur le site www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr. Les dossiers devront être déposés au plus tard le 31 janvier 2023.Par ailleurs, la cérémonie de remise des prix nationaux 2022 se tiendra le vendredi 28 octobre à 10h30 au Studio Théâtre de la Comédie-Française (Carrousel du Louvre) lors du Salon international du Patrimoine culturel.Les communes de Brétigny (Eure), Epernay (Marne), Soulomès (Lot), La Flèche (Sarthe) et la communauté de Communes de la Grande Vallée de la Marne (Marne) se verront remettre leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d'Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment.
Il y a 2 ans et 224 jours

Salon de la Copropriété, Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant

Les 8 et 9 novembre 2022, Lorenove Grands Comptes sera exposant du salon de la copropriété, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Exposant assidu du salon de la copropriété, Lorenove Grands Comptes est une entité du Groupe Lorillard, qui rappelons-le, se dédie aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires.C’est un interlocuteur de choix pour évoquer l’ensemble des problématiques rencontrées sur ce sujet. Durant ces 2 jours, à son accoutumé, sur un stand de 36m², Lorenove Grands Comptes se tiendra à la disposition des acteurs de la copropriété. L’omniscience de la Copropriété Que ce soient les essais acoustiques, le respect de l’architecture des façades, la gestion des travaux, la complexité en milieu occupé, les difficultés d’intervention en IGH, etc. l’ensemble de ces notions, et bien d’autres encore, font partie des services et compétences de Lorenove Grands Comptes. L’entité va même plus loin et, est en capacité de fournir – en partenariat avec Lorillard Façades – l’établissement de diagnostic énergétique de façades afin de proposer un plan de rénovation énergétique de façade par l’extérieur. Ces travaux d’efficacité énergétique sont notamment aidés par le dispositif MaPrimeRénov, désormais accessible aux copropriétés pour les travaux réalisés dans les parties communes. MaPrimeRénov s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%.Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés. Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Depuis plus de 15 ans Lorenove Grands Comptes accompagne au quotidien les copropriétés dans la rénovation de leurs menuiseries, l’isolation des façades y compris lorsque ces projets nécessitent une intervention de désamiantage ou de déplombage via Protectéa. Cette antériorité et l’expérience des chantiers leur ont permis de constituer un ensemble complet de prestations, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. La force du Groupe Lorillard Lorenove Grands Comptes, simultanément fabricant et installateur, bénéficie de souplesses commerciales et industrielles qui lui permettent de limiter les impacts négatifs qui s’imposent dans la conjoncture actuelle. Sur le plan tactique, Lorenove Grands Comptes est à même de mener des opérations “coup de poing” lors desquelles le temps d’exécution de la pose est réduit grâce à la mobilisation d’un effectif important sur un temps réduit. Il leur est notamment possible de poser plus de 80 fenêtres en une seule journée. L’entité a également développé une ingénierie de chantier adaptée aux milieux habités ou aux chantiers en cœur de ville avec des particularités d’accessibilité et d’organisation délicates (stationnement et base de stockage réduits, coactivité, limitation des nuisances pour les résidents et l’environnement immédiat, etc.) Sur le plan technique, les menuiseries sont performantes et dotées des capacités thermiques et phoniques les plus efficientes. À ce titre, deux modèles seront exposés sur le stand. Une menuiserie aluminium à ouvrant caché qui offre des lignes très fines et apporte un maximum de lumière naturelle dans la pièce. Cette menuiserie est équipée de profils à rupture de pont thermique avec des barrettes isolantes sur le dormant et l’ouvrant, pour réduire les échanges de température intérieurs et extérieurs. Ceci évitant la condensation et le ruissellement d’eau. Menuiserie aluminium à ouvrant caché Également, un verrouillage par galets champignons constitue une sureté supplémentaire contre l’effraction et assure une protection efficace contre le levage par force de levier. Cette menuiserie possède également 3 joints pour une parfaite étanchéité et une meilleure isolation thermique.Pour plus d’harmonie et d’originalité, il est possible de choisir la bicoloration pour coordonner la menuiserie à la fois aux intérieurs et aux extérieurs. Une bicoloration qui est particulièrement pertinente pour les immeubles des années 1970 – dont les tons bois des menuiseries correspondent à la majorité des cahiers des charges – et qui offre alors aux propriétaires la possibilité de personnaliser le coloris intérieur de leurs menuiseries. Un coulissant monobloc en aluminium, équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Ce coulissant est doté d’une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité.Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés.Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6 mètres) selon les besoins et la configuration du lieu. C’est à l’appui de son expertise que Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant, le mardi 8 novembre à l’agora – de 11h30 à 12h – sur le thème « Remplacement des menuiseries :de l’approvisionnement aux bénéfices clients, un cycle de vie durable ».Cet atelier sera dirigé par Aurélien Hoellinger, responsable commercial Lorenove Grands Comptes. Cette intervention qui sera filmée pourra être visionnée par la suite sur les réseaux sociaux ; et amorcera la première étape vers une série de webinaires consacrés à la rénovation énergétique !
Il y a 2 ans et 228 jours

Mondial du Bâtiment 2022 : une nouvelle formule couronnée de succès

Une mobilisation sans précédentOrganisé à Paris Expo Porte de Versailles, le nouveau Mondial du Bâtiment a enregistré une importante augmentation du nombre de ses visiteurs (+15%), marquée par une hausse des visiteurs français (+25%) venus de différentes régions.Top 5 des régions Françaises venues au Mondial du Bâtiment : Ile-de-France, Auvergne Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Grand Est et Nouvelle Aquitaine.La présence de visiteurs internationaux était quant à elle en légère baisse (-15%). Néanmoins, le Mondial a de nouveau accueilli de nombreuses et fidèles représentations internationales telles que la Délégation marocaine, l'Ordre National des architectes du Bénin, l'Ordre National des ingénieurs du Cameroun, la Délégation sénégalaise, la Délégation algérienne, des Délégations tunisiennes (Chambre de Commerce et d'Industrie du Sud-Est, CCI de Sfax, CCI du Nord-Ouest, CCI du Centre), Délégation ivoirienne.Les organisateurs se réjouissent du climat d'affaires positif qui a régné durant les 4 jours de l'événement, grâce à la présence de nombreux décideurs et de visiteurs particulièrement qualifiés. Accueillis par 1720 exposants, tous les métiers du Bâtiment et de la construction étaient ainsi fortement représentés : Prescripteurs (20%), Installateurs (36%), Distributeurs (17%), Fabricants (14%), Organismes (13%).De l'avis général, tous les participants ont retrouvé ce qu'ils appréciaient sur les anciennes éditions parisiennes de BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN : une grande convivialité et une ambiance décrite par tous comme chaleureuse, renforcée par la possibilité de profiter de soirées organisées à Paris.La décarbonation du bâtiment placée au coeur des débatsSi le bâtiment est le premier secteur concerné pour atteindre les objectifs fixés par la Stratégie Nationale Bas Carbone, le Mondial du Bâtiment 2022 en a été assurément son lieu d'expression pour le secteur de la construction.Seul événement d'envergure internationale dédié au secteur, le Mondial du Bâtiment s'est imposé comme le rassemblement incontournable des décideurs et acteurs clés de la décarbonation du secteur.Grâce à de très nombreux temps forts et de multiples rencontres d'envergure, le sujet de la décarbonation a ainsi été placé au coeur des débats :Avant l'ouverture officielle du salon, le « Sustainable Builders 50 » a été inauguré, en présence de François Hollande. Ce « Think & Do-tank » a réuni plus de 50 décideurs, experts et personnalités guidés par la recherche de l'impact et de changements concrets afin d'atteindre les objectifs de réduction des émissions de 2030 et 2050.Mobilisés par les organisateurs du Mondial du Bâtiment, des représentants des pouvoirs publics ont pu rencontrer de nombreux chefs d'entreprise de l'industrie du bâtiment et échanger avec eux leur regard sur les enjeux de la transformation profonde de la filière : Olivier Klein, Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement a inauguré le Mondial du Bâtiment ;A l'occasion de son discours lors de l'Assemblée Générale du Plan Bâtiment Durable, Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a remis en perspective les grands éléments de la politique publique et démontré son attachement à la réussite de la transformation du secteur ;Olivia Grégoire, Ministre Déléguée chargée des PME, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme a pu échanger avec les futurs professionnels du bâtiment et les Compagnons du devoir, et souligner avec eux l'engagement de l'état auprès des petites et moyennes entreprises.Pour la première fois, le Mondial du Bâtiment a enregistré la visite de deux commissions parlementaires démontrant l'importance des enjeux de la transformation du secteur pour les territoires : la Commission parlementaire des affaires économiques, présidée par Guillaume Kasbarian et la Commission parlementaire du développement durable, présidée par Jean-Marc Zulesi.La transition énergétique de la France était tellement au coeur des débats de cette semaine, que le dernier jour du Mondial du Bâtiment, la Première Ministre Elisabeth Borne est venue au Parc des Expositions de la Porte de Versailles pour présenter le plan de sobriété de l'Etat en présence d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique.Un observatoire unique de l'avenir du secteurPour la première fois réunis ensemble à Paris, les salons BATIMAT, INTERCLIMA et IDÉOBAIN ont mobilisé 1720 exposants et enregistré le retour de plus de 140 leaders et 45% de nouveaux exposants.L'innovation, présente partout dans le Mondial du Bâtiment et portée par un remarquable cru des Awards de l'Innovation, aura été une nouvelle fois l'un des principaux marqueurs de l'édition, illustrant le dynamisme de la filière.Parallèlement, les nouveaux formats de conférences ont été plébiscités. D'une ampleur inédite, avec la présence de plus de 90 experts sociétaux tels que Cynthia Fleury, Jean-Marc Jancovici, Bernard Amsellem, Navi Radjou, Yamina Saheb…, les Batitalks ont enregistré un fort taux de participation. Ce programme d'analyses et de décryptages était enrichi par une grande diversité de conférences et rendez-vous organisés par les partenaires du salon. L'ensemble du dispositif a réuni au total plus de 1 000 intervenants avec 450 conférences.Les organisations professionnelles telles que la Fédération Française du Bâtiment et la Capeb se sont également mobilisées et ont fait part de leur satisfaction quant à la réussite de cette édition qui leur a permis de délivrer leurs messages sur tous les sujets liés aux enjeux économiques du secteur et l'évolution des métiers.Les jeunes a l'honneurLe recrutement des jeunes et la formation étaient deux sujets essentiels que le Mondial du Bâtiment entendait mettre à l'honneur. Force est de constater que l'objectif a été atteint.Une délégation de près de 400 apprenants des CFA d'Ile-de-France et près de 600 jeunes en formation du Lycée Raspail se sont rendus sur le salon à la découverte des innovations. Ils ont pu avoir un temps d'échange avec la Ministre Olivia Grégoire, partageant avec eux le dynamisme de la filière et des métiers du bâtiment.Le nouvel espace Job Connect d'INTERCLIMA a permis de faire connaître les métiers du génie climatique au cours de rencontres quotidiennes. Du côté d'IDÉOBAIN des séances de job datings entre formateurs, installateurs et concepteurs-vendeurs qui se sont tenues. Sur BATIMAT plusieurs animations ont eu lieu dont la finale du concours du Meilleur Artisan de France.Un salon exemplaireLe Mondial du Bâtiment ne pouvait pas mettre en avant le sujet de la décarbonation sans s'approprier lui-même le sujet et faire preuve d'exemplarité. Cette nouvelle édition s'est donc placée sous le signe de plus grande sobriété et une meilleure maîtrise des dépenses. Un grand nombre d'exposants ont ainsi fait le choix d'une stand éco-conçus de leur stand en cohérence avec la stratégie du Mondial.De leur côté, les organisateurs du salon se sont engagés à réaliser un bilan carbone prévisionnel en passant l'ensemble de l'activité au crible selon la méthode scientifique de l'ADEME : transport, énergie, alimentation, hôtel... grâce à l'expertise du cabinet ECOACT qui est spécialisé dans ce type de démarche.Deux prochains rendez-vous a noterD'ores et déjà, les organisateurs travaillent sur l'évolution du prochain Mondial du Bâtiment tenant compte des tendances qui émergeront rapidement et toucheront en profondeur la filière. Le rendez-vous est donc pris, du 30 septembre au 3 octobre 2024, à Paris Expo Porte de Versailles.Cependant, le thème de la rénovation énergétique ayant été un des principaux sujets abordés pendant le Mondial du Bâtiment, RX annonce le lancement de RenoDays, un nouveau rendez-vous dédié au sujet et organisé en 2023, les 3 et 4 octobre, toujours à Paris.Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment se réjouit de ce succès : « La proposition que nous avons faite aux exposants comme aux visiteurs les a indéniablement séduits. Le retour à la Porte de Versailles est évidemment un atout important. La réussite du salon tient aussi à sa parfaite adéquation avec un état d'esprit plus général qui tend à plus de sobriété et d'homogénéité. Au-delà, nous avons surtout réalisé, avec nos partenaires, un véritable travail de fond qui a permis de donner à la filière le leadership du thème de la décarbonation du bâtiment. Lancé il y a 2 ans, le pari est donc réussi. Au nom de la filière, je suis également fier de constater que le Mondial du Bâtiment est, en période post-Covid, le seul évènement européen ayant enregistré un tel succès avec une croissance à deux chiffres de son nombre de visiteurs. »
Il y a 2 ans et 231 jours

Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Jérôme Carraz, Responsable de l’Institut de la Charpente et de la construction bois – Les Compagnons du Devoir et du Tour de France Frédéric Letoffé, Vice-Président – GMH  
Il y a 2 ans et 232 jours

Développer l’intelligence de la main – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Jérôme Carraz, Responsable de l’Institut de la Charpente et de la construction bois – Les Compagnons du Devoir et du Tour de France  
Il y a 2 ans et 242 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050)  14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Kiribati) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com Cet article Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 242 jours

Un plateau TV Bati-Journal à Batimat 2022

Organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt, les équipes de Bati-Journal vous retrouveront au cœur du salon Batimat pour une nouvelle édition de son plateau TV, animé par Stéphane Miget (rédacteur en chef de magazine 5façades et Planète Bâtiment). Véritable chaîne TV dédiée au monde du bâtiment, BATI-JOURNAL accompagne les grands événements du secteur afin de vous emmener au cœur de ces rencontres. Bati-Journal réunit dans une ambiance plateau TV des professionnels, des experts ou des politiques afin de débattre autour des enjeux du secteur. Autour des 4 grandes thématiques du salon : Préserver l’environnement Transformer les méthodes Bien vivre dans la ville de 2050 Valoriser les métiers Au travers de nos expertises sur les sujets : Construction bois Patrimoine & restauration Enveloppe du bâtiment Bâtiment durable Programme du plateau TV* (susceptible d’être modifié) : Lundi 03 octobre : 10h00 : Place et rôle des artisans et entreprises (Transformer les méthodes) avec Catherine Gillet (Pilote du Programme FEEBAT) et Aristide Belli (Chef de projet senir programme OSCAR) 11h30 : Bois-fôret : concilier construction et préservation de la ressource (Préserver l’environnement) avec Aymeric Albert (Directeur commercial Bois – ONF) 13h30 : Quelles infrastructures pour nourrir la ville en 2050 ? (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Angel Menendez (Architecte – Atelier Lame) 14h45 : Développer l’intelligence de la main (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) 15h45 : La parole à Piveteau Bois 16h15 : Retour d’expérience – Construction bois avec Benjamin Pirany (Architecte – HSP Architectes) 17h30 : Low Carbon – en partenariat avec Construction 21 avec Laetitia Belaube (Responsable de missions énergie-carbone – Artelia) Pierre-Yves Legrand (Directeur – Novabuild) et Christophe Rodriguez (Directeur général adjoint – IFEP)  Mardi 04 octobre : 09h30 : Préfabriquer avec le bois, pourquoi ? Comment ? Quelles innovations ? (Transformer les méthodes) avec Pierre Vaugoyeau (Directeur commercial – Maître Cube) 10h30 : La parole au CERIB avec Christophe Tessier (Directeur du Centre d’essais feu) 11h00 : Le bois, biosourcé par essence ? (Préserver l’environnement) avec Ambre Le Ferrec (Reponsable pôle 2nde transformation et suivi de la normalisation – Fédération Nationale du Bois) et Jérôme Martinez (Responsable du label Bois de France) 11h00 : La parole à Cadwork avec Denis Roblin (Directeur vente France) 12h00 : La parole au SNBVI 13h30 : Patrimoine et centre-ville, moteurs de la revitalisation urbaine ?  (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Etienne Bourdais (Head of innovation projects – Vinci) 15h00 : Les métiers et savoir-faire du patrimoine au service de la construction à plus faible impact carbone (Valoriser les métiers) avec Jérôme Carraz (Responsable de l’Institut de la charpente et de la construction bois – Les Compagnons du devoir) et Frédéric Letoffé (Vice-Président – GMH) 16h15 : Retour d’expérience – Patrimoine & Restauration avec Élodie Heberlé (Responsable d’études énergie et environnement – Cerema) 17h00 : La parole à Actis 18h00 : Émission spéciale sur Le Prix National de la Construction Bois Mercredi 05 octobre :  09h30 : Construction métallique, polyvalence et design : dernières évolutions (Transformer les méthodes) avec Pascal Bonaud (Délégué général – ConstruirAcier) et Peggy Schouller (Head of Business Development France – Arcelor Mittal) 10h30 : La parole Simpson Strong-Tie 11h00 : Bois, biosourcés et géosourcés (terre crue et pierre) : les matériaux des circuits cours ? (Préserver l’environnement) avec Yves Hustache (Associé-fondateur – Karibati), Alec Bickersteth (Chef de projet Filière, Emploi & Formation – Fibois Île-de-France) et Ghislain Moret de Rocheprise (Directeur marketing et commercial – ISOL’en Paille) 12h00 : La parole au SNBVI 13h15 : La parole à Hellio avec Arthur Bernagaud (Directeur des opérations BtoC) 14h00 : La parole à SADEV 14h30 : La parole à Eiffage avec Thomas Doyon (Directeur Eiffage Immobilier Solutions Industrialisées)  15h00 : Focus Façadier (Valoriser les métiers) avec Vincent Bes (Directeur régional ouest – Wicona) et Sandrine Bertin (Déléguée générale – SNFA) 16h15 : Retour d’expérience – Enveloppe du bâtiment avec Myriam Humbert (Directrice de projets recherche et développement – Cerema) 17h30 : Low Tech – en partenariat avec Construction 21 avec Catherine Papillon (Directrice DD/RSE – BNP Real Estate), Anne Keusch (Directrice DD & Innovation – Groupama Immobilier) et Charlotte Girerd (Directrice Transition, RSE & Innovation – SNCF Immobilier) Jeudi 06 octobre : 09h30 : Audit : étape cruciale pour bien rénover (Transformer les méthodes) avec Xavier Bernard (Délégué régional Île-de-France – AQC) et Étienne Duhot (Responsable de projet – Hellio) 11h00 : Favoriser la réutilisation et la transformation des bâtiments existants (Préserver l’environnement) 12h00 : La parole au SNBVI 13h00 : Renaturer la ville (Bien vivre dans la ville en 2050) avec Sophie Rousse-Rivière (Déléguée générale de l’Advient) 14h15 : Focus Prescripteur bois (Valoriser les métiers) 15h15 : Retour d’expérience – Villes & constructions durables avec Laurent Arnaud (Directeur du domaine bâtiment – Cerema) Toutes les vidéos des émissions seront à retrouver dès le lundi 03 octobre sur la chaîne YouTube de Bati-Journal et sur les sites de nos partenaires institutionnels et médias. En partenariat avec les magazines 5façades, Atrium, Planète Bâtiment et Wood Surfer. Participez à l’événement et commandez votre badge d’accès gratuit avec le code BPA22ATCPR sur le site de batimat.com
Il y a 2 ans et 242 jours

Le bénéfice d'Hexaom entamé par le coût des matériaux

Le groupe familial basé à Alençon, en Normandie, a dégagé un résultat net de 1,2 million d'euros, dix fois moins qu'un an auparavant.Son chiffre d'affaires, en revanche, a grimpé de 10% sur un an, porté par la construction, son coeur de métier.La forte érosion de sa marge, à cause des prix des matériaux de construction, a été compensée par l'activité "record" des ventes en 2021, année de sortie de confinements où la demande pour des maisons avec jardin a explosé.Si les ventes ont depuis reflué, avec un carnet de commandes qui recule, la croissance d'autres activités (rénovation pour les particuliers, promotion immobilière, aménagement foncier) lui permet de tabler sur un chiffre d'affaires à la fin de l'année dépassant, pour la première fois, le milliard d'euros.Seule son activité de rénovation pour les entreprises, notamment via sa filiale Atelier des Compagnons, affiche des ventes en baisse (-14,4% à 48,6 M EUR), car elle "subit un important retard de production". Elle subissait déjà des difficultés "du fait d'une croissance trop forte et mal maîtrisée", ajoute Hexaom.Le prix de vente moyen des maisons a grimpé de 18% en un an, à 155.600 euros, du fait de la hausse des coûts des matériaux et de l'entrée en vigueur, au 1er janvier 2022, d'une règlementation environnementale plus stricte sur la construction neuve.Désormais, le groupe indexe automatiquement ses tarifs sur les coûts des matériaux, et prévoit par conséquent une marge "mécaniquement en amélioration à moyen terme".
Il y a 2 ans et 250 jours

Covid-19 : L’OPPBTP rappelle les bons réflexes pour maintenir une protection contre le virus

Néanmoins, la Covid-19 reste un danger à surveiller, qui a toujours des conséquences problématiques pour les entreprises, pour partie en raison de l’absentéisme qu’elle provoque. Il est donc nécessaire de continuer à être attentif. L’OPPBTP rappelle dans un article synthétique et pratique tous les réflexes et les gestes efficaces pour se protéger du virus et limiter les contaminations dans les entreprises du BTP et sur les chantiers.Se laver les mains fréquemmentLa proximité et l’accessibilité à l’eau sont primordiales pour permettre aux compagnons de se laver les mains le plus souvent possible. Le lavage des mains avec du gel hydroalcoolique est une solution complémentaire quand il n’est pas possible de se laver les mains à l’eau et au savon.Porter un masque dans certaines situationsLe port du masque pour se protéger et protéger les autres est conseillé dans les véhicules, lors de déplacements à plusieurs compagnons si on ne peut pas aérer, dans les transports en commun, et dans les espaces clos ou confinés et les salles de réunion qui ne peuvent pas être régulièrement aérés. Le masque reste également recommandé pour les personnes malades ou fragiles, les personnes symptomatiques, cas contact et pour les interventions chez des particuliers malades.Aérer périodiquement les salles, les réfectoires et les véhiculesAérer les espaces fermés (bureaux, bases vie, véhicules, engins) au minimum 10 minutes toutes les heures est efficace contre la propagation des virus. L’aération régulière est à privilégier quel que soit le mode d’aération ou de climatisation des locaux.Nettoyer régulièrement les surfacesLe nettoyage régulier des locaux, des tables, des poignées, des équipements des installations de chantier (toilettes, lavabos et douches) et des véhicules et engins avec de l’eau et les produits de nettoyage habituels est à encourager.Sensibiliser les salariésUne information auprès de tous les salariés lors des briefings de poste ou lors des quarts d’heure sécurité permet de rester vigilant et de rappeler les bons réflexes pour se protéger. De nombreux supports sont à disposition et utilisables sur preventionbtp.fr.S'organiser et dialoguerDes mesures organisationnelles peuvent être décidées par le chef d’entreprise concernant l’organisation des flux de circulation, des temps de travail, etc. Lorsqu’il existe un CSE ou une commission santé, sécurité et conditions de travail (CSSCT), une information ou une consultation sur les mesures sanitaires envisagées ou prises au sein de l’entreprise peuvent être mises à l’ordre du jour.Organiser la coopération des acteurs du chantierPour chaque chantier, les questions de coordination sur les mesures de prévention liées à la circulation du virus de la Covid-19 doivent être abordées. Le maître d’ouvrage, le coordonnateur SPS, le maître d’œuvre et les entreprises pourront ainsi échanger sur les moyens organisationnels, comme l’accessibilité et les points d’eau nécessaires, la gestion de la coactivité, la configuration des installations de chantier… Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « Tous les gestes adoptés pendant la pandémie ont permis de travailler en sécurité sur les chantiers. Nous avons tout à gagner à les conserver. Rappelons aussi que la vigilance de chacun au respect des gestes barrières, le port du masque dès l’apparition des premiers symptômes et la vérification de son statut au regard du virus par un test sont essentiels pour protéger les autres. » Dans sa boîte à outils Covid-19, l’OPPBTP propose de nombreuses ressources ainsi qu’une base de Questions / Réponses spécifiques sur la Covid-19 à destination des professionnels. Une nouvelle page « Focus COVID-19 » est également disponible sur le site de PréventionBTP. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct.
Il y a 2 ans et 251 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 259 jours

Une nouvelle aire de stationnement aéroportuaire pour le ministère des Armées, à Evreux

CHANTIER. Dans l'Eure, les équipes du groupe NGE ont oeuvré tout l'été à la création d'une aire de stationnement pour A330, pour le compte du ministère des Armées. Une opération qui a aussi été l'occasion de tester du matériel pour réduire la pénibilité des compagnons.
Il y a 2 ans et 293 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique réagissent à la hausse de l'obligation des CEE

Pour EffyLa ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher et le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein, lançaient il y a quelques jours le groupe de travail "Logement", qui réunit les acteurs privés et publics du logement pour contribuer au grand Plan Sobriété Énergétique annoncé par le président de la République le 14 juillet.A cette occasion a été annoncé un renforcement du dispositif des Certificats d’Economies d’Energies (CEE), à hauteur de 4,8 milliards d’euros. Il implique une hausse de 25% du niveau de l’obligation des CEE et étend immédiatement le « Coup de pouce chauffage » aux logements collectifs pour recourir à des dispositifs de chauffage vertueux (réseaux chaleur, PAC, chaudière biomasse). Un appel à programme de 150 millions d’euros est lancé pour aider spécifiquement les familles en situation de fragilité dans leurs travaux d’économie d’énergie.Effy, qui appelait depuis de longs mois à une revalorisation du niveau de l’obligation CEE, salue cette première étape qui devra rapidement en appeler d’autres pour impulser une vraie dynamique de reprise de la demande de travaux de rénovation énergétique. Depuis 18 mois, les primes CEE (Certificats d’Economies d’Energie) baissent. En particulier celles qui incitent aux travaux d’isolation et celles destinées aux ménages très modestes (qui ont été divisées par près 3 en moins d’un an). La baisse de ces aides aux travaux de rénovation énergétique arrive au plus mauvais moment. Alors que l’inflation fragilise de plus en plus le pouvoir d’achat des Français, la hausse des prix de l’énergie devient insoutenable pour les familles les plus modestes. Or, ces primes CEE ont depuis longtemps prouvé leur efficacité pour inciter à lancer des travaux d’économie d’énergie, sans peser sur les finances publiques. C’est le principal levier pour les fournisseurs d’énergie et de carburant de remplir les obligations d’économies d’énergie que l’Etat leur impose. La logique est mathématique. En relevant ces niveaux, il faut faire plus de travaux et pour cela, les fournisseurs augmentent les primes pour en déclencher. Si l’État pilote le dispositif, les financements CEE sont donc apportés par des entreprises privées. Une hausse de l’obligation d’économies d’énergie était attendue depuis plus de 6 mois par les artisans et entreprises de la filière. Le gouvernement y répond en augmentant de 25 % le niveau d’obligation pour la période 2022-25.Pour Frédéric Utzmann, Président du groupe Effy : « La sobriété ne peut se limiter à éteindre la lumière, laver son linge la nuit ou fermer la porte lorsque l’on climatise… elle doit aller au-delà. Il faut pouvoir financer des actions de fond et rentables comme des travaux d’économie d’énergie ! Le dispositif dévoilé aujourd’hui par le gouvernement va dans le bon sens, et nous saurons, dans quelques semaines, s’il est assez ambitieux car la France a pris du retard depuis un an. »Effy regrette fortement que ne soit pas prévu un encadrement des prix du CEE. Une initiative attendue et nécessaire pour donner plus de stabilité au montant des primes dont bénéficient les ménages, plus de visibilité pour tous les acteurs de la rénovation énergétique et moins de volatilité pour les obligés qui financent le dispositif… Une occasion manquée pour le gouvernement qui aurait enfin pu clarifier sur quel niveau il souhaite stabiliser les prix.Ces annonces sont donc à notre sens une première étape qui va dans le bon sens, mais qui doit rapidement en appeler d’autres si elle ne s’avère pas rapidement suffisante pour que le marché redémarre.Pour Teskial Face au ralentissement observé au premier semestre 2022 des travaux de rénovation énergétique aidés par les Certificats d’Economies d’Energie (CEE), TEKSIAL prend acte de l’annonce faite par le Gouvernement à l’occasion du lancement du groupe de travail « Logement » du Plan de « sobriété énergétique », le 27 juillet 2022, d’augmenter le volume d’obligation pour la 5ème période. Cette rehausse a pour objectif de tendre vers le haut les prix des CEE et ainsi de relancer la filière. Une augmentation qui irait au-delà du surplus technique observé en fin de 4ème période et qui est à mettre en perspective avec le Plan de « sobriété énergétique » visant à réduire de 10% la consommation d’énergie sur les deux prochaines années. Rehausse à mettre également en regard avec le nouvel objectif européen de 36% de réduction de la consommation d’ici à 2030. TEKSIAL, acteur dédié depuis plus de 35 ans à l’accompagnement dans la maîtrise des consommations énergétiques, l’efficacité et la rénovation énergétique, suit de près les évolutions du marché des CEE. TEKSIAL salue l’annonce du Ministère d’un « renforcement significatif » des CEE, avec « une hausse de 25% du niveau d’obligation des CEE », soit d’environ 600 TWhc. Cette annonce était attendue depuis plusieurs mois par les acteurs du marché de l’efficacité énergétique dans un contexte de transition chaotique entre la 4ème (2018-2021) et la 5ème période des CEE (2022-2025). Une rehausse qui irait au-delà du surplus technique observé en fin de 4ème période qui a donné lieu à un marché secondaire moribond Depuis 2021, il avait été anticipé un excédent de CEE en fin de 4ème période, dont l’obligation était fixée à 2.133 TWhc. Plusieurs variables viennent expliquer cette surproduction, qui serait estimée environ à 400 TWhc, soit environ 16% de l’obligation totale de la 5ème période des CEE. Parmi les explications, on trouve le surdimensionnement de certains coups de pouce qui, bien que nécessaires notamment pour les ménages en situation de précarité énergétique, ont conduit à une bulle semblable à celle du photovoltaïque du début des années 2000. La rehausse de l’obligation, telle qu’annoncée le 27 juillet 2022 par le Ministère de la Transition énergétique permettrait ainsi de combler cet excédent de production, ce dont TEKSIAL se félicite, mais aussi probablement de revaloriser certaines aides, notamment pour les plus précaires qui se retrouvaient jusqu’alors pénalisés. TEKSIAL espère que la filière pourra retrouver un niveau qui permettra de donner de l’ampleur aux projets de rénovation et d’efficacité énergétique. Le marché doit aujourd’hui être orienté par une véritable boussole pour atteindre les ambitions françaises de sobriété et ce dans les conditions critiques que nous connaissons depuis plusieurs mois : crise énergétique, crise des matériaux et des transports dans le secteur du BTP, projets de travaux des Français mis en stand-by. Des orientations européennes qui pourraient également avoir un impact sur le niveau des objectifs d’efficacité énergétique de la France à moyen terme Le Fit-for-55 est un ensemble de textes de la plus haute importance. Le Conseil de l’Union européenne a adopté en juin dernier, de nouvelles orientations générales parmi lesquelles la réduction de 36% au moins de la consommation finale d’énergie européenne d’ici 2030. De ce nouvel objectif relevé, initialement fixé à 32,5%, vont découler des révisions de directives européennes qui elles-mêmes se traduiront par de nouveaux textes pour chaque Etat membre. C’est aussi probablement dans ce contexte que les pouvoirs publics ont souhaité reconsidérer les niveaux d’obligation des CEE, dispositif qui participe pleinement de la réduction des émissions de carbone.Pour Hellio Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l’énergie, qui militait en faveur d’un doublement du volume d’obligation depuis plusieurs mois, salue cette décision et espère que cette hausse du niveau de l’obligation permettra de relancer la rénovation énergétique dans tous les secteurs : Pour Pierre Maillard, PDG de Hellio : « Nous saluons la hausse de l’obligation CEE de 25% et notamment qu’elle soit également à destination des secteurs tertiaires privés et publics, industriels, agricoles et transports que nous accompagnons au quotidien. Le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie est un dispositif vertueux pour tous les maillons de la chaîne du bâtiment, primordial alors que la France subit une hausse des prix de l’énergie sans précédent, avec, en ligne de mire, une tension énergétique. Notre volonté restera toujours d’accompagner nos clients dans l’atteinte d’économies d’énergie réelles avec une prise de responsabilité des acteurs, tel que Hellio. Condition sans quoi, la transition énergétique ne se fera qu’à petits pas. »Pour le Syndicat des fabricants de ouate de cellulose Pour Charles Kirié, Président de l’ECIMA qui avait lancé l’alerte en février dernier, suivi par les grands acteurs de la filière isolation : « Cette annonce est une excellente nouvelle et attendue depuis plusieurs mois par les acteurs de la filière isolation. L’augmentation de la production de KWhc va permettre de relancer un marché en difficulté depuis l’arrêt de l’offre Coup de Pouce. Nous ne relâchons pas pour autant la pression, car il y a un véritable enjeu énergétique qui doit être pris en compte. Les travaux de rénovation globale doivent intégrer les travaux d’isolation des combles, avec des matériaux à forte inertie thermique. Nous souhaitons également toujours limiter l’effet yoyo en annualisant les objectifs des obligés (actuellement fixés sur 3 ou 4 ans). Cela préserverait les entreprises de la filière isolation. »
Il y a 2 ans et 312 jours

Paschal : Emballé, c’est coffré !

Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. [©Paschal] En Allemagne, près d’Europapark, se situe Ringsheim, une commune de 2 000 habitants. Là, un complexe hôtelier de style méditerranéen a été construit entièrement en béton. Les travaux de gros œuvre ont été achevés en cinq mois. L’ouverture de l’hôtel est prévue fin 2022. En forme de “L”, comptant cinq étages pour une hauteur totale de 16 m, il comprendra 110 chambres et un parking souterrain. Le bâtiment est entouré de bungalows à un ou deux étages, soit 40 logements supplémentaires. Malgré sa taille imposante, le complexe offrira aux visiteurs d’Europapark une nouvelle possibilité d’hébergement confortable de proximité. Pour la construction, l’entreprise Weisenburger Bau a fait confiance aux matériels de coffrage Paschal. Paschal assure le coffrage de l’hôtel La solution Logo.3 de l’industriel a pu démontrer tous ses avantages dans ce projet. Avec seulement 430 m2 de coffrages, les compagnons ont pu réaliser toutes les surfaces verticales. Y compris les trémies d’escalier et d’ascenseur, grâce aux panneaux d’une hauteur de 3,70 m. Mais pour les murs du rez-de-chaussée, des éléments de coffrage d’une hauteur de 1,35 m ont été utilisés, en complément, en tant que coffrage de rehausse. Pour la réalisation des dalles d’étages, environ 1 300 m2 du coffrages de dalles flexibles Paschal Deck avec des poutrelles primaires et secondaires ont été utilisés sur le chantier. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Par ailleurs, la voie d’accès arrondie du parking souterrain a été traitée avec 112 m2 de coffrages circulaires à poutres trapézoïdales d’une hauteur de 4,50 m. D’ailleurs, les banches de coffrage ont été pré-arrondies et livrées prêtes à l’emploi sur le chantier. Enfin, Paschal a veillé à ce que toutes les exigences soient satisfaites et que les délais soient respectés. Pour cela, le service technique d’application de Steinach, où est située l’usine, a élaboré un plan de coffrage sophistiqué pour les murs, les cages d’ascenseur, les dalles et la rampe. Permettant ainsi d’obtenir une structure uniforme en qualité apparente, avec une réalisation ordonnée des joints de bétonnage.
Il y a 2 ans et 319 jours

EUROBOIS 2022 : une édition réussie

L’ensemble des exposants et partenaires sont unanimes vis-à-vis de la dynamique de cette édition d’Eurobois. L’affluence le confirme avec 22 883 professionnels présents durant les 4 jours et l’augmentation de la part du visitorat national entre 2020 et 2022, qui représentait 50% cette année, en hausse de 5 points par rapport à 2020. Les visiteurs étaient majoritairement composés de porteurs de projets, acheteurs et décideurs, venus visiter le salon avec des objectifs concrets (lancement de nouvelles activités, investissements en équipements, recherches de partenaires…). Le Top 5 des activités visiteurs les plus représentées sur le salon sont : la décoration et de l’agencement intérieur, la menuiserie, la charpente, la scierie – l’affûtage – le séchage et enfin les fabricants de matériel et machines diverses. Dans un contexte de forte croissance liée aux nouvelles réglementations et au soutien des pouvoirs publics, la filière bois peine à recruter. Et même si la situation tend à s’améliorer (+2% de recrutements depuis 2 ans), les efforts doivent être maintenus. Alors que plus de 70 000 projets de recrutement sont prévus à l’échelle nationale cette année, le campus Eurobois soulignait l’engagement du salon aux côtés des professionnels. Plus de 100 offres d’emploi ont ainsi été proposées sur le Mur de l’Emploi, dans différentes spécialisations et 15 organismes de formation étaient présents sur le Campus Eurobois pour présenter leurs formations initiales et continues : Centre de Formation Forestière (Saugues) Centre de formation professionnelle du Pays des Bleuets CFPF DE CHATEAUNEUF DU RHONE – Centre de Formation Forestière de Châteauneuf du Rhône CFPPA REINACH FORMATIONS (Savoie) Compagnons du devoir L’Ecole Technique du Bois (01) ENSTIB (Lorraine) EPLEFPA Roanne Chervé, Site du Lycée Nature et Forêt ESB (Nantes) FIBOIS (Lyon) FORMABOIS (Québec) GRETA CFA Lyon métropole Institut des Métiers Lycée Claude Mercier (03) Master Sciences du Bois Faculté des Sciences – Université de Montpellier … Pôle Emploi était également présent sur 2 journées afin d’informer les visiteurs sur les offres d’emploi disponibles dans la filière En plus des animations historiques du salon, comme l’atelier de Fabrication de Panneaux MOB, le Plateau Batijournal TV ou encore les nombreuses démos sur le salon, de nouvelles animations sont venues enrichir cette édition 2022. Eurobois donne dès à présent rendez-vous du 6 au 9 février 2024 pour sa prochaine édition.
Il y a 2 ans et 322 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 326 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur
Il y a 2 ans et 333 jours

Lancement d’une nouvelle étude métier afin d’améliorer les conditions de travail des charpentiers

A partir d’informations quantitatives et qualitatives issues d’observations de l’activité et d’entretiens, les partenaires souhaitent mettre en œuvre des pistes d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels concernés.Accompagner en prévention le développement de la construction boisAvec le développement de la construction bois ces dernières années, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles ont recours à la construction hors site pour leurs chantiers. Bien que cette méthode de construction en atelier ou en usine présente de nombreux avantages, elle induit la pose d’éléments lourds et/ou volumineux sur chantier, qui peut être facteurs de risques : adéquation des moyens de levage/manutention, prise au vent des panneaux de murs, basculement de ces derniers et risques d’écrasement des compagnons. Ces chantiers présentent aussi des situations de travail en hauteur, notamment pour l’élingage et le désélingage des murs, ou encore la mise en œuvre des étages. En outre, ces dernières années, la préfabrication des planchers a également émergé. Cette pose d’éléments horizontaux est nouvelle et il est donc nécessaire d’améliorer la connaissance du métier, pour mieux comprendre les risques auxquels sont confrontés les compagnons et y apporter les solutions adéquates.Une étude métier qui repose sur une méthodologie d’intervention spécifiquePartant de ce constat, la Fédération des SCOP du BTP, l’Union des Métiers du Bois (UMB-FFB), l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), la CAPEB et l’OPPBTP ont initié une démarche d’étude métier afin de sensibiliser les professionnels et de pouvoir améliorer les conditions de travail des charpentiers. Celle-ci repose sur une méthodologie d’intervention dénommée « Méthode d’Analyse et d’Evaluation des Conditions de Travail » (MAECT). Elle comprend une première phase tournée vers l’observation et l’analyse d’une situation de référence préalablement déterminée par les organisations professionnelles, qui conduit à la proposition de recommandations d’actions. Une Commission d’amélioration des conditions de travail est ensuite mise en place afin de développer tout ou partie de ces actions. Afin de dresser un état des lieux précis et complet, les observations de l’activité seront simultanément associées à une métrologie spécifique aux activités du charpentier pour chaque salarié observé :Mesures d’exposition aux poussières totales (dont poussières de bois) ;Mesures d’exposition au bruit : dosimétries et sonomètre pour mesurer le bruit ambiant si nécessaire ;Mesures de la fréquence cardiaque ;Mesures d’exposition aux vibrations lors des phases de mise en oeuvre (visseuse, cloueuse et outils mécaniques à main si nécessaire) ;Relevés de température et d’hygrométrie (ambiance climatique).Une situation de travail représentative du métier de charpentier en construction boisL’étude métier se concentre sur une situation de travail fréquente et représentative de l’ensemble des facteurs de risques auxquels ces professionnels sont exposés : la mise en oeuvre de planchers et de murs à ossature bois sur un chantier de logement individuel neuf.Afin de couvrir l’ensemble des pratiques, l’étude métier permettra d’observer quatre chantiers issus d’entreprises volontaires et adhérentes de chacune des Organisations professionnelles participant au projet. Parmi ces 4 chantiers avec pose de murs à ossature bois, seront également observés :Deux chantiers mettant en œuvre un plancher préfabriqué en atelier,Deux chantiers mettant en œuvre un plancher dont les poutres et solives sont posées sur site.Pendant trois jours consécutifs, la phase d’observation permettra d’observer au plus près les conditions de travail des opérateurs, selon 21 facteurs, des plus évidents (manutention manuelle, gestes, postures…) au plus sous-estimés (communication, autonomie).L’Instance d’Amélioration des Conditions de Travail proposera ensuite des solutions pratiques et facilement applicables, quelle que soit la taille de l’entreprise concernée.Les observations sur le premier chantier sont menées en juin 2022.