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Il y a 2 ans et 317 jours

L'usine de Renault Cléon "temple du moteur thermique" accélère son virage électrique

Située dans une boucle de la Seine, à quelques kilomètres de Rouen, l'usine qui a produit les moteurs des 4L, R5 ou Twingo est métamorphosée. Dans le très propre atelier électrique, sur un léger bruit de fond mécanique, quelques dizaines de salariés assemblent des pièces de moteur ou surveillent les machines qui enroulent du cuivre sur de l'aluminium.Après deux ans de rénovation, le constructeur a inauguré mardi la ligne de montage d'un moteur électrique de puissance moyenne (160 kilowatts, soit 220 chevaux). Il équipe son nouveau porte-étendard électrique et haut de gamme, la Mégane E-Tech.Refroidi à l'huile pour de meilleures performances, il est 25% plus compact et 15% plus léger que le moteur de la Zoé, souligne Thomas Denis, le directeur de l'usine.Ce nouveau moteur a été développé dans le cadre de l'Alliance avec Nissan, et son clone produit au Japon équipe aussi le nouveau SUV de la marque nippone, l'Ariya.En 2021, les salariés de Cléon ont encore produit 600.000 moteurs et boîtes de vitesse pour des modèles thermiques, ainsi que 167.000 moteurs hybrides et 150.000 moteurs électriques, notamment pour la Zoé. Mais la production de moteurs électriques devrait doubler dans les deux prochaines années.Un an en formationEt en ajoutant un moteur électrique plus petit pour la nouvelle R5, dont les lignes sont encore protégées par des bâches, la production devrait passer à 500.000 électriques et 510.000 hybrides à partir de 2024, avec un départ total des moteurs thermiques à l'étranger en 2030.Pour le directeur industriel de Renault, l'Espagnol Jose Vicente de los Mozos, "c'est l'exemple d'une transformation industrielle", avec "un avenir clair", a-t-il lancé lors de l'inauguration.L'usine doit aussi produire à partir de 2027 un puissant moteur de 200 kilowatts, conçu sans terres rares, et produit en partenariat avec l'équipementier français Valeo.Cléon aurait ainsi sa place dans la future entité électrique de Renault. Celle-ci doit rassembler 10.000 salariés en France à horizon 2023, avec notamment les trois usines de son pôle "ElectriCity", dans les Hauts-de-France.A la fin de la ligne de montage, Elise Delabrière, 33 ans, vérifie les moteurs avant leur transfert à l'usine d'assemblage de Douai. Embauchée à Cléon en 2017, elle a commencé sur les lignes de la Mégane thermique avant de partir en formation pendant un an. "J'ai découvert l'installation des machines. Au début, on n'était que dix", explique la conductrice de ligne.Moins de main-d'oeuvrePrès de l'entrée du site, le centre de formation interne doit accueillir en juillet ses premiers salariés. Cléon a annoncé fin juin l'embauche de 100 nouveaux collaborateurs en CDI "pour accompagner la transformation électrique du site".Le nombre de salariés n'a pourtant cessé de baisser à Cléon, notamment dans le cadre d'un plan de départ global lancé par Renault début 2021. "On a 3.096 CDI en activité, alors qu'on était à 3.600 il y a deux ans", souligne William Audoux, représentant de la CGT dans l'usine.Les moteurs électriques demandent moins de main-d'oeuvre: la direction de Renault indique que la fabrication du nouveau moteur est automatisée à 60%, contre 40% pour le moteur de la Zoé, et entre 7 et 30% pour un moteur thermique, selon les pays de fabrication.La direction dénombre de son côté 3.228 salariés. "On n'a laissé personne de côté", a assuré M. de los Mozos.Pour atteindre ses ambitieux objectifs ambitieux d'électrification, Renault devra également se sortir de la pénurie de puces électroniques, qui a ralenti la production à Cléon comme dans de nombreuses autres usines automobiles.Outre les suppressions de postes, la CGT critique le positionnement de Renault sur le haut de gamme, qui doit redorer le blason du Losange, mais met ces modèles hors de portée financière des ouvriers."Pour fabriquer les produits, il faut vendre les voitures, et pour les vendre, il faut que les gens aient du pouvoir d'achat", alors que l'inflation progresse et que les salaires n'augmentent pas assez, a souligné M. Audoux.
Il y a 2 ans et 320 jours

L'architecte française A. Tavella récompensée pour la réhabilitation d'un couvent en Corse

PRIX. Amelia Tavella a reçu le premier prix du Tecu Architecture Award pour son projet "Renaissance du couvent Saint-François". La maîtrise du cuivre et le parfait respect de l'histoire de ce bâtiment du XVe siècle ont été salués.
Il y a 2 ans et 333 jours

Le secteur du BTP mis à rude épreuve

L’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. [©ACPresse] Le BTP s’accroche. Malgré les difficultés d’approvisionnement et de recrutement, l’activité du secteur garde une bonne dynamique sur le début 2022, selon la FFB. En témoigne le niveau élevé des carnets de commandes de plus de sept mois à la fin mars. Les entreprises résistent, notamment grâce au lancement des remboursements des prêts garantis par l’Etat (PGE). Ainsi, le nombre de défaillances sur les quatre premiers mois de 2022 s’avère 40 % inférieur à celui de 2019. Lire aussi :L’Ecima fait part de son inquiétude au nouveau gouvernement En parallèle, l’emploi continue de progresser avec plus de 8 000 postes créés sur le premier trimestre. Depuis le printemps 2020, le BTP affiche 86 600 postes supplémentaires, soit une hausse de 7 %. Cependant, le secteur peine à trouver de nouvelles recrues. A cela s’ajoute une crise des matériaux qui reste toujours d’actualité. La hausse des prix des matériaux Selon l’Insee, entre novembre 2021 et avril 2022, les prix de l’acier et de l’aluminium ont augmenté de 27 %. Les tuiles enregistrent aussi une hausse de 20 %, tout comme les produits en PVC (16 %), en céramique (12 %), en cuivre ou encore en plastique (10 %). De manière générale, l’index BT01 calculé par l’Insee résume l’ensemble des coûts d’une entreprise moyenne du bâtiment. Il affiche une hausse de + 3 % sur les trois premiers mois de 2022. En comparaison, sur l’ensemble de l’année 2021, les chiffres montraient une hausse de + 5 %. Lire aussi :Bourgogne – Franche-Comté : Bonne tenue de la construction dans l’Est Par ailleurs, des craintes sur l’activité en 2023 se font ressentir. En effet, l’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. La FFB et d’autres acteurs de la construction ont déjà signalé sa probable chute à l’horizon de la fin 2022. En témoigne la baisse de 8 % des permis de construire pour les maisons individuelles en avril 2022 par rapport à avril 2021. Quant au logement collectif, les ventes continuent de plonger et la situation des permis progresse lentement sous l’effet de l’anticipation de la RE 2020. Les Assises du BTP très attendues Pour redresser la barre, la FFB compte sur les Assises du BTP. Annoncées par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ces dernières permettront d’aborder tous les sujets de préoccupations que le secteur subit. « Il faudra revenir sur la solidarité de la filière et réfléchir sur l’indexation des prix des marchés et des aides comme les CEE et MaPrimeRénov’ », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. Les Assises du BTP seront aussi l’occasion d’aborder la transition écologique et numérique. Un point crucial pour la transformation du secteur, en termes de marchés, d’emplois ou de formations. Ce regroupement devrait ainsi permettre de réguler tout un secteur qui maintient le cap, mais qui fait face à de nombreuses menaces qui le fragilisent…
Il y a 2 ans et 340 jours

Conjoncture du Bâtiment à début juin : l'activité tient encore, malgré la crise des matériaux

L’activité tient encorePar ailleurs, les entreprises résistent pour l’heure. Alors que le remboursement des PGE a commencé, le nombre de défaillances sur les quatre premiers mois de 2022, bien qu’il se redresse, s’avère encore 40% inférieur à celui relevé sur les quatre premiers mois de 2019, soit avant la crise sanitaire.Le PIB et ses composantes - © FFB d'après l'INSEEEn conséquence, l’emploi continue de progresser dans le secteur, de plus de 8 000 postes sur le premier trimestre 2022. Depuis le premier confinement du printemps 2020, le secteur n’a jamais cessé de créer de l’emploi et affiche 86 600 postes de plus, soit une hausse de près de 7%, près de deux points de pourcentage de plus que l’ensemble de l’économie. Cela explique pour partie les difficultés de recrutement, toujours particulièrement fortes dans le bâtiment. Malgré cela, les perspectives d’embauches à l’horizon de l’été restent assez bien orientées.Taux d’inflation en France - © FFB d'après l'INSEEMais une crise des matériaux toujours d’actualité…Le contexte s’avère toutefois difficile, avec une crise des matériaux qui ne trouve pas de terme. Selon les données Insee, entre novembre 2021, début de la crise de l’énergie, et avril 2022, les prix des aciers pour la construction et des demi-produits en aluminium ont encore progressé de 27%, ceux des tuiles de 20%, ceux des produits PVC de 16%, ceux des produits céramiques de 12%, ceux des demi-produits en cuivre des produits verriers ou plastiques de près de 10%, etc. Taux de chômage - © FFB d'après l'INSEEPlus globalement, malgré une quasi-stabilité du coût horaire du travail et sous l’effet d’une progression moyenne de 6% du coût des matériaux mis en œuvre, l’index BT01 calculé par l’Insee, qui résume l’ensemble des coûts d’une entreprise moyenne du bâtiment, s’affiche à +3% sur les trois premiers mois de 2022, après plus de +5% sur l’ensemble de 2021.Taux et durées des crédits immobiliers accordés aux particuliers - © FFB d'après l'INSEELes litanies de hausses qui se succèdent depuis la fin 2020 fragilisent évidemment les entreprises de bâtiment. Et de fait, au premier trimestre 2022, une claire dégradation de la marge opérationnelle de la construction se lit dans les comptes trimestriels de la Nation publiés par l’Insee. Ce constat confirme que, la solidarité de filière appelée de ses vœux par la FFB depuis deux ans doit impérativement devenir réalité, à la fois par de la tempérance sur les prix des matériaux et par l’insertion systématique de clauses de variations de prix.Perspectives de mises en chantier exprimées par les promoteurs - © FFB d'après l'INSEE… Et des craintes sur l’activité en 2023Le marché de l’amélioration-entretien, qui représente environ 54% du chiffre d’affaires du bâtiment, accélère un peu en début d’année. De fait, l’activité progresse de 1,4% en volume par rapport au premier trimestre 2021, après +1,1% au trimestre précédent. Toutefois, la suite de l’année devrait encore bénéficier de la dynamique de MaPrimeRénov’, qui ne se dément pas, avec 207 000 primes accordées sur les quatre premiers mois de 2022, soit +19% sur un an. Il faut toutefois signaler que la dégradation du marché des CEE et l’instabilité de l’aide brident l’activité. Ventes de maisons individuelles en secteur diffus - © FFB d'après l'INSEELe non résidentiel neuf constitue la bonne nouvelle du moment. En glissement annuel sur quatre mois à fin avril 2022, les surfaces commencées et autorisées s’y redressent de 26% et 12%. Pour autant, ces évolutions positives maintiennent encore le segment bien en-deçà des niveaux d’avant-crise sanitaire. Évolutions régionales (en %, en glissement annuel) des ventes de logements neufs - © FFB d'après l'INSEEEn revanche, l’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. Plusieurs acteurs –dont la FFB– ont déjà signalé à de nombreuses reprises sa très probable chute à l’horizon de la fin 2022. Les chiffres récents confirment ce risque, notamment avec la fin du choc positif créé par l’anticipation de la RE2020 en maison individuelle. De fait, sur ce segment, les permis abandonnent 8% en avril 2022 par rapport à avril 2021, en droite ligne de l’effondrement des ventes constaté depuis le début de l’année. Les mises en chantier suivront dans les prochains mois. Quant au collectif, les ventes de logements continuent de plonger et la situation ne s’améliore que transitoirement du côté des permis, sous l’effet de l’anticipation de la RE2020 là encore.Glissement annuel sur douze mois à fin avril 2022 des mises en chantieret autorisations de logements (en %) - © FFB d'après l'INSEEDe la nécessité d’accompagner un secteur qui porte l’économieIl n’est pas trop tard pour redresser la barre et assurer la visibilité nécessaire au secteur. C’est d’ailleurs indispensable puisque le bâtiment s’avère aujourd’hui l’un des rares secteurs à tirer l’économie et, plus encore, l’emploi pérenne en France, tout en répondant à des réels besoins. Évolutions (en volume) de l’activité d’amélioration-entretien - © FFB d'après l'INSEEDans un contexte de bouleversement économique mondial, il importe de protéger cet atout maitre, d’autant qu’on ne réussira pas l’indispensable transition écologique sans artisans et entreprises de bâtiment présents sur tout le territoire.Les Assises du BTP annoncées par Bruno Le Maire et souhaitées rapidement après les législatives tombent donc à point nommé. Elles permettront d’aborder tous les sujets de préoccupations évoqués précédemment.Évolutions (en volume) de l’activité de rénovation énergétique - © FFB d'après l'INSEEIl faudra revenir sur la solidarité de filière, y compris à son amont (industriels et distributeurs), et sur l’indexation des prix des marchés, modalités de financement comprises. Le sujet de l’accompagnement de la trésorerie des entreprises sera aussi abordé, avec des questions tournant autour de l’allongement du remboursement des PGE, des avances sur marché, etc.Il conviendra encore de réfléchir au financement de la RE2020 et à l’indexation des aides (PTZ, MaPrimeRénov’, CEE, …) dans un contexte à nouveau inflationniste. Ce contexte renforce d’ailleurs notre demande de mise en place d’un mécanisme d’amortissement généralisé en faveur du l’investissement locatif privé en lieu et place des dispositifs fiscaux dérogatoires.Carnets de commandes des entreprises de bâtiment - © FFB d'après l'INSEENous y porterons également notre demande de tempérance législative et règlementaire pour éviter l’accumulation trop rapide des surcoûts associés, mais non financés (RE2020, ZAN, REP, suppression de l’accès au GNR, conséquence de la SFEC…). La FFB militera d’ailleurs pour une simplification tous azimuts permettant de gagner en fluidité et de lever les blocages dans la construction neuve, d’abord en généralisant effectivement la dématérialisation du dépôt et de l’instruction des permis, mais aussi en étudiant sérieusement la piste du permis déclaratif ou en encadrant les processus dilatoires de pré-instruction des permis, etc.Il conviendra aussi d’y aborder la transition écologique et digitale, de bien mesurer ce qu’elle implique comme transformation du secteur en termes de marchés, d’emploi, de formation, de structures d’entreprise et d’organisation de la filière à l’horizon 2050.Ces Assises constituent donc bien un chantier de début de quinquennat. Il doit permettre de mieux répondre aux menaces immédiates qui pèsent sur le bâtiment, mais aussi, dans un monde qui connait de grands bouleversements, de préparer l’avenir du secteur au service de nos concitoyens et de notre économie. Vaste et enthousiasmant programme !
Il y a 2 ans et 340 jours

L’activité du bâtiment tient encore

Olivier Salleron, Président de la Fédération Française du Bâtiment, vient de tenir une conférence de presse durant laquelle, il a présenté les chiffres de la construction et de la rénovation, ainsi que la prévision d’une forte hausse des prix pour compenser celle des matériaux. Les mises en chantier de logements neufs se stabilisent sur quatre mois à fin avril 2022, la hausse de l’individuel (+8,3 %) compensant la chute du collectif (-6,1 %). Quant aux autorisations, sur la même période, elles s’envolent de 21,8 %, sous l’effet du traitement des dépôts massifs de permis en décembre 2021, par anticipation de la RE2020. Ce choc positif est arrivé à son terme dans l’individuel (chute de 8,1 % en avril 2022 par rapport à avril 2021), alors qu’il se poursuit encore dans le collectif (+32,0 %) en raison de délais d’instruction plus longs. Dans le non résidentiel neuf, les surfaces commencées se redressent nettement de 26,0 % sur quatre mois à fin avril 2022, grâce aux bâtiments industriels et assimilés (+67,8 %), ainsi qu’aux bâtiments administratifs (+25,1 %) et commerces (+19,0 %). Les surfaces autorisées progressent, quant à elles de 12,4 % sur la même période, portées par les commerces (+52,1 %), mais également par les bureaux (+17,3 %) et les bâtiments industriels et assimilés (+11,8 %). Elles se maintiennent pour autant encore bien en-deçà de leur niveau d’avant-crise (-11,8 %). Pour l’activité en amélioration-entretien, les résultats provisoires de l’enquête des Cerc sur le premier trimestre 2022 montrent une légère accélération, à +1,4 % par rapport au premier trimestre 2021. Toutefois, la rénovation énergétique semble marquer le pas, à +1,1 %, en revanche, ce segment ressort bien au-dessus de son niveau d’avant-crise (T1 2019), à +2,2 %. La croissance de l’emploi ralentit, avec 25 600 postes supplémentaires entre les premiers trimestres 2021 et 2022, dont 23 300 salariés. À l’horizon de l’été 2022, on relève quelques inquiétudes côté entreprises. Les perspectives d’activité se tassent en neuf comme en rénovation, malgré des carnets de commandes toujours bien garnis. Les chefs d’entreprise de plus de dix salariés interrogés par l’Insee en mai 2022 prévoient très majoritairement, et beaucoup plus que par le passé, une poursuite de la hausse de prix bâtiment. Ces hausses s’avèrent indispensables pour compenser les nouvelles augmentations, parfois vertigineuses, de coûts des matériaux, suite au déclenchement du conflit entre l’Ukraine et la Russie, comme le montrent les évolutions, entre décembre 2021 et avril 2022, des prix de production des aciers pour le bâtiment (+27,5 %), des demi-produits en aluminium (+23,9 %), des produits PVC (+13,9 %), ainsi que des demi-produits en cuivre ou alliage (+10,7 %). Il faut encore ajouter à cette liste les tuiles (+20,0 %), les produits céramiques (+13,1 %), plastiques (+9,6 %) et verriers (+8,3 %). Graphique : Ventes de maisons individuelles en secteur diffus – Source : CGI Bâtiment/Caron Marketing, Markemétron  
Il y a 2 ans et 344 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de zinguerie?

La zinguerie rassemble toutes les pièces métalliques servant à étancher la toiture. Cela concerne donc les chéneaux, les faîtages et les gouttières. Mais il y a aussi les solins. Traditionnellement fabriqués en zinc, ces éléments peuvent actuellement être faits à partir d’autres matériaux comme le cuivre ou l’acier. Certains artisans utilisent même de l’inox ou de l’aluminium. Sans oublier le PVC et les matières composites qui sont très appréciés par les professionnels. D’ailleurs, les matériaux de zinguerie sont en constante évolution et les tâches s’amplifient. Découvrez ci-après les différents travaux pouvant être confiés à un zingueur. Poser les éléments de zinguerie Pour mettre en place les éléments de zinguerie de votre toiture, l’intervention d’un professionnel est requise. A savoir que chaque composant est indispensable pour garantir la mise hors eau du toit. Alors, n’hésitez pas à vous rendre sur ce blog sur le couvreur zingueur pour trouver un artisan qualifié. Cet expert procèdera à différents types d’opération. Les chéneaux Il existe principalement deux méthodes d’installation de chéneaux. En effet, ils peuvent être installés sur un support solide en respectant la structure du toit ou entre deux pans et un mur. Ces éléments sont fabriqués sur mesure et leurs tailles sont adaptées à celles des surfaces à traiter. Par ailleurs, ils sont invisibles depuis l’extérieur de la maison, parce qu’ils sont intégrés aux gros-œuvres. Leur mission est de guider les eaux de pluie aux gouttières. Concernant leur capacité d’évacuation, elle dépend essentiellement de leur profondeur. Mais elle est tributaire de leur largeur, leur forme ainsi que leur développé. Les gouttières Elles sont mises en place aux extrémités des pentes de la toiture pour recevoir et guider les eaux de pluie vers les égouts. On a le choix entre deux types de pose : rampant ou pendant. Des gouttières pendantes sont fixées soit sur la planche de rive soit sur le versant avec des crochets. D’ailleurs, elles existent sous différentes formes. Vous pouvez donc choisir des gouttières demi-rondes, carrées, moulurées, lyonnaises ou à l’anglaise. Les modèles rampants quant à eux sont directement posés sur la corniche avec des crochets. Ce style d’installation convient plus aux toitures avec une inclinaison importante. Discrets, ils sont généralement plus chers que les structures pendantes. Les solins Ils sont installés sur les parties de raccordement du toit comme la cheminée, les jonctions au mur ou les colonnes d’évent. Ils y sont posés avec des chevilles à frapper. Pour boucher les écartements, le zingueur y ajoute du joint mastic. Sachez que les solins servent à faciliter l’écoulement des eaux pluviales sur la toiture. Les faîtages Ils sont installés le long des joints des versants. L’installation varie en fonction du matériau utilisé. Pour les structures en tuile, ils doivent être scellés au mortier ou emboîtés. Quant aux faîtages en zinc, en suivant leur longueur, pliez-les en deux  et fixez-les avec des clous. Leur rôle est d’empêcher les infiltrations et de ventiler la toiture. Les entretiens et la rénovation La zinguerie sert à protéger les infiltrations d’eaux qui pourraient abîmer les couvertures, les armatures, les plafonds, les murs, etc. Pour la maintenir en bon état, les techniciens proposent des prestations d’entretien et de rénovation. Un contrôle tous les 10 ans est aussi requis. Alors, pour trouver un professionnel de la zinguerie, vous pouvez visiter ce blog sur le couvreur-zingueur. Vous y trouverez des artisans qui interviennent pour des rénovations partielles ou intégrales.
Il y a 2 ans et 345 jours

SNBPE : Vingt mille lieux sous la terre 

Pour le SNBPE, les sous-sols peuvent devenir une alternative à la construction en surface. [©SNBPE] Le sous-sol peut devenir un espace durable pour la construction de demain. Il propose des caractéristiques idéales pour abriter des humains. En effet, les souterrains protègent des intempéries et offrent une isolation thermique naturelle optimale. L’Homme exploitait déjà les sous-sols, notamment pour ses ressources comme le pétrole, ou des minéraux, tels que le fer, le cuivre ou l’or. Mais les souterrains intéressaient aussi pour sa disponibilité. Sous la surface, se cachent des étendues illimitées qui pourraient se transformer en autant d’espaces de vie. C’est pourquoi le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) s’est intéressé au développement urbain en milieu souterrain. Il considère les souterrains comme un “partenaire” pour l’homme. La question de l’aménagement des sous-sols est une chose. Utiliser des méthodes de décarbonation en veillant à respecter les objectifs de Zéro artificialisation nette (ZAN1) en est une autre. Et pour cela, le SNBPE propose le projet national (PN) “Ville 10D – Ville d’idées”. Le projet “Ville 10D” du SNBPE Monique Labbé (directrice du projet) et Jean-François David, architectes acteurs du PN ont fait part de leurs ambitions pour développer la recherche sur la contribution du sous-sol au développement urbain. Ils publieront d’ailleurs leurs solutions sous la forme d’un guide, dont la sortie est prévue pour septembre prochain. Cet ouvrage sera élaboré à partir des résultats de 34 rapports de recherches sur le sous-sol. Lire aussi : Le SNBPE et l’Unicem proposent un plan d’action environnemental pour ses adhérents « C’est un guide très pratique qui sera un outil pour utiliser les souterrains, » déclare Monique Labbé. “Ville 10D” veut prouver qu’il existe une alternative crédible à la construction en surface. Il sera à destination des acteurs de l’aménagement, en particulier pour les professionnels du bâtiment. Les rapports de recherche ont été simplifiés pour toucher le plus grand nombre d’acteurs dans ce projet. « Nous ne voulons pas nous adresser qu’aux chercheurs, explique Jean-François David. Notre solution se doit d’être accessible à tous. » Les limites de la construction en sous-sol En revanche, l’extension vers les sous-sols pour respecter les objectifs de la ZAN pose question. Est-ce une bonne solution que de construire dans les souterrains pour lutter contre l’étalement urbain ?En effet, l’urbanisme prend une place importante à la surface. Mais creuser dans le sol pour créer de nouvelles civilisations revient à s’étendre davantage. Au final, l’expansion des territoires se fera à la fois de façon horizontale et verticale.De plus, certaines terres dans les régions du monde sont dangereuses pour l’Homme. Elles peuvent être soumises à des risques d’inondations ou de séismes. Une étude sur les zones non exploitables devrait être effectuée pour ensuite repérer les endroits idéaux pour s’installer. 1Démarche qui consiste à réduire au maximum l’extension des villes en limitant les constructions sur des espaces naturels ou agricoles.
Il y a 2 ans et 346 jours

Quand l'inflation menace les énergies vertes

Plombé par le renchérissement du fret et de matières premières vitales, le coût d'investissement pour construire de nouvelles capacités solaires et éoliennes terrestres a crû de 15 à 25% entre 2020 et 2022, soldant une décennie de baisse, a calculé l'Agence internationale de l'énergie. L'électricité d'origine renouvelable reste compétitive face aux autres énergies, ajoute l'AIE, mais le maintien attendu sur au moins 2022 et 2023 de coûts d'installation plus élevés qu'avant-Covid pourrait compliquer son accélération.En un an, le prix du cobalt a plus que doublé, quand, de janvier 2021 à mars 2022, le nickel gagnait 94%, l'aluminium 76%, le cuivre 34%... Le lithium a même crû de 738% sur cette période (contre +13% de moyenne annuelle ces dix dernières années).Ainsi le prix des modules photovoltaïques, divisé par quatre en cinq ans, a-t-il augmenté de 16% l'an dernier. Le coût de l'éolien a pris 9%: l'offshore en particulier subit le surcoût des métaux rares et du cuivre, qui affecte aussi câblages et raccordements. Quant aux batteries lithium-ion des voitures électriques, la part des alliages de cathodes est passée de 3% du coût total en 2015 à plus de 20%, note l'AIE..."Le lithium s'est envolé car la demande a doublé en 2021 et l'offre n'a pu suivre. C'est un petit marché, et une moindre hausse de la demande fait bouger massivement les prix", explique à l'AFP Tae-Yoon Kim, analyste pour l'AIE.Résultat, "les minerais critiques menacent une baisse des coûts qui durait depuis au moins 10 ans dans les technologies renouvelables", souligne M. Kim, avec "des conséquences majeures sur les besoins de financement de la transition énergétique dans le monde"."Trou d'air"En France, la filière sonne l'alarme. Dans le solaire, des projets équivalant au total à 2,1GW de production électrique, soit l'essentiel, qui théoriquement étaient prêts pour 2022, sont stoppés en raison de surcoûts (métaux, transports, acier, taux d'intérêt et même flambée des marges des agrégateurs commercialisant le courant), a recensé le Syndicat des énergies renouvelables (SER). Le constat vaut dans l'éolien, la petite hydroélectricité et même le biogaz.En cause, des contrats signés avant le boom des coûts, contractualisant un prix de l'électricité à des niveaux ne couvrant plus les frais. Et pas question de se rattraper sur la hausse des prix de marché, puisque l'exploitant doit restituer à l'Etat la différence avec celui acté dans son contrat.Alors que la France attend 3 GW de solaire additionnels par an, "on risque un trou d'air en perdant ces projets", dit Alexandre Roesch, délégué général du SER, qui demande une indexation, avec un prix garanti plus élevé, par exemple 70 euros/MWh, ce qui resterait bien inférieur aux prix actuels du marché à 150 ou 200 euros."Cela restera de toute façon profitable à la collectivité", dit-il. Les énergies renouvelables restent compétitives, a fortiori en pleine flambée des énergies fossiles et face aux "prix moyens observés ces six derniers mois sur les marchés de gros de l'électricité", souligne aussi l'AIE.Elle appelle cependant Etats et industriels à "agir sérieusement" pour "diversifier leur approvisionnement en matières premières", impératif mis en lumière par la crise avec la Russie -- 2e producteur mondial d'aluminium, de cobalt, de platine..."Il existe encore des marges pour réduire les coûts", dit M. Kim : "d'abord, investir dans de nouveaux projets miniers. Les prix se stabiliseront seulement quand une offre nouvelle sera disponible".L'AIE préconise une mise à jour des connaissances géologiques, notamment dans les pays en développement. "Et il y a de la marge pour développer des projets aux Etats-Unis, Canada, Amérique latine..." : à partir de 2023, de nouveaux sites doivent commencer à produire du cobalt en République démocratique du Congo, du nickel en Indonésie et au Canada, du lithium en Australie, du cuivre en Amérique latine..."Mais il en faudra plus", note l'expert, qui ajoute que les industriels devront aussi innover pour réduire fortement leurs besoins en métaux.
Il y a 2 ans et 347 jours

La fibre dépasse le cuivre et accélère en zones peu denses

NUMÉRIQUE. La nouvelle édition de l'Observatoire du très haut débit confirme la place de la France comme championne européenne de la fibre optique. En 2021, les déploiements se sont poursuivis à un rythme soutenu, bien que le pic soit désormais passé. Le cap de la généralisation de la fibre est en vue.
Il y a 2 ans et 352 jours

Trois nouveaux outils professionnels dans la gamme Subcompact d'AEG

Avec sa gamme SUBCOMPACT, AEG accroît la puissance des outils et la productivité des professionnels.Ces 3 nouveaux outils viennent compléter la gamme SUBCOMPACT déjà existante comprenant : une perceuse-visseuse, une perceuse-visseuse percussion, une visseuse à chocs, une boulonneuse à chocs et une mini-scie multi-matériaux.Nouvelle technologie moteur & compacité extrêmeLes outils de la gamme SUBCOMPACT sont équipés de la toute dernière technologie moteur Brushless à rotor extérieur, une exclusivité AEG. La conception de ce moteur a permis de réduire considérablement la taille des outils sans faire aucun compromis sur les performances des machines. La dimension du moteur est réduite de 60 %**, son diamètre de 27 % et sa longueur de 24 %, entraînant une compacité et une diminution importante du poids de l’outil. Plus petits, plus légers, ces outils garantissent à l’utilisateur de travailler sans fatigue, plus longtemps et plus facilement, y compris dans les endroits les plus difficiles d’accès.Tous les outils de la gamme SUBCOMPACT sont compatibles avec l’ensemble des batteries PRO 18V AEG.**vs moteur 18V AEG standard.Scie sabre “une main” Brushless SUBCOMPACT 18V : puissance, compacité et polyvalenceGrâce à son moteur Brushless, ses 3 200 cps/min et sa course de 22 mm, cette scie sabre est idéale pour la découpe de multi-matériaux (bois, cuivre, PVC…) et garantit des coupes rapides et sans effort.Utilisable à une seule main, pour plus de praticité et de sécurité, elle dispose d’un variateur de vitesse situé sur l’interrupteur pour un réglage facile en fonction du support et un contrôle total de la découpe.Son système de fixation Fixtec™ permet le changement rapide de lame et sans outil.Son design compact et sa poignée avec revêtement Softgrip offrent une maniabilité qui combine contrôle, légèreté et liberté de mouvement pour travailler dans toutes les positions, y compris dans des zones difficiles d’accès. Pour plus de précision dans le travail, son patin est pivotant pour s’adapter aux surfaces de découpe et des LED intégrées éclairent la surface de travail pendant la coupe.Scie circulaire 165 mm Brushless SUBCOMPACT 18V : des records de puissanceCette nouvelle scie circulaire réunit toutes les fonctionnalités et performances nécessaires aux professionnels.Elle est aussi puissante qu’une scie circulaire filaire avec à son moteur Brushless et sa technologie HD-SYNC™ qui optimisent sa puissance grâce à une meilleure communication entre le moteur et la batterie.Avec ses 5 000 tr/min, elle assure des coupes rapides et sans effort dans tous types de bois. Sa lame de 165 mm de diamètre atteint une profondeur de coupe de 57 mm.Elle dispose d’un système de blocage d’arbre pour le changement rapide de la lame et d’une clé Allen qui est embarquée sur la machine.Robuste, elle est dotée d’un carter aluminium ultra résistant et d’une base en magnésium. Sa semelle inclinable est pourvue d’une graduation gravée jusqu’à 56° pour plus de précision dans le travail et une durabilité maximale.Elle dispose d’une prise aspirateur et d’une soufflerie d’éjection des poussières pour un travail impeccable et des surfaces toujours propres.Sa poignée avec revêtement Softgrip micro-texturé assure une excellente prise en main. Pour assurer un travail de qualité quel que soit le niveau de luminosité, un système de LED intégré améliore la visibilité de la ligne de coupe garantissant des coupes précises et soignées.Perceuse-visseuse d’angle Brushless SUBCOMPACT 18V : la seule référence avec un moteur Brushless du marchéElle déploie un couple de 42 Nm qui en fait la perceuse-visseuse d’angle la plus performante du marché.À sa puissance s’ajoutent une extrême compacité et un poids plume qui en font l’outil idéal pour les agenceurs et cuisinistes, notamment lorsqu’ils travaillent dans les endroits difficiles d’accès.Elle s’adapte facilement à tous types d’applications et de configurations avec ses deux vitesses allant de 0 à 500 tr/mn et de 0 à 1 900 tr/min.Conçue pour faciliter le travail des professionnels, elle dispose d’une large gâchette pour travailler à distance sans difficulté et d’un mandrin de grande profondeur pour réaliser des vissages et dévissages à bout de bras dans les endroits exigus.La poignée dispose d’un revêtement micro-texturé Softgrip pour un meilleur contrôle de l’outil ; afin d’assurer une visibilité optimale, la perceuse-visseuse d’angle SUBCOMPACT AEG est dotée d’un éclairage LED intégré.
Il y a 2 ans et 358 jours

Joseph Bertrand Vicat : Capitaine d’industrie

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine En 1853, Joseph Vicat se lance dans la fabrication industrielle du ciment artificiel, avec la création de la cimenterie Vicat du Genevrey. [©Vicat] 1853, vallée de la Gresse près de Grenoble, en Isère. Sous la conduite du jeune ingénieur Joseph Vicat, âgé de 32 ans, des ouvriers construisent à flanc de montagne de petits fours d’essai, en forme de biberons. Ce jeune ingénieur entreprend de cuire dans ces fours les calcaires argileux qu’il a analysés. Ceci, pour lancer la fabrication industrielle du ciment artificiel. Invention de son illustre père, Louis Vicat. En 1857, les résultats sont concluants. L’histoire du groupe Vicat commence… Mais qui était Joseph Vicat ? De brillantes études Joseph Bertrand Vicat naît le 1er décembre 1821, à Souillac (46). Après de brillantes études, il réussit le concours d’entrée à Polytechnique en 1841. Sorti officier d’artillerie un an plus tard, il débute par une carrière juridique après avoir obtenu sa licence de droit en 1846. Mais rapidement, sur les conseils de son père Louis Vicat, il s’établit à Champoléon (05), dans le Haut Champsaur où il exploite des mines de cuivre gris argentifère. Il en cède ensuite la concession pour se consacrer à aider Louis Vicat dans ses recherches autour du ciment artificiel. Ceci le conduit en 1853 à se lancer dans la fabrication industrielle du matériau avec la création de l’usine de Genevrey-de-Vif (38). C’est dans cette unité qu’il met au point, en 1857, la méthode dite “de double cuisson”, dont il est l’inventeur. Ce process industriel par voie sèche consiste à cuire comme un ciment naturel le calcaire argileux, puis à le moudre. Et enfin, à mélanger ce produit cuit avec du calcaire à forte teneur en carbonate de chaux pour obtenir le dosage voulu. L’approche permet la fabrication d’un ciment très homogène et très régulier. Jusque-là, selon les régions, les filons des carrières exploitées ou les types de fours, les ciments présentaient souvent des variations notables d’un sac à l’autre. Variations qui étaient le cauchemar des maçons… Désormais, le ciment Vicat leur garantit une qualité et une homogénéité constantes. Un esprit entrepreneurial Joseph Vicat a construit à flanc de montagne des petits fours d’essai, en forme de biberons, toujours debout à ce jour. [©Etienne Leroux-Wikipedia] Joseph Vicat a l’âme d’un créateur d’entreprise. En 1867, avec Alphonse Rallet, Marcelin Brotte et Napoléon Nayral, ses nouveaux associés, il transforme son entreprise en société en nom collectif Joseph Vicat et Cie. En 1868, il obtient la concession de l’usine d’Uriage-les-Bains (38) qu’il développe pour produire du ciment artificiel et dont il augmente le capital en 1873. Petite anecdote : Alphonse Rallet était un jeune et brillant industriel qui, dans les années 1850, créa une société de fabrication de parfums. Le célèbre n° 5 de Chanel est issu d’une formule élaborée par sa société… En 1875, après de nombreuses recherches, Joseph Vicat découvre un banc de “pierre à prompt” dans le massif de la Chartreuse, ensemble montagneux des Préalpes, à la limite des départements de l’Isère et de la Savoie. Il construit alors l’usine de La Pérelle (38) destinée à la fabrication du ciment prompt. Joseph Vicat veut ainsi diversifier ses fabrications. La source importante de profits qu’est le ciment prompt à cette époque lui permet de résister à la crise économique de 1882. Et de poursuivre ses travaux sur la fabrication du ciment artificiel. Joseph Vicat fut reconnu de son vivant comme l’un des grands industriels du Dauphiné, avec la préoccupation toujours présente du développement économique de sa région. Il fut même président de la Chambre de commerce et d’industrie de l’Isère. Joseph Vicat a eu deux filles. A la fin de sa vie, il se consacre à aider son gendre Maurice Merceron-Vicat à assurer la continuité de son œuvre. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 1 jours

Innovations – Nouveaux Avis Techniques

Photo : PREFADéveloppement de nouveaux matériaux pour les couvertures métalliques à joint debout Avec la raréfaction de certains minerais et les fluctuations sur les prix des matériaux, des alternatives aux métaux traditionnels ont émergé ces dernières années pour la réalisation de couvertures en feuilles métalliques à joint debout serti, posées sur platelage bois continu (voliges). Ainsi, pour remplacer les matériaux historiques comme le zinc, le cuivre, l'acier inoxydable et le plomb, qui disposent de règles de l'art approuvées et éprouvées, des solutions utilisent de l'acier galvanisé “souple” prélaqué ou de l'aluminium prélaqué. Leur mise en œuvre, si elle est très proche des règles appliquées aux matériaux traditionnels, nécessite quelques précautions liées aux spécificités de ces produits et à leur comportement mécanique et physique. Dans les deux cas, la prise en main par le couvreur et la souplesse du matériau ne sont pas exactement les mêmes, et la résistance au vent du procédé doit être réévaluée. Les soudures sont également plus complexes et techniques sur l'acier prélaqué (décapage, peinture de retouche...) ou l'aluminium (soudure TIG-MIG) que sur le zinc. Ainsi, le traitement des points singuliers nécessite une vigilance accrue et des particularités propres à chaque procédé, avec notamment l'utilisation d'accessoires spécifiques préfabriqués en usine. Enfin, l'acier prélaqué n'est pas résistant par nature à la corrosion sans son revêtement. Un vrai travail sur la souplesse des revêtements prélaqués a ainsi été réalisé pour parvenir à des revêtements capables de résister aux contraintes de pliage très sévères lors du sertissage du joint debout. Toutes les exigences spécifiques à ces produits sont détaillées dans leur Document Technique d'Application. Des surfaces de plus en plus étendues pour le photovoltaïque En matière de photovoltaïque, l'innovation concerne principalement l'augmentation de la taille des modules, qui génère de nouveaux défis pour dimensionner les systèmes de montage. Cette innovation pose donc deux problèmes techniques majeurs. Les reprises de charge sont plus importantes, notamment lorsque les modules sont couverts de neige. Il y a donc un enjeu de dimensionnement des tôles d'acier qui constituent l'élément porteur sous le complexe d'étanchéité servant de support aux modules. Par ailleurs, des modules de grande dimension sont beaucoup plus sensibles aux effets du vent et donc au risque d'arrachement. Ce type d'installation concerne principalement les bâtiments commerciaux et logistiques supérieurs à 1 000 m² qui ont généralement des structures porteuses dimensionnées au plus juste, ne permettant pas de compenser les sollicitations potentielles par des ancrages dans des systèmes massifs. Des systèmes surimposés au-dessus d'une couverture en tuiles ou en ardoises se développent également. Ils nécessitent que les modules photovoltaïques soient fixés sur une ossature, elle-même fixée sur un système qui traverse la couverture pour s'appuyer sur la charpente. L'enjeu est alors que ce système de fixation complexe ne dégrade pas l'étanchéité de la toiture et soit en capacité de résister aux charges de neige et de vent. En savoir plus : DTA Solutions & Performances - Numéro 7 : « Couverture » Le numéro 7 de Solutions & Performances est consacré à la couverture qui permet d'assurer la protection du bâtiment et de ses occupants contre les agressions climatiques. PDF 2.5 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 9 jours

Prises électriques : les critères à prendre en compte pour un choix judicieux

Sans les prises électriques, il vous serait impossible d’alimenter vos appareils électroménagers. C’est pour cela que les prises électriques ne peuvent manquer dans un logement. Vous découvrirez essentiellement deux types de prises électriques sur le marché. Il s’agit de la prise encastrable (elle est la plus répandue) et de la prise en saillie. Vous êtes libre de faire votre choix. Mais, il doit répondre à certains critères. Lesquelles ? La sécurité de la maisonnée La sécurité des personnes qui s’approcheront de la prise doit être votre priorité. A cet effet et comme mentionné sur https://www.artisanducuivre.fr/comment-securiser-les-prises-electriques-pour-les-enfants/, misez surtout sur les prises à obturation. Ainsi, vous pouvez être sûr que vos enfants ne pourront pas y introduire tout objet qui leur passerait par la main. Si vous ne voulez pas opter pour de telles prises, vous pouvez leur adapter des cache-prises. Par ailleurs, lors de la pose de votre prise électrique, vous devez respecter la norme NF C 15-100. C’est une norme qui vous indique le nombre de prises que vous aurez à installer dans chacune de vos pièces. Elle aborde aussi la hauteur à laquelle elles devront être installées. Par exemple, dans la salle de bain, votre prise doit être placée entre 90 cm et 130 cm du sol. En vous référant à la norme NF C 15-100, vous saurez exactement le genre de prise que vous devrez installer chez vous. Par exemple, pour une construction neuve, elle recommande de poser les prises 2P+T qui garantissent votre sécurité lorsque survient une panne électrique. La présente prise va dévier le courant vers la terre afin de vous sauver la vie. Il est donc important de penser à votre sécurité et celles de vos enfants au moment de choisir votre prise électrique. Tenir compte des appareils à brancher dans la prise Dans le rang des deux types de prises mentionnés au début de ce billet, il existe différents modèles. Vous les choisirez en fonction de vos besoins. Il vous faudra donc les énumérer. Par exemple, pour brancher un câble RJ45, vous aurez besoin de la prise RJ45. La prise antenne vous permettra de relier votre télévision à son antenne. C’est ainsi que vous pourrez capter les différentes chaînes de TV. Pour le rechargement de votre rasoir électrique, il vous faudra nécessairement une prise rasoir. Pour recharger directement vos appareils numériques, vous ferez le choix de la prise USB. Avec la prise de courant, vous pourrez brancher vos différents appareils électroménagers. Le lieu où la prise sera posée et le type de disjoncteur Votre choix doit se baser aussi sur l’emplacement. Vous ne choisirez pas les mêmes prises pour l’extérieur et l’intérieur. Celles qui seront installées à l’extérieur doivent pouvoir résister aux intempéries. Chaque pièce avec la prise adéquate. Dans votre cuisine, vous pourrez brancher votre four dans une prise électrique de 20 A. Celle de 30 A vous sera également utile. Le disjoncteur que vous choisirez doit pouvoir supporter le nombre de prises électriques que vous installerez sur un unique circuit. Par exemple, pour un disjoncteur de 20 A, vous ne pourrez pas brancher plus de 12 prises sur un même circuit avec des fils de 2,5 mm2. Pour finir, vous devez penser à la décoration existante en choisissant vos prises électriques. Elles doivent bien s’harmoniser à votre décoration. Le look, les coloris et la forme doivent donc être choisis à dessein. Voilà les principaux critères à prendre en compte pour bien choisir vos prises électriques.
Il y a 3 ans et 37 jours

Chauffage et rafraîchissement : Acova FASSANE NEO, le radiateur réversible double fonction

Portées par les aides de l’état et la RE2020 pour favoriser la rénovation énergétique tout en visant la neutralité carbone, les PAC ont le vent en poupe et notamment les modèles air/eau dont les ventes ont augmenté de 57% en 2021 selon les derniers chiffres publiés par UNICLIMA. Offrant un rendement particulièrement élevé, le radiateur Acova FASSANE NEO a été spécialement conçu pour s’intégrer à ces installations basse température, en constructions neuves ou en rénovation. Utilisé avec une PAC air/eau réversible ou géothermique, il bénéficie ainsi d’une double fonction : il chauffe en hiver et rafraîchit aussi l’habitat en été ! LE CONFORT SANS CONCESSION À BASSE TEMPÉRATURE L’installation d’une pompe à chaleur nécessite des radiateurs aux performances élevées pour optimiser leur rendement et garantir des économies d’énergie. Bénéficiant de la technologie NEO, Nouvelles Energies Optimisées, le radiateur réversible Acova FASSANE NEO combine la puissance de la convection et le confort du rayonnement pour offrir la température souhaitée de manière réactive. ACOVA FASSANE NEO ET PAC, DES TEMPÉRATURES AGRÉABLES TOUT AU LONG DE L’ANNÉE Confort d’hiver En mode chauffage central, Acova Fassane Neo, alimenté par une PAC air/eau réversible ou géothermique, fonctionne comme un radiateur traditionnel. Le réglage des ventilateurs s’effectue en fonction de la puissance recherchée (3 vitesses au choix). Ils s’activent lorsque la température d’arrivée d’eau est supérieure à 25°C et la température de l’air est au moins 2° C inférieure à celle-ci. Lorsque l’écart est minime, les ventilateurs s’arrêtent. Confort d’été Durant les jours de fortes chaleurs, le radiateur Acova Fassane Neo, raccordé à ces types de pompes à chaleur, rafraîchit alors l’intérieur de l’habitat. Les ventilateurs s’allument lorsque la température de l’eau rafraîchie est inférieure à 21°C et la température de l’air au moins 2°C supérieure à celle-ci. A l’inverse, ils s’éteignent lorsque la température de l’eau de refroidissement dépasse les 21°C ou lorsque la température de l’air approche celle de l’eau à 2°C. Deux fois plus compact qu’un radiateur traditionnel à puissance équivalente, Acova FASSANE NEO permet de chauffer et rafraîchir de très grands volumes avec des modèles de pompes à chaleur basse température (air/eau réversible ou géothermique) dotées d’un meilleur coefficient de performance, jusqu’ici réservé au plancher chauffant et ventilo-convecteurs. LA PUISSANCE DE LA CONVECTION ET LE CONFORT DU RAYONNEMENT Horizontal ou vertical, il est composé en face avant d’un corps de chauffe entièrement irrigué d’eau qui délivre sa puissance en privilégiant le rayonnement. En partie arrière, un échangeur en cuivre et aluminium performant est associé à des ventilateurs ultra-plats qui, activés, génèrent un flux d’air à contre-courant de l’échangeur pour une meilleure efficacité thermique et une convection accélérée. Pour un confort parfait, le brassage d’air est imperceptible. Enfin, une attention particulière a été portée sur l’acoustique. Deux isolants phoniques encadrent l’échangeur pour le rendre quasi-silencieux. LA QUALITÉ SIGNÉE ACOVA Fabriquée en France, cette solution de chauffage et de rafraîchissement innovante bénéficie de la qualité reconnue des radiateurs décoratifs de la marque Acova : . profil allégé grâce à ses lignes bizeautées, . tête thermostatique et insert design, . habillage latéral et grilles de sorties d’air en acier, . disponible dans les 46 teintes du nuancier Acova. http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 51 jours

Centre–Val de Loire : Impacts sur la hausse des prix des matériaux

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La plupart des matériaux de construction sont touchés par des hausses de prix. [©ACPresse] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution des prix des matériaux pour le Centre–Val de Loire, sur la période du 3e trimestre 2021. Une consultation locale qui permet d’avoir des données extrapolables au niveau national… Ainsi, l’évolution des prix concernant les matériaux et les matières premières a eu un impact significatif sur les entreprises du bâtiment dans cette région. En effet, près de 2 entreprises sur 3 qui ont répondu à cette consultation, déclarent avoir connu ce trimestre une hausse des matériaux utilisés supérieure à 10 %. Sur les derniers 3 mois, on observe une hausse moyenne de + 23 % (tous matériaux confondus) au niveau régional. Selon les entreprises interrogées, le Cher et l’Indre seraient les départements où cette hausse a été la plus forte, avec respectivement une progression de + 35 % et + 27 % , enregistrée en moyenne au cours du 3e trimestre. Et pas moins de 18 % des entreprises se trouveraient en difficulté de trésorerie. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Même si elle touche de manière globale l’ensemble des activités du bâtiment, cette augmentation du coût des matériaux impacte en particulier les secteurs de la charpente (+ 78 % des prix en moyenne), de la plâtrerie (+ 52 %) et de la métallerie (+ 51 %). Dans le détail des matériaux, la flambée des prix concerne, en premier lieu, le bois avec + 48 % enregistré sur le 3e trimestre 2021. On trouve ensuite les métaux avec + 34 % pour l’acier (dont celui pour armatures), + 33 % pour le cuivre et + 24 % pour l’aluminium, un peu plus loin derrière, la plaque de plâtre (+ 29 %). Les matériaux comme le béton et le ciment semblent moins impactés, pour le moment… Pour l’ensemble de ces entreprises, la crainte est le retard que pourraient accumuler certains chantiers, face aux difficultés d’approvisionnement. D’autant que 54 % d’entre elles déclarent en plus avoir des difficultés de recrutement. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 64 jours

Hager Group lance l’activité de sa nouvelle usine de production de relais à Obernai

Hager Group compte doubler sa capacité industrielle de production de relais avec l’inauguration d’une nouvelle usine sur son site d’Obernai. Objectif : répondre à une demande toujours plus forte de la part des clients en augmentant la production de relais, composant essentiel des disjoncteurs et interrupteurs différentiels fabriqués par l’entreprise. Après trois années de travaux, le bâtiment de 2 600m² est achevé et son activité lancée. Les premières livraisons pour les usines du groupe sont prévues à partir du mois d’avril 2022. L’objectif est de répondre à la demande des clients avec une augmentation capacitaire progressive de 40% la première année pour arriver à un doublement de la capacité d’ici deux ans. A l’occasion de l’inauguration officielle en présence des élus et acteurs économiques du territoire le mardi 15 mars 2022, Daniel Hager, Président du directoire de Hager Group, témoigne : « Depuis plus de 60 ans, nous nous développons et nous investissons en Alsace. Cet investissement de 29 millions d’euros fait partie d’une stratégie de développement globale au service de notre avenir mais aussi de nos clients. » Conçu sur deux niveaux (rez-de-chaussée dédié à la production et un étage accueillant des fonctions supports), ce nouveau bâtiment se situe dans le prolongement de l’usine actuelle fabriquant des appareils modulaires de protection électrique (disjoncteurs et interrupteurs différentiels). Cette nouvelle usine comptera à terme près de 80 personnes dont les deux-tiers seront recrutés sur les deux prochaines années. Ce projet a pu bénéficier d’une subvention de 200 000€ de la région Grand-Est. Une usine connectée au service des clients Depuis 1995, Hager Group fabrique des relais sur son site d’Obernai. Afin de répondre à une évolution technologique et une demande commerciale augmentant entre 5% à 10% chaque année, le groupe a investi dans une nouvelle usine avec un processus industriel intégrant les dernières innovations technologiques. La fabrication de ce composant se fait dans un environnement à très haute propreté et à un très haut niveau de précision. Le relais, une technologie de pointe Le relais est un composant de quelques cm³ intégré au cœur des disjoncteurs et interrupteurs différentiels. Ce dispositif de sécurité, qui fonctionne à de très faibles courants, analyse en temps réel le courant de l’installation électrique. En cas de défaut différentiel détecté (fuite de courant), il coupe l’alimentation électrique, protégeant ainsi les biens et les personnes. Chiffres clés de la nouvelle usine de relais à Obernai : • 2 600m² de surface répartis sur deux niveaux • 29 millions d’euros d’investissement • 80 salariés à terme • 60 000 relais fabriqués par jour à terme • Plus de 60 références différentes produites • 250 000km de fil de cuivre / an
Il y a 3 ans et 65 jours

Porcelanosa Groupe présente ses derniers designs qui misent avant tout sur l'innovation

Design et technologie pour améliorer la qualité de viePour accompagner les professionnels et améliorer les environnements architecturaux grâce à des expériences sur mesure, la multinationale espagnole vient de présenter ses dernières collections, qui misent avant tout sur l'efficience et la compétitivité. "L'investissement dans la R&D+i et le dialogue constant que nous avons entretenu avec des architectes et des décorateurs d'intérieur nous ont amenés à étudier de nouvelles formules et de nouvelles manières d'utiliser nos matériaux, afin de privilégier avant tout la qualité et la praticité de chaque produit, plutôt que l'aspect purement esthétique", précise l'entreprise.On retrouve ce mariage du design, de la technologie et de l'utilisabilité dans les principaux showrooms de ses sept sociétés, qui, au cours des prochains mois, présenteront les nouveaux environnements et les avantages de ces nouveaux matériaux.Solidker, le grès cérame technique pleine masse du futurParmi les nouveautés les plus remarquables de Porcelanosa se distingue le grès cérame technique pleine masse Solidker. Il s'agit du premier full body composé de la même matière première sur la surface et à l'intérieur du carreau, qui présente en outre une très faible absorption d'eau (≤ 0,2 %).Les séries Dakota et Seattle proposent ce type de sols pour les grands projets. Avec un design personnalisé dans trois tons neutres (Grey, Sand et Black) et plusieurs formats disponibles (120 cm x 120 cm et 59,6 cm x 120 cm), cette collection d'une grande sophistication inspirée du quartzite améliore l'esthétique et la sécurité des pièces grâce à son effet relief et à ses propriétés antidérapantes.Avec leurs couleurs neutres comme le Grey, le Sand et le Topo, les pièces de Seattle confèrent davantage d'élégance aux espaces grâce à leurs textures béton et à leur grand équilibre chromatique. Deux séries qui complètent la ligne Stratos (le grès cérame technique le plus recommandé pour des projets exigeants, doté d'une structure en écailles que l'on retrouve sur tout le corps du carreau).Des finitions inspirées du bois et de la pierreLe grès cérame rectifié se distingue également dans de nombreux environnements de la marque. On retrouve ainsi les pièces inspirées du chêne de la ligne Vermont en finition mate (Sienne, Acero, Arce et Nogal) au format 25 cm x 150 cm et 16 cm x 150 cm.Une esthétique que partage Fulham, un revêtement au format 16 cm x 150 cm qui évoque les bois belges et néerlandais dans toutes ses finitions : Arce, Gris, Roble et Brown. Pour une touche plus naturelle, Porcelanosa vous offre la possibilité d'inclure le revêtement décoré Royal Arce-Gris et Royal Roble-Brown et sa forme en épi.Parmi les nouveaux supports rectifiés que la marque mettra en avant cette année en raison de leur polyvalence et leur traitement artisanal, on retrouve Gasa (revêtement texturé de 59,6 cm x 150 cm), avec son effet béton et son aspect minimaliste, et Newark (revêtement de 59,6 cm x 150 cm) avec son relief rayé qui imite la pierre naturelle et confère un grand dynamisme aux murs.La digitalisation s'invite dans les cuisines de GamadecorDans le domaine des cuisines et des salles de bains nouvelle génération, la société Gamadecor a opté pour des équipements intelligents et numériques qui simplifient la vie de l'utilisateur. C'est le cas du modèle Smart Kitchen, équipé de plans de travail faits de pièces en XTONE, en pierre naturelle ou en granit et d'espaces de travail intégrés équipés d'appareils électroménagers inductifs (sans câble ni batterie).Conçues pour les espaces intérieurs et extérieurs grâce à leur design polyvalent en bois et aluminium, les cuisines Offroad Kitchen représentent une avancée de taille en termes de fonctionnalité et de rangement. Un objectif auquel répondent également ses meubles de salle de bain suspendus : Play, Stage, Up, Corner, Wish et Mega et ses armoires Fushion, fabriquées à partir de bois éco-responsables, de surfaces en Krion® et de structures en aluminium.À cet égard, Gamadecor a étoffé sa gamme de mobilier avec ses nouveaux canapés design Fold, Stripes et Seems et ses fauteuils relax Fluffy et Wings et leurs tapisseries sur mesure. Pour les tables centrales (Zig-Zag, Hexagonal ou Feel), on a opté pour des structures géométriques et minimalistes.Engagé pour un design durable et pratique au service des individus, Krion a perfectionné sa série chromatique Luxury avec deux solutions pour le secteur de l'hôtellerie et de la gastronomie : Nebula White et Nebula Vanilla au format plaque de 3 680 mm x 760 mm x 12 mm, qui présentent des lignes douces, des veines courbes et dorées et des formes subtiles.Mosaïques métallisées et lavabos de créateurPour sa part, L'Antic Colonial a orienté ses propositions de décoration et d'architecture vers des collections de créateur, avec des mosaïques métallisées (Metal Acero, Anthracite Triangles et Metal Bronze Triangles), composées de pièces en trois dimensions et de tesselles lumineuses à la finition glossy. Pour des salles de bains plus exclusives et naturelles, la marque a combiné la pierre et le bois dans les lavabos et miroirs Motif, que l'on peut compléter des papiers peints Skins Wallpaper, des tissus TNT et des revêtements vinyle grand format.La fabrication industrialisée fait également partie des grands engagements de l'entreprise. C'est pourquoi Butech a orienté ses nouveaux développements dans cette direction pour ses cuisines (Monokitchen), salles de bains (Monobath) et bureaux (Office Garden). La céramique épaissie Thic'ker, les profilés décoratifs Pro-Part Antique Gold et Anthracite et les systèmes d'escaliers suspendus font également partie des solutions destinées à l'architecture contemporaine.Pour des salles de bains pleines de charme et de personnalité, Noken a créé des designs sensoriels à l'esthétique Finish Studio, utilisable sur les lavabos Essence C Compact en neuf couleurs, la robinetterie de créateur Lignage, conçue par l'architecte Ramón Esteve et gagnante du prix du meilleur design des IF Design Awards 2019, les WC Lounge et leur nouveau look blanc et noir mat ou les pièces Round en finition or brossé.En termes de mobilier, l'entreprise présente la collection Forma et ses finitions pleines de vitalité, en rouge Merlot, vert Forest et beige Almond.Pour encourager une utilisation raisonnée des ressources naturelles et de l'énergie, l'entreprise a conçu des réservoirs et des robinets touchless (Round), équipés de capteurs et de la technologie I-Smart pour que l'utilisateur n'utilise pas plus d'eau ou de savon que nécessaire.Des environnements sains aux touches exotiquesLes nouvelles collections Blue Roma et Montreal de XTONE s'inspirent des couleurs et des paysages de la nature. Avec sa base céleste et ses veines cuivrées qui s'étendent en surface, la première collection, en quartzite bleu, créera un véritable impact visuel dans n'importe quel type de projet. Les pierres calcaires sélectionnées de la collection Montréal font des espaces de véritables galeries d'art avec leur lumière naturelle dans les tons beiges.Les collections en grès cérame Invisible White, Marquina Black, Astana Grey, Orobico Grigio ou Emerald Green affichent une esthétique plus exotique et plus audacieuse, avec un aspect marbre alliant raffinement et simplicité dans des tons gris, marron ou greige, qui embellissent tous les espaces."Nous avons travaillé de manière constante et coordonnée avec toutes les marques de notre groupe pour créer des espaces qui invitent à réfléchir et à imaginer des environnements plus accueillants et plus sains. L'objectif de Porcelanosa est de fournir les outils et les moyens nécessaires pour que les souscripteurs et les personnes qui travaillent avec notre marque puissent mener à bien leurs projets en toute liberté et en toute confiance", explique-t-on chez PORCELANOSA Groupe.
Il y a 3 ans et 84 jours

Électricité en 2050 : l'Ademe publie plusieurs scenarios, avec et sans nucléaire

Face au réchauffement climatique, l'électricité occupera une place croissante, pour décarboner les transports, le bâtiment etc : elle devrait passer de 27% de l'énergie finale consommée aujourd'hui, à 42-56% au milieu du siècle, estime l'établissement public dans ces travaux prospectifs "Transition(s) 2050".Pour alimenter le débat présidentiel et éclairer les choix énergétiques futurs, quatre scénarios de société visant la neutralité carbone ont été élaborés. Inspirés des modèles du Giec (les experts climat de l'ONU), ils vont du plus sobre (S1) au "business as usual" (S4, habitudes inchangées).Mais in fine, devant la nécessité de sortir des énergies fossiles, tous les quatre seront fondés, à plus de 70%, sur les énergies renouvelables, photovoltaïque et éolien terrestre d'abord.Le S1 prévoit une sortie du nucléaire, avec le seul maintien en 2050 du réacteur de Flamanville en cours de construction. Le S2, à forte gouvernance locale, économie du partage généralisée..., voit les ENR se développer et le parc nucléaire historique se réduire peu à peu.Le scénario central (S3) suggère, pour limiter la pression sur les sols et paysages, deux options en plus : six réacteurs nucléaires EPR2, ou de l'éolien en mer notamment flottant, technologie non encore mature. Selon l'Ademe, leurs bénéfices économiques et CO2 sont proches, et l'option avec nucléaire légèrement moins coûteuse.Enfin le S4 inclut du nucléaire et de l'éolien flottant.Selon l'Ademe, globalement, le coût complet de production électrique en EUR/MWh devrait rester "relativement proche" en 2050 du niveau de 2020. Il n'inclut cependant pas les investissements hors système électrique (par exemple les rénovations énergétiques, plus ou moins étendues selon les hypothèses). C'est dans le scénario S2 que le coût du courant est le plus faible en 2050 (-12% par rapport à 2020), car avec l'efficacité et la sobriété, la demande plus modérée permet de se reposer sur les technologies plus compétitives (photovoltaïque, éolien terrestre).Enfin l'Ademe s'est penchée sur les besoins en métaux et matériaux. Elle anticipe ainsi des "consommations négligeables pour le béton, l'acier et le verre", mais des besoins accrus pour l'aluminium et le cuivre des véhicules.
Il y a 3 ans et 86 jours

Les louis d’or bretons entrent dans les collections publiques

Découvert fortuitement en 2019 par trois ouvriers dans un bâtiment attenant à un manoir à Plozévet, un dépôt monétaire de 239 monnaies d’or datant des règnes de Louis XIII et Louis XIV entre en partie dans les collections de l’hôtel de la Monnaie à Paris. Il était réparti dans deux caches découvertes à quelques jours d’intervalle. La première était dissimulée dans la maçonnerie et comprenait 153 monnaies contenues dans deux boîtes en alliage cuivreux (étuis à lunettes). La seconde se trouvait dans une sablière haute du pignon du même bâtiment et contenait 86 monnaies dans une bourse. Le dépôt contient deux écus d’or frappés au marteau sous Louis XIII. Toutes les autres pièces sont des louis d’or frappés au balancier dans différents ateliers du Royaume. Les louis d’or ont été frappés à partir de 1640. Ces pièces sont remarquables car elles ont été frappées au balancier, c’est-à-dire avec un procédé mécanisé qui a remplacé la frappe manuelle au marteau qui était utilisée depuis le Moyen Âge pour fabriquer les pièces. A l’époque la fabrication monétaire n’était pas centralisée. On trouve ainsi des pièces frappées dans les ateliers de Paris, Poitiers, Limoges, Toulouse, Dijon, Reims, Rennes, Rouen, Bourges, Troyes, Aix, ou encore Amiens. Huit ateliers différents sont représentés ainsi que quelques raretés parmi les monnaies découvertes à Plozévet. Le dépôt aurait été dissimulé courant 1692 ou au début de 1693. Sa composition permet d’identifier la stratégie de thésaurisation de son propriétaire marquée par une spéculation sur les anciennes monnaies et une nette défiance à l’égard des monnaies « réformées ». Compte tenu de la date d’acquisition de l’immeuble où elles ont été découvertes, les monnaies du dépôt appartiennent pour moitié aux propriétaires du terrain, l’autre moitié revenant aux inventeurs (Article 716 du Code Civil). Ils ont décidé de vendre les monnaies aux enchères en passant par une maison de vente à Angers. Lors de la vente réalisée le 29 septembre 2021,19 monnaies ont été préemptées par le musée de la Monnaie de Paris qui a également bénéficié du don des deux contenants du dépôt par les propriétaires. Contenants et monnaies sont exposés dans la salle principale du musée de la Monnaie dans une vitrine d’exception. Une publication de ce dépôt monétaire, dont la composition est assez rare, est prévue par Thibault Cardon, chargé de recherche au CNRS, avec la contribution des archéologues de l’INRAP qui, par leurs recherches, permettront de le resituer dans son contexte historique.   Photo : présentation officielle des monnaies préemptées par le musée de la Monnaie de Paris © Monnaie de Paris  
Il y a 3 ans et 106 jours

Transition énergétique : des besoins en métaux qui inquiètent

Les ministres européens de l'Industrie ont réfléchi mardi à Lens (Pas-de-Calais) aux modes d'approvisionnement futurs de l'Europe en métaux "critiques" de la transition énergétique, afin de réduire leur énorme dépendance et leur retard vis-à-vis de la Chine, qui investit sur ces secteurs depuis une vingtaine d'années.Voici, secteur par secteur, leur utilisation, et les tentatives de substitution en cours pour essayer de diminuer leur consommation, telles qu'expliquées dans le rapport "sécuriser l'approvisionnement de l'industrie en matières premières minérales" présenté aux ministres, et dont l'AFP a obtenu copie partielle.1 - Éoliennes:Les éoliennes utilisent de l'aluminium, du cuivre, du plomb, du manganèse, du nickel. Elles ont aussi besoin de métaux plus rares, classés comme "critiques" par l'Union européenne comme le niobium, ou des terres rares pour fabriquer les aimants permanents de la turbine, comme le dysprosium (Dy), le neodynium et le praséodyme ajoutés à des alliages de fer, et du bore."Des recherches actives sont actuellement en cours pour concevoir des aimants sans terres rares pour les éoliennes à terre, mais pas sur les parcs offshore où le remplacement reste complexe", souligne le rapport de l'industriel Philippe Varin, présenté aux ministres européens.L'Europe est autonome à 58% pour la conception, la fabrication et l'assemblage d'éoliennes (grâce au Danois Vestals et à l'allemand Siemens essentiellement), "sans compter les usines installées par des acteurs non européens comme General Electric en France".Plus on remonte la chaîne de valeur, plus la dépendance européenne augmente vis-à-vis de l'Asie. La Chine à elle seule couvre 54% des besoins européens en matières premières pour les éoliennes, contre 1% pour l'UE.2 - Panneaux photovoltaïques:Le principe de base des panneaux solaires repose toujours sur du silicium, auquel on ajoute des alliages de terres rares pour doper les performances, comme le germanium, le gallium, l'indium, le molybdenum, le sélénium, le tellurium.L'Europe est quasiment absente des différentes étapes de la chaîne de valeur, dépendant à 70% de la Chine pour l'assemblage, à 90% pour les cellules photovoltaïques, et à 53% pour les matières premières autres que le silicium. "L'arrivée de nouvelles technologies innovantes pourrait contribuer à faire émerger" des acteurs européens, souligne le rapport.3 - Moteurs électriques:Pour sortir du pétrole, les moteurs électriques, comme ceux des éoliennes, ont besoin d'aimants permanents pour convertir l'électricité en force motrice, et donc des alliages de terres rares (dysprosium, neodynium, praséodyme) ajoutés à des alliages de fer et à du bore.L'Europe ne fournit que 1% des métaux bruts dont elle a besoin pour cela, alors que la Chine en procure 65% et 55% des métaux raffinés.4 - Batteries électriques:Les batteries Li-ion pour l'automobile utilisées en Europe sont produites à 66% en Chine (13% aux Etats-Unis, 13% dans les autres pays d'Asie et 8% dans le reste du monde). Elles reposent sur des anodes à base de graphite, des cathodes à base d'alliage de nickel, cobalt et manganèse ou aluminium, ainsi que du lithium.Pour améliorer les performances (les échanges d'électrons), on ajoute d'autres métaux en très petite quantité comme le titane, le silicium ou le niobium.L'énergie qu'une batterie est capable de stocker est directement conditionnée par la quantité de lithium que le matériau contenu dans l'électrode positive (cathode) est capable de contenir et d'échanger.Les batteries devraient garder leur composition actuelle en nickel, cobalt, manganèse et lithium au moins jusqu'en 2030-35 étant donné les investissements énormes pour construire des usines. Ensuite, les prochaines générations devraient voir réduire leur teneur en cobalt au profit du nickel.L'Union européenne qui commence tout juste à lancer ses premières giga-usines de batteries produit seulement 1% des métaux bruts dont elle a besoin, 8% des matériaux raffinés et 9% de ses électrodes.
Il y a 3 ans et 148 jours

Du blanc à la couleur, magnifier les intérieurs et créer son univers unique

Règle d’or : préparation adaptée, étapes respectées, qualité jamais rognéeDans un budget travaux le poste peinture peut vite monter et la tentation de le minimiser est grande. Phase de nettoyage ou application d’un primaire peuvent paraître superflues, mais leur étape est néanmoins décisive dans la réussite de la rénovation ou de la mise en œuvre de la phase finale d’un chantier.En effet, lors d’une rénovation, on a souvent à faire à des murs ou plafonds ayant captés diverses contaminations : pollution, graisse, tache, fumée : ils sont sales et la case nettoyage devient primordiale ?De même avec un support hétérogène comportant éventuellement des parties de métal ou de bois ou encore des raccords d’enduits, il faut absolument égaliser et uniformiser l’aspect et donc appliquer un primaire avant la finition.Quels risques si l'on décide de laisser de côté ces étapes ?Sans nettoyage et avec une peinture appliquée en direct, la finition va rapidement montrer des signes de décollement, faïençage, laisser apparaître des cloques ou des picots... Tous ces désagréments en surface sont la résultante de la présence d’anciennes taches, de résidus de silicone arrivés par la pollution ambiante, d’amalgames de poussières qui empêchent chacun la bonne adhérence de la finition.Sans un primaire sur support au fond incertain, la résultante sera similaire. La peinture de finition ne va pas adhérer correctement et ne tardera pas à se décoller en s’écaillant par endroits, en cloquant...La préparation des supports constitue donc l’une des clés de la réussite d’une rénovation ou de la finition d’une installation afin que l’ultime phase de finition soit durable.Parmi ses spécialités, Durieu propose quelques solutions très ciblées pour répondre à ces exigences.Nettoyer, dégraisser, décrasser :Un support propre = la moitié de la mission en phase rénovation. Oxi propose avec DÉCRASSANT ABSOLUE une solution unique qui permet de débarrasser murs et plafonds des résidus de pollutions diverses, taches de graisse, de fumée, ...Ce nettoyant s’adapte à toutes les situations, ses agents nettoyants sont puissants et il suffit de doser la dilution en fonction de la salissure pour obtenir une surface nette. DÉCRASSANT ABSOLUE est particulièrement adapté pour les environnements soumis à des ambiances difficiles comme celui d’une cuisine.Préparer, uniformiser, égaliser le support :Pour permettre une adhérence parfaite et uniforme de la finition : SOUS-COUCHE UNIVERSELLE ABSOLUE d’Oxi remplit pleinement le contrat. Ce primaire aux qualités étonnantes bénéficie d’une composition unique assurant imprégnation et adhérence optimale sur le support pour l’application de la finition :Les liants gras imprègnent parfaitement le support et permettent notamment aux matériaux poreux ou farineux (plâtres, enduits instables, ...) de recevoir directement une finition, sans préparation lourde (ponçage, grattage, enduits...).Grâce à la combinaison de résines très techniques, la sous-couche laisse un film sur le support qui garantit l’adhérence parfaite d’une finition sur des matériaux lisses comme le cuivre, galva, bois vernis, pâte de verre ou le PVC.Ses qualités couvrantes et garnissantes permettent de masquer les taches disgracieuses.Le plus : Protection anticorrosionGrâce à l’action combinée de pigments de haute qualité et de ses résines techniques SOUS-COUCHE UNIVERSELLE ABSOLUE confère également au support des qualités anti corrosion. L’action de la rouille est bloquée grâce un fini « tuilé » : idéal lorsque l’on travaille sur des fonds humides ou soumis aux agressions de l’humidité.Les éventuelles remontées disgracieuses de rouille, tanins ou humidité sont elles aussi bloquées.Magnifier, décorer : étape finale des murs propres et préparés :Pour le passage à la finition, là aussi le bon choix s’impose. N’importe quelle peinture ne fait pas l’affaire si l’on veut un résultat durable. Durieu offre avec la gamme CARACTÈRE de Linitop une solution à part avec un rendu magnifié. Un crédeau : qualité, résistance et durabilité ; qualité et rendu magnifié.Qualité et résistance :Les résines acryliques de très haute qualité intégrées dans la formule de Linitop CARACTÈRE confèrent la résistance chimique au film pour endurer les accrocs de la vie quotidienne : chocs, griffures...Parallèlement l’adhérence est aussi très bonne ce qui fait de Linitop CARACTÈRE une très belle peinture pour réaliser des rénovations.Le plus : L’adjonction de particules de cires à la formule apporte une résistance supplémentaire pour protéger le film contre les impacts ou les coulures d’eau.Qualité et rendu :Linitop intègre des pigments premium qui donnent une couleur profonde et un rendu très « garnissant ».De plus, la qualité des pigments offre un vrai confort d’application car ils autorisent un temps d’ouverture confortable pour l’utilisateur.Les résines alkydes très performantes donnent au fini son aspect riche et mat à la fois, avec le fameux toucher velours.Enfin la qualité du pigment blanc utilisé est un vrai atout pour les teintes blanches. Souvent le blanc est une couleur qui n’est pas assez couvrante ou qui jaunit dans le temps. Les blancs de Linitop offrent des teintes blanches superbes une sorte de blanc absolu
Il y a 3 ans et 154 jours

SPIE signe un accord pour l’acquisition de NexoTechen Pologne

Avec l’acquisition de NexoTech, SPIE entre sur le marché polonais des infrastructures de télécommunication et renforce sa position de « pure-player » pour les services multi-techniques dans ce pays. En tant que fournisseur de premier plan pour les réseaux à haut débit en cuivre et en fibre optique, NexoTech bénéficie de la forte croissance du déploiement du FttX en Pologne. L’entreprise a une forte présence dans l'ouest et le sud de la Pologne et a son siège à Lubon, à côté de Poznan. Elle emploie environ 950 collaborateurs hautement qualifiés et a réalisé un chiffre d’affaires de 25 millions d'euros en 2020.Markus Holzke, directeur général de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, a déclaré : « avec NexoTech, nous intégrons une équipe de premier plan avec une grande expertise dans le développement des réseaux numériques à haut débit. Nous nous réjouissons de poursuivre notre expansion sur le marché à forte croissance du FttX avec l'équipe de direction existante et les 950 collaborateurs. Nous franchissons une étape importante dans le renforcement de notre positionnement en tant que partenaire de confiance pour les services multi-techniques en Pologne. Nous sommes convaincus que nos clients bénéficieront de l'élargissement de notre gamme de services. »Filip Reichelt, directeur général de NexoTech : « grâce aux compétences de ses collaborateurs, NexoTech a établi une position de leader sur le marché polonais. Nous attendons avec impatience cet avenir commun avec SPIE et les opportunités de développement de l'activité en Pologne. Nous sommes convaincus d'apporter une grande contribution. »Prévue pour fin janvier 2022, la signature de la transaction ne dépend plus que de l’approbation des autorités de la concurrence.
Il y a 3 ans et 168 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelle gamme d’accessoires EXPERT : Des technologies avancées pour une longue durée de vie, une plus grande résistance et plus de rapidité

La gamme d’accessoires EXPERT : Des performances Optimales Les professionnels du bâtiment obtiennent de meilleurs résultats lorsqu’ils associent des outils performants à des accessoires innovants. Mais de nombreux utilisateurs ne savent pas toujours à quel point ils peuvent augmenter leur productivité grâce aux accessoires qu’ils choisissent. Les nouveaux accessoires Bosch de la gamme EXPERT offrent aux professionnels des performances maximales, quels que soient leurs travaux, et durent plus longtemps. Bénéficiant des dernières technologies avancées, ils garantissent le meilleur, même pour des applications difficiles. Parmi les dernières nouveautés, Bosch lance le foret Expert HEX-9 HardCeramic pour les carrelages durs, la lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal pour la découpe de métal épais, la lame de scie sauteuse Expert Hardwood fast pour le travail du bois et le disque à tronçonner X-Lock Expert Diamond Metal Wheel pour la coupe de métal. Nouveau Foret Expert HEX-9 HardCeramic Une nouvelle façon de percer les carrelages durs L’augmentation de la taille et de la dureté des carrelages rend leur perçage très délicat. C’est pourquoi Bosch a développé le foret Expert HEX-9 HardCeramic. Il a été spécialement conçu pour percer les carrelages durs, tels que le grès cérame, mais aussi les tuiles, les tuiles en pierre naturelle et le verre non trempé, sans lubrifiant, ni refroidissement. Bénéficiant de la technologie au carbure, le foret est  extrêmement résistant. Il offre une durée de vie jusqu’à 10 fois plus longue que les forets pour carrelage actuels à pointe carbure, et une progression de forage beaucoup plus rapide. Issu du savoir-faire Bosch, la pointe en carbure haute performance à facettes multiples (brevet) coupe la céramique dure plus efficacement que les arêtes de coupe plates. Une conception asymétrique des angles permet de pénétrer à l’intérieur des matériaux durs plus facilement. Cette pointe de centrage permet ainsi une amorce de perçage précise, minimise les frottements et la chaleur, et augmente la progression du perçage. L’emmanchement hexagonal du foret Expert HEX-9 HardCeramic permet un transfert de puissance maximal sur les mandrins à trois mors standards. Il peut être utilisé avec une perceuse-visseuse mais aussi une perceuse-visseuse à percussion. La gamme comprend 8 tailles de forets avec des diamètres de 3 à 12 mm pour couvrir toutes les applications courantes. Nouvelle Lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal Une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue   La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal Bosch est parfaite pour couper le métal épais, comme des profilés en acier ou des tuyaux en fonte lourds. Elle bénéficie de la technologie carbure Bosch et d’un nouveau revêtement supplémentaire qui lui confère une longévité exceptionnelle même pour les applications les plus exigeantes telles que le démantèlement de voitures, de navires, d’usines… En effet, chacune des dents en carbure, soudées individuellement sur un corps épais et robuste, est revêtue de PVD (Physical Vapor Deposition). Ce revêtement rend le carbure encore plus résistant, double la durée de vie de la lame et apporte aux dents encore plus de dureté et de résistance à l’usure. Endurante, la lame dure ainsi jusqu’à 100 fois plus longtemps qu’une lame bimétal traditionnelle. La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal reste flexible et résiste aux forces de flexion et de torsion, typiques des applications de démolition. Enfin, de grande largeur, elle permet des coupes précises et droites, et son épaisseur assure plus de stabilité. La lame EXPERT Thick Tough Metal est disponible en longueurs 100, 150, 225 et 300 mm et convient à toutes les scies sabres avec des emmanchements S. Nouvelle Lame de scie sauteuse Expert Hardwood Fast Une coupe encore plus rapide Haute performance, la nouvelle lame de scie sauteuse EXPERT Hardwood Fast Bosch assure des coupes nettes et précises sur les bois durs et les bois composite, mais aussi les panneaux agglomérés, les plaques de plâtres et les panneaux de fibres. Grâce à la technologie carbure Bosch, elle profite d’une longévité jusqu’à 50 fois plus élevée qu’une lame en acier HCS. De plus, sa conception a été optimisée. Ses dents tranchantes en carbure, produites par un meulage en biseau supérieur, et son corps de lame conique assurent une coupe encore plus rapide. Par ailleurs, son pas de denture progressif permet de couper des matériaux de toutes épaisseurs. La lame EXPERT Hardwood Fast convient à toutes les scies sauteuses à emmanchement T. Nouveau disque à tronçonner X-LOCK Expert Diamond Metal Wheel Incassable, indéformable et ultra résistant   Bosch a révolutionné le changement d’accessoires sur les meuleuses angulaires avec son système X-LOCK, le plus simple du marché. Ce support de fixation innovant permet de changer en 2 secondes le disque, sans outil, en actionnant simplement un levier situé à l’avant de la machine. Celui-ci déverrouille le disque en un clic. Il suffit ensuite de replacer un nouveau disque, d’appuyer sur le support X-Lock pour l’enclipser. Parmi les nombreux accessoires X-LOCK, Bosch lance un nouveau disque à tronçonner l’EXPERT Diamond Metal Wheel, pour optimiser le travail dans le métal, la fonte, l’acier inoxydable ou encore le cuivre. Parfait pour les petites meuleuses angulaires, ce nouveau disque X-LOCK offre une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue grâce à la technologie Diamant de Bosch. Le corps en acier du disque a été optimisé pour assurer une vitesse et une profondeur de coupe constantes. Doté d’ouvertures de refroidissement, il ne se déforme pas avec la chaleur. La combinaison de ce corps et de grains de diamants, de haute qualité brasés sur le corps, offre une résistance maximale à l’usure et augmente les performances de coupe. Le disque EXPERT Diamond Metal Wheel permet de travailler dans un environnement plus sain, car avec la technologie Diamant, le disque ne dégage pas d’odeur et ne brûle pas pendant la découpe, contrairement aux disques agglomérés. Enfin, d’une grande robustesse, le disque est incassable et résiste parfaitement aux chutes. Le disque à tronçonner X-LOCK EXPERT Diamond Metal Wheel existe en diamètre 115 et 125 mm et se monte aussi sur les meuleuses classiques à emmanchement M14.
Il y a 3 ans et 170 jours

TERREAL récompense sept professionnels de la couverture

La 11ème cérémonie du « concours terroirs » organisé par Terreal s’est tenue le 18 novembre dernier, il a mis à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisation. Prix de la Maison Paysanne : l’entreprise SAS Xavier Salles à La Chapelle-prés-Sées (61) Prix décerné en partenariat avec Maisons Paysannes de France. L’entreprise Xavier Salles s’est vue récompensée du Prix Maison Paysanne pour la restauration de la toiture de 250 m2 d’une traditionnelle maison normande. Le choix de la tuile c’est porté sur la tuile plate de référence Normande, la tuile Rustique Sablé Normand. Le jury a noté un remarquable travail de finition quant aux traitements des points singuliers de la couverture. Un ensemble harmonieux qui laisse transparaître le cachet d’antan Normand retrouvé.   Prix Demeure de caractère – Toit du Sud : l’entreprise Bocareno à Pouzauges (85) L’entreprise Bocareno a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Sud pour la rénovation de la toiture de 456 m2 d’une bâtisse bourgeoise du XIXème siècle. La tuile Canalavérou Terre de Charente a été choisie pour son respect des contraintes architecturales et patrimoniales de la région. L’ensemble de la toiture a été restaurée, alors qu’elle se trouvait détériorée et couverte de végétation. La pose dans les règles de l’art a été remarquablement respectée par le scellement à la chaux des tuiles en rive et au faîtage, la réfection complète des cheminées et le remplacement de la zinguerie en cuivre. Cet ensemble permet à la maison de retrouver l’esthétique traditionnelle des toits d’antan de la Vendée.   Prix Demeure de caractère – Toit du Nord : l’entreprise JMC à Courtry (77) L’entreprise JMC a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Nord pour la rénovation de la toiture de 400 m2 d’un hôtel particulier des années 30. La tuile plate Ségala Vieux Pays, Vieille Terre a été choisie pour remplacer l’ensemble de la toiture, pour redonner le cachet traditionnel à cette belle demeure.   Prix Patrimoine Historique et Coup de cœur du public : l’entreprise Dallon Couverture à Saint Martin Lacaussade (33) L’entreprise Dallon Couverture a vu son savoir-faire récompensé pour la rénovation du toit de 400 m2 de l’Eglise Saint Pierre d’Eyrans datant du XIXe siècle. Réalisée par un artisan Raphaël Dallon passionné par son métier, cette restauration met à l’honneur son savoir-faire. Pour la réfection de cette toiture, les tuiles Girondine Castelviel en courant et Nuance d’Antan en couvert ainsi que de la tuile de récupération ont été soigneusement sélectionnées pour un nuancier de couleurs harmonieux.   Prix du Patrimoine Collectif : l’entreprise Toitures des Gones à Vourles (69) Prix Patrimoine Collectif décerné à l’entreprise Toitures des Gones pour la rénovation du laboratoire d’un artisan maître torréfacteur. Pour cet ouvrage, la réfection a été complète de la charpente aux verrières, avec un travail de finition remarquables de rives à noquet et ce sont les tuiles Montchanin Losangée Rouge qui ont été choisies pour couvrir les 260 m2 de toiture.   Prix Technique : l’entreprise Jeanne Patrice Couverture à Madre (53) L’entreprise de Patrice Jeanne a été récompensée pour le travail de rénovation de la couverture de 350m2 d’un manoir. L’artisan a mis en œuvre la tuile Monument Historique Pompadour en réalisant un harmonieux panachage de Rouge Saumon, Rouge Naturel et Rouge Violet. L’ensemble des points singuliers ont été traités par la matière même de la tuile, afin de conserver l’authenticité de ce manoir. Les lucarnes en zinc ont également été totalement refaites à l’identique. Une réalisation technique juste et remarquée.   Coup de Cœur du Jury : l’entreprise EURL Courot Dominique à Cluny (71) L’artisan Dominique Courot a été récompensé pour la réfection de la couverture d’un préau de 114 m2 fortement dégradée par des infiltrations d’eau, datant des années 1880. Le jury a notamment relevé la passion avec laquelle le lauréat a travaillé sur cette rénovation. Un travail minutieux et remarquable de détails : rives scellées avec bardelis en ardoises naturelles pour habiller le chevron, utilisation de chaux blanche et sable de rivière pour une harmonie naturelle, faîtage scellé en crête de coq pour faire écho à celle de l’habitation principale. La mise en œuvre d’une vieille tuile de tradition, la tuile plate Prieuré Rouge Ancien, redonne au préau son cachet authentique.
Il y a 3 ans et 172 jours

Hoppe à architect@work Bordeaux

HOPPE, fabricant de poignées de porte et de fenêtre en aluminium, inox, laiton et polyamide y participera et présentera sur son stand 123 des solutions répondants aux besoins et demandes du marché de la construction et de la rénovation d'E.R.P, de bâtiments tertiaires et résidentiels avec :DesignLes poignées pour porte intérieure avec mini-rosaces personnalisablesAvec leur taille réduite, les mini-rosaces sont à peine perceptibles sur la porte et mettent en scène les poignées de manière inédite. Avec sa gamme étendue de poignées sur mini-rosaces, HOPPE propose également de personnaliser la finition de la poignée et de la mini-rosace, permettant ainsi de configurer une poignée unique parmi des finitions tendances : anthracite, blanc et noire ou encore les teintes laitonnée et cuivrée.HygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®SecuSan® est un revêtement antimicrobien et antibactérien qui réduit jusqu'à 99% la croissance des microbes et bactéries sur la poignée. Cette solution permet ainsi de mettre en place des normes d'hygiène élevées et conserve son efficacité sans entretien particulier.Le revêtement SecuSan® développé par HOPPE est disponible sur 6 lignes phares de la marque allemande, sur les poignées pour porte intérieure (rosaces et plaques) sur les poignées de fenêtre et également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Design et techniqueLigne Toulon, un même design de poignée pour équiper toutes les menuiseries d'une maison ou d'un bâtimentAu plus près des besoins du marché et fort de son savoir-faire et de ses innovations, HOPPE est le seul fabricant à proposer avec un même design de poignées, une ligne complète et adaptée à l'ensemble des menuiseries intérieures et extérieures d'un bâtiment ou d'une maison (porte d'entrée, porte intérieure, fenêtre, baie vitrée, menuiserie alu,…).
Il y a 3 ans et 175 jours

Le vaste chantier de sortie du cuivre s'organise

DÉCRYPTAGE. Alors que le déploiement de la fibre avance à grand pas, un autre chantier d'envergure se profile en parallèle : celui de la fermeture du réseau cuivre. Sujet qui a occupé les débats du colloque de l'Avicca le 26 novembre 2021, et qu'est venu commenter Stéphane Richard, pour sans doute l'une de ses dernières prises de parole publique comme P-DG d'Orange.
Il y a 3 ans et 177 jours

Decorus, la solution 100% naturelle de Biocinov pour éradiquer les dépôts verts sur les toitures et terrasses

Dédiée aux solutions naturelles pour les professionnels, l’entreprise Biocinov s’est penchée sur cette problématique et ajoute à sa gamme la solution DECORUS pour les bâtiments professionnels ainsi que les habitations.DECORUS permet de traiter de manière choc et durable les surfaces dures pour éliminer les dépôts verts ainsi que les algues. À base d’acide nonanoïque, substance active d’origine végétale, la formule agit par contact, entraînant le dessèchement de la végétation ciblée. Les premiers effets sont visibles en quelques heures et la protection longue durée contre les algues est d’environ 6 mois.Côté supports, il est adapté à la plupart des matériaux de construction : asphalte, acier, zinc, aluminium, bois extérieur, plastique, ciment, brique, béton. Pour le zinc, l’aluminium, l’inox, l’acier et le verre, une fine couche blanche peut persister après l’application mais elle disparaîtra avec les pluies successives. Pour le cuivre, l’application va accélérer son oxydation.S’utilise au pulvérisateur, dilué à de l’eauJusqu’à 556 m² de surface traitée avec 1LÉconomique et utilisable toute l’année (sauf en période de gel)Compter 2 applications par an
Il y a 3 ans et 192 jours

Comment faire pour démousser et nettoyer le toit?

Au fil des années, la toiture de la maison est confrontée à certains problèmes pouvant dégrader son état. L’apparition des mousses figure parmi les problèmes courants rencontrés sur les différents types de toit. Lorsque les conditions de la toiture leur sont favorables, ces végétaux se développent et se prolifèrent sur diverses zones du toit. Leur présence peut causer des dégâts importants, comme le soulèvement des tuiles, altérant l’étanchéité de la toiture. Démousser le toit est donc nécessaire pour prévenir les risques. Pour apporter plus de visibilité sur le sujet, ce billet propose découvrir l’importance de recourir à un prestataire de démoussage et les divers moyens utilisés pour démousser la toiture. Contacter un prestataire de démoussage de toiture Le moyen le plus sûr et le plus rapide pour démousser et nettoyer le toit consiste bien évidemment à faire appel à une entreprise de demoussage de toiture. En effet, ce type de prestataire dispose des compétences et des outils nécessaires pour débarrasser efficacement le toit de ces végétaux indésirables. Par ailleurs, il faut savoir que les travaux de démoussage de toiture s’effectuent en hauteur et présentent donc de forts risques de chutes pour les novices. Pour éviter tout accident, il est plus indiqué de confier la réalisation de cette tâche à des professionnels qualifiés. Les moyens utilisés pour démousser le toit Pour démousser efficacement la toiture, il est donc indiqué de faire appel à une entreprise de demoussage de toiture. Ce type de professionnel dispose de plusieurs moyens permettant de mener à bien cette tâche. Pour ce faire, l’entreprise de démoussage peut : Se servir d’une brosse À l’aide d’une simple brosse dure, le prestataire de démoussage peut éliminer facilement les mousses incrustées sur le toit. Ensuite, il procède au rinçage de la toiture en partant du haut du toit. Durant ce processus, il procède minutieusement pour éviter de boucher la gouttière avec les résidus de mousse. Utiliser un nettoyeur haute pression Le nettoyeur à haute pression est un autre moyen efficace utilisé par l’entreprise de démoussage pour enlever les mousses incrustées sur le toit. Cet appareil de nettoyage est très puissant et doit donc être manipulé avec beaucoup de précautions pour éviter d’abîmer la toiture. Cela vaut surtout pour une toiture en tuiles ou en ardoise, car ces matériaux sont très fragiles. Appliquer des traitements préventifs Il faut savoir que retirer les salissures et les mousses sur le toit ne suffit pas. En effet, pour éviter que les mousses se propagent à nouveau sur la toiture, il est indispensable d’appliquer ensuite des traitements préventifs. Pour ce faire, le prestataire de démoussage peut, notamment, utiliser un produit anti-moussse qui permet de limiter le retour de ces végétaux indésirables. Il est également possible d’opter pour une solution hydrofuge, laquelle est un traitement de prévention anti-humidité. Effectivement, il faut rappeler que l’humidité est une des conditions qui favorisent la prolifération des mousses sur le toit. La pose de fils de cuivre est un autre moyen efficace pour prévenir l’apparition des mousses sur le toit. Pour cela, le professionnel en démoussage place des fils de cuivre au ras et sur le haut de la toiture. Ensuite, la pluie provoque l’oxydation du cuivre et ainsi lutter contre l’apparition des mousses.
Il y a 3 ans et 214 jours

Erlus lance sa nouvelle tuile E 58 SL-D en gris ardoise

La tuile universelle de la famille des pannes E 58 Avec cette version teintée dans la masse, ERLUS élargit davantage son offre E 58 SL. Elle réunit tous les avantages de la famille des pannes E 58 : universelle, économique et polyvalente. Elle est disponible avec tous les accessoires ERLUS, y compris ceux en aluminium. La tuile E 58 SL est une tuile panne galbée adaptée pour le neuf comme pour la rénovation. Bien entendu, comme toutes les tuiles de la gamme, elle se montre particulièrement robuste et résistante à la casse. Avec son pureau variable de 30 millimètres et son important jeu latéral, la tuile E 58 SL est très facile à poser. Le quadruple recouvrement à l'angle des tuiles, avec un accrochage correct, lui confère une résistance exceptionnellement élevée contre la tempête ou l'aspiration du vent. Cette tuile est particulièrement adaptée à la rénovation des toits avec des tuiles d'un pureau de 32,5 à 35,5 centimètres. Un grès bigarré Teistungen millénaire La tuile E 58 SL-D est fabriquée à l'usine Erlus de Teistungen à partir de grès bigarré de Teistungen préhistorique. Nous avons spécialement développé un procédé de préparation et de fabrication, qui donne sa surface fine et raffinée à la tuile cuite. Ce matériau de 250 millions d'années se transforme en tuile haut de gamme Karat® XXL, Hohlfalz SL, E 58 PLUS® et E 58 SL-D. Le grès bigarré de Teistungen est directement extrait sur le site de production, tout en préservant l'écosystème. Nous créons des habitats alternatifs pour les animaux s'ils sont perturbés par l'extraction. Par exemple, le lézard des souches a hérité d'un nouvel habitat adapté sur un terrain terrassé de pierres. Après l'extraction, les aires sont reboisées avec des feuillus endémiques et transformées en biotopes. Les espèces menacées y trouvent ainsi refuge et des conditions de vie idéales. Le grès est extrait de la colline par couches à l'aide d'une décapeuse sur chenilles, puis stocké. Il est ensuite réduit en poudre d'argile dans un broyeur pendulaire et mélangé à de l'eau. Afin d'obtenir une masse céramique homogène, le matériau est constamment humidifié et stocké environ 70 jours dans le bâtiment. Il obtient alors la meilleure plasticité pour les processus ultérieurs de formage, séchage et cuisson. Données techniques E 58 SL-D Groupe de pureau : 34 cm Coloris : rouge naturel, rouge vieilli, brun cuivré, anthracite, noir mat, gris basalte, marron, titane argenté, noir diamant, bourgogne et désormais en version teintée dans la masse gris graphite et gris ardoise. Dimensions : environ 29,0 x 46,5 cm Tuiles par m² : environ 11,5 pièces Pente nominale : 20° Pente minimale : 10° Classe de résistance à la grêle (HW) : 4
Il y a 3 ans et 226 jours

Opter pour une bûche de ramonage pour votre entretien d’appoint

Si vous souhaitez effectivement optimiser le rendement de votre appareil de chauffage, vous pouvez entreprendre des travaux de ramonage de cheminée chimique. Il s’agit d’une technique d’appoint qui permet d’utiliser une bûche spécifique, afin de dégager les suies qui restent encore accrochées à votre conduit. En effet, malgré le passage d’un artisan spécialisé, si vous exploitez intensément votre foyer durant la période de chauffe, il est préférable de recourir à cette alternative. Dans cette optique, l’intervention sera en complément de l’entretien annuel obligatoire qui devait être assuré par un professionnel certifié. Pour cette solution de secours, vous n’êtes plus tenu de faire appel à un ramoneur qualifié, il vous suffit de suivre méticuleusement les recommandations d’usage. Guide d’utilisation D’après le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), la manipulation des produits de ramonage chimique, tels que la bûche reste sans danger pour les utilisateurs. En effet, ils sont considérés comme des solutions synthétiques propres compte tenu de leurs compositions (sciure de bois compactée, sels minéraux métalliques, sulfate de cuivre pentahydrat). Autrement dit, ces mélanges ne contiennent pas des ingrédients nocifs pour la santé tels que le soufre ou le chlore. Toutefois, leur mise en œuvre doit tenir compte des indications recommandées par le fabricant pour être en conformité aux normes en vigueur. Pour une utilisation optimale, les producteurs préconisent les démarches suivantes : Allumage du feu 2 à 3 heures au préalable, Maintien du feu à vif pour permettre à la chaleur de réchauffer le conduit et ramollir ainsi le goudron pour qu’ils se décollent plus facilement. Sortie de la bûche de son étui, tout en gardant dans son emballage en papier, avant de la déposer sur les braises. Prévision d’une bonne heure de combustion. Extinction avec de l’eau ou de la neige carbonique après l’opération. Avantages et inconvénients Le choix d’une bûche de ramonage présente effectivement des avantages comme des inconvénients que vous devez savoir avant son utilisation. Parmi ces bénéfices, il s’agit d’une solution sans odeur et qui n’est pas susceptible de provoquer des risques d’allergie, tout en permettant d’activer les bistres. Autrement, il est maniable et reste particulièrement léger en ne pesant pas plus de 1Kg. Il est également bon marché, car il ne coûte que 10 à 15 euros. En ce qui concerne les points négatifs, il est important de noter que cet entretien ne remplace nullement la méthode mécanique réalisée par un ramoneur certifié. Par conséquent, il n‘est pas pris en considération par les compagnies d’assurance, en cas de sinistre. Cependant, cette opération vous offre l’opportunité d’améliorer la performance de votre appareil de chauffage, si vous l’effectuez 15 j avant l’exécution de la méthode traditionnelle. De plus, solliciter les services d’un professionnel vous accorde le privilège d’obtenir un certificat de ramonage en bonne et due forme. En cas de manquement, vous vous exposez à de lourdes sanctions qui sont estimées à plus de 450 euros d’amende dans certains départements. Bref, il est intéressant d’utiliser une bûche pour entreprendre des travaux de ramonage de cheminée d’appoint, afin d’optimiser le rendement de votre système de chauffage. Toutefois, rien ne vaut les prestations d’un professionnel si vous souhaitez bénéficier d’un certificat de ramonage. Par conséquent, vous devez faire appel à un ramoneur pour obtenir des garanties en cas de sinitres.
Il y a 3 ans et 234 jours

Portes Verre & Aluminium Eclisse

Dans un même espace, différentes portes coexistent Dans le marché des portes d’intérieur, les portes Verre & Aluminium sont incontournables. Il est essentiel pour Eclisse de proposer une harmonisation des portes verre et aluminium afin d’avoir une cohérence d’ensemble. C’est pourquoi, sa nouvelle gamme de portes Verre & Aluminium est compatible avec la majorité de ses modèles. Rien de plus simple dorénavant si l’envie d’une porte en Verre & Aluminium se dessine. Vous pouvez choisir le châssis (classique – Unique, Extension… - ou design – Syntesis® Line, Syntesis® Battant, ECLISSE 40), le modèle de la porte (Zeus – un panneau de verre centré au niveau du profil aluminium – ou Just – deux panneaux de verre sur les extrémités qui insèrent le profil aluminium) et les poignées assorties.Le verre, avec ses transparences ou sa finition dépolie, sépare les pièces sans délimiter les frontières tout en faisant passer la lumière, tandis que le cadre en métal dessine les formes pour apporter du cachet. Les caractéristiques techniquesPorte battante ou coulissante selon le châssis / l’huisserieSens d’ouverture au choixModèle de porte Zeus ou JustFinitions de l’aluminium : blanc, argent, marron, bronze, noir, anthracite ou cuivreFinitions du verre : transparent extraclair, bronze, bronze, fumé, satiné extraclair, bronze satiné, fumé satiné, réfléchissant bronze, réfléchissant fumé, miroir, etc. Pour plus d’informations : télécharger la brochure
Il y a 3 ans et 247 jours

L'aluminium, métal de l'ancienne et de la nouvelle économie

Au deuxième rang des métaux les plus exploités sur Terre après l'acier, selon l'organisme Aluminium Europe qui fédère cette industrie dans l'Union européenne, l'aluminium est plus léger que ce dernier, présente une bonne résistance à la corrosion et aux déformations et est complètement recyclable. Largement utilisé depuis la fin du XIXe siècle dans l'industrie navale et ferroviaire, il est devenu le métal de référence pour l'aéronautique en allégeant le poids des avions, même s'il est actuellement concurrencé par la fibre de carbone.Dans la construction, ses propriétés ont permis d'innover constamment, pour des profilés de façades vitrées, portails amovibles, structures de balcons ou rambardes, sous formes d'alliages.Dans la vie quotidienne, il est omniprésent dans les cuisines (barquettes alimentaires, briques et canettes de boisson, capsules de café, couvercles de bocaux...) ainsi que dans les aérosols et les produits pharmaceutiques.Sa densité est de 2,7 grammes par centimètre cube, soit environ un tiers de celle de l'acier (7-8 g/cm3) ou du cuivre (8,96 g/cm3).Meilleur conducteur électrique que le cuivre, l'aluminium devient peu à peu une référence pour l'équipement des lignes à haute tension, des bobines de transformateurs ou des câbles souterrains et sous-marins.Comme il est également plus léger et solide que les matériaux traditionnels, l'aluminium pourrait s'imposer comme le nouveau standard dans l'industrie électrique, voire électronique. La transition énergétique promet de l'utiliser toujours plus massivement dans les technologies bas carbone, comme le packaging des batteries ou les piles à combustible alimentées à l'hydrogène, souligne le centre de recherche IFP Energies nouvelles.Selon l'US Geological Survey de 2021, les réserves mondiales de bauxite, le minerai qui sert à produire l'aluminium, se situent principalement dans des zones tropicales et subtropicales: la Guinée (24,9%), l'Australie (17,2%), le Vietnam (12,5%) le Brésil (9,1%) et la Jamaïque (6,7%). Selon la même source, la Chine n'a que 3,4% des réserves mondiales et la Russie 1,7%.
Il y a 3 ans et 247 jours

Hoppe à architect@work Paris

HOPPE, acteur incontournable de la quincailleire et fabricant de poignées de porte et de fenêtre depuis 1952, aura le plaisir d’y exposer ses dernières solutions répondants aux besoins et demandes du marché de la construction et de la rénovation d’E.R.P, de batîments tertiaires et résidentiels. A retrouver sur le stand 213 HALL A, HOPPE y exposera :HygièneLes poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®Pour ouvrir une porte, nous attrapons instinctivement la poignée à pleine main. Mais ce geste, si anodin soit-il, est devenu source d’inquiétude !Les poignées SecuSan® permettent une protection active et réduisent jusqu’à 99% la croissance des germes. Elles aident à mettre en place des normes d'hygiène élevées et conservent leur efficacité sans entretien particulier.Avec une gamme qui s’est élargit en 2021, HOPPE propose désormais ce revêtement antimicrobien et antibactérien sur 6 designs de poignées de porte et de fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour porte coulissantes.Résistance extrêmeLes poignées de porte Sertos®Les poignées de porte utilisées dans les Etablissements Recevant du Public (E.R.P.) doivent particulièrement être robustes et résistantes. Et c’est exactement ce que garanti Sertos®.Le système de poignée à clipser Sertos® est extrêmement résistant, grâce à son mécanisme de blocage à billes développé par HOPPE. Il a passé le test de 1.000.000 de cycles d’utilisation sans que son fonctionnement n’en soit altéré (test PIVCERT-Plus effectué par le renommé institut de certification allemand Velbert (PIV)). Ainsi les poignées Sertos® dépassent 5 fois les exigences de la norme DIN EN 1906 – catégorie d’utilisation grade 4 (niveau requis pour les E.R.P.).Design et techniqueLes nouvelles finitions Resista®Au plus près des tendances, HOPPE propose également quatre nouvelles finitions satinées :Les finitions anthracites ou noires répondant à la tendance industrielle et qui permettent de contraster avec la couleur ou de donner encore plus d'élégance à un style minimaliste ton sur ton.Les teintes laitonnées et cuivrées qui s’adaptent parfaitement à la tendance actuelle des surfaces métallisées des meubles et accessoires de décoration.Ces nouvelles finitions sont disponibles sur plusieurs lignes phares de la marque : lignes Amsterdam, Dallas et Los Angeles. Et pour permettre une uniformisation complète, ces finitions sont disponibles sur les poignées pour portes intérieures, porte coulissantes, menuiseries alu, fenêtres et baies vitrées.La qualité de ces nouvelles finitions est conservée longtemps, même en cas d'utilisation intensive ou dans des conditions climatiques difficiles. Elles bénéficient de la garantie de 10 ans pour la qualité de leur surface Resista®.
Il y a 3 ans et 260 jours

Les artisans du bâtiment de plus en plus inquiets face à la pénurie de matériaux de construction

Depuis quelques mois, Stéphane Payen, qui dirige une entreprise de menuiserie à Saint-Paul-les-Romans (Drôme) avec 10 salariés, fait très attention à la date de ses devis. "Avant, ils étaient valables trois mois. Maintenant, pas plus d'une semaine", déclare-t-il à l'AFP.Une semaine, c'est un temps suffisant pour voir le prix du bois grimper encore et alourdir le coût de ses travaux."Les bois exotiques sont introuvables. Les pins sylvestres d'Europe sont une denrée rare: on en trouve mais, si on demande trois colis, on n'en aura qu'un, et il faut attendre trois mois pour être livré, au lieu d'une semaine. Et ils sont bien plus chers, les prix ont doublé depuis le début de l'année", complète-t-il.Idem pour Ludovic Templé, maçon indépendant dans la banlieue d'Orléans: les prix de la ferraille n'ont cessé d'augmenter depuis "un an et demi et d'au moins 60%"."Au moins, j'arrive à gérer avec mes différents chantiers pour ne pas devoir les arrêter", dit-il, au contraire d'autres artisans qu'il croise. Mais leur retard pourrait se répercuter sur son activité, craint-il. Chantiers suspendusBalloté entre la forte reprise mondiale, après la mise à l'arrêt de l'économie, et la désorganisation des chaînes d'approvisionnement, le bâtiment est confronté depuis plusieurs mois à une tension sur des matières premières cruciales, comme le bois, l'acier, le cuivre ou même le plastique.Faire les charpentes, monter des fenêtres avec du PVC ou de l'acier, installer des tuyaux de plomberie ou des plaques d'isolation... Les impacts sont multiples au quotidien."Ce n'est pas une pénurie car, les produits, il y en a encore, mais il y a de gros problèmes au niveau des prix", concède Franck Bernigaud, qui préside la Fédération des distributeurs de matériaux de construction.Il assure que les distributeurs veillent à pénaliser le moins possible leurs clients, y compris les petits. Ces difficultés ont néanmoins eu des conséquences: la Fédération française du bâtiment (FFB) estime que 15% des entreprises ont peiné à continuer au moins un chantier durant l'été. "Cela faisait 20 ans qu'on n'avait pas connu ça. D'habitude, ce taux est de l'ordre de 1 à 2%", compare le président de la FFB, Olivier Salleron. Cette situation affecte plus particulièrement les petits artisans. "Je ne peux pas me permettre de faire des stocks. Et si une grande entreprise commande beaucoup de parpaings, il peut ne rien me rester", s'inquiète M. Templé. Demande d'indemnisations pour activité partielleLes géants de la construction, Bouygues, Vinci ou Eiffage, ont assuré lors de la présentation de leurs résultats semestriels que ces tensions d'approvisionnement n'avaient pesé ni sur leur activité, ni sur leur chiffre d'affaires.Bouygues est protégé "grâce à un mécanisme d'indexation" du prix des matières premières "dans le contrat" des chantiers, explique le directeur général, Olivier Roussat.Eiffage dit rester "vigilant" sur l'évolution de la situation."En sortie de crise sanitaire, on voyait que les chaînes d'approvisionnement n'existaient pas. Mais, au final, les six derniers mois ne se sont pas trop mal passés", se rassure Benoît de Ruffray, le PDG d'Eiffage.A l'inverse, les artisans doivent négocier directement avec les commanditaires des chantiers pour espérer une rallonge."J'ai un chantier avec une école et on a pu augmenter le prix, contre l'assurance que le chantier sera fait à temps malgré l'approvisionnement difficile", témoigne M. Payen.Les professionnels attendent avec impatience le dégonflement des prix mais la fédération du bâtiment ne voit pas cela arriver avant "plusieurs mois"."Notre seule crainte est de devoir stopper des chantiers pendant cette forte relance du bâtiment", dit M. Salleron, qui demande au gouvernement la mise en place si besoin de l'"activité partielle".
Il y a 3 ans et 303 jours

Voir les 16 statues de la flèche de Notre-Dame de Paris

Les 16 statues des apôtres et des évangélistes qui avaient été déposées quelques jours à peine avant l’incendie de Notre-Dame ont fait l’objet d’une restauration minutieuse ces deux dernières années, sous la maîtrise d’ouvrage de la DRAC Île-de-France. Elles seront désormais visibles à la Cité de l’architecture & du patrimoine jusqu’à leur réinstallation sur la flèche rebâtie. Suite au concours de la restauration de la cathédrale remporté par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc, la construction de la flèche est autorisée en 1858. Les statues des apôtres sont installées en 1861. Dessinées par Viollet-le-Duc, elles sont modelées par son sculpteur attitré Adolphe Geoffroy-Dechaume. Quatre types de corps sont retenus pour les apôtres. Seules les mains, les attributs et les têtes changent. Geoffroy-Dechaume réalise un modèle en plâtre à l’échelle 1, divisé en plusieurs fragments. Ensuite, l’atelier de fonderie Durand (puis Monduit) moule et coule chaque partie en fonte de fer. Une plaque de cuivre est appliquée sur la forme en fonte et frappée avec des maillets pour en épouser complètement le relief.  Les morceaux sont soudés entre eux.  Une ossature en fer assure le maintien et la solidité de l’ensemble fiché sur un axe assurant la liaison avec l’édifice. Si les étapes de la restauration de la flèche depuis sa conception sont connues, celles des statues restent énigmatiques car non mentionnées dans les archives.  Lors de la restauration des crêtes de faitages en 2010, la statue du lion, symbole de l’évangéliste Marc, avait été déposée depuis l’échafaudage en place. Confiée au Laboratoire de recherche des monuments historiques pour analyses, ces dernières montrèrent une corrosion des armatures intérieures en fer et un début de dislocation et d’ouverture des feuilles de cuivre. L’eau pénétrant par l’enveloppe déchirée attaquait inexorablement l’armature de fer, la transformant en rouille. A cela s’ajoutait une altération chimique par électrolyse entre le cuivre et le fer. Quelques réparations inesthétiques étaient visibles. Une première étude fut menée sur la restauration des statues en 2013 par Benjamin Mouton, architecte en chef des monuments historiques.  En 2014, le diagnostic de Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, mit en lumière le mauvais état de la couverture en plomb de la flèche observé lors de la réfection du paratonnerre. La décision fut prise de restaurer l’intégralité de la flèche. Si la charpente bois était en bon état, de nombreuses altérations mécaniques du plomb étaient révélées, fissures, déchirures, casses, impacts, déformations, dislocation des assemblages, ouvertures des pinces, défauts de fixation et de fabrication. Les statues sont déposées le 11 avril 2019 par l’entreprise Socra chargée de la restauration, sous la maîtrise d’œuvre de Philippe Villeneuve et sous la maîtrise d’ouvrage de la DRAC Île-de-France. Chaque grande statue pèse à peu près 150 kg et mesure environ 3,40 m.  Etêtées quelques jours auparavant, afin d’accrocher des sangles à leur structure interne, elles sont déboulonnées sans difficulté. En atelier, la restauration suit un protocole précis. Un berceau est fabriqué pour coucher chaque statue et éviter toute déformation. Les feuilles de cuivre sont désassemblées en partie afin d’extraire l’armature.  Celle-ci est dessinée dans ses moindres détails, puis révisée. Les parties les plus altérées ou disparues sont remplacées à l’identique par des pièces forgées. La structure doit épouser parfaitement la forme de la sculpture. Certaines armatures sont substituées en totalité.  Tous les éléments sont métallisés et peints pour les rendre plus pérennes. Ils sont isolés du cuivre par du téflon, supprimant tout risque d’électrolyse. L’armature est fixée à l’intérieur de la statue par des petites pattes telles qu’elles existaient auparavant, en augmentant leur nombre pour plus de sécurité. Les enveloppes de cuivre désassemblées sont relevées avec précision. Un décapage complet est opéré par microgommage à la poudre de noyau d’abricot afin d’ôter l’oxydation vert-de-gris et remettre le métal à nu. Les déformations sont reprises au marteau. Les quelques trous sont bouchés par des rustines, même technique que précédemment. Les feuilles intégralement conservées, sont ensuite soudées entre elles au millimètre près. Pour la patine finale, le souhait était de retrouver la couleur d’origine des statues au moment de leur pose. Le projet de reconstruction de la flèche d’Eugène Viollet-le-Duc et les photographies prises peu de temps après par Mieusement ou Marville montrent parfaitement cette couleur brune, des sculptures plus sombres que la toiture. L’examen des photographies précise un changement de teinte au début du XXe siècle. Le rapport s’est inversé, des statues claires devant une toiture foncée. Lors de la restauration des années 1935-1937, seul moment où les statues pouvaient être atteintes, des rustines furent installées par endroits et une sorte de patine, découverte sur l’échafaudage, appliquée pour uniformiser l’état de surface. La nouvelle patine couleur bronze a fait l’objet de plusieurs essais à froid ou à chaud. La technique choisie est celle de l’application d’une première couche de dichromate de sodium puis de barège, un produit soufré, au pinceau et chauffé au chalumeau.  Les soudures s’effacent alors. Une cire protectrice est appliquée sur toute la surface. Cette patine vibrante préserve des reflets sous-jacents. Source et photo : Drac Ile-de-France
Il y a 3 ans et 303 jours

Un objet remarquable découvert par des fouilleurs illicites

Une plaque ornementale en cuivre champlevé, émail rouge, doré représentant un chevalier avait été préemptée par le musée de Cluny lors d’une vente de l’Hôtel Drouot le 27 janvier 2021. Ainsi alerté, le Service régional de l’archéologie de Bretagne (SRA) a également été sollicité par l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) et la brigade de recherche de Vannes pour une assistance lors d’une perquisition. Plusieurs personnes domiciliées dans le Morbihan et en région parisienne ont été placées en garde à vue le 8 juin. Elles vont être jugées pour exécution de fouilles archéologiques sans autorisation. L’objet avait été découvert illégalement sur un site archéologique du Morbihan. Cette affaire montre les liens entre l’usage illégal des détecteurs de métaux et le marché de l’art français. Les fouilles clandestines sont une véritable menace pour le patrimoine, car les couches archéologiques détruites empêchent la compréhension des sites. L’objet fabriqué en Angleterre, vers 1300 mesure 9 cm sur x 10,6. Photo : Drouot  
Il y a 3 ans et 305 jours

Prysmian Group à l'honneur pour son rôle majeur en France

Prysmian Group investit en France pour supporter la transition énergétiqueEn tant que leader mondial de l’industrie des câbles et des systèmes pour la transmission et la distribution d’énergie et des fibres optiques pour les réseaux de télécommunications à large bande, Prysmian Group joue un rôle de premier plan pour rendre possible la transition énergétique, avec la France au cœur de son projet de développement. A ce titre, Valerio Battista Président du groupe mondial du groupe et Laurent Tardif, Président Europe du sud ont été conviés le 28 Juin à participer à Choose France, l’évènement organisé par le gouvernement français pour inciter les grands industriels internationaux à investir en France.Présent en France avec 10 sites de production, 2.700 employés et un chiffre d’affaires annuel supérieur à un milliard d’euros, le Groupe a mis en place un projet d’expansion industrielle et de nouveaux laboratoires de Recherche &développement à Gron (Bourgogne–Franche-Comté) et à Montereau (Île-de-France) afin d’intensifier la production de câbles à haute tension dans le pays.Avec une valeur initiale de 40 millions d’euros, l’investissement vise à créer de nouveaux centres R & D et à mettre en œuvre de nouveaux systèmes de production de câbles souterrains HVDC (haute tension à courant continu) de ±525 kV en cuivre isolés avec la technologie propriétaire innovante dite P-Laser, la première conception 100 % recyclable, écodurable et hautement performante, développée en utilisant le matériau HPTE (High Performance Thermoplastic Elastomer - élastomère thermoplastique haute performance). Cet investissement prévoit quarante cinq nouvelles embauches. En France, Prysmian Group développe des projets de pointe pour rendre la transition énergétique possible :Câblage de parcs éoliens offshore pour RTE et EDF RenouvelablesInterconnexions Européennes électriques terrestresInterconnexions Européennes électriques et sous-marinesLes câbles optiques à la Grande Exposition du Fabriqué en France à l’ElyséeL’usine Prysmian Group de Montereau-Fault-Yonne a été sélectionnée par la commission gouvernementale du Ministère de l'industrie pour représenter le département de Seine et Marne dans le cadre de la GrandeExposition du Fabriqué en France à l'Elysée les 3 et 4 juillet. Une distinction venue mettre un coup de projecteur sur le rôle clé du Groupe dans le déploiement de la fibre optique en France.Les câbles optiques Flextube®, dédiés aux réseaux Très Haut Débit et fabriqués à Montereau-Fault-Yonne, ont la particularité de pouvoir se déployer dans tous types d'environnements (pose en conduite, sur support aérien, en intérieur...). Cette prouesse technologique est un élément clé pour répondre aux défis opérationnels du déploiement du Plan France Très Haut Débit lancé par le Gouvernement français. C’est ainsi que le câble flextube® 144 fibres fabriqué à l’usine de Montereau a été retenu par le comité de sélection de la Grande exposition du Fabriqué enFrance à l’Elysée pour représenter le département 77 ».Dans le cadre de ce plan, Prysmian Group s’est engagé aux côtés de l’Agence du Numérique et de la Mission TrèsHaut Débit, et participe au développement des infrastructures de l’Intranet Très Haut Débit (d’ici 2022) et de la fibre optique jusqu’à l’abonné partout en France à horizon 2025.Par sa maîtrise unique de l’ensemble des processus de fabrication des câbles à fibres optiques, Prysmian Group est le seul industriel en France à proposer des solutions intégrées. Ses câbles à fibres optiques représentent à eux seuls plus de 45% du déploiement du réseau de fibre optique sur le territoire national.Pour relever ce challenge industriel national en seulement 12 ans, Prysmian Group a fait appel à quatre de ses dix usines françaises :L’usine de Douvrin (Pas-de-Calais) pour le développement et la fabrication de la fibre optique,Les usines de Calais (Pas-de-Calais) et Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) pour les câbles optiques,L’usine de Chavanoz (Isère) pour les câbles de raccordement d’abonnés et la connectivité.Au total, plus de 700 collaborateurs du Groupe sont mobilisés en France pour fournir un réseau fibre de qualité et durable aux abonnés français, qu’ils soient en zones rurales ou urbaines, à domicile ou au bureau.Laurent Tardif, Président Europe du Sud de Prysmian Group, déclare : « C’est une grande fierté pour Prysmian Group et ses équipes de contribuer à la construction et au déploiement du Plan France Très Haut Débit.»
Il y a 3 ans et 318 jours

Nouvelle gamme de parois de douche Ekinox pour toutes les configurations

Destinées à répondre à toutes les configurations de douche sans seuil (en espace ouvert, espace ouvert avec volet pivotant, porte pivotante ou encore porte coulissante pour des implantations en niche, en angle ou contre un mur), les solutions Ekinox Kinedo peuvent même être réalisées sur-mesure.Ekinox : une offre large répondant à toutes les envies, tous les cas de chantierParoi simple pour un espace douche ouvert, paroi simple avec volet pivotant à 180°, paroi fixe pour montage en angle, porte pivotante à ouverture totale ou avec petit fixe en ligne, paroi avec 1 volet coulissant sans seuil, porte pivotante sans seuil avec partie fixe en ligne, Kinedo démultiplie le champ des possibles.L’offre Ekinox s’adapte en effet à chaque besoin, chaque envie, d’autant que l’on peut également réaliser son Ekinox sur-mesure (parois avec découpe par exemple pour implantation en combles ou pièce à pans coupés).Avec une hauteur de 207 cm, idéale pour les personnes de grande taille, les nouvelles parois Ekinox de Kinedo proposent un choix de 3 coloris de finition de profilés : aluminium inox brossé, cuivre et bleu « kobalt » brossé (selon les modèles). Mention spéciale aussi, le travail esthétique réalisé sur le design exclusif des charnières, comme sur la poignée allongée, tout en élégance et en harmonie.Côté finition toujours, notons la présence d’un verre transparent de 6 mm revêtu d’un traitement anticalcaire pour une esthétique préservée et un entretien facilité. De même, Kinedo a équipé ses modèles de parois Ekinox de poignées métalliques intérieures/extérieures assorties et sens du détail oblige, d’une baguette cache-silicone coordonnée au profilé en bas de la paroi.Dans le même esprit de facilité d’entretien, Kinedo a doté la gamme Ekinox de charnières affleurantes au verre qui ne présentent, de fait, aucun obstacle ou interstice facilitant le passage d’une éponge ou de la raclette lors du nettoyage. Toujours dans cette logique d’entretien simplifié, Kinedo a doté Ekinox de profilé aimanté totalement lisse, avec un aimant directement intégré à l’intérieur du profilé.Confort d’utilisation à l’honneur aussi puisque les portes coulissantes Ekinox disposent d’un système d’ouverture/fermeture amorties évitant les potentiels chocs, sources d’une usure prématurée.Précisons aussi que le système de roulement par le haut réduit considérablement les frottements pour une ouverture facile garantie. Gage de longévité aussi côté portes pivotantes Ekinox, puisque Kinedo les a pourvues d’un système de relevage de 0,3 cm à l’ouverture, assurant une réduction de l’usure du joint situé en bas de porte.Pour les professionnels, les parois Ekinox revendiquent un montage particulièrement facile et rapide, qu’ils apprécieront, avec un ajustement impeccable assuré grâce un ajustement simplifié de la paroi par rapport aux faux aplombs.Le montage des parois s’avère un véritable jeu d’enfant et se réalise en seulement 4 étapes (visser les profilés aux murs, glisser le verre dans le profilé, positionner le joint servant de clé de blocage et Visser les obturateurs).De plus, l’installation d’Ekinox se veut encore simplifiée grâce notamment au système de renfort parallèle très discret : Kinedo propose en effet cette barre de renfort (et non plus posée perpendiculairement à la porte) sur porte pivotante ou coulissante, un procédé qui ne sollicite pas le mur du fond perpendiculaire et apporte la rigidité de la paroi cadrée avec le design épuré d’une paroi sans seuil. Outre le gain esthétique évident, ceci permet la pose n’importe où de la colonne de douche et se jouera des contraintes habituelles comme la présence d’une fenêtre sur le mur parallèle à la paroi.Enfin, dans un souci de discrétion, pour les parois Solo ou Duo des renforts perpendiculaires ou des mats sol/plafond sont proposés dans les 3 couleurs.
Il y a 3 ans et 324 jours

Ötzi Peak : l’observatoire signé noa, vue sur la (très) grande histoire

Au-dessus du glacier du Val Senales (Haut Adige, Italie), l’agence noa (network of architecture) a livré en 2020 l’observatoire Ötzi Peak, du nom de ce chasseur de l’âge du cuivre retrouvé-là plus de 4 000 ans après sa mort. L’option intégrale en acier autopatinable a permis de réaliser cet ouvrage spectaculaire. Culminant côté italien à 3 […] L’article Ötzi Peak : l’observatoire signé noa, vue sur la (très) grande histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 332 jours

Le chiffre d'affaires de Nexans en hausse de 15,2% au premier trimestre

De janvier à mars, les ventes de Nexans ont atteint 1,756 milliard d'euros, contre 1,614 md EUR au 1er trimestre 2020, selon un communiqué diffusé jeudi. Sur une base comparable, hors effet de variation des cours des métaux, la hausse a été de 1,4%, à 1,5 milliard d'euros.Le cours du cuivre, qui frise les 10.000 dollars la tonne sur les marchés mondiaux, au plus haut depuis dix ans, n'a "aucun impact sur la rentabilité" car la hausse est intégralement répercutée aux clients, a indiqué le directeur général de Nexans Christopher Guérin au cours d'une présentation téléphonique, en soulignant néanmoins le "risque" constitué par la "rareté" du cuivre et de l'aluminium pour l'achèvement des contrats.Nexans qui a annoncé en février un virage stratégique, avec un recentrage sur ses activités liées à l'électrification - quitte à abandonner des secteurs comme les télécoms ou l'industrie afin d'améliorer sa rentabilité - a salué le "dynamisme de la demande" au 1er trimestre.Depuis le 4e trimestre 2020, l'ensemble des activités sont en croissance, sauf le secteur haute tension. Le secteur construction et territoires en particulier connaît un "fort rattrapage des commandes" après l'interruption des chantiers durant la pandémie. Le chiffre d'affaires progresse de 3% à 615 M EUR par rapport au 4e trimestre 2020. Mais recule de 2% sur un an, essentiellement à cause de la fermeture d'une usine à Chester aux Etats-Unis en juin 2020.Au 1er trimestre, le groupe a notamment électrifié 41 communautés rurales en Côte d'Ivoire. Le chiffre d'affaires du secteur construction a crû de 8% en Afrique sur un an.La division Industrie et Solutions progresse de 5,8% sur un an, à 344 M EUR à cours des métaux standard. Le bond est de +10,9% par rapport au dernier trimestre 2020, porté par un trimestre record dans le domaine des harnais automobiles pour habitacles, grâce à la croissance de la part de marché sur les véhicules électriques.Nexans a signé le trimestre dernier un contrat d'approvisionnement pluriannuel pour fournir les câbles aéronautiques d'Airbus et un autre contrat (de deux ans) avec la RATP pour des câbles ferroviaires.L'activité télécoms et données progresse de 2,2% par rapport au dernier trimestre 2020, mais recule de 4,2% sur un an, le segment infrastructures télécoms étant pénalisé par des retards de projets et la stabilité de la demande de fibre optique à domicile. Les télécommunications sous-marines sont en hausse de 12,1% par rapport au dernier trimestre 2020.Le secteur haute tension et projets, à 147 M EUR, baisse de 14,7% par rapport au 4e trimestre 2020, et de 24,7% par rapport au 1er trimestre 2020 qui était alors exceptionnellement élevé.Le groupe a souligné avoir été choisi comme fournisseur préférentiel pour l'électrification de l'Etat de New York par le raccordement des fermes éoliennes offshore Empire Wind au réseau terrestre.Enfin, les ventes de fil de cuivre ont affiché une hausse de 25,9% à 323 millions d'euros sur un an (hors effet de cours), reflétant surtout "la forte demande de fils de cuivre en Amérique du Nord".
Il y a 3 ans et 338 jours

Pénurie et flambée des matériaux: l’État entend les alertes du BTP et annonce de nouvelles mesures

"Nous avons pris une circulaire adressée à tous les acteurs de l'État pour leur demander de ne pas appliquer des pénalités de retard en cas de retard de livraison sur les marchés publics" liés à des pénuries de matières premières, a déclaré M. Le Maire à l'issue d'une réunion avec l'ensemble des organisations patronales et des fédérations professionnelles de la construction et des matériaux.Il a souhaité que les collectivités locales fassent de même, regrettant "l'effet de ciseaux" dans lequel sont prises les entreprises du secteur, moteur de la reprise économique.Elle sont confrontées à la fois à l'abaissement de la production des matériaux pendant la période de la pandémie et à une reprise de la construction "plus rapide que prévue"."Pour une tonne d'acier, les prix sont passés de 500 euros à 1.500 euros" a-t-il expliqué.Le gel des pénalités de retard qui est dû à un "cas de force majeure", concerne toutes les entreprises de la construction, mais surtout les TPE et PME, a lancé le ministre, répondant ainsi à la Confédération des PME (CEPME) qui lui avait demandé cette mesure "à minima jusqu'à fin 2021".En revanche, M. Le Maire n'a pas souhaité maintenir les mesures d'indemnisation du chômage partiel utilisées pendant la crise sanitaire, alors que 30% des chantiers pourraient être menacés si les pénuries continuaient, selon une partie de la profession.Lundi matin, le président du Medef Geoffroy Roux de Bezieux s'était lui aussi ému des "arrêts de chantiers" de certains entrepreneurs du bâtiment, qui travaillent à perte en raison des augmentations de prix.Le ministre a simplement annoncé la mise en place d'un "comité de crise" chargé de faire "remonter les cas de comportements anormaux" au sein de la filière de la construction: "la règle doit être la solidarité" a-t-il dit.Le dispositif de médiation destiné à apaiser les tensions crées par les problèmes d'approvisionnement, annoncé le 20 mai par Bercy, devrait lui, être mis en place dans quelques semaines, selon lui.Il sera piloté, ainsi que le comité de crise, par Pierre Pélouzet, médiateur national inter-entreprises chargé de régler les différends entre entreprises avant de recourir à la voie juridique, a indiqué le ministre."Nous n'avons pas de préoccupations particulière sur la poussée d'inflation, qui est cohérente avec la reprise" a ajouté M. Le Maire.La flambée et pénurie de matières premières menacent la reprise, selon les organisations patronalesLundi, les organisations patronales françaises ont une nouvelle fois alerté sur les conséquences pour les entreprises du bâtiment de la flambée des prix de l'acier et de la pénurie de bois de construction, qui se retrouvent dans l'impossibilité de répercuter ces hausses sur leurs contrats déjà signés et de respecter les délais impartis.Pour le Medef, "il s'agit d'un risque systémique pour les entreprises du secteur, puisqu'il affecte l'ensemble de leurs chantiers et [survient] dans un contexte où les marges opérationnelles dans la construction s'affichent encore en net retrait par rapport à la situation d'avant-crise"."Ces tensions risquent de peser fortement sur la reprise économique", alors que "la filière du bâtiment, fer de lance de la reprise, a embauché 64.000 salariés supplémentaires au 1er trimestre 2021 par rapport à la moyenne de 2019", met en garde cette organisation dans un communiqué.La CPME craint que "les prix élevés et la pénurie des matières premières impactent de manière non négligeable bon nombre d'activités économiques".Après une réunion mardi au ministère de l'Économie avec le Medef, la CPME, l'U2P (artisans) et des fédérations du secteur (CAPEB, FFB...), le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a annoncé avoir "pris une circulaire adressée à tous les acteurs de l'État pour leur demander de ne pas appliquer des pénalités de retard en cas de retard de livraison sur les marchés publics" liés à des pénuries de matières premières.Il a souhaité que les collectivités locales fassent de même, regrettant "l'effet de ciseaux" dans lequel sont prises les entreprises du secteur, avec notamment un prix de l'acier multiplié par trois.Le ministre a aussi annoncé la mise en place d'un "comité de crise" chargé de faire "remonter les cas de comportements anormaux" au sein de la filière de la construction: "la règle doit être la solidarité", a-t-il dit.Le dispositif de médiation destiné à apaiser les tensions créées par les problèmes d'approvisionnement, annoncé le 20 mai par Bercy, devrait lui, être mis en place dans quelques semaines, selon lui.La FFB alerte depuis février 2021La FFB alerte depuis février 2021 sur le choc brutal qui affecte les matériaux de construction. Elle a fait des propositions pour palier l’urgence : versement immédiat du carry back et crédit d’impôt proportionnel au poste « achat de matériaux » pour limiter l’impact des hausses de prix ; gel des pénalités de retard et compensation intégrale du chômage partiel en cas de rupture d’approvisionnement.La FFB reste dans l’attente d’une réponse rapide aux propositions qu’elle a faites.Olivier Salleron, président de la FFB salue « la mise en place du comité de crise annoncée par Bruno Le Maire et espérée pour les prochains jours. Il y a maintenant urgence car de plus en plus d’artisans et entrepreneurs sont contraints d’arrêter les chantiers et de mettre des salariés au chômage partiel ».Pic dépasséBruno Le Maire n'a en revanche pas souhaité maintenir les mesures d'indemnisation du chômage partiel utilisées pendant la crise sanitaire, alors que 30% des chantiers pourraient être menacés si les pénuries continuaient, selon une partie de la profession.Pourtant, la situation "est bien une suite logique du Covid", a argumenté à la sortie de la réunion le président de la Capeb (artisans du bâtiment), Jean-Christophe Repon.Selon lui, "il faut continuer à accompagner" les entreprises en difficulté, qui, sinon vont être obligées de "licencier" des salariés qu'elles "ont mis un an et demi à recruter".Le problème dépasse le secteur de la construction, s'étendant à l'électronique, l'automobile et aux industries utilisant des métaux non-ferreux."La sortie de crise sanitaire a pour nous des conséquences compliquées", a expliqué à l'AFP Georges Devesa, directeur général de Nutrisens, une entreprise lyonnaise spécialisée dans l'alimentation des personnes âgées ou hospitalisées."Viande et légumes augmentent de près de 20%, plastiques, cartons de plus de 40%, avec des délais très importants. Nos marges sont en grand danger du fait de ces hausses d'une ampleur jamais vue", détaille ce dirigeant qui dit qu'il n'aura pas d'autre choix que d'augmenter ses prix.Cette flambée des cours sera-t-elle durable? La question inflationniste hante les esprits, alors que les cours mondiaux sont tirés par les reprises économiques plus vigoureuses et précoces en Chine et aux États-Unis qu'en Europe."Nous avons une augmentation considérable de la demande au moment où les capacités d'offre sont quand même encore un peu réduites", a expliqué à l'AFP Philippe Chalmin, économiste spécialiste des matières premières.Selon lui, "le pic est derrière nous" pour l'acier et le bois, ce qui soulagerait le secteur de la construction, mais les prix du cuivre pourraient rester élevés, ce métal étant "un des bénéficiaires de la transition énergétique".
Il y a 3 ans et 345 jours

Avoir une belle toiture : pourquoi faire appel à un professionnel ?

Pour conserver un bon état général de sa maison, il est indispensable d’entretenir l’extérieur, ainsi que l’intérieur. Or, le nettoyage de la toiture est souvent négligé par beaucoup de propriétaires. Focus sur l’importance de prendre soin de sa toiture et les bonnes raisons de recourir à un expert. Pourquoi faut-il entretenir sa toiture ? Nettoyer la toiture de sa maison est indispensable pour assurer sa durabilité dans le temps. Avoir un toit au-dessus de sa tête consiste à bénéficier d’un abri. Cependant, la toiture est souvent négligée. Grâce au toit, l’intérieur de la maison est protégé (plafonds, murs, installations électriques, etc. ). De plus, il aide à préserver le confort thermique dans l’habitation. Outre le fait d’améliorer le confort des occupants toute l’année, la toiture réduit la consommation d’énergie en maintenant une température intérieure convenable. Par ailleurs, celle-ci doit toujours être entretenue, qu’elle soit en tuiles, en bois, en PVC, en zinc, en verre, en cuivre, en ardoises, etc. Après tout, il est préférable de l’entretenir régulièrement plutôt que d’effectuer une rénovation pouvant coûter très cher. Le toit est la partie la plus exposée aux agressions extérieures : pollution, intempéries, mousses, etc. Ces conditions favorisent l’apparition des mousses et lichens. Ces derniers le rendent moins résistant et participent à sa dégradation. Ainsi, il faut prendre soin de sa toiture pour prévenir la formation de moisissure sur le toit, mais aussi éviter les fuites et les dommages irréparables. En outre, le toit participe grandement à l’esthétisme d’une structure. Il faut savoir qu’une toiture en tuiles est plus sensible au développement des mousses et des lichens qu’un toit en ardoises. Si le fait de démousser sa toiture est essentiel, afin qu’elle reste propre et saine, il faut contacter un professionnel dès l’avènement des traces blanches ou noires. Pourquoi recourir à un professionnel pour l’entretien de sa toiture ? Pour un entretien régulier de son toit, le nettoyage doit s’effectuer au moins deux fois par an. Le meilleur moyen pour nettoyer sa toiture est lorsque le temps est sec. Le but est de prévenir les accidents. Plusieurs matériaux sont indispensables si l’on décide de le faire soi-même : une échelle, des gants, un produit anti-mousse, un nettoyeur haute pression, etc. Il faut également porter des chaussures non glissantes, ainsi que des vêtements larges et confortables. Cela étant, faire appel à un expert est le meilleur moyen d’éviter les accidents graves. Ce type de prestataire sait rester prudent face au danger, notamment lorsqu’il s’agit de travailler en hauteur. Aussi, ce professionnel garantit la propreté, l’étanchéité et la durabilité des toitures. Concernant le démoussage, la réalisation de cette opération nécessite l’usage des équipements spécifiques. En effet, ne pas enlever les taches noires ou blanches engendre la prolifération rapide des mousses. Toutefois, réussir à démousser sa toiture n’est pas à la portée de tout le monde. Ainsi, le technicien procède à un traitement hydrofuge anti-mousse pour éliminer les mousses et les lichens. Ce produit permet, en l’occurrence, de protéger le toit de l’humidité et prévenir les éventuelles fuites. Il existe de nombreuses sociétés de nettoyage de toiture à Blain, si besoin pour entretenir sa toiture.
Il y a 3 ans et 347 jours

Pourquoi choisir la charpente en métal dans un projet de construction ?

La charpente métallique est la solution de plus en plus privilégiée pour les projets de construction. Elle présente plusieurs avantages et se distingue essentiellement des autres types de charpentes sur plusieurs points. Qu’il s’agit d’un projet de construction de bâtiments professionnels, industriels, agricoles ou de maisons individuelles, la charpente métallique est très adaptée. Il existe une multitude de raisons pour lesquelles beaucoup de personnes l’utilisent davantage. Pourquoi choisir la charpente en métal dans un projet de construction ? Nous vous invitons à découvrir la réponse dans cet article qui vous apporte tout sur le sujet. Solide La première raison pour laquelle il faut utiliser la charpente en métal dans un projet de construction, c’est à cause de sa robustesse. Grâce à la matière à partir de laquelle elle est fabriquée, c’est-à-dire l’acier, elle est solide et capable de supporter de grandes charges. Elle a une durée de vie plus longue que les autres types de charpente et résiste fortement face aux catastrophes naturelles. Certains fabricants comme ce constructeur de charpente métallique Barbot Fayat proposent même des solutions sur mesure en tenant compte des risques environnementaux liés au projet. Barbot Fayat réalise des charpentes métalliques personnalisées pour des hangars de stockage, des bâtiments industriels, agricoles et professionnels. Ses charpentes sont capables de supporter les vents violents, et même les tremblements de terre. Économique La charpente en métal est une solution qui permet d’économiser assez d’argent lors d’un projet de construction. Elle est nettement moins chère qu’une charpente en bois ou en béton. Concrètement, elle coûte généralement entre 8 et 15 % en moyenne moins chère que les autres types de charpente. Cela se justifie par le fait que la charpente métallique est à la fois facile et rapide à monter. Elle ne nécessite pas non plus de coûts de logistique et de mise en place. Ainsi, les économies qu’elle permet de réaliser sont importantes et peuvent s’élever à plusieurs centaines ou milliers d’euros en fonction de la superficie à couvrir. Écologique L’autre raison qui justifie le fait que la charpente en métal soit aujourd’hui recommandée pour n’importe quel projet de construction, est son pouvoir écologique. En effet, l’acier est une matière 100 % recyclable qu’on peut réutiliser à l’infini sans compromettre sa qualité. Il fait partie des rares métaux qui produisent très peu de déchets et respectueux de l’environnement. De même, l’acier consomme très peu d’énergie comparativement à l’aluminium, au zinc et au cuivre. Il favorise une gestion efficace de l’énergie thermique. Tout cela fait de la charpente métallique une solution à fort impact écologique qui répond parfaitement aux enjeux actuels du changement climatique. Les entreprises qui utilisent la charpente métallique dans leurs projets de construction, améliorent considérablement leur responsabilité sociétale et environnementale. Facile et rapide à mettre en place Qu’elle soit conçue en kit ou sur mesure, la charpente en métal est une solution très facile à monter. Contrairement aux autres types de charpentes, elle n’implique pas de grands travaux pour sa mise en place. Les constructeurs fabriquent tous les éléments en usine et viennent simplement les monter sur le site de la construction. Ils installent la charpente entière en quelques jours. Cela vous épargne de nombreuses tracasseries et surtout vous évite de perdre le temps. La charpente métallique est donc une solution idéale, si vous avez besoin d’une charpente en urgence ou si vous souhaitez réaliser votre projet de construction en un temps record. Facile à entretenir L’entretien d’une charpente traditionnelle est généralement difficile à faire. Elle implique une surveillance permanente et l’intervention des professionnelles. Les charpentes en bois deviennent même un problème avec le temps. La charpente métallique ne subit pas ces défaillances. Car l’acier est imputrescible ; il ne peut pas se corrompre ni se pourrir. Aucun insecte xylophage ni champignon n’arrive pas à le détruire. Ainsi, la charpente en métal subit rarement de fissures et de traces de détérioration. Elle ne se transforme pas quels que soient le taux et la durée de l’humidité ambiante à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment. L’entretien d’une charpente en métal ne nécessite donc pas un traitement qui impliquerait l’utilisation d’un produit quelconque. La charpente métallique est une solution qui s’adapte à tout type de construction. Elle est solide, économique, écologique, facile à monter et à entretenir.
Il y a 3 ans et 354 jours

Mise en oeuvre de 2 conduits extérieurs Therminox culminants à 40 mètres de hauteur

Dans le cadre d’un marché de remplacement de chaudières, Gard Habitat a sollicité les services d’Engie pour le lancement et le suivi de ces travaux énergétiques.Pour ce faire, Engie a fait appel au savoir faire de l’entreprise de pose Carreau, laquelle s’est appuyée sur la solution de conduits isolés THERMINOX de CheminéesPoujoulat pour le raccordement de4 nouvelles chaudières gaz à condensation.Le partenariat engagé entre Carreau, fumisterie de bâtiment, et CheminéesPoujoulat, leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques, a, une nouvelle fois, fait la preuve de son efficacité et de son adaptabilité aux particularités d’un chantier hors normes.Une collaboration historique galvanisée sur un chantier d'exceptionGard Habitat, propriétaire bailleur des tours d’habitat collectif G1 et G2 érigées sur la commune de Bagnols-sur-Cèze, a lancé en 2019 un appel d’offres concernant le remplacement de l’équipement de chauffage, du fait de sa vétusté et des fortes consommations d’énergie générées.Engie, en charge de ce marché, a mandaté l’entreprise de fumisterie Carreau pour assurer la préconisation de la solution de conduits à privilégier et sa mise en œuvre.Pour répondre au cahier des charges de son client, Carreau a sollicité Cheminées Poujoulat, partenaire fournisseur de longue date avec lequel le poseur a su nouer de solides relations tant humaines que techniques au cours de ces 12 dernières années.Au regard des éléments de ce marché relatifs à la mise en œuvre d’un chantier remarquable par la taille des conduits à traiter, l’entreprise Carreau a choisi la solution THERMINOX de Cheminées Poujoulat.« Le conduit THERMINOX s’est avéré la solution la plus adaptée compte-tenu de ses attributs esthétiques, de sa durabilité, de son adaptabilité à la technologie du gaz à condensation, de son efficacité et des conditions de sécurité qu’elle offre du fait de la contrainte de hauteurs à prendre en compte », décrit Lionel Abadie, chef d’équipe de la société Carreau.Des conduits culminants à 40 mètre de hautLa société Carreau a réceptionné les conduits le 12 octobre 2020 sur site. Le chantier a démarré avec des travaux de raccordement à un équipement provisoire, destiné à maintenir la fourniture du chauffage et de l’eau chaude sanitaire pendant toute la durée des travaux.Pour engager les travaux de pose des nouveaux conduits, la société Carreau a loué une nacelle absolument atypique, comptant parmi les plus longues nacelles ciseaux automotrices de France rarement employées, pour faire culminer les conduits à 40 mètres de hauteur.Trois collaborateurs de la société Carreau se sont ensuite attelés à installer les conduits THERMINOX en Inox de diamètre 300, à la façon d’un empilement de Lego, prenant appui sur un support mural fixé au mur de chacun des immeubles.Cet empilement a été entrecoupé par la pose de colliers muraux pour assurer le maintien des conduits à la verticale des tours d’habitation. Ces différentes phases se sont répétées maintes fois jusqu’à atteindre le sommet des tours.Ces conduits sont alimentés par 4chaudières gaz à condensation MCA conçues par De Dietrich, positionnées dans une chaufferie.Au total, les 3 poseurs ont œuvré pendant4 semaines, accompagnés tout au long du chantier par Cheminées Poujoulat.Le chantier s’est parfaitement déroulé dans le respect du calendrier fixé initialement.THERMINOX : un conduit performant et durable qui participe aux économies d'énergieLes économies liées à ces nouvelles chaudières peuvent atteindre 30 % à condition qu’elles soient associées à des conduits d’évacuation de fumée adaptés et performants.Pour optimiser le rendement de ces chaudières modernes, Cheminées Poujoulat a conçu, en relation avec les fabricants d’appareils et les installateurs, le conduit THERMINOX. Il répond parfaitement aux nouvelles réglementations thermiques (RT2005, RT2012, RE2020) qui visent à renforcer la performance thermique globale des bâtiments. Ses performances ont été validées par le Laboratoire CÉRIC.Fabriqué avec des matériaux de haute qualité, THERMINOX assure une étanchéité parfaite à l’air comme aux condensats.L’isolation haute densité à base de laine de roche optimise le tirage et évite la formation de condensation à l’extérieur du conduit.L’esthétique restant une priorité pour Cheminées Poujoulat, THERMINOX n’échappe pas à la règle : il bénéficie d’une ligne élégante (intégrant les colliers de sécurité) et de finitions soignées.Disponible en finition inox, peints ou cuivre, THERMINOX s’adapte au mieux à l’architecture du bâtiment.