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Résultats de recherche pour fontaine

(419 résultats)
Il y a 2 ans et 67 jours

alkern signe de nombreuses innovations d coratives pour cr er et sublimer ses ext rieurs

Revendiquant plus de 50 ans d’expertise en la matière, Alkern s’impose comme le partenaire idéal d’un aménagement extérieur réussi. Chacun y trouve source d’inspiration et réponse à son projet, qu’il soit d’esprit contemporain, urbain, campagne... Avec plus de 2 500 références (dalles, margelles, pavages, bordures, piliers, murets, fontaines) déclinées en aspect structuré ou lisse comme dans de nombreux coloris, Alkern met ainsi à disposition une offre exhaustive qui permet de créer et aménager parfaitement ses allées de jardin, ses abords de piscine ou bien encore de parfaire l’entrée de sa maison.
Il y a 2 ans et 76 jours

Prix MPF René Fontaine – Environnement rural et savoir-faire

Depuis 38 ans, l’association Maisons Paysannes de France organise un concours destiné à préserver et à mettre en valeur notre environnement rural, le paysage, le patrimoine de pays et les savoir-faire. Jusqu’au 15 juillet 2023. Deux ensembles de prix sont attribués. Les prix « Bâti ancien et savoir-faire » – pour valoriser des travaux de restauration de […] L’article Prix MPF René Fontaine – Environnement rural et savoir-faire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 92 jours

Le BioParc de Doué-la-Fontaine bâtit ses propres gîtes

L'AVENIR EN GRAND DES PARCS ET ZOOS. Vecteurs essentiels pour l'économie et le tourisme sur leur territoire, les parcs et zoos font souvent l'objet d'importants plans d'investissement pour améliorer et compléter leur offre et l'expérience des visiteurs, mais aussi pour attirer de nouveaux publics et assurer leur développement. Après le Futuroscope, direction le Maine-et-Loire pour découvrir les nouveaux hébergements du BioParc de Doué-la-Fontaine.
Il y a 2 ans et 117 jours

Seine-et-Marne : zoom sur les travaux de rénovation et d’extension du lycée François-Couperin à Fontainebleau

Les travaux de restauration du lycée François-Couperin à Fontainebleau, dans le département de Seine-et-Marne, se...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 119 jours

Lavettes Mewa, tapis absorbants et fontaines de dégraissage, le trio gagnant de la propreté dans les industries et ateliers

Moulins, février 2023 Le système de prestations de services de Mewa pour les lavettes industrielles, les tapis absorbants et les fontaines de dégraissage s’avère particulièrement rentable pour les ateliers et les industries. Il n’est pas nécessaire d’acheter et de stocker l’équipement pour le nettoyage industriel. Mis à disposition par Mewa, il est régulièrement lavé et […]
Il y a 2 ans et 120 jours

Lavettes Mewa, tapis absorbants et fontaines de dégraissage

Lavettes Mewa, tapis absorbants et fontaines de dégraissage Il n'est pas nécessaire d'acheter et de stocker l'équipement pour le nettoyage industriel. Mis à jmgcom mar 07/02/2023 - 11:19 En savoir plus sur Lavettes Mewa, tapis absorbants et fontaines de dégraissage Partager
Il y a 2 ans et 121 jours

L’immobilier d’entreprise face à un moment charnière

2022, l’année du retour à la normale sur le marché des bureaux francilienPour Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France : « 2022 aura été l’année du retour à la normale. Plusieurs faits marquants sont à noter : la concentration de l’activité sur les secteurs tertiaires les plus établis et la volonté des utilisateurs de s’orienter sur des immeubles neufs / restructurés répondant aux enjeux RSE et aux nouvelles attentes en matière d’environnement et d’aménagement des espaces de travail. Malgré ce bilan positif, les premiers signaux de ralentissement se sont confirmés sur la fin d’année (602.300 m² placés au 4T 2022 soit - 11% sur un an) avec un créneau des petites et moyennes surfaces particulièrement affecté. Compte tenu des perspectives économiques plus dégradées, cette phase de ralentissement de l’activité devrait se poursuivre sur 2023. Nous anticipons un recul du volume de commercialisations de l’ordre de - 5% à - 10% ce qui porterait le niveau de demande placée autour de 1,9 - 2 millions de m². »Du côté de la vacance de bureaux en Ile-de-France, elle augmente sur ce 4ème trimestre 2022 avec 4,3 millions de m² immédiatement disponibles.Pour Alexandre Fontaine : « La Défense et dans une moindre mesure la 1ère Couronne sont à l’origine de cette hausse du volume de bureaux vacants. Sur la Défense, les livraisons de la tour Hekla (72.700 m²) et de la tour Aurore (37.300 m²), en quête de preneurs, ont notamment contribué à la forte progression du taux de vacance dans la zone, qui est passé de 12,4% au 3T 2022 à près de 15,5% au 4T 2022. Au vu des niveaux de demande placée et d’offre future anticipés sur l’année 2023, l’offre neuve / restructurée devrait néanmoins commencer à se réduire fin 2023 / début 2024.»Le marché de l’investissement en zone de fortes turbulences : après de très belles performances, les acteurs en attente d’une stabilisation des conditions de marchéMalgré des circonstances adverses sur le plan financier et géopolitique, l’année 2022 s’achève sur des résultats plutôt bons : 25,5 Mds € ont été investis en immobilier d’entreprise banalisé en France, soit – 2% par rapport à 2021. Le marché a été porté par le dynamisme retrouvé du commerce, le maintien de l’investissement industriel et logistique à des niveaux élevés ainsi que par une bonne résilience du marché des bureaux en région.Toutefois, l’année 2022 restera dans les annales comme un moment charnière entre le monde d’avant - profusion d’argent à bas coût, très faible niveau de rémunération de l’OAT, compression des taux de rendement immobiliers - et le monde d’après, marqué par la remontée (forte et brusque) du coût de l’argent pour contrer l’inflation, et, donc in fine, la nécessaire remontée des taux de rendement immobiliers.Pour Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties : « Le T3 a été ainsi un point de bascule entre ces deux paradigmes, affichant des résultats en trompe l’œil : la bonne tenue de l’activité était en fait la concrétisation de négociations initiées en début d’année à des taux le plus souvent obsolètes. »Avec seulement 5,4 Mds € investis (soit -52% par rapport au 4e trimestre 2021), le T4 2022 se distingue par une faible performance alors que c’est traditionnellement un trimestre très actif : cela témoigne de ce changement de paradigme et du lent ajustement des acteurs de l’immobilier. Face à un contexte hautement volatil, les investisseurs font preuve d’attentisme. Si la nécessité d’une correction des prix est désormais entendue, celle-ci peine à s’exprimer: le calendrier et le niveau du réajustement restent donc incertains et conditionnés notamment à la maîtrise de l’inflation par les Banques Centrales.Pour Nicolas Verdillon : « En attendant, faute de convergence sur les prix entre vendeurs et acheteurs, le marché se grippe et devrait retrouver de la fluidité - au mieux - en deuxième partie de 2023. »
Il y a 2 ans et 176 jours

Malgré les incertitudes économiques, l'immobilier d’entreprise résiste

Le marché des bureaux en Ile-de-France résiste en dépit du pessimisme ambiantLes mauvaises nouvelles s’accumulent sur le front économique : inflation élevée, hausse des taux obligataires, instabilité géopolitique, une perspective de croissance quasi-nulle voire une récession attendue pour 2023…Pourtant, le marché des bureaux francilien semble relativement préservé pour le moment avec 1.488.300 m² placés sur les 9 premiers mois de l’année (+ 20% sur un an et - 4% comparé à la moyenne de long terme).Pour Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France : « L’activité sur le segment des petites et moyennes surfaces reste solide (+ 6% par rapport à la moyenne décennale). Le volume de commercialisations a été, en revanche, un peu plus décevant sur ce 3ème trimestre concernant les grandes transactions. Nous restons confiants, malgré tout, concernant les perspectives d’activité au 4ème trimestre qui devraient être bien meilleures au vu du niveau de demande exprimée et des négociations en cours. »Malgré la bonne tenue du marché tertiaire francilien, la vacance peine à se résorber et atteint 4,1 millions de m² au 1er octobre 2022.Pour Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France : « Cette stabilisation de l’offre immédiate disponible masque des tendances divergentes. D’un côté, la vacance continue de se contraindre dans les secteurs les plus attractifs. De l’autre, des pressions à la hausse se font sentir sur certains bassins tertiaires, déjà sur-offreurs, en raison de la livraison de programmes neufs / restructurés en attente de preneurs. Cette dichotomie et ce maintien de l’offre vacante à haut niveau en Ile-de-France devrait perdurer encore plusieurs trimestres. »Un 3ème trimestre performant malgré les incertitudesMalgré le monde d’incertitudes dans lequel nous vivons actuellement, avec 7,4 Mds € investis en immobilier d’entreprise, ce 3ème trimestre reste positif, dans la continuité du 1er semestre. Près de 20 Mds d’€ se sont échangés au cours des 9 premiers mois de l’année. Le marché a été en particulier animé par de grandes transactions de qualité, et ce tant en bureaux, en logistique qu’en commerce.Pour Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties : « Nous observons un décalage entre le ressenti du secteur et les résultats du trimestre qui vient de s’écouler, témoignant, et c’est normal, de l’inertie du marché. Il y a même eu un phénomène d’accélération de certaines opérations pour les concrétiser avant le ‘reset’ du marché, autrement dit la phase d’ajustement, qui ne sera sans doute visible réellement que d’ici 3 à 6 mois. »Au-delà de l’impact de la crise énergétique et géopolitique, c’est l’envolée du coût de l’argent qui pèse le plus sur l’immobilier, pas les liquidités, qui sont bien présentes.Si certains investisseurs vont adopter des positions attentistes, d’autres continueront à avoir « envie de faire », mais avec des rendements à la hauteur de leurs attentes de rémunération du risque et du coût de l’argent.L’évolution actuelle des taux de rendement suit mécaniquement en partie celle des taux obligataires longs afin de conserver un spread attractif.Pour Nicolas Verdillon : « Les questions sont donc de savoir où sera la zone d’atterrissage et quand, avec en corollaire, quelle correction de prix, et dans son sillage les conséquences sur les volumes d’investissement 2023. »
Il y a 2 ans et 184 jours

Le classement énergétique des stations de ski françaises : une avalanche de passoires énergétiques sous la menace de l’interdiction de louer

Les résultats sont éloquents : avec en moyenne près de 50% de logements considérés comme des passoires énergétiques, contre 16,9% en moyenne nationale - et jusqu’à 90% dans certaines d’entre elles - la plupart des stations de ski vont être touchées de plein fouet par l’interdiction de louer dès 2023 mais surtout en 2028. Etat des lieux de la situation. Jusqu’à 90% de logements F ou G dans certaines stations de ski ! Au moment où la saison hivernale va commencer, Heero, fintech spécialisée dans l’accompagnement à la rénovation énergétique et l’analyse des données du territoire a étudié la performance énergétique des logements dans 70 stations de skis, aussi bien des Alpes, du Massif central, des Vosges, du Jura et des Pyrénées (classement intégral en pièce jointe). Le constat est alarmant. Alors qu’en France, 16,9% des logements sont considérés comme des passoires énergétiques, les stations de ski étudiées comptent en moyenne 50% de logements avec un diagnostic de performance énergétique F ou G ! Et dans 30 stations sur 70, plus de la moitié des logements sont des passoires énergétiques, avec des écarts élevés selon les massifs et les stations : la part des logements énergivores va ainsi de 15% à Bellefontaine dans le Jura, station la plus économe du classement, à 90% de logements considérés comme des passoires énergétiques à Isola 2000, pourtant dans les Alpes du Sud!Pour Romain Villain, directeur général de heero : « Les stations de ski les plus énergivores, celles qui comptent plus de la moitié de passoires énergétiques au sein de leur parc de logements, se situent majoritairement dans les Pyrénées et les Alpes, alors qu’au contraire celles qui ont la plus faible part de logements F ou G, inférieure à un tiers du parc, se trouvent plutôt dans les Vosges, le Jura et le Massif central. Plusieurs facteurs sont en cause : l’altitude, la zone géographique, l’âge de construction des bâtiments, avec un impact écologique et économique à prévoir dans les années à venir très différent selon les stations et les massifs. »D’importants écarts liés à différents facteurs climatiques, architecturaux…Les stations de skis françaises, tant dans les Alpes que les Pyrénées ont commencé à émerger dès les années 20, notamment la station de Megève dans les Alpes ou Barèges et la Mongie dans les Pyrénées, puis dans les années 45.Courchevel 1850 est la 1ère station d’altitude construite sur un site vierge en 1946. La grande phase de développement des stations de ski s’est ensuite effectué dans les années 60-70 avec le plan Neige et la construction de stations toujours plus hautes en altitude - comme la Plagne, les Menuires, les Arcs - composées majoritairement d’appartements dans des résidences construites rapidement, avant la 1ère règlementation thermique, soumises à des températures plus rudes, avec une isolation parfois insuffisante et des systèmes de chauffage pas toujours performants. Ce n’est en effet qu’à partir de 1974 que la 1ère règlementation thermique fixe l’objectif de réduire de 25% la consommation énergétique des bâtiments neufs en limitant les déperditions de chaleur, avec notamment l’imposition de la mise en place d'une fine couche d'isolation thermique et l'installation de thermostat de chauffages.Pour Romain Villain : « L’histoire des stations de sports d’hiver françaises s’est faite en plusieurs étapes. D’abord nées à partir d’un village existant, les stations de ski se sont progressivement industrialisées pour s’implanter sur des sites vierges à la fois pour être au plus près du domaine skiable mais aussi pour pouvoir construire plus de bâtiments, avec une problématique davantage pratique et esthétique qu’énergétique à cette époque-là. Aujourd’hui beaucoup de stations construites dans les années 70 se retrouvent donc confrontées à la nécessité d’entretenir, voire de rénover massivement, leur parc de logements devenu vieillissant sous peine de ne plus pouvoir le louer. »C'est à partir des années 80 qu'on commence à construire des stations plus basses, mieux intégrées dans le paysage avec des chalets divisés en appartement, souvent de meilleure qualité, et peu énergivores comparés aux stations de skis des années 70.Mais au-delà des époques de construction et d'urbanisation des massifs, les écarts selon les massifs sont probablement liés aux altitudes. Le Jura, les Vosges et le Massif Central sont globalement moins soumis à des conditions extrêmes - à la fois en termes de climat actuellement utilisé dans le DPE mais aussi au moment de la construction, qui est ainsi plus facilitée que dans les Hautes Pyrénées par exemple, avec potentiellement des coûts moins élevés et donc des constructions ou des matériaux de meilleure qualité. Les conditions et matériaux de constructions ont donc un fort impact au-delà de l’âge des stations.A noter : le mode de calcul du DPE peut également avoir un impact non négligeable sur les mauvaises performances énergétiques des stations de ski. En effet, le DPE mesure une consommation d’énergie par m2. Les studios et petits appartements, très répandus en montagne, sont donc plus fortement pénalisés que les grands appartements, car ils consomment proportionnellement plus d’énergie par rapport à leur surface, avec les mêmes équipements de chauffage par exemple.Bientôt moins de biens à louer dans les stations de sports d’hiver : une autre difficulté économique à laquelle elles vont devoir faire faceDès cette saison, certaines stations de ski pourraient être impactées par la Loi climat compte tenu de l’état de leur parc de logements. En effet, dès le 1er janvier 2023, les logements G avec un DPE indiquant une consommation supérieure à 450 kWh par m2 seront interdits à la location. A partir du 1er janvier 2025, tous les logements classés G seront concernés, puis à partir du 1er janvier 2028, les logements classés F seront sortis du parc locatif puis ceux classés E à partir du 1er janvier 2034.Pour Romain Villain : « A la base, la Loi Climat ne concernait que les locations longue durée, mais récemment le Ministre du Logement, Olivier Klein, a indiqué que les locations de vacances et meublés touristiques seront également concernés, ce qui va avoir un impact très négatif pour les stations de ski qui risquent de voir leur parc locatif diminuer en moyenne de moitié dès 2028, soit dans 5 ans seulement ! Car pour certaines d’entre elles, il sera matériellement impossible de rénover l’ensemble des logements concernés d’ici là… »Fort heureusement, d’ores et déjà certaines régions lancent des initiatives et aides pour améliorer la performance des stations. En Auvergne Rhône Alpes par exemple, Laurent Wauquiez, le président de la Région, a mis en place un nouveau plan pour la montagne de 100 millions d’euros, dont 10 millions d’euros consacrés pour la rénovation immobilière de loisirs et des centres de vacances notamment…Rénover son bien, un coût pour les propriétaires de résidences secondaires ou bailleurs, mais la possibilité d’obtenir des aides !Contrairement aux idées reçues selon lesquelles les aides sont souvent réservées aux acheteurs de résidence principale, il existe des dispositifs pour les résidences secondaires ou investissements mais ils sont bien sûr insuffisants, alors même que ceux-ci sont les plus contraints par la Loi Climat et sont en première ligne pour rénover les biens ces prochaines années.Le certificat d’économie d’énergie (CEE) : le logement doit avoir plus de 2 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le montant dépend des travaux réalisés et de la zone géographique. Exemple : jusqu’à 25 € d’aide par m² pour l’isolation des comblesMaPrimeRénov’ : le logement doit avoir plus de 15 ans et les travaux doivent être réalisés par un artisan RGE. Le dispositif est éligible pour jusqu’à 3 logements par propriétaire bailleur. Le montant est calculé selon les revenus et le gain écologique des travaux, avec des bonus possibles de 500 € à 1500 € si les travaux permettent de sortir du statut de passoire thermique. Sur la base de connaissance de plus de 150.000 travaux de rénovation énergétique, Heero estime à 450 € par m2 le budget moyen d’une rénovation énergétique pour gagner une ou deux classes de DPE. Quelques exemples de devis : Installation d’une VMC double flux : entre 4.000 € et 5.000 € Isolation des murs par l’intérieur : entre 60 et 120 € / m² Isolation des murs par l’extérieur : entre 80 et 120 € / m²Pour Romain Villain : « Il est certain qu’effectuer des travaux de rénovation a un coût, et que dans les stations de ski certains travaux peuvent être compliqués par l’altitude, par l’architecture existante ou par la taille des appartements souvent déjà réduites ne permettant pas forcément une isolation par l’intérieur. Certains travaux devront également être effectués au niveau des copropriétés notamment en ce qui concerne le système de chauffage, et pour cela, un audit énergétique des immeubles est un préalable indispensable. »
Il y a 2 ans et 187 jours

Seine-et-Marne : un appel aux dons pour rénover la Porte Dorée du Château de Fontainebleau

Le château de Fontainebleau organise une collecte de dons pour la restauration de la Porte Dorée (-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 187 jours

Seine-et-Marne : nouvelle configuration pour la place de l'Étape à Fontainebleau

Après un an de travaux, le projet de requalification de la place de l’Étape à Fontainebleau (Seine-et-Marne) a pris...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 194 jours

Le château de Fontainebleau entre en modernité avec Studio Kiraw

Pour l’Etablissement Public du Château de Fontainebleau (EPCF) et l’OPPIC, les architectes du Studio Kiraw (Georgi DIB & Jérémy VOGL) avec Adam Yedid et Terreneuve ont finalisé en 2021 le redéploiement des services (2 054 m²) de l’EPCF dans l’historique château des Rois de France (Seine-et-Marne). Communiqué. Le château de Fontainebleau représente un patrimoine fort […] L’article Le château de Fontainebleau entre en modernité avec Studio Kiraw est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 201 jours

Stocks de gaz : le principal gestionnaire "optimiste" pour l'hiver 2023/24

"Pour cet hiver, on est optimiste parce que nos capacités sont pleines à 100% et on n'a pas encore démarré vraiment un soutirage (ndlr : utilisation du gaz) soutenu, donc on pense qu'on va pouvoir terminer l'année à des niveaux de stockage tout à fait corrects, autour de 30, 35%", a expliqué Pierre Chambon, directeur général de Storengy France, lors d'une conférence de presse."Ca a aussi un impact pour l'hiver prochain, parce que si vous terminez avec des réserves assez confortables en fin d'hiver, vous aurez moins besoin de gaz pour les remplir", a-t-il expliqué.L'enjeu est de taille, compte tenu des difficultés d'approvisionnement posées par la guerre en Ukraine. Les stockages de gaz de Storengy et de son concurrent Teréga représentent 25% de la consommation en France, les 75% restants étant acheminés en flux continus, soit par pipeline, soit par bateau. Storengy constate, outre une baisse de consommation des ménages, "depuis l'été, une très forte baisse de la consommation gazière industrielle, autour de 30% en France et en Allemagne", notamment en raison du prix du gaz.Pour autant, l'approvisionnement pour l'hiver prochain rencontre une difficulté, avec une campagne de commercialisation des capacités de stockage qui "démarre un peu difficilement", selon Estibaliz Gonzalez-Ferrer, directrice commerciale et stratégie de Storengy France.Cela s'explique par des prix du gaz très élevés et volatils, et surtout des "spreads" ou écarts de prix du gaz négatifs entre l'été et l'hiver, ne permettant pas de valoriser le stockage du gaz, traditionnellement acheté à bas prix l'été pour être revendu plus cher l'hiver, au plus fort de la demande."Mais on ne fait que démarrer, et on a tout un lot de cartes à notre disposition pour pouvoir s'adapter et vendre ces capacités juste au moment du besoin des clients", a assuré Mme Gonzalez-Ferrer.Elle compte notamment sur des "assouplissements" récemment consentis par le régulateur dans les modalités de commercialisation, pour "permettre d'être dans une réactivité beaucoup plus forte".Pour conforter ses capacités de stockage pour l'hiver prochain et les suivants, Storengy se prépare en parallèle à remettre en service son site de Trois-Fontaines-l'Abbaye (Marne), "afin de soutirer le gaz encore présent dans cet ancien stockage, soit 8 TWh" sur une quinzaine d'années.La filiale d'Engie attend également le feu vert des autorités de régulation pour mettre en service des capacités de stockage supplémentaires dans des cavités salines existantes, à Etrez (Ain), au nord de Bourg-en-Bresse. Elles pourraient représenter 3 à 6% de capacités supplémentaires, soit 3 à 6 TwH, dont une partie dès l'hiver 2023/24. Storengy souhaite en outre les rendre "compatibles à l'hydrogène" et servir ainsi son objectif de 1 TWh de stockage d'hydrogène en Europe d'ici 2030, dont la moitié en France.
Il y a 2 ans et 231 jours

Aidez à la restauration de la Porte Dorée du château de Fontainebleau

La Porte Dorée du château de Fontainebleau, construite sous François Ier à partir de 1528, est la première entrée royale du monument jusqu’au XVIe siècle. Mêlant dorures, sculptures et peintures, cette porte est un chef d’œuvre complet. Ces fresques ont été peintes par le maître italien Primatice. Après le succès de la campagne #UnGesteHistorique pour la restauration de l’escalier en Fer-à-cheval réalisée avec la Fondation du patrimoine, le château de Fontainebleau lance une nouvelle campagne d’appel aux dons afin de réunir les 100 000 € nécessaires à la restauration de la Porte Dorée et de ses fresques remarquables, dont le montant global des travaux est estimé à 650 000 €. Grâce au soutien de la Fondation du patrimoine et de son mécène Gecina, 300 000 € ont déjà été rassemblés. L’objectif de la collecte de dons, organisée en partenariat avec la Fondation du patrimoine, est de réunir 100 000 €. Tous les dons, défiscalisés, se font à l’adresse suivante : www.fondation-patrimoine.org/les-projets/pavillon-dela-porte-doree  
Il y a 2 ans et 243 jours

Yvelines : inauguration du centre aquatique des Fontaines à Rambouillet.

Le centre aquatique des Fontaines propose aujourd’hui un espace bien-être constitué d’une salle de musculation et d’un...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 252 jours

L’agence l’AUC est lauréate du projet d’extension des Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, sur la proposition du jury de concours qui s’est réuni le 17 juin 2022, a choisi le projet proposé par l‘agence l’AUC, Grand prix 2021 de l’urbanisme, pour réaliser l’extension du bâtiment des Archives nationales situé à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Le bâtiment actuel, conçu par Massimiliano Fuksas et ouvert en 2013, offre une capacité de conservation de plus de 350 km linéaires d’archives mais arrivera à saturation en 2027. Or, parallèlement à la collecte toujours plus importante d’archives nativement numériques, les Archives nationales continuent de recevoir chaque année plusieurs kilomètres d’archives sur support papier. L’extension de ce bâtiment, prévue dès l’opération initiale, a dû être anticipée en raison du transfert à Pierrefitte de plus de 70 kilomètres d’archives provenant du site de Fontainebleau des Archives nationales, qui fermera à la fin de l’année 2022. Avec une capacité de 100 km linéaires, le nouveau bâtiment permettra d’accueillir les nouvelles archives au moins jusqu’en 2050, mais aussi d’améliorer les fonctionnalités du site en offrant de nouveaux espaces de traitement, de restauration et de reproduction des documents. Parmi les 100 équipes ayant fait acte de candidature au concours de maîtrise d’œuvre, quatre équipes avaient été sélectionnées pour concourir avec, pour mandataires, les agences l’AUC, D3 Architectes, Max Dudler et Zigzag. Au-delà du signal à l’échelle urbaine que propose le projet de l’agence l’AUC, les membres du jury ont été sensibles à la dimension environnementale intégrée aux procédés constructifs et au souci de libérer l’emprise au sol pour préserver les espaces verts, dans la continuité des projets de valorisation des acteurs du territoire dans la ZAC des Tartres. Par ailleurs, cette extension permettra l’accès à une terrasse aménagée à 38 mètres de hauteur, offrant au public un point de vue inédit sur le paysage environnant ainsi que des espaces permettant de découvrir les métiers des archives. Visuel : © AUC
Il y a 2 ans et 252 jours

L’agence l’AUC est lauréate du projet d’extension des Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, sur la proposition du jury de concours qui s’est réuni le 17 juin 2022, a choisi le projet proposé par l‘agence l’AUC, Grand prix 2021 de l’urbanisme, pour réaliser l’extension du bâtiment des Archives nationales situé à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Le bâtiment actuel, conçu par Massimiliano Fuksas et ouvert en 2013, offre une capacité de conservation de plus de 350 km linéaires d’archives mais arrivera à saturation en 2027. Or, parallèlement à la collecte toujours plus importante d’archives nativement numériques, les Archives nationales continuent de recevoir chaque année plusieurs kilomètres d’archives sur support papier. L’extension de ce bâtiment, prévue dès l’opération initiale, a dû être anticipée en raison du transfert à Pierrefitte de plus de 70 kilomètres d’archives provenant du site de Fontainebleau des Archives nationales, qui fermera à la fin de l’année 2022. Avec une capacité de 100 km linéaires, le nouveau bâtiment permettra d’accueillir les nouvelles archives au moins jusqu’en 2050, mais aussi d’améliorer les fonctionnalités du site en offrant de nouveaux espaces de traitement, de restauration et de reproduction des documents. Parmi les 100 équipes ayant fait acte de candidature au concours de maîtrise d’œuvre, quatre équipes avaient été sélectionnées pour concourir avec, pour mandataires, les agences l’AUC, D3 Architectes, Max Dudler et Zigzag. Au-delà du signal à l’échelle urbaine que propose le projet de l’agence l’AUC, les membres du jury ont été sensibles à la dimension environnementale intégrée aux procédés constructifs et au souci de libérer l’emprise au sol pour préserver les espaces verts, dans la continuité des projets de valorisation des acteurs du territoire dans la ZAC des Tartres. Par ailleurs, cette extension permettra l’accès à une terrasse aménagée à 38 mètres de hauteur, offrant au public un point de vue inédit sur le paysage environnant ainsi que des espaces permettant de découvrir les métiers des archives. Visuel : © AUC
Il y a 2 ans et 255 jours

Nicolas Esquillan : Grand ingénieur du béton

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Après avoir remporté le concours du Cnit, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. [©ACPresse] A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan (1902-1989) a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. Il reste donc méconnu, les ouvrages qu’il a conçus étant signés… Boussiron. A cela s’ajoute une réserve naturelle. « Sa bienveillance et même sa chaleur se lisaient plutôt dans l’attention qu’il portait à son interlocuteur que dans des démonstrations qui n’étaient pas dans sa nature », résume Bernard Marrey, auteur de “Nicolas Esquillan, un ingénieur d’entreprise”. Le Cnit à Paris La Défense est son œuvre la plus célèbre, même si l’on oublie souvent de lui en reconnaître la paternité, voire même de le citer ! Les Entreprises Boussiron Nicolas Esquillan entre aux Arts-et-Métiers, à Châlons-sur-Marne, en 1919. Et en sort 4e de sa promotion avec une médaille d’argent. Il restera proche du milieu Gadzarts1, dans sa vie professionnelle et dans sa vie privée. Après son service militaire qu’il termine comme sous-lieutenant artilleur, il est indécis sur son orientation. Après son service militaire, le hasard lui fait rencontrer un Gadzarts1, ami de Simon Boussiron. Lequel a orienté sa société vers le béton armé. La rencontre entre les deux hommes est concluante et il rejoint la société en 1923. A la différence de ses aînés qui font leur carrière comme ingénieur-conseil et donc sous leur propre nom, Nicolas Esquillan a fait toute la sienne aux Entreprises Boussiron. [©DR] Il devait y consacrer sa vie. Il a alors 21 ans, Simon Boussiron en a 50. « En bon chef d’entreprise, ce dernier avait peut-être flairé les qualités de son futur chef d’études. » La publication en 1899 par Simon Boussiron de formules servant à calculer la résistance du béton armé est donc d’autant plus importante que les travaux théoriques étaient encore rares. Mis à part Matthias Koenen et Gustav Adolf Wayss qui, à partir du brevet de Joseph Monier, avaient publié des notes de calcul en 1886, en Allemagne, il n’y avait que Napoléon de Tesdesco qui, en France, avait publié avec Edmond Coignet en 1894 : “Du calcul des ouvrages en ciment avec ossature métallique”. Dans les années 1930, le jeune Esquillan se voit confier des responsabilités plus grandes au bureau d’études. Simon Boussiron reçoit alors la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). A 31 ans, Nicolas Esquillan a la responsabilité d’un ouvrage entier. « Pour le jeune ingénieur, c’est un coup de maître. » Avec une longueur totale de 202 m et une portée de 161 m entre les naissances des arcs, il ravit au pont Saint-Pierre-du-Vauvray (27) le record mondial des ponts en béton armé à tablier suspendu détenu par Eugène Freyssinet. Les années 1930 Dans les années 1930, le jeune Esquillan reçoit chez Boussiron la commande d’un nouveau pont à construire sur la Seine à La Roche-Guyon (95). [©Carte postale vers 1864] En ces années où la circulation routière s’intensifie, les ponts suspendus datant des années 1830 et 1840 ne sont plus capables de répondre aux besoins du trafic. En 1935, c’est le département du Lot-et-Garonne qui met au concours la reconstruction du pont de Clairac sur le Lot pour remplacer le pont suspendu de 1833. S’en suivent le pont de Saint-Sylvestre (07) et celui de La Coudette (49). Avec cette réalisation, Nicolas Esquillan remporte le record mondial des ponts-routes en bow-string en béton armé. En 1936, il est nommé chef d’études des ouvrages d’art des Entreprises Boussiron. Il en devient le directeur technique en 1941 et le restera jusqu’en 1971, année du rachat de la société Boussiron. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). Caractérisée par la minceur de sa voûte et de ses piliers en béton, ou encore par l’élégance de ses formes et de ses pavés de verre Saint-Gobain, elle est considérée par l’historien Alexandre Gady, comme un « exploit technique » et un « chef-d’œuvre méconnu » d’Esquillan. La reconstruction A la fin de la guerre, il faut rebâtir. A côté d’ouvrages entièrement détruits, il y en a de nombreux autres, plus ou moins touchés, pour lesquels une remise en état est possible. « C’était un travail ingrat, souvent obscur, qui demandait de l’ingéniosité, d’autant plus que les matériaux manquaient, l’argent aussi, et qu’il fallait aller vite. » C’est ainsi qu’en 1950, Nicolas Esquillan achève la reconstruction du pont-route de Conflans-Fin d’Oise, puis le viaduc de chemin de fer de la Méditerranée sur le Rhône. Avec 124 m de portée, ce dernier remporte le record mondial des ponts-rails en béton armé à doubles voies suspendues. Puis, il construit, en 1951, le hangar à deux nefs de l’aéroport de Marignane. Et de 1952 à 1955, il entreprend le premier grand pont-rail français en béton précontraint à La Voulte-sur-Rhône. Qui, avec ses 300 m, est alors le plus long pont du monde sous voie ferrée normale en béton précontraint. Il gagne en 1954, notamment devant Riccardo Morandi (celui du pont de Gênes…), le concours du pont d’Abidjan. De 1936 à 1941, il conçoit et construit une halle de marché pour Fontainebleau, sa ville natale (ouvrage démoli en 2013). [©Daniel Villafruela] Après avoir remporté le concours du Cnit en partenariat avec Bernard Zehrfuss et Marcel Breuer, devant Nervi et Freyssinet, il réalise, en 1955, la voûte du palais qui détient toujours le record mondial de portée, de même que celui de la plus grande surface supportée point par appui. En 1957, il réalise les pylônes du pont de Tancarville, qui remportent le record mondial de hauteur des piles de pont suspendu en béton armé. Il officie en 1961 en tant qu’ingénieur-conseil du Palais des expositions de Turin et réalise le deuxième pont d’Abidjan en 1967, ainsi que le château d’eau de La Duchère. Pour les Jeux olympiques d’hiver à Grenoble, il construit en 1968 le Stade olympique de glace, considéré comme sa dernière grande œuvre. « Dans ma conception des ouvrages, ma première recherche, essentielle, a toujours été de déterminer les points d’appui les plus judicieux, soit verticaux, soit horizontaux, et d’organiser la structure pour y conduire les forces le plus rationnellement possible, et en tous cas le plus économiquement. […] L’art de dresser un projet ne consiste pas tant à résoudre un système d’équations par le calcul, que de bien les poser après avoir imaginé toutes les hypothèses plausibles. Si une culture mathématique sérieuse est utile et nécessaire pour formuler les résultats de l’expérience, il ne faut jamais oublier que l’on n’a aucune chance de retrouver à la fin d’un calcul ce que l’on aura oublié d’introduire initialement. En d’autres termes, si le projeteur a omis un effort ou une déformation en un point donné d’une structure, le calcul ne les lui fera pas retrouver », explique Nicolas Esquillan lors d’une conférence sur l’art de construire prononcée lors de sa réception comme docteur honoris causa à l’université de Stuttgart en 1965. 1Diplômé des Arts et Métiers. M. C. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 264 jours

Oxand s'engage dans la préservation du patrimoine de l'Etat français

Pour cette 39e édition des Journées européennes du patrimoine, l’accent est mis sur le patrimoine durable. Un thème plus que jamais d’actualité qui signifie beaucoup pour Oxand, leader européen de la maintenance prédictive, engagé de longue date dans la préservation sur le long terme des immeubles et ouvrages d’art qui composent le patrimoine français. Depuis 2015, Oxand est ainsi engagé dans un programme de mécénat auprès du château de Fontainebleau, l’un des monuments français les plus symboliques. « C’est un patrimoine de plus de 800 ans, classé à l’Unesco et qui appartient à tous les Français et à tous les amoureux du patrimoine à travers le monde », explique Marie-Christine Labourdette, Présidente du château de Fontainebleau.« Il est d’une ampleur identique au château de Versailles, avec un château de 40.000 mètres carrés,1.800 fenêtres et 1.600 pièces et un parc de 130 hectares. »Préserver les bâtiments pour assurer la pérennité du châteauUne magnifique pièce du patrimoine français, dont Oxand participe pleinement à la préservation depuis près de 10 ans.« Nous avons une antenne à Avon, à quelques kilomètres de Fontainebleau. Cette proximité avec le château, ainsi que notre mission, nous ont naturellement conduit à nouer un partenariat dans le but de préserver les bâtiments du vieillissement et d’assurer la pérennité de l’ensemble », explique Vianney Airaud, président d’Oxand. « Il est très important pour Oxand de contribuer à la protection des richesses nationales et ce mécénat nous permet de répondre à ces enjeux majeurs grâce à notre expertise conseil en stratégie patrimoniale et notre solution intelligente de gestion durable et performante des actifs, Oxand Simeo. »Dans le cadre de ce mécénat, Oxand a ainsi réalisé plusieurs missions afin de définir un schéma pluriannuel de stratégie immobilière, visant à mieux gérer les budgets liés aux investissements nécessaires à la préservation des différentes parties du château. L’utilisation de Simeo, le logiciel de maintenance prédictive des bâtiments élaboré par Oxand, a ainsi permis de mettre en place des travaux sur les espaces clos et couverts, ainsi que sur les installations techniques du château. Une aide précieuse considérant l’ampleur architecturale et la complexité de construction du monument. Préparer la transition énergétique du château de FontainebleauPlébiscité par les deux entités, ce partenariat entre Oxand et le château de Fontainebleau est appelé à se poursuivre pour des années encore. « Nous tenons à notre relation et il est évident qu’elle perdurera », affirme Vianney Airaud. « Oxand est très attaché à soutenir le château de Fontainebleau dans la préservation de son patrimoine. C’est une mission d’intérêt général pour toute l’équipe d’Oxand, dont la mission est de transmettre un monde plus durable aux générations futures. »Les actions mises en place pour préserver le bâti qui compose le château de Fontainebleau vont donc se poursuivre. « Nous avons défini différents axes pour optimiser l’entretien des bâtiments et améliorer la performance énergétique de ce patrimoine. Il y a encore beaucoup de perspectives, notamment sur la transition énergétique, pour préserver ce symbole culturel », conclut Vianney Airaud.
Il y a 2 ans et 266 jours

Sobriété énergétique : la chasse au gaspi des communes pour limiter la facture

Éclairage publicEn réduisant dès l'automne l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel et des bâtiments municipaux de la capitale, dont l'emblématique Hôtel de Ville, Paris veut "donner l'exemple", a justifié la maire Anne Hidalgo, qui entend investir 286 millions d'euros dans la rénovation de l'éclairage public pour le rendre 60% moins énergivore qu'un quart de siècle plus tôt.Lille, qui a cessé d'éclairer les bâtiments publics la nuit, sauf sur la Grand'Place et la place de l'Opéra, ce qui lui permettra selon elle d'économiser 170.000 kWh par an, l'avait devancée début septembre. Marseille a acté une mesure similaire avec l'extinction des feux à 23h30, et à 22h30 en hiver, pour ses 140 monuments, avec Notre-Dame-de-la-Garde pour seule exception. La mairie de Toulon veut atteindre le même objectif "le plus vite possible".Depuis juillet 2021, l'emblématique citadelle Vauban de Besançon n'est plus éclairée systématiquement la nuit "pour baisser la consommation d'énergie, préserver la biodiversité et limiter la pollution lumineuse", selon la maire Anne Vignot.Les mêmes raisons sont invoquées par la ville de Montpellier, qui a validé et accentué en avril une expérimentation d'extinction de l'éclairage public sur cinq axes routiers.Les grandes villes ne sont pas les seules à éteindre la lumière : ainsi en Nouvelle-Aquitaine, Libourne, Saint-Sever ou le Syndicat Énergies Vienne, qui gère le service public de l'énergie dans 220 communes rurales du département, ont décidé de s'en priver la nuit.Ces mesures de rationnement s'accompagnent généralement du remplacement annoncé des ampoules par du LED.Température des bâtimentsLille avait marqué les esprits en annonçant une baisse de température de 2 degrés - de 20 à 18 - dans deux musées, une baisse équivalente de la température de l'air et de l'eau dans les piscines municipales, ou encore deux heures de chauffage en moins en fin de journée dans les salles de sport.Là aussi, Paris a emboîté le pas en annonçant une baisse généralisée d'un degré de tous les bâtiments ne recevant pas un public vulnérable (Ehpad et crèches). Le début du chauffage, désormais fixé à 18°C, sera repoussé à la fois le matin, d'une demi-heure, et dans l'automne, d'un mois.À Lyon, la Métropole a arrêté à 19°C la consigne de chauffe cet hiver dans son patrimoine pour faire face au doublement anticipé (de 55 à 100 millions d'euros) des coûts de l'énergie en 2023.La même température vaudra pour les communes rurales de la Vienne, avec un système de bonus/malus pour récompenser les municipalités les plus économes, et à Marseille, qui a par ailleurs fixé à 26°C le palier pour la climatisation l'été dans ses locaux.À Libourne, le maire Philippe Buisson a carrément décidé "de ne quasiment plus chauffer les gymnases", maintenus à... 10 degrés, sauf pour les douches et les vestiaires.Fermeture des piscinesComme Lille, la mairie de Toulon a prévu de baisser la température de l'eau de ses piscines de deux degrés, de 28°C à 26°C, "sauf pour une piscine qui accueille des maternelles et des bébés", et réfléchit également à des fermetures "ponctuelles" de ces établissements énergivores, par exemple lors des vacances scolaires.Si Paris n'envisage cette option qu'en "dernier recours", sa voisine Issy-les-Moulineaux a franchi le pas cet été, en fermant la plus énergivore de ses deux piscines, pour lesquelles l'envolée des prix de l'énergie représente un surcoût de 400.000 euros par an.Lille a également annoncé que deux fontaines municipales ne seraient pas remises en fonctionnement pour économiser l'eau et l'énergie. Les annonces de ce type vont se poursuivre dans les prochains jours, avec des plans d'économies attendus par exemple à Toulouse et Grenoble.
Il y a 2 ans et 271 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares

Maîtrise d’ouvrage : Groupe GA Smart BuidingMaîtrise d’œuvre : Studio MontazamiLocalisation : Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, FranceProgramme : Bureaux, Restaurant inter-entrepriseNature : Construction neuveLivraison : Novembre 2021Surfaces : Site 20.000 m2, Bureaux 6.750m2, Restaurant 550m2Durée de chantier : 13 moisEnvironnement : Produits béton GA hors site, Modules bois hors site, Label HQE, Centrale solaire SEE YOU SUNL’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de 15 bâtiments construits par GA Smart Building.Le projet architectural est pensé comme un ensemble paysager qui s’articule autour de deux bâtiments reliés par un lobby central. La disposition des bâtiments A et B donne des vus l’extérieur, et laisse traverser les perspectives sur les promenades autour desquelles sont aménagés des espaces de quiétudes, une prairie sauvage et des lieux d’échanges et de convivialités.L’architecture se compose de volumes sculptés, dont le rythme associé à des mouvements valsants, créée un dynamisme permanent.Les façades vibrent et créent des jeux d’ombres, discrètement ornementées de poinçonnements aléatoires faisant référence aux cartes perforées informatiques. Cette composition architecturale personnalisée permet ici d’identifier l’ADN du secteur technologie et informatique de l’utilisateur, mais aussi des entreprises du parc d’innovation d’Illkirch, tout en permettant les prises et rejets d’air des modules de traitements d’air intégrés en façades. Les larges baies s’ouvrent vers les espaces environnants.Les plateaux de bureaux bénéficient de grandes baies toute hauteur qui offrent des vues généreuses vers les espaces végétalisés extérieurs. Le forum d’accueil s’implante à l’intersection des 2 bâtiments, permettant l’articulation entre les deux ensembles. Les utilisateurs et visiteurs traversent ce lieu de vie.Le pavillon d’accueil aux façades de verres et d’inox brossé crée une transparence entre les parkings et le cœur de site végétalisé, tout en articulant au rez-de-chaussée et au premier étage les flux et usages des deux bâtiments de bureaux.Ce « forum Alcatel-Lucent Enterprise » s’implante entre les deux bâtiments : il accueille le public depuis les deux parvis d’entrée. C’est un espace hybride de convivialité et d’accueil où est également présenté l’histoire d’Alcatel-Lucent Enterprise. Au premier niveau de ce bâtiment d’accueil, une passerelle permet une liaison à l’air libre entre les deux bâtiments autour d’une vaste terrasse extérieure.Le site se compose également d’un restaurant de plain pied en cœur d’îlot et marquant l’entrée du campus Alcatel-Lucent Enterprise. Les façades vitrées et de bardage inox brossé s’intègrent à l’architecture du Campus et à l’environnent paysager avec harmonie, reflets et transparence.Architecte mandataire : Orash Montazami - Studio MontazamiBET Structure (GA) : OMEGABET Façade (GA) : Paquet FontaineCuisiniste : CETPEcologue : OGELandscape design : Studio MontazamiSpace planning et intérieurs : Studio Montazami / L'atelier Des DemoisellesEntreprise générale : GA Smart BuildingBureau de contrôle : SOCOTEC
Il y a 2 ans et 274 jours

Sobriété énergétique : Lille va cesser l'éclairage des bâtiments publics

CRISE DE L'ÉNERGIE. La ville de Lille va cesser d'éclairer la nuit les bâtiments publics, sauf sur deux places emblématiques du centre, et mettre certaines fontaines hors service, a annoncé la maire Martine Aubry.
Il y a 2 ans et 302 jours

Yvelines : la rue Clairefontaine à Rambouillet sera en chantier à partir de la mi-août 2022

Des travaux de réaménagement et de rénovation seront entrepris sur la rue Clairefontaine à Rambouillet (Yvelines), dès la mi-août et jusqu’au 26 août.
Il y a 2 ans et 302 jours

Le CIE veut sensibiliser les particuliers à une consommation de l'eau plus raisonnable durant l'été

Les particuliers, eux aussi sont impactés par des interdictions d’arrosage de jardins d’agrément, de potagers, de lavage de véhicules, remplissage des piscines etc...Il existe des gestes simples pour ne pas gaspiller l'eau, sans forcément perdre en confort.Bien sûr, ne pas laisser couler l'eau, limiter l'arrosage, mieux s'équiper, mieux consommer... Mais pourquoi, et surtout quel intérêt exactement ?Sensibiliser l'opinion fait partie de l'ADN du Centre d'Information sur l'Eau. Pour arriver ensemble à se mobiliser, les équipes du CIE sont convaincues qu'il est indispensable de bien expliquer les tenants et les aboutissants des enjeux auxquels nous faisons face.Des injonctions sans une bonne compréhension sont vaines.Restrictions d'eau, pourquoi ? La France a soif : il n'y a pas eu assez de pluie, les nappes phréatiques ne sont pas rechargées et les épisodes de canicule aggravent la situation. L'augmentation des températures a accentué l'évaporation des sols qui se sont asséchés. Seuls 5 départements échappent désormais à des restrictions d'eau imposées pour faire face à l'insuffisance des ressources.Restrictions d'eau, c'est quoi ? Ces mesures exceptionnelles de limitation et parfois même de suspension concernent tous les usages de l'eau. Les particuliers sont appelés, au même titre que les agriculteurs, les industriels, ou encore les activités commerciales et artisanales limiter leurs usages de l'eau.Etablies par arrêté préfectoral, ces mesures de restriction d'usage de l'eau prévoient l'interdiction d'arrosage aux heures les plus chaudes (généralement de 8h à 20h) et une réduction de consommation, notamment pour les agriculteurs et les industriels. Les espaces publics sont également concernés (interdiction d'arrosage de jardins, fermeture des fontaines...).
Il y a 2 ans et 309 jours

Le Château Louis XIV, somptueuse propriété de MBS, conçue par un cousin de Khashoggi

Louveciennes, ville cossue des Yvelines située à quelques encablures de Versailles et à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Paris, est connue pour son aqueduc, qui servait sous Louis XIV à acheminer l'eau de la Seine vers les jardins du Château de Versailles.Cette proximité avec le palais du Roi Soleil a inspiré le promoteur Cogemad, fondé et dirigé par l'homme d'affaires né au Liban, Emad Khashoggi. Emad Khashoggi est un cousin du journaliste saoudien de Jamal Khashoggi, critique du pouvoir saoudien, sauvagement assassiné en 2018 dans les locaux du consulat saoudien à Istanbul. Un crime dans lequel le renseignement américain a vu la responsabilité de Mohammed ben Salmane, ce qui a valu à MBS d'être ostracisé par les pays occidentaux.Le président américain Joe Biden lui a rendu visite le 15 juillet et MBS doit dîner jeudi soir avec Emmanuel Macron à l'Elysée, malgré la vive colère des défenseurs des droits de l'Homme qui jugent cette visite hautement inappropriée.En construisant le Château Louis XIV à Louveciennes, Emad Khashoggi a voulu rendre "hommage à l'architecture du XVIIe siècle", en faisant de son œuvre la "vitrine internationale de la splendeur du savoir-faire français", selon le site de Cogemad.Autour de ce luxueux palais de 7.000 mètres carrés, sorte de "petit" Château de Versailles, s'étendent 23 hectares de jardins à la française, conçus "en accord avec les théories d'André Le Nôtre concernant le Château de Versailles"."On y trouve des parterres de fleurs et des haies de buis brodées, des jeux de perspective, des ifs topiaires taillés en petites pyramides, un labyrinthe d'arbres, une petite ferme avec des chèvres, et des écuries", liste le site de Cogemad.Une centaine d'ouvriers ont travaillé sur cette demeure, construite entre 2008 et 2011."C'est du sur-mesure à 100%. On vend le projet de A à Z clé en main, mobilier compris", expliquait Emad Khashoggi dans la presse à l'époque.En 2015, le flamboyant édifice a été cédé à MBS pour 275 millions d'euros, devenant la propriété la plus chère du monde.Aux moulures, dorures et sculptures d'antan, elle allie fontaines connectées, salle de cinéma privée, aquarium géant..., offrant "les fastes de Versailles sous la révolution high tech".Le château comporte également plusieurs piscines et une cave à vin.
Il y a 2 ans et 316 jours

Vinci Construction Terrassement aménage des écrans acoustiques ultra bas carbone sur l’A10 à Saint-Avertin (37)

Axe de grande liaison entre Paris et Bordeaux, l'A10 constitue l'autoroute la plus longue de France avec 557km de longueur. L'installation en bordure d'écrans acoustiques ultra bas carbone au niveau de la commune de Saint-Avertin, au sud de Tours, vient compléter des écrans existants au niveau de la Sagerie. Ces écrans répondent aux objectifs de protection sonore pour les habitants de la rue des Fontaines et de la rue de Grand Cour, ainsi qu'à un objectif fort de limitation du bilan carbone fixé par VINCI Autoroutes.Cette volonté commune de réduire l'empreinte carbone de nos ouvrages, s'illustre dans cette synergie entre VINCI Autoroutes et VINCI Construction pour décarboner le matériau béton et tendre vers les 90% d'utilisation de béton bas carbone annoncé par le groupe VINCI comme ambition pour 2030.VINCI Construction Terrassement a ainsi mobilisé en phase de préparation un ensemble de moyens et de fournisseurs répondant à cette exigence, non seulement pour le béton mais aussi pour tous les matériaux du projet : la mobilisation de fournisseurs locaux pour les armatures, les poteaux et les longrines ; l'emploi systématique de matériaux recyclés pour les aménagements provisoires ; l'utilisation pour la préfabrication des longrines de béton bas carbone ; et la mixité des matériaux bois / béton pour les écrans acoustiques ultra bas carbone.Les travaux d'aménagement des écrans absorbants sur 280 mètres linéaires ont débuté le 23 mars 2022 pour une durée de 4 mois et pour un montant de 500 000 euros. Ils couvrent notamment la fabrication et la pose de 60 panneaux acoustiques ultra bas carbone d'une dimension de 5 mètres de large et de 3 mètres de hauteur, en partenariat avec l'entreprise CAPREMIB qui travaille depuis plusieurs années à réduire l'empreinte carbone de son activité, en utilisant de nouvelles compositions béton et en substituant les ciments historiques par des liants alternatifs.CAPREMIB a ainsi développé avec Hoffmann Green Cement Technologies une solution innovante alliant des bétons ultra bas carbone de structure et des panneaux absorbants en béton de bois à base de ciments Hoffmann Green solution qui permet de diviser par 3 l'empreinte carbone de l'ensemble de l'ouvrage, soit une économie de près de 4 tonnes de CO2 sur le poste écrans en béton de bois.La solution ainsi mise en oeuvre par L'Agence Lyonnaise de Travaux d'Écrans Acoustiques (ALTEA) de VINCI Construction Terrassement s'intègre pleinement dans la démarche EXEGY® de VINCI Construction qui consiste à généraliser les bétons bas carbone en s'appuyant sur un préfabriquant comme CAPREMIB et des fournisseurs de liants décarbonés comme Hoffmann Green pour optimiser les performances techniques et environnementales des bétons mis en oeuvre avec l'objectif de rester à prix compétitif.Clément BLANC, CAPREMIB: « Le mariage du bois, de ciment H-UKR de chez Hoffman Green, et des solutions EXEGY® se retrouve au travers d'un produit protégeant les riverains des nuisances sonores. Ces alliances sont pertinentes et permettent d'imaginer l'ensemble des solutions pour un futur en béton décarboné, en conservant les propriétés intrinsèques et de durabilité des ouvrages. »David GUGLIELMETTI, Hoffmann Green: « L'utilisation de ciments Hoffmann Green, 0% clinker, fabriqué à froid à partir de co-produits industriels permet de diviser par quatre les émissions de CO2 par rapport à un ciment traditionnel. C'est donc un signal fort envoyé au monde de la construction car il est aujourd'hui possible de se passer du ciment. Nous partageons avec VINCI Construction le même constat sur la nécessité de décarboner le béton et nous les remercions de nous avoir intégré dans ce projet. »Florian CHARTIER, Agence Lyonnaise de Travaux d'Écrans Acoustiques, VINCI Construction Terrassement: « Nous avons travaillé en phase de préparation avec CAPREMIB et les équipes d'EXEGY® pour proposer à VINCI Autoroutes une solution respectant le cadre du cahier des charges qui allie performance acoustique et performance environnementale. C'est important pour nous d'intégrer à nos projets cette performance bas carbone qui nous pousse à nous réinventer. »Bruno PAUL-DAUPHIN, Directeur EXEGY®: « Après une première expérimentation de tuyaux de fonçage EXEGY® ultra bas carbone avec BESSAC, CAPREMIB démontre une nouvelle fois sa capacité à innover pour décarboner. Cet ouvrage de 280 mètres linéaires présente un panel des solutions bas carbone disponibles dont l'une mixant notamment le béton et le bois. C'est en travaillant dans cet esprit partenarial au service de nos clients en amont des chantiers que nous arriverons à faire du béton un matériau d'avenir. »
Il y a 2 ans et 318 jours

Les maisons saoudiennes se mettent aux tendances architecturales

Mais en 2020, en plein confinement, ce Saoudien de 52 ans a décidé de donner un coup de jeune à sa demeure : un patio donnant sur la rue, des murs en travertin gris et des fleurs dans le jardin."Nous avions deux choix : construire une nouvelle maison ou rénover l'ancienne", confie ce responsable des ressources humaines, en faisant visiter sa maison."Nous avons fait un pas vers l'amélioration de notre mode de vie", se réjouit-il.Ce père de famille a également égayé son jardin avec une piscine, un hamac et des amandiers importés de Thaïlande : un nouveau lieu de détente pour sa femme et ses sept enfants."Maintenant, il y a une utilisation optimale de l'espace", se félicite M. Madini.Selon des architectes et ingénieurs locaux, ces nouvelles tendances sont devenues l'archétype des projets de rénovation et de construction en cours à Ryad, avec des Saoudiens en quête de maisons chaleureuses plutôt qu'imposantes."Grand impact social"Dans un contexte de réformes sociales ces dernières années, l'Arabie saoudite a ainsi connu une "ouverture architecturale", constate Abdallah al-Jasser, propriétaire de l'agence de design qui s'est occupée de la maison de M. Madini."Les gens sont plus ouverts au changement et aux tendances", observe M. Jasser, ajoutant qu'ils y sont d'autant plus incités que l'achat de terres pour construire de nouvelles maisons est devenu très coûteux à Ryad.A l'image du pays, l'architecture de la capitale reste très austère avec pour seule fantaisie de minuscules fenêtres triangulaires typiques du Najd, la région centrale du royaume.La petite taille de ces fenêtres s'explique par le besoin de s'isoler du soleil, dans un pays où les températures tournent autour des 40 degrés Celsius une grande partie de l'année.Ces petites fenêtres offrent également "une plus grande intimité aux familles", ajoute Ali al-Luhidan, un architecte saoudien.Mais selon lui, et d'autres défenseurs d'une architecture plus moderne, ces espaces de vie mal éclairés et mal ventilés ont eu "un grand impact social" en contribuant à "une culture de fermeture sur soi".En 2018, les autorités ont rendu obligatoire, pour les nouveaux bâtiments, la présence de fenêtres plus grandes, en partie au nom de la santé publique, le soleil étant jugé essentiel au bon fonctionnement de l'organisme.De plus en plus de salons disposent ainsi de "baies vitrées donnant sur l'extérieur", se réjouit M. Luhidan : "tout est ouvert et c'est une nouvelle culture en Arabie saoudite"."Sans restriction"D'autres évolutions viennent aussi avec l'assouplissement des normes sociales promu par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto qui, depuis cinq ans, tient son royaume d'une main de fer.Auparavant, la plupart des maisons comportaient des entrées et salons séparés pour les hommes et les femmes. Alors que la mixité se banalise dans les lieux publics, les villas n'abritent qu'une seule salle de réception pour optimiser l'espace, observe l'architecte M. Luhaidan.Et les nouvelles tendances ne se limitent pas qu'aux quartiers résidentiels, les grands centres commerciaux et d'autres espaces publics s'y mettent aussi.L'une des principales causes du changement : la fin, depuis 2019, de l'obligation de la ségrégation sexuelle, qui imposait aux restaurants d'avoir des entrées et espaces strictement séparés entre les familles et les hommes seuls."Les anciens designs répondaient à une culture de la séparation et de la ségrégation", explique Mohammed Abdelmoneim, chargé du design professionnel au sein d'une société de développement immobilier. Pour lui, la réforme a provoqué un "changement radical".Le Riyadh Front, un complexe commercial et gastronomique haut de gamme doté de fontaines et d'une promenade bordée d'arbres, rassemble ainsi des clients de tous âges, hommes et femmes, surtout après le coucher du soleil."Ces espaces ouverts connaissent un grand succès", assure M. Abdelmoneim, car "les gens y communiquent tous entre eux sans aucune restriction".
Il y a 2 ans et 323 jours

Retour à la normale pour l'immobilier d'entreprise au 2ème trimestre 2022

Marché des bureaux en Ile-de-France : un 2ème trimestre animé par le besoin de centralitéMalgré un environnement économique et géopolitique plus dégradé, le marché des bureaux en Ile-de-France poursuit son retour à la normale avec 1 008 400 m² placés depuis le début de l’année (+ 24 % sur un an et - 2 % comparé à la moyenne décennale). L’activité au 2ème trimestre demeure solide avec 496 800 m² placés (+ 9 % sur un an et - 3 % par rapport à la moyenne décennale). Les petites surfaces, qui ont été le premier créneau de surfaces à redémarrer après la crise, continuent d’afficher un très bon dynamisme.« Après deux années chahutées, les indicateurs d’activité sont au vert sur ce 1er semestre 2022. Le bureau reste aujourd’hui un outil d’attractivité et de rétention des talents dans un marché de l’emploi en tension. Pour y répondre, de nombreuses entreprises, ayant pris à bail au cours de ce 1er semestre, ont misé sur la centralité et la modernisation des espaces de travail » déclare Alexandre Fontaine, Executive Director Bureaux Ile-de-France. Il ajoute cependant : « Le corollaire de cette tendance : certains secteurs loin des transports en commun et / ou en manque d’attractivité sont délaissés par les utilisateurs ». L’offre immédiate se maintient toujours au-dessus de la barre des 4 millions de m². « La dichotomie du marché des bureaux transparaît également dans les évolutions de la vacance. L’offre immédiate se réduit dans les quartiers les plus centraux et à La Défense. En revanche, elle continue de progresser dans certaines zones de 1ère Couronne. » ajoute Alexandre Fontaine.Nous restons cependant confiants pour ce 2nd semestre 2022. L’activité devrait continuer de se maintenir, avec une confirmation de la reprise des transactions > 5 000 m².Investissement : performance au rendez-vous malgré le contexte incertain. Malgré un contexte économique et géopolitique chahuté, le 1er semestre affiche une bonne performance avec 11,5 Mds€ investis en immobilier d’entreprise en France, soit + 30 % par rapport à un S1 2021 qui avait été particulièrement limité. Les signatures se sont faites sur des taux de rendement toujours relativement bas, avec toutefois une hausse perceptible dès la fin de ce 2ème trimestre.En effet, les nouvelles négociations en cours témoignent d'un changement de donne : les remontées des taux obligataires et du coût de l’argent commencent à faire sentir leurs impacts sur l’immobilier et il n'est pas rare de voir se modifier les conditions de financement et d’acquisition, entre la due diligence et la signature.« Face à ces perturbations, les acheteurs, qui évoluent dans un climat de fortes incertitudes financières, sont en train d'opérer des corrections de prix et de stratégies d’acquisition, dont il est encore difficile d'appréhender toutes les dimensions ». Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.Pour le semestre à venir, nous pensons que le marché devrait ralentir pour permettre aux investisseurs de mieux appréhender les zones d’atterrissage du repricing. Cependant, l'appétit pour l'immobilier demeure présent, les liquidités sont là : « Aussi, on peut espérer une réaction rapide et pragmatique du marché qui devra essayer d'ici la fin de l'année de trouver son équilibre entre le nouvel environnement financier (les taux), sociétal (nouveaux modes de travail et changements politiques) et environnemental (ESG). Dans ce marché étroit, l’ajustement des ambitions des vendeurs à ces enjeux sera également un élément clé de retour à la fluidité du marché » Nicolas Verdillon, Managing Director Investment Properties.
Il y a 2 ans et 329 jours

Cohésion des territoires : baptême du feu pour Caroline Cayeux

Journée particulière pour Caroline Cayeux : le 12 juillet à Fontainebleau (Seine-et-Marne), la ministre de la Cohésion des territoires a clôturé le congrès annuel de Villes de France, association qu’elle préside depuis 2014. Elle s’est exercée pour la première fois à son nouveau rôle : amender la liste de courses que lui a présentée le président délégué Jean-François Debat.
Il y a 2 ans et 330 jours

Action Cœur de Ville esquisse sa deuxième phase

Pas de pause pour Action cœur de ville ! A quelques jours de la remise du rapport de préfiguration sur la phase deux du programme engagé en 2018, son directeur Rollon Mouchel-Blaisot a présenté les lignes directrices de la feuille de route 2023-2026, le 11 juillet à Fontainebleau (Seine-et-Marne). Son intervention a ouvert le congrès annuel de l’association Villes de France, co-pilote d’Action cœur de villes aux côtés de l’Agence nationale de la cohésion des territoires.
Il y a 2 ans et 333 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 338 jours

Vaucluse : aménagement de l’entrée nord-ouest de Pernes-les-Fontaines

L’aménagement de la route d’Althen à Pernes-les-Fontaines (Vaucluse) avance. Le premier tronçon sur l’avenue Louis-Chabran est terminé.
Il y a 2 ans et 341 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur
Il y a 2 ans et 349 jours

Dans le Marais, une nouvelle place piétonne, concentré du Paris voulu par la mairie

L'entrée de métro Guimard, les trois bancs Davioud, la fontaine Wallace et les pavés, tous neufs ou restaurés, donnent une allure Second Empire à cette portion de la rue du Temple, à deux pas de l'Hôtel de Ville.Sur cette rue autrefois ouverte à la circulation, voitures, motos et scooters sont désormais interdits, vélos et trottinettes doivent mettre pied à terre, un arbre et de larges jardinières offrent un brin de végétalisation.La place Albert-Memmi, un intellectuel juif franco-tunisien mort en 2020, est un "démonstrateur de ce que nous voulons faire à Paris", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la maire Anne Hidalgo, critiquée depuis 2021 par des opposants non politisés réunis derrière le mot-clé SaccageParis.Ces derniers accusent la majorité de gauche de délaisser le mobilier historique et dénoncent les aménagements modernes, photos à l'appui. Un collectif a même racheté un banc Davioud pour l'offrir à la ville, pour souligner l'urgence de les protéger.C'est l'un des bancs qui garnit désormais la place, a indiqué le maire PS de Paris Centre Ariel Weil, mettant en avant une "reconfiguration de tout le quartier", qui fait "place aux usages du futur" sans oublier le passé.SaccageParis "n'est pas le guide de notre action", a soutenu M. Grégoire, interrogé par l'AFP."En revanche, c'est notre souhait de montrer qu'on peut faire une transformation de Paris - plus de piétonnisation, plus de végétalisation - avec un haut niveau d'exigence", a ajouté l'adjoint à l'urbanisme, favori d'Anne Hidalgo pour sa succession en 2026.Une semaine auparavant, l'élu socialiste avait reconnu dans les critiques de SaccageParis des "irritants de bon sens", qui avaient "stimulé" ses services pour la rédaction de son "manifeste pour la beauté", référentiel du mobilier urbain dans lequel il réaffirme sa volonté de protéger le mobilier historique sans pour autant "figer" la ville.
Il y a 2 ans et 351 jours

Fontaines, bancs... La "bible" de la Mairie de Paris pour le mobilier urbain

Poubelles, jardinières, fontaines, pieds d'arbres: le premier adjoint de la maire de Paris, Emmanuel Grégoire, a présenté son inventaire du mobilier urbain parisien, une "bible de l'intervention".
Il y a 2 ans et 351 jours

A Paris, l'aménagement urbain en question face aux vagues de chaleur

Fontaines brumisantes, ombrières, plantation d'arbres: la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a fait de l'adaptation au changement climatique la priorité de son second mandat. En témoigne le plan "Paris frais" lancé en 2021.En supplément des 1.200 "fontaines à boire" en service, trente nouvelles, équipées de brumisateurs ont récemment été déployées, dont trois dites "mât-source" - accessibles aux enfants et aux personnes à mobilité réduite -, dit à l'AFP Dan Lert, adjoint (EELV) d'Anne Hidalgo chargé de la transition écologique.L'objectif, d'ici à 2024, est d'implanter 100 fontaines nouvelle génération, dont 50 "mât-source" dans la capitale, et d'équiper de brumisateurs 50 autres fontaines traditionnelles "Wallace".Des ombrières temporaires en bois, sorte de panneaux sous lesquels il est possible de s'abriter, seront aussi expérimentées dans "des jardins, des placettes et la cour d'une école", début juillet dans le XIIe arrondissement, ajoute M. Lert.Ces mesures "immédiates" ont un impact à court terme, quand le réchauffement climatique menace Paris, avec déjà des pics de chaleur avoisinant les 40°C au cours des dernières années.Pour la conseillère Modem de Paris Maud Gatel, il y a urgence à "arrêter de bétonner les îlots de fraîcheur existants"."Les arbres en pot ne rafraîchissent pas", soutient l'élue, dénonçant une "sorte de schizophrénie" de la mairie."Rustine"L'opposition LR partage ce ressenti: pour Valérie Montandon, l'équipe municipale "fait beaucoup de communication et de rustine". "Chaque emprise terrestre fait l'objet de projets" de construction, regrette-t-elle.La Ville se dit toutefois consciente que "les canicules vont se multiplier. C'est le premier défi climatique à Paris, avec l'accélération du changement climatique", relève Dan Lert, d'où l'urgence "d'accélérer la transition écologique".A moyen voire long terme, Christophe Nadjovski (PS), adjoint d'Anne Hidalgo chargé de la végétalisation de l'espace public, souhaite l'implantation de 170.000 arbres dans la capitale.Une mesure critiquée par Mme Montandon, qui estime que la méthode "Miyawaki" - petit écosystème forestier à la végétation dense -, est une "mesure en trompe-l'oeil. Soixante-et-un à 84% des arbres vont mourir au bout de 12 ans", selon elle.A plus long terme encore, les élus souhaitent voir "renaître la Bièvre" - une rivière enfouie depuis quelques décennies -, au niveau du parc Kellermann (XIIe arrondissement) "d'ici 2026". Cela créerait un "corridor de fraîcheur", selon M. Lert.L'ouverture à tous de la petite ceinture désaffectée en périphérie de Paris "sans y réaliser de constructions" permettrait aussi la création d'îlots de fraîcheur, relève Fatoumata Koné (EELV), présidente du groupe écologiste de Paris.Pour les futurs projets urbains, Mme Koné plaide "pour un quota minimal de pleine-terre garanti, et pour la préservation de la végétation déjà existante".Les choix d'aménagement urbain de la maire socialiste sont aussi contestés par ses opposants issus du mouvement SaccageParis.Lieux de rafraîchissementEn parallèle, la mairie assure une veille auprès des Parisiens "de plus de 65 ans ou handicapés" qui le souhaitent en "leur téléphonant" notamment durant les périodes de fortes chaleur.Lorsque Paris est placée en alerte canicule, des "salles rafraîchies sont ouvertes dans les mairies d'arrondissement", les parcs sont ouverts la nuit "car il y fait deux à trois degrés de moins qu'en ville", déclare Dan Lert.Mais Maud Gatel (Modem) regrette un manque "de communication et d'information" des Parisiens sur ces dispositifs, et réclame le recensement des "lieux de rafraîchissement comme les commerces".Quelque 600 commerçants parisiens offrent, depuis mars, la possibilité aux badauds de remplir leur gourde d'eau de Paris. Maria Mella, fondatrice de "The Naked Shop", boutique de vrac du IIe arrondissement, "a tout de suite voulu participer", pour lutter contre la pollution liée aux bouteilles en plastique.Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à se multiplier, s'allonger et s'intensifier.
Il y a 2 ans et 351 jours

Des enseignants et formateurs de CFA testent les deux premiers modules de formation initiale du programme FEEBAT

Une session pilote a ainsi été organisée fin mai, à Dijon. Trois journées en immersion pour une dizaine d’enseignants et formateurs de CFA, confirmant l’adéquation des ressources avec leurs besoins, attentes et contraintes, dans l’intérêt de leurs élèves, apprentis et étudiants.Pour que la rénovation énergétique, fondamentale dans la dynamique de transition écologique, soit mieux et plus efficacement traitée dans les enseignements délivrés aux futurs professionnels, la formation initiale est depuis 2018 un volet clé de FEEBAT, programme national* de Formation aux Économies d’Énergie dans le Bâtiment.En lien avec le ministère de l’Éducation nationale et le CCCA-BTP, FEEBAT a ainsi développé des ressources pédagogiques spécifiquement dédiées à ce sujet, à destination des enseignants en lycée et formateurs en OFA**, pour qu’ils forment à leur tour, les futurs professionnels du bâtiment.Fin mai, une dizaine d’enseignants et formateurs de 4 établissements*** de Dijon, exerçant au sein de plusieurs filières professionnelles, du CAP au BTS, a pu découvrir l’environnement de formation et tester ces ressources pédagogiques innovantes. Ils ont, pour ce faire, participé à une session pilote de formation, spécifiquement conçue pour les enseignants et formateurs, animée par les concepteurs des ressources et dispensée en format multimodal, avec une classe virtuelle puis 3 jours en présentiel.Ces « bêta-testeurs » ont ainsi pu mettre à jour ou rafraîchir leurs compétences et connaissances, avant de découvrir les deux premiers modules, « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique », ainsi que des ressources de cours ou travaux dirigés adaptés aux différents niveaux de formation, qu’ils pourront utiliser dans leurs enseignements.* Métropole et Outre-mer éligible aux CEE** Organisme de Formation par l’Apprentissage*** Lycée Hippolyte de Fontaine, Lycée St Joseph, Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté, Lycée Les Marc d'OrQuels retours ?L’un des principaux enjeux, pour les représentants du programme FEEBAT présents, était de s’assurer que le parcours de formation destiné aux enseignants et formateurs était pertinent et que les contenus et outils développés pour la formation initiale étaient à la fois :Adaptés aux besoins et contraintes des enseignants et formateurs ;Pédagogiques, précis, cohérents et accessibles en termes de contenus ;Attrayants pour les élèves et les apprentis.Objectif atteint et confirmé par les enseignants et formateurs « bêta-testeurs », comme l’ont notamment souligné trois d’entre eux :Pour Matthieu, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté - DIJON : « Une très belle ambiance lors de cette session qui aura permis de beaux échanges entre professeurs, formateurs et porteurs du programme FEEBAT. Le travail accompli est remarquable. Nous voilà avec du contenu adapté, adaptable et évolutif. Vivement le déploiement du dispositif ! Hâte de l’exploiter avec mes apprentis ! »Pour Nicolas, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté – DIJON : « Merci à vous pour cette formation de 3 jours, très riche en échanges sur les méthodes pédagogiques, et bravo à toute l'équipe pour cette production de cours de qualité ! »Pour Olivier, enseignant lycée Les Marcs d'Or : « Enfin un outil bien conçu qui propose des ressources mises à destination aussi bien des enseignants que des apprenants et qui permet d'aborder concrètement la fameuse rénovation énergétique dont on nous parlait jusqu'ici sans réelle cohérence. Merci FEEBAT ! »Fort de ces premiers retours et de ceux des sessions pilotes de novembre et février dernier, FEEBAT confirme la cohérence et le positionnement ad hoc de son dispositif de formation initiale à destination des élèves, apprentis et étudiants du secteur du bâtiment.Un enseignement initial, au service du bâtiment durable, que FEEBAT réinvente en termes de :Contenus, avec des ressources pédagogiques dédiées à l’enjeu majeur qu’est la rénovation énergétique, ressources clé en main, accessibles, cohérentes, modulables ;Formats, avec des solutions innovantes, multimodales (vidéo, 3D, quiz...), favorisant l’interactivité, l’attrait et donc l’attention des jeunes, et qui permet l’adaptabilité aux différentes configurations de cours et aux besoins des enseignants et formateurs.Déploiement volet Formation initiale FEEBAT – Prochaines étapes :Le déploiement des modules de formation « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique » débutera progressivement à partir d’octobre 2022, auprès des enseignants en lycée et formateurs en CFA.Ces derniers pourront alors utiliser ces ressources dans leurs enseignements, auprès de leurs élèves, apprentis et étudiants, futurs professionnels du bâtiment.
Il y a 2 ans et 356 jours

Fontaines, bancs : la "bible" de la Mairie de Paris pour le mobilier urbain

Destiné aux agents de la ville comme aux prestataires (Decaux, La Poste, Enedis), le "manifeste pour la beauté" est un référentiel d'aménagement en quatre tomes qui vise à clarifier "qui est propriétaire, qui s'en occupe, qui entretient", a expliqué l'adjoint à l'urbanisme lors d'un point presse.Emmanuel Grégoire, qui avait lancé fin 2020 cette démarche, s'était retrouvé début 2021 débordé par SaccageParis: des opposants dénonçant sur Twitter, photos à l'appui, le manque d'entretien du mobilier historique ou les choix de mobilier urbain moderne contestés.Ces critiques "ont aiguillonné plus qu'inspiré" le manifeste, a affirmé le bras droit d'Anne Hidalgo. "Les irritants remontés par SaccageParis sont des irritants de bon sens, ça nous a stimulés pour aller plus vite."Pour cette "remise à plat", l'exécutif parisien a mis en place une commission de régulation de l'espace public, qui aura la charge de superviser l'usage et l'entretien des nouveaux mobiliers urbains.Priorité de M. Grégoire, la protection du mobilier historique se matérialisera par un logo, synonyme d'interdiction de retrait, a-t-il indiqué.Cibles favorites de SaccageParis, les bancs en bois dits Mikado ont majoritairement été remplacés et 7.000 pieds d'arbres seront repris d'ici 2024, a indiqué M. Grégoire, qui privilégie une "grande bande de végétalisation" sur un alignement d'arbres.Certaines fontaines décriées vont disparaître, tout comme les modèles de jardinières en pots colorés ou les bacs en bois, "très mal entretenus" selon lui."On ne va pas tout changer du jour au lendemain", prévient M. Grégoire.Déployées en 2013 et 2016, les poubelles Bagatelle, proies des rats et des corneilles car ouvertes sur le côté, et facilement tordues, vont progressivement disparaître au profit des modèles Cybel, déployés depuis 2019."Les agents de la Ville sont très attachés aux bancs Davioud", a souligné le dauphin d'Anne Hidalgo pour les municipales de 2026, qui inaugurera le 21 juin, près de l'Hôtel de Ville, celui racheté aux enchères par des habitants qui l'ont offert à la Ville pour alerter sur sa protection.M. Grégoire veut aussi poursuivre un travail de retrait des panneaux directionnels devenus obsolètes, appelant à "libérer l'espace public" d'une partie du 1,3 million d'objets présents dans les rues parisiennes.
Il y a 2 ans et 358 jours

Canicule : les citadins face à la surchauffe urbaine

Microclimat urbainA la campagne, la végétation utilise le soleil et l'eau du sol pour la photosynthèse, puis restitue à l'atmosphère l'eau puisée dans le sol. La nuit, cette "évapotranspiration" s'arrête.Mais en ville, les surfaces largement imperméables emmagasinent l'énergie solaire. Et pendant la nuit, ces bâtiments, routes en bitume et trottoirs relâchent dans l'air la chaleur accumulée.Résultat, il fait souvent plus chaud dans une ville qu'en périphérie, avec des écarts encore plus marqués pendant les canicules et la nuit, qui peuvent aller jusqu'à plusieurs degrés de plus que dans la campagne environnante.Ce mécanisme est connu sous le nom d'"îlots de chaleur urbains" (ICU), mais il devient "surchauffe urbaine" lorsqu'on y ajoute l'inconfort thermique des habitants, qui dépend aussi de paramètres plus individuels (âge, logement sous les toits mal isolés, métabolisme...).Avec des impacts sanitaires majeurs. "La situation des citadins soumis à ces conditions extrêmes peut conduire à des coups de chaleur et des déshydratations jusqu'à la mort des personnes les plus fragiles", souligne l'Ademe dans son guide "Rafraîchir les villes".Par exemple, lors de la canicule historique de 2003 qui avait fait plus de 15.000 morts en France, la surmortalité avait atteint 141% à Paris ou 80% à Lyon, contre 40% dans les villes petites et moyennes, selon Santé Publique France.Des facteurs identifiésLes facteurs favorisant ces "bulles de chaleur" urbaines sont connus: beaucoup de surfaces artificielles minérales et sombres qui absorbent la chaleur, pas assez de végétation, propriétés des matériaux de construction, présence insuffisante d'eau, activités humaines, orientation des bâtiments, forme des villes...Sans oublier le cercle vicieux de la climatisation qui en rafraîchissant ceux qui peuvent se l'offrir réchauffe l'air extérieur par ses rejets.Des solutionsLa question du rafraîchissement urbain est un domaine de recherche encore récent mais crucial alors que les îlots de chaleur urbains risquent d'amplifier les effets des canicules qui se multiplient et s'intensifient avec le réchauffement de la planète.Des solutions existent pour faire éclater ces bulles de chaleur, comme l'explique l'Ademe dans son guide qui présente 19 types de mesures "émergentes ou éprouvées" parmi lesquels les villes peuvent piocher en fonction de leurs spécificités.D'abord des solutions basées sur la nature, en bref la végétation et l'eau: développement de parcs qui forment de vrais îlots de fraîcheur, plantation d'arbres pour l'ombrage, toitures végétalisées pour le confort intérieur, façades végétalisées pour limiter l'inconfort des piétons, ou encore plans d'eau et rivières avec leurs berges végétalisées.Parmi les solutions "grises", l'Ademe met notamment en avant des formes urbaines "bioclimatiques" qui permettent une meilleure circulation de l'air, l'arrosage de l'espace urbain, des structures d'ombrage, des panneaux solaires pour remplacer les surfaces qui emmagasinent la chaleur ou encore des revêtements drainants, l'isolation des bâtiments.Dernière piste évoquée, les solutions "douces" liées à l'usage de la ville, comme la réduction du trafic routier et des moteurs thermiques qui produisent de la chaleur ou encore la limitation de la climatisation.Pas de miracleMais attention, "aucune solution ne peut résoudre seule la problématique de la surchauffe urbaine", prévient l'Ademe qui suggère une combinaison de plusieurs solutions."Il est alors important de prendre en considération le fait que certaines solutions ne sont pas compatibles, voire s'annulent entre elles, tandis que d'autres agiront en synergie".Il faut également dans le choix des solutions possibles se pencher sur l'effet recherché de chaque solution: rafraîchissement global de la ville ou à l'échelle du confort du piéton.Ainsi par exemple, les fontaines et jets d'eau ont un impact fort pour le confort thermique mais aucun à l'échelle de la ville.Au contraire, des revêtements réfléchissant la lumière (peinture blanche ou matériaux innovants) sur les sols, les murs ou les toits, réduisent l'îlot de chaleur urbain mais peuvent créer de l'inconfort pour les passants à cause du rayonnement.
Il y a 2 ans et 358 jours

Réseaux d’assainissement – Nouveaux accessoires contre les débordements pour les regards Tegra Wavin

En raison du changement climatique (fortes pluies et sécheresse) et de l’augmentation de la population, le débit des eaux usées dans les réseaux d’assainissement augmente et sature les canalisations devenues sous-dimensionnées et surchargées. Les villes se doivent d’agir pour faire face à ces variations de flux et éviter les débordements qui nuisent à l’environnement. Fournisseur de produits innovants pour le bâtiment et les travaux publics, Wavin collabore activement avec les services techniques et les décideurs des villes et des collectivités pour leur apporter des solutions sur mesure. Cette synergie, présente à toutes les étapes du chantier, a permis aux équipes du département recherche et développement Wavin de concevoir des nouveaux accessoires pour les regards Tegra afin de lutter contre les débordements. Les nouveaux kits d’obturation partielle et la nouvelle pelle obturatrice Tegra 1000G2 Wavin permettent de mieux maîtriser et de dévier les flux en trop plein pour répondre aux problématiques de débordements, ou autoriser des travaux sur le réseau.   Les nouveaux accessoires pour regards Tegra Wavin assurent le bon fonctionnement des réseaux d’assainissement Les regards de visite Tegra Wavin donnent accès aux systèmes d’assainissement et permettent d’effectuer le contrôle et l’entretien de ces derniers plus facilement et librement. Pour éviter les risques de débordements des eaux usées dans le milieu naturel lors des fortes pluies, il est préférable de mettre en place un système d’assainissement séparatif qui collecte de manière séparé les eaux usées et les eaux pluviales. Lors du passage d’un réseau unitaire à un réseau séparatif il faut pouvoir contrôler le débit par temps sec ou pluvieux. Positionnés en sortie de regards, les nouveaux obturateurs partiels Wavin réduisent la section de passage de 5 % à 50 %, et évitent ainsi les débordements dans les réseaux. Quant aux nouvelles pelles obturatrices Wavin, elles permettent d’obturer les entrées et les sorties de regards Tegra 1000G2 lors des opérations de maintenance dans les réseaux d’assainissement.   Kits d’obturation partielle Tegra 600/800 et Tegra 1000 Pour créer un point singulier sur le réseau et le protéger contre les débordements Développé pour répondre aux besoins des villes, le kit d’obturation partielle Wavin pour boîte d’inspection Tegra 600/800 et regard visitable Tegra 1000G2 agit comme un système de pelles réglables en fonction du pourcentage de débit que l’on souhaite faire passer (entre 50 et 95 %). À partir du moment où le réseau unitaire monte en charge, l’obturateur force les eaux à passer en trop plein dans le réseau d’eau pluviale ce qui permet de désengorger le réseau unitaire qui a tendance à se surcharger au niveau des points bas. Dévié vers un autre passage, le trop plein ne déborde pas. Modulable et en PVC très résistant aux agressions chimiques liées aux eaux usées, le nouveau kit d’obturation partielle Wavin est vraiment très simple à installer. Le réglage s’effectue très facilement grâce à une plaque amovible et des positions ajustables prédéfinis. Il suffit de positionner les 2 vis de fixations sur la partie fixe correspondant au % de section de passage restante (entre 50 et 95 %).   Pelle obturatrice Tegra 1000G2 Efficaces, les nouvelles pelles Wavin permettent l’obturation rapide et fiable des regards visitables Tegra 1000G2 Wavin. Principalement utilisées pendant les travaux de réparation et d’entretien, elles sont destinées aux réseaux d’assainissement gravitaires des eaux usées et eaux pluviales. Disponibles en diamètre 200 ou 250/315 mm, ces pelles obturatrices bloquent les entrées ou les sorties des regards lors des opérations de maintenance dans les réseaux d’assainissement. Wavin accompagne les villes qui s’adaptent au climat Travaux de mise en séparatif de la ville de Dinard (35) Wavin apporte son expertise et une aide précieuse aux collectivités soucieuses de profiter de réseaux performants pour relever les défis attendus à venir en matière d’assainissement. Le savoir-faire Wavin a été retenu pour les travaux d’assainissement de la ville de Dinard (35). L’objectif de ce chantier est de reprendre l’ensemble des réseaux d’assainissement de la ville pour passer d’un réseau unitaire à un réseau séparatif afin de limiter les déversements dans le milieu naturel pour garantir la qualité des eaux de baignade et leurs écosystèmes. Christian Fontaine, Adjoint aux travaux et à l’urbanisme de la ville de Dinard, explique : « La gestion des eaux est pour nous une priorité. Nous avons le projet ambitieux de reprendre l’ensemble des réseaux d’assainissement de notre ville. Ainsi, 60 % des réseaux de Dinard qui sont aujourd’hui en réseau unitaire vont être modifiés pour passer en réseau séparatif sur les dix prochaines années… Ces travaux sur les réseaux d’assainissement permettent de limiter leur saturation et les débordements d’effluents dans le milieu naturel. Ils ont pour objectif de préserver l’environnement et les eaux de baignades. Quand on sort d’un réseau séparatif, il faut reprendre le réseau secondaire pour que les eaux usées s’écoulent dans leurs canalisations et que le trop plein soit refoulé dans les eaux pluviales. À un moment les débits sont surabondants et nous nous sommes rapprochés de la société Wavin pour mettre en place un équipement spécifique. La simplicité d’installation, la modularité et l’adaptabilité des nouveaux kits d’obturation partielle répondaient parfaitement à nos attentes pour ce projet. En effet, ces nouveautés se positionnent très facilement et peuvent être modifiées au grès des besoins et des équipements existants. Au fur et à mesure que les réseaux s’étendent, nous pouvons changer et déplacer ses plaques facilement. » Maxime Le Bret, Technicien Réseaux assainissement de la ville de Dinard ajoute : « Sur ce chantier de rénovation de réseaux, nous avons des problématiques au niveau des jonctions entre le réseau unitaire et le futur réseau séparatif avec le captage des eaux unitaires (eaux usées et eaux pluviales mélangées). Positionnés en sortie de regards, les nouveaux obturateurs partiels Wavin permettent de réduire la section de passage et éviter ainsi les débordements dans les réseaux. Le débit par temps sec est évacué et lorsque le niveau d’eau monte, on force les eaux à être refoulées dans le réseau d’eau pluviale. Wavin a su nous accompagner et rester à l’écoute pour répondre aux besoins spécifiques de ce type de chantier. »   À PROPOS DE WAVIN Créée en 1971, la filiale Wavin France est spécialisée dans la conception, la fabrication et la commercialisation de fournitures de systèmes de canalisations en matière plastique et de solutions destinées à l’assainissement des eaux usées, à la collecte et la gestion des eaux pluviales, et à l’adduction d’eau potable. Filiale du Groupe ORBIA, Wavin est l’un des seuls acteurs du secteur présent à la fois sur les marchés du Bâtiment et des Travaux Publics. Engagé depuis les années 90 dans une démarche RSE, ses activités couvrent l’ensemble du cycle de l’eau pour une gestion plus équilibrée : de la collecte au rejet.    
Il y a 2 ans et 358 jours

L'industrie, menace ou solution pour la planète ? Une expo pour réfléchir

À la Cité des Sciences et de l'Industrie, où l'exposition "Évolutions industrielles" ouvre ses portes mardi, une bande son électro composée de bruits d'usines syncopés accueille le visiteur. Écrans numériques et installations artistiques l'accompagnent.Une gravure représentant la "révolte du poivre" en 1400, tirée d'un livre de Marco Polo succède à une photo de trieurs de déchets dans un centre de recyclage d'ordures ménagères du 21 siècle.Autour des thèmes "paysages transformés", "standardisation", "figures de travailleurs" ou "réseaux", des projections font découvrir l'histoire et l'actualité d'un monde devenu hyper-industrialisé bien qu'émaillé de poches de désindustrialisation.Pour Astrid Fontaine, commissaire de l'exposition, la priorité était "de proposer une réflexion sur ce qu'est le processus d'industrialisation dans la vie des hommes"."Nous avons voulu traiter de manière frontale la question de l'ambivalence de l'industrie, qui à la fois permet de vivre mieux et plus longtemps, et en même temps nous menace", résume-t-elle pour l'AFP.Les partenaires de l'opération, chercheurs de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et industriels de la métallurgie (UIMM), ont d'abord dû se mettre d'accord sur une définition. Celle de l'historien Philippe Braunstein a prévalu : L'industrie est "une production quantitativement importante, régulière, de qualité constante, qui dépasse le marché local".HybridationDans un appartement témoin reconstitué, au décor familier, un film est projeté sur un mur de verre high tech fourni par l'entreprise Saint-Gobain, ode au progrès et à la technologie.Il donne à réfléchir sur l'origine de chaque objet manufacturé du quotidien, sur la complexité des chaînes de valeur liées aux activités extractives ou aux transports internationaux : pour fabriquer un simple opercule de pot de yaourt, il a fallu d'abord trouver de la bauxite, puis la transformer en aluminium."L'idée était de montrer le déplacement des lieux de production" par rapport au consommateur final, dit Mme Fontaine.Sept petites salles "capsules" focalisent sur des objets-icônes issus de matières transformées, qui à leur tour nous transforment: la boite de conserve, le T-shirt en coton, la machine à laver, la pilule contraceptive, le drone, le smartphone et l'énergie au sens large.La fabrication de la boîte de conserve en acier recyclable à l'infini engendre des pollutions, mais elle a joué un rôle dans l'allongement de la vie humaine. La machine à laver a libéré la femme mais l'obsolescence programmée a suivi.Plus loin, Elon Musk, le patron du constructeur automobile Tesla, s'entretient avec le critique de la société industrielle Ivan Illitch, dans un joyeux débat en ligne, modéré par René Descartes et Francis Bacon. Tous deux ont fort à faire pour départager l'inventeur de Apple, Steve Jobs, vantant "la qualité" face au père du taylorisme, Frederick Taylor.Après les deux anciens symboles que sont la mine et l'usine, le parcours se termine sur un final grandiose et futuriste autour du nouvel emblème de l'industrie, la plateforme numérique.Câbles sous-marins, satellites et centres de données : les trois infrastructures lourdes, et bien physiques, du continent numérique qui nous entoure, y sont "révélées" alors qu'elles sont d'ordinaire "invisibles" et "cachées à la vue", souligne Mme Fontaine.Du coup, l'exposition dévoile aussi l'hybridation en cours "entre le monde réel et virtuel", et "entre l'industrie lourde et les services".Le tailleur et le casque-micro d'une téléconseillère voisinent avec la combinaison et le casque d'un ouvrier-marin qui pose des câbles de télécommunication au fond de l'océan.(Du 14 juin 2022 au 5 mars 2023 - Cité des sciences et de l'industrie )
Il y a 2 ans et 364 jours

Travaux estivaux dans les transports en Île-de-France, attention aux fermetures

Une fermeture remarquée concernera la ligne A du RER à l'ouest, entre Auber et La Défense, du 13 au 19 août inclus, ont détaillé mardi Ile-de-France Mobilités (IDFM), la SNCF et la RATP. Cette même ligne sera en outre fermée certains week-ends de l'été entre Nanterre, Cergy et Poissy.Sur le RER B, l'accès à l'aéroport de Roissy sera compliqué les week-ends des 2-3 juillet et des 13-15 août avec la fermeture de la ligne au nord de Paris.Au sud, divers tronçons de la ligne B vont être fermés à des dates variables, avec en particulier une coupure des Baconnets à Massy-Palaiseau du 16 juillet au 18 août.Autres ligne de RER affectée, la C, fermée du 15 juillet au 20 août entre Musée d'Orsay d'un côté, Pontoise, Versailles-Rive Gauche et Saint-Quentin-en-Yvelines de l'autre, ainsi qu'entre Pont de Rungis et Massy-Palaiseau.Les RER D et E seront aussi perturbés, avec notamment une fermeture entre Gare de l'Est et Haussmann-Saint-Lazare du 18 juillet au 22 août pour le E.Les travaux d'été toucheront également les trains de banlieue H, K, J, L, N et P. Les J et N seront en particulier fermés du 2 juillet au 28 août de Mantes-la-Jolie à Epône et Plaisir, et la H de Pontoise à Creil du 6 au 21 août. Côté métro, les principaux chantiers concerneront la ligne 10, fermée entre Duroc et Boulogne du 27 juin au 3 juillet et la 14, fermée entre Châtelet et Olympiades du 31 juillet à midi au 20 août inclus. D'autres travaux toucheront à des degrés divers les lignes 2, 3, 4, 11 et 13.La ligne de tram T1 sera fermée entre Asnières et Hôpital Delafontaine du 20 juin au 31 août, et en plus jusqu'à La Courneuve du 13 juillet au 24 août. La T8 sera pour sa part interrompue à Saint-Denis du 22 juin au 6 juillet et du 28 au 30 juillet.
Il y a 3 ans et 5 jours

Seine-et-Marne : l’escalier en fer à cheval du château de Fontainebleau retrouve son lustre d’antan

Restauré dernièrement, l’escalier en fer à cheval du château de Fontainebleau (Seine-et-Marne) vient d’être inauguré.