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(398 résultats)
Il y a 2 ans et 91 jours

Partenariat entre Hoffmann Green Cement et le Belge Eloy

Le partenariat permettra à Hoffmann Green et Eloy de procéder à des essais techniques spécifiques. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement vient de signer un partenariat avec le groupe belge Eloy, pour développer la construction décarbonée en Belgique. Actif dans la construction et le traitement des eaux, le groupe Eloy se soucie depuis toujours de son impact environnemental. L’entreprise liégeoise fut l’une des premières à disposer de son propre recyparc, dès les années 1990. Situé à Bierset, son écocentre lui permet aussi de briguer une place de choix sur les marchés où la circularité est importante. Eloy se veut être un acteur de durabilité et a inscrit dans sa stratégie transversale l’objectif de diminuer de 30 % son impact environnemental à l’horizon 2027. Lire aussi : VM Matériaux distribue le ciment H-Iona d’Hoffmann Green  Technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement Ce partenariat permettra aux deux acteurs de procéder à des essais techniques spécifiques. Et d’élaborer ensemble des formulations de bétons fondées sur les technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement. Les premiers projets-pilotes de construction avec du ciment Hoffmann en Belgique sont prévus dès le premier semestre 2023 dans la province de Liège. Ceci, afin de tester ce nouveau produit, tout en familiarisant les équipes chantiers d’Eloy. « Après la Suisse et le Royaume-Uni, les ciments Hoffmann Green continuent leur expansion à l’international, grâce à ce partenariat conclu en Belgique avec Eloy. Groupe familial historique avec qui nous partageons de nombreuses valeurs, dont la volonté de décarboner le secteur de la construction. Il s’agit d’une étape importante dans notre processus de collaboration avec Eloy. Afin de promouvoir nos ciments 0 % clinker en Belgique », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 92 jours

Edilteco® France publie une charte pour la bonne utilisation des gammes plancher et isolants de façade

Ainsi deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes Plancher et isolants Façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques.Et, pour les centrales à béton, c’est une série de fiches applicatives qui vient d’être publiée.Chartes des gammes plancher et isolants façadeDans le cadre de sa politique d’accompagnement et pour que la qualité des produits ne soit pas altérée, EDILTECO® a édité deux chartes, pour les gammes plancher et isolants façade, qui visent à détailler la bonne conduite et les bonnes pratiques d’utilisation des produits.Ainsi pour chaque produit, de chaque gamme, la charte est en quelque sorte un guide explicatif qui mentionne les caractéristiques techniques des produits, puis les préconisations de stockage, de manutention et de mise en œuvre.Également, les bonnes méthodes pour l’exécution des commandes, la réception de la livraison ou encore l’annulation et les retours sont explicitement détaillées afin que les clients soient informés des méthodes et processus pour que tout se passe dans des conditions optimales et dans les meilleurs délais.Nouvelles fiches applicatives pour les centrales à bétonHuit nouvelles fiches applicatives et techniques ont été créées à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité des centrales à béton. Ces fiches sont déclinées pour les gammes POLITERM® Fein, POLITERM® R et POLYS BÉTO® selon le type d’application : chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture.C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’applications, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications, les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – avec photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement.Il est évident que la fabrication d’un mortier allégé est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives EDILTECO® ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont on ne peut plus complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie.Par les règles qu’elle s’impose en matière de qualité, d’innovation, de compétence et de fiabilité, EDILTECO® conçoit des solutions qui pour la plupart sont brevetées et répondent aux normes et réglementations en vigueur.Ce sont sur ces mêmes notions d’exigence et de traçabilité que l’entreprise oeuvre pour une relation transparente et honnête avec ses clients à travers l’accompagnement, l’information et la prévention favorisant la recherche de collaborations de confiance et à long terme.
Il y a 2 ans et 99 jours

Beige et Anthracite : 2 nouvelles couleurs pour la Poly Max Fix & Seal Express

Grâce à sa formulation unique sans solvant à prise rapide « express », Poly Max Fix & Seal Express offre une résistance finale après seulement 4 heures. De plus, sa facilité d’extrusion permet une application plus précise et aisée, idéale pour de grandes surfaces à coller ou à étanchéifier.Pour répondre aux attentes des professionnels et apporter une finition soignée qui se fond à la couleur des supports, Griffon lance 2 nouvelles versions Beige et Anthracite (RAL 7016) de sa désormais célèbre Poly Max Fix & Seal Express. Adaptées aux exigences de chaque chantier, ces nouveautés complètent les 6 couleurs déjà existantes : blanc, noir, crystal clear, gris, gris transparent et terracotta.Coller des appuis de fenêtre, réaliser des raccordements entre de la maçonnerie et des menuiseries, coller des panneaux d’isolation, des plinthes, des installations sanitaires (receveurs de douche, éviers, baignoires...), la Poly Max Fix & Seal Express Griffon est un indispensable pour les travaux de construction, d’aménagements et de rénovation, en intérieur comme en extérieur.Une excellente adhérence quel que soit le matériauUltra-puissantes et polyvalentes, les nouvelles Poly Max Fix & Seal Express Beige et Anthracite Griffon sont idéales pour coller et assurer une excellente étanchéité sur différents matériaux : verre, bois, pierre naturelle, mousse rigide, béton cellulaire et certains plastiques*. Leur elasticité élevée et leur forte adhérence permettent de fixer solidement les surfaces même humides. Leurs champs d’applications intérieures et extérieures sont très nombreux : fixation de panneaux isolants, appuis de fenêtres, travaux de lattage, plinthes, frises, étanchéité des joints, bordures de toit, gouttières, dômes vitrés et cheminées, lavabos, parois de douche, bardages, portails, clôtures...Sa formule unique « express » à élasticité élevée permet à la Poly Max Fix & Seal Express Griffon d’épouser à la perfection les formes pour une pose harmonieuse. De plus, elle ne se retracte pas, supporte de forts écarts de températures (de - 40 °C à + 100 °C) et elle est particulièrement résistante aux moisissures et au vieillissement.Un résultat propre et esthétiqueLes Poly Max Fix & Seal Beige ou Anthracite Griffon offrent une finition soignée pour réaliser un collage propre et des joints d’étanchéité parfaits. La Poly Max Fix & Seal Express existe également en blanc, noir, crystal clear, gris, gris transparent et terracota pour s’adapter aux couleurs des supports. Il peut aussi être peint pour se fondre entièrement au décor.*À noter : la Poly Max Fix & Seal Express ne convient généralement pas pour les matières plastiques PE, PP, PTFE, le plâtre pur et le bitume. Dans le cas des autres plastiques, il faudra d’abord effectuer un test d’adhérence afin de s’assurer de l’efficacité du produit sur la matière synthétique à assembler ou jointoyer
Il y a 2 ans et 106 jours

Les ciments bas carbone, privilégiés en Irlande

Le centre de broyage Ecocem de Dunkerque offre une capacité de production de l’ordre de 750 000 t/an de laitier moulu de hauts fourneaux. [©ACPresse] A travers son “Climate Action Plan 2023”, le gouvernement irlandais a fait le choix d’engager les organismes publics du pays à utiliser des ciments à faible teneur en carbone dans leurs projets. « Une décision exemplaire… et reproductible », salue Ecocem dans un communiqué de presse. Et surtout, une première en Europe. A l’origine fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux, Ecocem est très impliqué dans la massification des ciments et bétons bas carbone. A travers la décision du gouvernement irlandais, il voit ainsi son engagement conforté. En effet, cette annonce intervient après la publication de son rapport “Ciment : plus d’ambition pour moins d’émissions”. Cet évènement est aussi en phase avec le lancement de la nouvelle technologie Act, qui doit limiter l’utilisation de clinkers émissifs en carbone. Réduire la teneur en clinker du ciment Le gouvernement irlandais a publié son “Climate Action Plan 2023”. [©Gouvernement d’Irlande] La position officielle du gouvernement irlandais, dans son Climate Action Plan 2023, est de développer les ciments bas carbone. C’est une prise de conscience de l’urgence décisionnaire dans ce domaine. « Ce plan donne un exemple et un modèle à suivre dans les autres pays européens », déclare Conor O’Riain directeur général Europe et France d’Ecocem. Dans le secteur de la construction, ce Plan implique que, désormais, les organismes publics irlandais spécifient des méthodes de construction à faible teneur en carbone avec, en particulier, la réduction de la teneur en clinker du ciment. On parle de “remplacement des matériaux de construction par des produits à teneur en carbone faible ou nulle. Et réduction de la teneur en clinker du ciment lorsque cela est possible”. Lire aussi : Ecocem signe l’Act 1 de la décarbonation des ciments D’ailleurs, le paragraphe dédié à la reformulation de produits précise que : “En réduisant la teneur en clinker du ciment grâce à l’utilisation de nouveaux liants et fillers, nous pouvons réduire l’intensité carbone du ciment sans compromettre son intégrité. Cette action est techniquement réalisable et largement utilisée dans l’Union européenne. L’Irlande doit suivre et le secteur public montrera la voie, en spécifiant ciments et bétons à plus faible teneur en carbone pour les futurs projets de construction”. Soutenir les entreprises du secteur du ciment Remplacer une partie du clinker par du laitier moulu de hauts fourneaux permet de réduire l’empreinte carbone des ciments. [©Ecocem] Au-delà, l’Irlande s’engage à soutenir la recherche et le développement de solutions innovantes dans le secteur des matériaux de construction : « Le gouvernement soutiendra les entreprises du secteur du ciment et des matériaux de construction, engagées à développer de nouveaux matériaux cimentaires, des produits innovants et des technologies plus efficaces », reprend Conor O’Riain. Et Susan Mac Garry, directrice générale Ecocem Ireland, de poursuivre : « La politique publique sera désormais en phase avec la volonté du marché et l’ambition de décarbonation ». Lire aussi : Christian Clergue passe chez Ecocem Ainsi, Ecocem France continue d’informer et d’inciter les décisionnaires français à développer un encadrement nécessaire pour accroître un recours rationnel aux ciments et bétons bas carbone. L’industriel s’engage à travailler en étroite collaboration avec les producteurs de ciments et de bétons pour rendre la technologie aussi largement disponible que possible. Ceci, sur une base économique acceptable. Enfin, Ecocem met sa cellule prescription à disposition des maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage pour accompagner leurs futurs projets bas carbone. Ecocem impulse une R&D de premier plan, en collaboration avec des universités françaises (comme Toulouse et Saclay). Mais aussi étrangères pour proposer des solutions innovantes. Et reprend la déclaration du Climate Action Plan irlandais : « l’inaction n’est pas une option ! » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 107 jours

Initiales BB par A2C Matériaux

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Pose d’une Dalle BB d’A2C Matériaux sur le chantier de la tour Wood’Up, à Paris. [©ACPresse] C’est un futur décarboné que propose A2C Matériaux avec sa Dalle BB. Cette solution constructive inédite utilise le meilleur du béton et du bois. D’où ses initiales BB ! Le premier argument est de permettre aux utilisateurs de profiter de la construction hors site. En effet, la Dalle BB est préfabriquée en usine. Elle s’articule autour d’une dalle nervurée réalisée sur mesure. Pour réduire au maximum l’empreinte carbone, l’industriel met en œuvre une formulation de béton bas carbone et des armatures en acier recyclé. Entre les nervures prend place un isolant biosourcé à base de fibres de bois : le panneau Pavawall GF d’une capacité de 130 kg/m3, issu de l’offre Pavatex (groupe Soprema). En plus d’alléger et d’isoler l’ensemble de la structure, les panneaux autorisent l’intégration de réseaux (électricité, eau…). En usine, toutes les réservations sont pré-découpées dans l’isolant. Sur chantier, il ne reste plus qu’à positionner les câbles et autres conduites, et à les connecter les uns aux autres. La Dalle BB est livrée sur camion. Il suffit juste de la reprendre et de venir la positionner à son emplacement définitif dans le bâtiment. Comme on le ferait avec m’importe quelle prédalle classique. L’opération finale est le coulage de la dalle de compression, d’une épaisseur de 5 cm. Le béton préconisé est, ici encore, une formulation bas carbone. Mais un béton standard reste aussi utilisable. Une marque sous licence L’offre de Dalles BB se décline en une gamme complète d’épaisseurs oscillant entre 20 et 35 cm (dalle de compression incluse). Sous DTA depuis juillet 2022, elle affiche un bilan carbone final intéressant, de l’ordre de 27 kg.éqCO2/m2. A comparer aux 53,5 kg d’un plancher béton de référence… D’un poids de 350 kg/m2, la Dalle BB offre une portée allant de 6 à 10 m. L’année 2022 a été un excellent cru pour son développement. Pas moins de 33 000 m2 ont été préfabriqués et posés. Dont 7 000 m2 prévus sur e chantier de construction de la tour Wood’Up, dans le quartier Massena, à Paris. Une opération à découvrir en détail dans Béton[s] le Magazine n° 105 – Mars/Avril 2023 Enfin, Dalle BB est aussi une marque, dont A2C Matériaux propose des licences. A ce jour, les industriels Capremib, Rector et Techni Préfa ont signé un accord pour en assurer la préfabrication et la commercialisation. Des offres qui devraient être opérationnelles dans les mois qui viennent, le temps d’adapter les outils de production. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 108 jours

CBS-CBT, un pionner de la dalle mixte bois-béton

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Système D-Dalle de CBS-CBT en attente de la mise en œuvre de la dalle de compression en béton. [©CBS-CBT] Dans la mythologie grecque, Dédale est associé au Labyrinthe qu’il a construit à la demande du roi Minos pour y enfermer le Minotaure. Dédale est aussi le père d’Icare qui perdit ses ailes en cire à vouloir voler trop près du soleil. En Suisse, chez CBS-CBT, la légende est tout autre… D-Dalle n’emprisonne personne, mais vise à construire des bâtiments. Utilisant pour cela le meilleur du bois et du béton. La solution imaginée par CBS-CBT n’est pas nouvelle, puisque présente sur le marché depuis une vingtaine d’années ! « D-Dalle est beaucoup utilisée pour la réalisation d’écoles ou de bâtiments de bureaux », indique Hugo Labarrière, ingénieur études de prix chez CBS-CBT. Ceci, du fait des grandes portées importantes et sans appuis intermédiaires offertes par le produit. Cette solution constructive couvre des trames comprises entre 8 m et 18 m. A l’origine, D-Dalle est une extension de la dalle O’portune (assemblage de planches en bois décalées sur la hauteur, connectées avec des vis). La différence avec son aînée est l’incorporation d’une couche de béton sur la partie supérieure, donnant ainsi naissance à une ossature mixte. Compatible avec les bétons bas carbone Plus en détail, les planches utilisées peuvent être de différentes essences (épicéa, sapin, douglas…) et présentent une hauteur de 12 à 26 cm en fonction de la portée attendue. Elles sont décalées verticalement les unes par rapport aux autres et assemblées par vissage, donnant ainsi sa rigidité à l’ensemble.  Dessus et entre les planches s’insèrent des plaques en acier, dont le rôle est d’assurer la connectivité avec le béton à venir. Leur nombre dépend de l’isotropie recherché de la dalle. C’est le bureau d’études intégré de CBS-CBT qui le définit. Si la partie bois de la D-Dalle est préfabriquée en usine, le béton, lui, est coulé sur chantier. De type C25/30, avec une granulométrie limitée à 16 mm, il doit être à faible rapport E/C pour ne pas ramener d’eau libre à l’interface avec le bois. « Dans les faits, les caractéristiques du béton sont décrites dans l’Avis technique dont bénéficie notre D-Dalle », précise Hugo Labarrière. Et qu’en est-il d’une formulation bas carbone ? La D-Dalle n’est, en principe, pas incompatible, mais cet usage impose des tests de mise en œuvre complémentaires et la demande d’une Atex, le cas échéant. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 110 jours

Master Builders Solutions décortique la norme béton

Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Entre l’arrivée de le RE 2020, la nécessité de réduire l’impact environnemental de la construction et l’envie de s’inscrire dans une économie davantage circulaire, le monde de la construction évolue. Parfois très vite… De matière naturelle, le béton s’engage sur cette voie plus vertueuse. Mais pour avancer, il doit faire évoluer son encadrement normatif en France. C’est ainsi qu’en novembre 2022, le Complément National NF EN 206+A2/CN est entré en vigueur. Cette révision introduit des changements majeurs concernant les compositions des ciments et des bétons. Elle prend en compte de nouvelles technologies et le déploiement de méthodes spécifiques. Lire aussi : Le béton, grand oublié de la transition écologique Conscient de la force de ce Complément National, l’adjuvantier Master Builders Solutions a souhaité développer, de manière neutre, les implications pratiques pour les professionnels. En premier lieu, la norme béton NF EN 206-A2 devient NF EN 206-A2/CN. Ce Complément National qu’elle introduit précise les dispositions nationales complémentaires à la norme à respecter lorsque les articles de cette norme l’autorisent. Il s’applique lorsque le lieu d’utilisation du béton est la France pour les bétons destinés aux structures coulées en place. Mais aussi aux structures ou éléments de structures préfabriquées pour bâtiments et structures de génie civil. Il réunit les exigences applicables aux composants du béton à ses propriétés à ses spécifications jusqu’aux procédures de contrôle d’évaluation et de conformité et de livraison de ce matériau. L’arrivée des nouveaux types de ciments La nouvelle norme béton, décryptée par Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Toutefois, ce nouveau texte inclut une optique environnementale, en ouvrant la voie à de nouvelles solutions ou compositions du béton faisant notamment la part belle à l’économie circulaire. Celle-ci ouvre trois grands axes nouveaux principaux. Tout d’abord, l’intégration et la reconnaissance de nouveaux ciments, à l’image des CEM II/C-M et des CEM-VI. Très compétitifs pour une réduction de l’empreinte carbone, ces ciments ont déjà été intégrés dans la norme NF EN 197-5. De type ternaires, à la teneur en clinker très limitée, ils sont désormais autorisés dans les formulations de béton. C’est une reconnaissance précieuse pour les nouveaux projets constructifs impliquant une réduction d’émission de CO2 considérable d’ici 2030. Lire aussi : Le cimentier 2170 fait évoluer la norme prEN 197-6 Ensuite, ce texte permet l’incorporation de matériaux recyclés. Exemples probants de l’économie circulaire, les granulats issus du recyclage n’étaient admis qu’en faible proportion (10 à 20 % au maximum), tandis que les sables recyclés étaient, eux, proscrits ! Le Complément National agrée désormais leur utilisation, permettant une substitution pouvant aller jusqu’à 20 % de sables et 60 % de granulats recyclés, sans nécessité d’une approche performantielle. Les conclusions du travail du Projet National RecyBéton sont ainsi intégrées dans la norme… Lire aussi : Projet national Recybéton : L’usage des granulats recyclés dans les bétons Le travail de Perfdub passe dans le cadre normatif A ce propos, l’approche performantielle, prédictive et récente, permet d’aller beaucoup plus loin dans la recherche de solutions vertueuses. Il s’agit d’une méthode de spécification, d’évaluation et de justification de la durabilité des structures en béton armé ou précontraint. Elle permet de déterminer des bétons à durée de vie spécifiques basés sur différents indicateurs de durabilité. Cette intégration permettra de faire évoluer la composition et la nature des composants des bétons vers des niveaux encore moins émetteurs en CO2. Le Projet National Perfdub, en cours de restitution, voit aussi son travail passer dans le cadre normatif. L’apparition de nouveaux ciments, reconnus par le Complément National, implique de nouvelles approches et méthodes de travail. « Il faut prendre en compte les caractéristiques de ces ciments en pleine évolution. Le rôle des adjuvants devient encore plus essentiel et va devoir faciliter l’emploi des ciments dits “bas carbone” », explique Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group. Et Thibault Guédon, chef de marché BPE, de poursuivre : « En effet, ces ciments peuvent avoir parfois un impact sur la maniabilité, sur la viscosité du matériau en raison des additions. En synergie, les adjuvants vont apporter une maniabilité accrue et permettre d’atteindre les résistances nécessaires à jeune âge et à 28 j. » Le cas des ciments à plus de 50 % de laitier Cette ouverture sur le marché s’inscrit dans la lignée des recherches menées par Master Builders Solutions. En particulier, sur les granulats et les sables difficiles, qui avaient abouti à l’offre d’une nouvelle technologie MasterSuna. Un modèle pour résoudre les difficultés ou complexifications de formulation sur la défloculation à l’initial et pour le maintien de maniabilité. Face à ce nouveau texte, les adjuvantiers vont devoir répondre à des caractéristiques propres à ces nouveaux matériaux, par des technologies adaptées. En parallèle, ils vont devoir accompagner les professionnels du béton pour gérer l’impact de la mise en place de cette nouvelle norme. Le rôle de Master Builders Solutions se verra donc encore enrichi. Et le laboratoire d’applications et de recherche expérimentale de Lisses (91), adapté grâce à de nouveaux process, sera à l’écoute des producteurs de béton et des formulateurs. Une norme indispensable et attendue Le Complément National introduit une subtilité et une distinction entre les CEM III/A à plus ou moins 50 % de laitier moulu de hauts fourneaux. Dans le cas des CEM III contenant plus de 50 % de laitier, les règles de formulation béton à suivre seront celles du tableau NA.F.3 /NA.F.4. Autrement dit, le ratio E/C et les classes de résistances seront sensiblement plus restrictives pour certaines classes d’exposition (XC3, XC4, XD1, XF1). De la même manière, le nouveau texte ouvre la voie aux ciments LC3 ternaires intégrant l’argile calcinée. Ces additions sont connues pour avoir des demandes en eau importantes et impliquer l’utilisation d’adjuvants spécifiques. Cette nouvelle orientation de la norme va faciliter l’application de la RE 2020. Les prescripteurs pourront plus facilement atteindre ces objectifs et répondre ainsi aux demandes accrues des maîtres d’ouvrage publics ou privés. Ils vont désormais pouvoir incorporer des matériaux issus de l’économie circulaire, dans le cadre normatif. Cette garantie de produits normés va de surcroît simplifier l’assurabilité des ouvrages pour le maître d’ouvrage. [Inter 5] Augmenter la performance des bétons « Cette évolution de la norme était indispensable et attendue », reprend Christophe Landry. La mission de la construction aujourd’hui s’est élargie, avec des objectifs environnementaux précis. En particulier, une baisse conséquente des émissions de CO2. La raréfaction des sables alluvionnaires avait déjà modifié les approvisionnements bien avant l’entrée en vigueur de la RE 2020, ce qu’avait anticipé Master Builders Solutions. Lire aussi : Impulse Partners : “Innover constitue un droit à continuer à construire” Aujourd’hui, face à ces nouveaux ciments ternaires et à la reconnaissance de l’approche performantielle, deux axes sont poursuivis par l’adjuvantier. En premier, faciliter au maximum l’utilisation de ces nouveaux ciments. Ceci, « en répondant aux pertes de maniabilité et de résistance à jeune âge ou à 28 j induites par ces nouvelles compositions. Mais aussi en intégrant l’accentuation de celles-ci en hiver », détaille Christophe Landry. Et, en second, augmenter les performances de ces bétons. Un guide sur les réductions de CO2 Il est donc nécessaire d’intégrer des adjuvants à long maintien de maniabilité, rôle du tout nouveau MasterSure 1400 (mis sur le marché avant l’entrée en vigueur de ce texte). Il faut aussi pallier les pertes de performances du béton pouvant, à terme, générer des pathologies (impact du rapport E/C). Le MasterX-Seed STE 54 est déjà là pour remédier à ces pertes… « La variabilité de nature et de pourcentage des additions va complexifier la formulation de ces bétons, explique Thibault Guédon. Master Builders Solutions est présent pour accompagner les formulateurs, mettant à disposition ses équipes sur le terrain et son laboratoire. » En amont, afin de faciliter l’approche des professionnels, Master Builders Solutions a publié un guide sur les réductions des émissions de CO2 du béton. Il s’agit d’une véritable stratégie d’approche vertueuse qui réfléchit sur les apports nécessaires à la profession et qui propose des outils dédiés. « Cette stratégie s’ancre sur la technologie et les performances, conclut Christophe Landry. La réactivité conduit cette stratégie, tant dans la proposition de produits pertinents que dans l’accompagnement, qui sont les clefs de résultats efficients. » A ce niveau, un outil tel que D-Carbon est déjà à la disposition des commerciaux pour calculer le bilan carbone des formules bétons… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 111 jours

Edilteco France publie deux chartes et 8 fiches applicatives

Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. [©Edilteco] Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise entend guider ses clients dans les bonnes pratiques à adopter. Ainsi, deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes planchers et isolants pour façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. A destination des centrales à béton Et pour les centrales à béton, c’est une série de 8 fiches applicatives qui vient d’être publiée à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité. Ces fiches sont déclinées pour les gammes Politherm Fein, Politherm R et Polys Béto selon le type d’application. A savoir, chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture. [Pour Béton] Lire aussi : Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’application, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications. Mais aussi les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement. Une réponse aux clients C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées, afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Il est évident que la fabrication d’un mortier léger est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants, afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont très complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie. Ces fiches sont disponibles ici et là. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 112 jours

772 LANKOREP HP : nouveau mortier fibré fin pour réparations lourdes facile à appliquer

PAREXLANKO, spécialiste de la chimie de la construction depuis plus de 40 ans et leader historique sur le marché de la réparation, propose 772 LANKOREP HP, mortier de réparation fibré fin à destination des ouvrages d’art, du génie civil, mais aussi des bâtiments. Ce nouveau mortier vient enrichir la gamme LANKOREP. La formulation du 772 […]
Il y a 2 ans et 125 jours

772 Lankorep HP de Parexlanko, nouveau mortier de réparation fibré

772 Lankorep HP qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. [©Parexlanko] Parexlanko propose le 772 Lankorep HP, un nouveau mortier de réparation fibré fin. A destination des ouvrages d’art, du génie civil, mais aussi du bâtiment. Ce produit vient enrichir la gamme Lankorep. Sa formulation offre un matériau facile à gâcher et à appliquer. Et dont la mise en œuvre est mécanisable. Son grain très fin (< 0,8 mm) pour un aspect lisse et sa teinte gris clair en font un atout en réparation. Lire aussi&nbsp;: Parexlanko : Mélange chaud-chanvre pour la rénovation du bâti ancien Ce nouveau mortier, qui se destine aux grosses réparations de structures, s’applique jusqu’à 10 cm de d’épaisseur en une seule passe. A base de sable, de ciments, de fibres et d’additifs, il prend la forme d’une poudre grise à mélanger avec de l’eau. Afin de réaliser des réfections bénéficiant d’une excellente résistance mécanique en quelques instants. 772 Lankorep HP, pour une grande résistance à la compression Son mélange de haute qualité offre un résultat très peu poreux, qui résiste de manière efficace à la carbonatation. Ce produit à retrait compensé peut être recouvert de peinture après 24 h. Ainis, il a été imaginé pour simplifier les travaux des professionnels. Il s’applique, au choix, à la main ou à la machine à projeter et se lisse sans difficulté. Il dispose d’un temps ouvert important de 30 mm à 20 °C. Parexlanko a développé ce mortier classé R4 correspondant à la norme en vigueur NF EN 1504-3, réglementation définissant la destination des mortiers de réparation en fonction de leurs performances (R2, R3, R4). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 125 jours

BSC : Une palette de solutions industrielles

L’activité de BSC occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, l’activité de Béton Stone Consulting (BSC) occupe un large périmètre de l’industrie des bétons. A sa création, en 2006, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif ? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortiers au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international (Amérique du Nord, Europe, Moyen-Orient et Afrique). Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’international. L’entreprise ajoute aussi des stations de micronisation à son catalogue. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Par exemple, BSC a récemment proposé au préfabricant Capremib, une toute nouvelle centrale à béton Kniele pour son site de Cormicy, près de Reims. Implanté sur une surface de 250 m2, l’outil se destine à la fabrication de Bfup et de bétons fibrés. Lire aussi : Moselle : Béton Stone Consulting, une palette de solutions industrielles Un accompagnement complet Le produit-phare de BSC est le malaxeur conique KKM de Kniele. [©BSC] BSC ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Pour la société Delorenzo [Lire BLM 98, p. 21], l’entreprise a mis à disposition toute une série d’équipements. Dont un malaxeur conique KKM 1500/2250 de Kniele, une laveuse Rex23 Z d’EcoFrog, un doseur 4 colorants Com 70-1, 5 balances à adjuvants Würschum ou encore, un doseur de fibres MD400 avec système d’émottage signé Incite. Cet ensemble de solutions permet ainsi à Delorenzo de proposer une offre de BPE, de préfabrication et de Bfup avec un seul malaxeur. D’ailleurs, dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants&nbsp;: fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. BSC a fourni au préfabricant Capremib une centrale à béton Kniele, pour son site de Cormicy (51). [©ACPresse] Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 131 jours

Hello Watt répond à la CDI Fnaim : comparer DPE et consommation a-t-il un sens ?

Pourquoi cette étude ?Dans sa mission de favoriser la transition énergétique des ménages, Hello Watt propose une application gratuite de suivi de sa consommation énergétique via les compteurs Linky pour l’électricité et Gazpar pour le gaz.Pour compléter son offre et suite à l’annonce des restrictions qui seraient appliquées aux passoires thermiques, Hello Watt a cherché à estimer le DPE des logements dont la consommation était connue.Cependant, contre toute attente l’équipe data a conclu que connaître la consommation d’un logement ne permettait pas d’estimer le DPE de façon fiable.Comment est calculé le DPE ?Suite à cette étude, de nombreux acteurs du diagnostic ont réagi avec plus ou moins de virulence, le principal reproche étant qu’on ne peut pas comparer directement DPE et consommation, car le DPE se fonde sur un usage standard du logement.La Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a publié un communiqué de presse en ce sens, et un article de diagnostiqueur-immobilier.fr rappelle à juste titre que le ministère de la transition énergétique indique : « cette estimation ne peut être comparée aux factures réelles des usagers ».Comme le résume bien l’article de infodiag en réaction à l'étude, dans le cadre du DPE-3CL 2021 qui est la méthode utilisée pour pour les diagnostics qu'y a étudié : « on s’intéresse uniquement aux performances du bâti et de ses équipements, peu importe qui occupe le bien. Qu’une personne vive dans son pavillon deux mois de l’année, ou qu’elle soit présente 365 jours /365, sept jours sur sept, 24h sur 24, peu importe, l’estimation reste la même. Le législateur en a voulu ainsi pour faciliter la comparaison entre les biens à l’achat ou la location. »Donc le DPE, même s’il est exprimé en kWh/an, ignore délibérément les facteurs pouvant influencer la consommation qui ne sont pas liés au bâtiment lui-même. Certains postes de dépense sont même totalement exclus comme la cuisine ou l’électroménager.Cela dégrade sa fiabilité en tant qu’indicateur de consommation, et en échange en fait un meilleur indicateur pour guider la rénovation des bâtiments.Alors comparer DPE et consommation a-t-il un sens?Suite à la publication de l’étude, certains acteurs se sont insurgés car comparer une consommation réelle et un DPE n’aurait aucun sens. Cependant, il s’agit là exactement de la méthode de « DPE sur facture » qui était utilisable jusqu’au 1er Juillet 2021.Alors certes la nouvelle méthode 3CL est censée être plus fiable et mieux représenter la qualité énergétique du bâtiment, mais Hello Watt défend qu’il est très pertinent de la comparer avec la consommation réelle aussi bien individuellement qu’en moyenne.Après tout, on rénove les logements dans le but de réduire leur consommation d’énergie avant tout plutôt que pour augmenter une note, et il y a d’autres moyens de réduire la consommation comme la sensibilisation des particuliers ou la mise en place d’outils de suivi de la consommation.À quoi s’attend-on en comparant DPE et consommation moyenne par classe ?Même si à l’échelle d’un unique logement les usages peuvent faire varier la consommation bien plus que l’efficacité énergétique du logement, en effectuant une moyenne sur un grand nombre de logements on s’attendrait à ce que ces variations s’annulent.Par exemple, la classe C regroupe les logements donc la consommation estimée (pour les usages pris en compte par le DPE) est entre 110 et 180 kWh/an/m² pour un usage standard.Si l’usage standard qui est pris en compte par la méthode 3CL est un comportement moyen réaliste, alors on s’attend à ce que la consommation moyenne d’un logement de classe C pour les usages pris en compte par le DPE soit d’environ 145 kWh, et on peut rajouter 50% pour les usages non pris en compte (électroménager, numérique… d’après l’ADEME, les usages pris en compte pour le DPE représentent en moyenne 66% de la consommation des logements) ce qui nous amène à 217 kWh/an.Pour la classe F on s’attend à une consommation moyenne de 375 kWh/an/m², soit 562 kWh/an/m² une fois tous les usages intégrés.Qu’observe-t-on en termes de consommation moyenne par classe DPE ?Dans l’étude présentée ici, 462 logements sont considérés, contre les 221 de l’étude initiale. En revanche, Hello Watt se limite aux classes C à F car les autres classes contiennent moins de 20 logements, ce qui pourrait fausser les moyennes.Hello Watt s’attendait à ce que les logements mieux classés en termes de DPE consomment moins, et c’est le cas, heureusement ! Le graphique ci-dessous montre que les logements mal notés consomment plus que les logements bien notés.En revanche, la tendance est finalement assez faible :Si on reprend les estimations d'Hello Watt, pour la classe C les 195 kWh/an/m² sont assez proches des 217 estimés.Par contre pour la classe F Hello Watt s’attendait à avoir une consommation de 562 kWh/an/m², et on en est très loin puisque les logements F ne consomment que 256 kWh/an/m² en moyenne.C’est encore plus flagrant si on considère la médiane :La moitié des logements classés C consomme plus de 195 kWh/an/m², et l’autre moitié moins.Et pour les logements labellisés F, la moitié consomme plus de 219 kWh/an/m² et la moitié moins.Autrement dit, presque la moitié des logements F consomment moins que la moitié des logements C !Que signifie cette différence importante entre moyenne et médiane pour la classe F ? La consommation moyenne de cette classe est tirée vers le haut par quelques rares logements très énergivores, mais la plupart des logements de cette classe a une consommation comparable aux logements des autres classes, ce que reflète la médiane.On voit que (dans les classes les plus courantes C à F) même en moyenne, les logements avec un DPE plus élevé ne consomment pas beaucoup plus que les logements avec un DPE plus faible.Pourquoi les logements moins bien notés ne consomment pas beaucoup plus ?Comme dit dans l’étude originale, une possibilité serait que le DPE soit mal conçu ou mal appliqué. Une autre hypothèse serait que les usages varient de façon à contrer l’impact de la performance énergétique du logement.Kézaco ? Par exemple, peut-être que les logements F ne consomment pas plus que les logements C parce qu’ils sacrifient leur confort pour chauffer moins. On rejoint là l’idée de précarité énergétique.Une autre formulation de cette dépendance entre isolation et usages est l’effet rebond, qui part du constat qu'après des travaux de rénovation, le confort augmente mais la consommation ne diminue pas autant qu’espéré.On voit donc que ces résultats ne sont pas nécessairement en contradiction avec l’intérêt des DPE ! Le DPE est un indicateur de la performance énergétique du logement, qui a un impact sur la consommation mais également sur le confort des habitants.Qu’observe-t-on en termes de dispersion ?En statistiques, on distingue les indicateurs de tendance centrale, comme la moyenne ou la médiane, et les indicateurs de dispersion comme la variance, l’écart-type ou l’écart interquartile.Là où les indicateurs de tendance centrale lissent les disparités pour indiquer des tendances, les indicateurs de dispersion permettent de quantifier la proximité des mesures.Le graphique suivant donne, pour chaque classe DPE, la consommation médiane mais aussi les premiers et troisièmes quartiles, et les 5ème et 95ème percentiles.On voit immédiatement que la différence de médiane entre les classes est insignifiante par rapport à la très grande variance au sein d’une même classe. Une explication possible est que les habitudes de consommation d’une personne à l’autre sont tellement grandes que finalement le DPE n’a que peu d’influence sur la consommation.On voit également que plus la classe DPE est mauvaise, plus l’incertitude est grande.Que peut-on dire à une personne qui aurait un DPE C ? On peut lui dire qu’elle a une chance sur deux que sa consommation soit comprise entre 137 et 234 kWh/an/m².Mais que dire à une personne qui aurait un DPE F ? Elle a une chance sur deux que sa consommation soit entre 107 et 387 kWh/an, ce qui est une fourchette énorme, et il reste tout de même une chance sur deux qu’elle soit hors de la fourchette !Autrement dit, un quart des logements F consomment moins de 107 kWh/an/m², ce qui est le seuil entre les classes B et C !Faut-il modifier le DPE pour qu’il reflète mieux la consommation ?On a établi la pertinence de comparer DPE et consommation, et on a établi que le DPE était un mauvais prédicteur de la consommation, aussi bien de façon absolue (le DPE est souvent éloigné de la consommation) qu’en moyenne (les logements mal classés ne consomment pas beaucoup plus que les logements bien classés).Quelles conclusions en tirer ? Jusqu’en 2021, Les DPE pouvaient utiliser la méthode sur facture qui par définition correspondait exactement à la consommation. Quelles seraient les conséquences d’un retour à la méthode sur facture ?Une des principales variables qui n’est pas prise en compte par le DPE est l’intermittence : une résidence secondaire mal isolée (par exemple un chalet de montagne) aura une consommation moyenne basse donc un très bon DPE sur facture, mais un mauvais DPE 3CL. Si on se fonde sur les DPE pour prioriser les rénovations énergétiques, cela signifie :En se basant sur le DPE 3CL, on rénove en priorité les logements mal isolés, peu importe qu’ils soient utilisés de façon saisonnière ou non.En se basant sur la consommation ou un DPE sur facture, on rénove en priorité les logements qui consomment le plus.Le choix entre ces alternatives est politique par nature, et il n’est présenté ici que de manière simplifiée et comme une expérience de pensée. Notamment le DPE est certes utilisé dans plusieurs domaines et notamment l’identification des passoires thermiques, mais les travaux de rénovation sont précédés d’un audit énergétique qui obéit à des règles différentes et est beaucoup plus précis.De nombreuses autres variables entrent en compte comme le confort des occupants, les possibilités de fraude, la qualité des DPE 3CL, les autres usages résidentiels de l’énergie comme le chauffage des piscines ou le rechargement des véhicules électriques.En conclusionHello Watt, par sa position, a la chance d’avoir accès simultanément aux données de consommation et DPE pour un grand nombre de logements, mais leur jeu de données peut comporter des biais difficiles à quantifier. Comme relevé par Libération, leur échantillon n’est pas représentatif de la population, par exemple il se compose uniquement de logements ayant réalisé un DPE récemment, et on peut supposer que les utilisateurs de l’application Hello Watt sont plus soucieux de leur consommation énergétique. Cette base de données contient peut-être également moins de résidences secondaires qu’attendu, ce qui pourrait biaiser les résultats.Même en supposant que cet échantillon n’est pas biaisé, le lien entre performance du logement et consommation est complexe, donc beaucoup de phénomènes pourraient expliquer la disparité entre DPE et consommation, aussi bien pour les logements individuels qu’en moyenne.Divers acteurs analysent chaque composante de cette chaîne, des propriétés des matériaux isolants à l’influence des rénovations sur le comportement (effet rebond) en passant par la répétabilité des diagnostics.Il est dans l’intérêt de notre planète et dans notre intérêt à tous, Hello Watt, particuliers, diagnostiqueurs et pouvoirs publics d’agir sur les variables qui sont à notre portée :Améliorer l’information aux usagers sur leur consommation réelle et futureInciter à améliorer le confort des logements et réduire leur consommationMaximiser la fiabilité des diagnosticsLutter contre la précarité énergétique
Il y a 2 ans et 132 jours

Holcim acquiert l’Italien Nicem

L’italien Nicem intègre le groupe cimentier Holcim. [©Holcim] Holcim a acquis Nicem, spécialiste du carbonate de calcium (CaCO3) moulu, basé près de Bergame, en Italie du Nord. Le carbonate de calcium ou calcite est une matière première très polyvalente et à faible teneur en carbone utilisée pour un large éventail d’applications. En particulier dans les secteurs de la construction, du plastique, du caoutchouc et de la peinture. Lire aussi&nbsp;: Holcim France acquiert Chrono Chape « Nicem complète nos activités existantes et nous permet de tirer davantage parti de notre expertise en matière de formulations vertes. Cela ouvre une nouvelle source de matériaux alternatifs pour décarboner nos bétons prêts à l’emploi&nbsp;», indique Miljan Gutovic, responsable régional Europe d’Holcim. Comme Chrono Chape, racheté début janvier 2023, l’acquisition de Nicem fait progresser la “Stratégie 2025 &#8211; Accélérer la croissance verte” du groupe cimentier suisse (maison-mère de Lafarge). Et va permettre d’alimenter les activités de granulats et de béton prêt à l&#8217;emploi en matière première alternative. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 138 jours

Deux nouvelles finitions huilées Bois Naturel et Amande pour la collection de parquets Diva de Panaget

Huile Bois naturel est l’équivalent de son best-seller Bois flotté (vernis mat) en finition huilée. Les nuances de bois sont mises en valeur pour signer l’authenticité du parquet et offrir des sols encore plus naturels. Avec la finition Amande, au nom évocateur de douceur et de raffinement, les singularités du bois sont sublimées par une patine naturelle et un veinage légèrement blanchi. Focus sur ces nouveautés dont les déclinaisons du bois créent des décorations stylées et apaisantes.La finition Huile Bois naturel totalement en phase avec notre époqueEn France, les clients de la côte atlantique férus de la finition Bois Flotté demandaient une version huilée pour des effets de matière encore plus naturels et pour une meilleure réparabilité (micro-rayures liées au sable par exemple). À l’export et plus précisément en Suisse et en l’Allemagne, où la consommation en parquet huilé est plus importante qu’en France, les clients exprimaient le souhait de disposer d’une huile « invisible » afin de jouer sur toutes les singularités du bois : fentes, veinages et nervures. C’est chose faite puisque Huile Bois naturel, une nouvelle exclusivité Panaget, offre assurément un support idéal à toutes les idées d’ambiances.La finition Amande : pour une intimité retrouvée à la maisonCette coloration huilée légèrement blanchie, discrète et subtile, capte la lumière, sans brillance, et donne de l’ampleur au volume tout en procurant une indéniable sensation de confort. Pour un art de vivre chaleureux et authentique, rien de tel que les charmes naturels du chêne combinés à la nouvelle finition Amande. C’est un bel exemple d’innovation. Et c’est surtout le résultat d’un savoir-faire acquis depuis plus de 90 ans par la Maison Panaget !Entretenir et rénover son parquetLa finition huilée Panaget, qui conserve tout l’aspect naturel du bois, est obtenue grâce à une huile d’imprégnation ; sa formulation offre une protection efficace et durable du parquet aussi bien contre les rayures et les abrasions que les taches et les salissures.Facile d’entretien, il suffit d’un simple passage au savon sur les zones sollicitées pour que le parquet retrouve tout son éclat. Afin de garantir l’aspect esthétique du parquet dans le temps, il est très important d’adapter l’entretien à son utilisation et de respecter les précautions d’entretien.Caractéristiques techniquesAMANDE est proposée en :Chêne Zenitude Amande, Diva 139 12 ClicChêne Zenitude Amande, Diva 184 14 RLHUILE BOIS NATUREL est proposée en :Chêne Authentique Huile Bois naturel, Diva 184 12 ClicChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 184 14 RLChêne Zenitude Huile Bois naturel, Diva 139 12 Clic
Il y a 2 ans et 147 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer

Pour fischer la RSE est bien au cœur des investissements. Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation la responsabilité le sérieux. Véritable philosophie du groupe elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale initiée depuis plus de 60 ans cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentauxLe bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires - clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources. 85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes. Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique. En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés.Gestion de l’énergie et des émissionsPour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques, fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité. Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées. L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques... Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production Des produits responsablesDu choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising, fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables. Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables. La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables. fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum. Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable.La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle.Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment.Parmi les dernières innovations :La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton.La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand.Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling).La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.
Il y a 2 ans et 152 jours

RSE : Une démarche au cœur de la stratégie du groupe fischer 

« La durabilité associe des aspects tels que la protection de l’environnement, la technologie et l’innovation ainsi que la réussite économique et la responsabilité sociale. Chez fischer, nous considérons cette interaction comme un défi pour vivre, travailler et prospérer en accord avec la nature. »Professeur Klaus Fischer – Propriétaire du groupe d’entreprises fischer  ©fischer Respect de l’environnement, bien-être des collaborateurs ou encore pérennité financière sont des défis quotidiens pour les entreprises. La RSE guide les investissements tant elle pousse à inscrire le développement économique dans une démarche environnementale et sociale. Pour fischer, la RSE est bien au cœur des investissements.&nbsp;Groupe international avec 50 filiales dans plus de 30 pays, fischer partage et porte des valeurs communes qui sont l’innovation, la responsabilité, le sérieux. Véritable philosophie du groupe, elles sont le pilier de sa démarche RSE. Menée par une approche environnementale, initiée depuis plus de 60 ans, cette démarche est aujourd’hui globale et solidement ancrée dans le quotidien de l’entreprise. Elle s’articule autour de 7 principes fondamentaux.&nbsp; Le développement durable chez fischer, une histoire qui dure «&nbsp;Pour une entreprise, le développement durable est une action responsable qui vise la réussite économique à long terme en accord avec l’environnement et la société. »&nbsp;Devise fischer&nbsp; Une démarche RSE déclinée en 7 principes fondamentaux &#8211; Le bien-être des collaborateursfischer a toujours accordé une grande importance au bien-être et à la motivation de ses collaborateurs. Inspirer les personnes, apporter une qualité de vie au travail, et donner les valeurs et les outils pour atteindre au mieux les objectifs fixés : ce sont les facteurs clés de la réussite de l’entreprise familiale. Pour contribuer à l’épanouissement des salariés et à l’amélioration des conditions de travail, fischer met à leur disposition des salles de pause et de sport, des mesures pour les protéger et limiter les risques d’accidents au travail, des formations…&#8211; L’avis des parties prenantesEn étroite collaboration avec ses partenaires &#8211; clients, revendeurs, distributeurs, fournisseurs, représentants de groupements, associations ou encore organisations – fischer est attentif aux suggestions et aux besoins de ces parties prenantes. Leurs recommandations permettent à l’entreprise de s’améliorer continuellement et de faire évoluer ses activités.&#8211; Des ressources préservéesLe groupe fischer ne cesse de perfectionner la gestion de ses ressources.&nbsp;85% de ses produits sont fabriqués au sein de l’Union Européenne, dont 48% proviennent des usines allemandes.&nbsp;Soucieux de limiter l’impact de ses produits sur l’environnement, fischer valorise près de 100% des déchets issus de la production de chevilles en plastique.&nbsp;En 2021, 99,99% des 2 791 tonnes de déchets produits ont été recyclés.&nbsp;Autre mesure, sur le site de production en Allemagne, l’eau de source est utilisée pour le refroidissement indirect des installations de production et l’arrosage des espaces verts.&nbsp; ©Fischer &#8211; Gestion de l’énergie et des émissionsL’efficacité énergétique et la réduction des émissions (CO2, sonores, polluantes) sont au cœur de la stratégie de développement durable de fischer.Pour évaluer et améliorer ses performances environnementales, et minimiser les risques,&nbsp;fischer est conforme aux normes ISO 14001 pour le Système de management environnemental, ISO 50001 pour le Système de management de l’énergie et ISO 9001 pour le Système de management de la qualité.&nbsp;Afin d’augmenter l’efficience énergétique d’au moins 1,5% par an, ses installations de production sont continuellement modernisées.&nbsp;Les éclairages conventionnels sont substitués par la technologie LED, les systèmes de ventilation, de pompage et de production sont remplacés par des systèmes plus performants…&nbsp;L’entreprise souhaite également augmenter le pourcentage d’énergie produite en interne via l’installation de ses propres centrales de production, des panneaux photovoltaïques&#8230;&nbsp;Depuis 2018, tous les sites allemands sont alimentés en électricité verte, qui provient entièrement de centrales utilisant des sources d’énergie renouvelables.Par ailleurs, fischer veille a ce que les émissions de CO2 soient maitrisées et augmentent moins fortement que le volume de production.Enfin, les émissions sonores des usines de production ainsi que les émissions de substances polluantes, via les ventilations, sont rigoureusement analysées afin de ne pas nuire à l’environnement et aux zones résidentielles avoisinantes.&nbsp;&#8211; Des produits responsablesSelon les idées du concept japonais Kaizen (amélioration continue), le groupe fischer a développé une philosophie visant à améliorer les procédures de l’entreprise et à éviter le gaspillage.&nbsp;La conception de chaque produit fischer suit ainsi ce processus afin d’apporter aux utilisateurs la meilleure solution d’ancrage en termes de qualité et d’usage.&nbsp;Du choix des matières premières à la fin de vie des produits en passant par la fabrication, le conditionnement et le merchandising,&nbsp;fischer porte une attention particulière sur le cycle de vie de ses solutions de fixation pour les rendre plus responsables.&nbsp;Les matières premières et les moyens de production mis en place doivent répondre aux exigences de recyclage et de gestion des déchets.Pour la conception de ses produits, le groupe recherche des solutions qui peuvent valoriser des matériaux durables.&nbsp;La gamme Greenline en est le parfait exemple. Elle est la première gamme de fixation au monde fabriquée à partir de matières premières renouvelables.&nbsp;fischer cherche également à limiter l’impact de ses produits sur l’environnement et sur l’Homme en développant&nbsp;des formulations sans substances nocives comme la résine d’injection FIS V Zero.Outre la formulation des produits, fischer s’est engagé à modifier les emballages de ses produits afin qu’ils soient respectueux de l’environnement et recyclables au maximum.&nbsp;Le carton utilisé pour les boîtes et les blisters est recyclé jusqu’à 98% et recyclable. Pour l’implantation en magasin, fischer accorde une attention aux matériaux qu’il utilise. Les matières plastiques et le PVC sont délaissés progressivement pour des outils à base de carton ou de PVC recyclé, qui ne comportent pas d’encres solvantées.&#8211; La formation Prospère et en pleine croissance, le groupe fischer comptait plus de 5 400 collaborateurs fin 2021. Il soutient activement le développement professionnel et personnel de ses collaborateurs, et ce de nombreuses façons. Des programmes de formation interne préparent les managers de demain, et soutiennent les collaborateurs qui souhaitent acquérir ou parfaire des compétences techniques. Des formations continues sont proposées aux apprentis et aux étudiants qui recherchent une expérience professionnelle. ©Fischer &#8211; Des innovations constantesAvec plus de 14 000 références, l’offre fischer couvre l’ensemble des besoins des professionnels comme des particuliers : solutions de fixation métalliques, chimiques, nylon, sanitaires, isolants, visserie et accessoires, forets, coupe-feu, techniques de supportage, inserts pour A|C|T, systèmes de rails insert, chimie du bâtiment ou encore outils électriques.  Avec plus 1 500 brevets déposés, l’entreprise a su, grâce à son savoir-faire et à sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références et devenir un acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation. Les produits fischer sont utilisés dans la vie courante des bricoleurs comme sur les chantiers des artisans et des professionnels du bâtiment, c’est pourquoi fischer œuvre en permanence à l’amélioration de la qualité de ses produits. Parmi les dernières innovations :&#8211; La FIS V Plus : 1ère résine universelle agréé 100 ans dans le béton. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.&#8211; La FIS V Zero : 1ère résine exempte de substances nocives (peroxyde de benzoyle) plus respectueuse de l’Homme et l’environnement. Universelle, polyvalente et aussi performante qu’une résine traditionnelle, elle dispose de nombreuses ETE.&#8211; La gamme DuoLine : avec les chevilles multi-matériaux DuoPower, à bascule DuoTec, autoforeuse DuoBlade, étanche DuoSeal et rallongée DuoXpand, qui regroupent les meilleures caractéristiques techniques pour couvrir un large champ d’application. &#8211; Le système de rails insert : une nouvelle génération qui intègre le processus BIM (Building Information Modeling). Disposant d’une ETE-18/0862 (Evaluation Technique Européenne) dans le béton fissuré, ce système de fixation complet, composé de rails et de tiges d’ancrage prémontés en usine, offre une grande souplesse d’utilisation et un réel gain de temps de pose. La recherche de performanceL’obtention de prix est un important indicateur de performance pour le groupe fischer. Parmi les dernières récompenses, fischer a reçu le « Prix allemand de la durabilité 2020 », le « Trophée de l’Innovation LSA » en 2021 pour la FIS V Zero, et le « Plus X Award » 2022, le plus grand prix d’innovation au monde dans le domaine de la technologie, du sport et du style de vie.  https://www.fischer.fr/fr-fr
Il y a 2 ans et 160 jours

Lafarge La Malle malmenée par des militants écologistes

La cimenterie Lafarge de La Malle (13) a été victime d’une attaque opérée par des militants écologistes. [©Holcim]. Samedi 10 décembre 2022, la cimenterie de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), a été victime d’une attaque opérée par des militants écologistes. Ceux-ci reprochent l’impact sur le climat de cette usine. De son côté, Lafarge fait part de son incompréhension&nbsp;: «&nbsp;S’attaquer au leader de la décarbonation des matériaux de construction revient à attaquer tous les acteurs de l’industrie mobilisés dans notre pays en faveur de la transition écologique, déclare Loïc Leuliette, porte-parole de Lafarge. A l’heure de la réindustrialisation de la France, cette attaque est d’autant plus regrettable au regard de l’implication de notre entreprise dans les territoires. » Un site exemplaire en matière de transition écologique Lire aussi&nbsp;: L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse En effet, le site de La Malle Bouc-Bel-Air du groupe Lafarge est un modèle français et européen dans la production de matériaux de construction bas carbone. A l’heure actuelle, il mène deux projets lauréats du fonds décarbonation de France Relance. Tout d’abord, la “Formulation bas carbone”, qui vise à la production pérenne de l’argile calcinée pour des ciments innovants et bas carbone. Ensuite, “l’Energie décarbonée”, qui est un atelier de traitement pour le recyclage de biomasse issue de “fines de bois”. Cette ressource est ensuite utilisée comme combustibles alternatifs décarbonés pour les opérations de production. Le Sfic au soutien de Lafarge Pour sa part, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) a apporté son soutien à Lafarge. Il a dénoncé l’attaque avant de rappeler l’importance de l’industrie cimentière pour l’économie circulaire. Chaque année, ce sont plus de 1,5 Mt de déchets qui sont valorisés dans les 25 cimenteries françaises. Et quelque 1,8 Mt de CO2 d’origine fossile sont ainsi économisés. L’industrie cimentière française représente 25 000 emplois, le plus souvent locaux. Le Sfic met en lumière les efforts fournis par la filière en matière de transition écologique. Il a assuré son soutien à tous ses adhérents, dont l’usine de La Malle fait partie. De son côté, Lafarge a déposé une plainte. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 162 jours

Sika Mix&Cast, l’adjuvantation des bétons préfabriqués

Sika Mix&Cast combine l’utilisation de 3 adjuvants, seuls ou en synergie. [©Sika] Sika a développé un nouveau concept d’adjuvantation sur mesure à destination des bétons préfabriqués. Son nom&nbsp;? Sika Mix&Cast. Cette solution combine l’utilisation de 3 adjuvants, seuls ou en synergie. A savoir, le réducteur d’eau Sika Viscocrete 1000 Kronocast, le régulateur de l’ouvrabilité Sika Viscocrete 500 Flowcast et l’accélération de la prise. Cette adjuvantation sur mesure permet d’adapter le béton à toutes les formulations mises en œuvre en usines de préfabrication. Et de répondre aux défis actuels de la filière. A savoir, la conception de bétons bas carbone, l’emploi de matériaux locaux ou issus du recyclage, et l’adaptation à la saisonnalité. Ce concept garantit une flexibilité permanente face aux multiples besoins et usages, tout en assurant une facilité de mise en œuvre et une optimisation des process. Lire aussi&nbsp;: Avec Mix&Flow, Sika réinvente l’adjuvantation du béton Trois adjuvants adaptés à tous les domaines d’application Grâce à son agilité, Sika Mix&Cast permet la fabrication de bétons bas carbone, en travaillant avec les multiples ciments contenant moins de clinker. Tels que les CEM II, CEM III, CEM IV, CEM VI. Résultats&nbsp;? Une réduction de près de 50 % de l’impact CO2/m3. La nouvelle nouvelle offre Sika est tout à fait adapté pour la fabrication des bétons fluides et auto-plaçants. Ou à la préfabrication d’éléments à façon, d’escaliers, de panneaux de façade, de poutres, de prémurs… Enfin, elle optimise les temps d’étuvage. Le principe d’adjuvantation sur mesure est aussi compatible avec l’économie circulaire, en compensant les problématiques liées à la variation des matériaux entrant dans la composition du béton. Sika Mix&Cast &nbsp;facilite ainsi l’utilisation de granulats locaux ou recyclés et ceux à forte teneur en argile. Enfin, elle apporte une réponse aux besoins essentiels de la préfabrication en béton : la prise en compte de la saisonnalité, en assurant une plage forte de variations de température en été (régulation de l’ouvrabilité) et en hiver (accélération de la prise). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux&nbsp;!
Il y a 2 ans et 169 jours

FIS V Zero, la première résine sans substances nocives ! fischer France engagé avec EcoTree dans le reboisement des forêts françaises dans le cadre d’une campagne inédite 

Depuis plus de 60 ans, fischer parfait sa démarche environnementale à bien des niveaux car limiter l’impact des produits utilisés dans l’industrie, la construction, la décoration&#8230; sur l’environnement et la santé des utilisateurs est une vraie nécessité. En tant que pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point la première résine sans substances nocives :&nbsp; FIS V Zero.Avec une formule chimique brevetée, sans peroxyde de benzoyle, la FIS V Zero est plus respectueuse de l’homme et de l’environnement. Puisqu’aucune substance dangereuse n’entre dans sa composition, elle est exempte de pictogrammes de danger et de fiche de données de sécurité. De plus, les cartouches usagées peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Au cours du premier semestre, pour soutenir le lancement de la résine sans substances nocives FIS V Zero et accentuer son engagement en faveur de l’environnement et du développement durable, fischer s’est associé à EcoTree et Papier Ensemencé. Ces partenariats inédits, avec des acteurs qui œuvrent pour l’environnement et dont les missions sont vertueuses, prennent tout leur sens avec la résine FIS V Zero fischer.&nbsp; SOUTENIR DES DÉMARCHES ENVIRONNEMENTALES VERTUEUSESActeur français engagé, EcoTree œuvre à la préservation et à la valorisation des forêts françaises ainsi qu’à la protection de la biodiversité. fischer s’est engagé à ses côtés pour participer au reboisement.Ainsi, en achetant la résine FIS V Zero, les utilisateurs ont contribué au reboisement de forêts françaises, gérées par EcoTree. Ce sont 2000 arbres, 1000 pins maritimes et 1000 chênes sessiles dits « chênes noirs », qui ont été plantés dans la forêt de Berné (Morbihan).Fidèle à sa démarche de développement durable, fischer a souhaité faire évoluer ses supports de communication, favorisant des matériaux recyclés, recyclables et biodégradables, en s’associant à Papier Ensemencé, une start-up qui conçoit des solutions de communication éco-responsables.&nbsp;Aussi, pour promouvoir l’opération sur la résine FIS V Zero, ancrée dans une démarche environnementale, fischer a opté pour un flyer ensemencé, 100% biodégradable. Une fois le flyer humidifié et planté, les graines qu’il renferme donnent naissance à de belles fleurs des champs. Véritable alternative au recyclage, le papier ensemencé est l’illustration parfaite du zéro déchet !À travers cette belle opération FIS V Zero et l’aide des nombreux distributeurs partenaires, fischer a mis en exergue l’art de mixer innovation et environnement. Des partenariats vertueux que l’entreprise entend bien renouveler. FIS V Zero : PLUS RESPECTUEUSE DE L’HOMME ET DE L’ENVIRONNEMENT Innovante, la résine FIS V Zero fischer est exempte de peroxyde de benzoyle, une substance couramment utilisée dans les scellements chimiques et classée comme allergisante, irritante pour les yeux et dangereuse pour l’environnement.&nbsp;fischer a remplacé ce composé par des substances plus respectueuses de l’environnement et un nouveau procédé de durcissement breveté.Grâce à cette formulation classée A+, la résine répond aux exigences les plus élevées pour maintenir une bonne qualité de l’air intérieur avec de faibles émissions de COV (Composés Organiques Volatils) comme le confirme le certificat Eurofins Indoor Air Comfort Gold, ce qui la rend idéale pour une utilisation dans des pièces fermées.UNE RÉSINE POLYVALENTELa résine FIS V Zero fischer convient à toutes les applications de fixation chimique courantes dans le domaine du bâtiment comme du bricolage.&nbsp;Elle permet le scellement de fers à béton, la fixation de garde-corps, de stores bannes, de mains- courantes, d’éléments de charpente, de constructions métalliques, d’équipements de jardins, de cuisines et de sanitaires&#8230; et est&nbsp;agréée pour tous les matériaux de construction&nbsp;(brique pleine, brique pleine silico-calcaire, bloc creux en béton léger, maçonnerie creuse&#8230;).&nbsp;Avec la FIS V Zero, l’ancrage se fait sans contrainte d’expansion, ce qui permet des distances aux bords et des entraxes réduits.&nbsp; D’une résistance au feu R120, elle dispose d’ETE pour béton fissuré et non-fissuré, maçonnerie creuse et pleine et reprise de fers à béton.Flexible, cette résine d’injection peut être utilisée tout l’année sur les chantiers, dans des trous de forage inondés et par des températures de -10°C à 40°C. Son temps de durcissement est de 60 minutes à une température de 22 °C.PLUS DE CONTRAINTE DE RECYCLAGE ET DE STOCKAGE&nbsp;Pratiques, que l’on soit professionnel du bâtiment ou particulier,&nbsp;les cartouches usagées de la FIS V Zero peuvent être jetées avec les déchets ménagers habituels.Et, puisqu’aucune substance nocive n’entre dans sa composition,&nbsp;elle est la seule résine à être exempte de pictogrammes de danger sur l’étiquette et de fiche de données de sécurité, ce qui lève les contraintes de logistique et de stockage liées aux produits chimiques.&nbsp;Comme les autres scellements d’injection, la FIS V Zero s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’extrusion du produit, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Les cartouches ouvertes peuvent être réutilisées. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 178 jours

Béton pratique : Comment rénover des bétons patrimoniaux ?

L’une des premières étapes est la purge des bétons à traiter, comme ici sur la maison Jaoul de Neuilly-sur-Seine. [©Novbéton] 1&nbsp;&#8211; Quelles sont les différentes problématiques, dont peuvent souffrir les bétons esthétiques à travers le temps&nbsp;? Comment les identifier&nbsp;? &nbsp;Les bétons esthétiques, ou bétons apparents, sur lesquels il est nécessaire d’intervenir sont le plus souvent des bétons d’extérieur. Ils souffrent donc de pollution et d’encrassement. La teinte s’altère et devient terne. C’est un problème assez classique qu’il convient de reprendre par des techniques de maçonnerie traditionnelle. La principale cause de dégradation des bétons reste la corrosion des armatures. Les fers se corrodent au contact de l’air et de l’eau. Ils augmentent de volume et font éclater le béton. Il peut y avoir plusieurs causes à ce phénomène : la carbonatation qui conduit à une variation de pH du béton, les chlorures, les sulfates… Enfin, la fabrication du béton en elle-même peut être la source du problème. Si les matériaux ne sont pas utilisés à bon escient, cela peut provoquer l’apparition d’ettringite, qui finit par dégrader la résistance et la tenue du béton. Le savoir-faire dans l’utilisation du béton reste aussi très spécifique. Des défauts de mise en œuvre conduiraient à un vieillissement prématuré des bétons. 2 &#8211; Quelles sont les étapes préparatoires avant une intervention sur un béton à restaurer ? Lors de la purge, les armatures doivent être mises entièrement à nue, comme ici au Raincy sur le projet de l’église Notre-Dame-de-la-Consolation. [©Novbéton] a &#8211; La première étape, c’est le diagnostic. Celui-ci doit être réalisé à l’initiative du maître d’ouvrage, sous la direction d’un maître d’œuvre et d’un laboratoire spécialisé. Il faut caractériser le béton, sur un plan physique et sur un plan chimique. Il faut chercher à identifier sa formulation, son paramétrage chimique et dans quel état global il se trouve. Une cartographie de l’ouvrage est aussi à prévoir, afin de comprendre la logique du bâtiment, l’ampleur des dégâts et son état sanitaire général. Bien entendu, il s’agit là d’une étape très importante. En général, le laboratoire en charge du diagnostic émet des préconisations, utiles pour l’entreprise qui va réaliser les réparations. b &#8211; Une phase de recherche historique dans les archives peut venir compléter le diagnostic sur le terrain. Il s’agit alors de déterminer l’époque de la construction et la technique de mise en œuvre des bétons. Mais aussi de déterminer si le bâtiment a pu changer de destination au cours de son histoire. Cela peut orienter les actions des restaurateurs et aider à la compréhension de l’ouvrage. c &#8211; Vient ensuite la phase de recherche faite par l’entreprise de restauration. Il s’agit de déterminer la quantité de ciment à incorporer, de déterminer la carrière d’origine des granulats, afin de reformuler le béton le plus proche possible de celui de l’époque de construction. En particulier, en termes de teinte et de caractéristiques mécaniques. Enfin, des tests sont effectués pour trouver le geste de finition ou l’éventuelle forme du coffrage. Environ deux mois de mise au point sont souvent nécessaires. &nbsp;3&nbsp;&#8211; Comment intervenir sur ces bétons ? Quelles sont les techniques utilisées&nbsp;? Et l’outillage&nbsp;? L’entreprise cherche à rendre son intervention la moins visible possible, comme sur ce projet des Pierres Levées, à Meudon. [©Hervé Abbadie] a &#8211; Pour le nettoyage des façades et des parements, une campagne de tests est mise en place pour déterminer la meilleure technique à adopter. Parfois, un nettoyeur haute pression est utilisé, mais il peut apporter de nouvelles dégradations avec l’utilisation de l’eau.&nbsp; b &#8211; L’hydrogommage est souvent préconisé. Il s’agit de projeter du sable sous haute pression dans le but d’ôter par abrasion l’encrassement du support. Dans le même ordre d’idées, la cryogénie permet de propulser des pellets de gaz carbonique, qui éclatent au contact du parement et décollent l’encrassement, en produisant peu de poussières. Enfin, des produits nettoyants sous forme de cataplasmes ou de compresses peuvent dissoudre et absorber les encrassements de surface. c &#8211; Les réparations débutent par la phase de purge. Tous les éclats de béton doivent être éliminés. Toutes les zones fissurées doivent être purgées, jusqu’à retrouver des armatures saines. Ce qui peut correspondre à une large zone. L’armature malade doit être entièrement mise à nue. Ceci, à l’aide de moyens matériels appropriés&#8230; d &#8211; Pour traiter au mieux le problème de corrosion, il convient d’avoir une approche globale et générale sur l’ensemble de l’ouvrage. L’une des solutions que nous utilisons consiste à appliquer un inhibiteur de corrosion sur l’ensemble de la façade. Par capillarité, la molécule va migrer dans le béton jusqu’à atteindre les armatures et les protéger de la corrosion dans leur globalité. En fonction des pathologies diagnostiquées sur l’ouvrage, peuvent aussi intervenir la protection cathodique, la réalcalinisation ou la déchloruration. e &#8211; La zone purgée est ensuite reprise à l’aide d’un mortier traditionnel formulé par nos soins, afin qu’il ne laisse le moins de traces possible de l’intervention. &nbsp;4&nbsp;&#8211; Comment rendre l’intervention invisible ? Le maçon cherche à retrouver les mêmes traces de coffrage. [©Novbéton] &nbsp;Outre le fait d’approcher la formulation des bétons de réparation au plus près des bétons originels à traiter, il faut trouver la bonne technique de mise en œuvre, en fonction du support existant. Celle-ci se fait parfois par coulage à l’aide d’un coffrage spécifique. Mais dans la majorité des cas, la mise en œuvre se fait à la main, à l’aide d’une truelle. Il s’agit là du savoir-faire traditionnel du maçon. Il est capable de retrouver les gestes de ceux qui l’ont précédé pour “fondre” la réparation dans le reste de la construction. Chaque chantier étant unique, là encore, une série de tests est souvent nécessaire. &nbsp;5&nbsp;&#8211; Quelles sont vos préconisations pour la protection des bétons ?&nbsp; Une longue étude de formulation des bétons est nécessaire pour retrouver les mêmes teintes. [©Novbéton] &nbsp;Parfois, une solution hydrofuge, réversible, peut-être appliquée. Mais sa durée est limitée dans le temps. L’idée est de protéger les bétons de l’accumulation d’eau, paramètre accélérant la corrosion. Dans les faits, il n’y a pas grand-chose à faire pour protéger des bétons qui ont déjà été restaurés. Pour en savoir plus sur la restauration des bétons, retrouvez le guide “Les bétons du patrimoine”, rédigé par le GMH, 30€. Novbéton en bref Novbéton est une marque du groupe Aurige, créée par Lefèvre Rénovation et Rénofors, deux acteurs majeurs de la restauration du patrimoine et des Monuments historiques, en France. En mettant en commun leurs domaines d’expertise, les entreprises ont donné naissance à cette marque spécialisée dans la restauration et la préservation du patrimoine architectural français du XXe siècle. Essentiellement issu de l’architecture et de la construction en béton. Sujet réalisé en collaboration avec Louis-Marie Sevez d’Alzon, ingénieur d’affaires pour Novbéton
Il y a 2 ans et 178 jours

Alpes-Maritimes : Lizée devient partenaire Ecopact

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Près de 6 000 m3 de béton bas carbone EcoPact ont été nécessaires pour ce bâtiment de 66 logements sociaux. [©Lafarge] Afin de mener la transition écologique dans le secteur des matériaux de construction, l’entreprise Lizée devient partenaire EcoPact. Ainsi, son premier chantier 100 % béton bas carbone a vu le jour avec l’agence Lafarge Bétons Côte d’Azur. Classé niveau argent dans le cadre de la démarche régionale Bâtiment Durable Méditerranéen (BDM), le chantier de la Closerie, à Antibes, garantit un niveau de qualité environnementale aux constructions. Lire aussi : Gironde : Un projet bordelais en EcoPact de Lafarge Avec ce projet, le cap de 150 000 m3 de bétonEcoPact est franchi, moins de deux ans après le lancement de cette gamme. «&nbsp;Nous avons bénéficié d’un accompagnement total des équipes de Lafarge Bétons depuis la formulation, les tests jusqu’au coulage des bétons EcoPact qui nous ont permis d’économiser plus de 460 t de CO2, se réjouit Dylan Szafranek, conducteur de travaux de Lizée. Il était nécessaire pour notre entreprise de s’engager progressivement dans la nouvelle RE 2020, où la diminution des émissions de C02 devient une des exigences clefs.&nbsp;» La signature de ce nouveau partenariat avec un acteur local confirme l’approche stratégique développée de Lafarge Bétons. A savoir, de proposer un accompagnement complet aux entreprises qui souhaitent accélérer la transition vers une construction décarbonée. Avec l’entreprise Lizée, c’est la région des Alpes-Maritimes qui va désormais bénéficier de ces nouvelles solutions. Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 179 jours

Embellir et simplifier la peinture acrylique... Quand la magie de la technique opère

Floetrol et Aussie-TrolDe la facilité de glisse, à la démultiplication des possibilités déco jusqu’au travail d‘un artiste, quand les caractéristiques d’une peinture déterminent tous ses usages ! Il suffit parfois d’un détail pour transformer un travail laborieux et fastidieux aux résultats inégaux en une action simplifiée aux bénéfices immédiats !Phase aqueuse - précisions : Toutes les peintures n’ont pas la même qualité et lorsque l’on travaille avec de la peinture phase aqueuse, on peut se retrouver confronté à diverses difficultés.La texture peut être collante, difficile à appliquer, avec un temps d’ouverture souvent réduit compliquant son application.Le tendu est également tributaire de la viscosité et peut générer un résultat avec des imperfections inesthétiques.Travailler sur la viscosité, lors de travaux de peinture en phase aqueuse, est l’un des facteurs qui permet d’améliorer immédiatement l’application et le rendu et de multiplier les possibilités de résultats (faux finishing, effet essuyé ...).Durieu avec sa gamme Owatrol met son savoir-faire au service de l’innovation et propose deux produits dont les formulations chamboulent le travail de la peinture des professionnels aux particuliers en passant par les artistes !FLOETROL grâce à sa composition ultra technique allège et facilite toutes les applications en phase aqueuse et AUSSIE-TROL avec une formule dédiée aux artistes du pouring, permet d’obtenir des résultats spectaculaires.Floetrol : un additif dédié aux peintures acryliques : indispensable ! Pourquoi ?Il ajuste la viscosité de la peinture et facilite son application en particulier par temps sec, chaud ou venteux.Il augmente le temps d’ouverture en retardant la prise des peintures, et limite ainsi les traces de reprises. Les effets de pommelage sont largement limités grâce à un meilleur tendu : c’est le partenaire idéal pour les plafonds.Il permet d’obtenir une excellente glisse avec une très bonne brossabilité qui garantit un film plus régulier et donc un très beau rendu.Il simplifie le travail au pistolet car la projection est plus régulière et la qualité de finition meilleure : le FLOETROL lubrifie la buse et permet d’éviter les projections irrégulières inesthétiques.Le plus : Déco à l’infini : Grâce à la fluidité obtenue et l’excellente glisse, tous les effets déco possibles, du faux finishing en passant par l’effet essuyé et même le street art industriel ! Les travaux minutieux et les surfaces non planes (type rechampi ou encadrement de moulure …) sont aussi facilités et améliorés.Aussie-Trol : partenaire des artistes du pouring !Le pouring c’est cette technique qui permet de réaliser avec de la peinture acrylique et des additifs spéciaux, de belles œuvres artistiques sur toile en créant des décors multicolores superposés. Le principe repose sur le fait que les couleurs ne se mélangent pas entre elles mais se diffusent en se superposant pour donner un effet de cellules multicolores et créer la dynamique du tableau. Pour obtenir ces effets cellulaires il faut utiliser un additif qui permet à chaque couleur de garder son identité sans se mélanger aux autres. AUSSIE-TROL offre une solution unique pour augmenter l’effet cellulaire et créer un décor unique extrêmement original.Comment ? Il suffit de l’additionner à chaque couleur avec un rapport de 1 part de peinture pour 4 parts d’AUSSIE-TROL (rapport conseillé) et ensuite d’appliquer la technique du pouring pour créer son œuvre !La peinture à l'eau et Owatrol : qualité, simplicité, efficacité, unicité ! Floetrol et Aussie-Trol, des additifs qui changent le travail et les effets artistiques !
Il y a 2 ans et 180 jours

Cem’In’Eu, sur le point de lancer deux ciments bas carbone

Cem’In’Eu produits des ciments pouzzolaniques bas carbone à partir de son usine Rhône Ciments [©ACPresse] Cem’in’Eu annonce la mise sur le marché des ciments bas carbone à base de pouzzolane. Ces CEM II/B-M (P-LL) 42,5 R et un CEM II/C-M (P-LL) 42,5 R – les premiers proposés par l’industriel – devraient être commercialisés au cours du 1er trimestre 2023, à partir de l’usine Rhône Ciments, située dans la Drôme. Les essais en laboratoire, industriels et en application ont, en effet, été réalisés avec succès. Comme pour l’ensemble de son offre, Cem’In’Eu poursuivra sa politique de certification exigeante. Ainsi, le marquage CE et la marque NF, pour ces deux produits, sont attendus d’ici la fin de l’année. Les nouveaux CEM II/B-M et un CEM II/C-M s’inscrivent pleinement dans la démarche de réduction de l’empreinte carbone de Cem’In’Eu. Démarche que mène l’industriel depuis sa création en 2014, avec la mise en place d’une logistique multi-modale, maritime, fluviale et ferroviaire. Ce choix permet de réduire au maximum les émissions de CO2 liées à la logistique. Lire aussi : Rhône Ciments monte en puissance Une production de 300 000 t de ciments bas carbone Dans cette même logique de bas carbone, les nouveaux ciments intègrent un taux de clinker ramené à 30 % ou 50 %, selon leur formulation. Le CEM II/B-M (P-LL) 42,5 R sera dédié à l’offre “vrac”, tandis que le CEM II/C-M (P-LL) 42,5 R ne sera disponible qu’en sacs. Lire aussi : Aliénor Ciments, le principe de la proximité Pour en assurer la production, Cem’In’Eu a sécurisé son approvisionnement de pouzzolane, via un contrat à long terme. Ainsi, le risque d’une rupture de la chaîne logistique est réduit au minimum. Ce sont donc 300 000 t de ciments bas carbone qui devraient être produites sur les quatre prochaines années. Pour lancer ce programme ambitieux, des investissements ont été réalisés, afin d’adapter l’outil industriel de Rhône Ciments. Telle, la commande d’équipements spécifiques indispensables à cette nouvelle production. La Caisse d’Epargne Loire Drôme Ardèche, acteur local très engagé dans le soutien de l’activité industrielle dans les territoires, en a assuré le financement. A terme, ce nouveau dispositif industriel sera dupliqué sur les autres sites de production du groupe, à commencer par l’usine Aliénor Ciments de Tonneins, dans le Lot-et-Garonne. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 189 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à &#8211; 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ&#x2122;. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 195 jours

MasterSure 1400, nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité

Master Builders Solutions présente MasterSure 1400, un nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité. [©Master Buildres Solutions] Afin d’anticiper sur les évolutions des ciments et des bétons, Master Builders Solutions lance MasterSure 1400. Ce nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité et à effet fluidifiant progressif sans ajout d&rsquo;eau est destiné au BPE et aux bétons de génie civil. « « Face à l’accélération de l’utilisation de nouveaux ciments, complexes, bas carbone et suite aussi à l’entrée de l’application de la RE 2020, Master Builders Solutions a souhaité répondre avec réactivité à ces évolutions qui impactent parfois de manière brutale nos clients », explique Thibault Guédon, chef de marché BPE chez Master Builders Solutions. Des polymères excusifs La formulation du MasterSure 1400 lui permet de réagir de manière progressive. Ainsi, l’entreprise qui l’utilise peut ajuster de manière précise la maniabilité de son béton en fonction de ses besoins. Ce nouveau produit est conforme à la norme NF EN 934-2+A11. Les polymères exclusifs Master Builders Solutions sélectionnés et combinés dans le MasterSure 1400 n’agissent pas tous tout de suite, leur action fluidifiante s’échelonnant. Ils s’adsorbent au fur et à mesure sur les particules du liant. Cet adjuvant s’incorpore simplement dans l’eau de gâchage et évite les ajouts d’eau (interdits par ailleurs). Son étendue de dosage est de 0,3/0,4 % en synergie avec un autre plastifiant ou superplastifiant, à 1,5 % en mono-produit. Grâce à ces propriétés, il évite le recours à des retardateurs de prise et confère donc de bonnes résistances mécaniques à jeune âge. Il contribue aussi à l’amélioration de l’aspect esthétique du béton. 1La présente norme européenne fixe les définitions et les exigences pour les adjuvants utilisés dans les bétons. Elle s&rsquo;applique aux adjuvants pour bétons non armés, armés et précontraints utilisés dans les bétons fabriqués sur chantier, prêts à l&#8217;emploi et préfabriqués.
Il y a 2 ans et 195 jours

Cermibitum, les nouveaux revêtements bitumineux pour l’étanchéité des fondations signés Cermix

Cermibitum, la protection des fondations prête‐à‐l’emploiCermix conçoit, développe et fabrique des mortiers industriels depuis 1963. Aujourd’hui, Cermix propose une toute nouvelle gamme de revêtements bitumineux Cermibitum développée pour répondre de façon pérenne à toutes les problématiques de protection et d’imperméabilisation des fondations. Avec Cermibitum, Cermix offre des solutions qui permettent d’intervenir dès les premières étapes du chantier. C’est aussi pour la marque, une expansion de gamme des mortiers spéciaux qui traduit sa détermination à être présent dans toutes les familles des métiers de la construction au travers de solutions toujours plus expertes, ciblées et efficaces.Cermibitum est une gamme composée de trois produits (IMP, FIBER et TIX) qui répondent aux critères les plus exigeants des donneurs d’ordre en termes de performances et de durée de vie.Destiné aux ouvrages et constructions enterrés dans les domaines de l’industrie et du bâtiment, Cermibitum se distingue par ses performances techniques (haut pouvoir couvrant, haute étanchéité et élasticité), son confort d’usage (produits sans solvant et sans odeur) et son confort d’application (produits prêts à l’emploi et faciles à appliquer). Cermibitum couvre de nombreux domaines d’emploi et permet de réaliser des imperméabilisations durables et flexibles.A noter également, Cermibitum est conditionné de manière à faciliter le transport (pots dotés d’une large poignée pour une meilleure prise en main).Cermibitum IMPDestiné à empêcher l’humidité de pénétrer dans un ouvrage en béton, en plâtre et en maçonnerie, Cermibitum IMP est un revêtement bitumineux prêt à l’emploi, sans solvant, fluide et facilement applicable au rouleau. Son haut pouvoir couvrant permet une application de faible épaisseur (1 mm). Il peut être utilisé pur comme peinture de protection contre l’humidité du sol ou dilué avec de l’eau en tant que primaire d’accrochage. Disponible en seaux de 10 L et 25 L.Cermibitum FiberDans le cadre d’une imperméabilisation de fondations, de caves et de murs de soutènement, Cermix propose sa nouvelle solution Cermibitum Fiber.Couche bitumineuse épaisse et monocomposante, mise au point à base d’une émulsion de bitume, fibrée et améliorée par des résines, Cermibitum Fiber est immédiatement prête à l’emploi et particulièrement facile à spatuler. Cette souplesse de mise en œuvrepermet aux professionnels de travailler plus rapidement. Cermibitum Fiber protège efficacement les fondations ou les parties extérieures d’un bâtiment en terre-plein par exemple, contre toute infiltration d’eau.Disponible en seau de 25 L.Cermibitum TIXCermibitum TIX est une innovation Cermix élaborée pour intervenir dans l’imperméabilisation des soubassements enterrés. Il s’agit d’un des premiers revêtements étanches bitumineux de sa catégorie, conçu en version allégée. Sa formulation innovante, à base de billes de polystyrène et d’une émulsion de bitume, lui offre une légèreté qui contribue à améliorer sensiblement le confort de travail de l’applicateur. Bénéficiant de l’expertise Cermix, ce produit d’étanchéité est une barrière efficace contre toute infiltration.Parmi ses autres atouts, notons :Prêt à l’emploiSans gâchageHaute élasticitéDisponible en seau de 30 L.
Il y a 2 ans et 201 jours

NOUVEAU PRIM UNIV’ PLASTOR : PRÉPARER SON SUPPORT EN UN TEMPS RECORD 

Plastor &#8211; Prim Univ&rsquo; Le primaire sablé polyvalent qui sèche en 30 minutes seulement ! Un parquet peut être posé sur différents types de supports : un carrelage, un parquet existant, une chape béton, ciment, Epoxy&#8230; La préparation du support est une étape essentielle car elle va conditionner la réussite de la pose et la pérennité du parquet. Une fois les surfaces lisses, planes, propres et sèches, l&rsquo;artisan a plusieurs possibilités qui s&rsquo;offrent à lui en fonction de la porosité du support : poncer ou dérocher pour un sol fermé, ou trouver la bonne sous-couche pour réguler une porosité trop importante. Il terminera par appliquer une colle pour la pose de son parquet. Pour simplifier cette étape de préparation et garantir aux artisans un chantier rapide et réussi, quel que soit le support, PLASTOR, spécialiste dans la fabrication des finitions pour la protection de sols parquet et béton, lance un nouveau primaire polyvalent pour sols poreux et fermés : PRIM UNIV&rsquo;.  Hautement polyvalent, ce primaire sablé en phase aqueuse à séchage rapide a été spécialement conçu pour offrir un véritable gain de temps aux artisans sur les chantiers de pose de parquets. Plus besoin de poncer ou dérocher le carrelage existant, ou de réaliser un sablage sur une barrière anti-remontée d&rsquo;humidité pour que la colle adhère, le PRIM UNIV&rsquo; élimine toutes ces étapes et remplace tous les types de primaires d&rsquo;accrochage. Séchage rapide, adhérence optimale sur tous les supports Le PRIM UNIV&rsquo; Plastor pour sol est une résine sablée monocomposante en phase aqueuse&nbsp;qui convient en neuf comme en rénovation, en intérieur ou extérieur. Elle s&rsquo;utilise avant l&rsquo;application des ragréages de sols, des chapes, des mortiers-colles, des enduits mortiers.&nbsp; Un primaire tout-terrain La résine qui compose le primaire PRIM UNIV&rsquo; a été spécifiquement choisie pour son accroche et son exceptionnelle dureté. En effet,&nbsp;elle assure une excellente adhérence des mortiers et colles à parquet sur tous les supports :&nbsp;carrelages, faïences, peintures de sol, peintures façade (acrylique, alkyde), béton, terre-cuite, pierre, enduits, béton cellulaire, carreau de plâtre, dalles en plastique rigide, panneaux de bois (CTBX, CTBH, OSB), chapes liquides anhydrite et ciment, et primaire Epoxy. Un gain de temps sur les chantiers Efficace, le primaire sablé PRIM UNIV&rsquo; Plastor garantit non seulement une meilleure adhérence en recouvrement mais il offre aux artisans un véritable gain de temps sur les chantiers, car il s&rsquo;applique directement sur les supports poreux et non poreux. Il élimine toutes les étapes de préparation du support qui peuvent être contraignantes (odeur, poussière, bruit&#8230;) telles que la dépose de carrelage, le dérochage, le ponçage, le sablage pour l&rsquo;application d&rsquo;une barrière anti-remontée d&rsquo;humidité base epoxy&#8230; De plus, grâce à sa formule à séchage rapide, il est recouvrable en 30 minutes ! Une pose réussie La formulation de PRIM UNIV&rsquo; limite le risque de faïençage&nbsp;car elle réduit le retrait des mortiers ou des enduits. En régulant la porosité des supports,&nbsp;elle diminue le risque de bullage. Résultat, le primaire PRIM UNIV&rsquo; limite les phénomènes qui pourraient provoquer le décollement du parquet.&nbsp; Prêt à l&#8217;emploi et classé A+, le PRIM UNIV&rsquo; est simple d&rsquo;utilisation et sans odeur pour un meilleur confort d&rsquo;application en intérieur. Il ne nécessite pas de mélange et peut être réutilisé à tout moment.Enfin, pratique, sa couleur verte permet un contrôle visuel pendant et après application. https://www.plastor.fr
Il y a 2 ans et 202 jours

Cermibitum, nouveaux revêtements bitumeux pour l’étanchéité des fondations

La gamme Cermibitum signée Cermix comprend trois revêtements bitumineux techniques : IMP, Fiber et Tix. [©Cermix] Cermix présente Cermibitum, une gamme de revêtements bitumineux, développée pour la protection et l’imperméabilisation des fondations en béton. Cermibitum comprend trois produits : IMP, Fiber et Tix. Ces derniers sont tous à haut pouvoir couvrant, à grand confort d’usage (sans solvant et sans odeur) et d’application (prêts à l’emploi et faciles à appliquer). Cette gamme est destinée aux ouvrages et constructions enterrés dans les domaines de l’industrie et du bâtiment. Avec Cermibitum, Cermix offre des solutions qui permettent d’intervenir dès les premières étapes du chantier. C’est aussi pour la marque, un élargissement de gamme des mortiers spéciaux qui traduit sa détermination à être présente dans toutes les familles des métiers de la construction. Enfin, la gamme Cermibitum est conditionnée de manière à faciliter le transport. En effet, les pots sont dotés d’une large poignée pour une meilleure prise en main. Cermibitum IMP Destiné à empêcher l’humidité de pénétrer dans un ouvrage en béton, en plâtre ou en maçonnerie, Cermibitum IMP est un revêtement bitumineux prêt à l’emploi, sans solvant, fluide et facilement applicable au rouleau. Son haut pouvoir couvrant permet une application de faible épaisseur (1  mm). Il peut être utilisé pur comme peinture de protection contre l’humidité du sol. Ou dilué avec de l’eau en tant que primaire d’accrochage. Cermibitum Fiber Dans le cadre d’une imperméabilisation de fondations, de caves et de murs de soutènement, Cermix propose Cermibitum Fiber. C’est une couche bitumineuse épaisse et mono-composante, mise au point à base d’une émulsion de bitume, fibrée et améliorée par des résines. Ce produit est prêt à l’emploi et particulièrement facile à spatuler. Cette souplesse de mise en œuvre permet aux professionnels de travailler plus vite. Cermibitum Tix Cermibitum Tix est une innovation Cermix élaborée pour intervenir dans l’imperméabilisation des soubassements enterrés. Il s’agit de l’un des premiers revêtements étanches bitumineux de sa catégorie, conçu en version allégée. Sa formulation, à base de billes de polystyrène et d’une émulsion de bitume, offre une légèreté, qui contribue à améliorer le confort de travail de l’applicateur. Ce produit d’étanchéité constitue une barrière efficace contre toute infiltration.
Il y a 2 ans et 210 jours

weber éco mortier intègre 20% de résidus de production

La formulation de weber éco mortier fait appel à 20% de résidus de production d’autres mortiers, qui, s’ils n’étaient pas ainsi revalorisés, termineraient en décharge. Weber a investi pour adapter son outil industriel de Sorgues (84) afin de récupérer ces résidus et les réintroduire dans la fabrication de weber éco mortier. Au total, pas moins de 600 tonnes par an de résidus de production pourraient ainsi réinjectées dans le process, ce qui au-delà de limiter les déchets, réduit également la consommation de matières premières primaires. Par rapport à un mortier traditionnel (comme le weber mortier), la production de weber éco mortier éco permet une diminution de 35 % des émissions de CO2. Weber confirme également sa démarche de proximité et sa volonté de limiter l’empreinte carbone liée au transport en proposant ce nouvel éco-engagé au marché local du Sud-Est de la France. Les performances environnementales de ce dernier né de la gamme GO TP se doublent de performances techniques optimales. Polyvalent, il s’utilise pour les travaux de maçonnerie, le montage de blocs et briques, le rebouchage de trous ou encore le scellement de poteaux, boîtes aux lettres, clôtures… Sa faible absorption d’eau garantit une excellente durabilité. Cet article weber éco mortier intègre 20% de résidus de production est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 211 jours

Scellement chimique fischer – Nouveauté : FIS V PLUS – Un siècle de sécurité !

FIS V Plus fischer : le premier scellement chimique pour tiges filetées du marché à bénéficier d’une durée de vie de 100 ans selon l’ETE Pionnier dans le domaine des solutions de fixation durables, fischer a mis au point FIS V Plus, la première résine d’injection universelle du marché d’une durée de vie de 100 ans dans le béton, confirmée par l’ETE (Evaluation Technique Européenne).Avec une longévité d’un siècle et une augmentation de 45 % de ses performances, par rapport à la première génération de résine FIS V, la nouvelle résine vinylester FIS V Plus fischer offre un vrai gage de sécurité pour les chantiers et les installations. Qu’il s’agisse de structures en acier, de consoles, de façades, d’échelles de secours, de garde-corps, de chemins de câbles&#8230; la FIS V Plus est d’une grande polyvalence. Avec un seul produit, les utilisateurs peuvent réaliser de nombreuses applications dans le béton fissuré, non fissuré et la maçonnerie, sismiques C1 ou C2 et des ancrages dans des forages inondés.FIS V Plus : la résine hautes performances pour tous les matériaux pleins ou creuxPolyvalente et hautes performances, la nouvelle résine universelle FIS V Plus fischer peut couvrir un large champ d’application, même en milieu difficile. Elle dispose de plusieurs agréments ETE :&#8211; l’ETE-20/0663 pour la fixation dans le béton fissuré et non fissuré,&#8211; l’ETE-20/0729 pour la fixation dans la maçonnerie courante (brique pleine, brique perforée, brique silico-calcaire perforée et béton cellulaire),&#8211; l’ETE-20/0728 pour le scellement de fers à béton.D’une résistance au feu R120, elle est également certifiée pour des applications sismiques de catégorie C1 et C2, l’ancrage dans des forages inondés et a été évaluée par l’ETE pour une utilisation en toute sécurité avec un foret aspirant (fischer FHD). Une formulation optimisée La FIS V Plus fischer est une résine hybride sans styrène à base de vinylester dont les performances ont été améliorées pour répondre aux exigences les plus élevées. Sa formulation permet d’augmenter les valeurs de charges dans le béton fissuré de 45 % et de 25 % dans le béton non fissuré par rapport à la génération précédente de résine.Par ailleurs, la FIS V Plus assure des ancrages sans contrainte pour des entraxes et des distances aux bords réduits.L’ETE confirme la durée de vie de 100 ans pour les ancrages dans le bétonAvec le nouveau ETE-20/0603 Option 1 pour béton fissuré et non fissuré, le scellement chimique FIS V Plus permet aux artisans, ingénieurs du génie civil, de l’industrie, de la construction métallique ainsi qu’aux bureaux d’études, d’utiliser un seul produit pour presque toutes les applications.Cet ETE confirme un même niveau de performances dans le béton non fissuré pendant 100 ans (au lieu des 50 ans habituellement) sous des charges normales et sismiques. Elle offre donc un vrai avantage, en particulier pour les infrastructures et les ouvrages conçus pour durer des décennies.Agréée pour des conditions météorologiques défavorablesLa résine FIS V Plus fischer s’applique dans le support même dans des conditions météorologiques défavorables telles que des températures de support basses jusqu’à -10°C ou très élevées jusqu’à + 40 °C.   Une résine bicomposante dans une nouvelle cartoucheComme les autres scellements d’injection, la FIS V Plus s’injecte dans le trou de perçage nettoyé. Lors de l’activation de la cartouche, les 2 composants (résine et durcisseur stockés séparément) sont mélangés et activés dans le bec mélangeur. Elle bénéficie d’une nouvelle génération de cartouche avec un ratio de mélange (résine/durcisseur) de 10:1 contre 5:1 auparavant. Cela contribue fortement à améliorer les performances du scellement. Elle reste compatible avec les pistolets pour simplifier son utilisation.Une large gamme d’accessoires homologués pour plus de sécuritéPour offrir un maximum de sécurité, en fonction du matériau, de la profondeur d’ancrage ou du projet, la résine FIS V Plus peut être associée avec la vaste gamme d’accessoires homologués fischer &#8211; tiges filetées, douilles taraudées, tamis d’injection, fers à béton…Ces composants augmentent la flexibilité de la résine et permettent un large éventail d’applications : scellement de fer à béton, reprise d’armature, consolidation de façade, montage à distance… 2 versions pour répondre à tous les besoinsPour répondre aux différents besoins des utilisateurs, il existe la FIS VW Plus HIGH SPEED avec un temps de prise plus court pour un travail continu, même en cas de températures basses.
Il y a 2 ans et 221 jours

Philippe Prost, Grand Prix national de l’architecture 2022, Renée Gailhoustet, prix d’honneur pour l’ensemble de son œuvre

Le Grand Prix national de l’architecture 2022 vient d&#8217;être remis à Philippe Prost par la Ministre de la Culture Rima Abdul Malak. Le jury qui a auditionné sept agences présélectionnées a retenu trois principaux critères. La richesse et la diversité du parcours professionnel et la qualité de l’œuvre bâtie qui l’illustre. La posture de l’agence vis-à-vis du rôle sociétal de l’architecture et de l’architecte et la formulation de la pensée et les modalités retenues pour la transmettre. En 1993, Philippe Prost fonde à Paris l’agence AAPP – Agence d’architecture Philippe Prost. Il est associé à Catherine Seyler depuis 1992 ; Gaël Lesterlin et Lucas Monsaingeon les rejoindront en 2019. Parmi les réalisations de l’agence, on peut citer : la réhabilitation de la cité des Electriciens à Bruay-la-Buissière (2017), la réhabilitation de l&#8217;hôtel de la Monnaie de Paris (2017), la construction du mémorial international de Notre-Dame-de-Lorette, l&#8217;Anneau de la Mémoire (2014), l’intervention de mise en valeur et réhabilitation de la citadelle de Belle-Île-en-Mer (1991-2006). Spécialisé dans la création et l’intervention contemporaine sur le bâti historique, le travail de l’agence se caractérise par le respect du site, de son histoire, de sa géographie, par une analyse approfondie de la question posée par le programme, le choix d’une logique constructive et l’utilisation de matériaux pérennes. Les compétences de l’agence se caractérisent par la capacité d’adapter et de réutiliser des espaces existants, parfois exceptionnels, parfois simplement porteurs d’une mémoire sociale, en respectant leurs caractéristiques et en y adjoignant des espaces nouveaux de grande qualité. A l’heure où la transition écologique nous pousse à revoir les modalités de production des espaces bâtis, l’œuvre de AAPP – Agence d’architecture Philippe Prost témoigne de l’alliance entre patrimoine et architecture contemporaine. Philippe Prost se distingue également par son engagement dans la transmission de savoirs aux futurs architectes et dans la recherche architecturale. Par ailleurs, le prix d’honneur du Grand Prix national de l’architecture a été remis à Renée Gailhoustet au titre de l’ensemble de son œuvre et des réflexions qu’elle a portées sur la conception du logement social. Témoin d’une génération d’architectes engagés dans une posture de recherche et d’innovation au service d’une architecture du quotidien, elle fut aussi une pionnière dans la pratique de ce métier par des femmes. A ce titre, elle est une référence pour toutes et tous aujourd’hui tant pour la qualité de ses réflexions et de son œuvre que pour l’exemplarité de sa pratique professionnelle. A l’heure où la qualité du logement se pose tant en termes d’usages, de densité que de coût, son œuvre reste une réponse tout à fait actuelle et pertinente. Photo : Bernard Lechevalier Philippe Prost en compagnie de toute son équipe reçoit des mains de la ministre de la culture, Rima Abdul-Malak, le prix national de l’architecture 2022.
Il y a 2 ans et 221 jours

La ministre de la Culture a décerné à Philippe Prost le Grand Prix national de l’architecture 2022

Créé en 1975, le Grand Prix national de l’architecture est la plus haute distinction nationale dans le domaine de l’architecture. Elle récompense une agence implantée en France pour l’ensemble de son œuvre. L’édition 2022 s’est adaptée à l’évolution de la pratique architecturale, en veillant à sélectionner des agences d’architecture plutôt que des individus et en introduisant plus de parité parmi les finalistes.Le jury a auditionné les sept agences présélectionnées le 7 septembre 2022. Les critères de sélection du lauréat ont été les suivants :La richesse et la diversité du parcours professionnel et la qualité de l’œuvre bâtie qui l’illustre ;La posture de l’agence vis-à-vis du rôle sociétal de l’architecture et de l’architecte ;La formulation de la pensée et les modalités retenues pour la transmettre.En 1993, Philippe Prost fonde à Paris l’agence AAPP – Agence d’architecture Philippe Prost. Il est associé à Catherine Seyler depuis 1992 ; Gaël Lesterlin et Lucas Monsaingeon les rejoindront en 2019.Parmi les réalisations de l’agence, on peut citer : la réhabilitation de la cité des Electriciens à Bruay-la-Buissière (2017), la réhabilitation de l'hôtel de la Monnaie de Paris (2017), la construction du mémorial international de Notre-Dame-de-Lorette, l'Anneau de la Mémoire (2014), l’intervention de mise en valeur et réhabilitation de la citadelle de Belle-Île-en-Mer (1991-2006).Spécialisé dans la création et l’intervention contemporaine sur le bâti historique, le travail de l’agence se caractérise par le respect du site, de son histoire, de sa géographie, par une analyse approfondie de la question posée par le programme, le choix d’une logique constructive et l’utilisation de matériaux pérennes. Les compétences de l’agence se caractérisent par la capacité d’adapter et de réutiliser des espaces existants, parfois exceptionnels, parfois simplement porteurs d’une mémoire sociale, en respectant leurs caractéristiques et en y adjoignant des espaces nouveaux de grande qualité. A l’heure où la transition écologique nous pousse à revoir les modalités de production des espaces bâtis, l’œuvre de AAPP – Agence d’architecture Philippe Prost témoigne de l’alliance entre patrimoine et architecture contemporaine.Philippe Prost se distingue également par son engagement dans la transmission de savoirs aux futurs architectes et dans la recherche architecturale.Par ailleurs, le prix d’honneur du Grand Prix national de l’architecture a été remis à Renée Gailhoustet au titre de l’ensemble de son œuvre et des réflexions qu’elle a portées sur la conception du logement social. Témoin d’une génération d’architectes engagés dans une posture de recherche et d’innovation au service d’une architecture du quotidien, elle fut aussi une pionnière dans la pratique de ce métier par des femmes. A ce titre, elle est une référence pour toutes et tous aujourd’hui tant pour la qualité de ses réflexions et de son œuvre que pour l’exemplarité de sa pratique professionnelle. A l’heure où la qualité du logement se pose tant en termes d’usages, de densité que de coût, son œuvre reste une réponse tout à fait actuelle et pertinente.Comme chacun de leurs prédécesseurs, Renée Gailhoustet, représentée par Serge Renaudie, et l’Atelier d’Architecture Philippe Prost ont reçu des mains de la ministre de la Culture le diplôme créé par l’artiste Daniel Buren.La Cité de l’Architecture et du Patrimoine, avec le soutien du ministère de la Culture, consacrera une exposition monographique et un ouvrage dédiés à l’œuvre de l’Atelier d’Architecture Philippe Prost, qui sera également amené à produire une master-class à destination des étudiants en architecture.L’œuvre de Renée Gailhoustet fait l’objet d’un titre de la collection « carnets d’architectes », publié dans le cadre d’un partenariat entre les Editions du patrimoine et le ministère de la Culture.La ministre de la Culture tient à saluer le travail des six autres agences présélectionnées : Atelier du Rouget, Atelier Philippe Madec Architecture et associé, Bruther Architectes, Corinne Vezzoni et Associés, Perraudin Architecture et Studio Odile Decq.
Il y a 2 ans et 238 jours

Islande : Trois mois pour un nouveau tarmac

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. L’agrandissement du tarmac a été réalisé à partir de 31 bandes individuelles reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. [©Wirtgen] A environ 50 km au Sud-Ouest de Reykjavik, la capitale de l’Islande, se situe la ville portuaire de Keflavík. Pourtant, ce n’est pas du côté des navires marchands qu’il faut regarder, mais de celui de l’aéroport. En effet, le tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses (dans la partie militaire) viennent de faire l’objet d’un agrandissement. De 6,5 ha, pour le premier, et d’un peu plus de 9 000 m2, pour la seconde. Des travaux exécutés sous l’égide du gouvernement américain, maître d’ouvrage du projet. D’où une référence au système de mesure impérial utilisé aux Etats-Unis, retranscrit ici en données métriques&#8230; Mais c’est bien l’entreprise allemande Hib Infra (à travers sa filiale locale Hib Iceland) qui a décroché le contrat de réalisation. En raison des conditions climatiques du pays, le chantier a été planifié de début juillet à fin septembre 2021. La surface à réaliser a été divisée en 31 bandes individuelles de béton, reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. Côté matériels, l’entreprise a opté pour la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen. Cette dernière a travaillé par couche de 7,62 m de large pour une épaisseur allant de 41 cm à 45 cm. Soit une moyenne de 900 m3 de béton posés par jour. Une planéité supérieure aux exigences Sans nécessité d’essais pratiques, il a été possible de réaliser presque immédiatement les premières bandes pilotes. Tout de suite, celles-ci ont présenté une qualité optimale dans tous les paramètres exigés. A savoir, le compactage du béton, sa résistance à la compression, la rugosité de la surface ou encore son adhérence. Les exigences relatives à la planéité des surfaces aéroportuaires sont aussi très élevées. Sur l’aéroport de Keflavík, l’irrégularité maximale autorisée était de 4 mm sur 4 m. La mesure réalisée selon les prescriptions techniques d’essai de planéité (système allemand TP Eben 2007) a toutefois montré que les écarts étaient nettement plus faibles. Sur l’aéroport de Keflavik, la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen a assuré la pose précise de béton en une couche de 7,62 m de large et d’une épaisseur entre 41 cm et 45 cm. [©Wirtgen]Le béton a été posé à l’aide d’une pelle mécanique œuvrant devant la SP 62i, puis régulé de manière homogène avec la lame de répartition de la machine. [©Wirtgen] Des bords verticaux de 90° sont indispensables pour assurer une parfaite liaison avec la bande suivante. [©Wirtgen]« Le secret de notre réussite réside dans le travail d’équipe. C’est pourquoi nous apprécions notre partenariat de longue date avec Wirtgen, qui sait fournir des solutions pour la réussite de nos projets », explique Matthias Neumann, gérant de l’entreprise Hib Infra. [©Wirtgen] Donc la planéité obtenue bien supérieure aux exigences. Idem pour le profil&nbsp;: le dévers était très réduit, de l’ordre de 1 % à Keflavík. Des critères de qualité que seules, une équipe bien rodée et la technologie adaptée permettaient d’atteindre. En effet, le SP 62i intègre un système de nivellement et de direction de haute précision, ainsi qu’un talochage longitudinal automatique. «&nbsp;Sur ce projet, nous avons vécu une excellente collaboration avec l’équipe de Wirtgen. Ainsi, nous avons pu connaître un chantier au déroulement presque sans heurt », explique Hendrik Wendt, chef de chantier et spécialiste du béton de l’entreprise Hib Infra & Co. Un béton d’une classe de résistance C35/45 «&nbsp;Afin de tenir les délais annoncés, nous avons renoncé à la pose préalable de coffrages fixes pour chaque bande&nbsp;», reprend Hendrik Wendt. Aussi, les bords extérieurs de ces bandes ont représenté un véritable défi pour la pose à l’aide d’une machine à coffrage glissant SP 62i. Ils devaient être parfaitement perpendiculaires et avec netteté sur toute la longueur, pour ne pas se désolidariser. C’était là l’unique solution permettant d’évacuer l’eau de pluie correctement pendant l’exploitation. D’une manière générale, un béton est toujours fabriqué à partir de ciment, d’eau et de différents granulats. Pour pouvoir répondre aux exigences découlant des contraintes d’usages auxquelles le nouveau tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses seront soumis, des coupures granulaires supplémentaires ont été nécessaires&#8230; De même qu’une étude plus approfondie de ces composants. Enfin, les exigences liées à l’agrandissement de l’aéroport de Keflavík imposaient un béton de la classe de résistance C35/45. Une formulation mise en place avec les techniciens d’application de Wirtgen et optimisée pour la pose avec une machine à coffrage glissant. Une démarche tout à fait classique pour atteindre les niveaux de qualité élevée, malgré un délai contraint. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 239 jours

Diasen : Mortier renforcé de liège

Le Diathonite Thermostep.047 de Diasen est renforcé de fibres et de liège. [©Diasen] Lauréat du Grand Jury catégorie “Préserver l’environnement” des Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment, Diasen présente le Diathonite Thermostep.047, mortier écologique renforcé de fibres et de liège (granulométrie de 0-3 mm). Tout en intégrant de l’argile, de la poudre diatomée et un liant hydraulique. Produit naturel, il est conçu pour la réalisation de chapes thermiques légères prêtes à l’emploi, idéales pour l’isolation des combles, des sols et des toitures ventilées. Diathonite Thermostep.047 peut être utilisé à l’intérieur comme à l’extérieur, dans le cas de rénovations ou de constructions neuves. Et permet d’isoler thermiquement les sols et structures existants. Sans alourdir la structure. La solution de Diasen est très perspirante, permettant d’isoler du froid et de la chaleur. Sa réaction au feu est classée Euroclasse A1. Sa résistance est renforcée par la présence de fibres dans la formulation. Il permet aussi de noyer les installations électriques et de plomberie. Marqué CE (EN 13813), le Diathonite Thermostep.047 peut être carrelé directement, après imperméabilisation avec un produit adapté (conforme à l’EN 14891). Batimat- Hall 1 – Stand K100 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 240 jours

Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France

CarbonCure permet l’injection de CO2 dans le béton frais. [©Edilteco] Edilteco devient le distributeur exclusif en France, en Italie et au Benelux de la start-up canadienne CarbonCure. L’industriel s’occupe ainsi de la mise en relation, mais aussi de l’installation, de la maintenance et du SAV des “box”. Dans le détail, la technologie demande la mise en place d’une cuve de CO2, qui sera alimentée en gaz par un fournisseur local. Cette cuve est reliée au malaxeur de la centrale à béton. Quant aux “box”, elles sont installées au niveau du poste de commande et sur la cuve à CO2. Ces concentrés de technologie permettent à la start-up, d’une part, de récupérer les datas dans ses serveurs, de vérifier et de prévenir les centraliers en cas de problème 24 h/24. Et, d’autre part, pour la centrale, de doser le CO2 injecté dans le malaxeur en fonction de la formulation de béton établie. A l’intérieur du malaxeur, le carbone à l’état liquide se transforme en neige et forme du carbonate de calcium une fois mélangé avec les composants classiques du béton. Avec ce procédé, le béton devient un exutoire pour le CO2. A l’heure actuelle, deux unités de ce type sont déjà en service sur le territoire français et une 3e devrait être installée prochainement… Par ailleurs, Edilteco profite du rendez-vous de la porte de Versailles pour mettre en avant sa nouvelle gamme “Green”. Elaboré à partir de polystyrène recyclé, Politerm R est en le premier produit natif. Dans le respect de la démarche d’économie circulaire, les chutes de PSE issues de blocs et panneaux sont récupérées, broyées, recalibrées et ensachées pour un produit final 100 % recyclé. Hall 1 – Stand N66
Il y a 2 ans et 260 jours

Cem’in’Eu annonce la mise sur le marché d’un ciment bas carbone

La réduction de l’empreinte carbone a toujours été au cours de la démarche de Cem’In’Eu depuis sa création avec la mise en place d’une logistique multimodale, maritime, fluviale et ferroviaire qui réduit au maximum les émissions de CO2 liées au transport. Aujourd’hui Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, matière première naturelle extraite localement, baissant fortement le pourcentage de clinker et donc de l’empreinte carbone du ciment. Le recours à la pouzzolane représente un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits par Cem’In’Eu, en vrac comme en sac.Grâce à un contrat d’approvisionnement à long terme, Cem’In’Eu a sécurisé son approvisionnement de pouzzolanes, indispensables à la formulation de son ciment bas carbone sans risque de rupture de la chaine d’approvisionnement. Ce sont ainsi 300 kt de ciment bas carbone qui pourront être produites sur les 4 prochaines années. Pour la première fois en France un ciment bas carbone en sac est mis sur le marché avec un taux de clinker ramené à 50%. Ce qui représente une baisse de 30%. Pour la partie vrac, le taux de clinker sera abaissé de près de 20%.Cela représente un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments vendus par Cem’In’Eu.Des investissements sécurisés pour l’adaptation de l’outil industriel de Rhône-ciments Les commandes des équipements nécessaires à cette nouvelle production ont été passées. Elles sont financées avec la Caisse d’Épargne Loire Drôme Ardèche, acteur local très engagé dans le soutien de l’activité industrielle dans les territoires. Ce nouveau dispositif industriel sera à terme dupliqué sur les autres sites de production du groupe. L’exigence de la qualité Les premiers essais en laboratoires, industriels et en application ont été réalisés avec succès. Pour ces nouveaux ciments, Cem’In’Eu poursuivra sa politique certificative exigeante et une première certification CE et NF est attendue dès la fin de l’année pour le premier ciment. Les premiers ciments bas carbones de Cem’In’Eu seront mis sur le marché au 1er trimestre 2023.
Il y a 2 ans et 287 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 305 jours

Impression 3D : Un béton à base de verre recyclé

Le verre peut être utilisé pour l’impression 3D. [©Nanyang Technological University] Fabriquer du béton de nos jours commence à devenir problématique. Le sable est une matière première qui s’épuise. C’est pourquoi, la Nanyang Technological University (NTU) de Singapour effectue des recherches pour remplacer le sable par du verre recyclé. Et cela, pour en faire un béton dédié à l’impression 3D. En effet, de nombreux produits en verre sont stockés dans des décharges ou incinérés. Sachant que ce matériau est composé en majorité de silice, le composant majeur du sable, les chercheurs ont broyé les déchets de verre en plusieurs tailles, allant de moyen à très fin. Pour ensuite le mélanger à de l’eau, du ciment et des additifs. « Le verre peut être utilisé pour l’impression 3D » « Le principal défi de la formulation de béton imprimable en 3D est de déterminer la quantité de chaque composant à ajouter pour obtenir une structure solide, déclare Tan Ming Jen, professeur de l’école d’ingénierie mécanique et aérospatiale de NTU. Notre équipe est parvenue à une formule réalisable. Démontrant pour la première fois que le verre peut être utilisé pour l’impression 3D avec un banc en forme de “L” de 40 cm de haut présentant une excellente résistance. » D’ailleurs, lors de la conception, le mélange a été modélisé par une imprimante robotisée à portique à quatre axes. Et le résultat montre que le béton à base de verre recyclé peut répondre aux contraintes de l’impression 3D. Lire aussi : Vicat lance la marque Lithosys dédiée à l’impression 3D béton Il est suffisamment fluide pour s’écouler et offre une résistance adaptée pour supporter les superpositions de couches. De plus, il bénéficie d’un atout de taille pour la préservation d’une ressource naturelle. En effet, le verre est hydrophobe. Cela signifie que contrairement au sable, il nécessite très peu d’eau pour fabriquer du béton. La prochaine étape pour les chercheurs du NTU consistera à affiner leurs études pour vérifier la pérennité du béton. Une collaboration serait prévue avec Soda Lemon, une start-up spécialisée dans le verre recyclé. L’objectif étant de créer des structures encore plus grandes à partir du procédé d’impression 3D.
Il y a 2 ans et 307 jours

Vicat lance un liant carbo-négatif

Le cimentier français a intégré du biochar (du carbone physique issu de la pyrolyse du CO2 des plantes) dans la formulation de ce liant pour maximiser la réduction du taux de clinker dans le ciment. Avec Carat le ciment se comporte comme un véritable puits de carbone.
Il y a 2 ans et 308 jours

Durieu et Thermacote : se protéger de la chaleur et du froid autrement

Éviter d’utiliser trop de climatisation ou trop de chauffage, ne pas gaspiller l’énergie, été comme hiver, ce n’est plus un vœu pieux, cela fait partie du quotidien. Il convient donc de se tourner vers des solutions qui vont permettre d’accompagner constructeurs, communes, particuliers… dans leur démarche d’économies d’énergie et donc d’isolation des habitats, du sol au toit en passant par les façades. Il est indispensable d’identifier les zones sensibles de chaque structure à isoler et d’offrir une solution optimum.Afin de déterminer quelle est la partie de l’habitat qui subit le plus les attaques de la chaleur ou du froid, il faut procéder au ratio toiture/façade qui permettra d’évaluer quelle partie est à privilégier en matière d’isolation.En général en présence :D’habitations individuelles, de sites industriels ou logistiques, de bâtiments commerciaux (magasins, centres commerciaux, bâtiments publics, écoles…) ou le dernier étage d’un immeuble : c’est la partie toit qui subit les « attaques » de température.D’immeubles d’habitation : ces sont les façades qui prennent toutes les variations de température. Dépendant de l’analyse de chaque cas, il faudra protéger le toit ou les façades. D’une bonne isolation découlera la bonne maîtrise des coûts énergétiques.Depuis une trentaine d’années aux États-Unis et un peu moins de 10 ans en Europe, les agréments cool roof et cool wall sont devenus de vrais labels garantissant une solide qualité d’isolation des murs et des toitures. Durieu avec THERMACOTE® offre une solution ultra technique aux propriétés étonnantes, agrémentée cool roof et cool wall.ThermaCote® en détails :Un concentré d’atouts :Haute concentration en extraits secs garantissant une efficacité optimale et une protection sur le long terme de tous les supports protégés.Une composition majoritaire en céramique (80 % de la peinture) qui apporte au revêtement protégé toutes les capacités isolantes couplées à la résistance aux fortes chaleurs de la céramique.ThermaCote® en action :3 spectres d’action combinés : Isolation thermique / Anti-humidité / Étanchéité à l’air : L’isolation thermique :Grâce à sa formulation spécifique THERMACOTE® agit comme une couverture de survie sur les supports. Il les enveloppe d’une couche protectrice qui en période froide, limite le passage de la chaleur vers l’extérieur en « renvoyant » la chaleur à l’intérieur du bâtiment et en période chaude permet la réflexion d’une partie la chaleur en dehors du support permettant ainsi de réduire sensiblement la température ressentie sur le support. Un support protégé avec du THERMACOTE® peut perdre plus de 20°C (de 60°C à 38°C).Anti-humidité :L’humidité est le premier ennemi de l’isolation car elle génère de l’infiltration dans les parois et entraîne la formation de condensation et de rouille. Une protection au THERMACOTE® permet de laisser respirer le support, en extrayant l’humidité tout en l’empêchant de rentrer.Étanchéité à l’air :L’infiltration ou la fuite d’air dans les supports est un gage de détérioration de l’isolation et l’application de THERMACOTE® évite ce phénomène. L’isolation est pérenne.Des atouts pour aller encore plus loinThermaCote® c’est aussi agir pour demain grâce à son action aujourd’hui :En Europe et dans le monde :À Los Angeles, THERMACOTE® fait partie avec l’État de Californie et d’autres industriels, d’un groupe d’expérimentation et de recherche visant à protéger toutes les surfaces bitumes ou béton au sol (routes, parking, …) afin de limiter l’effet d’ilots de chaleur urbains qui empêchent les températures urbaines de diminuer.En France et au-delà de la métropole (Réunion, Martinique & Guadeloupe), THERMACOTE® est en test pour l’étude du revêtement de plusieurs bâtiments publics : toitures, chaussées afin de limiter les effets d’ilots de chaleur.ThermaCote® : protéger les habitations et maîtriser les coûts d’énergie aujourd’hui, pour vivre mieux demain.
Il y a 2 ans et 317 jours

Béton Pratique : Comment bien poser une anode sacrificielle ?

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Les constructions en béton armé sont sujettes à des agressions halogène, pouvant impliquer une corrosion des aciers. [©RGD] 1 &#8211; Qu’est-ce qu’une anode sacrificielle&nbsp;? En existe-t-il différents types&nbsp;? Une anode est un dispositif mis en place pour répondre à une demande de corrosion dans un environnement donné, pour protéger un autre métal. Cette technique a été découverte, en 1815, par Humphrey Davy. Celui-ci a développé par empirisme une technique de pose de zinc sur les coques en fer des bateaux, pour les empêcher de se corroder au contact de l’eau de mer. L’idée est que l’on dispose un métal sacrificiel sur un métal plus noble à préserver. Par électro-positivité, le métal sacrificiel attire les éléments “corrosifs”. Dans les années 2000, avec le Dr Nigel Davison, nous avons, à notre tour, fait des expériences, en plaçant une anode en fer et une autre en zinc sur une poutre en fer. Le tout dans les mêmes conditions d’exposition aux éléments “corrosifs”. Nous avons pu constater que le zinc était 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer, et donc beaucoup plus protecteur. A partir de cette technique, une large gamme d’anodes est née chez CPT. Le but étant d’optimiser la solution en fonction de l’ouvrage et de son armature. Sur le marché, certaines anodes sont disponibles sous forme de feuille. D’autres sont “ponctuelles”, d’autres encore adaptées à la préfabrication. Pour les rénovations, notamment des angles, il est possible d’en poser en réseau. Enfin, d’autres sont proposées sous forme filaire. 2 – Quand utilise-t-on une anode sacrificielle et pourquoi&nbsp;? Des aciers corrodés peuvent mettre en danger la viabilité des constructions. [©RGD] Il y a besoin de poser une anode sacrificielle, lorsque l’on est en présence d’un agent agressif que l’on n’a pas maîtrisé et qui a pénétré le béton. L’agent agressif halogène va alors causer des dégâts sur les armatures. Il faut donc agir. La mise en place de la protection sacrificielle va polariser l’armature et les éléments “corrosifs” vont migrer vers l’anode. L’armature du béton ne sera donc plus en situation d’agression. Ce qui permet de stopper la dégradation du béton si elle est en cours et de réduire les besoins d’intervention. C’est un bureau d’études spécialisé corrosion qui doit décider du type et de la quantité d’anodes à utiliser, leurs conditions de mise en œuvre et la mise en place de la politique de protection des ouvrages. Ce calcul est volontairement pessimiste. Il oblige à mettre, sans doute, un peu plus d’anodes que nécessaire, mais en matière de protection, le plus est toujours le mieux. Il faut cependant reconnaître que parfois certaines formes d’anodes sont très adaptées, parfois elles le sont moins. C’est au bureau d’études de trouver le meilleur compromis. 3 &#8211; Quelles sont les différentes étapes de pose d’une anode sacrificielle, dans le cadre d’un ouvrage existant&nbsp;? Le préalable est, bien entendu, qu’un diagnostic de l’ouvrage ait été réalisé, que la pose d’anodes sacrificielles soit la solution la plus adaptée et qu’un plan d’action ait été élaboré par un bureau d’études. L’étape suivante est de se procurer le plan d’armatures et de vérifier leur position exacte par rapport à ce plan. Ces vérifications se font avec un profomètre et un pachomètre. Il faut ensuite repérer les bonnes zones d’intervention, en traçant sur l’ouvrage les lignes d’armatures, et les points de perçage pour la mise en place des anodes. Le percement, qui est l’étape suivante, doit se faire de façon très soignée. Il faut bien vérifier qu’il n’y a pas de risque de couper une armature et mettre ainsi en court-circuit un acier. Pour la protection, le court-circuit ne poserait pas de problèmes, mais en poserait pour le suivi. Les opérateurs doivent donc être formés à ce type d’interventions. Le zinc est 10 à 15 fois plus émetteur de courant que le fer. Placée sur une armature, l’anode en zinc attire les éventuels polluants. [©RGD]Les anodes peuvent prendre différentes formes. Ici, elles sont montées en réseau. [©RGD]Les anodes pourraient être posées en préfabrication, afin de prévenir une éventuelle agression. [©RGD] Ensuite, il faut vérifier la bonne profondeur et si le diamètre est bien respecté. Il faut alors réaliser une pose à blanc pour vérifier la bonne disposition de l’ensemble. Quel que soit le type d’anodes, la pose se fait après avoir pré-mouillé le forage. Une fois l’anode placée en fond de trou, l’ensemble est recouvert soit par une pâte cimentaire, soit une pâte active, selon les recommandations du fabricant. Le rebouchage doit être soigné pour ne pas laisser d’entrée d’eau. Enfin, le contrôle doit être effectué par un opérateur spécialement formé. Il vérifie que l’installation correspond au plan, qu’elle est au bon potentiel et courant attendu. Une fois sa validation donnée, le rebouchage définitif est effectué. L’ensemble de ces opérations constitue de traditionnels gestes de maçons. Il faut les effectuer avec précaution. 4 &#8211; Qu’en est-il de l’utilisation d’anodes sacrificielles en ouvrages neufs&nbsp;? Les ouvrages conçus avec des protections ne sont pas encore rentrés dans les mœurs. La protection est plutôt effectuée par protection cathodique, via un courant imposé. Nous pourrions tout à fait imaginer poser une série d’anodes, qui s’activeraient à l’entrée des éléments “corrosifs”. Ils agiraient alors comme un bouclier de protection. Dans un cas idéal, nous pourrions placer en phase de préfabrication des lignes d’anodes sur les points les plus critiques des pièces en béton. Ce serait une bonne chose vis-à-vis de la maîtrise d’ouvrage pour la pérennité de l’ouvrage. RGD en bref... Depuis 20 ans, RGD est un fournisseur de solutions techniques permettant de répondre à une large gamme de problématiques du béton. Avec une spécialité dans le génie civil et le BTP. Pour cela, RGD est constitué de plusieurs activités complémentaires, qui gèrent et trouvent des solutions pour toutes les étapes de la construction. Du bureau d’études à la réparation, en passant par l’approvisionnement des matières premières, le traitement de surface et les formulations spécifiques. RGD comprend les marques MP2, Shemrock-BTP et le totem BOB. Sujet réalisé en collaboration avecRichard Guérin, Pdg de RGD Shemrock et l’un des concepteurs de la méthode Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 317 jours

Arcade : Informatiser le secteur du béton

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine De gauche à droite, Alice Ladet, responsable commerciale, Guillaume Cordel, dirigeant d’Arcade, et Anne Cordel, responsable recherche & développement. [©ACPresse] «&nbsp;Comment allier ce que j’aime avec ce que je connais&nbsp;?&nbsp;» Telle est la question que s’est un jour posée Guillaume Cordel, fondateur et gérant de la société Arcade. «&nbsp;Mon histoire personnelle est liée à celle de la carrière, du BTP, secteurs dans lesquels évoluaient mes parents et mes grands-parents. Je connais donc ces métiers de l’intérieur.&nbsp;» A côté de cela, Guillaume Cordel cultive une passion pour l’informatique. Naturellement, il s’installe dans les bureaux de l’entreprise familiale. Lire aussi : Des abeilles sur le toit d’Arcade ! Là, il développe Icare, sa première solution informatique. «&nbsp;Il s’agissait d’un logiciel de pesage, d’édition de bons de livraison et de facturation&nbsp;», précise Guillaume Cordel. Icare a été installé sur quelques grosses carrières, au début des années 1990. C’est ainsi qu’est né Arcade en 1993. En parallèle, Icare intègre une fonction “laboratoire”, qui finit par aboutir à un nouveau logiciel autonome&nbsp;: Icare Labo, réécrit entre temps pour Windows. Son nom&nbsp;: Wil (pour Windows Icare Labo). L’arrivée des suites “full web” «&nbsp;Wil est devenu notre logiciel phare, décliné en différentes versions, dont Wil Béton&nbsp;», rappelle Guillaume Cordel. Cette solution permet aujourd’hui la formulation et la gestion des essais autour du matériau, intègre les obligations normatives, et assure le suivi métrologique des équipements. «&nbsp;Nous continuons à enrichir et à faire évoluer Wil, qui va encore être là pour longtemps.&nbsp;» D’un point de vue historique, Arcade a fini par proposer une large offre de logiciels&nbsp;: Icare pour la gestion, Wil pour le laboratoire, Mentol pour l’environnement et la sécurité, et Carmin pour la maintenance industrielle. Des outils performants, mais auxquels il manquait la dimension “full web”. Pour répondre à cette nouvelle attente, Arcade a fait le choix de refondre cette offre et de mettre sur le marché sa suite Massia. «&nbsp;Il s’agit d’une solution web nouvelle, complète, modulable et évolutive&nbsp;», confirme Alice Ladet, responsable commerciale d’Arcade. Elle se décline en cinq modules&nbsp;: Gestion (administration des ventes), Performance (suivi de la production des industries extractives), Laboratoire et sa version “tablette et smartphone” Labo Mobilité, QSE et Foncier, et Maintenance (gestion des installations et du parc matériels). Collaborations avec Delta Automation et Oris «&nbsp;Tous ces modules ou logiciels ont demandé un très important travail de développement, souligne Guillaume Cordel. On ne met pas au point une suite comme celle-ci en quelques mois. L’informatique, ce n’est plus de l’artisanat. Massia a nécessité 5 années de R&D et mobilisé 10 informaticiens&nbsp;!&nbsp;» Aujourd’hui, l’aventure Arcade se poursuit. Déjà, l’entreprise va fêter ses 30 années d’existence en 2023. Ensuite, elle a signé un partenariat avec Delta Automation, spécialiste des logiciels et automatismes pour centrales à béton. «&nbsp;L’idée est de créer un éco-système complet, en développant les synergies possibles entre nos outils informatiques. Delta Automation apporte ainsi son expertise en matière de logiciels de production.&nbsp;» Lire aussi : Un nouveau site Internet pour Arcade Un autre partenariat vient d’être mis en place avec la plate-forme Oris. «&nbsp;Il s’agit d’une plate-forme dédiée aux opérateurs de la construction routière pour sélectionner et comparer les solutions et les matériaux disponibles sur le marché. Dans ce cadre, Arcade va développer une passerelle pour permettre aux utilisateurs des suites Wil et Massia de déposer les fiches produits de leurs granulats sur la plate-forme Oris&nbsp;», conclut Guillaume Cordel. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 318 jours

Moselle : Béton Stone Consulting : Une palette de solutions industrielles

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BSC intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. [©BSC] Centrales à béton, équipements pour carrières et préfabricants, cimentation nucléaire ou encore impression 3D, Béton Stone Consulting (BSC) intervient sur un large périmètre de l’industrie du béton. A sa création en 2006, à Etzling, par Sylvain Adam, l’entreprise se spécialise dans le conseil. L’objectif&nbsp;? Accompagner les professionnels de la préfabrication et contribuer à l’amélioration des process industriels et des formulations existantes. Au fur et à mesure des années, l’activité “conseil” s’amenuise pour laisser place à la partie commerciale. Entre 2008 et 2010, BSC commence à proposer des malaxeurs coniques. Puis, dès 2015, elle s’intéresse aux systèmes de pompages des bétons et développe tout une usine de production de mortier au Moyen-Orient. Cette période marque aussi le début d’une ouverture à l’international. Depuis 2021, BSC se concentre sur la commercialisation de process pour les industriels du béton à l’étranger. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Grand-Est L’entreprise ne propose pas seulement des centrales à béton, elle fournit aussi des composants pour constituer et compléter les centrales ou des installations spécifiques. Elle dispose aussi de stations de micronisation dans son catalogue. Dans le domaine des malaxeurs, l’entreprise a su parfaire son expertise. En plus de l’outil en lui-même, BSC fait du conseil sur les dosages des composants&nbsp;: fibres, colorants, adjuvants. Mais aussi, sur le transfert et le dosage des bétons frais et des produits finis, sur le pompage ou encore sur le recyclage des eaux de lavage et des retours béton. Pour les années à venir, BSC compte bien suivre les évolutions industrielles du béton et toujours proposer les solutions les plus innovantes. Aujourd’hui, elle compte 9 collaborateurs et 8 partenaires parmi lesquels Kniele, Eco-Frog, Klein ou encore Mantis ULV. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 318 jours

Somme : BigMat se dote d’un service de béton à emporter

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine BigMat Camon a mis en place une nouvelle offre de bétons en libre-service : Béton2Go. [©BigMat] Négoce multi-spécialiste, BigMat Camon s’intéresse au gros œuvre comme au second œuvre. Etablie dans la région depuis 2008, l’entreprise s’est dotée d’un nouveau service en novembre 2021. «&nbsp;Dans la zone d’Amiens, il y a des grosses centrales de BPE classiques, mais nous avons remarqué qu’il y avait une niche sur la demande de béton en petite quantité&nbsp;», explique Jean-Marie Poulain, dirigeant de BigMat Camon. Et c’est ainsi que le service Béton2Go voit le jour. «&nbsp;Cela nous permet de proposer du BPE de dépannage, mais aussi de toucher de nouveaux clients, à l’image des paysagistes.&nbsp;» La mini-centrale est installée dans le dépôt, «&nbsp;ce qui nous permet de garder un lien avec nos clients&nbsp;». Ici, les usagers peuvent venir chercher béton ou chape, dans des quantités allant de 250 l à 1 m3. «&nbsp;Nous proposons 5 recettes différentes et celles-ci peuvent être formulées avec un retardateur.&nbsp;» Le client vient avec son propre moyen de transport, insère une carte magnétique correspondant à sa demande et peut repartir en quelques minutes avec son matériau. 5 recettes béton disponibles «&nbsp;Nous avons visé juste et le service a été bien accueilli. Le fonctionnement de Béton2Go offre plusieurs avantages, dont l’autonomie.&nbsp;» Pour Jean-Marie Poulain, le nettoyage à sec de la mini-centrale est aussi un atout de taille. «&nbsp;C’était important pour nous d’avoir une solution la plus écologique possible. Le nettoyage ne demande pas d’eau, mais des granulats, qui sont réinjectés dans la formulation des bétons. Il y a zéro déchet.&nbsp;» L’impact écologique de ses activités et du bâtiment en général est un sujet essentiel dans la stratégie de BigMat Camon. D’ailleurs, l’entreprise travaille aussi sur la mise en place d’un système de collecte de déchets de chantier autonome… A suivre. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine