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Résultats de recherche pour granulats

(1115 résultats)
Il y a 1 ans et 106 jours

Un très mauvais mois de novembre 2023 pour le Bâtiment et une année 2024 qui s'annonce compliquée

Depuis maintenant près de deux ans, les volumes de production des matériaux de construction se contractent graduellement en lien avec la crise immobilière qui pèse sur l’activité constructive. Les travaux en stock ou en cours s’achevant peu à peu, la contraction des permis de construire enregistrée ces derniers mois vient désormais assécher les mises en chantier de logements, propulsant l’activité du BPE et des granulats vers des plus bas.
Il y a 1 ans et 121 jours

Les Granulats Recyclés

Les granulats recyclés "s'invitent" dans les produits PRB. Ce sont des matériaux inertes issus de la déconstruction des bâtiment, des retours toupie béton, des rejets de préfabrication. Une deuxième vie est donnée à ces matériaux du BTP pour un modèle de construction plus durable.
Il y a 1 ans et 132 jours

Inauguration de l'unité de production de bétons de Loos

L'unité de production de Loos produit une large gamme de bétons prêts à l'emploi en ligne avec la construction durable, notamment des bétons bas carbone et des bétons conçus à partir de granulats recyclés. Cette nouvelle installation au service des clients Cemex intègre des standards élevés en termes de sécurité et de respect de l’environnement, renforçant ainsi leur engagement en faveur du développement durable.
Il y a 1 ans et 143 jours

Vers une troisième année de baisse et des niveaux historiquement bas pour les secteurs des matériaux et du bâtiment

Les volumes d’activité du BPE et des granulats se situent en octobre à des niveaux très inférieurs à ceux de l’an passé. La crise du logement, amorcée depuis un an et qui se traduit par le repli marqué des mises en chantier, des ventes et des permis, se diffuse graduellement à l’ensemble des secteurs aval et amont de la filière, les matériaux n’échappant pas à cet effet « domino ».
Il y a 1 ans et 153 jours

Accompagner les acteurs du béton dans leur transition environnementale

© CSTBÀ travers son accompagnement des industriels de bétons bas carbone, le CSTB est la porte d’entrée pour faire reconnaître de nouveaux matériaux ou procédés à empreinte carbone réduite avant leur mise sur le marché. Une dizaine d’Appréciations Techniques d’Expérimentation (ATEx) ont été délivrées à ce jour et d’autres sont en cours d'évaluation. C’est pour répondre à la demande des acteurs de bétons bas carbone que cet accompagnement a vu le jour en 2018. Pour mener à bien leur transition environnementale, nombreux sont les professionnels de la filière qui développent des liants ou des granulats innovants dans la formulation de béton bas carbone, ou repensent leurs produits pour réaliser une économie de matière ou d’alliage (béton armé, précontraint, etc.) ou favoriser le réemploi. L’expertise du CSTB les aide à passer de l’échelle du matériau à celle de l’ouvrage et d’en éprouver les performances mécaniques. L’obtention d’une Évaluation Technique de Produits et Matériaux innovants (ETPM) constitue une base solide pour la reconnaissance du matériau sur le marché. « Il s’agit de s’assurer que les ouvrages et semi-ouvrages innovants répondent à l’ensemble des sollicitations mécaniques chimiques et environnementales, et qu’elles respectent les conditions d’emploi », explique François Boutin, chef de projet au sein de la division Études et Essais Mécaniques de la direction Sécurité, Structures, Feu du CSTB. Assurer la pérennité de l’ouvrage Le poids carbone du béton est très impacté par le choix du ciment. Le ciment Portland est un des liants les plus émissifs en poids carbone, notamment du fait du processus de fabrication du clinker (cuisson à 1 450 °C et décarbonation du calcaire lors de cette cuisson). Les innovations portent ainsi sur de nouveaux liants de type laitiers de hauts fourneaux, cendres volantes, argiles (calcinée, crue, flashée…). Au-delà de l’impact sur la performance environnementale, ces changements dans la composition ont majoritairement des incidences sur la structure : retrait, fluage, adhérence des armatures, cinétique de prise, résistance, réaction au feu, etc. Ces différents comportements exigent parfois de bousculer les pratiques, tant sur chantier que lors de la conception. « Notre mission consiste à reprendre les hypothèses fondamentales inscrites dans les calculs des bétons et les Eurocodes, à adapter le code de calcul et à accompagner, si nécessaire, les acteurs dans la définition de dispositions constructives à prendre afin d’assurer la pérennité et la sécurité de l’ouvrage, poursuit François Boutin. Par exemple, si la cinétique de prise d’un béton bas carbone est plus lente, il faudra envisager des temps de coffrage plus longs, la réorganisation du chantier, ainsi que la formation des ouvriers. De même, un moindre ancrage des barres peut avoir des répercussions sur le dimensionnement du béton ou sur les ferraillages. Se pose alors la question du poids carbone : quel est le gain carbone si le béton nécessite une augmentation de la densité d’armature ? ». Délivrer des ATEx Deux évaluations techniques sont proposées : une sur le matériau (ETPM) et une autre à l’échelle de l’ouvrage (ATEx) pour chaque partie d’ouvrage (plancher, mur, dallage, etc.). « Nous proposons autant d’évaluations que de procédés dans lesquels le matériau peut entrer en jeu. Pour l’ATEx, nous nous appuyons sur une carte d’identité du matériau et de ses propriétés établies dans le cadre d’une ETPM, tout en précisant le plan de contrôle pour assurer la qualité lors de sa production », indique Étienne Prat, ingénieur évaluation au sein de la direction Sécurité, Structures, Feu du CSTB. L’heure est encore aux ATEx de cas A (vise un produit ou un procédé appliqué sur différents chantiers pendant une durée limitée déterminée) ou de cas B (concerne un projet de réalisation identifié, c’est-à-dire l’application d’une technique constructive sur un chantier précis à réaliser). À ce jour, une dizaine d’ATEx ont été publiées pour les ouvrages coulés en place, tels que les escaliers, les dallages, les fondations superficielles, les panneaux de façade et les panneaux porteurs. Au moins cinq autres ATEx devraient être délivrées cette année. Après cette première étape de vérification de la conformité à la sécurité de l’ouvrage, viennent les questions de compatibilité des revêtements, des colles, de la durabilité, de l’acoustique et de la thermique. « Sur ces sujets, nous sommes l’interlocuteur privilégié auprès des autres laboratoires du CSTB ou de prestataires extérieurs en sous-traitance. Nous sommes la porte d’entrée », commente François Boutin. En 2018, Hoffmann Green Cement Technologies était le premier acteur à bénéficier de cet accompagnement. Depuis deux ans, d’autres acteurs majeurs de l’industrie du ciment font appel à ce service. « Nous sommes en pleine progression en termes de sollicitations, ce qui nous pousse d’ailleurs à nous structurer » Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2022 Dans la continuité de ses précédents rapports RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2022 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 1 ans et 154 jours

Matériaux de construction : "tous les clignotants au rouge" pour béton et granulats en 2024

Avec la crise de l'immobilier et de la construction neuve, les professionnels des granulats et bétons se préparent à une année 2024 "qui enfonce tous les planchers historiques à la baisse" en France, après une année 2023 déjà difficile.
Il y a 1 ans et 154 jours

mat riaux de construction 8 2 pour la production entre janvier et octobre

« Les perspectives ne sont pas ne sont pas au beau fixe » pour le béton prêt à l'emploi (BPE) et les granulats, rapporte le président de l’Unicem.
Il y a 1 ans et 155 jours

Matériaux de construction : la production durablement impactée par la crise du logement

Les chiffres de production de béton prêt à l'emploi et de granulats pour 2023 et 2024 présentés par l'Unicem ce jeudi 7 décembre suivent...-Industrie
Il y a 1 ans et 171 jours

mat riaux de construction apr s une claircie estivale un contexte morose en septembre

Après une « parenthèse positive » cet été, l’activité des matériaux de construction a enregistré un nouveau déclin en septembre, selon l’Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction (Unicem). En septembre, la production de granulats et de béton prêt à l’emploi (BPE) enregistre respectivement -4,8 % et 3,5 % par rapport au mois d’août.
Il y a 1 ans et 200 jours

une parenth se positive pour les mat riaux de construction cet t

Comme un souffle d'air frais en cette période de crise, les matériaux de construction ont connu une « parenthèse positive » en août dernier. Mais si la production de granulats progresse en août, elle reste en dessous des niveaux d’il y a un an. D'autant qu'elle est tirée vers le bas par la demande de granulats, déjà en berne.
Il y a 1 ans et 206 jours

Requalification du centre ville de Vernon

Afin de requalifier son centre ville, la commune de Vernon à fait appel aux équipes d'Eurotech Floor et d'EQIOM. Après l'élaboration de plusieurs planches d'essais, c'est un béton bouchardé qui a été livré et coulé, avec des granulats apparents. Un chantier nécessitant une certaine logistique puisque qu'il a été réalisé sur 5 ans, avec 800 m2 de béton mise en place par an.
Il y a 1 ans et 211 jours

Vinci Construction lance un granulat hybride

INNOVATION. A l'occasion du salon Pollutec, qui se déroule du 10 au 13 octobre à Eurexpo Lyon, Vinci Construction a présenté Ogêo, un granulat formulé à base de ressources primaires (granulats de carrière) et secondaires (matériaux locaux issus de la déconstruction). Découverte.
Il y a 1 ans et 212 jours

Cavac Biomatériaux transforme le chanvre en isolant thermique et acoustique

Le chanvre permet de produire à la fois des isolants thermiques et acoustiques et des granulats pour le béton de chanvre, un mélange de chanvre, de chaux et d'eau.
Il y a 1 ans et 225 jours

Beaucaire (30) – Annonce d’un projet d’extension de la carrière d’exploitation des Cailloutis Villafranchiens pour répondre aux besoins d’aménagement du territoire

Le groupe Heidelberg Materials, qui investit actuellement près de 50 millions d’euros pour décarboner sa cimenterie de Beaucaire (Ciments Calcia), lance pour son activité dédiée aux granulats (GSM) un projet d’extension de la carrière située sur le territoire de la commune au lieu-dit « Clos des Melettes », le gisement […] L’article Beaucaire (30) – Annonce d’un projet d’extension de la carrière d’exploitation des Cailloutis Villafranchiens pour répondre aux besoins d’aménagement du territoire est apparu en premier sur Batipresse.
Il y a 1 ans et 234 jours

mat riaux de construction un repli relativiser au mois de juillet

Selon la dernière conjoncture de l'Unicem, la production et la livraison de granulats et de BPE connaissent une dégradation modérée au mois de juillet.
Il y a 1 ans et 295 jours

l inexorable d clin de l activit des mat riaux de construction

Alors que la conjoncture ne s’améliore pas dans le bâtiment, notamment avec la chute du logement neuf, l’Union nationale des matériaux de construction (Unicem) revoit ses prévisions à la baisse pour 2023, et prévoit désormais -7 % pour les granulats, et -6 % pour le BPE.
Il y a 1 ans et 305 jours

Deloitte décarbone son centre de formation

Pour la construction de la Deloitte University EMEA, Cemex a livré des bétons bas carbone, conçus à base de granulats recyclés.
Il y a 1 ans et 309 jours

Alain Plantier élu nouveau Président de l'Union nationale des Industries de Carrières et des Matériaux de construction

L’Assemblée générale de l’UNICEM, organisée à Reims le 21 juin 2023, a élu Alain Plantier à la présidence de la fédération, succédant à Alain Boisselon dont le mandat prend fin le 21 juin. Il est également réélu Président de l’Union nationale des Producteurs de Granulats (UNPG).
Il y a 1 ans et 312 jours

Unicem : tous les indicateurs matériaux sont à la baisse

La demande de matériaux poursuit sa baisse selon la dernière lettre conjoncturelle de l'Unicem : -6% sur un an pour la production de BPE, - 10 % pour celle des granulats... une chute qui risque encore de s’accentuer.
Il y a 1 ans et 322 jours

alain plantier lu pr sident de l unicem

L’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem), qui compte 900 entreprises adhérentes, vient d’élire son nouveau président en la personne d’Alain Plantier, déjà président de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG).
Il y a 1 ans et 325 jours

GIC – Italian Concrete Days

GIC est l'unique salon italien dédié au monde du béton et à l'industrie cimentière. Mais aussi, à la rénovation et à la démolition des structures en béton, aux industries de la préfabrication, aux chapes en béton. Et enfin, au recyclage et au transport des granulats.
Il y a 1 ans et 348 jours

MCB livre à Lafarge une nouvelle tour de stockage à granulats

L’industriel MCB a réalisé la nouvelle tour de stockage pour granulats destinée à la centrale Lafarge Bétons de Vitrolles.
Il y a 1 ans et 352 jours

quand la chaux hydraulique naturelle transforme vos sols

Depuis des siècles, les chaux hydrauliques naturelles sont employées pour bâtir, maçonner, enduire, rejointoyer, décorer et consolide. Elles s’utilisent également pour réaliser des bétons de chaux en sol (dallage, chape de pose en intérieur…) Pour cela, Saint-Astier® propose une offre de béton de chaux pouvant s’utiliser avec différents granulats, permettant aux utilisateurs de bénéficier d’un large choix de solutions pour leurs demeures et éco-habitats.
Il y a 1 ans et 353 jours

l activit des mat riaux de construction continue de d crocher au t1 2023

Depuis plusieurs mois, l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) fait état d’une baisse de l’activité des matériaux de construction, directement liée à la conjoncture actuelle, marquée par l’inflation, la remontée des taux d’intérêt, et à la baisse des permis de construire et des réservations dans le résidentiel. Bilan : au premier trimestre 2023, la production de granulats chute de 11,8 % par rapport à un an plus tôt, et celle du béton prêt à l’emploi, de 6,8 %.
Il y a 1 ans et 360 jours

HEIDELBERG MATERIALS FRANCE

HEIDELBERG MATERIALS FRANCE schilling mar 16/05/2023 - 17:10 En savoir plus sur HEIDELBERG MATERIALS FRANCE Heidelberg Materials Group se positionne comme un acteur clé sur le marché français des matériaux de construction grâce à ses filiales : Ciments Calcia, GSM, Unibeton et Socli, qui sont respectivement des leaders dans la production de ciment, de granulats, de béton prêt à l'emploi et de chaux. Le Groupe exploite aussi Tratel, une entreprise majeure dans le transport de produits en vrac et pulvérulents. Son réseau de 300 sites joue un rôle crucial, notamment dans la région parisienne. Partager
Il y a 2 ans et 0 jours

Des bétons bas carbone issus du recyclage pour la Deloitte University EMEA

Cemex a livré des bétons bas carbone, conçus à base de granulats recyclés, pour la construction de la Deloitte University EMEA à Bailly-Romainvilliers-Val d’Europe. Retour sur un projet particulièrement respectueux de l’environnement. BESIX et Dalkia Smart Building construisent, pour le compte de Nexity, le nouveau centre de formation du cabinet d’audit et de conseil Deloitte, […]
Il y a 2 ans et 30 jours

Première mondiale : un immeuble en béton 100% recyclé, signé Seqens et Holcim France

Cet ensemble immobilier à Gennevilliers (92) doit être livré fin 2024 par Seqens, filiale d’Action Logement. Clinker recyclé, granulats recyclés et même eau recyclée sont les composants de ce béton Holcim.
Il y a 2 ans et 35 jours

Lafarge France nomme William de Lumley directeur général

William de Lumley a rejoint Lafarge France en tant que directeur général de la ligne de produits granulats.
Il y a 2 ans et 49 jours

Bétons Stocker – JPS Granulats : Atteindre un objectif éco-responsable

En Bourgogne - Franche-Comté, JPS Granulats développe des solutions à empreinte environnementale réduite pour diminuer ses émissions de CO2.
Il y a 2 ans et 49 jours

Les bétons vertueux de Cemex pour le centre aquatique de Lens

Pour le futur centre aquatique lensois, Cemex a livré 2 000 m3 de bétons Vertua Classic. Et 1 500 m3 de bétons à base de granulats recyclés.
Il y a 2 ans et 52 jours

Un nouveau DG pour la ligne de produits Granulats de Lafarge France

Directeur de l'agence granulats IDF-Seine Aval, William de Lumley prend les rênes de la ligne de produits Granulats de Lafarge...-Négoce
Il y a 2 ans et 52 jours

Lafarge France : William de Lumley, nouveau directeur général de la ligne produits granulats

Géologue de formation, celui qui travaille autour du béton depuis 1998 est aussi membre du comité de direction du groupe.
Il y a 2 ans et 78 jours

Fabemi adapte son offre de blocs béton

Le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. [©Fabemi Fabemi a adapté son offre de blocs béton aux exigences de la RE 2020. Ce qui en fait des systèmes constructifs parfaits pour bâtir ou rénover des bâtiments durables et respectueux de l’environnement. Au sein de la gamme de blocs isolants Fabtherm, trois sont dotés d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. Ils sont ainsi deux à huit fois plus isolants que des blocs béton traditionnels. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives. De plus, ils permettent la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE 2020, et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. Lire aussi : Fabemi : Un système complet Une gestion éco-responsable En accord avec les directives de la RE 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à créer une synergie entre fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel. « Les blocs béton Fabemi sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France. Et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain », indique la marque. De la fabrication à la fin de vie, leur empreinte carbone est minimisée grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des granulats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement. Et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. Ce qui limite le transport et donc l’impact environnemental.  Fabemi met l’accent sur le recyclage En utilisant des granulats recyclés Sølar, Fabemi préserve les ressources naturelles. Ces granulats sont composés d’un assemblage de produits de carrières (ressources primaires) et granulats issus de la valorisation. Une partie de la production des usines de La Trinité (06) et de Vitrolles (13) intègre ces granulats en partie recyclés. Fabemi travaille pour étendre l’intégration de ce matériau éco-responsable à l’ensemble de ses sites de production. De plus, les blocs béton Fabemi sont entièrement recyclables. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats. Pour finir, ces blocs béton disposent de Fdes. Des données vérifiées et disponibles sur la base Inies qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 83 jours

Blocs béton Fabemi – Des matériaux authentiques pour constructions durables 

Naturel, recyclable et respectueux de l’environnement, le bloc béton est à la base de la construction de la plupart des bâtiments édifiés depuis des décennies. Au fil des ans, les industriels ont su le faire évoluer pour qu’il réponde à toutes les configurations de chantiers et aux exigences des normes environnementales, dont la RE 2020 actuellement en vigueur. Ainsi, Fabemi, l’un des leaders français sur le marché des produits en béton, a adapté son offre pour proposer des blocs béton (creux traditionnels, pleins, isolants, à bancher) toujours plus performants et permettant de répondre aux exigences des dernières réglementations. Inertes, résistants, performants acoustiquement et énergiquement… les qualités intrinsèques des blocs béton Fabemi en font des systèmes constructifs parfaits pour bâtir ou rénover des bâtiments durables et respectueux de l’environnement.Matériaux authentiques et très actuels, les blocs béton sont fabriqués à partir d’éléments naturels (granulats, ciment et eau). Aujourd’hui, la recette de base reste identique, mais le bloc creux historique a évolué : rectification pour une pose collée, géométrie différente ou intégration de matière pour améliorer les performances thermiques. Parmi la gamme de blocs isolants Fabtherm®, trois sont dotés d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. Ils sont ainsi deux à huit fois plus isolants que des blocs béton traditionnels. Ils contribuent également à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives, permettant la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE 2020 et de ses futurs seuils de 2025 et 2028.Adaptés à chaque type de construction (maisons individuelles, logements collectifs, Établissement Recevant du Public (ERP), bâtiments tertiaires, industriels, piscines… les blocs béton Fabemi ont su traverser les années pour s’adapter aux enjeux et défis du secteur du bâtiment. Du fait de leur variété et de leur complémentarité, les blocs béton Fabemi couvrent tous les besoins : murs enterrés, de soutènement, porteurs, thermiques, acoustiques, feu, parasismiques, cloisons… Le meilleur choix est celui du bon produit au bon endroit. Une gestion écoresponsable En accord avec les directives de la RE 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le Groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à créer une synergie entre fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton Fabemi sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France, et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain. De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est minimisée grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production, ce qui limite le transport et donc l’impact environnemental.   Fabemi met l’accent sur le recyclage En utilisant des granulats recyclés SØLAR, Fabemi produit des blocs béton de qualité, tout en préservant les ressources naturelles. Ces granulats sont composés d’un assemblage de produits de carrières (ressources primaires) et de déblais de chantiers (ressources secondaires). Une partie de la production des usines de la Trinité et de Vitrolles intègre des granulats recyclés SØLAR. Fabemi travaille pour étendre l’intégration de ce matériau écoresponsable à l’ensemble de ses sites de production.De plus, les blocs béton Fabemi sont entièrement recyclables ; ils n’ont donc pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent recyclables à l’infini et revalo-risables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats.Les blocs béton Fabemi disposent également de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. https://www.fabemi.fr
Il y a 2 ans et 87 jours

Le développement durable au cœur des actions de Cemex

Cemex obtient de nouveau la certification environnementale ISO 14001 pour 262 sites au sein de ses activités bétons et granulats. [©Cemex] Depuis plusieurs décennies, Cemex se mobilise en faveur du développement durable. En 2014, la totalité des sites de BPE et de production de granulats du groupe cimentier était certifiée ISO14001. Et cette année, pour la 4e fois, cette performance a été rééditée avec une nouvelle certification environnementale pour 262 de ses sites. « Les derniers audits ont confirmé notre engagement durable en matière d’environnement, souligne Quentin Saivet, responsable environnement chez Cemex. Nous avons mis en place des actions ambitieuses en matière de RSE et de biodiversité. Des améliorations significatives sur la gestion des déchets ont aussi été apportées. De plus, la bonne tenue et la propreté des sites audités sont tout aussi indispensables pour nous. » La création du CAP1 dès 1995 et le partenariat historique avec LPO2 depuis 2003 illustrent l’engagement de Cemex en faveur de la biodiversité. De plus, l’industriel poursuit ses actions au sein du Label Engagement Biodiversité proposé par Ecocert. « Cette certification récompense notre implication de longue date sur ce sujet, précise Johanna Moreau, responsable biodiversité chez Cemex. C’est une garantie indispensable dans la poursuite de nos actions, en particulier vis-à-vis du dispositif Entreprises Engagées pour la Nature. » Lire aussi : Cemex s’empare de l’Axe Seine Répondre aux exigences du Label RSE Cemex s’implique dans les démarches portées par l’association Unicem Entreprises Engagées. Et ce, dès sa création en 1992. Depuis 2017, les adhérents de la Fédération peuvent évaluer leur entreprise en matière de responsabilité sociétale. Cette norme ISO 26000 permet la réception du Label RSE. En valeur avec sa politique d’entreprise, Cemex n’a pas hésité à s’y engager. Fin 2021, à la suite de l’évaluation menée par le Cérib et après validation par un comité de parties prenantes externes de l’Unicem, l’industriel a renouvelé sa labellisation RSE au niveau “exemplarité”. « Nous sommes très fiers du niveau atteint, se réjouit Louis Natter, directeur du développement durable chez Cemex. Il est essentiel pour nous de répondre à toutes les exigences de ce label. Cela représente des efforts continus de la part de nos équipes, en particulier de celles de nos sites industriels. » A ce jour Cemex est la seule entreprise au niveau international à avoir obtenu cette distinction pour l’ensemble de ses activités. Elle porte ainsi, une démarche ambitieuse nommée Future in Action. Une stratégie globale qui constitue une feuille de route pour les prochaines années en matière d’action climatique, d’économie circulaire et de biodiversité. 1Collectif des Associations Partenaires. 2 Ligue de Protection des Oiseaux. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 95 jours

Rhône : Gonin TP se lance dans le béton de chaux

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. A l’aide de sa toupie Schwing Stetter, Gonin TP Carrières & Béton a livré 11 m3 de béton de chaux Saint-Astier pour rénover la ferme de Chatonday, à Saint-Pierre-de-Chandieu. [©Olivier Mermoz-Gonin TP] « Chaux devant ! Gonin TP arrive dans la production et la livraison de béton de chaux ! Notre objectif ? Répondre aux demandes et exigences de rénovation du bâti ancien. » Voilà ce qu’a déclaré avec entrain Olivier Mermoz, commercial chez Gonin TP Carrières & Béton. Spécialisée depuis 70 ans dans les travaux publics, la société s’est développée en se lançant, il y a 5 ans, dans le béton prêt à l’emploi. « Notre centrale de Saint-Clair-de-la-Tour, en Isère, produit des bétons de chaux depuis août 2022. Et nous ne comptons pas nous arrêter là ! » Ainsi, début décembre 2022, les propriétaires de la ferme de Chatonday à Saint-Pierre-de-Chandieu ont bénéficié de ses services. Dans le cadre de la réhabilitation d’un ancien corps de ferme en pisé et une grange datant de 1820. Il s’agit d’une éco-rénovation en matériaux biosourcés. Pour les accompagner dans ce projet, Gonin TP a livré 11 m3 de béton de chaux de consistance S3. Formulé sur la base de la chaux Saint-Astier NHL5, il intégrait des granulats de type 0/10. Le matériau a permis de couler une dalle sur l’ensemble du rez-de-chaussée. Dans un second temps, au premier étage, une autre dalle va être réalisée pour pouvoir créer d’autres pièces. Toutefois, à ce jour, aucune entreprise n’a été mandatée pour effectuer ces travaux. La métamorphose complète du bâti devrait s’achever d’ici la fin de cette année. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 96 jours

Société francilienne de béton : Savoir dépasser le contexte local

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Zakia Benrezkallah est le responsable QSE de la Société francilienne de béton. [©SFB] A l’origine PME familiale créée en 1991, la Société francilienne de béton (SFB) connaît une croissance régulière. Elle emploie 35 personnes au niveau de ses unités de production de BPE. Mais fait aussi appel à des prestataires extérieurs pour assurer la livraison du béton, ce qui représente en moyenne 80 chauffeurs. Au même titre que le personnel salarié, ces prestataires sont sensibilisés et formés aux problématiques de sécurité et de prévention, tant au niveau des sites que sur la route ou lors des phases de livraisons sur chantier. Sur ce dernier point, le client envoie un protocole de chargement/déchargement. Ce qui permet de filtrer, de poser des questions complémentaires, afin de s’assurer que les procédures de sécurité sont compatibles avec la zone de livraison. Chaque unité de production dispose d’un plan de circulation, évitant ainsi toute co-activité entre les toupies, les engins de manutention et les piétons. D’une manière plus globale, on retrouve chez SFB la plupart des actions mises en œuvre par la profession, basées pour la plupart sur des recommandations éditées depuis plusieurs années par l’Unicem. Lire aussi : Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée Avoir un œil critique Le turn-over est faible, l’ancienneté importante, mais l’entreprise accueille chaque année des intérimaires, indispensables pour faire face aux périodes de forte production. Ces collaborateurs ponctuels sont accueillis, sensibilisés aux risques et formés à leur poste de travail, en suivant les mêmes procédures que les salariés intégrés : « Je les reçois en premier, afin de les informer sur les risques les plus importants, précise Zakia Benrezkallah, responsable QSE de SFB. Nous visitons ensemble le site et je leur remets un livret d’accueil. Ensuite, ils sont pris en charge par un salarié qui va les assister au début dans leur fonction. En parallèle, j’assure un suivi régulier les premiers jours… » L’ensemble du personnel, salariés et intérimaires, reçoit un package d’EPI, avec des tenues différenciées été/hiver. Des quarts d’heure sécurité sont organisés à intervalles réguliers. SFB a mis en place une procédure d’audit externe, mais aussi interne, en faisant visiter les centrales aux salariés des bureaux, en leur demandant d’avoir un œil critique, dans un contexte qui n’est pas leur lieu habituel de travail. Les retours d’expérience sont positifs pour tous. Gérard Guérit Une politique environnementale assumée Chaque barge de livraison de granulats évite les rotations d’environ 40 semi-remorques. Pour la plupart, les granulats sont issus de carrières situées en Ile-de-France. [©SFB] La prise de conscience environnementale de SFB passe par plusieurs actions au niveau des différents sites de production. La plus importante reste le partenariat signé avec Hoffmann Green Cement, producteur de liants ultra décarbonés. Il s’agit là d’un moyen simple pour améliorer le bilan carbone de l’entreprise… Autre évolution notable, la livraison des granulats se fait par barges pour les sites implantés en bord d’eau. Un transport fluvial de 1 200 t représentant l’équivalent de 40 semi-remorques. De plus, les granulats sont pour la plupart issus de carrières proches situées en Ile-de-France. Les eaux de process et de nettoyage suivent un cycle de retraitement en circuit fermé. L’évolution du climat et le développement récent de phénomènes de précipitations violentes ont poussé les dirigeants de SFB à investir dans des cuves de rétention de grande capacité. Ceci, afin d’éviter tout risque de débordement des eaux. L’implantation d’unités de production dans des sites urbains implique aussi une gestion spécifique vis-à-vis du bruit et des émissions de poussières. Les convoyeurs à bande sont capotés, les pistes régulièrement arrosées, le personnel est équipé de bouchons d’oreille sur mesure et intégrant des filtres. Des mesures de bruit et d’émissions de poussières sont réalisées à intervalles réguliers, des registres d’observations, de remarques, voire de plaintes, sont mis à la disposition des riverains. Un lieu de travail durable et solidaire Dans le prolongement de l’engagement au label RSE, SFB a adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030. [©SFB] Face aux défis environnementaux et sociétaux actuels, SFB décide d’aller plus loin et s’engage dès 2018 dans deux démarches volontaires : le label RSE de l’Unicem et le Global Compact des Nations Unies. « L’engagement dans la démarche RSE de l’Unicem nous a d’abord aidés à établir un état des lieux. Mais aussi à valider ce qui relevait déjà d’une RSE, sans même parfois en avoir conscience. Il nous a permis d’aller plus en avant sur les thèmes que sont la gouvernance, les droits de l’homme, les relations et les conditions de travail. Tout comme l’environnement, la loyauté des pratiques, les questions relatives aux consommateurs, les communautés et le développement local », détaille Zakia Benrezkallah. Et de poursuivre : « Cette première démarche nous a fait prendre conscience des enjeux mondiaux d’une entreprise, même à l’échelle d’une PME comme la nôtre. Dans le prolongement de notre engagement au label RSE, nous avons ainsi adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030 ». Ces objectifs aident à contribuer à une économie plus viable et plus ouverte. Ils sont souvent interdépendants et dépassent les problématiques basiques et immédiates d’une entreprise. Par exemple, ils visent à promouvoir et à respecter la protection du droit international relatif aux droits de l’homme. A veiller à ne pas se rendre complices de violations des droits de l’homme. A préserver la liberté d’association. A contribuer à l’élimination de toutes formes de travail forcé, de toute discrimination en matière d’emploi et de profession. A appliquer une approche de précaution face aux problèmes liés à l’environnement. A favoriser l’usage de technologies respectueuses de l’environnement. Ou, enfin, à agir contre la corruption sous toutes ses formes. De la théorie aux faits concrets Sur plusieurs sites, SFB a mis en place des ruches. Une contribution à la lutte contre l’extinction des abeilles et pour la préservation de la biodiversité. [©SFB] S’engager dans de telles démarches implique de les traduire dans des actions concrètes… En 2021, SFB fait appel à une entreprise “adaptée” pour traiter la gestion de ses déchets. Une réelle participation à la réduction des inégalités. « Ce n’est pas une action de communication et elle n’a pas été relayée auprès du grand public, souligne Zakia Benrezkallah. Nous faisons cela par conviction. » Toujours dans le cadre d’une démarche sociale, l’industriel du BPE a noué un partenariat avec le concept “Nos Quartiers ont du Talent”, un dispositif qui accompagne et parraine des jeunes issus de milieux modestes en recherche d’emploi. Ce partenariat permet de reprendre confiance en son avenir, mais aussi d’acquérir les codes du monde du travail, de valoriser ses compétences… A l’heure où nombre d’entreprises peinent à recruter du personnel qualifié et que le taux de chômage reste élevé dans notre pays, de telles actions ne peuvent qu’aider à améliorer une situation de l’emploi qui reste complexe. De même, SFB s’est engagé dans la récupération et la revente des bouchons de bouteilles en plastique. Opération destinée à financer l’achat de fauteuils roulants. Un partenariat a été finalisé en période de Noël avec le Secours Populaire. Il proposait aux salariés de l’entreprise de constituer des coffrets-cadeaux comprenant un vêtement chaud, un produit d’hygiène, une gourmandise, un mot ou une carte d’accompagnement, et destinés aux sans-abris. Cette politique environnementale et sociale passe enfin par des journées Portes ouvertes qui visent à sensibiliser les non-professionnels à la fabrication, à l’usage et à l’intérêt des ouvrages en béton. L’occasion de montrer au grand public quelques initiatives originales, comme la mise en place de ruches, afin du lutter contre l’extinction des abeilles. Ou encore la création de prairies florales favorisant la biodiversité… Des démarches qui étonnent souvent ce public, dans un environnement qu’il perçoit a priori comme uniquement industriel ! Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 96 jours

Vicat mise sur Biosys, le bloc de chanvre qui respecte les habitude

Pose d’un bloc de chanvre à emboîtement (BCE) Bisosys de Vicat. [©Vicat] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Biosys est la marque des systèmes constructifs biosourcés du groupe Vicat. Et le bloc de chanvre à emboîtement (BCE) en constitue le premier représentant. L’élément est aujourd’hui préfabriqué par l’industriel Vieille Matériaux, dans son usine de Mérey-sous-Montrond, dans le Doubs. « D’une épaisseur de 30 cm, ce bloc plein est réalisé à partir d’un mélange de chènevotte ou granulats de chanvre et de ciment naturel Prompt », explique Damien Rogat, directeur innovations appliquées de Vicat. La formule de ce béton de chanvre est protégée par un brevet… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 96 jours

Loiret : BLM remplace une de ses trois centrales

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Basée à la Ferté-Saint-Aubin, la nouvelle centrale de BLM sera en mesure de produire 400 000 m3/an de BPE.[©Béton Logistique Maréchal] Fondé en 2008 et aujourd’hui filiale du groupe Nivet, Béton Logistique Maréchal poursuit son essor. En effet, l’industriel du BPE va inaugurer au printemps 2023 sa nouvelle centrale à béton. Située à la Ferté-Saint-Aubin, elle remplace l’ancienne devenue obsolète. Plus sûr en termes de sécurité, plus performant, cet outil industriel offrira davantage de produits spéciaux. Ce sera l’aboutissement d’un travail commencé en 2019 avec la recherche d’un nouveau terrain… « Nous tenions à rester sur la commune de la Ferté-Saint-Aubin, déclare Laurent Viton, chef de la centrale. Nous avons pu compter sur le soutien de la mairie durant toute cette étape. Nous sommes fiers et satisfaits d’avoir mis les moyens dans la construction de notre troisième centrale à béton. Une évolution qui permet de répondre aux problématiques d’aujourd’hui. » Lire aussi : Maine-et-Loire : Partenariat Hoffmann Cement et les Carrières Nivet Un malaxeur Teka TPZ Débutés en 2021, les travaux ont été confiés à l’industriel Stimm. La nouvelle centrale s’articule autour d’un malaxeur planétaire Teka TPZ de 2 m3, qui permettra une production annuelle estimée à 400 000 m3. Côté granulats, BLM a mis les moyens, puisque l’installation intègre 10 cases primaires au sol et 9 trémies secondaires sur la centrale, pour un volume global de stockage de 450 t. Une flotte de 7 toupies aux couleurs de BLM complète le dispositif. « Avec cette centrale, nous souhaitons développer notre présence dans le domaine des matériaux de construction autour d’Orléans. Nous faisons de nos clients, notre préoccupation première. » Implantées à proximité des zones urbaines, les 3 centrales à béton BLM répondent aux besoins des artisans et des entreprises du bâtiment situés dans un rayon de 35 à 40 km. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 97 jours

Alkern : Le miscanthus, granulat alternatif pour bétons

Alkern va produire des blocs de miscanthus à partir de 2024. [©Alkern] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Le miscanthus est un plante herbacée vivace de la famille des graminées, originaire d’Afrique et d’Asie du sud. Aussi appelée “herbe à éléphant”, elle a la faculté de repousser tous les ans à partir des mêmes racines, sans resemage. Et d’être résistante aux fortes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne chaleur et économe en eau. C’est pourquoi, elle rencontre un intérêt croissant dans nombres de secteurs : agricole, industriel ou de l’énergie. Fin 2017, l’Union européenne a même reconnu les cultures de miscanthus comme pouvant faire partie des surfaces d’intérêt écologique de la politique agricole commune… Ce n’est donc pas par hasard qu’un industriel du béton comme Alkern s’y soit intéressé. « Dès 2012, nous avons co-fondé l’association Biomis G3 pour étudier les possibilités d’usage du miscanthus dans notre secteur d’activité », souligne Christophe Lagrange, directeur “offres” d’Alkern. La démarche s’inscrit aussi dans la politique de l’entreprise, qui vise, comme le rappelle son précepte, à “Innover durablement ensemble”. Une des manières de le faire est de proposer une économie de la ressource pour aller vers des produits différents. A ce titre, le miscanthus constitue une matière première intéressante. Ainsi, à partir du début de l’année 2024, Alkern compte proposer une première gamme de blocs béton allégé à base de miscanthus. « Il s’agira d’un bloc non structurel destiné au remplissage de murs autour d’une ossature porteuse ». Sur le site d’une carrière Lafarge Même si ses dimensions ne sont pas encore calées, ce bloc plein devrait mesurer entre 50 et 50 cm de long, entre 30 et 35 cm de large, pour une hauteur de 20 cm. Il sera aussi rectifié pour permettre une pose à joint mince. Côté liant, les choses sont encore à l’étape de la R&D. « Avec un R de 3 m².K/W, notre bloc offre une belle performance thermique. Il est perspirant et est considéré comme un puits de carbone de par l’utilisation du miscanthus. » Le nouveau bloc doit être produit au sein de l’usine de Bernières-sur-Seine (27), implantée au cœur de la carrière appartenant à Lafarge Granulats. « Nous sommes en train de reconstruire cette usine dans son ensemble car l’ancien bâtiment n’est pas adapté à nos futurs besoins, tant en termes de capacités de production que de taille pour accueillir les nouveaux outils de production », confirme Christophe Lagrange. La proximité de la ressource végétale a aussi dicté le choix de ce site particulier. Enfin l’usine dispose d’un port compatible avec les transports par voie d’eau et il est proches des agglomérations rouennaise et parisienne. Sans compter la présence de collaborateurs qui maîtrise le process industriel du béton.  Pour Alkern, ce bloc biosourcé ne représente qu’une première étape. Même si à date, aucune diversification de l’offre n’est actée, il est évident que l’industriel n’en restera pas là. Et sachant qu’il a la volonté de développer la filière du miscanthus… Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 97 jours

Agresta ou la parole d’un précurseur

Bloc réalisé à partir de granulats de bois Agreslith-C d’Agresta. [©ACPresse] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Ce n’est pas compliqué, le granulat de bois pour béton, Daniel Gaillard en propose depuis 1977, à travers sa société Agresta ! La mixité des matériaux est donc un sujet qu’il Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 98 jours

Master Builders Solutions décortique la norme béton

Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Entre l’arrivée de le RE 2020, la nécessité de réduire l’impact environnemental de la construction et l’envie de s’inscrire dans une économie davantage circulaire, le monde de la construction évolue. Parfois très vite… De matière naturelle, le béton s’engage sur cette voie plus vertueuse. Mais pour avancer, il doit faire évoluer son encadrement normatif en France. C’est ainsi qu’en novembre 2022, le Complément National NF EN 206+A2/CN est entré en vigueur. Cette révision introduit des changements majeurs concernant les compositions des ciments et des bétons. Elle prend en compte de nouvelles technologies et le déploiement de méthodes spécifiques. Lire aussi : Le béton, grand oublié de la transition écologique Conscient de la force de ce Complément National, l’adjuvantier Master Builders Solutions a souhaité développer, de manière neutre, les implications pratiques pour les professionnels. En premier lieu, la norme béton NF EN 206-A2 devient NF EN 206-A2/CN. Ce Complément National qu’elle introduit précise les dispositions nationales complémentaires à la norme à respecter lorsque les articles de cette norme l’autorisent. Il s’applique lorsque le lieu d’utilisation du béton est la France pour les bétons destinés aux structures coulées en place. Mais aussi aux structures ou éléments de structures préfabriquées pour bâtiments et structures de génie civil. Il réunit les exigences applicables aux composants du béton à ses propriétés à ses spécifications jusqu’aux procédures de contrôle d’évaluation et de conformité et de livraison de ce matériau. L’arrivée des nouveaux types de ciments La nouvelle norme béton, décryptée par Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Toutefois, ce nouveau texte inclut une optique environnementale, en ouvrant la voie à de nouvelles solutions ou compositions du béton faisant notamment la part belle à l’économie circulaire. Celle-ci ouvre trois grands axes nouveaux principaux. Tout d’abord, l’intégration et la reconnaissance de nouveaux ciments, à l’image des CEM II/C-M et des CEM-VI. Très compétitifs pour une réduction de l’empreinte carbone, ces ciments ont déjà été intégrés dans la norme NF EN 197-5. De type ternaires, à la teneur en clinker très limitée, ils sont désormais autorisés dans les formulations de béton. C’est une reconnaissance précieuse pour les nouveaux projets constructifs impliquant une réduction d’émission de CO2 considérable d’ici 2030. Lire aussi : Le cimentier 2170 fait évoluer la norme prEN 197-6 Ensuite, ce texte permet l’incorporation de matériaux recyclés. Exemples probants de l’économie circulaire, les granulats issus du recyclage n’étaient admis qu’en faible proportion (10 à 20 % au maximum), tandis que les sables recyclés étaient, eux, proscrits ! Le Complément National agrée désormais leur utilisation, permettant une substitution pouvant aller jusqu’à 20 % de sables et 60 % de granulats recyclés, sans nécessité d’une approche performantielle. Les conclusions du travail du Projet National RecyBéton sont ainsi intégrées dans la norme… Lire aussi : Projet national Recybéton : L’usage des granulats recyclés dans les bétons Le travail de Perfdub passe dans le cadre normatif A ce propos, l’approche performantielle, prédictive et récente, permet d’aller beaucoup plus loin dans la recherche de solutions vertueuses. Il s’agit d’une méthode de spécification, d’évaluation et de justification de la durabilité des structures en béton armé ou précontraint. Elle permet de déterminer des bétons à durée de vie spécifiques basés sur différents indicateurs de durabilité. Cette intégration permettra de faire évoluer la composition et la nature des composants des bétons vers des niveaux encore moins émetteurs en CO2. Le Projet National Perfdub, en cours de restitution, voit aussi son travail passer dans le cadre normatif. L’apparition de nouveaux ciments, reconnus par le Complément National, implique de nouvelles approches et méthodes de travail. « Il faut prendre en compte les caractéristiques de ces ciments en pleine évolution. Le rôle des adjuvants devient encore plus essentiel et va devoir faciliter l’emploi des ciments dits “bas carbone” », explique Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group. Et Thibault Guédon, chef de marché BPE, de poursuivre : « En effet, ces ciments peuvent avoir parfois un impact sur la maniabilité, sur la viscosité du matériau en raison des additions. En synergie, les adjuvants vont apporter une maniabilité accrue et permettre d’atteindre les résistances nécessaires à jeune âge et à 28 j. » Le cas des ciments à plus de 50 % de laitier Cette ouverture sur le marché s’inscrit dans la lignée des recherches menées par Master Builders Solutions. En particulier, sur les granulats et les sables difficiles, qui avaient abouti à l’offre d’une nouvelle technologie MasterSuna. Un modèle pour résoudre les difficultés ou complexifications de formulation sur la défloculation à l’initial et pour le maintien de maniabilité. Face à ce nouveau texte, les adjuvantiers vont devoir répondre à des caractéristiques propres à ces nouveaux matériaux, par des technologies adaptées. En parallèle, ils vont devoir accompagner les professionnels du béton pour gérer l’impact de la mise en place de cette nouvelle norme. Le rôle de Master Builders Solutions se verra donc encore enrichi. Et le laboratoire d’applications et de recherche expérimentale de Lisses (91), adapté grâce à de nouveaux process, sera à l’écoute des producteurs de béton et des formulateurs. Une norme indispensable et attendue Le Complément National introduit une subtilité et une distinction entre les CEM III/A à plus ou moins 50 % de laitier moulu de hauts fourneaux. Dans le cas des CEM III contenant plus de 50 % de laitier, les règles de formulation béton à suivre seront celles du tableau NA.F.3 /NA.F.4. Autrement dit, le ratio E/C et les classes de résistances seront sensiblement plus restrictives pour certaines classes d’exposition (XC3, XC4, XD1, XF1). De la même manière, le nouveau texte ouvre la voie aux ciments LC3 ternaires intégrant l’argile calcinée. Ces additions sont connues pour avoir des demandes en eau importantes et impliquer l’utilisation d’adjuvants spécifiques. Cette nouvelle orientation de la norme va faciliter l’application de la RE 2020. Les prescripteurs pourront plus facilement atteindre ces objectifs et répondre ainsi aux demandes accrues des maîtres d’ouvrage publics ou privés. Ils vont désormais pouvoir incorporer des matériaux issus de l’économie circulaire, dans le cadre normatif. Cette garantie de produits normés va de surcroît simplifier l’assurabilité des ouvrages pour le maître d’ouvrage. [Inter 5] Augmenter la performance des bétons « Cette évolution de la norme était indispensable et attendue », reprend Christophe Landry. La mission de la construction aujourd’hui s’est élargie, avec des objectifs environnementaux précis. En particulier, une baisse conséquente des émissions de CO2. La raréfaction des sables alluvionnaires avait déjà modifié les approvisionnements bien avant l’entrée en vigueur de la RE 2020, ce qu’avait anticipé Master Builders Solutions. Lire aussi : Impulse Partners : “Innover constitue un droit à continuer à construire” Aujourd’hui, face à ces nouveaux ciments ternaires et à la reconnaissance de l’approche performantielle, deux axes sont poursuivis par l’adjuvantier. En premier, faciliter au maximum l’utilisation de ces nouveaux ciments. Ceci, « en répondant aux pertes de maniabilité et de résistance à jeune âge ou à 28 j induites par ces nouvelles compositions. Mais aussi en intégrant l’accentuation de celles-ci en hiver », détaille Christophe Landry. Et, en second, augmenter les performances de ces bétons. Un guide sur les réductions de CO2 Il est donc nécessaire d’intégrer des adjuvants à long maintien de maniabilité, rôle du tout nouveau MasterSure 1400 (mis sur le marché avant l’entrée en vigueur de ce texte). Il faut aussi pallier les pertes de performances du béton pouvant, à terme, générer des pathologies (impact du rapport E/C). Le MasterX-Seed STE 54 est déjà là pour remédier à ces pertes… « La variabilité de nature et de pourcentage des additions va complexifier la formulation de ces bétons, explique Thibault Guédon. Master Builders Solutions est présent pour accompagner les formulateurs, mettant à disposition ses équipes sur le terrain et son laboratoire. » En amont, afin de faciliter l’approche des professionnels, Master Builders Solutions a publié un guide sur les réductions des émissions de CO2 du béton. Il s’agit d’une véritable stratégie d’approche vertueuse qui réfléchit sur les apports nécessaires à la profession et qui propose des outils dédiés. « Cette stratégie s’ancre sur la technologie et les performances, conclut Christophe Landry. La réactivité conduit cette stratégie, tant dans la proposition de produits pertinents que dans l’accompagnement, qui sont les clefs de résultats efficients. » A ce niveau, un outil tel que D-Carbon est déjà à la disposition des commerciaux pour calculer le bilan carbone des formules bétons… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 104 jours

Une évolution de la conjoncture contrastée pour les matériaux de chantier, selon l'Unicem

Dans sa lettre de conjoncture de janvier 2023, l'Unicem indique qu’entre septembre et novembre 2022, la production de granulats a augmenté de 2,1% tandis que celle du BPE a diminuée de 1%.
Il y a 2 ans et 107 jours

Le groupe Rector Lesage obtient le label Engagé RSE de l’AFNOR

Cette distinction crédibilise et récompense l’engagement fort du groupe dans sa démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises, commencée depuis 2021, sous l’impulsion de la nouvelle génération d’actionnaires et de la Direction.Sous l’impulsion actionnariale, la direction du groupe a créé fin 2020 un Comité de Pilotage RSE lui confiant notamment la mission de définir les 4 piliers fondateurs de la démarche RSE du groupe :décarboner les produits et les activités,limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversité,assurer la sécurité et le bien-être au travail,maintenir son ancrage territorial.Afin de mieux la structurer et la crédibiliser, Rector a créé une Direction RSE et a décidé de s’engager dans le processus de labellisation « Engagé RSE de l’AFNOR » qui repose sur la norme ISO 26000, norme en vigueur en matière de RSE.Pour préparer l’audit de labellisation de l’AFNOR en juin 2022, Rector Lesage s’est fait accompagner par le CERIB pour constituer l’ensemble documentaire et rédiger son premier rapport RSE.« Label Engagé RSE » de l’AFNOR, une évaluation du niveau d’avancement de Rector sur tous ses axes RSELe « label Engagé RSE » de l’AFNOR est structuré en 5 indicateurs de moyens (vision et gouvernance, mise en oeuvre, RH, modes de production et ancrage territorial) et 3 indicateurs de résultats (environnementaux, économiques et sociaux). Au travers de chacun d’eux, les 4 axes de la démarche RSE de Rector ont été explorés et évalués au siège du groupe et sur 3 sites de production (Mulhouse, Couëron et Ravel) en incluant des interviews auprès d’une trentaine de salariés et des parties prenantes externes (fournisseurs, clients, actionnaires, …).Des initiatives concrètes pour faire de la RSE un projet d’entrepriseLa stratégie RSE de Rector se déploie sur la base d’une démarche d’amélioration continue. Elle implique aussi un vaste programme d’appropriation de celle-ci et des objectifs qui en découlent auprès des managers puis des collaborateurs.Les actions déjà entreprises par le groupe sur les 4 axes de la démarche ont permis d’atteindre le niveau confirmé du Label Engagé RSE de l’AFNOR. Parmi celles-ci, citons :Décarboner les produits et les activités Axe prioritaire de la stratégie RSE du groupe, il vise à mettre sur le marché des gammes de produits moins carbonés, à développer et promouvoir des modes constructifs plus vertueux et à réduire les émissions de CO2 directement liées à ses activités.La priorité de Rector a donc été de réduire l’empreinte carbone des bétons en substituant les clinckers par des laitiers de haut fourneau, en utilisant de l’acier recyclé à la place d’acier primaire et en optimisant l’énergie en phase de production. C’est ainsi que Rector a développé sa gamme de prédalles et prémurs RSOFT Bas Carbone. Un autre axe de réflexion a consisté à concevoir une solution de plancher qui permet plus de sobriété à l’échelle du bâtiment et donc une réduction de l’indice carbone du bâti par surface de plancher. Le système plancher dalle Caméléo, qui permet de s’affranchir de mètres linéaires de murs porteurs et de poutres tout en favorisant l’intégration de façades légères tels que des panneaux de façade bois , en est le parfait exemple. Offrant plus de modularité, cette solution permettra par ailleurs une modification d’usage du bâtiment plus facile et plus sobre après sa première phase de vie.Concernant ses activités, Rector a lancé un vaste programme de rénovation des systèmes de régulation énergétique de ses étuves. En permettant le contrôle en temps réel de la performance de chaque résistance et de chaque zone de chauffe de l’équipement de production, il est possible de mieux contrôler l’efficience électrique de celui-ci. Rector a ainsi constaté une réduction pouvant atteindre jusqu’à 50% des puissances nominales sur les étuves des sites concernés. En parallèle, le groupe projette l’installation de 80 000 m2 de panneaux photovoltaïques sur 5 de ses sites de production qui permettront de couvrir près de 90% de ses consommations électriques sans augmenter les surfaces imperméables.Limiter son impact sur l’environnement et préserver la biodiversitéUn levier d’action pour améliorer la performance environnementale de son activité est de s’approvisionner autant que possible en matériaux recyclés (vs matières vierges) réduisant ainsi la pression sur la ressource naturelle. A titre d’exemple, 100% des entrevous en plastique et 90% des aciers passifs utilisés dans la fabrication des bétons armés sont d’origine recyclée, tout comme 100% des emballages carton des Box.Au-delà des bassins de décantation dont 100% des sites Rector français sont équipés, l’entreprise a défini une politique « eau » ambitieuse visant notamment à réduire les consommations d’eau et la production d’effluents. Dans ce cadre, ce sont d’ores et déjà 86% des sites qui recyclent les eaux de lavage des machines à béton.Assurer la sécurité et le bien-être au travailEn plus des actions déjà engagées depuis plus de deux ans, Rector a mis en place trois jours de télétravail par semaine pour les postes télétravaillables et sur la base du volontariat. Pour les salariés qui ne peuvent pas en bénéficier, un jour de congés supplémentaire leur est alloué en compensation. En parallèle, Rector a poursuivi ses actions pour réduire la pénibilité des taches des opérateurs (réduction de moitié du poids de certains outils permettant de vérifier la qualité du béton, par exemple).Maintenir son ancrage territorialOutre ses sites industriels implantés au plus proche de ses fournisseurs de granulats et de ciment favorisant les circuits courts, Rector mène des actions de mécénat participant à l’attractivité du territoire. Ainsi, Rector vient de signer une convention avec le Centre national de Réadaptation de Mulhouse qui permet à des personnes ayant subi un accident de se former à un nouveau métier. Parmi les formations proposées, une est dédiée à l’apprentissage de logiciels utilisés par les Bureaux d’Etudes de Rector qui accueillera des stagiaires.« L’obtention du label Engagé RSE de l’AFNOR au niveau confirmé n’est pas une fin en soi. Rector agit avec humilité et détermination. Nous ne comptons et ne devons pas nous arrêter là » conclut Cécile Roland, nouvelle Directrice RSE de Rector.Reflet de la volonté du groupe de placer la RSE au coeur de sa stratégie, Cécile Roland est arrivée en Février 2022 pour structurer et formaliser la politique RSE de l’entreprise jusqu’à sa mise en oeuvre opérationnelle. Cette démarche vise à rendre l’entreprise plus durable et responsable tout en se préparant à répondre aux enjeux de la nouvelle directive CSRD. Celle-ci rendra obligatoire, à horizon 2030, pour toutes les entreprises - à l’exception des micro-entreprises - le déploiement d’une stratégie RSE et la déclaration de leur performance en la matière.