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Résultats de recherche pour groupe bouygues

(951 résultats)
Il y a 1 ans et 189 jours

colas enregistre une croissance solide en 2023

Colas, filiale travaux publics du groupe Bouygues, présente des résultats solides pour les neuf premiers mois de l'année 2023, enregistrant un carnet de commandes en hausse de 11 % sur un an.
Il y a 1 ans et 189 jours

Un niveau d'activité satisfaisant pour Bouygues sur les trois premiers trimestres de 2023

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues enregistre une forte progression de son chiffre d'affaires entre janvier et septembre 2023, surtout due à la contribution d'Equans.
Il y a 1 ans et 232 jours

Colas bientôt à 100% sous le contrôle de Bouygues qui en fait évoluer la gouvernance

STRATEGIE. Bouygues a annoncé son intention de retirer Colas de la Bourse et d'en faire évoluer la gouvernance en dissociant les fonctions de président et de directeur général. Des décisions qui ont entraîné la démission de Frédéric Gardès, P-dg du constructeur d'infrastructures de mobilité. Batiactu a pu échanger avec un porte-parole du groupe Bouygues.
Il y a 1 ans et 232 jours

Colas : le PDG Frédéric Gardès démissionne

Le patron de la filiale du groupe Bouygues spécialisée dans les travaux routiers sera remplacé par un duo. Pascal Grangé devient président...-Entreprises
Il y a 1 ans et 267 jours

Bouygues annonce un carnet de commandes historique dans la construction et des innovations dans l'énergie

Le groupe Bouygues, dans un contexte global "instable", voit son activité soutenue par l'intégration d'Equans, sur le secteur porteur de la transition énergétique, mais aussi par son cœur de métier, la construction et les travaux publics, dont les carnets de commande atteignent "un niveau historique".
Il y a 1 ans et 284 jours

"Bonne tenue des activités" pour Bouygues au premier semestre 2023

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues a présenté son bilan encourageant pour le premier semestre 2023. Si l'intégration d'Equans lui permet d'afficher un haut niveau de croissance, les activités liés à la construction montrent, hors immobilier, des niveaux de performance satisfaisants.
Il y a 1 ans et 299 jours

Sept grands groupes, dont Bouygues construction, s'engagent pour la décarbonation des PME

ALLIANCE. En signant la charte d'engagement de l'alliance Pacte PME, sept grands groupes français se sont engagés à soutenir la décarbonation de milliers de TPME dans les années à venir.
Il y a 1 ans et 302 jours

Réhabilitation de logements par Bouygues Bâtiment avec le Leica BLK360

Découvrez le projet de numérisation de Bouygues Bâtiment Nord-Est dans le cadre de la réhabilitation de 1.440 logements avec le scanner laser 3D BLK360. Témoignages de Laurene Robert, Coordinatrice BIM, et Basile Maizieres, Chef de groupe travaux de Bouygues Bâtiment Nord-Est.
Il y a 1 ans et 321 jours

Bouygues célèbre les 60 ans des Compagnons du Minorange

Les Compagnons du Minorange fêtent leurs 60 ans. Cette communauté vise à récompenser les meilleurs ouvriers du groupe Bouygues.
Il y a 1 ans et 335 jours

En Arabie saoudite, le groupe Bouygues réalisera un projet hôtelier conçu par Jean Nouvel

INTERNATIONAL. Bouygues construction a signé un partenariat avec la commission royale pour Al Ula, afin de gérer la construction du resort et de l'International summit center de Sharaan, imaginé par l'architecte Jean Nouvel.
Il y a 1 ans et 357 jours

Bouygues dans une bonne dynamique début 2023, portée par l'intégration d'Equans

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues enregistre une croissance exceptionnelle en ce début d'année 2023, du fait principalement de la contribution d'Equans, qui intègre désormais Bouygues Energies et Services.
Il y a 2 ans et 10 jours

bouygues lance un fonds d investissement pour les start up de la construction

Le groupe Bouygues annonce le lancement d'un fonds d'investissement : ISAI Build Venture. Doté de 80 millions d'euros, il est destiné à soutenir les start-up de la construction et de l'immobilier, investies dans la transformation numérique et la décarbonation du secteur.
Il y a 2 ans et 11 jours

Bouygues lance un fonds d'investissement pour les startups de la construction et de l'immobilier

Le groupe Bouygues a annoncé jeudi 27 avril le lancement d'un fonds d'investissement, ISAI Build Venture, doté de 80 millions d'euros, destiné à soutenir les startups de la construction et de l'immobilier investies dans la transformation numérique et la décarbonation du secteur.
Il y a 2 ans et 27 jours

Accord entre Bouygues et des associations en faveur d'un projet immobilier sur l'Ile Seguin à Boulogne-Billancourt

La société de promotion immobilière du groupe Bouygues a annoncé jeudi 6 avril avoir signé avec six associations un protocole d'accord qui met fin à leur recours contre un projet immobilier situé sur l'Ile Seguin à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).
Il y a 2 ans et 38 jours

Les 9 valeurs de l'Ordre du Minorange - La transmission du savoir

Reconnus pour leur éthique de travail, leur engagement et leur sens du partage, les Compagnons sont fiers de représenter les valeurs du groupe ! Rencontrez Henrique, champion du Minorange, qui vous parle de la transmission du savoir chez Bouygues Construction.
Il y a 2 ans et 48 jours

Bouygues aux manettes de deux lots de génie civil du métro de Toulouse

CONTRATS. Le groupe Bouygues, via Bouygues Travaux, mènera deux lots de génie civil dans le cadre de la construction de la troisième ligne de métro à Toulouse.
Il y a 2 ans et 53 jours

Bouygues investit dans un spécialiste de l'hypergéolocalisation par satellites

STRATEGIE. Le groupe Bouygues, à travers Bouygues Construction, Colas et Bouygues télécom, a participé à la levée de fonds de l'entreprise Geoflex, qui développe des services grâce à l'hypergéolocalisation par satellites.
Il y a 2 ans et 54 jours

Immobilier : Bouygues mise sur le bas-carbone et la réhabilitation

MIPIM 2023. Le salon international de l'immobilier, qui se tient du 14 au 17 mars à Cannes, est l'occasion pour les promoteurs de présenter leurs innovations. Le groupe Bouygues lance, tous azimut, des marques spécialisées pour appréhender la diversification du métier de constructeur et de promoteur. Et affiche des objectifs ambitieux.
Il y a 2 ans et 61 jours

Le groupe Bouygues à l'aube d'une nouvelle étape de son développement

INFOGRAPHIE. Malgré un contexte instable, le groupe Bouygues est parvenu à atteindre les objectifs qu'il s'était fixés pour 2022. Et avec le rachat d'Equans, il compte bien s'inscrire dans une nouvelle dynamique de croissance. Retrouvez les résultats et faits marquants de l'exercice 2022 du groupe, dans un tableau de bord Batiactu.
Il y a 2 ans et 67 jours

Julien Antoine, Dg de bouygues Bâtiment IDF-HS

Julien Antoine a été nommé directeur général chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social. [©Bouygues] Julien Antoine devient le nouveau directeur général de Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social, acteur majeur du logement social en Ile-de-France depuis plus de 60 ans. Il rejoint l’équipe de Thierry Fisarol, directeur général délégué de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, et Philippe Jouy, directeur général de Bouygues Bâtiment France. « Depuis mon arrivée, j’ai pu apprécier au quotidien le formidable état d’esprit des plus de 1 000 collaborateurs qui composent les équipes d’Habitat Social ! Une attitude cruciale pour poursuivre nos engagements à construire, rénover, entretenir… de façon durable. Tout en préservant le climat et la biodiversité, ingrédients indispensables à l’harmonie de demain. La haute satisfaction de nos clients et de nos partenaires restera évidemment le fil rouge de notre action au quotidien ! » Un parcours au sein de Bouygues Bâtiment Nord-Est Diplômé de l’Institut national des sciences appliquées (Insa) de Strasbourg, en 2004, Julien Antoine a débuté sa carrière au sein du groupe Bouygues. Ceci, en tant qu’ingénieur travaux sur la région Grand-Est. Puis, a gravi les échelons. En 2015, il a été nommé responsable commercial. Et en 2017, il a été directeur régional Alsace – Bourgogne – Franche-Comté. Puis, son périmètre s’est étendu au Grand Est et au Luxembourg.  Lire aussi : Avec Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Anne est au 7e ciel ! Julien Antoine a travaillé 18 ans avec l’équipe de Bouygues Bâtiment Nord-Est, afin de renforcer l’ancrage régional par des mesures et des engagements d’intégration partenariats sociaux. Une expérience acquise sur plusieurs projets au service de clients publics et privés. En particulier, les chantiers emblématiques comme le Grand Nancy Thermal, les Black Swans à Strasbourg, la tour Sigma à Dijon et le Parlement européen… Un savoir-faire précis, des innovations et des approches concrètes lui ont permis de contribuer à mener à bien ces projets diversifiés et attractifs pour le territoire. Autant d’opérations en faveur de la biodiversité et de l’économie circulaire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 69 jours

colas nomme sa nouvelle directrice administration finance et strategie

Le groupe Colas, filiale Travaux publics du groupe Bouygues, annonce avoir confié à Valérie Agathon le poste de directrice Administration, Finance et Stratégie.
Il y a 2 ans et 73 jours

Bouygues engrange des commandes dans son cœur de métier et réoriente sa stratégie avec Equans

Le conglomérat du BTP, des médias et des télécoms a enregistré en 2022 un bénéfice net en recul de 13,5% à 973 millions d'euros, mais le bénéfice opérationnel a progressé de 16,38% à 2 milliards d'euros.Le bénéfice net est en recul car il se trouve lesté de 90 millions d'euros de coûts exceptionnels liés notamment à des frais d'opérations de fusions-acquisitions concernant l'énorme rachat du groupe de services techniques Equans à Engie l'an passé, et à des frais liés au projet de mariage entre TF1 et M6, finalement avorté en septembre.Ces résultats sont à comparer à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data-centers et des cessions d'actions d'Alstom.Malgré la guerre en Ukraine, l'inflation et l'envolée des taux d'intérêts, l'activité est restée soutenue dans la quasi-totalité des métiers. Le chiffre d'affaires global s'est inscrit en hausse de 18% à 44,3 milliards d'euros, en progression surtout à l'international (+34%)."La croissance est tirée par l'intégration d'Equans, par Colas et la construction, et dans une moindre mesure par les télécoms", relèvent les analystes d'Oddo dans une note.Seul Bouygues immobilier a vu son chiffre d'affaires baisser (-4%), dans un marché "globalement attentiste", selon le communiqué du groupe.Le chiffre d'affaires de la division "construction et services" s'est, lui, établi à 30,5 milliards d'euros, en hausse de 9%, essentiellement porté par Colas.Fin décembre 2022, le carnet de commandes de la construction et des services était "en hausse de 2% à 33,8 milliards d'euros, un niveau historique", s'est félicité le groupe.La branche construction enregistre une progression des ventes de 3% à 13,17 milliards d'euros et offre "une bonne visibilité" avec un "haut niveau de carnet de commandes" de 20,6 milliards d'euros.Intégration d'EquansPour la suite, "dans un environnement instable, marqué par l'inflation, la hausse des taux d'intérêt et la volatilité des devises, Bouygues vise pour 2023 un chiffre d'affaires proche de celui de 2022, et une augmentation du résultat opérationnel courant de ses activités (ROCA)", a indiqué le groupe riche de 196.000 collaborateurs.Côté Bouygues Telecom, l'activité commerciale est "restée dynamique", avec des ventes en hausse de 4% et la conquête de 449.000 nouveaux clients mobiles et 674.000 dans la fibre (FTTH). Au total, le parc mobile et fibre compte 19,9 millions de clients.Dans l'autre vitrine du groupe, TF1, le bénéfice net a reculé de 21,8% en 2022, à 176 millions d'euros, malgré une progression de ses ventes de 3% et les bonnes performances publicitaires durant la Coupe du monde de football. L'année aura été ternie par le mariage raté de TF1/M6 à cause des concessions demandées par l'autorité de la concurrence.A 6,6 milliards d'euros, la reprise d'Equans et de ses 70.000 salariés, est le plus gros rachat de l'histoire de Bouygues. Elle "nous positionne dans une nouvelle dynamique de croissance", et "significative" a commenté Olivier Roussat, directeur général du groupe lors de la présentation des résultats.En 2022, Equans, intégré à la branche Bouygues Energies et Services en octobre, aura contribué pour 3,8 milliards d'euros au chiffre d'affaires global. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 13,8 milliards.Bouygues vise "une légère croissance de son chiffre d'affaires en 2023 et 2024", avant une "accélération" en 2025.Avec des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, ce rachat doit permettre à Bouygues d'accélérer dans le secteur porteur des services à la transition énergétique.Avant l'acquisition, la division "construction et services" pesait 75% dans l'activité du groupe (dont 10% pour les services).L'intégration d'Equans déplace "son centre de gravité" vers une activité "beaucoup plus orientée vers ce sujet des énergies et services", a souligné M. Roussat. Un secteur amené à peser désormais pour un tiers du portefeuille d'activités (48% pour la seule construction), selon les projections.
Il y a 2 ans et 74 jours

L'activité construction soutient la croissance du groupe Bouygues

Jeudi 23 février, le groupe Bouygues a présenté ses résultats de l’année 2022, qui augurent de bonnes perspectives pour l'activité...-Entreprises
Il y a 2 ans et 74 jours

Objectifs atteints pour Bouygues en 2022

RÉSULTATS. Le groupe Bouygues a bouclé une bonne année 2022, marquée par une accélération de son développement malgré un contexte toujours instable à divers points de vue, principalement pour ses activités de construction.
Il y a 2 ans et 77 jours

Issy Cœur de ville, le nouveau projet de quartier à Issy-les-Moulineaux

Le concept retenu consiste à construire les bâtiments autour d’un nouveau parc urbain. La vie s’organise autour de l’espace central, entièrement piétonnier et abondamment planté d’arbres de haute tige. Cette option a une double finalité, satisfaire le désir de contact avec la nature des résidents et des promeneurs mais également s’inscrire dans l’histoire même de la Ville d’Issy-les-Moulineaux, tel un prolongement.C’est une commune qui s’est développée sur un ensemble de parcs appartenant à des châteaux ou des communautés religieuses en partie disparus, mais dont il subsiste de vastes espaces verts qui constituent une trame végétale dans laquelle s’intègre la création de ce nouveau parc.Cette contextualité est essentielle car cette ville dispose d’une identité propre et l’objectif était de créer une véritable greffe urbaine.Alors que ce territoire se présentait comme une enclave, le projet Coeur d’Issy proposait de recréer la continuité du centre-ville. Celle-ci est assurée par la prolongation des rues adjacentes à travers le site mais également par la construction d’îlots bâtis de même dimension et de même forme que les îlots existants aux alentours. Enfin, la relation entre le nouveau parc et la ville est exprimée par la création de cinq portes urbaines qui mettent en scène ses accès et offrent des points de vues sur la ville (clochers des églises, arbres remarquables, patrimoine culturel de la ville...).Le parc constitue donc le centre du quartier. Les immeubles qui l’entourent ont été découpés en gradins successifs pour ouvrir largement cet espace planté vers le ciel et favoriser son ensoleillement. L’ensemble constitue une véritable vallée verte.Ce dispositif permet de fournir aux logements des prolongements extérieurs sous forme de terrasses ombragées par des pergolas. Dans le parc, un soin particulier est apporté au traitement des cheminements, des sols minéraux et végétalisés, au choix des espèces d’arbres et de couvre-sols.Ce projet se caractérise également par sa mixité : mixité fonctionnelle, générationnelle et sociale. Il associe des logements en accession et des logements sociaux, organisés en 5 îlots, à des immeubles de bureaux, répartis sur le site en 3 ensembles. Les RDC sont occupés par des commerces, des restaurants et des brasseries qui s’ouvrent sur le parc central. On y trouve également un groupe scolaire (écoles maternelle et primaire), une crèche, des hébergements pour personnes âgées, un atelier de création numérique et des cinémas.Il y a quelques années un tel programme aurait entrainé la réalisation d’un socle associant centre commercial et équipements. Ici, c’est exactement l’inverse qui a été fait. Le parc est un lieu de promenade arboré qui longe la totalité des équipements situés en pied d’immeuble.Les immeubles de bureaux sont répartis sur le site pour éviter tout effet de zoning, ce qui permet à leurs usagers de profiter de la vie et de l’animation du quartier.Ce projet illustre également que la densité urbaine peut être heureuse.Ce projet compte plus de 105.000 m2 de surface de plancher sur une parcelle de 3 ha ; il propose aux citadins un quartier à la fois dense et aéré par sa morphologie architecturale et son paysagement. Par des jeux de percées, de construction en gradins, d’échelle et de niveaux, la vision reste aérienne, offrant une grande variété architecturale. Cœur d’Issy a été imaginé dans la tradition historique de la ville où les espaces verts et la qualité architecturale ont toujours été un enjeu.La densité urbaine pour une opération située en centre-ville à proximité de deux stations de métro est une façon vertueuse de lutter contre l’étalement urbain et tous ses inconvénients.Enfin, ce nouveau quartier est exemplaire en termes de respect de l’environnement et d’économie d’énergie. Les immeubles de bureaux sont des bâtiments à énergie positive et l’ensemble du quartier est certifié « WELL COMMUNITY», il bénéficie du label BiodiverCity, son fonctionnement est assuré à 70% par de l’énergie renouvelable.Chiffres-clésLocalisation : Issy-les-Moulineaux, FranceUn nouveau quartier : caractérisé par une mixité fonctionnelle, sociale et générationnelle, composé de 8 bâtiments ouverts sur la ville, autour d’une promenade piétonne de 7.250m2.Programme : 607 Logements répartis en 5 bâtiments (40.909m2 SDP)3 bâtiments de bureaux (40.903m2 SDP)34 Commerces et restaurants dont un cinéma de 7 salles (17.332 m2 SDP)Atelier de création numérique (1578m2)Équipements publics : crèche, école, salle polyvalente (6158m2 SDP)932 places de stationnement dont un parking public1 ha de surfaces végétalisées110 arbres de haute tige,235 arbres à petit développement3413m2 de pleine terre3247m2 de panneaux photovoltaïquesSurface : 105.000m2 sur un terrain de 3 haMaître d’ouvrage : ALTAREACalendrier : Concours 20161ere pierre 11 juin 2019Livraison en octobre 2022Labels et certifications : Au niveau du quartier Label BiodiverCityWELL Community StandardBâtiments de bureaux NF HQE Bâtiments tertiaires 2015« Passeport exceptionnel »BREEAM niveau Excellent référentiel 2016WELL « Core and Shell » niveau SilverLabel BiodiverCity niveau ABCCLabel BEPOS Effinergie 2013Commerces BREEAM « Shell and Core » niveau Excellent référentiel 2016Logements NF Habitat HQEIntervenants Valode et Pistre ArchitectesBuilders & Partners (Maîtrise d’Œuvre d’exécution)Raphia ( Paysagiste)SETEC (Structure et Fluides)EGIS (Fluides)CEEF (Façades)CEE (Economiste)Avel (Acousticien)Concepto (Eclairagiste)Terao (Conseil environnemental)Bureau Veritas ( Bureau de Contrôle)Bouygues Construction – Entreprise Générale
Il y a 2 ans et 87 jours

Bouygues face au sexisme ordinaire

Bouygues s’engage pour lutter contre le sexisme ordinaire en entreprise. [©ACPresse] Bouygues s’engage pour lutter contre le sexisme ordinaire en entreprise. Un comportement qui se manifeste par des signes, des gestes ou des propos qui déstabilisent, infantilisent ou délégitiment, voire disqualifient les femmes et les hommes sur le marché du travail. Le groupe de BTP a signé l’acte d’engagement fondateur #StOpE. Cet engagement s’étend à l’ensemble de ses filiales, comme Bouygues Construction et TF1 notamment. L’initiative #StOpE compte aujourd’hui 199 organisations signataires. L’objectif est de lutter contre le sexisme ordinaire en entreprise, en expliquant les bonnes actions et pratiques sur ce sujet. « Le respect est la valeur cardinale du groupe Bouygues. Le cultiver est fondamental. Lutter contre le sexisme ordinaire permet de créer un cadre de travail bienveillant et ouvert qui permet à chacun de s’épanouir pleinement », explique Edward Bouygues, directeur général délégué du groupe et signataire de l’acte d’engagement. 8 femmes sur 10 victimes de sexisme ordinaire en entreprise Le baromètre #StOpE/BVA mené auprès de 64 000 personnes en 2021 indique que plus de 8 femmes sur 10 sont victimes de sexisme ordinaire en entreprise. Et 4 hommes sur 10 disent également être victimes de propos dégradants s’appuyant sur des clichés de la masculinité. En signant l’acte d’engagement, Bouygues devra mettre en pratique au moins une des huit actions prioritaires définies par #StOpE. Tout d’abord, appliquer le principe tolérance zéro, informer pour faire prendre conscience et former sur les bonnes pratiques. Ensuite, diffuser des outils pédagogiques, inciter les salariés à contribuer à la lutte, prévenir les situations de sexisme et accompagner les victimes. Enfin, sanctionner les comportements sexistes et mesurer les avancées. Lire aussi : Bouygues s’engage pour le bois français Bouygues a déjà mis en place des actions dans plusieurs dans ses filiales. « Signer cet acte au niveau du groupe, c’est engager tous les collaborateurs, en leur rappelant le niveau d’exigence que nous nous fixons pour lutter contre toute forme de discrimination et le sexisme ordinaire », conclut Jean-Manuel Soussan, directeur général adjoint, directeur des ressources humaines du groupe Bouygues. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 89 jours

LOXAM ET BOUYGUES ENERGIES; services signent un partenariat stratégique pour accélérer la filière hydrogène

Dans le cadre du salon HyVolution, le groupe Loxam, leader français et européen, 4e acteur mondial du marché de la location de matériels et outillage, et Bouygues Energies & Services, acteur clé de la transition énergétique et digitale des territoires, des industries et des bâtiments, annoncent la signature d’un accord de partenariat stratégique pour le […]
Il y a 2 ans et 102 jours

Le groupe Bouygues renforce sa politique de lutte contre le sexisme en entreprise

SANTÉ. De nombreuses initiatives vont être mises en place pour tenter d'éradiquer le sexisme en entreprise au sein du groupe Bouygues et de ses filiales. La direction appelle ses salariés à agir dans le cas où ils seraient témoins de propos et de comportements inappropriés.
Il y a 2 ans et 104 jours

Rénovation de l'éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d'énergie qui dépassent l'objectif attendu

D'une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d'un rez-de-chaussée où se trouve l'espace d'accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d'un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d'une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l'entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN.Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin - Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected.Un objectif initial de 75% d'économie d'énergie en hiverAfin d'atteindre les économies d'énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d'éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d'éclairage réalisée par le bureau d'études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer :les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d'éclairage intelligent SylSmart Connected,les spots fluocompacts d'une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II.Pour apprécier l'efficacité de la solution d'éclairage recommandée et s'assurer qu'elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l'apport de lumière naturelle) ont d'abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l'ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022.Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d'éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 104 jours

Passoires thermiques : Est-ce atteignable ?

Le gouvernement fait la chasse aux passoires thermiques. [DR] Xerfi Canal est l’un des leaders en France des études économiques sectorielles. Vincent Desruelles a effectué, pour le compte de l’entreprise, une étude poussée sur la rénovation de l’habitat, et notamment des passoires thermiques. Si l’ensemble de l’étude est disponible sur le site de la société, son communiqué en retrace les grandes lignes et nous en apprend un peu plus sur les perspectives du secteur. Portée par les subventions MaPrimeRénov’ et les aides directes comme les CEE ou les dispositifs complémentaires des collectivités locales, la rénovation énergétique tirera le marché de l’entretien-rénovation de bâtiments. Estimé à 114 Md€ (résidentiel et non résidentiel, avec les petits travaux), ce dernier bondira en moyenne de plus de 4 %/an de 2024 à 2025, après un ralentissement en 2023 lié au recul des ventes dans l’ancien et aux pressions sur le pouvoir d’achat, d’après les experts de Xerfi Precepta. Une forte croissance du secteur de l’entretien-rénovation Les dépenses en entretien-rénovation pour le seul habitat devraient augmenter de 4,3 %/an en moyenne d’ici 2025 pour s’établir à 100 Md€. Cette hausse est 2,5 fois supérieure à celle de la décennie 2010. Le marché profite donc bien d’un coup de pouce lié à la transition énergétique. Déjà, quelque 50 000 biens en étiquette G et dont la consommation dépasse 450 kWh/m²/an doivent sortis du marché locatif. Au total, près de 150 Md€ seront nécessaires d’ici 2034 pour supprimer les passoires thermiques du parc locatif, dont 35 à 40 Md€ avant la première grande échéance de 2025 (interdiction à la location de tous les biens étiquetés G). Les moteurs pour la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux (36 Md€ en 2022) resteront, eux aussi, puissants à moyen terme. Face aux difficultés à construire des projets neufs, les opérations de reconversion-réhabilitation auront en effet la cote. Celles-ci sont d’ailleurs encouragées par les collectivités et peuvent se traduire par des associations entre promoteurs et investisseurs. Un objectif inatteignable ? Toutefois, les objectifs ambitieux d’éradication des passoires thermiques pourraient bien ne pas être atteints. De nombreux propriétaires bailleurs pourraient s’abstenir d’engager une profonde rénovation faute de rentabilité suffisante (coût des travaux par rapport à la valeur du bien). De la même façon, les opérations en copropriété seront difficiles à mener (règles de décision et de priorisation des travaux curatifs ou d’urgence). En clair, un programme associant aides directes (nationales et locales), propositions de financement du reste à charge et innovation en matière d’ingénierie patrimoniale et financière semble le seul moyen d’accélérer les opérations de rénovation de l’habitat en France. Dans le logement, les ménages sont les principaux donneurs d’ordre avec 90 % des dépenses (contre 10 % pour les bailleurs sociaux). Ils mobilisent surtout des fonds propres pour financer les travaux et ont recours aux prêts, aidés ou non, à hauteur d’un tiers des dépenses engagées. Et alors que le cadre réglementaire s’oriente vers davantage d’obligations de rénovation, les entreprises du bâtiment vont devoir pallier le manque de main-d’œuvre pour atteindre l’objectif de massification des opérations ou au moins répondre aux besoins croissants des prochaines années. Aides et accompagnements sont nécessaires Dans le même temps, il serait judicieux d’adapter les dispositifs d’aide aux besoins. Le chemin s’apparente de fait à un véritable parcours du combattant administratif et les solutions disponibles pour le reste à charge restent insuffisantes. A tel point que les dysfonctionnements recensés sur le dispositif de MaPrimeRénov’ ont conduit de nombreux ménages à renoncer aux aides. Une tendance qui a d’ailleurs fait émerger un marché de l’accompagnement. Le recours à des options alternatives de type tiers financement pourrait aussi être une piste à creuser. Parmi les différents acteurs du marché de la rénovation, plusieurs lignes directrices se dégagent, en termes de stratégies de croissance. L’accompagnement des ménages dans leurs démarches techniques et administratives est l’une d’entre elles. Les plates-formes d’intermédiation tentent ainsi de se faire une place entre les artisans et les porteurs de projet de rénovation. Les délégataires de CEE cherchent aussi à accompagner les particuliers et les entreprises. Les grands groupes de construction veulent rationaliser Pour faciliter les parcours clients désireux d’accéder aux aides, les collaborations entre acteurs et distributeurs voient également le jour. Les négoces essaient pour leur part d’apporter des solutions aux artisans en appui de leur prospection commerciale, permettant à ces derniers d’offrir une gamme complète (des travaux à leur financement). Les fabricants de matériaux et autres acteurs de la construction investissent pour se renforcer sur le marché de la rénovation. Cela passe notamment par des capacités de production étoffées, en particulier dans les produits isolants ou sur des offres destinées à la rénovation. De leur côté, les groupes de construction proposent des solutions pour gagner en efficacité dans les travaux, à travers l’industrialisation. Vinci Construction ou Bouygues Construction ont ainsi conçu des offres pour réaliser des opérations d’envergure dans des délais très courts, en ayant recours à la préfabrication de panneaux isolants. Basées sur des référentiels faciles à dupliquer, ces démarches ouvrent la voie à un financement par contrats de performance énergétique. Et constituent alors une option sérieuse pour répondre aux objectifs de massification des rénovations. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

La cité administrative d'Amiens : une nouvelle référence de construction bas carbone pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

Après le projet de réhabilitation de la Cité administrative de Rouen, le groupement mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest a remporté la construction d'une nouvelle Cité Administrative, celle d'Amiens. Ce Marché Public Global de Performance d'un montant total d'environ 46,5 M€ est un projet exemplaire de 20 000 m² répartis sur 3 bâtiments qui allie qualité énergétique, environnementale, fonctionnelle et d'usage. La future Cité intégrée à la ZAC Gare-La Vallée accueillera 1100 agents à l'automne 2023.La Cité Administrative d'Amiens est l'une des 4 cités administratives françaises qui font l'objet d'une construction neuve. Implantée au coeur d'Amiens, la future Cité, dite du XXIème siècle, va intégrer le nouveau quartier de La Vallée aussi nommé « Gare La Vallée », un projet urbain qui s'étend sur 170 hectares entre les voies ferrées de la gare d'Amiens et les berges de la Somme. Il a été validé dans le contrat de développement territorial de l'Amiénois et vise à moderniser les services publics et à assurer l'attractivité du territoire. Le Groupement de conception – réalisation – exploitation - maintenance, mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, compte 9 sociétés cotraitantes aux expertises complémentaires, contribuant ainsi à la dynamique économique du territoire picard. Après 9 mois et demi de conception, les travaux ont démarré en octobre 2021 et s'achèveront à l'automne 2023.Un projet de construction bas carboneLa future Cité a été pensée pour être exemplaire en termes de construction durable, c'est-à-dire à la fois peu consommatrice d'énergie en phase d'exploitation, tout en garantissant le confort des agents et du public. Elle vise la labellisation Passivhaus, un niveau 3 Bâtiment biosourcé et un niveau bas carbone E2C1.Pour atteindre ces objectifs, le projet repose sur plusieurs axes forts :Une conception bioclimatique qui favorise les économies d'énergie, permet de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation tout en améliorant le cadre de vie. Ainsi les volumes ont été pensés pour favoriser la lumière naturelle et bénéficier des apports solaires. De plus, la gestion de l'énergie sera optimale grâce au raccordement au réseau de chaleur urbain et au futur réseau de froid urbain ;Des solutions constructives préfabriquées en filières sèches : le projet intègre du bois à hauteur de 95 dm3/m2 de plancher avec notamment la mise en oeuvre de 9500m² de planchers bois CLT (Cross Laminated Timber), soit au total 1700m3 de bois pour les planchers. Ce projet est l'un des chantiers bois majeurs de Bouygues Bâtiment France, et les équipes chantier Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui en assurent la pose bénéficient de l'accompagnement de WeWood, le pôle d'expertise en construction bois de Bouygues Bâtiment France.Une enveloppe thermique très performante (laine de roche de 220 mm d'épaisseur pour les façades, isolant polyuréthane en toiture terrasse, fibrastyrène pour le parking, isolation performante des longrines et dalles portées…) et des menuiseries mixtes bois/alu dotées de triple-vitrage.La mise en œuvre de matériaux naturels comme, par exemple, les revêtements de sol Marmoleum ou la peinture Algo à base d'algues.Un projet misant sur le confort et le bien-être des agents et du publicD'une superficie totale de 20000 m2, les 3 bâtiments accueilleront 18 services administratifs, soit 1 100 agents, un restaurant inter-administratif de 900 m2 ainsi qu'une crèche de 15 berceaux avec un jardin attenant. Les flux seront bien identifiés pour optimiser l'accueil du public et l'environnement de travail des agents.L'architecture des 3 bâtiments se veut flexible, avec des aménagements intérieurs modulables : la structure en poteaux poutres et les cloisons amovibles ont ainsi été pensées pour permettre une flexibilité des espaces de travail.Elle repose en outre sur le concept de biophilie, c'est-à-dire l'intégration du vivant dans l'environnement bâti, ce qui se traduit par une valorisation du bois dans les espaces de travail, la végétalisation des passerelles de liaison entre bâtiments et des espaces extérieurs, etc.Enfin, le projet s'intègrera harmonieusement dans le quartier grâce à une large partie des façades des bâtiments revêtues de tuiles émaillées.Ce matériau fait écho, de manière contemporaine, à la brique omniprésente à Amiens. Ces tuiles sont produites localement, en Picardie, à Saint-Germer-de-Fly, par la société EDILIANS. Les 7000 m² de façades en bardage tuiles émaillées seront intégralement réalisés en part propre, par les équipes polyvalentes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest.
Il y a 2 ans et 118 jours

Rénovation de l’éclairage au siège social de SAIPEM France : des économies d’énergie qui dépassent l’objectif attendu !

Installée à Montigny le Bretonneux dans le département des Yvelines, SAIPEM en France est l’une des plus importantes sociétés d’ingénierie, d’exécution de projets et de développements technologiques offshore et onshore du Groupe SAIPEM. Dans le cadre du décret de la loi ELAN qui impose au parc tertiaire existant de réduire sa consommation énergétique de -40% en 2030 à -60% en 2050 par rapport à 2010, l’entreprise vient de remplacer son installation d’éclairage par des luminaires LED de Sylvania, associés à la solution de gestion d’éclairage intelligente SylSmart. D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un immeuble R+6 divisé en 4 zones (A, B, C, D). Il est constitué d’un rez-de-chaussée où se trouve l’espace d’accueil et de 6 étages identiques où sont réunis les plateaux de bureaux, les salles de réunion et deux zones de confort. Construit en 2001, le bâtiment aux larges façades vitrées disposait, entre autres, d’un éclairage indirect par dalle équipée de deux tubes fluocompacts d’une puissance de 55W chacun, allumé en permanence de 6h00 à 21h00. Celui-ci devenu obsolète, l’entreprise décide fin 2021 de procéder à son remplacement afin de répondre aux objectifs de réduction de consommations énergétiques fixés par la loi ELAN. Sur recommandation de Bouygues Energies & Services, en charge des travaux et de la maintenance du bâtiment, David Halluin – Responsable des Services Généraux SAIPEM France – a choisi les luminaires LED éco-performants de Sylvania associés à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected. Un objectif initial de 75% d’économie d’énergie en hiverAfin d’atteindre les économies d’énergie visées par SAIPEM France, Sylvania a commencé par effectuer un audit énergétique des systèmes d’éclairage en place, de leurs coûts et des réglementations à respecter (loi ELAN, arrêt des tubes fluorescents au 1er septembre 2023). Il a été suivi par une étude d’éclairage réalisée par le bureau d’études de Sylvania qui a ainsi préconisé de remplacer : – les dalles lumineuses en blanc chaud (3000 K) par le luminaire éco-responsable OPTICLIP à modules LED remplaçables, associé à la solution de gestion d’éclairage intelligent SylSmart Connected, – les spots fluocompacts d’une puissance de 26W situés dans les zones de circulation par le downlight décoratif ASCENT 100 II. Pour apprécier l’efficacité de la solution d’éclairage recommandée et s’assurer qu’elle répondait aux besoins de SAIPEM France, 8 luminaires OPTICLIP avec double détection (capteur de présence et prise en compte de l’apport de lumière naturelle) ont d’abord été installés pendant 6 mois dans un bureau. Le résultat étant concluant, le remplacement de l’ensemble des luminaires des ailes A et B au 4ème étage a débuté en avril 2022. Associant une haute efficacité lumineuse (122 lm/W) et un bon indice d’éblouissement (UGR80, SDCM
Il y a 2 ans et 138 jours

Palmarès des secteurs du BTP et de l'immobilier qui emploient les ingénieurs des Arts et Métiers

Cet outil interne, édité semestriellement, permet d’apporter aux Alumni des Arts et Métiers, mais aussi aux élèves et à leurs enseignants, une information objective et prospective sur l’emploi dans 12 secteurs industriels où les ingénieurs Arts & Métiers sont présents et reconnus (Aéronautique, Agroalimentaire, BTP, Conseil, Défense, Énergies renouvelables, Logistique, Luxe, Nucléaire, Informatique, Santé, Transports.)Fruit du travail des Groupes Professionnels de la Soce, réalisé en partenariat avec la Junior-Entreprise AMJE Paris, cet observatoire réunit des données sur l’actualité économique et technologique, les perspectives de croissance et l'évolution des indicateurs généraux d’employabilité, accompagnés de points de vue d’ingénieurs des Arts et Métiers, experts dans leurs différents secteurs.Afin de rendre compte rapidement de l’attractivité des secteurs étudiés, les Groupes Professionnels ont créé un indice global d’attractivité se définissant comme suit :Secteur BTP - immobilier1. AttractivitéSi le secteur connaît des difficultés conjoncturelles liées au COVID ou à la guerre en Ukraine, l’impulsion donnée par le gouvernement pour verdir le bâtiment, développer de nouvelles infrastructures dans les énergies ou développer l’industrie permet d’être optimiste quant à son avenir.Les entreprises du BTP connaissent de profonds bouleversements organisationnels avec la transition numérique, qui sera source de nombreuses opportunités d’emplois. Le besoin d’ingénieurs étant croissant dans le secteur, les salaires et le nombre d’emplois suivront.Par ailleurs, la présence des groupes français Vinci, Bouygues et Eiffage dans le top 6 européen du BTP témoigne du rayonnement et du savoir-faire français dans le domaine de la construction.Au premier semestre de 2022, le secteur du BTP est classé à la 4e place sur le critère de l’attractivité parmi les 12 secteurs analysés.2. Le point de vue d’un acteur du secteurJean-Marie DOLO - Directeur technique et de l’innovation - Eiffage« De très belles perspectives se présentent pour les travaux publics en France et à l’international, notamment grâce aux projets comme le Grand Paris ou les nouveaux programmes nucléaires. Les industriels du BTP, comme la construction ou l’entretien des routes auront des difficultés de rentabilité à cause d’un volume d’affaires insuffisant. Le bâtiment est lui porté par la construction de logements et non plus par le tertiaire. La réglementation de la RE2020 incite à diminuer l’utilisation de béton et à s’orienter vers des matériaux plus chers et qui sont en difficulté d’approvisionnement, à cause d’une offre insuffisante.Le digital va révolutionner le secteur en faisant évoluer les manières de construire, vers un mode de fonctionnement plus coopératif et avec l’apparition de nouveaux métiers autour de la transition numérique. Le domaine est aujourd’hui à la pointe de la technologie et propose de beaux métiers d’avenir. Il n’y a plus aujourd’hui de parcours type pour réaliser une belle carrière dans le secteur.La hausse des prix à cause de la guerre en Ukraine ou les retards de dépôts de permis de construire n’auront qu’un effet passager. La nécessité de réindustrialiser la France, le rayonnement des majors français du BTP à l’international, ainsi que l’impossibilité de délocaliser les métiers du secteur permettent d’être confiant sur son avenir en France. »3. Le point de vue du Président du Groupe Professionnel BTP - ImmobilierJean-Yves GABON, Président du Groupes Professionnels 28 - Chef de service - Bouygues Construction« Le secteur du BTP est attractif et vaste, avec un fort besoin d’ingénieurs et de nombreuses possibilités.Le VIE (Volontariat International en Entreprise) est la voie royale pour démarrer une carrière dans le secteur, il permet d’évoluer rapidement et de découvrir de grands chantiers à l’étranger. Pour ceux qui souhaitent rester en France, le métier de la conduite de travaux est formateur et est une bonne école de management, spécialement sur les ouvrages importants. Le besoin d’ingénieurs dans ces métiers-là est stimulé par les grands projets nationaux comme les chantiers du Grand Paris, des Jeux Olympiques ou encore du canal Seine Nord Europe.Les grands groupes de BTP s’implantent de plus en plus sur le marché des énergies renouvelables, ce qui crée un besoin d’ingénieurs dans les domaines de l’éolien, du nucléaire ou encore de l’hydrogène. De même pour les ingénieurs matériaux qui travaillent dans la valorisation des déchets de chantiers.Le bilan carbone des chantiers étant un critère de plus en plus déterminant dans les appels d’offre, les entreprises du secteur recherchent des ingénieurs dans ce domaine qui est réellement un métier d’avenir. »
Il y a 2 ans et 138 jours

Le groupement mené par Bouygues Travaux Publics va pouvoir démarrer les travaux de la ligne 1 du métro d'Abidjan

La Société des Transports Abidjanais sur Rail (STAR), groupement d’entreprises composé de Bouygues Travaux Publics (mandataire), Colas...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 143 jours

Christian Estrosi défend ses "grands projets" pour la ville de Nice

Rappelant que la plupart des projets avaient été validés dès son élection en 2008, M. Estrosi a souligné devant élus et médias qu'il s'agissait de "la poursuite d'une vision à long terme" pour la cinquième ville de France.Il a notamment défendu l'aménagement de la Promenade du Paillon, qui vise à prolonger la Coulée verte, une zone arborée d'1,3 km de long réservée aux piétons, mais qui nécessite la destruction quasiment achevée du TNN, un bâtiment construit en 1989, et celle à venir du Palais des congrès Acropolis."Lorsque j'ai été élu en 2008, nous avons planifié l'aménagement de la Promenade du Paillon, bien avant les indicateurs du GIEC", le groupe d'expert de l'ONU sur le climat, a-t-il indiqué.En février, le tribunal administratif de Nice a rejeté le recours en référé introduit par Martine Bayard, la fille de l'architecte du théâtre, Yves Bayard, qui espérait suspendre la destruction. Les activités du TNN ont été transférées dans deux sites.Pour remplacer l'Acropolis dont la "déconstruction" débutera en janvier, la ville construira un Parc des expositions et des congrès sur l'emplacement actuel du Marché d'intérêt national (MIN), appelé à déménager.L'absence jusqu'en 2025 d'une structure capable d'accueillir de grands congrès fait cependant craindre aux professionnels de l'hôtellerie notamment, des pertes irréversibles de clientèle, au profit de villes comme Barcelone, Milan ou Cannes.Mais M. Estrosi s'est voulu rassurant: "Pour les trois prochaines années, nous avons sécurisé 200.000 nuitées, sur les 300.000 que procurent les congrès".A terme, les retombées directes et indirectes du futur Parc des expositions "pourraient atteindre 500 millions d'euros par an", a-t-il encore promis.Le MIN devait lui déménager mais un autre recours devant le tribunal administratif de Nice déposé par l'association environnementale Capre 06 bloque son transfert.De ce fait, l'opérateur retenu pour construire le nouveau MIN, Bouygues, est "désireux de résilier ce contrat" et demande une indemnité de quinze millions d'euros "pour les frais engagés", explique l'ancien ministre."Je refuse d'entrer dans le chantage", a ajouté M. Estrosi, précisant que la métropole allait "convenir avec nos juristes un montant de résiliation beaucoup plus raisonnable".
Il y a 2 ans et 143 jours

En forêt ou dans la construction, les hauts fonctionnaires formés sur le terrain à la transition écologique

Gestion des forêts ou construction de bâtiments bas carbone: l'Etat s'efforce de conclure la formation de ses hauts fonctionnaires à la transition écologique par une illustration concrète des enjeux environnementaux et des solutions. Une démarche saluée par les participants, mais à l'impact encore incertain.La forêt de Montmorency "est la seule d'Île-de-France à être classée en état de crise sanitaire", explique Michel Béal, directeur de l'agence Île-de-France Ouest de l'ONF.Depuis quelques années, les nombreux châtaigniers qui la constituent sont touchés par la maladie de l'encre, un parasite qui serait "moins virulent" si les températures ne s'étaient pas autant réchauffées, explique-t-il.D'où les coupes sur la parcelle, pour limiter la propagation de ce parasite. L'ONF compte aussi diversifier les espèces d'arbres pour mieux adapter la forêt aux effets du changement climatique.Le chêne ne représentera plus que 50 à 55% des essences que l'ONF compte replanter. "Avant, on aurait dit 80% de chêne", détaille Philippe Belchi, référent territorial de l'office.Quelques minutes plus tard, le groupe s'arrête devant un amas de bois coupé. Le but est cette fois d'illustrer une autre priorité de l'ONF: la valorisation de la filière bois."En France, il y a plus de 400.000 emplois dans la filière forêt-bois, des emplois dans les territoires ruraux", insiste Olivier Rousset, directeur général adjoint de l'ONF.Au bout de deux heures en forêt, trois membres du groupe retrouvent les quais baignés de soleil de la gare de Saint-Leu-la-Forêt - les autres sont repartis en voiture.25.000 hauts fonctionnairesL'ambition de l'Etat est de former à la transition écologique l'ensemble de ses 25.000 hauts fonctionnaires d'ici à 2024, puis les 5,7 millions d'agents publics d'ici à 2027. Le gouvernement s'attend ensuite à ce que les cadres du secteur public élaborent des plans d'action en matière de transition écologique.Venus de Bercy, du ministère de la Culture ou encore de l'Académie de Poitiers, tous s'accordent à juger intéressantes la matinée en forêt et, plus généralement, la formation proposée.Grâce à ce module pratique, doublé d'ateliers de groupe et de conférences, "on sent que (les enjeux environnementaux) infusent" dans les sphères dirigeantes de l'Etat, avance une directrice d'administration du ministère de l'Economie.Une prise de conscience déjà opérée cet été au ministère de la Culture. Avec une température de "60 degrés" mesurée dans les bâtiments vitrés de la Bibliothèque nationale de France, la canicule a eu des effets physiquement palpables, relève un responsable de la Direction du Livre.Reste à voir comment les hauts fonctionnaires partageront à leurs équipes les connaissances acquises au cours de la formation et quel impact celle-ci aura sur l'action publique.Comme le confesse un haut fonctionnaire du ministère des Armées à la sortie d'un module de sensibilisation à la construction de bâtiments bas carbone, "c'est un peu éloigné" des thématiques qui l'occupent au quotidien.Le rôle des pouvoirs publics sera pourtant crucial pour répondre aux défis du changement climatique, rappelle Guillaume Carlier à une trentaine de hauts fonctionnaires réunis lundi pour ce module dans une tour du quartier Montparnasse à Paris."D'ici 2050, on doit diviser par cinq" l'empreinte carbone moyenne de chaque Français, souligne devant eux le directeur de la stratégie Climat Ressources de Bouygues Immobilier, une entreprise membre de l'Association pour le Développement du Bâtiment Bas Carbone (BBCA)."La part individuelle (de cet effort) est évaluée à 25% et la part de l'Etat et des entreprises à 75%", insiste-t-il.
Il y a 2 ans et 144 jours

Dassault Systèmes et Bouygues Construction renforcent leur engagement à réinventer le secteur de la construction

Bouygues Construction a choisi la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud de Dassault Systèmes pour mener sa transformation métier et accroître la productivité de ses projets de construction. Cette deuxième phase succède aux phases initiales de numérisation et d'automatisation des processus de Bouygues Construction.Les citoyens attendent de nouvelles approches en matière d'urbanisation et une plus grande attention à la durabilité. Or, le secteur de la construction doit faire face à des problématiques de productivité, tant en raison de la complexité des projets que de la fragmentation des métiers. La transformation numérique permet de soutenir une économie à la fois plus durable et circulaire, en partageant les connaissances et savoir-faire dans toute la chaîne de valeur, et en donnant naissance à de nouveaux modèles économiques.Avec la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud, Bouygues Construction peut adopter une approche systémique de la gestion des projets qui intègre des expériences de jumelage numérique d'un bout à l'autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer de documents où les différents métiers interviennent de façon indépendante, à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs.Cet environnement intégré, inclusif et collaboratif qui utilise une source unique de données exploitables permettra de rationaliser le processus décisionnel entre les différents intervenants - de la direction générale à l'opérateur de terrain - à chaque étape d'un projet. Cela permettra à Bouygues Construction d'augmenter encore la sécurité de ses collaborateurs et partenaires. Cela permettra aussi au groupe de réduire son volume de déchets et d'améliorer la qualité produit de la conception à la construction, en définissant des composants d'assemblage modulaires intégrés dans des lignes de produits telles que les maisons de retraite ou des résidences étudiantes. Cette modularité permettra de faire face à la complexité des projets futurs, tout en répondant à des besoins croissants de personnalisation et de durabilité, et en s'adaptant aux évolutions du marché.« Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d'usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur. » déclare Philippe Bonnave, président directeur général de Bouygues Construction. « Nous sommes donc à la recherche d'une transformation plus forte qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l'entreprise : une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. »« L'utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et - grâce au cloud et à la mobilité - abordable. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d'innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? » déclare Bernard Charlès, Vice-Président du Conseil d'Administration et Directeur général de Dassault Systèmes. « Cette approche révolutionnaire, basée sur la plateforme 3DEXPERIENCE, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d'allier nos leaderships et nos expertises respectifs, ainsi que d'amorcer une nouvelle dynamique dans l'écosystème du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 2 ans et 147 jours

MAF ATLANTIQUE met son expertise en portes et cloisons résistantes au feu, au service du chantier ISSY CŒUR DE VILLE

Issy cœur de ville, c’est un projet d’éco-quartier initié en 2016 par la ville d’Issy Les Moulineaux (92) dont la livraison a débuté en juin dernier. 17 270 m2 de commerces et services, 40 900 m2 de bureaux… un chantier gigantesque confié au promoteur Altaréa avec le cabinet d’architecture Valode & Pistre. En entreprise générale : Bouygues Construction. À l’ouvrage et mandatée par Bouygues Construction, pour les portes automatiques et les portes et parois vitrées anti incendie, dans les parties Bureaux et Infra/Mail/Commerces : l’entreprise RECORD. Celle-ci choisit d’emblée de s’associer à MAF ATLANTIQUE pour lui confier la conception et la fabrication des ouvrages résistants au feu dont il est spécialiste. Résultat : 450 m2 de surfaces vitrées fabriquées sur mesure pour ce projet d’envergure. Rdc IMC : menuiserie vitrée acier EI60 B1- Hall : cloison acier vitrée EI60 + Porte 1 vantail RdC B1 : Paroi monumentale bord à bord EI60 + partie ouvrante 2 vantaux vitrés acier E30. Lorsqu’il est contacté par Record en 2019 pour concevoir et fabriquer différents ouvrages feu de deux super-entités du projet Issy Cœur de Ville, MAF Atlantique accepte de relever le défi. Il s’agit certes d’un très grand chantier auquel la PME guérandaise peut répondre. Mais, c’est surtout l’occasion pour son DG Guillaume Leborgne, et ses équipes, de s’attaquer à un superbe défi technique d’ouvrages feu complexes et sur-mesure.   Record, n’étant pas spécialiste des normes anti incendie et ne possédant pas les PV et certifications feu, a spontanément choisi d’associer MAF Atlantique au projet. Il lui propose d’être son partenaire pour la conception et la fabrication des ouvrages feu, il se charge de l’installation. À la clé : 450 m2 de surfaces vitrées résistantes au feu incluant portes battantes et cloisons vitrées conçues et fabriquées sur mesure par MAF Atlantique, en partenariat avec Record.  » Nous ne pouvions répondre à cet appel d’offre sans s’appuyer sur un fabricant partenaire spécialisé dans les normes anti-incendie comme MAF Atlantique, avec qui nous avions déjà travaillé. Ce projet s’est d ’ailleurs mené en toute transparence et en bonne intelligence entre nos deux entreprises et Bouygues Construction, » déclare François-Xavier Vlin, directeur régional de Record. Au total MAF Atlantique a fourni 36 unités de portes battantes E et EI avec acoustique.Également, différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier pour parois bord à bord, toutes installées en intérieur (rez-de-chaussée, niveaux et sous-sols) par Record. Elles équipent, pour la majorité, la super-entité BUREAUX du chantier qui regroupe 3 ensembles de bureaux (répartis dans 3 bâtiments B1, B2, B3). Elles équipent également, dans la super entité INFRA/MAIL/COMMERCES, au niveau des ERP, la salle polyvalente, les parkings, les sas, les paliers, les escaliers et les locaux techniques. Pour Guillaume Leborgne, directeur de MAF Atlantique,    » Ce partenariat avec Record prouve que la mutualisation des compétences et la complémentarité des savoir-faire deviennent une vraie force, le projet étant davantage motivant lorsqu’il est partagé et qui plus est lorsque le suivi de chantier se passe bien et en confiance avec les partenaires. Il démontre aussi que notre PME est reconnue pour sa spécificité dans la protection incendie, mais aussi pour sa capacité à être force de proposition et à concevoir des ouvrages sur mesure, pour des chantiers d’envergure. «  La construction vitrée architecturale résistante feu : la spécialité de MAF Atlantique Les ouvrages résistant au feu, exigés dans le cahier des charges, devaient s’adapter aux contraintes techniques des matériaux, des emplacements et des volumes à équiper, mais aussi aux souhaits d’esthétisme voulus par les architectes. Les bureaux d’étude de MAF Atlantique, Record et Bouygues ont travaillé de concert et en bonne entente, pour définir les spécificités techniques et les adaptations des ouvrages à concevoir. Afin d’être en harmonie avec les valeurs et l’esthétisme du projet souhaité par l’architecte, MAF Atlantique a proposé une menuiserie en acier JANISOL© C4 (pour sa pérennité), un remplissage en simple vitrage ou double pour le hall principal, avec finition thermolaquage teinte RAL, condition intérieur. Pour assurer la tenue des portes lors de la pose par Record, MAF Atlantique a adapté des impostes spécifiques. En fonction des exigences des lieux, les portes et cloisons intérieures sont toutes normées E (Pare flamme) ou EI (coupe-feu) associées à leur performance en minutes de 30 ou 60 pour l’étanchéité au feu (E) ou l’isolation thermique (I). Les châssis des cloisons sont fixes et montés, selon le besoin, en bord à bord. Les portes sont en 1 vantail ou 2 vantaux.  » MAF est allé au-delà du simple schéma technique en proposant différents échantillons pour la teinte des miroiteries, les poignées et paumelles, pour répondre aux exigences esthétiques des architectes notamment sur la couleur des vitres intérieures selon l’exposition au soleil. En plus de leur réactivité, nous avons aussi apprécié leur efficacité logistique dans des lieux fréquentés et peu accessibles, pour la livraison d’ouvrages complexes. » poursuit François-Xavier Vlin. B2 : Cloison vitrée 2 vantaux de 2,83 m x 3 m de hauteur. RdC B1 : Paroi monumentale EI60 de 34,58 m de long x 2,9 m de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1,8 m x 2,4 m. Trois exemples d’ouvrages techniques réalisés par MAF Atlantique : Au rez-de chaussée du bâtiment 1, l’installation d’une paroi monumentale de 34,58 m de long x 2,90 m de haut, composée de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord. Adjointe, une partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mm. Dans le bâtiment 2, une cloison de 2,83 m x 3 m de haut, composé de menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 et une porte EI260 à 2 vantaux de 1 800 x 2 400mm. A l’étage du bâtiment 1, une paroi de 8,36 m x 2, 7 m en menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 + une partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mm. Ouvrages MAF Atlantique / Issy Coeur DE VILLESUPER ENTITÉ BUREAUXINFRA/MAIL/COMMERCE (IMC)B1 – RDC – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 5 720 x 2 900 mm + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E3 –1 800 x 2 400 mm – Différentes tailles de menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord dont une paroi monumentale de 34 580 de long x 2 900 mm de haut + partie ouvrante en 2 vantaux vitrés acier E30 – 1 800 x 2 400 mmRDC : – Porte acier vitrée E30 2 vantaux  B1- Hall : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 2 000 x 1 500 mm en double vitrageIMC : – Menuiserie vitrée avec châssis fixe acier EI60 – 3 400 x 1 200 mm  B1- R+1 : – Paroi menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 de8 360 x 2 700 mm + partie ouvrante en vantail simple vitré acier E30 – 1 100 x 2 200 mmParking sous-sol 2 : – 2 Portes acier vitrées E30 2 vantaux + 1 porte à 1 vantail – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 – 3 500 x 1400 mm  B2 – RDC : – Cloison de 2 830 x 3 000 mm de hauteur en menuiseries vitrées avec châssis fixe EI60 + Porte EI260 2 vantaux – 1800 x 2400mmEscalier Monumental accès Bâtiment 1 : – Menuiseries vitrées avec châssis fixe acier EI60 en bord à bord de 4 860 de long x 2 700 mm de haut.  B3 – 6 Portes acier vitrées E30, 1 vantail avec serrure électrique– 1 100 x 2 650 mmSalle Polyvalente : – Ensemble EI60 composé d’une porte 2 vantaux avec châssis fixes latéraux – 5 900 x 2 500 mm À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. MAF Atlantique en chiffres Créée en 2004 3 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021 Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Pour en savoir plus : MAF Atlantique – contact presse : Agence Com4 – scruz@com-4.fr – 02 40 73 50 51
Il y a 2 ans et 150 jours

JO-2024 : trois mois de retard pour la livraison de l'Arena

Alors que le calendrier initial prévoyait une livraison de l'Arena à l'été 2023, la Ville mise désormais sur une livraison "à la fin de l'année, en décembre 2023, pour une ouverture en janvier 2024", a indiqué à l'AFP l'entourage de l'adjoint aux sports et aux JO Pierre Rabadan.Un nouveau calendrier confirmé par la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), pour qui ce retard "n'a pas de conséquence sur le calendrier olympique", a indiqué un porte-parole à l'AFP.Située dans le nord de Paris, à la limite avec Saint-Denis, l'Adidas Arena, baptisée ainsi en vertu d'un contrat de naming, et ses 7.800 places doivent accueillir les épreuves de badminton et de gymnastique rythmique pendant les JO."Le Covid, les soucis d'approvisionnement liés à la guerre en Ukraine et l'inflation" expliquent ces "trois-quatre mois" de retard, selon la première source à la mairie, qui détient la maîtrise d'ouvrage.C'est le premier retard assumé sur les chantiers olympiques, de légers retards attribués à la pandémie de Covid-19 mis à part.Ce décalage aura toutefois des conséquences sur l'occupation du complexe durant la saison sportive pré-olympique, et notamment l'organisation de compétitions préparatoires, les "test events".Ainsi, l'édition 2023 des internationaux de France de badminton est-elle maintenue au stade Pierre-de-Coubertin (XVIe), les discussions sur l'édition 2024 étant "en cours", précise l'entourage de Pierre Rabadan.Quant au Paris Basketball, club d'élite qui devait élire domicile à l'Arena dès la rentrée 2023, "il reste à Carpentier", une halle sommaire du XIIIe arrondissement, jusqu'à la fin des travaux, précise la source à la mairie.Cette dernière est en train de voir avec l'exploitant de l'Arena, la société d'exploitation du Palais omnisports de Paris-Bercy (SAE POPB), et le comité d'organisation des Jeux olympiques (Cojo) "si le club commence (à occuper l'Arena) en milieu de saison" ou pas.Cet été, la Ville avait donné un budget actualisé pour la construction de l'Arena, confiée à un groupement mené par Bouygues, de 106 millions d'euros, plus 32 millions pour les projets annexes sur le site.Mais avec la crise énergétique, l'adjoint à la construction Jacques Baudrier constate "depuis trois-quatre mois, une vraie augmentation des coûts de 10 à 15%" ainsi que des "problèmes d'approvisionnement ponctuels" sur certains chantiers, qui occasionnent des retards.
Il y a 2 ans et 167 jours

Colas tisse ses réseaux pour la collecte et la valorisation des déchets du BTP

La filiale du groupe Bouygues annonce le lancement de deux réseaux, Valormat et Ecotri. Elle entend augmenter de 50 % sa production de...-Entreprises
Il y a 2 ans et 168 jours

Fusion et changement de dimension pour Com'in

CONSTRUTECH. Créée en 2019 dans le cadre du programme d'intrapreneuriat du groupe Bouygues, la start-up Com'in a fait bien du chemin. Devenue une SAS, elle s'est encore consolidée depuis, accueillant de nouvelles solutions afin de diversifier ses activités et en profitant pour changer également de nom.
Il y a 2 ans et 172 jours

Bouygues confirme ses objectifs de croissance et accueille Equans

Le géant français des BTP, des médias et des télécoms a vu ses revenus croître de 8% pour ces neuf premiers mois, à 29,677 milliards d'euros, selon ses résultats publiés mercredi.Son bénéfice net s'établit à 537 millions d'euros, soit -33% comparé à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data centers et des cessions d'actions d'Alstom. En revanche son résultat opérationnel courant est en amélioration de 66 millions d'euros, à 1,207 milliard.La quasi totalité des métiers du groupe montrent une hausse de l'activité (toujours réalisée pour les trois quarts par la construction et les services, à 22,4 milliards d'euros sur neuf mois).En particulier Colas, la branche infrastructures de transport, est à +18%. Principaux facteurs, l'apport de Destia (leader du marché finlandais), le dynamisme des contrats routiers notamment en Amérique du nord et en Europe, un contrat ferroviaire important (le tramway de Birmingham, pour 192 millions d'euros), mais aussi l'impact des prix (énergie, bitume).Ce renchérissement des coûts pénalise aussi la rentabilité de Colas, mais le groupe se veut rassurant, et évoque des "mécanismes de protection" pour préserver sa marge.Pour Bouygues Immobilier, pas d'inquiétude outre mesure quant à l'inflation, "compensée" par la hausse des prix à la vente, a indiqué à des journalistes Pascal Grangé, le directeur financier. En revanche, le carnet de commandes est en repli de 16% par rapport à fin septembre 2021, le contexte inflationniste allongeant les délais de négociation des appels d'offres dans le résidentiel et le marché du tertiaire restant "attentiste".TF1 voit quant à lui son chiffre d'affaires croître de 5%, à 1,74 milliard d'euros, avec au troisième trimestre un repli du bénéfice net en raison d'une baisse des recettes publicitaires.Quant à Bouygues Telecom, le chiffre d'affaires facturé aux clients ressort à 4,2 milliards d'euros, en hausse de 6%, avec l'essor de la clientèle mobile et fixe. Le directeur financier du groupe d'électricité jusqu'en 2024.Plus gros rachat de son histoirePour la suite, le groupe Bouygues, présent dans plus de 80 pays et riche de 200.000 collaborateurs, observe une "dynamique commerciale solide dans les télécoms et un carnet de commande dans la construction et les services offrant une bonne visibilité sur l'activité". Il confirme ainsi ses objectifs pour 2022, en l'occurrence "une nouvelle augmentation de son chiffre d'affaires et de son résultat opérationnel courant".Pour autant, il "reste très vigilant quant aux évolutions macroéconomiques et à leurs répercussions sur les activités et les résultats". Qu'il s'agisse de crise sanitaire, d'inflation, de mouvements des taux d'intérêt... "tous ces sujets sont facteurs d'incertitude", souligne Pascal Grangé. Géographiquement, les régions les plus incertaines sont "peut-être les pays jouxtant l'Ukraine", où les taux d'inflation dépassent 20%, dit-il, ajoutant que Colas n'y réalise "que" 600 millions d'euros de revenus annuels.Mercredi à la Bourse de Paris, le titre reculait de 4,63% à 29,06 euros l'action peu après 11H00, dans un marché en baisse de 0,46%. Une note d'analystes d'Oddo évoque notamment "les perspectives dégradées des marges (chez Colas)".Pour le dernier trimestre 2022, Bouygues aura intégré dans ses comptes Equans, dont il a finalisé début octobre l'acquisition auprès d'Engie, plus grosse opération de rachat jamais réalisée par le groupe créé en 1952. Ce rachat à 6,5 milliards d'euros doit lui permettre d'accélérer sur les services de la transition énergétique et numérique.Equans "va participer à la résilience du groupe", souligne Pascal Grangé, grâce à "une tendance naturelle à la croissance de ces activités, à une très forte dispersion des contrats en nombre et en géographies, et avec des clients assez fidèles. C'est aussi un métier ne nécessitant pas de grands cycles d'investissement".Le nouvel ensemble, qui intègrera en janvier le pôle Energies & Services de Bouygues, représentera environ 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
Il y a 2 ans et 172 jours

Les neuf premiers mois de 2022 offrent une bonne visibilité au groupe Bouygues

RÉSULTATS. Rendus publics le 17 novembre 2022, les résultats de Bouygues sur les trois premiers trimestres de l'année mettent en avant un niveau d'activité satisfaisant pour les différents métiers du groupe, et notamment dans la construction. Si les carnets de commandes se portent bien laissant envisager sereinement l'avenir proche, l'inflation a cependant un impact non négligeable.
Il y a 2 ans et 182 jours

Dernière ligne droite pour la Nouvelle Route du Littoral de La Réunion

Grâce à un viaduc de 5,4 km, le premier tronçon de la Nouvelle Route du Littoral surplombe à une trentaine de m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. [©Région La Réunion] « La volonté de la Région est de répondre sans attendre davantage, sans prendre encore plus de retard, à l’impérative nécessité d’en finir avec ce chantier inachevé et de sécuriser définitivement l’axe Saint-Denis – La Possession », insiste Huguette Bello, présidente de la Région La Réunion. Les 12,5 km de la Nouvelle Route du Littoral (NRL) ne seront pas terminés avant 2028. Donc avec plus ou moins dix ans de retard, pour un budget final dépassant les 2,2 Md€. Une première inauguration Nombre d’automobilistes et de motards étaient venus emprunter pour la première fois, dimanche 28 août dernier, à midi (heure locale), la NRL, reliant le Nord et l’Ouest de l’île. Grâce à un viaduc de 5,4 km, un premier tronçon surplombe à 30 m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. Cette ouverture en août dernier ne s’est réalisée toutefois que sur deux voies, uniquement dans le sens Saint-Denis – La Possession et sur 8,7 km, alors que la NRL doit être longue dans sa totalité de 12,5 km, avec deux fois trois voies, dont deux couloirs de bus. La dernière portion du chantier entre la Grande Chaloupe et La Possession est à l’arrêt depuis 2019. Un second viaduc est désormais prévu pour terminer la route. Un second viaduc Initialement, la NRL se composait d’un grand viaduc et d’une longue digue en mer. Ce choix de la digue en mer, retenu en 2011 par l’ancien président du conseil régional, Didier Robert, devait être moins onéreux et avait l’avantage de faire travailler des entreprises locales. Mais, faute de ressources suffisantes dans l’île en roches massives et face à l’impossibilité d’ouvrir de nouvelles carrières pour des raisons environnementales, le groupement Vinci-Bouygues et ses filiales réunionnaises ont négocié la résiliation du marché de 298 M€. Le résultat est qu’à la place de cette digue en mer, il existe un trou de 2,5 km pour relier La Grande Chaloupe à La Possession, la partie Ouest de l’ouvrage. Devant l’impossibilité de finir la NRL avant des années, la solution a été de construire une bretelle de raccordement avec l’actuelle route du littoral pour mettre en circulation les 8 premiers km terminés. « Ce chantier comporte un nombre incalculable de problèmes. Les élus qui composent la nouvelle majorité régionale ont à cœur de le faire avancer. C’est un projet hors norme, dont la complexité est sans précédent. Les choix qui ont été faits dès le départ avec la portion en digue, montrent aujourd’hui leurs limites puisque cette partie du chantier est remise en question depuis 2019. Malgré les difficultés de chantier, la réalité est qu’aujourd’hui la partie viaduc est, elle livrée, alors que la partie en digue n’a jamais pu démarrer. Les difficultés d’approvisionnement en enrochements ne sont pas des faits nouveaux, ils sont connus depuis des années […] Alors qu’il manque encore 2,5 km de linéaire pour livrer la totalité de la route, près de 1,6 Md€ ont déjà été dépensés. Il nous faut mobiliser encore entre 560 et 760 M€ pour finir le chantier. Une facture finale qui dépasse les 2,2 Md€ ! C’est titanesque », conclut Huguette Bello. M. C. La NRL en quelques chiffres : 12,5 km : C’est la distance de la Nouvelle Route du Littoral entre Saint-Denis et La Possession.5 409 m : C’est la distance du viaduc entre Saint-Denis et La Grande Chaloupe. C’est le plus long viaduc en mer de France.90 km/h : C’est la vitesse à respecter sur la Nouvelle Route du Littoral.133 M€ : C’est le prix de la Nouvelle Route du Littoral au kilomètre.Entre 5 et 11 m : C’est la profondeur de la mer au niveau de la Nouvelle Route du Littoral.4 500 : C’est le nombre d’emplois créés par la Nouvelle Route du Littoral.6 : C’est le nombre de voies de la Nouvelle Route du Littoral dont 2 seront réservées aux bus.