Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour groupe vinci

(1270 résultats)
Il y a 2 ans et 54 jours

Vinci poussé par de bonnes énergies au premier trimestre 2023

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a enregistré un premier trimestre 2023 en forte croissance, grâce à de "bonnes performances opérationnelles", tant en France qu'à l'international, soutenues par une demande forte en matière de transition énergétique.
Il y a 2 ans et 66 jours

Pour Xavier Huillard, le débat sur les concessions autoroutières devient "irrationnel"

RÉACTION. Interrogé lors de l'assemblée générale du groupe sur la potentielle réduction de la durée des concessions autoroutières, le P-dg de Vinci, Xavier Huillard, s'est agacé de critiques récurrentes frisant l'irrationalité et s'appuyant sur "beaucoup d'approximations" voire "des contre-vérités", même venant des services de l'Etat.
Il y a 2 ans et 84 jours

En Australie, deux nouveaux projets routiers confiés à Vinci

CONTRATS. La filiale australienne du groupe Vinci réalisera deux nouveaux marchés routiers d'ampleur autour de Sydney.
Il y a 2 ans et 93 jours

Montpellier, Folie République – Les Galets par Ellen Van Loon

A Montpellier (Hérault), Ellen Van Loon, cabinet d’architecture Oma (mandataire) et MDR (associés) ont conçu, avec le groupement Vinci, Sogeprom, Pragma, la Folie République, nommée Les Galets, un programme de 12 500 m² (de R + 8 et R + 12) consacré essentiellement au tertiaire. Folie ? Vidéo. Outre le tertiaire, le programme compte « de l’hébergement […] L’article Montpellier, Folie République – Les Galets par Ellen Van Loon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 95 jours

Coquillages et mobilier

Plans de travail, meubles et bientôt revêtements de sol… L'écomatériau à base de coquillages mis au point par la start-up Ostrea lui a permis de rejoindre Léonard, l'incubateur du groupe Vinci.
Il y a 2 ans et 102 jours

Une coupure ciblée prive le chantier du village des athlètes d'électricité

CONTESTATION. La Fédération des mines et de l'énergie CGT (FNME-CGT) a conduit une première action en Ile-de-France, pour protester contre la réforme des retraites au-delà des manifestations. Après une assemblée générale réunie à Saint-Denis, l'alimentation électrique d'une partie du chantier du village des athlètes et du Stade de France a été coupée. L'organisation syndicale, la Solideo, et le groupe Vinci réagissent auprès de Batiactu.
Il y a 2 ans et 102 jours

Grand témoin : Xavier Huillard, P-dg du groupe Vinci

ENTRETIEN. Xavier Huillard est le président-directeur général du groupe Vinci depuis 2010. Artisan de ses principales mutations, dont le virage environnemental entamé avec conviction, il partage avec Batiactu sa vision du secteur du BTP et de son rôle de manager. Découvrez ses réflexions, son actualité et son portrait en cinq traits.
Il y a 2 ans et 123 jours

Leonard présente les finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables »

Leonard, la plate-forme de prospective et d’innovation du Groupe VINCI, présente les start-up finalistes du Hello Tomorrow Global Challenge 2022 dans la catégorie « Construction et infrastructures durables ». Partenaire de Hello Tomorrow pour la quatrième année consécutive, Leonard s’est entouré des experts de VINCI et de Hello Tomorrow pour sélectionner six start-up parmi des centaines de candidats désireux de répondre aux défis climatiques et sociétaux d’aujourd’hui et de demain :BioZeroc (Grande-Bretagne) : création d’un béton sans ciment grâce aux biotechnologiesCaeli Energie (France) : conception de systèmes de climatisation à faible émission de carbone et à haut rendement énergétique. Caeli Energie a bénéficié de l’accompagnement du programme SEED de Leonard en 2021.Made of Air (Allemagne) : prélèvement du dioxyde de carbone dans l’air et réutilisation en vue de fabriquer des produits qui remplacent les plastiques d’origine fossile ou les matériaux à fortes émissions.Mykor (Grande-Bretagne) : transformation de déchets cellulosiques et de champignons en matériaux de construction durables.Peafowl Plasmonics (Suède) : des cellules solaires transparentes donnant du pouvoir à la prochaine génération de dispositifs IoT pour permettre un déploiement de masse.Strong by Form (Chili) : un composite à base de bois de haute performance et de forme libre destiné à remplacer le béton, l’acier et l’aluminium dans l’environnement bâti.Plus de 4 000 solutions ont été présentées aux différents jurys dans les 11 catégories du Global Challenge, pour un total de 70 start-up finalistes. Traitements médicaux révolutionnaires, économie circulaire des matériaux, réduction drastique des émissions de CO2, intelligence artificielle, etc. : ces technologies innovantes visent un réel impact sur l’industrie, la société et la planète. Les start-up auront l’occasion de présenter leurs solutions devant un jury les 9 et 10 mars prochains à l’occasion du Global Summit au Centquatre-Paris. Dix d’entre elles remporteront des prix en nature (sessions de coaching personnalisées, rencontres avec des investisseurs et clients potentiels) et les trois meilleures remporteront respectivement 100 000, 30 000 et 20 000 euros.« Depuis quatre ans, nous sommes fiers d’accompagner Hello Tomorrow dans la révélation des meilleures entreprises de la Deep Tech en étant partenaire du Global Challenge. Leonard, porté par l’expertise des diverses entités du Groupe VINCI, explore la Deep Tech pour identifier et accompagner des solutions disruptives dans les secteurs de la construction, de l’énergie ou encore de la mobilité. C’est en partie grâce à elles que nous répondrons aux grands défis environnementaux et sociétaux auxquels sont confrontées les villes et les infrastructures », déclare Julien Villalongue, directeur de Leonard.En janvier 2023, Leonard a accueilli 45 nouvelles start-up au sein de ses programmes SEED, CATALYST, intrapreneurs et IA. Ces projets apportent des solutions pionnières répondant aux défis de transition écologique, de sécurité et de productivité dans les domaines de la construction, de la mobilité et de l'énergie. Ils bénéficieront d’un accompagnement de 6 mois de la part de Leonard.
Il y a 2 ans et 125 jours

Sur le village des athlètes, Universeine unit l'ancien et le moderne

EN IMAGES. Sur le futur village des athlètes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, à Saint-Denis, une vaste opération de réaménagement et recyclage urbain est en cours. Une partie des travaux est menée par le groupe Vinci qui, sur cette ancienne friche industrielle, oeuvre tout à la fois à conserver le patrimoine existant, à le réhabiliter, à construire de nouveaux bâtiments, et à créer un espace plus agréable à vivre et renaturer, tout en intégrant la délicate équation visant à convertir les aménagements des Jeux pour la phase héritage.
Il y a 2 ans et 126 jours

Plus de 4 milliards d'euros de bénéfice pour Vinci, géant français du BTP et des autoroutes

Plus de la moitié des profits vient des autoroutes, soit 2,2 milliards d'euros (+15%), au côté des pôles Construction et Energies, dont tous affichent des progressions marquées, à part Vinci Immobilier en léger repli. Au total, le chiffre d'affaires du groupe progresse de 25%, à 61,675 milliards."Dans un contexte géopolitique et macroéconomique particulièrement perturbé, Vinci a réalisé en 2022 une performance d'ensemble de grande qualité", a commenté son PDG, Xavier Huillard, cité dans le communiqué. "La forte hausse du chiffre d'affaires et des résultats s'accompagne d'une génération de cash-flow libre record", ajoute-t-il, relevant que toutes ses régions se portent bien (et pour la première fois, Vinci réalise plus de la moitié -- 55% -- de son activité hors de France).Pour Antoine Fraysse-Soulier, analyste de marchés chez eToro, "Vinci profite des effets post-pandémie", avec "comme un bon nombre de sociétés du CAC40, des résultats meilleurs qu'attendus".Ainsi, le bénéfice net de ses concessions dans les infrastructures a quasiment doublé à 2,7 milliards d'euros (soit +96,3%, par rapport à une année 2021 post-Covid négative pour Vinci Airports).L'activité aéroports profite en effet d'une vive reprise du trafic, sortant du rouge l'an dernier pour engranger plus de 500 millions d'euros: ses sites ont accueilli deux fois plus de passagers qu'en 2021, retrouvant les trois quarts de leur niveau de 2019.Côté autoroutes, le trafic remonte "légèrement", en Amérique du nord, Portugal, Grande-Bretagne... Celui des poids lourds en particulier continue à progresser du fait du e-commerce, selon le PDG, qui constate un doublement du nombre d'entrepôts logistiques le long des corridors autoroutiers.Ces résultats sont publiés alors qu'est relancé en France le débat sur les concessions d'autoroutes, attribuées depuis 2006 à des entreprises privées dont Vinci. Le ministère de l'Economie, interpellé sur la hausse des péages et sur la rentabilité des concessionnaires, a indiqué mercredi réfléchir à la possibilité de raccourcir la durée des concessions.Accent sur l'énergieCe sujet "m'inspire un sentiment de redite", a répondu jeudi devant la presse le président de Vinci Autoroutes, Pierre Coppey, blâmant plus généralement une "incompréhension" du modèle économique des concessionnaires. Autre activité en croissance, Vinci Energies, à 693 millions d'euros de bénéfice net (+25%), et pour laquelle 31 acquisitions ont été réalisées l'an dernier.Cette année a notamment marqué l'intégration de Cobra IS, rachété à l'espagnol ACS et qui va par exemple lui permettre de faire de l'éolien offshore au large de l'Allemagne, ou l'installation de lignes à haute tension au Brésil.Pour Xavier Huillard, ce pôle énergie, qui a fait "une très très belle année", "à 22 milliards d'euros de chiffre d'affaires, va continuer de performer car il est au coeur des puissantes transformations liées à la transition énergétique et à la révolution numérique".Du côté de Vinci Construction, principal pôle du groupe (la moitié du chiffre d'affaires), le bénéfice net est à 680 millions (+19%), avec "un renouvellement satisfaisant des carnets de commandes"."Ici on ne vise pas les volumes mais l'excellence opérationnelle, la taille de nos carnets de commandes nous confère la sérénité nécessaires pour nous permettre d'être sélectifs", explique le PDG.Parmi ses chantiers, le nouveau métro de Toronto, ou encore une part du village des athlètes des JO de Paris 2024, qu'"on sera dans les temps pour livrer", a-t-il assuré. En France il constate que la commande publique se porte plutôt bien, et entrevoit avec satisfaction un éventuel nouveau programme de contruction de réacteurs nucléaires.Époque plus compliquée en revanche pour Vinci Immobilier, avec une baisse des réservations de logements et "un attentisme" dans la construction. In fine, pour 2023, le groupe aux 270.000 collaborateurs prévoit une "nouvelle progression du chiffre d'affaires" et un résultat net "légèrement supérieur à son niveau de 2022".
Il y a 2 ans et 130 jours

Pour la première fois en 2022, l'international chez Vinci dépasse l'activité France

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a bouclé une année 2022 très satisfaisante pour ses dirigeants, marquée par une forte croissance à deux chiffres de son activité et une progression des résultats, dans tous les métiers – ou presque – et dans toutes ses géographies.
Il y a 2 ans et 132 jours

Vinci Construction crée Sogea Environnement

Vinci Construction regroupe aujourd’hui ses activités du secteur de l’hydraulique au sein de Sogea Environnement. [©Actophoto/Sogea Environnement – Syndicat Intercommunal des Eaux des Monts du Lyonnais] Vinci Construction regroupe aujourd’hui ses activités du secteur de l’hydraulique au sein de Sogea Environnement. Ceci, pour répondre aux enjeux de la gestion et de la préservation de la ressource en eau. Cette nouvelle entité interviendra pour tous les métiers des réseaux hydrauliques en conception, construction, réhabilitation, maintenance et exploitation. Fort d’un savoir-faire reconnu, ses équipes contribueront à structurer le territoire avec la réalisation et l’entretien d’équipements au service du mieux-vivre. Lire aussi : Vinci Construction France : Le bas carbone comme feuille de route Un fort ancrage territorial Doté d’un fort ancrage territorial grâce à ses 70 agences réparties dans toutes les régions, Sogea Environnement couvre un champ d’expertises dans tous les métiers du cycle de l’eau. Il interviendra aussi sur tous les métiers de réseaux enterrés, tels que les réseaux secs (fibre optique, gaz…) ou les réseaux de chaleur et de froid. Les coopérations transversales des équipes réunies au sein d’une même organisation permettront une consolidation des savoir-faire, la mutualisation du matériel et des formations. Mais aussi, le partage des bonnes pratiques, ainsi que la mise en commun et le développement des idées innovantes au service des projets, des clients et de la préservation de la ressource en eau. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 138 jours

Les tarifs des péages autoroutiers augmentent plus fortement que les années passées

Pour les voitures (véhicule de classe 1), les tarifs augmentent en particulier de 4,526% sur le réseau Cofiroute (Atlantique), 4,620% pour Sanef (Nord et Est), 4,683% pour Escota (Côte d'Azur), 4,743% pour les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), 4,758% pour AREA (Alpes), 4,823% pour les Autoroutes du Sud de la France (ASF) et 4,806% pour SAPN (Normandie), sauf sur l'A14 dont le péage bondit de 9,89%.L'augmentation moyenne est "sensiblement inférieure" aux 6,33% d'inflation mesurée par l'Insee à fin octobre, avait souligné le ministère en décembre.Plusieurs sociétés d'autoroutes ont décidé de mesures commerciales pour limiter la hausse, par exemple pour les trajets courts ou les véhicules électriques.Les péages avaient augmenté en moyenne de 2% en 2022, 0,4% en 2021, 0,8% en 2020 et 1,9% en 2019.Les prix des péages sont revalorisés tous les ans, selon un calcul qui prend en compte au minimum 70% de l'inflation (hors tabac) sur douze mois jusqu'en octobre, et d'éventuelles augmentations en fonction des travaux prévus par les différents concessionnaires dans leurs contrats. S'ajoute cette année, pour la dernière fois, le rattrapage du gel des péages décidé en 2015 par Ségolène Royal, alors ministre."Aller chercher l'argent"Deux décrets publiés mardi approuvent des avenants aux contrats liant l'Etat aux sociétés APRR, AREA, Sanef et SAPN --critiqués l'an dernier par l'Autorité de régulation des transports (ART)--, qui prévoient de nouveaux travaux. Au passage, le domaine d'APRR s'agrandit avec la reprise de 16 km de l'autoroute A6 jusqu'à présent entretenus par l'Etat en Ile-de-France.La plupart des sociétés d'autoroutes sont contrôlées par trois groupes, les français Vinci et Eiffage ainsi que l'espagnol Abertis.Dans ce contexte, Le Canard enchaîné a récemment retrouvé un rapport de l'Inspection générale des finances (IGF) de 2021, qui pointerait les profits réalisés par les sociétés concessionnaires et proposerait de réduire les tarifs des péages de 60% sur près des deux tiers du réseau.L'hebdomadaire satirique a accusé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, d'avoir "étouffé" ce rapport.Le gouvernement a deux contentieux en cours avec les sociétés autoroutières, qui contestent une décision dans la loi de finances 2020 d'indexer la taxe sur l'aménagement du territoire (TAT) sur l'inflation, pour financer le canal Seine-Nord-Europe, et qui ne veulent plus payer une "contribution volontaire exceptionnelle", a expliqué mardi le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.Le rapport en question "sert à préparer et accompagner les arguments du gouvernement" dans ces deux affaires, "ce qui explique qu'il n'ait pas été publié", a-t-il ajouté à l'Assemblée nationale.Il s'agit pour M. Béchu d'"obtenir davantage de fiscalité de la part des autoroutes" en "(allant) chercher l'argent dans le cadre de ces profits qui sont importants", et de mieux négocier les concessions à l'expiration des contrats actuels (entre 2031 et 2036 pour les grands groupes).La rentabilité beaucoup plus élevée que prévu des sociétés d'autoroutes, pointée dans son article par Le Canard enchaîné, ne ferait que "trois lignes" dans le rapport, a précisé Bercy à l'AFP.
Il y a 2 ans et 140 jours

Léonard, le laboratoire d’innovation de Vinci agit comme recruteur de talents

Le Groupe Vinci veut réduire fortement son empreinte carbone dès 2030. Pour y parvenir et générer plus rapidement les innovations nécessaires, Vinci a créé l’incubateur Léonard en 2017
Il y a 2 ans et 145 jours

"La dimension environnementale est au coeur des projets des start-ups" (Léonard)

INTERVIEW. Les jeunes pousses accompagnées en 2023 par la plateforme Léonard du groupe Vinci agissent en faveur de la transition écologique. Guillaume Bazouin, responsable des programmes start-ups et intrapreneurs, dresse le portrait de cette promotion.
Il y a 2 ans et 146 jours

Passoires thermiques : Est-ce atteignable ?

Le gouvernement fait la chasse aux passoires thermiques. [DR] Xerfi Canal est l’un des leaders en France des études économiques sectorielles. Vincent Desruelles a effectué, pour le compte de l’entreprise, une étude poussée sur la rénovation de l’habitat, et notamment des passoires thermiques. Si l’ensemble de l’étude est disponible sur le site de la société, son communiqué en retrace les grandes lignes et nous en apprend un peu plus sur les perspectives du secteur. Portée par les subventions MaPrimeRénov’ et les aides directes comme les CEE ou les dispositifs complémentaires des collectivités locales, la rénovation énergétique tirera le marché de l’entretien-rénovation de bâtiments. Estimé à 114 Md€ (résidentiel et non résidentiel, avec les petits travaux), ce dernier bondira en moyenne de plus de 4 %/an de 2024 à 2025, après un ralentissement en 2023 lié au recul des ventes dans l’ancien et aux pressions sur le pouvoir d’achat, d’après les experts de Xerfi Precepta. Une forte croissance du secteur de l’entretien-rénovation Les dépenses en entretien-rénovation pour le seul habitat devraient augmenter de 4,3 %/an en moyenne d’ici 2025 pour s’établir à 100 Md€. Cette hausse est 2,5 fois supérieure à celle de la décennie 2010. Le marché profite donc bien d’un coup de pouce lié à la transition énergétique. Déjà, quelque 50 000 biens en étiquette G et dont la consommation dépasse 450 kWh/m²/an doivent sortis du marché locatif. Au total, près de 150 Md€ seront nécessaires d’ici 2034 pour supprimer les passoires thermiques du parc locatif, dont 35 à 40 Md€ avant la première grande échéance de 2025 (interdiction à la location de tous les biens étiquetés G). Les moteurs pour la rénovation des bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux (36 Md€ en 2022) resteront, eux aussi, puissants à moyen terme. Face aux difficultés à construire des projets neufs, les opérations de reconversion-réhabilitation auront en effet la cote. Celles-ci sont d’ailleurs encouragées par les collectivités et peuvent se traduire par des associations entre promoteurs et investisseurs. Un objectif inatteignable ? Toutefois, les objectifs ambitieux d’éradication des passoires thermiques pourraient bien ne pas être atteints. De nombreux propriétaires bailleurs pourraient s’abstenir d’engager une profonde rénovation faute de rentabilité suffisante (coût des travaux par rapport à la valeur du bien). De la même façon, les opérations en copropriété seront difficiles à mener (règles de décision et de priorisation des travaux curatifs ou d’urgence). En clair, un programme associant aides directes (nationales et locales), propositions de financement du reste à charge et innovation en matière d’ingénierie patrimoniale et financière semble le seul moyen d’accélérer les opérations de rénovation de l’habitat en France. Dans le logement, les ménages sont les principaux donneurs d’ordre avec 90 % des dépenses (contre 10 % pour les bailleurs sociaux). Ils mobilisent surtout des fonds propres pour financer les travaux et ont recours aux prêts, aidés ou non, à hauteur d’un tiers des dépenses engagées. Et alors que le cadre réglementaire s’oriente vers davantage d’obligations de rénovation, les entreprises du bâtiment vont devoir pallier le manque de main-d’œuvre pour atteindre l’objectif de massification des opérations ou au moins répondre aux besoins croissants des prochaines années. Aides et accompagnements sont nécessaires Dans le même temps, il serait judicieux d’adapter les dispositifs d’aide aux besoins. Le chemin s’apparente de fait à un véritable parcours du combattant administratif et les solutions disponibles pour le reste à charge restent insuffisantes. A tel point que les dysfonctionnements recensés sur le dispositif de MaPrimeRénov’ ont conduit de nombreux ménages à renoncer aux aides. Une tendance qui a d’ailleurs fait émerger un marché de l’accompagnement. Le recours à des options alternatives de type tiers financement pourrait aussi être une piste à creuser. Parmi les différents acteurs du marché de la rénovation, plusieurs lignes directrices se dégagent, en termes de stratégies de croissance. L’accompagnement des ménages dans leurs démarches techniques et administratives est l’une d’entre elles. Les plates-formes d’intermédiation tentent ainsi de se faire une place entre les artisans et les porteurs de projet de rénovation. Les délégataires de CEE cherchent aussi à accompagner les particuliers et les entreprises. Les grands groupes de construction veulent rationaliser Pour faciliter les parcours clients désireux d’accéder aux aides, les collaborations entre acteurs et distributeurs voient également le jour. Les négoces essaient pour leur part d’apporter des solutions aux artisans en appui de leur prospection commerciale, permettant à ces derniers d’offrir une gamme complète (des travaux à leur financement). Les fabricants de matériaux et autres acteurs de la construction investissent pour se renforcer sur le marché de la rénovation. Cela passe notamment par des capacités de production étoffées, en particulier dans les produits isolants ou sur des offres destinées à la rénovation. De leur côté, les groupes de construction proposent des solutions pour gagner en efficacité dans les travaux, à travers l’industrialisation. Vinci Construction ou Bouygues Construction ont ainsi conçu des offres pour réaliser des opérations d’envergure dans des délais très courts, en ayant recours à la préfabrication de panneaux isolants. Basées sur des référentiels faciles à dupliquer, ces démarches ouvrent la voie à un financement par contrats de performance énergétique. Et constituent alors une option sérieuse pour répondre aux objectifs de massification des rénovations. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Un contrat de 4 milliards d'euros dans l'éolien offshore pour le groupe Vinci

A travers sa filiale Cobra IS, Vinci a remporté un contrat dans l'éolien offshore pour concevoir, construire et installer 2 plateformes offshore de conversion d'énergie éolienne en mer du Nord, au large de l'Allemagne.
Il y a 2 ans et 158 jours

Le groupe Vinci remporte un énorme contrat dans l'éolien offshore

Ce contrat est similaire à un premier annoncé en juillet 2022, mais d'une ampleur nettement plus importante : ces deux plateformes seront d'une capacité totale de 4 GW et "pourront alimenter l'équivalent d'une ville de 4 millions d'habitants comme Berlin", précise Vinci.Leur mise en service est prévue en 2029 et 2030 et elles "seront parmi les premières d'une telle capacité à être développées en Europe du Nord"."Elles permettront de convertir le courant alternatif produit par plusieurs parcs éoliens en courant continu haute tension (...), qui sera reconverti en courant alternatif sur des stations terrestres, situées à 400 km environ", précise Vinci.La réalisation de ces stations terrestres est également incluse dans le contrat.Le client est l'allemand Amprion Offshore, l'un des quatre gestionnaires du réseau de transport d'électricité en Allemagne. Ce contrat est plus précisément attribué à un groupement composé d'une filiale de Vinci (Dragados Offshore, filiale de Cobra IS achetée par Vinci en décembre 2021) et de l'allemand Siemens Energy.La construction de ces plateformes, prévue à Cadix (Espagne), doit permettre la création de plus de 2.000 emplois jusqu'en 2029.En juillet 2022, Vinci avait annoncé un contrat similaire, mais cette fois "proche du milliard d'euros", pour alimenter l'équivalent d'une ville comme Hambourg, soit 1,8 million d'habitants à compter de 2028.
Il y a 2 ans et 159 jours

Eolien en mer : un contrat XXL pour Vinci en mer du Nord

ENR. Le groupe Vinci, via sa filiale Cobra IS, a remporté un nouveau contrat de conception-construction-installation pour deux plateformes de conversion d'énergie éolienne offshore en mer du Nord. Mais leur capacité et le montant du marché sont bien plus importants que les précédents.
Il y a 2 ans et 164 jours

Toulouse : le Groupe des Chalets a choisi les façades innovantes de Vinci Construction pour son premier projet MassiRéno

Vinci Construction déploie son procédé Rehaskeen pour rénover 254 logements pour étudiants de l’école nationale vétérinaire de -Industrie
Il y a 2 ans et 164 jours

Vinci Energies s'enracine en Norvège

CROISSANCE EXTERNE. Le groupe Vinci a annoncé une nouvelle acquisition pour son pôle Energies en Norvège, renforçant ainsi sa présence dans le pays.
Il y a 2 ans et 164 jours

Groupe Roy Energie envoie 2 centrales photovoltaïques autonomes en Ukraine

GROUPE ROY ÉNERGIE soutient l’UkraineSensible à la situation d’urgence en Ukraine et souhaitant agir en mettant à disposition son savoir-faire, Groupe Roy Energie va envoyer deux centrales solaires autonomes à Kiev, fin janvier 2023.L’une d’entre elles permettra d’alimenter un étage d’hôpital de façon autonome pendant 7 heures et l’autre fournira de l’énergie dans une zone d’invincibilité.Les deux containers seront aménagés avec des prises électriques (ports USA / B / C de recharges de téléphones), un relais Wi-Fi Internet, un éclairage LED intérieur, du chauffage...Ces installations répondront de façon autonome à des besoins d’alimentation en électricité. Groupe Roy Energie collabore avec la Mairie de Kiev et l’Ambassade de France en Ukraine pour l’organisation du déplacement et le déploiement des centrales.Caractéristiques des 2 centrales photovoltaïques autonomesGroupe Roy Energie souhaite démocratiser le solaire et créer de l’énergie propre et locale, ponctuellement et durablement, où que l’on se situe sur la planète. La société a expérimenté deux centrales solaires autonomes différentes, pour le concert de Sting à Chambord au mois de juin 2022 et pour les illuminations de Noël du château actuellement. Elle est à l’origine de l’idée, de la recherche et du développement.Les résultats étant concluants, Groupe Roy Energie a désormais la certitude de pouvoir les déployer de façon sécurisée en base vie de chantier, dans le désert, sur des zones sinistrées, de conflits ou de catastrophes naturelles : partout, tout le temps, quelles que soient les conditions.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 150 PVCette centrale photovoltaïque déployée lors du concert de Sting mesure au sol 80x20 mètres. Elle comprend 150 panneaux photovoltaïques de 370WC posés au sol, orientés est/ouest pour favoriser une production optimale sur la journée. Elle comprend également un container équipé du système de transformation et de stockage de l’énergie destiné à alimenter l’hôpital. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire jusqu’à 60 kW de puissance. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 76,8 kWh.Fonctionnement de la centrale photovoltaïque autonome au sol de 54 PVCette centrale photovoltaïque déployée pour les illuminations du château de Chambord de Noël 2022 mesure 20 x 20 mètres. Elle est composée de 54 panneaux photovoltaïques de 365 WC et de 2 onduleurs de 10 kva. Elle fonctionne sur et hors réseau et est capable de produire une puissance de 20kW. La réserve d’énergie utile de la batterie est de 25,6 kWh.La jeune chambre économique française s’associe à cette opération et lance un appel aux dons pour finaliser l’envoiEn soutien de ce projet au service de la population ukrainienne, la Jeune Chambre Économique Française lance un appel aux dons auprès des particuliers et des entreprises pour financer l’aménagement des containers et les commandes de batteries et d’onduleurs. Cela complètera l’apport des deux centrales photovoltaïques d’un montant de 200.000€.La collecte des dons aura lieu du 23 décembre 2022 au 15 janvier 2023 via la plateforme Hello Asso (https://www.helloasso.com/associations/jeune-chambre-economique-francaise/collectes/repondons-aux-besoins-energetiques-de-la-population-ukrainienne), avec un objectif de 100.000€ (don déductible, cette association étant reconnue d’utilité publique).Les noms de tous les donateurs seront indiqués au dos des panneaux photovoltaïques. Et ils auront la certitude d’apporter une aide concrète en Ukraine.GROUPE ROY ENERGIE, expert photovoltaïqueActeur majeur dans la préservation de l’environnement en France, dont le siège social est situé à Orléans, Groupe Roy Energie conçoit et installe des solutions photovoltaïques innovantes adaptées à chaque besoin spécifique de construction ou rénovation des agriculteurs, collectivités, entreprises et industriels, particuliers et spécialistes de l’immobilier.Groupe Roy Energie propose un accompagnement complet, incluant également la maintenance, le service après-vente et le suivi à distance de votre installation. Le bureau d’étude, composé d’une équipe d’ingénieurs bâtiments, dessine chaque projet clé en main, grâce à leur expertise, et assiste jusque dans les démarches administratives et bancaires. Groupe Roy Energie est d’ailleurs référencé et labellisé dans toutes les agences bancaires, ce qui garantit une réponse rapide aux demandes de prêt.Groupe Roy Energie propose des prestations premium à prix compétitifs, afin de démocratiser le photovoltaïque et le rendre accessible à tous. L’entreprise souhaite amener un maximum de particuliers et d'entreprises à tendre vers l’indépendance énergétique.Toutes les prestations sont réalisées en interne, sans aucune sous-traitance. Les équipes collaborent avec les meilleurs partenaires locaux ancrés sur leur territoire et garantissent des prestations premium, à un prix juste, sur 60 départements. Groupe Roy Energie veille à la formation et la qualification continues des salariés, afin de garantir des prestations optimales. L’excellence et l’innovation font partie de son ADN.La jeune chambre économique française, incubateur de leaders citoyens.Depuis près de 70 ans, la Jeune Chambre Économique Française rassemble une communauté de citoyens de 18 à 40 ans : entrepreneurs, salariés, professionnels libéraux ou encore étudiants. Ensemble, ils relèvent les défis économiques, sociaux et environnementaux d’aujourd’hui et de demain et portent des projets d’intérêt général sur le territoire français.En construisant ces actions de façon collective et en recherchant des solutions aux problématiques rencontrées par les territoires, les membres se forment à la prise de responsabilités. En 2022, la JCEF rassemble près de 2.000 bénévoles engagés en France dans 135 Jeunes Chambres économiques locales. Elle est affiliée à JCI (Junior Chamber International) qui compte 200 000 leaders citoyens dans plus de 100 pays et agit en lien avec les 17 Objectifs du Développement Durable de l’ONU.
Il y a 2 ans et 180 jours

Une acquisition pour Cobra IS au Brésil

CROISSANCE EXTERNE. L'entreprise boucle une opération qui avait été initiée avant son rachat par le groupe Vinci.
Il y a 2 ans et 180 jours

Palmarès des secteurs du BTP et de l'immobilier qui emploient les ingénieurs des Arts et Métiers

Cet outil interne, édité semestriellement, permet d’apporter aux Alumni des Arts et Métiers, mais aussi aux élèves et à leurs enseignants, une information objective et prospective sur l’emploi dans 12 secteurs industriels où les ingénieurs Arts & Métiers sont présents et reconnus (Aéronautique, Agroalimentaire, BTP, Conseil, Défense, Énergies renouvelables, Logistique, Luxe, Nucléaire, Informatique, Santé, Transports.)Fruit du travail des Groupes Professionnels de la Soce, réalisé en partenariat avec la Junior-Entreprise AMJE Paris, cet observatoire réunit des données sur l’actualité économique et technologique, les perspectives de croissance et l'évolution des indicateurs généraux d’employabilité, accompagnés de points de vue d’ingénieurs des Arts et Métiers, experts dans leurs différents secteurs.Afin de rendre compte rapidement de l’attractivité des secteurs étudiés, les Groupes Professionnels ont créé un indice global d’attractivité se définissant comme suit :Secteur BTP - immobilier1. AttractivitéSi le secteur connaît des difficultés conjoncturelles liées au COVID ou à la guerre en Ukraine, l’impulsion donnée par le gouvernement pour verdir le bâtiment, développer de nouvelles infrastructures dans les énergies ou développer l’industrie permet d’être optimiste quant à son avenir.Les entreprises du BTP connaissent de profonds bouleversements organisationnels avec la transition numérique, qui sera source de nombreuses opportunités d’emplois. Le besoin d’ingénieurs étant croissant dans le secteur, les salaires et le nombre d’emplois suivront.Par ailleurs, la présence des groupes français Vinci, Bouygues et Eiffage dans le top 6 européen du BTP témoigne du rayonnement et du savoir-faire français dans le domaine de la construction.Au premier semestre de 2022, le secteur du BTP est classé à la 4e place sur le critère de l’attractivité parmi les 12 secteurs analysés.2. Le point de vue d’un acteur du secteurJean-Marie DOLO - Directeur technique et de l’innovation - Eiffage« De très belles perspectives se présentent pour les travaux publics en France et à l’international, notamment grâce aux projets comme le Grand Paris ou les nouveaux programmes nucléaires. Les industriels du BTP, comme la construction ou l’entretien des routes auront des difficultés de rentabilité à cause d’un volume d’affaires insuffisant. Le bâtiment est lui porté par la construction de logements et non plus par le tertiaire. La réglementation de la RE2020 incite à diminuer l’utilisation de béton et à s’orienter vers des matériaux plus chers et qui sont en difficulté d’approvisionnement, à cause d’une offre insuffisante.Le digital va révolutionner le secteur en faisant évoluer les manières de construire, vers un mode de fonctionnement plus coopératif et avec l’apparition de nouveaux métiers autour de la transition numérique. Le domaine est aujourd’hui à la pointe de la technologie et propose de beaux métiers d’avenir. Il n’y a plus aujourd’hui de parcours type pour réaliser une belle carrière dans le secteur.La hausse des prix à cause de la guerre en Ukraine ou les retards de dépôts de permis de construire n’auront qu’un effet passager. La nécessité de réindustrialiser la France, le rayonnement des majors français du BTP à l’international, ainsi que l’impossibilité de délocaliser les métiers du secteur permettent d’être confiant sur son avenir en France. »3. Le point de vue du Président du Groupe Professionnel BTP - ImmobilierJean-Yves GABON, Président du Groupes Professionnels 28 - Chef de service - Bouygues Construction« Le secteur du BTP est attractif et vaste, avec un fort besoin d’ingénieurs et de nombreuses possibilités.Le VIE (Volontariat International en Entreprise) est la voie royale pour démarrer une carrière dans le secteur, il permet d’évoluer rapidement et de découvrir de grands chantiers à l’étranger. Pour ceux qui souhaitent rester en France, le métier de la conduite de travaux est formateur et est une bonne école de management, spécialement sur les ouvrages importants. Le besoin d’ingénieurs dans ces métiers-là est stimulé par les grands projets nationaux comme les chantiers du Grand Paris, des Jeux Olympiques ou encore du canal Seine Nord Europe.Les grands groupes de BTP s’implantent de plus en plus sur le marché des énergies renouvelables, ce qui crée un besoin d’ingénieurs dans les domaines de l’éolien, du nucléaire ou encore de l’hydrogène. De même pour les ingénieurs matériaux qui travaillent dans la valorisation des déchets de chantiers.Le bilan carbone des chantiers étant un critère de plus en plus déterminant dans les appels d’offre, les entreprises du secteur recherchent des ingénieurs dans ce domaine qui est réellement un métier d’avenir. »
Il y a 2 ans et 213 jours

"Les circuits courts sont des solutions de long-terme" selon Xavier Huillard (Vinci)

VILLE DURABLE. En ouvrant l'université annuelle du Lab Recherche et Environnement, le P-dg du groupe Vinci a rappelé l'importance pour les « bâtisseurs » de s'inscrire dans un mouvement de « réinvention et recyclage urbains », en favorisant les circuits courts. Ce qui permettra à la fois d'aller vers plus de sobriété et de souveraineté.
Il y a 2 ans et 216 jours

Vinci s'élance sur le futur métro de Toronto

CONTRAT. Le groupe Vinci a remporté l'un des trois contrats portant sur la construction de la future Ontario line, projet d'infrastructure majeur de la capitale économique canadienne.
Il y a 2 ans et 216 jours

Chantiers au Qatar : une éventuelle mise en examen pour Vinci Constructions Grands projets

Le groupe Vinci a annoncé lundi la convocation, mercredi, par la justice française de sa filiale "en vue d'une éventuelle mise en examen", dans le cadre d'une enquête sur les conditions de travail au Qatar.
Il y a 2 ans et 220 jours

Vinci remporte 4 milliards d'euros de contrat pour le nouveau métro de Toronto

Vinci Construction Grands Projets (50%) en groupement avec Ferrovial (50%) ont été retenus par Metrolinx, l'autorité responsable des transports dans la région de Toronto, "pour réaliser en conception-construction-financement une section significative du nouveau métro Ontario Line", a dévoilé le groupe dans un communiqué."Le contrat, d'une valeur de 6 milliards de dollars canadiens (4,4 milliards d'euros), porte sur le financement, la conception et la construction du génie civil - hors équipements ferroviaires - d'un tunnel bitube de 2 x 6 km, et la réalisation tous corps d'état de 7 nouvelles stations", détaille Vinci, selon le communiqué.Vinci annonce "plus de 1.500 emplois directs créés pendant la construction", prévue pour durer 89 mois avec une réception de l'ouvrage en 2030.Le financement sera "pour partie mobilisé par le constructeur" grâce notamment à une "facilité bancaire mobilisant un pool international de onze banques, dont trois canadiennes".Selon Vinci, "227.000 habitants se retrouveront à proximité du métro, qui accueillera 388.000 usagers quotidiens en 2041" et permettra d'éviter 28.000 véhicules chaque jour, assure le groupe."Vinci Construction confirme son ancrage au Canada", se félicite le groupe, qui exécute déjà un "contrat de conception-construction-financement en cours à Ottawa, pour l'extension de la ligne de la Confédération, couvrant 27,5 km de voies nouvelles, 16 gares et les ouvrages associés".
Il y a 2 ans et 221 jours

Une filiale de Vinci mise en examen par la justice française dans le cadre de ses chantiers au Qatar

Vinci Constructions Grands Projets (VCGP) a été mise en examen par un juge d'instruction de Nanterre (Hauts-de-Seine) des chefs de "soumission à des conditions de travail ou d'hébergement incompatibles avec la dignité", "obtention de la fourniture d'une personne en situation de vulnérabilité ou de dépendance de services, avec une rétribution sans rapport" et "réduction en servitude", a indiqué le parquet de Nanterre, sollicité par l'AFP.C'est "un signal fort de l'institution judiciaire" car "ce n'est pas rien, en France, de s'attaquer à une entreprise du CAC40", a réagi Sandra Cossart, la directrice de l'ONG Sherpa qui avait déposé plainte avec constitution de partie civile. Mais "ce n'est pas une victoire, car ce n'est qu'une mise en examen, l'enquête continue", a-t-elle ajouté.Le dossier remonte à 2015, et une première plainte avait été classée sans suite en 2018. Mais des plaintes avec constitution de partie civile émanant des associations Sherpa et Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), ainsi que d'ex-employés indiens et népalais de ces chantiers, ont entraîné l'ouverture d'une enquête par un juge d'instruction en novembre 2019.Une perquisition au siège du groupe Vinci à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) avait eu lieu en décembre 2020.Trois chantiers sont décriés par les plaignants: celui du "métro léger" ralliant Doha à Lusail, ville nouvelle qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football ; celui des parkings souterrains de Lusail ; ainsi que ceux du chantier de l'hôtel de luxe Sheraton, au coeur de Doha."Historique"Le représentant du groupe, lors de sa convocation devant le juge d'instruction, s'est "borné à exprimer une protestation portant sur l'insuffisance du délai consenti aux avocats pour élaborer les réponses utiles et le choix intempestif de la date à quelques jours de l'ouverture de la Coupe du monde de football", a déclaré Me Versini-Campinchi à l'AFP.VCGP "va immédiatement former un appel tendant à voir prononcer par la Chambre de l'instruction de Versailles la nullité de cette mise en examen", a averti l'avocat, en raison notamment d'une infraction visée qui n'existait pas dans le Code pénal au moment des faits reprochés. Le magistrat a cependant "réduit la période de prévention" de cette infraction pour cette raison, a expliqué l'avocat.Selon les témoignages recueillis à l'époque par l'ONG Sherpa, les employés immigrés de Vinci sur certains chantiers ont dit avoir travaillé, passeport confisqué, entre 66 et 77 heures par semaine. Et ils auraient été entassés dans des chambres exiguës aux sanitaires insuffisants, percevant des rémunérations sans rapport avec le travail fourni, menacés de licenciement ou de renvoi dans leur pays en cas de revendications."J'ai commencé à vomir (...) à cause du gaz, de la fumée, du pétrole", a témoigné un plombier, affirmant avoir travaillé jusqu'à 30 mètres de profondeur sans masque à oxygène.Un audit réalisé en janvier 2019 par plusieurs organisations syndicales (CGT, CFDT et CFE-CGC) au sein des activités qataries de Vinci a néanmoins conclu à l'existence de bonnes pratiques sur place en matière d'emploi. La directrice de l'ONG Sherpa estime cependant que s'il y a eu des "améliorations volontaires (...) ça ne dédouane pas l'entreprise des actions répréhensibles qui auraient été commises entre 2011 et 2014"."Cette mise en examen est historique et un pas de plus vers la lutte contre l'impunité et la responsabilisation des multinationales", s'est réjouie de son côté l'avocate de Sherpa, Ingrid Metton."Aucun des projets" attribués à Qatari Diar Vinci Construction (QDVC) "n'est lié" à la Coupe du Monde au Qatar et ils ont été "attribués (...) avant que l'organisation de cette compétition ait été attribuée" (en 2010) à ce riche émirat du Golfe, affirme de son côté Vinci. Il rappelle que les projets ont porté "à l'essentiel sur des infrastructures de transport".
Il y a 2 ans et 221 jours

Conditions de travail au Qatar : une filiale de Vinci mise en examen

JUSTICE. Une filiale du groupe Vinci vient d'être mise en examen par un juge de Nanterre (Hauts-de-Seine), dans l'affaire des conditions de travail sur ses chantiers au Qatar.
Il y a 2 ans et 224 jours

Chantiers au Qatar : une filiale de Vinci convoquée par la justice française "en vue d'une éventuelle mise en examen"

Le journal Le Parisien avait rapporté dimanche qu'une telle convocation aurait lieu mercredi par un juge d'instruction de Nanterre. Le groupe écrit regretter que "sa filiale fasse l'objet d'une mise en examen", en anticipant une décision qui appartient au juge mercredi. L'entreprise française dit réfuter les accusations, notamment de "travail forcé" et de "traite d'êtres humains", à deux semaines de l'ouverture du Mondial-2022.Le dossier remonte à 2015, et une première plainte a été classée sans suite en 2018. Mais des plaintes émanant des associations Sherpa et Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), ainsi que de sept ex-employés indiens et népalais de ces chantiers, ont entraîné l'ouverture d'une enquête par un juge d'instruction en novembre 2019.Trois chantiers sont décriés par ces plaignants: celui du "métro léger" ralliant Doha à Lusail, ville nouvelle qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football ; celui des parkings souterrains de Lusail; ainsi que ceux du chantier de l'hôtel de luxe Sheraton, au coeur de Doha.Les plaignants accusent Vinci, Vinci Construction Grands Projets (VCGP), sa filiale Qatari Diar Vinci Construction (QDVC) et leurs représentants, de "réduction en servitude, traite des êtres humains, travail incompatible avec la dignité humaine, mise en danger délibérée, blessures involontaires et recel" notamment, selon la plainte consultée par l'AFP en 2020.Vinci "n'a cessé de réfuter vigoureusement les allégations portées à son encontre concernant des chantiers au Qatar menés par l'entreprise QDVC" et "continuera de collaborer avec la justice", explique le groupe lundi dans son communiqué.Travailleurs migrantsPour organiser la compétition de football, le Qatar a confié la concrétisation de gigantesques travaux de construction (stades, routes, hôtels...) à une armée de travailleurs migrants. Dès les premiers coups de pioches, des ONG ont dénoncé les conditions de travail imposées à ces ouvriers.Selon les témoignages recueillis à l'époque par l'ONG Sherpa, les employés immigrés de Vinci sur certains chantiers ont dit avoir travaillé, passeport confisqué, entre 66 et 77 heures par semaine. Et ils auraient été entassés dans des chambres exiguës aux sanitaires insuffisants, percevant des rémunérations sans rapport avec le travail fourni, menacés de licenciement ou de renvoi dans leur pays en cas de revendications."Aucun des projets attribués à QDVC n'est lié à la Coupe du Monde de football 2022 au Qatar" et ils ont été "attribués (...) avant que l'organisation de cette compétition ait été attribuée" (en 2010) à ce riche émirat du Golfe, affirme de son côté Vinci. Il rappelle que les projets ont porté "à l'essentiel sur des infrastructures de transport".Un audit réalisé en janvier 2019 par plusieurs organisations syndicales (CGT, CFDT et CFE-CGC) au sein des activités qataries de Vinci a néanmoins conclu à l'existence de bonnes pratiques sur place en matière d'emploi."Nous avons vainement tenté de convaincre le magistrat qu'il n'était pas spécialement opportun après sept ans et demi d'enquête d'envisager une mise en examen dans la quinzaine d'ouverture de la Coupe du Monde de football", a réagi lundi auprès de l'AFP l'avocat de Vinci Jean-Pierre Versini-Campinchi, qui craint "un tumulte médiatique"."Si une mise en examen était prononcée contre Vinci, cela confirmerait que les multinationales ont de plus en plus de mal à se cacher derrière les chaînes de valeur, le fait qu'il serait +trop compliqué+ d'agir, et rappellerait que juridiquement, des mesures volontaires d'amélioration ne permettent pas d'échapper au risque de sanction pénale en cas de suspicion d'infraction", retient pour sa part l'ONG Sherpa.
Il y a 2 ans et 224 jours

Conditions de travail au Qatar : une filiale de Vinci convoquée par un juge d'instruction

JUSTICE. Le groupe Vinci, dont une filiale a été convoquée par le juge d'instruction de Nanterre, réfute les mises en cause relatives aux conditions de travail sur ses chantiers au Qatar.
Il y a 2 ans et 224 jours

Dernière ligne droite pour la Nouvelle Route du Littoral de La Réunion

Grâce à un viaduc de 5,4 km, le premier tronçon de la Nouvelle Route du Littoral surplombe à une trentaine de m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. [©Région La Réunion] « La volonté de la Région est de répondre sans attendre davantage, sans prendre encore plus de retard, à l’impérative nécessité d’en finir avec ce chantier inachevé et de sécuriser définitivement l’axe Saint-Denis – La Possession », insiste Huguette Bello, présidente de la Région La Réunion. Les 12,5 km de la Nouvelle Route du Littoral (NRL) ne seront pas terminés avant 2028. Donc avec plus ou moins dix ans de retard, pour un budget final dépassant les 2,2 Md€. Une première inauguration Nombre d’automobilistes et de motards étaient venus emprunter pour la première fois, dimanche 28 août dernier, à midi (heure locale), la NRL, reliant le Nord et l’Ouest de l’île. Grâce à un viaduc de 5,4 km, un premier tronçon surplombe à 30 m de haut, l’océan Indien, en offrant une vue incroyable sur la mer et les falaises de la côte. Cette ouverture en août dernier ne s’est réalisée toutefois que sur deux voies, uniquement dans le sens Saint-Denis – La Possession et sur 8,7 km, alors que la NRL doit être longue dans sa totalité de 12,5 km, avec deux fois trois voies, dont deux couloirs de bus. La dernière portion du chantier entre la Grande Chaloupe et La Possession est à l’arrêt depuis 2019. Un second viaduc est désormais prévu pour terminer la route. Un second viaduc Initialement, la NRL se composait d’un grand viaduc et d’une longue digue en mer. Ce choix de la digue en mer, retenu en 2011 par l’ancien président du conseil régional, Didier Robert, devait être moins onéreux et avait l’avantage de faire travailler des entreprises locales. Mais, faute de ressources suffisantes dans l’île en roches massives et face à l’impossibilité d’ouvrir de nouvelles carrières pour des raisons environnementales, le groupement Vinci-Bouygues et ses filiales réunionnaises ont négocié la résiliation du marché de 298 M€. Le résultat est qu’à la place de cette digue en mer, il existe un trou de 2,5 km pour relier La Grande Chaloupe à La Possession, la partie Ouest de l’ouvrage. Devant l’impossibilité de finir la NRL avant des années, la solution a été de construire une bretelle de raccordement avec l’actuelle route du littoral pour mettre en circulation les 8 premiers km terminés. « Ce chantier comporte un nombre incalculable de problèmes. Les élus qui composent la nouvelle majorité régionale ont à cœur de le faire avancer. C’est un projet hors norme, dont la complexité est sans précédent. Les choix qui ont été faits dès le départ avec la portion en digue, montrent aujourd’hui leurs limites puisque cette partie du chantier est remise en question depuis 2019. Malgré les difficultés de chantier, la réalité est qu’aujourd’hui la partie viaduc est, elle livrée, alors que la partie en digue n’a jamais pu démarrer. Les difficultés d’approvisionnement en enrochements ne sont pas des faits nouveaux, ils sont connus depuis des années […] Alors qu’il manque encore 2,5 km de linéaire pour livrer la totalité de la route, près de 1,6 Md€ ont déjà été dépensés. Il nous faut mobiliser encore entre 560 et 760 M€ pour finir le chantier. Une facture finale qui dépasse les 2,2 Md€ ! C’est titanesque », conclut Huguette Bello. M. C. La NRL en quelques chiffres : 12,5 km : C’est la distance de la Nouvelle Route du Littoral entre Saint-Denis et La Possession.5 409 m : C’est la distance du viaduc entre Saint-Denis et La Grande Chaloupe. C’est le plus long viaduc en mer de France.90 km/h : C’est la vitesse à respecter sur la Nouvelle Route du Littoral.133 M€ : C’est le prix de la Nouvelle Route du Littoral au kilomètre.Entre 5 et 11 m : C’est la profondeur de la mer au niveau de la Nouvelle Route du Littoral.4 500 : C’est le nombre d’emplois créés par la Nouvelle Route du Littoral.6 : C’est le nombre de voies de la Nouvelle Route du Littoral dont 2 seront réservées aux bus.
Il y a 2 ans et 236 jours

Vinci enregistre une croissance exceptionnelle sur les trois premiers trimestres 2022

RÉSULTATS. Le groupe Vinci a publié son bilan à fin septembre 2022. Et les chiffres sont particulièrement bons, toujours portés par une activité très soutenue à l'international, ses acquisitions, et une bonne dynamique commerciale.
Il y a 2 ans et 241 jours

Vinci investit dans une entreprise allemande de stations de rechargement hydrogène

MOBILITÉ. Le groupe Vinci, via Vinci Concessions, a annoncé avoir investi dans la société allemande H2 mobility, exploitant plus de 90 stations de rechargement hydrogène dans le pays.
Il y a 2 ans et 244 jours

"La RE2020 nous obligera peut-être à aller vers plus d'ultra bas-carbone" (B.Paul-Dauphin)

ÉDITION SPÉCIALE. Deux ans après le lancement de la marque Exegy, symbolisant la démarche de décarbonation des bétons chez Vinci Construction, son directeur Bruno Paul-Dauphin tire un premier bilan et explique les objectifs et perspectives de la marque et du groupe Vinci en matière de béton bas, très bas et ultra bas carbone sur le plateau de l'Edition spéciale Mondial du Bâtiment de Batiactu.
Il y a 2 ans et 251 jours

Vinci retrouve des niveaux de bénéfices d'avant-Covid et s'affirme à l'international

Porté par la reprise des voyages et des chantiers, le groupe a enregistré au premier semestre un bénéfice net de 1,9 milliard d'euros, supérieur à l'avant-pandémie de Covid-19 et plus que doublé par rapport à 2021.Le chiffre d'affaires semestriel du groupe est également nettement au-dessus des niveaux d'avant-Covid, à 28,52 milliards d'euros (+26% par rapport à 2021).Cette progression du chiffre d'affaires est due pour "un peu moins de la moitié" à l'intégration de Cobra IS, branche énergie du groupe espagnol de construction ACS acquise en 2021, a précisé Christian Labeyrie, directeur financier du groupe, lors d'une conférence de presse.Si le groupe est en croissance partout où il est présent, "l'arrivée de Cobra nous permet de nous développer de manière très significative, en péninsule ibérique et Amérique latine", a souligné Xavier Huillard, PDG du groupe. "Pour la première fois de notre histoire, l'international dépasse les 50% de notre activité totale, à exactement 53%", s'est-il félicité, y voyant l'aboutissement d'une orientation engagée depuis plusieurs années. La "quasi-totalité des pôles de métiers" ont dépassé leurs niveaux de chiffre d'affaires et de résultats pré-crise sanitaire, a relevé M. Huillard.Ces résultats sont supérieurs aux attentes des analystes, qui tablaient plutôt sur un chiffre d'affaires semestriel légèrement supérieur à 27 milliards d'euros, et un bénéfice net autour de 1,5 milliard."Les résultats et le cash-flow de Vinci Airports se sont redressés de façon spectaculaire grâce à l'accélération de la reprise du trafic aérien et aux effets des plans d'économies réalisées. Le trafic est désormais très proche de son niveau de 2019 dans de nombreuses plateformes du réseau", a noté M. Huillard.Le groupe a d'ailleurs légèrement relevé ses objectifs pour cette branche de son activité : il table désormais - hors reprise épidémique - sur "un trafic sur l'ensemble de l'année proche de 70% de son niveau de 2019 (contre 60% auparavant), conduisant à un résultat net et à un cash-flow libre positifs".Objectifs confirmés pour l'annéeLa branche construction, qui pèse pour près de moitié dans le chiffre d'affaires du groupe, a enregistré des revenus en progression de 10,7% à 13,45 milliards d'euros. Son résultat opérationnel, très saisonnier, s'élève à 254 millions d'euros, en hausse de près de 20% par rapport au premier semestre 2021.A l'image de l'ensemble du groupe, cette branche a été tirée par l'activité hors de France qui a grimpé de 18%, contre une croissance de 4% en France. Elle a réalisé plus de 50% de son activité hors de France pour "la première fois", selon M. Huillard.S'agissant du trafic routier, "Vinci Autoroutes enregistre un trafic supérieur à celui de 2019 tant pour les véhicules légers que pour les poids lourds", a commenté M. Huillard.Toutefois, "la tendance pour les véhicules légers est affectée par la hausse des prix des carburants", alors que pour les poids lourds, l'activité "reste bien orientée", a-t-il précisé.M. Huillard a réaffirmé la volonté de son groupe de contribuer à "décarboner le transport routier". "Toutes nos aires seront équipées en 2023 de bornes de recharge rapide", a-t-il indiqué, évoquant par ailleurs la participation de Vinci à un appel à projets piloté par la banque publique d'investissements Bpifrance, pour expérimenter plusieurs solutions de routes permettant de charger les véhicules, et surtout les camions, en roulant (ERS ou electric road system). La branche Vinci Energies a pour sa part enregistré une croissance de 8,3% de son chiffre d'affaires, à 7,75 milliards d'euros.Seule activité du groupe en recul, Vinci Immobilier (-2,1%) a pâti de "l'attentisme induit par la pandémie et le télétravail" pour l'immobilier de bureaux et de la hausse des taux d'intérêts, entre autres, pour l'immobilier résidentiel.Compte tenu de ces résultats et d'un carnet de commandes considéré comme bon dans la construction, le groupe a confirmé son objectif d'un résultat net 2022 supérieur à son niveau de 2019.
Il y a 2 ans et 258 jours

Patrimoine et centre-ville, moteurs de revitalisation urbaine ? – Bati Journal TV sur Batimat 2022

avec Etienne Bourdais, Directeur de projets innovants – Leonard, La plateforme innovation et prospective du groupe VINCI Fabien Verdier, Maire de Châteaudun, Président du Grand Châteaudun, Président du Conseil de Surveillance du Centre hospitalier de Châteaudun    
Il y a 2 ans et 258 jours

Vinci remporte un milliard d'euros de contrats pour lignes à haute tension au Brésil

Signés par la filiale Cobra IS, rachetée en 2021 au groupe espagnol ACS, ces contrats portent sur la conception et la construction de plus de 2.000 km de lignes de transmissions et de plusieurs stations, dont plus de la moitié dans l'Etat du Minas Gerais, près de Sao Paulo.L'un de ces contrats porte également sur l'exploitation et la maintenance pendant 30 ans de 1.080 km de ligne, pour 3,48 milliards de rials, soit 670 millions d'euros, selon un communiqué.Les travaux qui mobiliseront "plus de 5.000 employés" devraient s'achever fin 2027, précise le groupe.Dans le même Etat, mais dans la région d'Espirito Santo, 4.900 employés de Vinci construiront, également d'ici fin à la fin 2027, 980 km de lignes pour 2,0 milliards de rials (386 millions d'euros).L'international pèse désormais pour plus de la moitié dans l'activité de Vinci, qui a réalisé au premier semestre un bénéfice net de 1,9 milliard d'euros, supérieur à l'avant-pandémie de Covid-19 et plus que doublé par rapport à 2021, sur fond de croissance de 26% du chiffre d'affaires, à 28,5 milliards d'euros.L'acquisition de Cobra IS, qui a déjà installé "environ 32.000 km de lignes électriques" au Brésil en 20 ans, représentait "un peu moins de la moitié" de cette croissance des ventes, avait expliqué le groupe fin juillet, lors de la présentation de ses résultats.Le groupe s'attendait alors à un résultat net 2022 supérieur à son niveau de 2019.
Il y a 2 ans et 259 jours

La banque BPCE inaugure son siège dans deux nouvelles tours à Paris

Plusieurs étages de chacune des "tours Duo" est et ouest, respectivement 180 et 122 mètres de hauteur, sont dès à présent occupés par des collaborateurs de la banque, qui rassemble les réseaux Banque Populaire, Caisse d'Épargne et la division "global financial services", qui a absorbé les activités de l'ex-filiale Natixis. La tour ouest abrite également un hôtel-restaurant.Les quelque 90.000 mètres carrés de bureaux pourront accueillir à terme 9.000 salariés, expliquait lors d'une visite de presse le président du directoire Laurent Mignon.Mais pas en même temps, puisque les tours asymétriques, en partie penchées, ne disposeront que de 6.000 postes de travail, tous en "flex office" (quand aucun poste de travail n'est attitré à un salarié en particulier, ndlr) à l'exception des salles de marchés et de postes adaptés aux salariés en situation de handicap.L'arrivée dans ce nouvel espace permet au groupe mutualiste, implanté historiquement dans le 13e arrondissement parisien près des gares d'Austerlitz et de Lyon, mais aussi à Charenton-le-Pont, de passer de 28 à 10 le nombre de ses immeubles en Île-de-France.L'ensemble des services concernés déménageront progressivement d'ici le début d'année 2023.Les deux tours, dont la facture s'élève à environ 600 millions d'euros, sont détenues par BPCE Assurances et la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) Ivanhoé Cambridge.Les travaux commencés en mars 2017 ont été réalisés par Vinci.Cet ensemble autorisé en 2015 s'inscrit dans une série de tours validées par la majorité municipale de la maire Anne Hidalgo : le palais de justice des Batignolles (17e arrondissement, 160 mètres) ouvert en 2018, la Tour Triangle (15e arrondissement, 180 mètres) prévue pour 2026.L'opposition de droite à Anne Hidalgo, mais aussi ses alliés écologistes, fustigent ces projets, les jugeant peu écologiques, inesthétiques et inadaptés à une ville déjà parmi les plus denses au monde.Cette année, ils ont obligé la mairie à revoir deux projets à la baisse : l'un qui prévoyait la construction de deux nouvelles tours dans le même quartier, l'autre dans le 12e arrondissement (Bercy-Charenton).Et la Tour Triangle fait l'objet d'une information judiciaire par le Parquet national financier pour des soupçons de favoritisme.
Il y a 2 ans et 259 jours

Vinci réalisera deux gros marchés de lignes à haute tension au Brésil

CONTRATS. Le groupe Vinci, via sa filiale Cobra IS, a remporté deux marchés d'envergure pour des lignes à haute tension au Brésil, pour un montant de plus d'un milliard d'euros.
Il y a 2 ans et 271 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 277 jours

Vinci va "reconsidérer ses objectifs" en matière de sobriété énergétique (I. Spiegel)

FOCUS. En 2020, le groupe Vinci a annoncé vouloir réduire de 40% ses émissions de gaz à effet de serre directes d'ici à 2030. Un plan complété en 2022 par une réduction de 20% sur la totalité du scope 3 (émissions indirectes). Mais compte tenu de l'inflation des prix de l'énergie, il entend accélérer sur certains points, et tester de nouvelles solutions. Rencontre avec Isabelle Spiegel, directrice de l'environnement depuis trois ans.