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Résultats de recherche pour gymnase

(306 résultats)
Il y a 1 ans et 241 jours

Tarn-et-Garonne : projet de construction d’un gymnase dans l’enceinte du collège Simone-Veil à Verdun-sur-Garonne

Approuvé en 2020, le projet de construction d’un gymnase au sein du collège Simone-Veil de Verdun-sur-Garonne, dans le département du -Vie du BTP
Il y a 1 ans et 245 jours

Ain : réhabilitation du gymnase Jean-Falconnier dans la ville de Culoz

Le gymnase Jean-Falconnier à Culoz, dans le département de l’Ain, a fait l’objet de grands travaux de...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 246 jours

Seine-Maritime : achèvement de la réhabilitation du gymnase Nicolas-Fleury à Franqueville-Saint-Pierre

L’inauguration du gymnase Nicolas-Fleury, à Franqueville-Saint-Pierre près de Rouen, en Seine-Maritime, est prévue pour le 30 septembre...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 247 jours

Architecture bois à Pompidouville, Guyane

JAG Architecture signe à Papaïchton, au far-ouest de la Guyane, un gymnase iconique en bois local, déjà primé aux PNCB et aux Green Solution Awards.
Il y a 1 ans et 248 jours

Hauts-de-Seine : un gymnase plus moderne à Ville-d’Avra

Dans le département des Hauts-de-Seine, le complexe sportif de Ville-d’Avray a été...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 255 jours

À Nyons, un complexe sportif signé Paronama Architecture

Panorama Architecture (Ignacio Tillard et Olivier Brouwez, associés) a livré en 2022 à Nyons (Drôme), pour le Conseil général, maître d’ouvrage, un équipement sportif – gymnase, dojo, salle de musculation – dans un site marqué par un dénivelé important. Surface : 2 524 m² ; Coût : 4,8M€ HT. Communiqué. Le contexte Le site de la Cité Mixte […] L’article À Nyons, un complexe sportif signé Paronama Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 289 jours

Onze morts en Chine après l'effondrement d'un gymnase

Onze personnes ont péri en Chine après l'effondrement du toit du gymnase d'une école, un nouvel accident qui met en cause le secteur du bâtiment après des décennies de construction rapide dans le pays au détriment parfois des règles de sécurité.
Il y a 1 ans et 294 jours

Alpes-Maritimes : réhabilitation du gymnase du complexe sportif municipal des Bouillides à Valbonne

À Valbonne (Alpes-Maritimes), les travaux du complexe sportif Les Bouillides vont...-Vie du BTP
Il y a 1 ans et 334 jours

À Marseille, le gymnase de l’École Centrale signé Panorama Architecture

À Marseille (Bouches-du-Rhône), l’agence Panorama Architecture (Ignacio Tillard et Olivier Brouwez) a livré en 2022 le gymnase de l’École Centrale. Programme habituel : hall d’entrée, bureau, sanitaires/vestiaires, locaux de stockage du matériel sportif de la salle multisport, salle omnisport de 1 150 m². Coût : 2,9 M€ HT. Surface 1 500 m². Communiqué. Le contexte L’intervention de […] L’article À Marseille, le gymnase de l’École Centrale signé Panorama Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 342 jours

Essonne : rénovation énergétique du gymnase des Tournelles à Yerres

La municipalité de Yerres (Essonne) poursuit les travaux d’amélioration énergétique du gymnase des...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 15 jours

Une pagode le gymnase Jules Ladoumègue ? Par Aurélien Chen

Après 15 années en Chine, changement de vie, changement de pays, changement de ville. Retour à Paris. Pour Aurélien Chen, architecte et photographe, au travers du gymnase Jules Ladoumègue, redécouvrir Paris au travers non pas d’une pagode mais de plusieurs. Exploration. Ma première approche de la photographie d’architecture, c’était entre 2004 et 2007. Etudiant en […] L’article Une pagode le gymnase Jules Ladoumègue ? Par Aurélien Chen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 40 jours

Val-d’Oise : inauguration du gymnase Georges-Hébert à Eaubonne

À Eaubonne, dans le département du Val-d’Oise, la construction du gymnase Georges-Hébert est...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 50 jours

LE MANS GYMNASE DE LA BRIQUETERIE

 Premier gymnase au monde  intégrant la géothermie  couplée au dispositif de récupération des calories des voiries Power Road®  « Le gymnase de la Briqueterie est le premier gymnase au monde intégrant la géothermie couplée au dispositif de récupération des calories de voirie.  C’est l’expression très concrète de l’ambition que je porte pour répondre au défi climatique. […]
Il y a 2 ans et 80 jours

Un équipement pour définir Ivry Confluences selon Emmanuelle Colboc

La définition de la Confluence pour la Sadev 94 d’Emmanuelle Colboc et Associés est celle de la ville et de la jeunesse, de l’éducation et du soin, avec un groupe scolaire et un gymnase ceints d’une résidence pour étudiants (16 373 m² – 39 M€ HT). Un repère livré en 2022 dans l’environnement en totale […] L’article Un équipement pour définir Ivry Confluences selon Emmanuelle Colboc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 83 jours

Var : coup de neuf pour le gymnase du Port-Marchand à Toulon

Après huit mois de travaux, l’équipement sportif de Toulon (Var) est désormais...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 85 jours

Seine-Maritime : le nouveau gymnase Édouard-Vaillant au Havre a été dévoilé

Au Havre (Seine-Maritime), une esquisse du nouveau gymnase Édouard-Vaillant a été présentée publiquement par le conseil...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 97 jours

Val-d’Oise : le gymnase Pierre-de-Coubertin à Bezons ouvre ses portes

La ville de Bezons (Val-d’Oise) a officiellement ouvert son nouveau...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 104 jours

Var : réhabilitation de l’Espace 3000 et du gymnase des Rougières à Hyères

Dans le département du Var, à Hyères, l’Espace 3000 et le gymnase des Rougières font l’objet d’un programme spécifique de...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 108 jours

Au Cameroun reprise des travaux annoncée sur un grand complexe sportif après un litige

Il y a quelques jours, l'entreprise, Magil Construction Corporation, avait dénoncé les "attaques infondées" du ministère des Sports qui l'accusait dans un courrier interne de vouloir résilier unilatéralement son contrat. L'entreprise, filiale du groupe français Fayolle, accusait de son côté l'Etat de ne plus payer ses factures depuis juillet 2021.Les travaux avaient été interrompus en août dernier pendant un mois, puis avaient repris "en service minimum jusqu'à ce jour", a précisé le constructeur canadien à l'AFP.En marge d'une visite vendredi sur le site, le ministre des Sports du Cameroun, Narcisse Mouelle Kombi, a réaffirmé la volonté de son gouvernement de voir ce projet aboutir "dans son entièreté" et Magil reprendre les travaux rapidement "dans le cadre du contrat" passé avec l'Etat.Il y a eu "un très grand malentendu" et "les chantiers vont reprendre", a de son côté assuré le vice-président de l'entreprise canadienne, Franck Mathière, également présent. "Ce projet arrivera au bout, c'est l'engagement qui a été renouvelé entre le gouvernement et Magil", a-t-il ajouté.Magil a indiqué à l'AFP espérer une reprise des travaux ce lundi 16 janvier. Le feuilleton du complexe du stade d'Olembé, qui a déjà largement dépassé le budget initial, est régulièrement l'objet de vifs débats dans les médias, l'opposition parlant d'un vaste "scandale financier" dû à la "corruption". Outre ce stade omnisports de 60.000 places, le projet prévoit une piscine, un gymnase ou encore des courts de tennis. Seul le stade a été achevé, in extremis, pour accueillir des matches de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2021 de football organisée par le Cameroun début 2022.Ce chantier avait été confié en 2015 au groupe italien Piccini qui avait entamé les travaux seulement 15 mois après en invoquant des "raisons administratives indépendantes" de sa volonté.Le gouvernement avait ensuite unilatéralement résilié son contrat avec Piccini, remplacé en 2020 par Magil.
Il y a 2 ans et 126 jours

Ille-et-Vilaine : un nouveau gymnase pour la ville de Rennes

La commune de Rennes (Ille-et-Vilaine) a fait construire un nouveau complexe sportif destiné à accueillir différentes...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 128 jours

A Ivry Confluences, E. Colboc livre un triple équipement signal pour le nouveau quartier

EN IMAGES. Un groupe scolaire, un gymnase, une résidence étudiante : l'architecte Emmanuelle Colboc a livré, pour la rentrée 2022, l'un des premiers équipements du nouveau quartier d'Ivry Confluences, dans le Val-de-Marne. Le mélange des fonctions -et des publics- permis par ce triple programme doit donner vie à la placette qui l'adresse.
Il y a 2 ans et 140 jours

Le surcoût de l'inflation dans le budget des ouvrages des JO estimé à 140 millions d'euros

La maire de Paris et présidente de la Solideo, Anne Hidalgo (PS), est venue au conseil d'administration avec le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach, a-t-on appris auprès de la Solideo et de la mairie de Paris.Touchée par la hausse des prix dans la construction et des matières premières mais aussi par "la désorganisation des chaînes logistiques", la Solideo envisageait un surcoût avoisinant 150 millions d'euros. Il est donc un peu en deçà à 140,1 millions d'euros, portant la part publique à 1,711 milliard d'euros.En juillet 2021, la Solideo avait déjà revu son budget en raison de l'inflation, conduisant à augmenter la partie publique de 175 millions d'euros pour la faire passer de 1,38 milliard à 1,55 milliard d'euros.Pour éponger l'inflation de 2022, une enveloppe de 61,3 millions d'euros a été votée dans le projet de loi de Finances 2023. L'Etat prend en charge les deux tiers et les collectivités un tiers. Le département de Seine-Saint-Denis a récemment indiqué qu'il mettait une rallonge de 8,1 millions d'euros."Nous serons bien en mesure de livrer les ouvrages dans les temps impartis, dans les coûts fixés et dans les ambitions fortes que nous avons déterminées", s'est félicité le directeur général Nicolas Ferrand cité par le communiqué. Comme ces derniers mois, la Solideo a expliqué vendredi rester dans l'épure de l'enveloppe fixée "en euros constants hors taxes 2016".A la date de vendredi, le budget de la Solideo, au sens large, tourne autour de 4,4 milliards d'euros. Aux 1,7 milliard d'argent public (Etat et collectivités) s'ajoutent 2 milliards d'investissements privés (recettes de charges foncières par exemple), auxquels se greffent des investissements complémentaires qui ne transitent pas toujours par la Solideo mais liés aux JO (100 millions) ou pour leur héritage (400 millions de la part des collectivités et 200 millions de financements privés).Outre le village olympique, qui doit être livré fin 2023 et le village des médias situé au Bourget qui doit recevoir des techniciens le temps des JO, la Solideo s'occupe d'une soixantaine d'ouvrages: rénovations de gymnases et de piscines, construction de ponts et passerelles, échangeur autoroutier...Le comité d'organisation des JO (Cojo), dont le budget est à 96% privé, a lui voté le 19 décembre un budget en hausse de 10% à 4,4 milliards d'euros, une hausse dont la moitié provient de l'inflation (195 millions).
Il y a 2 ans et 148 jours

À Ivry Confluences, Emmanuelle Colboc façonne une "densité aimable" pour un vaste ensemble dédié à la jeunesse

Entretien avec l'architecte-urbaniste Antoine Viger-Kohler, cofondateur de l'agence TVK, à propos du boulevard périphérique de Paris, ses conditions contemporaines et ses perspectives d'avenir. AMC : A la fin des années 1990, avec le collectif Tomato, vous avez posé l'hypothèse qu'il existait une « ville du […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 159 jours

Résultats du Baromètre Enedis CSA 2022 : "Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune"

Une enquête menée par l’institut CSA Research pour Enedis révèle ainsi qu’une large majorité de citoyens et d’élus locaux sont aujourd’hui favorables à des mesures de sobriété énergétique sur leur commune pour faire face à la flambée des prix de l’énergie. La sobriété énergétique est la grande priorité des maires Premier enseignement de l’enquête « Les Français, les maires et la sobriété énergétique dans leur commune » : la sobriété énergétique est considérée comme LA grande préoccupation des élus pour leur commune (sauf en Ile-de-France où le sujet des transports publics continue à prévaloir), elle est vue comme la 4ème priorité pour les Français. 89% des maires interrogés considèrent que la mise en place de mesures de sobriété énergétique dans leur commune est un objectif important.88% des Français interrogés estiment que la sobriété énergétique devrait aujourd’hui constituer un objectif important pour leur maire. Les Français et les élus sont unanimes pour éteindre les lumières Pour baisser la consommation énergétique, la diminution de l’éclairage nocturne fait consensus. 72% des Français interrogés approuvent l’extinction de l’éclairage public après 22h.68% des maires interrogés déclarent avoir déjà mis en œuvre cette mesure.Les zones rurales et les petites villes sont à la pointe du mouvement. Dans les communes de moins de 10.000 habitants, l’extinction de l’éclairage public après 22h figure au premier rang des mesures mises en place par ces mairies pour réduire leur consommation d’énergie. Selon l’ADEME [1], 37% des dépenses d’électricité des collectivités locales reposent sur l’éclairage public. Les Français attendent néanmoins d’autres mesures complémentaires de leurs élus notamment concernant l’extinction des panneaux municipaux (86%) ou des vitrines des commerces (85%).A l’approche des fêtes de fin d’année, le Baromètre Enedis-CSA révèle que seuls 43% des Français sont prêts à renoncer aux illuminations de Noël dans leur commune. Agir sur le chauffage, une urgence pour les Français La question du chauffage est centrale à l’approche de l’hiver. Une large majorité de ménages (86%) souhaitent par ailleurs que leur mairie mette en place des mesures en faveur de la rénovation des logements énergivores. 33% des Français interrogés déclarent avoir le sentiment de vivre dans une passoire thermique. 28% des maires ont déjà lancé ce type d’initiatives. Dans les villes de plus de 30.000 habitants, la rénovation thermique des logements arrive au 2ème rang des priorités exprimées par les habitants, juste après la diminution du chauffage dans les bâtiments publics. La baisse du chauffage dans les bâtiments publics (gymnases, locaux administratifs…) fait quant à elle largement consensus. 72% des Français sont favorables à cette mesure pour soutenir la sobriété énergétique. 47% des maires ont déjà mis en place de telles actions. En revanche, moins d’un Français sur trois soutient la fermeture d’installations sportives ou de lieux culturels pour répondre aux enjeux de sobriété.L’enjeu des factures d’électricité et de gaz est surtout sensible dans les communes de 10.000 à 30.000 habitants où plus d’un maire sur deux (57%) y voit sa principale préoccupation, ainsi que dans les villes plus petites de 2.000 à 10.000 habitants (49%) et dans les communes du Nord-Ouest (56%) de la France. Pour les maires, un besoin d’accompagnement et d’outils pratiques Éteindre l’éclairage public dans une rue plutôt qu’une autre, réduire le chauffage dans la salle des fêtes ou le gymnase ? Comment s’assurer que les choix sont les bons ? Si 71% des maires ont mesuré les effets de l’extinction de l’éclairage public après 22 heures, 60% d’entre eux sont en demande d’outils pour mieux diagnostiquer et définir les actions de sobriété énergétique à mettre en place, cette proportion atteignant 76% dans les villes de 2000 à 10.000 habitants.Deux maires sur trois (67%) sont demandeurs d’outils de pilotage adaptés pour mesurer les impacts de leurs actions et optimiser leurs consommations d’électricité.La perception des Français des mesures déjà prises par les élus vs les mesures à prendre pour favoriser la sobriété énergétiqueA propos de la méthodologie du baromètre CSA pour Enedis :Ce baromètre qualitatif et quantitatif a été réalisé auprès de trois échantillons représentatifs :Par téléphone du 27 septembre au 19 octobre 2022 auprès de 500 maires ou adjoints au maire en charge de l’énergie, dont 263 maires de communes de moins de 2.000 habitants, 165 maires de communes de 2.000 à 10.000 habitants, 43 maires de communes de 10.000 à 30.000 habitants et 29 maires de communes de plus de 30.000 habitants.En ligne sur panel du 27 au 29 septembre 2022 auprès de 1.012 Français, âgés de 18 ans et plus (méthode représentative des quotas).10 entretiens individuels réalisés par téléphone auprès de maires de communes de France d’une durée de 45 minutes. Entretiens réalisés entre le 18 et le 26 octobre 2022.[1] Source : https://expertises.ademe.fr/collectivites-secteur-public/patrimoine-communes-comment-passer-a-laction/eclairage-public-gisement-deconomies-denergie
Il y a 2 ans et 166 jours

Val-de-Marne : réhabilitation du gymnase de la Paix à Fresnes

Deux mois de travaux seront nécessaires pour remettre en état le gymnase de la Paix à Fresnes, dans le département du...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 168 jours

Oise : réhabilitation du gymnase Jean-Moulin à Beauvais

En septembre 2023, le gymnase Jean-Moulin à Beauvais (Oise) affichera une nouvelle apparence et sera plus économe en...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 176 jours

Un nouveau gymnase avec du Rockfon VertiQ Metal alliant confort acoustique et aspect esthétique à Batilly (54)

Paris, le 7 novembre 2022 – Le confort acoustique est un aspect essentiel à prendre en compte dans les espaces intérieurs sportifs. C’est pourquoi, la Mairie de Batilly (54) a mandaté Jean-Pascal Piquard, architecte DPLG – Agence Piquard, pour concevoir le gymnase communal et notamment, l’acoustique et l’esthétique de cet espace qui accueille les activités […]
Il y a 2 ans et 177 jours

A Blagnac, MDR sort le train d’atterrissage pour le groupe scolaire de l’aérogare

En 2022, l’agence MDR architectes (Frédéric Devaux et Arnaud Rousseau) a livré à Blagnac (Haute-Garonne) le groupe scolaire de l’aérogare, soit 17 classes assorties d’un restaurant, d’une bibliothèque et d’un gymnase. L’équipement de 4 735 m² joue un rôle urbain dans l’environnement contraint du quartier. Communiqué. L’enjeu du groupe scolaire de l’aérogare est urbain et architectural. […] L’article A Blagnac, MDR sort le train d’atterrissage pour le groupe scolaire de l’aérogare est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 180 jours

A Orléans, un collège structurant par Archi5

Pour le département maître d’ouvrage, les Montreuillois d’Archi5 ont achevé en 2020 un collège sur l’avenue des Droits de l’Homme (6 540 m²) à Orléans (Loiret) accompagné d’un gymnase et d’une salle polyvalente (2 742 m²) livrés en 2021. Un équipement structurant dans un quartier en développement dont il marque l’entrée de ville. Communiqué. Le développement urbain […] L’article A Orléans, un collège structurant par Archi5 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 189 jours

Poésie de la statique: un gymnase par Remingtonstyle, à Boissy-Saint-Léger

Dans la lignée de son Amsterdam, et cette fois en compagnie de Gérard Planchenault, Marcel Bajard livre avec Marseille une plongée dans la longue histoire de la cité. Il s'agit dans cet ouvrage de retracer l'histoire de la cité phocéenne à travers l'évolution de son ossature urbaine mais aussi de son visage architectural. […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 204 jours

Val-d’Oise : réhabilitation du gymnase Raymond-Blaisel à Franconville

La commune de Franconville (Val-d’Oise) va remettre à neuf le gymnase Raymond-Blaisel dans l’attente des Jeux olympiques de Paris...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 208 jours

Hauts-de-Seine : le gymnase Jules-Verne complètement rénové à Châtenay-Malabry

Entièrement rénové, le gymnase Jules-Verne à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) est officiellement ouvert au...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 208 jours

Seine-Maritime : remise à neuf du gymnase Maurice-Fléchelle à Blangy-sur-Bresle

À Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime), les travaux de rénovation du gymnase Maurice-Fléchelle sont...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 237 jours

Bordeaux veut augmenter fortement son autonomie énergétique

"Nous n'avons pas attendu cette crise pour travailler sur l'autonomie énergétique de nos bâtiments les plus énergivores, a déclaré l'élu écologiste lors de sa conférence de presse de rentrée. Bordeaux va passer de 7 à 41% d'autonomie énergétique d'ici 2026. C'est un pas de géant que notre ville va franchir"."L'équipe municipale travaille depuis deux ans à la réduction de nos consommations énergétiques et au développement des énergies renouvelables", a-t-il poursuivi.La Ville doit ainsi livrer avant la fin 2023 dix installations solaires et compte couvrir 27% de sa consommation annuelle d'électricité avec du photovoltaïque d'ici la fin de la mandature en 2026. Elle prévoit aussi de se débarrasser du gaz pour l'alimentation de ses piscines qui seront raccordées à des réseaux de chaleur (géothermie ou bois).Par ailleurs, elle va abaisser le chauffage à 19 degrés dans les établissements culturels et les écoles, et même 12 degrés dans les grands gymnases. Dans les piscines, la température de l'eau comme de l'air "sera baissée", indique aussi la municipalité sans plus de précision. A partir de janvier, "la Ville éteindra 55% de ses points lumineux de 01H00 à 05H00 du matin", a ajouté M. Hurmic, qui prévoit également "d'éteindre l'illumination de 90% des bâtiments publics"."L'État nous demande de faire 10% d'économies d'énergie. A Bordeaux nous sommes plus ambitieux, nous réduisons de 12% les consommations énergétiques de la ville et nous réduisons de 20% notre facture d'éclairage public", a-t-il assuré."C'est un effort important et nécessaire pour réduire la facture énergétique de la Ville, dont l'augmentation pourrait s'élever à environ 20 millions d'euros", a avancé le maire. Ce montant est le "pire" scénario envisagé par la municipalité, selon l'adjointe chargée des finances, Claudine Bichet.Face à ce surcoût, M. Hurmic a appelé l'État à aider les collectivités. "Comme d'autres maires de grandes villes, je demande aujourd'hui à l'État d'ériger un bouclier tarifaire pour les services publics du quotidien en régulant un marché volatile et spéculatif, à l'instar du bouclier tarifaire qui protège aujourd'hui les ménages de la flambée de l'énergie", a-t-il plaidé.
Il y a 2 ans et 239 jours

Sobriété énergétique : la chasse au gaspi des communes pour limiter la facture

Éclairage publicEn réduisant dès l'automne l'éclairage nocturne de la Tour Eiffel et des bâtiments municipaux de la capitale, dont l'emblématique Hôtel de Ville, Paris veut "donner l'exemple", a justifié la maire Anne Hidalgo, qui entend investir 286 millions d'euros dans la rénovation de l'éclairage public pour le rendre 60% moins énergivore qu'un quart de siècle plus tôt.Lille, qui a cessé d'éclairer les bâtiments publics la nuit, sauf sur la Grand'Place et la place de l'Opéra, ce qui lui permettra selon elle d'économiser 170.000 kWh par an, l'avait devancée début septembre. Marseille a acté une mesure similaire avec l'extinction des feux à 23h30, et à 22h30 en hiver, pour ses 140 monuments, avec Notre-Dame-de-la-Garde pour seule exception. La mairie de Toulon veut atteindre le même objectif "le plus vite possible".Depuis juillet 2021, l'emblématique citadelle Vauban de Besançon n'est plus éclairée systématiquement la nuit "pour baisser la consommation d'énergie, préserver la biodiversité et limiter la pollution lumineuse", selon la maire Anne Vignot.Les mêmes raisons sont invoquées par la ville de Montpellier, qui a validé et accentué en avril une expérimentation d'extinction de l'éclairage public sur cinq axes routiers.Les grandes villes ne sont pas les seules à éteindre la lumière : ainsi en Nouvelle-Aquitaine, Libourne, Saint-Sever ou le Syndicat Énergies Vienne, qui gère le service public de l'énergie dans 220 communes rurales du département, ont décidé de s'en priver la nuit.Ces mesures de rationnement s'accompagnent généralement du remplacement annoncé des ampoules par du LED.Température des bâtimentsLille avait marqué les esprits en annonçant une baisse de température de 2 degrés - de 20 à 18 - dans deux musées, une baisse équivalente de la température de l'air et de l'eau dans les piscines municipales, ou encore deux heures de chauffage en moins en fin de journée dans les salles de sport.Là aussi, Paris a emboîté le pas en annonçant une baisse généralisée d'un degré de tous les bâtiments ne recevant pas un public vulnérable (Ehpad et crèches). Le début du chauffage, désormais fixé à 18°C, sera repoussé à la fois le matin, d'une demi-heure, et dans l'automne, d'un mois.À Lyon, la Métropole a arrêté à 19°C la consigne de chauffe cet hiver dans son patrimoine pour faire face au doublement anticipé (de 55 à 100 millions d'euros) des coûts de l'énergie en 2023.La même température vaudra pour les communes rurales de la Vienne, avec un système de bonus/malus pour récompenser les municipalités les plus économes, et à Marseille, qui a par ailleurs fixé à 26°C le palier pour la climatisation l'été dans ses locaux.À Libourne, le maire Philippe Buisson a carrément décidé "de ne quasiment plus chauffer les gymnases", maintenus à... 10 degrés, sauf pour les douches et les vestiaires.Fermeture des piscinesComme Lille, la mairie de Toulon a prévu de baisser la température de l'eau de ses piscines de deux degrés, de 28°C à 26°C, "sauf pour une piscine qui accueille des maternelles et des bébés", et réfléchit également à des fermetures "ponctuelles" de ces établissements énergivores, par exemple lors des vacances scolaires.Si Paris n'envisage cette option qu'en "dernier recours", sa voisine Issy-les-Moulineaux a franchi le pas cet été, en fermant la plus énergivore de ses deux piscines, pour lesquelles l'envolée des prix de l'énergie représente un surcoût de 400.000 euros par an.Lille a également annoncé que deux fontaines municipales ne seraient pas remises en fonctionnement pour économiser l'eau et l'énergie. Les annonces de ce type vont se poursuivre dans les prochains jours, avec des plans d'économies attendus par exemple à Toulouse et Grenoble.
Il y a 2 ans et 244 jours

La rénovation et construction passive, une solution face à la crise énergétique

Face à la crise climatique que traverse le monde et devant la crise énergétique qui menace les pays Européens, la Première ministre, Élisabeth Borne, a appelé, devant le Medef, les entreprises françaises à réduire leur consommation d'énergie. A chacune d’elle d'établir son propre "plan de sobriété" dès septembre. Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, explique que le gouvernement Français se "prépare au scénario du pire" et appelle à la sobriété "de tous".Le secteur du BTP est aujourd’hui à même de proposer une solution concrète qui a fait ses preuves. La rénovation et construction passive permet une transition écologique efficace, un contrôle du risque sur l’approvisionnement des énergies, tout en luttant contre la précarité énergétique.Méconnue par certains acteurs du secteur du BTP et connaissant un engouement de plus en plus important auprès du grand public, c’est la solution que l’association La Maison Passive promeut depuis sa création.Qu’est-ce que le « Passif » ?Le fonctionnement est simple ; la chaleur générée à l’intérieur du bâtiment par les occupants cumulée à celle apportée par le rayonnement solaire suffisent quasiment à répondre aux besoins de chauffage. Le bâtiment passif est parfaitement isolé, chaque faiblesse thermique est soigneusement pensée et traitée, comme s’il avait été recouvert d’un manteau qui le protège l’hiver du froid et l’été de la chaleur ! Il se passe donc d’un système de chauffage conventionnel l’hiver et de climatisation l’été.Le mode de conception et de construction passif s’applique à tout type de bâtiment et d’architecture (maison, appartement, écoles, bureaux, supermarchés, hôpital, gymnase, hôtel, restaurant…) en neuf et en rénovation. Il s’appuie sur les principes suivants : une isolation performante, une excellente étanchéité à l’air et une ventilation permettant une récupération de la chaleur sortante.Le bâtiment passif est en plus écologique !La dépense énergétique pour le chauffage d’un bâtiment passif est trois fois moindre que celle d’un bâtiment respectant la RE2020 et dix fois moindre que la moyenne du parc existant, ce qui diminue considérablement l’impact du bâtiment sur l’environnement.Il est tout à fait possible d’allier bioclimatisme et performance passive. Une grande partie des bâtiments passifs français sont réalisés à partir de matériaux biosourcés et utilisent des solutions techniques Low-Tech et peu énergivores. Pour faire rimer Faible Bilan Carbone avec Sobriété énergétique !Le coût de revient d’un bâtiment passifGrâce aux économies d’énergie que permet le « Passif », le coût de fonctionnement sera inférieur à celui d’un bâtiment « réglementaire ». Le surcoût de construction sera donc amorti bien avant la période de fin d’occupation. L’explosion des prix de l’énergie améliore encore la rentabilité de la construction passive.Pour en savoir plus, visitez le site de La Maison Passive et découvrez en vidéo l'installation d'une VMC double flux Brink sur le chantier d'une maison passive.
Il y a 2 ans et 246 jours

ALTA a livré le lycée La Providence à Saint-Malo

A Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), l’agence rennaise ALTA a livré en 2022 pour l’institution La Providence, un lycée destiné à 500 lycéens et post-bac. L’ouvrage, qui abrite également des ateliers, un auditorium et un gymnase sur 5 600 m², se veut iconique de l’identité malouine. Communiqué. Le projet situé rue de La Croix-Desille, est un établissement d’enseignement se […] L’article ALTA a livré le lycée La Providence à Saint-Malo est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 249 jours

La Garantie Toiture25® proposée par Pittsburgh Corning

En toiture, dans le cas d’une isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® sous étanchéité, avec relevés isolés, Pittsburgh Corning garantit l’isolation thermique pendant 25 ans, et l’étanchéité pendant 15 ans après la fin de l’assurance décennale de l’entreprise.  Rénovation de la Toiture du Gymnase- Tennis de Gif-sur-Yvette (91) Garantie pendant 25 ans de l’isolation des toitures […]
Il y a 2 ans et 274 jours

Seine-et-Marne : de nouvelles salles de sport au gymnase Laura-Flessel à Bussy-Saint-Georges

À Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), le gymnase Laura-Flessel accueillera dans ses sous-sols des salles de danse et de boxe.
Il y a 2 ans et 286 jours

Paris, ville hôte des JO-2024, en souffrance sur ses équipements sportifs

Un terrain de football neuf qui "s'est déchiré", des toilettes hors service pendant des mois, une piste d'athlétisme dans un état "catastrophique" : à deux ans des JO-2024 (26 juillet-11 août 2024), les exemples abondent de malfaçons ou défauts d'entretien des infrastructures sportives parisiennes.Sur le terrain de football de la Poterne des Peupliers (XIIIe arrondissement), des "trous et creux dangereux" ont causé la saison dernière quatre ruptures des ligaments croisés chez les joueurs de l'Entente sportive Paris XIII, selon un responsable du club, Pedro Sobral.Et quand les piscines ne sont pas en travaux, les grèves perlées des agents opposés à l'application des 35 heures hebdomadaires peuvent entraîner leur fermeture inopinée, y compris en cet été caniculaire.Autre sujet de crispations, le "manque de créneaux pour les associations", regrette Samia Badat-Karam, vice-présidente (LR et apparentés) de la commission sport et JO au Conseil de Paris. "C'est terrible, on a des associations qu'on refuse tout le temps", dit cette élue du XVIe arrondissement.Pedro Sobral s'interroge lui "sur les critères d'attribution" des créneaux et dénonce une "injustice" : selon lui, certaines associations ont "plus de facilités" à les obtenir.Vieillissement accéléréUn constat relativisé par Gérald Reman, président de l'association de volley Contrepied, pour qui la mairie "fait au mieux" et "trouve toujours des solutions" pour les clubs "très demandeurs" de créneaux comme le sien (380 adhérents).En début de saison, il a pourtant dû refuser une centaine de demandes d'adhésion faute de lieux d'entraînement.Entre crise sanitaire et difficultés budgétaires, la Ville a pris "beaucoup de retard sur l'ensemble des réalisations, même sur les petits équipements de proximité qu'il faudrait sortir pour les Jeux", déplore le patron des élus communistes Nicolas Bonnet-Oulaldj.Pour lui, "l'héritage" de Paris-2024 serait "qu'il y ait plus de Parisiens qui pratiquent du sport après les Jeux". Mais "nous sommes en incapacité de répondre à toutes les demandes et tous les besoins" dans les piscines, s'alarme-t-il.Paris "manque d'équipements sportifs" pour ses 2,1 millions d'habitants, reconnaît volontiers l'adjoint aux sports et aux JO Pierre Rabadan, qui souligne l'effort de rénovation et d'investissement depuis l'arrivée de la maire Anne Hidalgo en 2014 : 400 millions d'euros, dont 150 pour les piscines.L'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (Injep) fait un lien entre forte urbanisation et rareté des équipements sportifs, à Paris (14 équipements pour 10.000 habitants), dans les Bouches-du-Rhône (27) ou le Rhône (29).Un cercle vicieux pour la capitale, puisque gymnases, stades et piscines "sont surutilisés et vieillissent plus vite", constate Pierre Rabadan, dont les agents doivent constamment jouer aux équilibristes, en particulier lors des rénovations.Exemple avec les piscines, dont 6 sur 42 font actuellement l'objet de lourdes rénovations.Cet "énorme plan d'investissement" en vue des JO a pour effet négatif de "bloquer les bassins pendant les travaux", note Olivier Hosatte, président du club de waterpolo La Libellule.Le périph', une opportunité ?Les équipes de la Direction de la jeunesse et des sports doivent mieux "penser les différentes activités sportives au moment de la conception du bassin", déplore le poloïste.Son club s'est vu attribuer un créneau dans une des deux nouvelles piscines inaugurées début 2020, avant de s'y voir interdire les jeux de ballon en raison de "luminaires fragiles en bord de bassin"...L'exécutif d'Anne Hidalgo promet une troisième nouvelle piscine fin 2024 dans le XVIIIe arrondissement, tandis que deux autres sont à l'étude, indique l'adjoint à la construction publique Jacques Baudrier.Seul site olympique construit pour les Jeux intra muros, l'Arena de la porte de La Chapelle (XVIIIe) aura deux gymnases annexes, tandis qu'une cité des sports de 10.000 m2 est prévue à Python-Duvernois (XXe), selon M. Baudrier.Dans une ville où le moindre mètre carré fait l'objet de convoitises, "le problème de fond, c'est quand même le foncier disponible et les Jeux ne vont pas révolutionner cela", prévient M. Rabadan.L'ex-rugbyman veut croire aux "opportunités foncières" que la transformation du périphérique en boulevard urbain, à l'horizon 2030, pourrait offrir aux structures sportives.D'ici là, il ne voit que trois leviers pour la Ville : une "optimisation de l'utilisation des créneaux", le partage d'équipements dans d'autres communes franciliennes et une "meilleure exploitation des bois de Boulogne et de Vincennes", pourvoyeurs de nombreux terrains extérieurs.
Il y a 2 ans et 301 jours

Étape 14 : de Saint-Etienne à Mende, ce n’est pas de La Comédie

Cette étape de Saint-Etienne (Loire) jusqu’à Mende (Lozère) n’a rien d’une étape de transition, encore moins d’une promenade de santé. Sans monter très haut, les efforts seront incessants sur presque 200 km. L’étape idéale pour baroudeurs à grosses cuisses. L’étape (195 km) partira donc au quart de tour car ils seront nombreux à vouloir être […] L’article Étape 14 : de Saint-Etienne à Mende, ce n’est pas de La Comédie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 310 jours

JO 2024 : le département de Seine-et-Marne annonce près de 600 000 euros d’aides aux projets labellisés « centres de préparation aux Jeux »

La réhabilitation de la toiture du gymnase Roger-Boisramé à Pontault-Combault et l’aménagement du complexe Jacques-Marinelli à Melun font partie des opérations soutenues par le département de Seine-et-Marne.
Il y a 2 ans et 316 jours

Spie Batignolles intervient dans la rénovation énergétique d'un gymnase universitaire à Poitiers (86)

Ce projet soutenu par l'Etat dans le cadre du plan France Relance, d'un montant de 1.880.000 euros, a pour première ambition d'améliorer nettement la performance énergétique du bâtiment, avec comme objectif une réduction de la consommation d'énergie primaire de 60%, et d'énergie finale de 64% — au-delà donc des objectifs nationaux.Les solutions proposées par le groupement vont permettre de maintenir le gymnase en service durant les travaux et d'offrir à terme aux utilisateurs et à l'exploitant un équipement confortable, aux frais d'exploitation réduits.Les travaux réalisés sur l'enveloppe du bâtiment sont également l'occasion de donner une toute nouvelle image à cette salle multisports située en bordure du campus Est de Poitiers, et sa valorisation bénéficiera à l'image du quartier et de l'Université au sens large.L'achèvement de l'opération est programmé pour le mois de septembre 2022.Une démarche globale de durabilitéL'Université de Poitiers vise la réalisation d'un « éco-campus », et cela passe cette année entre autre par la rénovation de l'un des éléments phares de son équipement sportif. Elle a opté pour l'expertise et la proximité de l'équipe constituée autour de Spie batignolles grand-ouest qui comprend le cabinet Créature Architectes, le bureau d'études Climat Conseil et la société d'ingénierie 3Ia.Le projet a été pensé dans une logique de durabilité, avec l'usage de matériaux biosourcés ou issus du réemploi et obtenus en filière courte, ainsi qu'une contribution à l'insertion professionnelle au travers du tutorat.Les travaux se caractérisent aussi par l'utilisation de technologies numériques avec la création d'une maquette BIM, l'emploi du programme de planification Teamoty, ou encore la réalisation d'un Plan d'Installation de Chantier digital et dynamique permettant de communiquer en temps réel avec les utilisateurs sur l'avancement des travaux.L'équipe débutera la réhabilitation par l'isolation des façades de l'édifice en béton érigé dans les années 1970. Elles recevront ainsi une isolation thermique par l'extérieur en laine de bois, réalisée à partir de matériaux biosourcés, un enduit décoratif, un bardage en matériaux composite ou une maille métallique anti graffiti selon la localisation. Les menuiseries actuelles en simple vitrage seront remplacées par des ensembles en aluminium double vitrage.La couverture qui a bénéficié de travaux d'entretien récents et dispose déjà d'un bon niveau de performance, sera conservée en l'état, dans le cadre d'une démarche qui vise à optimiser le ratio coût, performance.Du côté de l'équipement de ventilation, le complexe sera équipé d'une nouvelle VMC double flux afin de fournir un chauffage et une ventilation plus homogènes à l'intérieur des zones de sport (dojo et grand gymnase).Des travaux de rénovation de la chaufferie prévoient la dépose des chaudières gaz existantes, la pose d'un nouveau ballon d'eau chaude sanitaire électrique, le changement de l'armoire électrique et l'installation de centrales de traitement d'air double flux.Des robinets thermostatiques seront placés sur chaque émetteur intérieur pour une utilisation plus raisonnée et la mise en place d'une GTC permettra le pilotage et le contrôle en temps réel des différentes consommations énergétiques. Les éclairages existants seront remplacés par des luminaires LED au rendement énergétique supérieur.Sur les toitures des bureaux seront installés environ 100 m² de panneaux photovoltaïques venant se rajouter aux travaux déjà prévus dans le marché initial.Les opérations de maintenance se retrouveront facilitées par la création d'un local technique au rez-de-chaussée qui regroupera l'ensemble des installations.
Il y a 2 ans et 316 jours

A Marseille, l'artiste new-yorkais Daniel Arsham rend hommage à Le Corbusier

Gymnase devenu lieu d'exposition d'art contemporain après sa mise en vente en 2010, la salle aux lignes arrondies a retrouvé son aspect originel: sur le sol coloré, ballons de basket, ligne des trois points et panier en acier surmonté d'une main -clin d'oeil à la main ouverte de la ville indienne de Chandigarh conçue par l'urbaniste- remplissent la pièce aux murs blancs."Il y a sept ans, quand je suis venu pour la première fois à la Cité Radieuse, c'était en hiver et cette pièce était vide", se remémore Daniel Arsham, à qui le Centre d'Art de la Cité Radieuse, Mamo, fondé par Ora-ïto, a donné carte blanche."La ville (de Marseille), son architecture, sont très différents du reste du pays et cet immeuble en particulier est incroyable", explique le quadragénaire "tombé amoureux" du lieu."Une grande partie de mon travail est orienté sur la culture populaire et le basket-ball: l'idée était de faire revenir son lieu à sa première fonction", explique le New-Yorkais.Hors du gymnase, sur la terrasse, trois sculptures en bronze transpercées de cristaux représentant des statues grecque et romaine ainsi qu'une voiture futuriste, complètent l'exposition. Civilisations passées et futures se font face et brouillent les repères du temps dans l'une des plus vieilles ville de France.L'exposition est visible jusqu'au 25 septembre.