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Résultats de recherche pour mandataire

(446 résultats)
Il y a 1 ans et 210 jours

Contrôle des mandataires, Tracfin, audits : les annonces de l'Etat contre la fraude

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. Les pouvoirs publics annoncent une série de mesures pour renforcer la lutte contre l'éco-délinquance, dans un contexte d'augmentation des moyens financiers dédiés à la rénovation énergétique.
Il y a 1 ans et 211 jours

Inauguration de la première tranche du Centre européen de sciences quantiques de Strasbourg

L'Université de Strasbourg et le CNRS ont organisé l'inauguration de son nouveau Centre Européen de Sciences Quantiques (CESQ) deux ans après la livraison du bâtiment par les équipes de Spie batignolles construction régions, mandataire du groupement constructeur.
Il y a 1 ans et 216 jours

Table des experts - Le défi de la sobriété, un enjeu majeur pour l'habitat collectif

Retrouvez le replay de l'émission Table des experts : Le défi de la sobriété - un enjeu majeur pour l’habitat collectif. Au programme nous vous partageons l'étude de cas sur un bilan carbone et énergétique pour un logement en R+4 présentée par Nathalie Tchang, présidente du bureau d'études Tribu Energie ; une étude pour parler des seuils RE2020 à l'horizon 2025. Franck Mac Farlane Responsable Recherche & Expertise chez Maisons & Cités, promoteur et bailleur social témoignera sur les besoins des locataires et des habitants et le besoin des mandataires.
Il y a 1 ans et 217 jours

Notre-Dame de Paris : un macro-lot technique pour Eiffage

Le groupement mené par Eiffage Énergie Systèmes (mandataire) est chargé des installations informatiques, de la sûreté et de la gestion...-Entreprises
Il y a 1 ans et 255 jours

France Très Haut Débit : NGE remporte un contrat de 320 M€ en Auvergne

Le marché attribué par Auvergne Numérique à un groupement dont la filiale télécom de NGE, NGE Infranet, est mandataire, a pour objectif...-Travaux publics
Il y a 1 ans et 323 jours

Sur les grands projets, comment protéger les travailleurs les plus exposés aux risques ?

ENQUÊTE. Pour mener à bien les grands chantiers d'infrastructure, comme de façon générale dans le BTP, les entreprises s'appuient non seulement sur leurs propres ressources humaines et compétences, mais font également appel à des travailleurs intérimaires et à des sous-traitants. Des intervenants sur les chantiers parfois bien plus vulnérables que les salariés permanents des mandataires.
Il y a 1 ans et 335 jours

Roma Termini, TVK et IT’S Vision entrent en gare

TVK (mandataire de l’équipe) et IT’S Vision ont remporté le concours organisé en décembre 2020 par le groupe Ferrovie dello Stato Italiane pour le renouvellement urbain et fonctionnel de la Piazza dei Cinquecento et autour de la gare de Termini, à Rome (Italie). Budget : N.C.. Communiqué. Le concours, organisé en décembre 2020 par le groupe […] L’article Roma Termini, TVK et IT’S Vision entrent en gare est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 1 ans et 347 jours

colmar la biblioth que des dominicains entame sa mue

À Colmar, la restructuration et l’extension de la bibliothèque des Dominicains datant du XIIIe siècle octroie à la ville un remarquable lieu qui abrite et expose l’une des plus célèbres collections de livres anciens d’Europe. Il s’agit d’un projet conjointement réalisé par les deux agences d’architecture Ameller Dubois (architecte associé) et Stephan Manciulescu ACMH (architecte mandataire).
Il y a 2 ans et 17 jours

L'interdiction de louer est "une opportunité pour les jeunes acheteurs" (Optimhome)

MARCHÉ IMMOBILIER. Le baromètre annuel du réseau de mandataires immobiliers fait apparaitre l'importance nouvelle que revêt le diagnostic de performance énergétique auprès des acheteurs. Le marché s'en trouve déjà impacté.
Il y a 2 ans et 48 jours

A Toulouse, Hardel Le Bihan et al pour le nouveau visage de Grand Matabiau

En mars 2023 a été dévoilé le projet immobilier et les aménagements de préfiguration de l’avenue de Lyon dans l’écoquartier Grand Matabiau quais d’Oc à Toulouse (Haute-Garonne). Pour un total de 19 500 m² de surface de plancher (SDP), cinq agences de maîtrise d’œuvre dont le mandataire est Hardel Le Bihan Architectes. Livraison 2026/2027. Communiqué […] L’article A Toulouse, Hardel Le Bihan et al pour le nouveau visage de Grand Matabiau est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 51 jours

À Orléans, le CO’Met selon Ferrier Marchetti Studio

À l’entrée d’Orléans (Loiret), livré en 2022 pour la Métropole maître d’ouvrage, le CO’Met est un grand équipement public composé de trois bâtiments* dans la continuité du Zénith existant : un parc d’exposition, un Palais de congrès et une ‘Arena’ sportive. Découverte du projet (52 000 m²) confié à Ferrier Marchetti Studio (mandataire). Communiqué. L’architecture douce et fluide, […] L’article À Orléans, le CO’Met selon Ferrier Marchetti Studio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 52 jours

À Orléans, le CO’Met selon Chaix&Morel

À l’entrée d’Orléans (Loiret), livré en 2022 pour la Métropole maître d’ouvrage, le CO’Met*, Ferrier Marchetti Studio mandataire, est un grand équipement public composé de trois bâtiments dans la continuité du Zénith existant : un parc d’exposition, un Palais de congrès et une ‘Arena’ sportive. Découverte du Palais des congrès et parc d’exposition (29 000 […] L’article À Orléans, le CO’Met selon Chaix&Morel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 66 jours

MaPrimeRénov' : "Les acteurs du Bâtiment sont indispensables", V.Mancret-Taylor (Anah)

ENTRETIEN. Délais de traitement des dossiers MaPrimeRénov', rénovations globales, fraudes, rôle des mandataires, MaPrimeAdapt'... Valérie Mancret-Taylor, directrice générale de l'Agence nationale de l'habitat (Anah), répond aux questions de Batiactu, dans une période marquée par une accélération dans le domaine de la rénovation énergétique.
Il y a 2 ans et 74 jours

Montpellier, Folie République – Les Galets par Ellen Van Loon

A Montpellier (Hérault), Ellen Van Loon, cabinet d’architecture Oma (mandataire) et MDR (associés) ont conçu, avec le groupement Vinci, Sogeprom, Pragma, la Folie République, nommée Les Galets, un programme de 12 500 m² (de R + 8 et R + 12) consacré essentiellement au tertiaire. Folie ? Vidéo. Outre le tertiaire, le programme compte « de l’hébergement […] L’article Montpellier, Folie République – Les Galets par Ellen Van Loon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 114 jours

« Cap Leeuwin », signé Hessamfar & Vérons, de briques et de Métal déployé

Livré à l’été 2021, réalisé par les agences d’architecture Marjan Hessamfar & Joe Vérons (mandataire) et Moon Safari (associée), Cap Leeuwin est un programme mixte de 15 119 m² en proue du nouveau Quai des Caps à Bordeaux (Gironde). Les briques foncées et le métal déployé évoquent autant l’histoire industrielle du site que sa vocation […] L’article « Cap Leeuwin », signé Hessamfar & Vérons, de briques et de Métal déployé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 148 jours

prevention des risques professionnels un mandataire regional designe par la ffb aura

Prenant appui sur la convention nationale signée entre la Fédération Française du Bâtiment (FFB) et l’Organisme Professionnel Prévention Bâtiment Travaux Publics (OPPBTP), signée en mai dernier, la FFB AuRA a décliné régionalement cette signature en nommant un mandataire référent par département.
Il y a 2 ans et 162 jours

Le groupement mené par Bouygues Travaux Publics va pouvoir démarrer les travaux de la ligne 1 du métro d'Abidjan

La Société des Transports Abidjanais sur Rail (STAR), groupement d’entreprises composé de Bouygues Travaux Publics (mandataire), Colas...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 162 jours

aides a la renovation energetique femat renforce son role de mandataire

Cela fait trois ans que le distributeur de solutions d’éco-construction Femat a lancé Femat Solutions. Ce service d’accompagnement des professionnels aux dossiers d’aides à la rénovation énergétique continue d’évoluer.
Il y a 2 ans et 167 jours

Le marché de l'emploi dans l'immobilier profite aux candidats en 2022 selon Recrutimmo

Cinquième volet pour la grande étude annuelle menée par Recrutimmo afin de dresser un état des lieux du marché de l’emploi dans l’immobilier. Un secteur qui attire toujours autant les candidats, même si le marché reste déséquilibré au bénéfice de ces derniers. Face à ce constat, plusieurs axes de réflexion et de travail se détachent : l’accompagnement de la reconversion professionnelle, la formation pour fidéliser les talents, la marque employeur pour les attirer et la flexibilité du statut, questionnement essentielle à l’heure de l’explosion du modèle de mandataires.Une étude menée sur près de 2.300 candidats et recruteursPour son cru 2022, l’étude annuelle de Recrutimmo a été menée sur plusieurs mois, ce qui a permis de sonder plus de 2.000 candidats et 250 recruteurs. Côté candidats, 42% d’entre eux ont plus de 10 ans d’expérience dans l’immobilier, et un tiers est issu d’une reconversion professionnelle. Du côté des recruteurs, 90% déclarent avoir du mal à recruter et presque autant (88%) affirment ne pas avoir de service des ressources humaines au sein de leur entreprise.Tous évoluent dans un marché dynamique, même si leurs points de vue concernant l’emploi dans le secteur de l’immobilier divergent. Alors que les recruteurs sont 91% à déclarer qu’ils connaissent de véritables difficultés dans le recrutement, trois quarts des candidats affirment qu’il est, au contraire, facile de trouver un emploi dans l’immobilier. Il est également intéressant de souligner que la grande majorité des talents (83%) sont particulièrement à l’écoute du marché du recrutement et surtout très sollicités (86%).Une situation dont chaque partie a parfaitement conscience, faisant définitivement basculer le marché du côté des candidats. De quoi générer un turn over particulièrement élevé dans les entreprises du secteur.La reconversion professionnelle devenue incontournableCe n’est plus une nouveauté, la reconversion professionnelle est un immense vivier de talents pour le secteur de l’immobilier. Et la tendance n’est pas nouvelle : 84% des professionnels de l’immobilier sont issus de la reconversion et ont travaillé dans un autre secteur avant d’arriver à l’immobilier. D’ailleurs, ce genre de profil attire puisque 87% des recruteurs se disent en recherche de candidats en reconversion professionnelle. Pour aller plus loin, ils sont même 68% à affirmer que le diplôme n’est pas un critère d’embauche.Parmi les critères qui comptent pour les recruteurs : la proximité géographique, qui assure une véritable connaissance du marché local et une meilleure disponibilité. De quoi satisfaire les candidats, qui désirent de plus en plus mieux équilibrer leur vie professionnelle et leur vie personnelle et n’ont plus envie de passer trop de temps dans les transports.La formation pour attirer et fidéliserPar les différentes compétences qu’ils demandent, autant juridiques, que comptables ou encore commerciales, les métiers de l’immobilier peuvent être complexes à appréhender. C’est pour cela que les entreprises doivent désormais disposer de programmes d’intégration et de formation performants. C’est d’ailleurs ce qui ressort des réponses des candidats : ils sont en effet 95% à avoir des attentes en termes de disponibilité de leur manager ou de formation aux méthodes de travail (70%).Pourtant, la réalité est toute autre : un tiers des collaborateurs quittent en effet leur entreprise pendant leur période d’essai. En parallèle, 33% des candidats interrogés estiment ne pas avoir été suffisamment intégrés ou formés lors de leur arrivée. Et pour cause : pour 52% d’entre eux, la formation ou l’intégration n’a pas dépassé une semaine.La marque employeur comme fer de lanceAvec le développement des multiples canaux de communication, il est devenu très facile de se renseigner sur une entreprise et de connaître les avis de ses salariés. C’est pour cela que la marque employeur est devenue absolument incontournable pour les entreprises qui veulent attirer les talents. Ils sont ainsi 98% à se renseigner sur une entreprise avant d’y postuler ou de s’y rendre.Cette recherche vise à les conforter dans leur décision de rejoindre l’entreprise. Ils s’en servent notamment pour vérifier que l’entreprise répond aux critères les plus importants pour eux : rémunération (62%), équilibre vie privée/vie professionnelle (61%) ou encore ambiance au sein de l’entreprise (47%). Des attentes dont les recruteurs ont bien conscience, ce qui les poussent à porter leur attention sur certains points : les avantages pécuniers (57%), les after work d’équipe (55%) et l’environnement de travail (45%).Malgré tout, candidats et recruteurs ne se retrouvent pas sur les canaux où se trouver. Les candidats cherchent ainsi un emploi via les jobboards (83%), Pôle Emploi (83%) et les réseaux sociaux (35%). Les recruteurs, eux, misent en priorité sur le bouche à oreille (64%), les réseaux sociaux (63%) et les sites vitrines (38%).Le statut : que proposer aux candidats ?C’est un fait : la demande des recruteurs en profils indépendants progresse. Ils sont d’ailleurs 47% à déclarer ne recruter que des indépendants. Les 53% restants préfèrent recruter des salariés. Une progression qui s’explique par le coût plus faible (en théorie seulement) que représentent les indépendants, ainsi que par leur autonomie.Côté candidats, ils ne sont que 8% à être prêts à devenir ou à rester indépendants. Un petit chiffre qui traduit notamment l’importance du contrat de travail en France, qui représentent la sécurité de l’emploi (31%).Retrouvez la cinquième étude “Recruteurs VS Candidats” de Recrutimmo en intégralité ici.
Il y a 2 ans et 171 jours

A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier

Le chantier de la nouvelle cité administrative de Lille (Nord) bat son plein pour les équipes menées par Valode & Pistres architectes, Coldefy & Associés (CAAU) et Bouygues Bâtiments Nord-Est (mandataire du MGP). Ce chantier est hors norme puisqu’il se revendique comme l’opération civile la plus importante de l’Etat en 2022. Il se déroule sur […] L’article A Lille, Valode & Pistre et CAAU en chantier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 174 jours

La répression des fraudes épingle sévèrement les agents immobiliers

Sur un millier de professionnels de l'entremise immobilière (agents, mandataires...) contrôlés, 62,5% ne respectaient pas au moins une de leurs obligations professionnelles, un chiffre en léger retrait par rapport aux 64% relevés en 2019.Les professionnels contrôlés ne le sont pas au hasard mais suite à des plaintes et des signalements de consommateurs, ou parce qu'ils n'ont pas été inspectés auparavant."Plus de 50% des manquements relevés par les services de la DGCCRF portaient sur l'information du consommateur et sur les pratiques commerciales des professionnels", explique-t-elle.De nombreux défauts d'information portaient sur l'affichage des honoraires des agents, peu visibles ou mal indiqués.Selon l'enquête, 21% des professionnels avaient en outre recours à des pratiques commerciales trompeuses, comme laisser affichées des annonces pour des biens déjà vendus ou alors que le mandat de vente a expiré.Certains professionnels ont également tenté d'obtenir des honoraires même quand la vente n'avait pas été conclue de leur fait, note-t-elle.La DGCCRF mentionne également des pratiques douteuses dans la location, avec un état des lieux d'entrée établi "succinctement" et celui de sortie "exhaustif" et beaucoup plus détaillé. "Le formalisme des deux documents doit pourtant être similaire afin de pouvoir les comparer", est-il rappelé.Les annonces locatives sont trop souvent incomplètes, avec d'importants détails (surface, montant des charges ou de la caution...) parfois manquants, ajoute l'administration."Compte tenu du taux d'anomalies élevé, la pression de contrôle sera donc maintenue dans ce secteur, d'autant que la réglementation a évolué en 2022 avec la mise en place de l'affichage obligatoire des barèmes en prix maximums, l'information sur l'encadrement des loyers et sur le diagnostic de performance énergétique", prévient la DGCCRF.
Il y a 2 ans et 180 jours

La CAPEB adresse 26 propositions à Elisabeth Borne pour une contribution active des artisans à la rénovation énergétique des bâtiments

Hausse des prix des matériaux, difficultés d'approvisionnement, répercussions de la hausse des coûts de l'énergie : les entreprises artisanales du bâtiment subissent, depuis 2021, des conditions impactant leur trésorerie et leur marge. Pourtant, « elles ont su, jusqu’à présent, grâce à leur compétence et leur capacité d'adaptation, s’organiser pour répondre à la demande de leurs clients, maîtriser la gestion de leurs chantiers et embaucher sur tout le territoire » selon la lettre ouverte de la CAPEB.Cette situation pourrait néanmoins être améliorée et les entreprises artisanales pourraient optimiser leur capacité à rénover des bâtiments avec une levée de certains freins et des actions du gouvernement.La CAPEB demande notamment :Une simplification de la qualification RGE pour augmenter le nombre d'entreprises qualifiées.La sécurisation du mandataire commun des groupements momentanés d'entreprises (GME) pour développer le recours à la cotraitance des TPE. Cela aurait pour effet d'augmenter leurs moyens pour effectuer des rénovations de bâtiment.Une optimisation du pilotage du dispositif MaPrimeRénov’ couplée une plus grande implication de l'industrie bancaire dans financement des travaux de rénovation permettrait une démultiplication significative du marché de travaux et ainsi au renforcement de l'efficacité des mesures gouvernementales dès 2023, au bénéfice d’une majorité de ménages et d’entreprises du bâtiment.Veiller à ce que les dispositions en matière de CEE ou de qualification RGE ne pénalisent pas les TPE. Cette égalité de traitement, ce qui permettrait de libérer le potentiel de 500.000 entreprises de moins de 10 salariés.Vous pouvez retrouver l'intégralité de la lettre ouverte ainsi que les 26 propositions de la CAPEB en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 201 jours

A Lorient, ONZE04 et Valero Gadan moteur de mixité sociale à Tréfaven

Dans le grand paysage lorientais (Morbihan), le nouveau collège de Trévafen (6 160 m²) livré par les agences ONZE04 (mandataire) et Valero Gadan Architectes en 2022 pour le département (maître d’ouvrage) accueille les élèves dans vingt classes, de nombreuses salles réservées à des enseignements spécifiques, un restaurant scolaire et une salle de sport. L’objectif ? Devenir un […] L’article A Lorient, ONZE04 et Valero Gadan moteur de mixité sociale à Tréfaven est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 218 jours

Alpes-Maritimes : le Symisa désigne le groupe GCC comme mandataire du projet « Pôle Innovation » de Sophia Antipolis

La réalisation du projet « Pôle Innovation » de Sophia Antipolis (Alpes-Maritimes) est confiée au groupe GCC Côte...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 224 jours

Quand allumer le chauffage ? Dans les copropriétés, le froid tend les débats

A la mi-octobre, Lucie (prénom modifié à sa demande), 52 ans, a déjà sorti chauffage d'appoint, vêtements chauds et chaussons rembourrés, et entrouvre le four après le repas pour chauffer son deux pièces acquis il y a deux ans à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)."Cela ne dépasse pas les 18°C", déplore cette cadre dans la publicité, en consultant depuis son téléphone les mesures de son thermostat connecté. Et ce malgré la présence de double vitrage et un diagnostic de performance énergique (DPE) classé C sur une échelle allant de A à G."L'un des murs porteurs du salon donne sur le local poubelle et sur une coursive non isolée", explique la résidente. Dans la même pièce, les fenêtres sont orientées plein nord.Dès le 30 septembre, elle a envoyé un email à son syndic pour demander la mise en route du chauffage collectif dans l'immeuble, équipé de six chaudières à gaz de 100 kW chacune.En 2021, le chauffage s'était allumé une semaine après la première requête. Pas cette année. "Quand on me parle d'un lancement en novembre, cela me fait tout de suite moins marrer", avance-t-elle.La résidence bénéficie d'un contrat de fourniture à prix fixe, signé avec Engie. Sur l'année 2021-2022, le poste de dépense "chauffage" s'est élevé à 49.200 euros, contre 50.600 euros l'année précédente."La différence s'explique simplement par une période de chauffe moins longue l'année dernière", interprète le syndic."Payer pour les autres"Trois étages plus haut, le thermomètre grimpe à 24°C dans la cuisine de Claude (prénom modifié), 75 ans, propriétaire d'un appartement de 80 mètres carrés.Il n'a pas encore tourné le thermostat mais il explique avoir entamé des travaux de rénovation il y a treize ans, pour environ 13.500 euros. "J'ai aussi procédé à une isolation totale des ouvertures", raconte ce technicien dans l'automobile à la retraite, en désignant l'une de ses portes-fenêtres, orientée au sud.Membre du conseil syndical de la copropriété, il s'oppose à l'allumage du chauffage collectif et conseille à ses voisins qui ont froid "d'installer un radiateur électrique.""Parce que j'ai une grande surface, en raison de la répartition des frais, je vais payer pour les autres", justifie-t-il.Purger les chaudièresMais le syndic bénévole de la résidence qui compte 126 appartements, Dominique Sevray, préfère attendre. "Je souhaite qu'une majorité soit d'accord", dit-il.C'est lui qui endosse la responsabilité de décider de la date d'allumage du chauffage, question ô combien sensible en cette année de flambée des prix de l'énergie. Et ce, faute d'un règlement clair."Les gens ne savent pas vraiment qui décide de l'allumage des radiateurs car moins de 10% des copropriétés en France ont un règlement qui fixe des dates de chauffe", explique Emile Hagège, directeur général de l'Association des responsables de copropriétés (ARC).Dans ce cas de figure, il appartient généralement au syndic, autrement dit au mandataire, d'avoir le dernier mot. "Mais le bon usage veut que cela se fasse en concertation avec le conseil syndical, qui a une mission de contrôle et d'assistance, et qui est formé de gens qui habitent dans l'immeuble", ajoute-t-il.Résultat: avec les recommandations de sobriété pour pallier les coûts faramineux de l'énergie, les syndics et les conseils se retrouvent tiraillés entre les occupants frileux et les plus sobres.Dans ce "panier de crabes", il faut trancher vers le plus cohérent. "On a tout intérêt à limiter la consommation de gaz et à repousser aux maximum l'ouverture des vannes, et profiter de ce laps de temps pour désembuer les réseaux, procéder à la purge des chaudières et des radiateurs, tout en régulant les débits", selon Emile Hagège. "Ainsi, chaque appartement pourrait être chauffé à 19°C et économiserait entre 15 à 20% de sa consommation d'énergie, ce qui aurait un impact très positif sur la facture", résume le directeur général de l'ARC.
Il y a 2 ans et 227 jours

Cemex, Eiffage et Sarpi, partenaires pour déblayer les matériaux d’excavation de la ligne 15 Est

Cemex, Eiffage et Sarpi remportent le marché de la gestion des déblais de la future ligne 15 Est du Grand Paris Express. [©Cemex] Cemex, Eiffage et Sarpi (filiale de Veolia) annoncent avoir remporté en groupement le marché de gestion de déblais de la future ligne15 Est du Grand Paris Express. Son montant global s’élève à plus de 200 M€, répartis au tiers pour chaque partenaire. A travers sa filiale Eiffage Génie Civil, Eiffage est mandataire de ce groupement. Ce dernier sera en charge de réceptionner, caractériser, traiter, entreposer, transporter et valoriser ou éliminer en exutoire les 7,5 Mt de déblais excavés lors des travaux. 7,5 Mt de déblais excavés D’une durée de 84 mois reconductible, ce contrat est le premier accordé par la Société du Grand Paris pour la ligne 15 Est. Les enjeux de ce marché sont majeurs, tant en termes de caractérisation et valorisation des déblais que de logistique. Cette dernière sera organisée de façon à optimiser les trajets. En réceptionnant les déblais sur des plates-formes de transit proches des zones d’excavation. Une fois les déblais caractérisés, le groupement les transportera vers les filières de gestion les plus adéquates. Permettant ainsi la valorisation de 99 % des terres excavées. Enfin, Eiffage, Sarpi et Cemex se sont engagés sur le plan environnemental, en privilégiant le transport fluvial des déblais à hauteur de 60 %. Ceci, dans le but de diminuer l’empreinte carbone du projet. Sur le volet social, 5 % des heures travaillées seront consacrées à l’insertion pour des travailleurs éloignés de l’emploi. Et plus de 20 % des prestations seront sous-traitées à des PME locales.
Il y a 2 ans et 232 jours

LA FFB et le CCCA-BTP renforcent leur collaboration pour accompagner les entreprises dans leurs besoins en formation et recrutement

Par cette convention, les deux parties s’engagent, pour la FFB, à apporter son expertise métier et sectorielle ; pour le CCCA-BTP, à apporter son expertise au service de la qualité de la formation professionnelle et notamment l’apprentissage.En effet, les changements actuels inhérents à la volonté de construire bas carbone, réhabiliter durablement le patrimoine, améliorer la performance énergétique du bâti et la promotion de la transition numérique des métiers du bâtiment font émerger de nouvelles compétences qui nécessitent de former et de recruter de plus en plus de jeunes diplômés.En mobilisant leurs structures, la FFB et le CCCA-BTP contribuent à l’évolution de la formation et donc de l’adaptation des compétences, avec un plan d’actions dès 2022 pour :mettre l’accent sur les besoins en compétences ;placer l’innovation au cœur des formations préparant aux pratiques professionnelles ;promouvoir l’enregistrement des certifications professionnelles ;favoriser l’intégration pérenne des nouveaux entrants en entreprise.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Depuis 80 ans, la FFB qui a créé le CCCA-BTP avec les partenaires sociaux du BTP, participe par l’engagement de ses mandataires, à sa gestion et son développement. Le secteur a besoin des compétences nécessaires aux évolutions actuelles et à venir de ses marchés. Les enjeux climatiques sont un des moteurs des changements. Il est du devoir de la FFB de contribuer à l’évolution de l’offre de formation en partageant son expertise métiers. »Pour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Ce partenariat entre le CCCA-BTP et la FFB, membre de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, réaffirme les liens forts qui nous lient. Le développement des compétences, indissociables de la formation, est au centre des enjeux auxquels les entreprises du bâtiment doivent répondre. C’est le cœur de ce partenariat, qui s’appuie sur les expertises du CCCA-BTP, pour impulser l’innovation dans les métiers et les pratiques pédagogiques, afin de répondre aux besoins en compétences et qualifications professionnelles des entreprises du bâtiment et assurer l’excellence de la formation professionnelle, en particulier de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 233 jours

L’hôpital de Voiron : né sous une mauvaise étoile ?

Comment le pôle hospitalier du voironnais, dont le concours a été remporté il y a 15 ans par les agences Nickl & Partner Architekten architecte mandataire et Gautier+Conquet et associés, peut-il à sa livraison en 2021 ne pas être déjà obsolète ? Après un projet compliqué, ce n’est pourtant pas le cas. Visite. En janvier 2007, […] L’article L’hôpital de Voiron : né sous une mauvaise étoile ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 246 jours

L’agence l’AUC est lauréate du projet d’extension des Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, sur la proposition du jury de concours qui s’est réuni le 17 juin 2022, a choisi le projet proposé par l‘agence l’AUC, Grand prix 2021 de l’urbanisme, pour réaliser l’extension du bâtiment des Archives nationales situé à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Le bâtiment actuel, conçu par Massimiliano Fuksas et ouvert en 2013, offre une capacité de conservation de plus de 350 km linéaires d’archives mais arrivera à saturation en 2027. Or, parallèlement à la collecte toujours plus importante d’archives nativement numériques, les Archives nationales continuent de recevoir chaque année plusieurs kilomètres d’archives sur support papier. L’extension de ce bâtiment, prévue dès l’opération initiale, a dû être anticipée en raison du transfert à Pierrefitte de plus de 70 kilomètres d’archives provenant du site de Fontainebleau des Archives nationales, qui fermera à la fin de l’année 2022. Avec une capacité de 100 km linéaires, le nouveau bâtiment permettra d’accueillir les nouvelles archives au moins jusqu’en 2050, mais aussi d’améliorer les fonctionnalités du site en offrant de nouveaux espaces de traitement, de restauration et de reproduction des documents. Parmi les 100 équipes ayant fait acte de candidature au concours de maîtrise d’œuvre, quatre équipes avaient été sélectionnées pour concourir avec, pour mandataires, les agences l’AUC, D3 Architectes, Max Dudler et Zigzag. Au-delà du signal à l’échelle urbaine que propose le projet de l’agence l’AUC, les membres du jury ont été sensibles à la dimension environnementale intégrée aux procédés constructifs et au souci de libérer l’emprise au sol pour préserver les espaces verts, dans la continuité des projets de valorisation des acteurs du territoire dans la ZAC des Tartres. Par ailleurs, cette extension permettra l’accès à une terrasse aménagée à 38 mètres de hauteur, offrant au public un point de vue inédit sur le paysage environnant ainsi que des espaces permettant de découvrir les métiers des archives. Visuel : © AUC
Il y a 2 ans et 246 jours

L’agence l’AUC est lauréate du projet d’extension des Archives nationales à Pierrefitte-sur-Seine

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, sur la proposition du jury de concours qui s’est réuni le 17 juin 2022, a choisi le projet proposé par l‘agence l’AUC, Grand prix 2021 de l’urbanisme, pour réaliser l’extension du bâtiment des Archives nationales situé à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Le bâtiment actuel, conçu par Massimiliano Fuksas et ouvert en 2013, offre une capacité de conservation de plus de 350 km linéaires d’archives mais arrivera à saturation en 2027. Or, parallèlement à la collecte toujours plus importante d’archives nativement numériques, les Archives nationales continuent de recevoir chaque année plusieurs kilomètres d’archives sur support papier. L’extension de ce bâtiment, prévue dès l’opération initiale, a dû être anticipée en raison du transfert à Pierrefitte de plus de 70 kilomètres d’archives provenant du site de Fontainebleau des Archives nationales, qui fermera à la fin de l’année 2022. Avec une capacité de 100 km linéaires, le nouveau bâtiment permettra d’accueillir les nouvelles archives au moins jusqu’en 2050, mais aussi d’améliorer les fonctionnalités du site en offrant de nouveaux espaces de traitement, de restauration et de reproduction des documents. Parmi les 100 équipes ayant fait acte de candidature au concours de maîtrise d’œuvre, quatre équipes avaient été sélectionnées pour concourir avec, pour mandataires, les agences l’AUC, D3 Architectes, Max Dudler et Zigzag. Au-delà du signal à l’échelle urbaine que propose le projet de l’agence l’AUC, les membres du jury ont été sensibles à la dimension environnementale intégrée aux procédés constructifs et au souci de libérer l’emprise au sol pour préserver les espaces verts, dans la continuité des projets de valorisation des acteurs du territoire dans la ZAC des Tartres. Par ailleurs, cette extension permettra l’accès à une terrasse aménagée à 38 mètres de hauteur, offrant au public un point de vue inédit sur le paysage environnant ainsi que des espaces permettant de découvrir les métiers des archives. Visuel : © AUC
Il y a 2 ans et 247 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 247 jours

Cannes veut "réinventer" sa Croisette en rouge

"La Croisette réinvente sa légende, et s'attaquer à la Croisette, ce n'est pas rien, c'est un objectif d'intérêt général majeur parce que c'est la quintessence d'un certain esprit de la Côte d'Azur", a indiqué le maire LR David Lisnard, lors d'une conférence de presse vendredi 23 septembre."La baie est sublime mais elle n'était plus au niveau" tant pour le revêtement du sol, l'éclairage public, les bordures ou sous terre avec un réseau vieux de plus d'un siècle, a-t-il ajouté.L'équipe retenue est emmenée par l'Atelier d'urbanité Roland Castro, du nom de l'urbaniste et architecte français, mandataire de l'opération, et compte notamment en son sein le cabinet d'architecture norvégien Snohetta, auteur notamment de l'entrée du Mémorial du 11 septembre à New York ou du nouveau siège du groupe Le Monde à Paris.Ils devront rénover l'ensemble de la voirie et du mobilier urbain de ces 170.000 m2, avec le parti-pris fort d'une pierre rouge sur le sol, censée rappeler la couleur du tapis des marches du Palais des festivals et la roche du massif de l'Esterel voisin.Des touches de laiton viendront signaler les grands hôtels et les flux de circulation.La voirie, dont l'asphalte sera lui aussi rouge, réservera deux voies aux véhicules, avec une piste cyclable.Sur les trottoirs seront disposés des bancs en béton semblant sortir de terre avant d'y disparaître.Sur ces 2,6 km qui courent du Palais des festivals jusqu'au Palm Beach, sera aussi construit un "théâtre de la mer", face au soleil qui se couche derrière le massif de l'Esterel."C'est un projet sobre et élégant qui vise à sublimer la Croisette et à la rendre appropriable par tous", a résumé Gérald Heulluy, président de l'Atelier d'urbanité Roland Castro.La livraison de la première tranche est prévue pour 2025, selon la mairie.Le budget total, à la charge de la ville et de l'agglomération, est de 160 millions d'euros, comprenant une phase préliminaire sur les réseaux souterrains pour près de 40 millions d'euros."Il y a 150 ans, la Croisette n'existait pas, c'était des dunes et des marécages, ce n'est qu'au milieu du 19e siècle que les 27 copropriétaires des lieux ont tracé un chemin de cinq mètres de large avant que la Croisette elle-même n'apparaisse à la fin du 19e siècle", a rappelé M. Lisnard.Depuis 1960, elle n'avait bénéficié d'aucun aménagement majeur.Pour lui, il était "plus que temps" de rénover "la vitrine de Cannes, qui a le record d'enseignes de luxe devant l'avenue Montaigne à Paris et la 5e avenue à New-York", et dont il veut aussi garder le "côté populaire" avec les kiosques et les manèges pour enfants.
Il y a 2 ans et 260 jours

Un bardage métallisé en Alucobond A2 pour la réhabilitation de 190 logements collectifs à Bobigny

Sous la maîtrise d’ouvrage de Seqens - France Habitation, le groupe Arcane architectes a réhabilité une résidence de 190 logements collectifs sur une surface de 12.350 m2. Afin de répondre aux diverses contraintes des lieux, la proposition portait sur trois points essentiels :1. Uniformiser le traitement architectural au sein de la résidence pour assurer la cohérence au sein de l’ensemble immobilier par l’utilisation d’un nombre réduit de matériaux et de coloris. Afin de rompre la monotonie existante et l’effet de masse de la barre haute, deux types de parements sont apposés par alternance, surlignant le rythme existant. Le principe est maintenu sur les plots, où l’alternance crée un jeu de volumes.2. Moderniser l’écriture et valoriser les bâtiments. Un soin particulier a été apporté dans le choix du bardage et de son calepinage afin de proposer un dessin contemporain, toutefois suffisamment sobre pour lui permettre de traverser les « effets de mode ». La valorisation passe par l’utilisation de matériaux nobles, pérennes, et aux teintes sobres pour éviter un aspect « logement social » trop marqué : le bardage métallisé en ALUCOBOND et l’enduit métallisé. Le calepinage des façades a été réalisée très facilement et rapidement grâce à la solution HICAD-ALUCOBOND de modélisation 3D. 4 550 m 2 de panneaux ALUCOBOND A2 de la gamme sparkling ont été posés en cassettes avec la solution SANAGA du fabricant ACODI et rivetés avec la solution POLARIS d’ACODI.3. Traiter les désordres et pérenniser la réhabilitation. L’ensemble des actions visait à traiter les désordres sur le bâti et les dysfonctionnements d’usage, tels que la réparation des bétons et mise en œuvre de parements sur l’ensemble des façades isolées, la mise en œuvre de couvertines ou de bavettes en tête de tous les voiles ainsi que la pose de garde-corps cachant les nez de dalle, inclinés pour empêcher la halte et la nidification des pigeons et la pose de parements perforés (ventilés) au droit des «balcons-celliers ». Fiche techniqueMaître d’ouvrage : Seqens – France HabitationSurface : 12.350 m 2 SHABCoût HT : 4,9 M€Maîtrise d’œuvre : Groupe Arcane – architectes mandataires, P.A.B BET TCEFabricant : ACODI / Poseur : PRISIMO
Il y a 2 ans et 261 jours

Sto déploie Sto'n'Go, une offre de produits essentiels ITE et ravalement pour la maison individuelle

Après la nouvelle organisation mise en place fin 2021 pour le marché de la maison individuelle, avec à sa tête Julien Velar, Sto France franchit une nouvelle étape dans son développement avec Sto'n'Go. Plus de 300 articles toujours en stock dans les agences StoSystème d'ITE complet (avec sous-enduit, colle, isolant en polystyrène, fixation), accessoires, nettoyants et décontaminants, primaires et revêtements de façade, éléments décoratifs et modénatures, laques, préparation et finitions intérieures, outillage… La sélection Sto'n'Go, c‘est plus de 300 articles pensés pour les chantiers en maison individuelle.Disponibles en enlèvement ou en livraison, ces produits essentiels sont toujours tenus en stock dans les 18 agences du réseau Sto pour répondre rapidement aux différents besoins du marché de la rénovation énergétique.Des enduits de finition pré-teintésCôté finition, Sto tient en stock jusqu'à 15 teintes incontournables, disponibles immédiatement et faciles à réassortir, en Stolit K1.5 et StoSilco K1.5.Nuances de blanc, de beige et de gris, cette sélection réalisée par le service StoDesign, expert de l‘esthétique en façade, permet de répondre largement aux besoins de rénovation des maisons individuelles, quelles que soient les spécificités locales.Et pour les artisans qui ne trouveraient pas leur bonheur parmi ces 15 teintes incontournables, les agences Sto peuvent teinter jusqu‘à 6 seaux dans les 32 couleurs du nuancier Maison Individuelle, pour un enlèvement immédiat.Un service dédié à la constitution des dossiers CEEDans le cadre du dispositif de demande de subvention de la prime CEE en maison individuelle, Sto met à disposition de ses clients un interlocuteur dédié pour les accompagner dans la constitution de leur dossier. Sto se positionne comme un guichet unique, collecteur de CEE à la place des artisans auprès de la plateforme de son partenaire mandataire, EBS.Résultat : des démarches administratives simplifiées, les primes CEE étant déduites de la prochaine commande auprès de Sto.Les agences Sto recentrées sur le marché de la maison individuelleFace à l'explosion du marché de la rénovation énergétique, Sto a décidé d'adapter son organisation logistique pour mieux servir ses clients.Une plateforme régionale dédiée aux plus gros clients nationaux a été mise en place dans la région lyonnaise afin de décharger les agences. Celles-ci peuvent désormais se concentrer sur les besoins des artisans locaux en maison individuelle, en quête de rapidité et de réactivité.« Avec un plan de développement sur 5 ans pour le marché de la maison individuelle, Sto se donne les moyens pour s'inscrire comme un acteur de la transition écologique. Avec cette offre, nous souhaitons fluidifier les travaux de rénovation énergétique de nos clients en maison individuelle, dont les carnets de commande sont pleins sur un an ! Notre accompagnement permet de répondre à leurs besoins rapidement, ils peuvent ainsi se concentrer sur la réalisation de leurs chantiers », souligne Julien Velar, coordinateur national maison individuelle Sto France.
Il y a 2 ans et 265 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares

Maîtrise d’ouvrage : Groupe GA Smart BuidingMaîtrise d’œuvre : Studio MontazamiLocalisation : Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, FranceProgramme : Bureaux, Restaurant inter-entrepriseNature : Construction neuveLivraison : Novembre 2021Surfaces : Site 20.000 m2, Bureaux 6.750m2, Restaurant 550m2Durée de chantier : 13 moisEnvironnement : Produits béton GA hors site, Modules bois hors site, Label HQE, Centrale solaire SEE YOU SUNL’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de 15 bâtiments construits par GA Smart Building.Le projet architectural est pensé comme un ensemble paysager qui s’articule autour de deux bâtiments reliés par un lobby central. La disposition des bâtiments A et B donne des vus l’extérieur, et laisse traverser les perspectives sur les promenades autour desquelles sont aménagés des espaces de quiétudes, une prairie sauvage et des lieux d’échanges et de convivialités.L’architecture se compose de volumes sculptés, dont le rythme associé à des mouvements valsants, créée un dynamisme permanent.Les façades vibrent et créent des jeux d’ombres, discrètement ornementées de poinçonnements aléatoires faisant référence aux cartes perforées informatiques. Cette composition architecturale personnalisée permet ici d’identifier l’ADN du secteur technologie et informatique de l’utilisateur, mais aussi des entreprises du parc d’innovation d’Illkirch, tout en permettant les prises et rejets d’air des modules de traitements d’air intégrés en façades. Les larges baies s’ouvrent vers les espaces environnants.Les plateaux de bureaux bénéficient de grandes baies toute hauteur qui offrent des vues généreuses vers les espaces végétalisés extérieurs. Le forum d’accueil s’implante à l’intersection des 2 bâtiments, permettant l’articulation entre les deux ensembles. Les utilisateurs et visiteurs traversent ce lieu de vie.Le pavillon d’accueil aux façades de verres et d’inox brossé crée une transparence entre les parkings et le cœur de site végétalisé, tout en articulant au rez-de-chaussée et au premier étage les flux et usages des deux bâtiments de bureaux.Ce « forum Alcatel-Lucent Enterprise » s’implante entre les deux bâtiments : il accueille le public depuis les deux parvis d’entrée. C’est un espace hybride de convivialité et d’accueil où est également présenté l’histoire d’Alcatel-Lucent Enterprise. Au premier niveau de ce bâtiment d’accueil, une passerelle permet une liaison à l’air libre entre les deux bâtiments autour d’une vaste terrasse extérieure.Le site se compose également d’un restaurant de plain pied en cœur d’îlot et marquant l’entrée du campus Alcatel-Lucent Enterprise. Les façades vitrées et de bardage inox brossé s’intègrent à l’architecture du Campus et à l’environnent paysager avec harmonie, reflets et transparence.Architecte mandataire : Orash Montazami - Studio MontazamiBET Structure (GA) : OMEGABET Façade (GA) : Paquet FontaineCuisiniste : CETPEcologue : OGELandscape design : Studio MontazamiSpace planning et intérieurs : Studio Montazami / L'atelier Des DemoisellesEntreprise générale : GA Smart BuildingBureau de contrôle : SOCOTEC
Il y a 2 ans et 275 jours

Bénin : Eiffage l’emporte sur le port de Cotonou

Mandataire d’un groupement composé de Spie batignolles fondations et de l’entreprise béninoise Adéoti, Eiffage Génie Civil Marine a signé, durant l'été, un contrat de conception-réalisation de plus de 160 millions d'euros portant sur des travaux d’extension et de rénovation de l’unique infrastructure portuaire du pays.
Il y a 2 ans et 279 jours

Grand Paris Express : Colas et Eiffage remportent un marché à 26 millions d'euros

Mandataire d’un groupement à 50/50 avec Eiffage Énergie Systèmes, Colas Rail s'est vue attribuer par la Société du Grand Paris (SGP) le marché portant sur le système de traction de la ligne 18.
Il y a 2 ans et 302 jours

Le Dévéhat Vuarnesson Architectes transforme le Centre de tri du Syctom à Nanterre (92)

La restructuration du centre de tri de Nanterre est révélatrice de l’approche de l’agence LVA. En effet, bien qu’il s’agisse ici d’un bâtiment industriel, il est aujourd’hui ouvert sur le quartier. Un soin particulier a été donnée aux qualités spatiales, aux qualités d’usages et aux conditions de travail des employés au-delà de la réponse stricte de la mise aux normes ergonomique et de sécurité.Ce projet de 12.000 m² SP, réalisé en mission complète en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés pour le Syctom, maître d’ouvrage, est guidé par trois principes architecturaux majeurs : faire pénétrer la lumière naturelle dans les bâtiments, développer les espaces extérieurs directement accessibles depuis les salles de travail et de repos, contribuer au développement d’espaces naturels.Sur une parcelle densément construite et contrainte (PPRI), les enjeux de la réhabilitation résidaient dans l’augmentation de la capacité de réception et de traitement de la matière (passant de 40.000 à 55.000 tonnes par an), dans la réorganisation du fonctionnement global du site et dans la mise aux normes et la rénovation thermique et environnementale des bâtiments. LVA a organisé un fonctionnement fluide et clair tout en conservant un maximum de constructions existantes.Le traitement architectural contemporain du centre de tri exprime la mixité des activités : industrielles et tertiaires. Le site s’inscrit dans un tissu urbain en « fabrication » et participe à sa définition. Quartier anciennement dédié à l’activité industrielle, l’aménagement de la ZAC des Guilleraies introduit de nombreuses activités tertiaires tout en confortant sa vocation d’origine. D’où l’importance de la relation du centre de tri à l’aménagement urbain et paysager du nouveau quartier. L’ouvrage devient aisément appropriable par les riverains, et sa relation au quartier est apaisée.La présence d’espaces végétalisés évoluant au fil des saisons, la pénétration de la lumière naturelle, les nouveaux espaces extérieurs et les nouvelles vues créées valorisent les conditions de travail en offrant une nouvelle relation au site et au paysage. Les nuisances visuelles, acoustiques et olfactives sont traitées à l’échelle du bâtiment, pour le confort des employés et pour un impact urbain adouci.Le principe volumétrique du centre, adapté aux différentes fonctions, a été conservé : le bâtiment A accueille les locaux administratifs, sociaux et les ateliers ; les bâtiments E, B, C et D, le déversement, la réception et le stockage de la matière collectée, le tri, le conditionnement et l’évacuation de la matière triée. La restructuration de la zone d’accès des véhicules et de la zone de réception des matériaux a nécessité la démolition et la reconstruction du bâtiment E et la démolition du petit bâtiment d’isolement des matières radioactives.La résille est l’élément structurant du projet, un balcon s’y accroche, la végétation commence à y grimper, elle joue avec le soleil et dessine de grandes ombres sur les façades, elle est la cohérence de l’outil industriel. Fiche technique Maître d’ouvrage : Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, acteur public majeur de la gestion des déchets en Île-de-FranceÉquipe : Le Dévéhat Vuarnesson Architectes en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés et Thierry Dalcant paysagiste ; Paprec group mandataire-gestionnaire ; Cathelain Entreprise Génie Civil ; Ar-Val Process ; Inddigo BET ; Sim BET acousticien ; Area BET Fluides ; Olfacto (dépoussiérage-désodorisation) Mission : Marché de conception, de réalisation et d’exploitation ou de maintenance (CREM)Programme : Restructuration d’un centre de tri de collecte sélectiveCapacité : 55.000 T/anSurface : 12.000 m2 SPSurface de la parcelle : 18.500 m²Calendrier : Livré en novembre 2021Budget conception réalisation : 40,6 M€ HT (y compris process, hors exploitation)Opération réalisée en BIM
Il y a 2 ans et 318 jours

Mise en exploitation des premiers 30 km de l’A79+, première autoroute à péage en flux libre en France

Cette autoroute sera achevée à l’automne 2022 et remplacera la RN79. Elle traversera d’Est en Ouest le département de l’Allier permettant ainsi de relier les autoroutes A6 et A71 sur un tronçon payant de 88 km. L’A79, décrété par l’État d’intérêt public, proposera aux usagers le système de péage en flux libre autorisé par la Loi d’orientation des mobilités (LOM) de décembre 2019. Déjà présent en Autriche, Espagne, Portugal et aux États-Unis, la technologie du flux libre s’affranchit des barrières de péage physique contribuant ainsi à moderniser le réseau d’autoroutes français. La suppression des barrières physiques apporte plusieurs avantages, tant au bénéfice des utilisateurs que de la collectivité : une circulation plus fluide avec une diminution des risques de bouchon et un gain de temps de trajet réduction de la consommation de carburant et des émissions de CO2. Lors de chaque arrêt à une barrière de péage, un poids lourd dépense un litre de gasoil ordinaire, soit 3,1 kg de CO2 émis (source : ASFA) suppression du stress à l’abord des péages, donc plus de sécurité et de confortréduction de l’artificialisation des sols. La surface nécessaire à une barrière de péage est estimée à 16 ha. Le Groupe Eiffage, qui finance en propre le projet avec un investissement de 538 millions d’euros, a réuni tous ses savoir-faire pour concevoir, construire et exploiter la première autoroute en flux libre : ALIAE est maître d’ouvrage et concessionnaire de l’A79 pour une durée de 48 ans ; Eiffage Génie Civil est le mandataire du GIE CLEA qui a la charge de la conception et de la construction de l’A79 ;APRR à qui ALIAE a confié l’exploitation et la maintenance de l’A79 sur la durée de la concession. Les chiffres clés 88 km la longueur de l’A79 23,5 mois délais de réalisation 548 ME le montant de l’investissement en propre de Eiffage48 ans durée de la concessionL’A79 en un coup d’œilUn nouveau tronçon autoroutier qui traverse la France d’Est en Ouest et relie l’A6 et l’A71. L’A79 est la section autoroutière entre Sazeret (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire) de la Route Centre Europe Atlantique RCEA), un axe transversal stratégique pour relier sur des trajets longue distance la façade atlantique française à l’Allemagne, la Suisse et l’Italie via le centre de la France. Chaque jour, 10.000 à 15.000 véhicules composés à près de 40% de poids lourds empruntent cet itinéraire. Ce trafic de poids lourds très élevé, conjugué à une configuration routière devenue obsolète, en ont fait l’un des axes routiers français parmi les plus accidentogènes : entre 2008 et 2017, 124 personnes ont perdu la vie entre Montmarault et Mâcon. C’est pourquoi l’État a décidé en 2017 de la construction de l’A79 confiée à ALIAE. Une infrastructure du développement local et territorial L’A79 est aussi conçue pour favoriser le développement territorial. Bien que le trafic de transit soit particulièrement important, l’infrastructure doit être un vecteur d’échanges et de lien au niveau local. Ce lien sera favorisé par une mesure particulièrement forte : les automobilistes pourront circuler gratuitement sur la section Cressanges - Toulon (17 km) et sur la section de Dompierre (6 km). Par ailleurs, pour encourager l’utilisation de l’infrastructure payante par les utilisateurs locaux ou pour la desserte locale, ALIAE proposera une politique tarifaire très attractive avec une formule télépéage offrant jusqu’à 60 % de réduction sur les trajets. Cette réduction pourra s’appliquer dès le premier euro réalisé sur les trajets selon un barème dépendant du nombre de passages effectués dans le mois. Les aires de repos et de services joueront également un rôle de proximité important. En plus des aires de Pierrefitte et des haltes de Deux Chaises au niveau de la barrière de péage, deux aires de repos (Dompierre Ouest et Cressanges) et une aire de services (Toulon-sur-Allier) seront accessibles à la fois par l’autoroute et par la voirie locale.4 aires de repos Aires de repos (4 aires sur les 88 km)Parking VL/PLCovoiturageSanitaires et douches pour les chauffeurs poids lourdsBâtiment d’accueil : mange-debout, distributeur de boissons et snack, écran d’information, wi-fi gratuitBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-nique1 aire de service L’aire de services du Bourbonnais (Toulon-sur-Allier)RestaurantParking pour véhicules légers (VL) et poids lourds (PL)Station carburants VL/PLStation de recharge rapide véhicules électriquesPrises spéciales pour camions frigorifiquesSani-stations bus et camping-carArrêt transport en commun pour le prolongement de la ligne de bus H AléoBornes de paiement flux-libreEspace détente et pique-niqueEspace événementielSanitaires et douches gratuits pour les chauffeurs poids lourdsWi-fi gratuit 88 Km intégralement en flux libre, une première en France Dès l’automne 2022, ALIAE mettra en service la première autoroute française en flux libre, sans barrière de péage physique. Voulu par la loi d’Orientation des Mobilité de décembre 2019, le péage en flux libre a déjà été adopté dans plusieurs pays européens (Autriche, Espagne, Portugal) ainsi qu’au Brésil, Chili, aux Etats-Unis et en Inde. Et plusieurs projets sont annoncés en France sur l’A4, A13-A14, A69 et A412. Fini les gares de péages et les files d’attentes. Les portiques et la technologie mis en œuvre ont été conçus et fournis par l’un des leaders mondiaux. Ils sont déjà utilisés dans de nombreux pays : Etats-Unis, Espagne, Autriche, Brésil, Chili, Colombie, Inde. Le dispositif est constitué de caméras infrarouge, d’antennes télépéage et de capteurs auxquels s’ajoute une couche d’intelligence algorithmique qui permet de faire communiquer les équipements entre eux et vers le système de back office permettant la facturation et le recouvrement du péage en flux libre. Protection des données : un dispositif conforme au RGPD Les systèmes logiciels pour le paiement sur site internet et les bornes à pied sont développés en France et Eiffage est en l’éditeur. Les données sont hébergées en France. Le système d’identification du flux libre est conforme RGPD et ne lit les plaques d’immatriculation qu’à des fins de perception et de facturation du péage. Le droit d’accès aux données et de rectification est assurée à tous les clients. Le processus de contrôle de la protection des données personnelles est rigoureux et assuré avec un DPO (Data Protection Office) et un réfèrent RGPD, aussi bien chez Eiffage que chez APRR. Le Flux libre, mode d’emploi Sur les 88 km de l’A79, 6 portiques équipés de caméras infrarouges permettront d’identifier, quelles que soient les conditions météo, le badge télépéage ou la plaque d’immatriculation et le type de véhicule, déclenchant automatiquement la facturation. 4 options de paiement sont disponibles pour effectuer facilement le paiement des trajets Badge télépéage véhicule léger ou poids lourd : Le badge est détecté à chaque passage sous les portiques et la facturation se fait en fin de mois. Il est valable sur toutes les autoroutes de France. Inscription plaque (IBAN ou CB) : Le client enregistre simplement son numéro de plaque d’immatriculation et ses coordonnées bancaires sur le site www.aliae.com La plaque est détectée à chaque trajet et le prélèvement se fait chaque semaine. Paiement en ligne sur ww.aliae.com Après son passage, le client dispose de 72 heures pour payer, en rentrant son numéro de plaque minéralogique Paiement sur borne de paiement ou « borne à pied » 16 bornes de paiement sont mises à disposition sur les aires de repos ou de services de l’autoroute de l’A79+.Les clients peuvent y payer leur trajet lors de leur pause sur le parcours. Première autoroute en France à proposer une modulation tarifaire selon des critères environnementaux Véhicules légers : tarifs dégressifs selon les émissions de CO2 Véhicules légers (classes 1, 2 et 5) Poids lourds : tarifs dégressifs selon la classe de véhicule ET leurs émissions de CO2 Poids lourds (classes 3 et 4)
Il y a 2 ans et 338 jours

Théâtre National de Chaillot : Eiffage mène la danse

Eiffage Construction mandataire du groupement constitué avec Eiffage Énergie Systèmes, l’Agence d’Architecture Clé Millet, le bureau d’études BETEM et le scénographe Thierry Guignard, a remporté le contrat pour la deuxième phase des travaux de rénovation du Théâtre National de la Danse du Palais de Chaillot à Paris, pour un montant global de près de 40 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 342 jours

A Oger, cuverie Champagne signée Gougeat et Hamdouni

Au printemps 2022, les architectes Julien Gougeat (mandataire) et Nabil Hamdouni (associé) signent à Oger (Marne) la restructuration du dos de Vertus en cuverie et la création d’un bâtiment neuf. Livraison prévue : 2024. Communiqué. « Chaque nouvelle construction nécessite une intervention dans une situation historique donnée. Pour la qualité de cette intervention, il est décisif […] L’article A Oger, cuverie Champagne signée Gougeat et Hamdouni est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 343 jours

Eiffage Energie Systèmes et VINCI Energies vont réaliser le réseau multi-services et les systèmes de surveillance de la ligne 18 du Grand Paris Express pour un montant de 60 millions d’euros

Le groupement formé par Eiffage Énergie Systèmes (mandataire) et VINCI Energies a remporté le contrat pour la fourniture, l’installation et la maintenance du réseau multi-services et des systèmes de surveillance des espaces de la ligne 18 du Grand Paris Express pour un montant de 60 millions d’euros.  Le marché attribué par la Société du Grand […]
Il y a 2 ans et 350 jours

Ingérop et Egis remportent un nouveau marché sur le tramway de Nice

CONTRAT. Après avoir travaillé ensemble sur les lignes T2, T3 et T4, Ingérop – mandataire – et Egis collaboreront à nouveau pour étendre un peu plus le réseau. Le groupement, auquel participe également LA/BA Architecte, est en effet chargé du contrat de maîtrise d'oeuvre de la ligne 5.
Il y a 2 ans et 359 jours

Malgré l'interdiction d'installer de nouvelles chaudières fioul, 40% des utilisateurs ne veulent pas changer

En effet, un décret publié au Journal Officiel le 6 janvier 2022 rend impossible l'installation de nouveaux appareils de chauffage fonctionnant au fioul ou au charbon en rénovation et dans le neuf, en fixant un seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre à respecter de 300gCO2eq/KWh.Un an après une première enquête réalisée auprès des consommateurs de fioul après l'annonce de l'interdiction, FioulReduc, site Internet indépendant de vente de fioul à prix bas, et Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, ont souhaité les interroger de nouveau afin d'observer les évolutions de comportement à l'approche de cette mesure.Cette étude, à laquelle 1.114 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 20 avril et le 12 mai 2022*, révèle que l'interdiction imminente ne semble pas provoquer de réel sursaut chez les utilisateurs de fioul : 40% d'entre eux souhaitent toujours conserver ce mode d'énergie pour se chauffer, malgré une hausse de son prix ces derniers mois, et sont de plus en plus inquiets.Cette étude fait apparaître quelques évolutions intéressantes à souligner, comme la désaffection des consommateurs pour la chaudière gaz, de moins en moins plébiscitée comme solution de remplacement, et un passage à l'acte plus rapide pour ceux décidés à franchir le pas.*Méthodologie : FioulReduc et Hellio ont organisé conjointement une consultation auprès des 124.000 clients de FioulReduc répartis sur toute la France, à laquelle 1.114 personnes ont répondu en ligne entre le 20 avril et le 12 mai 2022.Des consommateurs toujours satisfaits de leur équipement fioul en place malgré un prix variable et en hausseSelon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul reste similaire à celui de 2021 : leur foyer est composé de 2,2 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans, le revenu moyen de leur foyer est de 38.885 €. Leur dépense annuelle moyenne de fioul s'élève à 1.710 €, elle était de 1.632 € en 2021, soit une augmentation de 5%.Pour Maëlle Ricard, directrice des opérations chez FioulReduc : « Le prix du fioul a augmenté de 78% en 1 an, sans compter une augmentation sans précédent de 135% pendant 1 mois due à la crise en Ukraine. Les dépenses des Français chauffés au fioul n'ont augmenté que de 5% sur un an. Plusieurs éléments peuvent expliquer cette différence : d'une part certaines personnes se sont restreintes sur leur chauffage, en remplissant leur cuve au minimum à chaque fois ; d'autre part, selon la date de leur dernier approvisionnement, ils ont pu répartir un peu le surcoût. Il est fort probable que la hausse de coût se fasse davantage ressentir l'année prochaine, si les prix ne baissent pas d'ici là. »Ces consommateurs apprécient toujours le fioul avant tout pour son confort de chauffe (38%), sa simplicité dans la gestion au quotidien (30%) et sa fiabilité (21%).Selon eux, cependant, le principal inconvénient du fioul reste son prix variable à 36% et son coût annuel arrive cette année en 2ème position des inconvénients avec 26% des répondants contre 18% en 2021. Preuve que l'augmentation des prix de l'énergie impacte aussi les utilisateurs de ce mode de chauffage.L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités, mais de manière moindre et sans progresser par rapport à l'année dernière (14% en 2022 vs 15% en 2021).Perspectives d'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul : plus d'inquiétude, moins de gaz et un passage à l'acte plus rapide L'entrée en vigueur imminente de cette mesure réglementaire, ne portant que sur les nouvelles installations, suscite encore plus d'inquiétude et de mécontentement chez les consommateurs qu'en 2021, l'inquiétude passant de 36% à 40%. Ils sont encore 40% à déclarer que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir, une proportion en léger recul par rapport à 2021 (47%). 21% envisagent de changer le brûleur de leur chaudière pour la rendre compatible au biofioul, 17% pensent ne rien changer et 2% souhaitent installer une nouvelle chaudière fioul avant l'interdiction. La principale motivation invoquée par les consommateurs reste le bon fonctionnement de leur installation avec 44% des réponses exprimées (47% en 2021). La part des indécis a quant à elle progressé : elle est passée de 38% en 2021 à 43% cette année.Parmi les autres évolutions notables à souligner, la part des consommateurs voulant changer leur chaudière fioul pour passer à une autre énergie enregistre une légère progression : ils sont 17% à l'envisager (15% en 2021). La pompe à chaleur reste le mode de chauffage le plus plébiscité (51%), devant la chaudière à granulés de bois (35%). Fait marquant : la chaudière gaz n'obtient plus que 4% des suffrages (12% en 2021). La baisse des aides pour son installation (Coup de pouce supprimé le 1er juillet 2021 et suppression de MaPrimeRénov' à venir à partir du 1er janvier 2023) et le conflit russo-ukrainien ont certainement joué dans le choix des réponses. À noter enfin que la chaudière hybride, combinant un système de pompe à chaleur et une chaudière fioul, est désormais citée comme une autre alternative possible par 6% des répondants.Pour ces 17% de répondants qui envisagent de se séparer de leur chaudière fioul, ils pensent sauter le pas dans un laps de temps plus rapide qu'en 2021 : dans l'année pour plus de la moitié (54% vs 40% en 2021).La possibilité d'utiliser du biofioul2 (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une bonne partie des consommateurs (49%). Les réserves évoquées à ce sujet concernent toujours la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.À noter que les chaudières biofioul 30 respecteront la nouvelle norme pour le remplacement d'un système de chauffage (seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre de 300gCO2eq/KWh). La date d'autorisation de ce futur carburant n'est pas encore connue à ce jour.Les aides financières : un élément de plus en plus considéré comme déclencheurAfin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières : MaPrimeRénov', incluant le tout récent bonus supplémentaire de 1 000 € accordé depuis le 15 avril jusqu'au 31 décembre 2022 pour le remplacement par un équipement à énergies renouvelables, et le Coup de pouce Chauffage. Pourtant, le frein lié aux moyens financiers pour changer d'équipement concerne davantage de répondants qu'en 2021, passant de 17% à 23%.Pour 2/3 des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul, des aides financières plus généreuses ou accessibles à un plus grand nombre pourraient les pousser à reconsidérer leur mode de chauffage. Cette tendance s'est accrue en 2022, passant de 69% à 74%. Preuve que malgré le bonus supplémentaire accordé depuis le 15 avril 2022, les aides ne sont toujours pas considérées comme suffisantes.Pour Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio : « Accompagner 3,5 millions de foyers chauffés au fioul vers une autre source d'énergie ne peut se faire en un claquement de doigts ! L'enjeu est important, tant pour chaque foyer que pour la filière fioul qui sait être force de proposition avec des biocombustibles. Il est primordial de souligner qu'un changement de système de chauffage doit être réfléchi en fonction de l'état du bien immobilier, de sa localisation, et de la composition du foyer occupant. Hellio conseille de ne pas se précipiter sur un système de chauffage qu'un foyer pourrait regretter ! Des professionnels comme Hellio sont mobilisés pour trouver la meilleure solution, et l'installer au meilleur moment. Notre objectif est de maximiser les économies d'énergies d'un foyer, d'améliorer son confort et de valoriser son bien immobilier. Ce triptyque doit primer sur le reste ! Attention aux vendeurs peu scrupuleux sur ces trois points. »Rappel des aides pour le remplacement d'une chaudière fioulMaPrimeRénov'Cette aide publique permet de financer, entre autres, les travaux de chauffage d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent être effectués par des entreprises labellisées RGE. MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, occupants et bailleurs, quels que soient leurs revenus. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés).Depuis le 15 avril 2022 et jusqu'au 31 décembre 2022, le gouvernement accorde une prime supplémentaire de 1 000 € pour tout remplacement d'un système de chauffage par un équipement à énergies renouvelables.Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020.Le Coup de pouce ChauffageLe dispositif “Coup de pouce” est une prime financière forfaitaire allouée à la réalisation de travaux d'économies d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement utilisant des énergies renouvelables.Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements.Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-PTZ.