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Il y a 2 ans et 191 jours

Semaine de l'industrie : des usines pour décarboner la planète ?

Au cours de la "semaine de l'industrie" qui a débuté ce lundi, de nombreuses visites d'usines, forums des métiers, escape game, job dating... sont prévus dans toute la France entre industriels et collégiens, lycéens ou étudiants pour découvrir des métiers auxquels ils n'auraient pas pensé."On a un peu plus de 7% de chômage et on n'arrive pas à recruter, c'est un grand paradoxe français", a dit le ministre de l'Industrie Roland Lescure sur Europe 1 lundi, avant de se rendre chez le motoriste aéronautique Safran à Créteil qui veut faire découvrir les avancées en matière de décarbonation de l'aviation."L'industrie, c'est 18% des émissions de CO2, mais 100% des solutions pour dépolluer les transports notamment", a-t-il ajouté, en référence aux travaux menés pour développer des batteries ou voitures électriques qui n'émettent pas de CO2, des trains à hydrogène ou des moteurs d'avion verts.La semaine de l'industrie s'adresse majoritairement aux jeunes de 11 à 17 ans et à leurs enseignants ou responsables de formation, mais aussi "aux demandeurs d'emploi intéressés par une carrière ou une reconversion dans l'industrie", précise Bercy dans un dossier de presse, évoquant les 4.500 événements gratuits organisés (), relayés par des influenceurs sur les réseaux sociaux comme TikTok ou Loopsider.Le gouvernement souhaite "lutter contre les idées reçues" en soulignant que les deux axes prioritaires des industriels français en ce moment sont "la transition écologique" et "l'innovation et la digitalisation", alliés aux enjeux de souveraineté pour relocaliser des productions sur le territoire national.Les exemples sont à foison, d'Anaïs, conductrice de ligne agroalimentaire à Loudéac qui alimente et programme des machines automatisées, à Pauline, technicienne méthodes en électronique pour l'aéronautique et l'aérospatial à Fougères, qui teste des composants électroniques sur maquette ou sur des logiciels de simulation, et participe à des essais de prototype.Dans l'est, une visite est organisée sur le site de Storengy, spécialisé dans le stockage souterrain de gaz naturel, et en développement de projets de géothermie, d'hydrogène et de biométhane. L'entreprise Sogefa invite enseignants et élèves à visiter son unité de valorisation des déchets. Et en Bourgogne, un festival de la transition écologique et numérique est organisé pour les jeunes et demandeurs d'emplois. Un effort particulier est fait pour attirer les jeunes filles, qui représentent moins de 30% des salariés de l'industrie. L'association "Elles bougent" organise plus de 120 événements avec 62 entreprises et établissements partenaires, dont une visite de Framatome au Creusot, la présentation du métier d'usineur et montage d'appareil de voie sur le site de Vossloh à Reischoffen, ou encore une session "découverte des métiers de l'ingénieure" àl'école Sigma de Clermont-Ferrand.
Il y a 2 ans et 212 jours

Sitowie se dote de solides moyens pour révolutionner la maintenance prédictive des bâtiments

Sitowie annonce lever 1,7 million d’euros auprès du PRVF géré par Karista, de Paris Business Angels, de Femmes Business Angels ainsi que des sociétés d’investissement WinEquity et Unico pour accélérer son développement en France. La start-up francilienne a pour ambition de mettre à disposition des acteurs de l’immobilier et des gestionnaires de parc une solution innovante permettant de prédire la dégradation de leurs actifs et de prolonger la durée de vie des bâtiments tout en luttant contre les émissions carbone. Elle compte d’ores et déjà plusieurs clients : bailleurs sociaux, collectivités, foncières, directions immobilières sont en effet demandeurs de plus de rationalisation dans leur programmation.Créée en 2018 par Pauline Koch – architecte de profession et diplômée de l’École des Ponts ParisTech – Sitowie regroupe aujourd’hui une équipe d’une quinzaine de collaborateurs aux profils techniques et scientifiques de haut vol (docteurs en simulation numérique, matériaux, génie civil, développeur…). La direction scientifique est assurée par Yann Lefeuvre, disposant lui-même d’une expérience de 20 années dans le secteur de la construction.Vieillissement intelligent des bâtiments : un enjeu pour lequel se mobiliserBien vieillir est un enjeu essentiel qui ne touche pas seulement les humains : les bâtiments sont eux aussi concernés. Ainsi, de nombreux professionnels de l’immobilier en France prennent enfin la mesure du défi du vieillissement de leurs actifs immobiliers.Pour autant, de nombreux gestionnaires de parc se trouvent démunis lorsqu’il s’agit de lutter contre ce problème. Quel est le budget optimal pour bien entretenir mon parc ? Dans un budget contraint, comment s’y prendre ? Comment fiabiliser mes plans de travaux et réduire considérablement les dépassements budgétaires ? Est-ce que les travaux programmés vont apporter des économies substantielles et le ROI attendu ? Comment concilier augmentation des rendements et obtention du label ISR, très important pour la réputation de l’entreprise et les financements ?Autant de questions qui, jusque-là, ne trouvaient pas de réponses simples et directes notamment parce que les données disponibles sont souvent insuffisantes, les entreprises ne sont pas encore assez « data-driven » et ne savent pas où se procurer les données manquantes nécessaires, les maquettes BIM compliquées et trop onéreuses…La solution innovante apportée par SitowieFace à ce diagnostic, Sitowie apporte une solution concrète aux entreprises gérant un parc immobilier, quelle que soit leur maturité dans le domaine de l’utilisation des données, pour mettre en place une maintenance prédictive efficace, porteuse de sens et génératrice d’économies et de gains financiers.La start-up commercialise une plateforme SaaS nommée Predibat qui permet, à partir des données existantes chez le client, de générer automatiquement un référentiel technique structuré autour d’une maquette BIM simple mais suffisante en exploitation. Les jeux de données sont complétés par de l’open-data. Selon l’état des données, il est possible de générer en 1 minute la maquette BIM d’un bâtiment. A partir de ce référentiel fiable et structuré, l’utilisateur a accès à des scores de risques et de dégradation actuels et futurs pour chaque composant. Grâce à l’outil, il dispose d’une première stratégie de travaux optimisé en fonction d’un budget cible, stratégie qu’il peut amender au besoin. Il va pouvoir suivre l’avancée des travaux et comparer le prévisionnel avec la réalité.Les défis relevés par Sitowie sont cruciaux pour l’ensemble du secteur puisque prolonger la durée de vie des bâtiments permet de :Contribuer positivement à la lutte contre le réchauffement climatique : Sitowie permet de réduire jusqu’à 34% l’empreinte carbone des bâtiments et s’attèle maintenant à réduire la consommation énergétique. Allonger la durée de vie des composants d’un bâtiment permet de réduire son empreinte carbone, de consommer moins de ressources premières et de mieux contrôler la consommation énergétique. Alors que la réglementation se durcit sur ces points (décret tertiaire, label ISR…), la pénurie actuelle de matériaux et d’énergie renforce la pertinence de ces réflexions.Améliorer la rentabilité financière des actifs immobiliers : grâce à Sitowie, il est possible de passer d’une maintenance curative, purement réactive, à une stratégie prédictive et d’économiser jusqu’à 35% sur les budgets de maintenance et d’investissement.Sitowie offre également une solution pour digitaliser facilement et à moindre frais les données immobilières. D’après les premiers retours clients, la solution permet de gagner à minimum 25% sur les process internes en facilitant considérablement la génération d’un référentiel technique, la construction et le chiffrage des programmations de travaux ainsi que leur suivi.« Les professionnels de l’immobilier doivent impérativement se mobiliser pour la planète et pour eux-mêmes. Le secteur du bâtiment est le plus gros consommateur d’énergie : il représente 43 % des consommations énergétiques françaises. Il produit chaque année plus de 120 millions de tonnes de dioxyde de carbone, gaz à effet de serre, soit près du quart des émissions nationales, d’après le ministère de l’environnement. Il existe désormais des solutions fiables, économiques et performantes pour assurer une plus grande durabilité et rentabilité des bâtiments. C’est d’autant plus important dans le contexte actuel de pénurie. Allons-y ! », explique Pauline Koch, CEO de Sitowie.« Le secteur de la construction est le plus gros émetteur de gaz à effet de serre mais peu de solutions s’attaquent au parc existant et au cycle de vie du bâtiment post construction. La solution Sitowie est au coeur des préoccupations des acteurs de l’immobilier : rendre le bâtiment plus durable tout en maitrisant les coûts de maintenance pouvant représenter jusqu’à 80% des coûts d’un projet le long du cycle de vie. Nous sommes fiers d’accompagner Pauline et Sitowie dans ce projet ambitieux », conclut Benjamin Zerbib directeur d’investissement chez Karista.L’entreprise est par ailleurs entourée par des mentors comme :Christian Cleret, Président d’honneur de l’ADI, Co-président du Groupe RBR 2020-2050 Plan Bâtiment Durable ;Philippe Jouan, Président Jouan & Associés, Ancien Président RICS France ;Pierre Schoeffler, Global Asset Allocation & Sustainable Investing Advisor, Conseiller du Président La Française ;Thierry Thibaux, Ancien Directeur Technique d’EIFFAGE Travaux Publics ;Jean-Michel Torrenti, Chercheur à l'université Gustave Eiffel, Professeur à l'École des Ponts ParisTech.
Il y a 2 ans et 232 jours

4 événements à ne pas rater aux Journées nationales de l'architecture 2022

Les Journées nationales de l'architecture arrivent partout en France ! Sélection de quatre événements à découvrir, les 14, 15 et 16 octobre 2022. 1. Des maquettes à Paris Amateurs de modèles réduits, l’exposition "Ce que fait la maquette à l’architecture" est de retour à la Maison de […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 235 jours

Lancement de la 19e éditions des Génies de la Construction !

La date de clôture des inscriptions du concours Les Génies de la Construction ! est fixée au 20 janvier 2023. [©DR] La 19e édition du concours Les Génies de la Construction ! est ouvert aux élèves des collèges et lycées. Ainsi qu’aux étudiants de l’enseignement supérieur. Véritable démarche interdisciplinaire, ce concours est une belle opportunité de faire connaître aux jeunes la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics. Les compétiteurs concernés sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l’aménagement des territoires. Ceci, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. Inscriptions jusqu’au 20 janvier 2023 En collège et en lycée, les élèves sont encadrés par les enseignants, qui inscrivent une ou plusieurs équipes au concours. Dans l’enseignement supérieur, les étudiants s’inscrivent eux-mêmes… Soit à titre individuel, soit pour présenter un projet commun. Des enseignants et des acteurs du secteur de la construction ont élaborés le règlement de participation au concours. Ce dernier cherche à répondre et à s’adapter aux attentes des programmes d’enseignement et aux besoins des professionnels du secteur. Les Génies de la construction ! récompensent le travail autour d’une production relative à la réalisation d’une construction ou d’un aménagement. Il peut s’agir d’une maquette physique ou virtuelle, d’une conception numérique de la concrétisation d’un projet… La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2023. Inscriptions, informations complémentaires et règlements disponibles ici.
Il y a 2 ans et 241 jours

3 métiers d’avenir dans la construction

Le secteur de la construction est sujet à de nombreuses évolutions, que ce soit à cause des nouvelles technologies ou des départs à la retraite. Au Québec, d’ici 2029, le milieu devrait d’ailleurs atteindre un niveau de pénurie de main-d’œuvre record, accélérant ainsi la création de nouveaux métiers dont voici les 3 plus prometteurs. Manœuvre en construction Bien qu’un emploi de manœuvre en construction demeure dans la partie « traditionnelle » du secteur, il est tout de même considéré comme une branche d’avenir. En effet, bien au-delà de l’utilisation des technologies, comme pour les deux prochains métiers, cette profession fait partie des piliers de la construction. On remarque tout de même une certaine évolution dans les compétences à acquérir pour prétendre à ce poste. En effet, les tâches sont variées et il est souvent demandé aux candidats d’être de plus en plus agiles, avec une faculté d’adaptation et de collaboration. Surtout parce que les professionnels occupant ce métier sont amenés à : – Charger et décharger les matériaux. – Monter des échafaudages. – Accompagner les ouvriers qualifiés dans la réalisation des travaux. – Niveler l’environnement de travail pour faciliter l’accès aux chantiers. Bien que ces tâches ne soient pas exhaustives, elles n’en demeurent pas moins plurielles. D’un point de vue plus général, les manœuvres en construction garantissent la bonne réalisation des travaux, en secondant le travail de leurs collègues. Un poste qui demeure donc essentiel au secteur de la construction. Quel est le diplôme nécessaire pour travailler comme manœuvre en construction ? Les recruteurs recherchent des candidats ayant obtenu leur certificat de compétences « occupation ». Toutefois, il est également possible de travailler comme manœuvre sans diplôme. Quel est le salaire d’un professionnel en manœuvre en construction ? Au Québec, le salaire pour un professionnel en manœuvre en construction est fixé selon les conventions collectives avec lesquelles il travaille. Spécialiste en domotique La domotique fait partie intégrante des nouveaux métiers tels qu’on l’entend dans cette expression. Bien qu’elle soit à 100 % liée avec les nouvelles technologies, elle fait également entièrement partie du métier de la construction. En effet, intervenant après la construction des bâtiments, le spécialiste en domotique s’intéresse particulièrement à la création d’un habitat intelligent, basé sur le concept de smart home. Son objectif est alors d’utiliser ses connaissances en matière de technologies et de sécurité pour rendre le bâtiment plus sûr. Il s’occupe de créer les systèmes de sécurité comme les alarmes, les détecteurs de bris de vitre, les caméras et autres capteurs. Selon le type de structures (résidentielle, institutionnelle ou professionnelle), il peut également être amené à réfléchir à l’automatisation totale d’un bâtiment. Doté d’un amour pour les nouvelles technologies, autonome et doué d’un esprit d’équipe, le spécialiste en domotique travaille avec l’ensemble des équipes sur le projet en construction, et l’intègre dans toutes les étapes. Quel diplôme est nécessaire pour devenir spécialiste en domotique ? Le futur spécialiste doit obtenir une attestation de formation prouvant sa spécialisation dans l’installation de systèmes d’habitation intelligente. Toutefois, cette attestation requiert l’obtention préalable : – D’unités de 3e secondaire en langue seconde et mathématiques. – D’une attestation d’équivalence à la 3e secondaire. – D’une attestation de réussite au test de développement général. Quel est le salaire d’un spécialiste en domotique ? À Montréal, un spécialiste en domotique perçoit en moyenne 47 000 $ annuel. Ce salaire est tout de même sujet à des fluctuations selon les entreprises. Coordinateur BIM Dans le secteur de la construction, le coordinateur BIM (building information modelling) est spécialisé dans le bâti immobilier modélisé. En d’autres termes, il utilise les nouvelles technologies pour générer un plan 3D du bâtiment à construire. Grâce à cela, il permet à toutes les branches de la construction de travailler collectivement en visualisant l’ensemble des structures, des mécaniques, de l’électricité et de la plomberie à mettre en place. Un coordinateur BIM doit alors posséder des compétences en conception 3D, mais également être agile, faire preuve d’adaptabilité, de communication et de management, puisqu’il coordonne et renseigne les différentes équipes de construction. Quel diplôme obtenir pour devenir coordinateur BIM ? Deux situations sont possibles. Le candidat peut se spécialiser en conception de maquette numérique durant son cégep. Il faudra toutefois faire attention à intégrer un cégep délivrant l’attestation d’étude collégiale correspondante. Une expérience dans le domaine de la coordination et de la construction sera un plus pour démarrer sa carrière. En revanche, si le candidat est ingénieur ou architecte de formation, il peut obtenir un DESS en BIM et innovations numériques pour approfondir ses connaissances et se former. Quel est le salaire d’un coordinateur BIM ? Dans la région de Montréal, un coordinateur BIM peut percevoir jusqu’à 48 000 $ annuel, en moyenne. Le secteur de la construction demeure un secteur d’avenir Au Canada, le secteur de la construction est en constante évolution, surtout avec l’arrivée des nouvelles technologies. De nombreux métiers émergent de plus en plus, sans pour autant mettre de côté les postes plus traditionnels comme les maçons ou les carreleurs qui demeurent essentiels au secteur.
Il y a 2 ans et 245 jours

Les génies de la construction ! : Le concours des territoires intelligents, durables et connectés

Imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectésVéritable démarche interdisciplinaire, le concours Les Génies de la construction ! est une belle opportunité de valoriser auprès des jeunes et de leur faire connaître la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics, qui sont des métiers techniques et innovants, ainsi que leur transversalité et leur capacité à s’adapter pour accompagner les mutations environnementales, technologiques et numériques. Les jeunes compétiteurs sont invités à mener une réflexion collaborative et prospective, liée aux nouveaux défis de la construction et de l’aménagement des territoires, pour imaginer un futur des territoires intelligents, durables et connectés. En collège et en lycée, les élèves sont encadrés par les enseignants, qui inscrivent une ou plusieurs équipes au concours. Dans l’enseignement supérieur, ce sont les étudiants qui s’inscrivent eux-mêmes, soit à titre individuel, soit pour présenter un projet à plusieurs.S’inscrire dans les priorités du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse et répondre aux enjeux des professionnels du secteur de la constructionDonner du sens et concrétiser les enseignements, par un travail transversal et collectif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants, invitée à produire la réalisation ou la rénovation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, etc.). Le projet présenté est jugé sur sa faisabilité et sa capacité à se transposer sous une forme concrète et réalisable.Inscrire la transition numérique dans les apprentissages, pour préparer pleinement les élèves à une société, à des études supérieures puis à un monde du travail toujours plus numériques.Contribuer au développement d’une meilleure orientation scolaire et professionnelle des jeunes, afin de mieux accompagner les élèves dans la définition de leur projet d’orientation, qui peut représenter pour eux et leur famille une source d’inquiétude.Favoriser la promotion de la voie de formation professionnelle comme voie de formation d’excellence et de réussite, pour répondre aux nouveaux besoins en compétences des entreprises du secteur de la construction, en lien avec les transitions environnementales, technologiques et numériques, et renforcer l’attractivité de la formation professionnelle pour se former à un métier du bâtiment et des travaux publics. Inscrire l’éducation à l’avant-poste de la transition écologique pour répondre à la volonté du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse de faire des établissements scolaires un terrain d’engagement en faveur du développement durable, de la biodiversité et de la lutte contre le changement climatique. Réaliser des productions durables et citoyennes Les jeunes candidats doivent répondre en équipe aux problématiques posées par l’évolution d’un territoire intelligent, durable et connecté, sur l’une des thématiques suivantes :le logement ;la mobilité et les déplacements dans les territoires (pont, route, voie ferrée, etc.) ;les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs) ;la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets ;les énergies locales et renouvelables.Concevoir un éco-quartier, faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite, produire de l’énergie avec une route, exploiter la géothermie, identifier les innovations dans les matériaux, robotiser une tâche sur un chantier, optimiser l’apport solaire sur un bâtiment, assurer la bonne gestion de l’eau potable, gérer les risques d’inondations, construire des logements modulables et réversibles, favoriser la biodiversité en ville, la mobilité douce, la gestion intelligente de l’espace, stocker et restituer des énergies renouvelables... sont autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants peuvent débattre et travailler.Les équipes se répartissent en quatre catégories :« Collège » pour les élèves du cycle 4 ;« Pro » pour les élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa métiers ;« Lycée » pour les élèves du cycle terminal ;« Sup » pour les élèves et étudiants de l’enseignement supérieur (STS, IUT, université, école d’ingénieurs, etc.).Afin de répondre et de s’adapter aux attentes des programmes d’enseignement et aux besoins des professionnels du secteur de la construction, les règlements de participation au concours ont été élaborés par des enseignants et des acteurs du secteur de la construction.Favoriser la créativité d’équipe, la mixité et l’interdisciplinarité Le concours Les Génies de la construction ! récompense le travail collectif et collaboratif d’une équipe d’élèves ou d’étudiants pour une production relative à la réalisation d’une construction ou d’un aménagement (maquette physique ou virtuelle, production numérique, concrétisation d’un projet…).La participation au concours est l’occasion de favoriser le décloisonnement de manière générale, au travers :de la mixité transversale, en faisant travailler ensemble des élèves de formations différentes ;de l’interdisciplinarité, en mobilisant des savoirs et savoir-faire de plusieurs disciplines (technologiques et générales) ; de la mixité verticale, en faisant participer des équipes intégrant des niveaux scolaires ou universitaires différents pour mener à bien un projet.Juger un projet sur sa faisabilité Le projet de construction présenté par les jeunes candidats est jugé sur sa faisabilité. Le projet peut être représenté par une maquette virtuelle ou autre production numérique et/ou matérialisée par une maquette physique.Les participants de la catégorie « Sup » devront réaliser une maquette virtuelle, afin que les solutions présentées prennent en compte la démarche BIM (Building information modeling), accompagnée d’une maquette physique de tout ou partie du projet présenté.Des open badges pour reconnaître les réalisations et les compétences des jeunesPour la quatrième année consécutive du concours Les Génies de la construction !, des open badges seront attribués aux lauréats et participants. Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Ces open badges, qui promouvront et reconnaîtront l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits, leur permettront aussi de rejoindre la grande famille de la construction !Les Génies de la construction !, un concours organisé en deux étapesUne sélection académique (si le nombre d’équipes candidates le justifie) ou inter-académique sera organisée en distanciel, avec une présentation orale devant un jury composé de représentants du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, de professeurs et d’acteurs de la construction.Une finale nationale organisée le 7 juin 2023 à Paris, pour permettre aux équipes d’élèves ou d’étudiants sélectionnées de présenter leurs travaux lors d’un « grand oral » devant un jury national. La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2023.
Il y a 2 ans et 260 jours

A.Doc présente à Batimat la dernière version de son logiciel de conception BIM pour les projets à ossature bois

Une solution tout-en-un intuitive et sans équivalence pour le BBC et la construction boisDestinée aux professionnels de l’architecture bois qui souhaitent paramétrer très précisément leurs ossatures bois, tant pour le neuf ou la rénovation que pour les extensions bois, cette nouvelle version 16 apporte une facilité et une puissance de travail sans précédent qui va de nouveau révolutionner la manière de dessiner et de créer les projets des utilisateurs, qu’il soient débutants ou expérimentés.Les constructeurs en ossature bois recherchent des fonctions particulières que les logiciels classiques de conception en bâtiment ne possèdent pas. Basé au départ sur la version Architecture, ouverte à tous les principes constructifs, Envisioneer 16 Construction Bois intègre toutes les fonctions utiles au paramétrage de tels ouvrages, dont :Des outils 3D paramétriques.Des fonctions de paramétrage ultra précis de tous les composants et de l'ossature.Un repérage immédiat et un affichage automatique des plans d’ossature.Une planche à dessin 2D.Une bibliothèque paramétrée de solutions constructives orientée BBC & modes passifs.Un module de terrain.L’utilisateur gagne donc un temps précieux grâce au catalogue de murs, planchers, toitures déjà paramétrés. Ensuite, celui-ci peut facilement modifier ces objets pour les adapter à ses modes de construction. En effet le logiciel Envisioneer Construction Bois possède, au moyen d’une interface inédite, une puissance de paramétrage pour enregistrer et modifier tous les détails de montage des ossatures (bois ou métal), tout comme l’édition de chaque ouvrage particulier. L’utilisateur diminue donc significativement le temps d’exploitation du projet de l’esquisse vers la fabrication : définition des sections et leurs entraxes, position des entretoises, configuration des angles, édition ultra-fine des intersections de murs, paramétrage complet des porteurs tels que linteaux, poutres et leurs retombées, règles de mise en place, …En outre, le modèle BIM du projet conçu dans Envisioneer 16 Construction Bois peut être directement relu à l'extérieur du fait de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire.Dans sa nouvelle version, Envisioneer 16 Construction Bois repousse encore plus loin les limites de la conception et de la fabrication à ossature bois.Une nouvelle version pour créer facilement et automatiquement les plans de panneaux bois en 1 clicAvec l’arrivée du nouveau module révolutionnaire “FABRICATION”, intégré au logiciel de CAO Envisioneer Construction Bois v16, tous les professionnels de la construction bois, de l’architecture et du bâtiment vont pouvoir réduire de façon considérable le temps nécessaire à la création et au paramétrage des plans de pans de murs en bois.En effet, jusqu’à présent, la création des plans nécessaires à la fabrication des panneaux d’ossature d’une maison individuelle pouvait durer deux jours voire plus. Aujourd’hui grâce à ce module, cette tâche répétitive est réalisée tout simplement en un seul clic. Les plans de fabrication sont obtenus très facilement et en un temps record, et comprennent pour chacun:Une vue de face et une vue de dessus du panneau accompagnées de cotations précises.La liste de débits permettant de détailler les longueurs et les quantités de chacune des pièces nécessaires.Par ailleurs, et pour parfaire le tout, le logiciel intègre toute une batterie de fonctions clés qui permettront de faciliter davantage la mise en place des projets à ossature bois :Maquette 3D présentable sur tout mobile.Commandes pour la charpente améliorées.Interopérabilité accrue avec le BIM.Nouveaux objets fermes de charpente en 3D.Quantitatif partiel immédiat au clic droit.Présentation graphique améliorée en 2D.
Il y a 2 ans et 269 jours

Envisioneer Architecture 16, logiciel de CAO 3D BIM rapide, simple et intuitif de A.Doc dévoilé à Batimat

Un logiciel de conception BIM puissant, facile à maîtriser pour créer tous les projets de constructionDéveloppé par Cadsoft et commercialisé en exclusivité par A.DOC le logiciel de CAO 3D Envisioneer Architecture a été conçu pour répondre aux attentes des architectes, des constructeurs, des maîtres d’œuvre et plus largement de tous les acteurs du bâtiment en s’adaptant à tous les scénarios de projets : le neuf, la rénovation, la réhabilitation.Envisioneer Architecture est un logiciel de modélisation en 3D axé sur la conception facilitée de tout type de projet. Centrée sur le montage d’un modèle unique (en mode BIM), l’information de la maquette 3D est ensuite exploitée par des fonctions avancées rendues disponibles dans un seul et même outil.Ainsi, la présentation virtuelle (visite panoramique, rendu photo ultra réaliste, animations, présentation sur mobile), le dessin précis (plans, coupes et façades), le chiffrage (quantitatif précis et ventilé par lots de chantier, intelligence des ouvrages, communication avec les applications de pièces écrites) deviennent accessibles et forment une solution tout en un très séduisante et performante.Au-delà de sa convivialité, Envisioneer est un logiciel caméléon capable de gérer tous les scénarios de projets : bâtiment neuf, agrandissement, extension, surélévation, rénovation d’un bâti ancien, projet d’aménagement intérieur et de décoration, ... Le logiciel est donc réellement taillé pour réaliser des projets de diverses dimensions et les traiter aux niveaux de détails souhaités par l’utilisateur.En outre; le modèle unique issu du logiciel Envisioneer est automatiquement interprété à l'extérieur en raison de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire. La gestion d’une maquette 3D unique par Envisioneer permet ainsi de piloter facilement l’étude thermique qui conduit à l’obtention du certificat Bbio, nécessaire pour le dépôt d’un dossier de permis de construire.Dans sa nouvelle version, qu’il s’agisse d’un utilisateur débutant ou expérimenté, Envisioneer Architecture 16 va encore plus loin et révolutionne la manière de dessiner, et ce, sans formation !Une nouvelle version optimisée pour concevoir, dessiner et chiffrer toujours plus facilement et précisémentAvec les nouvelles capacités de la version 16, le logiciel professionnel qui se positionne comme la solution ayant le meilleur rapport qualité/prix du marché progresse encore. En effet, en passant à la version 16, la somme d’améliorations est conséquente. En plus d’une facilité d’utilisation toujours plus poussée, l’interopérabilité du logiciel connaît une avancée spectaculaire et la montée en charge qualitative de la version 16 renforce les nombreux atouts du logiciel Envisioneer.Focalisées sur les moyens de gagner du temps durant le montage des projets, des avancées décisives répondent plus particulièrement à la demande des utilisateurs, tandis qu’une série d’améliorations s’intègrent judicieusement au sein de l’interface et ses fonctions clés. Pour cela, le logiciel intègre des nouveautés majeures pour une conception facilité :Gestion de la charpente plus détaillée et en net progrès.Insertion des pannes et voliges.Nouvelle bibliothèque de végétaux et plantes vertes réalistes en 3D (bibliothèques Xfrog),Nouvelle communication BIM avec une interopérabilité largement accrue.Support et import optimisés des objets 3D de grande taille.Les portes et baies vitrées s’ouvrent dorénavant en grand sur les angles des murs.Les tableaux de nomenclatures des menuiseries sont refondus et reportent un maximum d’informations.Présentation percutante des plans d’avant-projet avec un rendu graphique immédiat et personnalisable (plans avec murs pochés en un clic).Commandes d’édition pour une disposition optimale des objets (aligner/répartir facilement des objets)....
Il y a 2 ans et 272 jours

A Rotterdam, une promenade sur les toits pour découvrir la ville du futur

Une association de la ville portuaire a construit une passerelle temporaire reliant durant un mois des bâtiments du centre-ville, guidant les visiteurs au gré d'idées d'utilisations des toits dans un des pays les plus densément peuplés du monde.L'idée est de convaincre les Néerlandais que la ville a tout à y gagner à se développer "en couches".Les villes ne voient pas le potentiel de cet "espace que nous avons au-dessus de la ville et que nous n'utilisons pas", explique à l'AFP Léon van Geest, directeur de l'association "Dakendagen". Même à Rotterdam, plutôt précurseur par rapport au reste des Pays-Bas et reconnue pour son effervescence architecturale, "à peine 3% des toits plats sont utilisés", contre 1,8% dans le reste du pays, souligne-t-il.Pour encourager leur exploitation, la promenade dans les airs, qui dure une quarantaine de minutes, expose jusqu'au 24 juin éoliennes, panneaux solaires, oeuvres d'art, exemples de biotopes ou encore une cible d'atterrissage pour drones.Y est également exposée la maquette d'un projet pilote d'un "village sur le toit", attendant l'aval des autorités municipales, où pousseraient des cultures et seraient installées des tiny house, ces petites maisons nomades construites en matériaux durables."Je suis convaincu que cela deviendra une réalité", estime M. Van Geest. Car alors que la population est de plus en plus urbaine, "l'espace devient une denrée rare en ville, il va falloir exploiter les toits". "Ville verte sur la ville"Les Pays-Bas sont par ailleurs particulièrement vulnérables au changement climatique car environ un tiers du territoire se trouve au-dessous du niveau de la mer.Transformer la ville pourrait prendre des décennies, admet M. Van Geest, mais la balade donne une vue sur des initiatives réussies, mises à l'honneur lors des "Journées des toits", organisées par son association depuis six ans.Parmi celles-ci se trouve le populaire "DakAkker"(champ sur le toit, en néerlandais), un espace de 1.000 mètres carré sur le sixième étage d'un bâtiment, où poussent légumes, fruits et fleurs comestibles.Emile van Rinsum, directeur du Centre pour l'environnement de Rotterdam et l'un fondateurs de l'initiative, explique que son ONG a lancé ce projet sur le toit du bâtiment où étaient installés leurs bureaux il y près de dix ans.Son exploitation a été la première et la "plus grande ferme sur les toits" d'Europe, assure-t-il, avant d'être rattrapée par des initiatives similaires notamment à Bruxelles, Copenhague et Paris."C'est super chouette" de travailler à quelques volées d'escaliers de cet espace vert unique, calme au milieu de la ville, s'enthousiasme-t-il.Une partie de la production est livrée à des établissements de Rotterdam, et le restaurant aménagé à côté des cultures ne désemplit pas. "C'est un endroit très populaire", se réjouit-il. L'un des avantages de l'utilisation des toits est le stockage de l'eau en ville, alors que le changement climatique rend les pluies de plus en plus imprévisibles, observe-t-il.L'espace sur lequel poussent ses cultures peut stocker jusqu'à 60.000 litres d'eau, explique le Néerlandais."Il faut beaucoup plus" de ces biotopes dans les hauteurs qui permettent également de refroidir les bâtiments, martèle-t-il, pour arriver à une "sorte de ville verte sur la ville".Son organisation teste en outre depuis 2018 un "toit intelligent" pouvant stocker "encore plus d'eau" de pluie utilisée pour les cultures et dont le débit est contrôlé à l'aide de prévisions météorologiques. Un essai "réussi", déjà imité dans plusieurs villes néerlandaises.
Il y a 2 ans et 273 jours

Qualité de l'air intérieur : les industriels de la ventilation sont à Interclima 2022

Penser qualité de l’air intérieur et ventilation devient pour les professionnels de la filière un des grands sujets à mettre en œuvre, en construction neuve comme en rénovation.En adressant la question de la QAI et de la ventilation, INTERCLIMA 2022, salon historique de toute la filière du génie climatique et qui se tiendra du 3 au 6 octobre à Paris, Porte de Versailles, s’empare ainsi d’un sujet fort d’actualité et d’avenir, pour apporter aux professionnels des clefs de réponse en termes de solutions, de pratiques, de formations et d’innovations.Un espace Qualité d'air intérieurL’ensemble de la filière pourra se rencontrer et échanger dans un espace dédié, imaginé par Uniclima en partenariat avec l’Association française de la Ventilation, née en janvier 2021, autour de Forum et Atelier.Avec ses 18 adhérents dont 7 organisations professionnelles fondatrices (CAPEB, COEDIS, FEDENE, UMGCCP-FFB, UNICLIMA, SNEFCCA et SYNASAV), c’est l’ensemble de la filière professionnelle de la ventilation qui se mobilise ainsi pour la première fois sur Interclima.Le Forum QAI : dans cet espace de prises de parole, dynamique et rythmé, experts, et fabricants se succèderont toutes les 30 mn pour présenter un produit, un service, le résultat d’une étude ou une solution, avec des sujets liés à la qualité d’air intérieur ou à la ventilation. Hall 3 stand J108L’Atelier QAI : ce stand d’Uniclima, en partenariat avec l’Association Française de la Ventilation permettra de sensibiliser les différents acteurs (maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, installateurs..) à la qualité des installations de ventilation. Dans ce lieu de rencontres totalement réinventé cette année, tout professionnel s’interrogeant sur une question liée à la QAI pourra accéder à une série de « serious game » lui permettant de tester ses connaissances de façon ludique. La maquette Un air en commun, proposée par l’Agence qualité construction (AQC), sensibilisera les visiteurs à la ventilation résidentielle. Jeux et quizz pédagogiques en ligne permettront aux installateurs, maîtres d’ouvrage ou bureaux d’études, de faire le point en matière de ventilation, grâce notamment au contenu du site batiment-ventilation.fr mis en place par la DHUP avec le soutien du CEREMA et du Club de la ventilation. Hall 3 stand K108Des engagements concrets signésUn accord Green Deal entre le Plan Bâtiment Durable (PBD) et l'Association française de la ventilation sera signé sur le salon en présence de Philippe Pelletier, président du PBD. Cet accord portera les engagements concrets de l'AFV pour la ventilation et la qualité de l'air intérieur des bâtiments en rénovation. Il s'agit notamment d'accompagner la montée en compétence des acteurs de la filière, de développer la maintenance et l'entretien des équipements, de favoriser le remplacement des équipements anciens en augmentant le taux de renouvellement annuel des groupes de VMC et aussi de favoriser l'installation de systèmes de ventilation dans les bâtiments anciens non équipés. Une attention particulière sera portée aux établissements scolaires qui ont fait l'objet d'une position forte en 5 points de la part de l'AFV.Les principaux acteurs de la QAI et de la ventilation ont répondu présentsDe nombreux acteurs de la QAI et de la ventilation seront positionnés autour de l’espace Qualité d’Air Intérieur, créant ainsi une zone d’affluence sur ces sujets.Retrouvez l’ensemble des exposants Qualité de l’air intérieur ici L'innovation technologique en ventilation largement représentée sur le salonParmi les 43 participants aux Awards de l'innovation d'Interclima 2022, 5 fabricants proposent des innovations dans le domaine des systèmes de ventilation (Aldes, Groupe Atlantic, France Air, S&P France et Zehnder Group France) et 4 autres proposent des unités intérieures de pompes à chaleur air/air participant au traitement de l'air intérieur (Thermor, Toshiba, Frigicoll France et Johnson Controls Hitachi...).D'autres solutions récentes ou inédites seront également présentées sur le salon.Pour son retour à la Porte de Versailles, après trois années de silence imposé par la crise sanitaire, INTERCLIMA 2022 s’annonce comme une édition exceptionnelle pour dresser l’état des lieux des solutions, des formations et des innovations et pour se projeter avec confiance dans l’avenir de la filière.
Il y a 2 ans et 311 jours

AfterBIM#8 : Retour sur les tests menés par le groupe interopérabilité de l’association BIMers

Au programme de cet AfterBIM#8, Nicolas Valette vous propose un échange sur le géoréférencement en BIM. Il n’est pas toujours simple de géoréférencer ses objets BIM : méthodologies variées, limites de matériel. Lors de cet échange, Nicolas Valette vous présentera l’objectif et les résultats du défi qu’il a lancé sur le thème du géoréférencement avec 7 logiciels différents, dans le cadre du premier atelier du pôle interopérabilité de l’association BIMERS. Quel logiciel importe parfaitement les maquettes des autres? Lesquels sont à la peine? Rendez-vous le 29 septembre pour un retour d’expérience sur des échanges open BIM entre les principaux logiciels BIM du marché ! Inscrivez-vous par ici
Il y a 2 ans et 328 jours

Vienne : Réhabilitation ambitieuse menée par Spie Batignolles Grand Ouest

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Spie Batignolles Grand Ouest opère une rénovation ambitieuse mêlant performance et économie circulaire. [©Spie Batignolles] Spie Batignolles Grand Ouest est en charge de la réhabilitation de la résidence Schuman, à Poitiers. Le chantier constitue la première transformation avant une requalification globale du quartier des Couronneries. Et ce, pour créer un nouvel ensemble plus durable, attractif en faveur de la mixité. L’immeuble Schuman en R+4 dispose d’une architecture typique des années 1970. Il est doté de 85 appartements, et 40 bureaux et locaux commerciaux. La réhabilitation permettra de totaliser 97 appartements et 21 locaux commerciaux (au rez-de-chaussée). Le chantier vise une performance BBC Rénovation. L’économie circulaire est un marqueur fort sur ce programme. Ainsi, les équipes Spie Batignolles ont proposé la récupération de différents éléments durant les phases de démolition des cages d’escalier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine A l’image de granulats récupérés, envoyés en carrière pour être concassés et réinjectés dans la formulation de nouveaux bétons. Près de 34 t de matériaux ont été identifiées pour être réemployées dans le cadre de cette rénovation. D’autres innovations ont été choisies par l’entreprise de BTP. A l’image du lean pour optimiser le planning de ce chantier. Ou encore la maquette BIM. Enfin, pour la création d’ancrage en béton pour supporter les charges de la charpente, Spie Batignolles a opté pour l’impression 3D. Les 160 coffrages en béton seront imprimés depuis le parc matériel de Spie Batignolles, à Ollainville (91) où le groupe possède sa propre tête d’impression. La livraison du chantier est prévue à la fin mai 2023. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 331 jours

Configurateur Plancher dalle, un logiciel développé par RECTOR pour accompagner les architectes

Pour anticiper la transformation des bâtiments dès leur conception et réduire leur impact environnemental, RECTOR lançait, en 2020, Caméléo®, une structure révolutionnaire de plancher dalle préfabriquée en béton sans mur porteur, intégrant tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Cette nouvelle approche impactant la manière de construire, RECTOR crée, aujourd’hui, le configurateur Plancher dalle pour accompagner les architectes dans le pré-dimensionnement de leurs projets. Caméléo®, un système constructif révolutionnaire Le système Caméléo® de Rector est une structure en béton sur-mesure et préfabriquée en usine pour s’affranchir des murs porteurs et intégrer tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Il a été développé pour concevoir des bâtiments pérennes, pensés structurellement pour être évolutifs. Avec Caméléo®, RECTOR exploite les performances mécaniques du béton armé pour alléger la structure au maximum et contribuer ainsi à la sobriété environnementale du bâtiment. Configurateur Plancher dalle, un outil pour accompagner le changement des méthodes, des pratiques et des modes constructifs Utilisé par le Bureau d’Etudes de Rector, le nouveau configurateur a été développé pour accompagner les architectes dans la création et le pré-dimensionnement de leur projet en y intégrant une structure Caméléo®. Chaque projet étant unique, il permet d’indiquer des informations techniques (type de béton et éléments d’armature mis en œuvre), et de valider la structure globale du bâtiment. En s’appuyant sur le BIM, Rector livre ainsi à l’architecte une maquette IFC 3D vérifiée en terme de structure, des notes de calcul, un quantitatif et une évaluation du poids carbone de son projet ainsi que le volume béton nécessaire à son ouvrage. Toutes ces informations pourront être intégrées dans sa maquette générale. Avec le nouveau configurateur Plancher dalle qui simplifie les méthodes de calcul, le Bureau d’Etudes Rector répond rapidement et avec précision aux sollicitations des architectes. http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 333 jours

Micro maquettes et méga cabanes au Donjon de Vez

En Espagne, pour aménager les intérieurs d'un ancien hôpital devenu équipement municipal, les architectes déploient une enveloppe en multi-plis et contreplaqué. L'ouvrage est percé d'oculus pour diffuser la lumière naturelle. L'ancien hôpital Sancti Spiritus de Baiona (Espagne) accueille désormais les archives […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 338 jours

Métarchitecture… l’avenir architectural serait-il virtuel ?

Depuis une dizaine d’années, les agences d’architecture commencent à se familiariser avec la maquette virtuelle et le BIM. Mais voici qu’arrive maintenant le métaverse… La tentation de l’architecture virtuelle peut-elle permettre de retrouver un espace de liberté créative ? Qu’est-ce que le métaverse ?* Il nous est présenté comme l’aboutissement ultime d’Internet, le développement d’un univers […] L’article Métarchitecture… l’avenir architectural serait-il virtuel ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Spie Batignolles intervient dans la rénovation énergétique d'un gymnase universitaire à Poitiers (86)

Ce projet soutenu par l'Etat dans le cadre du plan France Relance, d'un montant de 1.880.000 euros, a pour première ambition d'améliorer nettement la performance énergétique du bâtiment, avec comme objectif une réduction de la consommation d'énergie primaire de 60%, et d'énergie finale de 64% — au-delà donc des objectifs nationaux.Les solutions proposées par le groupement vont permettre de maintenir le gymnase en service durant les travaux et d'offrir à terme aux utilisateurs et à l'exploitant un équipement confortable, aux frais d'exploitation réduits.Les travaux réalisés sur l'enveloppe du bâtiment sont également l'occasion de donner une toute nouvelle image à cette salle multisports située en bordure du campus Est de Poitiers, et sa valorisation bénéficiera à l'image du quartier et de l'Université au sens large.L'achèvement de l'opération est programmé pour le mois de septembre 2022.Une démarche globale de durabilitéL'Université de Poitiers vise la réalisation d'un « éco-campus », et cela passe cette année entre autre par la rénovation de l'un des éléments phares de son équipement sportif. Elle a opté pour l'expertise et la proximité de l'équipe constituée autour de Spie batignolles grand-ouest qui comprend le cabinet Créature Architectes, le bureau d'études Climat Conseil et la société d'ingénierie 3Ia.Le projet a été pensé dans une logique de durabilité, avec l'usage de matériaux biosourcés ou issus du réemploi et obtenus en filière courte, ainsi qu'une contribution à l'insertion professionnelle au travers du tutorat.Les travaux se caractérisent aussi par l'utilisation de technologies numériques avec la création d'une maquette BIM, l'emploi du programme de planification Teamoty, ou encore la réalisation d'un Plan d'Installation de Chantier digital et dynamique permettant de communiquer en temps réel avec les utilisateurs sur l'avancement des travaux.L'équipe débutera la réhabilitation par l'isolation des façades de l'édifice en béton érigé dans les années 1970. Elles recevront ainsi une isolation thermique par l'extérieur en laine de bois, réalisée à partir de matériaux biosourcés, un enduit décoratif, un bardage en matériaux composite ou une maille métallique anti graffiti selon la localisation. Les menuiseries actuelles en simple vitrage seront remplacées par des ensembles en aluminium double vitrage.La couverture qui a bénéficié de travaux d'entretien récents et dispose déjà d'un bon niveau de performance, sera conservée en l'état, dans le cadre d'une démarche qui vise à optimiser le ratio coût, performance.Du côté de l'équipement de ventilation, le complexe sera équipé d'une nouvelle VMC double flux afin de fournir un chauffage et une ventilation plus homogènes à l'intérieur des zones de sport (dojo et grand gymnase).Des travaux de rénovation de la chaufferie prévoient la dépose des chaudières gaz existantes, la pose d'un nouveau ballon d'eau chaude sanitaire électrique, le changement de l'armoire électrique et l'installation de centrales de traitement d'air double flux.Des robinets thermostatiques seront placés sur chaque émetteur intérieur pour une utilisation plus raisonnée et la mise en place d'une GTC permettra le pilotage et le contrôle en temps réel des différentes consommations énergétiques. Les éclairages existants seront remplacés par des luminaires LED au rendement énergétique supérieur.Sur les toitures des bureaux seront installés environ 100 m² de panneaux photovoltaïques venant se rajouter aux travaux déjà prévus dans le marché initial.Les opérations de maintenance se retrouveront facilitées par la création d'un local technique au rez-de-chaussée qui regroupera l'ensemble des installations.
Il y a 2 ans et 340 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 2 ans et 344 jours

Comment mieux collaborer dans ses projets BIM?

Une bonne collaboration entre tous les acteurs d’un projet BIM commun est l’une des clés de réussite de celui-ci. Sans cela, les concepteurs peuvent se retrouver avec différentes maquettes, non mises à jour entre elles, et sans connaître les évolutions importantes des modèles BIM.  A l’aide d’un CMS BIM, ou Système de Gestion de Contenu BIM, cette collaboration devient tout de suite plus simple pour tous les intervenants dans un même projet BIM.  Découvrez dans cet article comment mieux collaborer dans vos projets, à l’aide d’un CMS BIM ! Simplifier la collaboration entre tous Un Système de Gestion de Contenu BIM permet de faciliter la collaboration entre tous, de plusieurs manières. La définition des rôles par un ou plusieurs administrateurs de la plateforme en fait partie, permettant une meilleure organisation de chacun dans ses projets BIM. Que vous soyez Administrateur, Créateur d’objets, Valideur, Membre, ou encore Partenaire, vos rôles sont clairs et vous savez qui doit réaliser quelle tâche. Les interfaces sont également personnalisées dans un CMS BIM, selon si vous êtes un administrateur, ou un utilisateur qui a accès à la gestion des objets, aux nombreux filtres, tags, et classifications, etc. À l’aide d’un CMS (Content Management System) BIM, il devient d’autre part beaucoup plus simple de communiquer entre participants d’un projet, de se partager des données et documents clés. Dans le cas des entreprises ou équipes internationales, la compréhension de ces informations est une nécessité. Découvrez la suite dans notre article de blog ! 
Il y a 2 ans et 352 jours

Open BIM Schöck : mieux appréhender les rupteurs de ponts thermiques en amont des projets

Développé en partenariat avec l’éditeur et distributeur CYPE, Open BIM Schöck permet aux bureaux d’études, structure et thermique, de dimensionner, implanter et optimiser le traitement de ponts thermiques avec les rupteurs de plancher de la gamme Rutherma© dès la phase de conception des projets (non plus au moment de leur exécution). A la clé pour les maîtres d’ouvrages : une réponse fiable aux exigences de la RE2020 et une parfaite maîtrise de l’enveloppe budgétaire en amont des réalisations puisque l’on détermine d’emblée le linéaire de rupteurs à mettre en oeuvre en fonction des performances recherchées.Disponible gratuitement en téléchargement sur la plateforme BIMserver.center Faciliter l'optimisation technique et économique des projets de construction "Il s'avère nécessaire de construire avec toujours plus d'efficacité, d'acquérir de nouveaux réflexes de travail" postule Rémi Wirth, Chef de produits Schöck France. Dans ce sens, Open BIM Schöck permet le dimensionnement, l’implantation et l’optimisation du traitement des ponts thermiques en amont de tout projet requérant l’intégration de rupteurs de plancher Rutherma©. La saisie se fait très simplement, à partir de fonds de plans 2D ou de la maquette numérique du projet au format IFC, en implantant, sur chaque niveau, les rupteurs thermiques aux appuis de plancher ou balcon à traiter. Le logiciel réalise ensuite la sélection structurelle de la référence idéale de rupteurs avec la performance thermique associée, pour ainsi optimiser le linéaire de rupteurs thermiques en fonction des objectifs fixés par l’utilisateur (RT2012, RE2020, ou supérieurs). A l’issue de l’étude, le logiciel produit une note de calcul, des plans et offre la possibilité d'intégrer les rupteurs retenus dans la maquette numérique 3D du projet. Grâce à cette modélisation affinée obtenue par les bureaux d'études structure et thermique, le maître d'ouvrage dispose de toutes les cartes dès l'origine du projet, en conjuguant objectifs fixés en termes de sobriété énergétique et maîtrise de l'enveloppe budgétaire du traitement des ponts thermiques. Précisons qu'Open BIM Schöck intègre notamment le dernier né des rupteurs Schöck en ITI, Rutherma© type DFi, revendiquant plus de 10 fois moins de kg de CO2/Ml que la valeur indiquée sur la base INIES pour un pont thermique non traité. Avec en points d'orgue : des efforts tranchants augmentés de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 % et une performance thermique encore accrue (grâce à la réduction du nombre d’aciers inox sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique et un prix de rupteur plus compétitif). Soulignons aussi l'interopérabilité possible entre Open BIM Schöck et les logiciels d'études réglementaires RE2020 (dont CYPERTHERM RE2020) ou autres logiciels CAO/BIM.
Il y a 2 ans et 352 jours

Iwona Buczkowska, architecte de l’oblique

Iwona Buczkowska est arrivée en France en 1973, et n’est jamais repartie en Pologne. Son atelier à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) est logé au rez-de-chaussée et au coin des rues qui accueille un ensemble de logements sociaux qu’elle a construit entre les années 80-86. La vitrine permet de voir les maquettes de son travail marquées par la […] L’article Iwona Buczkowska, architecte de l’oblique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

Webinar – Du PIM au BIM : Comment ArcelorMittal Construction gère et crée des objets BIM depuis son PIM ?

ArcelorMittal Construction fournit et met à disposition ses produits au format BIM et les données techniques qui les composent, pour que les architectes et bureaux d’études les incluent dans une maquette numérique. Lors de ce webinar, venez découvrir comment ArcelorMittal Construction enrichit les informations produits, et publie ces informations dans ses objets BIM. Les objets BIM sont configurables et disponibles dans différents niveaux de détails (LOD) pour s’adapter à chaque besoin et chaque phase d’un projet. Découvrez les avantages du PIM dans la création et la gestion des objets BIM avec les produits d’ArcelorMittal Construction. Rendez-vous le 14 juin 2022 à 11h ! Inscrivez-vous sous ce lien.
Il y a 3 ans et 2 jours

Vente aux enchères pour accueillir les étudiants et chercheurs touchés par la guerre en Ukraine

Une vente aux enchères pour l’avenir de la jeunesse ukrainienneSolidaire du peuple ukrainien, la Cité internationale universitaire de Paris souhaite accueillir et accompagner, dès la rentrée 2022, jusqu’à 500 étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre en Ukraine. La Cité internationale ne dispose pas d’une Maison de l’Ukraine mais, pour offrir à ces personnes les meilleures conditions d’accueil, elle a demandé à l’architecte Jean-Michel Wilmotte d’imaginer une Maison virtuelle de l’Ukraine. Ce projet, hautement symbolique mais ancré dans la réalité, vise trois objectifs : offrir aux étudiants, chercheurs et universitaires un logement au sein des 43 maisons que compte le campus, les accompagner tout au long de leur séjour et préparer l’avenir de la jeunesse et de la communauté universitaire ukrainienne.Pour concrétiser son projet, la Cité internationale met en vente aux enchères chez Sotheby’s deux lots : 3 tirages signés des dessins de Jean-Michel Wilmotte et une maquette conçue par l’architecte.Les fonds recueillis permettront d’héberger des étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre en Ukraine dans les 43 maisons du campus, de les accompagner tout au long de leur séjour (aides administratives, suivi médical et psychologique, apprentissage du français, offre culturelle…) et de constituer un fonds d’aide d’urgence. Ce dispositif s’adresse également aux résidents ukrainiens présents sur le campus au moment du déclenchement de la guerre et à leurs familles proches qui les auront rejoints.Une campagne d’appel aux dons et une vente en NFT des 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte sont déjà en cours depuis le 19 avril 2022 : maisondelukraine.fr.Le talent de Jean-Michel Wilmotte au service d’une œuvre collectiveL’architecte Jean-Michel Wilmotte a accepté de participer à ce projet innovant et d’accompagner la Cité internationale, haut lieu architectural chargé d’histoire, dont il partage l’ambition d’accompagner et de préparer l’avenir de la communauté universitaire et académique ukrainienne en pariant sur la jeunesse, le savoir et la raison.L’agence Wilmotte & Associés a imaginé un pavillon, réminiscence de l’architecture constructiviste, dont les volumes et l’utilisation des matériaux rappellent le drapeau ukrainien. Cette œuvre numérique est aussi une façon de mettre en avant l’art et la culture comme réponse au fracas et aux destructions de la guerre. Trois œuvres ont été dessinées : la façade de la maison, une chambre et un espace collectif avec un piano.« Fidèle à ses valeurs fondatrices, la Cité internationale universitaire de Paris s’est toujours engagée en faveur de la paix aux côtés de la jeunesse, des étudiants et des chercheurs du monde. Elle a une longue tradition d’accueil des étudiants réfugiés. Aujourd’hui, nous nous nous mobilisons pour construire la Maison virtuelle de l’Ukraine et accueillir jusqu’à 500 étudiants, chercheurs et universitaires dont la guerre compromet gravement l’avenir. »Jean-Marc Sauvé, président de la fondation nationale Cité internationale universitaire de Paris« Je ne pouvais qu’accepter ce projet qui m’est apparu comme une évidence. La Maison de l’Ukraine est un projet virtuel, hautement symbolique, qui évoque le drame d’un pays que j’affectionne tout particulièrement. J’ai souhaité suggérer un lieu où les étudiants pourraient habiter, vivre et travailler. La Maison de l’Ukraine est une perspective positive de l’avenir. » Jean-Michel Wilmotte, architecte, président de Wilmotte & AssociésUne Maison virtuelle de l’Ukraine pour accueillir les talents de demain, accompagner leur réussite et préparer leur avenirAccueillir les talents de demainPremier site d’accueil des étudiants et chercheurs internationaux à Paris depuis bientôt 100 ans, la Cité internationale universitaire de Paris est solidaire du peuple ukrainien. Il n’existe pas de Maison de l’Ukraine sur le campus, mais le projet de Maison virtuelle de l’Ukraine permet de pallier de façon très concrète cette absence. Grâce à ce projet, depuis le début de la guerre, des étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre sont accueillis au fil de l’eau dans les chambres qui se libèrent sur le campus puis, à compter de la rentrée 2022, ils le seront dans des hébergements réservés au sein des 43 maisons du campus.Accompagner leur réussiteLes étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accompagnés dans leurs démarches. Ils pourront bénéficier gratuitement de toute notre offre d’accompagnement : soutien financier, social, psychologique, médical et linguistique. Ils pourront également trouver un appui dans l’offre culturelle et artistique proposée sur le campus. Ils partageront la vie quotidienne de près de 7 000 résidents de 150 nationalités. En lien avec les universités et les grandes écoles franciliennes, nous accompagnerons également les étudiants ukrainiens logés dans d’autres résidences en Île-de-France pour constituer une communauté ukrainienne bien réelle mais symboliquement réunie sous cette bannière de la maison de l’Ukraine. La Cité internationale se place ainsi en pivot de l’accueil en lien avec l’opérateur Campus France, les Crous et les établissements d’enseignement supérieurs franciliens.Protéger et préparer leur avenirLa Maison virtuelle de l’Ukraine symbolise l’espoir d’un renouveau fondé sur la connaissance et les valeurs de tolérance. Elle permettra de préserver l’avenir des étudiants, chercheurs et universitaires en exil dans une perspective de moyen terme : préserver la jeunesse et la communauté universitaire et académique ukrainienne. L’université ukrainienne ne doit pas être sacrifiée et toute une génération d’étudiants venant de ce pays meurtri doit retrouver sa place au milieu de la jeunesse du monde et de ce campus international unique chargé d’histoire qu’est la Cité internationale universitaire de Paris.Informations pratiquesVente aux enchères du 1er au 10 juin 2022 : à cette adresseExposition du 31 mai au 7 juin76, rue du Faubourg Saint Honoré CS 10010 75384 Paris CEDEX 08
Il y a 3 ans et 3 jours

La maquette de la terre est ‘Elément Terre’

L’Institut Paris Région invite la matière terre à la Bap! de Versailles (Yvelines) jusqu’au 13 juillet 2022. Pour comprendre comment est constitué le socle naturel de la région, Cécile Diguet, commissaire d’exposition a choisi un support exceptionnel : une généreuse maquette vivante en terre à l’échelle 1/50 000e. Découverte en vidéo. Une maquette XXL en […] L’article La maquette de la terre est ‘Elément Terre’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 7 jours

Comment réussir ses projets BIM, à l’aide d’espaces de gestion de contenu dédiés?

Il arrive encore souvent que les projeteurs BIM réalisent leurs maquettes et gèrent leurs contenus de leur côté, sans échanger avec les autres intervenants dans un même projet. On constate alors un réel problème de diffusion des bonnes pratiques dans les projets BIM de l’entreprise. Chaque projet est également unique dans le monde du bâtiment, ce qui complique alors la capitalisation d’un projet à un autre, et engendre de la même manière une baisse de productivité des équipes. Et si les chargés de projets BIM avaient accès à un espace par projet dans leurs bibliothèques d’objets, pour répondre à ces enjeux ? Retrouvez Rémy Maurcot le jeudi 21 juin à 11h, pour tout savoir sur les espaces projets ! Inscrivez-vous sous ce lien.
Il y a 3 ans et 14 jours

Les métiers du bâtiment en Ile-de-France en pleine évolution

Le bâtiment est un secteur majeur pour la formation et l’emploi en Ile-de-France. [©FFB] Le secteur du bâtiment est le premier employeur de France. D’après une étude de la Cellule économique régionale de la construction Ile-de-France et de l’Observatoire des métiers du BTP, il compte, 137 772 salariés dans la région IDF en 2020. Parmi eux, 65,4 % ont un statut d’ouvrier, 12,4 % sont cadres. Tandis que 22,3 % sont employés, techniciens et agents de maîtrise (Etam). En parallèle, le bâtiment est en constante évolution. Il propose des métiers ouverts à tous les profils et accessibles à tous les niveaux d’études. La filière propose aussi, en majeure partie, des emplois stables. En effet, 84 % des salariés sont en CDI. L’importance de la formation Par ailleurs, pour faire face aux enjeux et aux évolutions du bâtiment, de nouvelles compétences sont recherchées par les entreprises du secteur. Ces dernières investissent dans la formation, notamment sur les thèmes de l’environnement (rénovation énergétique, recyclage des déchets…) et du numérique (BIM, intelligence artificielle, maquettes 3D…). En 2020, quelque 28 850 salariés des entreprises de la région francilienne ont suivi des formations continues. Du côté des plus jeunes, le secteur a formé 15 Lire aussi : La FNTP et le CCCA-BTP unis pour la formation 822 Franciliens, dont 41 % en apprentissage. L’alternance est plébiscitée par les chefs d’entreprise pour assurer la transmission du savoir-faire de leur métier. C’est pourquoi la FFB Grand Paris Ile-de-France, Ile-de-France Est et Région IDF travaillent en partenariat avec les centres de formation d’apprentis. Pour la période 2020-2026, le besoin annuel de nouveaux collaborateurs pour le secteur du bâtiment francilien s’élève à 10 750 équivalents temps plein. Et pourtant, 51,9 % des recrutements sur tous les métiers sont jugés difficiles par les entrepreneurs.
Il y a 3 ans et 15 jours

L’emploi et la formation en pleine évolution dans le Bâtiment en Ile-de-France

D’après une étude de la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et de l’Observatoire des Métiers du BTP, le secteur compte, en 2020, 137 772 salariés dans les métiers de production du Bâtiment en Ile-de-France. 65,4% ont un statut ouvrier, dont la moitié sont qualifiés ou très qualifiés. 12,4% ont un statut cadre et 22,3% sont ETAM. Les entreprises recherchent avant tout des personnes motivées et passionnées. Le Bâtiment est ouvert à tous les profils, avec des métiers accessibles à tous les niveaux de formation. 84% des salariés sont en Contrat à Durée Indéterminée. Le Bâtiment est ainsi un secteur créateur d’emplois stables et garant de la cohésion sociale, où l’on peut gravir rapidement les échelons et devenir chef d’entreprise. C’est une réelle opportunité pour toutes et tous, qui offre de formidables perspectives de carrière, car ce secteur a de l’avenir.Pour faire face aux différents enjeux et évolutions, de nouvelles compétences sont recherchées par les entreprises du Bâtiment, notamment en matière environnementale (rénovation énergétique, recyclage des déchets, isolation thermique…), et dans le domaine du numérique (BIM, Intelligence Artificielle, maquettes 3D, domotique...). C’est pour cela que les entreprises investissent dans la formation de leurs collaborateurs. En effet, 28 850 salariés des entreprises de Bâtiment de la région ont suivi des formations continues au cours de leur parcours professionnel en 2020.Du côté des plus jeunes, 15 822 franciliens sont en formation initiale dans les métiers du Bâtiment sur l’année 2020-2021, dont 41% en apprentissage. Le recours à l’alternance est fortement plébiscité par les chefs d’entreprise du Bâtiment, qui s’engagent pour la continuité du savoir-faire de leur métier, et par les apprentis, pour qui cette voie représente une vraie passerelle vers l’emploi. C’est pourquoi la FFB Grand Paris Ile-de-France, la FFB Ile-de-France Est et la FFB Région IDF (78-91-95) travaillent en étroit partenariat avec les Centres de Formations d’Apprentis.Le besoin annuel de nouveaux collaborateurs dans le secteur du Bâtiment en Ile-de-France s’élève à 10 750 équivalents temps plein pour les métiers de production sur la période 2020-2026. Pourtant, 51,9% des recrutements sont jugés difficiles par les entrepreneurs sur tous les métiers du Bâtiment. Nos fédérations oeuvrent donc quotidiennement pour faire connaître et valoriser les métiers du secteur.Ces chiffres sont issus du Tableau de Bord Emploi-Formation réalisé par la Cellule Economique Régionale de la Construction Ile-de-France et l’Observatoire des Métiers du BTP.
Il y a 3 ans et 16 jours

L'Ile-de-France lance sa biennale d'architecture avec la terre en vedette

Du 14 mai au 13 juillet, en plusieurs lieux de l'ancienne capitale royale, neuf expositions - gratuites - veulent sensibiliser le public à l'impact environnemental de l'activité humaine, et présenter des pistes de solutions architecturales."C'est une biennale de l'urgence climatique, c'est une biennale +il n'y a pas de planète B+", a déclaré jeudi lors d'une visite la présidente (LR) de la région, Valérie Pécresse."L'enjeu de cette biennale, ça va aussi être d'attirer tous les visiteurs, français, franciliens, mais aussi internationaux", a souhaité l'élue. La première édition, en 2019, avait attiré 200.000 personnes.A la Petite Écurie de Versailles, d'impressionnantes expérimentations sont exposées, comme une œuvre de l'architecte thaïlandais Boonserm Premthada, construite en briques elles-mêmes assemblées avec des... déjections d'éléphant.Les visiteurs peuvent également entrer dans un filet suspendu, conçu par la Mexicaine Rozana Montiel pour dénoncer la pollution plastique des océans, notamment par les résidus de filets de pêche. Le sol au-dessous du filet est lui fait de déchets océaniques récupérés sur les plages et recyclés."C'est transformer l'élément en une nouvelle ressource, lui redonner vie. Si, au lieu de laisser les filets où ils sont et coincer les poissons, on les transforme en un matériel utile pour la construction pour faire un parterre, on fait de l'économie circulaire", a expliqué l'architecte à l'AFP.Tout près, différents déchets bien intacts sont exposés: bouteilles en plastique, filets de pêche, tongs usagées...Sur l'une des artères menant au château de Versailles a été installée une construction "biodiversitaire", où des interstices au milieu des murs sont remplis de terre et colonisés par des plantes.Dans un autre pavillon, aménagé dans une ancienne Poste, trône une grande maquette des sols de la région francilienne, réalisée à partir de matériaux naturels."On aimerait d'abord transmettre l'idée que l'Ile-de-France a un socle géographique et paysager plus fort qu'on ne pourrait le croire, c'est-à-dire ses vallées, les plateaux, les buttes...", commente Cécile Diguet, directrice Urbanisme à l'Institut Paris Région et commissaire de cette exposition.Des ateliers, plutôt destinés aux jeunes architectes et étudiants en architecture et consacrés aux matériaux écologiques, seront également organisés au cours des deux mois.L'événement a coûté 2,5 millions d'euros à la région.
Il y a 3 ans et 20 jours

KS groupe annonce la création d'un nouvel espace multiactivités à Goxwiller (67) - Le César

Bâti sur un terrain vague, le César (qui doit son nom à sa situation géographique sur l’ancienne voie romaine du Piémont…ainsi que la route des vins d’Alsace !) devrait accueillir d’ici 2023 des activités d’artisanat et de services.Avec une emprise au sol de 2.540 m2 , ce bâtiment offrira 12 lots allant de 120 à 300 m2. Idéalement situé en bordure d’autoroute, à 5 min d’Obernai et 25 min de Strasbourg, il offre une localisation stratégique dans un parc d’activité déjà existant et en plein développement.Sa hauteur utile de 6,20m, permettra diverses activités (hall de stockage, bureaux, showroom, commerces…) ; Chaque lot bénéficie d’une mezzanine, d’espace bureaux, d’un point d’eau, d’une porte sectionnelle et d’une entrée classique ainsi que de 2 à 6 places de stationnement. Bordé par de la végétation, Le César bénéficie en outre d’une toiture 100% photovoltaïque.Indépendants, les 12 lots du bâtiment bénéficieront d’un espace de convivialité sur le terrain et entouré de verdure. En effet KS groupe a fait appel à M KUBE, un acteur local engagé et aux valeurs similaires à celles du constructeur pour l’installation de cet espace original tout en bois.En bref :8.700 m2 au total2.540 m2 d’emprise au sol (bureaux, showroom, hall de stockage et commerces/services)Des espaces verts paysagés et de voiries12 lots disponibles : de 120 à 300m2Investissement total : 3 millions d’€Commercialisation des lots : en coursDémarrage des travaux : septembre 2022Livraison des lots : septembre 2023
Il y a 3 ans et 22 jours

Une exposition fait le lien entre architecture et paysage

CULTURE. L'architecte paysagiste Daniel Jauslin interroge les liens existants entre l'architecture et le paysage, dans une exposition qui se tient jusqu'au 22 mai, à Paris. Films, photographies, 3D, maquettes... les mediums s'entremêlent pour donner une vision transversale de ce deux domaines.
Il y a 3 ans et 48 jours

Le numéro d'avril d'AMC est paru

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°304-avril 2022) et disponible en format numérique: un événement sur le langage de l'architecture environnementale, un dossier sur le calcul du bilan carbone d'un bâtiment, des détails "pilotis" et une matériauthèque consacrée à la maquette […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 50 jours

L’AfterBIM#5 : Bonnes pratiques en modélisations d’après nuages de points

Au programme de ce cinquième AfterBIM, Julien Beaupré et Rémy Maurcot vous proposent un échange sur les bonnes pratiques en modélisations d’après nuages de points. Au programme de cet AfterBIM, vous découvrirez une présentation des différents types de modélisations d’après nuages de points, les bonnes pratiques de Julien et Rémy, les étapes pour réaliser une maquette, et surtout des trucs et astuces rien que pour vous ! On vous attend nombreuses et nombreux
Il y a 3 ans et 51 jours

Equans France innove avec le théâtre Mogador pour le confort thermique des spectateurs

En charge de l’exploitation et de la maintenance de cette salle inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1990, les équipes de EQUANS France ont associé pour la première fois un scan 3D des lieux avec les données de confort thermique mesurées sur site. Résultat : il est désormais possible de géolocaliser, au siège près, les zones d’inconfort ou de surconsommation énergétique et d’y remédier.BIM et scan 3D : un mariage inédit et prometteurL’alliance innovante du BIM (Building Information Modeling) et du scan 3D présente deux bénéfices majeurs. Elle permet d’identifier de manière extrêmement précise les zones de désagrément thermique dans un environnement complexe - avec une superficie importante et sur plusieurs niveaux - et d’intervenir rapidement pour les traiter. L’analyse permet d’identifier des pistes d’économies d’énergies concrètes pour optimiser le fonctionnement des installations techniques de la salle tout en garantissant le confort de chaque spectateur.Concrètement, un scanner dynamique est d’abord utilisé par les experts d’ENGIE Lab pour fournir une maquette 3D de la salle de spectacle en temps réel. En parallèle, 700 points de mesures sont réalisés au niveau des bouches de ventilation, en vue de consolider des indicateurs de confort thermique, établis selon la norme ISO 7730. Ces informations sont ensuite projetées dans une cartographie 2D, construite à partir du scan 3D des lieux, et permettent l’identification claire et délimitée des zones d’inconfort thermique ou de surconsommation énergétique.La performance énergétique au service de ceux qui font vivre les artistesDepuis sa reprise par Stage Entertainment en 2005, le théâtre Mogador, inauguré en 1919, a toujours mis l’expérience client au coeur de son identité et de sa mission, s’attachant à considérer chaque spectateur comme un “convive d’exception”. Cette ambition exigeante, à l’origine de la rénovation du théâtre en 2006, doit être conciliée avec un autre défi plus moderne, accélérer la transition énergétique des bâtiments.Testée pour la première fois en conditions réelles sur proposition d’EQUANS France, la technologie développée par ENGIE Lab CRIGEN a permis d’identifier deux zones d’inconfort thermique et d’y remédier grâce à l’intervention des équipes dédiées au contrat de maintenance en cours avec le théâtre.En parallèle, et afin d’anticiper les objectifs fixés par le décret éco-énergie tertiaire (DEET), les équipes du théâtre Mogador ont souhaité renforcer leur démarche de responsabilité environnementale. Grâce à l’audit énergétique proposé et réalisé par les équipes ingénierie d’Axima, de nombreuses actions d’amélioration de performance ont déjà été et continueront d’être mises en œuvre dans les prochains mois. La mise en place de variation de vitesse sur les systèmes de ventilation, en déploiement, permettra d’adapter et donc de limiter la consommation électrique. A terme, une application informatique récupérera les données de consommation du nouveau système et permettra au personnel du théâtre de piloter plus finement la consommation énergétique au quotidien.En effet, dans le courant de l’année 2022 et 2023, les équipes d’EQUANS France souhaitent faire du théâtre Mogador la figure de proue du bâtiment culturel intelligent. Ainsi, grâce à l’intelligence artificielle, les installations techniques du bâtiment en chaud, froid, ventilation recevront en temps réel les instructions de fonctionnement idéales pour concilier confort des spectateurs et économies d’énergie. La mise en route et l’arrêt des installations, ainsi que leur niveau de fonctionnement, pourront être anticipés et modulés en fonction des données météorologiques, du nombre de spectateurs attendu ou encore de l’heure d’ouverture du théâtre.Précurseur de l’usage de cette offre innovante, le théâtre Mogador réaffirme ainsi sa double volonté d’exemplarité environnementale et d’expérience client et, reprenant les mots de Barbara, artiste inconditionnelle du lieu à l’origine de son classement au patrimoine des monuments historiques, redit à son public qu’il est et demeurera toujours “sa plus belle histoire d’amour.”Pour Laurent Bentata, Directeur Général de Stage Entertainment France : « Etre centenaire ne nous condamne pas à être vétuste, c’est même tout le contraire ! Offenbach, Mistinguette, Aznavour, Barbara, Starmania, et en ce moment même l’iconique comédie musicale du Roi Lion nous venant tout droit de Broadway : cela fait plus de 100 ans que Mogador est le théâtre de mises en scène sublimes, et l’écrin d’artistes renommés pour le plus grand bonheur de son public. Notre volonté de nous réinventer, d’innover sans cesse et même d’être pionnier pour le confort de nos spectateurs, c’est dans cette histoire dont nous sommes si fiers que nous la puisons. » Pour Bruno Gobe, Directeur du Développement Opérationnel au sein de Axima Maintenance Technique, entité de EQUANS France : « Les équipes d’Axima Maintenance sont fières d’accompagner le théâtre Mogador en appuyant leur savoir-faire sur des innovations technologiques au service de l’expérience client et de la transition énergétique et digitale. Fort de ces résultats, nous espérons pouvoir déployer très prochainement cette solution dans d’autres bâtiments culturels. »Pour Damien Carval, Directeur-adjoint ENGIE Lab CRIGEN : « Le diagnostic pour un meilleur confort thermique des spectateurs est rendu possible par les solutions novatrices développées par l’équipe Drones & Robots d’ENGIE Lab CRIGEN. Ces solutions nouvelles permettent d’obtenir des cartographies précises des températures à l’intérieur de la salle de spectacle et d’identifier les zones d’amélioration du confort. »
Il y a 3 ans et 63 jours

BIM : création du Dictionnaire de données de l’Industrie du Béton

Une dynamique sectorielle en faveur de la transition numérique portée par la FIB et le CERIB Dans ce cadre, l’Industrie du Béton s’est lancée dès 2015 dans un travail pionnier d’exploration du BIM pour inscrire la numérisation dans la construction et créer une dynamique sectorielle en faveur de la transition numérique. Cet engagement a été porté par la FIB (Fédération de l’Industrie du Béton) et le CERIB (Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton). Ces travaux aboutissent aujourd’hui à la constitution d’un premier dictionnaire de données portant sur la description des systèmes constructifs proposés par les industriels des produits préfabriqués en béton. Le rapport « Retour d’expérience autour de la création d’un dictionnaire de données pour l’Industrie du Béton », qui vient d’être publié, rend compte des travaux effectués par le CERIB, avec le soutien de la FIB et le concours de nombreux industriels du béton. Il constitue avant tout un état de compréhension de l’impact du numérique et du BIM sur une filière industrielle de la construction et la manière dont celle-ci s’est emparée du sujet pour en faire un projet collectif de développement et d’innovation. Il souligne que l’intégration du BIM, parfaitement adapté aux systèmes préfabriqués en béton, permettra à tous les acteurs d’être plus efficaces et de mieux échanger pour rationnaliser toutes les étapes de la construction. Ce document a pour objectif d’exposer la compréhension du « BIM sémantique » par l’Industrie du Béton, qui s’attache avant tout à la qualification des objets en vue d’être utilisés dans des maquettes numériques. Il est illustré par les retours d’expériences des travaux menés, propres au développement de l’Industrie du Béton, mais aussi capables d’être transposés vers d’autres filières industrielles. Il témoigne de la volonté de l’Industrie du Béton d’encourager la dynamique numérique, en intégrant intelligemment toutes les dimensions du BIM, à travers la maquette numérique et les données utiles et structurées qu’elle embarque. Le rapport d’une trentaine de pages décrit les principes de base d’un dictionnaire de données, clarifie les notions de modèle et objet dans un processus BIM, explicite le processus de création de modèles d’objets BIM dans un dictionnaire de données. Il présente le catalogue d’objets BIM de l’Industrie du Béton et la classification actuelle des produits en béton préfabriqués, tels que disponibles dans la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton (17 familles contenant une quarantaine de sous-familles) comme une manière de ranger des livres dans un bibliothèque. Le développement de la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton C’est la notion de l’objet et des données allouées qui ont permis de faire le lien entre l’Industrie du Béton et le BIM : un objet assimilable à un produit industriel, la plupart du temps utilisé avec d’autres pour former des systèmes constructifs. Ainsi, les premiers travaux ont débuté autour du développement d’objets BIM, calqués sur les habitudes de descriptions des produits par les industriels dans leurs catalogues. C’est à partir de ces éléments qu’a été développée la base de données d’objets génériques BIM de l’Industrie du Béton : la BDD BIM G.IB. Ces travaux ont été complétés par la participation du CERIB au projet POBIM, lancé par la Plan de Transition Numérique du Bâtiment (PTNB) et piloté par l’AFNOR et qui se poursuit avec le Plan BIM 2022. La BDD BIM G.IB est composée de deux entités distinctes qui se complètent :Un ensemble de propriétés et de modèles d’objets, assimilés par la suite au Dictionnaire de données de l’Industrie du Béton ;Un catalogue d’objets, issus de modèles d’objets enrichis de valeurs génériques, permettant de définir les composants et les systèmes génériques propres à l’Industrie du Béton. Centrés sur la caractérisation des propriétés des objets génériques, les travaux ne faisaient initialement pas de distinction entre les objets et les modèles d’objets, qui n’intervenait qu’une fois les produits à intégrer dans la base étaient sélectionnés, décrits et caractérisés comme des objets BIM. Les travaux du CERIB et de la FIB ont permis dans un second temps de distinguer modèles et objets afin que l’ensemble de la filière de la construction puisse plus facilement assimiler la démarche. Une réponse aux besoins métiers de tous les acteurs de la construction La somme des travaux réalisés par le CERIB et la FIB autour des bases de données d’objets numériques s’inscrit dans une vision résolument globale pour impliquer l’ensemble des acteurs gravitant dans l’environnement de l’Industrie du Béton. Ces travaux mettent en évidence la nécessité de partager avec tous les professionnels de la construction leur gestion et de mutualiser leur utilisation. Cette dynamique s’inscrit dans une profonde évolution des pratiques méthodologiques développées dans les projets de construction. L’ingénierie système devient, dès lors, une condition nécessaire à l’industrialisation de la filière de la construction, qui loin d’une contrainte, doit être perçue comme une formidable opportunité de structurer et rationaliser les pratiques métiers. Et dans un contexte où les nouvelles exigences environnementales complexifient les analyses techniques, la mise à disposition de bases de données objets s’avère aujourd’hui encore plus indispensable. En figurant l’ouvrage réel, grâce à son jumeau numérique, et en intégrant l’ensemble des informations nécessaires aux calculs, par exemple ceux de la RE2020, cette démarche de recensement s’appuie aussi sur l’expertise des industriels. L’Industrie du Béton est fière de l’avoir impulsée pour répondre au plus près aux besoins métiers de tous les acteurs de la construction.
Il y a 3 ans et 64 jours

La Ferme radieuse : La néo-ruralité imaginée par Le Corbusier

Paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Corbusier imagine une “Ferme radieuse” et un village coopératif à Piacé, dont Norbert Bézard est natif. Sur 20 ha : une ferme modèle, avec une cours fermée bétonnée, les silos qui remplacent l’église du village… : « Très radical pour l’époque, rappelle Nicolas Hérisson. [©Piacé le radieux, Bézard – le Corbusier] A l’heure de la néo-ruralité, il est intéressant de se (re)plonger dans l’histoire du village de Piacé, dans la Sarthe. Dans les années 1930, le lieu a fait l’objet d’un projet architectural de Le Corbusier (1887 – 1965) et de Norbert Bézard (1896 – 1956). « Vous avez le devoir de mettre debout la “Ferme radieuse”, juste et nécessaire pendant de la “Ville radieuse”. […] Les campagnes doivent changer. Il faut les réaménager », lance l’ouvrier agricole Norbert Bézard à Le Corbusier. L’architecte, dont la réflexion s’appuie sur la question sociale, est sensible au sujet. « Il avait déjà cette idée dans ses cartons », insiste Nicolas Hérisson, directeur de l’Espace Bézard – Le Corbusier, à Piacé. « Nous, paysans, nous disons : Non ! Nous réclamons des “fermes-outils-de-civilisations”, sorties du romantisme… et du fumier. C’est clair, c’est net », affirme Norbert Bézard. Et de poursuivre : « Si vous rencontrez encore des paysans qui s’extasient devant le romantisme, c’est que personne encore ne leur a montré ou expliqué les bienfaits de la ferme-outil, de la ferme radieuse, fonctionnelle – qu’ils sont incapables de réclamer faute de connaître les possibilités apportées par les techniques modernes ». L’association Piacé-le-Radieux, Bézard – Le Corbusier Ainsi, Le Corbusier imagine une “Ferme radieuse” et un village coopératif à Piacé, dont Norbert Bézard est natif. Sur 20 ha : une ferme modèle, avec une cour fermée bétonnée, les silos qui remplacent l’église du village… : « Très radical pour l’époque, rappelle Nicolas Hérisson. Le Corbusier, ne restez pas qu’en ville ». Et l’architecte, de promettre : « La campagne se réveillera », faisant naître un logis du paysan moderne, construit sur pilotis pour éviter l’humidité, disposant d’une toiture végétalisée et de cloisons coulissantes… Malgré la belle amitié nouée entre les deux hommes et la fécondité de leurs échanges, ce projet ne verra pas le jour. Mais il en reste des centaines de plans et de croquis, des correspondances et quelques textes théoriques. Autant d’archives que Nicolas Hérisson, directeur de l’Espace Bézard – Le Corbusier, remet en lumière. Installé à Piacé, ce dernier a fondé, en 2008, l’association Piacé-le-Radieux, Bézard – Le Corbusier. « Mon objectif est de faire revivre cette mémoire. Nous invitons des architectes, des designers pour travailler autour de la ruralité. » L’Espace Bézard – Le Corbusier est dédié à ce projet utopique. Plans, maquettes, archives… en retracent l’histoire. L’espace présente aussi des céramiques, des dessins et des peintures signés Norbert Bézard. Oubliée par le Modernisme architectural Par ailleurs, “La ferme radieuse et le centre coopératif” est un livre écrit à l’époque à deux mains provenant d’une déclaration commune de faire quelque chose pour la campagne. Qui semblait, pour Nobert Bézard, oubliée par le Modernisme architectural. Resté dans les cartons, le manuscrit décrit le projet d’aménagement des campagnes imaginé par les deux hommes. Le Corbusier explique, sur un ton autobiographique, comment il est venu à s’intéresser aux campagnes. Puis, décrit la construction de la Ferme Radieuse et du Centre coopératif. Norbert Bézard expose, quant à lui, une synthèse de son projet de « reconstruction de la campagne française ». Sur la couverture, un dessin de Le Corbusier montre un ouvrier agricole en sabots serrant la main d’un ouvrier. Ces mains jointes en disent très long sur la réalité de la pensée de Le Corbusier. [©Piacé le radieux, Bézard – le Corbusier]Sur la couverture, un dessin de Le Corbusier montre un ouvrier agricole en sabots serrant la main d’un ouvrier. Ces mains jointes en disent très long sur la réalité de la pensée de Le Corbusier. [©Piacé le radieux, Bézard – le Corbusier]L’Espace Bézard – Le Corbusier est dédié au projet utopique de la “Ferme radieuse”. Plans, maquettes, archives… en retracent l’histoire. [©Piacé le radieux, Bézard – le Corbusier][©Piacé le radieux, Bézard – le Corbusier] Association Piacé le Radieux, Bézard – Le Corbusier Moulin de Blaireau 72170 Piacé Tél : + 33 2 43 33 47 97 / + 33 6 81 30 45 48 Mail : contact@piaceleradieux.com Site : www.piaceleradieux.com Paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 64 jours

Le numérique au service du confort au théâtre Mogador

Afin d’améliorer le confort thermique de ses 1 600 spectateurs, un scan 3D en temps réel associé à la maquette numérique permet en temps réel de localiser les zones d’inconfort ou les surconsommations énergétiques.
Il y a 3 ans et 64 jours

Bibliothèques d’objets BIM, pour des projets collaboratifs de qualité!

Il arrive encore souvent que les projeteurs BIM réalisent leurs maquettes et gèrent leurs contenus de leur côté, sans échanger avec les autres intervenants dans un même projet. On constate alors un réel problème de diffusion des bonnes pratiques dans les projets BIM de l’entreprise. Chaque projet est également unique dans le monde du bâtiment et complique alors la capitalisation d’un projet à un autre, engendrant de la même manière une baisse de productivité des équipes. Et si les chargés de projets BIM avaient accès à un espace par projet dans leurs bibliothèques d’objets, pour répondre à ces enjeux ? Cet article vous dit tout sur les espaces projets et surtout, quels en sont les avantages.
Il y a 3 ans et 87 jours

La maquette d'architecture, objet magique irremplaçable

L’architecte Jean-Christophe Quinton donnera une conférence au Pavillon de l’Arsenal à Paris, jeudi 10 mars 2022 à 19h, intitulée « Formes, plans, pièces » (initialement prévu en décembre 2021, l'événement avait été reporté). Jean-Christophe Quinton, qui avait présenté en […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 94 jours

ABB ENRICHIT SES GAMMES DE MATÉRIELS ÉLECTRIQUES DANS LE LOGICIEL ELEC CALC™

Trace Software International, éditeur de logiciels pour le bâtiment et l’énergie, et ABB, leader des technologies numériques pour l’industrie, annoncent l’intégration de nouvelles références de matériels électriques dans le catalogue multi-fabricants du logiciel elec calc. Des milliers de références ABB disponibles dans le logiciel elec calc. Déjà présent dans le catalogue multi-fabricants d’elec calc, ABB propose désormais aux utilisateurs du logiciel l’accès à une base de données techniques enrichie de près de 5 000 nouvelles références de disjoncteurs dont celles de la gamme de disjoncteurs boitier moulé Tmax XT. Ce sont au total plus de 29 000 références ABB de disjoncteurs et autres composants qui sont disponibles dans le catalogue elec calc et qui permettent de proposer aux professionnels un large choix de références techniques. « Nous avons souhaité être référencés dans elec calc car ce logiciel représente un important relais d’informations pour faire découvrir nos produits directement aux bureaux d’études. De plus, Trace Software dispose d’un service dédié à l’enrichissement des bases de données de leur logiciel ce qui nous a fait gagner un temps précieux pour l’intégration de nos références. Nous savons que la cohérence des données techniques avec le logiciel est contrôlée et, pour nous, ce paramètre est essentiel en termes de sécurité. » Patrick Domange, ABB   « L’enrichissement des catalogues constructeurs est une démarche permanente qui assure à nos utilisateurs de disposer de nombreuses références à jour. Avec l’intégration des références d’un constructeur comme ABB, nous avons encore enrichi notre catalogue afin de proposer à nos utilisateurs un large choix de matériels. Ils bénéficient de données et de références à jour pouvant être directement exploitées dans les nomenclatures et les calculs » Martial Leroy, Trace Software Grâce à l’expertise reconnue d’ABB en distribution basse et moyenne tension et à l’expertise du calcul électrique de Trace Software avec elec calc, les professionnels peuvent réaliser leur conception avec une garantie de flexibilité et de conformité avec la norme électrique. A propos de Trace Software Depuis plus de 30 années Trace Software conçoit des logiciels pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires pour le bâtiment et l’industrie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins depuis le chargé d’affaires jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. Trace Software est également présent sur le marché de la maquette numérique avec une plateforme complète de conception d’installations électriques en Open BIM. Trace Software est distribué en Europe, Afrique, Amérique du Sud et en Asie via des distributeurs et des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine.
Il y a 3 ans et 97 jours

Qu’est-ce qu’un référentiel de projet BIM ?

En BIM, la réalisation des conventions implique le respect de l’élaboration d’un référentiel global sur le projet en question. Pour les entreprises les plus développées en BIM, il existe aussi un référentiel à respecter dans la charte de l’entreprise. Pour que la participation d’intervenants externes permette de facilement enrichir ses données et maquettes, cela nécessite un workflow simple pour adapter les différents objets et maquettes les uns aux autres. Sans cela, survient un manque de cohérence et de compréhension sur la présence des informations dans les objets. Il devient également difficile pour ces personnes externes de collaborer correctement autour de la bibliothèque d’objets BIM lorsque leur activités sont restreintes. Pour répondre à ces enjeux, les référents BIM sont chargés de faire respecter le référentiel projet demandé, pour faciliter la collaboration entre tous. Alors qu’est-ce qu’un référentiel projet? Et quels en sont les avantages et difficultés qui peuvent être rencontrées? Cet article vous dit tout.
Il y a 3 ans et 100 jours

En hommage à Notre-Dame de Paris, trois compagnons réalisent une maquette de sa charpente

MÉTIER. Trois jeunes ont travaillé durant six mois sur une maquette de la charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris, similaire à celle endommagée par l'incendie de 2019. Le modèle souligne la noblesse des métiers des compagnons, qui allient tradition et modernité.
Il y a 3 ans et 100 jours

Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ?

Côté magazine Côté magazine Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? Maquettes 3D et applications digitales commencent à faire partie du quotidien des acteurs de la construction. Mais où en sommes-nous des innovations dites « hardware », tels les équipements, le matériel et l’outillage ? Trois solutions à découvrir soutenues par Constructech Club.     Plus mobile que les dalles tactiles existantes, facilitant l’usage horizontal, sur table, Adok permet de retrouver le confort d’utilisation des plans papier, avec tous les avantages du numérique. « Notre Hub tactile permet de mener des revues de plans, avec des personnes en présentiel et d’autres connectées à distance. »Photo : Adok 1/ Avec Adok, les chantiers sont au bout des doigts Adok a développé un Hub tactile mobile. C’est un produit 3 en 1 qui embarque un PC Windows 10, un picoprojecteur et un système tactile. Cette technologie permet de transformer toutes les surfaces planes en interface tactile. Paul Péretié, CEO d’Adok, est parti du constat que les appareils collaboratifs disponibles dans les salles de réunion ou sur les chantiers n’étaient pas au niveau de nos smartphones ou de nos tablettes, en termes de facilité d’usage, de flexibilité, de mobilité et d’interactivité. De plus, les investissements pour passer au BIM – avec pour objectif de remonter des informations terrain, d’avoir des plans toujours à jour et de suivre la progression du chantier – étaient énormes d’un point de vue logiciel, mais n’avaient pas forcément les interfaces et notamment les appareils « hardware » pour faciliter ce passage au BIM. Cet appareil Made in France permet de mener des revues de plans et des réunions collaboratives sur une table, dans un bureau, dans une base-vie de chantier, ou dans tous les environnements de travail habituels. Paul Péretié précise que le développement de cette technologie a nécessité trois ans de recherche. « Ce système tactile fonctionne par reconnaissance d’images, et permet de retrouver la même précision et réactivité qu’un écran tactile traditionnel. » 2/ Carlita, prévenir les risques TMS dans la pose de carrelage et dallage Proposée par la start-up Robotile, la Carlita est une machine mécanique d’assistance à la pose de carrelage et dallage permettant de minimiser les efforts du compagnon, ainsi que les positions douloureuses à l’origine de TMS (troubles musculo-squelettiques) lors de la pose d’éléments de grands formats sur de grandes surfaces. Elle permet également un gain de temps qui est variable selon le format mis en œuvre et l’organisation des tâches. Son fondateur, Serge Sémété, nous explique que le principal avantage de Carlita est le fait que l’utilisateur reste en position debout et ne supporte plus le poids de l’élément à poser. « Le bénéfice physique est complet pour les muscles et articulations sollicités lors de la pose au sol, avec une charge de 10 à 30 kg à déposer en porte-à-faux devant soi : jambes, bras, mains et dos sont préservés. Une étude avec des capteurs d’efforts sur une pose manuelle d’éléments de 80 x 80 (16 kg/u) et une pose identique avec la Carlita affiche une réduction d’effort pour tous les muscles sollicités. Notre système équilibre la charge qui est en “apesanteur”. » La Carlita, un système très simple, robuste, durable et si nécessaire réparable sur chantier. Le compagnon n’a plus qu’à se soucier du placement de son carreau. La préhension des éléments est réalisée par des ventouses. Celles-ci sont très résistantes et la technologie a été éprouvée sur les postes robotisés des usines des fabricants. Photo : Robotile 3/ Instavox, le smartphone devient un talkie-walkie professionnel Instavox permet de reproduire les fonctions d’un réseau talkie-walkie professionnel (appel instantané d’un groupe prédéfini de personnes sur simple appui d’un bouton) à partir d’un smartphone grand public ou durci en utilisant les réseaux des opérateurs ou les réseaux Wifi. L’avantage essentiel de cette technologie est la complémentarité entre le « software » et le « hardware ». La solution répond aux contraintes de limite de portée des talkies-walkies conventionnels tout en proposant du matériel pouvant être utilisé dans des conditions propres aux projets de construction qui sont parfois extrêmes ; tel est le cas des casques antibruit et des micros déportés. « Nos clients utilisent sur leurs chantiers nos casques antibruit connectés à notre application sur leur smartphone talkie- walkie. Équipés d’un connecteur professionnel raccordé à leur radio, ils utilisent la fonction “push to talk” d’Instavox pour communiquer sur le chantier. L’avantage de ce casque dans les environnements très bruyants est qu’il permet de communiquer de façon très claire et très audible », explique Nicolas Grante, CEO d’Instavox. Pour communiquer entre les chantiers, les différents intervenants utilisent l’application Instavox couplée à des micros déportés – Bluetooth ou filaire – connectés aux smartphones. « En effet, les gants de protection des intervenants sur le chantier ne permettent pas de naviguer sur un smartphone. Il faudrait retirer les gants chaque fois qu’ils souhaitent communiquer et cela n’est pas possible », précise Nicolas Grante. Instavox ajoute également des fonctionnalités de géolocalisation permettant de savoir à n’importe quel moment où se situe chaque utilisateur, mais aussi des fonctionnalités d’appel vidéo instantané permettant de réaliser des levées de doute immédiates. Comme pour un talkie-walkie, le gain de temps dans la communication opérationnelle est le principal avantage de la solution Instavox : plus besoin d’appeler les collaborateurs un par un pour communiquer une information. D’une simple touche sur le smartphone, on communique verbalement un message à l’ensemble de l’équipe. Photo : Instavox À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Diana Gonzalez À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Bilan du Club Le hardware – ou solution physique – fait son apparition également dans le secteur depuis quelque temps et se développe de plus en plus. Ce type d’innovation demande un panel important de métiers et de compétences (mécanique, technique, électrique, software) et des coûts importants en recherche et développement. La mise sur le marché est plus longue par rapport à une solution digitale et les investisseurs peuvent s’avérer plus frileux. On retrouve ce type d’innovation dans la sécurité des chantiers et des personnes travaillant sur les chantiers, dans la surveillance de bâtiments, dans la communication et dans bien d’autres domaines encore.  Des « business models » alternatifs à l’achat du matériel ou de l’équipement permettent de conquérir de nouveaux clients et ainsi sécuriser la pérennité et la croissance des start-up qui développent ce type de solution. On peut citer le « leasing » (location de longue durée) et le HAAS (Hardware-as-a-Service). Ce dernier fournit le matériel – ou la machine – accompagné d’autres composants complémentaires tels que logiciels, maintenance et support, dans le cadre d’une offre mensuelle prépackagée. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 100 jours

Equipements techniques et énergie

Côté magazine Côté magazine Equipements techniques et énergie Naturels ou mécaniques, les systèmes de désenfumage des bâtiments cumulent les fonctions. Au désenfumage, il faut désormais ajouter l’éclairage naturel et la ventilation. Une conception à prévoir en intégrant les nombreuses contraintes réglementaires. Désenfumer, éclairer et ventiler Les fumées sont la cause principale de décès lors d’un incendie. Les évacuer vers l’extérieur le plus rapidement possible est donc vital. C’est la fonction dévolue aux systèmes de désenfumage. Appelés « dispositifs d’évacuation naturelle de fumée et de chaleur » (DENFC), ils remplissent trois missions : rendre praticables les circulations pour l’évacuation ; faciliter l’accès des secours ; maintenir un taux d’oxygène correct dans les locaux le temps de l’évacuation. Pour le désenfumage, les options possibles sont de deux natures : naturel ou mécanique. Les deux méthodes étant combinables – naturel/naturel, naturel/mécanique, mécanique/naturel et mécanique/mécanique – en fonction des locaux. En effet, les exigences – et donc les matériels – ne seront pas les mêmes selon qu’il s’agit de désenfumer une gare, une cage d’escalier ou encore un IGH. Il existe, par exemple, une grande diversité d’exutoires : à vantaux pour les toitures à faible pente, dotés de lames à commandes mécanique, pneumatique ou électrique, ou encore ouvrants de façade. Ces deux systèmes étant eux-mêmes liés à deux grands principes de désenfumage : balayage de l’espace sinistré par de l’air neuf pour faciliter l’extraction des fumées et mise en dépression du local sinistré. Réglementation complexe La réglementation relative au désenfumage diffère selon l’utilisation et la fréquentation du bâtiment. Il y a lieu de distinguer les obligations légales – règlement de sécurité dans les ERP, Code du travail, Code de la construction… – et les règles d’ordre privé, comme les règles APSAD R17, qui relèvent d’un accord spécifique entre les parties. Première chose : le marquage des produits. L’arrêté du ministère de l’Équipement et du ministère de l’Industrie, datant du 2 juillet 2004 et publié au JO du 5 août 2004, rend obligatoire le marquage CE des DENFC. Ces derniers, toiture et façade, sont couverts par la norme NF EN 12 101-2. Le marquage « CE » permet de juger des performances et de la qualité du DENFC. En revanche, il ne permet pas de garantir sa capacité à s’intégrer dans le SSI (Système de sécurité incendie) régi par la NF S 61 937-1. La réglementation ERP impose, en effet, au fabricant de prouver la capacité des appareils à s’intégrer au SSI, avec les essais correspondants pour les exutoires et des PV d’essais pour les ouvrants en façade dans le cadre du marquage NF. Cas 1 Lanterneaux et exutoires Avec leur positionnement idéal sur le toit des bâtiments, les lanterneaux et exutoires de fumée dédiés au désenfumage sont les premiers d’entre eux : apportant l’indispensable lumière naturelle à l’intérieur des bâtiments, ils jouent également un rôle important dans le renouvellement d’air, ventilation naturelle. Ces dispositifs permettent de réaliser de 30 à 60 % d’économies d’énergie (éclairage et chauffage), dès lors qu’ils apportent un seuil minimal de 300 lux d’éclairage naturel pendant 50 % du temps d’utilisation du bâtiment, selon le Groupement des fabricants et fabricants-installateurs de matériel coupe-feu et d’évacuation des fumées (GIF). Les exutoires peuvent avoir une triple fonction : désenfumage, apport de lumière naturelle et ventilation. Photo : Bluetek Il n’existe pas de système unique, mais une diversité de matériels, adaptés au cas par cas et en fonction de la configuration des locaux à désenfumer. Photo : Souchier Cas 2 Ouvrants de désenfumage en façade En façade, la principale contrainte consiste à intégrer les ouvrants de désenfumage dans un projet architectural avec des produits réglementaires. Et ce, d’autant plus lorsque l’ouvrant à une double fonction, ventilation naturelle et désenfumage. Dans ce cas, il convient d’utiliser des châssis et des coffrets adaptés, qui permettent de ventiler selon le paramétrage défini à l’avance, mais qui gardent la priorité au risque. Ainsi le pilotage électrique des ouvrants de confort doit pouvoir s’effacer devant l’urgence, en cas d’incendie. Les châssis de désenfumage disposent généralement d’un moteur plus imposant permettant d’ouvrir en grand et rapidement alors que, en ventilation naturelle, ce même moteur peut ouvrir seulement partiellement ou en grand, à vitesse normale. Cas 3 Maintenance prédictive L’obligation de résultat est de rigueur pour le fonctionnement des installations de sécurité incendie. Pour prévenir les pannes se développe, comme avec les ascenseurs, la maintenance prédictive. Laquelle consiste à connecter l’ensemble des objets pour en suivre en direct le fonctionnement. Les outils développés exploitent l’intelligence importée dans les systèmes en surveillance. La maintenance prédictive vise à déterminer les facteurs de défaillance, à analyser l’évolution des installations et à diagnostiquer les besoins. Cela peut se concevoir dès le début avec des solutions « bimisées » qui intègrent dans la maquette numérique les données essentielles et permettent ainsi leur suivi en exploitation avec, comme maître mot, l’anticipation. Avec la maintenance prédictive, tous les éléments d’une installation – sprinkler, détecteur, écran de cantonnement, ouverture en façade, lanterneaux – peuvent être surveillés et analysés. Photo : Kingspan Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 103 jours

Les chantiers des JO de Paris 2024 vont être "impactés" par l'inflation

Auditionné à l'Assemblée par le groupe de travail sur les JO et interrogé sur l'impact de l'inflation des coûts de la construction et des matières premières, M. Ferrand a répondu : "j'aimerais que les chantiers de la Solideo ne soient pas impactés, malheureusement ils le sont".La Solideo est chargée de construire ou de rénover des ouvrages pour les JO, qui vont du village des athlètes, en passant par la rénovation de gymnases ou des échangeurs ou ponts routiers, ce qui représente une soixantaine d'ouvrages.Elle a un budget de 4 milliards en euros courants, a rappelé M. Ferrand, dont 1,5 milliard d'euros d'argent public."On a un travail qu'on est en train d'initier aujourd'hui qui est d'évaluer l'impact effectif de l'évolution de ces indices sur chacun des chantiers pour les dépenses futures et de voir si on tient toujours avec l'actualisation de la maquette (financière, ndlr) ou s'il faut revenir dessus", a-t-il dit.En juillet 2021, la Solideo avait revu son budget en raison de l'inflation. Cette révision avait conduit à augmenter la partie publique de 175 millions d'euros pour la faire passer de 1,38 milliard à 1,55 milliard d'euros."La mission qu'on nous a donnée c'est en euros constants 2016 vous ne sortez pas de la maquette financière exprimée en euros constants, les effets de l'inflation vous sont extérieurs", a-t-il expliqué. "Ça, on le tient absolument", a-t-il affirmé. "J'insiste, hors inflation, il n'y a pas de dérive, il n'y pas d'éléments en plus, pas d'éléphant blanc, les évolutions de maquette sont exclusivement liées à l'inflation", a-t-il ajouté.Faisant le point sur les ouvrages, M. Ferrand a aussi évoqué un "nouveau chantier" qui est "le raccordement de Bercy au réseau de froid de la ville de Paris", "un sujet indispensable pour les Jeux". "Aujourd'hui Bercy n'enchaîne pas plusieurs compétitions dans la même journée et ne fonctionne pas au mois d'août", a-t-il dit."On est en train de travailler avec la ville de Paris pour bien cadrer les montants financiers, qui sont en jeu autour de 5 millions d'euros", a-t-il dit.Le 10 février dernier, les écologistes, alliés turbulents de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, avaient souligné le poids des Jeux olympiques de 2024 pour les finances de la Ville, passées en revue par un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC). Anne Hidalgo est présidente de la Solideo.
Il y a 3 ans et 112 jours

Le numéro de février d'AMC est paru

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°302-février 2022) et disponible en format numérique: un événement sur la maquette d'architecture, un dossier sur les centres pour mineurs délinquants, des détails "terre crue" et une matériauthèque consacrée au béton. Mais aussi les […] Lire l'article