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Résultats de recherche pour methodes

(675 résultats)
Il y a 1 ans et 249 jours

Les carreaux s'agrandissent, les carreleurs doivent adapter leurs méthodes de travail

Pour poser de grands carreaux (60 x 60 ou plus), méthodes de travail et équipements doivent être adaptés, indique une étude récente des Métiers de la maçonnerie et du carrelage de la Capeb, de l'Iris-ST et de l'OPPBTP.
Il y a 1 ans et 258 jours

MEVACO

MEVACO Batipole mar 05/09/2023 - 12:01 En savoir plus sur MEVACO Partager 6, allée Brancas 44000 info@mevaco.fr L'ascension de MEVACO : De sa création à aujourd'hui Forte de son origine germanique, MEVACO SARL est la filiale française de la société industrielle allemande MEVACO GmbH. Sa spécialité ? La conception de tôles perforées de haute qualité. Mais qu'est-ce qui différencie MEVACO de ses concurrents ? Le secret derrière la qualité de leurs tôles Chaque tôle conçue par MEVACO est le résultat d'une combinaison de technologie avancée et d'un savoir-faire artisanal. Ces tôles ne sont pas de simples produits; ce sont des témoins de l'innovation constante qui anime la marque. L'utilisation de méthodes de production avancées garantit la durabilité et l'efficacité de chaque pièce produite. MEVACO et la durabilité : Un engagement profond Plus qu'un simple fabricant, MEVACO est une entreprise qui voit loin. Dans un monde où la durabilité est primordiale, MEVACO a intégré cette notion au cœur de sa stratégie de production. En utilisant des matières premières respectueuses de l'environnement et des procédés de fabrication éco-responsables, MEVACO illustre parfaitement comment innovation et écologie peuvent marcher main dans la main. Une gamme complète pour les professionnels de la construction Au-delà des tôles perforées, la gamme de produits de MEVACO est vaste. Les profilés, raccords d'angle, grillages et métaux déployés sont autant de produits conçus pour répondre aux exigences variées du secteur de la construction. Cette diversité de produits souligne la vision de MEVACO pour l'avenir de l'industrie de la construction : être un partenaire complet pour tous les besoins des professionnels. Avec un héritage fort et une vision tournée vers l'avenir, MEVACO continue d'impressionner et de mener l'industrie grâce à son engagement envers l'innovation et la durabilité. Pour ceux qui recherchent le meilleur en matière de tôles perforées et bien plus encore, MEVACO est le choix évident. POHU Dominique http://www.mevaco.fr 2 40 72 901 71 NANTES Titre de la page d'entreprise MEVACO : Pionnier de la Tôle Perforée et bien plus encore ! Découvrez MEVACO, le maître incontesté dans le domaine des tôles perforées, apportant innovation et durabilité au monde de la construction.
Il y a 1 ans et 300 jours

Cycle Up inaugure son premier atelier de reconditionnement à Noisy-le-Sec

Ce premier atelier est à la fois un site de production, d’appareils sanitaires recyclés principalement, et un lieu d’expérimentation pour développer des méthodes de recyclage d’autres produits.
Il y a 1 ans et 319 jours

EC2 : évaluation de la circularité à l'échelle de l'ouvrage

Photo : ShutterStockGwenn Le Seac'h, responsable Qualité Environnement et Énergie au sein de l'Alliance HQE, et Élodie Macé, cheffe de projet Économie circulaire à la direction Économie et Ressources du CSTB. EC2, outil d'analyse de la circularité des composants d'un ouvrage neuf, conçu par l'Alliance HQE et le CSTB, est en cours de développement. Dans quel contexte a-t-il été conçu ? Élodie Macé : Des dispositifs en faveur de l'économie circulaire se mettent en place en France et en Europe depuis plusieurs années, et notamment dans le secteur de la construction. Toutefois, les méthodes harmonisées de mesure d'impact environnemental des projets se concentrent sur l'indicateur carbone et ne permettent pas d'évaluer la contribution d'une opération à l'économie circulaire. Les fiches de déclaration environnementale et sanitaire (FDES) et les profils environnementaux produit (PEP) contiennent cependant des indicateurs sur la matérialité permettant de traduire certains aspects de l'économie circulaire, mais ils sont aujourd'hui peu exploités. L'Alliance HQE-GBC travaille depuis 2017 sur l'économie circulaire et a notamment expérimenté une méthode d'analyse des flux de matières sur plusieurs opérations pilotes développée par Evea et Cerqual afin d'exprimer des indicateurs de circularité pour les projets de construction. Cette expérimentation a rencontré un grand intérêt de la part des acteurs de la filière, mais la méthode s'est avérée chronophage, principalement en raison de l'absence d'un outil adapté. L'objectif du projet EC2 est donc de faciliter le déploiement de cette méthode via le développement d'un outil ad hoc. L'existence de la base de données INIES, son enrichissement accéléré par la RE2020 et l'obligation réglementaire de réaliser des analyses de cycle de vie constituent une véritable opportunité pour un déploiement à grande échelle. Quels sont les grands principes de cet outil ? EC2 s'appuie sur les fichiers réglementaires RSEE (récapitulatifs standardisés d'étude énergétique et environnementale) réalisés dans le cadre de la RE2020. Il s'agit donc de se baser au maximum sur des informations qui sont déjà produites par ailleurs. Relié à la base INIES, il peut exploiter automatiquement l'ensemble des informations des déclarations environnementales des composants d'un projet, et notamment celles concernant les flux de matières. Des indicateurs de matières secondaires, réemployées ou biosourcées entrantes, de matières destinées au recyclage ou au réemploi sortantes, ou encore de flux de transport sont calculés, puis restitués sous forme de diagramme de Sankey. Une première phase de test de cet outil a été lancée en décembre 2022. Quel enseignement en avez-vous tiré ? Gwenn Le Seac'h : L'objectif était de réaliser un test en condition réelle d'utilisation auprès des futurs utilisateurs (maîtrise d'œuvre principalement). Ces retours d'expérience ont permis de corriger certaines erreurs informatiques, mais également de proposer des fonctionnalités complémentaires pour mieux répondre à leurs besoins. Par ailleurs, les testeurs ont apprécié le gain de temps par rapport à la méthode initiale, la prise en main de l'outil, simple et intuitive, et son identité visuelle qui favorise la mise en valeur des projets. Leurs retours indiquent cependant que la finalité de la méthode nécessite des explications quant à la compréhension des indicateurs, de la formation et le besoin d'obtenir des valeurs de référence à l'échelle du projet, les résultats pouvant parfois paraître abstraits. Cette expérimentation a aussi révélé un intérêt sur d'autres points de développement de l'analyse factorielle multiple pour approfondir certains scénarios, permettant ainsi d'envisager de futures perspectives d'évolution. Il est aussi important de préciser que, lors du lancement du test, peu de projets disposaient de RSEE complets, la RE2020 n'étant active que depuis quelques mois. De même, les résultats sont peu représentatifs lorsque les projets utilisent une majorité de données environnementales par défaut. Mais ces points devraient rapidement évoluer en raison du contexte de la RE2020 et de l'augmentation croissante de ces différentes données. Quelles sont les autres perspectives d'évolution de l'outil ? Pour répondre au besoin de valeurs de formation et de référence, il est envisagé de lancer un test HQE Performance à grande échelle, sur une durée longue, pour qu'un maximum de projets puissent intégrer l'outil EC2 et, ainsi, disposer d'un observatoire. L'objectif de ce test serait de peaufiner un set d'indicateurs économie circulaire et que ceux-ci soient appréhendés par le plus grand nombre. Il permettrait également de finaliser les fonctionnalités de l'outil numérique associé, développé par le CSTB. Au-delà du sujet des valeurs de référence nécessaires pour favoriser l'éco-conception, les possibilités de développement ultérieur sont nombreuses et concernent, entre autres, l'adaptation des scénarios au réemploi spécifique à chaque projet, ou l'adaptation au projet de rénovation. Lorsque ces valeurs de référence auront été établies, il sera envisageable d'intégrer la méthode dans les cadres de référence HQE. CONTACT  - N° 5 : Économie circulaire et ressources pour le bâtiment Il est urgent de trouver des solutions pour assurer une certaine optimisation quant à l'usage des ressources naturelles, à leur accès, notamment à l'eau, à des coûts économiques et environnementaux éthiquement raisonnables. PDF 6 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 1 ans et 320 jours

Encadrement des loyers : l'UNPI dénonce les méthodes "très contestables" de l'Etat

MARCHÉ DE LA LOCATION. L'Union des propriétaires immobiliers considère que l'administration fixe les loyers de référence, dans les zones où s'applique l'encadrement des loyers, au mépris de l'esprit de la loi Elan.
Il y a 1 ans et 339 jours

L’Organisation des Fabricants Français de Systèmes Antichute (OPFSA) : Une Voix Unifiée pour les Spécialistes de la Sécurité en Hauteur

Fondée en décembre 2019, l’Organisation des Fabricants Français de Systèmes Antichute (OPFSA) est devenue une force unifiée pour les principaux fabricants français de systèmes antichute. L’OPFSA s’est engagée à promouvoir les compétences de ses membres, à renforcer les meilleures pratiques de la profession et à recommander des méthodes de fabrication et d’installation.
Il y a 1 ans et 340 jours

A Paris, des constructions durables et exemplaires mises en lumière dans une exposition

CULTURE. L'écologie est promue dans cette nouvelle exposition parisienne à la galerie de la PermArchitecture. Ses auteurs, l'association Ekopolis et le groupe Architecteurs cherchent à inciter les professionnels à changer leurs méthodes constructives.
Il y a 1 ans et 343 jours

L’Organisation des Fabricants Français de Systèmes Antichute (OPFSA): Une Voix Unifiée pour les Spécialistes de la Sécurité en Hauteur

Paris, le 12 juin 2023 – Fondée en décembre 2019, l’Organisation des Fabricants Français de Systèmes Antichute (OPFSA) est devenue une force unifiée pour les principaux fabricants français de systèmes antichute. L’OPFSA s’est engagée à promouvoir les compétences de ses membres, à renforcer les meilleures pratiques de la profession et à recommander des méthodes de… Lire la suite L’Organisation des Fabricants Français de Systèmes Antichute (OPFSA): Une Voix Unifiée pour les Spécialistes de la Sécurité en Hauteur
Il y a 1 ans et 348 jours

le modern workplace dans le btp comment l optimisation de microsoft 365 peut am liorer la performance des entreprises

Microsoft 365 offre de nombreuses possibilités pour optimiser les méthodes de travail des entreprises du BTP. Afin de tirer le meilleur parti de toutes les possibilités offertes par cet outil, BRZ 365 Collab’ propose un accompagnement sur mesure pour créer un “Modern Workplace”, un espace de travail collaboratif permettant de mettre en place une organisation efficace et fluide.
Il y a 1 ans et 356 jours

Manuel Decoodt - La parole aux professionnels

Manuel Decoodt, président de la commission Environnement et construction durable, CSFEPouvez-vous vous présenter, ainsi que la Chambre syndicale française de l'étanchéité ? Je suis Manuel Decoodt, directeur QSE de l'entreprise d'étanchéité et travaux spéciaux Etandex, et président de la commission nationale technique et de la commission Environnement et construction durable au sein de la Chambre syndicale française de l'étanchéité (CSFE). Fondée en 1929, la CSFE représente les entreprises et industriels dans les domaines de l'étanchéité, du bardage et des façades rapportées. La CSFE regroupe 350 membres, qui constituent 75 % de l'activité du secteur, à savoir la majorité des entreprises de l'étanchéité et du bardage, les principaux industriels du secteur et les membres partenaires de métiers connexes. Elle travaille à défendre les intérêts du métier dans les domaines de l'étanchéité des toitures-terrasses (accessibles, inaccessibles, toitures-terrasses végétalisées (TTV), terrasses jardins, parkings, dalles aménagées, énergies renouvelables, etc.), des parois enterrées, du cuvelage... Quel est le rôle de la commission Environnement et construction durable de la CSFE ? Quand a-t-elle été créée ? La commission a été créée pour que les professionnels de la filière soient des acteurs et des partenaires vigilants de la transition écologique. Nous les accompagnons par l'information sur les nombreux sujets actuels (RE2020, filière responsabilité élargie des producteurs (REP) des produits et matériaux de construction du bâtiment, TTV, réemploi, etc...) Quelles actions avez-vous mises en place en faveur du réemploi ? Le réemploi est, à juste titre, au cœur de l'actualité de la profession du bâtiment, mais constitue aussi un réel défi. Il ne doit pas rester un vœu pieu. La plupart des industriels portent des initiatives et des actions, mais il ne prendra son essor que si nous nous mettons à pied d'œuvre le plus tôt possible pour définir les bonnes méthodes et pour résoudre toutes ces questions opérationnelles que nous nous posons. La CSFE entame, notamment, des actions opérationnelles pour les filières de l'étanchéité et du bardage. En effet, 5 % en poids des produits et des matériaux de construction devront être réutilisés ou réemployés dès 2028. Or, au vu des transformations qu'il nous faudra accomplir, 2028, c'est demain ! C'est la raison pour laquelle la CSFE s'organise dès à présent pour relever ce défi et s'engage de manière très opérationnelle. En tant que président de la commission Environnement et construction durable, mon objectif pour cette année 2023 est de formaliser des premières fiches pratiques « réemploi » consacrées à nos activités d'étanchéité et de bardage. Mes ambitions sont doubles : notre profession doit apporter de manière proactive sa pierre à l'édifice de la transition écologique ; elle doit proposer à la nouvelle génération des méthodes de travail vertueuses qui ne manqueront pas d'influencer positivement les jeunes talents qui seront motivés par ce projet ambitieux. Dans le cadre de ses travaux, la CSFE souhaite impérativement associer les contrôleurs techniques et les assureurs. Cette étape est primordiale pour faire reconnaître les pratiques opérationnelles de réemploi en « techniques courantes ». Nous avons créé récemment un groupe de travail pour identifier, de manière pragmatique, au sein de nos métiers, le « top 6 » des produits les plus réemployables en fonction de leur faisabilité et de leur acceptabilité réglementaire. Ce groupe de travail connaît un vif succès puisque nous avons près de 40 entreprises, industriels, contrôleurs techniques et autres organismes qui y participent activement. Quels sont les principaux freins liés à la mise en place du réemploi des produits d'étanchéité et de bardage ? Ils sont essentiellement d'ordre organisationnel et financier. Le premier est lié à l'acceptabilité auprès des assurances et des maîtres d'ouvrages, le second est plus pragmatique, car si l'on veut que le réemploi se diffuse aussi largement que possible auprès des entreprises, il faut que l'impact financier soit aussi équilibré que possible. Vous êtes accompagné par le CSTB pour la réalisation de fiches pratiques dédiées au réemploi. Quelle est la finalité de ces guides ? Pourquoi avoir choisi de les développer avec le CSTB ? Quels sont les premiers produits concernés ? La CSFE a décidé de se faire accompagner par le CSTB pour la création de ces fiches de manière à définir des référentiels permettant de réutiliser certains matériaux ou produits tout en restant dans un cadre réglementaire, validé par les contrôleurs techniques et accepté par les assureurs dans le cadre de travaux classiques. Le CSTB a été choisi pour son expertise dans le domaine de l'évaluation des produits et de leur durabilité, ainsi que pour sa connaissance approfondie de l'environnement métier du bâtiment et de l'approche de l'économie circulaire. Concrètement, la CSFE lance la démarche de réemploi en 2023 pour trois produits : les gravillons, les dalles sur plots et les éléments métalliques de bardage. Deux fiches pratiques sont financées par la Fédération française du bâtiment et une fiche par l'éco-organisme Valobat. Compte tenu du poids de ces matériaux et de leur proportion importante sur le marché de l'étanchéité/ bardage, les perspectives de réemploi sont élevées et nous pensons qu'elles seront aussi motrices dans les changements de pratique auprès des donneurs d'ordre. D'autres produits sont d'ores et déjà en lice pour la suite, notamment les isolants mis en œuvre en toiture-terrasse ou en bardage. Au-delà de cet accompagnement, quelle relation avez-vous avec le CSTB ? Depuis toujours, le CSTB est un partenaire clé des professionnels de l'étanchéité pour l'accompagnement de l'innovation (ATEx, ATec, DTA...). Quelles sont vos perspectives en matière de réemploi dans les prochaines années ? Pour les deux années à venir, le nombre de référentiels « Réemploi » disponibles va augmenter progressivement, comme le proposent le CSTB et ses partenaires dans la note « Sécuriser le réemploi, une démarche collective ». Cela nécessitera d'accompagner tous les acteurs de l'acte de construire en proposant des informations et des formations ciblées aux bonnes pratiques du réemploi. La transition écologique de l'étanchéité et du bardage est en marche. Solutions & Performances - Numéro 12 : « Économie circulaire » Le numéro 12 de Solutions & Performances est consacré à l'économie circulaire. PDF 4.44 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 26 jours

buildots d voile une tude sur les pratiques inefficaces dans le secteur de la construction

Buildots a publié une étude ayant pour objectif de mettre en avant les indicateurs d’inefficacité dans les méthodes de construction actuelles. La finalité étant d’améliorer les performances des chantiers.
Il y a 2 ans et 45 jours

Comment la puissance de l'IA va aussi révolutionner le secteur de la construction ?

Mettre en évidence les indicateurs d’inefficacité dans les méthodes de construction actuelles pour améliorer les performances des chantiers, c’est l’objectif que s’est fixé Buildots pour cette étude unique sur le marché du bâtiment.
Il y a 2 ans et 51 jours

Étude Buildots : Utilisation de l’IA pour identifier les pratiques inefficaces dans le secteur de la construction

Mettre en évidence les indicateurs d’inefficacité dans les méthodes de construction actuelles pour améliorer les performances des chantiers, c’est l’objectif que s’est fixé Buildots pour cette étude unique sur le marché du bâtiment. La data au service des chantiers L’industrie de la Construction cherche constamment à maximiser son rendement. Cependant, avant de réduire les inefficacités,… Lire la suite Étude Buildots : Utilisation de l’IA pour identifier les pratiques inefficaces dans le secteur de la construction
Il y a 2 ans et 54 jours

quand des ressources fran aises inspirent de nouveaux modes constructifs

Cartographie des matières premières disponibles sur le territoire français, qui amènent à innover les méthodes de construction.
Il y a 2 ans et 58 jours

Climatisation naturelle : ces méthodes traditionnelles de refroidissement inspirantes

Les solutions de construction traditionnelles ont tendance à bien fonctionner dans leurs contextes respectifs, car elles ont résisté à des centaines d’années d’essais et d’améliorations, et utilisent des techniques et des matériaux disponibles localement. Bien que la mondialisation et la démocratisation de l’accès à la technologie aient apporté plus de confort et de nouvelles opportunités […]
Il y a 2 ans et 61 jours

Empreinte carbone des bâtiments : l'isolation en première ligne

Le secteur du bâtiment représente un tiers des émissions de gaz à effet de serre en France, soit environ 150 millions de tonnes de CO2, dont 100 millions pour le parc existant et 50 millions pour les produits de construction. Dans ce contexte, l'isolation est un levier essentiel pour améliorer la performance énergétique des bâtiments et réduire ainsi leur empreinte carbone. Conformément à la loi Climat et Résilience, il est désormais interdit de proposer à la location des logements dont le seuil maximal de consommation d'énergie dépasse les 450 kWh/m². Cette mesure, qui s'étendra progressivement à tous les habitats mal isolés relevant des classes G, F et E du diagnostic de performance énergétique (DPE), a pour but d'amener à une rénovation énergétique massive du bâti sur les dix prochaines années. Destinée à réduire de façon drastique le nombre de passoires thermiques, cette évolution réglementaire permettra également aux usagers de diminuer leurs dépenses énergétiques et d'améliorer leur confort. RE2020 et isolation La RE2020, qui met l'accent sur la performance de l'enveloppe du bâtiment et son isolation, a renforcé ses exigences au regard de l'indicateur Bbio par rapport à la RT2012. Indice de bonne conception climatique, celui-ci renseigne sur l'efficacité énergétique globale d'une construction neuve quels que soient les modes de chauffage et de refroidissement qui seront mis en œuvre et rappelle l'importance d'une isolation performante dès la conception du projet. Dans sa méthode de calcul des performances énergétique et environnementale des constructions de bâtiments d'habitation, d'immeubles de bureaux ou de locaux d'enseignement primaire et secondaire, la RE2020 remet également au premier plan les règles Th-Bat relatives aux performances thermiques. Privilégier la rénovation globale Chaque année, moins de 100 000 logements font l'objet d'une rénovation globale, ce qui représente seulement 0,3% du parc bâti. Les rénovations « par gestes » restent en effet majoritaires et ont, en toute logique, moins d'efficacité en termes de performance énergétique et de décarbonation des bâtiments. Porté par le CSTB, le projet Renostandard, devenu Restore dans le cadre de la deuxième phase du programme PROFEEL1, vise au déploiement à grande échelle de la rénovation globale performante des maisons individuelles de construction similaire en développant des solutions innovantes et réplicables de réhabilitation pour les groupements professionnels. Ce projet permet à la fois d'enrichir et de sécuriser l'offre de rénovation globale et de mieux faire comprendre ses enjeux aux particuliers qui bénéficient de nouvelles méthodes d'accompagnement et d'outils d'aide à la décision. En complément, SEREINE, projet également issu de PROFEEL et piloté par l'AQC, permet de mesurer la qualité des travaux de rénovation ou de construction des maisons individuelles et les gains en termes d'efficacité énergétique. La poussée des matériaux biosourcés La RE2020, en intégrant l'analyse de cycle des bâtiments, et donc la prise en compte du poids carbone des produits de construction, incite à l'intégration des matériaux bas carbone dans les systèmes d'isolation. Avec son référentiel Tremplin, l'ACERMI facilite le recours à ces isolants émergents en certifiant leur performance thermique. On assiste ainsi au développement de solutions qui font l'objet d'évaluation type ATec/ATEx qui utilisant des maériaux biosourcés ou intègrant l'usage de matières recyclées (coton, polyester à base de bouteilles recyclées, paille hachée, polystyrène expansé et polyurétane à base de chutes, canne à sucre, laine minérale recyclée...). Un premier pas vers l'éco-conception, en attendant de pouvoir comparer la performance environnementale des tous les produits de construction mis en œuvre sur un seul et même projet. PROFEEL est un programme porté par les organismes professionnels du bâtiment et financé par les certificats d'économie d'énergie. Il a vocation à faciliter et fiabiliser la rénovation énergétique des bâtiments existants pour répondre aux enjeux de la transition énergétique. Solutions & Performances - Numéro 11 : « Produits isolants » Le numéro 11 de Solutions & Performances est consacré aux produits isolants. PDF 4.19 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 73 jours

Interview Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Mathilde Louërat, ingénieure Recherche et Expertise, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis ingénieure, avec une formation généraliste et une spécialité en bâtiment et matériaux pour la construction durable. Après un doctorat sur les transferts de chaleur et d'humidité dans les matériaux biosourcés, j'ai intégré l'équipe Environnement de la direction Énergie-Environnement du CSTB à Grenoble il y a cinq ans. Mon souhait était de combiner expertise scientifique et politiques publiques. Sur quelles missions travaillez-vous dans le cadre de vos fonctions ? Depuis mon arrivée, j'ai principalement participé à la mise en place de la RE2020, réglementation environnementale qui remplace la RT 2012 et intègre pour la première fois des exigences sur les émissions de gaz à effet de serre en cycle de vie des bâtiments. Depuis un an, je suis également cheffe de projet R&D spécialisée dans la problématique de l'atténuation du changement climatique, rattachée au domaine d'action stratégique de recherche « Bâtiments et villes face au changement climatique » piloté par Alexandra Lebert. Ma mission consiste à coordonner, organiser et capitaliser nos travaux de recherche sur ce sujet. Dans votre domaine d'activité, quels sont les enjeux de demain pour le CSTB ? La chaîne de valeur bâtiment émet plus de 150 Mt eq. CO2, ce qui représente 25% de l'empreinte carbone des Français. L'objectif est d'atteindre 96 Mt en 2030 puis 16 Mt en 2050, un très grand défi pour le secteur et donc pour le CSTB ! Les enjeux correspondent à ceux de la feuille de route consacrée à l'atténuation du changement climatique : que les acteurs connaissent les impacts de leurs activités et décisions, qu'ils connaissent les efforts qu'ils doivent réaliser à court, moyen et long termes pour les réduire (et contribuer à la neutralité carbone) et qu'ils sachent sur quelles solutions s'appuyer. Pour cela, nous devons leur fournir les méthodes et outils pour connaitre les impacts de leurs opérations et déterminer leur trajectoire de décarbonation, identifier les solutions pour concevoir des bâtiments bas carbone, accompagner la filière vers la massification de la rénovation, former les acteurs à ces enjeux, intégrer le carbone dans l'évaluation des produits de construction, etc. Bref, toutes les activités du CSTB auront un rôle à jouer ! En tant qu'ingénieure Recherche et Expertise au CSTB, comment percevez-vous la place des femmes dans votre entreprise, et plus généralement dans le secteur de la construction ? Dans la direction Energie-Environnement que je connais le mieux, quatre responsables d'équipe sur six sont des femmes ! Un exemple qui montre, j'en ai l'impression en tout cas, que la prise de responsabilité des femmes n'est plus un sujet. Cependant, on constate quand même des répartitions assez genrées sur les thématiques : les collègues énergéticiens sont majoritairement des hommes tandis que l'équipe Environnement est principalement féminine (surtout si on ne prend pas en compte les métiers liés au développement informatique). Le secteur de la construction dans sa globalité n'est malheureusement pas encore au niveau du CSTB. Que signifie pour vous cette Journée internationale des droits des femmes ? C'est l'occasion de prendre le temps de se retourner pour voir le chemin accompli, mais aussi de regarder vers l'avenir pour se rendre compte que le chemin n'est toujours pas terminé pour atteindre l'égalité réelle entre hommes et femmes (en termes de droits, de rémunération, etc.). C'est aussi l'occasion de célébrer les femmes qui sont des modèles et qui nous aident à réfléchir, rire, vivre mieux. Pour en citer quelques-unes : Irène Frachon pour son courage et son combat contre le Mediator, Laure Calamy pour ses prises de position sur la décentralisation de la culture, Dominique Méda pour ses recherches sur le travail et à Alice Zeniter pour ses réflexions sur la place des femmes en littérature.
Il y a 2 ans et 87 jours

GAP Référencement passe à la vitesse supérieure

Après deux séminaires dans la sympathique station balnéaire du Grau du Roi, le nouvel objectif fût de trouver un lieu plus grand, croissance oblige.Ce sont donc les 18 et 19 janvier 2023 dans "la ville aux arènes" de Nîmes que les 80 personnes ont déposé leurs envies et leurs valises pour deux jours d’un séminaire riche en rencontres et en conseils.Un séminaire à l’esprit « collaboratif »Cette convention de deux jours était placée sous le signe de la rencontre, des échanges sur les différents services clés du réseau GAP RÉFÉRENCEMENT et de la convivialité.Ce séminaire fut d’abord humain avec la présentation des nouveaux adhérents. Un moment un peu plus long que prévu, au regard de leur nombre important, mais aussi de la richesse des échanges. Si nous défendons des valeurs communautaires et identitaires, nous ne manquons jamais une occasion de le prouver. Ainsi, chaque nouveau membre dispose d’un temps pour se présenter au travers son histoire, de ses attentes et de ses objectifs. Un moyen de briser la glace, mais également de comprendre les besoins de l’adhérent dans le but de bénéficier de l’entraide de ses nouveaux équipiers.Il fut ensuite technique avec l’intervention de différents animateurs du réseau, chacun dans son domaine de prédilection. L’objectif étant d’apporter aux adhérents des conseils et des méthodes actionnables dès le retour dans leur entreprise.De bonnes pratiques pour mieux gérer son équipe, son entrepôt, ses clients ou encore mieux communiquer en local. Autant d’actions à mettre en place de manière simple et pragmatique pour devenir plus performant et rentable.La surprise Michael Aguilar, en guest-starC’est bien connu, chez GAP RÉFÉRENCEMENT, on aime la différence.Et si on devait décrire le réseau par un seul mot, le terme "différent" viendrait instantanément à l’esprit de nos adhérents ou des professionnels du secteur.Proposer des approches différentes dans le management des entreprises est un des fondamentaux du réseau. C’est donc en toute logique que Jordan Khalifa a sollicité Michael Aguilar (conférencier au 350K abonnés sur LinkedIn) pour venir à la rencontre des dirigeants avec comme thématique principal "Faisez la différence".Oui, vous avez bien lu, "Faisez la différence". Il n’y a là aucune faute, juste de la pure vérité dans la manière d’anticiper, d’agir, de vivre, de changer son mode de fonctionnement, de diriger pour ne pas devenir meilleur… Mais être LE meilleur.Une intervention remarquée et remarquable, saluée par les 80 personnes. Leur écoute plus que studieuse et les sourires figés sur leurs visages pendant la conférence ont témoigné du bon moment passé.Une expérience unique et sympathique qui a fait la différence, merci Michael Aguilar.Un nouveau "GAP dating" professionnelFort du succès du premier "GAP dating" de septembre 2022, nous avons renouvelé l’expérience en adaptant la formule. Cette fois-ci, les fournisseurs ont été remplacés par des professionnels de la formation, de l’informatique, du management, de la communication, du recrutement, des achats, … et autres fonctions supports d’une société.Avec 10 ateliers, les groupes d’adhérents ont pu balayer différents sujets de la vie d’entreprise dans le but de poser des questions concrètes pour obtenir les réponses adaptées à leurs situations.Un nouveau moment d’échanges bienvenu où chacun s’est senti libre d’exprimer ses difficultés du quotidien en repartant avec des solutions à mettre en œuvre. Les résultats seront évoqués au prochain séminaire.Les achats au cœur du réseauEnfin, cette convention s’est terminée sur un point stratégique, les achats. C’est le sujet que tout le monde attend. Avec plus de 30M€ négociés en 2022, GAP RÉFÉRENCEMENT est devenu, en l’espace de 2 ans, un réseau respecté et très ambitieux au vu de son développement, surtout avec les 50 à 60M€ en prévision pour 2023.Si nous avons parlé de prix et de BFA (Bonus de Fin d'Année), nous avons également parlé de relations fournisseurs avec les adhérents. Délai de livraison, qualité produit, service SAV, suivi commercial, … l’échange sur les achats a aussi été le moment de prendre la même direction, voire la même décision.Fidèle au dicton "seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin", la réussite du réseau est sans aucun doute due à son esprit d’équipe. Le sujet des achats démontre une nouvelle fois que chez GAP RÉFÉRENCEMENT, c’est l’unité qui fait la force.Cet évènement à l’image de notre réseau "identitaire et communautaire" a une nouvelle fois marqué les esprits de manière positive. De nos jours, il n’est pas évident de faire déplacer les professionnels alors lorsque vous réussissez à réunir 90% de votre réseau, vous pouvez juste conclure "notre séminaire est utile et apprécié", merci à tous pour votre présence et votre participation.Pour Eric Beyne - Directeur commercial du réseau : On vit un moment fort. De toute ma carrière, je n’ai jamais vu ou connu une telle croissance en si peu de temps. Nous sommes passés de 25 à 50 adhérents en seulement six mois. Si on ajoute que le réseau a seulement trois ans d’existence, on mesure tout le travail et l’énergie que cela demande.On nous pose souvent la question "Comment expliquer cette croissance ?". Je réponds toujours la même chose, par notre différence, tout simplement.Nous essayons de proposer des projets simples, pragmatiques à nos adhérents en défendant en permanence leur identité. Mon équipe travaille tous les jours pour valoriser leur entreprise, les aider à se structurer, s’organiser pour devenir plus fort et plus compétitif. Cette convention a été une nouvelle fois à la hauteur de nos espérances. Imaginez que 90 % de nos adhérents se sont déplacés sur deux jours. Cela montre l’intérêt qu’ils portent aux informations reçues lors de ces moments privilégiés.Enfin, mon plus grand bonheur est de voir les adhérents s’inviter entre eux pour expliquer comment ils s’organisent pour traiter un sujet d’entreprise. Chacun donne son savoir-faire pour recevoir en retour, et ceci vaut tout l’or d’un réseau."
Il y a 2 ans et 90 jours

Lancement de la Base de données nationale des bâtiments

La BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. [©BDNB – CSTB] Nadia Bouyer, présidente du programme Profeel, Etienne Crépon, président du CSTB, et Philippe Estingoy, directeur général de l’AQC, ont présenté la Base de données nationale des bâtiments (BDNB). Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. Elle constitue une photographie exhaustive de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc. Et d’aider à sa rénovation. Lire aussi : Baromètre Inies : Toujours plus de données  Le programme Go-Rénove Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 M de logements et près de 1 Md de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent. Compte tenu des enjeux techniques et économiques, il est nécessaire que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puisse élaborer sa stratégie de rénovation. Mais aussi suivre son exécution et mesurer ses effets. Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle. A savoir, le programme Go-Rénove, dont le maître d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment. Ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux. D’une richesse inégalée Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics. Ceci, pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes. Et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, en particulier sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée. En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB renseigne son histoire administrative, sa morphologie ou les matériaux utilisés pour sa construction. Mais aussi ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE, sa valeur verte… La BDNB intègre aussi les consommations énergétiques publiées en open-data. A l’heure actuelle, 3 niveaux d’accès sont prévus :• BDNB Open sur data.gouv.fr : données et téléchargement en libre accès ;• BDNB ayants droit : les propriétaires de données fixent les règles de diffusion ;• BDNB Expert : pour les travaux de recherches et d’expertises du CSTB. Accessible à tous les acteurs et transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB constitue la première base publique et ouverte, de référence. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 90 jours

Edilteco® France publie une charte pour la bonne utilisation des gammes plancher et isolants de façade

Ainsi deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes Plancher et isolants Façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques.Et, pour les centrales à béton, c’est une série de fiches applicatives qui vient d’être publiée.Chartes des gammes plancher et isolants façadeDans le cadre de sa politique d’accompagnement et pour que la qualité des produits ne soit pas altérée, EDILTECO® a édité deux chartes, pour les gammes plancher et isolants façade, qui visent à détailler la bonne conduite et les bonnes pratiques d’utilisation des produits.Ainsi pour chaque produit, de chaque gamme, la charte est en quelque sorte un guide explicatif qui mentionne les caractéristiques techniques des produits, puis les préconisations de stockage, de manutention et de mise en œuvre.Également, les bonnes méthodes pour l’exécution des commandes, la réception de la livraison ou encore l’annulation et les retours sont explicitement détaillées afin que les clients soient informés des méthodes et processus pour que tout se passe dans des conditions optimales et dans les meilleurs délais.Nouvelles fiches applicatives pour les centrales à bétonHuit nouvelles fiches applicatives et techniques ont été créées à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité des centrales à béton. Ces fiches sont déclinées pour les gammes POLITERM® Fein, POLITERM® R et POLYS BÉTO® selon le type d’application : chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture.C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’applications, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications, les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – avec photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement.Il est évident que la fabrication d’un mortier allégé est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives EDILTECO® ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont on ne peut plus complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie.Par les règles qu’elle s’impose en matière de qualité, d’innovation, de compétence et de fiabilité, EDILTECO® conçoit des solutions qui pour la plupart sont brevetées et répondent aux normes et réglementations en vigueur.Ce sont sur ces mêmes notions d’exigence et de traçabilité que l’entreprise oeuvre pour une relation transparente et honnête avec ses clients à travers l’accompagnement, l’information et la prévention favorisant la recherche de collaborations de confiance et à long terme.
Il y a 2 ans et 96 jours

Base de Données Nationale des Bâtiments : une fiche d’identité de chaque bâtiment pour suivre l'évolution du parc existant et aider à sa rénovation

Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la Base de Données Nationale des Bâtiments établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles.Elle constitue une photographie exhaustive et « haute définition » de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc.Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 millions de logements et près d’1 milliard de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent.Il est dès lors nécessaire, vu les enjeux techniques et économiques, que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puissent élaborer leur stratégie de rénovation, suivre son exécution et mesurer ses effets.Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle : le programme GO-Rénove, dont le maitre d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment, ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux.Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes, et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, notamment sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée.En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB® renseigne notamment son histoire administrative, sa morphologie, les matériaux utilisés pour sa construction, ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE (en l’état et après rénovation), sa valeur verte…La BDNB® intègre également les consommations énergétiques publiées en open-data (SDES, données locales de l’énergie).Les règles d’accessibilité aux données de la BDNB® sont établies en plein accord avec les exploitants des bases de données et dans le strict respect du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD).Il existe trois niveaux d’accès à la BDNB® :La BDNB open qui regroupe toutes les données publiques libres d’accès intégrées à la BDNB®. Son téléchargement est en accès libre depuis le portail data.gouv.fr ;La BDNB ayants-droits dont l’accès est conditionné aux règles de diffusion fixées par les propriétaires de certaines données ;La BDNB expert accessible dans le cadre de travaux de recherche et d’expertise conduits avec le CSTB.Largement accessible à tous les acteurs, transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB® constitue, en la matière, la première base publique et ouverte de référence.Les services apportés par la BDNB®Pour l’élaboration de politique publique :Simuler le DPE sur l’ensemble des bâtiments résidentiels du parc, selon la nouvelle méthode 2021.Eclairer l’élaboration de politiques publiques et faciliter leur déploiement (référence : caractérisation du parc de logements localisé dans chaque Quartier Prioritaire de la Ville (QPV) en support à l’ANRU) ;Contribuer aux observatoires publics : en produisant des données complémentaires (référence : Mission « Connaissance », service public de la connaissance territoriale initié par le Ministère de la Transition écologique) - production des DPE resimulés ;en opérant des calculs d’indicateurs à la maille élémentaire du bâtiment (référence : participation au projet TRELO en support au Service des Etudes Statistiques (SDES) et en lien avec l’Observatoire National de la Rénovation Energétique (ONRE)) ;Pour accompagner les territoires, les bailleurs et les propriétaires dans leur stratégie :Constituer le socle de données des services d’aide à la décision de rénovation (références : services publics en ligne Go-rénove Go-rénove-particuliers, Go-rénove-bailleurs, et prochainement Go-rénove collectivité et Go-rénove-tertiaire) ;Caractériser le parc de bâtiments : statistiques (âge, typologie constructive, vecteurs énergétiques, etc…), empreinte énergie/carbone, scores DPE, gisement d’économie d’énergie ... (référence : contribution à la construction d’un cadre stratégique de patrimoine en support au groupe Action Logement).Les services qui pourraient être apportés demain par la BDNB® :Simuler l’impact de scénarios de politiques publiques ; Suivre les évolutions du parc et appréhender ainsi l’impact des actions de politique publique ou le déploiement d’une stratégie patrimoniale ; Identifier et valoriser les aménités d’un parc.
Il y a 2 ans et 104 jours

Les ciments bas carbone, privilégiés en Irlande

Le centre de broyage Ecocem de Dunkerque offre une capacité de production de l’ordre de 750 000 t/an de laitier moulu de hauts fourneaux. [©ACPresse] A travers son “Climate Action Plan 2023”, le gouvernement irlandais a fait le choix d’engager les organismes publics du pays à utiliser des ciments à faible teneur en carbone dans leurs projets. « Une décision exemplaire… et reproductible », salue Ecocem dans un communiqué de presse. Et surtout, une première en Europe. A l’origine fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux, Ecocem est très impliqué dans la massification des ciments et bétons bas carbone. A travers la décision du gouvernement irlandais, il voit ainsi son engagement conforté. En effet, cette annonce intervient après la publication de son rapport “Ciment : plus d’ambition pour moins d’émissions”. Cet évènement est aussi en phase avec le lancement de la nouvelle technologie Act, qui doit limiter l’utilisation de clinkers émissifs en carbone. Réduire la teneur en clinker du ciment Le gouvernement irlandais a publié son “Climate Action Plan 2023”. [©Gouvernement d’Irlande] La position officielle du gouvernement irlandais, dans son Climate Action Plan 2023, est de développer les ciments bas carbone. C’est une prise de conscience de l’urgence décisionnaire dans ce domaine. « Ce plan donne un exemple et un modèle à suivre dans les autres pays européens », déclare Conor O’Riain directeur général Europe et France d’Ecocem. Dans le secteur de la construction, ce Plan implique que, désormais, les organismes publics irlandais spécifient des méthodes de construction à faible teneur en carbone avec, en particulier, la réduction de la teneur en clinker du ciment. On parle de “remplacement des matériaux de construction par des produits à teneur en carbone faible ou nulle. Et réduction de la teneur en clinker du ciment lorsque cela est possible”. Lire aussi : Ecocem signe l’Act 1 de la décarbonation des ciments D’ailleurs, le paragraphe dédié à la reformulation de produits précise que : “En réduisant la teneur en clinker du ciment grâce à l’utilisation de nouveaux liants et fillers, nous pouvons réduire l’intensité carbone du ciment sans compromettre son intégrité. Cette action est techniquement réalisable et largement utilisée dans l’Union européenne. L’Irlande doit suivre et le secteur public montrera la voie, en spécifiant ciments et bétons à plus faible teneur en carbone pour les futurs projets de construction”. Soutenir les entreprises du secteur du ciment Remplacer une partie du clinker par du laitier moulu de hauts fourneaux permet de réduire l’empreinte carbone des ciments. [©Ecocem] Au-delà, l’Irlande s’engage à soutenir la recherche et le développement de solutions innovantes dans le secteur des matériaux de construction : « Le gouvernement soutiendra les entreprises du secteur du ciment et des matériaux de construction, engagées à développer de nouveaux matériaux cimentaires, des produits innovants et des technologies plus efficaces », reprend Conor O’Riain. Et Susan Mac Garry, directrice générale Ecocem Ireland, de poursuivre : « La politique publique sera désormais en phase avec la volonté du marché et l’ambition de décarbonation ». Lire aussi : Christian Clergue passe chez Ecocem Ainsi, Ecocem France continue d’informer et d’inciter les décisionnaires français à développer un encadrement nécessaire pour accroître un recours rationnel aux ciments et bétons bas carbone. L’industriel s’engage à travailler en étroite collaboration avec les producteurs de ciments et de bétons pour rendre la technologie aussi largement disponible que possible. Ceci, sur une base économique acceptable. Enfin, Ecocem met sa cellule prescription à disposition des maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage pour accompagner leurs futurs projets bas carbone. Ecocem impulse une R&D de premier plan, en collaboration avec des universités françaises (comme Toulouse et Saclay). Mais aussi étrangères pour proposer des solutions innovantes. Et reprend la déclaration du Climate Action Plan irlandais : « l’inaction n’est pas une option ! » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 108 jours

Parution de la 2e édition du Guide Installations photovoltaïques en toiture et façade du CSTB Editions

Il s’applique aux installations photovoltaïques mises en œuvre en :toitures inclinées en petits éléments de couverture (tuiles ou ardoises) ;toitures inclinées en grands éléments de couverture (plaques nervurées en acier ou aluminium ou plaques ondulées en fibre-ciment ou feuilles métalliques) ;toitures avec étanchéité (toitures-terrasses ou toitures inclinées) ;façades ;verrières, ombrières ou pergolas.Après une description détaillée des types de procédés photovoltaïques, les auteurs présentent les méthodes de dimensionnement et les détails de mise en œuvre avec de nombreux schémas détaillés dans le respect des divers DTU (toitures et façades). Des listes de points de contrôle avant, pendant et après chantier sont aussi proposées.Basé sur la jurisprudence des Avis Techniques et des Appréciations Techniques d’Expérimentation (ATEX), ce guide a été rédigé par deux experts du CSTB : Jean-Charles Corbin, ingénieur études et évaluation de procédés photovoltaïques et David Le Bellac, rapporteur du Groupe Spécialisé n° 21 - Procédés Photovoltaïques.Pour en savoir plus, consulter l’extrait du guide et le commander.Parution : Janvier 2023Edition : 2eNb de pages : 130Format : 16 x 24 cmCouverture : BrochéIntérieur : Quadri
Il y a 2 ans et 108 jours

Master Builders Solutions décortique la norme béton

Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Entre l’arrivée de le RE 2020, la nécessité de réduire l’impact environnemental de la construction et l’envie de s’inscrire dans une économie davantage circulaire, le monde de la construction évolue. Parfois très vite… De matière naturelle, le béton s’engage sur cette voie plus vertueuse. Mais pour avancer, il doit faire évoluer son encadrement normatif en France. C’est ainsi qu’en novembre 2022, le Complément National NF EN 206+A2/CN est entré en vigueur. Cette révision introduit des changements majeurs concernant les compositions des ciments et des bétons. Elle prend en compte de nouvelles technologies et le déploiement de méthodes spécifiques. Lire aussi : Le béton, grand oublié de la transition écologique Conscient de la force de ce Complément National, l’adjuvantier Master Builders Solutions a souhaité développer, de manière neutre, les implications pratiques pour les professionnels. En premier lieu, la norme béton NF EN 206-A2 devient NF EN 206-A2/CN. Ce Complément National qu’elle introduit précise les dispositions nationales complémentaires à la norme à respecter lorsque les articles de cette norme l’autorisent. Il s’applique lorsque le lieu d’utilisation du béton est la France pour les bétons destinés aux structures coulées en place. Mais aussi aux structures ou éléments de structures préfabriquées pour bâtiments et structures de génie civil. Il réunit les exigences applicables aux composants du béton à ses propriétés à ses spécifications jusqu’aux procédures de contrôle d’évaluation et de conformité et de livraison de ce matériau. L’arrivée des nouveaux types de ciments La nouvelle norme béton, décryptée par Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group, et Thibault Guédon, chef de marché BPE. [©MBS] Toutefois, ce nouveau texte inclut une optique environnementale, en ouvrant la voie à de nouvelles solutions ou compositions du béton faisant notamment la part belle à l’économie circulaire. Celle-ci ouvre trois grands axes nouveaux principaux. Tout d’abord, l’intégration et la reconnaissance de nouveaux ciments, à l’image des CEM II/C-M et des CEM-VI. Très compétitifs pour une réduction de l’empreinte carbone, ces ciments ont déjà été intégrés dans la norme NF EN 197-5. De type ternaires, à la teneur en clinker très limitée, ils sont désormais autorisés dans les formulations de béton. C’est une reconnaissance précieuse pour les nouveaux projets constructifs impliquant une réduction d’émission de CO2 considérable d’ici 2030. Lire aussi : Le cimentier 2170 fait évoluer la norme prEN 197-6 Ensuite, ce texte permet l’incorporation de matériaux recyclés. Exemples probants de l’économie circulaire, les granulats issus du recyclage n’étaient admis qu’en faible proportion (10 à 20 % au maximum), tandis que les sables recyclés étaient, eux, proscrits ! Le Complément National agrée désormais leur utilisation, permettant une substitution pouvant aller jusqu’à 20 % de sables et 60 % de granulats recyclés, sans nécessité d’une approche performantielle. Les conclusions du travail du Projet National RecyBéton sont ainsi intégrées dans la norme… Lire aussi : Projet national Recybéton : L’usage des granulats recyclés dans les bétons Le travail de Perfdub passe dans le cadre normatif A ce propos, l’approche performantielle, prédictive et récente, permet d’aller beaucoup plus loin dans la recherche de solutions vertueuses. Il s’agit d’une méthode de spécification, d’évaluation et de justification de la durabilité des structures en béton armé ou précontraint. Elle permet de déterminer des bétons à durée de vie spécifiques basés sur différents indicateurs de durabilité. Cette intégration permettra de faire évoluer la composition et la nature des composants des bétons vers des niveaux encore moins émetteurs en CO2. Le Projet National Perfdub, en cours de restitution, voit aussi son travail passer dans le cadre normatif. L’apparition de nouveaux ciments, reconnus par le Complément National, implique de nouvelles approches et méthodes de travail. « Il faut prendre en compte les caractéristiques de ces ciments en pleine évolution. Le rôle des adjuvants devient encore plus essentiel et va devoir faciliter l’emploi des ciments dits “bas carbone” », explique Christophe Landry, directeur adjuvants de MBCC Group. Et Thibault Guédon, chef de marché BPE, de poursuivre : « En effet, ces ciments peuvent avoir parfois un impact sur la maniabilité, sur la viscosité du matériau en raison des additions. En synergie, les adjuvants vont apporter une maniabilité accrue et permettre d’atteindre les résistances nécessaires à jeune âge et à 28 j. » Le cas des ciments à plus de 50 % de laitier Cette ouverture sur le marché s’inscrit dans la lignée des recherches menées par Master Builders Solutions. En particulier, sur les granulats et les sables difficiles, qui avaient abouti à l’offre d’une nouvelle technologie MasterSuna. Un modèle pour résoudre les difficultés ou complexifications de formulation sur la défloculation à l’initial et pour le maintien de maniabilité. Face à ce nouveau texte, les adjuvantiers vont devoir répondre à des caractéristiques propres à ces nouveaux matériaux, par des technologies adaptées. En parallèle, ils vont devoir accompagner les professionnels du béton pour gérer l’impact de la mise en place de cette nouvelle norme. Le rôle de Master Builders Solutions se verra donc encore enrichi. Et le laboratoire d’applications et de recherche expérimentale de Lisses (91), adapté grâce à de nouveaux process, sera à l’écoute des producteurs de béton et des formulateurs. Une norme indispensable et attendue Le Complément National introduit une subtilité et une distinction entre les CEM III/A à plus ou moins 50 % de laitier moulu de hauts fourneaux. Dans le cas des CEM III contenant plus de 50 % de laitier, les règles de formulation béton à suivre seront celles du tableau NA.F.3 /NA.F.4. Autrement dit, le ratio E/C et les classes de résistances seront sensiblement plus restrictives pour certaines classes d’exposition (XC3, XC4, XD1, XF1). De la même manière, le nouveau texte ouvre la voie aux ciments LC3 ternaires intégrant l’argile calcinée. Ces additions sont connues pour avoir des demandes en eau importantes et impliquer l’utilisation d’adjuvants spécifiques. Cette nouvelle orientation de la norme va faciliter l’application de la RE 2020. Les prescripteurs pourront plus facilement atteindre ces objectifs et répondre ainsi aux demandes accrues des maîtres d’ouvrage publics ou privés. Ils vont désormais pouvoir incorporer des matériaux issus de l’économie circulaire, dans le cadre normatif. Cette garantie de produits normés va de surcroît simplifier l’assurabilité des ouvrages pour le maître d’ouvrage. [Inter 5] Augmenter la performance des bétons « Cette évolution de la norme était indispensable et attendue », reprend Christophe Landry. La mission de la construction aujourd’hui s’est élargie, avec des objectifs environnementaux précis. En particulier, une baisse conséquente des émissions de CO2. La raréfaction des sables alluvionnaires avait déjà modifié les approvisionnements bien avant l’entrée en vigueur de la RE 2020, ce qu’avait anticipé Master Builders Solutions. Lire aussi : Impulse Partners : “Innover constitue un droit à continuer à construire” Aujourd’hui, face à ces nouveaux ciments ternaires et à la reconnaissance de l’approche performantielle, deux axes sont poursuivis par l’adjuvantier. En premier, faciliter au maximum l’utilisation de ces nouveaux ciments. Ceci, « en répondant aux pertes de maniabilité et de résistance à jeune âge ou à 28 j induites par ces nouvelles compositions. Mais aussi en intégrant l’accentuation de celles-ci en hiver », détaille Christophe Landry. Et, en second, augmenter les performances de ces bétons. Un guide sur les réductions de CO2 Il est donc nécessaire d’intégrer des adjuvants à long maintien de maniabilité, rôle du tout nouveau MasterSure 1400 (mis sur le marché avant l’entrée en vigueur de ce texte). Il faut aussi pallier les pertes de performances du béton pouvant, à terme, générer des pathologies (impact du rapport E/C). Le MasterX-Seed STE 54 est déjà là pour remédier à ces pertes… « La variabilité de nature et de pourcentage des additions va complexifier la formulation de ces bétons, explique Thibault Guédon. Master Builders Solutions est présent pour accompagner les formulateurs, mettant à disposition ses équipes sur le terrain et son laboratoire. » En amont, afin de faciliter l’approche des professionnels, Master Builders Solutions a publié un guide sur les réductions des émissions de CO2 du béton. Il s’agit d’une véritable stratégie d’approche vertueuse qui réfléchit sur les apports nécessaires à la profession et qui propose des outils dédiés. « Cette stratégie s’ancre sur la technologie et les performances, conclut Christophe Landry. La réactivité conduit cette stratégie, tant dans la proposition de produits pertinents que dans l’accompagnement, qui sont les clefs de résultats efficients. » A ce niveau, un outil tel que D-Carbon est déjà à la disposition des commerciaux pour calculer le bilan carbone des formules bétons… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 109 jours

Edilteco France publie deux chartes et 8 fiches applicatives

Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. [©Edilteco] Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise entend guider ses clients dans les bonnes pratiques à adopter. Ainsi, deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes planchers et isolants pour façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. A destination des centrales à béton Et pour les centrales à béton, c’est une série de 8 fiches applicatives qui vient d’être publiée à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité. Ces fiches sont déclinées pour les gammes Politherm Fein, Politherm R et Polys Béto selon le type d’application. A savoir, chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture. [Pour Béton] Lire aussi : Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’application, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications. Mais aussi les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement. Une réponse aux clients C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées, afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Il est évident que la fabrication d’un mortier léger est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants, afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont très complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie. Ces fiches sont disponibles ici et là. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 110 jours

Eurobridge : Sécurité et entretien des ponts en Europe

Au programme de la conférence Eurobridge : l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. [©Eurobridge] C’est à Bruxelles, en Belgique qu’aura lieu la conférence Eurobridge. Elle se déroulera le 14 avril 2023 à l’hôtel Le Plaza et portera sur l’entretien et la sécurité des ponts en Europe. Elle visera à mettre en avant les questions relatives à l’entretien des ouvrages d’art dans le respect de l’environnement. Ceci, avec un œil sur l’empreinte carbone, ainsi que sur la formation des nouveaux professionnels du secteur. Un événement placé sous la présidence de la Fédération de l’industrie européenne de la construction (Fiec). Trois tables rondes ponctuent la journée Les ponts sont les éléments essentiels des voies de communication, routières ou ferroviaires. Il est indispensable de les maintenir en bon état de service. La maintenance d’un pont commence toujours par la parfaite connaissance de son état. Le diagnostic permet d’établir les actions correctives. Les méthodes de surveillance et de gestions sont diverses. Trois tables rondes jalonneront cette journée de conférence avec, en filigrane, toutes ces problématiques. Lire aussi : L’AFGC met à l’honneur le pont de Plougastel – Albert Louppe Dans la 1e table ronde – L’inspection et la gestion des ponts – seront présentés quelques exemples originaux mis en place dans certains pays d’Europe. La 2e table ronde – Les impacts environnementaux des ponts – proposera de développer le Green Deal1. Et l’objectif de la neutralité carbone en 2050, en particulier dans le domaine de la maintenance des ponts. Des ouvrages mal entretenus, par les perturbations de trafic que provoque leur réparation ou leur reconstruction, sont des sources de dépense d’énergie et d’émission de carbone très importantes. Le bon entretien courant des ponts participe aussi à l’économie d’énergie et à la préservation des ressources. Ainsi, seront mis en avant des exemples de démarches originales, engagées par les gestionnaires de certains pays, afin de participer à l’objectif fixé pour 2050. La formation à de nouveaux métiers Dans la 3e table ronde – De nouveaux métiers pour la gestion des ponts – sera exposée la maintenance des ponts, par la surveillance, le diagnostic et l’études des actions correctives qu’elle génère. Cela va faire émerger de nouveaux métiers nouveaux. Il faudra adapter les formations actuelles des techniciens et ingénieurs vers ces nouvelles spécialités. L’apprentissage va sans aucun doute devenir la règle, dans tous les métiers. Grâce au dispositif Erasmus-Pro, les jeunes apprentis vont pouvoir, comme les étudiants, compléter leurs études à l’étranger. Quelques témoignages sur différents pays seront présentés. La recherche de nouveaux matériaux et de nouvelles techniques nécessite des personnels adaptés et compétents. La formation est un élément essentiel pour permettre cette recherche et la mise en œuvre de ces techniques. C’est en particulier pour les ponts, l’assurance d’une bonne gestion et de la pérennité des ouvrages. 1Le Green Deal européen est un ensemble d’initiatives politiques en faveur de l’écologie s’étalant sur un peu moins de 30 ans et conduit par un objectif principal de neutralité carbone à horizon 2050. Détails de l’inscription ici Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 110 jours

edilteco r france publie une charte pour la bonne utilisation des gammes plancher et isolants de facade

EDILTECO® France entame l’année 2023 sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise qui met un point d’honneur à concevoir des produits et solutions de qualité et dont la bonne conception et les performances sont certifiées, entend conseiller, prévenir et accompagner ses clients dans les bonnes pratiques et utilisations à adopter. Ainsi deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes Plancher et isolants Façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. Et, pour les centrales à béton, c’est une série de fiches applicatives qui vient d’être publiée.
Il y a 2 ans et 115 jours

A Hanoï au Vietnam, les maisons coloniales françaises menacent de s'effondrer

"Quand j'étais enfant, je me souviens que c'était une maison magnifique", lance auprès de l'AFP l'homme de 47 ans, en contemplant la bâtisse des années 1930 qu'il habite, au style Art déco mêlé d'éléments vietnamiens.Désormais, les murs de la façade sont rayés de fissures, des tuiles se détachent du toit, et à l'intérieur, les escaliers en bois se sont déformés sous le poids des années et de l'humidité.Plusieurs centaines de maisons qui témoignent du passé colonial de l'ancienne capitale de l'Indochine française, vieilles de presque un siècle, menacent de retourner à la poussière, faute de rénovation, ou de volonté politique pour les conserver.Leurs résidents, qui vivent dans des conditions exiguës, à la merci de l'humidité et du bruit extérieur, devront déménager si la situation ne s'améliore pas, en raison du risque d'effondrement, ont prévenu les architectes.Malgré son attachement au lieu, Nguyen Manh Tri a pris la décision de quitter bientôt la vieille bâtisse vétuste pour s'installer avec sa femme et leurs deux enfants dans un appartement moderne de Hanoï.Risques d'effondrement"Nous ne pouvons pas nous sortir de cette situation", assure-t-il.C'était pourtant un endroit "romantique", se rappelle-t-il.Aujourd'hui, la façade de certaines maisons coloniales sont cachées derrière des cafés, des restaurants de nouilles ou des boutiques de mode, dans l'urbanisme grouillant de la capitale vietnamienne.La plupart de ces bâtiments ont été construits par les Français, mais beaucoup d'autres l'ont été par des architectes locaux, pour héberger leurs compatriotes les plus aisés sous l'ère coloniale.Au départ de l'occupant colonial en 1954, le gouvernement communiste en a saisi des milliers pour les transformer en bureaux, et, pour les autres, exigé des propriétaires qu'ils les partagent avec des familles pauvres qui ont pu s'y installer.Certains propriétaires privés continuent de s'accrocher à leurs murs remplis d'histoire, malgré les conditions difficiles, sans savoir combien de temps leur toit va encore tenir."J'ai vécu ici toute ma vie, donc je ne veux pas bouger ailleurs", affirme Hoang Chung Thuy, 65 ans, qui partage le bâtiment colonial de trois étages avec dix autres ménages, un restaurant de fruits de mer, une boutique de vêtements et un comptoir à thé.Faute d'accord de ses voisins du dessus, elle ne peut pas réparer les murs qui s'effritent, mais jure fidélité à la maison construite par ses grands-parents.Le problème, c'est que ces bâtiments "risquent de se délabrer et de s'effondrer", explique Tran Huy Anh, de l'Association des architectes de Hanoï.Rénovation à un million"Ceux construits au début du 20e siècle... ont besoin de travaux constants de rénovation et de maintenance tous les 20 ou 30 ans, pas plus tard", insiste-t-il.En 2015, deux personnes sont décédées dans l'effondrement d'une maison construite en 1905, dans laquelle vivaient 20 personnes.Les autorités ont pris des mesures de préservation en 2013, mais faute de volonté claire, une large partie des maisons de l'époque coloniale ont été rasées, selon Ahn.En avril, la ville de Hanoï a annoncé son intention de mettre en vente 600 maisons, avant de se rétracter quelques jours plus tard.Après plusieurs volte-face, la municipalité semble résolue à protéger son patrimoine, et a classé en début d'année environ 1.200 maisons de l'époque coloniale sur une liste de sauvegarde de patrimoine.Elle s'est aussi fixée l'objectif d'en rénover 60 d'ici 2025. Mais son projet se heurte aux longues discussions à tenir avec les résidents pour les convaincre de déménager, face à l'ampleur des travaux qui requièrent des logements vides.Il a fallu dix ans pour que son premier projet de rénovation, qui a coûté un million de dollars, puisse commencer.Pham Tuan Long, en charge de la gestion du district central de Hoan Kiem à Hanoï, et architecte de profession, assure que Hanoï est déterminée à redorer le lustre de ses vieilles maisons."Nous essayons de préserver les éléments originaux et les valeurs architecturales autant que possible en utilisant des matériaux et des méthodes de rénovation traditionnelles", affirme-t-il.
Il y a 2 ans et 115 jours

La "Maison Sanofi" par Studios Architecture : une nouvelle ère pour les sièges d'entreprise

Dépassant la notion même de siège social, le site se définit comme un Hub : un lieu d’accueil ouvert à l’ensemble de la communauté Sanofi. Son approche révolutionne le rôle des centres névralgiques des grands groupes internationaux. A l’opposé des codes traditionnels, le bâtiment libère l’espace et les usages pour que chacun puisse s’approprier des lieux multiples, pensés pour s’épanouir, partager et innover.La communauté SANOFI est invitée à expérimenter une maison dynamique, moderne et éco- responsable, qui insuffle un état d’esprit collaboratif à tous les étages.« La Maison Sanofi » écrit une nouvelle page de l’histoire du bureau post-covid où c’est désormais l’usage qui crée le lieu. Le projet fait radicalement tomber les barrières du bureau classique pour laisser une seule et unique place à l’expérience sociale collective, à vivre pleinement dans le lieu et à partager avec les autres sites du groupe grâce au digital. L’ambition affichée par SANOFI révolutionne la conception des sièges des grands groupes, qui s’ouvrent désormais à leurs écosystèmes, passent en mode 100% flexibles et hybrides avec des nouvelles méthodes de travail innovantes. » Hidekazu Moritani, Associé Senior de STUDIOS Architecture.Un hub pensé comme un écosystème de partageL’objectif de ce nouveau site est de créer avant tout un lieu de socialisation, de collaboration et d’innovation. Une « maison » pour recevoir l’ensemble des collaborateurs de Sanofi à travers le monde, ainsi que son écosystème plus large composé de start ups, de chercheurs, de partenaires et de clients.Sur les deux niveaux du RDC, l’Agora et l’espace gradins sous l’atrium représentent le coeur actif du bâtiment. Lieu d’accueil vivant, il offre de multiples possibilités de reconfiguration au gré des évènements.Pensé pour optimiser l’ouverture à la communauté Sanofi, le hall d’accueil réinvente l’approche en matière de sécurité, en intégrant une nouvelle flexibilité : deux niveaux de contrôle d’accès ont été conçus pour pouvoir adapter le niveau d’accessibilité en fonction des évènements.Alors que 500 collaborateurs sont rattachés au site de l’avenue de la Grande-Armée, celui-ci est conçu pour recevoir également 200 visiteurs quotidiens. Les espaces facilement appropriables offrent une grande variété de configurations pour s’installer rapidement et se sentir chez soi. Marqueur fort de la transformation : 40% du bâtiment est dédié aux espaces partagés.Travail et restauration : superposition et hybridation des programmesLes espaces de partage sont conçus comme des espaces hybrides et offrent de multiples expériences tout au long de la journée. Au fil des étages, l’ensemble des espaces de rencontre et de réunion s’activent selon les usages.«The Kitchen»– un espace flexible avec de multiples types d’assises ouvert toute la journée se transforme en lieu de coworking en dehors des repas.Expériences sur mesureL’expérience utilisateur a été pensée et adaptée selon les différents profils : le collaborateur présent au quotidien, le télétravailleur plus flexible ou le visiteur d’un autre site qui vient vivre une expérience sortant de l’ordinaire.Des espaces de travail 100% flexiblesSur les 5 étages de bureaux, finie la relation binaire poste de travail / salles de réunion. Avec la mise en place du télétravail, le bureau s’adapte en mode hybride. Chaque espace est conçu pour être expérimenté avec une grande flexibilité, selon les profils et les besoins des utilisateurs. L’espace de travail distingue les zones actives des zones plus calmes, plus feutrées et propices à la concentration et aux tâches individuelles.La flexibilité est soutenue par la technologie. Les batteries mobiles permettent de « libérer » les usages. Dans la zone active, le poste de travail traditionnel fait place à des tables d’équipe avec du mobilier mobile, et les « studios » avec leurs cloisons vitrées escamotables, permettent de travailler en équipe et de passer de manière fluide en mode réunion dans le même espace.L’avènement de la communication digitale pour rassembler toute la communautéLa communication est un élément central dans l’ère post-Covid : le site accueillera un studio TV et des «blogger studios ». L’auditorium est adapté pour réaliser et diffuser des enregistrements. La multiplication de petites espaces adaptés à la visioconférence (pods pour 1, 2 ou 4 personnes) répond aux nouveaux modes de collaboration. La halle agile, quant à elle, offrira un espace propice au brainstorming et au «creative thinking», et sera connectée à d’autres sites en temps réel par le biais d’une «Vitre » comme un véritable portail spatio-temporel.Informations clésSurface : 9 000 m²Maître d’ouvrage : Sanofi, AMO JLLMaîtrise d’œuvre : STUDIOS ArchitectureCertifications : BREEAM Excellent ; HQE Excellent ; Wiredscore Gold ; WELL GoldCrédit images : ©Luc Boegly ©Stefano Candito
Il y a 2 ans et 116 jours

Les Jardins de Stains, une opération pilote offrant des logements solidaires labellisés Passivhaus à Stains (93)

Alors que l’opération les Jardins de Stains, est inaugurée ce jour, c’est toute une opération pilote, fondée sur une démarche sociologique inédite pour améliorer l’accès au parc social en France, qui se concrétise !Si à première vue les deux bâtiments de 59 logements locatifs neufs, situés rue Jean Durand à Stains, ressemblent à un ensemble immobilier comme les autres, il s’agit pourtant d’un projet remarquable à plus d’un titre !Il l’est tout d’abord, par la diversité des partenaires impliqués : L’EPT Plaine Commune, la Ville de Stains, Seine-Saint-Denis habitat, l’aménageur Plaine Commune Développement, l’association Action Tank Entreprise & Pauvreté, Linkcity, Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Atelier d’architecture Pascal Gontier.L’ensemble de ces acteurs ont décidé d’unir leurs forces et leurs savoir-faire respectifs vers un même but : produire des logements sociaux écologiques, qualitatifs et plus abordables.Pour y parvenir, ils ont mis en œuvre pour la première fois en France une démarche reposant sur une analyse fine des bases de données de demandeurs de logements, afin de proposer une programmation sur mesure : la bonne combinaison entre typologie, surface et mode de financement.Intégrés dans l’Ecoquartier intercommunal de la ZAC des Tartres, Les Jardins de Stains incarnent un nouveau modèle d’habitat social plus inclusif à travers l’amélioration du reste-pour-vivre des habitants (ce qu’il reste à une personne ou à un ménage lorsqu’on a enlevé toutes les dépenses incompressibles).À retenirAu-delà des enjeux de l’habitat social en France, ce projet pilote dont l’ambition est d’être réplicable, donne à repenser les méthodes traditionnelles de programmation et de conception immobilière des logements.Réinventer la méthode de détermination de la programmation pour rendre les logements sociaux plus accessiblesInverser le processus habituel en partant d’abord des besoins en logements non adressés ou mal satisfaits sur le territoire, puis en intégrant dans un second temps les contraintes économiques, administratives et politiques, pour aboutir à une programmation locative sociale qui contribue à réduire les inégalités d’accès au logement sur le territoire.Réinventer la méthode de conception immobilière pour rendre les logements sociaux plus abordablesUn pilotage par le coût global des futurs logements (coûts tout au long du cycle de vie du bâtiment, de sa conception, son exploitation à sa démolition) dans le cadre d’une méthode de conception intégrée prenant en compte les usages. La co-conception permet de rompre les silos entre les acteurs de la chaîne de valeur du logement : tous les acteurs sont mobilisés dès le début de la phase de conception et réunis autour de l’objectif de réduction du coût d’usage des logements et d’augmentation du reste-pour-vivre des futurs habitants.
Il y a 2 ans et 122 jours

DPE, RE2020, RTx, … le projet Cible veut unifier les méthodes de calcul et plus encore

Les moteurs et méthodes de calcul diffèrent entre le DPE, la RE2020, la réglementation thermique dans l’existant (RTx). Lancé par le CSTB, HQE-GBC et Effinergie, Cible veut aboutir à un outil unique.
Il y a 2 ans et 125 jours

Fabricants, quelles clés pour une collaboration réussie dans vos projets?

Fabricant de la construction, un rôle central dans l’écosystème Fabricant, acteur clé des projets du BTP  En tant que fabricant de la construction, les architectes, ingénieurs et entreprises de la construction ont besoin de vos produits et de leurs données, pour réaliser des projets de qualité. Ils sont la base de tout projet de construction. Néanmoins, vous avez également besoin de ces acteurs pour qu’ils achètent vos produits et fassent tourner votre business. Vous l’aurez compris, la solution pour faciliter les tâches de chacun réside dans la collaboration.  Votre rôle à l’ère du numérique On le répète : collaborer est le maître mot dans la réussite des projets de tous les acteurs du BTP. Mais, à l’ère du numérique, comment s’y prendre ? Aujourd’hui, les méthodes pour parvenir à vos clients ne sont pas les mêmes qu’il y a quelques années. Alors, pour travailler “en son temps”, la transformation digitale de vos produits et l’usage du BIM sont une nécessité. Et bonne nouvelle, cette méthodologie assure une collaboration optimale avec les utilisateurs de vos produits.   En effet, les architectes, ingénieurs et constructeurs ont besoin de vos produits sous format digital. Pourquoi ? Car cela leur garantit des objets 3D qualitatifs, ainsi que des données sur chacun des produits. Qui dit besoin, dit offre. En proposant vos produits fabricants en format BIM, vous pourrez commercialiser vos produits sur le marché et faire entrer plus de business au sein de votre entreprise.  Qu’attendent de vous les utilisateurs de vos produits ?  Architectes, en quête d’objets BIM de qualité Saviez-vous que 90% des architectes souhaitent que les fabricants de la construction soient impliqués dans le processus de spécification de leurs projets ? Et que 88% d’entre eux considèrent cette collaboration comme indispensable à leur succès ? C’est ce que confirme une étude de l’AIA (American Institute of Architects) datée de 2021.  Les architectes utilisent de plus en plus le BIM afin d’accéder dès le début d’un projet aux informations clés pour mener à bien ces missions. Chaque maquette numérique d’un bâtiment peut contenir des centaines voire des milliers d’objets BIM. En ayant accès à vos objets fabricants déjà prêts en 3D de qualité et fonctionnels, les architectes vont gagner un temps considérable. Cela garantira également à l’architecte mais aussi à son client et au maître d’ouvrage, une visualisation du résultat final fidèle à la réalité.  Aussi, grâce à vos objets digitalisés qualitatifs, lorsque l’architecte devra choisir un fabricant de la construction pour son projet, il fera directement appel à vous. Un réel différenciant par rapport à la concurrence !  Ingénieurs, à l’affût de données fiables Dans un projet de construction, l’ingénieur joue un rôle clé dans la conception, l’installation et la maintenance d’un bâtiment. Il examine l’état, la faisabilité et l’efficacité énergétique des projets. Pour ne pas se perdre parmi la multitude d’informations que cela représente, l’ingénieur a également recours au BIM. Le “I” de BIM, à savoir l’information, lui est primordial car cela représente une source unique de données. Il faut comprendre qu’il est très difficile de choisir un produit sur un catalogue papier, en raison des contraintes réglementaires imposées sur les fiches techniques. Il vous appartient donc de les fournir en choisissant un canal de digitalisation plus approprié pour faciliter sa prise de décision.  Et comment vous assurez-vous que ces ingénieurs fassent appel à vous? En étant visibles ! C’est en ajoutant vos objets sur une plateforme publique telle que bimandco.com, que les ingénieurs voient tous vos produits et leurs données, et peuvent les télécharger gratuitement. Une solution qui bénéficie à tout le monde ! Alors, prêt à réussir votre collaboration pour vos projets de construction actuels et futurs? Notre équipe chez BIM&CO vous accompagne dans la digitalisation de vos produits, pour leur garantir une meilleure visibilité et vous faciliter la mise en lien avec les bonnes personnes. Découvrez la suite dans notre article de blog complet
Il y a 2 ans et 129 jours

Gel des biens immobiliers russes : Bercy pointe la négligence d'agents immobiliers

SANCTIONS. Les enquêteurs de la Répression des fraudes se sont penchés sur les méthodes des agences immobilières dans certaines communes cossues de la Côte-d'Azur, pour s'assurer que les professionnels vérifiaient bien que leurs clients n'étaient pas frappés par la décision de gel des avoirs immobiliers russes. Une majorité d'entre eux n'a pas correctement appliqué la réglementation.
Il y a 2 ans et 135 jours

Brico Fenêtre double son CA en 18 mois et annonce son lancement en Espagne

Pari réussi pour Brico-Fenêtre.com qui dépasse les 21 M€ de chiffre d’affairesBrico Fenêtre annonçait, il y a 18 mois, un objectif ambitieux : doubler son chiffre d’affaires d’ici fin 2022. Un challenge annoncé peu de temps avant que la conjoncture et le contexte actuel fassent terriblement bouger les lignes du secteur de l’industrie et du bâtiment. Et pourtant, Brico Fenêtre a gardé le cap et a relevé le défi avec un chiffre d’affaires qui s’élève aujourd’hui à plus de 21 M€.La recette du succès ? Une stratégie de plus en plus tournée vers l’aluminium et le développement de ses ventes auprès des professionnels artisans.Brico Fenêtre suit et analyse de près les tendances de consommation pour toujours s’adapter aux attentes des Français. Consciente que la tendance du marché est à l’aluminium, l’entreprise a misé sur ce matériau pour accélérer son développement. Pour cela, fin 2021, le fabricant inaugurait son nouvel outil industriel dédié à l’aluminium. Une usine de pointe qui lui a permis de faire grimper sa capacité de production de 200 à 400 menuiseries/jour et ainsi répondre à une demande croissante. En 2022, l’aluminium représente 25% des quantités vendues par la plateforme (vs. 21% en 2021).Les professionnels du bâtiment font face à l’explosion des rénovations énergétiques des logements, notamment boostée par la RE2020 et la hausse des coûts de l’énergie. De fait, conscient que les artisans sont un véritable levier de croissance, Brico Fenêtre a choisi, cette année, d’en faire un axe de développement prioritaire. Les services (livraison sur chantier par exemple) et la flexibilité (comme la possibilité de commander à toute heure) proposés par le e-commerçant séduisent les artisans. La preuve :la plateforme a doublé son chiffre d’affaires réalisé auprès des professionnels en deux ans (5 M€ en 2022 vs. 2,5 M€ en 2020).Pour Thierry Rambert, fondateur et dirigeant de Brico Fenêtre : "Malgré la complexité du marché dans lequel nous évoluons depuis plus d’un an, nous affichons une croissance exceptionnelle dans l’histoire de Brico Fenêtre. C’est une vraie fierté. Pour les prochains mois, notre priorité en France est de consolider durablement cette belle dynamique de développement."Le e-commerçant duplique son modèle en Espagne et lance brico-ventana.esLa croissance remarquable qu’a connu Brico Fenêtre cette dernière année adossée à la demande exponentielle qu’il rencontre en Europe, en dehors du territoire français (soit 4% de son chiffre d’affaires), amènent l’entreprise à miser sur une nouvelle stratégie de développement : l’internationalisation. Elle se lance ainsi le challenge de s’imposer sur le marché européen.Afin d’être au plus proche des besoins des consommateurs et rester fidèle à son concept basé sur le direct-usine en circuit court, Brico Fenêtre a choisi de dupliquer son modèle dans d’autres pays européens, plutôt que de simplement exporter ses produits en dehors de ses frontières. Une stratégie qui lui permet également de s’adapter aux spécificités de chaque territoire (en termes d’architecture, de réglementations, de méthodes de construction et d’isolation…) en fabricant des produits appropriés à chaque marché.C’est l’Espagne qui a ouvert le bal avec le lancement de brico-ventana.es en mars 2022. Pour la production de ses menuiseries, Brico Ventana s’appuie sur l’usine du groupe Biason de 7.000 m2 située à Sant-Celoni et dédiée au PVC avec une capacité de production de 300 menuiseries/jour. En parallèle, l’entreprise a sélectionné des partenaires espagnols et portugais pour venir compléter son offre et proposer une plus large gamme de produits (volets, portes d’entrée, accessoires...).Pour Thierry Rambert : "Neuf mois après notre lancement en Espagne, Brico Ventana se développe jour après jour. On observe d’ailleurs un bond de son chiffre d’affaires ces trois derniers mois. Une donnée prometteuse qui nous conforte dans notre stratégie de développement au-delà de nos frontières d’origines. Maintenant, le défi est de faire de cette première implantation européenne un succès et, pourquoi pas, commencer à réfléchir à de nouveaux ancrages."
Il y a 2 ans et 150 jours

CRH Ventures soutient les start-up de la construction

CRH Ventures cherche des partenariats avec les start-up de la construction. [©CRH] Le groupe irlandais CRH vient d’annoncer la création de CRH Ventures. Cette unité de capital-risque a vocation à soutenir le développement de technologies et de solutions innovantes. Ceci, afin de répondre aux besoins de plus en plus complexes des clients du secteur de la construction et aux tendances évolutives qui s’y rattachent. Ayant accès à un fonds de 236 M€ à investir, CRH Ventures s’associera à des entreprises de construction et de technologie climatique qui interviennent sur l’ensemble de la chaîne de valeur du BTP. Elle se concentrera sur les technologies de pointe, en se focalisant sur différents profils d’entreprises. Tout d’abord, celles qui développent la prochaine génération de produits de construction, durables et engagés sur la voie de la décarbonation. Ensuite, celles qui se concentrent sur l’automatisation et les méthodes de construction hors site pour édifier des constructions avec davantage d’efficacité et de sécurité. Puis, celles qui cherchent à tirer parti des technologies numériques pour construire plus intelligemment. Et enfin, celles qui veulent accroître l’efficacité et l’optimisation du marché pour offrir une meilleure valeur aux clients. CRH Ventures cherche des opportunités d’investissement « Le lancement de CRH Ventures démontre notre engagement continu à investir dans les nouvelles technologies qui façonneront l’environnement bâti de demain, déclare Albert Manifold, directeur général de CRH. CRH Ventures servira de partenaire précieux pour les start-up et les entrepreneurs qui bénéficieront des capacités techniques. Mais aussi des connaissances et de l’expertise d’un leader mondial de l’industrie des matériaux de construction. Ils pourront ainsi mieux piloter et mettre à l’échelle de nouvelles technologies et innovations qui permettront une construction plus sûre, plus intelligente et plus durable. » Lire aussi : Impulse Partners : « Innover constitue un droit à continuer à construire » Dès à présent, CRH Ventures recherche activement des opportunités d’investissement. Elle a d’ailleurs déjà établi des partenariats avec des start-up de la construction et des technologies climatiques, dans les domaines de la numérisation et de la décarbonation. A bon entendeur… Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 150 jours

Grue connectée : Spie batignolles et la start-up CAD.42 signent un contrat de partenariat de 3 ans

D'une durée de 3 ans, ce partenariat porte sur le co-développement de nouveaux services aux chantiers, basés sur une technologie d'Intelligence Artificielle (IA) alimentée par les données captées sur les grues des projets Spie batignolles.Pour Alexis Hermet : « Ce partenariat répond à notre quête continue de solutions d'optimisation de nos engins et de nos process pour gagner en productivité, en logistique et en planification. »Pour Jean-Philippe Panaget : « Ce partenariat est à la fois l'occasion d'enrichir massivement la banque de données exploitée par nos algorithmes d'intelligence artificielle, mais aussi de co-construire les services de demain pour les chantiers, et les méthodes/études de prix. »Un partenariat formalisé après deux années de collaboration fructueuseDans sa recherche de solutions d'optimisation du fonctionnement de ses grues, Spie batignolles a sollicité, début 2021, le savoir-faire de la start-up CAD.42, experte en matière de capteurs sur grue et engins mobiles.Dans le cadre d'un POC (Proof of Concept), un premier chantier de la branche construction de Spie batignolles a été équipé d'un boîtier connecté au cloud, conçu par CAD.42, afin de monitorer l'utilisation de la grue.Celui-ci intégrait 3 technologies :Capteur de géolocalisation pour mesurer en temps réel tous les déplacements d'une grue au cours d'une journée.Capteur dynamométrique, une technologie de mesure du poids soulevéTechnologie d'identification visuelle des charges de la grue (banche, benne à béton, poutre préfabriquée…).Le croisement de ces 3 capteurs a permis de recueillir de précieuses données sur l'exploitation de la grue et d'identifier des développements à initier, notamment le lien avec le BIM 4D (planification) ou l'élaboration de tableaux de bords.De nouvelles méthodes constructives pour gagner en productivitéDans le cadre du partenariat, une équipe projet a été mise en place, réunissant à la fois des collaborateurs de Spie batignolles et de CAD.42.Le protocole prévoit l'acquisition par Spie batignolles de boîtiers intelligents supplémentaires dans un objectif de massification des données alimentant la technologie d'IA. Ils sont notamment équipés de cellules photographiques alimentant une photothèque exhaustive, l'un des objectifs principaux étant, à terme, la reconnaissance de tous les matériaux et matériels soulevés par la grue. Ces boîtiers seront déployés sur plusieurs chantiers de construction menés par le Groupe sur l'ensemble du territoire français.L'équipe projet sera alors chargée d'analyser les données réceptionnées par chacune des grues équipées, d'exploiter les rapports journaliers de la grue, et de faire progresser conjointement cette solution. Ce travail permettra de parfaire le fonctionnement et codévelopper de nouvelles fonctionnalités.Le partenariat « gagnant-gagnant » vise à la fois un bénéfice pour Spie batignolles, à travers l'amélioration de sa productivité, et à la fois un accompagnement de la startup CAD.42 pour entraîner et améliorer sa solution.Pour Alexis Hermet : « C'est la grue qui donne le rythme d'un chantier de construction. Or nous ne nous servons pas actuellement des données instantanées de la grue pour mesurer la performance et la productivité d'un chantier. Notre collaboration avec CAD.42 vise à mieux comprendre l'exploitation de nos grues grâce à des données croisées particulièrement précises. Cela nous permettra d'en optimiser l'utilisation, comme réduire les temps de déplacements à vide, ou encore réaliser des chrono-analyses automatisées. Les tableaux de bord de productivité seront des outils précieux d'aide à la décision pour nos conducteurs de travaux et d'amélioration continue afin de définir et fiabiliser nos standards et nos bibliothèques de temps unitaires. »Au-delà de la construction, des tests avec les boîtiers connectés sont déjà en cours sur des usages complémentaires tel que la gestion des interférences de grues chez Spie batignolles fondations et Spie batignolles génie civil.
Il y a 2 ans et 150 jours

Rym Mtibaa, nouvelle directrice des projets chez EndLess

Rym Mtibaa a été nommée directrice des projets chez EndLess. [©EndLess] EndLess annonce la nomination de Rym Mtibaa comme nouvelle directrice des projets. L’entreprise confirme ainsi sa dynamique de croissance. Et son ambition de devenir le partenaire de référence des éco-organismes de la Rep PMCB. En effet, Endless propose des solutions de collecte et de valorisation de tous les déchets de chantier. Elle est issue du groupe Big Bag’n Go x SOS Bennes.  « Cette filière naissante nous amène à nous réinventer et nécessite la création de méthodes, d’outils et de nouvelles pratiques concertées avec la profession. Ce recrutement est un signal fort envoyé au secteur qu’une bascule est en train de s’opérer, déclare Thibaut d’Hau Decuypere, directeur général d’EndLess. Et de poursuivre : « Les acteurs de la gestion des déchets s’entourent de compétences en lien avec la Rep, au même titre que les acteurs de la Rep s’entourent d’experts de la gestion des déchets ». Les missions de Rym Mtibaa Ainsi, Rym Mtibaa contribuera à la transformation du groupe. Interlocutrice des éco-organismes de la filière Rep PMCB. Elle aura pour mission de trouver des solutions opérationnelles au sujet d’innovations. Telles que la logistique des flux triés sur les chantiers, la mise en œuvre de la reprise gratuite, la traçabilité des déchets… qui répondra aux standards de la filière. « La Rep vient donner un cadre à une dynamique déjà présente. C’est le résultat d’une prise de conscience du sujet qui est en œuvre depuis fort longtemps. Elle apporte aux acteurs des garanties, en termes de volumes de déchets et de reprise. Cela leur permet d’investir dans les transformations nécessaires. Une dynamique dans laquelle les gestionnaires de déchets vont jouer un rôle déterminant pour la réussite de cette filière », commente Rym Mtibaa, la nouvelle directrice des projets EndLess. Avant de compléter : « Rejoindre EndLess aujourd’hui, c’est rejoindre un acteur clef de cette transformation. Le maillon entre la chaîne amont, c’est-à-dire les entreprises du bâtiment, les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’œuvre… Et la chaîne aval, constituée des éco-organismes, des préparateurs matières, des industriels… Nous sommes l’acteur en contact direct des chantiers, de leurs besoins, de leur quotidien. Notre mission est d’apporter des solutions accessibles, qui intègrent les exigences des filières. Nous sommes les garants, auprès de ces dernières, de la qualité des flux qui leur seront transmis ». Lire aussi : Big Bag’n Go devient EndLess Le parcours de Rym Mtibaa Diplômée d’un master des Métiers des études, du conseil et de l’intervention de l’université Paris 7 Denis Diderot, Rym Mtibaa a débuté sa carrière au sein l’institut Cemagref. Là, elle était chargée d’études technico-économiques sur les installations de traitement des déchets durant 5 ans. Puis, elle a occupé un poste au conseil régional d’Ile-de-France, où elle s’occupait de la planification régionale de la prévention et de la gestion des déchets de chantier du BTP. Par la suite, elle a travaillé au sein de l’éco-organisme Ecosystem en qualité de directrice des projets, où elle a mis en place et coordonné la plate-forme collaborative Démoclès. En 2021, elle a intégré l’éco-organisme Eco-mobiler, pour l’élaboration de la demande d’agréments dans le cadre de la candidature de la Rep PMCB. Femme engagée, Rym Mtibaa s’est toujours investie dans le secteur de la gestion des déchets pour faire bouger les lignes. Un engagement profond pour l’économie circulaire en adéquation avec les valeurs d’EndLess. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 151 jours

Le CSTB crée la direction Économie et Ressources, confiée à Sylvain Laurenceau

La direction opérationnelle Économie et Ressources Le secteur de la construction doit répondre à de nouveaux enjeux : accélération des dynamiques pour limiter les impacts environnementaux et développer l’économie circulaire, sécurisation des approvisionnements, besoin de création de valeur locale...Le CSTB crée une entité dédiée à ces défis : la direction Économie et Ressources. Fondée sur une approche systémique, cette nouvelle direction concentre son activité sur deux fondamentaux qui sous-tendent les différentes mutations en cours du secteur de la construction : la disponibilité de ressources permettant d’alimenter l’activité, et l’existence de modèles économiques pérennes.Elle assoit son expertise sur l'analyse et l'accompagnement des solutions constructives liées à l'économie circulaire, l'analyse des modèles économiques, les dynamiques de parc et la prospective, ainsi que le développement de méthodes et outils pour accompagner les acteurs dans la prise en compte de ces nouvelles pratiques.S’appuyant sur une dominante Recherche et Expertise, la direction Économie et Ressources intègre une équipe de près de 30 chercheurs, ingénieurs et économistes. En synergie avec la plupart des autres directions du CSTB, ils travailleront sur les 3 échelles :Produits : intégration des matières recyclées, réemploi, traitement des déchets, accompagnement à l’innovation, caractérisation de l’écoconception, etc.Bâtiments : optimisation de l’analyse en coût global, analyse des externalités, anticipation des différents usages tout au long de la vie de l’ouvrage, conception des bâtiments en banques de matière, outils d’analyse de la circularité, etc.Territoires : analyse des flux de matières, analyse de la structuration des filières, dont les filières émergentes, dynamiques de parc, analyse prospective, accompagnement des politiques publiques, optimisation de l’équilibre entre tensions locales et globales et répartition de la valeur, etc.Ainsi organisée, la direction Economie et Ressources entend accompagner l’ensemble des acteurs, entreprises et maîtres d’ouvrages, industriels et institutionnels, mais aussi les pouvoirs publics, pour leur permettre de répondre au mieux aux enjeux de préservation des ressources et d’une économie circulaire, pérenne et vertueuse.Une nouvelle direction pilotée par Sylvain LaurenceauIngénieur économiste, Sylvain Laurenceau est diplômé de l’École Polytechnique et de la London School of Economics.Il débute sa carrière à Londres, en 2007, où il travaille sur le développement local, avant de rejoindre le CSTB en 2009. Au sein de la direction Économie et Sciences Humaines, il est en charge de l’analyse et de l’évaluation de différents dispositifs publics de soutien au secteur du bâtiment.En 2015, il intègre la direction Energie-Environnement. En 2018, il coordonne l’élaboration d’une feuille de route du CSTB autour de l’économie circulaire, puis constitue en 2020 une équipe dédiée, toujours au sein de la direction Energie-Environnement.Fort de ce parcours et de cette expertise, il est aujourd’hui nommé Directeur opérationnel Économie et Ressources :« La création de la direction Économie et Ressources s’inscrit dans un contexte de mutations profondes auxquelles toute la filière est confrontée. Les travaux que nous mènerons, tant en termes de recherche, que d’expertise technique et d’accompagnement de l’innovation, viseront à répondre aux nouveaux besoins ainsi induits. Menés dans une approche transversale, ils contribueront également à irriguer une large partie des activités du CSTB, au service du secteur de la construction. » Sylvain Laurenceau – Directeur opérationnel Économie et Ressources - CSTB
Il y a 2 ans et 156 jours

Le marché de l'emploi dans l'immobilier profite aux candidats en 2022 selon Recrutimmo

Cinquième volet pour la grande étude annuelle menée par Recrutimmo afin de dresser un état des lieux du marché de l’emploi dans l’immobilier. Un secteur qui attire toujours autant les candidats, même si le marché reste déséquilibré au bénéfice de ces derniers. Face à ce constat, plusieurs axes de réflexion et de travail se détachent : l’accompagnement de la reconversion professionnelle, la formation pour fidéliser les talents, la marque employeur pour les attirer et la flexibilité du statut, questionnement essentielle à l’heure de l’explosion du modèle de mandataires.Une étude menée sur près de 2.300 candidats et recruteursPour son cru 2022, l’étude annuelle de Recrutimmo a été menée sur plusieurs mois, ce qui a permis de sonder plus de 2.000 candidats et 250 recruteurs. Côté candidats, 42% d’entre eux ont plus de 10 ans d’expérience dans l’immobilier, et un tiers est issu d’une reconversion professionnelle. Du côté des recruteurs, 90% déclarent avoir du mal à recruter et presque autant (88%) affirment ne pas avoir de service des ressources humaines au sein de leur entreprise.Tous évoluent dans un marché dynamique, même si leurs points de vue concernant l’emploi dans le secteur de l’immobilier divergent. Alors que les recruteurs sont 91% à déclarer qu’ils connaissent de véritables difficultés dans le recrutement, trois quarts des candidats affirment qu’il est, au contraire, facile de trouver un emploi dans l’immobilier. Il est également intéressant de souligner que la grande majorité des talents (83%) sont particulièrement à l’écoute du marché du recrutement et surtout très sollicités (86%).Une situation dont chaque partie a parfaitement conscience, faisant définitivement basculer le marché du côté des candidats. De quoi générer un turn over particulièrement élevé dans les entreprises du secteur.La reconversion professionnelle devenue incontournableCe n’est plus une nouveauté, la reconversion professionnelle est un immense vivier de talents pour le secteur de l’immobilier. Et la tendance n’est pas nouvelle : 84% des professionnels de l’immobilier sont issus de la reconversion et ont travaillé dans un autre secteur avant d’arriver à l’immobilier. D’ailleurs, ce genre de profil attire puisque 87% des recruteurs se disent en recherche de candidats en reconversion professionnelle. Pour aller plus loin, ils sont même 68% à affirmer que le diplôme n’est pas un critère d’embauche.Parmi les critères qui comptent pour les recruteurs : la proximité géographique, qui assure une véritable connaissance du marché local et une meilleure disponibilité. De quoi satisfaire les candidats, qui désirent de plus en plus mieux équilibrer leur vie professionnelle et leur vie personnelle et n’ont plus envie de passer trop de temps dans les transports.La formation pour attirer et fidéliserPar les différentes compétences qu’ils demandent, autant juridiques, que comptables ou encore commerciales, les métiers de l’immobilier peuvent être complexes à appréhender. C’est pour cela que les entreprises doivent désormais disposer de programmes d’intégration et de formation performants. C’est d’ailleurs ce qui ressort des réponses des candidats : ils sont en effet 95% à avoir des attentes en termes de disponibilité de leur manager ou de formation aux méthodes de travail (70%).Pourtant, la réalité est toute autre : un tiers des collaborateurs quittent en effet leur entreprise pendant leur période d’essai. En parallèle, 33% des candidats interrogés estiment ne pas avoir été suffisamment intégrés ou formés lors de leur arrivée. Et pour cause : pour 52% d’entre eux, la formation ou l’intégration n’a pas dépassé une semaine.La marque employeur comme fer de lanceAvec le développement des multiples canaux de communication, il est devenu très facile de se renseigner sur une entreprise et de connaître les avis de ses salariés. C’est pour cela que la marque employeur est devenue absolument incontournable pour les entreprises qui veulent attirer les talents. Ils sont ainsi 98% à se renseigner sur une entreprise avant d’y postuler ou de s’y rendre.Cette recherche vise à les conforter dans leur décision de rejoindre l’entreprise. Ils s’en servent notamment pour vérifier que l’entreprise répond aux critères les plus importants pour eux : rémunération (62%), équilibre vie privée/vie professionnelle (61%) ou encore ambiance au sein de l’entreprise (47%). Des attentes dont les recruteurs ont bien conscience, ce qui les poussent à porter leur attention sur certains points : les avantages pécuniers (57%), les after work d’équipe (55%) et l’environnement de travail (45%).Malgré tout, candidats et recruteurs ne se retrouvent pas sur les canaux où se trouver. Les candidats cherchent ainsi un emploi via les jobboards (83%), Pôle Emploi (83%) et les réseaux sociaux (35%). Les recruteurs, eux, misent en priorité sur le bouche à oreille (64%), les réseaux sociaux (63%) et les sites vitrines (38%).Le statut : que proposer aux candidats ?C’est un fait : la demande des recruteurs en profils indépendants progresse. Ils sont d’ailleurs 47% à déclarer ne recruter que des indépendants. Les 53% restants préfèrent recruter des salariés. Une progression qui s’explique par le coût plus faible (en théorie seulement) que représentent les indépendants, ainsi que par leur autonomie.Côté candidats, ils ne sont que 8% à être prêts à devenir ou à rester indépendants. Un petit chiffre qui traduit notamment l’importance du contrat de travail en France, qui représentent la sécurité de l’emploi (31%).Retrouvez la cinquième étude “Recruteurs VS Candidats” de Recrutimmo en intégralité ici.
Il y a 2 ans et 157 jours

Dassault Systèmes et Bouygues Construction renforcent leur engagement à réinventer le secteur de la construction

Bouygues Construction a choisi la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud de Dassault Systèmes pour mener sa transformation métier et accroître la productivité de ses projets de construction. Cette deuxième phase succède aux phases initiales de numérisation et d'automatisation des processus de Bouygues Construction.Les citoyens attendent de nouvelles approches en matière d'urbanisation et une plus grande attention à la durabilité. Or, le secteur de la construction doit faire face à des problématiques de productivité, tant en raison de la complexité des projets que de la fragmentation des métiers. La transformation numérique permet de soutenir une économie à la fois plus durable et circulaire, en partageant les connaissances et savoir-faire dans toute la chaîne de valeur, et en donnant naissance à de nouveaux modèles économiques.Avec la plateforme 3DEXPERIENCE sur le cloud, Bouygues Construction peut adopter une approche systémique de la gestion des projets qui intègre des expériences de jumelage numérique d'un bout à l'autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer de documents où les différents métiers interviennent de façon indépendante, à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs.Cet environnement intégré, inclusif et collaboratif qui utilise une source unique de données exploitables permettra de rationaliser le processus décisionnel entre les différents intervenants - de la direction générale à l'opérateur de terrain - à chaque étape d'un projet. Cela permettra à Bouygues Construction d'augmenter encore la sécurité de ses collaborateurs et partenaires. Cela permettra aussi au groupe de réduire son volume de déchets et d'améliorer la qualité produit de la conception à la construction, en définissant des composants d'assemblage modulaires intégrés dans des lignes de produits telles que les maisons de retraite ou des résidences étudiantes. Cette modularité permettra de faire face à la complexité des projets futurs, tout en répondant à des besoins croissants de personnalisation et de durabilité, et en s'adaptant aux évolutions du marché.« Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d'usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur. » déclare Philippe Bonnave, président directeur général de Bouygues Construction. « Nous sommes donc à la recherche d'une transformation plus forte qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l'entreprise : une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. »« L'utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et - grâce au cloud et à la mobilité - abordable. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d'innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? » déclare Bernard Charlès, Vice-Président du Conseil d'Administration et Directeur général de Dassault Systèmes. « Cette approche révolutionnaire, basée sur la plateforme 3DEXPERIENCE, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d'allier nos leaderships et nos expertises respectifs, ainsi que d'amorcer une nouvelle dynamique dans l'écosystème du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 2 ans et 160 jours

zan l amrf craint une ruralite mise sous cloche

Si les objectifs et méthodes de déploiement de la zéro-artificialisation nette (ZAN) des sols préoccupent les collectivités territoriales, l’inquiétude est plus grande chez les élus de communes rurales.
Il y a 2 ans et 167 jours

Hager explore dévoile sa nouvelle offre de formation

Hager explore, organisme de formation du Groupe Hager, présente sa nouvelle offre pour accompagner plus étroitement les professionnels de la filière électrique dans leur montée en compétences. Dans ce nouveau catalogue, l'intégralité des formations a été retravaillée pour mieux répondre aux besoins des professionnels face aux enjeux de leur secteur en matière de transition énergétique, de développement respectueux de l'environnement et de digitalisation. Fidèle à la philosophie d'Hager explore, cette nouvelle mouture propose des modalités de formation et des méthodes pédagogiques toujours mieux adaptées aux attentes des futurs stagiaires. « Ensemble, en route vers votre réussite professionnelle ! »
Il y a 2 ans et 177 jours

Nooco : Mesurer et optimiser son impact environnemental

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Guillaume Jarlot, directeur général de Nooco. [©ACPresse] En France, les modalités de calcul de l’empreinte carbone changent d’une entreprise à l’autre et engendrent des écarts de résultats. Fort de ce constat, la start-up Nooco, fondée en 2020, a pour ambition d’accélérer la mise en mouvement de la profession du bâtiment vers le bas carbone. « Notre objectif est d’apporter une information fiable à l’opérationnel, déclare Guillaume Jarlot, directeur général de Nooco. Nous nous sommes rendu compte qu’il y avait beaucoup de solutions de calcul, mais que le résultat variait du simple au quadruple. Le besoin était de concevoir un projet bas carbone selon des méthodes communes. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez le dossier spécial innovations dans le béton ici Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 180 jours

Semaine de l'industrie : des usines pour décarboner la planète ?

Au cours de la "semaine de l'industrie" qui a débuté ce lundi, de nombreuses visites d'usines, forums des métiers, escape game, job dating... sont prévus dans toute la France entre industriels et collégiens, lycéens ou étudiants pour découvrir des métiers auxquels ils n'auraient pas pensé."On a un peu plus de 7% de chômage et on n'arrive pas à recruter, c'est un grand paradoxe français", a dit le ministre de l'Industrie Roland Lescure sur Europe 1 lundi, avant de se rendre chez le motoriste aéronautique Safran à Créteil qui veut faire découvrir les avancées en matière de décarbonation de l'aviation."L'industrie, c'est 18% des émissions de CO2, mais 100% des solutions pour dépolluer les transports notamment", a-t-il ajouté, en référence aux travaux menés pour développer des batteries ou voitures électriques qui n'émettent pas de CO2, des trains à hydrogène ou des moteurs d'avion verts.La semaine de l'industrie s'adresse majoritairement aux jeunes de 11 à 17 ans et à leurs enseignants ou responsables de formation, mais aussi "aux demandeurs d'emploi intéressés par une carrière ou une reconversion dans l'industrie", précise Bercy dans un dossier de presse, évoquant les 4.500 événements gratuits organisés (), relayés par des influenceurs sur les réseaux sociaux comme TikTok ou Loopsider.Le gouvernement souhaite "lutter contre les idées reçues" en soulignant que les deux axes prioritaires des industriels français en ce moment sont "la transition écologique" et "l'innovation et la digitalisation", alliés aux enjeux de souveraineté pour relocaliser des productions sur le territoire national.Les exemples sont à foison, d'Anaïs, conductrice de ligne agroalimentaire à Loudéac qui alimente et programme des machines automatisées, à Pauline, technicienne méthodes en électronique pour l'aéronautique et l'aérospatial à Fougères, qui teste des composants électroniques sur maquette ou sur des logiciels de simulation, et participe à des essais de prototype.Dans l'est, une visite est organisée sur le site de Storengy, spécialisé dans le stockage souterrain de gaz naturel, et en développement de projets de géothermie, d'hydrogène et de biométhane. L'entreprise Sogefa invite enseignants et élèves à visiter son unité de valorisation des déchets. Et en Bourgogne, un festival de la transition écologique et numérique est organisé pour les jeunes et demandeurs d'emplois. Un effort particulier est fait pour attirer les jeunes filles, qui représentent moins de 30% des salariés de l'industrie. L'association "Elles bougent" organise plus de 120 événements avec 62 entreprises et établissements partenaires, dont une visite de Framatome au Creusot, la présentation du métier d'usineur et montage d'appareil de voie sur le site de Vossloh à Reischoffen, ou encore une session "découverte des métiers de l'ingénieure" àl'école Sigma de Clermont-Ferrand.