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Résultats de recherche pour planning

(254 résultats)
Il y a 1 ans et 352 jours

Lancement d'un ERP créé par des entreprises de menuiserie pour des entreprises de menuiserie

Le réseau GAP RÉFÉRENCEMENT teste un ERP sur mesure. Actuellement en bêta-test auprès de 7 adhérents, l’ERP (Enterprise Ressource Planning) baptisé all manager® sera ouvert à la commercialisation d’ici la fin de l’année à toutes les entreprises de menuiserie qui souhaitent mieux se structurer en digitalisant leur activité.
Il y a 1 ans et 359 jours

TECHTIME : L’OUTIL DE GESTION DE CHANTIERS QUI A PERMIS À TOMA PEINTURE DE GAGNER EN EFFICACITÉ

La conduite de projet et la planification minutieuse des tâches sont les fondations d’un chantier réussi. C’est pourquoi Techtime, logiciel de suivi d’activités de chantiers et d’interventions, est devenu l’outil de prédilection pour Toma Peinture, entreprise alsacienne spécialisée dans la peinture d'intérieur, le laquage industriel, les décors et les revêtements muraux. Entre la planification des chantiers, la communication avec ses équipes, l'avancement des travaux et la gestion des plannings, Thomas Cronimus, fondateur de Toma Peinture et un des meilleurs ouvriers de France, dispose désormais de toutes les cartes en main pour mener à bien ses missions.
Il y a 2 ans et 54 jours

Des banches Hussor pour le bas carbone

Pour un chantier bas carbone d’Eiffage en Moselle, Hussor a livré des banches isolées et chauffantes, afin d’assurer un planning de coulage classique.
Il y a 2 ans et 64 jours

Techtime : l'outil de gestion de chantiers pour faciliter le quotidien des artisans du BTP

Véritable casse-tête pour les artisans du BTP, l'organisation de chantiers est généralement un défi majeur pour assurer la réussite d’un projet. Afin de les aider à jongler entre les impératifs de délais, de qualité et de rentabilité, Techtime répond à ces besoins en offrant une solution simple et efficace pour gérer l'ensemble des tâches, du planning en passant par le suivi des équipes et des fournisseurs.
Il y a 2 ans et 65 jours

TECHTIME : L’OUTIL DE GESTION DE CHANTIERS POUR FACILITER LE QUOTIDIEN DES ARTISANS DU BTP

Véritable casse-tête pour les artisans du BTP, l'organisation de chantiers est généralement un défi majeur pour assurer la réussite d’un projet. Afin de les aider à jongler entre les impératifs de délais, de qualité et de rentabilité, Techtime répond à ces besoins en offrant une solution simple et efficace pour gérer l'ensemble des tâches, du planning en passant par le suivi des équipes et des fournisseurs. Charpentiers, peintres, électriciens, décorateurs ou encore paysagistes, Techtime est l’outil incontournable pour tous les artisans souhaitant améliorer leur productivité.
Il y a 2 ans et 92 jours

Toitures actives : deux solutions expertes Foamglas isolent le parking du Pôle médical d’Allonzier-la-Caille (74)

Destiné aux aires de stationnement, le système sous enrobé FOAMGLAS® apporte une solution rapide et simple en termes d’exécution. Son incompressibilité et son étanchéité fiabilisent l’ouvrage ainsi que son exploitation.C’est cette solution qui a été retenue pour le parking du Pôle médical d’Allonzier-la-Caille (Haute-Savoie), situé au-dessus d’un supermarché. La toiture du parking est composée d’un complexe isolant + étanchéité + protection et couche de roulement uniquement constituée d’enrobé, reposant sur un élément porteur en dalle béton. Ce complexe intègre une isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® d’une fiabilité à toute épreuve. L’isolation thermique FOAMGLAS® READY F est associée à une étanchéité bicouche et deux couches d’enrobé (10 cm d’épaisseur au total). Permettant d’accéder à la rue, la rampe d’accès au parking est dotée d’une pente de 5 %. Cette pente a été réalisée dans la couche isolante avec du FOAMGLAS® READY TAPERED F 5 %.Surmonter les contraintes d’économie et de planning a été un challenge réussi par l’équipe qui a conçu et réalisé l’ouvrage - l’agence AJ architecture (13), la maîtrise d’œuvre AQCIOM (42) et l’entreprise TISSOT Étanchéité (73).Un parking isolé en verre cellulaire, étanché et protégé par 2 couches d’enrobéTrois objectifs maîtrisésLe choix de l’isolation thermique FOAMGLAS® pour la toiture du parking a répondu aux 3 objectifs suivants, définis par une étude préalable :Apporter une solution économique,Assurer une rapidité d’exécution,Minimiser à près de zéro les risques d’infiltration d’eau en intégrant une réflexion sur l’analyse des risques. Un dégât des eaux dans un supermarché n’étant pas envisageableLa solution retenue intègre :Un pare-vapeur (climat de montagne),Une isolation thermique FOAMGLAS® READY F,Une étanchéité bicouche renforcée,Une couche de protection et de roulement constituée de deux couches d’enrobé de 5 cm.Le Cahier de Charges de cette solution « Enrobé FOAMGLAS® » est validé par SOCOTEC.Une solution économique : 10 cm d’enrobé forment la couche de protection et de roulement. Cela est possible grâce à la rigidité exceptionnelle du FOAMGLAS® READY F. Ce complexe isolant + étanchéité + protection est le moins épais et le moins lourd parmi toutes les solutions existantes en toitures terrasses accessibles aux véhicules légers. Ce système permet de supprimer la dalle traditionnelle de protection en béton et le drainage situé en-dessous. L’enrobé joue un triple rôle : couche de protection, couche de roulement et couche de finition. FOAMGLAS® READY F contribue ainsi à alléger les charges permanentes, et à diminuer l’altimétrie des niveaux finis de la surface du parking, des acrotères et des seuils.Une solution rapide en phase exécution. L’un des avantages de l’enrobé dans une telle configuration réside dans le fait que le temps d’attente avant exploitation, après la mise en œuvre de l’enrobé, est nettement plus court que dans le cas d’une dalle béton de protection (temps de séchage important). Après la pose de la première couche et de la seconde le lendemain, les voitures peuvent rouler dès le troisième jour !Réduire à presque zéro le risque d’infiltration afin d’éviter toute fuite dans le supermarché. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolation 100 % étanche à l’eau et à l’humidité, présente une perméabilité nulle à la vapeur d’eau (EN 12086). Son absorption d’eau par immersion est également nulle (EN 1609 et 12087). Des caractéristiques physiques exceptionnelles pour une isolation thermique.Les joints entre les plaques isolantes sont également étanches. Ils sont constitués de bitume sur toute la hauteur des plaques. En effet, le faible coefficient de dilatation du FOAMGLAS® permet cette technologie de pose : le collage des plaques isolantes entre elles sur toute la surface des toitures. C’est une solution exclusive proposée par Owens Corning.La couche isolante réalisée en verre cellulaire FOAMGLAS® est ainsi étanche dans la masse. Analyse du premier risque : si, par accident, l’eau de pluie s’infiltre sous la membrane d’étanchéité, elle ne peut pas entrer dans le verre cellulaire. Analyse du second risque, très peu probable : si, au même endroit que l’accident sur l’étanchéité, il y a un joint de FOAMGLAS® et qu’il a été mal collé, l’eau pourra entrer à cet endroit dans la couche isolante. Mais, elle sera bloquée par le pare-vapeur spécial « climat de montagne » et ne pourra pas migrer dans la couche isolante qui est étanche. Analyse du troisième risque, d’une infime probabilité : si, également au même endroit, le pare-vapeur est défaillant, l’eau passera alors dans la dalle, mais la fuite sera localisée et facilement repérable par un découpage de l’enrobé, de l’étanchéité et de l’isolation et un recollage d’une isolation, d’une étanchéité et la mise en place d’un nouvel enrobé (réparation aisée que ne permet pas la solution de protection par dalle béton).FOAMGLAS® READY TAPERED F 5% isole et réalise la pente de la rampe d’accès au parking depuis la routeLa résistance à la compression du FOAMGLAS® F est très élevée (Rc= 1 600 kPa - EN 826) et elle est garantie dans le temps. Autre caractéristique unique pour un isolant thermique : le tassement du FOAMGLAS® READY TAPERED F est indépendant de son épaisseur : le verre cellulaire est incompressible jusqu’à sa valeur limite et son tassement est toujours inférieur à 5 mm. Ces données exceptionnelles ont incité la maîtrise d’œuvre à innover et à réaliser la pente de la rampe d’accès au parking avec du FOAMGLAS® READY TAPERED F à pente intégrée de 5 %, en lieu et place d’une forme béton classique.
Il y a 2 ans et 104 jours

Nouveau planning de chantier Obat : quand simplicité rime avec puissance

Obat, le logiciel de gestion tout-en-un pour les artisans du bâtimentLancé en 2019, Obat est un outil numérique à destination de toutes les entreprises du bâtiment désireuses de simplifier et d’automatiser la gestion de leur activité. Ce logiciel moderne et intuitif permet de gagner de nombreuses heures grâce à des fonctionnalités de création de devis et de factures, de suivi de chantier, de signature électronique ou encore de personnalisation de documents comptables et administratifs.100% en ligne, Obat est accessible sur tablette, ordinateur ou mobile pour répondre aux besoins des utilisateurs en temps réel, même sur le terrain. Avec un abonnement débutant à 25 € par mois, ce logiciel SaaS tient compte de toutes les problématiques et des spécificités du secteur de la construction, peu importe le métier : plomberie, maçonnerie, électricité, peinture, menuiserie, etc.L’outil de planning de chantier le plus puissant du marchéSortie en décembre 2022 après de nombreux mois de développement, la fonctionnalité de planning de chantier d’Obat était une option très attendue par leurs utilisateurs actuels.Son objectif ? Permettre aux artisans indépendants et aux chefs d’entreprise BTP d’avoir une vision d’ensemble et en temps réel de leur activité. Délais, étapes du projet, avancement et état des travaux : cet outil se veut favoriser la bonne exécution des opérations, mais aussi le respect des délais annoncés et du budget.Si l’on devait choisir deux mots pour qualifier cette nouvelle fonctionnalité, ce serait sans aucun doute simplicité et puissance. Très complète, elle permet de découper ses chantiers en différents lots et d’assigner des tâches comme des ressources pour une gestion optimale et un gain de temps non négligeable. Comment ? En premier lieu, grâce à la création des fiches employés, sous-traitants, intérimaires et matériels. Les professionnels pourront ainsi gérer leur équipe depuis un même tableau de bord et assurer une meilleure répartition des tâches. Le plan de charge, quant à lui, permet de s’assurer en un clin d’œil que les ressources sont bien utilisées, avec un partage en temps réel à tous les membres de l’équipe.Avec la fonction calendrier, les artisans pourront également piloter leur emploi du temps plus facilement et avec davantage de précision. Planification des interventions, rendez-vous, management des ressources humaines et matérielles : une fonctionnalité tout-en-un pour gagner en productivité et fluidifier sa communication ! En version ordinateur ou mobile, l’outil s’adapte aux besoins de chacun. Grâce à ce logiciel 100 % en ligne, les professionnels du BTP peuvent enfin gagner du temps sur des tâches chronophages et se concentrer sur leur cœur de métier : la réalisation des chantiers et l’amélioration de la relation client !Envie de découvrir Obat ? Sachez qu’il est possible de profiter d’un essai gratuit de 14 jours : de quoi tester toutes leurs fonctionnalités, le tout sans engagement ! Pour obtenir plus d'informations, leur équipe de conseillers est disponible au 02 53 48 07 06.
Il y a 2 ans et 127 jours

La Thermoprédalle BA 0,45, pour une performance thermique en ITI optimale

Une solution adaptée La Thermoprédalle BA 0,45 est une solution éprouvée de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés pour le traitement homogène et complet des ponts thermiques de la périphérie du bâtiment.Certifiée par un Avis Technique, elle garantit la performance thermique de tous les logements collectifs et bâtiments tertiaires tout en minimisant leur empreinte carbone, et ce pour toutes les zones sismiques de France métropolitaine.Un impact carbone réduitGrâce aux planchers Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft bas carbone *, le bâtiment étudié et composé de logements R+3, d’une toiture-terrasse, de murs en béton, d’un doublage PSE de 120 mm ainsi qu’un traitement complet par Thermoprédalle BA 0,45 Rsoft en L9 avec balcons compris ; voit l’ensemble de son impact carbone (Ic Construction) réduit de près de 9% par rapport à la version en béton standard.Cette construction atteint d’ores et déjà le seuil carbone 2025 et répond à la RE2020.Le recours aux planchers de la gamme Rsoft offre une réduction carbone pouvant aller jusqu’à 40% comparativement à un plancher à prédalles classiques. De plus, en traitant l’ensemble des ponts thermiques périphériques à tous les niveaux de plancher, la Thermoprédalle BA 0,45 contribue à la réduction des consommations d’énergie et des émissions de carbone tout en améliorant la qualité de l’air intérieur des bâtiments.Elle dispose d’une FDES individuelle pour sa gamme de rupteurs thermiques créditée à 11,30 kg éq. CO2/ml.Une configuration conforme aux spécificités de votre chantierLa Thermoprédalle BA 0,45 s’adapte à toutes les configurations de bâtiment, avec ou sans balcon et ce quel que soit le sens de portée. Ce procédé exclusif associe des rupteurs thermiques discontinus et traversant sur la hauteur de la dalle à des nervures en béton armé munies de paniers d’armatures assurant le transfert des efforts verticaux et horizontaux. La Thermoprédalle BA 0,45 offre la possibilité de traiter les ponts thermiques des balcons en zone courante et d’angle. Les paniers d’armatures, qui assurent la résistance de la structure et facilitent la liaison plancher/balcon sont directement intégrés en usine. Les armatures des nervures sont spécifiquement dimensionnées pour les balcons.Ainsi, avec un traitement complet et homogène des ponts thermiques de tous les niveaux de planchers, des balcons et y compris d’angle, vous favorisez la réduction des consommations d’énergie tout en optimisant le Bbio du bâtiment.Une mise en œuvre aussi simple qu’une prédalle classiqueSérénité de pose et efficience sont garanties sur le chantier grâce à l’intégration des pains isolants et des paniers d’armatures en usine. Aucune manipulation des rupteurs n’est nécessaire sur le chantier : conformité au cahier des charges, coût et planning maîtrisés.* avec dalle de compression CEMIII
Il y a 2 ans et 128 jours

Supervan nomme Salomé Halioua au poste de Directrice des Opérations

Depuis le lancement de son activité de transport et livraison express de produits lourds et volumineux, Supervan ne cesse d’innover et de développer de nouveaux services. De la livraison via un véhicule utilitaire léger à la livraison par poids lourd (Service XXL), en passant par le développement de sa marketplace de matériaux de chantier (Plateforme Breek), la startup oeuvre en continu pour le futur de la logistique. Supervan compte aujourd’hui près de 40 collaborateurs et plus de 500 chauffeurs partenaires. Salomé Halioua, le nouveau visage des Opérations chez SupervanDiplômée de l’école d’ingénieures EPF (École Polytechnique Féminine) à Cachan, Salomé commence sa carrière à Orléans en 2016 chez Amazon, au poste de Manager de Production. Elle y gère les équipes logistiques et leur fonctionnement au sein d’un entrepôt pendant plus de deux ans. Cette expérience lui offre l’opportunité de gérer le lancement du service transport d'un nouvel entrepôt Amazon en région parisienne. Lors de cette expérience, elle manage près de 150 collaborateurs (équipes 24/24 et 7j/7) et les flux de transport quotidiens de plus de 200 camions.En 2020, elle rejoint le siège d’Amazon à Paris et l’équipe Sales & Operations Planning où elle se spécialise dans l’analyse de données et la planification afin d’effectuer des prévisions et d’optimiser les flux de livraison sur le dernier kilomètre. L’année suivante, Salomé intègre la division européenne d’AVS (Amazon Vendor Services). Elle est notamment chargée d’évaluer et d’optimiser l’efficacité de la chaîne d’approvisionnement pour un portefeuille de fournisseurs de renom (L’Oréal, Revlon, Reckitt ou encore PRH), et d’établir des plans d’actions pour les aider à optimiser leurs processus logistique avec Amazon.En rejoignant les équipes de Supervan, Salomé Halioua aura notamment pour mission de gérer et de renforcer les effectifs de l’équipe des opérations, qui compte aujourd’hui 15 collaborateurs. En tant que Directrice des Opérations, ses objectifs seront de garantir une expérience client et chauffeur irréprochables, et de s’assurer de l’optimisation des différents processus internes et flux de livraisons (sécurité, délais…). « Aux Opérations, nous sommes toujours au cœur de l’action. Nous faisons le lien entre les chauffeurs et les différents besoins de nos clients, et nous construisons avec tous nos interlocuteurs une relation de confiance, à la fois durable et bienveillante. Garants d’une expérience opérationnelle irréprochable, nous tenons à offrir un service sans accroc à nos clients. Je me réjouis de rejoindre cette startup en pleine croissance, et de mettre mon expertise au service de son développement. », souligne Salomé Halioua, Directrice des Opérations chez Supervan. « Nous sommes plus que ravis de pouvoir compter Salomé au sein de nos équipes. Son expertise et son expérience sont très précieuses pour la croissance de Supervan, et vont nous permettre de nous rapprocher considérablement des besoins de nos clients. Ce recrutement stratégique représente le passage d’un nouveau cap pour nous, et nous avons hâte de voir l’équipe des Opérations grandir sous sa direction. », déclare Guillaume Fournier, Fondateur et CEO de Supervan.
Il y a 2 ans et 128 jours

Living EstateTM : une expérience digitale pour une commercialisation de projets immobiliers plus impactant

Living EstateTM : le renouveau de la Marketing SuiteAllianz, Altarea Cogedim, Aquila, Blackstone, Deka, Foncia IPM, Hémisphère, Ivanhoé Cambridge, PGIM, Scaprim, SFL... Bleu Dalcans compte de nombreuses références dans le secteur de l’immobilier. Grâce à cette expertise, elle a imaginé Living EstateTM : un dispositif complet qui intègre, en plus d’un espace témoin scénographié, un parcours de visite initiatique spécialement conçu pour que le futur acquéreur puisse se projeter avant, pendant et après sa visite. Le digital s’inscrit dans ce concept comme un levier immersif pour présenter et aider à commercialiser le projet immobilier (vidéo projection, mobilier interactif, création des contenus, modélisation des spaces planning, sonorisation...).Pour Raphael Benbassa, Associé Fondateur de Bleu Dalcans : « Notre volonté est de sortir les écrans de leurs rôles fonctionnels pour créer des expériences inédites. Le digital est un moyen exceptionnel qui nous permet d’accroitre l’attractivité d’un lieu qu’il s’agisse de futurs espaces de bureaux, d’hôtels ou de centres commerciaux. Avec Living EstateTM, notre objectif est de rendre les espaces témoins, traditionnellement attentus, plus vivants et désirables ! Dans un marché locatif de plus en plus tendu, et sur un secteur finalement très aseptisé et standardisé, nous permettons enfin aux Assets de se démarquer. »Les avantagesPour les BROKERS : Un service premium et flexible Un accompagnement sur la mise en valeur de l’espace La capacité à proposer une expérience immersive aux prospects Pour les PROSPECTS : L’incarnation d’une vision et d’un projet d’entreprise visant au bien-être des collaborateurs Une projection sur une utilisation optimale du futur lieu de vie / de travail Une mémorisation de la visite facilitée Pour les ASSET : Des délais de mise sur le marché raccourcis Une indépendance vis-à-vis des brokers La valorisation des placements immobiliers en faisant de chaque actif un produit unique L’exemple de JOYA Val de Fontenay - Ivanhoé CambridgeSur un espace dédié de plus de 500 m2, les équipes de Bleu Dalcans ont créé un parcours efficace, visuel, mémorisable et digital pour aider les Assets à commercialiser l’actif. Les équipes ont géré la conception, le déploiement du mobilier et de l’agencement mais aussi les contenus vidéos, interactifs et immersifs.Pour François Burgess, Asset Manager Ivanhoé Cambridge : « Bleu Dalcans a parfaitement su répondre à notre volonté de proposer aux prospects locatifs de Joya une programmation marketing innovante, axée sur le digital et sur l’interactivité des outils. Cette agence a mis à notre disposition une équipe complète de professionnels dévoués et talentueux, allant de la création de l’idée jusqu’à la réalisation de l’espace. Le respect du planning et du coût en fait un partenaire fiable avec lequel nous avons pris beaucoup de plaisir à travailler ».Une démarche RSE chère à Bleu DalcansLa volonté de Bleu Dalcans est de créer des espaces vivants, qui répondent aux besoins et qui favorisent le bien-être des utilisateurs, dans le respect de l’environnement. C’est pourquoi, les espaces conçus avec Living EstateTM se démarquent des Marketing Suites traditionnelles avec un véritable ancrage écologique et modulaire.Depuis 2020, Bleu Dalcans est partenaire d’EcoTree. Dans ce cadre, elle participe à des projets forestiers et de biodiversité en France. Bleu Dalcans est aujourd’hui propriétaire de 100 arbres, dans la Forêt de Pont de Buis (29), plantés et gérés durablement par EcoTree en France.
Il y a 2 ans et 148 jours

Le bouclage du métro du Grand Paris ne sera pas achevé en 2030

"On va casser le cap de 2030, on va recaler l'échéance de mise en service des deux derniers tronçons" de la ligne 15, de Pont de Sèvres à Saint-Denis Pleyel puis à Champigny, a expliqué M. Monteils mardi.La SGP est chargée de construire 200 km de métro automatique, avec quatre lignes nouvelles, numérotées de 15 à 18, et les prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers sensibles de Seine-Saint-Denis.Les lignes sont découpées en plusieurs lots, avec chacun un calendrier. "Nous n'avons concrètement pas d'offre qui soit à mise en service 2030", pour la réalisation du lot allant de Pont de Sèvres à La Défense et Courbevoie, à l'ouest, a-t-il constaté.M. Monteils s'est refusé à avancer une date d'ouverture tant que le groupement chargé de sa construction ne sera pas choisi."La dernière échéance du Grand Paris Express ne sera pas 2030", mais "on n'est pas à deux ans" de retard, a-t-il dit, laissant deviner un objectif d'ouverture en 2031. "On décale de quelques mois, et on se sent beaucoup plus robustes sur le planning global", a-t-il souligné.Le patron de la SGP ne pense pas que les trois autres lots de la ligne 15 au nord et à l'est de Paris --les deux tronçons "15 ouest" et "15 est" de la ligne circulaire étant découpés en quatre lots, dont la réalisation sera confiée à un groupe de BTP-- prendront davantage de retard.Le planning du reste des travaux du métro du Grand Paris, actualisé en juillet 2021, est en revanche confirmé."On est parfaitement à l'heure" pour les prolongements de la ligne 14 attendus pour les Jeux olympiques de 2024, au nord jusqu'à Saint-Denis Pleyel et au sud à l'aéroport d'Orly, a en particulier relevé M. Monteils.C'est ensuite la "15 sud", première section de la ligne circulaire, qui doit ouvrir fin 2025 entre Pont de Sèvres, Champigny et Noisy-Champs.
Il y a 2 ans et 162 jours

L’APPLICATION DE SUIVI DE CHANTIER ARCHIPAD ANNONCE SES DERNIERES FONCTIONNALITES A L’OCCASION DE BATIMAT

Leader des applications de suivi de chantier sur le marché français depuis plus 12 ans, Archipad revient une cinquième fois sur le salon BATIMAT pour y dévoiler ses dernières fonctionnalités : planning, multi-photos et SAV. Autant de nouveautés permettant à la marque de rester fidèle à sa promesse et accompagner ses clients vers « un chantier parfait en toute simplicité ». Jusqu’à 70% de temps gagné sur le suivi de son chantier Lauréat du Prix de l’innovation de BATIMAT à sa création, Archipad propose aujourd’hui une application de suivi de chantier complète (iPad, iPhone et web) réputée pour son ergonomie et son intuitivité. De la planification à la diffusion de rapports de suivi de chantier en passant par la gestion de réserves, Archipad a accompagné plus de 253 000 projets sur 136 pays. La digitalisation est aujourd’hui indispensable afin de préserver la rentabilité. Pour cause, elle permet  d’augmenter la communication et productivité des équipes, réduire les erreurs et les délais de traitement. Planning, multi-photos et SAV en nouveautés Régulièrement présente sur le terrain au plus près de ses clients, la marque innove continuellement et annonce trois nouvelles fonctionnalités à l’occasion de BATIMAT : – Planning : planifier à l’avance les différentes étapes du chantier et visualiser de façon intuitive les différentes tâches dans un diagramme de Gantt. L’utilisateur peut ainsi suivre le degré d’avancement en temps réel afin de gagner en visibilité et diminuer les retards. – Multi-photos : illustrer ses observations et réserves de plusieurs prises de vue. L’objectif étant de disposer d’angles différents et gagner ainsi en précision lors de leurs traitements. Dans la foulée, une fonctionnalité SAV permettra aux promoteurs de gérer les demandes d’intervention des propriétaires directement depuis l’application de A à Z. Une manière d’améliorer grandement l’expérience acquéreur tout en optimisant l’organisation côté promoteur. Fidèle à son ADN, la marque ne cesse d’innover pour accompagner ses clients vers la construction zéro défaut. Vous pouvez contacter notre service commercial par téléphone au 04 22 13 10 14 ou par mail via notre formulaire de contact.
Il y a 2 ans et 168 jours

TomTom et Webfleet Solutions lancent une solution mobile intégrée

Les deux entreprises ont combiné leur expertise pour créer une application unique dédiée aux gestionnaires de flotte et aux conducteurs leur permettant de relever les défis auxquels ils sont confrontés quotidiennement, notamment la conformité des itinéraires, le respect des délais de livraison et les problématiques de sécurité.WEBFLEET Work App permet aux conducteurs professionnels de réaliser leur travail facilement et efficacement grâce à leurs appareils mobiles Android uniquement. Les gestionnaires de flotte et leurs conducteurs, ont accès à un large éventail de fonctionnalités de gestion de la main-d'œuvre sans avoir besoin de matériel supplémentaire. Cette application comprend la localisation des véhicules, l'enregistrement des temps de travail, l’identification des conducteurs, la gestion des missions et des plannings et une communication bidirectionnelle avec le back-office. L'application TomTom GO Fleet y est parfaitement intégrée, et permet aux conducteurs de toujours disposer des cartes les plus à jour, ainsi que les infos trafic et la navigation dans un outil unique. Ils peuvent démarrer automatiquement leur itinéraire vers la destination de leur choix depuis WEBFLEET Work App, et les gestionnaires de flotte bénéficient d'une visibilité en temps réel sur les heures d’arrivée estimées et la destination en cours. La combinaison de WEBFLEET Work App et TomTom GO Fleet, permettent aux conducteurs de bénéficier d'une navigation professionnelle pour tous les types de véhicules. Une navigation dédiée aux poids lourds est également disponible en fonction des caractéristiques du véhicule, du type de cargaison, des réglementations locales et des caractéristiques de la route empruntée. De plus, TomTom GO Fleet assiste les chauffeurs routiers en localisant des points d'intérêt (POIs) dédiés aux poids lourds tels que les parkings et les stations-service, et offre les cartes les plus à jour, même en l'absence de connectivité. L'application propose également les heures d'arrivée estimées fiables et des informations sur le trafic en temps réel, ce qui permet aux conducteurs de respecter aisément les délais et de réduire les coûts de carburant en empruntant les meilleurs itinéraires.Pour Paul Verheijen, Vice President Product Management chez Bridgestone Mobility Solutions : « WEBFLEET Work App est la solution idéale pour les entreprises et les conducteurs qui souhaitent profiter de leurs appareils mobiles existants pour gérer efficacement les tâches quotidiennes. La configuration et l'intégration sont rapides et faciles à réaliser, avec une interface utilisateur intuitive, ce qui en fait une combinaison parfaite avec l'application TomTom GO Fleet. Ensemble, nous pouvons offrir encore plus de valeur à nos clients en leur fournissant une solution intégrée. »Pour Mike Schoofs, Vice President Product Management chez TomTom Enterprise : « Simplifier la technologie de localisation et aider à résoudre les problèmes des conducteurs ont toujours été au cœur des priorités de TomTom. C'est enrichissant de travailler avec des partenaires comme Webfleet Solutions, qui ont les mêmes objectifs que nous. Cette collaboration permet aux deux entreprises d'intégrer ce qu'elles font le mieux dans une seule solution dédiée aux conducteurs professionnels. » WEBFLEET Work App est désormais disponible pour tous les clients Webfleet Solutions disposant d'un dispositif de suivi LINK 740/710/530/510/410 installé. L'option de suivi mobile - sans aucune installation matérielle nécessaire - sera disponible dans les mois à venir.
Il y a 2 ans et 174 jours

Savoie : L’Agence Tous Risques du Béton

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Charlotte Piccamiglio est la chef d’orchestre de l’Agence Tous Risques du Béton… [©ATRB] Looping, Futé, Barracuda, Hannibal Smith… Ces noms parlent sûrement à beaucoup d’entre vous. Ce sont là les principaux personnages de la série télévisée “L’agence tous risques”. Aujourd’hui, il est possible d’y ajouter Charlotte Piccamiglio, la femme-orchestre d’ATRB. C’est-à-dire l’Agence Tous Risques du Béton ! Cette petite société, elle l’a créée il y a à peine un an, avec la volonté de partager son expertise en matière de centrales à béton. « Optimiser les plannings et gérer le quotidien des centralistes sont carrément mes spécialités ! » indique l’intéressée. Responsable de centrale, dispatcheuse de chantier, chargée de logistique et d’exploitation, elle a su relever – avec succès – bien des défis. Retrouvez les autres actualités de la région Auvergne- Rhône-Alpes. Aujourd’hui, elle veut transmettre sa passion via sa structure basée en Savoie. Mais avec la France tout entière comme terrain de jeu. ATRB, c’est un grand projet « que je suis en train de développer étape par étape ». Ainsi, les pôles “formation” et “conseil” sont en place, tout comme l’activité de gestion de projet et la mise à disposition de personnel. « J’assure personnellement des remplacements en centrale… » Quant à la location de centrales à béton, elle est dans les starting-blocks. « ATRB a vocation à intervenir à toutes les étapes de la vie d’une centrale à béton, avec un regard opérationnel et une adaptation aux spécificités de chaque entreprise », renchérit Charlotte Piccamiglio. Et de conclure, en paraphrasant Hannibal Smith : « Parce qu’un plan ne se déroule jamais sans accroc, ATRB s’adapte et trouve des solutions en béton ! » Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 233 jours

L’automatisation au service du secteur du bâtiment

Dès lors, se pose la question de l’intérêt de l’automatisation dans le secteur du BTP. Autrement dit, quels en sont les bénéfices ? Pour en savoir davantage, lisez la suite.Les bénéfices de l’automatisation de la gestion des chantiersL’automatisation assure une gestion efficace des chantiers de BTP. Elle garantit aux acteurs de cette filière, un pilotage transversal grâce à l’usage des logiciels de gestion des chantiers de BTP. Parmi ses bénéfices, il y a l’édition des devis, le suivi de la rentabilité, la fourniture d’indicateurs de performance et même la gestion des ressources humaines et matérielles.L’automatisation garantit la mise en conformité de l’activitéCela va sans dire, les logiciels de gestion des chantiers intègrent depuis peu les fonctions automatisées. C’est ce qui permet aux entreprises de construction de mieux respecter les normes réglementaires en vigueur dans le secteur du BTP. En effet, les acteurs de la construction sont soumis à diverses obligations légales et administratives. Or, la gestion automatisée des chantiers permet de simplifier ces tâches dont l’importance n’est plus à faire.À titre d’exemple, les logiciels de BTP permettent aux entreprises d’affecter des ressources humaines conséquentes sur des tâches à forte valeur ajoutée. L’automatisation des rapports, des devis optimisés, des réponses en conformité avec les appels d’offres et une facturation réglementaire sont d’autres avantages de l'automatisation dans le bâtiment. Ainsi, les logiciels de gestion vous alertent sur les appels d’offres de votre région. Ils facilitent également la consultation des candidatures et la fourniture de réponses directes en respectant le bon format.Par ailleurs, l’optimisation des devis est une réalité grâce à l’intégration des données dans la gestion logicielle. La digitalisation permet aussi de bien gérer le catalogue des fournisseurs, la bibliothèque des prix, la mise à jour des commandes, etc. Cette disponibilité d’informations fiables facilite l’établissement rapide des devis. En outre, l’envoi des factures éditées se fait directement via le portail Chorus Pro. En effet, cette solution assure une transmission sécurisée de vos factures BtoB à vos clients.L’automatisation améliore les processus de prise des décisionsL’ERP assure un recensement automatique des données relatives à votre chantier, ce qui facilite le pilotage de l’activité d’un bout à l’autre. Cet outil vous offre un accès en temps réel aux indicateurs de performance. Il s’agit concrètement de données portant sur la gestion des stocks, à savoir, l’état des commandes, la rotation des stocks, les coûts de stockage ainsi que la nature des matières premières.Il y a également les données portant sur la rentabilité de votre entreprise. Citons pêle-mêle : la croissance du chiffre d’affaires, les ratios et écarts de coûts du chantier, sans oublier le rendement des actifs. Les données concernant vos encaissements sont d’autres indicateurs disponibles. Il peut s’agir entre autres des créances à risques ou même du volume quotidien de paiements. Enfin, il y a les données relatives aux prévisions de votre activité. Ici, on peut estimer la valeur moyenne des futurs chantiers ou encore le volume d’heures global prévu pour ce projet.Toutefois, un logiciel de gestion de chantier ne se limite pas simplement à la fourniture des indicateurs de performance. Il assure aussi le recoupement et le traitement automatique de vos données. Mais la réalisation des opérations tient compte de la configuration des paramètres au moment d’installer votre logiciel. C’est donc un outil très important qui vous offre une bonne visibilité sur votre activité. De cette façon, vous pouvez orienter quotidiennement vos choix stratégiques en fonction de vos priorités.L’automatisation permet de garder le contrôle du chantierLe suivi du chantier, étape par étape, est probablement le plus gros avantage d’une solution logicielle. Ce suivi se fait en automatisant les tâches chronophages et celles ayant une faible valeur ajoutée. Parmi ces étapes, il y a la préparation du chantier, son exécution, son contrôle et sa livraison. Si vous utilisez un logiciel de gestion de chantiers, la réalisation des tâches administratives deviendra un jeu d’enfants. Il en est de même de l’évaluation de vos besoins, tant en main-d’œuvre qu’en matériaux.Concernant l’exécution du chantier, le principal atout de l’ERP est qu’il facilite son suivi en temps réel ainsi que sa planification. Cela concerne notamment les aspects liés à l’intervention des sous-traitants, à la rotation des équipes ou à la mise en place des plannings. Mais toutes ces réalisations dépendent essentiellement de l’analyse de l’activité. S’agissant du contrôle, l’automatisation vous permet d’avoir une vision plus globale de votre chantier à travers les indicateurs de performance.La vérification peut aussi porter sur le respect ou non des contraintes réglementaires : budget, respect des délais, conformité par rapport aux normes, etc. Bien entendu, elle permet d’améliorer la prise des décisions stratégiques en rapport avec le fonctionnement de votre chantier. Grâce aux comptes-rendus automatisés, vous pouvez réaliser le bilan de votre chantier. Ces données sont importantes en cas de litige avec le client. Elles servent également pour un retour d’expérience en vue d’une optimisation de l’activité lors de travaux futurs.
Il y a 2 ans et 235 jours

Doka : L’échafaudage en ligne de mire

Doka se lance dans l’échafaudage… [©Doka] L’un des clous du stand Doka est la présentation de sa toute nouvelle activité d’échafaudage. Ceci, dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’industriel américain At-Pac mis en place depuis 2020. Sachant qu’At-Pac est né en 1995.  A Bauma est mis en avant l’échafaudage multi-directionnel Ringlock, qui s’articule autour d’un nœud à huit départs. L’offre compte tous les éléments nécessaires pour répondre aux besoins de la construction, quelle qu’en soit la nature. Doka présente en même temps le logiciel de gestion d’échafaudage Hi-Vis. L’univers du coffrage – raison d’être de l’entreprise – profite aussi de nombreuses innovations. Doka annonce ainsi « l’inauguration d’une nouvelle ère dans le coffrage de planchers, avec l’arrivée d’une famille de systèmes sans précédent ». Mais il faudra se rendre sur place pour en savoir plus… En revanche, on sait déjà que le coffrage-cadre Framax Xlife profite de plusieurs améliorations. Dont le lancement d’un panneau de 3 m de haut, parfait pour la construction résidentielle. Le Doka Xlight évolue de la même manière et voit la présentation de nouveaux composants permettant une utilisation du système aussi bien en coffrage de voiles que de planchers.   Le génie civil est, lui, le terrain de jeu du Doka UniKit. Poutres métalliques primaires, secondaires et tour 480 en constituant les composants de base. A assembler à loisir entre eux et/ou à intégrer à tous les autres systèmes de mâts porteurs de la marque.  Doka invite les visiteurs à tester ses solutions logicielles, dont la première s’appelle Easy Formwork Planner. Cette application mobile est destinée à rendre la planification de l’utilisation du coffrage presque intuitive. Smart Assistants, Smart Planning et Smart Site sont, elles, des solutions numériques visant à optimiser les opérations de chantier et à contribuer à l’augmentation de la productivité.  Enfin, Doka dévoile une dernière solution, lumineuse… SiteLight n’est autre qu’un support constitué de panneaux à Leds permettant l’affichage de panneaux publicitaires sur les chantiers.  Bauma – Zone extérieure FN – Stand 421 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 239 jours

Val-d’Oise : la requalification du centre-ville d’Herblay-sur-Seine se poursuivra jusqu’en 2023

Selon le planning dévoilé par la municipalité d’Herblay-sur-Seine (Val-d’Oise), les travaux de requalification du centre-ville se poursuivront...
Il y a 2 ans et 239 jours

Val-d’Oise : la requalification du centre-ville d’Herblay-sur-Seine se poursuivra jusqu’en 2023

Selon le planning dévoilé par la municipalité d’Herblay-sur-Seine (Val-d’Oise), les travaux de requalification du centre-ville se poursuivront...
Il y a 2 ans et 241 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 252 jours

Le campus connect et son parc paysagé se développent sur un site de plus de 2 hectares

Maîtrise d’ouvrage : Groupe GA Smart BuidingMaîtrise d’œuvre : Studio MontazamiLocalisation : Parc D’innovation d’Illkirch, Illkirch-Graffenstaden, FranceProgramme : Bureaux, Restaurant inter-entrepriseNature : Construction neuveLivraison : Novembre 2021Surfaces : Site 20.000 m2, Bureaux 6.750m2, Restaurant 550m2Durée de chantier : 13 moisEnvironnement : Produits béton GA hors site, Modules bois hors site, Label HQE, Centrale solaire SEE YOU SUNL’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de 15 bâtiments construits par GA Smart Building.Le projet architectural est pensé comme un ensemble paysager qui s’articule autour de deux bâtiments reliés par un lobby central. La disposition des bâtiments A et B donne des vus l’extérieur, et laisse traverser les perspectives sur les promenades autour desquelles sont aménagés des espaces de quiétudes, une prairie sauvage et des lieux d’échanges et de convivialités.L’architecture se compose de volumes sculptés, dont le rythme associé à des mouvements valsants, créée un dynamisme permanent.Les façades vibrent et créent des jeux d’ombres, discrètement ornementées de poinçonnements aléatoires faisant référence aux cartes perforées informatiques. Cette composition architecturale personnalisée permet ici d’identifier l’ADN du secteur technologie et informatique de l’utilisateur, mais aussi des entreprises du parc d’innovation d’Illkirch, tout en permettant les prises et rejets d’air des modules de traitements d’air intégrés en façades. Les larges baies s’ouvrent vers les espaces environnants.Les plateaux de bureaux bénéficient de grandes baies toute hauteur qui offrent des vues généreuses vers les espaces végétalisés extérieurs. Le forum d’accueil s’implante à l’intersection des 2 bâtiments, permettant l’articulation entre les deux ensembles. Les utilisateurs et visiteurs traversent ce lieu de vie.Le pavillon d’accueil aux façades de verres et d’inox brossé crée une transparence entre les parkings et le cœur de site végétalisé, tout en articulant au rez-de-chaussée et au premier étage les flux et usages des deux bâtiments de bureaux.Ce « forum Alcatel-Lucent Enterprise » s’implante entre les deux bâtiments : il accueille le public depuis les deux parvis d’entrée. C’est un espace hybride de convivialité et d’accueil où est également présenté l’histoire d’Alcatel-Lucent Enterprise. Au premier niveau de ce bâtiment d’accueil, une passerelle permet une liaison à l’air libre entre les deux bâtiments autour d’une vaste terrasse extérieure.Le site se compose également d’un restaurant de plain pied en cœur d’îlot et marquant l’entrée du campus Alcatel-Lucent Enterprise. Les façades vitrées et de bardage inox brossé s’intègrent à l’architecture du Campus et à l’environnent paysager avec harmonie, reflets et transparence.Architecte mandataire : Orash Montazami - Studio MontazamiBET Structure (GA) : OMEGABET Façade (GA) : Paquet FontaineCuisiniste : CETPEcologue : OGELandscape design : Studio MontazamiSpace planning et intérieurs : Studio Montazami / L'atelier Des DemoisellesEntreprise générale : GA Smart BuildingBureau de contrôle : SOCOTEC
Il y a 2 ans et 303 jours

Reconversion professionnelle : pourquoi devenir décorateur d’intérieur ?

Tout le monde peut souhaiter faire une reconversion professionnelle. Généralement, une baisse de motivation et un manque d’intérêt pour votre travail vous poussent à changer d’orientation professionnelle. Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois qui sont accessibles aux personnes souhaitant changer de métier. Voici quelques raisons qui peuvent vous inciter à exercer ce métier dans le futur. Un travail à la pointe de la tendance Le travail de décorateur d’intérieur figure parmi les emplois à succès de ces dernières années. Ceux qui souhaitent faire une formation pour devenir décorateur d’intérieur ont compris que ce métier est actuellement en plein essor. Il est effectivement facile de se constituer une clientèle en tant que décorateur d’intérieur. Les particuliers sollicitent des experts en décorations pour transformer leurs pièces à vivre. Les entreprises par contre préfèrent engager des décorateurs d’intérieur pour transformer leurs espaces et les rendre plus accueillants et chaleureux. Tous souhaitent créer un lieu agréable à vivre en fonction de leurs besoins spécifiques. Ainsi, le travail de décorateur d’intérieur nécessite aussi une grande créativité pour adapter les dernières tendances à chaque style d’intérieur. Bien évidemment, de la passion est aussi indispensable afin de réussir vos projets de décorations. Grâce à cela, vous avez ainsi la possibilité d’aménager, mais aussi de transformer tous types d’espaces. Une profession accessible pour tous Aucun diplôme spécifique n’est requis pour réaliser le travail de décorateur d’intérieur. Toutefois, le fait de suivre une formation en décoration vous aide dans votre reconversion professionnelle. Ainsi, en plus de votre créativité, vous disposez en plus de tous les bagages nécessaires pour la réalisation de ce travail. Il est à noter cependant que le fait d’avoir de solides connaissances concernant certains logiciels de créations est avantageux pour la réalisation de ce travail. En plus, ce type d’emploi est accessible pour les personnes qui souhaitent se lancer à leur propre compte. Ainsi, vous n’avez pas besoin d’avoir un statut spécifique pour devenir décorateur intérieur. Certains passionnés proposent même leur service. Toutefois, le fait d’avoir des compétences spécifiques offre d’importants avantages pour exceller dans ce métier. Un travail souple Devenir décorateur d’intérieur permet de recevoir une rémunération intéressante. Comme mentionné auparavant, les professionnels en décoration sont très sollicités. Ainsi, vous n’aurez pas du mal à avoir des clients. Par conséquent, votre revenu est défini en fonction du nombre de projets qui sont à votre charge. Vous pouvez alors travailler à votre propre compte ou faire partie d’une agence. Le travail de décorateur d’intérieur est aussi un métier qui se réalise à des horaires flexibles. Vous élaborez votre planning en fonction de votre clientèle. À part cela, le métier de designer d’intérieur se réalise dans le domicile du client. Il est donc nécessaire d’avoir une grande mobilité pour mieux réaliser votre travail. Le métier de décorateur d’intérieur est intéressant pour une reconversion professionnelle. N’hésitez pas à vous lancer dans ce domaine pour réaliser un travail qui vous passionne et qui vous intéresse. En plus, travailler dans la décoration fait partie des professions les plus recherchées actuellement.
Il y a 2 ans et 312 jours

Ouvrage maritime : Les éoliennes de Fécamp

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Une véritable forêt minérale est née au cœur de la zone portuaire du Havre. [©ACPresse] C’est une véritable forêt minérale qui remplit l’horizon havrais, du moins celui de sa zone portuaire. Une fois passée la chaussée de l’Amiral Bonnivet, elle apparaît, impressionnante. Là, quai de Bougainville, s’achève la construction des 71 fondations gravitaires du futur parc éolien de Fécamp. Des éléments majestueux en forme de cône inversé surmonté d’un fût circulaire, d’une hauteur totale oscillant entre 48 et 54 m, pour un poids unitaire maximum de 4 818 t. Une contrainte stricte, car, au-delà, les opérations de levage deviennent trop complexes. Car, oui, chacune de ces fondations devra être levée, posée sur des chariots multi-roues et transférée vers un cargo-barge. A vrai dire, trois fondations gravitaires voyageront ensemble depuis Le Havre jusqu’au large de Fécamp. C’est entre 13 et 22 km des côtes qu’est localisé le parc. Il se développe sur une aire de l’ordre de 60 km2 (total de la superficie concédée par l’Etat pour une durée de 40 ans). 30 000 m3 de ballast Au large, on ne touche pas au fond marin : il convient à l’usage attendu. La seule opération préparatoire voit la mise en place d’une couche d’assise d’une épaisseur minimale de 70 cm, avec des granulats d’une dimension allant de 25 à 100 mm. Chaque trio de fondations arrivé à destination, une grue maritime très haute capacité Saipem 7000, en position dynamique, les reprend une à une. Puis, les pose sur le fond marin. « Le transfert par flottaison avait été envisagé, mais au final n’a pas été retenu pour des questions de planning », explique directeur technique du projet pour Bouygues Travaux Publics. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 314 jours

Vienne : Réhabilitation ambitieuse menée par Spie Batignolles Grand Ouest

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Spie Batignolles Grand Ouest opère une rénovation ambitieuse mêlant performance et économie circulaire. [©Spie Batignolles] Spie Batignolles Grand Ouest est en charge de la réhabilitation de la résidence Schuman, à Poitiers. Le chantier constitue la première transformation avant une requalification globale du quartier des Couronneries. Et ce, pour créer un nouvel ensemble plus durable, attractif en faveur de la mixité. L’immeuble Schuman en R+4 dispose d’une architecture typique des années 1970. Il est doté de 85 appartements, et 40 bureaux et locaux commerciaux. La réhabilitation permettra de totaliser 97 appartements et 21 locaux commerciaux (au rez-de-chaussée). Le chantier vise une performance BBC Rénovation. L’économie circulaire est un marqueur fort sur ce programme. Ainsi, les équipes Spie Batignolles ont proposé la récupération de différents éléments durant les phases de démolition des cages d’escalier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine A l’image de granulats récupérés, envoyés en carrière pour être concassés et réinjectés dans la formulation de nouveaux bétons. Près de 34 t de matériaux ont été identifiées pour être réemployées dans le cadre de cette rénovation. D’autres innovations ont été choisies par l’entreprise de BTP. A l’image du lean pour optimiser le planning de ce chantier. Ou encore la maquette BIM. Enfin, pour la création d’ancrage en béton pour supporter les charges de la charpente, Spie Batignolles a opté pour l’impression 3D. Les 160 coffrages en béton seront imprimés depuis le parc matériel de Spie Batignolles, à Ollainville (91) où le groupe possède sa propre tête d’impression. La livraison du chantier est prévue à la fin mai 2023. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 317 jours

LGV Bordeaux-Toulouse : première réunion du conseil de surveillance

Ce Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et à Bordeaux en une heure, soit un gain d'une heure sur chaque trajet, ainsi que de vingt minutes vers Dax.Le conseil de surveillance de la société du GPSO réunit les 25 collectivités territoriales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine qui participent au financement, ainsi que la SNCF.Le GPSO représente "327 km de lignes nouvelles, en incluant les aménagements au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse", a précisé Etienne Guyot, préfet d'Occitanie et coordinateur du projet, lors d'une conférence de presse à Toulouse.La SNCF "maître d'ouvrage a présenté le planning de réalisation avec (...) un objectif de mise en service en 2032", a-t-il ajouté, annonçant un début des travaux d'aménagement en 2023.La présidente PS du conseil régional d'Occitanie, Carole Delga, a été élue à la tête du conseil de surveillance, à la suite duquel s'est tenue la première réunion du comité de pilotage du projet.Elle a souligné que le GPSO vise à "permettre une connexion à l'international, mais aussi le développement des trains du quotidien" en Occitanie, impossible selon elle en l'état des structures existantes, saturées ou en passe de l'être.Elle s'est par ailleurs engagée à faire en sorte de "gagner du temps par rapport au premier calendrier présenté" pour une mise en service plutôt en "2030-2031".Alain Rousset, président PS de la région Nouvelle-Aquitaine, a argué que la LGV est un "succès populaire" qui ne dessert pas seulement Paris, mais a "un report massif et écologique" sur les transports quotidiens et a invoqué la nécessité d'une 2e voie ferroviaire pour le fret.Le GPSO est financé à 40% par l'Etat, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, et à 20% par l'Union européenne.Fin juin, la Commission européenne a refusé le financement d'études techniques d'aménagements au sud de Bordeaux, soit 17,3 millions d'euros sur les 2,8 milliards de fonds européens attendus."Cette annonce de l'Union européenne du 29 juin 2022 ne préjuge en rien des appels à projet ultérieurs", a déclaré lundi M. Guyot, soulignant que l'UE préfère soutenir "des projets déjà en phase travaux" et "a déjà financé 39,2 millions du GPSO sur les aménagements ferroviaires au nord de Toulouse, au sud de Bordeaux".Pour les opposants à la LGV toutefois, tel Pierre Hurmic, maire EELV de Bordeaux, "il est encore temps (...) de préparer une candidature alternative" avec la modernisation des lignes existantes, avant le prochain appel à subventions prévu en septembre.
Il y a 2 ans et 325 jours

Anne-Sophie Douard - La parole aux professionnels

Anne-Sophie DouardLa parole aux professionnels Anne-Sophie Douard, responsable pôle gestion des opérateurs et contrôle, direction du Cycle de l'Eau, Nantes Métropole. Quel est votre rôle et celui de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole ? Je suis responsable du pôle gestion des opérateurs et contrôle, pôle en charge à la fois du suivi et du pilotage des exploitants publics et privés d'eau potable, d'eau usée et d'eau pluviale, et du contrôle des raccordements au réseau assainissement des usagers particuliers aux industriels. Ce pôle fait partie de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole, autorité organisatrice de la politique publique de l'eau. Celle-ci intervient dans quatre grands secteurs d'activité : l'eau potable, l'eau usée, l'eau pluviale et les milieux aquatiques. Sa mission est notamment de déterminer les grands schémas directeurs qui concernent les futurs besoins en termes d'infrastructures à rénover, mais aussi à construire pour les nouveaux usagers. Dans le même temps, elle est chargée de la maîtrise d'ouvrage de ces gros travaux. Elle est aussi garante de la gestion patrimoniale et de l'exploitation de ces réseaux et ouvrages qu'elle confie à des exploitants : Veolia (eau potable) et Suez (assainissement) pour le côté privé et la Régie de Nantes Métropole (direction des opérateurs publics de l'eau et de l'assainissement - DOPEA) côté public. La direction du Cycle de l'eau s'appuie sur sept pôles de proximité qui assurent également une activité d'autorité organisatrice assainissement dans les territoires, une organisation spécifique à Nantes Métropole. En 2019, le sud-ouest de la métropole a connu, pendant quelques mois, des apparitions de phénomène d'eau colorée. Ce problème est-il nouveau sur le réseau d'adduction d'eau potable ? Tous les propriétaires de réseaux et exploitants d'eau potable connaissent, à un moment donné, ce phénomène qui touche principalement les réseaux métalliques non revêtus. Peu fréquent, celui-ci provient d'une modification brutale du régime hydraulique, comme l'activation d'un poteau incendie, une casse sur le réseau ou une remise en eau après travaux. La répétition de ce phénomène d'eau colorée sur une période courte est le premier élément qui nous a alertés. Puis différents secteurs ont été confrontés à la même problématique. Cela a d'abord touché la partie Sud-Loire du territoire, puis, rapidement, la partie Nord-Loire, alors que ces deux zones sont alimentées par des eaux brutes différentes – eaux souterraines pour le sud, eaux de Loire pour le nord – traitées par deux usines différentes, puis distribuées par des réseaux différents. De plus, l'apparition de ces eaux colorées s'est produite sur des réseaux métalliques, mais aussi sur des réseaux plastiques sans que l'on puisse y associer une origine hydraulique. Connaître l'origine de ce phénomène est bien sûr devenu une priorité, aussi bien pour la direction du Cycle de l'eau que pour les exploitants. Ces derniers ont mené de nombreuses investigations. Ils ont effectué des manœuvres sur le réseau, des modélisations, des analyses de l'eau et des études métallographiques. Ils ont aussi contacté les usagers pour effectuer des prélèvements d'eau à leur domicile lorsque le phénomène était en cours, ce qui a permis de leur fournir les résultats sur la potabilité et l'ensemble des informations dont nous disposions à l'époque sur l'origine de cette coloration. En parallèle, la direction du Cycle de l'Eau s'est rapprochée d'autres collectivités qui avaient pu connaître ces recrudescences d'eau colorée pour essayer de trouver des similitudes entre les deux situations. Comment le CSTB vous a-t-il permis de faire disparaître ce phénomène ? À partir des nombreuses données que nous avions rassemblées, nous avons émis quelques hypothèses qu'il était nécessaire de confirmer. C'est pourquoi nous avons contacté le CSTB. Il nous paraissait intéressant d'avoir un regard extérieur critique afin de ne pas passer à côté d'une piste potentielle. Les experts du CSTB ont pu faire une synthèse de toutes les publications scientifiques qui existaient sur le sujet et réaliser une méthode statistique pour valider nos hypothèses. Il s'est avéré que les origines du problème étaient différentes entre le nord et le sud, malgré leur période d'apparition identique. Les deux usines étaient en travaux en même temps. Même si elles continuaient à produire de l'eau potable, les paramètres de celle-ci étaient légèrement modifiés à cause des travaux. Cela a entraîné une perturbation du biofilm à l'intérieur de nos réseaux et ainsi entraîné une mobilisation des dépôts à l'origine de la coloration. Nous avons alors mené des travaux en urgence sur les conduites métalliques non revêtues. Et quand les travaux n'étaient pas possibles dans l'immédiat, nous avons installé des systèmes de purge qui ont permis aux usagers de retrouver une eau sans coloration. Veolia, la Régie de Nantes Métropole (services usine et réseaux) et la direction du Cycle de l'Eau (pôles gestion patrimoniale, travaux et gestion des opérateurs) ont bouleversé leurs programmations et leurs plannings pour s'investir entièrement dans la résolution de ce problème. Au-delà du désagrément rencontré par les usagers, ce projet de recherche a été un beau travail collectif. Les conclusions de ce projet de recherche ont-elles été exploitées par Nantes Métropole pour anticiper l'apparition de ces phénomènes ? Nous avons en effet instauré une veille de certains paramètres des deux usines, bien au-delà de l'analyse de la potabilité de l'eau, qui n'est pas, dans ce cas, un indicateur pertinent. Grâce à l'expertise du CSTB, nous avons pu bien confirmer ce qu'il s'est passé et donc mettre en place cette vigilance sur certains paramètres de l'eau en sortie d'usine. Nous avons également ajusté notre programmation : le renouvellement des réseaux métalliques non revêtus, et surtout de leurs extrémités, est devenu prioritaire. Aujourd'hui, nous sommes revenus à une fréquence classique d'apparition d'eau colorée, habituelle avec les conduites métalliques non revêtues. Nous ne pouvons pas nous en contenter, notre objectif étant d'offrir un service toujours plus satisfaisant à nos usagers. Le travail d'amélioration est continu et nous menons en permanence des actions correctrices. En termes de communication, l'arbre des causes présenté par le CSTB nous permet de mieux expliquer aux usagers ce phénomène d'apparition d'eau colorée. Celui-ci a été traduit pour les exploitants afin qu'ils soient, eux aussi, en capacité de leur fournir des informations claires et précises. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 325 jours

Jean-Louis Clervil - La parole aux professionnels

Jean-Louis ClervilLa parole aux professionnels L'apport du CSTB a été majeur s'agissant de son expertise laboratoire et de son accompagnement de ce type d'expérimentations qui sont assez spécifiques. Jean-Louis Clervil, direction de l'Ingénierie et du Patrimoine, Eau de Paris Pouvez-vous vous présenter et nous présenter Eau de Paris Eau de Paris est une entité de 80 personnes qui s'occupe de la maîtrise d'ouvrage et de la maîtrise d'œuvre sur l'ensemble du patrimoine lié à l'eau de Paris. C'est une régie autonome financièrement pour assurer les missions régaliennes du service de l'eau : protéger, capter, traiter, stocker, distribuer et suivre. L'avantage d'Eau de Paris est de disposer d'un patrimoine à la fois historique qui date de la fin du 19ème siècle, mais utilisant des technologies modernes de captation, de transport et de traitement. Nous stockons l'eau dans cinq réservoirs principaux à Paris, pour distribuer l'eau potable à l'ensemble des Parisiens, soit trois millions d'usagers au quotidien. Nous suivons évidemment la qualité de l'eau en permanence, puisqu'elle est contrôlée à dix reprises - par Eau de Paris mais aussi l'ARS - tout au long de son parcours avant d'arriver dans le robinet du consommateur. Nous avons donc un outil formidable pour Paris, qui est particulièrement bien géré dans la cadre de la régie. Pour quelles raisons eau de paris s'intéresse à la réhabilitation par chemisage pour l'application Eau Potable ? La réhabilitation est une option que nous avons toujours envisagée, notamment pour des raisons environnementales. Mais cette technique n'est pas appropriée à toutes les situations et pose un certain nombre de questions qui ne sont pas toujours résolues, ce qui fait que dans de nombreux cas, nous préférons faire du remplacement. Les critères qui peuvent faire pencher la balance vers la réhabilitation par rapport à des travaux de remplacement classiques sont bien connus. Il s'agit de ceux présentés par les techniques « sans tranchées » : empreintes environnementale et socioéconomique plus faibles et coût plus compétitif sur la base d'une durée de vie que l'on peut estimer à 50 ans. Malgré un réseau parisien de 2 500 km qui n'est pas en terre mais à 90 % visitables, nous nous sommes tout de même intéressés à la réhabilitation. Mais il nous fallait lever quelques zones d'ombres concernant les techniques de réhabilitation, notamment sur la durée de vie des rénovations car certaines techniques ne sont pas garanties, comme la projection de résine. Mais aussi s'agissant des connexions en bout de tronçons qui sont assez complexes à réaliser, ou encore des difficultés de mise en œuvre, ou de maintenance à postériori sur ces réseaux. Le chemisage est une technique qui semble donc intéressante pour des conduites moyennement oxydées, qui ont été systématiquement réparées par le passé au niveau des joints de rapport extérieurs. En effet, le réseau parisien est essentiellement constitué de futs en fonte grise à Paris et qui ont une durée de vie très supérieures à 50 ans, puisque nous venons de qualifier une durée de vie de quasiment 240 ans. En revanche, la fiabilité des joints mécaniques qui sont soumis à des contraintes liées à la vie de la conduite et leurs durées de vie - bien moindres que celles de la conduite - étaient à expérimenter. On peut donc s'interroger sur la pertinence d'une réhabilitation par l'intérieur avec des résines, avec la spécificité de la mettre en place dans des canalisations situées dans des galeries techniques, et non en terre. L'autre sujet concerne évidemment l'attestation de conformité sanitaire (ACS) de la résine, car très peu de résines ont l'ACS. Par ailleurs, la mise en œuvre de ce type de produits dans des conduites situées dans des galeries d'eau et des égouts, pose un certain nombre de problèmes qui n'ont pas forcément encore été résolus par la filière afin de répondre à toutes les sollicitations nécessaires pour la déployer à Paris. Mais nous avons tout de même voulu mettre en œuvre ce chantier expérimental pour essayer de voir quels étaient les coûts induits, les plannings associés et surtout, la tenue de ce type de produit à l'intérieur d'une canalisation qui a plus de 150 ans. Quel était l'enjeu de réaliser un chantier expérimental à Paris ? L'enjeu était d'essayer de garantir l'étanchéité des tuyaux par l'intérieur, notamment en mesurant l'élasticité de la résine au niveau des joints, car ce sont eux qui évoluent, et non la conduite. Il fallait donc voir si un décollement se prononçait au niveau des pontages, si les effet de pontage ne créaient pas de fissures, mais aussi vérifier la tenue de la résine après projection en une ou plusieurs couches, pour voir s'il y avait des problèmes de cloquage, de tenue. Et enfin, vérifier comment l'intérieur des branchements était traité par la projection de résine, si cela ne créait pas de lutages de branchements qui empêcheraient l'eau de parvenir jusqu'aux abonnés. C'est donc particulièrement la technologie des joints qui nous intéressait, puisque la majorité des fuites du réseau parisien sont localisées à ce niveau, les fuites en section courante de fut n'existent quasiment pas à Paris. Pouvez-vous nous parler de l'apport du CSTB dans le suivi de ce chantier ? L'apport du CSTB a été majeur s'agissant de son expertise laboratoire et de son accompagnement de ce type d'expérimentations qui sont assez spécifiques. Et notamment, concernant la lecture des échantillons prélevés, le niveau de tests et la rigueur de ces niveaux de test s'agissant des prélèvements effectués sur le terrain, qui garantissent le résultat que doit apporter l'examen des échantillons. En effet, c'est un chantier qu'on ne pouvait pas mener seuls en tant que non-sachants. Nous sommes des sachants du réseau parisien en matière de production, distribution et technicité. En revanche, pour tout ce qui concerne les produits nouveaux et d'apports, nous sommes plutôt un laboratoire à ciel ouvert pour toutes les expérimentations possibles qui concourraient à l'amélioration du service d'eau. Avoir l'œil de spécialiste du CSTB était donc essentiel pour Eau de Paris, car nous ne possédons pas sa technicité de haut niveau en matière d'expertise laboratoire, qui a permis à Eau de Paris d'être certaine de ne pas de tromper. Des travaux de R&D doivent-ils être engagés pour améliorer et sécuriser ce type d'opérations ? En matière de réhabilitation, Eau de Paris ne constitue pas un marché porteur qui permettrait de favoriser le développement de la R&D. Les entreprises sont assez frileuses pour développer de nouvelles techniques et technologies pour un marché tout de même assez contraint et limité au domaine parisien, notamment s'agissant des méthodologies de mise en œuvre dans les égouts, environnement assez particulier. Le caractère très spécifique de notre réseau nous met quelque peu en défaut par rapport au développement de la R&D sur ce type de produits. Nous souhaitons poursuivre l'exploration de ce sujet, mais plutôt concernant d'autres techniques de réhabilitation que la résine, comme les chaussettes ou la polymérisation de produits non-pas pulsés sur les parois de canalisations, mais directement ajoutés dans celles-ci. Mais la question du financement se pose : comment qualifie-t-on ces sujets, comment les introduit-on dans les marchés ? Eau de Paris doit contribuer à faire développer des techniques auprès des entreprises pour satisfaire le réseau parisien, mais sans être propriétaire des droits de R&D. Ce n'est pas notre domaine de compétence, mais nous avons des pistes exploratoires sur ces sujets, car le coût du renouvellement à l'identique est très élevé : coûts des matières, nécessité d'analyser les cycles de vie des matériaux posés et de garantir leur réaffectation dans la chaîne de traitement de déchets. Nous avons besoin d'avoir des certitudes sur l'utilisation de ces techniques et la R&D aidera à développer les produits susceptibles d'être posés dans le réseau parisien interne. Comment Eau de Paris voit la certification des produits de canalisation ? Peut-elle lui apporter des bénéfices ? Les normes européennes nous protégeant encore concernant les critères techniques qui pourraient provenir de contrées qui ne respectent pas les conditions techniques normatives de l'Europe, nous nous positionnons plutôt sur des objectifs de performances à atteindre par l'équipement que l'on va poser, de durabilité de cet équipement et surtout, de maintenabilité. Nous souhaitons sortir du cercle vicieux de l'obsolescence programmée des produits que l'on nous propose. En effet, beaucoup d'équipement que l'on a posé à moindre coût et rapidement dans les années 80-90, doivent aujourd'hui être totalement repris. Ce que l'on souhaite mettre en place est une politique du long terme comme l'ont construite les ingénieurs des ponts et chaussées qui ont œuvré à la construction de ce réseau, à savoir construire pour toujours et utiliser des techniques de maintenance appropriées à ces réseaux qui sont faits pour durer. Vous intéressez donc aux produits certifiés ? Bien entendu, mais je pense que nous avons encore du travail pour mener une analyse normative et de la certification et la Direction de l'Ingénierie et du Patrimoine (DIP) a pour projet d'ici à 2026, de procéder au référencement de la classification des produits certifiés qui peuvent être utilisés sur les réseaux d'Eau de Paris. Nous avons un peu de retard sur ces sujets, car nous sommes un peu « enfermés » dans notre enceinte parisienne avec nos habitudes de travail sur la fonte, qui constitue 80 % de notre réseau. Mais on ne peut pas fermer la porte aux produits certifiés qui pourraient constituer une réelle valeur ajoutée. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 328 jours

En Seine-Saint-Denis, un chantier d'enfouissement de lignes à haute tension inédit

EN IMAGES. En Seine-Saint-Denis, un tunnel de 2,5km dont le creusement a été achevé fin mai 2022 permettra d'accueillir les nouvelles lignes à très haute tension actuellement en aérien. Un chantier utilisant des techniques inédites pour le maître d'ouvrage RTE, et au planning serré car s'insérant dans le cadre des travaux liés aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024.
Il y a 2 ans et 338 jours

ITE360 La première application dédiée à l’Isolation Thermique par l’Extérieur qui gère les devis, les chantiers et les plannings des équipes : www.ite360.fr

Spécialiste de l’Isolation Thermique par l’Extérieur depuis 13 ans, Franck Porcel, dirigeant d’ITE-SHOP, est confronté au quotidien aux problématiques de gestion et de pilotage des chantiers et des équipes. Si des outils existent, aucun ne permet de gérer tous les aspects du chantier, de son chiffrage jusqu’à la mise en œuvre par les équipes. Pour répondre à ces besoins, ITE-SHOP a créé un outil unique sur le marché : l’application ITE360. Conçue pour faciliter le quotidien des entreprises spécialisées dans l’Isolation Thermique par l’Extérieur, ITE360 permet de réaliser directement via l’application toutes les étapes commerciales, techniques, administratives de suivi de chantier. La première partie est consacrée au devis avec automatisation des métrés des façades, ainsi que des éléments singuliers propres à chaque chantier, pour réaliser un devis complet dès le premier rendez-vous. Toutes les configurations sont proposées pour établir un devis personnalisé (prise en compte de fenêtres et balcons, détail de la mise en œuvre, type de revêtement…). Le professionnel peut ainsi configurer son chantier dans les moindres détails, et même ajouter des photos pour un meilleur suivi. Pour s’adapter à chaque entreprise, ITE360 propose une bibliothèque de produits de plus de 700 références, comprenant les différents systèmes d’isolation existants (PSE, laine de roche, fibre de bois, liège…) et tout le matériel nécessaire à la mise en œuvre du chantier : de l’échafaudage à l’enduit de façade, en passant par les cornières, les joints ou les systèmes de déports. Une fois ces éléments enregistrés, le calcul des temps de pose nécessaires au chantier se fait automatiquement pour définir le coût horaire. L’application prend en compte également les aides et les subventions légales à déduire lorsque la configuration du chantier le permet. Gain de temps pour l’artisan, l’application comprend une grille de tarifs (matériel et main d’œuvre), qu’il est possible de modifier selon ses propres barèmes. Dès que le devis est accepté, la partie chantiers prend le relais avec un suivi quotidien de l’avancement du projet, des équipes dédiées et du temps imparti. Directement depuis l’application, l’utilisateur répartit ses équipes sur les différents chantiers en cours en précisant le temps passé. Il voit ainsi en direct l’avancée des projets et les éventuels ajustements à faire selon le devis initial qui est enregistré comme repère de temps pour la réalisation. Une fois l’affectation des équipes enregistrée, chaque collaborateur reçoit directement un mail avec les détails de sa mission. Outre le suivi de chantier, l’application permet ainsi de gérer ses équipes en sachant précisément le temps de travail par personne et par chantier et en prenant en compte les absences et les congés le cas échéant. ITE360 devient ainsi un outil de gestion RH précis et mis à jour au quotidien ! Enfin, lorsque le chantier est finalisé, la facture est générée en 1 clic à partir du devis initial et des ajustements réalisés en cours de travaux. Les taux de TVA sont également enregistrés par produit et une attestation de TVA est automatiquement générée. Pensée comme un outil global, ITE360 enregistre tous les chantiers et leur historique pour une gestion sur le long terme. ITE360 est un outil professionnel proposé en abonnement, adapté selon ses besoins (Pro, Premium, Gold) : www.ite360.fr
Il y a 2 ans et 339 jours

ITE360, la première application dédiée à l’ITE qui gère les devis, les chantiers et les plannings des équipes

Conçue pour faciliter le quotidien des entreprises spécialisées dans l’Isolation Thermique par l’Extérieur, ITE360 permet de réaliser directement via l’application toutes les étapes commerciales, techniques, administratives de suivi de chantier.Très facile d’utilisation, l’application ITE360 propose une navigation par étape :La première partie est consacrée au devis avec automatisation des métrés des façades, ainsi que des éléments singuliers propres à chaque chantier, pour réaliser un devis complet dès le premier rendez-vous. Toutes les configurations sont proposées pour établir un devis personnalisé (prise en compte de fenêtres et balcons, détail de la mise en oeuvre, type de revêtement…). Le professionnel peut ainsi configurer son chantier dans les moindres détails, et même ajouter des photos pour un meilleur suivi.Pour s’adapter à chaque entreprise, ITE360 propose une bibliothèque de produits de plus de 700 références, comprenant les différents systèmes d’isolation existants (PSE, laine de roche, fibre de bois, liège…) et tout le matériel nécessaire à la mise en oeuvre du chantier : de l’échafaudage à l’enduit de façade, en passant par les cornières, les joints ou les systèmes de déports. Une fois ces éléments enregistrés, le calcul des temps de pose nécessaires au chantier se fait automatiquement pour définir le coût horaire. L’application prend en compte également les aides et les subventions légales à déduire lorsque la configuration du chantier le permet. Gain de temps pour l’artisan, l’application comprend une grille de tarifs (matériel et main d’oeuvre), qu’il est possible de modifier selon ses propres barèmes.Dès que le devis est accepté, la partie chantiers prend le relais avec un suivi quotidien de l’avancement du projet, des équipes dédiées et du temps imparti.Directement depuis l’application, l’utilisateur répartit ses équipes sur les différents chantiers en cours en précisant le temps passé. Il voit ainsi en direct l’avancée des projets et les éventuels ajustements à faire selon le devis initial qui est enregistré comme repère de temps pour la réalisation. Une fois l’affectation des équipes enregistrée, chaque collaborateur reçoit directement un mail avec les détails de sa mission. Outre le suivi de chantier, l’application permet ainsi de gérer ses équipes en sachant précisément le temps de travail par personne et par chantier et en prenant en compte les absences et les congés le cas échéant. ITE360 devient ainsi un outil de gestion RH précis et mis à jour au quotidien !Enfin, lorsque le chantier est finalisé, la facture est générée en 1 clic à partir du devis initial et des ajustements réalisés en cours de travaux. Les taux de TVA sont également enregistrés par produit et une attestation de TVA est automatiquement générée.Pensée comme un outil global, ITE360 enregistre tous les chantiers et leur historique pour une gestion sur le long terme.ITE360 est un outil professionnel proposé en abonnement, adapté selon ses besoins (Pro, Premium, Gold) : www.ite360.fr
Il y a 3 ans et 3 jours

La Capeb fait le point sur la pénurie et le prix des matériaux

Selon la Capeb, le 1er trimestre 2022 affiche une croissance dynamique de 3,5 % portée notamment par l’entretien-rénovation et les travaux d’amélioration en performance énergétique du logement. Malgré la conjoncture encourageante, la confédération reste préoccupée pour les mois à venir en raison de la hausse continue du coût des matériaux et de l’énergie ainsi que des tensions sur l’approvisionnement en matériaux et équipements. Conséquences d’une combinaison de plusieurs facteurs (crise sanitaire, guerre en Ukraine…), la hausse des prix de l’énergie et les difficultés d’approvisionnement continuent de peser sur l’activité de l’artisanat du bâtiment. Afin de mesurer concrètement leurs conséquences, la CAPEB a renouvelé en avril 2022 l’étude qu’elle avait déjà menée en juillet 2021 et en janvier 2022 auprès de 1 700 entreprises artisanales du bâtiment. Les résultats montrent une forte accélération de la hausse moyenne du prix des matériaux ces derniers mois : +18 % au 1er trimestre 2022. De nouveau ce trimestre, la menuiserie-serrurerie est l’activité qui connaît la plus forte hausse avec +21,5 %, causée notamment par l’envolée du prix du bois et de l’acier. Si la hausse touche toutes les entreprises, seules 60 % d’entre elles déclarent la répercuter, au moins pour partie, auprès de leurs clients, contre 45 % en janvier 2022. En effet, en moyenne, ces entreprises ne répercutent pas la totalité des hausses mais le font à hauteur de 43 %, contre 33 % en janvier 2022. Pour information, en moyenne, le poids des achats des matériaux et matériels représente 30 % des charges d’une entreprise dans le bâtiment. 56 % des entreprises déclarent que les délais d’approvisionnement et la pénurie des matériaux posent des difficultés de production et d’organisation, notamment des modifications de plannings et des réorganisations des équipes. Les entreprises interrogées restent toutefois plutôt optimistes : 53 % d’entre elles déclarent envisager une stabilité de l’activité dans les 6 prochains mois, 31 % déclarent une activité en hausse et 16 % une activité en baisse.   Graphique : hausse des prix entre janvier et avril 2022 – Source : XERFI/CAPEB Note de conjoncture 1T2022
Il y a 3 ans et 6 jours

L'artisanat du bâtiment en croissance au 1er trimestre 2022 malgré un contexte incertain et la menace de l'inflation

Malgré la conjoncture encourageante, la CAPEB reste néanmoins très préoccupée pour les mois à venir en raison de la hausse continue du coût des matériaux (+18% au 1er trimestre 2022) et de l’énergie ainsi que des tensions sur l’approvisionnement en matériaux et équipements. L’artisanat du bâtiment, qui a créé 26.000 emplois nets sur le marché du travail en 2021, pourrait en créer tout autant en 2022 si l’activité demeurait favorable toute l’année.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Si les indicateurs d’activité de ce 1er trimestre sont au vert, le contexte économique et géopolitique reste une source de très grandes inquiétudes pour les entreprises artisanales du bâtiment. Elles sont impactées par les conséquences de la guerre en Ukraine, comme beaucoup, notamment en termes d’approvisionnements et de prix. Cela étant, elles sont malgré tout au rendez-vous de la croissance en ce début d’année. Notre objectif en 2022 est de maintenir leur activité et leurs emplois. Nous travaillons à des solutions pour les y aider et ferons des propositions dans le cadre des Assises du bâtiment annoncées par Bruno Le Maire lors de notre Congrès le 22 avril dernier, et que nous attendons avec impatience ».Conjoncture du 1er trimestre 2022 : une croissance encourageanteActivité globale dans l’artisanat du bâtiment : l’activité globale des entreprises artisanales du bâtiment enregistre une hausse de +3,5%, par rapport au même trimestre de l’année précédente.Une croissance dans le neuf – Avec +3% de croissance (comme au 1er trimestre 2021), la construction neuve progresse notamment en maison individuelle. Une conjoncture positive portée par les mises en chantier en hausse de +12,8% (390.700 logements soit 44.200 de plus qu’au 1er trimestre 2021). Autre indicateur favorable, le nombre de logements autorisés en hausse de 24% sur l’année en février 2022 (484.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 93.700 de plus qu'au cours des 12 mois précédents).Néanmoins, ces chiffres positifs doivent s’apprécier en regard du niveau d’activité de la période de référence (mars 2020 à février 2021) qui était particulièrement bas en raison du premier confinement où les autorisations avaient fortement reculé et où de nombreux chantiers n’avaient pas pu démarrer. S’y ajoute l'entrée en vigueur de la Réglementation Environnementale 2020 au 1er janvier 2022 qui a provoqué un nombre exceptionnel d'autorisations de logements individuels accordées en février 2022 (+20,5%), suite aux permis déposés en décembre 2021.Une croissance dans l’ancien qui se poursuit – L’activité en entretien-rénovation enregistre une croissance de +4% en comparaison avec le 1er trimestre 2021 et profite du dynamisme des travaux de performance énergétique des logements qui progressent de +4,5% au 1er trimestre 2022 soutenue notamment par les aides de « MaPrimeRenov’ ».Activité régionale – Au premier trimestre, les écarts de croissance entre les régions se sont légèrement accrus et se situent entre +2% et +4,5%. La région PACA-Corse, avec une hausse de 2%, se situe un peu en retrait de la moyenne nationale. En revanche, cinq régions affichent des hausses au-dessus de la moyenne nationale : la Bretagne et Centre-Val de Loire (+4,5%), mais aussi le Grand Est, les Hauts-de-France et la Nouvelle-Aquitaine (+4%).Activité globale de l’artisanat du bâtiment en volume +3,5% au 1T2022Tendance annuelle : +11,2% (du 1T21 au 1T22)Travaux d’Amélioration de Performance Énergétique du Logement(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+4,5% au 1T2022Tendance annuelle : +14% (du 1T21 au 1T22)Construction neuve(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+3% au 1er trimestreTendance annuelle : +9% (du 1T21 au 1T22)Entretien-amélioration(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+4% au 1er trimestreTendance annuelle : +12,5% (du 1T21 au 1T22)L’activité de l’artisanat du bâtiment en régions+3,5% au 1T2022 ((du 1T21 au 1T22)L’activité de l’artisanat du bâtiment en régions+3,5% au 1T2022 ((du 1T21 au 1T22)L’emploi reste dynamique L’artisanat du bâtiment a créé 26.000 emplois sur le marché du travail en 2021 et pourrait en créer tout autant en 2022 si l’activité demeure favorable jusqu’à la fin de l’année et si les freins à son développement sont levés, à commencer par la simplification des démarches administratives et réglementaires.Intentions d’embauche : la tendance en début d’année était plutôt favorable aux créations d’emplois. Pour autant, même si le nombre d’entreprises prévoyant d’embaucher ou de maintenir leurs emplois était significatif fin 2021- début 2022, la guerre en Ukraine et ses conséquences pourraient conduire les professionnels à être plus prudents vis-à-vis de leurs recrutements.Augmentation des prix et difficultés d’approvisionnement (Etude CAPEB/Xerfi avril 2022)Conséquences d’une combinaison de plusieurs facteurs (crise sanitaire, guerre en Ukraine…), la hausse des prix de l’énergie et les difficultés d’approvisionnement continuent de peser sur l’activité de l’artisanat du bâtiment. Afin de mesurer concrètement leurs conséquences, la CAPEB a souhaité renouveler en avril 2022 l’étude qu’elle avait déjà menée en juillet 2021 et en janvier 2022 auprès de 1.700 entreprises artisanales du bâtiment.Les résultats montrent une forte accélération de la hausse moyenne du prix des matériaux ces derniers mois (+18% au 1er trimestre 2022). De nouveau ce trimestre, la menuiserie-serrurerie est l'activité qui connaît la plus forte hausse (de +21,5%), causée notamment par l'envolée du prix du bois et de l'acier. Si la hausse touche toutes les entreprises, seules 60% d’entre elles déclarent la répercuter, au moins pour partie, auprès de leurs clients (contre 45% en janvier 2022). En effet, en moyenne, ces entreprises ne répercutent pas la totalité des hausses mais le font à hauteur de 43% (contre 33% en janvier 2022). Pour information, en moyenne, le poids des achats des matériaux et matériels représente 30% des charges d’une entreprise dans le bâtiment.56% des entreprises déclarent que les délais d’approvisionnement et la pénurie des matériaux posent des difficultés de production et d’organisation, notamment des modifications de plannings et des réorganisations des équipes. Les entreprises interrogées restent toutefois plutôt optimistes : 53% d’entre elles déclarent envisager une stabilité de l’activité dans les 6 prochains mois, 31% déclarent une activité en hausse et 16% une activité en baisse.Conjoncture de l’Artisanat du Bâtiment au 1er trimestre 2022, constats complémentaires : La croissance de l’activité en ce début d’année profite à l’ensemble des corps de métiers avec des évolutions comprises entre 3 et 4%. Les travaux d’électricité affichent la croissance la plus dynamique avec 4%, tandis que la hausse atteint 3,5% (conforme à la moyenne nationale) pour la menuiserie-serrurerie, l’aménagement-décoration-plâtrerie et la maçonnerie. Les travaux de couverture-plomberie-chauffage connaissent une progression légèrement plus modérée avec une hausse de 3%.La trésorerie des entreprises artisanales du bâtiment se dégrade : le solde d’opinions s’établit à -12 points avec 20% des entreprises déclarant une détérioration de leur trésorerie et 8% une amélioration. A noter également que 15% des entreprises font état de besoins de trésorerie (contre 8% au même trimestre de l’année précédente) et 62% d’entre elles déclarent un besoin supérieur à 10.000 €.Le nombre de jours de carnets de commandes s’élève à 103 jours début avril, soit une progression de 12 jours par rapport à la même période de l’année précédente. Cette tendance laisse supposer une bonne dynamique d’activité pour les prochains mois malgré un certain nombre de tensions sur la production.Au 1er trimestre 2022, 40% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 5% une hausse, soit un solde d’opinions de -35 points, en forte baisse par rapport au même trimestre de l’année précédente (-1 point).Un solde d’opinion stable concernant le travail en sous-traitance : tout en restant inférieur à sa valeur du début d’année 2021, le poids des entreprises réalisant de l’activité en sous-traitance se stabilise à hauteur de 14%, soit une valeur comparable à celle du premier trimestre de l’année 2020.19% des entreprises déclarent travailler pour les collectivités locales (contre 14% au premier trimestre 2022).
Il y a 3 ans et 9 jours

En Uruguay, les travaux du Ferrocarril Central menés par NGE progressent

Les travaux de construction de la tranchée couverte de Capurro, où passera la future voie ferrée, qui ont débuté en juillet 2020, sont en avance sur le planning prévu : la phase de battage (construction des parois de pieux sécants) est sur le point d'être achevée, tandis qu'une grande partie des travaux d'excavation a été réalisée.
Il y a 3 ans et 16 jours

Nouvelles tensions sur le marché des isolants en Polystyrène Expansé (PSE)

2ème isolant le plus utilisé en France, grâce à ses qualités économiques et techniques reconnues, le PSE n’échappe pas à cette réalité. D’autant plus que le PSE s’inscrit dans un contexte de forte demande en Europe. Celle-ci est notamment liée aux récentes politiques volontaristes d’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments mises en place dans la plupart des pays Européens. Sur le marché français, la grande quantité de mises en chantier de maisons individuelles en fin d’année 2021 a entrainé une demande importante pour l’isolation des planchers et l’isolation des façades en PSE est en forte accélération grâce à MaPrim’Rénov. À ces allocations de volumes et phénomènes de saturation de production, le conflit entre l’Ukraine et la Russie a ajouté, ces dernières semaines, deux facteurs importants :l’envolée des prix du pétrole, dont est issue la matière première indispensable à la fabrication du polystyrène, aggravée par des cas de maintenance industrielle déclarés chez certains producteurs ;la flambée des coûts énergétiques nécessaires à la production et au transport des billes de styrène et des isolants en polystyrène.Ces tensions conjoncturelles ont généré depuis plusieurs mois une hausse du coût du PSE. Après avoir atteint un niveau historiquement haut en mai 2021, il enregistre, selon les indices européens de référence, une nouvelle augmentation de près de +30% un an après (avril 2022) et a plus que doublé en 18 mois.La dégradation de la disponibilité de la matière première, associée à la vague Covid actuelle, entraine une perturbation des plannings de fabrication et impacte la productivité des usines de transformation du polystyrène en panneaux isolants. Résultat : depuis quelques semaines, les délais de livraison se sont fortement allongés. Pour Amaury Omnès, Président de l’AFIPEB : "Après une première inflation enregistrée dans le contexte sanitaire exceptionnel que le monde a connu en 2020 et qui reste encore aujourd’hui une réalité, les membres de l’AFIPEB ont pleinement conscience des impacts économiques et organisationnels que cette nouvelle crise impose aux artisans, entreprises du bâtiment et distributeurs. Au nom des adhérents, je tiens à assurer tous les professionnels du bâtiment que des actions sont d’ores et déjà mises en place pour accélérer une plus grande disponibilité de solutions isolantes en PSE."
Il y a 3 ans et 17 jours

Retour sur le BIM World 2022 : rencontre avec Mathieu Walckenaer, dirigeant de PlanRadar France

Batinfo : pouvez-vous nous présenter PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar a été créé en Autriche en 2013 suite à un constat simple : le manque d'outils permettant de communiquer et de partager l'information sur les chantiers. De cette observation est née l'application numérique PlanRadar permettant aux équipes du BTP de partager, modifier, et visualiser toutes les données d'un chantier en temps réel. Fin 2014, nous avons atteint le cap des 100 clients, prouvant ainsi l'efficacité de notre application. En 2015, PlanRadar a vendu sa première licence sur le continent asiatique.Deux ans plus tard, la société a raflé 9 trophées en 1 an pour son application, démontrant son énorme potentiel. En 2020, PlanRadar a levé 30 millions d'euros pour partir à la conquête de l'Europe puis en 2022, 69 millions d'euros pour s'implanter durablement sur les marchés asiatiques et sur le continent américain. Aujourd'hui, PlanRadar c'est : 10 bureaux en Europe, des employés parlant 18 langues différentes et plus de 15.000 clients répartis dans 60 pays.Batinfo : quelles sont les spécificités de votre application ?Mathieu Walckenaer : PlanRadar est une solution digitale disponible sur navigateur, iOS, Android et Windows, pour la gestion des tâches, la communication et les rapports. Concrètement l'application permet de saisir directement les tâches à effectuer à partir d'appareils mobiles et d'y ajouter des photos, du texte ou un mémo vocal. PlanRadar est accessible partout tant pour les équipes sur le terrain que celles travaillant depuis le bureau.L’application facilite l’attribution de tâches à la personne concernée. Celle-ci recevra automatiquement une notification. Via la plateforme, les équipes peuvent aussi envoyer des comptes-rendus aux gestionnaires et maîtres d’ouvrage, ce qui leur permet d’être à jour sur l’état d’avancement du projet.La génération de statistiques et de documents utiles à votre activité est très facile. Dans le cas de conflits juridiques nécessitant des documents particuliers, PlanRadar peut aussi être utile grâce aux rapports structurés et automatisés pour faciliter la transmission de preuves pour les procédures contentieuses. Grâce à une personnalisation et une configuration vantées par les utilisateurs, PlanRadar a su trouver son public. De plus, PlanRadar est un outil tout-en-un, qui ne requiert aucune autre plateforme. On peut y suivre toutes les étapes d'un projet, de la conception, à la phase de démolition en passant par la construction et la maintenance. Pouvoir utiliser un seul outil dans toutes ces tâches facilite ainsi la communication entre les équipes et permet un gain de temps et de productivité. En plus de ces fonctionnalités, vous pouvez consulter vos plans en version numérique, les délais et les contacts via l'application PlanRadar, même en étant hors-ligne, afin que chaque membre de l'équipe comprenne ses missions et participe au bon déroulement du projet.Enfin, l’équipe derrière PlanRadar est, constamment, au plus près du terrain pour prendre en compte les avis de ses utilisateurs. Dans l’optique d’une amélioration continue de la plateforme et en prenant en compte les retours d’expérience, nous avons lancé : PlanRadar Connect. C’est une API connectant PlanRadar à des outils tels que Microsoft Dynamics, Google Drive, Adobe Analytics… de manière intuitive et sans code requis. Avec cette API, toutes les données et documents sont centralisés dans un seul outil. Gain de temps assuré !Batinfo : Comment voyez-vous l'avenir de PlanRadar ?Mathieu Walckenaer : Grâce aux 69 millions d’euros que nous venons de lever, nous allons renforcer notre présence dans les pays que nous couvrons et nous allons nous implanter sur tous les continents.Nous concentrons aussi nos efforts sur nos investissements en R&D afin d’accélérer l’ajout de fonctionnalités telle qu’un accès au BIM directement sur les chantiers. Toujours dans cette optique de prendre en compte les retours clients et de faciliter leur quotidien, nous travaillons sur trois aspects stratégiques qui sont la gestion de document, de planning et de projet.Nous poursuivrons également le développement de PlanRadar Connect, qui vient d’être lancé. Cela simplifiera l’interopérabilité et l’intégration automatique des logiciels à PlanRadar, sans nécessité de codage.
Il y a 3 ans et 20 jours

Ubiwan lance Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M

Aujourd’hui l’entreprise s’appuie sur une équipe de 20 collaborateurs qui accompagnent au quotidien 400 clients dans les secteurs du BTP, de l’industrie et de la maintenance. C’est pour maintenir cette relation privilégiée et pérenne avec eux et répondre à l’évolution de leurs besoins qu’Ubiwan a su faire preuve de réactivité en plaçant la gestion des données géographiques et l’innovation au cœur de sa stratégie de développement, avec le lancement d’ Ubispot*2, son premier capteur LTE-M. Dans ce contexte porteur, Ubiwan adresse un marché de 100 millions d'équipements et vise les 10M€ de CA d’ici 5 ans (vs 1,7M en 2020).La gestion de la mobilité au service des entreprisesSalariés nomades, matériels qui se déplacent et tâches déportées hors de l’entreprise : aujourd’hui, plus de 450.000 entreprises et administrations voient tout ou partie de leur activité s’exercer en dehors de bureaux ou de sites de production.Techniciens, réparateurs, livreurs, artisans, professionnels du TP et bien sûr transport : la gestion de la mobilité est aujourd’hui un enjeu clé pour ces professionnels… et leurs managers. Une solution de géolocalisation et de gestion de flotte répond avant tout aux besoins d’une entreprise qui vise à optimiser le pilotage de son activité hors de ses murs et à en dégager des bénéfices économiques et sociaux profitables à tous au sein de l’entreprise, de la TPE au grand groupe. Ubiwan s’appuie sur la géolocalisation en temps réel pour permettre à ses clients d’obtenir des données fiables sur les localisations et usages de leurs biens et ainsi optimiser l’activité globale de l’entreprise. Le déploiement d’un suivi de flotte se traduit par la présence d’un capteur GPS (Ubispot) branché ou apposé sur les équipements nomades (véhicules, matériels, engins) que l’on souhaite analyser pour, in fine, améliorer leurs performances.Paramétrés pour connecter l’ensemble d’une flotte (voitures, utilitaires, camions, poids-lourds, engins, matériels, containers, bennes etc.) à la plateforme Ubiwan Connect, les capteurs permettent l’accès à une profondeur d’analyse très élaborée. Jusqu’à 250 types de données différentes sont remontées par capteurs : localisation sur une carte interactive, vitesse moyenne du véhicule, déplacements, activités du moteur (arrêt, fonctionnement), comportement du véhicule (freinages, accélérations), inclinaison, etc. Outre la géolocalisation, le déploiement d’une solution de gestion de flotte influe sur la productivité (optimisation des plannings, dématérialisation des feuilles de route, affectation des missions via smartphone), la réduction des coûts d’entretiens des véhicules (utilisation raisonnée, baisse du taux de panne) ou encore la réduction de son empreinte carbone (optimisation des parcours).Mettre en place une solution de géolocalisation de flotte de véhicules implique d’obtenir et manipuler des données qui peuvent être sensibles. Raison pour laquelle cette démarche est soumise à la Réglementation européenne de protection des données personnelles (RGPD). D’un point de vue légal, celle-ci doit être justifiée par les impératifs de l’entreprise, et être acceptée par les collaborateurs. Ubiwan propose à cet effet un manuel destiné aux conducteurs pour encadrer l’utilisation des capteurs (mode privé, géolocalisation désactivée, temps personnel, etc.) afin d’assurer une utilisation respectueuse de l’outil.Ubispot*2, le nouveau capteur LTE-MChez Ubiwan, 50% des effectifs sont dédiés à la R&D. Une stratégie gagnante qui avait déjà permis à l’équipe de concevoir le premier capteur IOT bi-mode autonome 5 ans, primé au Salon Intermat de 2018. L’entreprise signe sa singularité par sa capacité à innover et à proposer des solutions adaptées aux mutations du marché, en témoigne le développement d’Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M.Tout terrain, ce nouveau capteur vient renforcer la gamme de capteurs autonomes et ne nécessite pas de branchement externe. Cette balise GPS permet de géolocaliser les équipements en étant simplement posée, accrochée ou vissée à son support en toute autonomie pendant 3 ans. 1 fois par jour, Ubispot*2 remonte les informations clés pour visualiser en un clic la situation de ses équipements.Extension de la technologie 4G, le LTE-M (Long-Term Evolution for Machines) combine une faible consommation énergétique et une couverture cellulaire étendue. En intégrant le réseau LTE-M, Ubiwan fait le choix d’un réseau fiable et pérenne. Le LTE-M ouvre également la voie à de nouveaux usages, en offrant une connexion performante, même à 100 km/h. Contrairement aux technologies LPWAN (Low-Power Wide Area Network), LTE-M assure la garantie d’acheminement des données et assure continuellement une capacité bidirectionnelle des données.De plus, cette technologie présente l’intérêt d’être accessible au niveau international, avec les mêmes exigences de qualité et de sécurité que tous les réseaux cellulaires et de parfaitement s’adapter au marché des objets connectés (IoT).Fiable et adaptée, tant sur le plan économique que technique, la technologie LTE-M utilisée pour Ubispot*2 offre la synergie d’une solution de géolocalisation optimale et d’une consommation énergétique réduite, idéale pour répondre aux enjeux des acteurs de l’Industrie, du BTP ou de la location.Pour David Babin, CEO Ubiwan : “Notre expertise IOT et notre maîtrise combinée des capteurs et des réseaux nous a permis d'intégrer le réseau LTE-M dans un contexte où le marché des réseaux connaît des évolutions majeures. En 2016, alors que nous étions ambassadeurs de la LORA Lalliance nous prévoyions l’avènement des réseaux LTEM et Narrowband IOT comme vecteurs d’adoption massifs de l’IOT. Notre politique R&D et notre cycle de qualification nous permettent aujourd'hui de considérer LTE-M comme mature et de proposer une solution à la fois innovante, pertinente et robuste pour nos clients. Notre vocation sera toujours d’intégrer les technologies qui représentent l’équilibre technique et économique.”
Il y a 3 ans et 42 jours

Trimble dévoile la version 2022 de ses solutions logicielles Tekla

Trimble vient de présenter les toutes dernières versions de ses solutions logicielles Tekla. [©Trimble] Trimble vient de présenter les toutes dernières versions de ses solutions logicielles Tekla dédiées au BIM, à l’ingénierie structurelle et à la gestion de la fabrication acier. A savoir, Tekla Structures 2022, Tekla Structural Designer 2022, Tekla Tedds 2022 et Tekla PowerFab 2022. Avec ces nouvelles versions, Trimble continue de faire progresser le processus de construction. Grâce à ces logiciels mis à jour, il offre des méthodes de travail plus automatisées et connectées, pour tous les intervenants et à toutes les phases du projet. Le logiciel BIM Tekla Structures version 2022 • Le logiciel BIM Tekla Structures version 2022 améliore les processus de la conception à la fabrication, grâce à la nouvelle fonction “Création intelligente” intégrée au produit. Ceci, pour créer facilement des plans de fabrication. Pour l’exécution “béton”, le nouveau Tekla Structures inclut les assemblages d’armatures. Autre nouveauté de la version 2022, l’intégration du Calculateur carbone, qui permet aux utilisateurs de visualiser l’impact en CO2. Le logiciel Tekla Structural Designer 2022 • Avec Tekla Structural Designer 2022, les ingénieurs en calcul de structures peuvent calculer en phase d’avant-projet l’empreinte carbone des différentes propositions. Optimisant ainsi la conception et le choix des matériaux pour produire une conception bas carbone. Les informations associées sont faciles à communiquer à partir du logiciel grâce à des listes, des graphiques et l’exportation de données. Le logiciel Tekla Tedds 2022 • Pour améliorer les processus de travail, de la conception à l’exécution, le logiciel Tekla Tedds permet désormais un partage simple des informations de conception structurelle. Ainsi que la documentation via la plate-forme collaborative Trimble Connect. La dernière version comprend aussi de nouveaux calculs et des mises à jour des calculs existants. Ceci, pour une conception plus fiable des éléments structurels. Le logiciel Tekla PowerFab 2022 • La suite logicielle de gestion de la fabrication de l’armature Tekla PowerFab 2022 résout un problème d’ingénierie commun. Avec l’imbrication et la gestion des matériaux améliorées pour la coupe et le perçage.Grâce à une mise en œuvre rationalisée du système, les nouveaux clients peuvent bénéficier d’une migration plus aisée de leur solution d’information de gestion (MIS) de fabrication précédemment utilisée. Cela évite les tâches manuelles fastidieuses. Le logiciel fournit aussi une visibilité et un contrôle améliorés,. Ceci, grâce au nouveau planning d’expédition dans Tekla PowerFab Go basé sur le web.
Il y a 3 ans et 50 jours

Loiret : Un duo pour l’économie circulaire

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le projet de La Fontaine, à Saran. [©Agyre] Agyre est un hub d’accélération national sur l’ensemble de piliers de l’économie circulaire dans la construction. Valor Promotion est un spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs sociaux et investisseurs. Ces deux entités se sont rapprochées pour inscrire la démarche d’économie circulaire plus en amont dans les projets de construction de logements. La première opération commune se nomme La Fontaine et a démarré à Saran, dans la banlieue Nord d’Orléans, en début d’année 2022. Dans l’idée d’en faire un démonstrateur transposable à d’autres initiatives, dans d’autres communes, après exploitation des retours d’expérience. Pour cela, le duo vise la certification Prestaterre mention Label BEE+ (Bâtiment Energie Environnement+). Avec l’option “Economie de charges et démarche de chantier propre”. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Pour pallier diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, de délais, de budget et de pollution, Agyre réalise un accompagnement méthodologique du chantier, depuis son démarrage en janvier dernier, avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970… Au quotidien, une attention particulière sera apportée à la logistique, au stockage, au tri et à la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets. Mais aussi d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Enfin, Agyre assurera la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire. Et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 70 jours

Traxxeo lève 3 millions d’euros et propulse sa plateforme de gestion des ressources

L’objectif de Traxxeo est d’aider les gestionnaires dans le suivi de leurs ressources en permettant une visibilité en temps réel de l’activité et en optimisant les plannings grâce aux meilleures technologies (apps mobiles, objets connectés et intelligence artificielle).Après une année 2021 placée sous le signe de l’accélération, Traxxeo a de l’ambition pour 2022. L’éditeur belge compte aujourd’hui parmi ses références des acteurs majeurs tels que Sendin, Fontanel, Cougnaud, Eiffage, Veolia et Equans mais également de nombreuses entreprises de taille moyenne (à partir de 50 salariés) et ambitionne de se développer fortement sur ce segment.La digitalisation, enjeu majeur de productivitéLa digitalisation fait le lien entre le chantier et les bureaux, et connecte les ressources humaines et matérielles afin d’en optimiser les performances, avec des gains de productivité de 5 à 10% sur le terrain et de 10 à 20% pour le siège central. Un des premiers freins à cette productivité dans le BTP est la fiabilité des données en provenance du terrain, encore trop souvent collectées à l'aide des supports dépassés (papier, Excel...) qui imposent des ressaisies chronophages et prônes aux erreurs.Structurer et enrichir la collecte des données permet en outre des analyses plus fines, tout en fournissant à tous une source unique d’information.Au final, c’est toute l’entreprise qui gagne en réactivité, grâce au raccourcissement des délais entre la collecte, le reporting et l’analyse des données :Les directions et équipes financières disposent d’une remontée des indicateurs clés de productivité, ainsi que des dépenses en temps réel.Les gestionnaires de projets gagnent du temps grâce à des outils ergonomiques et à une visibilité en temps réel sur les présences, les coûts engendrés et les exigences administratives du chantier.Les équipes de terrain gagnent en productivité et en réactivité, les outils digitaux leur permettant de communiquer rapidement les événements et anomalies rencontrées et de recevoir des réponses adaptées en temps voulu.Les sous-traitants et clients peuvent bénéficier de canaux de collaboration structurés afin d’accélérer le partage de données entre entreprises.Les départements ressources humaines gagnent en temps et en précision sur les données de présences, d’absences et de pointage et bénéficient d’une automatisation de nombreux traitements de données.Les responsables admin, QSE ou légaux bénéficient de la simplification de la gestion documentaire, du contrôle d’accès et le contrôle de présence pour obtenir une visibilité maximale et un monitoring en temps réel de la conformité des chantiers.Les gestionnaires matériels peuvent bénéficier d’une meilleure traçabilité de l’emplacement et de l’utilisation de ressources matérielles (équipement, engins, véhicules et outils), pour une gestion automatisée et une planification améliorée.Les responsables planning peuvent bénéficier d’une vue holistique sur les ressources nécessaires et disponibles permettant une allocation optimale.Une plateforme collaborativePour répondre à ce besoin de données fiables et partagées, Traxxeo a développé une suite de solutions digitales autour d’une plateforme unique, véritable outil de pilotage de l’ensemble des ressources de l’entreprise :Gestion des équipesGestion des temps et des activitésGestion des absencesPlanification des équipesGestion et partage des documents administratifs Gestion de chantierSuivi de productivité de chantierContrôle d’accèsGestion des présencesPlateforme en ligne de formation & certificationGestion de flotte et matérielGestion et suivi de matériel, avec assignation de responsabilitésGestion de flotte de véhiculesPlan d’affectationUn investissement croissant dans le collaboratifLes solutions connectées et collaboratives ont connu un engouement sans précédent ces 2 dernières années. Traxxeo a ainsi enregistré une croissance à 3 chiffres sur ses solutions collaboratives basées sur l’intelligence artificielle et les applications mobiles.Pour soutenir sa vision à long terme, son développement commercial et assurer son excellence technologique, Traxxeo annonce un renforcement de ses capacités financières de 3 millions d’euros grâce au soutien de ses partenaires historiques.
Il y a 3 ans et 72 jours

Le groupe RGB rejoint Alphi dans la sauvegarde du Jardin Minéral

L’équipe autour de Joséphine Chevry et son Jardin Minéral. [©Sous la dune, le béton] En novembre 2020, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevry, à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi avait répondu présent pour la moitié du projet. Le groupe RGB , spécialiste du béton, vient de le rejoindre. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré, s’enthousiasmait Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton. » Le groupe RGB France se joint au sauvetage Depuis, Alexandre Souvignet et l’artiste se sont rencontrés plusieurs fois et ont échangé sur le travail à réaliser. « Alphi est ainsi devenu force d’entraînement, figure de proue du projet. Nous avons trouvé Joséphine tellement sensible, tellement attachante et son œuvre si forte que nous avons décidé de promouvoir son appel à mécénat. D’autant plus que le dossier avançait au niveau de la mairie de La Grande Motte, les autorisations se précisaient, les contraintes administratives et environnementales se levaient. J’ai donc décroché notre téléphone et appelé des entreprises du bâtiment du Sud, susceptibles d’être intéressées. Nous avons lancé des bouteilles à la mer. Le 24 janvier dernier à 17 h 00, j’ai contacté  RGB France BTP sur LinkedIn. A 17 h 27, première réponse et à 22 h 31, un véritable message d’intérêt avec un appel téléphonique prévu le lendemain. Puis, une prise de décision extrêmement rapide, faisant suite à un comité de direction, deux jours après. Et là “banco” ! J’ai tout de suite appelé Joséphine qui n’en dormait plus pour lui annoncer la bonne nouvelle. » Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]Joséphine Chevry au centre, entouré à gauche de Laurent Pascal, architecte, ami et maître d’ouvrage du projet, Alexandre Souvignet, Pdg, et à droite, Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Stéphan Rossignol, maire de La Grande Motte, Joséphine Chevry, Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, et Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’ouvrage du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Rogerio Ribeiro, président de RGB France BTP, et Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. [©RGB France BTP] Une rencontre touchante Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. Et le tout, en présence de Stéphan Rossignol, maire de la ville, qui soutient avec force le projet. « Pour des raisons d’agenda, je me suis retrouvé à ce rendez-vous à la place de notre président Rogerio Ribeiro, se souvient Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. Arrivé en avance, je déambulais sur les dunes du Point Zéro. Au loin, une silhouette s’en détachait. Je me suis rapproché et ai demandé : “Vous êtes Joséphine ?”… C’était bien elle. Nous avons commencé à converser. Et là, j’ai été positivement ému par elle et son œuvre. » Et Rogerio Ribeiro, de rajouter : « Nous sommes très motivés par la préservation du patrimoine culturel local. Nous avons donc répondu présents. Et le béton armé, c’est notre créneau… Nous allons réparer les œuvres les plus abîmées et en refaire d’autres, en les préfabriquant sur un de nos chantiers». Les plannings sont en cours d’élaboration, dans le respect du calendrier de la saison estivale. Des travaux préparatoires de désherbage et de nettoyage sont déjà prévus d’ici mai et ceux, définitifs, devraient commencer en octobre prochain. Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 114 jours

Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux

Agyre, hub d’accélération national pour une économie circulaire dans la construction, et Valor Promotion, spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs et investisseurs, associent leurs expertises pour inscrire la démarche de l’économie circulaire le plus en amont des projets de construction de logements conventionnés. La construction de 28 logements sociaux (un bâtiment collectif en R+2 et 5 maisons individuelles) en hyper centre ville de Saran est une première opération commune estampillée économie circulaire. Elle est conduite comme un démonstrateur transposable à d’autres communes après exploitation des retours d’expérience. Agyre accompagne le projet pour répondre à l’objectif d’exemplarité environnementale de Valor Promotion, notamment en termes de ressources en matière, énergie et eaux, de suivi et de tri de déchets et pour satisfaire à ses ambitions environnementales et énergétiques : Certification Prestaterre Mention Label BEE+ (Bâtiment Énergie Environnement +), option Économie de charges et démarche de chantier propre.  Pour palier aux diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, délais, budget, pollutions, Agyre réalisera un accompagnement méthodologique du chantier, dès son démarrage en janvier 2022 avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970. Pour ce faire, Agyre attachera une attention particulière à la logistique, avec l’identification des filières locales et structurées et la prise en compte du transport, du stockage, du tri et de la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets, d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Agyre assurera également la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre.  Promoteur : Valor Promotion Maître d’ouvrage : SCCV La FontaineAssistance à maîtrise d’ouvrage économie circulaire : Agyre Maître d’œuvre de conception : CYM Architecture   Cet article Partenariat pour l’économie circulaire dans la construction de logements sociaux est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 128 jours

Consommation énergétique/tertiaire: le planning des déclarations dévoilé

La plateforme destinée à recueillir les déclarations de consommation d'énergie des bâtiments de plus de 1.000 m2 est ouverte, suite au "décret tertiaire", avec une obligation reportée au 30 septembre.
Il y a 3 ans et 131 jours

La crise des matériaux impacte aussi les architectes

Pour 71 % des architectes, la crise des matériaux est la première cause de surcoûts. [©ACPresse] Selon un sondage, réalisé par le Credoc1 pour le Conseil national de l’Ordre des architectes, les agences d’architecture sont fortement impactées par la pénurie des matériaux. Entre le 17 et 29 novembre 2021, le centre de recherche a interrogé près de 2 056 professionnels exerçant en libéral, associés ou salariés. Ainsi, pour 71 % des architectes, la crise des matériaux est la première cause de surcoûts. Suivi par la surchauffe de l’activité qui entre en conflit avec la hausse des prix, voire la pénurie des matériaux pour 58 % des répondants. Cependant, il semblerait que la pandémie soit moins mise en cause dans ces surcoûts (seuls 12 %). Selon les retours, 80 % des appels d’offres lancés dépassent les prévisions financières. Dont 66 % sont de l’ordre de 10 à 30 %. Près de 13 % des répondants déclarent même des dépassements supérieurs à 30 %. Seul un quart des interrogés estime observer de bons résultats ou des coûts excédentaires de moins de 10 %. Les chantiers de toutes tailles impactés Concernant la typologie des appels d’offres touchés, il semblerait que la crise impacte aussi bien les marchés publics que privés. Même si les premiers bénéficient d’une (légère) meilleure situation. En revanche, dans 45 % des cas, les maîtres d’ouvrage cherchent à adapter leur projet pour réduire les coûts. Et 22 % les mettent en veille ou les abandonnent. Seuls 32 % sont réalisés malgré tout. Lire aussi :Pénurie de matériaux : “La grande débrouille” En termes de délais, la crise des matériaux frappe directement les chantiers de toutes tailles. Pour 55 % des sondés, les projets comptent 10 à 30 % de retard par rapport aux délais prévus. Et 20 % d’entre eux déclarent un retard de plus de 30 %, voire un arrêt des chantiers. La situation entraîne aussi des tensions sur les relations entre les architectes et les maîtres d’ouvrage, créant ainsi des difficultés de planning et des renégociations d’honoraires. Une crise des matériaux sur le long terme ? « Si 38 % des architectes considèrent que la relation de travail reste compréhensive malgré les difficultés, 52 % la qualifient en revanche de “tendue” et 10 % de “très tendue”, peut-on lire dans le sondage. La situation semble un peu moins délicate en marchés publics. » Lire aussi :Crise des matières premières : Le gouvernement annonce de nouvelles mesures Les professionnels de ce secteur ne sont pas très optimistes pour l’avenir. Selon eux, les pénuries et hausses des prix des matériaux ne présentent pas d’amélioration (91 % des architectes) et sont amenées à perdurer. Sur le long terme, 51 % des interrogés pensent qu’une évolution positive finira par s’amorcer sans revenir à une situation d’avant-crise. Enfin, 42 % estiment que la crise va se cristalliser et que les prix resteront très élevés. 1Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie.
Il y a 3 ans et 135 jours

Avec plusieurs réacteurs à l'arrêt, la vigilance électrique est de mise en janvier

Les prévisions météorologiques tempèrent toutefois les craintes quant à la sécurité d'alimentation: la survenue d'épisodes de froid sévère et durable, sources des pics de consommation, "apparaît très peu probable" au cours de la première quinzaine du mois et pour la suite "peu probable" (avec cependant un degré d'incertitude plus élevé), note RTE jeudi dans une note d'analyse sur l'équilibre entre l'offre et la demande.Pour autant, le gestionnaire des lignes à haute tension a relevé son "niveau de vigilance", et prévoit une série de mesures dans un contexte de crise énergétique européenne et de tensions sur l'offre en France.Le pays, qui tire 70% de son courant de l'atome, subit une moindre disponibilité de son parc nucléaire lié à un calendrier de maintenance chargé, en outre perturbé par les confinements de 2020. EDF a aussi dû à la mi-décembre arrêter deux réacteurs à Chooz (Ardennes) et prolonger l'arrêt de Civaux (Vienne), après la détection de défauts sur des circuits de sécurité.RTE évalue ainsi la disponibilité prévisionnelle entre 43 et 51 gigawatts pour janvier (sur une capacité de production nucléaire totale de 61 GW), soit "le niveau le plus bas jamais atteint pour le parc nucléaire à cette période de l'année".L'année 2022 devrait débuter avec 12 réacteurs à l'arrêt (sur 56), avant une amélioration en cours de mois, sauf aléa. EDF en comptait jusqu'à 17 à la mi-décembre.Le gouvernement, lui, a demandé de prendre des mesures pour améliorer à court terme la sécurité d'approvisionnement, et un audit indépendant sur la maîtrise industrielle et l'optimisation des arrêts de réacteurs (avec un point d'étape attendu d'ici à la mi-mars).L'électricien a annoncé avoir "réoptimisé" son planning de maintenance, ce qui devrait se ressentir à partir de février seulement, estime Thomas Veyrenc, directeur exécutif de RTE, en charge du pôle Stratégie, prospective et évaluation."Coupures maîtrisées"Quant à la consommation électrique, la hausse des prix liée à la crise de l'énergie en Europe n'a pas conduit à un recul marqué de la demande et RTE maintient sa prévision de -1% à -2% par rapport à la période précédant la crise sanitaire.C'est ainsi que la France, traditionnellement exportatrice d'électricité, a dû en importer depuis novembre, et ce, à des niveaux parfois proches des capacités techniques maximales comme entre les 20 et 22 décembre.Aujourd'hui le pays dispose de stocks hydrauliques satisfaisants. RTE rappelle en outre l'existence de deux dernières centrales à charbon, à Saint-Avold et Cordemais: ces unités pourraient être utilisées en début d'hiver, mais leurs limites légales d'utilisation les rendraient assez vite indisponibles.Dans ce contexte tendu, RTE dispose d'un panel de mesures exceptionnelles pour la suite de l'hiver. D'abord l'interruption de grands consommateurs industriels et une légère baisse de la tension sur les réseaux, "probables" en cas de grand froid (de l'ordre de 4°C en dessous des normales saisonnières) ou de faible production éolienne en Europe."En dernier ressort", en cas de froid durable couplé à l'absence de vent pour l'éolien, ou de nouvelle dégradation des capacités, notamment nucléaires, RTE pourra aussi "potentiellement recourir à des coupures ciblées de consommateurs", prévient-il.Ces "coupures momentanées ne sont en rien un +blackout+ mais des opérations que nous contrôlons, mises en oeuvre avec les distributeurs et les administrations de l'État", insiste Jean-Paul Roubin, directeur de l'exploitation de RTE, évoquant une mesure rarissime, dont le dernier exemple remonte aux années 1990 dans un contexte de mouvement social.Un "délestage (...) localisé, limité à deux heures consécutives", et épargnant les consommateurs sensibles, en particulier le secteur de la santé, précise RTE.RTE publiera fin janvier un diagnostic actualisé pour février. Dans l'intervalle, les consommateurs peuvent suivre la situation en temps réel sur le site Ecowatt.
Il y a 3 ans et 136 jours

À 24 mois de la livraison des ouvrages olympiques, "on est bien" assure le directeur de la Solideo

"On est bien", assure-t-il dans un entretien à l'AFP, lui qui a prévu "trois mois de blanc" pour faire face à des aléas que pourraient connaître ses chantiers complexes et ultra-sécurisés.QUESTION: "Il vous reste deux ans avant de livrer les principaux ouvrages olympiques, fin 2023, où en êtes-vous ?"REPONSE: "Depuis le début, on n'arrête pas de réfléchir à ce qui pourrait faire que les ouvrages ne soient pas livrés à temps. Dans le planning, on a prévu trois mois de blanc pour pouvoir anticiper, soit une inondation type 1910, soit une canicule majeure qui oblige à arrêter les chantiers pendant près d'un mois, soit une rupture d'approvisionnement, soit une grève type 1995. Ainsi, nous avons prévu que les plus gros chantiers soient finis en septembre 2023 (pour décembre 2023, ndlr). Aujourd'hui, on est dans les délais et dans les coûts."Q: "Les salariés de la Solideo expliquent que le compte à rebours, à la seconde près, est installé sur chaque ordinateur. C'est vous qui avez eu cette idée ?"R: "On ne peut pas l'enlever. Au début quand j'ai fait ça, il restait 72 mois. Je faisais rigoler tout le monde! Là à 24 mois, les sourires se crispent (rires). On est bien. On est capable de livrer le 31 décembre 2023, et Paris 2024 commencera à rentrer dans les murs."Q: "Que pensez-vous des opposants qui, pour certains, ont fait des recours juridiques, comme sur le village des médias ou la piscine d'Aubervilliers ?R: "On a toujours dit qu'on était dans un Etat de droit et que toute opposition pouvait s'exprimer. La question de fond posée par les opposants c'est qu'ils remettent en cause pas seulement le projet de la Solideo mais le projet politique. Ils nous disent aussi qu'on fait du +greenwashing+. Ce n'est pas vrai. Quand on travaille avec des associations d'environnement, celles-ci disent : ce que vous faites a dix ans d'avance sur ce qui se fera en France."Q: "Quels sont les chantiers dont on entend moins parler ?R : "Il y a Yves Du Manoir à Colombes. On l'oublie tout le temps ! C'est le site historique de 1924 (où s'est tenu la cérémonie d'ouverture en 1924, ndlr)! C'est un site de compétition de hockey sur gazon, il faut le sortir. Ce sont 90 millions d'euros d'engagés. Le site (actuel) sera rasé et reconstruit. Nous avons aussi le chantier de la voile à Marseille. Il y a également des projets d'innovations, comme à l'intérieur du village des athlètes pour les gens qui ont des troubles cognitifs et qui n'arrivent plus à lire, nous avons lancé un appel à projet pour développer de la signalétique et du mobilier urbain."Q: "Récemment une délégation de plusieurs syndicats, français et internationaux, s'est insurgée de ne pas pouvoir visiter les chantiers olympiques, que répondez-vous ?R: "Je suis tombé de ma chaise, et Bernard Thibault (ex-secrétaire général de la CGT, qui siège au comité d'organisation des JO, ndlr) est aussi tombé de sa chaise ! On a mis en place des conditions d'accès des syndicats aux chantiers. J'ai été extrêmement surpris, quand l'IBB (syndicat international des travailleurs du bois et de la construction basé à Genève) nous compare au Qatar, on a quand même pas le même droit social en France. Il y a des représentants syndicaux normaux des entreprises. Dire qu'il n'y a pas de syndicats sur les chantiers, c'est faux."Q: "Avez-vous des chiffres sur les accidents du travail ?"R: "On a des statistiques et nous avons une charte pour faire de la prévention, pour limiter le nombre d'accidents. Dans ceux qui nous sont remontés, nous avons enregistré 5 accidents graves, c'est-à-dire avec plus de 7 jours d'arrêt, et une trentaine d'accidents légers depuis le début des travaux. On est là pour que les ouvrages soient livrés et qu'il y ait le moins d'accidents possibles."Q: "Les chantiers olympiques sont très protégés, avez-vous eu des vols ou des intrusions ?"R: "Nous n'avons pas eu de vol, de dégradation, ni d'intrusion. Les chantiers sont surprotégés, on a rajouté 4,8 millions d'euros sur la sécurisation du village olympique. On a un point tous les mois avec la préfecture de police."