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Résultats de recherche pour polymere

(252 résultats)
Il y a 3 ans et 58 jours

Equipez tous vos chantiers grâce aux essentiels construction Würth

De l’outillage aux produits chimiques, en passant par les équipements de la protection individuelle (EPI) ou encore les équipements d’atelier … découvrez nos produits et outils essentiels qui répondent aux besoins de tous les professionnels de la construction.La sécurité avant tout !Pour garantir la sécurité de vos ouvriers (ou de vous-même !) sur tous vos chantiers, nous proposons des équipements de protection individuelle (EPI) complets, pratiques, conformes aux dernières normes en vigueur et surtout ergonomiques et confortables. Nos équipements de protection individuelle protègent la totalité du corps des ouvriers contre les risques d’accidents du travail et protègent ainsi leur santé et leur sécurité. Travaux de préparation, travaux de peinture, pose de papier peint, prévention des risques liés au travail en hauteur … à chaque application sa solution. Voici un aperçu de nos nombreux produits pour assurer votre sécurité de la tête aux pieds :Des protections corporelles : gants de protection, gilet haute visibilité, combinaison de peinture, chaussures de sécurité, genouillères … nous proposons également des combinaisons intégrales pour protéger l’ensemble du corps. Des équipements et protections anti-chute : harnais de sécurité, ligne de vie, points d’ancrage, mousquetons, longe … Würth réuni pour les professionnels exigeants et rigoureux des systèmes anti-chute composés de divers éléments pour augmenter la sécurité des travailleurs sur leurs sites de travail.Des protections du haut du corps : lunettes et masques de protection, bouchons d’oreilles pour protection auditives, casques de chantier … de nombreux produits pour prévenir des risques résiduels aux postes de travail et protéger les professionnels lors de l’exercice de leur activité. Les machines sans fil pour faciliter votre quotidien Visser, couper, clouer, fixer, huiler … à chaque application son outil mono ou multifonctions adapté aux besoins de tous les professionnels de la construction.Nos machines à batterie sans fil sont puissantes, légères et ergonomiques. Ces machines ont été conçues pour apporter sécurité, confort et efficacité à tous les professionnels. Il est possible de classer les machines autonomes selon leur utilisation principale :Pour couper, meuler, percer : les meuleuses d’angle (disqueuses), les marteaux perforateurs, les scies (sabres, sauteuses, circulaires), les cloueurs, les visseuses classiques ou à percussion, etc.Pour fixer : les tournevis électroniques, les pistolets à mastic et colles, les clés à chocs, les cloueurs, les riveteuses, ou encore les visseuses classiques ou à percussion. Leur concentré de technologie vous permettra :De gagner en confort de travail : la conception compacte et ergonomique des machines vous permettra un travail agréable et sans fatigue. De plus, mes machines sans fil offrent une liberté de mouvement totale !De gagner un temps précieux grâce à leur système de batterie interchangeable.D’avoir des performances maximales grâce à leur puissance constance et leur robustesse pour garantir une résistance élevée aux chocs.Une durabilité de chaque outil avec un entretien réduit. Les consommables et produits chimiques pour gagner en productivitéAuge de maçon, bac pour matériaux de construction, paroi anti-poussière, piquets de sécurité, film d’étanchéité … nombreux sont les outils et équipements spécifiques qui sont nécessaires pour des finitions réussies. Équipez-vous du sol au plafond grâce à nos produits d’étanchéité pour sols et murs (comme le frein-vapeur DB 20 qui assure l'étanchéité à l'air et limite la transmission de la vapeur d'eau), qui sont faits pour être simples d’utilisation et faciles à appliquer. Découvrez également nos nombreux matériaux et éléments de fixation adaptés à la charpente, comme le WÜTOP ROLL-PLUS, un closoir ventilé pour tuiles en béton et en terre cuite.La gamme de produits chimiques Würth permet de réaliser aussi bien des travaux d’assemblages de divers matériaux que des travaux d’étanchéité de surfaces ou de joints. Vous retrouverez parmi nos nombreux produits chimiques : du mastic silicone, acrylique, polymère et PU, mais encore de la mousse polyuréthane, de la colle cyanoacrylate, de la colle de montage, du stop-filet, de l’étanche-tube …Découvrez encore plus de produits dans notre Univers 100% Construction !
Il y a 3 ans et 83 jours

Kebony réalise le bardage et le platelage d’un pittoresque chalet du Minnesota

Récemment rénové par Melissa Coleman (designer et blogueuse minimaliste de The Faux Martha), le Minne Stuga est proposé à la location lorsqu’elle et sa famille n’en profitent pas. En effet, les habitants du Minnesota passent souvent leurs vacances dans des chalets rustiques et des locations de vacances sur la côte nord en été, ce qui permet au Minne Stuga d’accueillir fréquemment des visiteurs.Le projet de rénovation a fait appel à plusieurs entreprises locales du Minnesota. C’est cependant la marque norvégienne Kebony qui a été choisie pour remplacer l’intégralité du bardage et du platelage du chalet. Melissa Coleman tenait à conserver l’esprit rural de ce chalet, et le bois Kebony offrait précisément cet aspect tactile naturel qui correspondait à la conception originale du Minne Stuga.Les lames foncées du bois Kebony Character contribuent à unir le chalet à son environnement naturel, tout en soulignant sa prestance et son élégance. Sa durabilité, sa dureté et sa stabilité dimensionnelle élevée en faisaient une solution fiable et respectueuse de l’environnement, idéale pour ce projet.Développée en Norvège, la technologie Kebony est un procédé breveté et respectueux de l’environnement, qui modifie les bois résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un produit d’origine organique. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical. Ce procédé unique donne au bois Kebony son apparence caractéristique, qui n’a de cesse de s’embellir avec le temps.C’est donc naturellement que le bois Kebony a été choisi pour ce projet. « Lorsque nous sommes entrés pour la première fois dans le chalet, nous ne pouvions pas voir le lac », se souvient Melissa Coleman, décrivant les fenêtres du sol au plafond comme étant embuées en permanence. Le chalet était délabré, les intérieurs datés. C’est en 2020 que la propriétaire s’est mise en quête de collaborateurs pour l’ambitieuse restauration du Minne Stuga, et la marque Kebony s’est rapidement démarquée en raison de ses qualités techniques, durables et esthétiques.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 3 ans et 88 jours

WoodTechno, le granulé de bois en circuit court

La société WoodTechno, créée fin 2021 dans le Cantal, a été présentée jeudi 24 mars par l'incubateur Pulsalys, qui accompagne son projet, sur le campus universitaire de la Doua à Villeurbanne.Elle est née de la rencontre entre un professionnel de la filière et un chercheur du laboratoire Ingénierie des Matériaux Polymères (universités de Saint-Étienne et Lyon, Insa et CNRS).L'idée ? Utiliser pour le bois la technologie de l'extrusion, employée ordinairement en plasturgie. Ce procédé thermomécanique consiste à faire avancer un matériau dans un tube, boyau ou profilé, aux dimensions du produit à obtenir, en jouant sur la pression et la température pour le transformer durant sa progression.Un défi "car l'extrusion est faite pour des matériaux qui réagissent à la chaleur, alors que le bois n'aime pas ça", souligne José Brunet, président de WoodTechno, basée près de Saint-Flour où il possède une scierie. Dix-huit mois de recherche "ont permis de démontrer que nous étions en capacité d'extruder du bois pour produire des granulés à destination du marché du chauffage", grâce à des innovations qui ont été brevetées.Cette technologie peut être utilisée pour les feuillus comme les résineux, alors que les granulés viennent pour l'heure des seuls résineux, les feuillus - au bois plus dur - s'adaptant mal aux presses à galets traditionnelles.Autres atouts : le granulé obtenu a un pouvoir calorifique renforcé, il est moins cher à produire et le procédé mis au point est "accessible à toutes tailles de scieries", alors que de gros investissements sont actuellement nécessaires."Beaucoup de petites et moyennes scieries doivent vendre leurs résidus à de gros acteurs économiques, sans valeur ajoutée", explique José Brunet. L'objectif de WoodTechno est de permettre à ces PME de produire leurs propres granulés pour les vendre localement, "au plus près des forêts et des consommateurs".Le marché est en pleine croissance, les ventes de chaudières à granulés ayant doublé l'an dernier en France selon la filière. La consommation en Europe s'élève à 30 millions de tonnes par an, dont 23 produites sur le continent.WoodTechno, soutenue par la Région et la BPI, cherche à lever 700.000 euros pour installer un pilote semi-industriel à Saint-Étienne et produire 300 kilos de granulés à l'heure début 2023 - avant un démonstrateur dans le Cantal, d'une capacité de 4 tonnes par heure, à l'horizon 2024.
Il y a 3 ans et 101 jours

Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme

Après 3 ans de recherche, Arcora présente Héméra, un nouveau système silencieux, compact et autonome, développé avec les chercheurs du laboratoire Navier de l’Ecole des Ponts ParisTech. Il s’agit du premier système de protection solaire actionné par un fil en alliage à mémoire de forme. Composés d’un alliage nickel-titane (NiTi), les Alliages à Mémoire de Forme sont fréquemment utilisés dans l’industrie biomédicale ou l’horlogerie. Ils possèdent deux propriétés exceptionnelles : la super-élasticité, qui peut atteindre dix fois celle de l’acier, et la mémoire de forme, car ils présentent la capacité de retrouver leur forme initiale, c’est-à-dire de se souvenir des traitements thermomécaniques qu’ils ont subis. Leurs propriétés exceptionnelles ont été le sujet d’étude de la thèse menée depuis 2015 par Philippe Hannequart, docteur et chargé de R&D chez Arcora, qui a abouti à Héméra, un système de protection solaire mobile avec des ventelles actionnées à la seule force du fil en alliage à mémoire de forme, stimulé par les températures extérieures. Le système est autonome en énergie grâce aux ventelles équipées de films photovoltaïques ASCA® composés de polymères organiques. Emmanuel Viglino précise : « Nous sommes convaincus que la mise en place de systèmes de protection solaire vertueux est une condition essentielle pour limiter l’empreinte carbone, tout en garantissantun confort aux utilisateurs. L’ajout de ventelles photovoltaïques est un atout considérable pour l’autonomie énergétique du système. ». Cet article Système inédit de protection solaire actionné par un alliage à mémoire de forme est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 110 jours

Découvrez l'impression 3D, aussi appelée fabrication additive, avec 3DEXPERIENCE Make et Any-Shape

L'impression 3D, c'est quoi ? L’impression 3D est une méthode de fabrication qui consiste à déposer des couches de matériau les unes sur les autres. Lorsqu’elle est utilisée à l’échelle industrielle, l’impression 3D est appelée fabrication additive (FA), par opposition aux procédés de fabrication soustractive traditionnels comme le fraisage CNC. Cette technologie, inventée au début des années 1980, existe depuis environ quatre décennies. Alors que l’impression 3D apparaissait, au départ, comme une méthode de fabrication lente et coûteuse, elle est aujourd’hui plus rapide et abordable que jamais. Impression 3D : comment ça marche ? Un modèle 3D est d’abord découpé en centaines, voire milliers de fines couches horizontales par un logiciel dédié (« slicer »), pour ensuite être exporté en format G-code. Ce format d’impression 3D est un langage permettant à l’imprimante 3D de savoir où et quand déposer du matériau. Chaque couche correspond à la forme 2D exacte de l’objet à ses différents niveaux de hauteur. Par exemple, en imprimant une pyramide en 3D, la première couche (à la base de la pyramide) serait un carré plat, et la dernière (à la pointe de la pyramide) serait simplement un point. Les couches sont imprimées en 3D l’une sur et après l’autre jusqu’à ce que l’objet soit terminé. Les principales technologies d’impression 3D Il existe plusieurs moyens d’imprimer des objets en 3D. Les principaux procédés ou technologies d’impression 3D disponibles aujourd’hui sont les suivants :FFF (fabrication par dépôt de fil fondu) or FDM (« fused deposition modeling »), avec des bobines de filament plastique comme consommables SLA (stéréolithographie), où un laser ou projecteur de lumière photopolymérise (solidifie) de la résineFusion ou frittage de poudre (PBF, SLS, SMS…), des méthodes où des particules de matériau plastique ou métal sont fusionnées grâce à de puissants lasers Jet de matière (« material jetting » ou « binder jetting »), lorsque de microscopiques gouttes de matériau ou d’agent liant sont déposées sur un lit de poudre Ces technologies d’impression 3D possèdent chacune leurs forces et limites, et sont adaptées à différents types d’industries et de cas d’utilisation. Pourquoi opter pour l’impression 3D ? L’impression 3D offre de nombreux avantages. Sa principale valeur ajoutée réside dans sa capacité à imprimer des géométries très complexes qui resteraient impossibles à réaliser avec des méthodes de fabrication traditionnelles comme le moulage par injection. Autre facette importante de la fabrication additive : la rapidité. Malgré le fait que l’impression 3D d’un objet puisse prendre plusieurs heures, voire jours, le processus de fabrication de prototypes par la voie de méthodes classiques demeure bien plus long. Le prototypage rapide reste, en effet, l’une des utilisations professionnelles de l’impression 3D les plus répandues. Les prototypes peuvent être produits dans des délais très courts, avec l’avantage de pouvoir rapidement améliorer les modèles et d’imprimer chaque version. Cette technologie offre également de nombreuses possibilités au niveau des matériaux employés. Quels matériaux peut-on utiliser en impression 3D ? Il est possible d’imprimer en 3D avec presque n’importe quel matériau. Les matériaux d’impression 3D les plus courants sont à base de plastique, allant du PLA standard aux polymères haute performance tels que le PEEK ou le PEI, et bien d’autres encore. Il est même possible de renforcer les thermoplastiques avec de la fibre de carbone ou de la fibre de verre. Certaines niches voient également le jour depuis quelques années. Les scientifiques et chercheurs explorent la bio-impression 3D, les restaurateurs se lancent dans l’impression 3D alimentaire.
Il y a 3 ans et 110 jours

«Le produit final doit être conçu pour pouvoir entrer dans la boucle de l’économie circulaire», Christina Raab, directrice du Cradle to Cradle Products Innovation Institute

Avec plus de 700 entreprises participant à la certification, 1500 certificats délivrés et plus de 10 000 produits certifiés dans le secteur du bâtiment (mais aussi au sein des univers textile, cosmétique, automobile, électronique grand public, décoration intérieure, produits ménagers, papier, emballages et polymères), le "cradle to cradle" s'impose peu à peu comme la norme de référence pour les produits intégrant l'économie circulaire.
Il y a 3 ans et 114 jours

Un spa chauffé au bois continue de repousser les limites du luxe durable

Construit avec Kebony, l’expert mondial en production de bois durable, le spa Tubmarine apporte la polyvalence et l’esthétique du bois norvégien à toutes les maisons, sans pour autant nuire à l’environnement. Simple d’utilisation, ce spa est prêt à l’emploi en moins de deux heures. Il ne nécessite aucune électricité puisqu’il est alimenté par son poêle à bois intégré. Le Tubmarine permet de profiter de l’extérieur en toutes saisons. Il offre un moment de détente dans le respect de l’environnement, grâce à des sources d’énergie naturelles et des matériaux avant-gardistes durables.Le Tubmarine est pensé dans une optique de durabilité : écologique, il est conçu pour avoir une longue durée de vie. Kebony a été le seul bois sélectionné pour habiller ce spa fabriqué au Royaume-Uni. Son design élégant est composé de pièces et de matériaux recyclés à 80 % et de haute qualité, avec un bois haut de gamme renforcé par un cadre en acier inoxydable. La rencontre d’une ingénierie exceptionnelle et d’une technologie révolutionnaire donne naissance à un spa durable, agréable à l’œil et qui se fond dans son environnement naturel.Le spa Tubmarine profite de la technologie pionnière de la marque Kebony en matière de traitement du bois. Celle-ci confère aux résineux provenant de sources durables une stabilité et une grande résistance à l’épreuve du temps, permettant au Tubmarine d’avoir un impact minimal sur l’environnement. Le bois Kebony résiste aux intempéries, conservant son aspect unique au fur et à mesure qu’il vieillit, jusqu’à acquérir une belle patine gris argenté. Le spa est facile à entretenir et durable dans le temps : livré avec une garantie de 10 ans, il ne nécessite aucun traitement du bois.Le Tubmarine est désormais disponible au Royaume-Uni, en Europe, aux États-Unis et en Australie, offrant à de plus en plus de propriétaires l’accès à des spas luxueux et primés. Proposé à partir de 10 250 £ TTC., le spa est disponible en deux tailles : un module pour deux personnes et un module plus grand pouvant accueillir jusqu’à cinq personnes. Révolutionnant le marché, ce spa durable ouvre la voie à une nouvelle approche du luxe, qui respecte l’environnement et répond directement à la nécessité d’opérer une transition vers des produits écologiques, autant pour la maison que pour les espaces extérieurs.Chris Gallez, fondateur de Tubmarine, s’exprime : « Lorsque j’ai créé le spa Tubmarine, j’ai réalisé que je devais utiliser un bois qui compléterait la robustesse de l’acier inoxydable. J’avais besoin d’un bois dur et durable. Après de nombreuses recherches, j’ai découvert Kebony, qui répondait à toutes les exigences : durable, stable, écologique et esthétique. Ce bois participe véritablement à l’élégance du spa et je suis ravi du résultat. »Nina Landbø, directrice des ventes internationales chez Kebony, ajoute : « La prise de conscience des impacts du changement climatique étant de plus en plus importante, la demande de produits respectueux de l’environnement ne cesse de croître. Le spa Tubmarine offre une solution parfaite aux propriétaires qui cherchent à s’assurer que leur style de vie soit aussi écologique que possible, tout en conservant cet esprit luxe et loisirs. »« Ce mouvement vers la durabilité est une tendance que nous avons observée l’année dernière et qui devrait encore s’accélérer en 2022, car de plus en plus de personnes se tournent vers des matériaux durables tels que le bois Kebony », conclut-elle.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 3 ans et 121 jours

Agrafeuse avec deux types de projectiles simultanément

ALSAFIX propose l’agrafeuse SCAPS qui utilise deux types de projectiles en même temps : les agrafes H et les capsules polymères (CAPS). Elle est spécialement conçue pour l’agrafage de films et d’écrans sous toiture. Les capsules augmentent la surface de contact avec le film et permettent d’éviter la déchirure. Son poids de 1,8 kg lui donne une légèreté pour améliorer la précision.
Il y a 3 ans et 124 jours

Adjuvantation : “Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille”

Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France, alerte sur la pénurie des matières premières et l’importante hausse de leurs prix. [©MBCC Group] Pénurie, quand tu nous tiens… Comme bien des secteurs, le monde de la chimie est impacté d’une manière très importante par un manque de disponibilité des matières premières. Ceci, lié à un contexte mondial particulier consécutif à la crise du Covid et au ralentissement économique généralisé qui l’a accompagnée.  En effet, après deux années de pandémie, la reprise a été fulgurante, avec un redémarrage massif des marchés asiatiques et nord-américains. A elles seules, ces deux zones ont commencé à absorber une partie importante des ressources de matières premières, saturant au passage le transport maritime mondial. Ainsi, on a pu voir les prix des conteneurs de 40’’ multipliés par cinq, par huit. Et comme une plaie n’arrive jamais seule, le coût des énergies ne cesse de grimper. Entre avril 2020 et janvier 2022, le prix du baril de pétrole a presque quintuplé, passant de 18,50 $ à 86,50 $ (16,50 € à 77,10 €). Une situation qui ne va pas s’améliorer avec le contexte géopolitique actuel, dont l’évolution est des plus incertaine… Une reprise non anticipée et sous-estimée De longue dates, les adjuvantiers ont axé leur développement sur les chimies nouvelles. « Pour une grande partie de nos productions, nous utilisons des polymères, issus de monomères souches », rappelle Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France (MBCC Group). Souci, le secteur des plastiques fait appel aux mêmes matières premières (monomères) que les adjuvantiers.  Quant aux sources d’approvisionnement, elles sont limitées à une petite poignée de producteurs fournisseurs mondiaux, dont les outils industriels sont à saturation. « Avec le Covid, ils ont mis un gros coup de frein sur les développements, investissements et capacités de production. » A vrai dire, ces industriels, comme bien d’autres, n’ont pas anticipé un niveau de reprise aussi fort et rapide. En même temps, la crise du Covid était “seulement” sanitaire et non économique et certains l’ont peut-être oublié.  Les chimies “anciennes” touchées à leur tour Aujourd’hui, la situation est telle qu’elle est : il n’y a pas assez de matières premières pour contenter tout le monde. De fait, ceux qui acceptent de payer le prix fort sont servis en premier. « A ce niveau, la filière construction n’est pas toujours la mieux placée », analyse Guillaume Francqueville.  Cette pénurie de monomères/polymères existait déjà dans le passé (avant la crise du Covid), mais restait limitée, même si elle gênait les adjuvantiers. Aujourd’hui, la “nouveauté” vient d’une brusque évolution tarifaire à la hausse des chimies que l’on pourrait qualifier “d’anciennes”. « Il s’agit de dérivés du sucre, de l’azote, d’acides de base. Toutes ces chimies qui ont permis l’essor de l’adjuvantation pour bétons avant l’arrivée des polymères. » Les huiles végétales et autres matières biosourcées sont impactées de la même manière. « Les hausses oscillent entre + 15 % et + 150 %, confirme Guillaume Francqueville. Elles sont arrivées très tard, en fin d’année dernière, sans signes annonciateurs… » Ces chimies sont aussi captées par l’Asie. Et par de nouveaux entrants, qui ont identifié des débouchés inédits pour ces produits. Des utilisations à plus forte valeur ajoutée que celles de la construction ! Une hausse qui n’épargne aucun adjuvantier Même s’ils représentent une part minoritaire du chiffre d’affaires des adjuvantiers, les produits basés sur ces “anciennes” chimies n’en restent pas moins demandés et utilisés par les acteurs du béton. « On parle là de solutions éprouvées, qui répondent parfaitement à certains besoins pour lesquels les nouvelles réponses d’adjuvantation restent surdimensionnées. » Mais cette hausse substantielle, qui n’épargne aucun adjuvantier, pourrait rapidement rendre ces chimies beaucoup moins attractives dans les semaines ou mois qui viennent. Car – il ne faut pas se voiler la face -, il y aura une répercussion sur les prix finaux. « En 2021, nous avons déjà absorbé une bonne partie des hausses, mais cette nouvelle salve affiche des niveaux jamais atteints, auxquels nous ne pouvons plus faire face », insiste Guillaume Francqueville. En effet, comme toutes entreprises, celles du secteur de l’adjuvantation n’échappent pas aux règles de rentabilité dictées par l’économie de marché.  L’élégante formule de Jacques Chirac Dans ce contexte, les adjuvantiers ne vont pas rester les bras ballants. Ils travaillent déjà à plusieurs scénarii. Le premier consiste à revoir les formulations de leurs adjuvants de base, en continuant à utiliser les chimies “anciennes”. Le second – plus plausible – est de procéder à une montée en gamme, en remplaçant les gluconates et autres lignosulfonates par les polymères de dernière génération. Mais à des concentrations bien moindres que celles nécessaires pour les adjuvants les plus récents et performants. Autrement dit, de faire profiter des progrès les plus récents de la chimie à des adjuvants éprouvés. Une substitution rendue possible par un delta de prix de moins en moins important entre “anciennes” et “nouvelles” chimies.  Aujourd’hui, l’industrie de l’adjuvantation pour bétons semble être à la croisée des chemins, entre hausses de prix permanentes, pénuries de matières premières et difficultés pour identifier de nouveaux sourcings. De quoi lui permettre de reprendre à son compte l’élégante formule de Jacques Chirac : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ».  Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 132 jours

Kebony Clear habille une maison avant-gardiste pleinement intégrée dans l’Alentejo et signée Gonçalo Bonniz

Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. Le bois durable Kebony Clear fait partie intégrante de la maison FdP, située dans l’Alto Alentejo – une région reculée du Portugal – signée par l’architecte portugais Gonçalo Bonniz. Avec un design avant-gardiste et des lignes très épurées, la maison s’intègre parfaitement au paysage de l’Alentejo, à la morphologie du terrain et à son environnement ; un objectif atteint grâce à l’utilisation de matériaux s’harmonisant avec les couleurs locales, dans une combinaison idéale de béton et de bois Kebony Clear. « L’une de nos motivations principales était d’ériger une maison qui dominerait le paysage. Ce projet est fortement inspiré par le lieu, avec pour lignes directrices la morphologie du terrain, l’orientation solaire, la vue, les couleurs ainsi que la préservation des arbres, laquelle a contribué à sculpter la maison et à favoriser son intégration », explique Gonçalo Bonniz. Cette intégration chromatique « a été un facteur important de la dissimulation de la maison dans ce paysage rural, une connexion réussie grâce à la présence d’ardoises multicolores, grises et brunes, de béton avec pigments gris et de bois Kebony Clear », poursuit l’architecte.Le bois Kebony Clear a été appliqué sur la façade sans traitement de surface. Il présente une teinte brun foncé qui deviendra gris argenté au fil du temps et de l’exposition aux éléments, ce qui lui permettra de se fondre avec le béton armé utilisé dans la construction du bâtiment. Ce mariage des couleurs n’était que l’une des nombreuses raisons ayant motivé le choix d’un bois Kebony pour l’extérieur de cette maison particulière. Il convient également de souligner sa durabilité et sa stabilité, particulièrement importantes dans une région au climat rigoureux, ainsi que son vieillissement contrôlé et la non-nécessité d’opérations d’entretien.Le bois Kebony Clear est également très présent dans l’intérieur de la maison FdP. En plus de son application sur la façade extérieure et la terrasse, ce bois a également été choisi pour une grande partie du mobilier de la maison, y compris l’espace cuisine, ainsi que pour les armoires et les espaces de circulation, avec des portes de plus de trois mètres de haut. Tous les travaux de construction de Kebony Clear ont été réalisés par Matriz – Sociedade de Construções, Lda. Ce bois est facile à manipuler, très résistant, et sa douceur au toucher permet une finition de qualité supérieure, sans ajout de produit. « Cette application polyvalente du bois Kebony sur les façades, les terrasses et les meubles reflète la résistance et la stabilité de ce matériau, mais aussi son esthétique attrayante et ses qualités durables. La maison FdP est d’ores et déjà une référence majeure dans le portfolio Kebony », commente l’ingénieur du bois Mário Neves, représentant de Kebony au Portugal. Kebony, qui intègre la gamme Clear, est un bois durable et de haute qualité, qui bénéficie d’une certification FSC. Il se distingue par son aspect attrayant, sa dureté, sa stabilité et sa résistance, ainsi que par sa facilité d’entretien. Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.
Il y a 3 ans et 173 jours

Une terrasse de bureaux en bois Kebony

L'architecte Matt Dawson, de TBG Partners, a choisi le bois Kebony pour de multiples éléments de ce projet, et notamment la terrasse, les tables, les bancs et autres structures. L'une des raisons principales ayant motivé ce choix est son côté esthétique : le bois développe avec le temps une élégante patine gris argent qui ajoute une touche moderne au lieu. De plus, certaines zones définies par l'architecte utilisent le bois Kebony comme revêtement de sol, lequel se marie très harmonieusement avec le mobilier design épuré choisi pour ces mêmes zones.Si l'architecte a choisi le bois Kebony, c'est également pour ses qualités intrinsèques : il s'agit d'un bois respectueux de l'environnement, très facile à entretenir et résistant aux aléas climatiques. Les lames de bois façonnent un environnement très calme, empreint de sérénité, comme seuls les bâtiments utilisant des matériaux naturels en ont le secret.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, lui donnant un coloris brun foncé similaire à un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, au sud d'Oslo ainsi qu'à Anvers en Belgique.
Il y a 3 ans et 201 jours

Une plage de piscine en bois Kebony

Le bois des lames de terrasse Kebony Clear sur fixation invisible par Grad© s'associe à la fois au grès cérame en bandes qui entoure la piscine et s'imbrique avec les lames de la terrasse, aux lignes paysagères des espaces verts, et à l'allure contemporaine de la maison d'architecte. La terrasse en bois Kebony joue le rôle de fil conducteur entre tous ces éléments grâce à ses lignes épurées, son coloris patiné, son absence de nœuds, sa pose sans vis apparentes et sa garantie de 30 ans, autant de critères qui ont séduit les propriétaires ainsi que l'architecte en charge du projet paysager.Que ce soit sur ses caractéristiques techniques ou esthétiques, le bois Kebony correspondait intégralement au projet architectural de cette maison située à moins de 500 mètres de la mer. Ses lignes verticales de bois et de zinc résonnent avec la patine grise du bois de la terrasse, lequel résiste bien aux embruns et ne nécessite pas d'entretien particulier. Les lames Burger Grad sont idéales pour un environnement humide, comme c'est le cas ici avec la piscine. Le système de pose permet quant à lui une ventilation idéale. La terrasse est entourée de pierres natureles qui facilitent l'entretien de la pelouse sans abimer les lames, et permettent de profiter de la terrasse et du gazon sans discontinuité de niveau. Enfin, un fond végétal exotique a été réalisé. Cet espace, de jour comme de nuit, est accentué par le calepinage, les lignes des lames de Kebony et de grès cérame, créant une perspective graphique depuis la maison.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 3 ans et 220 jours

Des matériaux recyclés pour des canalisations d'assainissement durables

Photo : CSTBL'emploi de canalisations d'assainissement en polymères intégrant des matériaux recyclés est encouragé par la réglementation. Pour évaluer leur durée de vie, le CSTB crée une méthode d'essai adaptée à ces matériaux spécifiques. La réglementation impose à présent d'introduire dans les ouvrages de construction un certain pourcentage de matériaux recyclés. Le secteur de l'assainissement n'échappe pas à cette contrainte et les industriels du secteur s'emploient depuis plusieurs années à augmenter la proportion de matières premières recyclées dans leurs produits. Cette part peut aller jusqu'à 30 % dans les canalisations d'assainissement. Mais encore faut-il s'assurer que ces produits présentent les mêmes caractéristiques que les produits à base de matières vierges. Aujourd'hui, ils ne peuvent pas accéder à l'Avis Technique et restent en dehors des règles de l'art, faute de justification de leurs performances, notamment de leur durée de vie. Problématique à laquelle le CSTB souhaite contribuer aux côtés des territoires et collectivités. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 227 jours

Sika lance SikaFiber®-200 Végétal, une fibre 100% biosourcée

Dans ce cadre, Sika lance aujourd'hui une fibre pour béton 100 % végétale : SikaFiber®-200 Végétal. D'origine naturelle, cette microfibre de cellulose génère un réseau de fibres encore plus dense pour une meilleure résistance à la fissuration précoce des bétons.La nature au service du béton Fabriquée en Europe, SikaFiber®-200 Végétal est une alternative éco-responsable aux microfibres polymères utilisées sur le marché. D'origine naturelle, elle est obtenue à partir de bois de forêts européennes gérées durablement. Elle participe à la fabrication de bétons plus vertueux et plus facilement recyclables, notamment par l'absence de plastique dans les retours bétons et dans les bacs de rétention.SikaFiber®-200 Végétal : des performances inégalées Destinée aux bétons coulés à plat (chapes, dallages industriels, béton désactivés, décoratifs, matricés, planchers, terrasses…), SikaFiber®-200 Végétal est une des fibres les plus performantes du marché. En effet, une dose réduite de microfibres SikaFiber-200 Végétal génère un réseau de fibres encore plus dense pour une meilleure résistance à la fissuration due au retrait plastique, sans interférer sur la fluidité du béton.Des mesures réalisées selon un protocole spécifique ont démontré que l'utilisation de SikaFiber®-200 Végétal, à un dosage de 300 g/m3, permet une réduction de 68 % des fissures au jeune âge (24 heures) par rapport à un béton non fibré.Caractéristiques techniques : Longueur : 0,2 mm Diamètre : 20 μm Dosage usuel/m3 de béton : 300 g/m3 Nombre de fibres par dose : environ 3 milliardsCette nouvelle fibre performante, éco-responsable et facile à utiliser vient compléter l'offre de produits biosourcés développés par Sika dans le domaine du béton, comme le Sika ViscoCrete® 850-Végétal. Ce superplastifiant haut réducteur d'eau, synthétisé à partir de déchets de l'agriculture est biosourcé à plus de 90 % Destiné aux BPE comme aux sites de préfabrications pour la réalisation de bétons de consistance S3 à autoplaçant, Sika ViscoCrete® 850-Végétal offre des performances d'ouvrabilité, de maintien et de montée en résistance comparables à un superplastifiant standard. Fabriqué dans l'usine Sika à Gournay-en-Bray (76), La synthèse mise au point par les équipes R&D de Sika fait l'objet d'un dépôt de brevet et pourra s'étendre à d'autres superplastifiants.
Il y a 3 ans et 251 jours

Recyclage des matériaux isolants haute performance en polyuréthane rigide : Unilin Insulation s’engage dans le projet européen CIRCULAR FOAM

Recycler la mousse de polyuréthane rigide utilisée comme matériau isolant dans le secteur de la construction, tel est l’objectif ambitieux du nouveau projet européen CIRCULAR FOAM dans lequel Unilin Insulation s’implique activement. Un nouvel écosystème circulaire Leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, Unilin Insulation s’engage dans l’économie circulaire en rejoignant le nouveau programme CIRCULAR FOAM, financé par l’Union Européenne*. Coordonné par l’entreprise Covestro, leader dans l’industrie des polymères, CIRCULAR FOAM réunit 22 partenaires issus de l‘industrie, du monde universitaire et de la société civile de 9 pays. « i>Nous sommes convaincus que le polyuréthane dispose de tous les atouts pour devenir un matériau d’isolation circulaire performant. Nous voulons faire partie des premiers acteurs du marché à recycler le polyuréthane. Telle est l’ambition d’Unilin Insulation/i> » explique Lieven Malfait, Président d’Unilin Insulation. Le projet CIRCULAR FOAM vise en effet à apporter de nombreuses améliorations au cycle de vie actuel du matériau. L’objectif de cette initiative est de rassembler aussi les acteurs de la chaîne de valeur et de mettre en place d’ici 4 ans un nouvel écosystème circulaire durable des mousses de polyuréthane rigides utilisées comme matériau isolant dans le secteur de la construction et les réfrigérateurs. En plus de se concentrer sur le développement de deux nouvelles filières de recyclage du polyuréthane rigide en fin de vie, le projet contribuera : – à la mise en place et au fonctionnement des systèmes logistiques et de collecte des déchets, – à l’élaboration de solutions de démantèlement et de tri, – ainsi qu’à la conception de futurs produits plus faciles à recycler. Le programme CIRCULAR FOAM est déployé dans plusieurs régions modèles telles que la zone métropolitaine d’Amsterdam aux Pays Bas, la Silésie en Pologne… Les études de cas permettront de dresser une ébauche de solution systémique susceptible d’être reproduite dans d’autres zones géographiques. De cette façon, le projet contribuera à la Mission Horizon Europe qui consiste à aider au moins 150 régions en Europe à s’adapter d’ici 2030 au changement climatique. « En tant que partenaire du projet CIRCULAR FOAM, nous allons tester les matières premières recyclées et créer un prototype d’isolant en polyuréthane éco-responsable. Afin de disposer à l’avenir de nouveaux systèmes d’isolation favorisant le recyclage, Unilin Insulation mise également sur l’éco-conception de ses produits. De quoi améliorer le cycle de vie de nos isolants » déclare Aster Onderberke, Ingénieur Développement Durable. Une fois mis en place dans toute l’Europe, le projet CIRCULAR FOAM permettrait, dès 2040, d’économiser 1 million de tonnes de déchets, 2,9 millions de tonnes d’émission de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération par an. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 3 ans et 254 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60 Un bardage en bois composite coextrudé à faux claire-voie contemporain et durable

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l’efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d’œuvre… Fiberdeck a développé de nouvelles lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie : WEO®60. Idéales pour une isolation par l’extérieur (ITE) de maison individuelle, de collectif ou ERP le bardage WEO®60 est durablement esthétique grâce à la technologie exclusive de coextrusion. Il bénéficie d’une résistance exceptionnelle aux UV, pendant 20 ans, et il est très facile à mettre en œuvre.   FIBERDECK : Un bois composite aux performances inégalées Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité et de performances exceptionnelles. D’une durée de 20 ans sans aucune décoloration visible à l’œil, les lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie garantissent des ouvrages perennes. Des matériaux haute qualité pour un ouvrage durable Le bardage WEO®60 Fiberdeck est parfaitement adapté à tout type de complexe d’ITE, en construction neuve, en réhabilitation de l’ancien, en extension, et à tout type d’isolant. Une garantie de 20 ans anti-décoloration et un entretien limité ! Le bardage en bois composite WEO®60 a la particularité d’être étanche à l’eau, très résistant aux UV et aux agressions extérieures, qui fragilisent bien souvent les bardages traditionnels en bois. Grâce à la technologie de coextrusion, un film en polyéthylène qui enrobe la surface du profil, les lames du bardage sont insensibles aux taches, aux intempéries et à la décoloration, et ce pendant 20 ans ! Elles sont impustrescibles et ne risquent aucune reprise d’humidité. De plus, leur entretien est considérablement réduit. Un comportement au feu semblable au bois D’une grande longévité, le bardage composite WEO®60 profite du même comportement au feu en termes de réaction et de résistance au feu (classe D s1d0) que le bardage bois grâce à sa composition – fibre de bois et polymère (PEHD) – qui intégre un adjuvant ignifuge. Un profil alvéolaire à faux claire-voie tendance et stable Avec un profil unique, un décor à faux claire-voie composé de petites ondes fines et régulières, le bardage WEO®60 offre un relief marqué et rythmé à la façade. Esthétique et contemporaine, la forme trapézoïdale et prononcée des ondes, assure un bon écoulement de l’eau de pluie et imite parfaitement l’aspect claire-voie des bardages bois. Posées verticalement, les lames accentuent l’impression de hauteur, ou de profondeur lorsqu’elles sont fixées horizontalement. Par ailleurs, le profil WEO®60 est stabilisé grâce à sa sous-face. La structure est équipée d’ergots au dos des lames, qui permettent une fine circulation d’air entre le support et le revêtement. En pose verticale, cela permet de ne poser les lames que sur une simple ossature bois ou métal (hors avis technique, voir DTU). La technologie du bois composite coextrudé Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité, stabilise le matériau et réduit la dilatation. Un aspect bois ultra-réaliste Le bardage composite WEO®60 Fiberdeck constitue une véritable alternative écologique au bardage en bois tropicaux. Il combine les performances de durabilité de la coextrusion avec l’aspect naturel et chaleureux du bois. Constituées de 50 % de fibres de bois, des sciures de l’industrie du bois, et 50 % de polyéthylène recyclé, les lames sont fabriquées à partir de 95 % de matériaux recyclés et sont 100 % recyclables. Sans produit toxique, sans colle ni métal lourd, elles offrent un environnement sain. Esthétiques, les lames de bardage WEO® imitent parfaitement l’aspect naturel du matériau bois, tant par le toucher chaleureux que les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires. Le résultat est très réaliste. Aucune lame n’est identique, le décor est unique ! Décliné en 4 coloris – Cedar, Teak, Ipé, Dark grey – le bardage WEO®60 peut répondre à tous les projets architecturaux. Enfin, pour que la façade soit parfaitement uniforme, les fixations du bardage sont invisibles. La vis vient se dissimiler directement dans des languettes prévues à cet effet, afin d’avoir le rendu le plus épuré possible. Un bardage facile à mette en œuvre Les lames WEO®60 se fixent très facilement sur l’ossature bois ou métal avec seulement 1 vis inox à tête colorée par point de fixation. Elles s’emboîtent rapidement et peuvent être ajustées entre-elles à l’aide d’un jeu réglable. Ce système simple et rapide permet non seulement de les ajuster en réglant la profondeur d’emboîtement mais aussi de procéder à une fixation très discrète des lames. De plus, elles sont démontables et remontables pour simplifier les opérations de maintenance. Enfin, le profil trapézoïdal permet une pose horizontale ou verticale. Lame Bardage WEO® 60 – Profil faux claire-voie Dimensions : Épaisseur 33 x Largeur utile 140 mm x Longueur 3600 mm Recouvrement : 0.5 m² Poids d’une lame : 7,5 kg Fixation sur liteaux d’entraxe 60 cm : par vis inox SR2 teintées au coloris des lames Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 270 jours

Spie batignolles devient constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 270 jours

Spie batignolles : Constructeur imprimeur de solutions 3D

« La technique de l'impression 3D s'inscrit pleinement dans notre stratégie d'innovation visant à accélérer la transformation de nos métiers. L'intégration définitive de cette brique d'innovation dans notre activité est issue de la réussite de deux POC (proof of concept). Les enjeux auxquels l'impression 3D peut répondre sont nombreux et présagent d'un marché en très forte croissance au cours des années à venir. C'est dans cette perspective que Spie batignolles a décidé de s'équiper d'une première imprimante 3D destinée à produire des éléments pour nos besoins en propre et pour le compte d'autres clients » - explique Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles.« L'acquisition d'un système industriel XtreeE par notre partenaire Spie batignolles permettra de développer rapidement l'emploi d'éléments imprimés en 3D sur des projets de construction, afin de gagner en productivité et de réduire de plus de 50% l'empreinte carbone de certains éléments massifs en béton (voussoirs, piles ou murs). Une telle réduction de l'empreinte carbone peut être atteinte en optimisant la forme des éléments, désormais fabricables à coûts maîtrisés grâce à l'impression 3D, et en utilisant des matières imprimables bas carbone » indique Jean-Daniel Kuhn, directeur général et cofondateur d'XtreeE.De la R&D à la productionFort de premiers tests concluants avec l'impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation mis en œuvre sur ses chantiers, Spie batignolles a souhaité se doter d'un système d'impression 3D en propre afin d'étendre le champ des possibles sur un marché à fort potentiel.La stratégie du groupe repose ainsi sur deux axes principaux :1er axe : le développement d'une nouvelle activité d'imprimeur au travers d'un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers.2ème axe : les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l'impression d'éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple).Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l'écosystème de la construction.« L'impression 3D répond aussi à un enjeu environnemental car la technique permet d'économiser de la matière. C'est une véritable réponse aux enjeux de pénurie de matériaux et de délais d'approvisionnement. La technique offre de belles perspectives de développement avec l'emploi de matières recyclées par exemple. Nous n'en sommes qu'aux prémisses, notamment en matière de règlementation technique pour l'obtention d'ATEX », précise Frédéric Gaurat, directeur technique chez Spie batignolles.Un potentiel d'impression considérableLa cellule d'impression 3D béton acquise au mois de juillet dernier par Spie batignolles auprès de son partenaire XtreeE comprend un bras robotisé sur lequel vient se connecter le système d'impression issu de la technologie brevetée par la start-up. Ce système d'impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités.Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu'à 5 m de hauteur.L'imprimante 3D sera livrée et installée en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.Les 2 ingénieurs dédiés à cette nouvelle activité de production s'appuieront sur le savoir-faire d'XtreeE et poursuivront ainsi le partenariat démarré en 2020 entre la start-up et Spie batignolles.Par cette acquisition et le lancement de sa nouvelle activité, Spie batignolles s'engage pleinement dans le BTP 4.0 et poursuit l'industrialisation de ses métiers au service de leur performance.
Il y a 3 ans et 271 jours

Impression 3D béton : Spie batignolles passe à la vitesse supérieure

Fort de premiers tests concluants avec l’impression de coffrage de nœuds de poutres et de boîtes de réservation aux côtés d’XtreeE en 2020, Spie batignolles poursuit son partenariat avec la start-up et passe à la vitesse supérieure avec l’acquisition en propre d’une cellule d’impression 3D béton. La stratégie du groupe repose sur deux axes principaux : le développement d’une nouvelle activité d’imprimeur au travers d’un catalogue de composants imprimables standards ou sur-mesure pour le compte de tiers et les gains de productivité sur les chantiers du groupe avec l’impression d’éléments facilement réplicables (boîtes de réservation par exemple). Une partie du temps robot sera également dédié à la Recherche et au Développement de nouveaux produits en lien avec XtreeE et l’écosystème de la construction. Le système d’impression multi-matériaux peut imprimer du béton, mais pas seulement : mortiers, matériaux à base de terre, plâtre et géopolymères font également partie des possibilités. Le robot sera installé sur un piédestal de 2m de hauteur pour permettre une impression 3D à 360° sur un rayon de 5 m et offrir un large volume imprimable allant jusqu’à 5 m de hauteur. Il sera installé en novembre sur la plateforme matériel de Spie batignolles située à Ollainville (91) et la production démarrera en janvier 2022 après une phase de formation et de montée en compétence des équipes.
Il y a 3 ans et 279 jours

Savoie : 3 Béton ouvre sa 4e centrale

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. La nouvelle centrale MCF de 3 Béton à Saint-Julien-Mont-Denis, en Maurienne. [©3 Béton] Dans l’arc Alpin, pousse un indépendant du béton au comportement de start-up. Emmanuel Garcia, Laurent Morniroli et Patrick Sallemand ont lancé 3 Béton, avec l’ouverture de leur première centrale en avril dernier. Ils achèvent aujourd’hui la construction de la 4e à Saint-Julien-Mont-Denis (73), en Maurienne. « Nous avons un plan précis de ce que nous voulons et de ce que nous ne voulons pas faire, explique Emmanuel Garcia. Nous visons une infrastructure d’une dizaine de centrales d’ici 2023. Des centrales simples et fonctionnelles, puisque nous sommes partisans du Low Tech1. Pour l’exemple, tous nos collaborateurs n’ont pas de mail personnel, nous privilégions les contacts directs, en personne ou par téléphone. »  Lire aussi les autres actualités en région Le bas carbone avant tout Ce qui n’empêche pas l’entreprise d’être à la pointe des questions de bétons bas carbone. « Nous utilisons des granulats recyclés et baissons le plus possible la part de ciment dans nos formulations. Avec l’aide de toutes les additions que nous avons à notre disposition à l’instant T. Sur un chantier en Isère, nous avons baissé de 40 % le CO2/m3. Pour cinq cours de récréations d’écoles de l’agglomération grenobloises, nous avons conçu un système avec un béton drainant sans ciment, en utilisant un liant polymère d’INMS. » Quant à la centrale de la vallée de la Maurienne, elle a été construite et installée par MCF, autour d’un malaxeur planétaire d’une capacité de 2,5 m3, avec doubles sorties. Elle est accompagnée d’une trémie- tampon, d’une trémie à granulats et de cinq silos de 80 t unitaire. Cette centrale travaillera notamment le marché local, et surtout, les chantiers connexes à la construction de la ligne Lyon-Turin. 1Ensemble de technologies et de logiques visant la sobriété énergétique et matérielle, la durabilité forte et la résilience collective.
Il y a 3 ans et 279 jours

Cermix : Deux solutions de protection des bétons

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le Cermirep HSR R4 est un mortier de réparation à haute résistance aux sulfates. [©Cermix] Cermix présente deux solutions destinées à l’imperméabilisation et à la réparation des bétons. Le Cermiproof Flex (Kit) Revêtement est étanche et flexible, et permet la protection des bétons à deux composants. Le premier est une poudre à base de liants hydrauliques, de charges sélectionnées et d’adjuvants. Le second, un liquide à base de polymères acryliques en phase aqueuse. Il permet de traiter les soubassements, les cuves, les réseaux d’égouts, le pontage de fissures, et de protéger les bétons contre la carbonatation.  La seconde solution, le Cermirep HSR R4 est un mortier de réparation à haute résistance aux sulfates. Mono-composant fibré, contenant des ciments spéciaux (PMES), du sable siliceux très pur parfaitement calibré, des adjuvants spécifiques et renforcés de fibres, il convient pour les réparations structurelles et non-structurelles. Permettant ainsi de traiter les stations d’épuration, les restructurations d’éléments dégradés, le nivellement de surface, la réparation d’éléments préfabriqués ou encore les réparations maritimes. Sur Artibat : Hall 10A – Stand C45 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 283 jours

Fischer France fête 60 ans d’innovations sur le marché de la fixation

Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…Jean-Marc Berg, Président de fischer France depuis 2018, après plus de 12 ans passés au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, a à cœur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.fischer France : une expertise reconnueCréateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients.Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forets, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixations. La 1ère cheville à expansion en 1956, le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000 ou encore la première cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016 sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.Parmi les nouveautés fischer de ces dernières années : Le Ciment Express. Unique sur le marché, astucieux et économique, le Ciment Express de fischer est une pâte de réparation présentée sous forme de cartouche. Prête à l’emploi, elle offre un véritable gain de temps aux utilisateurs et limite les gaspillages liés au surplus de fabrication de ciment. De haute qualité, le Ciment Express s’utilise en rénovation, sur de nombreux matériaux de construction tels que le béton, la brique, le parpaing, la tuile, la pierre…, et pour différentes applications en intérieur comme en extérieur : jointoiement de carrelage, de parpaings…, bouchage de fissures sur des maçonneries, du béton, des briques…, fixation de tuiles, réparation de bords détériorés sur de la pierre... Il garantit une excellente adhérence sur tous les matériaux de construction. Après séchage, il est parfaitement étanche à la pluie et résiste aux intempéries, et ce, quelques heures seulement après son application.La gamme de fixation DuoLine. Véritable innovation technologique, cette gamme regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques. Fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières, les chevilles DUOPOWER, DUOTEC et DUOBLADE aux couleurs rouges et grises assurent un ancrage optimal et parfaitement sûr. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, permettent d’élargir le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité.uoPower : Cette cheville nylon multi-matériaux s’adapte elle-même au matériau de construction dans lequel elle va s’ancrer. Elle s’expanse, se déploie ou forme un nœud en fonction du support, que ce soit un matériau plein, creux ou en plaque afin d’obtenir la meilleure adhérence et des valeurs de charges supérieures aux chevilles nylon classiques. Elle garantit une fixation parfaitement sûre, solide et durable. Elle s’introduit facilement dans le forage sans se tordre et assure ainsi une bonne perception du couple de serrage. Polyvalente, elle couvre un large champ d’application, convient pour les vis à bois, les vis à bois agglomérés et les vis à double filet, et fonctionne dans de nombreux matériaux (béton, maçonneries pleines ou creuses, panneaux de particules, plaques de plâtre…). DuoTec : Cette cheville à bascule pour matériaux creux convient pour les applications suivantes : fixation de lustres, suspensions, spots et plafonniers... dans des plaques de plâtres, des panneaux en fibre de plâtre, des panneaux de bois (OSB – aggloméré, stratifié MDF), des panneaux en acier et des panneaux plastiques. Intelligente, elle fonctionne également comme une cheville à expansion si le matériau rencontré s‘avérait être plein. Bi-matière, renforcée de fibres de verre de haute qualité, elle garantit une bonne capacité de répartition des charges, dans les plaques de plâtre sans endommager le matériau. Pour une sécurité optimale, une fois la cheville à bascule placée dans le forage, une douille blanche renforcée en fibre de verre s’insère également dans l’entrée du trou pour offrir une capacité de charges de cisaillement encore plus élevée. Compacte, elle est facile à mettre en œuvre même dans des cavités étroites et isolées (≥ 50 mm) et bénéficie d’un diamètre de perçage réduit (10 mm).DuoBlade : Compacte, cette cheville autoforeuse convient pour tous les travaux d’agencement intérieur, les applications légères : pose de tableaux, luminaires, détecteurs de fumée, stores… dans des plaques de plâtre simples, doubles couches et permet même la fixation sans perçage dans les plaques haute résistance. La partie rouge en polyéthylène (PE) offre une sécurité supplémentaire au corps de base en nylon gris de haute qualité fischer. Elle assure l’effet d’expansion, lors du vissage de la vis, pour supporter des valeurs de charge élevées. La pointe en métal autoforeuse, dotée de trois lames tranchantes, assure un perçage aisé, très précis et propre sans endommager le support. Légèrement inclinée, elle permet de guider facilement la cheville lors d’un montage dans un matériau de faible épaisseur. Les ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le support lors de l’installation ou de l’éventuel démontage des éléments à fixer. Ils augmentent également la capacité de charges en fixations verticales et optimisent la répartition des charges.Le corps en nylon de la cheville dispose d’un pas de filetage autotaraudeur tranchant pour une bonne prise et un verrouillage optimal de la cheville. La collerette plate permet une mise en œuvre en attente ou traversante.La DUOBLADE offre un confort lors de la mise en œuvre avec un couple de serrage relativement faible qui augmente de manière importante à la fin du processus de vissage (blocage). L’utilisateur ressent alors que la cheville « tire » et la sensation de blocage, c’est le « feel good factor ».La gamme DUOLINE va continuer de se développer et s’enrichir d’une nouvelle référence à la fin de l’année.La gamme GreenLine. Cette gamme est le parfait exemple de la capacité d’innovation de fischer et de sa volonté d’apporter des solutions toujours performantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Elle est la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables. Les produits GreenLine offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. De qualité allemande, ils sont fabriqués avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. La gamme se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : la cheville universelle UX Green, la cheville à expansion SX Green, la cheville pour plaques de plâtre GK Green, la cheville à frapper N Green, la fixation dans matériaux isolants FID Green, la cheville pour béton cellulaire GB Green et la résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T.Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. L’huile de ricin est ici utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles. Les chevilles GreenLine ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé.Quant à la résine FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques.Sûre, cette résine bi-composant est adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit). Classée A+, elle peut être utilisée en intérieur et détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré.Et parce que limiter l’impact de ses produits sur l’environnement est important pour fischer, l’entreprise entend compléter cette gamme écoresponsable avec de nouvelles références qui seront commercialisées à la fin de l’année.Le foret creux aspirant FHD. Accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit impérativement être évitée, il offre des chantiers plus propres et sains, et limite les poussières dans l’air. Les trous forés sont conformes aux homologations dans le béton et béton armé, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire. Les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton. La tête du foret dispose d’une pointe de centrage et de 2 trous d’aspiration/d’évacuation des poussières, qui garantissent l’extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques et il est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Enfin, il s’utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.L’aspirateur universel eau et poussières FVC 35 M. Avec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, cet aspirateur de chantier associé au foret creux aspirant FHD, contribue à offrir un environnement de travail propre et sain. Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, il collecte les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret aspirant. Doté d'un puissant moteur, il offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. Gamme de vis à béton Ultracut. Cette gamme complète reflète également la capacité d’innovation de fischer. Elle s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : la construction métallique, la construction bois et les assemblages bois/béton, les installations temporaires de chantiers, sanitaire, chauffage, électricité… La vis à béton Ultracut dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage, assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal. Ajustable, l’Ultracut peut être dévissée au maximum 2 fois et est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option).Pratique, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Dans la gamme, la vis à béton Ultracut FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, avec une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Par ailleurs, cette vis à béton répond aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2.Les Clés à choc sans-fil FSS 18V. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS permet aux utilisateurs de passer d’un outil à l’autre. Robuste et très résistante, les clés à choc fischer sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimale des outils. La FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple est réglable en 12 positions. La FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes.Une gamme de vis à bois Power-Fast II. Plus techniques, ces vis ont une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides. Leur revêtement est plus respectueux de l’environnement (zingué blanc sans chrome VI (Cr3)) et leur géométrie spéciale font qu’elles sont compatibles avec les chevilles nylon. Elles disposent du marquage CE et bénéficient de l’Évaluation Technique Européenne (ETE). L’empreinte de la tête de vis est profonde et les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage, aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage. Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser. Elles sont disponibles en tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total.Goujon d'ancrage FNB II HDG : Ce goujon fischer permet des montages traversants ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120.Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG en acier galvanisé est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois… Son long filetage autorise des fixations déportées.Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. Les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications.Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau et quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Toutes ces innovations sont issues d’une volonté constante de comprendre les besoins des clients et d’apporter les meilleures solutions en termes de qualité, de fiabilité, de sécurité, de performances et de respect de l’environnement. La célébration des « 60 ans d’innovations » de fischer France est l’occasion pour son Président Jean-Marc Berg de présenter à l’ensemble de ses collaborateurs français, les axes de développement pour l’avenir.
Il y a 3 ans et 291 jours

Armor solar power films solarise du verre de sécurité pour générer de l'énergie solaire grâce à des façades en verre

Mis au point par ARMOR solar power films, le film photovoltaïque organique (OPV) ASCA® s’intègre rapidement, facilement et de manière flexible dans n'importe quel format de verre et de façade. Outre les composants OPV, ARMOR solar power films se charge également de la connectique, du câblage et de la connexion à l'onduleur. L'énergie solaire est injectée dans le réseau public ou consommée directement.Des immeubles générateurs d'énergieLe verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH (situé à Bretten, près de Karlsruhe) propose depuis cet été à ses clients internationaux du BTP des modules de verre transparent capables de générer de l’énergie. Si les balustrades sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l’extérieur, garantissant ainsi l'intimité des résidents. L'énergie solaire est produite par des cellules ASCA® à base de polymères organiques, qu'ARMOR solar power films applique en couches très fines sur films minces à l'aide d'un procédé d'enduction spécifique.« Avec les balustrades en verre, ARMOR solar power films vient apporter une solution inédite à l’offre de façades existante. Pour la première fois, le verre de sécurité appliqué sur les immeubles de grande dimension peut également générer de l'énergie. Les modules ASCA® s’adaptent parfaitement aux contraintes des façades d’immeubles grâce à leurs propriétés visuelles sur-mesure et techniques les rendant efficaces même en zones partiellement ombragées » déclare Martin Sulzer, Responsable Technico-Commercial chez BGT.« Avec les balustrades en verre, ARMOR solar power films vient apporter une solution inédite à l’offre de façades existante. Pour la première fois, le verre de sécurité appliqué sur les immeubles de grande dimension peut également générer de l'énergie. Les modules ASCA® s’adaptent parfaitement aux contraintes des façades d’immeubles grâce à leurs propriétés visuelles sur-mesure et techniques les rendant efficaces même en zones partiellement ombragées » déclare Martin Sulzer, Responsable Technico-Commercial chez BGT.Contrairement aux modules photovoltaïques cristallins classiques, le film ASCA® est souple, flexible, transparent et sur mesure. Il existe en bleu, vert, gris ou rouge. « Nous pouvons produire n'importe quelle forme, dans n’importe quelles dimensions et ainsi répondre aux besoins des professionnels de l'architecture et du design », explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development & Management des Projets chez ARMOR solar power films.Premier projet dans l’immobilierUne fois le design établi, le système peut être planifié en une dizaine de jours. Les premières balustrades en verre intégrant le film ASCA® ont été mises en service en mai dans des copropriétés à Möhringen, une des municipalités de Stuttgart.« Nous sommes heureux de pouvoir montrer les performances de nos balustrades avec ce projet. Cela prouve que notre technologie fonctionne aussi très bien pour des projets immobiliers », conclut Hermann Issa.
Il y a 3 ans et 305 jours

Soil Pick : Sécurité, Confort et Productivité

Remplaçant la pioche traditionnelle, le Soil Pick creuse en envoyant de l’air comprimé à la vitesse Mach 2. Le risque d'endommager des canalisations ainsi que des réseaux enfouis est complément supprimé. La pioche à air élimine également le risque d’électrocution et d’explosion des réseaux cachés grâce à ses matériaux isolants. Les avantages produits : Produit fabriqué dans un matériau spécial en polymère ayant une isolation électrique allant jusqu’à 40.000 V,Poignée thermiquement isolée du flux d’air ne chauffant pas la main de l’opérateur,Incassable en période de froid,Buses interchangeables permettant de changer uniquement la buse (selon le compresseur utilisé) et non la pioche tout entière,2 types de buses disponibles afin de s’adapter au mieux à votre environnement et votre utilisation (buse droite et buse à 45°).Léger, seulement 3Kg.
Il y a 3 ans et 360 jours

Kebony annonce sa participation au Forum Bois Construction

N’ayant pas pu se tenir en 2020, la 10e édition du Forum Bois Construction a été reportée à cet été. La marque de bois Kebony, qui utilise un processus de production breveté et respectueux de l’environnement pour améliorer les propriétés des bois résineux en leur conférant les caractéristiques des bois durs tropicaux, fera partie des exposants.Durant trois jours, le Forum accueillera plusieurs milliers de spécialistes, venus du monde entier pour s’informer sur les derniers systèmes constructifs en bois et leurs capacités de mixité avec d’autres matériaux. Conférences et plénières seront l’occasion d’échanger entre professionnels, tandis que cette année apparaît une nouveauté : le samedi sera ouvert au grand public. Une opportunité pour Kebony, qui s’adresse aussi bien aux professionnels du bâtiment et aux architectes qu’aux particuliers qui souhaitent utiliser un bois résistant, stable, élégant, sans entretien et respectueux de l’environnement pour leurs projets de construction.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 3 ans et 361 jours

Pim : « Les propriétés du polyuréthane, un atout pour le secteur de la préfabrication »

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Christophe Ray, dirigeant de Pim : « Le marché du béton représente près de 20 % de notre chiffre d’affaires cette année. ». [©Pim] Au commencement, en 1981, Pim s’est spécialisé dans la fabrication de pièces en polyuréthane, et plus particulièrement, dans les roues et roulettes. Depuis 2012, et l’arrivée de Christophe Ray, dirigeant et repreneur de la société, l’industriel explore différents territoires. Basée à Pusignan, près de Lyon, cette PME rassemble près de 43 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 4 à 5 M€/an. « Nous réalisons 50 % de notre activité à l’export, détaille Christophe Ray. Vers l’Allemagne, la Belgique, les Etats-Unis et vers d’autres pays frontaliers. » L’usine de production se développe sur une superficie couverte de 3 800 m2.  En 2019, Pim a subi un incendie dans son atelier principal. « Nous avons réfléchi à comment nous relancer ? Quelle stratégie adopter ? Ce sinistre a accéléré la prise de décision sur l’investissement vers de nouveaux marchés. » En effet, avec l’arrivée du nouveau dirigeant, Pim se diversifie. Tout en gardant la technique du polyuréthane coulé par gravité à chaud. « C’est un matériau particulier, mais aux très bonnes propriétés mécaniques. » Pim est présent dans différents secteurs. A l’image du monde de la neige, du transfert et de l’industrie. Et depuis l’incendie, l’industriel s’est tourné vers celui du béton.  Une nouvelle opportunité de marché « Nous réalisons des moules complets, des réservations, de l’outillage ou encore des éléments de protection. Pour le béton prêt à l’emploi, nous produisons aussi des buses pour machines à projeter. » Aujourd’hui, ce marché est porteur pour Pim. « Il représente près de 20 % de notre chiffre d’affaires cette année. »  Le polyuréthane présente plusieurs intérêts pour le monde du béton. « Le travail du polyuréthane peut être comparé à la pâtisserie, reprend Christophe Ray. Il faut respecter la recette. En changeant les proportions, nous allons modifier la dureté du matériau. Cela va nous permettre de faire des épaisseurs faibles, mais rigides, ou d’augmenter ou non la résistance à l’abrasion. » Ici, Pim utilise trois composants pour fabriquer sa matière première : une résine, un pré-polymère et  un réactif. Ces ingrédients sont mélangés à chaud.  « Ce matériau dispose d’une bonne résistance à l’abrasion. Par rapport aux solutions en acier, il est plus léger et plus facile à manipuler. Cela permet d’éviter les troubles musculo-squelettiques. Et finalement, le mode de transformation du polyuréthane est très voisin du process de production du béton préfabriqué. Nous savons faire du sur mesure. Des séries de 10 à 100 pièces. » Pim travaille en direct avec les industriels de la préfabrication. « Nous avons une équipe qui se déplace avec un technico-commercial spécialisé dans le béton. » La demande en moule se développe de plus en plus avec des clients, tels que Bonna Sabla, Libaud Préfa, Sebico  ou encore Sobemo. « En ce moment, les moules matricés sont un gros sujet pour nous. Nous mettons l’accent sur ce domaine au vu de la forte demande. Nous avons quelques clients partenaires qui testent nos produits et nous en cherchons d’autres. Nous avons plutôt orienté nos recherches autour des prémurs », détaille en conclusion Christophe Ray. Aujourd’hui, l’activité béton de Pim reste centrée sur la France. Mais l’industriel vise l’export avec, en première ligne, l’Allemagne et le Maroc. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 9 jours

Imerys ouvre une nouvelle usine en Inde

L'usine, qui a nécessité un investissement de 40 millions d'euros, a été mise en service à distance depuis l'Europe grâce à la technologie industrie 4.0, a indiqué le groupe dans un communiqué.Elle servira aussi de centre de distribution de mortiers prêts à l'emploi et de solutions de bentonites (argile plastique) importées "pour le secteur des infrastructures en pleine croissance" (traitement des eaux usées, creusement de tunnels..).Le groupe, qui emploie quelque 800 personnes en Inde sur 16 sites industriels et 8 bureaux commerciaux, a recruté 100 personnes, formées localement au fur et à mesure de la mise en service de cette usine située dans l'état de Andhra Pradesh.Outre les liants à base d'aluminate de calcium, le groupe produit aussi des solutions de spécialité pour les céramiques, les plastiques, les polymères et les produits réfractaires.
Il y a 4 ans et 19 jours

Les informations essentielles sur la peinture industrielle

La plupart des objets ou des infrastructures que l’on rencontre dans la vie courante sont couverts par différents types de revêtements, dont la peinture. Pour le cas de cette dernière, il existe plusieurs applications possibles. Cependant, on ne retrouvera pas les mêmes variétés sur les murs d’une maison ou pour envelopper la chaudière d’une usine par exemple. C’est pour cela qu’il faut savoir faire la différence entre revêtement normal et revêtement industriel. Ce dernier possède beaucoup plus de spécificités. Caractéristiques et usages de la peinture industrielle Techniquement, la peinture industrielle est un produit de revêtement qui sert à couvrir certaines surfaces spécifiques. Elle se présente souvent sous une forme plus ou moins liquide ou en pâte selon la variété. Certains types s’exploitent aussi en poudre. Le résultat des applications est souvent une couche protectrice ayant diverses épaisseurs et différentes textures après le processus de séchage ou de durcissement. Les techniques d’application doivent suivre des normes rigoureuses afin de garantir la qualité du travail final. C’est pour cela qu’il est toujours nécessaire de faire appel à une entreprise de peinture industrielle spécialiste en la matière. D’un côté, le but de son utilisation est bien sûr d’ordre décoratif. Outre l’aspect esthétique, la couverture par revêtement répond à des objectifs bien plus larges. En effet, elle sert aussi à conserver ou apporter une certaine protection à la surface des machines ou des objets fabriqués auprès de ces industries justement. La peinture industrielle est donc un bouclier pour faire face aux différentes agressions, pour éviter la corrosion par exemple ou les aléas climatiques. Certaines matières sont également faites pour la restauration, notamment pour combler les fissures et les trous. Selon ces différents objectifs d’usage, la composition de la peinture peut varier (pigments, diluants, additifs, polymères, etc. ). Les différents types de peintures industrielles La classification des peintures industrielles n’est pas simple à définir précisément. Les produits actuellement présents sur le marché sont extrêmement variés avec des compositions de plus en plus élaborées. Cependant, d’un point de vue général, il est possible d’y aller par couche. L’enduit est le premier revêtement en contact avec la surface à recouvrir. C’est souvent ce qui sert aux traitements anticorrosion. On a ensuite la peinture pour la couche intermédiaire qui joue le rôle d’épaississant à la structure. Sa composition diffère légèrement de l’enduit surtout au niveau du rapport pigment/liant. Enfin, la peinture de finition vient fermer la marche. Dans certains cas, on applique du vernis par-dessus. C’est un système pour donner de l’effet brillant ou simplement pour procurer plus de protection. L’autre mode pour catégoriser les peintures industrielles se base plutôt sur les matières composantes. Les revêtements à nitrocelluloses sont les types les plus utilisés et parmi les premiers à être vulgarisés dans le secteur industriel. D’autre part, on a les peintures dites synthétiques ou alkydes. Ces dernières ont été conçues dans le but d’augmenter la performance des produits utilisés en industrie. Enfin, toujours dans la catégorie des peintures les plus utilisées, on a la peinture époxy.
Il y a 4 ans et 24 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 4 ans et 29 jours

AQUAVÉA, UNE GAMME DE PEINTURES À HAUTES PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES.

Depuis toujours, Unikalo est un fabricant engagé qui se démarque par une stratégie d’innovation produit éco-responsable. La dernière génération de peintures AQUAVÉA se révèle emblématique de cette démarche volontariste qui vise à réduire son impact environnemental tout en garantissant aux applicateurs et aux occupants des conditions de vie saines et confortables. Elle répond aux référentiels Breeam®, bénéficie de l’attestation Indoor Air Comfort Gold® et de la certification Ecolabel®. Véritable atout pour toutes les constructions HQE®, AQUAVÉA s’impose comme la solution idéale dans tous les environnements, tels que les hôpitaux, les écoles et autres Etablissements Recevant du Public, où une qualité de l’air irréprochable est exigée. Classée A+, elle a été développée pour se positionner au-delà des exigences en termes de normes : les émissions de COV étant inférieures à 100 μg/m3 trois jours seulement après l’application alors que le décret fixe un seuil à 28 jours. AQUAVÉA, UNE SOLUTION DURABLE ET ESTHÉTIQUE A ces propriétés environnementales s’ajoute une haute qualité de performances. Formulées à base de copolymères vinyliques en phase aqueuse, AQUAVÉA forme un film au fort pouvoir couvrant, lisse et uniforme sur tous supports : béton et dérivés, plaques de plâtre à épiderme cartonné, enduits intérieurs de peinture, enduits hydrauliques, imprimés ou revêtus d’anciennes peintures. En fonction de la fonctionnalité de la pièce, AQUAVÉA se décline en impression et en finition Mat, Velours et Satin. AQUAVÉA Mat Cette peinture offre un résultat très opaque qui adoucit la lumière pour une ambiance feutrée (taux de brillance de 1 à 1,3% sous 85°). >Redoubable en 6 heures, >Rendement : 8 à 10 m2/L/couche. AQUAVÉA Satin Son bel aspect satiné au grain arrondi accroche particulièrement bien la lumière (taux de brillance de 20 à 30% sous 85°). >Redoubable en 6 heures. >Rendement : 9 à 11 m2/L/couche. AQUAVÉA Velours Cette finition donne aux murs un beau rendu soyeux et crée un très léger reflet sur les teintes sombres (taux de brillance de 10 à 14 % sous 85°).>Redoubable en 6 heures,>Rendement : 9 à 11 m2/L/couche. Interior of a modern empty kindergarten. De classe 1, les peintures AQUAVÉA en finition Velours et Satin sont tout particulièrement recommandées dans les locaux tels que les sanitaires, les vestiaires, les cuisines. Elles créent une barrière imperméable à l’humidité et offrent une protection longue durée contre le développement des champignons et moisissures. La richesse chromatique de cette gamme se distingue par des possibilités de personnalisation quasi infinies grâce à un large choix de plus de 110 000 teintes. Leur glisse parfaite assure aux professionnels une application aisée à la brosse, au rouleau ou par pistolet Airless, garantissant un résultat impeccable en 2 couches seulement avec primaire sans aucune trace de reprise. AQUAVÉA est disponible en plusieurs formats 0.75 L, 3L ou 16 L totalement recyclables. En effet, Unikalo a créé un ingénieux système de conditionnement baptisé KOB sur les fûts 16L. Chaque pot est composé d’une poche plastique thermoformée. Après application de la peinture, la poche souillée se retire avec facilité. Compactée, elle réduit le poids des déchets polluants de plus de 90%. La poche laisse un emballage propre, totalement recyclable ou réutilisable. Malin ! Avec AQUAVÉA, Unikalo offre à ses clients une offre performante et normée qui leur donne la possibilité de se positionner sur les chantiers environnementaux les plus exigeants.
Il y a 4 ans et 32 jours

Edma : Des lingettes nettoyantes pour les chantiers

Les lingettes nettoyantes Edma permettent d’accompagner les compagnons dans leurs travaux du quotidien. [©Edma] En complément des outils qu’il propose aux artisans, Edma intègre à son catalogue des lingettes nettoyantes efficaces pour nettoyer les outils des artisans, les surfaces lisses et non poreuses ou les mains. Ces lingettes nettoyantes mains et surfaces se révèlent particulièrement utiles sur un chantier, puisque leur usage ne nécessite aucun rinçage, ni séchage. Et ne laisse aucun résidu. Edma : Contre toutes les salissures En effet, leur fort pouvoir nettoyant se joue des salissures ordinaires, mais aussi des graisses dures (noires). Ainsi que des peintures, adhésifs, huiles, lubrifiants ou bien encore du cambouis. Ou bien des encres, cires, bitume, goudron ou des marques de gazon. D’autres produits fréquemment utilisés sur les chantiers, tels que silicone, polymères, colles, mousses polyuréthane ou résines époxy… ne résistent pas davantage à leur action détergente. Parfumées aux agrumes et sans danger pour l’épiderme, ces lingettes sont classées dans la catégorie “produits cosmétiques” et répondent à toutes les normes de sécurité et de santé publique en vigueur.
Il y a 4 ans et 38 jours

Tec7, spécialiste du collage et de l’étanchéité pour la construction, se développe en France

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Dans de nombreux pays d'Europe, les produits TEC7 se sont rapidement imposés comme des incontournables grâce à leur qualité et à leur capacité à répondre à de multiples applications avec un seul produit.Novatech International, maison mère de TEC7, s’appuie sur sa propre R&D pour développer en permanence de nouveaux produits et créer des solutions innovantes et pratiques. Toutes les formules sont propres à TEC7 et adaptées aux exigences des professionnels sur les chantiers. Les produits TEC7 sont également conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur.Une gamme de produits faciles d’utilisation pour accompagner de façon performante les artisans sur leurs chantiersGrâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3 produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants.Une résistance exceptionnelle...Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs.... Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m2), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm2. Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.... même sous l'eauParfaitement étanches, les polymères MS Hybrides TEC7 peuvent être appliqués mêmesous l’eau. Les solutions TEC7 peuvent ainsi être utilisées en toiture, dans les universmarins, les salles de bains... Leurs qualités et leurs performances ne seront pas affectéeset l’utilisateur pourra travailler sans contrainte logistique particulière.Des services sur-mesureParce que la qualité demande un accompagnement sur-mesure, les équipes de professionnels TEC7 sont sur le terrain et interviennent en 48h en cas de besoin d’assistance. Des tutos sont également proposés sur le site Internet www.tec7.fr et surYoutube. Sur le terrain, des matinées techniques sont organisées chez les distributeurs partout en France pour découvrir les produits avec des conseils personnalisés ! Pour participer aux prochains RDV TEC7 : www.tec7.fr/contactez-nous.
Il y a 4 ans et 47 jours

TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments

Le spécialiste du collage et de l’étanchéité TEC7 lance une nouvelle gamme de produits de haute technologie pour prévenir et réparer quasiment tous les problèmes liés aux infiltrations d’eau dans les bâtiments : WP7 (Wateprotec7). Les dégâts provoqués par une mauvaise étanchéité sont nombreux et il existe aujourd’hui une multitude de produits, mais souvent compliqués à mettre en œuvre. C’est en partant de ce constat que TEC7 a mis au point sa nouvelle gamme professionnelle, capable de traiter une majorité des travaux d’étanchéité des murs et des toitures avec 7 produits de haute qualité. TEC7 propose des solutions simples à utiliser et d’une extrême résistance dans le temps. Grâce, notamment, à ses formulations uniques et à son précédé basé sur la technologie MS polymère Hybride, les produits TEC7 sont très efficaces, même sur les supports difficiles à traiter.   La nouvelle gamme WP7 se décline en 4 produits pour la toiture, résistants à l’eau, mais également aux UV et à la chaleur : ÉTANCHE TOITURE UNIVERSEL (WP7-101) ÉTANCHE DE SUITE (WP7-201) ROOFTAPE (WP7-202) ÉTANCHE TOITURE (WP7-301) WP7 c’est également 3 produits pour les murs et les caves, répondant aux besoins d’isolation,d’assainissement et de traitement des sels des eaux souterraines : HYDROFUGE FAÇADE (WP7-401) STOP HUMIDITÉ MONTANTE (WP7-402) ÉTANCHE MURS+CAVES (WP7-501)
Il y a 4 ans et 59 jours

Le Grand Palais éphémère en bois de l'architecte Wilmotte sur le Champ de mars sera inauguré en juin

Tout près de l'Ecole militaire qui la surplombe de 16 mètres et dans la perspective de la Tour Eiffel au loin, cette structure claire de 10.000 m2, création de l'architecte Jean-Michel Wilmotte, sera inaugurée le 12 juin.En bois d'épicéa, le bâtiment tout en rondeur reproduit en plus petit la forme du Grand Palais désormais fermé de l'autre côté de la Seine. Il le remplace le temps de sa rénovation, soit trois ans.Il fallait inventer une nouvelle nef pour accueillir la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), les défilés Chanel, le Saut Hermès (sauts d'obstacles) et autres évènements de prestige.Couvert d'une toile transparente en polymère, le Grand Palais éphémère, "est comme un ovni qui aurait atterri sur le Champ de Mars. C'est de l'architecture aérienne", résume le président de la Réunion des musées nationaux (RMN)-Grand Palais, Chris Dercon."En août dernier on pouvait encore jouer aux boules ici", rappelle Jean-Michel Wilmotte. Après plusieurs mois de travaux préparatoires, 44 arches monumentales ont pu être assemblées sur place en trois mois.L'entrée se fait par un hall en vitres où se reflète la façade de l'Ecole militaire et qui englobe la statue rénovée du maréchal Joffre. Puis s'ouvre une nef au sol en bitume, à la voûte bleu nuit. Aucun poteau ne rompt l'espace de 51 m de largeur et 33 m de profondeur.Au dessus, six couches d'isolation phonique forment un coussin acoustique.La surface d'exposition est de 9.900 m2. Chaque année une structure additionnelle légère s'ajoutera pour offrir à la FIAC et à Paris Photo jusqu'à 18.000 m2. La jauge sera de 9.000 visiteurs maximum.Le comité d'organisation des JO "Paris 2024" a prévu d'y installer des tribunes à partir de juillet 2023 pour accueillir l'année suivante 8.000 spectateurs pour les épreuves de lutte et de judo.Mais un temps de cohabitation entre l'organisation des JO et les évènements organisés par le Grand Palais est envisagé.Ecoresponsable"On est en train de voir dans quelles conditions nous pourrions rester jusqu'au printemps 2024, échéance à laquelle on s'est engagé à rouvrir le Grand Palais", explique Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la RMN."Ici, la nuit, les arbres, les bâtiments, la Tour Eiffel illuminée rentrent par les baies vitrées. C'est presque comme un palais de vampires!", Chris Dercon se félicite de ce "dialogue avec tout ce qui se passe autour" et aussi "avec tout le passé" de deux siècles de foires industrielles dans ce lieu.Pour sa grande baie vitrée au nord, Wilmotte a choisi la même courbure que l'arrondi sous la Tour Eiffel. Et "la lumière fait la jonction entre Trocadéro, Tour Eiffel, Ecole Militaire. On n'a pas cassé la perspective", souligne-t-il.Le jeu des reflets superpose même de manière nouvelle et étonnante la Tour Eiffel et l'Ecole Militaire.Jean-Michel Wilmotte défend un projet "écoresponsable": "L'épicéa est un bois d'élevage. Dans l'ensemble de la forêt européenne, ce chantier correspond à une heure et demie de pousse, c'est très symbolique!".Le polymère est de source minérale, générant 90% d'énergie en moins dans la fabrication par rapport au verre, et entièrement recyclacle. L'électricité fournie est garantie d'origine 100% renouvelable.En septembre 2024, le démontage commencera. "Le bâtiment a été fait pour être vendu par morceaux", explique l'architecte. Cinq morceaux principaux qui pourront être réutilisées, reconstruits ailleurs. Des SMS de propositions arrivent déjà à l'architecte. Le chantier a été confié à la société GL Events. Son coût est de 40 millions d'euros. Un montant qui sera couvert, assure-t-on, par les revenus de location perçus par la Rmn-Grand Palais et les apports du Comité d'Organisation "Paris 2024".
Il y a 4 ans et 60 jours

Le Look Book Kebony 2021 présente une collection de projets uniques, innovants et durables

Tandis que le monde opère une transition vers les énergies propres, les projets les plus ambitieux adoptent des matériaux durables et respectueux de l’environnement. C’est le cas du bois Kebony, qui permet de contribuer à l’effort mondial vers le « net zéro » et de créer des bâtiments innovants, qui seront à la fois beaux et porteurs d’un héritage vert durable.Le Look Book Kebony 2021 comprend des projets réalisés aux quatre coins du monde… allant de fascinantes cabanes dans l’Arctique à des maisons privées remarquablement conçues au Royaume-Uni, en passant par des hôtels de luxe écologiques dans le sud de l’Europe et au premier restaurant rapide « zéro émission nette » aux États-Unis.James Dodson, fondateur et associé de SPINN Arkitekter, décrit le bois Kebony en ces termes :« Chaque projet est l’occasion de nous rapprocher, nous et nos clients, d’un avenir plus propre, sans émission de carbone. Nous avons constaté que le bois Kebony constitue une alternative brillante et durable aux bois durs traditionnels, détournant ainsi la demande des forêts tropicales menacées et réduisant fortement l’empreinte carbone impliquée dans les constructions. »« Le bois Kebony est un matériau d’avenir qu’il est vital d’adopter dès maintenant, car nous aspirons à un environnement bâti de façon plus verte et plus durable. »Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.Site internet Kebony : https://kebony.com/fr?redirect=0
Il y a 4 ans et 79 jours

Tomra Sorting Recycling et Stadler UK ont été retenus pour le recyclage des déchets de chantiers

Ayant déjà travaillé sur plusieurs projets dans le monde, STADLER et TOMRA ont planché ensemble dès le début pour s'assurer que les installations et les équipements répondraient aux exigences spécifiques de VIRIDOR.Avec sa nouvelle usine, VIRIDOR a pu passer sa capacité de 65.000 tonnes/an à 75.000 tonnes/an (soit 17 tonnes/heure). L'usine fonctionne à pleine capacité. La qualité de la production a été considérablement améliorée grâce aux nouveaux équipements TOMRA.Les matériaux traités arrivent en mélange, ils sont fournis par le Comté de Suffolk. Ils passent d'abord par un process de séparation mécanique, comprenant un tambour de dosage, un séparateur balistique STADLER PPK, un tambour de criblage, des séparateurs balistiques STADLER STT 2000, des aimants overband et des séparateurs à courants de Foucault. Après cette étape de séparation mécanique, vient l'étape de séparation par air, puis le tri avec les capteurs optiques, les machines TOMRA AUTOSORT® tout nouvellement installées.Auparavant, trois trieurs optiques TOMRA étaient déjà en place. Ils ont été remplacés par 11 nouvelles unités TOMRA AUTOSORT®. Sauf une, relativement récente (4 ans), qui a juste nécessité une mise à jour logicielle.Les lignes de production ont été programmées pour séparer les fibres en mélange (matières de type carton, papier en mélange, journaux et brochures) et trier les plastiques par type de polymère (PET, HDPE, plastiques durs, films, pots, bacs et plateau...).Le système AUTOSORT® inclut les toutes dernières technologies de TOMRA pour offrir une précision avancée des tâches de tri complexes à cadence élevée. AUTOSORT® apporte une précision constante pour toutes les fractions de matériaux ciblés, même au sein de flux complexes, là où les technologies conventionnelles sont généralement mises en échec.Le résultat du tri est soumis à un contrôle qualité final avant d'être mis en balles prêtes à être transportées vers les clients finaux basés au Royaume-Uni. Les rebuts sont envoyés à l'incinération, ou en décharge.Grâce à la mise en place de ce nouvel équipement, VIRIDOR bénéficie d'avantages opérationnels tangibles :Augmentation du débit (10.000 tonnes supplémentaires par an)Pureté des fractions obtenues. A titre d'exemple, on obtient un taux quasi parfait, à 98,5%, sur les journaux et les brochures, et à 95% sur les polymères, tels que le PET, le PEHD et les plastiques mixtesGains de rentabilité, résultant du fonctionnement à pleine capacité de l'usineRéduction du risque d'arrêt des installationsFlexibilité de la production, permettant de s'adapter aux évolutions du marché, et des flux de matériaux entrantsBaisse des coûts, grâce au tri du PET et du PEHD effectué sur place, au lieu d'être envoyé dans une autre usine du groupe comme auparavant.Steven Walsh, Ingénieur Commercial chez TOMRA Sorting Recycling, commente : " Nous avons très bien travaillé avec STADLER sur ce projet, ayant déjà collaboré ensemble tant au niveau national et international. Avant la rénovation, ce site de VIRIDOR ne pouvait trier automatiquement que des plastiques et il dépendait du tri manuel pour le carton et le papier. Aujourd'hui, nous avons l'une des usines les plus automatisées du Royaume-Uni. En intégrant les équipements de TOMRA et son expertise technique, VIRIDOR peut produire des matériaux de qualité supérieure prêts à être réintégrés dans l'économie circulaire".Benjamin Eule, Directeur de STADLER UK Limited, ajoute : " Nous avons géré le projet d'ensemble, de la mise à l'arrêt de l'usine à la fourniture d'une solution clé en main plus moderne. Ce fut l'un des délais les plus courts de notre histoire ! Il n'aura fallu que trois mois entre la discussion initiale et la signature des contrats, puis 5 mois encore pour démarrer le projet sur site. En deux semaines de mise à l'arrêt, nous avons tout refait à neuf, à l'exception d'une des trieuses optiques de TOMRA sur laquelle a simplement été téléchargé la dernière version du logiciel. Le projet – y compris la démolition des anciens équipements – a pris 80 jours au total. Nous avons installé une nouvelle charpente métallique, des convoyeurs et tous les composants électriques nécessaires au processus. Nous avons également géré les processus de mise en service. "Derek Edwards, directeur de VIRIDOR RECYCLING, a déclaré : " C'est de loin l'investissement le plus important réalisé sur un site de traitement des déchets de chantiers, en Angleterre, ces dernières années. VIRIDOR se concentre sur le développement d'opportunités pour réintroduire des matériaux issus du recyclage dans le circuit productif. Nous considérons les déchets comme une ressource et, grâce à l'engagement de Suffolk en faveur du recyclage, nous sommes bien placés pour tirer le meilleur parti du recyclage des déchets du Comté du Sufolk, et pour vendre ces matériaux aux clients finaux basés au Royaume-Uni. Le plan d'investissement visait à augmenter la capacité de l'usine, mais aussi à adapter la qualité aux exigences du marché. L'usine dispose des mêmes matières premières qu'auparavant, mais peut désormais traiter 10 000 tonnes de plus par an. Nous sommes ravis de ses performances. "
Il y a 4 ans et 80 jours

Table ronde Archistorm Kebony sur les essences de bois le 15 avril

Les tables rondes en ligne « Zoom sur… » sont l’occasion pour la revue Archistorm d’ouvrir un espace de réflexion et d’échange sur les métiers d’art, les savoir-faire artisanaux, et les entreprises qui développent des matériaux innovants pour les projets des architectes. Ces moments s’adaptent à la conjoncture actuelle et aux nouvelles manières de se rencontrer puisqu’ils se déroulent sur la plateforme Zoom. Chaque session, d’une durée d’environ 45 minutes, se déroule en compagnie d’une journaliste Archistorm qui anime la conversation et répond aux questions des participants.Le jeudi 15 avril, de 9h45 à 10h30, Olivier Loheac représentera Kebony autour d’une table ronde intitulée « Zoom sur les essences de bois ». Le bois développé par la marque norvégienne illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles, tandis que son dégradé de nuances et ses qualités durables et écoresponsables ouvrent de nouvelles perspectives aux architectes. Ce rendez-vous informatif et inspirant se tiendra dans le cadre de la 7e édition des Rendez-vous de la matière + fair(e).Le nombre de places étant limité, Archistorm et Kebony invitent les participants à s’inscrire au plus vite : ma.lincoln@bookstorming.com // 06 24 70 81 79.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 81 jours

TEC7 propose son catalogue de produits pour les professionnels

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Les produits TEC7 sont conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur. Grâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3  produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants. Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs…. Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m²), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm². Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.
Il y a 4 ans et 81 jours

Master Builders Solutions France : Et le nouveau MasterSuna devient plastifiant

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le MasterSuma SBS 4131 est le premier plastifiant réducteur d’eau pour bétons formulés avec des sables argileux. [©Master Builders Solutions] Dès lors qu’ils contiennent certains types d’argiles (dont l’argile gonflante), les sables deviennent inaptes à la production de bétons. De fait, les carriers peuvent se retrouver avec des stocks importants de matières premières inutilisables, alors même que le pays manque de ressources… C’est pour permettre de valoriser ces matériaux que Master Builders Solutions France (MBS) a lancé, il y a déjà quelques années, le MasterSuna SBS 3890. « Il s’agissait d’un ajout destiné à fonctionner en synergie avec un plastifiant ou un superplastifiant », rappelle Christophe Landry, directeur technique adjuvants de MBS France. Et de poursuivre :« Les argiles gonflantes présentent dans le sable captent de manière préférentielle les polymères du MasterSuna SBS 3890, permettant au plastifiant ou au superplastifiant de faire son travail sans être neutralisé ».  En d’autres termes, le MasterSuna SBS 3890 fait office de produit sacrificiel. Toutefois, cette approche a montré quelques limites d’utilisation, car l’ajout est sensible à la concentration d’argile. Il faut donc veiller à bien ajuster son dosage.  Si le MasterSuna SBS 3890 poursuit son existence dans l’offre de MBS France, l’industriel vient demettre sur le marché une toute nouvelle génération MasterSuna SBS 4131.« Plus qu’une simple évolution, il est question en réalité d’un produit totalement inédit », reprend Christophe Landry.  Peu sensible à l’action électro-statique des argiles Changement majeur : le nouveau MasterSuna SBS 4131 entrant dans le concept MasterSuna Sand Blocker Solutions n’est pas un ajout, mais un adjuvant, mono-composant, qui plus est. « Il entre dans la famille des plastifiants réducteurs d’eau. ». Son secret ne peut être vu que sous le microscope. « Le “4131” intègre un nouveau polymère dont les terminaisons sont très peu sensibles à l’action électro-statique des argiles,explique Christophe Landry. Ainsi, l’adjuvant n’est plus adsorbé par ces argiles, mais par le ciment, comme il se doit». Ainsi, en présence de sables argileux – dans les limites autorisées par les normes NF EN 12-620 et NF P 18-545 -, le MasterSuna SBS 4131 s’acquitteseul de la mission de plastifiant qui lui a été attribuée. « Produit mono-composant, il peut aussi être utilisé en synergie avec d’autres adjuvants, tels des superplastifiants traditionnels, des retardateurs de prise ou encore des entraîneurs d’air ». Au quotidien, son utilisation ne se distingue pas de ses congénères. On reste sur des plages de dosages classiques comprises entre 0,3 et 1,2 % de la masse de ciment. « Le nouveau MasterSuna SBS 4131 permet de garantir des formulations robustes pour des bétons réalisés avec des sables argileux », conclut Christophe Landry.  Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 82 jours

Argeco Développement : Métaflash-HP, la carte “performances et durabilité” pour les bétons

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Métaflash-HP d’Argeco Développement est une addition minérale destinée à la formulation de bétons à hautes performances et haute durabilité. [©Argeco Développement] Jusqu’à présent, Argeco Développement proposait cinq métakaolins flash différents à son catalogue. Aux additions historiques que sont l’Argicem (classique) et l’Argicem Blanc sont venus s’ajouter les Géoflash S, P et R, dont les usages sont dévolus à la formulation de géopolymères et autres liants alcali-activés. Aujourd’hui, c’est au tour du Métaflash-HP d’enrichir l’offre des métakaolins orientés bétons. Le nouveau venu est un métakaolin flash conforme à la norme NF P18-513. Il est utilisable dans les bétons devant respecter les spécifications de la norme NF EN 206/CN. Comme la plupart des additions minérales, le Métaflash-HP sera employé en substitution aux ciments CEM I ou CEM II/A, avec des dosages allant de 5 à 10 % et de manière exceptionnelle au-delà, ceci en fonction des niveaux de résistance ou durabilité recherchés.  Les bétons courants étant couverts par les métakaolins flash plus conventionnels Argicem ou Argicem Blanc, leMétaflash-HP cible en priorité les bétons à hautes ou très hautes performances. Tout comme ceux, de très haute durabilité. C’est même là sa caractéristique d’usage prioritaire. Une alternative technique à la fumée de silice « A ce titre, Métaflash-HP permet de rivaliser avec une autre ultrafine historique : la fumée de silice, à même niveau de dosage dans le mélange,souligne Raphaël Bucher, ingénieur R&D chez Argeco Développement. Et d’expliquer : « Pour répondre aux spécifications exigeantes des bétons très hautes performances et/ou de très haute durabilité, la fumée de silice est l’un des moyens plébiscités par les donneurs d’ordres et les acteurs du génie civil. En effet, elle permet de réduire la diffusion des chlorures et améliore le comportement au fluage des bétons. Néanmoins, son coût élevé et sa délicate manipulation en font un constituant plus difficile à employer que les autres matériaux couramment utilisés dans la formulation de béton ».  Le métakaolin flash ayant des propriétés assez proches de celles des fumées de silice, Argeco Développement a souhaité parfaireson offre avec un produit équivalent au plan technique. C’est ainsi et pour ce faire qu’est né Métaflash-HP.« Notre nouveau métakaolin flash est un outil performant pour répondre aux cahiers des charges encore réservés à la seule fumée de silice. A savoir, le faible coefficient de diffusion des chlorures et surtout la baisse de la déformation de fluage », reprend Raphaël Bucher. En effet, pour permettre aux bétons d’atteindre de hauts niveaux de résistance comme de durabilité, plusieurs critères sont essentiels : performances mécaniques, coefficient de diffusion des ions chlorures et fluage.  Une empreinte carbone réduite Ainsi, le coefficient de diffusion permet de simuler une cinétique de propagation des ions chlorures à travers le béton. Plus ce coefficient est faible, moins le béton sera sensible au risque de dépassivation des aciers d’armature.  C’est-à-dire au risque de voir se déclencher une action d’oxydation de l’acier (rouille) qui peut conduire à la ruine du béton. Le fluage du béton correspond à sa déformation propre sous une charge constante et permanente. L’objectif recherché est de minimiser autant que possible cette déformation. D’autant plus que le niveau de fluage est nécessaire pour qualifier les bétons employés dans les ouvrages de grandes hauteurs et/ou certains ouvrages précontraints. Dernier argument positif et non des moindres pour le Métaflash-HP : une empreinte carbone réduite. Compte tenu de son process de production (séjour de quelques secondes dans un calcinateur, à une température de 750 °C au maximum), le nouveau venu génère moins de 250 kg éq CO2/t. Toujours quelques kilogrammes de carbone économisés, en comparaison au ciment ou à la fumée de silice auquel ce métakaolin flash peut se substituer.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 95 jours

Pollution plastique : un rapport pointe la nécessité d'une démarche de rupture

Face au constat préoccupant qu’elle dresse, elle présente une série de recommandations, posant en premier lieu les conditions d’une utilisation et d’une production raisonnées de ces polymères, devenus incontournables dans bien des domaines. Elle appelle notamment politiques, industriels et économistes à s’engager conjointement dans une démarche de rupture pour permettre d’intégrer la filière plastique dans les principes d’une économie circulaire. Mais elle insiste également sur la nécessité de développer des programmes de recherche ambitieux, afin de mieux comprendre le devenir des déchets plastiques et leur impact sur le vivant. Avec leurs multiples propriétés (légèreté, résistance mécanique et chimique, rigidité, souplesse ou élasticité), les plastiques sont devenus en l’espace de quelques décennies des matériaux incontournables, tant dans le secteur industriel que pour les usages de la vie domestique. En témoigne leur production mondiale qui ne cesse de croître, passant de 1 million de tonnes par an en 1950 à plus de 350 millions de tonnes par an aujourd’hui. Pourtant, issus d’une matière première non renouvelable, difficiles à recycler et à digérer par les micro-organismes, ces plastiques sont aujourd’hui reconnus comme source de pollution pour l’environnement. Ils affectent la totalité des enveloppes superficielles de la planète – océans, eaux douces, continents et atmosphère – jusqu’aux régions les plus reculées. Leur impact toxicologique sur les êtres vivants, bien qu’encore mal documenté, constitue une préoccupation croissante. Face à ce constat, qu’elle détaille dans son rapport, l’­­Académie des sciences s’inquiète de ce recours massif, et recommande une consommation raisonnée accompagnée d'une production adaptée des plastiques. Elle formule ainsi une série de recommandations, visant tous niveaux de la chaine production-utilisation de la filière plastique. Ainsi, outre l’indispensable tri sélectif à l’échelle individuelle et l’information des citoyens qui doit l’accompagner, l’Académie insiste sur les efforts à consentir de la part des acteurs industriels, pour repenser de manière radicale la production des plastiques et réduire la pollution à la source. Cette démarche doit nécessairement s’inscrire dans une action commune impliquant également les politiques et les économistes. Il s’agit notamment de remplacer les plastiques de commodité – un vrai défi car ils sont plus stables et moins chers à fabriquer – , de prendre en compte le recyclage des plastiques dès leur conception, en prévoyant un marquage facilitant le tri, de lutter contre l’obsolescence programmée, de favoriser les plastiques recyclables en instaurant des taxes sur le principe polleur-payeur et, de manière générale, de réduire leur production, que ce soit en proscrivant le recours à des polymères ou des adjuvants inutiles (notamment pour la fabrication des plastiques colorés), en arrêtant la fabrication de petits objets lorsque des produits de substitution existent, ou en banissant le suremballage. L’Académie souligne en outre que la transition de la filière plastique vers une nécessaire économie circulaire doit s’accompagner d’une compréhension précise du devenir des déchets plastiques et de leur impact sur la santé et l’environnement. Elle préconise le développement d’un programme ambitieux de recherche fondamentale et appliquée à l’échelle mondiale, au sein duquel la recherche française pourrait tenir un rôle moteur. Des études sur la chimie des polymères devraient par exempe permettre la mise au point de produits et méthodes garantissant un meilleur recyclage. En matière d’écologie, l’Académie souligne qu’il est nécessaire de mieux documenter le cycle biogéochimique global des déchets plastiques, et en particulier les phénomènes de fragmentation et de dégradation de ces déchets mal gérés menant à la production de micro et nanodébris qui se retrouvent à terme par dizaines de millions de tonnes dans les océans. Enfin, sur le plan sanitaire, de nouvelles recherches doivent être entreprise pour évaluer l’impact des déchets plastiques sur les écosystèmes et les êtres vivants, en approfondissant les études qui, jusqu’à présent, ne sont encore que très insuffisantes. Pour télécharger le rapport de l'Académie des sciences : cliquez ici
Il y a 4 ans et 113 jours

Début de carrière sportive pour des attelles écologiques développées pour les hôpitaux

Matériau biodégradable et léger constitué de bois et de biopolymères, le Woodcast avait pour objectif initial de remplacer les plâtres traditionnellement utilisés dans les hôpitaux. Conçu par l’entreprise technologique finlandaise Onbone, ce matériau s’est avéré si polyvalent qu’il est désormais utilisé dans une gamme étendue de secteurs, parmi lesquels le sport. Les blessures en tout genre sont monnaie courante dans le sport. On peut souvent les traiter sur place en se servant de simples supports de différents types. L’ennui, c’est que ces supports sont rigides, souvent inconfortables et pas très respectueux de l’environnement. Le Woodcast offre une méthode pratique de fabrication de supports biodégradables, confortables et tellement fins qu’ils peuvent même être portés dans les chaussures. « Il suffit d’un sèche-cheveux ou d’un pistolet thermique pour façonner l’attelle de manière à lui donner la forme adéquate pour qu’elle soutienne de manière optimale la zone blessée ou vulnérable, explique Jimmy Takki, P-DG d’Onbone. Les attelles en Woodcast sont légères et compactes, ce qui signifie que les équipes médicales les ont à portée de main, où qu’elles accompagnent les sportifs en compétition ou en entraînement dans le monde. Il suffit de réchauffer le matériau pour le retirer ou le remodeler facilement. » Un impact environnemental réduit Pour accélérer le développement de solutions sportives avec le Woodcast, Onbone s’est associé au Comité olympique de Finlande et à son équipe d’athlètes, médecins, physiothérapeutes et entraîneurs. « Avec le Woodcast, non seulement on immobilise et on protège les os cassés ou doigts victimes d’entorses, mais en plus on protège contre les lésions, précise Jimmy Takki. Les athlètes peuvent éviter bon nombre de blessures en portant des supports légers individuellement façonnés et ayant la dose de rigidité adéquate. Il existe de nombreux produits concurrents de ce type, mais rares sont ceux qui peuvent être façonnés de manière à apporter le degré de support idéal ou qui offrent une gamme aussi étendue de possibilités d’utilisation que le Woodcast. En outre, grâce à sa composition en bois et biopolymères, le Woodcast est également respectueux de l’environnement. » Onbone a déjà développé un nouveau type d’attelles pour poignet et cheville, mais ce matériau peut être utilisé pour bien d’autres applications de soutien dans le secteur sportif. « Pour améliorer ma technique de natation, j’ai récemment reçu une paire de plaquettes en Woodcast coupées au laser, explique Kerkko Visuri, chef du service numérique chez Onbone. Grâce à ce matériau si facile à façonner, j’ai des plaquettes parfaitement adaptées à mes mains. » Mise au banc d’essai aux Jeux olympiques Le Woodcast peut aussi être utilisé dans l’eau, ce qui en fait un matériau intéressant dans de nombreuses disciplines sportives pratiquées en extérieur. C’est aussi la raison pour laquelle le Comité olympique de Finlande est devenu un partenaire clé d’Onbone pour le développement produit de nouveaux supports sportifs. « Cette coopération va permettre de couvrir une gamme étendue de besoins dans différentes disciplines, explique Jimmy Takki. Nos attelles et supports chauffants seront aussi à la disposition de l’équipe finlandaise lors des prochains Jeux olympiques à Tokyo et à Pékin. » Pour le Comité olympique, l’objectif de cette coopération avec Onbone est d’améliorer la sécurité de l’ensemble des athlètes. « Nous soutenons tout ce qui peut éviter les blessures sportives et contribuer à les traiter rapidement le cas échéant, explique Ville Köngäs, directeur marketing du Comité olympique de Finlande. L’expertise dont jouit Onbone, ses produits et sa technologie en font le partenaire idéal. Les avantages du Woodcast en matière d’environnement sont aussi importants pour nous, car nous voulons réduire l’impact environnemental du sport. » https://vimeo.com/519958655/02c7d3b9bb  Onbone Onbone Oy a été fondé en 2008 par deux chercheurs de l’Université d’Helsinki. Deux ans plus tard, le Woodcast Splint faisait son entrée dans les blocs opératoires en Finlande. Ce matériau est un mélange propre de bois et de polymères biodégradables auxquels on peut appliquer différents degrés de robustesse et d’autres propriétés suivant les applications visées. Depuis 2010, la gamme de produits s’est étendue pour couvrir de nombreux aspects d’immobilisation, stabilisation et protection non seulement dans les soins médicaux, mais aussi dans d’autres secteurs comme le sport et la médecine vétérinaire.   Contacts : Jimmy Takki, P-DG Tél. : +358 50 575 7337 E-mail : jimmy.takki@onbone.com www.onbone.com
Il y a 4 ans et 121 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.