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Résultats de recherche pour prescription

(512 résultats)
Il y a 2 ans et 0 jours

Livre blanc de l'AICB : Matériaux biosourcés et confort d'été, vers une amélioration des calculateurs RE2020

L’Association des Industriels de la Construction Biosourcée (AICB) publie le livre blanc « Confort d’été : l’atout des biosourcés », dédié aux professionnels de la maîtrise d’œuvre et de la prescription. Son objectif : présenter les performances des matériaux biosourcés pour le confort d’été et ouvrir le débat sur les limites des calculateurs RE2020.
Il y a 2 ans et 6 jours

L’AICB publie un livre blanc sur les performances des matériaux biosourcés pour le confort d’été et ouvre le débat sur une amélioration des calculateurs RE2020

L’Association des Industriels de la Construction Biosourcée (AICB) publie le livre blanc « Confort d’été : l’atout des biosourcés », dédié aux professionnels de la maîtrise d’œuvre et de la prescription.
Il y a 2 ans et 8 jours

Ecoscale : l'évaluation environnementale de la circularité du CSTB

Le CSTB a développé une évaluation environnementale de la circularité des produits et des équipements du bâtiment. Son objectif est de mobiliser les industriels en faveur d'une démarche plus vertueuse d'éco-conception et de favoriser la prescription de leurs produits auprès des maîtres d'ouvrage engagés. Ecoscale, évaluation environnementale de la circularité des produits et équipements, est proposée par le CSTB dans le but de massifier et de généraliser les pratiques d'éco-conception. Cette démarche volontaire s'adresse aux fabricants souhaitant objectiver et valoriser la circularité de leurs produits ou équipements, sous réserve que ces derniers disposent d'une FDES/PEP (collective ou individuelle) et présentent des performances techniques minimales. Ce signe de qualité permet également aux maîtres d'ouvrage, maîtres d'œuvre et prescripteurs de simplifier leurs recherches et d'éclairer leurs choix de solutions, qui répondent aux exigences d'éco-conception au travers du développement d'une base de données dédiée. Ecoscale, maillon de l'économie circulaire Changement climatique, pénurie de matières premières, difficultés d'approvisionnement, hausse des coûts de production, limitation des déchets : les acteurs de la construction doivent aujourd'hui faire face à de nouveaux enjeux environnementaux, économiques et réglementaires qui les amènent à repenser leurs modèles industriels pour y intégrer l'économie circulaire, et plus particulièrement l'éco-conception. Ecoscale a ainsi été conçu pour accompagner la filière dans cette dynamique vertueuse. Cette évaluation s'appuie sur de solides bases scientifiques afin de caractériser les performances et les objectiver pour mieux les valoriser sans risques de greenwashing. Un signe de qualité basé sur quatre indicateurs Développé en concertation avec tous les acteurs du secteur de la construction (industriels, acteurs de la conception d'ouvrage, entreprises, bureaux d'études, pouvoirs publics, assureurs, etc.), Ecoscale permet d'évaluer les produits et équipements du bâtiment selon quatre indicateurs, complémentaires à l'impact carbone et couvrant l'intégralité de leur cycle de vie : matières recyclées et renouvelables : évaluation de la quantité de matières recyclées et/ou renouvelables dans le produit ; démontabilité : capacité du produit à être démonté sans endommagement, afin de faciliter son réemploi ou son recyclage ; réemployabilité : capacité du produit à être utilisé à nouveau, à l'issue de son cycle de vie, pour un nouvel usage identique à celui pour lequel il a été conçu (suivant l'indicateur de démontabilité du produit, les conditions de stockage et difficultés de reconditionnement, l'existence d'un guide méthodologique d'évaluation des performances en vue d'un réemploi, etc.) ; recyclabilité : capacité pour le produit d'intégrer une filière de recyclage en fin de vie pour être recyclé (en fonction, notamment, de la présence de substances pouvant faire obstacle au recyclage, l'état de développement de la filière de recyclage concernée, la séparabilité des composants, etc.). L'analyse de ces indicateurs repose sur la caractérisation de 17 critères couvrant les différents efforts que peuvent mettre en place les industriels pour renforcer la circularité de leurs produits et équipements. Pour chacun des indicateurs, caractérisés en fonction de l'usage retenu pour l'évaluation, les produits sont notés de A à E. Les résultats obtenus sont présentés de façon claire et intégrés dans une base de données de référence. Ils sont accessibles via un QR code apposé sur chaque produit évalué, renvoyant directement vers cette base. Pour en savoir plus : Ecoscale sur le site CSTB Évaluation Solutions & Performances - Numéro 12 : « Économie circulaire » Le numéro 12 de Solutions & Performances est consacré à l'économie circulaire. PDF 4.44 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 13 jours

Les lavettes industrielles Mewa, un service de location pratique – Comment une simple lavette optimise les coûts et la durabilité d’une entreprise

Les petites et grandes entreprises de l’industrie ou de l’artisanat sont confrontées à des défis particuliers en matière de réduction des coûts et font face à des prescriptions environnementales toujours plus complexes. Elles misent de plus en plus sur une optimisation des temps de maintenance afin de planifier efficacement les arrêts de machines. Dans un […]
Il y a 2 ans et 22 jours

HOPPE à architect@work Marseille

HOPPE France annonce sa participation au salon professionnel et international du monde de la prescription, architect@work à Marseille qui aura lieu les 24 & 25 mai prochain.
Il y a 2 ans et 49 jours

Prescription@batimédia Avril 2023

Le magazine d’information technique sur les produits et services du bâtiment à destination de la prescription. Comme vous avez pu le voir pour notre magazine de Janvier , l’ancien BatiMédia des Prescripteurs a évolué avec une nouvelle maquette plus conviviale et aérée. Le nom évolue également pour insister sur l’importance de la conception au coeur […]
Il y a 2 ans et 82 jours

Hervé Fouquet et Rémi Charrier

Hervé Fouquet et Rémi Charrier L’équipe Projets & Prescription s’étoffe d’un Coordinateur Technique 
 
 C’est sous la direction de dmarp ven 17/03/2023 - 12:06 En savoir plus sur Hervé Fouquet et Rémi Charrier Partager
Il y a 2 ans et 82 jours

Deux nouveaux collaborateurs rejoignent le Groupe Schenker Stores pour soutenir les objectifs de croissance

Le Groupe Schenker Stores accueille deux nouveaux collaborateurs, Hervé Fouquet, nouveau Coordinateur Technique Régional et Rémi Charrier, nouveau Responsable Clientèle Habitat.Tous deux ont rejoint les équipes en réponse aux besoins techniques et commerciaux, dans le cadre du développement du Groupe qui réalise une croissance sereine et maîtrisée. L’équipe Projets & Prescription s’étoffe d’un Coordinateur Technique… Lire la suite Deux nouveaux collaborateurs rejoignent le Groupe Schenker Stores pour soutenir les objectifs de croissance
Il y a 2 ans et 89 jours

Prescription@batimédia de février-mars 2023 vient de paraître

Le magazine d’information technique sur les produits et services du bâtiment à destination de la prescription. Comme vous avez pu le voir pour notre magazine de Janvier , l’ancien BatiMédia des Prescripteurs a évolué avec une nouvelle maquette plus conviviale et aérée. Le nom évolue également pour insister sur l’importance de la conception au coeur […]
Il y a 2 ans et 90 jours

Urbanisme : une charte promoteur annulée par la justice

Une commune n'est pas compétente pour prendre des prescriptions qui relèvent exclusivement du...-Droit de l'urbanisme
Il y a 2 ans et 111 jours

Lorillard Bâtiment s’installe à Rennes 

LORILLARD BÂTIMENT a ouvert sa 7ème agence sur le territoire Ouest, près de Rennes.L’entité n’étant pas présente en Bretagne, alors que le Groupe couvre pratiquement l’ensemble du territoire, il était nécessaire de pallier ce manque. De Caen à Royan, en passant par Nantes, Angers et Rennes, cette 7ème agence permet à la marque de se développer sur la Bretagne et les Pays de la Loire. Laurent ROBERT, nouveau Chef d’Agence C’est Laurent ROBERT, Conducteur de Travaux au sein de l’Agence Ile-de-France/Centre Val-de-Loire, qui est désormais le Chef d’Agence de Lorillard Bâtiment Ouest.Issu d’une formation en charpente métallique, Laurent Robert a toujours évolué au sein du marché de la menuiserie. Cet ancien gérant d’une PME Blésoise spécialisée dans la menuiserie Aluminium (17 ans) a intégré l’entité Lorillard Bâtiment, en juin 2017 en tant que conducteur de travaux et conducteur de travaux principal.Aujourd’hui en charge du développement de cette nouvelle agence, ses missions relèvent, entre autres, du développement de la partie commerciale menuiserie sur la région Bretagne et du contrôle du bon déroulement des chantiers. Bâtir à l’Ouest A court terme, les objectifs de croissance de l’Agence portent sur un permis de construire, en cours, pour l’implantation d’un bâtiment de 150 m²; accolé aux entrepôts de la Menuiserie POUPIN – rachetée par le Groupe Lorillard début 2022 – à Saint-Jacques-de-la-Lande (35). Ce bâtiment accueillera les bureaux et le dépôt qui devraient être emménagés au 1er trimestre 2023.A plus long terme, les objectifs de 2022 briguent un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros et ceux de 2023, 4 millions d’euros, dont 2 millions sont d’ores et déjà en commande. Emergence de chantiers notables Aux côtés de Laurent Robert, un conducteur de travaux oeuvre sur la prescription. En 2023, un chef de chantier sera recruté puis dans les deux années à venir une secrétaire, un dessinateur et un métreur.L’Agence qui s’adresse aux bailleurs sociaux, administrations publiques, promoteurs, maîtres d’ouvrage privés et architectes, a donc déjà signé plusieurs chantiers notamment avec Nantes Métropole (menuiseries en PVC pour des logements sociaux), Rennes Métropole (menuiseries bois et mur rideau en aluminium pour une école), la gendarmerie de Rennes (menuiseries aluminium et PVC).Adossée aux capacités et aux ressources du Groupe Lorillard, l’agence de Rennes bénéficie de moyens industriels éminents pour répondre à des chantiers d’envergure (400 à 500 menuiseries à minima). Un potentiel qui lui permet d’offrir réactivité et rapidité d’exécution ainsi qu’une force de production qui la place en mesure de mettre en conception des volumes importants dans des délais extrêmement courts – à titre d’exemple 2000 châssis en 3 semaines. Dédiée aux chantiers conséquents allant de l’habitat social aux réalisations prestigieuses, en passant par les bâtiments tertiaires (de 300 000 à 5 millions d’euros), LORILLARD BÂTIMENT est désormais structurée autour de 7 agences régionales implantées sur l’ensemble de l’Hexagone (Centre Val-de-Loire / Ile-de-France, Hauts-de-France, Rhône-Alpes, PACA, Occitanie, Nouvelle Aquitaine et Bretagne Pays de la Loire).Aujourd’hui l’entité LORILLARD BÂTIMENT rassemble près de 200 salariés qui ont réalisé en 2022 un chiffre d’affaires de 79 millions d’euros.Avec cette 7ème agence, la marque ambitionne un chiffre d’affaires de près de 83 millions d’euros pour 2023.
Il y a 2 ans et 119 jours

1er chantier réalisé en France avec la nouvelle membrane d'étanchéité auto-adhésive Rubbergard EDPM SA d'Elevate

Cette solution innovante, conjuguant les performances de la membrane traditionnelle à la technologie Secure Bond brevetée, regorge d’atouts sur les chantiers : gain de temps multiplié par 2,5 en moyenne, qualité de mise en œuvre, confort de pose, durabilité...Autant d’avantages qui ont séduit la SARL HABIT-TOIT, spécialisée dans les travaux de couverture et de bardage. Son dirigeant Cyril Lebeury travaillait déjà depuis plusieurs années avec les membranes d’étanchéité ELEVATE (RUBBERCOVER EPDM et RUBBERGARD EPDM). Il a testé et approuvé cette nouvelle version auto-adhésive sur le toit de son propre bâtiment de 750 m2 devant accueillir ses bureaux, son atelier et une zone de stockage à Lessay (50), dans le Parc d’activité de Gaslonde.La mise en œuvre des 750 m2 de nappes RUBBERGARD EPDM SA a été réalisée le 12 octobre dernier par le dirigeant de la SARL HABIT-TOIT. S’agissant du premier chantier français avec cette membrane d’étanchéité EPDM auto-adhésive, trois experts techniques ELEVATE étaient présents ainsi que trois chez SVET, le distributeur agréé de la marque dans l’Ouest, pour les accompagner à chaque étape. En une seule journée, le bâtiment sur charpente bois était ainsi mis hors d’eau.Pour Jean-Luc ROUDAUT, Responsable Technique et Prescription des membranes ELEVATE chez Holcim Solutions and Products : « La formation a été effectuée directement sur le chantier. Les experts techniques d’ELEVATE ont montré une première fois la nouvelle technique de pose. L’entreprise, connaissant déjà bien les systèmes ELEVATE, a très vite pris ses marques. Cette solution auto-adhésive ouvre des possibilités pour les couvreurs, qui font face, comme beaucoup, à une pénurie de main d’œuvre qualifiée. Elle permet de traiter les chantiers plus efficacement tout en garantissant une qualité optimale. »* Depuis le 3 octobre 2022, le nom de la société FIRESTONE BUILDING PRODUCTS a changé pour Holcim Solutions and Products, et la marque de son offre de produits change et devient ELEVATE.Pose simplifiée, confort maximiséUne fois la membrane de 3m de large déroulée et placée au bon endroit sur le toit, en suivant le plan de calepinage, il suffisait aux deux couvreurs de décoller le film protecteur et de maroufler la nappe, repositionnable si besoin. Plus d’application de colle même en liaison, plus de temps d’attente entre la couche sur le produit et celle sur le support et plus d’émanations de solvants ! La colle étant directement intégrée à la membrane EPDM, nul besoin de déplacer des seaux d’adhésifs. Un confort supplémentaire pour le professionnel !Adhérence uniforme et pérenneL’adhésif Secure Bond est appliqué en usine sur toute la membrane RUBBERGARD EPDM SA. Le grammage est identique jusqu’aux extrémités pour une adhérence parfaite. Un gage de sécurité pour l’entreprise et les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, qui ne craignent plus les vents violents. Sur ce chantier, il faisait environ 10°C mais RUBBERGARD EPDM SA peut être installée même si les températures sont négatives (jusqu’à -7°C). Un réel avantage pour les professionnels qui souhaitent pouvoir poser toute l’année. Cette membrane, d’1,5 mm d’épaisseur, conserve les mêmes performances que la version classique. Grâce à une haute résistance à l’ozone, au rayonnement UV et aux températures extrêmes, elle jouit d’une durée de vie de plus de 50 ans.Pour Cyril Lebeury, Dirigeant de la SARL HABIT-TOIT : « Cette solution nouvelle génération constitue un vrai gain de temps sur chantier. La plupart des projets que nous réalisons sont résidentiels mais nous avons parfois du tertiaire ou des toitures de maisons individuelles de plus de 100 m2. Si nous avons un impératif de temps par exemple, on sait qu’on pourra prescrire les yeux fermés ce produit auto-adhésif. Pour le reste, on poursuivra avec la version EPDM classique d’ELEVATE. Cela fait 4 ans qu’on installe cette membrane d’étanchéité et nous en sommes plus que satisfaits. Elle est 3 fois plus légère que le bitume, limitant ainsi le poids en charpente. Elle est également plus facile à travailler et plus pérenne. »Fiche chantierChantier : Construction de bureaux, d’un atelier et d’une zone de stockageMaître d'ouvrage et entreprise de pose :SARL HABIT-TOIT - Zone d’activités de Gaslonde - 50430 – LessayCyril Lebeury, Dirigeant - 06 85 28 26 57 - lebeurycyril@orange.frTaille de l’entreprise : 2 salariésDistributeur agréé des systèmes Elevat :SVET - ZI Le Petit Bourbon - 85170 BellevignyAlexis Raison, Technico-commercial - 02 51 24 52 49 - alexis.raison@svet.frDescriptif du chantier : Construction d’un bâtiment de 750 m2 sur structure bois. Faux plafond avec une isolation laine de verre en intérieur.Pourquoi ces travaux ? Création de ses propres bureaux alors qu’auparavant l’entreprise était dans un bâtiment en location.Produits Elevate : 750 m2 de membranes d’étanchéité auto-adhésives RUBBERGARD EPDM SA (sur support bois - possible également sur panneaux de recouvrement ISOGARD HD 12,7 mm). Gain de temps multiplié par 2,5 en comparaison d’une solution EPDM classiqueAdhérence uniforme pour une qualité de mise en œuvre et une pérennitéConfort de pose : pas de colle, pas d’odeurs...Durabilité de plus de 50 ans de la membrane : anti-ultraviolets et anti-racineépaisseur d’1,5 mm pour une résistance maximale au poinçonnementélasticité de plus de 300% absorbant les mouvements de l’ossature boisnappes d’une largeur de 3 mFormation sur chantierDébut et fin du chantier : Mise en œuvre de l’EPDM le 12 octobre 2022 Début du chantier : Août 2022Fin du chantier : Janvier 2023
Il y a 2 ans et 121 jours

Les ciments bas carbone, privilégiés en Irlande

Le centre de broyage Ecocem de Dunkerque offre une capacité de production de l’ordre de 750 000 t/an de laitier moulu de hauts fourneaux. [©ACPresse] A travers son “Climate Action Plan 2023”, le gouvernement irlandais a fait le choix d’engager les organismes publics du pays à utiliser des ciments à faible teneur en carbone dans leurs projets. « Une décision exemplaire… et reproductible », salue Ecocem dans un communiqué de presse. Et surtout, une première en Europe. A l’origine fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux, Ecocem est très impliqué dans la massification des ciments et bétons bas carbone. A travers la décision du gouvernement irlandais, il voit ainsi son engagement conforté. En effet, cette annonce intervient après la publication de son rapport “Ciment : plus d’ambition pour moins d’émissions”. Cet évènement est aussi en phase avec le lancement de la nouvelle technologie Act, qui doit limiter l’utilisation de clinkers émissifs en carbone. Réduire la teneur en clinker du ciment Le gouvernement irlandais a publié son “Climate Action Plan 2023”. [©Gouvernement d’Irlande] La position officielle du gouvernement irlandais, dans son Climate Action Plan 2023, est de développer les ciments bas carbone. C’est une prise de conscience de l’urgence décisionnaire dans ce domaine. « Ce plan donne un exemple et un modèle à suivre dans les autres pays européens », déclare Conor O’Riain directeur général Europe et France d’Ecocem. Dans le secteur de la construction, ce Plan implique que, désormais, les organismes publics irlandais spécifient des méthodes de construction à faible teneur en carbone avec, en particulier, la réduction de la teneur en clinker du ciment. On parle de “remplacement des matériaux de construction par des produits à teneur en carbone faible ou nulle. Et réduction de la teneur en clinker du ciment lorsque cela est possible”. Lire aussi : Ecocem signe l’Act 1 de la décarbonation des ciments D’ailleurs, le paragraphe dédié à la reformulation de produits précise que : “En réduisant la teneur en clinker du ciment grâce à l’utilisation de nouveaux liants et fillers, nous pouvons réduire l’intensité carbone du ciment sans compromettre son intégrité. Cette action est techniquement réalisable et largement utilisée dans l’Union européenne. L’Irlande doit suivre et le secteur public montrera la voie, en spécifiant ciments et bétons à plus faible teneur en carbone pour les futurs projets de construction”. Soutenir les entreprises du secteur du ciment Remplacer une partie du clinker par du laitier moulu de hauts fourneaux permet de réduire l’empreinte carbone des ciments. [©Ecocem] Au-delà, l’Irlande s’engage à soutenir la recherche et le développement de solutions innovantes dans le secteur des matériaux de construction : « Le gouvernement soutiendra les entreprises du secteur du ciment et des matériaux de construction, engagées à développer de nouveaux matériaux cimentaires, des produits innovants et des technologies plus efficaces », reprend Conor O’Riain. Et Susan Mac Garry, directrice générale Ecocem Ireland, de poursuivre : « La politique publique sera désormais en phase avec la volonté du marché et l’ambition de décarbonation ». Lire aussi : Christian Clergue passe chez Ecocem Ainsi, Ecocem France continue d’informer et d’inciter les décisionnaires français à développer un encadrement nécessaire pour accroître un recours rationnel aux ciments et bétons bas carbone. L’industriel s’engage à travailler en étroite collaboration avec les producteurs de ciments et de bétons pour rendre la technologie aussi largement disponible que possible. Ceci, sur une base économique acceptable. Enfin, Ecocem met sa cellule prescription à disposition des maîtres d’œuvre et maîtres d’ouvrage pour accompagner leurs futurs projets bas carbone. Ecocem impulse une R&D de premier plan, en collaboration avec des universités françaises (comme Toulouse et Saclay). Mais aussi étrangères pour proposer des solutions innovantes. Et reprend la déclaration du Climate Action Plan irlandais : « l’inaction n’est pas une option ! » Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 121 jours

D+H Mechatronic ouvre sa nouvelle filiale en France

Déjà présent sur le marché français depuis de nombreuses années grâce à un réseau performant de distributeurs/installateurs, le groupe D+H a fait le choix de se rapprocher de sa clientèle. Le groupe a repris les activités et le personnel de son plus ancien partenaire, Alu Technologie Services (ATS). D+H France profitera ainsi immédiatement du précieux savoir-faire des collaborateurs d'ATS, renforcera ses liens avec les distributeurs actuels et disposera d'un premier point de stockage en France.D+H cible de nouveaux partenariats stratégiquesLa filiale D+H France va permettre de renforcer la proximité avec le marché français, d'améliorer la satisfaction des besoins des clients et de créer de nouveaux partenariats stratégiques. L'objectif principal demeure le renforcement de sa présence sur l'ensemble du territoire et l'augmentation du volume d'affaires en France. Cette nouvelle filiale permettra également de participer activement à la conception de normes et de prescriptions adaptées au désenfumage. Cette stratégie de proximité s'accompagne par le lancement de nouvelles solutions, conformes aux normes NF S61-938 et NF EN 12101-2 et donc aux besoins spécifiques du marché français.Laurent Lenoble nommé à la tête de D+H FranceLa nouvelle entité est dirigée par Laurent Lenoble, actuellement gérant de D+H BeLux, dont le siège est situé à Pontpierre au Luxembourg. La proximité géographique des deux filiales D+H permettra de créer des synergies entre les deux marchés et les deux entreprises. Laurent Lenoble sera secondé par Joël Ferry au poste de directeur général. Ce dernier mettra à profit sa longue expérience de gérant d'ATS pour le bien de la nouvelle entité. « Notre objectif est de nous rapprocher de nos clients français et d'offrir toute une gamme de services irréprochables, de l'accompagnement de l'avant-projet jusqu'à la mise en service et le service après-vente, partout en France », annonce Laurent Lenoble, Président de D+H France et D+H BeLux.
Il y a 2 ans et 133 jours

Respect de l’environnement, RE 2020 : les menuiseries acier ont des arguments !

Chez Descasystem, l’engagement en faveur de l’environnement n’est pas récent avec un matériau, l’acier, parfaitement en phase avec ces évolutions réglementaires. D’ailleurs, la nouvelle réglementation RE 2020 n’implique pas de bouleversement pour les menuiseries acier Jansen. Descasystem dispose et disposait déjà, en tant que distributeur, des produits compatibles avec ces nouvelles exigences.Pour Laurent Milano, chef des ventes : « l’essentiel est là, les produits existent et cette RE 2020 est une belle opportunité. Elle permet de mettre encore plus en évidence notre savoir-faire en tant que gammiste de produits techniques dans un milieu spécifique qu’est celui de la menuiserie. »Avec un bilan carbone réputé plus neutre, avec cette nouvelle réglementation, les architectes s’orienteront sans doute encore davantage vers l’acier et ses qualités intrinsèques.L’acier de Descasystem répond à la RE 2020Pour le moment, la RE 2020 est destinée à s’appliquer à la construction de bâtiments neufs, elle impactera bientôt les chantiers de rénovations sur lesquels Descasystem est déjà présent. Les menuiseries acier du fabriquant Jansen sont d’ores et déjà armés pour répondre aux exigences de la nouvelle réglementation énergétique.Une isolation thermique renforcée : L’acier des menuiseries Jansen est d’abord un champion de l’isolation thermique. Ainsi, les solutions de la gamme Janisol, Janisol Arte en séries fines ou Janisol HI (Haute Isolation) répondent parfaitement à la réglementation thermique. Les coefficients d’isolation thermique de l’acier sont beaucoup plus performants que ceux de l’aluminium.Une durabilité inégalée : Avant de parler du recyclage de l’acier, Olivier Audigue, Responsable de la Prescription, aime « mettre l’accent sur le fait que l’acier a une durée de vie beaucoup plus longue que les autres matériaux. Avec des portes de bâtiments publics en aluminium, par exemple, on assiste à une détérioration beaucoup plus précoce. Il est alors nécessaire de changer l’équipement. Les portes en acier ont une longévité beaucoup plus importante. On peut également les redresser, les repeindre si cela est nécessaire ». La durabilité de l’acier est bien supérieure à la garantie décennale associée aux menuiseries Jansen.Un matériau 100% recyclable : Les produits acier de la marque Jansen sont dans tous les cas des produits totalement recyclables. Les filières de recyclage de l’acier existent depuis plusieurs dizaines d’années, elles sont très structurées alors que pour l’aluminium, les filières de recyclage sont beaucoup plus récentes. Par ailleurs, l’avantage de l’acier est qu’il peut être recyclé indéfiniment à destination d’autres applications sans changement de caractéristiques mécaniques. En France et en Europe, ce sont 62% des aciers qui sont ainsi recyclés.Une empreinte carbone réduite : Si l’acier dispose d’une empreinte carbone plus faible que celle de l’aluminium, c’est lié d’abord à ses conditions de production. L’acier est beaucoup moins énergivore. Pour Laurent Milano, responsable des ventes Descasystem Jansen, « l’acier est très intéressant, parce que la production est réalisée à l’aide de fours électriques à partir de ferrailles recyclées. On ne se retrouve pas avec des systèmes de coulées impliquant l’utilisation de coke et une forte pollution ». Ensuite, pour produire 1 tonne d’acier, il ne faut qu’1 tonne de fer. En revanche, il ne faut pas moins de 4 tonnes de bauxite pour obtenir 2 tonnes d’alumine, desquelles on extrait 1 tonne l’aluminium. Enfin, quand il faut l’équivalent de 9 mois de consommation d’une personne pour produire l’acier, il en faut 12, soit 30% de plus pour l’aluminium. Pour fabriquer une tonne d’aluminium, il faut aussi 125 millions de litres d’eau, alors qu’il n’en faut pas pour fabriquer l’acier. Il est aussi important d’avoir à l’esprit que la RE 2020 pousses à envisager le bâtiment dans sa globalité. Il faut désormais penser le bâtiment dans son ensemble pour appréhender son empreinte carbone. Avec ses solutions, Descasystem permet aux architectes et aux économistes de ne pas alourdir l’ensemble en termes d’impact écologique. Il est possible de concevoir un bâtiment avec des menuiseries acier qui soit vertueux et qui réponde aux normes actuelles.L’association de parties vitrées plus importantes puisque l’acier bénéficie aussi d’une inertie bien supérieure à celle de l’aluminium, ce qui permet d’offrir des menuiseries beaucoup plus fines et plus grandes, qui consomment donc beaucoup moins de matière. C’est alors aussi la possibilité d’avoir des parties vitrées de plus en plus importantes pour pouvoir bénéficier de la chaleur du rayonnement solaire à l’intérieur de la maison. C’est ce qu’explique Laurent Milano : « L’acier permet de réaliser des profils beaucoup plus fins qu’avec l’aluminium. On peut alors y associer des vitrages plus grands et de laisser rentrer plus de lumière. Nous aurons ainsi des systèmes avec 60 mm de masse-vue alors que l’aluminium sera peut-être à 100 mm. Cela joue sur le clair de vitrage plus important avec l’acier. C’est l’une des orientations de la réglementation RE 2020 ».Que change la RE 2020 pour les menuiseries acier Jansen ?La nouvelle réglementation a finalement peu impacté Descasystem. Les produits existent mais il a été nécessaire d’indiquer plus clairement leur compatibilité avec la RE2020. Lorsque la gamme Janisol a été créée, il y a 30 ans, on ne se posait pas la question du coefficient de transmission thermique. Aujourd’hui, il est indispensable de le justifier pour répondre par exemple à un CCTP (Cahier des clauses techniques particulières). Jansen a donc complètement actualisé sa documentation.Quant aux fiches FDES des produits Jansen, elles ont déjà été rédigées et seront prochainement réactualisées et disponibles pour l’ensemble des acteurs du marché : architectes, économistes de la construction, métalliers…etc. Pour Ludovic Loew, « en prenant en considération l’intégralité du cycle de vie de l’acier, de l’extraction jusqu’au recyclage, dans ces fiches FDES, le matériau présente un bilan carbone nettement inférieur à ses concurrents ».Une démarche ancienne qui fait partie de l’ADN de JansenIl est important, pour Laurent Milano, de rappeler que « Jansen était le premier, il y a plus de 30 ans, à développer un système à rupture de ponts thermiques en acier ». Le berceau de Jansen, c’est la Suisse, un pays très exigeant en matière environnementale. C’est pourquoi l’industriel a toujours été très attentif à la réduction de l’impact écologique de la production de ses profils acier. Un bâtiment de production lui-même est à 0 émission carbone, autosuffisant en termes de consommation d’énergie.Le marché allemand, leader à l’époque, était également très impactant avec une avance sur les aspects réglementaire et écologique. Outre-rhin, il y avait déjà une forte demande pour ses produits acier à rupture de ponts thermiques.Et depuis, l’acier n’a pas cessé d’améliorer ses performances. La dernière évolution importante pour Olivier Audigue, c’est la création de la gamme Janisol HI (high isolation) : « c’est une gamme à très forte isolation thermique, très présente sur le nord de l’Europe et qui se développe de plus en plus en France. C’est la parfaite démonstration de cette évolution de nos profils acier avec un coefficient de transmission thermique de seulement 0,8 W/m²K, inférieur à celui du double vitrage ».Ainsi, selon Laurent Milano, « sur une typologie de menuiserie qui existait il y a 30 ans et celle d’aujourd’hui, on passe d’un coefficient de transmission thermique de 2,7 W/m²K à 1,3 aujourd’hui ». La qualité du matériau reste assez semblable, ce sont les coquilles en acier et les rupteurs de ponts thermiques qui ont évolué. Quant au vitrage associé aux menuiseries, il a lui aussi très largement amélioré ses performances.Une production localeIntérêt majeur également, d’un point de vue environnemental, des menuiseries acier, c’est le caractère local de leur production. Olivier Audigue aime rappeler que « les produits Jansen sont généralement fabriqués par des artisans locaux alors que l’aluminium est lié à de la préfabrication avec des camions qui parcourent la France ou qui viennent de l’étranger. Avec l’acier, on reste encore très artisanal et très local. On ne fait pas circuler les produits sur des milliers de kilomètres à travers l’Europe ». Les profils en acier viennent de Suisse, ils sont ensuite stockés à Lyon avant d’être envoyées aux métalliers qui travaillent localement.Les menuiseries Jansen prêtes à accueillir la nouvelle tendance du triple vitrage !La RE 2020, en recherchant des valeurs de l’ordre de 0,8 W/m²K, tend à imposer de plus en plus la solution du triple vitrage. Pour augmenter les performances du vitrage, on passe de plus en plus souvent par l’augmentation de son épaisseur. Or, les gammes Janisol sont parfaitement adaptées pour intégrer ce type de solution. L’acier offre en effet, selon Laurent Milano, les caractéristiques nécessaires : « Pour rentrer ces vitrages dans les menuiseries, il est indispensable d’avoir des profils de plus en plus profonds. Pour ces produits verriers, nous proposons avec Jansen en termes de cadre des solutions présentant des coefficients de transmission thermique pertinents ». La gamme Janisol HI notamment a été précisément conçue pour intégrer ce triple vitrage.
Il y a 2 ans et 139 jours

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d'isolants en fibre de bois, validées par une ETN

De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l'étanchéité et la durabilité de l'écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d'une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l'ETN Alpes Contrôle A27T210Q.Grâce à cette certification, Isonat, déjà premier acteur du secteur de l'isolation biosourcée à bénéficier d'avis techniques, participe activement à la professionnalisation de la filière avec des solutions d'isolation validées par des tierces parties indépendantes.Qu'est-ce qu'une ETN ?Une Enquête de Technique Nouvelle (ETN) est un avis émis par un bureau de contrôle indépendant sur un procédé de construction non traditionnel. L'avis se base sur un cahier de prescription de pose et des rapports d'essais soumis par le tenant de système. L'ETN permet d'apporter aux acteurs de la construction des informations fiables sur la mise en oeuvre et la durabilité du procédé visé, pour offrir plus de sérénité aux usagers.Le Sarking en fibre de bois Isonat : une association vertueuse qui allie confort des occupants et engagement pour la construction durableCes solutions sont très avantageuses à la fois pour l'artisan et pour le client final.Pour l'artisan :Elles peuvent être mises en oeuvre en toute sérénité car elles ont été validées par un bureau de contrôle spécialisé (ETN Alpes Contrôle A27T210Q).Elles permettent à la fois une mise en oeuvre traditionnelle sur platelage mais aussi une pose d'isolan directement sur chevrons, avec un isolant complémentaire entre chevron, afin de faciliter l'obtention d'une isolation thermique et acoustique élevée.Elles incluent tous les accessoires nécessaires à la pose (un nouveau pare-vapeur spécialement conçu appelé Vario® Supraplex, 3 références de vis et des adhésifs et mastics pour parfaire l'étanchéité), avec un cahier de prescription de pose détaillant toutes les étapes de mise en oeuvre.Et pour le client final :Ces solutions procurent un excellent confort thermique, été comme hiver, avec des résistances thermiques allant jusqu'à 10 m².K/W.Elles assurent également un grand confort acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec un affaiblissement jusqu'à 48 dB (rapport d'essai CSTB AC22-10623, détaillé dans le tableau en fin de communiqué).Le tout avec des produits fabriqués en France à partir de plaquettes de bois issues de chutes de scierie voisines dans un rayon de 60 km autour de l'usine de Mably.Ces solutions sont particulièrement bien adaptées en neuf à tout type de bâtiment dont on souhaite laisser la charpente apparente, en particulier les chalets des régions de montagne. Ils sont aussi très utiles en rénovation de maisons individuelles dans le but d'économiser de la hauteur sous plafond et de pouvoir ontinuer à habiter les combles lors des travaux.4 solutions pour couvrir les principales situations en climat de plaine < 900 mSarking traditionnel sur platelage avec écran Duoprotect :Sarking traditionnel sur platelage avec écran HPV :Sarking entre et sur chevrons sans platelage :Des solutions complètes, incluant les isolants Isonat et tous les accessoiresLa nouvelle membrane de gestion de vapeur d'eau et d'étanchéité à l'air Vario® Supraplex, conçue pour le SarkingConçue pour une isolation de toiture par l'extérieur en climat de plaine, avec protection temporaire de la toiture jusqu'à 1 mois.Revêtement antidérapant.Sans éblouissement.Traitement anti-UV renforcé.Bord pré-adhésivés.Une membrane hygrorégulante :Protège la toiture de la vapeur d'eau toute l'année.Laisse sécher la paroi en été.Particulièrement adaptée en cas de risque de canicule.Les vis Sarking de fixation des contre-lattesIsonat a validé son ETN en partenariat avec trois fabricants de vis couramment utilisées sur cette application, pour proposer à ses clients le choix entre les vis Würth Assy® 4 Isotop, LR Etanco Starking ou SFS Twin UD.Cette gamme couvre une plage de longueurs de 170 à 500 mm et permet une épaisseur maximale d'isolant sur chevrons de 320 mm.Les accessoires d'étanchéité de l'écran DuoprotectDans le cas des couvertures à faible pente (≤ 30%) ou pour le traitement des points singuliers, l'étanchéité de l'écran sous toiture est validée avec la mise en oeuvre des adhésifs Vario® Multitape ou Vario® Fast Tape après application d'une couche de primaire en spray ou liquide de chez Würth ou Proclima en surface du panneau, ou avec la dépose d'un ruban de mastic de chez Würth ou Sika dans la rainure.Un gros travail a également été effectué pour préciser le traitement de tous les points singuliers dans le cahier de prescription de pose.Une excellente performance acoustique pour une conformité réglementaire même en zone bruyanteLes solutions d'isolation en Sarking Isonat donnent d'excellentes performances d'affaiblissement acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec 36 dB dans le cas d'une finition en platelage bois, et 48 dB avec un complémentent d'isolation entre chevrons.La réglementation acoustique pour les bâtiments neufs exige un isolement minimum de 30 dB, ce critère pouvant monter à 45 dB suivant la proximité de sources importantes de bruit (route, voies ferrées, aéroport). Les solutions Isonat permettent ainsi de répondre aux cas les plus sévères de bruits extérieurs.
Il y a 2 ans et 167 jours

Les normes à vérifier avant de louer un entrepôt

De nombreuses normes entourent la construction des entrepôts afin de garantir la sécurité des personnes qui y travaillent, le bon fonctionnement des installations et la protection de l’environnement. Ainsi, avant de louer un entrepôt, il est primordial de vérifier que celui-ci est aux normes. Pour cela, nous vous résumons les normes les plus importantes qui régissent la construction des entrepôts. Normes générales De nombreuses normes ont été mises en place dans le but de protéger les employés tout en gérant facilement le stockage. Ces normes strictes entourent la construction et l’aménagement de l’entrepôt. Effectivement, sa situation, sa qualité de construction et sa dimension obligent de respecter certaines règles. Parmi elles, se trouvent les normes concernant la résistance au feu qui est attendue dans les différentes parties de l’entrepôt. Il est essentiel de les respecter pour obtenir la validation des Services Départementaux d’Incendie et de Secours. Il est possible de citer la règle R15 qui exige la résistance au feu de certaines parties de l’entrepôt grâce à une séparation coupe-feu. Parmi ces normes générales, il y a la norme NF EN 1998 qui concerne la résistance de l’entrepôt aux séismes, notamment en expliquant les calculs de structure attendus. D’autres normes se rapportent à la façade des bâtiments industriels, toutefois, elles ne sont pas spécifiques aux entrepôts. Normes sur la dalle Si des normes entourent la réalisation de la dalle, c’est parce que le moindre défaut entraînerait des complications importantes au niveau des rayonnages. En effet, la dalle assure la solidité et l’efficacité de la mise en place des rayonnages. Pour cela, plusieurs normes ont été mises en place&nbsp;: DTU 13.3 Partie 1 (norme NF P 11-313-1)&nbsp;: précise la réglementation générale autour du dallage et notamment sur sa planéité et son isolation&nbsp;; Normes FEM 9.831&nbsp;et FEM 9.841&nbsp;: sont à mettre en place dans un entrepôt automatisé et précisent la planéité et la rigidité du dallage. Vérifier la planéité, la rigidité, l’isolation, etc. va permettre d’éviter les déformations et donc, des sollicitations supplémentaires dans les rayonnages qui risquent de s’incliner. Normes sur le rayonnage Les normes sur le rayonnage sont plus nombreuses, car la sécurité de l’entrepôt repose en grande partie sur la conformité et la résistance des racks de rangement qui sont des éléments indispensables pour un entreposage sécurisé. Norme NF EN 1090-02&nbsp;: vérifie toutes les exigences techniques pour les structures en acier&nbsp;; Norme NF EN 15512&nbsp;: contient les indications pour le calcul, le traitement et les tolérances dans le montage des structures des rayonnages métalliques&nbsp;; Norme NF EN 15620&nbsp;: contient des indications sur les tolérances du sol et du montage des rayonnages, sur les déformations maximales pour les structures ainsi que sur les jeux à respecter dans les emplacements&nbsp;; Norme NF EN 15629&nbsp;: définit l’aménagement des allées et contient des indications pour le calcul des rayonnages en prévoyant notamment la technique de conception, de pose et d’utilisation selon la température d’utilisation, les risques d’incendie, l’emplacement, etc.&nbsp; Norme NF EN 15635&nbsp;: définit les conditions d’utilisation et de maintenance des structures pour minimiser les risques et éviter les dommages humains et matériels&nbsp;; Norme&nbsp;NF EN 1993&nbsp;: vérifie la sécurité des structures de rayonnages. D’autres normes existent concernant les racks et les rayonnages et stipulent notamment leur capacité à supporter des charges importantes, de garantir une longue durée de vie et d’assurer la sécurité des employés. Normes sur les machines Enfin, il existe plusieurs normes relatives au bon fonctionnement et la sécurité des machines. Ces machines peuvent être des engins motorisés, des convoyeurs automatiques, des robots de palettisation, mais aussi des échelles fixes et des garde-corps. Chacune d’entre elles doit obéir à des normes sur les propriétés générales, le comportement sous charges, les effets du temps, etc. La norme FEM 9.831 est à mettre en place dans un entrepôt automatisé et précise les attentes quant aux rails de roulement et de guidage supérieur, aux unités de charges et aux monte-charges. Les normes FEM 9.832 et NF EN 528 sont à mettre en place dans un entrepôt automatisé et contiennent des indications pour le calcul du stockage avec mini transtockeurs et des prescriptions de sécurité sur les transtockeurs. La norme NF EN ISO 14122 définit les exigences pour les escaliers et échelles des installations. Ainsi, avant d’acheter ou de louer un entrepôt, certaines normes sont à vérifier afin d’éviter les mauvaises surprises dans l’avenir.
Il y a 2 ans et 168 jours

Emmanuel Demesmay, nouveau Directeur Général de Veka France

Cette décision prendra effet le 1er janvier 2023 et fait suite au décès brutal de Jos Lenferink en août dernier. Elle marque également la fin de la zone SWENA (South Ouest Europe et North Africa) pour retrouver les deux entités indépendantes VEKA France (en charge des marchés français et d’Afrique du Nord) et VEKA Ibérica (en charge des marchés espagnol et portugais).« Le Groupe confie la direction générale de VEKA France à Emmanuel, qui peut compter sur le soutien des équipes de la maison mère pour mener à bien les projets à venir » indique Andréas Hartleif, CEO Groupe VEKA. « L’organisation française sera progressivement précisée pour dimensionner les équipes de façon optimale et répondre aux impératifs du marché avec justesse et réactivité. »Agé de 42 ans, Emmanuel Demesmay a rejoint VEKA en 2020 en tant que Directeur commercial France, puis Country Manager France, où il dirige les équipes marketing, prescription et commerciale depuis près de 3 ans.Auparavant, c’est au sein du groupe SFS qu’il a effectué les 20 premières années de sa carrière. D’abord technico-commercial sur différents secteurs en France, il accède au poste de responsable Grands Comptes puis de Product Manager. Il a alors pour mission de développer et lancer de nouveaux produits en collaboration avec les filiales étrangères du Groupe. C’est naturellement qu’il se verra confier ensuite la direction du département Menuiserie et Industrie avec le management de l’équipe technique et commerciale.« C’est avec fierté et sens des responsabilités que j’aborde ce nouveau challenge et je remercie la Direction du groupe VEKA pour sa confiance renouvelée » déclare Emmanuel Demesmay. « VEKA est une entreprise familiale, indépendante financièrement, qui a prouvé son haut niveau de performance et de résilience lors des crises que nous venons de traverser. J’ai à cœur de poursuivre le développement de VEKA France sur le marché national et en Afrique du Nord, en incarnant les valeurs du Groupe auxquelles je crois. »Et de poursuivre : « Concernant notre outil industriel en Haute-Savoie, je souhaite accroître encore notre niveau d’exigence, pour que VEKA France soit une filiale exemplaire dans le Groupe. Performante, réactive, moderne, digitale et rentable, dimensionnée pour accompagner notre croissance avec de nouveaux clients dans un environnement en constante évolution. Et cela débutera très prochainement par la mise en chantier de notre nouveau centre logistique, validé par le Groupe en novembre dernier. »Et de conclure : « Proposer des solutions innovantes et industrielles, conçues et produites en France, pour permettre à nos fabricants partenaires de se différencier sur leurs marchés respectifs. Poursuivre nos investissements industriels pour optimiser notre niveau de qualité et de services. Nous engager toujours davantage dans la décarbonation en nous appuyant sur VEKA Recyclage et notre expertise en coextrusion. Renforcer encore l’attractivité de la marque VEKA, non seulement auprès des professionnels mais aussi auprès du grand public et des collaborateurs… Ce sont autant d’objectifs sur lesquels nous allons travailler avec les équipes VEKA, que je sais déjà compétentes et engagées.»
Il y a 2 ans et 174 jours

Le CSTB lance Cible, projet d’éco-conception du bâtiment

Fort de son expérience sur les outils d’évaluation de la performance du bâtiment, le CSTB lance le projet Cible. [©ACPresse] Depuis 1974, les règlementations ont permis d’encadrer la consommation énergétique des bâtiments neufs ou rénovés. Elles garantissent aussi le confort thermique de leurs occupants. Mais aujourd’hui, les outils de calculs sont hétérogènes et souvent incomplets. Les indicateurs carbone pour les produits de construction dans l’existant ne sont pas affichés. Quant à la mesure en phase d’exploitation pour s’approcher des performances réelles, elle n’est pas prise en compte… Face à ce constat, le CSTB lance le projet Cible, en partenariat avec l’Alliance HQE-GBC et le collectif Effinergie. Lire aussi : Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle du CSTB Rassembler l’ensemble des acteurs du bâtiment Cible consiste à mener une réflexion sur l’outil de demain concernant le calcul de la performance environnementale du bâtiment. Afin d’atteindre ce but, l’ensemble des acteurs de la construction seront mis à contribution pour définir une solution numérique. Un cahier des prescriptions sera ainsi établi. Porté sur la structure technique et organisation, il fera le lien entre les différents outils et applications (BIM). Le lancement du projet doit avoir lieu le 4 janvier 2023, au siège du CSTB, à Paris. Cet évènement sera ouvert aux professionnels de la construction qui souhaitent y contribuer. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 175 jours

Knauf renforce sa relation clients avec toujours plus de services et de digitalisation

En France, le Groupe est présent via sa filiale Knauf France depuis 1984, qui s’impose aujourd’hui comme le leader français du PSE (Polystyrène Expansé) pour le bâtiment mais également comme l’unique producteur tricolore de laine de bois.A travers son Offre Globale - plaques de plâtre, panneaux isolants en polystyrène expansé, polyuréthane, laine de bois et fibres biosourcées - Knauf répond à l’ensemble des besoins des acteurs du bâtiment pour l’aménagement intérieur et l’isolation des bâtiments.Point conjoncturel, bilan 2022 et perspectives 2023Après une année 2021 de reprise très soutenue, l’exercice 2022 a été marqué par la demande de travaux en aménagement intérieur, plâtrerie et isolation, même si ceux-ci ont quelque peu fléchi au cours du second trimestre.Si la croissance du marché de la plaque de plâtre, cloisons et doublages, a ralenti après une année 2021 exceptionnelle (+15%), Knauf y revendique pour sa part une année 2022 stable, en dépit des problèmes rencontrés suite à une cyber-attaque mondiale.Et Christine Muscat, Directeur Général Knauf de développer :« Notre volume d’affaires tricolore est en légère croissance pour l’ensemble de notre Offre Globale vs 2021. Les plafonds en laine de bois Knauf affichent également une belle performance, avec une progression de +5% des ventes. Il en est de même des isolants PSE Knauf pour les façades, qui revendiquent une progression de +10%. Le volume des autres solutions d’isolants Knauf est quant à lui stable par rapport à 2021 ».Et de conclure :« Outre notre Offre Globale, Knauf s’engage vers toujours plus de services et de digitalisation afin d’accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs face notamment aux défis de la RE2020 et de la décarbonation ».Concernant les perspectives générales 2023, une année sous le signe d’une forte inflation, elles s’annoncent plus difficiles que l’exercice 2022 dans le logement neuf malgré une tendance annuelle encore positive (mise en chantier de logements +2,1% dans le diffus, 12 mois glissants à la fin du T3 2021 - +8,9% en 2021).Un ralentissement s’avère donc inéluctable. Quant au non-résidentiel, après un redémarrage plus tardif, la tendance commence juste à fléchir (+5,7%). Si les carnets de commande demeurent importants, les prix de l’énergie notamment ont atteint des sommets inédits, diffusant la crise à tous les secteurs et entraînant une inflation record.Aussi, la construction neuve ne devrait pas produire de croissance et la rénovation, portée par l’efficacité énergétique, poursuivra certainement sa tendance 2022 à +3% pour devenir le secteur moteur du bâtiment.Knauf renforce ses équipes au service des maitres d’ouvrage et maitres d’œuvreKnauf s’engage toujours plus pour accompagner les acteurs du bâtiment dans l’évolution incontournable des modes constructifs afin de relever les défis de la RE2020 et de la décarbonation. Ainsi, 5 personnes dédiées viennent renforcer les actions de prescription déjà menées chez Knauf, pour répondre aux projets les plus ambitieux dès l’étape de conception. Sous la direction de Jean-Philippe Estner (architecte ENSAIS), Kamélia Halhali (Île-de-France Ouest / Ouest), Catherine Lillemann (Île-de-France Est / Nord), François Dassé (Sud-Ouest) Alain Boujemaaoui (Rhône-Alpes/Sud-Est) constituent la toute nouvelle équipe Prescription Knauf.Celle-ci aura pour mission d’assister efficacement tous les intervenants d’un projet dans toutes les phases d’études. Les chargés de prescription interviendront en amont, auprès des maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études et économistes, afin de leur proposer les solutions Knauf les mieux optimisées pour leurs projets. Ils seront les garants des prescriptions des systèmes d’aménagement intérieur, des gammes de plafonds acoustiques, mais aussi de l’Offre Globale Knauf. L’objectif est ainsi de répondre efficacement à toutes les sollicitations, mais aussi d’identifier les projets futurs pour lesquels les solutions Knauf sont particulièrement adaptées.De nouveaux services digitaux Knauf dédiés a la prescription et aux plaquistesDans cette logique d’accompagnement et de développement de services, Knauf étoffe son offre à destination des professionnels du bâtiment avec une nouvelle application dédiée aux architectes, bureaux d’études et économistes : Planner Suite Knauf. Cet outil constitue pour ces acteurs, un outil 3 en 1 de productivité ultime de la planification de leurs projets.Accessible comme application sur le web ou comme Plug-in BIM disponible pour Revit et ArchiCAD, Planner Suite Knauf leur permet de rechercher et insérer aisément les produits et systèmes Knauf adaptés à leurs projets d’aménagement intérieur, ainsi que toutes les spécifications pertinentes par une simple recherche ou via une configuration multicritères, avec importation possible dans la maquette BIM.En posant quelques questions simples, sa fonction de recherche donne un aperçu des produits et systèmes qui correspondent aux besoins spécifiques, comme la résistance au feu ou l’affaiblissement acoustique. Il prend également en compte d’autres facteurs, tels que la disponibilité régionale, pour garantir que seuls les produits et systèmes pertinents pour l’emplacement du projet sont recommandés - une donnée particulièrement utile pour les projets transfrontaliers. Planner Suite Knauf valide immédiatement les données relatives aux systèmes proposés avec une vérification en continu de la validité des systèmes sélectionnés, pour une maquette BIM toujours à jour.La version Plug-in BIM les alerte également s’ils utilisent des produits qui ne sont plus commercialisés et leur recommande, de manière proactive, les alternatives possibles.Planner Suite Knauf leur permettra également, dans sa prochaine version, un processus d’appel d’offres simplifié, en fournissant les textes de cahiers des charges à télécharger et est leur facilitera aussi la rédaction de leurs appels d’offres grâce au configurateur intégré (à l’aide de descriptifs types d’ouvrages). Cette nouvelle version quantifiera aussi les métrés de manière automatisée pour le DCE.Par ailleurs, Knauf s’inscrit, depuis octobre 2022, en partenaire de BiM Cloisons, une entreprise qui facilite le travail des professionnels plaquistes 2.0. Conçu par des plaquistes pour les plaquistes, BiM Cloisons.Knauf constitue en effet un outil de dernière génération permettant une mobilité sans précédent et un accès universel aux données et documents générés avec, à la clé, plus de réactivité, plus de précision et plus de productivité.Avec l’aide d’un configurateur à l’interface intuitive et au design novateur, BiM Cloisons.Knauf s’impose comme compagnon digital idéal et 360°, assurant notamment la préconisation des choix technico-économiques les plus pertinents en fonction des contraintes de chaque chantier, en comparant et variantant, en quelques clics, les ouvrages les mieux adaptés techniquement et économiquement.BiM Cloisons.Knauf offre un accès rapide à la base de données Knauf Aménagement Intérieur. Un panel qui concentre à ce jour les systèmes Knauf les plus couramment utilisés en cloisons et contre-cloisons, doublages collés et plafonds démontables et non démontables pour les logements, les ERP et le tertiaire. Notons que le périmètre est appelé à se compléter pour présenter l’intégralité des solutions Knauf en Aménagement Intérieur.BiM Cloisons.Knauf s’adapte à toutes les phases de chantier, BIM ou non. Il assure un démarrage rapide des projets Revit® sous gabarits BIM Cloisons, afin de générer rapidement les métrés, les devis, les dossiers techniques et plans de repérage. Il s’impose également comme véritable atout concurrentiel grâce aux vues 3D dotées d’un niveau de détail très élevé.Enfin, en automatisant les processus de gestion, en générant en un clic tous les documents de gestion indispensables, BiM Cloisons.Knauf assure également la maîtrise des budgets et des évolutions, grâce à une mise à jour instantanée de toutes les données, supprimant ainsi les tâches redondantes et les saisies inutiles.BiM Cloisons.Knauf est donc un outil complet et polyvalent qui facilite le travail des plaquistes 2.0.Knauf : une longue tradition du biosourcéL’usine Knauf Fibre, qui vient de fêter cette année son 100ème anniversaire, constitue l’incarnation parfaite d’une longue tradition du biosourcé. Site certifié chaîne de contrôle PEFC, elle est la seule unité industrielle française de production de laine de bois. En 2021, elle a réalisé quelque 2,5 millions de m2 de panneaux monolithes et composites dédiés à l’isolation en sous-face de dalles (gamme Knauf Fibra®) et à l’isolation acoustique des plafonds et murs (gamme Organic).Dans une démarche d’éco-conception, la R&D Knauf est parvenue à encore augmenter le pourcentage de matériaux biosourcés en optimisant la composition des produits et leur procédé de fabrication. Ces améliorations ont permis de réduire les impacts de réchauffement climatique (total équivalent CO2) pour l’ensemble du cycle de vie des produits. Les FDES des produits concernés ont ensuite été recalculées, mises à jour et revérifiées par une tierce partie. Elles sont disponibles sur knauf.fr et sur la base INIES, ce qui favorise leur utilisation pour la construction bas carbone, notamment la RE2020.Et Knauf va encore plus loin. Dans la même lignée, afin d’apporter toujours plus de garanties aux concepteurs de bâtiments, Knauf s’est récemment rapproché de Karibati, expert du bâtiment biosourcé, pour certifier les produits Organic et Knauf Fibra® éligibles au label « Produit Biosourcé - Filière Française ».Une labellisation qui permet d’ailleurs aux maîtres d’ouvrages de bénéficier de « points » ou de « crédits » supplémentaires dans le cadre de certifications environnementales de chantier type « LEED » ou « BREEAM », ou encore de valoriser la quantité de bois utilisée dans les certifications d’ouvrage, par exemple pour les projets de construction ou de rénovation labélisés « Bâtiment Biosourcé » ou « BBCA » (Bâtiment Bas Carbone).Les produits Knauf concernés* (panneaux mono-composants, 100% laine de bois, certains complexes isolants mixant laine de bois, PSE et/ou laine de roche) deviennent ainsi les seuls produits en France à justifier de cette labellisation Karibati dans leurs catégories respectives : Knauf Fibra® pour l’isolation des sous-faces de dalles des logements collectifs, bâtiments tertiaires et ERP, les dalles Organic pour les parements intérieurs acoustiques et décoratifs. Notons que ce certificat « Produit Biosourcé et Filière Française » peut être librement téléchargé sur knauf.fr et que cette labellisation positionne sans équivoque les gammes Organic et Knauf Fibra® sélectionnées comme des « solutions biosourcées » pouvant ainsi pleinement répondre aux référentiels d’éco-construction comme le « Guide des matériaux biosourcés et commande publique » d’avril 2020.ThermaSoft® natura !Avec le lancement de la nouvelle solution d’isolation intérieure Knauf ThermaSoft® natura en début d’année, Knauf confirmait sa volonté d’élargir ses propositions d’isolants biosourcés. Si la période de référencement s’est avérée particulièrement longue, les retours terrain sont très positifs de la part des installateurs concernant les qualités du produit. Depuis août, la montée en puissance est exponentielle et devrait atteindre 300 000 m² vendus en 2022.
Il y a 2 ans et 183 jours

Sortie d'un guide de mise en œuvre des douches accessibles « zéro ressaut »

Suite à la parution de l'arrêté du 11&nbsp;septembre&nbsp;2020 qui supprime le ressaut maximal de 2&nbsp;cm entre le sol de la salle d'eau et l'espace douche, jusqu'alors autorisé, le CSTB, sollicité par la DHUP, a publié un Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible «&nbsp;zéro ressaut&nbsp;» dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs sur support béton. L'évolution de cette réglementation doit permettre l'accessibilité de l'espace douche aux personnes restreintes dans leurs déplacements, quel que soit le type de handicap. Elle favorise également le maintien à domicile des personnes âgées. Pour en savoir plus&nbsp;: Douches «&nbsp;zéro ressaut&nbsp;»&nbsp;: un guide de mise en œuvre conçu par le CSTB Télécharger le guide&nbsp;: Guide pour la mise en œuvre d'une douche accessible “zéro ressaut” dans les salles d'eau à usage individuel en travaux neufs Révision du NF&nbsp;DTU&nbsp;52.2 relatif aux revêtements de sol céramiques en pose collée en travaux neufs Cette nouvelle version fait évoluer le format des carreaux céramiques admis. En pose murale, la surface des carreaux céramiques est étendue à 3&nbsp;600&nbsp;cm² sur les différents supports admis. En pose en sols intérieurs, leur surface est augmentée à 10&nbsp;000&nbsp;cm², et les formats oblongs (lames dont l'élancement est compris entre 3 et 10) sont visés. Ce NF&nbsp;DTU&nbsp;introduit également la mise en œuvre de certains Systèmes de Protection à l'Eau sous Carrelage (SPEC), jusque-là sous Avis Technique, selon les prescriptions de la nouvelle partie P1-1-4 «&nbsp;Cahier des clauses techniques types pour les systèmes de protection à l'eau sous carrelage&nbsp;». Ces systèmes sont constitués principalement de résines pour les murs intérieurs. Pour en savoir plus&nbsp;: NF&nbsp;DTU&nbsp;52.2 Pose collée des revêtements céramiques et assimilés - Pierres naturelles Nouveau NF&nbsp;DTU&nbsp;53.12 relatif à la préparation du support et revêtements de sol souples Ce DTU regroupe les travaux de mise en œuvre des sols souples en construction neuve et rénovation. Il annule et remplace les NF&nbsp;DTU&nbsp;53.1 et 53.2 sur les revêtements de sol textiles et résilients. Il intègre dorénavant la préparation des supports avec la mise en œuvre des enduits de sol, mais aussi les linoleums, qui ne relèvent plus de la procédure d'Avis Technique depuis le 1er juillet 2021. L'extension de la certification QB30 «&nbsp;Revêtements de sol résilients&nbsp;» à la famille des linoleums accompagne la révision de ce DTU. Pour en savoir plus&nbsp;: NF&nbsp;DTU&nbsp;53.12 Préparation du support et revêtements de sol souples Révision du DTU&nbsp;13.3 relatif aux travaux de dallages La révision porte notamment sur la réorganisation de ce document qui définit les règles de conception, de calcul et d'exécution des dallages en béton. La partie 1-2 de cette norme DTU introduit des critères d'aptitude à l'emploi des produits de couches d'usure incorporées qui sont en lien avec le classement P/MC de ces produits. Pour en savoir plus&nbsp;: NF&nbsp;DTU&nbsp;13.3 Travaux de dallages - Conception, calcul et exécution Revêtements de sol céramiques&nbsp;: révision des spécifications techniques pour le classement UPEC Le Cahier 3778_V5&nbsp;2022 annule et remplace le Cahier 3778_V4&nbsp;2020. Il précise dorénavant le nombre d'éprouvettes dans le cas d'un contre-essai, intègre un module de rupture minimal pour le classement P3 et ouvre, pour une revendication P4s, à une légère décoration. Télécharger le cahier 3778_V5 Nouvelles règles professionnelles pour les chapes fluides Suite au passage des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium dans le domaine traditionnel, de nouvelles règles professionnelles pour leur mise en œuvre ont été rédigées. Elles précisent les conditions générales d'emploi et de mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment et de sulfate de calcium disposant d'un certificat QB46 du CSTB. Elles visent les ouvrages en France métropolitaine, à l'intérieur des bâtiments, pour les travaux neufs et de rénovation, sans changement de destination des locaux. Pour en savoir plus&nbsp;: Règles Professionnelles - Pour la mise en œuvre des chapes fluides à base de ciment ou de sulfate de calcium Solutions & Performances -&nbsp;Numéro&nbsp;10&nbsp;: «&nbsp;Revêtements de surfaces&nbsp;» Le numéro 10 de Solutions & Performances est consacré aux revêtements de surfaces, un secteur qui fait face à de nouvelles exigences. PDF&nbsp;1.06&nbsp;Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous&nbsp;!
Il y a 2 ans et 184 jours

VIPros, le programme relationnel le plus abouti du marché 

Aujourd’hui, le programme VIPros fédère une trentaine d’industriels présents dans des secteurs complémentaires, enregistre plus de 12 500 entreprises artisanales soit 76 000 professionnels inscrits, et plus de 60 millions d’euros d’achats par an. Depuis son lancement, VIPros ne cesse d’élargir sa palette d’outils afin d’offrir encore plus de services à ses adhérents et à ses membres, les professionnels du bâtiment. Les services VIPros s’articulent autours de 4 axes.&nbsp; LA PRESCRIPTION&nbsp; &#8211; Fiches produits enrichies Consultables sur www.vipros.fr, les fiches produits centralisent toutes les informations liées au produit sélectionné mais aussi les services, les offres VIPromos, les actualités ou d’autres produits associés. &#8211; Création de contenus interactifs Des vidéos tests sur les nouveautés produits des marques adhérentes sont proposées sur les réseaux et sur la plateforme VIPros sous un angle «utilisateur».&nbsp; &#8211; Push d’informations Les entreprises artisanales inscrites au programme reçoivent régulièrement des informations produits, actualités, offres ciblées&#8230; via leurs Smartphones ou par mail. LA GESTION DES LEVIERS PROMOTIONNELS &nbsp;&#8211; Offres Cashback Pour faciliter l’acquisition d’équipement, ces offres permettent aux artisans de cumuler de nombreux euros au fil de leurs chantiers. Les marques adhérentes accordent du Cash aux membres ayant acheté leurs produits. &#8211; VIPoints&nbsp; Les VIPoints sont des points fidélité acquis lors d’achats de produits de marques partenaires. Cumulés sur un compte unique, ils peuvent être convertis en cartes cadeaux loisirs, en cadeaux à vocation professionnelle, en services pour développer son activité professionnelle&#8230; &#8211; VIPros Connect&nbsp; Les marques VIPros peuvent désormais relayer leurs offres VIPros sur les sites e-commerce des distributeurs partenaires. Cela permet d’automatiser la synchronisation des offres avec les distributeurs spécialisés.&nbsp; MARKETING AUTOMATION&nbsp; Le dashboard VIPros permet aux industriels de consulter en temps réel toutes les données liées au programme de fidélité. Sous forme de tableaux et de graphiques, ce rapport dynamique permet de visualiser rapidement le nombre d’artisans inscrits, leur typologie, leur localisation géographique, les produits achetés et générateurs de VIPoints ou de Cash&#8230; Il permet également : &#8211; L’enregistrement et l’analyse des transactions.&nbsp; &#8211; L’étude anonymisée des comportements d’achat. &#8211; La personnalisation des offres à partir de besoins réellement identifiés. Il va apporter des réponses pertinentes et des offres (produits et services) ciblées aux artisans VIPros, grâce à l’analyse de leurs besoins.&nbsp; RECRUTEMENT ET ANIMATION Dans l&rsquo;objectif de développer sa visibilité, de fidéliser et de recruter de nouveaux artisans du bâtiment, VIPros propose différents outils et animations. &#8211; VIPros Box Envoyée par la poste aux entreprises artisanales inscrites au programme, la VIPros Box contient des échantillons et goodies proposés par les partenaires ainsi que le catalogue semestriel des VIPromos (sélection de produits et d&rsquo;offres promotionnelles des marques adhérentes). &#8211; VIPros Game «L&rsquo;Instant super gagnant VIPros» est un jeu annuel 100 % gagnant favorisant l&rsquo;inscription et l&rsquo;implication des artisans. &#8211; VIPros Event VIPros propose aux marques partenaires de créer des évènements ou de participer à des rencontres professionnelles pour faire découvrir et tester leurs produits et services aux artisans. &#8211; VIPros Influence À l&rsquo;image de l&rsquo;opération «C&rsquo;est qui le boss ?», VIPros encourage le partage d&rsquo;expérience à travers des démonstrations et des tests produits filmés sur les chantiers, et relayés sur les réseaux sociaux. &#8211; VIPros Max Ce nouveau service permet enfin aux entreprises artisanales de profiter de remises négociées sur leurs frais généraux. www.vipros.fr
Il y a 2 ans et 189 jours

Place à la couleur au nouvel Espace Social Commun de Rennes grâce aux tuiles émaillées d’EDILIANS

Porté par la volonté commune du Département d’Ille-et-Vilaine, de la ville de Rennes et de la Caisse d’Allocations Familiales, le nouvel Espace Social Commun (ESC) finit de voir le jour au nord de Rennes, dans le quartier de Maurepas. Celui-ci vise à centraliser dans un lieu unique un ensemble de services publics destinés à soutenir les habitants et à faciliter leurs démarches administratives. Lauréate du concours lancé par le département, l’agence d’architecture Beal & Blanckaert a souhaité conférer à ce nouvel établissement une échelle humaine. L’objectif est double : marquer le quartier de Maurepas d’une nouvelle institution majeure, tout en reflétant l’ambition publique initiale, synonyme d’accueil et d’accompagnement. Un pari réussi grâce à une décomposition de l’ensemble en quatre grandes maisons, rythmées en toiture et en façade par des tuiles émaillées Stretto Huguenot d’Edilians. UN PROJET COMPLEXE FIDÈLE À LA DIVERSITÉ ARCHITECTURALE DU QUARTIER Pour Beal & Blanckaert, l’enjeu majeur était de «&nbsp;donner une échelle humaine à cette réalisation afin d’éviter l’effet d’un établissement trop imposant&nbsp;» dans un quartier emblématique du renouvellement urbain rennais. D’où l’idée de «&nbsp;décomposer le programme en plusieurs maisons pour lui donner un caractère résidentiel tout en unifiant le tout à l’aide d’un matériau que nous souhaitions vibrant&nbsp;» explique Antoine Beal. Répartis sur une parcelle de 2.000 m2, les quatre pavillons de 2 à 5 étages, symbolisant la pluralité des services de l’ESC Simone IFF, se composent d’une structure poteau- poutre béton avec des façades à ossature bois revêtues de tuiles terre cuite. Au-delà de répondre à l’une des exigences du cahier des charges du département qui souhaitait une construction bas-carbone, le choix de l’architecte d’intégrer de la tuile en bardage et en toiture permet de jouer sur une colorimétrie bâtiment par bâtiment et ainsi de «&nbsp;concilier en même temps unité et diversité&nbsp;». LA STRETTO HUGUENOT ÉMAILLÉE POUR CRÉER UNE MATÉRIALITÉ CHATOYANTE Ayant déjà expérimenté la tuile terre cuite en bardage, c’est tout naturellement que l’agence Beal & Blanckaert s’est intéressée une nouvelle fois à ce matériau. Par sa grande dimension (265 x 370 mm) et sa compatibilité de mise en œuvre sur tous les types de toiture y compris en faible pente (environ 75% à l’ESC Rennes), ainsi qu’en bardage, la tuile Stretto Huguenot s’est imposée. « Mais plus encore ce sont la large palette de teintes personnalisables ainsi que la qualité des émaux développés par Edilians qui ont définitivement séduit aussi bien l’architecte que le maître d’ouvrage », souligne Eric Lebeau, Directeur National de la Prescription. En effet, pour différencier les maisons, chacune possède une tonalité légèrement différente. Cette variation chromatique, réalisée de façon aléatoire à l’aide d’un logiciel spécifique paramétré de manière fine par les architectes, s’exprime au travers de 13 coloris parmi lesquels 3 nuances de verts, 4 rouges, 3 bleus. Afin d’éviter une uniformité totale en toiture et de respecter les contraintes budgétaires du chantier, à cela s’ajoute une déclinaison de 3 blancs à raison de : 20% de tuiles émaillées monocuisson, en Blanc Platine, fabriquées dans l’usine Edilians de St Germer de Fly, et 80% de tuiles double cuisson de la gamme Ultra dans une variation de blanc chaud et froid. Placées principalement en couverture, ces tuiles émaillées blanches présentent un avantage certain en termes de luminosité et de pouvoir réfléchissant en ayant un impact positif global sur le confort et l’efficacité énergétique du bâtiment.Assurant une continuité d’une façade à l’autre, cet effet de pixellisation, qui part d’une teinte très foncée au sol pour se dégrader progressivement vers les blancs, offre ainsi cette matérialité chatoyante à l’échelle du piéton voulue par l’architecte. UNE GESTION MAÎTRISÉE DE L’ÉNERGIE GRÂCE À UNE CENTRALE PHOTOVOLTAÏQUE SOLAIRE MAX Pour contribuer à atteindre l’objectif de performance énergétique de -30% attendu par l’ESC Rennes, 100 tuiles Solaires Max 16 cellules ont été installées directement sur les liteaux d’un pan de toiture de l’un des pavillons. En coloris rouge, elles s’intègrent en toute discrétion aux tuiles Stretto Huguenot et permettent une production énergétique optimale à raison de 59 Wc par tuile, soit près de 6000 Wc. De quoi contribuer à rendre l’espace social plus autonome en énergie ! UNE PROUESSE TECHNIQUE DE L’ÉTUDE À LA MISE EN ŒUVRE Si l’ESC Rennes constituait un véritable défi au niveau esthétique quant au choix des couleurs, il l’était également d’un point de vue dimensionnel. Raison pour laquelle, afin d’éviter toute mauvaise surprise sur le chantier, un important travail d’approche technique et de calepinage a été réalisé très en amont par l’agence Beal & Blanckaert et sa cheffe de projet Hélène Verniers, en fonction de la spécificité de chacune des façades. En étroite collaboration, l’architecte, l’entreprise de pose Loire Atlantique Toiture et Eric Martinat, Directeur Développement Produits d’Edilians, ont ainsi étudié : l’implantation précise des tuiles en façades afin de faciliter leur mise en œuvre et de minimiser le travail de coupe en jouant sur les tuiles et demi-tuiles, l’habillage de la façon la plus discrète possible autour des menuiseries, le traitement des points singuliers pour répondre notamment à la demande de l’architecte en ce qui concerne l’écoulement des eaux pluviales. Une fois achevé cet accompagnement personnalisé, la mise en œuvre des 2.700 m2&nbsp;de tuiles émaillées Stretto Huguenot dont 1.100 m2&nbsp;en façade s’est effectuée sans encombre grâce au plan de calepinage minutieusement préparé par l’architecte imprimé en très grand format. Ainsi, pour chaque façade, Loire Atlantique Toiture a trié les tuiles par coloris puis, rangée par rangée dans le bon ordre, avant de les poser à joints croisés, avec un pureau de plus ou moins 14 cm. Quant aux tuiles Solaire Max, même si leur installation constituait une première pour l’entreprise «&nbsp;cela s’est très bien passé. La pose est très&nbsp;simple, de même que le raccordement électrique Plug & Play. C’est presque un jeu d’enfant&nbsp;finalement ! Et ce d’autant plus que nous avions bénéficié au préalable d’une formation technique d’Edilians sur le site pour nous expliquer le fonctionnement&nbsp;», détaille Romain Rouaud qui a repris l’entreprise familiale depuis 5 ans. Le résultat est à la hauteur des enjeux : « l’entreprise Loire Atlantique Toiture a vraiment effectué un travail impeccable. Une mise en œuvre aussi soignée d’un produit noble tel que la tuile, c’est véritablement de l’art » déclare Eric Martinat, enthousiaste. Une composition artistique tant dans la palette de coloris que dans la qualité de finition qui interpellent les habitants du quartier de Maurepas qui confient « trouver cela vraiment très beau ». A propos d’EDILIANS : Leader français de la toiture en terre cuite (9 appellations terroir, 96 modèles et 380 coloris de tuiles) et pionnier de la tuile solaire photovoltaïque universelle depuis 2002, Edilians crée des solutions toitures innovantes au coeur de l’éco-habitat. Edilians fait partie d’Edilians Group : 1700 collaborateurs 400 M€ de CA en 2021 16 sites industriels (France et Europe) 7 marques commerciales edilians.com
Il y a 2 ans et 198 jours

Réhabilitation en périmètre PPRT, le Groupe Lorillard accompagne Lyon Métropole Habitat dans la réhabilitation des menuiseries de la résidence les Hautes Roches

En 2018 Lyon Métropole Habitat lance un appel d’offre pour la réhabilitation, dans le cadre d’une mise aux normes PPRT, de 294 logements des résidences Hautes Roches à Pierre-Bénite (69).Accompagné du cabinet d’architectes « Atelier Bernard Paris & Associés », et de l’économiste de la construction « GBA&Co », le bailleur public engage dans cette mise aux normes, la réhabilitation des menuiseries des immeubles du quartier des Hautes Roches. Les immeubles 2a et 2b sont un ensemble de 66 logements de deux tours mitoyennes.Leur situation au sein du périmètre PPRT les place en rang 1 sur la zone de l’onde de choc, en cas d’explosion.Habitués des interventions en milieu occupé, spécialistes de la réhabilitation des menuiseries de logements collectifs et qualifiés pour répondre aux chantiers dont les exigences techniques sont accrues, voire hors normes, le Groupe Lorillard et son entité Lorillard Bâtiment ont été retenus (en août 2020) pour le désamiantage et la réhabilitation des menuiseries des résidences Hautes Roches. Façade durant la pose. ©Lorillard LE CONTEXTE PPRT La loi du 30 juillet 2003, relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages, a été mise en place à la suite de la catastrophe d’AZF. Mesure phare de cette loi, les plans de prévention des risques technologiques (PPRT) visent à améliorer la coexistence des sites industriels à haut risque avec les riverains, en améliorant la protection de ces derniers, tout en pérennisant les premiers. Ces plans prévoient, entre autres, des travaux de renforcement des bâtiments riverains, dans les secteurs les plus exposés aux risques. En France, environ 400 bassins industriels répartis sur plus de 800 communes font l’objet d’un PPRT : 20 000 à 30 000 logements sont concernés par des prescriptions de travaux de renforcement.Dans le cas où un bâtiment d’habitations ou d’activités est situé dans un périmètre proche d’un établissement à risques – pouvant être à l’origine de phénomène dangereux d’explosion (impliquant des ondes de surpression d’intensité 20 à 50 mbar) – le règlement du Plan de Prévention des Risques Technologiques (PPRT) prescrit ou recommande, dans cette zone, la tenue des fenêtres standards des maisons individuelles ou bâtiments d’activité situés dans cette zone. L’analyse des accidents passés et les expertises techniques montrent qu’un des risques prédominants de blessure en cas d’explosion est dû aux bris de vitres. Ce dernier apparaît pour des niveaux d’intensité faible (dès la vingtaine de mbar) et les fragments sont susceptibles d’être projetés dans toute la pièce. D’autres risques de blessures peuvent survenir en cas d’ouverture, d’arrachement et de projection des ouvrants ou de la fenêtre à l’intérieur de l’habitation. L’EXIGENCE SÉCURITAIRE «&nbsp;Garantir la tenue d’une fenêtre dans une zone à risque (20-50 mbar) implique une démarche exigeante pour définir les dimensions maximales pour lesquelles les différents panneaux vitrés feuilletés résistent, ou cassent sans risque de blessure dans la zone&nbsp;» explique Flavien HEYRAUD conducteur de travaux principal Lorillard Bâtiment. La définition du châssis admissible est fondée en tenant compte du matériau, des modes d’ouverture et fermeture, ainsi que du mode de pose. Ce sont des menuiseries bois en mélèze, de la gamme Tradition Trocadéro, qui ont été mise en œuvre dans un coloris gris laqué (RAL 7035).Dans le périmètre défini par le PPRT, l’utilisation de fenêtres en bois est accompagnée de différentes mesures qui impliquent que les panneaux vitrés soient montés sur châssis fixe, que les fenêtres soient munies d’ouvrants orientés vers l’intérieur avec un mode d’ouverture à la française et que les menuiseries soient posées en tunnel.« Nous avons équipé les menuiseries d’un vitrage FS 44.2. Ce sont deux verres de 4mm séparés par une feuille de 2mm. Ce sont des verres sécuritaires, dotés d’un film feuilleté adhésif qui va permettre de retenir les morceaux de verre en cas d’explosion » ajoute Bruno PONTHUS Chargé d’affaires Lorillard Bâtiment Agence Auvergne Rhône-Alpes. UNE RÉSISTANCE EXCEPTIONNELLE « Nous avons effectué des calculs théoriques pour répondre aux exigences sécuritaires en matière de résistance. Nous avons opté pour une menuiserie bois car structurellement le bois est beaucoup plus résistant que le PVC avec une masse pleine, dense et rigide » explique Luc BRAVO, Chef d’agence Lorillard Bâtiment Agence Auvergne Rhône-Alpes.Les menuiseries Lorillard ont donc été posées en tunnel, devant les anciens dormants laissés en place afin d’apporter une résistance supplémentaire à l’ensemble.En outre, des vis, traversant la menuiserie, ont été mises en œuvre dans la maçonnerie afin d’assurer une rigidité maximale dans le cas d’une explosion pouvant provoquer l’arrachement de la fenêtre.« Nous avons doublé le nombre de vis par rapport à ce qui était recommandé, afin de garantir une parfaite rigidité. L’association de la résistance intrinsèque du bois, au collage silicone et aux vis alloue une résistance mécanique exceptionnelle à chaque menuiserie » précise Flavien HEYRAUD.En intérieur, un habillage en bois vient calfeutrer les dormants et ébrasements afin d’apporter une finition élégante à l’ensemble. L’habillage bois vient calfeutrer les dormants et ébrasements. ©Lorillard La menuiserie est posée en tunnel, devant les anciens dormants laissés en place afin d’apporter une résistance supplémentaire à l’ensemble. ©Lorillard L’EFFET TOXIQUE Le risque provenant de l’extérieur vers l’intérieur ; le PPRT prévoit la recherche et l’identification d’une pièce comme local de confinement. «&nbsp;Cette pièce dite de confinement doit être dotée d’une fenêtre et d’une porte qui soient totalement hermétiques en cas de pollution atmosphérique&nbsp;» explique Luc BRAVO. Cette mesure de perméabilité à l’air qui vise à combattre l’effet toxique, impose que la menuiserie soit équipée d’un système de ventilation et d’un moyen d’arrêt rapide.Ainsi, Lorillard a équipé chaque logement d’une menuiserie bois dotée d’une grille d’aération de marque RENSON, condamnable via un levier, permettant d’occulter et d’étancher avec facilité et rapidité la pièce de confinement. La menuiserie est dotée d’une grille d’aération de marque RENSON, condamnable via un levier, permettant d’occulter et d’étancher avec facilité et rapidité la pièce de confinement. ©Lorillard INTERVENTION EN SITE OCCUPÉ L’intervention se faisant en site occupé, c’est à l’appui d’une plateforme bi-mât et de chariots télescopiques que les travaux ont été conduits. Familier de ce type d’intervention, Lorillard Bâtiment a planifié les opérations de manière à ce qu’elles soient sûres, rapides et efficaces. La première étape a consisté en l’évacuation des anciens panneaux pare-flamme et des menuiseries PVC amiantées. La plateforme bi-mât a permis de réaliser ce travail par l’extérieur, sans souiller les logements. Les logements étant traversants, un travail simultané des deux côtés du bâtiment a été effectué. Façade durant la pose avec la plateforme bi-mât. ©Lorillard Débutée en janvier 2021 la réfection des résidences 2a et 2b s’est achevée en avril 2022. Au total ce sont 272 menuiseries qui ont été réhabilitées par le Groupe Lorillard. Toutes les menuiseries bois ont été équipées de volets roulants extérieurs de son partenaire PROFALUX – auparavant attenants à la menuiserie- qui sont désormais dissociés et installés devant la menuiserie pour une meilleure étanchéité. Ce chantier à risque PPRT n’est pas le premier que le Groupe réalise. Implanté à Lyon, l’entité Lorillard Bâtiment est un acteur à proximité de la vallée de la chimie, dont l’expertise est reconnue pour répondre à ce type de chantier.Au sein du Groupe, le bureau d’étude, les équipes de fabrication et les équipes sur place œuvrent pour répondre précisément aux impératifs et objectifs de performance des chantiers PPRT. «&nbsp;Pour l’ensemble de nos chantiers mais plus encore pour ce type de projet extrêmement pointu, nous œuvrons pour que nos solutions aboutissent à des améliorations des conditions de vie, tout en tenant compte des exigences et contraintes liées au projet, afin de permettre à nos clients, bailleurs sociaux, architectes, économistes, de répondre à leurs obligations&nbsp;» conclue Bruno PONTHUS.
Il y a 2 ans et 203 jours

Cemex s’empare de la réalité virtuelle

Lors du salon Batimat, Cemex a offert aux visiteurs une expérience sensorielle unique. Celle de découvrir leur plate-forme multi-activités. [©Cemex/ACPresse] Avez-vous déjà visité une centrale à béton ou une plate-forme de granulats recyclés ? Avec le casque VR de Cemex, c’est maintenant possible. Lors du salon Batimat qui s’est déroulé en octobre 2022, le spécialiste des matériaux de construction a offert aux visiteurs une expérience sensorielle unique. Une immersion en 360° qui a permis aux plus curieux de tout savoir sur ce sujet sans bouger. Manettes en main, ils sont guidés par un pointeur laser, afin de sélectionner les différents lieux qui s’offrent à eux. « Des icônes sont présentes pour obtenir des informations ou voir des vidéos. L’utilisateur peut aussi tomber sur un avatar qui va lui indiquer nos différentes activités, précise Dominique Sestillange, directeur promotion prescription et produits spéciaux chez CemexFrance. Tout lui sera dévoilé sur la plate-forme de Gennevilliers comme le recyclage des matériaux ou encore sur notre logistique fluviale. »
Il y a 2 ans et 204 jours

Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle »

Ariane Constructions achève, à Bordeaux, ses deux premières maisons individuelles référencées « Cradle to Cradle ». Pour être certifié, le projet a dû utiliser des matériaux recyclables, sains et sobres en carbone. Reportage. Rien ne distingue d’un chantier traditionnel ces deux maisons en construction au numéro 141 de la rue Jude, à Bordeaux (33) : un sol boueux, des blocs béton qui attendent leur enduit de finition, des ouvriers qui s’affairent, des matériaux de construction entreposés çà et là&#8230; Et pourtant, ce chantier est unique en son genre. Fin 2022, s’élèveront ici les deux premières maisons certifiées Cradle to Cradle (C2C) en France. Sur ce marché de la maison individuelle d’ordinaire si peu concerné par la cause environnementale, le constructeur Ariane Constructions (groupe Cina &#8211; Compa­gnie immobilière Nouvelle-­Aquitaine) se distingue : « L’idée était d’envoyer un signal qui soit déterminant pour ce marché. Lequel est parfois chahuté par les pouvoirs et politiques publics qui ne l’encouragent guère… Alors que s’exprime un réel désir de maison individuelle », note Philippe Petiot, président du directoire du groupe Cina. Le signal, c’est le C2C, présenté comme un bon compromis entre les attentes des Français et les exigences environnementales de la réglementation.   Passeports circulaires &nbsp; La démarche « Cradle to Cradle », littéralement « du berceau au berceau », tire sa genèse de l’organisation du même nom. Cette dernière évalue les matériaux en fonction de leurs performances et selon des exigences scientifiques, dans cinq catégories de durabilité : réutilisation des matériaux, utilisation de matériaux sains, recours à des énergies renouvelables et à une gestion du carbone, gestion de l’eau, responsabilité sociétale. Après évaluation, une certification Cradle to Cradle Certified est délivrée en conséquence. « Le principal défi de cette démarche a été d’embarquer avec nous tout un panel d’industriels et les amener à faire certifier leurs produits, par exemple sur la non-toxicité des matériaux, leur réutilisation en fin de cycle de vie, leur bilan carbone, la consommation d’énergie (à la production et à l’usage, NDLR), etc. », détaille Pierre Philippe, directeur achats du groupe Cina. Dans cette optique, Ariane Constructions s’est associée au bureau d’études Upcyclea, spécialisé dans l’économie circulaire et dans la certification C2C. Sur la base d’audits, les produits des industriels sont ainsi évalués, de même leurs fournisseurs ou encore la traçabilité des matériaux. Upcyclea délivre ensuite un passeport établi selon les critères de la norme Cradle to Cradle. Passeport qui facilite le calcul de l’empreinte carbone des matériaux, leur degré de circularité et de non-toxicité. À noter, la certification C2C doit être renouvelée chaque année. Précision importante : « Tous les industriels (travaillant sur le chantier, NDLR) ne sont pas certifiés Cradle to Cradle. Mais tous ont dû remplir le passeport circulaire et communiquer sur leurs produits. Ensuite, nous avons sélectionné ceux qui étaient les mieux valorisés afin de ne pas pénaliser le projet, détaille Candie Serre, directrice d’Ariane Constructions. Un noyau dur de partenaires est certifié et nous disposons de toute une gamme d’entreprises, qui s’inscrit dans la démarche. » Concrètement, seuls cinq industriels sont certifiés Cradle to Cradle sur ce chantier : Actis pour les isolants minces Hybris, Tarkett pour les sols souples, Siniat pour les plaques de plâtre, Grohe pour l’équipement sanitaire et Schneider pour l’installation électrique. Selon Ariane, sur les soixante-quinze produits de construction utilisés pour réaliser ces deux logements, dix-sept d’entre eux sont considérés comme répondant aux exigences C2C sans pour autant être certifiés, et représentent à eux seuls 71 % de la masse de la maison. Lucien Brenet   Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription Actis « Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. » « Lorsque nous avons été sollicités par Ariane pour ce projet, nous n’étions pas certifiés Cradle to Cradle (C2C). Mais nous nous inscrivions déjà dans une démarche responsable, de la production de nos produits jusqu’à la pose, et nous étions engagés dans le processus de fabrication de l’Hybris. La certification était pour Actis une conséquence logique. Nous avons donc suivi de longues démarches, afin d’obtenir le passeport Upcyclea. Notamment plusieurs audits internes de nos fournisseurs pour s’assurer de la traçabilité de nos matériaux – Actis a lui-même été audité, NDLR. Et la certification n’est pas non plus acquise pour toujours. Nous devons donc rechercher une amélioration perpétuelle de nos process car, l’année prochaine, nous serons une nouvelle fois audités pour déterminer si nous pouvons conserver la certification C2C. » 1/ Recyclage et réduction de l’empreinte carbone Les deux logements C2C renferment plusieurs produits recyclables, conçus en partie à base de matériaux eux-mêmes recyclés. Ainsi, les isolants Hybris d’Actis, utilisés pour les murs et les rampants, renferment 15 à 20 % de polyéthylène recyclé. « À l’intérieur de l’usine, nous récupérons toutes les chutes de produits de fabrication et les réinjectons dans le processus pour les transformer en billes de polyéthylène qui deviendront plus tard des isolants », détaille Mathieu Lassalle, chargé d’affaires prescription chez Actis. Le produit, lui, est composé à partir de polyéthylène basse densité (PEBD), bien sûr recyclé. Bien que constitué de matière plastique, Hybris est donc recyclable à 100 % et à l’infini, assure l’industriel. Également issus du recyclage, le plâtre, à hauteur de 30 %, utilisé dans la fabrication des plaques Siniat, les plastiques (20 %) composant les entrevous (KP1). Ou encore les granulats (40 %) entrant dans la composition du béton des parpaings Airium (Lafarge Holcim). Chaque parpaing est ici rempli de mousse isolante recyclable, composée de 5 % de ciment et 95 % d’air. Dans sa recherche de matériaux plus vertueux, Ariane Constructions assure discuter avec Lafarge-Holcim sur la possible fourniture de bétons décarbonés à 70 %. À suivre. N’oublions pas les revêtements de façade Parexlanco, également recyclables et réinjectables. Les déchets de chantier sont récupérés, triés, puis réintroduits dans les circuits de production des industriels.Photo : Ariane Constructions &nbsp;  Le taux de CO2 du béton utilisé pour les fondations a été réduit de 20 %.Photo : Ariane Constructions 2/ Non-toxicité des matériaux Autre pilier de la démarche, l’innocuité des matériaux de construction. À base de produits naturels, la formule des peintures Unikalo qui sera appliquée en finition n’entraîne aucun rejet nocif ou toxique. Elle est labellisée NF environnement et attestée Zone Verte Excell. Autre exemple avec l’isolant Hybris (Actis), qui ne dégage ni COV ni particule nocive (formaldéhyde, phénol&#8230;) ou irritante. Et ce, pendant toute sa durée de vie. Le produit est d’ailleurs classé A+ pour la qualité de l’air intérieur (QAI), selon la norme NF EN ISO 16000. Tout aussi indispensable pour une bonne QAI, le système de ventilation simple flux Health Box 3.0 (Renson) est équipé d’un extracteur de CO2 dans les pièces de vie et d’un extracteur d’humidité dans les pièces techniques. Lesquels s’enclenchent lorsque les capteurs disséminés dans le logement détectent le moindre dépassement de seuils.  L’ensemble des produits et systèmes utilisés sont classé A+ ou A pour la qualité de l’air intérieur.Photo : Ariane Constructions  Les blocs béton intègrent la mousse minérale isolante Airium de Lafarge Holcim. Les parpaings sont mis en œuvre à joints minces. Atouts : facilité de pose, absence de ponts thermiques par les joints, réduction de matière et diminution de la consommation d’eau.Photo : Ariane Constructions  Le film réflecteur de l’isolant renvoie jusqu’à 95 % des rayonnements solaires vers l’extérieur en été, et permet au contraire de conserver, en hiver, la chaleur à l’intérieur.Photo : Ariane Constructions 3/ Réduire les consommations d’énergie Les logements ne sont pas autosuffisants. Mais selon les concepteurs, ils se situent entre la maison passive et un projet RE2020. Dans le cas présent, Ariane assure gagner de 5 à 6 °C en confort d’été par rapport à un chantier traditionnel. Et ce, grâce aux produits comme l’isolant Hybris (Actis) – « À lui seul, il fait gagner jusqu’à 2 °C de confort d’été », souligne le fabricant –, les plafonds rafraîchissants Plafino d’Innovert (Atlantic), les blocs béton Airium de Lafarge Holcim, la box domotique Somfy qui, équipée d’une horloge crépusculaire, gère automatiquement les ouvrants. Tous ces éléments permettent de réduire la climatisation en été et en chauffage l’hiver. La pompe à chaleur Alféa Extensa A.I R32 d’Atlantic est, quant à elle, dotée d’un régulateur de température Inverter. Ce dernier optimise la consommation de la PAC en adaptant son régime aux besoins. Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Deux maisons individuelles certifiées « Cradle to Cradle » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 210 jours

Concilier travaux en secteur protégé et transition énergétique

A Caen, une maison destinée à être basse consommation (BBC) au cœur du Secteur Patrimonial Remarquable (SPR) est en cours de rénovation. Ce projet validé et accompagné par l’UDAP du Calvados présente une double contrainte : respecter l’environnement et le patrimoine. A l’appui de cette opération, la Maison de l’habitat mais aussi une architecte. Accompagnées et aidées (MaprimeRénov), ces opérations de rénovation rentrent en adéquation avec le plan d’urbanisme et permettent une conduite sereine du chantier. Depuis 2021, la ville de Caen est classé site patrimonial remarquable. Son périmètre s’étend sur 712 ha qui englobent le centre ancien, la ville classique, la ville de le reconstruction et les faubourgs du XIXe et début XXe. Le SPR dispose d’un outil de gestion, le règlement de l’aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine. Comme tous les règlements, celui du SPR de Caen est un recueil de prescriptions. Les élus ont souhaité également qu’il ait une portée pédagogique. Cette volonté se traduit de deux façons, dans la présentation du document d’une part, dans l’instauration de permanences hebdomadaires d’autres part, où les demandeurs rencontrent les élus, les services techniques et l’architecte des bâtiments de France. Cette démarche collégiale vers le public permet de conseiller et d’accompagner les maîtres d’ouvrage dans leurs projets situés en SPR. En jeu, concilier valorisation du patrimoine et transition écologique. Source et photo : Drac Normandie &nbsp;
Il y a 2 ans et 216 jours

La canalisation d'un voisin peut parfois être supprimée

A l'origine de l'affaire, un habitant avait demandé à son voisin du dessus de supprimer des canalisations d'égout qui traversaient son lot selon un accord ancien. Mais devant les travaux à réaliser, le bénéficiaire de cette servitude refusait. De plus, plaidait-il, l'installation ayant déjà quarante ans, étant connue et visible, elle est définitivement acquise par la prescription trentenaire.C'est une erreur, a observé la Cour de cassation. Le bénéfice d'une servitude chez le voisin ne peut être définitivement acquis au bout de trente ans que s'il s'agit d'une servitude apparente et continue, c'est-à-dire visible et utilisée en permanence. Alors que des tuyaux d'égout, s'ils sont apparents, ne sont utilisés que lors d'une action humaine, donc par intermittence. Ce qui ne serait pas le cas d'une évacuation d'eaux pluviales utilisée sans intervention humaine, donc en permanence, selon la jurisprudence de la Cour.Celle-ci précise qu'une servitude "discontinue" s'éteint si elle n'est pas utilisée, contrairement à la servitude continue...(Cass. Civ 3, 17.6.2021, T 20-19.968).
Il y a 2 ans et 232 jours

Les industriels de la prescription aussi accélèrent sur la transition écologique

DÉVELOPPEMENT DURABLE. À l'occasion de la célébration de ses 35 ans, le Groupement des industriels de la prescription (Gip) a réaffirmé sa volonté de s'inscrire dans la transition écologique et la sobriété énergétique. Pour ce faire, l'organisation crée une commission interne dédiée à l'environnement, et vient de publier un livre blanc consacré à l'économie circulaire.
Il y a 2 ans et 237 jours

Le syndicat de copropriétaires n'est pas un consommateur

Un syndicat de copropriétaires ne peut pas revendiquer la qualité de consommateur et les droits qui y sont attachés, comme la prescription rapide de ses dettes vis-à-vis des entreprises.
Il y a 2 ans et 246 jours

La parole à Actis Isolation – Bati Journal TV sur Batimat 2022

Actis isolation présente sa nouvelle technologie X Air sur Batimat et continue de proposer des solutions économiques d&#8217;isolation avec Thomas THIERRY, Directeur de la Prescription &#8211; Actis Isolation &nbsp; &nbsp; Cet article La parole à Actis Isolation – Bati Journal TV sur Batimat 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 246 jours

La parole au SNBVI – Bati Journal TV sur Batimat 2022

Premier épisode de trois émissions pour aborder la façade ventilée, comment la façade ventilée s&#8217;inscrit dans la RE2020 avec Stéphane Lambert, Responsable BE &#8211; Faynot Industrie SA / Président du SNBVI Clément Estier, Directeur Prescription &#8211; Wienerberger / Membre du SNBVI &nbsp; &nbsp;
Il y a 2 ans et 253 jours

Islande : Trois mois pour un nouveau tarmac

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine. L’agrandissement du tarmac a été réalisé à partir de 31 bandes individuelles reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. [©Wirtgen] A environ 50 km au Sud-Ouest de Reykjavik, la capitale de l’Islande, se situe la ville portuaire de Keflavík. Pourtant, ce n’est pas du côté des navires marchands qu’il faut regarder, mais de celui de l’aéroport. En effet, le tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses (dans la partie militaire) viennent de faire l’objet d’un agrandissement. De 6,5 ha, pour le premier, et d’un peu plus de 9 000 m2, pour la seconde. Des travaux exécutés sous l’égide du gouvernement américain, maître d’ouvrage du projet. D’où une référence au système de mesure impérial utilisé aux Etats-Unis, retranscrit ici en données métriques&#8230; Mais c’est bien l’entreprise allemande Hib Infra (à travers sa filiale locale Hib Iceland) qui a décroché le contrat de réalisation. En raison des conditions climatiques du pays, le chantier a été planifié de début juillet à fin septembre 2021. La surface à réaliser a été divisée en 31 bandes individuelles de béton, reliées entre elles par des tirants d’ancrage latéraux. Côté matériels, l’entreprise a opté pour la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen. Cette dernière a travaillé par couche de 7,62 m de large pour une épaisseur allant de 41 cm à 45 cm. Soit une moyenne de 900 m3 de béton posés par jour. Une planéité supérieure aux exigences Sans nécessité d’essais pratiques, il a été possible de réaliser presque immédiatement les premières bandes pilotes. Tout de suite, celles-ci ont présenté une qualité optimale dans tous les paramètres exigés. A savoir, le compactage du béton, sa résistance à la compression, la rugosité de la surface ou encore son adhérence. Les exigences relatives à la planéité des surfaces aéroportuaires sont aussi très élevées. Sur l’aéroport de Keflavík, l’irrégularité maximale autorisée était de 4 mm sur 4 m. La mesure réalisée selon les prescriptions techniques d’essai de planéité (système allemand TP Eben 2007) a toutefois montré que les écarts étaient nettement plus faibles. Sur l’aéroport de Keflavik, la machine à coffrage glissant SP 62i de Wirtgen a assuré la pose précise de béton en une couche de 7,62 m de large et d’une épaisseur entre 41 cm et 45 cm. [©Wirtgen]Le béton a été posé à l’aide d’une pelle mécanique œuvrant devant la SP 62i, puis régulé de manière homogène avec la lame de répartition de la machine. [©Wirtgen] Des bords verticaux de 90° sont indispensables pour assurer une parfaite liaison avec la bande suivante. [©Wirtgen]« Le secret de notre réussite réside dans le travail d’équipe. C’est pourquoi nous apprécions notre partenariat de longue date avec Wirtgen, qui sait fournir des solutions pour la réussite de nos projets », explique Matthias Neumann, gérant de l’entreprise Hib Infra. [©Wirtgen] Donc la planéité obtenue bien supérieure aux exigences. Idem pour le profil&nbsp;: le dévers était très réduit, de l’ordre de 1 % à Keflavík. Des critères de qualité que seules, une équipe bien rodée et la technologie adaptée permettaient d’atteindre. En effet, le SP 62i intègre un système de nivellement et de direction de haute précision, ainsi qu’un talochage longitudinal automatique. «&nbsp;Sur ce projet, nous avons vécu une excellente collaboration avec l’équipe de Wirtgen. Ainsi, nous avons pu connaître un chantier au déroulement presque sans heurt », explique Hendrik Wendt, chef de chantier et spécialiste du béton de l’entreprise Hib Infra & Co. Un béton d’une classe de résistance C35/45 «&nbsp;Afin de tenir les délais annoncés, nous avons renoncé à la pose préalable de coffrages fixes pour chaque bande&nbsp;», reprend Hendrik Wendt. Aussi, les bords extérieurs de ces bandes ont représenté un véritable défi pour la pose à l’aide d’une machine à coffrage glissant SP 62i. Ils devaient être parfaitement perpendiculaires et avec netteté sur toute la longueur, pour ne pas se désolidariser. C’était là l’unique solution permettant d’évacuer l’eau de pluie correctement pendant l’exploitation. D’une manière générale, un béton est toujours fabriqué à partir de ciment, d’eau et de différents granulats. Pour pouvoir répondre aux exigences découlant des contraintes d’usages auxquelles le nouveau tarmac et la zone réservée aux matières dangereuses seront soumis, des coupures granulaires supplémentaires ont été nécessaires&#8230; De même qu’une étude plus approfondie de ces composants. Enfin, les exigences liées à l’agrandissement de l’aéroport de Keflavík imposaient un béton de la classe de résistance C35/45. Une formulation mise en place avec les techniciens d’application de Wirtgen et optimisée pour la pose avec une machine à coffrage glissant. Une démarche tout à fait classique pour atteindre les niveaux de qualité élevée, malgré un délai contraint. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 255 jours

Juridique : Les obligations de l’architecte

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine L’architecte est tenu à une obligation de conseil. [©ACPresse] Comme toutes les professions réglementées, l’architecte obéit à un code des devoirs professionnels. Le manquement à ces règles peut constituer une faute professionnelle susceptible de sanctions. Mais quelles sont ses obligations&nbsp;? Obligation générale de conseil En sa qualité de professionnel du bâtiment, l’architecte est tenu d’une obligation générale de conseil sur l’ensemble des aspects du projet et pendant toute la durée de sa mission. Il doit satisfaire à ce devoir en temps utile, afin de permettre au maître d’ouvrage de mesurer les risques et les aléas du projet2. Par ailleurs, il doit être complet et précis dans l’accomplissement de ce devoir, ne pouvant se contenter de&nbsp;« rares recommandations peu contraignantes et inefficaces3&nbsp;». Il doit ainsi aller jusqu’à ne pas retenir les choix du maître d’ouvrage s’ils compromettent la solidité de l’ouvrage4. Son devoir de conseil englobe deux points importants&nbsp;: • une obligation de se renseigner sur la destination de l’ouvrage et les souhaits&nbsp;de son client, même en cas de silence de ce dernier5&nbsp;(par exemple, au regard de l’accessibilité aux personnes handicapées6&nbsp;ou des prescriptions techniques administratives propres à certains projets7). • une obligation de collaboration avec les autres maîtres d’œuvre et les entreprises dans l’intérêt de l’opération8. Comme pour toutes les obligations professionnelles de conseil, il revient à celui qui y est soumis de démontrer qu’il y a satisfait9. Le devoir de conseil de l’architecte subsiste enfin en présence d’un maître d’ouvrage notoirement compétent10.&nbsp; Obligations techniques spécifiques Lors de la conception du projet,&nbsp;l’architecte doit garantir sa faisabilité au regard de l’existant, notamment en tenant compte des contraintes du sous-sol ou des constructions voisines11, en étant responsable du choix des matériaux12&nbsp;et du respect des&nbsp;règles de l’art13. Lors de la passation des marchés, l’architecte procède à l’analyse comparative&nbsp;des offres des entreprises, vérifie leurs qualifications et assurances14. Pendant l’exécution des travaux, il organise et dirige les réunions de chantier, coordonne les entreprises, vérifie l’avancement des travaux et leur conformité avec le marché15. A l’issue des travaux, il signale au maître d’ouvrage les désordres apparents à la réception et suit le déroulement des reprises liées aux réserves16. Enfin, il est soumis à des obligations comptables, juridiques et déontologiques classiques pour sa profession&nbsp;: respect du budget et vérification des décomptes, conformité aux règles d’urbanisme, de mitoyenneté et de copropriété, établissement d’une lettre de mission écrite et préalable, et obligation d’intégrité. Naturellement, il doit justifier d’une assurance décennale et d’une assurance professionnelle. Pierre LacoinAvocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats Légendes 1Cass. 3e civ., 3 juill. 2016, n° 94-18.377.2CA Paris, 23e ch. civ., sect. A, 22 mars 2000 : AJDI 2000, p. 530.3Cass. 3e civ., 22 nov. 2000, n° 99-12.182.4Cass. 3e civ., 13 janv. 1982 : JurisData n° 1982-700043 ; JCP G 1982, IV, p. 115.5Cass. 3e civ., 30 nov. 2011, n° 10-21.273.6Cass. 3e civ., 12 oct. 2017, n° 16-23.982.7Cass. 3e civ., 9 mai 2015, n° 14-13.178.8Cass. 3e civ., 2 juin 2016, n° 15-16.981.9Cass. 3e civ., 17 déc. 2013, n° 12-28.019.10Cass. 3e civ., 23 mars 2017, n° 15-16.077.11Cass. 3e civ., 24 mai 1989, n° 87-19.169.12Cass. 3e civ., 20 oct. 1993, n° 92-10.782.13Règles qui correspondent à l’état de la technique au moment de la conception et de la réalisation de l’ouvrage. Elles sont pour partie codifiées, notamment dans les DTU et les normes Afnor - (CE, 5 févr. 1998, n° 35687, Ville de Paris/Sté Linville).14Cass. 3e civ., 17 déc. 1997, n° 96-11.83.15CA Metz, 22 sept. 2015, n° 13/02233.16Cass. 3e civ., 30 oct. 1991, n° 90-12.993. Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 261 jours

comment simplifier votre veille chantier et accelerer votre business

Acteurs de la construction et de la prescription, vous souhaitez identifier les meilleures opportunités d’affaires avec un maximum d’impact et d’efficacité. Il est temps de passer à une approche structurée, en appui sur une solution professionnelle pensée pour les professionnels ! La nouvelle plateforme développée par EXPLORE répond à vos besoins spécifiques pour détecter de nouveaux chantiers et identifier leurs acteurs.
Il y a 2 ans et 262 jours

Rector &amp; Techniwood : l’association de la préfabrication industrielle béton et bois pour une décarbonation intelligente des bâtiments

Pour son retour sur le salon BATIMAT, RECTOR, spécialiste de la préfabrication d’éléments en béton, a ainsi souhaité partager son stand avec TECHNIWOOD, industriel français leader des façades biosourcées préfabriquées en bois. Cette association a pour objectif de proposer des solutions de préfabrication industrielle bois et béton hors-site pour une décarbonation intelligente des bâtiments.Une vision partagée de la construction durable et de la construction hors-siteGrâce à ses gammes de produits et systèmes préfabriqués bas carbone, RECTOR est résolument engagée en faveur de la décarbonation, démarche qui s’inscrit dans la stratégie RSE de l’entreprise.Spécialisé depuis 10 ans dans la fabrication de systèmes constructifs en bois (ossature bois, charpente, CLT) et particulièrement de façades bois préfabriquées avec son produit innovant Panobloc® 100% made in France, le groupe TECHNIWOOD affiche également sa volonté de s’inscrire dans une démarche vertueuse en faveur de la transition énergétique.Pour Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique de Rector : « Nous avons eu l’occasion de rencontrer les équipes de Techniwood sur des actions de prescription commune, et très rapidement, nous avons réalisé que nos visions et nos valeurs étaient très proches. »Les deux entreprises croient en la complémentarité des matériaux béton et bois car chacun dispose d’atouts propres qui justifient leur mise en œuvre au meilleur endroit pour répondre aux contraintes des bâtiments durables (thermique, acoustique, feu, bas carbone,...).Pour favoriser le développement de la construction hors-site, RECTOR et TECHNIWOOD sont convaincus qu’il est primordial de :s’appuyer sur les compétences des entreprises générales et de gros œuvre et de les accompagner, le plus en amont possible dans la transition vers un changement des modes constructifs ;proposer des solutions innovantes industrialisées laissant libre cours à la créativité des architectes. Celles-ci ne doivent pas nécessiter de techniques de mise en œuvre trop disruptives pour accélérer les délais de construction et maintenir le logement à un niveau de prix acceptable ;viser l’excellence industrielle grâce à l’utilisation d’outils numériques, tels que le configurateur Caméléo® de RECTOR, compatibles avec l’accélération des chantiers BIM.Des systèmes complémentaires pour porter une offre globaleAyant pour ambition commune d’être la référence dans son domaine pour la construction durable, les deux entreprises s’appuient sur une offre réunissant :la structure plancher-dalle préfabriquée en béton bas carbone Caméléo® sans mur porteur de RECTOR, qui intègre tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Composé d’une trame de poteaux et d’une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps. Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de séparatifs lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd’hui s’adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l’ouvrage en choisissant judicieusement l’emplacement des poteaux. RECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l’impact environnemental des reconversions. L’écoconception de Caméléo® privilégie systématiquement le bon matériau au bon endroit et accompagne dès les premières esquisses la mixité constructive et tout particulièrement le bois.le panneau de façades éco conçu Panobloc® CLT à isolation intégrée de TECHNIWOOD qui garantit une excellente performance de l’enveloppe du bâtiment (au niveau thermique, feu et carbone) et une mise hors d’eau et hors d’air plus rapide du chantier. Panobloc® est un treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés composé d’une alternance de lames de bois massifs et de bandes isolantes de remplissage occupant l’espace libre entre les lames de bois. Fabriqués grâce à un process industriel totalement automatisé sous assurance qualité, les panneaux de façade Panobloc® ont un impact carbone négatif. Ils apportent une grande qualité d’usage et de confort aux occupants (isolation thermique et acoustique, qualité de l’air, ...).Ce système combiné offre tous les bénéfices de la préfabrication (gain de temps, de ressources, de coûts et réduction des nuisances sur chantier) tout en garantissant un bâtiment pérenne, à impact carbone fortement réduit, conforme à la RE2020.
Il y a 2 ans et 265 jours

Nouvelle édition pour Les Rendez-Vous de la Matière

Le rendez-vous annuel dédié aux professionnels de l&#8217;architecture, du design et de l&#8217;aménagement intérieur. Grâce à un positionnement atypique croisant des matériaux d&#8217;exception et des solutions industrielles, les RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), sont devenus un acteur immanquable de la prescription. Au fil des années le salon s&#8217;est démarqué en créant une synergie des différents réseaux &#8211; industriels, artisans, designers&#8230; promesse de forte valeur ajoutée pour les visiteurs prescripteurs. La collaboration de MVRDV à cette 8e édition souligne l&#8217;importance des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E)  sur la scène architecturale. Cette 8e édition se tiendra à l&#8217;Atelier Richelieu à Paris, hôtel particulier et ancienne imprimerie du magazine &#8220;L&#8217;illustration&#8221; les 11 et 12 octobre prochain. Deux jours de rencontres autour d&#8217;un concept scénographique immersif © Sophia Goigoux-Becker Le format de l&#8217;événement permet d&#8217;associer un lieu hors du commun au dynamisme d&#8217;un salon professionnel grâce une scénographie immersive. MVRDV et Sophia Goigoux-Becker déclineront des modules aux formes géométriques et architecturales créant ainsi une géographie harmonieuse valorisant la découverte des matériaux et les rencontres. La scénographie immersive viendra stimuler l&#8217;imagination, révéler les potentialités des matières et mettre en valeur l&#8217;excellence des concepteurs exposants. À l&#8217;occasion des RENDEZ-VOUS DE LA MATIÈRE + FAIR(E), venez rencontrer et assister aux conférences et tables rondes en présence de grands noms de l&#8217;architecture, du design et de l&#8217;industrie. >> Découvrez le programme de toutes les conférences &nbsp;
Il y a 2 ans et 306 jours

La collection Organic s'enrichit de nouvelles baffles acoustiques

En neuf comme en rénovation, Organic Claustra et Organic Factory se destinent tout particulièrement aux ERP (hôtels, brasseries, restaurants…), et aux bâtiments tertiaires (bureaux, open space, locaux d’entreprises...), hors locaux humides. La collection Organic sera à découvrir sur BATIMAT, (Pavillon 1, espace K66), du 3 au 6 octobre prochain à la Porte de Versailles. Organic Claustra : une séparation esthétique des espaces doublée d’une absorption acoustique idéale Baffle acoustique rectangulaire sur câbles, superposable et modulable, Organic Claustra séduit d’emblée par l’étendue de ses possibilités. Permettant tout à la fois de rythmer les espaces, les personnaliser à souhait, cette nouvelle solution Knauf traite efficacement l’acoustique.Disponibles dans l’éventail des 25 coloris de la collection Organic, mais également en Organic Creative Impression (personnalisation par impression monochome ou polychrome de motifs) ces nouvelles baffles Organic sont proposées en plusieurs dimensions (1955/1155/955 x 295/600) pour une épaisseur de 35 mm. Le champ des possibles est ainsi varié pour répondre à toutes les envies de créations audacieuses.Avec une masse surfacique de 17 kg/m2, Organic Claustra revendique une réaction au feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour le coloris White.De plus, ces nouvelles baffles Organic Claustra affichent des performances acoustiques allant jusqu’à aw 0,50 pour améliorer le confort sonore des usagers.S’adaptant à tous types de supports, ces baffles offrent également une grande facilité d’installation grâce à un ingénieux et discret kit de suspension comprenant deux câbles fixés au sol et au plafond, vendus séparément (câbles de 4 mètres de long, avec deux fixations déco plafond et 2 fixations déco sol), les dalles étant maintenues sur les côtés.Organic Factory : des baffles acoustiques verticales suspendues en toute légèreté Autre innovation signée Knauf, Organic Factory, un nouveau système de baffles acoustiques de plafonds sur câbles, au style industriel, minimaliste et épuré, jouant à 100 % l’effet matière.Le prescripteur et l’acousticien pourront donc à loisir rythmer et jouer sur les divers formats proposés pour des créations uniques qui se démarquent et se remarquent, tout en étant des sources de confort sonore et visuel.Disponibles en plusieurs dimensions (1000/1200/2000 x 600/295 x 35 mm), les baffles Organic Factory se déclinent dans l’intégralité de la palette de couleurs du nuancier Organic, pour toujours plus d’audace architecturale.Les baffles Organic Factory sont équipées en usine de 2 fixations permettant une installation aisée, sûre et pérenne grâce au kit de câbles et de fixation (vendus séparément) qui comporte deux fixations déco plafonds, 2 câbles de 1 mètre et 2 embouts déco tarraudés M6.Côté performances, Organic Factory affiche le même niveau d’exigences et de résultats qu’Organic Claustra, à savoir, une absorption acoustique allant jusqu’à w 0,50, une réaction feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour la référence White.Organic, une gamme biosourcée et fabriquée dans la seule usine de laine de bois en France Les dalles Organic sont issues de la seule usine de laine de bois en France, implantée en Haute-Saône. Organic est un produit biosourcé (laine de bois d’épicéa de 1 mm issue d’exploitations locales situées à moins de 200 km du site de production, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche). Ces dalles sont particulièrement appréciées et prescrites de plus en plus, en particulier dans le cadre de chantiers à approche environnementale.Organic répond totalement aux exigences des constructions HQE®, LEED et BREEAM, et justifie du label Zone Verte Excell Gold et de la meilleure classe d’émission française dans l’air intérieur A+. Outre ses qualités esthétiques, avec une large palette de couleurs et la personnalisation à souhait, Organic est aussi reconnu pour ses qualités techniques. D’un point de vue acoustique, la laine de bois permet en effet de maîtriser la réverbération des bruits et garantit ainsi un confort acoustique remarquable dans toutes les situations données.Organic sur Knaufstudio.fr, comme source d’inspiration La collection Organic est à retrouver sur le site Knaufstudio.fr. Cet espace, dédié aux acteurs de la prescription, fait la part belle à l’esthétique, la matière, l’inspiration et la créativité pour les accompagner dans la signature de projets architecturaux uniques.Pour Emmanuel Blaudez, Chef de Marché Plafonds : « Avec Organic Claustra et Organic Factory, Knauf offre aux prescripteurs de nouvelles perspectives dans l’univers des baffles acoustiques, pour des réalisations qui conjuguent créativité et performances. L’origine naturelle et biosourcée d’Organic répond également aux attentes des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour des bâtiments plus responsables. »
Il y a 2 ans et 317 jours

Le Grand Prix de l’urbanisme 2022 décerné à Franck Boutté

Créé en 1989, le Grand Prix de l’urbanisme distingue chaque année une personnalité reconnue par un jury international. Il valorise l’action des professionnels qui contribuent à faire avancer la discipline et à améliorer le cadre de vie des habitants de tous les territoires.Cette année, le jury a désigné Franck Boutté pour sa démarche pionnière sur l’ingénierie environnementale des projets architecturaux, urbains et territoriaux. Sa double approche d’ingénieur et de concepteur, et son positionnement de conseil et d’assistance à maîtrise d’ouvrage, lui permettent de réinterroger les projets à l’aune de solutions innovantes mais aussi contextuelles voire vernaculaires. Ses réalisations démontrent qu’il est possible de proposer des projets énergétiquement plus sobres, plus résilients face au changement climatique, mais aussi plus agréables à vivre.Franck BouttéFranck Boutté, né le 27 avril 1968, a fondé une agence de conception et d’ingénierie environnementale, Franck Boutté Consultants. Son agence développe depuis plus 15 ans des concepts et méthodologies, des stratégies et des solutions concrètes visant à améliorer la soutenabilité et l’habitabilité des territoires et des bâtiments, en intervenant à toutes les étapes des projets et à toutes les échelles, dans une approche à la fois contextuelle et soucieuse d’effets induits positifs sur leur territoire d’accueil.Coordonnateur en 2003 d’un guide sur la construction durable, puis très vite engagé sur de nombreux projets de bâtiments à faible impact environnemental, il élargit progressivement son champ de réflexion et d’action au « projet urbain », en cherchant à une échelle plus large que celle du périmètre d’intervention les leviers de soutenabilité les plus efficients.En réaction au modèle du bâtiment à énergie positive, il formalise en 2010 le concept de TEGPOS, territoire à énergie globale positive, pour revendiquer le passage nécessaire du bâtiment au territoire et la prise en compte des multiples composantes de l’énergie.Au Maroc, à Casablanca (Anfa et Zenata), il travaille avec Bernard Reichen sur l’écologie méditerranéenne, renouant avec des savoirs vernaculaires et l’art « de l’ombre et du vent », essentiels en l’Europe à l’ère du réchauffement climatique.Pour le projet d’aménagement de l’Île de Nantes, il invente avec son équipe une charte de développement durable et une méthodologie de prescriptions négociées, basée sur des « figures de durabilité », dans la continuité de la réflexion déjà entreprise lors du plan guide d’Alexandre Chemetoff.A plus grande échelle, sa collaboration avec François Leclercq sur le SCOT de Montpellier lui offre l’opportunité de faire naître un projet de territoire qualitatif traitant de la revitalisation urbaine dans une démarche métaboliste intégrant les risques et valorisant l’eau, la nature, l’agriculture, et l’énergie.Il est également mobilisé avec l’agence Richez et Léonard sur le projet de la Rue commune qui vise à fournir aux collectivités et aux organisations citoyennes un cadre et des outils pour engager la transition de rues ordinaires en « communs », à l’heure de la ville post-carbone.Récemment lauréat avec le paysagiste Bas Smets des abords de Notre Dame, il imagine avec l’équipe un mode de refroidissement du sol, prévenant la formation d’îlots de chaleur urbains.Il défend « la part inconstructible des territoires » par un réseau de « vides » sanctuarisés. Et propose des trajectoires pour guider la transition écologique des territoires : la restauration des écosystèmes naturels, la neutralité carbone, la dimension inductive et régénérative des projets sur le territoire et leur capacité engageante vis-à-vis des citoyens. A cet égard, il participe à un renouvellement de la dimension politique de l’urbanisme.C’est un méthodologue, il dit construire sa pensée grâce à son action : « Je ne peux pas dissocier la pensée de l’action. Je m’intéresse plus à ce que je fais qu’à ce que je pense. »Le Jury a salué la qualité des 6 autres équipes ou personnalités sélectionnées : Dominique Alba, directrice générale de l’APUR ; Nicolas Detrie, créateur de Yes we camp ; Sebastien Marot, philosophe chercheur et enseignant, Claire Schorter, Simon Teyssou et l’agence TVK, architectes-urbanistes.Leur apport est immense combiné à celui du lauréat en offrant des perspectives d’avenir à l’urbanisme telles que la nécessité de changer de modèle, de méthodes voire de société avec un degré différent de radicalité. Ils évoquent l’évolution du jeu des acteurs, la plupart partant du projet, source de leçons et d’expérimentation, mais aussi de lectures, d’écrits, de rencontres, pour ouvrir des perspectives pour la diversité des territoires des plus métropolitains aux plus ruraux. Ils privilégient la mise en relation des espaces, mais surtout des sujets, en défendant la sobriété, déplorant la financiarisation, source de renchérissement des villes, et privilégiant l’entrée environnementale mais aussi le collectif, au sein des équipes, avec d’autres équipes, avec des spécialistes voire avec les habitants ou les preneurs d’initiatives. Ils appellent à partager les enjeux, et dépasser les controverses, pour faire la ville et la vie meilleures.Le Jury du Grand Prix de l’urbanisme 2022La PrésidenteStéphanie DUPUY-LYON, Directrice générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) *Les membresLes personnalités internationalesPhilippe CLOSE, Maire de Bruxelles.Paola VIGANO, Grand Prix de l’Urbanisme 2013.Les professionnelsÉric BAZARD, Président du club ville aménagement.Alain BOURDIN, professeur à l’Ecole d’urbanisme de Paris et directeur de la Revue Internationale d’Urbanisme.Fabienne BOUDON, Particules, lauréate Palmarès des jeunes urbanistes 2018.Gérard PENOT, Grand prix de l'urbanisme 2015.Caroline POULIN, l'AUC, Grand prix de l'urbanisme 2021.Hélène PESKINE, Secrétaire permanente du PUCA.Les personnalités qualifiéesMarie Douce ALBERT, Journaliste au Moniteur.Emeline CAZI, Journaliste au Monde.Ministère de la Culture et de la CommunicationAurélie COUSI, Directrice chargée de l'architecture, adjointe au directeur général des patrimoines, ministère de la culture et de la communication *Nota : * l’étoile désigne les membres de droit
Il y a 2 ans et 320 jours

Dans la construction, la garantie de dix ans ne se prolonge jamais

Quelle que soit l'attitude de cette entreprise, qu'elle reconnaisse ou non sa responsabilité sur un mauvais travail et qu'elle y remédie, ce délai de garantie de dix ans ne sera pas relancé.La Cour avait été saisie par un assureur qui avait été condamné à payer des reprises de travaux défectueux plus de dix ans après la construction d'une terrasse réalisée par son assuré maçon.La terrasse avait présenté des fissures cinq ans après sa construction et les propriétaires de la maison, invoquant cette garantie décennale, lui avaient demandé de réparer. Le maçon avait accepté, reconnaissant les défauts, et les avait réparés gratuitement. Mais quelques années plus tard encore, les propriétaires avaient formulé encore la même demande, les défauts étant réapparus.Cette fois, le délai de dix ans est écoulé, disait l'assureur pour refuser de garantir. Mais le maçon a reconnu sa responsabilité en reprenant les travaux il y a moins de dix ans, répliquaient les propriétaires, et il a ainsi relancé le délai, comme le veut la règle de toute prescription.La Cour de cassation a écarté cet argument et a donné raison à l'assureur au terme d'une explication très juridique. La garantie décennale n'est pas un délai de "prescription" mais un délai de "forclusion", dit-elle. La différence c'est que si le premier peut être interrompu, relancé ou prolongé, le second ne le peut pas. La garantie décennale est un délai qui commence le jour de la réunion de réception des travaux et qui se termine dix ans plus tard, quoi qu'il arrive.La raison, expliquent les juges, est qu'il s'agit d'un "délai d'épreuve", ou de mise à l'épreuve du travail réalisé, qui ne doit pas durer plus que la loi ne prévoit. Le travail de reprise des travaux initiaux n'est donc pas couvert par une nouvelle garantie de dix ans mais seulement par la durée restante de la garantie initiale. Les discussions et les arrangements entre le client et l'entrepreneur ne modifient pas ce délai de garantie.(Cass. Civ 3, 10.6.2021, Q 20-16.837).
Il y a 2 ans et 330 jours

Lancement du manifeste Unisson(s) : vers une architecture bas carbone et du vivant

Avec son manifeste, le mouvement UNISSON(S), porté par A4MT et l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), souhaite réunir les acteurs de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux.Alors que la France met en place une Réglementation Environnementale de la construction en 2022, relevant le défi environnemental qu’est le réchauffement climatique en contraignant le contenu carbone des ouvrages, le mouvement UNISSON(S) s’engage à fédérer, encourager et promouvoir les acteurs de la filière prenant part à l’élaboration d’une nouvelle écriture architecturale. Pour y parvenir, UNISSON(S) souhaite recenser et donner à voir les expériences concrètes de ces parties-prenantes, en décryptant avec eux leurs réussites et leurs écueils comme le précisent les initiateurs du mouvement.Le but : « susciter le débat entre les spécialistes et créer le dialogue avec la société à travers une itinérance dans les différentes régions de France permettant ainsi le développement d’un regard critique et avisé des concitoyens non experts », explique Laurent Morel, Président de l’IFPEB, associé de A4MT et Carbone 4, et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S).« Créer une nouvelle culture ensemble qui permette de préserver les ressources autant que faire se peut. Que toutes les parties prenantes, les architectes, les ingénieurs, soient autour de la table pour réaliser la ou les transitions en s’amusant parce qu’il y a matière à s’enchanter, en prenant même de l’avance sur les prescriptions », déclare Laëtitia George, Présidente de Contrast-e et membre du Comité d'organisation d'UNISSON(S), à propos du mouvement.Cette dynamique, se voulant représentante d’une « école française » au sein du Nouveau Bauhaus Européen initié en 2020 par la Commission européenne, va permettre aux architectes de montrer un nouvel imaginaire des possibles de la ville et du paysage de demain à travers une architecture bas carbone et du vivant.Pour Anne Rouzée, architecte, associée d'ATELIERS 2/3/4 et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « Construire autrement signifie concevoir autrement avec la recherche d’une nouvelle esthétique. Comme pour le textile ou le mobilier qui connaissent le boom de la seconde main, le secteur de la ville et du bâti doit vivre encore plus vite la transition. »Pour Guillaume Mangeot, architecte, directeur de l’Agence PCA et membre du Comité scientifique d'UNISSON(S) : « L’architecture est le reflet d’une culture qui est elle-même le reflet de la société. Nous devons reconstruire un nouveau récit lequel se dans projeter et vivre ensemble. C’est cela qui me motive dans l’initiative d’UNISSON(S). »Le mouvement UNISSON(S) réunit ainsi des acteurs reconnus du secteur. Premiers grands parrains et signataires du Manifeste, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Bureau Veritas France, Celsius Energy, Cabinet Malaquin, Espaces Ferroviaires, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym Dixence, partenaires et sponsors s’engagent aux côtés d’architectes, paysagistes, maîtres d’ouvrages, concepteurs, élus, écoles et tous métiers de l’aménagement et de la ville.Accompagné de ses parrains et partenaires, l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (IFPEB), Action for Market Transformation (A4MT), Contrast-e, Construction21 et le Nouveau Bauhaus Européen, le mouvement UNISSON(S) invite tous les acteurs de la filière à signer son Manifeste en faveur d'une architecture bas carbone et du vivant pour dessiner, ensemble, la ville de demain.Pour Dominique Boré, Présidente d’honneur de la Maison de l’Architecture Ile-de-France et Commissaire générale d’UNISSON(S) : « Il faut que l’architecte soit le garant, le primus inter pares de la transition écologique du bâtiment. La nouvelle réglementation environnementale (RE2020) va conduire à se réunir avec toutes les parties prenantes et travailler autrement, dès l’amont des projets. »Pour son lancement officiel, le mouvement UNISSON(S) sera présent au Salon de l’Immobilier Bas Carbone (SIBCA) le 23 septembre prochain au Grand Palais Ephémère.Découvrir le Manifeste.Signer le Manifeste.Site Internet.Comité scientifique et technique d’Unisson(s) Dominique BORE l Cédric BOREL l Maud CAUBET l Claire CHABROL l Pierre DARMET l Laëtitia GEORGE | Annabelle LEDOUX l Guillaume MANGEOT l Laurent MOREL l Véronique PAPPE l Thierry PAQUOT l Christophe RODRIGUEZ l Anne ROUZEE
Il y a 2 ans et 331 jours

Portalp invite les prescripteurs à découvrir Bloomframe® sur le salon Architect@Work Paris

Rendez-vous incontournable des architectes, architectes d’intérieur et autres prescripteurs (maîtres d’ouvrage, urbanistes et économistes), ARCHITECT@WORK est l’occasion pour les industriels de présenter leur innovation dans un écrin d’exposition. Ainsi, Portalp, fabricant français de portes automatiques, dévoilera Bloomframe®, ouverture de façade interactive et automatisée née du partenariat avec l’architecte néerlandais Hofman-Dujardin. Du 22 au 23 septembre 2022, l’équipe de prescription de Portalp sera heureuse d’accueillir les visiteurs à Paris sur son stand n°87 afin de leur expliquer tous les avantages de cette nouvelle solution architecturale conçue par Hofman- Dujardin et fabriquée et installée par Portalp dès l’automne 2022. http://www.portalp.com
Il y a 2 ans et 331 jours

Victoire préolympique pour le bois tropical

L’interdit est levé : le bois tropical entre dans les prescriptions de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solidéo). Relatif aux aménagements extérieurs, un appel d’offres publié le 13 juin solde un long bras de fer entre ce maître d’ouvrage et l’Association technique interprofessionnelle du bois tropical (ATIBT).
Il y a 2 ans et 341 jours

Séminaire Clients – Schenker Stores renoue avec la tradition et reçoit ses clients sur le site de son siège social à Schönenwerd en Suisse

Les 2 et 3 juin derniers, une vingtaine de menuisiers installateurs français ont rejoint le site Schenker Stores de Schönenwerd en Suisse, où se trouve notamment le siège social du Groupe. C’est dans la joie et la convivialité que la marque a renoué avec son séminaire annuel, initié depuis 2015. Cette année a permis de renouer avec cette tradition mise en suspens suite à la pandémie. Ainsi, Christelle Bertard – Directrice Commerciale, Jérôme Henriot – Chef des Ventes Prescription, Christian Koessler – Responsable ADV & Responsable Technique et Philippe Gertz – Responsable Marketing et Communication ont reçu et accompagné tout au long de ces 2 jours de séminaire, les clients installateurs de Schenker Stores France. Les 2 jours se sont composés d’une visite du site industriel permettant de faire découvrir l’outil de production et les différentes facettes du savoir-faire de la marque, notamment aux nouveaux installateurs avec qui les commerciaux tissent une relation commerciale solide. Ils ont pu comprendre et s’imprégner de toutes les valeurs et forces du Groupe Suisse. Puis, le parcours du showroom a mis en lumière l’ensemble des solutions du Groupe, avec entres autres, également les produits de la marque EHRET. Une opportunité pour les installateurs – issus des marchés de l’habitat et de la prescription de projets tertiaires – de voir l’ensemble des produits en situation, de les manipuler et d’étoffer des projets en cours avec de nouvelles idées. Un temps de réunion ponctué d’échanges autour des synergies et des besoins de chacun a clôturé la première journée. La soirée et le deuxième jour du séminaire ont laissé place aux animations conviviales avec notamment la visite de l’usine « Jura » marque Suisse premium de machines à café professionnelles. Pour rappel, depuis 2010, Schenker Stores possède sa propre équipe commerciale et technique en France qui couvre tout le territoire. Les partenaires professionnels installateurs font office de distributeurs de la marque. Dans le cadre de sa stratégie 2025, le Groupe Schenker Stores souhaite se positionner encore plus fortement sur le marché français. Cette ambition se traduit par une collaboration plus forte entre les différents acteurs. Ces séminaires, à l’instar d’une animation de réseau, en sont un point d’orgue et viennent rappeler qu’au cœur des solutions Schenker Stores, les clients trouvent toutes les compétences à leur service : R&D, production, service commercial, service marketing, administration des ventes et service technique.