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Il y a 2 ans et 131 jours

Le gouvernement envisage un tarif garanti de l'énergie pour les copropriétés, comme pour les TPE

En 2023, les TPE (moins de dix salariés) paieront un maximum de 280 euros par mégawattheure d'électricité en moyenne sur l'année, selon une annonce gouvernementale de vendredi. C'est bien plus que le tarif historique, plutôt de l'ordre de 50 euros, mais moins que les 400 à 1.000 euros atteints au cours du second semestre 2022, ce qui évitera des hausses catastrophiques pour les boulangers, restaurateurs et autres artisans."Pour les copropriétés ou les bailleurs qui ont pris des abonnements électriques ou gaz trop chers, eh bien il y a un travail qui est mené avec les énergéticiens comme il est mené aussi pour les entreprises, pour les boulangers", a dit Olivier Klein sur Radio J dimanche."C'est le même principe, on va travailler avec les énergéticiens pour qu'ils aient des prix qui ne soient pas insupportables pour les copropriétés, pour les bailleurs."Les ménages sont couverts depuis l'hiver dernier par ce que le gouvernement appelle un bouclier tarifaire du gaz et de l'électricité, des tarifs plafonnés, qui ont été augmentés de 15% en 2023.Ce bouclier tarifaire comportait initialement de nombreux trous, par exemple pour les logements sociaux ou les copropriétés qui ne pouvaient pas en profiter. Des aides spécifiques ont été ajoutées au cours de 2022 et jusqu'au 31 décembre pour combler les derniers 1 à 2% de contrats collectifs non couverts par le bouclier tarifaire.Il n'y a plus "aucun trou dans la raquette" pour les ménages, a assuré le ministre dimanche, évoquant le chauffage collectif électrique ou les charges des parties communes.Selon lui, les boucliers couvriront l'année 2023, et seront rétroactifs: "Là où il y a eu des appels de charges trop importants, il y aura des régularisations de charges".Pour les copropriétés, un problème était que le syndic de l'immeuble ou le bailleur social devait réclamer l'aide a posteriori et que cette aide publique était de facto plafonnée.Si un tarif garanti était adopté pour les copropriétés en 2023, sur le modèle des TPE, cela irait plus loin que le système actuel, car cela permettrait de compenser davantage les contrats signés ces derniers mois à des tarifs très élevés.Et les PME? demandent les syndicats professionnelsAprès l'annonce par le gouvernement d'un tarif garanti d'électricité en 2023 pour les artisans, plusieurs organisations professionnelles réclamaient samedi un élargissement aux PME.Le dispositif annoncé vendredi prévoit qu'environ 600.000 très petites entreprises (TPE) qui consomment beaucoup d'électricité, parce qu'elles chauffent ou refroidissent beaucoup, et ne peuvent pas souscrire au tarif réglementé des ménages, ne paient pas plus de 280 euros le mégawattheure en moyenne cette année."C'est une excellente nouvelle", s'est réjoui Jean-Eudes du Mesnil, secrétaire général de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME), interrogé samedi par l'AFP."On peut toujours considérer que le tarif reste trop élevé, mais cela donne une vraie visibilité à ces entreprises", a-t-il ajouté.Le gouvernement veut que les fournisseurs, comme EDF, Engie et TotalEnergies, appliquent ce tarif aux très petites entreprises (moins de dix salariés) qui avaient souscrit des contrats au plus mauvais moment, quand les cours de l'énergie étaient historiquement hauts, entre le 1er juillet et le 31 décembre 2022.Toutefois, ajoute Jean-Eudes du Mesnil, "on aurait souhaité que l'ensemble des PME puissent bénéficier de ce tarif plafonné". Le risque est de voir une distorsion de concurrence entre les grosses TPE et les petites PME qui exercent une même activité, selon lui.Président du principal syndicat patronal de l'hôtellerie-restauration, l'Umih, le chef Thierry Marx a pour sa part affirmé que "cette avancée ne prend pas en compte l'ensemble de nos établissements"."Nous demandons que tous nos restaurants et tous nos hôtels puissent bénéficier de ce tarif encadré", a-t-il écrit dans une lettre ouverte au ministre de l'Economie Bruno Le Maire publiée vendredi soir sur le site internet du quotidien Le Parisien.Le chef se "félicite" tout de même du prix garanti annoncé vendredi.Les PME ont déjà accès à des aides pour faire face à la récente flambée des prix de l'énergie, à l'instar de l'amortisseur électricité, mais ces mesures ne couvrent qu'une partie du surcoût.
Il y a 2 ans et 149 jours

Grève SNCF : le ministre de l'Economie Bruno Le Maire réclame une solution "dans les prochaines heures"

"Ce que nous attendons de la direction de la SNCF aujourd'hui, c'est qu'elle trouve une solution dans les prochaines heures, je dis bien dans les prochaines heures. C'est ça la responsabilité de la direction de la SNCF, elle a le soutien de l'Etat, elle doit trouver les voies et moyens de sortir de ce conflit", a déclaré M. Le Maire sur Sud Radio."C'est un mouvement qui me met en colère, en colère pour les clients qui sont privés de vacances de Noël", a insisté le ministre. Selon la SNCF, la grève des contrôleurs entraînera samedi 24 et dimanche 25 décembre la suppression de deux TGV sur cinq, ce qui affecterait quelque 200.000 voyageurs.Depuis novembre, la compagnie ferroviaire publique peine à nouer le dialogue avec le collectif de contrôleurs à l'origine de ce mouvement social. Ils réclament une meilleure reconnaissance. Indépendants des syndicats, ils ont quand même dû s'appuyer sur ces derniers pour déposer des préavis. La direction a déjà proposé d'augmenter la "prime de travail" des chefs de bord (nom officiel des contrôleurs) de 600 euros par an, ainsi qu'une indemnité supplémentaire de 600 euros brut par an. Des propositions que les grévistes ont jugées insuffisantes."Nous devons être dans un pays où les règles sont respectées. Les règles c'est qu'il y a un président de l'entreprise publique qui doit discuter avec les représentants des salariés légitimes, responsables, qui s'appellent les syndicats", a insisté Bruno Le Maire."Je dis à un moment donné, assez avec ces grèves à répétition alors même qu'il y a eu des augmentations de salaires, assez avec les blocages alors même qu'il y a eu des ouvertures qui ont été faites vis-à-vis des grévistes, et assez avec ces difficultés pour nos compatriotes qui sont déjà en pleine crise inflationniste, (...) qui vivent leur premier Noël sans Covid, et qui ont droit à du repos et à de la sérénité."
Il y a 2 ans et 151 jours

Alphi : Acteur de l’innovation dans les territoires des Savoie

Alphi a rejoint, en 2021, le réseau d’accélérateur de start-up Village by CA des Savoie. [©Alphi] Chez Alphi, l’innovation se retrouve à tous les niveaux et dans tous les services de l’entreprise. La notion du “prendre soin” en fait partie intégrante. Pour cette ancienne start-up industrielle, il était donc naturel de rejoindre le Village by CA des Savoie1. Ce réseau d’accélérateurs de start-up bénéficie d’un maillage territorial dense, avec un rayonnement, à la fois, local, régional et international. Ce fut chose faite en 2021. « A son origine, Alphi était une start-up industrielle, Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 2 ans et 156 jours

La demande de bois de chauffage flambe en Alsace

En cette mi-décembre en Alsace, le mercure plonge largement en-dessous de zéro depuis quelques jours. Vendeur de bois de chauffage à Wissembourg (Bas-Rhin), à la frontière avec l'Allemagne, Christophe Glad est venu livrer bûches et granulés à l'entreprise Moose, spécialiste des poêles et des cheminées-inserts, installée à Vendenheim, près de Strasbourg.M. Glad exerce "depuis 23 ans" mais cette année est particulière : "Je suis tout le temps sur la route en train de livrer. On est obligé de rationner, de livrer en deux, voire trois fois pour que les clients puissent commencer l'hiver", explique celui qui préside le groupement syndical des négociants en bois de chauffage d'Alsace."Spéculation"Beaucoup de ses clients sont en Allemagne, où la "spéculation" sur le bois est importante : en France, le stère oscille entre "90 et 100 euros", contre "70 à 80" auparavant. Outre-Rhin, où la dépendance au gaz russe était très forte, il peut monter jusqu'à "200 euros"."Il y a de plus en plus de gens qui souhaitent faire des économies" et "le bois", en chauffage principal comme en appoint, est "l'énergie la moins chère", confirme Laura Menrath, assistante administrative chez Moose. Celle-ci constate une explosion des poêles à bûches cette année, largement devant les appareils à granulés."Avant c'était vraiment du 50/50", mais désormais c'est la bûche qui a le vent en poupe : chez ce vendeur alsacien, seulement "une personne sur vingt" s'intéresse désormais aux granulés, explique-t-elle.Le conflit ukrainien "dope le marché européen", notait en novembre Patrice Escrieut, président de la Fédération des installateurs de poêles et de cheminées (FIPC).Avec pour conséquence "un engorgement au niveau des usines" et des délais de fabrication de poêles allant de "quatre à douze mois", expliquait-il sur Sud Radio. "Trop tard" donc pour ceux qui rêvent d'acheter un poêle cet hiver, prévenait-il, invitant les clients à commander dès à présent "pour l'hiver 2023".Face à cette demande accrue, les vendeurs de bois, qui constituent traditionnellement leurs stocks en amont dans l'année, peinent depuis des semaines à suivre la cadence.Normalement, "on livre durant l'été" mais cette année, on continue à avoir "entre 30 et 50 appels par jour", avec des pointes "jusqu'à 100 par jour", confie M. Glad.Il a dû renoncer à livrer des personnes qui, redoutant une facture d'énergie trop salée, ont opté, malheureusement trop tardivement dans l'année, pour un chauffage bois."Marché exsangue""Le marché est totalement exsangue, les stocks de bois sec sont à zéro depuis quelques semaines", confirme Jocelyn Auffret, vendeur de bois de chauffage à Gertsheim (Bas-Rhin). Lui aussi à dû récemment décliner des commandes de "personnes qui n'avaient pas eu le réflexe de commander assez tôt, alors qu'en en mai ou juin, j'étais déjà dans le rouge".Retraité à Nordheim, à l'ouest de Strasbourg, Joël Bûcher, 69 ans, a lui a opté "dès 1988" pour le chauffage bois : dans le salon de sa maison de 220 m2 sur les hauteurs de ce village du piémont des Vosges, trône un imposant poêle en faïence. Un "kachelofe" typiquement alsacien dont cet ancien cadre technique vante les qualités réfractaires qui permettent de chauffer une bonne partie du logement.Comme chaque année, il a passé sa commande de cinq stères de bois bien en amont et n'a pas constaté une hausse de la facture. Tout au plus quelques euros supplémentaires sur le transport, répercussion logique de la hausse des prix du carburant, relève-t-il.Mais l'an prochain, il s'attend à ce que les choses soient un peu différentes : "Tout augmente, donc je pense qu'il faut s'attendre aussi à une hausse" du côté du bois de chauffage", explique M. Bûcher, à qui son vendeur de bois a conseillé de passer commande plus tôt dans l'année.
Il y a 2 ans et 159 jours

La croissance sera "probablement faiblement positive" en 2023, selon la Banque de France

"Ca ne sera pas 2,6%" l'an prochain, a-t-il averti sur la radio Franceinfo, mais "probablement une croissance faiblement positive"."Je ne peux pas exclure une récession mais ça n'est pas notre scénario central", a ajouté le patron de la Banque de France, qui doit dévoiler la semaine prochaine ses projections jusqu'en 2025.Dans sa dernière estimation, l'institution tablait sur une croissance comprise entre -0,5 et 0,8% du PIB en 2023, une estimation plus pessimiste que celle du gouvernement qui espère 1% de croissance.Prévisionnistes internationaux de référence, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) anticipe une progression de 0,6% du PIB et le Fonds monétaire international (FMI) table sur 0,7% en 2023."Nous abordons avec 2023 un virage plus serré", a commenté François Villeroy de Galhau vendredi.Mais "ce que nous excluons aujourd'hui, c'est un atterrissage brutal de l'économie française et européenne, compte tenu des signes de bonne résistance" de la croissance dans l'Hexagone, qui devrait s'établir à 0,1% au quatrième trimestre 2022, selon la dernière enquête de conjoncture de la Banque de France publiée jeudi.Après 2023, "nous devrions retrouver une route plus normale avec progressivement moins d'inflation et plus de croissance", a estimé le gouverneur.
Il y a 2 ans et 163 jours

Réforme des retraites : malgré les syndicats, 65 ans et 49.3 tiennent la corde

Les secrétaires généraux de la CFDT et de la CGT, Laurent Berger et Philippe Martinez, ont déjà promis une mobilisation sociale "déterminée" en cas de report de l'âge de départ, à l'issue de leurs rendez-vous jeudi avec Elisabeth Borne, pour parler de cette réforme qu'elle doit présenter autour du 15 décembre.Son contenu se dessine de plus en plus clairement. "Tout le monde était d'accord sur 65 ans", a résumé un participant d'un dîner mercredi soir à l'Élysée, autour du président de la République Emmanuel Macron et de la Première ministre, avec les responsables de la majorité et plusieurs ministres."Le président de la République a été ferme, il a dit (...) qu'il s'était engagé sur 65 ans. Donc on ne va pas tourner casaque avant le match", a ajouté ce participant.La patronne des députés Renaissance Aurore Bergé a redit sur LCI jeudi matin "assumer" un report de l'âge de départ à 65 ans, qui a été convenu à ce dîner.49.3 "pas tabou" Le patron du MoDem François Bayrou, autour de la table mercredi soir, a selon différentes sources plaidé pour faire davantage "la pédagogie de la réforme".Emmanuel Macron avait défendu pendant la campagne présidentielle un report de l'âge légal de 62 à 65 ans, avant d'évoquer une fois réélu un recul à 64 ans couplé à une augmentation de la durée de cotisation.Ces points font l'objet d'une concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux qui doit se terminer vendredi.Quand à la méthode, le projet de loi rectificatif de financement de la Sécurité sociale (PLFSSR) est le "véhicule qui est envisagé" pour cette réforme "pour ne pas hypothéquer la cartouche unique de 49.3", selon deux participants au dîner.Sur les textes budgétaires, comme le PLFSSR, le gouvernement peut dégainer à loisir l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote. Mais sur un texte non budgétaire, il ne peut l'utiliser qu'une seule fois par session.Le 49.3, "ça ne doit pas être tabou", a confirmé Aurore Bergé, si les oppositions, et notamment la droite qui a des propositions "pas si éloignées de celles que nous avons portées", sont "arc-boutées"."On a besoin de partenaires. Aujourd'hui c'est pas un secret, il n'y a personne qui veut jouer avec nous", a reconnu un cadre de la majorité, espérant encore un "geste" de la CFDT."Tout report de l'âge légal de départ en retraite fera que la CFDT sera en intersyndicale pour se mobiliser", a pourtant prévenu M. Berger à sa sortie de Matignon.Les syndicats (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU) ont annoncé qu'ils décideraient d'une "première date de mobilisation unitaire" en janvier "si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet" ."Coup de force"Sur le front politique, la recherche d'alliés paraît tout aussi compliquée pour la Première ministre qui s'entretiendra la semaine prochaine avec les différents groupes parlementaires, de la majorité comme de l'opposition.Même si Bruno Retailleau, qui brigue contre Éric Ciotti la présidence de LR, ne ferme pas la porte. "Si c'est une réforme qui vient sur nos propositions à nous, je ne vois pas pourquoi je m'y opposerai", a-t-il assuré sur Sud Radio, en citant un report à 64 ans, ainsi qu'un allongement de la durée de cotisation.Rien à espérer en revanche pour le gouvernement du côté du RN, ou, à l'autre bout de l'échiquier, de La France insoumise.En cas de 49.3, "nous voterons l'intégralité des motions de censure qui seront déposées, quel que soit le groupe qui les dépose, et évidemment nous en déposerons une", a déjà averti sur RTL Marine Le Pen, opposée à ce "coup de force"."Il n'y a aucune raison de briser un système qui n'est pas en péril", a aussi déploré la députée LFI Clémentine Autain au micro de Public Sénat.
Il y a 2 ans et 164 jours

la rehabilitation de la maison de radio france s acheve enfin

Décembre 2022 signe la fin du chantier pharaonique de la réhabilitation du bâtiment de Radio France. Conçue par Architecturestudio et achevée par SRA Architectes, la rénovation de Maison de la Radio et de la Musique, figure emblématique du paysage parisien, s'est terminée avec un coût total de 493 millions d’euros hors taxe.
Il y a 2 ans et 166 jours

Fin du chantier pharaonique de réhabilitation de la Maison de Radio France

"2022 marque la fin d'un chantier historique: la réhabilitation de la Maison de la Radio et de la Musique" dont "l'apparence et l'âme originelles" ont été conservées mais qui a été "modernisée sur les plans technique, avec une remise aux normes du bâtiment, mais aussi technologique", précise Radio France dans un communiqué.Inaugurée en grande pompe par le général de Gaulle en 1963, la Maison Ronde, au 116, avenue du Président-Kennedy à Paris, avait dû être mise en conformité avec les normes anti-incendie et désamiantée.Au total, 90.000 m2 ont été rénovés, dont l'auditorium de Radio France d'une superficie de 2.300 m³ et 1.461 places, 38.000 m2 de bureaux ou le fameux studio 104 qui peut accueillir 856 visiteurs.Les discussions concernant ces travaux avaient démarré en 2005. Il était alors prévu de les lancer début 2006 pour une durée de six ans et un coût d'environ 240 millions d'euros.Le chantier, initié finalement en 2008, avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes qui pointait "une dérive financière" contribuant au "déséquilibre des comptes de l'entreprise" publique.En février 2019, la Cour relevait encore des "allongements de calendrier" - fin des travaux repoussée à 2022 au lieu de 2018 - qui "dégradent le climat social" et "une augmentation continuelle des coûts, désormais portés à 583 millions d'euros".Radio France a souligné vendredi que la rénovation de son bâtiment s'achevait "dans le respect du calendrier établi en 2018 et sans dépassement de budget", soit un coût total de 493 millions d'euros hors taxes.En 2018, "le projet avait en effet fait l'objet d'une mise à jour pour assurer un pilotage efficace, intégrer les nouveaux enjeux numériques, ainsi que les modes de production de demain" et s'adapter "aux aléas inhérents" à un tel chantier, selon la direction.Le conseil d'administration avait alors fixé le coût total maximum de l'opération à 510 millions d'euros, selon un périmètre différent de celui de la Cour des comptes.Un montant que "l'équipe de réhabilitation est parvenue à faire diminuer au fur et à mesure de la modération des risques", a précisé à l'AFP Radio France.
Il y a 2 ans et 178 jours

SORHEA lance SOLARIS NG

Nouvelle Génération de SOLARIS, barrière infrarouge autonome 100m de portée SORHEA, la référence en matière de détection d’intrusions périmétriques pour les sites sensibles, fait évoluer sa barrière infrarouge SOLARIS. La barrière à infrarouge actif autonome SOLARIS n’est plus à présenter. Installée sur de nombreux sites en Europe et dans le monde, son fonctionnement autonome et son alimentation par énergie solaire en ont fait une référence sur le marché de la détection périmétrique. SOLARIS, la première barrière infrarouge low-power sur le marché de la sécurité périmétrique Créée en 2009 par les ingénieurs R&D SORHEA, la colonne SOLARIS était alors la première barrière infrarouge « Low power » sur le marché. Sa consommation énergétique très faible lui permet d’assurer un fonctionnement tous temps sur 100m de portée. L’alimentation solaire est complétée par une batterie qui garantit le fonctionnement pendant 2 mois dans le noir complet (sans alimentation solaire). SOLARIS a déjà été installée dans plusieurs sites en Scandinavie et sous d’autres latitudes moins ensoleillées. La remontée des informations d’alarmes se fait également sans câblage puisque SOLARIS utilise la communication radio. Sans aucun câblage à prévoir, SOLARIS s’installe facilement tout en limitant les coûts de génie civil. SOLARIS fait peau neuve et devient SOLARIS Nouvelle Génération Comme tous leurs produits, la SOLARIS bénéficie du travail constant des équipes R&D de SORHEA pour rester un produit performant et fiable. Pour une barrière infrarouge performante, SORHEA travaille sur la densité des faisceaux infrarouge de SOLARIS afin de créer de véritables murs immatériels infranchissables. Plus le mur infrarouge est dense, plus la détection sera fine et fiable. Avec 10 cellules infrarouges sur des colonnes de 3 mètres de hauteur, la barrière SOLARIS NG est aujourd’hui la seule barrière infrarouge autonome existante offrant une telle densité infrarouge, sur 100m de portée. La SOLARIS NG bénéficie également des avancées technologiques de SORHEA sur la radio. Le chiffrement intégral du réseau radio de la SOLARIS permet une sécurisation maximale des données, et la communication par protocole LoRa offre une grande portée, une puissance faible et une bonne résistance aux interférences. SOLARIS NG intègre de nouvelles fonctionnalités Fort de leurs 35 ans d’expérience dans la technologie infrarouge, SORHEA étend ses compétences éprouvées sur les colonnes câblées à leurs colonnes autonomes grandes hauteurs. La fonction Discrimination-Train, jusqu’ici disponible uniquement sur les barrières MAXIRIS, est désormais disponible sur les barrières autonomes SOLARIS NG. Développé par leur Bureau d’Études, cet algorithme permet de discriminer le passage d’un véhicule (train, métro, voire avion) par rapport au passage d’un individu entre deux colonnes. Ainsi, aucune alarme indésirable n’est créée, et le système de sécurité périmétrique n’est pas interrompu par un rail ou autre zone de passage. Cette nouvelle génération de SOLARIS est également disponible dans une version tout plastique. Fabriqués en polyacétal, l’enveloppe et le châssis rendent la colonne frangible : SOLARIS NG peut alors être installée sur des sites très spécifiques tels que les pistes des aéroports. Enfin, cette nouvelle génération de SOLARIS a été développée en conformité avec les normes internationales les plus pointues, pour permettre son installation sur tous les sites sensibles à travers le monde.
Il y a 2 ans et 179 jours

Assurance-chômage : "18 mois pour trouver un travail, c'est suffisant", estime Véran

"Ce qu'on veut, c'est de dire aux gens : l'esprit de l'assurance chômage, c'est l'esprit du Conseil national de la Résistance", a développé M. Véran sur le plateau de CNews, convaincu que "la logique" de la réforme actuelle est "guidée" par celle de l'époque."L'État a dit +il y aura des périodes au cours desquelles les gens ne pourront pas trouver de travail parce que le marché du travail sera trop tendu, alors il faudra les assurer pour pas qu'ils perdent tous leurs revenus", a-t-il expliqué. "Il est normal que quand le risque est élevé, l'assurance soit forte et quand le risque est faible, l'assurance soit un peu moins forte", a-t-il argumenté.Le gouvernement a annoncé lundi une baisse de 25% de la durée d'indemnisation pour tous les demandeurs d'emploi ouvrant des droits à partir du 1er février, une décision jugée "inacceptable" par tous les syndicats. Le taux de chômage est actuellement de 7,3%. La réforme prévoit que la durée d'indemnisation revienne au niveau d'aujourd'hui si le taux de chômage passe au-dessus de 9% ou progresse de 0,8 point sur un trimestre.Interrogé sur le souhait du ministre du Travail Olivier Dussopt de "100.000 à 150.000 retours à l'emploi" supplémentaires en 2023 grâce à la réforme, le porte-parole du gouvernement a estimé que ce serait "un mécanisme assez direct en fait, vous allez voir qu'il y aura un impact assez massif sur le marché du travail parce que c'est un signal aussi qu'on envoie". Cette réforme "trompe les Français sur l'état réel de la santé économique du pays: les usines ne sont pas revenues, l'agriculture française ne va pas mieux", a réagi de son côté sur France2 le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy. Il a regretté qu'on fasse "croire aux Français que les chômeurs aujourd'hui sont responsables essentiellement de leur situation".De l'autre côté de l'échiquier politique, le député LFI du Val d'Oise, Paul Vannier a dénoncé la "violence" et "l'humiliation sociale" que va représenter l'application de ces mesures. "Cette décision, elle va plonger des millions de personnes, des femmes, des hommes, leurs enfants, dans la pauvreté (...) et elle est profondément, de ce fait, injuste", a-t-il déclaré au micro de RFI."Ce récit, qui consiste à faire croire qu'il y aurait un stock d'emplois que personne ne veut remplir, c'est un mensonge et il est utilisé pour venir prendre des droits aux chômeurs", a encore regretté le député.Pour sa part, Nicolas Dupont-Aignan (DLF) s'est inquiété sur Sud Radio des "conséquences dramatiques" pour les "plus de 55 ans", tout en reconnaissant que la réforme "en soi, peut s'expliquer parce qu'il y a parfois des abus".
Il y a 2 ans et 181 jours

En Irak, la réalité virtuelle pour plonger dans le Mossoul d'avant la guerre

L'emblématique mosquée al-Nouri, avant qu'elle ne soit détruite à coup d'explosifs par le groupe Etat islamique (EI), mais aussi l'église al-Tahira, au détour des ruelles tortueuses de la vieille ville: à l'aide de milliers d'images, des ingénieurs de Mossoul ont donné une seconde vie -- virtuelle – à cinq sites historiques de Mossoul et sa province de Ninive.L'expérience est proposée par la Maison du Patrimoine de Mossoul, musée privé inauguré à la mi-juin dans une bâtisse à l'élégante façade de marbre gris, au bord du Tigre."Le musée m'a ramenée quarante ans en arrière", soupire Mahiya Youssef, retirant le casque noir vissé sur son hijab rose."On est transporté dans un autre monde. J'aimerais tellement que ce soit ça le vrai Mossoul, pas un Mossoul virtuel", poursuit la quinquagénaire, un collier en or tombant sur sa tunique noire."Le retour à la réalité est douloureux", lâche-t-elle.Cinq ans après la mise en déroute de l'EI et la reconquête de Mossoul par les forces irakiennes et une coalition internationale, la métropole du Nord reste un patchwork de bâtiments en ruines et d'immeubles en construction, comme autant de témoignages de la violence des combats.Les habitants sont revenus mais les sites historiques, mosquées et églises centenaires, sont encore en cours de restauration. Des pans entiers du vieux Mossoul ne sont que des océans de décombres."Sauver la mémoire"Au premier mois de son inauguration, le musée a accueilli plus de 4.000 visiteurs, affirme son fondateur, Ayoub Younès."Il est ouvert à tous les visiteurs qui n'ont pas vu le patrimoine de Mossoul détruit par la guerre", explique le jeune homme de 29 ans.Pour essayer l'unique casque de réalité virtuelle dont dispose l'institution, les curieux sont placés dans une pièce aux murs sombres.Ils peuvent parcourir virtuellement cinq sites, dont la mosquée al-Nouri, ou encore le site archéologique de Hatra. Cette cité vieille de plus de 2.000 ans, dans un désert à une centaine de kilomètres de Mossoul, a été saccagée à la pioche par les jihadistes qui ont occupé jusqu'à un tiers du territoire irakien en 2014."De nombreux enfants n'ont jamais vu par exemple la mosquée al-Nouri et son minaret al-Hadba", dont seule la base subsiste aujourd'hui, reconnaît M. Younes.Les paysages virtuels ont été réalisés par les ingénieurs spécialisés de Qaf Lab, qui se présente comme un "hub d'innovation" et un incubateur soutenant les jeunes entrepreneurs.Sur son écran d'ordinateur, un membre de l'équipe, Abdallah Bachir, exhibe une réplique en 3D de la mosquée abritant la tombe du prophète Jonas (Nabi Younès), détruite par les jihadistes."Nous avons utilisé des photos personnelles ou des clichés pris par des habitants. On a ainsi pu reconstituer la mosquée", dit-il. La principale difficulté : "le manque de photos des sites antiques. Il y avait très peu de photos avant 2014".Pour l'ingénieur, le projet est "une manière de sauver la mémoire de Mossoul"."Reconstruction lente"Dans les salles voûtées soutenues par des piliers en marbre, une centaine de pièces sont également exposées dans les vitrines du musée : des amphores en terre cuite, des récipients en métal, une vieille radio.Il y a aussi un samovar en argent, des lampes à huile, des tentures traditionnelles aux murs. Des objets du quotidien, datant le plus souvent du siècle passé, des donations effectuées par des familles mossouliotes.En fauteuil roulant, Mohamed Abdallah fait le tour des vitrines, après avoir tenté l'expérience de la réalité virtuelle. Pour lui aussi le contraste avec la réalité est douloureux."La reconstruction est extrêmement lente, elle n'est pas à la hauteur des ravages", déplore le jeune homme.Il appelle à accélérer la restauration des sites du patrimoine, pour attirer les touristes mais aussi pour "insuffler la vie" aux quartiers environnants.Malgré le goût amer que lui laisse sa promenade en 3D, il n'a pas perdu espoir. "Un jour viendra où quand on fera cette balade dans la réalité, elle sera encore plus belle que le virtuel."
Il y a 2 ans et 185 jours

Flir One Edge Pro, la première caméra infrarouge mobile véritablement sans fil

Contrairement aux modèles précédents, la FLIR ONE Edge Pro nouvelle version n'a pas besoin d'être matériellement connectée à l'appareil mobile auquel elle est associée, et ne se décline pas en plusieurs modèles selon les divers systèmes d'exploitation, ce qui lui confère une flexibilité maximale pour les inspections thermiques.« La FLIR ONE Edge Pro est la caméra mobile thermique-visible la plus polyvalente et la plus sophistiquée à ce jour, grâce à son format amovible, conçu pour offrir une prise en main des plus confortables. Elle offre une flexibilité nettement supérieure en rendant inutile l'emploi de ports de connexion ou de systèmes d'exploitation spécifiques », déclare Chris Bainter, vice-président du marketing et du développement commercial chez Teledyne FLIR. « En plus de la nouvelle conception matérielle, Teledyne FLIR fournit plus d'outils logiciels pour permettre aux utilisateurs novices et non formés d'effectuer des inspections thermographiques, de traiter les images obtenues et de créer des rapports. Parmi les utilisations courantes de la caméra figurent notamment l'inspection des bâtiments, la réparation automobile et les applications de maintenance industrielle. »Conception flexible et cependant robusteConforme à la norme « RESNET » et à la certification IP54, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un système d'attache à ressort conçu pour permettre aux opérateurs de fixer la caméra sur de nombreux modèles de téléphones mobiles et de tablettes. Grâce à la connexion Bluetooth et Wi-Fi combinée, les utilisateurs peuvent utiliser l'Edge Pro jusqu'à 30 mètres de distance de leur appareil mobile, ce qui leur permet d'inspecter efficacement les endroits difficiles d'accès ou de conserver, selon les situations, un périmètre d'intervention sécurisé.Dotée d'une caméra thermique Lepton® radiométrique d'une résolution de 160 × 120 associée à une caméra à lumière visible, la FLIR ONE Edge Pro offre une qualité d'image et des capacités de traitement garantissant d'excellents résultats. Outre VividIR, un système de traitement qui associe plusieurs images pour générer une image finale d'une plus grande netteté, MSX® permet de combiner les caméras entre elles. La fonction brevetée MSX d'amélioration de l'image superpose le détail des contours (fournis par la caméra visible) sur l'image thermique sans sacrifier les données thermiques, et optimise ainsi la netteté et le rendu de l'environnement pour faciliter la prise de décision.La FLIR ONE Edge Pro possède également une batterie d'une autonomie supérieure à celle des générations précédentes de la FLIR ONE et un témoin de charge clairement visible, ce qui la rend parfaite pour les inspections un peu plus longues (restaurations après sinistre, inspections d'habitations, audits énergétiques et diagnostic des équipements industriels).Un plus grand nombre d'images et de rapportsPour le stockage dans le cloud, le traitement des images et la création de rapports, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un vaste ensemble de logiciels Teledyne FLIR, parmi lesquels Tools Mobile, Ignite cloud et le logiciel de bureau FLIR Thermal Studio. Les utilisateurs peuvent ainsi partager facilement les photos thermiques Edge avec les clients et les intégrer de manière fluide dans les rapports professionnels.De plus, les développeurs d'applications ont accès au kit de développement logiciel (SDK) FLIR ONE pour créer des applications personnalisées, exclusivement utilisables avec la FLIR ONE Edge Pro.La caméra est disponible sur commande au niveau mondial depuis le 10 novembre.
Il y a 2 ans et 186 jours

L’EPFA Guyane lance deux opérations d’aménagement reposant sur le principe « Habiter le paysage »

Elle comprend des logements, activités économiques et espaces publics. A Montsinéry-Tonnegrande, l’EPFA lance les travaux de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry » avec comme parti pris : donner à voir le paysage. L'EPFA Guyane construit avec ses partenaires publics et privés « la ville amazonienne durable" selon une démarche cohérente d'ensemble qui actionne à la fois la maîtrise du foncier, la réponse aux besoins en logements, équipements et activités économiques, tout en valorisant la mosaïque de paysages et biodiversité guyanaises. Ces opérations d’aménagement visent à créer un choc de l’offre pour contribuer à résorber les squats et créer les équipements nécessaires au bien-être de la population. Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Nous entrons dans une nouvelle phase de l’OIN pour deux opérations, celle de l’opérationnel. Après le volet pré-opérationnel, les études de conception et le choix de la maitrise d’œuvre, nous démarrons ce mois ci les travaux d’aménagement dans 2 des 24 secteurs de l’OIN, à Matoury et à Montsinéry-Tonnegrande ».Secteur OIN 8 - A Matoury, « Mélodies de Morthium », le «paysage habité » : Premier jalon-vitrine d’un projet qui va reconfigurer le secteur ; le connecter au centre-ville et valoriser l’environnement forestier Située à 12 km au sud de Cayenne, Matoury compte aujourd’hui plus de 34.000 habitants. En 2030, sa population est estimée à 36.634 habitants, soit une hausse de 3.176 habitants (9%).L’OIN de Guyane comporte 7 secteurs à Matoury. Le premier à être aménagé est le secteur Matoury-Sud-Bourg (60 ha) avec le lotissement des « Mélodies de Morthium » (4 ha). C’est au sud du bourg, que l’EPFA amorce les travaux de cette opération d’ensemble s’inscrivant dans le prolongement urbain existant en continuité de l’école élémentaire du bourg.A proximité de la crique Morthium, proche de la forêt, le programme des Mélodies se développe en agrafe urbaine autour d’ une voirie centrale se raccordant à la RN2 et au quartier voisin. Il proposera 61 logements (44 logements sociaux, 12 maisons jumelées et 5 maisons individuelles) ; 3.000 m2 de SDP d’activités économiques et de commerces de proximité; une esplanade et un parc urbain de 6.800m² permettant aussi de gérer les problématiques d’eaux pluviales. Des systèmes de noues (canaux à ciel ouvert) maillant le quartier et l’implantation des bâtiments favoriseront la mise en valeur du paysage.Secteur OIN 12 : Etapes significatives franchies pour la requalification de la friche industrielle TDF de Montsinéry-Tonnegrande et l’aménagement de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry» au sein du secteur « Les savanes »La commune de Montsinéry-Tonnégrande (2.900 habitants [1]) est un modèle de transition écologique. Le secteur 12 de l’OIN dit « les savanes » en est l’illustration. A 35 km de Cayenne, en lisière de forêt, bordée par la rivière Montsinéry, la commune va valoriser ses atouts : la biodiversité, l’agriculture, un cadre naturel saisissant. L’opération et le pôle d’innovation axé sur les Greentech-Guyane ont érigé le paysage au rang d’outil opérationnel dans les projets d’aménagement et de développement territoriaux.L’EPFA Guyane prépare la requalification de la friche industrielle TDF pour accueillir Biostratège. L’entreprise BioStratège est spécialisée dans les domaines de l’éco-extraction du végétal, le développement d’ingrédients et de produits naturels écoresponsables. L’EPFA Guyane a acheté le foncier et l’ancien bâtiment de radio-diffusion à TDF. Les travaux de démontage des antennes par TDF sont en cours. En 2023, BioStratège devrait s’installer dans l’ensemble immobilier et disposer du foncier nécessaire pour réaliser son projet « Amazon Activ Valley » sur 2.500 m2 de SDP. L’investissement industriel de plus de 6,8 millions d’euros permettra dans un premier temps, la création de 23 nouveaux emplois directs.L’EPFA Guyane lance la tranche 2 de la ZAC de MontsinéryLa tranche 1 est livrée. Elle s’articule autour de la construction d’un groupe scolaire, de 100 logements et de commerces.Le projet de la tranche 2 (60 ha) s’appuie sur le paysage comme support de l’urbanisation. Elle se déploie en hameaux interconnectés avec le bourg et s’adosse au collège en cours de construction.3 hameaux aux ambiances paysagères différentes - hameau de la mangrove, hameau de la lagune et hameau bord accueilleront à terme plus de 600 logements dont 20% de collectifs, 34% d’intermédiaires et 46% d’individuels.Au cœur de ces hameaux à forte identité, des espaces publics diversifiés comprenant une zone « skatable », un roc d’aventures, un terrain multisports, des parcours sportifs, espaces de détente, aires de jeux et carbets d’observation.Une programmation généreuse se concentrera le long d’un axe central : équipements publics, activités économiques, collège et crèche, pôle médical et commerces.Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Le projet développé par Atelier 2/3/4 allie habitat, biodiversité, économie-emploi. Avec l’arrivée des sociétés Green-tech, c’est un projet d’avenir ambitieux pour le territoire et ses habitants, illustrant la transition vers une économie non destructive de la biodiversité Guyanaise. »
Il y a 2 ans et 187 jours

Comment produire et utiliser l'énergie sans affecter le climat ?

1. La production et l’utilisation de l'énergie sont au cœur de la crise climatique à cause des émissions de gaz à effet de serre qui en résultent et nécessitent une action efficace dans deux directions principales. Celles-ci comprennent :La recherche d’une plus grande efficacité énergétique et la limitation de l’utilisation de l’énergie, de la production à la consommation. Il est essentiel de découpler la croissance économique, source d’élévation du niveau de vie, de la consommation d’énergie : tous les scénarios concluent à la nécessité d’une rupture dans l’évolution de l’intensité énergétique mondiale, qui doit passer d’un taux de croissance annuel de - 1 à - 1,5%, observé historiquement, à un taux de - 4 ou - 5%.La décarbonation des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, en favorisant les technologies à faibles émissions de carbone.Ces deux niveaux peuvent être activés par des choix technologiques et des changements de comportement, parfois encouragés par les politiques énergétiques.2. Les énergies renouvelables (principalement le solaire, l’éolien, la biomasse et l’hydroélectricité) doivent être appliquées et davantage développées. Aucune d’entre elles n’est sans conséquences sur l’environnement, parfois moins apparentes que pour d’autres formes d’énergie. Si l’intégration de certaines d’entre elles (énergie éolienne ou photovoltaïque) dans les réseaux électriques peut être source de difficultés en raison de leur variabilité, d’autres, au contraire, sont vertueuses en termes de stabilisation du système (hydroélectricité avec réservoirs). La plupart d’entre elles ne sont pas très denses, leur forte emprise au sol est source d’opposition locale, mais elles ont toutes l’avantage d’avoir une faible empreinte carbone.3. L’énergie nucléaire a une très faible empreinte carbone et son fonctionnement est stable et fiable. Comme l’hydroélectricité, elle peut produire des quantités massives d’électricité décarbonée et contribuer à la décarbonation des systèmes énergétiques. L’énergie nucléaire est essentielle dans la lutte contre le changement climatique. Bien que la sécurité et la gestion des déchets radioactifs soient souvent citées comme des préoccupations, ces préoccupations peuvent être gérées aujourd’hui de manière adéquate, notamment par la réutilisation de certains déchets à longue demi-vie. Le principal défi pour les responsables des politiques énergétiques et les ingénieurs est de redonner au nucléaire la place qui lui revient par l’information et le débat.4. Les combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz), qui sont responsables d’une grande partie des émissions de CO2, représentent toujours la plus grande part du bouquet énergétique mondial. S’il ne semble pas possible de les éliminer rapidement et complètement, notamment dans certains secteurs comme les transports, ou dans certains pays, ils pourraient constituer une énergie de transition en étant associés aux technologies de captage, d’utilisation et de stockage du carbone.5. L’électrification est certainement l’un des principaux moteurs de la transition énergétique. Une attention particulière doit être accordée aux systèmes électriques, notamment pour assurer la production de base. Le déclassement des centrales thermiques fossiles et le développement massif des énergies renouvelables variables peuvent poser des problèmes de continuité et de qualité de l’approvisionnement en électricité. Des centrales électriques de secours, des technologies de stockage d’énergie rentables et efficaces, le développement de la flexibilité de la demande et le développement des réseaux électriques seront nécessaires pour surmonter le problème de variabilité des énergies renouvelables. La question de l’accès à l'énergie en général et à l’électricité en particulier reste, dans de nombreuses régions du monde, un défi majeur auquel il faudra probablement apporter des réponses différentes, que ce soit pour l’approvisionnement des grandes mégalopoles en développement ou pour les sites isolés et hors réseau.6. La recherche d’une plus grande résilience des systèmes énergétiques soulève des questions sur l’utilisation des terres, la rareté de l’eau ou l’utilisation de matières premières (cuivre, lithium, nickel, cobalt, zirconium, métaux du groupe du platine et terres rares) qui pourraient conduire à leur épuisement précoce. Le passage de la dépendance des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, des combustibles fossiles à certaines matières premières, composants et équipements constitue un nouveau défi auquel il faut apporter des réponses, notamment en termes d’économie circulaire et de développement industriel.7. Des politiques énergétiques nationales efficaces et une coopération internationale seront essentielles pour mettre en œuvre les politiques les plus efficaces pour atteindre l’objectif net zéro émissions. S’il est indéniable que les pays développés représentent encore une part importante des émissions (33% en 2021 contre 40% en 2011), les tendances démographiques mettent en évidence le rôle majeur des pays en développement : en 2050, la planète comptera probablement près de 10 milliards d’habitants, contre environ 8 milliards aujourd’hui, et cette croissance s’observera principalement dans les pays en développement, qui représenteront 87% de la population mondiale. La recherche de solutions doit s’appuyer sur une vision prospective de la consommation d’énergie - marquée par le vieillissement de la population et l’urbanisation croissante (55% de la population mondiale vit en ville en 2022, 70% en 2050) et par les émissions associées. Les choix de politique climatique - y compris le soutien des économies développées aux économies en développement - ne peuvent se concevoir en dehors d’un cadre et d’un effort globaux.8. Le choix de se concentrer sur les solutions qui contribuent efficacement et immédiatement à la lutte contre le changement climatique ne doit pas nous faire oublier :L’effort de recherche indispensable pour développer des solutions à moyen ou long terme qui trouveront leur place dans le futur, comme les installations utilisant de l’hydrogène décarboné, d’autres carburants zéro carbone, l’amélioration de l’efficacité de la mobilité électrique et des bâtiments, les technologies de stockage y compris l’utilisation de l’électricité du réseau en dehors des heures de pointe, les tours solaires, les petits réacteurs nucléaires modulaires et la fusion nucléaire. En ce qui concerne l’hydrogène à très faible teneur en carbone ou les carburants synthétiques, il convient de poursuivre la recherche et le développement pour faire face aux difficultés d’utilisation, y compris la sécurité du stockage et le risque d’inflammabilité, avant de pouvoir exploiter pleinement leurs potentialités ;Le besoin croissant d’adapter les économies, et en particulier les systèmes énergétiques, au changement climatique afin de protéger les installations de production d’énergie de la menace de l’élévation du niveau de la mer et des conditions climatiques extrêmes. Les conséquences du changement climatique se font déjà sentir sur la navigation fluviale, l’irrigation, l’hydroélectricité et le refroidissement des centrales thermiques ;Le lien entre l’énergie et les Objectifs de Développement Durable ; la recherche de solutions fournies par les ingénieurs conduit parfois à des choix énergétiques qui entrent en conflit avec d’autres exigences de durabilité telles que la biodiversité ou la protection des habitats des populations autochtones.9. Les trajectoires vers des systèmes énergétiques durables nécessiteront une méthode rationnelle et rigoureuse pour faire des choix, loin de tout rêve ou idéologie, et devraient être fondées sur les principes suivants :Adopter une approche systémique ;Exploiter les meilleures technologies matures et le développement des compétences associées, tout en encourageant également l’innovation et le développement de nouvelles technologies ;Mettre l’accent sur le potentiel réel de toute nouvelle technologie, sur son adaptabilité et sur la facilité de son transfert ;Donner plus d’importance à l’efficacité économique alors que la crise économique et sociale mondiale provoquée par des situations imprévues laisse tous les acteurs sous contraintes financières ;Mettre en œuvre une plus grande coopération internationale entre les pays développés et les pays en développement dans la lutte contre le changement climatique.10. Il est essentiel d’avoir une approche équilibrée entre le progrès économique, la justice sociale et la préservation de l’environnement qui est fondamentale pour la sécurité énergétique d’un pays. C’est la condition sine qua non de l’acceptation par ses citoyens de la mise en œuvre de politiques énergétiques.
Il y a 2 ans et 187 jours

Un duo d'architectes restaure en profondeur le Grand Rex pour fêter ses 90 ans

Des particularités qui lui ont permis de résister au temps, à la différence de nombreux établissements contemporains aujourd’hui disparus. S’il a été profondément remanié au cours de son histoire, mais sans toutefois toucher à la grande salle, le Grand Rex renoue aujourd’hui avec son aspect originel et reste l’un des témoins les plus emblématiques d’une période faste pour l’architecture des cinémas français de l’entre-deux guerres. À l'occasion des 90 ans de vie de ce lieu mythique du paysage culturel parisien, le duo d'architectes Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson a été appelé à restaurer en profondeur le monument afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire. Après plusieurs mois de travaux, la nouvelle façade sera dévoilée au public le 8 décembre prochain.Pour Alexandre Hellmann, Directeur général délégué du Grand Rex par Laurent Cottilon : « C’est à Jacques Haïk, le créateur du Grand Rex que l'on doit la décoration de la Grande salle. Jacques Haïk était franco-tunisien et voulait un cinéma qui évoque son pays, d’où ce jardin méditerranéen art déco, avec ses arbres, ses statues qui lui rappelaient son enfance. Au départ, Jacques Haïk voulait créer une salle de plus de 5.000 places, mais il n’a pas pu le faire pour des raisons administratives. Il est donc revenu à une formule de 4.000 sièges, avec de nombreux strapontins. Les grands fauteuils en cuir que l’on connaît aujourd’hui qui datent des années 60/70 sont désormais la signature du Grand Rex. » Extrait du texte ReXnovation par Philippe Trétiack, journaliste et écrivain : « Mieux qu’un rideau de scène, une gigantesque bâche destinée à envelopper des mois durant la totalité d’un bâtiment. Sous ce drap taille magnum : le Grand Rex, mythique cinéma affichant comme seul et unique programme sa propre renaissance. Pour acteurs, des bataillons d’ouvriers, maçons, peintres, serruriers, électriciens, informaticiens avec à leur tête un duo d’architectes enthousiasmés par leur tâche et dopés par leur bâche. Car oui tout est né d’elle et de l’obligation de la suspendre pour mieux protéger les passants des scories provoquées par l’indispensable ravalement de l’édifice. Au départ d’ailleurs, il n’était question que de cela, ravaler et assurer l’étanchéité déficiente des toitures de cet immeuble édifié en 1932, retouché dans les années 70, dénaturé dans les années 80. Nettoyer le cinéma, lui redonner belle allure, c’était la moindre des choses pour un anniversaire, son 90e.Mais voilà que dans la tête de Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson, les architectes appelés à mener à bien cette entreprise, a surgi une idée d’apparence saugrenue, faire de cette bâche non pas une contrainte mais une chance, qui permettrait d’assurer un nettoyage et carrément un lifting pour le restaurer en profondeur afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire.Édifice aux façades inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par Jack Lang en 1981, Le Grand Rex est le dernier exemple encore debout de cinéma à l’architecture Art déco. Il est l’œuvre d’un premier duo d’architectes, le français Auguste Bluysen, auteur entre autres de la Biscuiterie LU à Nantes et du casino du Touquet, et de l’américain John Eberson. Ce dernier fut le grand manitou des cinémas de style dit « atmosphérique ». Il en édifia des dizaines Outre-Atlantique. En France, le Grand Rex en est l’unique et dernier représentant. » Extrait de l'interview de Bruno Blanckaert, Directeur général du Grand Rex par Olivier Nuc :« L’histoire d’amour entre la salle parisienne inspirée par le Radio City Music Hall de New York et la musique a commencé il y a plus de quarante ans, avec un concert de Billy Joel. Le songwriter américain, rare sur nos terres, a en effet inauguré ce qui est devenu un temple des musiques populaires, dans leur acception la plus large. En quatre décennies, le Grand Rex a accueilli aussi bien les plus grands noms de la pop et du rock, les ténors de la chanson française, des jazzmen, tout en s’ouvrant largement aux musiques lusophones, du Portugal au Brésil. « Aux débuts, j’ai commencé par organiser des concerts les mardis et jeudis », se souvient Bruno Blanckaert, directeur de la salle. « A cette époque-là, j’aimais la pop de la Côte Ouest ». S’il est initialement difficile de convaincre les acteurs traditionnels du métier, une nouvelle génération de producteurs va accompagner l’émergence du Grand Rex dans les salles incontournables de Paris. »Le Grand Rex en quelques chiffres (par an) :1 million de spectateurs2.702 places dans la Grande salle, la plus grande salle de cinéma au monde100 Avant-Premières150.000 spectateurs pour les dessins animés de Noël et la Féerie des Eaux70.000 visiteurs au Rex Studios
Il y a 2 ans et 193 jours

EAS Solutions présente Panama, un linéaire LED intelligent et peu énergivore

A cela s’ajoute une pénurie de composants qui entraîne des difficultés d’approvisionnement en LED prévues pour durer au minimum jusqu’à la fin de l’année prochaine. En s’équipant dès à présent avec des solutions LED intelligentes performantes, les professionnels évitent de se retrouver en rupture de tubes, sans éclairage, et remplacent avantageusement leur installation obsolète et énergivore par un éclairage qualitatif, sobre, qui, instantanément, diminue très fortement leur facture énergétique. Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6686 lumens, la gamme de linéaires LED PANAMA est disponible en plusieurs dimensions (650 mm, 1220 mm, 1560 mm) et puissances (20W, 34W, 45W, 65W). Elle possède une température de couleur de 4000 K, une température de fonctionnement allant de -20° à +35° et un driver intégré. Étanche avec un indice de protection IP66, elle est conçue en polycarbonate et adaptée à l’éclairage intérieur et extérieur des bâtiments industriels, logistiques et tertiaires comme les espaces de circulation et d’infrastructures des gares, les plateformes, les passerelles, les parkings... Equipés de la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS, les linéaires LED PANAMA sont pourvus d’un contrôleur avec détecteur de présence à trois niveaux de puissance, variables selon les détections, qui optimise la gestion des luminaires et leur consommation d’énergie. Positionnés en hauteur, les linéaires LED connectés apportent un éclairage efficace qui se module automatiquement. En communiquant par le maillage radio des luminaires, le système Smart Facility constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Les données qu’il collecte sont analysées en temps réel afin d’économiser jusqu’à 90% d’énergie tout en améliorant la sécurité, l’efficacité et la productivité du site équipé.Thermolaquage 21, spécialiste de la finition de pièces métalliques pour le secteur médical, l’industrie, l’automobile et le bâtiment, a équipé cette année son site de production d’un nouvel éclairage LED intelligent composé de 27 linéaires LED PANAMA, 8 luminaires LED RELIANT et 2 luminaires LED LUMAZ à haut rendement, tous connectés avec la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS. Ce relamping du site permet d’éclairer uniquement les zones d’activité et de régler l’intensité lumineuse en fonction de la luminosité naturelle. Il diminue très fortement les consommations en énergie et apporte un confort visuel accru qui contribue à améliorer et à sécuriser les conditions de travail des collaborateurs.
Il y a 2 ans et 197 jours

Rénovation énergétique : l'Etat "ne saurait pas dépenser 12Mds€" d'aides supplémentaires

FINANCEMENT. Le ministre du Logement, Olivier Klein, a justifié chez nos confères de Sud radio pourquoi le gouvernement n'avait pas retenu des amendements proposés par l'opposition, prévoyant 12 milliards d'euros supplémentaires pour la rénovation énergétique. Une prise de position qui a fait tiquer plusieurs acteurs du secteur, dont la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Il y a 2 ans et 197 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PANAMA, UN LINÉAIRE LED INTELLIGENT ÉTANCHE POUR PALLIER L’ENVOLÉE DU PRIX DU KWH ET LA FIN DES TUBES FLUORESCENTS EN 2023

Facebook Twitter EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de luminaires linéaires LED PANAMA dotés de la technologie Smart Facility en réponse à la double problématique à laquelle les entreprise sont confrontées, à savoir : la hausse vertigineuse du prix de l’électricité, multiplié par 10 pour certains, et la fin programmée des tubes fluorescents en 2023. A cela s’ajoute une pénurie de composants qui entraîne des difficultés d’approvisionnement en LED prévues pour durer au minimum jusqu’à la fin de l’année prochaine. En s’équipant dès à présent avec des solutions LED intelligentes performantes, les professionnels évitent de se retrouver en rupture de tubes, sans éclairage, et remplacent avantageusement leur installation obsolète et énergivore par un éclairage qualitatif, sobre, qui, instantanément, diminue très fortement leur facture énergétique. Avec un flux lumineux allant jusqu’à 6686 lumens, la gamme de linéaires LED PANAMA est disponible en plusieurs dimensions (650 mm, 1220 mm, 1560 mm) et puissances (20W, 34W, 45W, 65W). Elle possède une température de couleur de 4000 K, une température de fonctionnement allant de -20° à +35° et un driver intégré. Étanche avec un indice de protection IP66, elle est conçue en polycarbonate et adaptée à l’éclairage intérieur et extérieur des bâtiments industriels, logistiques et tertiaires comme les espaces de circulation et d’infrastructures des gares, les plateformes, les passerelles, les parkings… Equipés de la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS, les linéaires LED PANAMA sont pourvus d’un contrôleur avec détecteur de présence à trois niveaux de puissance, variables selon les détections, qui optimise la gestion des luminaires et leur consommation d’énergie. Positionnés en hauteur, les linéaires LED connectés apportent un éclairage efficace qui se module automatiquement. En communiquant par le maillage radio des luminaires, le système Smart Facility constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Les données qu’il collecte sont analysées en temps réel afin d’économiser jusqu’à 90% d’énergie tout en améliorant la sécurité, l’efficacité et la productivité du site équipé. Application : Equipement du site industriel Thermolaquage 21 Thermolaquage 21, spécialiste de la finition de pièces métalliques pour le secteur médical, l’industrie, l’automobile et le bâtiment, a équipé cette année son site de production d’un nouvel éclairage LED intelligent composé de 27 linéaires LED PANAMA, 8 luminaires LED RELIANT et 2 luminaires LED LUMAZ à haut rendement, tous connectés avec la technologie Smart Facility d’EAS SOLUTIONS. Ce relamping du site permet d’éclairer uniquement les zones d’activité et de régler l’intensité lumineuse en fonction de la luminosité naturelle. Il diminue très fortement les consommations en énergie et apporte un confort visuel accru qui contribue à améliorer et à sécuriser les conditions de travail des collaborateurs. A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr  EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 206 jours

Les machines sans fil Würth : la révolution M-CUBE®

« Il n’y a pas de meilleurs conseils que ceux de nos clients »Marteau perforateur, meuleuse d’angle, visseuse-perceuse, pistolet mastic … Toutes les machines électroportatives ont été conçues à partir des retours d’expériences des clients Würth.Puissantes, légères et ergonomiques, elles vous apporteront sécurité, confort et efficacité au quotidien.Grâce au concept M-CUBE®, utilisez la même batterie sur toutes les machines de la gamme. Les différentes capacités proposées vous garantissent une durée de vie élevée, une utilisation optimale de la puissance délivrée, et cela en toute autonomie !Quels avantages et bénéfices ? Un travail agréable et sans fatigue grâce à une conception compacte, ergonomique et légère.Des modèles robustes pour garantir une résistance élevée aux chocs.Un système de batterie interchangeable pour gagner un temps précieux.Des machines puissantes et résistantes pour garantir des performances maximales.Configurez votre pack de machines grâce au guide de choix M-CUBEWürth a conçu un outil pour vous permettre de configurer votre coffret ou pack de machines sans fil M-CUBE® sur mesure en fonction de :La formule souhaitée (le nombre de machines) : solo, duo ou trioLe voltage : 12 à 18VLa ou les machines adaptée(s) à votre métier : visseuse, scie, meuleuse, marteau perforateur …Le contenant désiréLes accessoires adaptésAvec ce configurateur M-CUBE®, composez vous-même votre ensemble de machines sur mesure et adaptées à votre activité. Découvrez le configurateur en cliquant sur ce lien.La dernière innovation M-CUBE® : la radio sans fil et enceinte BLUETOOTH®Profitez d’un son de qualité en toutes circonstances et sur tous vos chantiers grâce à la radio sans fil, compacte et pratique ! Avec la radio et enceinte sans fil BLUETOOTH® de la gamme M-CUBE®, vous pourrez notamment :Naviguer parmi les différentes stations grâce à sa fonction radio FM avec assistant vocal.Ecouter de la musique où que vous soyez grâce à la fonction TWS (True Wireless Stereo), et profiter ainsi d’un son stéréo encore plus riche et amélioré.Ergonomique et robuste, vous pourrez également charger vos appareils portables grâce à sa connexion USB intégrée. Un concentré d’innovation pour faciliter votre quotidien et rendre le travail sur vos chantiers plus agréable.Consultez la documentation technique des différentes machines M-CUBE® directement depuis la liste de fiches produits en cliquant sur ce lien.
Il y a 2 ans et 233 jours

Equipements de protection et de sécurité : comment bien choisir ?

Beaucoup de métiers exigent de porter des équipements de protection. L’objectif est simple : se protéger du froid, des projections et autres salissures. En d’autres termes, assurer sa sécurité pour travailler confortablement jour après jour. L’article qui suit donne quelques conseils pour bien choisir ses équipements de protection et de sécurité. Choisir ses équipements de protection et de sécurité en fonction de l’activité professionnelle exercée Les équipements dont les équipes de travail ont besoin pour exercer leur métier dépendent en premier lieu du domaine professionnel concerné. A titre d’exemple, sur les gros chantiers de construction ou en lien avec les travaux public, les travailleurs vont avoir besoin des éléments suivants : Un pantalon et une veste de travailDes chaussures de sécuritéUn casque anti-chocDes lunettes de protectionDes gants de protectionUn casque anti-bruit, etc S’ajoutent à cela des éléments tels qu’un gilet de signalisation pour les travaux sur la voie publique ou bien encore un harnais de sécurité pour les personnes amenées à travailler en hauteur, etc. Pour les mécaniciens et les carrossiers, il est indispensable de s’équiper d’une combinaison de travail ou bien d’un t-shirt et d’un pantalon de travail, de gants, de chaussures de sécurité et de lunettes de travail. D’autres métiers nécessitent des équipements plus particuliers. Citons les personnes exposées à des produits chimiques ou des substances radioactives. Elles doivent impérativement porter une combinaison de protection spécifique recouvrant tout le corps et un masque. N’oublions pas non plus les personnes qui travaillent dans les cantines collectives ou les centres de préparation et de cuisson de repas. Elles ont pour leur part besoin d’une blouse, de charlottes jetables et de surchaussures jetables. Au moment de choisir, les professionnels qui font le choix d’un équipement de protection Berner s’assurent de se tourner vers des produits fiables, solides et qui répondent aux normes, ce dernier étant un critère à bien prendre en compte au moment de choisir ses équipements de protection et de sécurité. Veiller au respect des normes pour les équipements de protection et de sécurité On le sait, les équipements de protection et de sécurité visent à protéger les travailleurs d’une multitude de désagréments pouvant être rencontrés au cours de l’activité professionnelle : projections, chocs, salissures, bruits ou exposition à des produits dangereux. Cependant, tous les produits proposés sur le marché ne se valent pas. L’un des critères à bien regarder au moment de s’équiper est le respect des normes de sécurité. L’avantage avec les produits du groupe Berner, c’est qu’ils respectent parfaitement ces normes essentielles. Citons par exemple : La norme EN 166 qui s’appliquent à la protection des yeux pour les lunettesLa norme EN 352-1 en lien avec la protection contre le bruit pour les casques Ne pas négliger les équipements de premiers secours Que l’on travaille sur un chantier, dans un garage automobile ou au sein d’une usine, les professionnels doivent s’équiper d’une trousse de premiers secours afin de faire face aux blessures les plus superficielles. La trousse ou mallette de secours doit contenir au minimum des pansements, une solution désinfectante, des compresses de gaze, une paire de ciseaux, une pochette de glace, du tulle gras et une couverture isothermique. Avec Berner, les professionnels retrouvent l’ensemble des équipements de protection et de sécurité dont ils sont amenés à avoir besoin pour travailler dans des conditions optimales. Les commandes se font directement sur le site internet et la livraison se fait sur le lieu choisi.
Il y a 2 ans et 241 jours

France Rénov' : la rénovation énergétique pour tous

La rénovation énergétique au cœur des enjeux énergétique et climatiquePour permettre aux ménages d’améliorer le confort de leur logement et de réduire leur consommation d’énergie, le Gouvernement a fait de la rénovation énergétique une priorité. Depuis son lancement en 2020, plus d’un million de foyers ont pu bénéficier de MaPrimeRénov’ pour réaliser des travaux dans leur logement. Pour accélérer la transition énergétique des logements et accompagner davantage de ménages vers des rénovations performantes, l’Etat a lancé France Rénov’, en janvier 2022.Un service public gratuit et indépendant, pour des rénovations énergétiques performantesFrance Rénov’, piloté par l’Agence nationale de l’habitat, est le point d’entrée unique de tous les parcours de travaux, des plus simples aux plus complexes. Pour être informés et accompagnés tout au long de leur projet, les ménages ont à leur disposition :une plateforme web (France-renov.gouv.fr),un numéro de téléphone national unique (0.808.800.700)plus de 1.800 Conseillers France Rénov’dans 500 Espaces conseils France Rénov’, présents sur l’ensemble du territoire.Les informations et conseils délivrés par France Rénov’ sont neutres, gratuits et personnalisés afin de savoir quels travaux réaliser chez soi, comment choisir ses artisans, de quelles aides on peut bénéficier et de mieux appréhender comment va se dérouler son chantier. Cet accompagnement, du début du projet à la livraison du chantier, est essentiel pour rassurer les ménages et faciliter leur passage à l’acte.FranceRénov’ permet ainsi aux ménages de réaliser un projet sur-mesure, énergétiquement performant, et de réduire leur reste à charge en mobilisant les différentes aides financières existantes.Une campagne pour convaincre les ménages de passer à l’acteCette campagne s’appuiera sur un dispositif média complet (TV, radio, presse et digital), de septembre à décembre, et a pour objectifs de :créer un “réflexe” France Rénov' chez les ménages qui souhaitent faire des travaux ;convaincre un maximum de ménages de passer à l’acte pour réaliser la rénovation la plus ambitieuse possible de leur logement ;illustrer les avantages pour les particuliers d'être accompagnés par France Rénov' dans leur projet.
Il y a 2 ans et 246 jours

Nouveaux volets roulants à consommation énergétique réduite

Grâce à son moteur radio hybride commandable en mode filaire ou à distance, les nouveaux volets roulants Confort, Design, Sécurité de LAKAL offrent un confort optimal. Cette gamme de volets axée sur la sécurité permet de protéger contre les tentatives d’intrusion ou les incendies. Leur consommation énergétique est réduite de 50% par rapport à la plupart des moteurs du marché. Elle est disponible dans une multitude de couleurs.
Il y a 2 ans et 248 jours

Guillaume Loizeau : « Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment »

Guillaume Loizeaud est le directeur du Mondial du Bâtiment. [©Florie Berger/Mondial du Bâtiment] Après une escapade à Villepinte, Batimat revient à la porte de Versailles. On reprend les bonnes habitudes et les recettes éprouvées ? Oui, mais pas uniquement. Depuis son départ de la porte de Versailles en 2013, beaucoup de choses ont changé dans le monde du bâtiment. Et cela a un impact sur l’organisation d’un évènement tel que celui-ci. Les attentes des exposants comme des visiteurs ont évolué et nous nous devons de leur apporter des réponses. Bien sûr, l’esprit demeure et nous voulons faire de ce rendez-vous un moment d’échange et de convivialité comme il l’est depuis toujours. Toutefois, c’est un Batimat – et, plus largement, un Mondial du Bâtiment – rénové qui ouvre ses portes ? Qu’est-ce qui change et qu’est-ce qui reste des anciennes formules ? L’édition 2022 passe à 4 j au lieu des 5 habituels. Dans l’organisation d’une entreprise, avoir ses équipes mobilisées pendant 4 j au lieu de 5 sur un salon peut avoir son importance. Et cela a évidemment un impact de coût. Par ailleurs, nous avons travaillé sur une proposition de stand qui ne dépasse pas 99 m2. Une manière de permettre à chacun d’avoir une meilleure visibilité, tout en optimisant les espaces. Enfin, l’impact environnemental étant un enjeu fort, un évènement comme Batimat ne pouvait pas l’ignorer. Nous nous sommes donc placés dans une logique de bilan carbone et de réduction des émissions avec différentes actions identifiées, grâce à un important travail d’analyse sur les transports, l’énergie, l’alimentation, l’hôtellerie. C’est contraignant, mais indispensable. Par ailleurs, le digital a dorénavant toute sa place. Nous avions déjà travaillé sur cette proposition et nous l’avons encore plus développée avec des outils, tels que Batiradio ou le site batiadvisor.fr. Et bien sûr, il n’y a pas de Mondial du Bâtiment sans ses Awards ! Un incontournable pour les exposants qui leur permet de présenter et de diffuser leurs innovations. Le gros œuvre reprend possession du hall 1. Comment sont organisés les espaces ? Quelle place le béton y occupe-t-il ? Nous avons une quinzaine d’exposants dans l’univers du béton, avec une vraie proposition de rupture chez certains. Ils sont regroupés dans l’espace dédié aux matériaux et à proximité immédiate du nouvel espace Low Carbon Construction. Y a-t-il quelques points forts “béton” à inscrire dans son agenda de visite (en dehors d’un passage obligé sur le stand Béton[s] le Magazine) ? La thématique “Bien vivre dans la ville de 2050” met en avant la décarbonation des matériaux. Dans ce cadre, le béton prend toute sa place avec des acteurs comme le Syndicat français de l’industrie cimentière et Cimbéton, qui représentent les industriels Ciments Calcia, Eqiom, Lafarge ou Vicat. Mais aussi des acteurs comme Cemex et encore Hoffmann Green Cement. L’espace Innovation est, lui, l’occasion de découvrir quelques belles solutions présentées aux Awards, comme le procédé CarbonCure, distribué par Edilteco. D’une manière plus large, quelles vont être les grandes thématiques abordées sur cette édition 2022 ? Batimat va aborder les grands enjeux du bâtiment à travers 4 thématiques fortes, déclinées dans les différents espaces et à travers les conférences qui auront lieu durant les 4 j. A savoir, la préservation du climat et de l’environnement, le bien-vivre dans la ville de 2050, la valorisation des métiers et la transformation des méthodes. La décarbonation est un sujet phare pour le Mondial du Bâtiment. Nous avons vu beaucoup de propositions autour de cet enjeu parmi les participants aux Awards. Nous y consacrons même un espace spécifique pour la première fois. En 2019, nous avions mis à l’honneur la construction hors site. Cette année, c’est un espace trois fois plus grand qui est consacré à ce mode constructif, qui se place parmi les moments forts du Mondial du Bâtiment. La digitalisation reste plus que jamais un thème central qui est mis en valeur grâce à notre espace Construction Tech avec plus de 80 start-up présentes. Pour finir, combien d’exposants “Batimat” sont-ils inscrits sur cette édition ? Et combien de visiteurs sont-ils attendus ? Nous enregistrons la présence de 1 300 exposants sur Batimat et espérons recevoir 200 000 visiteurs durant les 4 j.
Il y a 2 ans et 253 jours

Recours déposé auprès du Conseil d'Etat contre le projet Cigéo, à Bure

JUSTICE. Des associations et des habitants opposés au projet d'enfouissement de déchets radioactifs, à Bure, dans la Meuse, ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, le 7 septembre 2022, contre deux décrets publiés durant l'été.
Il y a 2 ans et 254 jours

Paul Meyer devient délégué général de l’Union Nationale des Aménageurs (UNAM)

Paul Meyer a été maire du quartier Centre-ville, adjoint au tourisme, commerce et numérique notamment. Familier des territoires et passionné par leurs transformations, Paul Meyer a été associé-directeur de Radio Territoria, Webradio dédiée aux acteurs des territoires. Grâce à son expertise, il enseigne en MBA à l’institut Léonard de Vinci Paris sur les questions d’attractivité des territoires. Il a aussi mené des activités entrepreneuriales : dans les affaires publiques,le développement territorial et le numérique (création d’une start-up).Dans un contexte marqué par l’inflation, les conséquences du changement climatique et la crise énergétique, la nomination d’un acteur de terrain comme délégué général est un choix stratégique en faveur des enjeux de transition urbaine et écologique des territoires. Pour François Rieussec, Président de l’Union Nationale des Aménageurs, cette arrivée marque un tournant majeur en faveur de la coopération avec les acteurs locaux et nationaux. La nomination de Paul Meyer « doit permettre de dynamiser notre réseau d’entrepreneurs adhérents, d’animer une équipe interne avec tous les services aux adhérents, mais surtout de développer les relations des aménageurs auprès des pouvoirs publics tant au niveau national que dans les régions et de mettre en lumière l’importance du rôle central et essentiel des aménageurs dans la transition écologique que nous traversons » confirme le Président.Paul Meyer, nouveau délégué général de l’UNAM affirme « Je suis honoré et fier de rejoindre cette belle institution et heureux de pouvoir m’engager auprès des acteurs et partenaires de la transition environnementale des territoires que sont les aménageurs ».
Il y a 2 ans et 259 jours

Radio de chantier sur batterie DAB+ 18V AEG Nomade, légère, compacte et ultra résistante

La radio de chantier DAB+ 18V d’AEG, c’est l’accessoire indispensable pour tous les professionnels du bâtiment, afin d’accompagner d’un peu de musique les longues journées de travail ! Cette radio de chantier est très compacte avec seulement 150 mm de large et très légère –1,9 kg avec sa batterie. Elle peut donc être transportée partout. […]
Il y a 2 ans et 275 jours

Nouveau RX Cube de CDVI : gérer et contrôler des accès via smartphone

Aujourd’hui, CDVI illustre une nouvelle fois cette volonté et lance RX CUBE, un micro-récepteur radio contrôlé par Bluetooth® qui, associé à une application smartphone, simplifie la gestion et l’ouverture des accès.Un petit cube pour centraliser les accès depuis un smartphone ou une seule télécommandeDe la taille d’une boîte d’allumettes, le RX CUBE est un micro-récepteur radio qui s’intègre à tous les automatismes de porte, portail ou portillon pour déclencher leur ouverture. Alimenté par une tension de 12/24 V, il est contrôlé par Bluetooth® et offre ainsi un mode de fonctionnement hybride par télécommande radio classique (433,92 MHz) mais aussi par smartphone grâce à l’application RX Cube dédiée, téléchargeable gratuitement sur l’App Store et Play Store.Au-delà de limiter les problématiques liées à la gestion d’un grand nombre de télécommandes dans un immeuble résidentiel ou tertiaire, l’application RX Cube facilite le travail des installateurs et des administrateurs puisque toute la configuration et la gestion des accès s’effectue directement via le smartphone.Une gestion et une configuration encore plus simple et plus rapideIntuitive, l’application RX Cube de CDVI propose trois profils différents protégés par un mot de passe :« Installateur » pour la mise en œuvre sur place du récepteur RX Cube, à partir duquel le professionnel réalise, à proximité, le paramétrage de son fonctionnement (gestion de la temporisation du relais selon les temps d’ouverture souhaités...). Plus besoin d’accéder physiquement au boîtier, tous les réglages se font depuis le smartphone pour un réel confort d’utilisation. Il est également possible d’effectuer le premier appairage, à l’unité ou groupé, entre les récepteurs RX Cube et les émetteurs (télécommandes ou smartphone),« Administrateur » destiné aux gestionnaires de bâtiment, syndicats de copropriété... qui vont pouvoir gérer jusqu’à 250 émetteurs différents, leur attribuer des droits d’accès selon leurs profils, mais aussi configurer le récepteur RX Cube en fonction des besoins et/ou du fonctionnement des équipements qui lui sont liés (portail, portillon, barrière...). A tous moments, ils bénéficient d’une vue d’ensemble de l’installation et peuvent effectuer des appairages supplémentaires pour ajouter ou modifier des émetteurs ou encore supprimer des droits en cas d’émetteur perdu ou non restitué dans le cas d’une télécommande, par exemple,« Utilisateur » qui pour déclencher l’ouverture d’un accès n’a plus qu’à lancer l’application RX Cube sur son smartphone et à appuyer sur le bouton central sur lequel est indiqué « ouvrir le portail ».Autre avantage non négligeable, administrateurs et installateurs peuvent gérer à proximité, dans la même application, les accès de plusieurs sites différents.Compatible avec la gamme complète de télécommandes CDVI et les digicodes Galeor utilisant le protocole Keeloq@Hopping code, RX CUBE rend le contrôle virtuel des accès fiable et accessible à tous, clients professionnels comme utilisateurs finaux.
Il y a 2 ans et 281 jours

A Paris, l'immeuble de la discorde dans un bel hôtel particulier

"Je ne vais pas me laisser faire." Parmi d'autres riverains du quartier chic de la Plaine-Monceau (XVIIe arrondissement), le radiologue Rodolphe Gombergh, 71 ans, est le premier opposant à la construction d'un bâtiment de cinq étages dans la cour de son immeuble.Dans un quartier qui en regorge, cet ancien hôtel particulier construit en 1889 se compose de deux bâtiments de style néogothique, en brique, reliés par un portique de deux arches avec des grilles en fer forgé.Dans la cour, deux charmants ouvrages d'époque: un ascenseur à pompe et un garage à fiacre... contre lequel doit bientôt se dresser un immeuble de bureaux de cinq étages dont le blanc lumineux et la forme en escalier font tâche au milieu de l'ensemble.Un bâtiment "comme à La Défense", "sans aucune allure," juge M. Gombergh en montrant le trou béant laissé par le creusement de la cour pavée pour y loger un sous-sol.La nouvelle construction a été commandée par l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern), un centre de recherche privé situé à Genève.Si le bâtiment contesté n'est pas encore sorti de terre, les travaux entamés en septembre 2021 ont déjà laissé quelques cicatrices: lanterne et grille portées disparues, morceaux d'arche arrachés puis colmatés, affaissement de la cour et, côté rue, d'une fenêtre au-dessus d'une nouvelle ouverture.D'où l'arrêt momentané des travaux, estime le médecin, qui a lancé plusieurs recours juridiques contre le projet.Protégé, mais pas classéComment celui-ci a-t-il pu être validé par la Ville de Paris, dans un bâtiment qui, s'il n'est pas classé monument historique, est tout de même protégé au titre du plan local d'urbanisme (PLU) ?"Bonne question, je me la suis posée moi-même", répond Emmanuel Grégoire, l'adjoint (PS) à l'urbanisme, pour qui le permis de construire est "passé sous les radars" parce que "totalement légal, ce qui fait qu'il n'a été traité ni par la mairie du XVIIe ni par mon cabinet"."Nous avions un avis réservé et nous avions demandé au propriétaire de consulter les riverains", affirme le maire (LR) de l'arrondissement, Geoffroy Boulard, qui dit avoir reçu un permis initial "extrêmement succinct".En août 2019, la Commission du Vieux Paris, dont l'avis est consultatif, n'a rien vu à redire au projet, qui comportait alors un étage de moins.Un an plus tard, le permis modificatif est délivré dans la foulée des élections municipales, à un moment où la commission met "un certain temps à être remise en place", justifie son président, Jean-François Legaret.En résumé, "il y a eu des trous dans la raquette à tous points de vue", regrette Karen Taïeb, adjointe (PS) au patrimoine et élue du XVIIe arrondissement.La mairie de cet arrondissement a réagi dès février 2021, en demandant un nouvel examen à la Commission du Vieux Paris. Ce que cette dernière a fait mi-juin 2022, réclamant la modification du projet.Espoir "faible"Mais "le permis est purgé de tout recours", souligne M. Grégoire, pour qui l'espoir est "modéré, voire faible" de voir le Cern accepter.Contacté par l'AFP, ce dernier ne s'est pas prononcé sur une éventuelle modification du projet, soulignant que son permis avait été "dûment obtenu" et affirmant avoir "toujours répondu favorablement à toute demande de réunion et d'échanges".Ses responsables "ne se rendent pas très disponibles", même si une première réunion de "conciliation" est prévue en septembre, rétorque toutefois M. Grégoire."Que de temps perdu", regrette M. Boulard, pour qui ce dossier souligne "les carences de la Ville en matière de contrôle d'urbanisme et de patrimoine"."Cette reconstruction d'un immeuble de bureaux dans un quartier excédentaire en bureaux n'a aucune légitimité", insiste l'élu de droite, qui veut tout autant éviter "un massacre sur le plan esthétique".Mme Taïeb espère toujours que le "porteur de projet puisse avoir une conscience patrimoniale". Sur le seul aspect chromatique, "un parement en brique serait déjà une évolution très positive", demande M. Legaret.
Il y a 2 ans et 290 jours

Le Dévéhat Vuarnesson Architectes transforme le Centre de tri du Syctom à Nanterre (92)

La restructuration du centre de tri de Nanterre est révélatrice de l’approche de l’agence LVA. En effet, bien qu’il s’agisse ici d’un bâtiment industriel, il est aujourd’hui ouvert sur le quartier. Un soin particulier a été donnée aux qualités spatiales, aux qualités d’usages et aux conditions de travail des employés au-delà de la réponse stricte de la mise aux normes ergonomique et de sécurité.Ce projet de 12.000 m² SP, réalisé en mission complète en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés pour le Syctom, maître d’ouvrage, est guidé par trois principes architecturaux majeurs : faire pénétrer la lumière naturelle dans les bâtiments, développer les espaces extérieurs directement accessibles depuis les salles de travail et de repos, contribuer au développement d’espaces naturels.Sur une parcelle densément construite et contrainte (PPRI), les enjeux de la réhabilitation résidaient dans l’augmentation de la capacité de réception et de traitement de la matière (passant de 40.000 à 55.000 tonnes par an), dans la réorganisation du fonctionnement global du site et dans la mise aux normes et la rénovation thermique et environnementale des bâtiments. LVA a organisé un fonctionnement fluide et clair tout en conservant un maximum de constructions existantes.Le traitement architectural contemporain du centre de tri exprime la mixité des activités : industrielles et tertiaires. Le site s’inscrit dans un tissu urbain en « fabrication » et participe à sa définition. Quartier anciennement dédié à l’activité industrielle, l’aménagement de la ZAC des Guilleraies introduit de nombreuses activités tertiaires tout en confortant sa vocation d’origine. D’où l’importance de la relation du centre de tri à l’aménagement urbain et paysager du nouveau quartier. L’ouvrage devient aisément appropriable par les riverains, et sa relation au quartier est apaisée.La présence d’espaces végétalisés évoluant au fil des saisons, la pénétration de la lumière naturelle, les nouveaux espaces extérieurs et les nouvelles vues créées valorisent les conditions de travail en offrant une nouvelle relation au site et au paysage. Les nuisances visuelles, acoustiques et olfactives sont traitées à l’échelle du bâtiment, pour le confort des employés et pour un impact urbain adouci.Le principe volumétrique du centre, adapté aux différentes fonctions, a été conservé : le bâtiment A accueille les locaux administratifs, sociaux et les ateliers ; les bâtiments E, B, C et D, le déversement, la réception et le stockage de la matière collectée, le tri, le conditionnement et l’évacuation de la matière triée. La restructuration de la zone d’accès des véhicules et de la zone de réception des matériaux a nécessité la démolition et la reconstruction du bâtiment E et la démolition du petit bâtiment d’isolement des matières radioactives.La résille est l’élément structurant du projet, un balcon s’y accroche, la végétation commence à y grimper, elle joue avec le soleil et dessine de grandes ombres sur les façades, elle est la cohérence de l’outil industriel. Fiche technique Maître d’ouvrage : Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers, acteur public majeur de la gestion des déchets en Île-de-FranceÉquipe : Le Dévéhat Vuarnesson Architectes en association avec La Superstructure, Patrice Gobert architecte et associés et Thierry Dalcant paysagiste ; Paprec group mandataire-gestionnaire ; Cathelain Entreprise Génie Civil ; Ar-Val Process ; Inddigo BET ; Sim BET acousticien ; Area BET Fluides ; Olfacto (dépoussiérage-désodorisation) Mission : Marché de conception, de réalisation et d’exploitation ou de maintenance (CREM)Programme : Restructuration d’un centre de tri de collecte sélectiveCapacité : 55.000 T/anSurface : 12.000 m2 SPSurface de la parcelle : 18.500 m²Calendrier : Livré en novembre 2021Budget conception réalisation : 40,6 M€ HT (y compris process, hors exploitation)Opération réalisée en BIM
Il y a 2 ans et 295 jours

Well’drive®, nouvelle génération de moteurs radio pour volets roulants

CompacitéPlus court qu’un moteur radio classique (424 mm), le nouveau moteur Well’drive® s’adapte aux différentes baies.Fiabilité et longévité grâce à la technologie brushlessLa nouvelle génération de moteur à aimants permanents sans charbons préserve la longévité car il n’y a pas de risque d’usure des pièces mécaniques ou de surchauffe. Enfin, grâce au nouveau moteur radio Well’drive®, le volet roulant s’arrête et se relève légèrement en cas de détection d’obstacles. Il repère également lorsque le volet est gelé.Respectueux de l’environnementBénéficiant de la technologie brushless, le nouveau moteur Well’drive® de France Fermetures consomme 3 fois moins d’énergie qu’un volet équipé d’un moteur classique.Fonctionnement silencieuxGrâce à la vitesse variable et à l’accostage doux en fin de courses, le mouvement du tablier est plus fluide.Pilotage individuel ou centraliséPour assurer un confort aux utilisateurs, les volets roulants équipés d’un moteur Well’drive® sont livrés de série avec une télécommande Kaly.S’intégrant aux solutions maison connectée Well’Com de France Fermetures, ils peuvent également être pilotés à distance, via un smartphone ou une tablette, à partir de l’application Tydom ainsi qu’avec les commandes vocales Alexa et OK Google.Installation aiséeRéglages intuitifs, détection automatique du sens d’enroulement, réglage des fins de courses en automatique sont autant de caractéristiques techniques simplifiant la pose par les installateurs.Maintenance facilitéeDoté d’une antenne intégrée avec une portée radio de 300 mètres, le moteur Well’drive® est également équipé d’un câble d’alimentation débrochable facilitant la réparabilité du volet roulant.Conçu en France et certifié NF, le moteur Well’drive® est garanti 8 ans.Il bénéficie du service connecté Qwidi de France Fermetures qui garantit à l’installateur de réaliser, en toute simplicité, toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets depuis un smartphone ou une tablette.
Il y a 2 ans et 302 jours

Lionel Linger, nouveau président du Comité des affaires internationales de l’AFGC

A 46 ans, Lionel Linger prend les rênes du Comité des affaires internationales de l’AFGC. [©AFGC] Actuellement directeur du pôle matériaux bétons de Vinci Construction Grands Projets, Lionel Linger vient d’être nommé président du Comité des affaires internationales de l’AFGC. Expert du béton, habitué des grands projets à l’étranger et de la présidence de commissions internationales, il a été pressenti par Michel Moussard pour lui succéder. « Je devais certainement avoir la tête de l’emploi ! », sourit Lionel Linger. Ses missions au sein du comité Le nouveau président souhaite ainsi redynamiser le comité, a la volonté de rendre plus visible à l’étranger le génie civil français. Et d’impliquer davantage les jeunes ingénieurs français dans des activités (commissions et groupes de travail) internationales. Ceci, pour “grandir”, gagner une réputation auprès de leurs pairs et assurer une présence française en amont de la préparation des futurs règlements. « De plus, je m’attacherai à coordonner la présence française dans les organisations internationales, à promouvoir la représentation dans les groupes de travail de l’AFGC et la présence française dans les congrès internationaux. Ainsi, bien sûr, que la promotion de symposiums en France. » Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 306 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.
Il y a 2 ans et 311 jours

Les règles actuelles de l'assurance-chômage vont être prolongées, annonce Dussopt

"Ces règles sont en vigueur jusqu'au 31 octobre et nous travaillons pour voir comment les prolonger", a déclaré M. Dussopt sur Sud Radio.Il n'a pas précisé le nouveau terme, mais selon des sources syndicales, cette prolongation pourrait être d'un an ou jusque fin 2023.M. Dussopt a rappelé que l'application de la réforme de 2019 a été retardée de deux ans du fait du Covid et des recours des syndicats devant le Conseil d'Etat."Il faut d'abord faire une évaluation. Faisons d'abord un point sur l'utilité de ces nouvelles règles. Elles facilitent les recrutements, elles facilitent les incitations à l'emploi, mais nous avons quelques mois de recul seulement", a-t-il souligné.L'Unédic n'a pas encore fait d'évaluation de cette réforme et elle n'est pas attendue avant plusieurs mois.Le nouveau mode de calcul du salaire journalier de référence (SJR), base de l'allocation chômage, est entré en vigueur le 1er octobre 2021.Elle a été suivie au 1er décembre de la réforme de l'éligibilité (six mois de travail et non plus quatre pour être indemnisé) et de la dégressivité de 30% (pour les chômeurs de moins de 57 ans ayant perçu une rémunération supérieure à 4.500 euros brut) qui s'applique au bout de six mois et non plus huit.Le bonus-malus pour les entreprises (dans sept grands secteurs consommateurs de contrats courts) n'aura d'effet sur les cotisations chômage qu'en septembre 2022 même si la période d'observation des entreprises pour calculer cette modulation a démarré en juillet 2021.Pendant la campagne électorale, Emmanuel Macron a promis une nouvelle réforme pour que les règles d'indemnisation soient davantage modulées en fonction de la conjoncture.La prolongation des règles laisserait davantage de temps pour négocier cette réforme d'autant que certains syndicats et organisations patronales réclament qu'elle soit couplée à une modification de la gouvernance de l'Unédic, régime paritaire de l'indemnisation chômage où l'Etat s'invite de plus en plus.Ils n'avaient pas apprécié le déroulé de la dernière réforme, où l'Etat leur a d'abord demandé de négocier des niveaux d'économie élevés dans "une lettre de cadrage" très précise, puis avait repris la main à la suite de l'échec des négociations."On ne veut pas d'un système où les marges de manœuvre laissées aux partenaires sociaux pour fixer les règles sont trop réduites", a réaffirmé récemment Laurent Berger (CFDT).
Il y a 2 ans et 313 jours

A Bure, le projet Cigéo déclaré d'utilité publique et d'intérêt national

NUCLEAIRE. Deux décrets datés du 7 juillet 2022 déclarent la construction du controversé centre de stockage enterré de déchets radioactifs à Bure non seulement d'utilité publique, mais aussi d'intérêt national. Une avancée majeure pour la poursuite du projet.
Il y a 2 ans et 313 jours

WELL’DRIVE, nouvelle génération de moteurs roulants de France Fermetures

France Fermetures étoffe son offre domotique Well’Com® X3D avec son nouveau moteur radio Well’drive® bénéficiant de la technologie brushless aux nombreux atouts. Compacité Plus court qu’un moteur radio classique (424 mm), le nouveau moteur Well’drive® s’adapte aux différentes baies. Fiabilité et longévité grâce à la technologie brushless La nouvelle génération de moteur à aimants permanents […]
Il y a 2 ans et 313 jours

Well’drive® : nouvelle génération de moteurs radios pour volets roulants de France Fermetures

France Fermetures étoffe son offre domotique Well’Com® X3D avec son nouveau moteur radio Well’drive® bénéficiant de la technologie brushless aux nombreux atouts. Compacité Plus court qu’un moteur radio classique (424 mm), le nouveau moteur Well’drive® s’adapte aux différentes baies. Fiabilité et longévité grâce à la technologie brushless La nouvelle génération de moteur à aimants permanents sans charbons préserve la longévité car il n’y a pas de risque d’usure des pièces mécaniques ou de surchauffe. Enfin, grâce au nouveau moteur radio Well’drive®, le volet roulant s’arrête et se relève légèrement en cas de détection d’obstacles. Il repère également lorsque le volet est gelé. Respectueux de l’environnement Bénéficiant de la technologie brushless, le nouveau moteur Well’drive® de France Fermetures consomme 3 fois moins d’énergie qu’un volet équipé d’un moteur classique. Fonctionnement silencieux Grâce à la vitesse variable et à l’accostage doux en fin de courses, le mouvement du tablier est plus fluide. Pilotage individuel ou centralisé Pour assurer un confort aux utilisateurs, les volets roulants équipés d’un moteur Well’drive® sont livrés de série avec une télécommande Kaly. S’intégrant aux solutions maison connectée Well’Com de France Fermetures, ils peuvent également être pilotés à distance, via un smartphone ou une tablette, à partir de l’application Tydom ainsi qu’avec les commandes vocales Alexa et OK Google. Installation aisée Réglages intuitifs, détection automatique du sens d’enroulement, réglage des fins de courses en automatique sont autant de caractéristiques techniques simplifiant la pose par les installateurs. Maintenance facilitée Doté d’une antenne intégrée avec une portée radio de 300 mètres, le moteur Well’drive® est également équipé d’un câble d’alimentation débrochable facilitant la réparabilité du volet roulant. Conçu en France et certifié NF, le moteur Well’drive® est garanti 8 ans. Il bénéficie du service connecté Qwidi de France Fermetures qui garantit à l’installateur de réaliser, en toute simplicité, toutes les opérations de réglage et de dépannage des volets depuis un smartphone ou une tablette. http://www.france-fermetures.fr
Il y a 2 ans et 315 jours

Le shopping du mobilier urbain

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Bancs, jardinières, tables de pique-nique ou de ping-pong, cendriers ou encore poubelles et monuments… Le mobilier urbain habille les espaces publics. Les acteurs dans le domaine sont nombreux et chacun a sa “patte”. Béton[s] le magazine vous propose une petite sélection d’objets préfabriqués. Ici, le béton montre bien tous ses talents d’adaptation, que ce soit dans la forme, les teintes et l’usage… Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons Même s’ils ont été conçus, il y a déjà quelques années, les bancs lumineux fabriqués par l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons restent toujours de belles réalisations. En effet, 22 éléments de ce type ont été fabriqués pour l’Esplanade des Particules, chantier d’aménagement des extérieurs du Cern, en Suisse. Ils ont nécessité 600 l de Bfup SmartUP de Vicat, 1 000 fibres optiques installées à l’intérieur et 3 générateurs Led, d’une puissance totale de 10 500 lumens. Ces bancs de 6 m de long sont assemblés en trois parties et disposent de pieds réglables. Pour rappel, l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons est spécialisé dans la préfabrication en Bfup. [©Atelier Mérillon] Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_1" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 315 jours

Soltech : Un béton à choix multiples

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Près de 210 m2 de béton couleur sable ont été mis en œuvre. [©Soltech] Spécialisée dans les aménagements d’espaces, Soltech s’est imposée sur le marché réunionnais depuis 1992. Dirigée par Jean Ros, l’entreprise ne cesse de mettre en avant les avantages techniques, environnementaux et esthétiques du béton. En intérieur ou en extérieur, Soltech s’intéresse aux sols et n’hésite pas à explorer de nouvelles techniques ou tendances pour répondre à des problématiques précises. Retour sur trois chantiers de l’île Bourbon, qui résument bien la philosophie de l’entreprise. Une toute nouvelle étanchéité Dans le cadre de l’aménagement du port de plaisance de Saint-Gilles-les Bains, Soltech est intervenue dans la remise à neuve de la dalle extérieure. « Nous avons retiré la dalle de basalte pour refaire l’étanchéité et le revêtement », explique Jean Ros. Ici, Soltech a réalisé un calepinage pour le positionnement des joints. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_2" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 315 jours

Minéral Service : La ville comme laboratoire d’expérimentations

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques sur un chantier d’aménagement à Sotteville-lès-Rouen, dont un béton végétalisé et un béton drainant. [©Minéral Service] Basée à Grand-Couronne, dans la Métropole de Rouen, Minéral Service a su au fil des années, affiné son savoir-faire dans le domaine du revêtement de sols décoratifs. « Pavages, dallages, bétons architectoniques… Nous nous intéressons principalement au marché de l’aménagement extérieur, mais intervenons aussi en intérieur, » explique Jérémy Jamelin, directeur d’exploitation. Minéral Service s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux collectivités. Un profil qui constitue une grosse part de marché pour l’entreprise. « Nous maîtrisons toutes les techniques de béton et réalisons des éléments préfabriqués, comme du mobilier urbain, dans nos ateliers de Grand-Couronne. » L’entreprise intervient surtout dans le quart Nord-Ouest de la France, mais suit aussi ses clients, au-delà sur les chantiers. Des techniques différentes pour chaque espace Récemment, Minéral Service a réalisé une zone témoin, pour l’aménagement d’une voie de circulation à Sotteville-lès-Rouen. « Le but était de faire des essais grandeur nature qui conditionneront la suite des travaux dans cet axe. » En effet, les maîtres d’ouvrage, la Métropole de Rouen et la Ville ont demandé la mise en place de solutions techniques et respectueuses de l’environnement. L’objectif ? Favoriser la bonne circulation et désimperméabiliser les sols. Ainsi, Minéral Service a mis en œuvre plusieurs techniques en béton. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr CAPTCHA Δdocument.getElementById( "ak_js_3" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 2 ans et 326 jours

BATIMAT 2022 : Quel plaisir de se retrouver à Paris du 3 au 6 octobre 2022 !

Plus de convivialité : BATIMAT revient à ParisCe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial.Depuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le salon Batimat au coeur de Paris. C’est chose faite pour l’édition 2022 qui réintègre donc le parc d’exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais au delà de ces 4 jours, BATIMAT souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l’année grâce à la complémentarité du digital avec BATIRADIO et BATIADVISOR et de l a présence physique tous les deux ans.Plus engagé : BATIMAT devient plus sobreL’arrivée à Porte de Versailles, les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l’occasion pour BATIMAT de lancer une démarche d’amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. BATIMAT prend ses responsabilités et s’engage pour faire de l’édition 2022 une édition exemplaire : réduire l’empreinte carbone dès 2022.L’organisateur mesurera l’empreinte carbone du salon et mettra en œuvre une série d’actions concrètes dont l’optimisation de la logistique et du transport, l’accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l’écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Grâce à la création de nouveaux espaces d’exposition et l’organisation de temps forts dédiés, le salon BAT IMAT donnera les moyens d’éclairer sur les enjeux majeurs de la construction et de la rénovation des bâtiments : Environnement, Climat, Productivité, Usagers et Habitants, Métiers.Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire L e retour de BATIMAT mais aussi d’ IDÉOBAIN et d’ INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels . Co mplètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel »Bien plus qu’un simple comeback à la Porte de Versailles, BATIMAT se réinvente et réaffirme encore plus son rôle de rendez vous incontournable de la profession, en accueillant le plus grand nombre d’acteurs du bâtiment. Réserver son badge dès maintenant et consulter les infos pratiques sur www.batimat.com
Il y a 2 ans et 326 jours

SCREENAMAX : avec son nouveau zip-screen ultra compact et extra large, Soprofen révolutionne le marché de la protection solaire

Selon le dernier rapport du GIEC, en 2021, la température moyenne de la Terre a atteint les +1,2°C depuis la révolution industrielle. D’ici 2100, elle devrait même dépasser les +3°C. Cette hausse risque d’accentuer les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les épisodes de canicules. D’où l’importance de l’introduction, dans la nouvelle réglementation RE2020, d’un objectif de confort d’été afin de garantir un minimum de fraîcheur dans les bâtiments en cas de fortes chaleurs. Parmi les solutions efficaces pour réduire la surchauffe et éviter le recours à la climatisation très énergivore figurent les stores extérieurs. Bénéficiant d’une expertise de 25 ans dans le domaine des protections solaires, SOPROFEN propose une gamme complète de solutions performantes adaptées à tous types de baies. Aujourd’hui, le leader français de la fermeture repousse les limites dimensionnelles et lance SCREENAMAX, une nouvelle gamme de screens ZIP ultra compacts et extra larges. SCREENAMAX, pour voir les choses en grand… Ces dernières années, la tendance est aux habitations baignées de lumière naturelle grâce à des baies vitrées XXL. Souhaitant offrir un niveau de performance et de confort thermique optimal en phase avec les exigences de la RE2020, et ce quel que soit le type d’ouverture, SOPROFEN a mobilisé son service Recherche & Développement pour trouver une solution qui s’affranchit des contraintes dimensionnelles. De là est née la gamme de stores extérieurs SCREENAMAX qui associe : – un coffre en aluminium extrudé à la compacité maximale, – une toile qui filtre jusqu’à 97 % des rayons solaires, – un nouvel axe, à l’intérieur duquel est intégré un second axe précontraint muni de paliers avec des roulements. Ce système breveté, appelé Zoomtech®, compense la gravité de l’axe pour éliminer sa flexion. Exclusivité SOPROFEN, ce procédé unique garantit ainsi une parfaite rectitude et autorise désormais la conception de stores de grandes largeurs, jusqu’à 7 mètres, avec une toile totalement lisse et un enroulement optimisé, le tout intégré dans un coffre réduit. De quoi répondre aux besoins de protection des ouvertures hors normes ! … en toute discrétion Assurant une gestion optimale de la luminosité et une température intérieure maîtrisée, SCREENAMAX est disponible dans 2 tailles de coffre ultra-compact qui optimisent le clair de jour : – un coffre de 85 mm avec un axe aluminium de 58 mm pour les baies jusqu’à 6 m de large et 2,30 m de haut, – un coffre de 105 mm avec un axe acier de 78 mm pour les ouvertures jusqu’à 7 m de large et 4 m de haut. Invisibles de l’intérieur, ils affichent une esthétique dans l’air du temps dont le design lisse et épuré aux lignes rectilignes leur permet de s’intégrer harmonieusement à tous les styles architecturaux, y compris les vérandas et pergolas. Pour une finition irréprochable, SOPROFEN a soigné les moindres détails : aucune vis n’est apparente sur le coffre, la barre de charge et les coulisses. Extra fines (22 mm), celles-ci s’effacent derrière le dormant et sont dotées d’un système de glissière qui assure un parfait maintien de la toile même par temps venteux. De plus, le profilé de maintien de la barre de charge ne laisse apparaître aucune soudure visible sur la toile. A cela s’ajoute une grande liberté de choix tant dans la gamme de toiles proposées qu’au niveau des coloris. Une personnalisation sans limite Au style contemporain, le nouveau screen extérieur zip SCREENAMAX de SOPROFEN se décline dans une large palette de couleurs tendances pour : – l’encadrement (coffre, coulisses, barre de charge) grâce à 15 teintes disponibles en standard et 3 finitions (lisse-satiné, lisse-mat ou structuré-mat). Tous les coloris RAL sont également réalisables en option, de même que la haute résistance « bord de mer » obtenue grâce au thermolaquage renforcé des parties visibles en aluminium qui leur confère une protection optimale contre la corrosion, – les toiles avec 5 gammes différentes et une offre de coloris étendue (plus de 300). Pour apporter une réponse adaptée à chaque espace, les toiles existent en version micro-perforées pour garantir une luminosité suffisante à l’intérieur tout en conservant une visibilité sur l’extérieur, ou occultantes pour préserver l’intimité et satisfaire les besoins d’obscurité dans certaines pièces (chambre…). Le confort de la motorisation solaire en plus Doté d’un panneau photovoltaïque ultra plat (7 mm d’épaisseur), le nouveau screen extérieur zip de SOPROFEN récupère l’énergie solaire et l’accumule dans une batterie positionnée dans l’angle avant du coffre pour une maintenance facilitée. Efficace avec une bonne exposition et par tous les temps (-20 à +70°C), il dispose de toute l’énergie nécessaire pour assurer en toute autonomie pendant 45 jours la montée/ descente du store, même par faible ensoleillement, à raison d’un cycle quotidien. Sans fil pour une installation rapide et pratique, le SCREENAMAX à motorisation solaire s’adapte à toutes les mises en œuvre sans risque d’endommager les finitions intérieures comme extérieures de l’habitation, et ce aussi bien en neuf qu’en rénovation. Egalement disponible en version motorisée filaire ou radio, il est compatible avec les solutions domotiques du marché. Grâce à cette nouvelle gamme de screens extérieurs zip SCREENAMAX qui offre aux ouvertures de grandes dimensions un écran total de protection pour un encombrement minimal, SOPROFEN révolutionne le marché de la protection solaire et se positionne d’ores et déjà comme un acteur incontournable du secteur. http://www.soprofen.fr
Il y a 2 ans et 326 jours

Contributions du Club de l'Amélioration de l'Habitat à la transition démographique et l'adaptation du logement

Composé d’acteurs incontournables de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements permettant de favoriser “le mieux vieillir chez soi” des seniors. Le Club a dévoilé les 4 axes d’action de ses travaux.Le contexte La transition démographique est porteuse de transformations profondes, aux conséquences majeures sur les grands équilibres de la société française avec le vieillissement de la population, qui pose la question de la dépendance et du “bien vieillir”.En 2030, 20 millions de personnes seront âgées de plus de 60 ans – dont déjà 15 millions aujourd’hui. Et ce sont 4,8 millions de Français qui auront passé les 85 ans, contre 1,4 million à l’heure actuelle. Cette transition démographie soulève de nouvelles problématiques et constitue un véritable défi sociétal et enjeu national. Le rôle du groupe de travail : précéder et accompagner le projet de loi “Générations Solidaires” Ce groupe de réflexion a pour vocation de précéder et accompagner le projet de loi n’ayant pu être étudié lors de la mandature actuelle mais qui le sera très certainement dès le début de la prochaine : “Générations Solidaires”. D’ores et déjà des dispositions d’aides financières sont annoncées dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2023 et une aide financière pourrait voir le jour dès 2022 : “MaPrimeAdapt”. Les deux grands axes de cette aide consistent à aider les foyers modestes et très modestes à hauteur de 70 % des travaux d’adaptation et à permettre à tous les foyers (+ de 70 ans) d’avoir la possibilité de bénéficier d’un diagnostic de son logement en termes d’accessibilité et de mobilité. Le plan d’action du groupe de travail en 4 axesComposé d’un tour de table varié des acteurs de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements pour favoriser le maintien à domicile des seniors. (Voire des PMR dans le sens de la future législation à venir). 4 grands axes de travail rythmeront l’année 2022 :1 : Anticipation, prévention, information, diagnostic et sensibilisation pour préparer le public au maintien à domicile. 2 : Création d’un référentiel technique et d’offres technologiques tant du point de vue des experts du bâtiment que des spécialistes en ergothérapie. 3 : Montée en compétences des filières professionnelles et élargissement des qualifications (programme pédagogique technique, marketing, psychosociologique…). 4 : Accompagnement global de la démarche par un tiers de confiance : administratif et financier, suivi technique, garanties de qualité et de performance dans le temps.Les résultats et premières recommandations de ce groupe de travail seront délivrés à l’occasion du colloque du Club qui célébrera ses 30 ans le 5 octobre prochain sur le Salon du Mondial du Bâtiment. Retrouvez plus d’informations sur le lancement de ces travaux en écoutant la chronique du CAH “Améliorer nos lieux de vie” enregistrée le 4 février dans le cadre de l’émission : “Les Rendez-Vous du Mondial du Bâtiment” sur Batiradio.
Il y a 2 ans et 327 jours

Watts présente ses solutions adaptées à l’installation d’une PAC en neuf et en rénovation

Soutenue par les réglementations et dans un contexte de crise énergétique, la pompe à chaleur a le vent en poupe sur le marché du chauffage individuel. A l’horizon 2050, elle devrait même s’imposer comme la solution incontournable en remplacement des vieilles chaudières et équiper jusqu’à 9 maisons sur 10. Pour des installations de qualité alliant une réelle performance énergétique et un confort optimal, WATTS propose une offre PAC réunissant une sélection de ses produits phares spécifiquement adaptés à la mise en œuvre d’une pompe à chaleur en neuf comme en rénovation.   PAC monobloc ou PAC split en neuf ou rénovation : protéger le réseau de distribution d’eau potable Conformément à la réglementation en vigueur (norme EN1717), dans une installation de chauffage neuve ou existante, le réseau de distribution d’eau potable doit être protégé de toute pollution par retour éventuel de fluides tels que l’eau de chauffage. En effet, celle-ci pouvant contenir des produits antigel ou autres inhibiteurs de corrosion est considérée comme non potable. C‘est le rôle du disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable de type CA de WATTS. Destiné aux circuits de chauffage domestique d’une puissance inférieure à 70 Kw, le disconnecteur CA9C de WATTS se positionne sur le circuit de retour d’une installation de chauffage avec pompe à chaleur. Il permet alors d’empêcher un retour de fluide caloporteur dans le réseau de distribution d’eau potable, le préservant ainsi de toute contamination accidentelle. Compact, il se compose de deux clapets de non-retour séparés par une chambre communiquant avec l’atmosphère. Associé à une soupape de décharge, ce système de double clapet lui confère une parfaite étanchéité. En cas de sous pression, dépression amont ou surpression à l’aval (avec ou sans fuite au deuxième clapet), la chambre intermédiaire est mise à l’atmosphère entraînant ainsi la séparation des circuits amont et aval. Quelles que soient les contraintes, le disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable CA9C garantit une protection optimale du réseau de distribution d’eau potable. PAC split : des solutions pour encore plus de confort thermique et d’économies d’énergie Dans le cadre d’un logement existant, WATTS propose un ensemble de produits performants destinés à optimiser les consommations énergétiques tout en simplifiant l’installation de la PAC. 1 – La vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF pour réaliser des économies d’énergie et assurer une répartition homogène de la chaleur en fonction des besoins Placée notamment sur le circuit retour dans n’importe quelle position (à condition de respecter le sens d’écoulement du fluide), en aval d’un ballon tampon, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF permet d’obtenir et de maintenir le confort thermique souhaité dans toutes les pièces desservies par l’installation. A la conception innovante, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF de WATTS permet d’ajuster et de régler précisément le débit d’eau dans le système de chauffage. Pour cela, elle associe : – un corps de vanne à l’intérieur duquel un dispositif de mesure, à la technologie brevetée, garantit un ajustement millimétré du niveau de débit requis, – un cadran qui indique le changement de débit en temps réel et rend plus rapide le réglage sans avoir recours à des appareils de mesure, – une couronne extérieure qu’il suffit de tourner pour augmenter ou diminuer le débit. 2 – Le module hydraulique Flowbox HKM, équipement indispensable au bon fonctionnement d’un système de chauffage avec pompe à chaleur Utilisé pour la distribution de l’eau depuis la PAC vers le circuit de chauffage, cet élément 4 en 1 intègre : – un circulateur précablé en usine, – une vanne 3 voies motorisée qui, en plus d’offrir une plus grande flexibilité de l’installation en limitant le nombre de raccords en entrée et sortie, assure une distribution à température variable (puissance thermique jusqu’à 30 kW pour ∆T 20K), – des robinets équipés d’un thermomètre (température départ – retour de 0 à 120°C), – un clapet anti-retour Pré-assemblé en usine, l’ensemble réduit les risques de fuite et représente un véritable gain de temps lors de la pose. Disponible avec ou sans pompe à haut rendement, le module Flow box assure une parfaite distribution hydraulique dans le circuit de chauffage. 3 – La régulation filaire ou radio « Climatic Control H&C » qui, connectée au module Flowbox HKM, garantit un confort thermique optimal dans l’habitat Filaire ou radio, cette solution de régulation sur sonde extérieure contrôle la température d’eau pour système basse (planchers chauffants et rafraîchissants, ventilo-convecteurs…) et haute température (radiateurs). A ces équipements performants, WATTS ajoute dans son offre PAC un purgeur d’air, un vase d’expansion à vessie interchangeable, un aquastat de sécurité et un collecteur inox. Véritable condensé de l’expertise de WATTS dans le domaine du chauffage, de la régulation et de la protection des réseaux d’eau, l’offre PAC permet aux systèmes de chauffage par pompe à chaleur de gagner en efficacité, en neuf comme en rénovation. https://wattswater.fr/
Il y a 2 ans et 332 jours

Nouveau RX CUBE de CDVI : gérer et contrôler des accès via smartphone le plus simplement du monde !

Fabricant de systèmes de contrôle d’accès et de verrouillage électronique, CDVI s’attache depuis près de 40 ans à développer des solutions qui allient une grande facilité d’installation et d’utilisation, le tout en assurant un niveau de sécurité optimal. Aujourd’hui, CDVI illustre une nouvelle fois cette volonté et lance RX CUBE, un micro-récepteur radio contrôlé par Bluetooth® qui, associé à une application smartphone, simplifie la gestion et l’ouverture des accès. Un petit cube pour centraliser les accès depuis un smartphone ou une seule télécommande De la taille d’une boîte d’allumettes, le RX CUBE est un micro-récepteur radio qui s’intègre à tous les automatismes de porte, portail ou portillon pour déclencher leur ouverture. Alimenté par une tension de 12/24 V, il est contrôlé par Bluetooth® et offre ainsi un mode de fonctionnement hybride par télécommande radio classique (433,92 MHz) mais aussi par smartphone grâce à l’application RX Cube dédiée, téléchargeable gratuitement sur l’App Store et Play Store. Au-delà de limiter les problématiques liées à la gestion d’un grand nombre de télécommandes dans un immeuble résidentiel ou tertiaire, l’application RX Cube facilite le travail des installateurs et des administrateurs puisque toute la configuration et la gestion des accès s’effectue directement via le smartphone. Une gestion et une configuration encore plus simple et plus rapide Intuitive, l’application RX Cube de CDVI propose trois profils différents protégés par un mot de passe : – « Installateur » pour la mise en œuvre sur place du récepteur RX Cube, à partir duquel le professionnel réalise, à proximité, le paramétrage de son fonctionnement (gestion de la temporisation du relais selon les temps d’ouverture souhaités…). Plus besoin d’accéder physiquement au boîtier, tous les réglages se font depuis le smartphone pour un réel confort d’utilisation. Il est également possible d’effectuer le premier appairage, à l’unité ou groupé, entre les récepteurs RX Cube et les émetteurs (télécommandes ou smartphone), – « Administrateur » destiné aux gestionnaires de bâtiment, syndicats de copropriété… qui vont pouvoir gérer jusqu’à 250 émetteurs différents, leur attribuer des droits d’accès selon leurs profils, mais aussi configurer le récepteur RX Cube en fonction des besoins et/ou du fonctionnement des équipements qui lui sont liés (portail, portillon, barrière…). A tous moments, ils bénéficient d’une vue d’ensemble de l’installation et peuvent effectuer des appairages supplémentaires pour ajouter ou modifier des émetteurs ou encore supprimer des droits en cas d’émetteur perdu ou non restitué dans le cas d’une télécommande, par exemple, – « Utilisateur » qui pour déclencher l’ouverture d’un accès n’a plus qu’à lancer l’application RX Cube sur son smartphone et à appuyer sur le bouton central sur lequel est indiqué « ouvrir le portail ». Autre avantage non négligeable, administrateurs et installateurs peuvent gérer à proximité, dans la même application, les accès de plusieurs sites différents. Compatible avec la gamme complète de télécommandes CDVI et les digicodes Galeor utilisant le protocole Keeloq@Hopping code, RX CUBE rend le contrôle virtuel des accès fiable et accessible à tous, clients professionnels comme utilisateurs finaux. http://www.cdvi.com/