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Il y a 2 ans et 123 jours

OPÉRATION VISSERIE fischer : Une campagne qui donne vie aux différents projets bois

Que ce soit pour la construction en ossature bois (maison en bois, carport, charpente, abri de jardin…), la pose d’une terrasse, l’isolation de surtoiture, l’aménagement extérieur,… les vis fischer couvrent l’ensemble des besoins en matière d’assemblage bois. De grande qualité, elles permettent une fixation propre, sûre, rapide et facile, grâce à la combinaison de plusieurs innovations technologiques.Pour valoriser les performances, la polyvalence et la facilité d’utilisation de ses différentes vis auprès des bricoleurs comme des menuisiers, des charpentiers,… fischer lance au printemps une campagne dédiée à sa gamme visserie. À partir du 1er mars et jusqu’au 30 juin 2023, offres de remboursement, jeu-concours et outils de communication vont être déployés et relayés dans les points de vente partenaires et les réseaux sociaux de la marque pour offrir un maximum de visibilité aux vis terrasse, vis sarking, vis Power-Fast et vis de construction fischer. OPÉRATION VISSERIE – Faites le plein de visLa campagne de fischer se déroulera du 1er mars au 30 juin 2023 et s’adresse aussi bien à ses partenaires-revendeurs qu’à ses utilisateurs finaux. Pour booster les ventes de sa vis terrasse, fischer propose une offre de remboursement couplée à un jeu-concours. Des coupons détachables et des stop-rayons, disponibles dans les linéaires, permettront aux utilisateurs de découvrir l’offre. Pour chaque palier de 1000 vis terrasse fischer achetées, 20 euros TTC seront remboursés.De plus, les personnes ayant participé à l’offre de remboursement seront inscrites automatiquement pour le jeu-concours. Elles auront une chance de gagner par tirage au sort un four à pizza Ooni avec ses accessoires d’une valeur 1150 euros. fischer a également développé différents outils de communication tels que des affiches déclinées sous forme de saga. Didactiques, elles mettent en lumière les principales caractéristiques des vis terrasse, mais aussi des vis de construction, des vis sarking et des vis à bois.  Des outils promotionnels seront également proposés pour démarquer l’offre dans les rayons. Vis terrasse et Accessoires Terradec « 3765 jours plus tard, ma terrasse ne bouge toujours pas »Pour assurer la pérennité de sa terrasse en bois, et ainsi en profiter sur le très long terme, matériaux et mise en œuvre doivent être de grande qualité.  Pour garantir une fixation durable et simplifier la pose de terrasse en bois, fischer propose la vis terrasse FTS-ST A2P et la gamme d’accessoires Terradec.Et grâce à l’opération visserie, tous ceux qui ont un projet terrasse pourront profiter de l’offre de remboursement déployée.– Vis terrasse FTS-ST A2PExposées toute l’année aux aléas climatiques, les terrasses sont soumises à l’acide tannique du bois qui corrode l’acier des vis. En acier inoxydable, la vis terrasse FTS-ST A2P fischer assure une très grande résistance aux intempéries et garantit la durabilité des fixations.De diamètre 5,0 mm et 5,5 mm, elle allie rapidité et précision de mise en œuvre grâce à son filetage spécial et à la pointe tranchante qui évitent tout éclatement de la lame. Le filetage partiel permet de visser facilement mais fermement les lames à la structure, même dans les bois durs et exotiques.La vis de terrasse FTS-ST A2P offre une résistance plus élevée à la torsion et aux variations dimensionnelles du bois. Conforme au D.T.U 51.4, elle est idéale pour le vissage à fleur de la surface car la géométrie fine de la tête permet une finition de surface nette et sans éclats, même avec des fixations proches du bord.  Accessoires de terrasse TerradecAvec la gamme Terradec, fischer propose différents accessoires pour la protection des lambourdes, l’installation et la fixation des lames de terrasse.– Cale de réhausse caoutchouc FTA-UPPlacée entre le sol et la lambourde, la cale de réhausse FTA-UP fischer assure l’écoulement de l’eau, évite une stagnation qui dégradera le bois à moyen terme et assure une bonne isolation phonique. Imputrescible, elle protège le bois contre l’humidité.-Bande adhésive FTA-RT IILa bande de protection adhésive FTA-RT II fischer protège efficacement la lambourde contre l’humidité.Elle est plus résistante au déchirement (avec ses 1 mm d’épaisseur) que les autres produits du marché, mais aussi aux conditions atmosphériques, aux UV et à l’ozone.De 80 mm de largeur, elle adhère facilement aux lambourdes et recouvre la majeure partie de la surface.– Espaceur de lames FTA-SPPour faire face aux variations dimensionnelles du bois liées aux conditions climatiques, il est impératif de respecter un espacement entre les lames.Les espaceurs de lames terrasse FTA-SP fischer apportent un écartement uniforme entre les lames, quelle que soit la physionomie de la terrasse. Ils sont disponibles en 6 positions : de 3 à 8 mm.– Clip invisible FTA-IPWLe clip FTA-IPW fischer assure une installation rapide et invisible des lames car il n’y a pas de vis apparentes. Sa conception prend en compte le comportement de dilatation et de rétractation du bois. Doté d’ergots espaceurs, il convient à tous les types de platelages bois.Réglable de 120 à 150 mm, il s’adapte à toutes les largeurs de lame. Grâce à son effet réhausseur, il ventile la terrasse et assure un écartement automatique des lames. Il est proposé sous forme de kit de 50 clips avec les vis inox.– Espaceur réhausseur de la lame FTA-VL’espaceur réhausseur de la lame FTA-V fischer assure une bonne ventilation de la terrasse, évitant les effets de l’humidité lors du contact lame/lambourde, tout en permettant un écartement automatique entre les lames (ergot espaceur de 7 mm). Il se pose rapidement et sans outils.Découpable par simple pliage, il peut se positionner en 1ère lame contre une fondation pour apporter l’écartement nécessaire.– Foret fraisoir à butée FTA-CDWLe foret fraisoir à butée FTA-CDW permet de pré-percer les lames et d’effectuer un fraisage pour éviter l’éclatement du bois, et garantir un aspect visuel esthétique de la terrasse. Doté d’une butée ajustable, la profondeur de fraisage peut être définie selon le type de tête de vis utilisé.Il est conforme aux recommandations du D.T.U 51.4 « Platelages extérieurs en bois » qui préconise le pré-perçage et le fraisage des lames bois avant vissage.Vis Power-Fast II « 6 heures plus tard, mon cabanon de jardin est déjà installé »La vis à bois Power-Fast II fischer offre une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides, en un minimum d’efforts, grâce à son filetage spécial jusqu’à la pointe. Polyvalente, elle s’attaque à tous les bois (dur, tendre), agglomérés, contreplaqués… et couvre un large champ d’applications : assemblages bois sur bois, métal sur bois ou avec des chevilles nylon.Disposant du marquage CE et bénéficiant de l’Évaluation Technique Européenne (ETE), qui garantit un standard de qualité et des résistances en charge extrêmement élevées, la vis Power-Fast II offre d’excellentes performances et une grande sécurité d’utilisation.La tête de vis a été optimisée et son empreinte est profonde pour diminuer le risque de ripage. Les fraisoirs à facettes réduisent le fendage et n’altèrent pas les pièces métalliques.Grâce à la géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage,  aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort.Par ailleurs, la Power-Fast II est parfaitement compatible avec des chevilles nylon telles que la Duopower.Enfin, son revêtement zingué blanc, sans chrome VI (Cr3) est plus respectueux de l’environnement et des utilisateurs. Vis Power Full ISO « 2 jours plus tard, l’isolation en sarking est déjà réalisée »L’isolation toiture en Sarking nécessite la fixation de l’isolant sur les chevrons. La vis Power Full ISO fischer évite l’écrasement de l’isolant (laine de verre, panneaux éco-isolants, polystyrène…) par la couverture. Elle empêche donc la détérioration de l’isolation et limite les ponts thermiques.Les charges agissant sur la couverture sont transmises par le filetage de la vis et non sur l’isolant.Le bon écartement entre la couverture et la charpente est maintenu par le double filetage de la vis. L’effet de soulèvement par le vent est également transféré sur la vis, qui est particulièrement résistante à l’arrachement.La vis Power Full ISO dispose d’une vrille de coupe sur chaque filet qui assure une bonne pénétration de la vis sans éclatement du bois, quelle que soit l‘essence. La géométrie de la pointe de vis permet un vissage sans pré-perçage.De haute qualité, elle détient une Evaluation Technique Européenne (ETE). Vis de construction « 5 jours plus tard, l’ossature bois est déjà montée »Les vis dédiées à la Construction Ossature Bois fischer sont faciles à visser. Dotées d’un filetage spécial jusqu’à la pointe, elles assurent une accroche rapide dans le bois et ne nécessitent pas de pré-perçage.– Vis de charpentier Power-Fast FPF-STIdéale pour les charpentes bois, elle dispose d’un filetage partiel qui permet de fixer solidement les éléments en bois les uns aux autres. La meule réduit la résistance au vissage, diminue les efforts pour l’utilisateur et protège les batteries. Sa tête autofraisante assure une finition parfaite. Son revêtement est sans chrome VI (Cr3). Elle bénéficie d’une Evaluation Technique Européenne (ETE).– Tirefond Power-Fast FPF-HT ZPPA tête hexagonal avec rondelle intégrée, il est une alternative au tirefond DIN 571. Son empreinte TX assure une transmission des forces maximale avec une grande stabilité de l’embout. Grâce à son filetage partiel, il peut relier solidement les éléments métalliques au bois. Il dispose d’une Evaluation Technique Européenne (ETE). – Vis Power-Fast spéciale connecteurs de charpenteElle remplace les pointes traditionnellement utilisées pour la fixation des connecteurs métalliques dans la construction bois tels que sabots et équerres métalliques. Sa tête cylindrique, avec renfort sous la tête, est adaptée aux perforations standards des connecteurs métalliques. Son empreinte TX permet une transmission des forces maximale et son filetage total offre une plus grande résistance à l’arrachement. Elle est dotée d’une Evaluation Technique Européenne (ETE 11/0027).– Vis de renfort PowerFull IIPour le renforcement des raccordements de poutres, d’entailles et d’appuis en compression, la vis de renfort PowerFull II garantit une mise en œuvre rapide et efficace, avec des reprises de charges très élevée et des distances aux bords et entraxes réduits. Sa géométrie spéciale permet un assemblage invisible et le renforcement des structures, sans avoir recourt à des connecteurs métalliques. La géométrie innovante de la pointe assure une pénétration rapide et sans éclats.Enfin, la PowerFull II dispose d’une Évaluation Technique Européenne ETA 21/0751. www.fischer.fr
Il y a 2 ans et 124 jours

Un modeste ranch se transforme en une lumineuse maison moderniste

La façade avant est loin d’être fade : revêtue de briques blanches peintes et équipée de grandes fenêtres, son esthétique évoque l’élégance du milieu du siècle, tout en offrant une certaine intimité par rapport à la rue. À l’arrière, une série de baies vitrées, disposées sur toute la longueur de la maison, donne sur la cour et crée un lien avec le paysage ; le positionnement des fenêtres offrant une transparence vers la nature environnante. Le revêtement en bois Kebony encadre et accentue la présence des vitres à l’arrière de la maison, tout en reprenant les accents boisés de l’intérieur.« L’usage du bois Kebony m’a donné l’occasion d’explorer les bâtiments en bois d’ici, dans le Tennessee, et de puiser dans l’esprit des structures agraires qui auraient existé dans les environs il y a 200 ans. Ces lattes que j’utilise souvent créent une atmosphère et une qualité lumineuse qui ne sont pas sans rappeler les nombreuses vieilles granges que l’on peut trouver dans la région », explique Goorevich.Les clients, de jeunes mariés, souhaitaient s’offrir une maison moderne entièrement rénovée. Mais après une discussion concernant les coûts de réalisation, ils ont décidé de suivre les conseils de Goorevich et de rénover plutôt un ranch existant, datant des années 1950.« Avec leur agencement en deux parties, avant et arrière, et l’accès aux services par le haut et le bas, il est relativement facile de moderniser ces ranchs pour qu’ils répondent mieux aux exigences de la vie moderne. Dans le cas de ce projet, nous avons proposé un ajout sous la forme d’une “baie vitrée” qui s’étend sur toute la longueur de la maison et donne sur la cour et le paysage environnant », poursuit Goorevich.Cette disposition a permis de proposer deux types de façades. Sur la façade avant, l’aménagement imaginé par Goorevich conserve les ouvertures ainsi que l’esprit originel du ranch. Les espaces privés ont été stratégiquement placés le long de ce côté de la maison. Les espaces publics restants et les porches ont été déplacés.Dans la cuisine, le plafond a été surélevé pour récupérer l’espace sous-utilisé du grenier. L’un des problèmes avec les ranchs typiques est la hauteur standard de huit pieds des plafonds et les petites ouvertures des fenêtres. En relevant le plafond, il a été possible d’ajouter une grande fenêtre à l’extrémité de la maison, ce qui a permis d'apporter de la lumière et de la profondeur à l'espace. Une fenêtre placée au-dessus de la table de cuisson complète la cuisine et en fait un espace incontournable. Dans cette conception, la maison conserve intimité et anonymat depuis la rue, tout en ouvrant l’intérieur à la transparence avec un pavillon en bois et en verre le long de la façade arrière.Ce projet puise dans le potentiel d’un ranch existant afin de créer des espaces intérieurs lumineux offrant une transparence vers le paysage. Le projet est échelonné dans le temps et se complètera prochainement d’une terrasse de piscine et d’un pavillon.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier. La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical.Les deux sites de production Kebony sont situés à Skien, au sud d'Oslo et à Anvers, en Belgique. La marque dispose de bureaux de vente régionaux en Europe ainsi qu’aux États-Unis.
Il y a 2 ans et 130 jours

Énergies renouvelables : les principales mesures du texte qui devrait être définitivement adopté

En pleine crise énergétique et sous la pression du réchauffement climatique, ce texte a pour objectif de faire rattraper à la France son grand retard sur les énergies renouvelables. Après avoir fait l'objet d'un compromis entre députés et sénateurs, il doit être adopté dans l'après-midi, au cœur d'une journée de mobilisation contre la réforme des retraites.Il entend répondre à l'objectif fixé par le président Emmanuel Macron pour 2050 de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Il vise à "lever tous les verrous qui retardent le déploiement des projets", a souligné la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher qui a bataillé ferme pour se ménager des appuis dans les oppositions à droite comme à gauche."Nous sommes le seul pays européen à ne pas avoir atteint ses objectifs" en matière d'éolien et de solaire, a-t-elle affirmé devant les députés qui ont donné la semaine dernière leur dernier feu vert.Le texte s'articule en grands volets: allègement des procédures administratives pour réduire le temps de déploiement des projets; accélération du développement de l'énergie solaire et de l'éolien en mer; amélioration de l'acceptabilité locale des projets."Idéologie anti-éolienne"Dans les deux chambres, comme en commission mixte paritaire, les négociations les plus âpres ont notamment porté sur la planification des zones d'accélération du déploiement des énergies renouvelables, avec l'aval des communes, et sur les possibles zones d'exclusion.Les élus locaux "proposent et ont le dernier mot sur le zonage", a souligné Agnès Pannier-Runacher. Et les zones d'exclusion ne seront possibles que pour des territoires qui valident des zones d'accélération, a-t-elle rappelé.La gauche redoute le retour du veto des maires, que réclamait LR pour l'ensemble du territoire. Et des ONG et des acteurs du secteur des renouvelables critiquent une "usine à gaz".Pour Greenpeace France, "si le texte est plutôt satisfaisant sur l'éolien en mer, il reste trop tardif et limité sur le solaire, et surtout très insuffisant sur l'éolien terrestre"."L'idéologie anti-éolienne a trop influencé cette loi", a souligné un de ses représentants dans un communiqué.Autre sujet sensible, l'encadrement de l'agrivoltaïsme, combinant agriculture et production d'énergie.A fin 2022, la France affichait environ 66 GW de capacités électriques renouvelables totales réparties entre 40% pour l'hydraulique (barrages), 31% pour l'éolien terrestre et 24% pour le photovoltaïque.Une étude publiée fin janvier a estimé que la France ne devrait pas atteindre les objectifs qu'elle s'était fixés pour le déploiement des énergies renouvelables électriques sur la période 2019-2023.Pour l'éolien terrestre, l'objectif officiel de 24,1 gigawatts (GW) de capacités installées établi pour fin 2023 "ne sera pas atteint", le pays parvenant à peine à 20 GW à fin septembre 2022, note ce baromètre annuel Observ'ER.Du côté du photovoltaïque, malgré un rythme de croissance accru depuis 2021 et un "relèvement partiellement confirmé en 2022 (...) le secteur n'est toujours pas dans la bonne trajectoire", ajoute l'Observatoire qui se base, entre autres, sur les données d'Enedis et d'EDF.Ce texte n'est que le premier volet d'un triptyque sur l'énergie. Au printemps, l'exécutif compte défendre à l'Assemblée nationale le projet de loi favorisant la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, voté aisément en première lecture au Sénat le 24 janvier.Puis le Parlement se prononcera, au mieux cet été, sur le futur énergétique de la France, avec la loi de programmation pluriannuelle, fixant la part de chaque énergie.Un dernier texte qui prendra en compte le débat public sur le nucléaire, mais que les parlementaires auraient souhaité examiner avant les deux textes techniques d'accélération.Les principales mesures du texteAlléger les procédures administratives, installer des panneaux solaires en bord d'autoroute et sur les parkings, développer massivement l'éolien en mer: le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables doit permettre à la France de rattraper son retard.Des objectifs ambitieuxEn France, qui s'est longtemps reposée sur la puissance de son parc nucléaire, les énergies renouvelables ne représentent que 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, une part plus faible qu'ailleurs en Europe et déjà en-deçà de l'objectif fixé en 2020 de 23%.Pour 2050, le président Emmanuel Macron s'est fixé comme objectifs de multiplier par dix la capacité de production d'énergie solaire pour dépasser les 100 GW, et de déployer 50 parcs éoliens en mer pour atteindre 40 GW.Délais réduitsIl faut en moyenne en France 5 ans de procédures pour construire un parc solaire, 7 ans pour un parc éolien et 10 ans pour un parc éolien en mer.Le texte prévoit des adaptations temporaires des procédures administratives pour simplifier et accélérer la réalisation des projets, l'objectif étant de raccourcir significativement les délais.Le gouvernement veut notamment réduire certains recours, en reconnaissant une "raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM)" pour des projets d'énergies renouvelables.Planification et approbation des communesC'était un des sujets les plus sensibles du texte.Après un compromis trouvé au Sénat, les maires pourront faire remonter - dans un dispositif de planification "ascendante" - les zones d'accélération, prioritaires pour déployer des projets d'énergies renouvelables.Pour la validation de ces zones "propices", l'avis conforme des communes sera requis. Et seuls les territoires qui donnent leur feu vert pour ces zones d'accélération pourront également définir certains "secteurs d'exclusion", sans énergies renouvelables.La mesure a crispé la gauche, qui redoute le retour du "veto des maires" que réclamaient des élus LR pour l'ensemble du territoire. À l'exception de procédés de production en toitures, les zones d'accélération ne pourront être incluses dans les parcs nationaux et les réserves naturelles.AcceptabilitéL'Assemblée a adopté des amendements écologistes pour instaurer un observatoire et un médiateur des énergies renouvelables.Pour une meilleure "acceptabilité", les députés ont ajouté au texte un objectif paysager incitant les collectivités à "veiller à limiter les effets de saturation visuelle", notamment des éoliennes.Afin de mieux répartir les énergies renouvelables sur le territoire, le texte rend possible une modulation tarifaire qui inciterait des porteurs de projets à s'installer dans des zones aux conditions naturelles a priori moins favorables.Plus d'espace pour le solaireLe projet de loi facilite l'installation de panneaux photovoltaïques aux abords des autoroutes et grands axes. Il permet de déroger à la loi Littoral, dans un cadre très contraint, pour l'implantation de panneaux dans des "friches". Il facilite aussi l'implantation dans les communes de montagne. Il impose l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 1.500 m2 avec des ombrières photovoltaïques.L'éolien prend la merLe projet de loi propose de mutualiser les débats publics sur la localisation des projets de parcs éoliens en mer pour améliorer la planification et accélérer leur développement.L'Assemblée a rejeté en séance des amendements LR réclamant que les zones d'implantation soient situées à une distance minimale de 40 km du rivage.Seront toutefois "ciblées en priorité des zones propices situées dans la zone économique exclusive", soit un peu plus de 22 km des côtes, et en dehors des parcs nationaux ayant une partie maritime.RedistributionLes parlementaires ont retoqué un principe de ristourne sur la facture des riverains d'énergies renouvelables. Ils ont privilégié des mesures territoriales plus larges, laissant aux communes et intercommunalités la possibilité de financer des projets en faveur de la transition énergétique ou pour aider les ménages dans la lutte contre la précarité énergétique.AgrivoltaïsmeLe texte entend définir "l'agrivoltaïsme", combinant exploitation agricole et production d'électricité, par exemple avec des panneaux solaires montés sur des pieds, permettant la culture voire le passage d'animaux. La production agricole devrait rester "l'activité principale" ou les installations être "réversibles".
Il y a 2 ans et 130 jours

Photovoltaïque : le best of des fake news les plus répandues

De nombreux décideurs n’avaient pas vu venir ces progrès et, dans les débats actuels, on constate qu’ils sont encore nombreux à ne pas avoir pris en compte les données réelles du photovoltaïque d’aujourd’hui : on entend encore de nombreux arguments qui n’ont plus lieu d’être au sujet de cette énergie. Il est temps de distinguer le vrai du faux !Au sujet de la fabricationLes modules PV utiliseraient des terres raresFauxLes modules PV utilisés aujourd’hui ne contiennent pas de terres rares. Le composant principal est le silicium : il sert à faire les cellules PV, qui sont prise en sandwich entre 2 plaques de verre. (Le verre est aussi fait avec du silicium !)Mais NB : aucune terre rare dans le photovoltaïque !Il y aurait bientôt pénurie de siliciumFauxLe silicium, le 2ème atome le plus présent sur terre (juste après l’oxygène), et facile d’accès (partout dans la croûte terrestre).Il n’y a pas de pénurie de silicium et il n’y en aura pas. Il n’y a pas de pénurie de matière première. Parfois, en raison de la forte croissance de la demande, il y a des demandes supérieures à la capacité des usines qui purifient le silicium. Cela est temporaire et résolu par l’augmentation de capacité de ces usines.La rareté des matériaux n’est donc pas un frein pour le déploiement du PV à grande échelle.En fait s’il y devait y avoir un point de vigilance ce serait sur l’argent, utilisé comme conducteur entre les cellules… on pourrait avoir à le remplacer par un autre conducteur, si le marché PV continue son ultra croissance.Au sujet de son intérêt économiqueC’est cher et non compétitif Ce n’est plus vrai du tout.C’était vrai il y a 10 ans et encore plus il y a 20 ans. Le prix des panneaux était si élevé que le prix de revient de l’électricité solaire n’était pas compétitif face au réseau électrique. Le photovoltaïque étaient donc utilisé là où il n’y avait pas d’accès possible au réseau (par exemple les réémetteurs en montage.)Mais en 20 ans cela a changé de manière extraordinaire ! En 20 ans le prix des panneaux a été divisé par 100 !Cela a été réussi grâce aux pays qui ont compris, il y a 20 ans, qu’il y avait un énorme potentiel de baisse de prix, à condition de faire grossir les volumes fabriqués.D’abord le Japon, puis l’Allemagne, la Chine, les Etat Unis ont bien identifié ce potentiel : Ils ont subventionné le photovoltaïque pour faire grossir le marché et ainsi faire baisser les prix.Et cela a porté ses fruits :De 2012 à 2022, les prix du PV ont été divisés par 10 (et ils avaient déjà été divisés par 10 dans la décennie précédente. Les prix des panneaux PV ont donc été divisés par 100 en 20 ans !D’autres évolutions ont rendu l’électricité solaire compétitive :Le rendement qui était de 10% dans les années 1970, est de 24% aujourd’hui et se rapprochera des 30% sous peu…La durée de vie est passée de 10 ans dans les années 80, à plus de 40 ans aujourd’hui. Les garanties des constructeurs sont de 30 ou 35 ans, avec moins de ½ % de perte de puissance par an ! Dans 35 ans, un panneau acheté aujourd’hui fonctionnera encore et aura plus de 82% de la Puissance initiale ! Quel autre produit industriel à une telle durée de vie et une telle garantie ?Les onduleurs (qui transforment le courant continue des panneaux en courant alternatif qui peut être injecté dans le réseau électrique ont gagné en rendement, et baissé en prix)Le métier d’exploitation de centrale PV c’est fortement professionnalisé en 20 ans.En conséquence de tous ces progrès, le prix de l’électricité PV a diminué de manière spectaculaire. Le solaire PV est maintenant compétitif par rapport aux autres sources d’énergie électriquel’électricité solaire coûte entre 5 centimes le kWh (50€/MWh) (pour une grande centrale au sol) et 16 centimes kWh (160€/MWh) pour une petite installation en toiture.Le nucléaire des centrales de dernière génération est de plus de 10 centimes/kWh (100€/MWh)L’électricité solaire est donc désormais compétitive, y compris par rapport au nucléaire.Et ce n’est pas fini, la baisse des coûts du solaire va continuer.On dit que cela coûte une fortune en subvention et demande beaucoup d’aides publiquesCe n’est plus vrai du toutDévelopper les énergies renouvelables a coûté de l’argent public, le temps d’aider le marché à décoller, jusqu’à ce que cette énergie soit compétitive.Aujourd’hui les solaire est compétitif ! D’ailleurs, Aujourd’hui, ce sont les énergies renouvelables qui apportent des recettes à l’Etat et non l’inverse.Les montants sont très importants : la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) indique, que, dans les conditions actuelles toutes les filières d’énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l’Etat, pour une contribution cumulée, de plus de 30 Md€ au titre de 2022 et 2023 Les filières contributives sont, par ordre d’importance : l’éolien terrestre, le photovoltaïque à hauteur, l’hydroélectricité et le biométhane.Fin 2024, les EnR auront rapporté plus à l’Etat qu’elles n’ont coûté depuis qu’elles sont soutenues !Le PV ne rapporterait rien aux communes ?FauxLa production d’électricité photovoltaïque est soumise à l’IFER, qui est un impôt prélevé au profit des collectivités territoriales. Une partie de cet IFER est reversée directement aux communes sur lesquelles sont installées les centrales photovoltaïques.Ordre de grandeur : une installation au sol de 20MW apporte plus de 60 000 € / an aux collectivité locales (Département et communauté de communes) dont au moins 20% directement à la Commune.Un parc PV sur une commune permet de baisser les impôts locaux ou de financer des projets locaux, sans solliciter les contribuables !Le photovoltaïque ne produit pas par temps couvert et en hiver. En France, ça ne produirait presque pasFauxUn panneau produit plus en été par beau temps qu’en hivers pas temps nuageux, c’est une évidence.Cependant, un panneau PV produit bien de l’électricité toute l’année. Pour preuve : les réémetteurs de télécom en haute montagne sont alimentés par des panneaux solaires, toute l’année. Ils fonctionnement été comme hivers.La quantité d’énergie produite sur l’année est importante.En France, en moyenne 1kWc (soit 5m²) environ 1300 kWh/an (1,3 MWh/an), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an).En France, bien que l’on ne soit qu’au début, en 2021, le solaire PV a déjà fourni 3% de l’énergie électrique consommée en France (contre 2,8 % en 2020), (3% = 14,3TWh)Les panneaux solaires ne fonctionneraient que s’ils sont exactement orientés plein SudFauxUn panneau produit le maximum annuel s’il est orienté plein sud. Mais il ne perd que quelques % s’il est orienté sud-est ou sud-ouest. Aujourd’hui les panneaux sont bifaciaux, cela signifie de même la face arrière produit : si elle est orientée vers le sol, est fait de l’électricité grâce à la luminosité réfléchie sur le sol, que l’on appelle l’albédo. L’orientation et l’inclinaison des panneaux est une question d’optimisation de la production, mais on a une véritable souplesse d’installation.Au sujet de la pertinence environnementaleUne installation PV fournit-elle plus d’énergie que ce qui a été consommé pour sa fabrication ?Oui ! Beaucoup beaucoup plus !En France, un système PV utilisant des modules en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication est de moins de 2 ans depuis des années. Il est même passé en dessous de 1 an avec les dernières générations de panneaux, qui utilisent de moins en moins de matière, pour une puissance de plus en plus forte). Or un panneau dure plus de 40 ans. Un panneau fournit donc 40x plus d’énergie qu’il n’en consomme lors de sa fabrication. Ce ratio est donc excellent et place le photovoltaïque parmi les meilleures énergies.Un panneau PV pollue et ne se recycle pas ?Faux et archi fauxEn masse, près de 95 % d’un module en fin de vie est valorisé. La filière est parfaitement organisée.Aujourd’hui on récupère le silicium (du verre et des cellules) pour en refaire du verre. Le cadre en aluminium (un autre matériau qui se recycle très bien). Le métal argent qui est utilisé pour les connexions électriques. Il ne reste que 5% de matière non recyclée, mais l’amélioration continue.Le recyclage est bien organisé : l’éco-organisme SOREN, se charge de collecter les panneaux usagés, et de les recycler. Faire recycler un panneau ne coûte rien à son propriétaire, quelle que soit la marque et l’origine du panneau, car une éco participation a été payée initialement pour financer la collecte, le tri et le recyclage.La France est l’un de premier opérateur européen de cette activité de recyclage.Bref un panneau solaire se recycle très bien et la filière est bien organisée.Un système PV émettrait beaucoup de CO2FauxLe solaire est l’une des sources d’électricité très faiblement émettrice de CO2 !Une installation PV (sur toiture à base de panneaux en silicium monocristallin) émet en moyenne30 gCO2eq/kWh. (Ce, en intégrant tout le cycle de vie, y compris si le panneau vient de Chine)C’est 16 à 33 x moins que les énergies fossiles. (Les centrales à énergie fossiles (à gaz, charbon ou fioul) émettent 500 à 1000 gCO2eq/kWh.)C’est 8 x moins que la moyenne des énergie électriques du réseau européen (les émissions moyennes du système électrique européen étaient de 231 gCO2eq/kWh en 2020 soit 8 x plus.Non seulement le PV émet peu de CO2, mais, avec la prolongation de la durée de vie d’un panneau, et la perspective de fabrication de panneaux en Europe, les progrès techniques de fabrication font que ce ratio pourra encore s’améliorer en descendant jusqu’à ce ratio pourra encore s’améliorer en tombant à 15g puis 10 CO2eq/kWh !Bref : le photovoltaïque est l’une des meilleures solutions pour produire de l’électricité décarbonéeUne installation PV au sol dégraderait les solsFaux !Les producteurs d’installation PV, à partir de panneaux installés au sol s’engagent à tout démonter à la fin du projet (dans 30 ou 40 ans) s’il n’est pas reconduit pour une nouvelle période (ce qui sera souvent fait en plaçant une nouvelle génération de panneaux). C’est assez simple car les supports sont généralement fixés sur des pieux battus ou vissés dans le sol (sans le moindre béton).NB : soulignons que toute grande installation PV au sol fait l’objet d’une étude d’impact environnemental préalablement à l’obtention de son permis de construire !Le photovoltaïque au sol c’est visuellement hideuxTout est relatif !Ce n’est certes pas invisible, mais c’est souvent très discret : de nombreuses personnes roulent chaque matin à côté d’un champs PV (au sol le long d’une autoroute, sans le savoir, car des haies installées à la périphérie cachent bien le site. En tous cas, ce n’est pas en hauteur, cela ne fait pas de bruit… l’impact visuel est souvent très limité.En tous cas c’est moins visible qu’une centrale au charbon, qu’une centrale nucléaire, etc, etc.NB l’étude d’impact prend en compte l’impact visuel lors de la conception du projet.Au sujet de l'exploitation des centralesLes panneaux solaires, demandent beaucoup l’entretienFauxParmi tous les moyens de production d’électricité, le photovoltaïque est celui qui demande le moins d’entretien : pas de mécanique, aucune pièce en mouvement, pas de carburant à apporter… etc. C’est bien pour cela que nos satellites sont tous électrifiés par panneaux solaires (il n’est pas nécessaire d’envoyer un “astronaute de maintenance” tous les mois !) Mais aussi les balises en mer, les réémetteurs télécom en haute montagne, les refuges alpins, etc. Partout où il est difficile d’envoyer un technicien de maintenance, le photovoltaïque a été choisi avant tout pour sa simplicité d’entretien.C’est aussi cette simplicité qui explique que les panneaux aient une garantie de 35 ans.Cependant, dans une installation PV il y a aussi des onduleurs électroniques. Ils ont en général une durée de vie de 10 à 15 ans. Ils sont généralement contrôlés à distance et remplacés lorsque nécessaire….En bref de l’entretien oui, mais beaucoup moins que les autres moyens de production d’électricité.Un panneau solaire, c’est fragile ?FauxC’est plus solide qu’une fenêtre de toit. C’est équivalent à un pare-brise d’automobile… et plus solide que des tuiles.Bref, ce n’est pas incassable, mais ce n’est pas fragile.Au sujet de la vision à l’échelle nationale, à moyen termeLa France est en retard sur ses objectifsC’est vrai, malheureusementLa programmation pluriannuelle de l’énergie prévoit 20 GW installés en 2023 et entre 35 et 44 GW en 2028. En septembre 2021, 13,2GW étaient raccordés, soit 66% de l’objectif 2023. La Fr est le seul pays de l’UE en retard sur ses engagements. Le rattrapage du retard coûtera 500M€ au Gvt français (et donc au contribuable).La France annonce qu’elle veut accélérer et changer d’échelle et développer plus de « fermes solaires ».Une ferme solaire, c’est du photovoltaïque sur une ferme agricole ?NonCette expression vient d’une traduction littérale de l’anglais « photovoltaïc farm ». Un ferme photovoltaïque est tout simplement une installation de panneaux photovoltaïques, au sol, sur un grand terrain, pour produire de l’électricité. En bon français on devrait dire une « centrale photovoltaïque ».Développer plus de fermes solaires, c’est développer plus d’installations de grande surface…A ce sujet, on dit que les surfaces nécessaires seraient hallucinantesFauxAyons les ordres de grandeur en tête :La France à l’ambition de multiplier par 10 la puissance PV installée d’ici 2050 (annonce rappelée par le Pdt lors de son discours à Belfort en 2022. Multiplier le parc installé par 10 revient à atteindre 100 à 130 GW installés en 2050.=> la production sera alors de 160 TWh/an, soit 25% de la conso totale d’élec (qui sera de 640 Twh/an)Quelle surface faudra-t-il ?Si la moitié est installé sur des toitures, des parkings, l’autre moitié devra être installée au sol (c’est nécessaire pour atteindre l’objectif et pour produire une énergie très compétitive).Il faudrait donc installer 65 GW au sol ? Cela demanderait environ 60 000 ha = soit seulement 0,2% de la SAU, soit 2 millièmes des terres agricoles (* : La SAU totale de la France est de 29 millions d’ha). Et on ferait cela en 22 ans (d’aujourd’hui à 2055), il faudrait donc trouver 2 700 ha/an (60 000 / 22 = env 2727)Pour avoir un point de repère : C’est 10x fois moins que les terres que l’on affecte chaque année à la construction de maisons (27 000 ha par an en moyenne sur 2006-2016)Non la production d’une part importante de notre électricité par énergie solaire ne demande pas des surfaces hallucinantes. Nous n’aurons pas de choix cornélien à faire entre souveraineté énergétique et souveraineté alimentaire !Donc la France a raison de vouloir accélérer !Les énergies renouvelables seraient un risque pour la stabilité du réseau ?FauxPour l’instant on fait de l’ordre de 3% du mix électrique en PV. L’objectif est de monter à 25% d’ici à 2050. Cela ne fera ne fera pas courir de risque sur la stabilité du réseau.Et c’est RTE qui le dit : RTE est le gestionnaire du réseau de transport d’électricité, changé notamment d’assurer la stabilité du réseau à moyen et long terme.Par ailleurs, RTE souligne aussi, qu’il est indispensable d’accélérer le développement des énergies renouvelables pour répondre à la croissance de la demande d’électricité en France (quelle que soit la part qui serait produite par le nucléaire.)Pour aller au-delà de 25%, après 2050, il faudra sans doute continuer d’améliorer nos solutions de flexibilité et de stockage. Des travaux sont déjà en cours, mais il n’y a aucune raison de ne pas accélérer jusqu’en 2050.Les panneaux solaires sont fabriqués en ChineC’est vrai… tout comme votre téléphone portable !C’est vrai et c’est regrettable : avant moratoire des projets industriels étaient en préparation. Les tergiversations françaises les ont fait renoncer… Lorsque nous nous sommes arrêté les Chinois ont accéléré. Ils ont eu raison.Heureusement, ce n’est pas inéluctable : des projets de Giga Usines de production de panneaux solaires en France sont de nouveau à l’étude.C’est économiquement tout à fait possible, car le surcoût d’une main d’œuvre européenne (par rapport à la main d’œuvre chinoise) est compensé par la réduction des coûts de transport.Et on a toutes les compétences pour réussir une industrie PV en FranceUne R&D de haut niveau à l’INESDes champions des semi-conducteur (STM),Des champions de la conversion d’énergie (Schneider)Des industriels du Verre Saint-GobainDe grande compétence en ingénierie industrielle.Plusieurs projets de construction d’usine en France et en Europe sont en cours.Mais alors le PV contribue-t-il à notre indépendance énergétique ?Oui !Il faut bien distinguer l’usine et le carburant !Lorsqu’un panneau est installé, (d’où qu’il vienne) il va produire de l’électricité, là où il est installé, pendant 40 ans, sans que l’on n’ait rien à importer (ni gaz, niche charbon, ni uranium...)Le « carburant » est le rayonnement solaire. Aucun pays ne peut ne couper ce robinet-là. Donc même avec des panneaux importés, le solaire contribue à notre indépendance.Et ce sera encore plus vrai, encore plus satisfaisant, lorsque nous produirons les panneaux en France…Donc oui le PV contribue à notre indépendance énergétique.Ajoutons queLe PV peut se mettre en œuvre très vite si on le souhaite, au cœur des territoiresLe PV contribue aussi la baisse des prix de l’électricité donc au pouvoir d’achat des consommateurs et à la compétitivité de notre économie,Le PV contribue à la décarbonation de notre énergieLe PV peut apporter des services utiles au monde agricoleLe PV contribuera certainement à la réindustrialisation de la FranceIl est urgent d’évacuer les arguments faux ou surannés et les polémiques stériles.Le photovoltaïque est l’une de plus belle raison d’être optimistes face aux défis actuels : Il faut que nous nous y engagions de manière unie, avec enthousiasme…Tribune de Stéphane Maureau, Directeur Général – CEO de UNITe (LinkedIn).
Il y a 2 ans et 130 jours

Onduline élargit son offre grâce à sa croissance externe

Suite au rachat de Corotop il y a deux ans, Onduline propose depuis janvier 2023 Ondutiss, une large gamme d’écrans sous-toiture, de pare-vapeur et de pare-pluie fabriqués en Pologne.
Il y a 2 ans et 130 jours

Ondutiss, écrans de sous-toiture, pare-vapeur et pare-pluie

L'écran de sous-toiture protège tous les éléments se trouvant sous la couverture contre les intempéries, les variations climatiques et les changements de température. Il empêche l'infiltration de la neige et de la pluie et évite le soulèvement des tuiles si le vent souffle trop fort. L'écran de sous-toiture limite également le dépôt des poussières ainsi que des risques d'incendie. De plus, il prévient l'invasion des nuisibles tels que les insectes ou oiseaux et évite ainsi une rapide dégradation des matériaux isolants, de la charpente ainsi que du parement intérieur. La pose de cet équipement est recommandée quel que soit le type de couverture choisie pour prévenir les défauts d'étanchéité qui peuvent survenir au fil des années à cause des conditions climatiques ou de la formation des mousses.Écran de sous-toiture ONDUTISS® AIR HDV RESISTLes écrans de sous-toiture ONDUTISS® AIR HDV RESIST d'Onduline sont constitués d'une feuille en polypropylène, comprise entre deux voiles de polypropylène non-tissé. Certifiés QB par le CSTB (R2/150 gr/m2 et R3/190 gr/m2), ils sont hautement perméables à la vapeur d'eau (HPV) et offrent une respiration continue de la toiture, pour une protection permanente contre l'humidité, le vent et la condensation. Ils peuvent s'installer en neuf comme en rénovation : toitures de maisons, immeubles, bâtiments publics...Écran de sous-toiture ONDUTISS® AIR REFLEX R3 et R3 TTHautement réfléchissant (jusqu'à 60% de la chaleur transmise par les rayons infrarouges), les écrans ONDUTISS® AIR REFLEX Onduline sont constitués d'une couche supérieure en aluminium pour abaisser la température dans les combles et améliorer le confort d'été. Fabriquée par collage thermique, cette membrane respirante quatre couches dispose d'une haute résistance mécanique et elle est très résistante aux déchirures.Écran de sous-toiture ONDUTISS®AIR SOLAR TTAvec sa résistance aux températures élevées allant jusqu'à 120°C, ONDUTISS®AIR SOLAR TT est idéal pour une application sous panneaux photovoltaïques et s'adapte aux conditions climatiques extrêmes. Cette membrane respirante trois couches (200 g/m2) est dotée d'un film TPU hautement perméable à l'eau et d'une double bande adhésive.Pare-vapeur ONDUTISS® VAP CONTROL 100 Sd 18Le pare-vapeur quant à lui est une couche isolante qui limite la pénétration de la vapeur d'eau dans l'isolant thermique évitant ainsi l'accumulation d'humidité. Il protège l'intérieur du toit contre la pénétration de la vapeur d'eau qui pourrait se condenser dans l'isolant thermique et la structure en bois d'un toit.La membrane respirante 3 couches ONDUTISS® VAP CONTROL 100 Sd 18 régule l'humidité et limite la transmission de la vapeur d'eau à travers la paroi (murs et plafonds). Posée en intérieur pour l'étanchéité à l'air en sous-face de l'isolant thermique, elle prévient des dommages liés à la condensation et améliore de l'efficacité énergétique du bâtiment.Pare-pluie ONDUTISS® FACADE OPEN UV3BLe pare-pluie limite les risques d'humidité et de champignons dans l'isolation thermique et protège la structure en bois de la maison. La vapeur d'eau qui pénètre dans le mur "glisse" le long du pare-pluie dans la cloison sans l'infiltrer.Étanche à l'eau, le pare-pluie ONDUTISS® FACADE OPEN UV3B Onduline préserve la façade des bardages à claire-voie de l'humidité extérieure en l'évacuant de l'intérieur vers l'extérieur du bâtiment. Très résistant aux UV, il protège la structure et l'isolation thermique des murs contre l'eau, la neige et les courants d'air à l'intérieur du bâtiment.
Il y a 2 ans et 134 jours

Les produits Ubbink choisis par un auto-constructeur

Pour composer sa toiture, ce propriétaire d’une maison individuelle a demandé au couvreur d’installer un écran de sous-toiture et des terminaux de ventilation selectionnés dans le catalogue Ubbink. À la rigueur technique, s’ajoute l’esthétique. Situé dans l’Aveyron, le village de Seveyrac est à une quarantaine de kilomètres de la ville de Rodez et dispose d’un […]
Il y a 2 ans et 136 jours

Edilteco France publie deux chartes et 8 fiches applicatives

Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. [©Edilteco] Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise entend guider ses clients dans les bonnes pratiques à adopter. Ainsi, deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes planchers et isolants pour façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. A destination des centrales à béton Et pour les centrales à béton, c’est une série de 8 fiches applicatives qui vient d’être publiée à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité. Ces fiches sont déclinées pour les gammes Politherm Fein, Politherm R et Polys Béto selon le type d’application. A savoir, chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture. [Pour Béton] Lire aussi : Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’application, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications. Mais aussi les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement. Une réponse aux clients C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées, afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Il est évident que la fabrication d’un mortier léger est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants, afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont très complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie. Ces fiches sont disponibles ici et là. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 137 jours

Nouveauté Onduline ONDULAIR® ADHÉSIF et ONDULAIR® STRONG : Closoirs ventilés pour l’étanchéité et la ventilation des faîtages ou arêtiers

Lire le communiqué de presse Pour protéger, imperméabiliser et ventiler le sommet de la toiture (faîtière) ou les arêtiers, Onduline lance 2 nouveaux closoirs qui combinent excellente adhérence, souplesse et ventilation : le closoir bi-matière tissu/aluminium ONDULAIR® ADHÉSIF et le closoir en aluminium plissé ONDULAIR® STRONG.  Performantes, ces nouveautés améliorent l’étanchéité de la construction et protègent la toiture de l’eau, de la neige et de la poussière. Ces closoirs Onduline permettent également de ventiler et d’évacuer vers l’extérieur la vapeur d’eau cumulée sous la surface du toit tout en empêchant les feuilles, la poussière et les animaux de passer à l’intérieur de la couverture. Elles sont garanties 10 ans pour l’étanchéité et 8 ans pour la stabilité de couleur. ONDULAIR® ADHÉSIF  Closoir ventilé souple bi-matière tissu/aluminium Extrêmement souple pour un contact parfait avec le support, le closoir ONDULAIR® ADHÉSIF en rouleau se compose d’un tissu en fibre de verre respirant dans sa partie centrale. Les bandes latérales sont en aluminium peint plissé, résistant aux rayons UV. Et pour une adhérence élevée, la partie inférieure des bandes d’aluminium est dotée de deux bandes de colle butyle de 30 mm chacune. ONDULAIR® STRONG  Closoir ventilé en aluminium plissé ONDULAIR® STRONG est un closoir ventilé en rouleau à haute capacité d’imperméabilisation et perméabilité à l’air. Il est utilisé le long de la ligne de faîtage des toitures pour protéger, imperméabiliser et en même temps assurer la ventilation de la toiture. Performant, ce closoir constitué d’un film d’aluminium coloré micro-perforé et plissé est très résistant aux intempéries et aux rayons UV. Dans la partie inférieure des bandes en aluminium, deux bandes de butyle de 30 mm sont intégrées pour une adhérence parfaite. Les closoirs ONDULAIR ADHÉSIF et ONDULAIR STRONG® sont disponibles en noir, rouge ou terracotta pour un rendu esthétique.  https://fr.onduline.com/fr/particuliers
Il y a 2 ans et 149 jours

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d'isolants en fibre de bois, validées par une ETN

De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l'étanchéité et la durabilité de l'écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d'une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l'ETN Alpes Contrôle A27T210Q.Grâce à cette certification, Isonat, déjà premier acteur du secteur de l'isolation biosourcée à bénéficier d'avis techniques, participe activement à la professionnalisation de la filière avec des solutions d'isolation validées par des tierces parties indépendantes.Qu'est-ce qu'une ETN ?Une Enquête de Technique Nouvelle (ETN) est un avis émis par un bureau de contrôle indépendant sur un procédé de construction non traditionnel. L'avis se base sur un cahier de prescription de pose et des rapports d'essais soumis par le tenant de système. L'ETN permet d'apporter aux acteurs de la construction des informations fiables sur la mise en oeuvre et la durabilité du procédé visé, pour offrir plus de sérénité aux usagers.Le Sarking en fibre de bois Isonat : une association vertueuse qui allie confort des occupants et engagement pour la construction durableCes solutions sont très avantageuses à la fois pour l'artisan et pour le client final.Pour l'artisan :Elles peuvent être mises en oeuvre en toute sérénité car elles ont été validées par un bureau de contrôle spécialisé (ETN Alpes Contrôle A27T210Q).Elles permettent à la fois une mise en oeuvre traditionnelle sur platelage mais aussi une pose d'isolan directement sur chevrons, avec un isolant complémentaire entre chevron, afin de faciliter l'obtention d'une isolation thermique et acoustique élevée.Elles incluent tous les accessoires nécessaires à la pose (un nouveau pare-vapeur spécialement conçu appelé Vario® Supraplex, 3 références de vis et des adhésifs et mastics pour parfaire l'étanchéité), avec un cahier de prescription de pose détaillant toutes les étapes de mise en oeuvre.Et pour le client final :Ces solutions procurent un excellent confort thermique, été comme hiver, avec des résistances thermiques allant jusqu'à 10 m².K/W.Elles assurent également un grand confort acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec un affaiblissement jusqu'à 48 dB (rapport d'essai CSTB AC22-10623, détaillé dans le tableau en fin de communiqué).Le tout avec des produits fabriqués en France à partir de plaquettes de bois issues de chutes de scierie voisines dans un rayon de 60 km autour de l'usine de Mably.Ces solutions sont particulièrement bien adaptées en neuf à tout type de bâtiment dont on souhaite laisser la charpente apparente, en particulier les chalets des régions de montagne. Ils sont aussi très utiles en rénovation de maisons individuelles dans le but d'économiser de la hauteur sous plafond et de pouvoir ontinuer à habiter les combles lors des travaux.4 solutions pour couvrir les principales situations en climat de plaine < 900 mSarking traditionnel sur platelage avec écran Duoprotect :Sarking traditionnel sur platelage avec écran HPV :Sarking entre et sur chevrons sans platelage :Des solutions complètes, incluant les isolants Isonat et tous les accessoiresLa nouvelle membrane de gestion de vapeur d'eau et d'étanchéité à l'air Vario® Supraplex, conçue pour le SarkingConçue pour une isolation de toiture par l'extérieur en climat de plaine, avec protection temporaire de la toiture jusqu'à 1 mois.Revêtement antidérapant.Sans éblouissement.Traitement anti-UV renforcé.Bord pré-adhésivés.Une membrane hygrorégulante :Protège la toiture de la vapeur d'eau toute l'année.Laisse sécher la paroi en été.Particulièrement adaptée en cas de risque de canicule.Les vis Sarking de fixation des contre-lattesIsonat a validé son ETN en partenariat avec trois fabricants de vis couramment utilisées sur cette application, pour proposer à ses clients le choix entre les vis Würth Assy® 4 Isotop, LR Etanco Starking ou SFS Twin UD.Cette gamme couvre une plage de longueurs de 170 à 500 mm et permet une épaisseur maximale d'isolant sur chevrons de 320 mm.Les accessoires d'étanchéité de l'écran DuoprotectDans le cas des couvertures à faible pente (≤ 30%) ou pour le traitement des points singuliers, l'étanchéité de l'écran sous toiture est validée avec la mise en oeuvre des adhésifs Vario® Multitape ou Vario® Fast Tape après application d'une couche de primaire en spray ou liquide de chez Würth ou Proclima en surface du panneau, ou avec la dépose d'un ruban de mastic de chez Würth ou Sika dans la rainure.Un gros travail a également été effectué pour préciser le traitement de tous les points singuliers dans le cahier de prescription de pose.Une excellente performance acoustique pour une conformité réglementaire même en zone bruyanteLes solutions d'isolation en Sarking Isonat donnent d'excellentes performances d'affaiblissement acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec 36 dB dans le cas d'une finition en platelage bois, et 48 dB avec un complémentent d'isolation entre chevrons.La réglementation acoustique pour les bâtiments neufs exige un isolement minimum de 30 dB, ce critère pouvant monter à 45 dB suivant la proximité de sources importantes de bruit (route, voies ferrées, aéroport). Les solutions Isonat permettent ainsi de répondre aux cas les plus sévères de bruits extérieurs.
Il y a 2 ans et 152 jours

44ème édition de l’Observatoire de l’énergie solaire photovoltaïque

L’édition complète et détaillée est disponible sur le site internet de France Territoire Solaire : www.franceterritoiresolaire.fr.On peut retenir les conclusions suivantes :Le volume de raccordement au 3ème trimestre 2022 s’établit à 572 MW*, en légère hausse par rapport au volume du 2ème trimestre 2022.* NB : les chiffres de cet Observatoire concernent la France continentale hors réseau de transport pour cette édition, ils sont légèrement différents des chiffres du CGDD, car l’Observatoire n’a pas accès aux données de raccordement et de file d’attente des entreprises locales de distribution (ELD), ces dernières n’étant pas publiées.Par rapport au 2ème trimestre, ce 3ème trimestre est marqué : par une très forte hausse du segment « autoconsommation » (totale ou partielle), avec presque 25.000 installations raccordées, ce qui constitue un record absolu,par une très forte hausse du segment des installations domestiques (
Il y a 2 ans et 158 jours

Lancement du Prix W 2023 : Un toit pour tous

CONCOURS. Pour sa dixième édition, le Prix W, organisé la Fondation Wilmotte, lance un nouveau défi aux étudiants et jeunes architectes : un toit pour tous ! Ou comment imaginer, inventer, créer de nouveaux espaces de vie pour ceux qui en ont le plus besoin, sous des toitures existantes en périphérie de villes et souvent inexploitées. Détails.
Il y a 2 ans et 184 jours

GDG Investissements acquiert un immeuble de bureaux de 4.000 m² à Paris auprès de Fragonard Assurances du Groupe Allianz

A la lisière des Batignolles, du parc Martin Luther King et du boulevard des Maréchaux, l’immeuble bénéficie d’une situation privilégiée dans un environnement économique mixte, où la diversité est devenue très attractive avec une grande variété programmatique (logements, bureaux, commerces de proximité) et d’espaces publics avec les parcs.Le site est à la fois très accessible, tant en transports individuels que collectifs, depuis Paris et l’ensemble de l’Île-de-France grâce à son accès direct au boulevard périphérique et l’arrêt « Porte de Clichy » reliant les lignes du métro 13 et 14, le RER C ainsi que le tramway 3b.Réalisé en 1989, le bâtiment s’élève sur 7 étages, possède un niveau de sous-sol, une toiture terrasse ainsi que 40 places de parking (à proximité) et un local de stockage de 1.000 m2.Il sera entièrement restructuré et développera une surface de bureaux avec une capacité d’accueil de 500 personnes ou un « Campus by GDG » de 1.000 personnes, avec des plateaux fonctionnels et lumineux.Une des grandes forces de cet immeuble sera sa visibilité exceptionnelle, ses terrasses accessibles et végétalisées ainsi qu’un rooftop, l’ensemble parfaitement intégré à sa future conception architecturale reprenant les standards actuels.Grâce à son repositionnement de qualité, intégrant une forte dimension sociétale, cet ensemble immobilier séduira chaque usager afin qu’il puisse s’y épanouir tout en participant à la limitation de l’empreinte carbone. Il sera en effet labélisé avec les dernières normes environnementales et technologiques.Le projet sera conçu et réalisé par l’architecte Manal Rachdi-Agence OXO. La livraison est prévue pour le 3ème trimestre 2025.Pour cette opération, GDG INVESTISSEMENTS a été accompagné et conseillé par Haussmann Notaires. Le vendeur, FRAGONARD Assurances, a été conseillé et assisté par l’étude notariale SCREEB Notaires. Enfin, la transaction a été réalisée par BNP PARIBAS REAL ESTATE TRANSACTION et CUSHMAN & WAKEFIELD.Pour Rémi Gaston-Dreyfus, Président : « Nous sommes très heureux que le groupe Allianz, avec qui nous partageons un même niveau d’exigence, nous ait choisis pour l’acquisition de cet ensemble immobilier « entrée de ville », sur lequel nous pourrons exprimer nos ambitions, tant en matière de destination durable et flexible de l’immeuble à restructurer, qu’en matière d’intégration et de signal de ce nouvel objet dans le tissu urbain du 17ème arrondissement. »Date d'acquisition : 27 octobre 2022Surface : 4.000 m2Adresse : 2, rue Fragonard, Paris 17èmeAcquéreur : GDG INVESTISSEMENTSNotaire acquéreur : Haussmann NotairesVendeur : FRAGONARD AssurancesNotaire vendeur : SCREEB NotairesFinancement : BRED Banque PopulaireTransaction réalisée par : BNP Paribas Real Estate Transaction et CUSHMAN & WAKEFIELD
Il y a 2 ans et 197 jours

plus d ecrans de sous toiture dans la gamme ondutiss d onduline

Onduline a décidé d’enrichir sa gamme Ondutiss en commercialisant dès début 2023 trois nouvelles solutions adaptées à des situations spécifiques : Ondutiss Air Reflex, Ondutiss Air Solar TT, ainsi qu’Ondutiss Metal.
Il y a 2 ans et 206 jours

Rénovation énergétique : trop chère et pas assez aidée, selon le Conseil économique et social

L'avis voté mardi préconise ainsi "un dispositif d'avances remboursées lors de la vente du bien ou de la succession, accessible sous condition de ressources".Le CESE recommande parallèlement d'inciter les banques à proposer des prêts "acquisition-amélioration" ou "réhabilitation énergétique" remboursables lors de la revente du logement ou au moment de la succession du propriétaire quand il décède.Une autre modalité de financement des travaux est préconisée dans l'avis, consistant à "surélever des bâtiments existants pour y créer de nouveaux logements dont la vente permettrait de réaliser les travaux nécessaires dans les étages inférieurs".Il faudrait adapter certaines règles d'urbanisme en dehors des périmètres classés, recommande le CESE qui note les réticences que cette solution suscite en France, contrairement à des pays voisins.Notant la nécessité d'accélérer et d'intensifier les efforts de rénovation énergétique des bâtiments qui représentent 44% de la consommation finale d'énergie, le CESE souligne que l'obstacle reste largement financier. La situation est encore plus criante en Outre-mer."Il faut avoir à l'esprit qu'une rénovation globale (ou performante) coûte en moyenne entre 25.000 et 60.000 euros et qu'au minimum 5 millions de logements doivent en bénéficier à terme", dit-il.Dans la pratique, 99% des ménages sollicitent l'aide Maprimerénov' pour des "travaux limités" et le remplacement uniquement de certaines parties du logement, le chauffage, les fenêtres ou la toiture. Sur près de 650.000 dossiers Maprimerénov' acceptés en 2021, une grande majorité a porté sur un montant moyen de prime relativement faible de l'ordre de 3.000 euros tandis que les rénovations globales ont concerné un peu moins de 1.000 dossiers, pointe le CESE.Pourtant, seule une rénovation globale permet une réduction de plus de 50% de la consommation d'énergie: le CESE appelle donc à "renforcer significativement le forfait accordé pour une rénovation globale afin de rendre celle-ci beaucoup plus incitative"."La persistance d'un niveau trop élevé de reste à charge a (...) pour conséquence d'encourager des travaux partiels du logement, loin de la rénovation globale qui seule permet un véritable changement des qualités thermiques", observe le CESE, un "constat d'échec encore plus flagrant pour les copropriétés".
Il y a 2 ans et 211 jours

Les solutions Unilin Insulation tout confort pour la toiture en pente

Usystem Roof OS Comfort et Utherm Sarking L Comfort sont deux solutions qui s’utilisent en isolation extérieure des toitures inclinées, en neuf ou en rénovation, dans tous les bâtiments y compris les ERP (Etablissements Recevant du Public).Usystem Roof OS Comfort, la solution d’isolation par l’extérieur des toitures dédiée au confort intérieur !Avec ce panneau de toiture exclusif associant polyuréthane et laine minérale, l’isolation thermique est sans pareil, pour un intérieur silencieux au climat doux grâce à des matériaux durables et performants.Sa valeur ajoutée ? L’addition d’un matelas de laine de roche pour réduire jusqu’à trois fois les bruits d’impact comme ceux causés par la pluie ou la grêle. Avec une performance LiA* de 38 dB, Usystem Roof OS Comfort se situe bien en-dessous du seuil de réveil d’un enfant (50 dB**).Ce panneau de toiture 3 en 1 permet de réaliser en une seule opération l'isolation, le support pour la couverture et la finition intérieure, avec un large choix parmi une vingtaine de sous-faces de plafond pour tous les goûts en matière de décoration. Longueur : jusqu’à 8 m selon sous-face / Largeur : 800 mm ou 1200 mm (OSB) / R 6 (épaisseur d’isolation 153 mm) à 9 (épaisseur d’isolation 216 mm)En savoir plus sur Usystem Roof OS Comfort | Caissons chevronnés (unilininsulation.com)Utherm Sarking L Comfort, la solution Unilin thermo-acoustique pour l’isolation des toitures en penteCe complexe bi-matière, composé d'une plaque isolante en mousse de polyuréthane et d’un panneau de fibre de bois, garantit une isolation phonique et thermique optimale. L’association de la fibre de bois et du polyuréthane permet d’augmenter le déphasage thermique de la toiture au-delà de 7 heures, limitant ainsi la montée en température de la paroi intérieure, pour un confort optimal, été comme hiver.C’est la solution idéale pour un bien-être durable, isolé du froid, du chaud et des nuisances sonores avec jusqu’à 3 fois moins de bruit en fonction de l’installation !Longueur brute : 2511 mm Largeur brute : 611 mm / R 6 ,25 (épaisseur d’isolation 155 mm) à 8,10 (épaisseur d’isolation 195 mm) En savoir plus sur Utherm Sarking L Comfort | Plaques isolantes (unilininsulation.com)*Pour le bruit de pluie, on parle du LiA. Plus le LiA est faible, plus le système est performant. **Norme NF EN ISO 140-18.
Il y a 2 ans et 214 jours

Le cahier des solutions

Bati Média & Planète Bâtiment présentent : Le Cahier des Solutions. Weber / Gamme Tradical et béton de chanvreUne offre enrichie Depuis le 1er mai 2022, suite à un accord signé avec le groupe belge Lhoist, Weber commercialise, en exclusivité sur le territoire français, les produits Tradical à base de chaux aérienne. Entre ces produits qui viennent enrichir la gamme Georges Weber et l’offre « bétons de chanvre » que le fabricant entend développer, ce dernier assoit davantage son expertise en restauration patrimoniale. Mélange de chanvre, de chaux et d’eau, le béton de chanvre, biosourcé, présente des propriétés isolantes et peut être utilisé en neuf comme en rénovation, y compris en préfabrication. Matériau de remplissage, il s’utilise notamment dans les systèmes constructifs poteaux-poutres, qu’ils soient en bois ou en béton. L’occasion pour Weber de se positionner sur l’enveloppe avec une solution durable et légère ! Avec le couple Tradical Thermo + Chanvribat, conforme aux règles professionnelles, il ajoute à sa gamme une solution béton de chanvre de hautes performances (temps de prise, lambda, etc.) reposant sur une formule brevetée. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Weber Photo : Isonat Isonat /DuoprotectIsolant rigide en fibres de bois Sous forme de panneau rigide, l’isolant Duoprotect est composé de fibres de bois issues de plaquettes des scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Biosourcé, le produit présente la résistance mécanique la plus élevée de la gamme rigide d’Isonat, tout en offrant des performances thermiques intéressantes. Pour exemple, sa conductivité thermique est de 0,046 W/(m.K). En outre, il assure une bonne isolation acoustique, notamment aux impacts de pluie, ce qui le rend pertinent en isolation de toitures inclinées par l’extérieur. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Schöck / Rupteurs Rutherma Impact carbone minimum, performances maximum Assurant les liaisons structurelles dalle/façade, dalle/balcon, dalle/loggia, dalle/éléments saillants de l’enveloppe et refend/façade, les rupteurs Rutherma, types DFi, DFi/ VM, Ki, DB, D et RF, développés par Schöck sont désormais couverts par une nouvelle Fiche de déclaration  environnementale et sanitaire (FDES), valide jusqu’en avril 2027. Une pole position pour cette gamme qui affiche le meilleur impact carbone du marché des rupteurs de ponts thermiques linéiques, avec une valeur de 12,2 kg.eq.CO2/UF. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Forbo Flooring Systems Photo : Schöck Rutherma DFI Forbo Flooring Systems / Marmoleum MarbledEloge de l’écoconception Dès son élaboration, la collection de revêtements de sol Marmoleum Marbled de Forbo est, comme tous ceux de la famille Marmoleum, un hymne à la nature. Elle se compose, en effet, de matières premières naturelles, renouvelables pour la plupart – huile de lin, résine de pin, farine de bois (certifiée PEFC et issue de forêts gérées durablement), pigments et charges  minérales –, sur un support en toile de jute. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com VisionAIR / Ciment CalciaDes ciments moins carbonés Grâce à des formulations variant la proportion de clinker et d’ajouts, Ciments Calcia propose VisionAIR, une gamme de ciments à l’empreinte carbone moindre (jusqu’à &#8211; 40 % de CO2). Des solutions moins carbonées pour une performance optimale des produits mis en œuvre, garantissant ainsi qualité et pérennité des ouvrages. À disposition, quatre produits livrés en sacs : Baticia, un ciment pour béton destiné à tous les usages du bâtiment ; Forcia, un ciment pour béton adapté aux milieux agressifs ; Flexia, un ciment pour mortier de montage avec air entraîné ; Poncia, un mortier de montage à base de pierre ponce pour blocs béton et briques, qui permet de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques. Autres choix durables du fabricant, des sacs en papier kraft sans traitement de blanchiment, des encres à l’eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. En outre, VisionAIR décline des solutions dédiées aux applications BPE de type fondation, voile, plancher, et Préfa pour les bétons précontraints avec démoulage immédiat ou différé. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Calcia Photo : Hörmann Hörmann et Tubauto Engagement environnemental Leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, le groupe Hörmann s’est engagé, depuis des années, dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE 2020 et de la réduction des émissions de carbone, il est déjà opérationnel avec des solutions neutres en carbone sur ses portes d’intérieur et dans son offre promotionnelle Europa Promotion. L’usine de production Tubauto, propriété du groupe allemand depuis 1991, lui emboîte le pas, opérant elle aussi sa transition environnementale. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Knauf Lightboard Horizon 4Plaque de plâtre allégée… comme son empreinte carbone Knauf innove avec Knauf Lightboard Horizon 4, première plaque de plâtre à quatre bords amincis pour plafonds, plus légère et plus facile à poser qu’une plaque standard. La formulation de son cœur de gypse permet, en effet, un gain de poids de près de 25 % – de quoi faciliter les chantiers au quotidien. Cette solution, unique sur le marché français (sous Atex du CSTB), est adaptée à la réalisation d’ouvrages de plafonds et rampants intérieurs, dans tous types de bâtiments (hors locaux humides). Autre argument fort, son empreinte environnementale allégée, qui séduira à coup sûr les maîtres d’ouvrages et maîtres d’œuvre. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Photo : Seigneurerie Seigneurerie/PhylopurPeinture biosourcée Composée d’alkyde d’origine végétale en phase aqueuse à 97 %, cette peinture biosourcée permet de répondre à tous les chantiers engagés dans une démarche environnementale. Dénommée Phylopur, elle propose aux professionnels des performances d’esthétique et d’application en positionnement haut de gamme. Déclinée en impression et finition mate et soie, elle est blanche de base et peut se teinter dans toutes les teintes pastel. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Viessmann / Vitodens SEChaudière auto-adaptative gaz à condensation Dévolue aux ménages modestes et d’une qualité éprouvée, la nouvelle chaudière auto-adaptative gaz à condensation Vitodens SE, signée Viessmann, garantit un haut confort en chauffage comme en production d’eau chaude sanitaire. Adaptée aussi bien à la construction neuve qu’à la rénovation, cette chaudière, avec échangeur de chaleur instantané intégré, est dotée d’une étiquette énergétique A. Elle couvre une plage de puissances allant de 3,2 à 25/29 kW (double service, chauffage et production d’eau chaude sanitaire à micro-accumulation : 15,4 l/min selon EN 13203). Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Viessmann Photo : Alkern Alkern et RE2020 Cap sur la performance environnementale L’engagement d’Alkern pour améliorer l’impact carbone de ses solutions constructives reste une priorité. Ainsi en 2020, 2 millions d’euros ont été investis sur les sites d’Izeaux (38) et de Mouy (77) : d’une part dans une rectifieuse pour la fabrication de blocs à joints minces, d’autre part dans une ligne de fabrication de blocs intégrant la mousse 100 % minérale Airium, soit des blocs 100 % recyclables, sans étape de tri. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Veka / Veka RecycleEn avance sur le recyclage L’innovation passe par l’environnement et, en la matière, Veka anticipe régulièrement les réglementations. Pour preuve, le groupe affiche aujourd’hui une moyenne de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés, un pourcentage à comparer à la moyenne nationale située à 8 %, ou encore aux objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025. En 2022, l’industriel va encore plus loin avec la solution Veka REcycle. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Veka Photo : Kemica Coatings Kemica Coatings / Souplethane 5Résine d’étanchéité biosourcée Cette PME française développe des résines d’étanchéité et de revêtements de sols biosourcées et innovantes, destinées aux secteurs de la construction et du génie civil. Ainsi sa gamme de résines vertes et durables Souplethane 5, qui couvre une quinzaine d’applications dans le secteur du bâtiment et bénéficie des qualifications du CSTB. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Xella Ytong / Compact 20Construire malin avec le béton cellulaire Dédié à la construction de maisons individuelles, qu’elles soient de plain-pied ou à étages, le bloc Ytong Compact 20 permet d’alléger l’isolation du bâti en parois verticales, voire de plancher bas, et de gagner en Shab par rapport à d’autres matériaux de construction. Il se positionne donc comme la solution la plus économique, tout en respectant les différents indicateurs de la RE 2020. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Xella Ytong Photo : Onduline Onduline FlexoutuileUn matériau fiable et respectueux de l’environnement Les plaques de sous-toiture Onduline Flexoutuile contiennent environ 50 % de matières premières recyclées. En outre, leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Sans oublier les émissions de CO2 réduites grâce au poids allégé des matériaux, ce qui limite l’impact du transport. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Saint-Gobain Glass Première gamme de verre bas carbone C’est une étape essentielle pour la construction durable que Saint-Gobain Glass franchit avec cette gamme de verres présentant la plus faible empreinte carbone du marché. Une première dans l’industrie, obtenue grâce à une production qui associe un contenu élevé en verre recyclé (environ 70 % de calcin), l’utilisation d’énergie renouvelable ainsi qu’un effort important en recherche et développement. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com &nbsp; Photo : Saint-Gobain Glass Photo : Cem’In’Eu Cem’In’EuCiment bas carbone Cem’In’Eu investit pour produire un ciment à base de pouzzolane, une matière première naturelle extraite localement. Son utilisation permet de réduire fortement le pourcentage de clinker et représente donc un effet de levier considérable pour la baisse de l’empreinte carbone globale des ciments produits, en vrac comme en sac. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Sika / Sikadur -31+Adhésif structural « Développement Durable » Dernier arrivé dans la gamme des solutions « Développement Durable » développée par le spécialiste de la chimie de la construction, l’adhésif structural Sikadur -31+ offre de meilleures performances, tout en affichant une technologie et un mode d’application plus vertueux. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Sika Photo : Milliken Milliken & Company / Revêtement de solsEn route vers la neutralité carbone « Notre programme M/PACT prouve que les revêtements de sol peuvent satisfaire les attentes de design et de performance, tout en tenant compte des enjeux environnementaux », souligne Jim McCallum, vice-président exécutif de Milliken & Company. Plus concrètement, les matériaux non essentiels sont éliminés des produits, tandis que ceux issus du recyclage sont privilégiés. Privilégiés également, l’approvisionnement régional et la production locale, afin de limiter l’impact du transport. De même, l’industriel s’efforce de réduire sa dépendance au pétrole. Les revêtements de sol présentent une traçabilité intégrale des produits. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Solar-Paint / SolarcoatLa peinture de toit qui rafraîchit PME toulousaine, Solar-Paint a mis au point, en partenariat avec son fournisseur ariégeois Maestria, la solution Solarcoat, une peinture à l’eau qui intègre des ingrédients naturels et des matières recyclées, telle la brisure de verre. Simple, peu coûteuse et durable, cette peinture de toit blanche présente un taux de réflexion solaire supérieur à 92 %, ce qui permet d’abaisser de 5 °C en moyenne la température intérieure des bâtiments. Et donc de limiter le recours à la climatisation en période estivale. À la clé, des économies d’énergie ainsi qu’une amélioration du confort et du bien-être des occupants. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Solar-Paint Photo : Kompozite Deep Tech / KompozitePlateforme d’aide à la conception bas carbone Destinée aux architectes, bureaux d’études, constructeurs et maîtrises d’ouvrage, la plateforme Kompozite, développée par la startup Deep Tech, leur permet de prendre rapidement et efficacement des décisions complexes en termes de construction durable. La solution applique au secteur du BTP, des techniques de design génératif, bien connues dans les secteurs de l’aéronautique ou de l’automobile. Plus clairement, le logiciel compile les données pour générer des solutions constructives optimisées en fonction des contraintes spécifiques de chaque projet, que ce soit en construction neuve ou en rénovation thermique. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Immoblade / Vitrages de protection solaireEconomies d’énergie toute l’année Réduire l’empreinte carbone des bâtiments en diminuant leurs consommations d’énergie liées à la climatisation et au chauffage. Telle est l’ambition d’Immoblade, qui conçoit, fabrique et commercialise des vitrages de protection solaire uniques sur le marché. Efficaces toute l’année, ces derniers ne nécessitent aucune maintenance. Leur dimension innovante réside également dans leur capacité à laisser passer les apports solaires en hiver et à les bloquer l’été. Et ce, sans nuire à la visibilité des occupants ni à l’aspect architectural des bâtiments. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Immoblade Photo : Rector Rector / Box Rupteurs EquatioUne gamme réduite mais performante Dans le cadre de sa démarche RSE, Rector, fabricant d’éléments en béton précontraint et béton armé, a ajusté le contenu de ses Box, afin de réduire les pertes et déchets sur les chantiers. À disposition : Box vide sanitaire, Box étage & toit terrasse et Box sous-sol & toit-terrasse. De même, les cartons utilisés sont recyclés et recyclables. Moins de références à stocker, un design revu, un code couleur pour une meilleure lisibilité sur le parc de stockage : le fabricant a également pensé à ses clients distributeurs. Complète, compacte et pratique, la nouvelle gamme de Box de rupteurs Equatio illustre sa volonté de proposer aux professionnels de la construction des solutions adaptées à leurs besoins. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Knauf Ceiling Solutions / Plafonds AdagioPerformance acoustique et graphique Réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design… La nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques Adagio, de Knauf Ceiling Solutions, répond aux plus hautes exigences. Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline en quatre solutions : Adagio Acoustic+, Adagio Alpha+, Adagio Db+ et Adagio HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm). Chacune peut se poser seule ou être combinée selon les effets recherchés, soit un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com Photo : Knauf Ceiling Solutions Photo : LG LG / ERV résidentielleConfort intérieur et économies d’énergie Complète, la nouvelle solution de ventilation (ERV) résidentielle est équipée d’une filtration en plusieurs étapes, pour un air purifié et un environnement agréable. Elle est, en outre, compatible avec l’application LG ThinQ&#x2122;. L’expérience utilisateur s’avère confortable, avec une surveillance en temps réel des niveaux de poussières fines et de dioxyde de carbone, ainsi qu’une commande à distance intuitive. Grâce à l’échangeur de chaleur de LG, cette solution garantit une circulation de l’air efficace, tout en réduisant de manière significative le gaspillage énergétique. En effet, elle permet de récupérer jusqu’à 85 % de l’énergie du chauffage en hiver et 83 % de l’énergie du refroidissement en été. Soit une consommation minime en fonctionnement, ce qui réduit d’autant les factures d’électricité de l’utilisateur, tout en gardant un environnement de vie plaisant. Pour en savoir plus rendez-vous sur le site de batimedianews.com  Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Le cahier des solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 214 jours

Biodiversité en ville, concevoir un ensemble cohérent

Penser la biodiversité en ville passe par une approche globale de l’urbanisme dont découlent des outils techniques innovants afin de construire des infrastructures naturelles homogènes et harmonieuses. La biodiversité et, à plus forte raison, la question de la nature en ville sont des sujets encore émergents. Une science qui a débuté par des outils pratiques, plus que par une assise scientifique. Un tâtonnement dont l’exemple le plus représentatif n’est autre que les ruches qui, un temps, ont poussé comme des champignons sur les toits des villes. « Les ruches en milieu urbain sont un peu une fausse bonne idée, car elles peuvent avoir un effet négatif sur la biodiversité. Les abeilles à miel, très nombreuses, entrent en compétition avec d’autres pollinisateurs, les abeilles dites “solitaires”. Installer une seule et unique espèce de pollinisateur, ce n’est pas ça la biodiversité », développe Frédéric Madre, directeur associé de Topager et chercheur associé au Centre d’écologie et des sciences de la conservation (Cesco/Muséum national d’histoire naturelle-CNRS-Sorbonne université). Les toitures végétales ne se limitent plus à quelques espèces de sédums, mais se déclinent de mieux en mieux, afin d’accueillir une biodiversité des plus variées, et rendre des services écosystémiques.Photo : Soprema Entreprises Penser les trames et défragmenter Penser la biodiversité en ville, selon les experts, passe désormais par une approche globale, dont découlent des outils techniques de construction d’infrastructures naturelles. « Nous sommes de plus en plus sur une vision holistique de l’urbanisme pour la biodiversité », décrit Frédéric Madre. Cette approche se caractérise par une structuration de la nature en ville autour des trames vertes, bleues, brunes et noires et la communication entre lesdites trames. Cette approche « vise à maintenir et à reconstituer un réseau d’échanges pour que les espèces animales et végétales puissent, comme l’homme, circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer », détaille le ministère de la Transition écologique dans un communiqué. Cette planification urbaine doit être réalisée à l’échelle des agglomérations, puis des quartiers et enfin des bâtiments, dernière échelle de l’aménagement urbain. Pour une intégration plus fine de la biodiversité. La trame verte correspond au végétal. Elle regroupe les parcs, jardins, arbres d’alignement, et, bien entendu, les très médiatisées toitures végétalisées. Ces dernières d’ailleurs, de plus en plus complexes, ne se limitent plus à quelques espèces de sédums, mais se déclinent sous de nombreuses formes (extensives, semi-extensives, etc.), afin d’accueillir une biodiversité des plus variées, et rendre des services écosystémiques, notamment sur la question de la gestion de l’eau. En urbanisme, l’approche à travers la trame verte consiste aussi à éliminer les discontinuités en ville. L’idée ? Que les poumons verts soient reliés entre eux, à l’aide de pas japonais par exemple, afin de favoriser le déplacement des espèces. La trame bleue, elle, concerne toute la trame hydrique (zone humide, mare, rivière…). Trames vertes et bleues se superposent dans des zones dites « d’interface » (milieux humides et végétation de bords de cours d’eau par exemple). La trame brune, soit les sols, « constitue tout un réseau trophique (chaînes alimentaires reliées entre elles, ndlr) indispensable pour que les racines dialoguent avec les micro-organismes, que les déchets de végétaux se dégradent convenablement et nourrissent d’autres végétaux, etc. », décrit Sophie Rousset- Rouvière, déléguée générale de l’Asso­ciation des toitures et façades végétales (Adivet). Et enfin, la trame noire concerne les espèces nocturnes. À savoir, dessiner l’urbanisme en préservant des zones afin qu’animaux et insectes nocturnes puissent circuler sans être trop perturbés par l’éclairage artificiel par exemple. Sur le terrain, « il peut s’agir d’équiper une avenue d’un éclairage intelligent, qui ne s’allumera qu’en présence de piétons, favorisant ainsi la circulation des espèces nocturnes lorsqu’il est éteint », détaille Frédéric Madre.  Le pas japonais consiste en une succession de secteurs naturels ou semi-naturels, de surfaces réduites, reliant deux réservoirs de biodiversité, afin que certaines espèces puissent circuler de l’un à l’autre.Photo : Elisabeth Gruchmann (Adivet) Techniques et services écosystémiques Au-delà de la seule sauvegarde, la biodiversité en ville prend un caractère utilitaire. Ce sont les fameux services écosystémiques, soit la lutte contre les îlots de chaleur urbains, la gestion des eaux pluviales, ou, dans une moindre mesure, la gestion de ressources avec les fermes urbaines. Là encore, la conception des outils censés ramener de la biodiversité en ville est aussi pensée au travers de ces services rendus. « Les infrastructures vertes permettent de réaliser des économies grâce aux services écosystémiques rendus », assure Frédéric Madre. Sans oublier le besoin de vert toujours plus fort exprimé par les citoyens. D’après une étude NewCorp Conseil, 92 % des Français estiment qu’il n’y a pas suffisamment de nature en ville.  Lucien Brenet Le schéma de cohérence territoriale (SCoT) et le plan local d’urbanisme (PLU) jouent un rôle majeur dans la bonne application des trames.Photo : BMI Siplast Outil 1 : Une toiture végétalisée aux usages différenciés L’immeuble de bureaux Respiro est situé en zone urbaine dense, à Nanterre (Hauts-de-Seine). Ses deux toitures-terrasses (1 500 m2 au total) sont conçues comme un outil d’accueil de la biodiversité. Les deux espaces ont été végétalisés suivant deux méthodes distinctes. La végétalisation extensive en R + 3 repose sur le principe du WildRoof. Près de 650 m2 de bacs acier accueillent une flore sauvage qui colonise un substrat nu. « Au R+3, l’aspect service esthétique et bien-être n’était pas le plus important. Nous avons plutôt installé des substrats, des nichoirs, pour que le vent et les oiseaux amènent spontanément des espèces locales », indique Frédéric Madre. Au R + 2, cette terrasse accessible de 860 m2 repose sur un support béton. La végétalisation semi-extensive est compo­sée de plantes indigènes installées sur un substrat de 8 à 25 cm d’épaisseur. Les variations d’épaisseur de substrat permettent d’intégrer de petites buttes pour accueillir de petits arbustes. Son fonctionnement écologique s’inspire des prairies sèches : diversité des strates végétales, microhabitats (buttes, mares), ni fertilisation ni amendements, pas de traitements chimiques. Le renouvellement se fait naturellement. La toiture comprend un petit potager de 13 m2 à but pédagogique. Un suivi écologique de l’Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France, dans le cadre de l’étude Grooves (Green Roofs Verified Ecosystem Services), a identifié 107 espèces d’invertébrés différentes. Le projet a été subventionné par l’Agence de l’eau Seine-Normandie (AESN) au titre de la bonne gestion des eaux pluviales. Le bâtiment, lui, rend également des services écosystémiques de rafraîchissement et de gestion des eaux pluviales. Le programme a été élaboré en partenariat avec le Muséum national d’histoire naturelle.  Sur ce projet, la microtopographie du substrat et la palette de plantes ont été travaillées afin d’accueillir des variétés locales et méditerranéennes, plus résistantes à la sécheresse en toiture. Ce qui permet aussi d’adapter la palette végétale aux changements climatiques.Photo : Respiro Outil 2 : Des jardins de pluie urbains pour gérer les eaux pluviales Les jardins de pluie urbains, réalisés et entretenus par Les Jardins de Gally en collaboration avec les start-up Source urbaine et Vertuo, sont présentés comme une solution de gestion des eaux pluviales en zones urbaines imperméabilisées. Cette installation hors-sol de faible emprise ne nécessite pas de travaux de réseaux. Il s’agit d’un stockage temporaire associé à une réserve utile et disponible d’eau de pluie en contact direct sous le substrat. L’installation récupère l’eau de pluie acheminée depuis les toitures. « Ces jardins contribuent au rafraîchissement urbain et à la diminution des îlots de chaleur. De plus, ils peuvent être colonisés par des animaux et des végétaux. Ces puits urbains peuvent être installés hors-sol, ou à la faveur de réfection de certains réseaux », détaille Pierre Darmet, directeur marketing et développement commercial Les Jardins de Gally. La technique peut accueillir une large palette végétale : des espèces mellifères, locales, et horticoles, des caduques et persistantes pour l’évapotranspiration, ou encore, des saules pour les plus grosses installations. Projet de l’Académie du climat à Paris, ancienne mairie du 4e arrondissement, avec Vertuo.Photo : Gally Vertuo Paris 2020 Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Biodiversité en ville, concevoir un ensemble cohérent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 214 jours

Pour la patronne de la FNSEA, "il faut identifier des terres" où produire du solaire

"Depuis la guerre en Ukraine, l'enjeu énergétique monte à toute allure et la France cherche des solutions. L'agriculture est en capacité de dire +On est présents+", déclare Mme Lambert.Le président Emmanuel Macron souhaite multiplier par dix la capacité de production photovoltaïque de la France pour dépasser les 100 gigawatts en 2050. Ce qui suppose de couvrir de panneaux "entre 100.000 et 200.000 hectares", donc "0,2% à 0,4% du territoire" français, précise à l'AFP le ministère de la Transition énergétique.Dans le projet de loi d'accélération des énergies renouvelables, voté en première lecture au Sénat, les élus ont injecté des dispositions en faveur d'un développement "raisonné" de l'agrivoltaïsme, qui allie agriculture et production d'énergie."L'agrivoltaïsme, c'est vraiment la coproduction agricole et énergie, c'est pas juste trois moutons sous des panneaux", défend la présidente de la FNSEA. Elle rappelle la "doctrine" du syndicat en matière de solaire: "Priorité aux (installations sur les) toits, pas de photovoltaïque au sol et un développement encadré de l'agrivoltaïsme."Chaque semaine ou presque, des énergéticiens présentent à la presse des installations agrivoltaïques dernier cri. Ils assurent que la production de nourriture y est préservée, voire facilitée, les panneaux protégeant les cultures des affres du climat.Le sujet divise. La Confédération paysanne juge que l'agrivoltaïsme est une "notion marketing" qui va porter "atteinte à la vocation nourricière de la terre".Quant au syndicat des Jeunes agriculteurs (JA), considéré comme la pépinière de la FNSEA, il demande un moratoire sur l'agrivoltaïsme tant que les terres déjà artificialisées et les toitures "ne seront pas couvertes dans leur plus grande partie", ce qui coûte plus cher concernant les toitures.Les JA redoutent "un phénomène de spéculation et de détournement de la vocation nourricière des terres". D'autant qu'il est plus rémunérateur de les louer à un énergéticien qu'à un fermier.Sans partager leur mot d'ordre, Christiane Lambert "comprend" que les Jeunes agriculteurs aient "tapé plus fort pour défendre le foncier" au vu des difficultés d'accès aux terres dans certaines régions."Leur pression a servi à faire évoluer" les positions des sénateurs en faveur d'un encadrement accru, salue celle qui a présidé les JA entre 1994 et 1998."De la dentelle"Au-delà de l'agrivoltaïsme, et afin de rattraper le retard de la France en matière d'énergie solaire, le gouvernement lorgne sur les terrains "sans enjeux environnementaux majeurs", selon l'expression du ministère de la Souveraineté énergétique.Les friches agricoles en font partie.Mme Lambert n'est pas opposée à l'installation de panneaux sur ces "terres non productives (...) sur lesquelles il n'y aura jamais rien, ni un JA ni quelqu'un d'autre".Elle cite l'exemple d'un terrain fortement pentu en Lozère, "sur lequel pas un mouton ne va aller, c'est que des ronces, c'est abandonné"."Il faut qu'on identifie tous les endroits où de toute façon il n'y aura pas d'agriculture. (...) C'est vraiment un travail de fourmi, c'est de la dentelle qu'il faut faire" localement."Le gouvernement cherche 100.000 hectares. Il nous dit +C'est pas beaucoup+. Dans les départements où le foncier est rare et cher, c'est beaucoup", poursuit Mme Lambert."Le challenge, c'est de protéger le foncier, mais pas de casser la dynamique [du solaire], donc l'équilibre est ténu", reconnaît-elle.Pour Christiane Lambert, il faut aussi prendre garde à la taille des projets : "Les énergéticiens voudraient des grands blocs de 100 hectares. Pour nous, ce n'est pas possible. (...) Il vaut mieux faire 10 projets de 10 hectares qu'un projet de 100 hectares parce que ça facilite l'acceptation" par les riverains.
Il y a 2 ans et 215 jours

Un duo d'architectes restaure en profondeur le Grand Rex pour fêter ses 90 ans

Des particularités qui lui ont permis de résister au temps, à la différence de nombreux établissements contemporains aujourd’hui disparus. S’il a été profondément remanié au cours de son histoire, mais sans toutefois toucher à la grande salle, le Grand Rex renoue aujourd’hui avec son aspect originel et reste l’un des témoins les plus emblématiques d’une période faste pour l’architecture des cinémas français de l’entre-deux guerres. À l'occasion des 90 ans de vie de ce lieu mythique du paysage culturel parisien, le duo d'architectes Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson a été appelé à restaurer en profondeur le monument afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire. Après plusieurs mois de travaux, la nouvelle façade sera dévoilée au public le 8 décembre prochain.Pour Alexandre Hellmann, Directeur général délégué du Grand Rex par Laurent Cottilon : « C’est à Jacques Haïk, le créateur du Grand Rex que l'on doit la décoration de la Grande salle. Jacques Haïk était franco-tunisien et voulait un cinéma qui évoque son pays, d’où ce jardin méditerranéen art déco, avec ses arbres, ses statues qui lui rappelaient son enfance. Au départ, Jacques Haïk voulait créer une salle de plus de 5.000 places, mais il n’a pas pu le faire pour des raisons administratives. Il est donc revenu à une formule de 4.000 sièges, avec de nombreux strapontins. Les grands fauteuils en cuir que l’on connaît aujourd’hui qui datent des années 60/70 sont désormais la signature du Grand Rex. » Extrait du texte ReXnovation par Philippe Trétiack, journaliste et écrivain : « Mieux qu’un rideau de scène, une gigantesque bâche destinée à envelopper des mois durant la totalité d’un bâtiment. Sous ce drap taille magnum : le Grand Rex, mythique cinéma affichant comme seul et unique programme sa propre renaissance. Pour acteurs, des bataillons d’ouvriers, maçons, peintres, serruriers, électriciens, informaticiens avec à leur tête un duo d’architectes enthousiasmés par leur tâche et dopés par leur bâche. Car oui tout est né d’elle et de l’obligation de la suspendre pour mieux protéger les passants des scories provoquées par l’indispensable ravalement de l’édifice. Au départ d’ailleurs, il n’était question que de cela, ravaler et assurer l’étanchéité déficiente des toitures de cet immeuble édifié en 1932, retouché dans les années 70, dénaturé dans les années 80. Nettoyer le cinéma, lui redonner belle allure, c’était la moindre des choses pour un anniversaire, son 90e.Mais voilà que dans la tête de Grichka Martinetti et Stéphane Thomasson, les architectes appelés à mener à bien cette entreprise, a surgi une idée d’apparence saugrenue, faire de cette bâche non pas une contrainte mais une chance, qui permettrait d’assurer un nettoyage et carrément un lifting pour le restaurer en profondeur afin de le rajeunir en lui offrant un futur nourri de son passé légendaire.Édifice aux façades inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par Jack Lang en 1981, Le Grand Rex est le dernier exemple encore debout de cinéma à l’architecture Art déco. Il est l’œuvre d’un premier duo d’architectes, le français Auguste Bluysen, auteur entre autres de la Biscuiterie LU à Nantes et du casino du Touquet, et de l’américain John Eberson. Ce dernier fut le grand manitou des cinémas de style dit « atmosphérique ». Il en édifia des dizaines Outre-Atlantique. En France, le Grand Rex en est l’unique et dernier représentant. » Extrait de l'interview de Bruno Blanckaert, Directeur général du Grand Rex par Olivier Nuc :« L’histoire d’amour entre la salle parisienne inspirée par le Radio City Music Hall de New York et la musique a commencé il y a plus de quarante ans, avec un concert de Billy Joel. Le songwriter américain, rare sur nos terres, a en effet inauguré ce qui est devenu un temple des musiques populaires, dans leur acception la plus large. En quatre décennies, le Grand Rex a accueilli aussi bien les plus grands noms de la pop et du rock, les ténors de la chanson française, des jazzmen, tout en s’ouvrant largement aux musiques lusophones, du Portugal au Brésil. « Aux débuts, j’ai commencé par organiser des concerts les mardis et jeudis », se souvient Bruno Blanckaert, directeur de la salle. « A cette époque-là, j’aimais la pop de la Côte Ouest ». S’il est initialement difficile de convaincre les acteurs traditionnels du métier, une nouvelle génération de producteurs va accompagner l’émergence du Grand Rex dans les salles incontournables de Paris. »Le Grand Rex en quelques chiffres (par an) :1 million de spectateurs2.702 places dans la Grande salle, la plus grande salle de cinéma au monde100 Avant-Premières150.000 spectateurs pour les dessins animés de Noël et la Féerie des Eaux70.000 visiteurs au Rex Studios
Il y a 2 ans et 220 jours

Créer des finitions inédites grâce à l’offre complète de tuiles impression numérique d’EDILIANS

Avec sa gamme Design, EDILIANS invitait déjà les prescripteurs à laisser libre cours à leur créativité pour composer des bâtiments uniques. Ils pouvaient alors jouer avec les couleurs, la lumière et les finitions autour de 6 modèles de tuiles déjà reconnus pour leur esthétique avant-gardiste. Aujourd’hui, le leader français de la tuile terre cuite va encore plus loin et lance une offre complète de tuiles impression numérique, adaptées aussi bien à la toiture qu’au bardage. Issue du savoir-faire de Tejas Borja qui a intégré EDILIANS fin 2021, la technologie d’impression par jet d’encre représente une opportunité supplémentaire pour les architectes, dans la personnalisation et la reproduction de l’esthétique des toitures régionales. A l’occasion du salon BATIMAT, EDILIANS a présenté exceptionnellement en avant-première une sélection de produits bénéficiant des finitions exclusives obtenues grâce au système innovant d’impression numérique Borja Jet. Ainsi, pour composer leur propre partition et créer des bâtiments uniques, les architectes peuvent choisir parmi l’un des 4 décors de la gamme minérale: Ardoise qui rappelle les textures et les couleurs des ardoises extraites des plus belles carrières au monde (Irish Green, Népal Orage, Paris Ocre), Pierre, une sélection unique de pierres de caractère de l’Amérique du Nord en passant par l’Australie (Austin Grey, Denver Gold, Denver Iris), Ciment (Sidney Graphite) pour un rendu sans égal, soulignant la subtilité et l’élégance d’un décor au charme brut, Marbre (Roma Dark), l’essence et la noblesse d’un matériau indissociable de l’art et de l’architecture de toutes les époques, ou encore : la chaleur et la richesse des teintes naturelles et vivantes de la gamme Bois (Toroton Oak, Weathered Cedar), la signature unique et caractéristique de la gamme Terre Cuite et de son décor Cotto décliné en 3 coloris (Irati, Ibiza Pink, Entrepins), la finition de la gamme Métal et de son décor Cuivre (Tokyo Copper) qui fait la part belle au travail du temps sublimant la matière. Réuni sous la signature « L’inspiration sans limite », l’ensemble des familles et décors impression numérique ouvrent aux architectes un véritable champ des possibles avec pour seule limite l’imagination ! A propos d’EDILIANS Group : Le Groupe EDILIANS est un des leaders européens de solutions globales de toiture. • 1.450 collaborateurs• 16 sites industriels• 400 M€ de CA en 2021• 12 appellations de terroirs• 96 modèles de tuiles / 380 coloris de tuiles
Il y a 2 ans et 226 jours

Les solutions Unilin Insulation éco-responsables pour la toiture en pente

Pour transformer un intérieur en faisant un geste pour la planète, découvrez les panneaux de toiture Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool !Usystem Roof OS Comfort Natural, en polyuréthane et fibre de bois, et Usystem Roof DS Natural Wool, 100% fibre de bois, sont deux solutions durables qui s'utilisent en isolation extérieure des toitures inclinées, en neuf ou en rénovation, dans tous les bâtiments.Usystem Roof OS Comfort Natural, la solution Unilin éco-responsable pour l'isolation des toitures en penteCe panneau de toiture bi-matière associant polyuréthane et fibre de bois garantit une isolation thermique optimale, tout en utilisant un matériau renouvelable. Le confort acoustique est lui aussi amélioré avec un affaiblissement des bruits d’impact.Sa valeur ajoutée ? Son écran de sous-toiture qui lui permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés, pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale !Ce panneau de toiture 3 en 1 permet de réaliser en une seule opération l'isolation, le support pour la couverture et la finition intérieure, avec un large choix parmi dix-huit sous-faces de plafond.Longueur : jusqu'à 8 m selon sous-face / Largeur : 800 mm ou 1200 mm (OSB) / R 6 (épaisseur d'isolation 154 mm, 94 PU + 60 fibre de bois) à 9 (épaisseur d'isolation 219 mm, 159 PU + 60 fibre de bois).Usystem Roof DS Natural Wool, la solution Unilin bio-sourcée d'isolation des toitures par l’extérieur !Ce panneau de toiture exclusif à base de fibre de bois est une solution constructive bio-sourcée qui répond aux exigences de la bio-construction en limitant les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. Son isolant plus épais lui confère d’excellentes qualités acoustiques. Le confort d’été est optimisé grâce à l’inertie du produit, dont le cycle de déphasage est allongé.Sa valeur ajoutée ? Plus épais que Usystem Roof OS, il autorise de grands entraxes entre pannes pour toutes les formes de toiture.Ce panneau-ci possède pour sa part un choix de quinze sous-faces de plafond.Longueur : jusqu'à 8 m selon sous-face / Largeur : 800 mm ou 1200 mm (OSB) / R 6,10 (épaisseur d'isolation 220 mm).
Il y a 2 ans et 235 jours

ETN pour solution de sarking biosourcée

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d’isolants en fibre de bois, validées par une ETN. Cette Enquête de Technique Nouvelle valide une large gamme de solutions d’isolation des toitures par l’extérieur utilisant les panneaux en fibre de bois Multisol et Duoprotect d’Isonat. Elle est également la première certification à être attribuée à une solution sarking avec une isolation biosourcée. De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l’étanchéité et la durabilité de l’écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d’une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l’ETN Alpes Contrôle A27T210Q. Cet article ETN pour solution de sarking biosourcée est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 235 jours

Atelier du Pont livre 70 logements sociaux et commerces à Saint-Denis

Portée par Immobilière 3F, la transformation du Fort de l’Est à Saint-Denis en parc habité est répartie en 5 lots. Atelier du Pont a réalisé l’un de ces projets avec la construction de 70 logements sociaux et 4 commerces.Pour comprendre l’essence même du projet du nouveau quartier, il faut parcourir une partie de l’histoire de Paris et de son enceinte de Thiers. Créée en 1841 sous Louis-Philippe et son ministre Adolphe Thiers pour protéger la capitale des armées étrangères, le Fort de l’Est faisait partie d’une série de forts, judicieusement placés pour renforcés l’enceinte de Thiers, rendant ainsi la ville imprenable.Cette zone militaire a longtemps été mise de côté. Aujourd’hui, elle prend une nouvelle direction avec des logements et des commerces ayant pour objectif de développer cette partie de la ville.Anticipant la densification le long du chemin de Crèvecœur, le projet s’implante à l’alignement des rues et ouvre deux larges percées visuelles entre le futur Parc du Glacis et l’espace paysager côté rue.Le projet est organisé en trois petits bâtiments dont deux sont reliés au rez-de-chaussée par les halls d’entrée et les commerces. Au rez-de-chaussée, un passage planté chemine.D’abord privatif, il sera ensuite rétrocédé à la ville et permettra d’accéder au nouveau parc du Glacis à l’arrière du projet. Dans cette partie, une noue paysagère prend place.À l’entrée du quartier et face à la station de tramway, une émergence à R+8 marque l’angle et se distingue comme un signal.Le projet propose une architecture modeste, élégante et pérenne, et offre à chaque habitant des qualités d’usages qui font la force de l’opération : des vues, du soleil et un espace extérieur privatif ou partagé agréable.Sur rue, la façade en briques et plaquettes foncées forge l’identité du projet. Côté parc, la façade est sobre et rythmée par les balcons filants et le béton lasuré. Chaque logement est muni d’un balcon, d’une loggia ou d’un petit jardin. Sur les toitures, de grandes terrasses accessibles et partagées dotées d’espaces de détente et de potagers apportent des sas de respirations, contribuant notamment à créer du lien entre les habitants.La majorité des logements offre une double-orientation permettant d’apporter de la lumière à l’espace de vie. Au dernier niveau, des duplex offrent une vue sur tout Paris.Fiche Technique :Programme : 70 logements sociaux et 4 commerces, Saint-Denis Fort de l’Est (93)Maître d’ouvrage : Immobilière 3FMO déléguée : BatiplaineAdresse : chemin de CrèvecœurPerformances environnementales : Certification NF Habitat HQE Profil d’entréeSurface : 5.214 m2 SDPCoût travaux : 10.350.000 € HTBureaux d’études : EVP (Structure), WOR (Fluides & Environnement), AXIO (économie)Entreprise générale : Bouygues ConstructionLivraison : 2021
Il y a 2 ans et 236 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n&rsquo;a cessé d&rsquo;évoluer et d&rsquo;étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate&#8230; Qu&rsquo;il s&rsquo;agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d&rsquo;Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d&rsquo;alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l&rsquo;entreprise polonaise CB, l&rsquo;un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d&rsquo;accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d&rsquo;une grande expertise dans l&rsquo;étanchéité à l&rsquo;eau et à l&rsquo;air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S&rsquo;appuyant sur la puissance d&rsquo;Onduline sur les cinq continents, l&rsquo;objectif du groupe est de renforcer sa présence à l&rsquo;international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l&rsquo;accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d&rsquo;étanchéité alwitra, et les solutions d&rsquo;éclairement en polycarbonate d&rsquo;ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d&rsquo;une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s&rsquo;appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd&rsquo;hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l&rsquo;isolation et l&rsquo;enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d&rsquo;investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l&rsquo;innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l&rsquo;environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d&rsquo;eau fermé, faible consommation d&rsquo;énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses&#8230; De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l&rsquo;impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l&rsquo;environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d&rsquo;émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C&rsquo;est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l&rsquo;entreprise de réduire l&#8217;empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) &#8211; ISO14025 & EN15804. L&rsquo;EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l&rsquo;ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l&rsquo;impact du produit sur l&rsquo;environnement depuis l&rsquo;approvisionnement en matières premières jusqu&rsquo;à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 236 jours

Les solutions chauffage de Cheminées Poujoulat pour toutes les énergies et tous les bâtiments, en neuf comme en rénovation

Elle visent à donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie, tout en diminuant l’impact carbone de la construction des bâtiments, avec en ligne de mire la disparition progressive des énergies fossiles.Innovation, performance, personnalisation, c’est sur ce triptyque que Cheminées Poujoulat s’appuie pour développer ses produits afin d’offrir des solutions de qualité en adéquation avec les besoins du marché.Le leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques place la mixité énergétique au cœur de sa stratégie et propose un éventail complet de solutions de chauffage pour toutes les énergies – bois, gaz, électricité - et tous les bâtiments - maisons individuelles, habitat collectif - en neuf comme en rénovation.L’ensemble des produits mis au point par Cheminées Poujoulat bénéfi cient du CÉRIC Label délivré par le Laboratoire CÉRIC, référent en Europe dans les domaines de la cheminée et des énergies durables.Preuve de la reconnaissance de son expertise, Cheminées Poujoulat vient d’être récompensée par un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 pour sa toute dernière solution unique sur le marché RÉNO VMC-GAZ.Au-delà de la performance énergétique, Cheminées Poujoulat a également à cœur de proposer des équipements personnalisables qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des bâtiments.À chaque projet de fumisterie ou problématique de chauffage correspond une solution de chauffage Poujoulat ! Tour d’horizon.Des solutions bas carbone pour la maison individuelleLa récupération et la distribution d’air chaud avec AIRWOODLa dernière version d’AIRWOOD avec un nouveau système d’appoint électrique breveté, BOOSTY, offre, pour la première fois, la possibilité de faire de l’énergie bois la seule source de chauffage principal. Le système AIRWOOD récupère l’air ambiant de la pièce de vie, puis réchauffe cet air dans le conduit échangeur et le redistribue dans toute la maison de façon homogène et efficace, par des bouches de soufflage. Lorsque l’appareil de chauffage au bois n’est plus alimenté, BOOSTY prend le relais.La gamme AIRWOOD permet de réaliser jusqu’à 25% d’économies sur la facture selon l’énergie de chauffage, comparée aux énergies fossiles (fi oul, gaz, électricité) et se décline en 2 solutions pour répondre à toutes les configurations : AIRWOOD Confort+ compatible avec tous les appareils de chauffage au bois en neuf et en rénovation : foyer fermé, poêle à bois bûches ou poêle à granulés, AIRWOOD Alliance en neuf pour les poêles à granulés et la VMC double-fl ux. La gamme est valorisable dans les calculs réglementaires grâce au TITRE V Système-Conduit échangeur.EFFICIENCE, le conduit de cheminée nouvelle générationPour répondre aux exigences thermiques actuelles et à venir, et accompagner les performances des appareils labellisés Flamme Verte, Cheminées Poujoulat a innové en développant EFFICIENCE, un conduit de cheminée triple paroi « nouvelle génération » isolé en laine de roche.Solution inédite sur le marché, EFFICIENCE optimise la circulation des flux en assurant l’amenée d’air nécessaire à la combustion et l’évacuation des fumées sur un même conduit.À l’intérieur de son conduit, EFFICIENCE possède une isolation de 20 mm en laine de roche haute densité et haute température. Grâce à cette isolation, EFFICIENCE peut réchauffer l’air prélevé à l’extérieur, nécessaire pour la combustion, et optimise ainsi le rendement de l’appareil de chauffage bois. L’isolant en laine de roche favorise également l’évacuation des fumées par tirage naturel.De plus, en prélevant l’air comburant dans la partie supérieure du conduit, EFFICIENCE évite de percer le mur où est installé le poêle pour aller chercher l’air. Grâce à cette propriété, EFFICIENCE est la solution idoine pour participer à l’étanchéité à l’air de la maison neuve mais également en rénovation lorsque l’installation ne permet pas de percement ou de dépassement de faîtage.EFFICIENCE offre ainsi une grande souplesse d’installation pour tout appareil de chauffage à bois, poêle à bois bûches, poêle à granulés, insert ou foyer fermé. Il peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison et s’adapte à toutes les configurationsEFFICIENCE permet ainsi un positionnement sur le toit en fonction de l’emplacement de l’appareil sans avoir nécessairement à dépasser le faîtage (en principe, la loi prévoit un dépassement de 40 cm au-dessus de la ligne la plus haute de la toiture).PGI, un conduit spécifiquement développé pour les poêles à granulésLe système PGI a spécialement été développé par Cheminées Poujoulat pour l’installation des poêles à granulés. Le marché des poêles à granulés ne cessant de progresser, PGI rencontre un vif succès.Le système PGI est un conduit de fumée double paroi inox. Ce conduit haute technologie optimise la performance de l’appareil de chauffage et s’intègre parfaitement dans un habitat neuf ou existant.Sa technologie concentrique (deux tubes l’un dans l’autre) crée une lame d’air qui permet l’arrivée de l’air comburant et l’évacuation des fumées dans un même conduit.La gamme PGI offre une solution pour toutes les situations de raccordement du poêle. Le système peut être installé en conduit vertical ou horizontal, à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison.Ce système a été conçu avec les plus grands fabricants de poêles européens pour s’adapter à tous les appareils à granulés et assurer un fonctionnement simple en toute sécurité.Opter pour ce système unique permet de réaliser jusqu’à 10% d’économies d’énergie, soit 200 à 400 kg de granulés de bois par an (selon les régions).Le plein d’accessoires pour la personnalisation des conduitsAutre marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation avec des conduits de cheminée et sorties de toit qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des maisons et à la décoration intérieure des pièces de vie.Pour répondre aux attentes des consommateurs en quête de personnalisation, Cheminées Poujoulat a déjà franchi une étape en permettant aux particuliers de personnaliser leur conduit de cheminée avec des couleurs (tous les RAL), des finitions (mate ou satinée), des colliers de raccordement colorés, un régulateur de tirage design (RÉGUL’ART), une pièce de départ pour une jonction parfaite et esthétique entre le conduit THERMINOX et la buse du poêle à bois (DÉCO’START).Dernière innovation en date, la collection d’habillages ventilés DESIGN’UP combine sécurité, récupération de calories, esthétique et facilité d’installation. DESIGN’UP a été spécialement conçu pour permettre au consommateur de monter lui-même l’habillage sur son conduit de raccordement existant sans démontage préalable par simple emboîtement, au gré de ses envies et des aménagements décoratifs de son intérieur.La gamme se décline en 9 couleurs avec DESIGN’UP COLOR et en 3 décors avec DESIGN’UP DÉCO, pour satisfaire toutes les envies. Et pour un effet encore plus prononcé, ces nouveaux habillages ventilés se combinent avec des plaques de finition murales.La qualité de l’air avec VENTÉLIAAvec l’entrée en vigueur de la RE2020 depuis le 1er janvier 2022, la ventilation est devenue un élément-clé pour assurer le confort thermique été comme hiver ainsi qu’une bonne qualité de l’air intérieur.La sortie de toit spéciale ventilation VENTÉLIA se distingue par ses performances aérauliques exceptionnelles de 4 Pa qui favorisent la qualité de l’air intérieur Solution universelle, elle peut être raccordée à une VMC, une hotte de cuisine, un chauffe-eau thermodynamique, un sèche-linge...Disponible dans plusieurs fi nitions pour s’adapter à tous les types de toits et de pentes (tuiles, ardoises, toit terrasse, bac acier et toitures ondulées), VENTÉLIA s’intègre aisément dans son décor et s’installe avec la plus grande simplicité.Design d’extérieur : l’intégration parfaite des pompes à chaleur et climatisationOUTSTEEL : la solution de personnalisation des unités extérieures de pompes à chaleur et climatisationAvec sa nouvelle marque OUTSTEEL, lancée en mai 2021, Cheminées Poujoulat a étendu son terrain de jeu au marché de la pompe à chaleur et de la climatisation, plus précisément à son habillage et à sa protection.Reconnue depuis 70 ans pour son savoir-faire dans les conduits de fumée et sorties de toit métalliques, l’entreprise a mis à profit ses compétences pour proposer des solutions innovantes avec une nouvelle gamme complète de caches pompe à chaleur et climatisation en acier galvanisé, afin de protéger et dissimuler de manière esthétique ces unités techniques extérieures.Cache intégral, partiel ou simple « casquette », le produit s’ajuste à chaque modèle de pompe à chaleur ou climatisation, quel que soit le fabricant.Déjà composée de 5 modèles (Brousse, Bubbles, Colors, Cap et Cover), la gamme s’enrichit d’un tout nouveau design « Vénitian » lancé en septembre 2022.Des systèmes de raccordement pour la chaudière biomasse en maison individuelle et logement collectifDUALIS EI : une solution adaptée à tous types de chaudières à granulés étanchesParticulièrement adapté pour le remplacement de chaudière fioul, DUALIS EI est un conduit concentrique en inox polyvalent associant l’amenée d’air comburant et l’évacuation de fumée des chaudières à granulés étanches.Équipé de joints, l’assemblage se fait par emboîtement sécurisé par un collier de jonction entre chaque élément. Simple à mettre en œuvre, il s’intègre dans l’habitat neuf comme dans l’existant.Sous avis technique, le système a fait l’objet d’une série d’essais fonctionnels pour valider toute la connectique en fonction des différentes marques de chaudières étanches sous avis technique proposées sur le marché. Il optimise le rendement des chaudières basse température ou à condensation.THERMINOX pour les chaudières à bois bûches et granulés de boisTHERMINOX est un conduit double paroi isolé polycombustible adapté à tous les appareils de chauffage bois bûches ou granulés.À la fois performant et esthétique, le conduit de fumée THERMINOX convient aussi bien pour l’intérieur que pour l’extérieur des bâtiments, en maison individuelle et logements collectifs, en création comme en rénovation.Côté performance énergétique, THERMINOX garantit un fonctionnement optimal en toute sécurité, optimise le rendement de l’appareil de chauffage et réduit ainsi la consommation d’énergie. Conçu pour la traversée des murs et des planchers, il permet tous les types de montages.Les équipements pour le raccordement en habitat collectif3CE THERMO-D pour le raccordement des chauffe-eaux thermodynamiques dans le logement collectifParfaitement adaptés à la RE2020, les chauffe-eaux thermodynamiques sont en plein essor. Cet équipement destiné à produire de l’eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d’appoint permet de réduire jusqu’à 3 fois la consommation électrique en comparaison d’un chauffe-eau électrique classique.Pour permettre leur raccordement, Cheminées Poujoulat a développé le système concentrique étanche 3CE THERMO-D sous ATEx spécialement adapté aux immeubles de logements.Cette solution, rapide et facile à installer, assure l’amenée et l’évacuation d’air et optimise les performances de 1 à 6 appareils.3CE P Multi + Intérieur, le conduit collectif pour le raccordement des chaudières gaz individuelles étanchesLe 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR est un conduit concentrique collectif permettant l’amenée d’air et l’évacuation des produits de combustion de 2 à 20 chaudières gaz individuelles étanches. Ce système allie performance, sécurité (étanchéité du système, résistance au feu et aux condensations) et installation rapide (simple emboîtement).L’étanchéité du système, assurée par des joints à lèvres, permet l’évacuation des fumées en légère pression, ce qui réduit considérablement l’encombrement du conduit (plus de 50%).Le conduit collectif est installé à l’intérieur des bâtiments, dans une gaine technique générale, regroupant également les autres réseaux.Le 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR peut être équipé de deux terminaux verticaux différents : un terminal circulaire ou une sortie de toit, assurant ainsi une finition soignée et personnalisée en toiture.Les chaudières compatibles sont de type C4p, équipées d’un clapet antiretour sur le circuit air-fumée.RÉNO VMC-GAZ : pour le remplacement d’un appareil VMC-Gaz par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifsLauréat bronze d’un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 dans la catégorie « Génie climatique » et récompensé par une mention spéciale dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 », RÉNO VMC-GAZ est la dernière innovation signée Cheminées Poujoulat.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMCGaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d’énergie.Il est constitué de conduits de fumée individuels en acier inoxydable et d’un terminal monté en toiture sur chaque colonne d’évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l’extraction d’air nécessaire à la ventilation des logements. RÉNO VMC-GAZ est une solution brevetée (validation d’ATEx en cours). Elle sera disponible à partir de fi n 2022.Cette innovation vient compléter l’éventail de solutions permettant la rénovation et l’adaptation des conduits collectifs et individuels, qu’il s’agisse de l’évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (AIRFLUE RÉNOVATION, RÉNOSHUNT, 3CE P MULTI+).RÉNOSHUNT pour la rénovation des conduits Shunt ou AlsaceLa solution RÉNOSHUNT présente de nombreux avantages pour la rénovation du système de chauffage dans le bâti ancien en permettant d’installer facilement, rapidement et en toute sécurité, des chaudières à condensation sur les conduits de fumée existants.Ce conduit collectif concentrique, réalisé grâce à la mise en œuvre d’un tubage dans le conduit de fumée existant, permet la rénovation et la réutilisation de conduits Shunt, lorsque ceux-ci n’assurent que l’évacuation des fumées. Jusqu’à 6 chaudières gaz à condensation peuvent être raccordées. L’air comburant circule, depuis l’extérieur, dans l’espace annulaire résiduel.Le tubage permet de canaliser les fumées vers l’extérieur, en préservant le conduit existant des condensats auxquels il ne résisterait pas. Fabriqué en acier inoxydable, RÉNOSHUNT répond à la réglementation incendie dans les immeubles de logements collectifs.Le système RÉNOSHUNT est facile à mettre en œuvre et, de ce fait, particulièrement adapté à une rénovation aux délais serrés. Le système mis au point par Cheminées Poujoulat limite les travaux par la réutilisation du conduit existant.L’action se fait par un simple tubage, réalisé essentiellement depuis la toiture, limitant de manière considérable l’intervention dans les logements.DUALIS RENODENS : une solution de rénovation pour individualiser l’évacuation des fumées en logements collectifsPour un meilleur confort thermique, des économies et un moindre impact environnemental, de plus en plus de chaudières gaz, souvent vieillissantes, doivent être remplacées par des chaudières gaz à condensation.Offre alternative à sa solution collective RENOSHUNT, le dernier né de la famille DUALIS, RENODENS est une nouvelle solution de rénovation individuelle des conduits collectifs maçonnés existants de type Shunt ou Alsace.Ce système, qui permet une évacuation individualisée des fumées pour chaque chaudière gaz à condensation, est performant et simple à mettre en œuvre grâce au « plus » Cheminées Poujoulat : le petit diamètre de son flexible en polypropylène (Ø 50 cm). Conscient que la place disponible dans un conduit maçonné de type SHUNT ou ALSACE est assez limitée, Cheminées Poujoulat a privilégié un diamètre étroit. Une différence notable en comparaison des autres flexibles disponibles sur le marché, plus gros.Ainsi, grâce à ses tubages individuels qui canalisent les fumées vers l’extérieur, DUALIS RENODENS permet à chaque chaudière gaz à condensation de fonctionner de façon indépendante. L’air comburant circule alors, depuis l’extérieur, dans l’espace résiduel. Une solution de plus en plus plébiscitée par les bailleurs sociaux notamment, pour supprimer toute interaction entre les chaudières grâce au circuit de combustions séparé.Le conduit de fumée flexible DUALIS RENODENS offre la possibilité de raccorder jusqu’à 6 chaudières individuelles gaz à condensation.Côté pratique, l’installation de DUALIS RENODENS se fait par un simple tubage réalisé essentiellement depuis la toiture. Très rapide, elle limite fortement l’intervention dans les logements et donc la gêne occasionnée auprès des occupants.Les conduits d’évacuation des produits de combustion éligibles à l’aide financière des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) est un dispositif mis en place par l’État. Il oblige les fournisseurs d’énergie (Engie, EDF, Total, etc.) à inciter leurs clients à réaliser des travaux de rénovation énergétique de manière à réduire leurs dépenses énergétiques.Plus concrètement, les CEE se traduisent sous forme de primes qui permettent de réduire le montant des travaux.Cette prime est notamment octroyée pour remplacer, dans un bâtiment résidentiel collectif, un conduit d’évacuation des produits de combustion « incompatible avec des chaudières individuelles au gaz à condensation ». Il est en effet difficile de remplacer une chaudière ancienne par une à condensation si le conduit de fumée n’est pas adapté.Elle relève de la fiche d’opération standardisée CEE « BAR-TH-163 » (Conduit d’évacuation des produits de combustion). Plusieurs familles de conduits peuvent bénéficier de l’aide des CEE, selon certains critères :Dans le cas de la mise en place d’un conduit individuel, sa longueur doit être supérieure ou égale à 10 mètres ;Dans le cas de la mise en place d’un conduit collectif, ce dernier remplace un ou plusieurs conduits de fumée collectifs de type Shunt, Alsace, alvéole technique gaz pour chaudières non étanches, ou remplace des conduits collectifs pour chaudières étanches à tirage naturel (type 3CE).
Il y a 2 ans et 236 jours

Toitures d’exception pour la 17ème édition des Trophées Aléonard

Organisés chaque année par la Tuilerie Aléonard, les Trophées Aléonard valorisent le savoir-faire d’exception des maîtres-artisans couvreurs dans la mise en œuvre des traditionnelles tuiles plates en terre cuite. Premier chantier La couverture d’une maison individuelle en Saône-et-Loire, a été primée pour le premier chantier en tuile Aléonard pour l’entreprise Vercelli située à Sennecey-le-Grand (71). Cette catégorie récompense les entreprises réalisant pour la première fois une couverture en tuiles Aléonard. Composée de tuiles « Esprit Patrimoine » 16&#215;27 rectangulaire Lune Cendrée, Ocre Lichen et Rouge de Mars, la qualité du panachage régulier de cette toiture de 834m2 est remarquable. Le couvreur a décidé de réaliser le panachage en atelier pour un rendu très élaboré. Les tuiles ont ensuite été réparties sur le toit en attraits. Ls faîtières ont été scellées à la chaux avec des crêtes et des embarrures. Ecornées en pieds et en tête, les tuiles de rive ont été scellées à la chaux sur le chevron de rive habillé en cuivre. Demeure Aléonard Cette catégorie récompense la réalisation d’une toiture Aléonard sur maison individuelle, maisons en bande, ou bâtiment d’habitation, neuf ou ancien. Dans cette catégorie, le lauréat est l’entreprise Nicolas Romain situé à Albon (14), pour la réalisation de la toiture d’une maison individuelle neuve construite dans l’Eure (27). Si le jury a souligné l’harmonie du mélange de quatre couleurs, il a particulièrement été séduit par la qualité technique nécessaire pour la réalisation de cette toiture de 320m2. Parmi les points singuliers, on note la qualité du faîtage scellé à crête de coq avec embarrures, les arêtiers corniers encastrés et les rives scellées (tuiles épaulées et écornées) ainsi que les lucarnes avec noues fermées permettant à cette maison neuve de s’intégrer parfaitement dans le paysage traditionnel de la region. Projet réalisé en Tuile Esprit Patrimoine 16&#215;27. Teinte : Lune Cendrée, Rouge de mars, Vert de Lichen et Ocre Lichen Edifice & Patrimoine Cette catégorie récompense la réalisation en tuiles Aléonard d’un chantier de rénovation ou d’un bâtiment neuf, participant au Patrimoine régional ou national. C’est l’excellence du travail de Geneste-Naillier située à Clermont- Ferrand qui a été primée pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort (63). L’ouvrage réalisé en tuiles « Saint Vincent » 16&#215;27 Rouge Ardent, représente une surface de 500m2 dont 250 m2 ont été réalisés en tuile gironnées. Il comprend une tour octogonale et trois tours gironnées avec coyau. Le jury a salué la prouesse technique de ce chantier caractérisée par la continuité des tuiles dans les différents pans de toiture notamment au niveau des tours. Monument Historique Le lauréat dans cette catégorie est l’entreprise Pateu Robert située à Besançon (25) associée à l’Architecte Gaël Robin de l’atelier Archipat à Lyon (69) pour la rénovation du Château de Ray-sur- Saône (70). La qualité, l’harmonie et l’homogénéité du panachage en deux formats de tuiles a véritablement conquis le jury. La maîtrise technique nécessaire à la bonne réalisation de ce projet est impressionnante : le scellage de l’arêtier, le faîtage en crête de coq ainsi la noue à tranchis. C’est la continuité entre le deux pans de toiture qui a particulièrement attiré l’œil du jury. Seule une étroite collaboration entre l’architecte des Monuments Historiques et le couvreur, combiné à un savoir-faire exceptionnel des équipes, pouvaient permettre une telle qualité de mise en œuvre pour ce projet d’exception. Projet réalisé en tuiles M.H 17&#215;27 Ocre Lichen 34%, Noir de Vigne 6%, Tuiles M.H 17&#215;28 Noir de vigne 18%, Vert de Lichen 40%, Tuiles émaillées 2%. International La réalisation d’une maison individuelle en Belgique par l’entreprise H.E.M.B.V, accompagnée par l’agence d’architecture Rove Arcitecten a été élue par le jury qui a souligné la mise en œuvre moderne de la toiture et de la façade avec un panachage de 5 tuiles différentes. Le couvreur a réalisé divers points singuliers tel que l’angle de façade en arêtiers tranché, les rives avec des tuiles en demie ainsi que la gouttière encaissée. Le jury a salué la qualité de pose des tuiles en toiture, en bardage, ainsi que l’habillage en sous-face de débord, une technique peu utilisé en France car non encadré par les DTU. Le tout pour une architecture très moderne. Projet en tuiles Pontigny 16&#215;27 : Rouge naturel 20%, Rouge flammé 20%, Brun flammé 20%, Vieilli naturel 20%, Ocre rose 20% Coup de cœur de l&#8217;internaute En parallèle des Trophées Aléonard, depuis 2017, les internautes passionnés du Patrimoine sont invités à désigner leur projet préféré. Du 05 septembre au 10 octobre inclus, les photos des réalisations dans les catégories Premier chantier, Demeure Aléonard, Edifice & Patrimoine et International ont été soumises à leur vote. Cette année, le « Coup de cœur » Aléonard a récompensé l’entreprise Geneste-Naillier située à Clermont-Ferrand (63), pour la réalisation pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort dans le Puy-de-Dôme. Avec plus de 11 500 votes, cette réalisation a conquis le cœur et l’œil des internautes amoureux du patrimoine. Projet en tuiles « Saint Vincent » 16&#215;27 Rouge Ardent, représentant une surface de 500 m2 dont 250 m2 en tuiles gironnées.
Il y a 2 ans et 242 jours

Quatre hommes mis en examen pour escroquerie aux énergies renouvelables dans le Nord

La police judiciaire du Nord a interpellé le 12 octobre les dirigeants des sociétés "France Confort Habitat", "Renovio", Home Innova" et "Eco Renouv" dans le cadre d'une information judiciaire pour "escroquerie en bande organisée commises dans le cadre d'une activité commerciale sur les énergies renouvelables", a précisé le parquet dans un communiqué.Ils sont soupçonnés d'avoir usé de "manoeuvres frauduleuses" pour convaincre des particuliers de souscrire "des contrats de rénovation, d'isolation, de fourniture d'équipements de chauffage (...) ou encore de réfection de toiture", en "prétendant faussement qu'ils étaient éligibles à l'obtention d'aides de l'Etat".Les faits ont débuté en mars 2014, indique le parquet, précisant que 74 plaignants ont été identifiés "au stade actuel des investigations". Certaines de ces sociétés sont déjà fermées.Selon la police judiciaire, le préjudice s'élève à 1,4 million d'euros pour ces 74 victimes."Les enquêteurs ont mis au jour un système élaboré de fraudes au préjudice de personnes vulnérables contraintes à souscrire des prêts auprès d'établissements de crédits pour financer des travaux qui n'étaient jamais réalisés ou mal exécutés", selon la PJ.Deux des dirigeants mis en examen ont été placés en détention provisoire, les deux autres sous contrôle judiciaire.Ils encourent 10 ans d'emprisonnement et un million d'euros d'amende.
Il y a 2 ans et 242 jours

14 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation)Yannik Beix , Président d’ADVIVET (Association des Toitures et Façades Végétales)Gérald FAURE, Président de la CSFE (Chambre Syndicale Française de l’Etanchéité) [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 242 jours

12 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation). [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 248 jours

Rockwool partenaire du CiDB aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022

En tant que partenaire historique du CiDB, acteur incontournable de la promotion de la lutte contre la nuisance sonore, ROCKWOOL a participé aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022 les 27 et 28 septembre au Centre International de Conférences Sorbonne Université. L’édition placée sous le signe de l’investissement s'est proposée d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.ROCKWOOL acteur du nécessaire investissement dans l’environnement sonoreLe bruit est néfaste pour notre santé et selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes vivant et travaillant dans les villes sont particulièrement vulnérables. Une isolation acoustique efficace est donc primordiale dans une maison ou autres bâtiments (tertiaires ou industriels) pour créer un environnement confortable et sûr.En participant aux côtés du CiDB aux Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore, ROCKWOOL souhaite interagir avec les professionnels du secteur afin de travailler main dans la main aux solutions les plus innovantes pour se prémunir des nuisances sonores. C’est ce qu'a proposé l’événement en tant que carrefour de rencontres unique et le lieu d’échanges d’un important réseau de professionnelles de la sphère institutionnelle, des industriels et des entreprises, du monde associatif ainsi que des structures de recherche et des collectivités locales. Des solutions en laine de roche au service d’environnements intérieurs plus sains et plus silencieux pour une meilleure qualité de vieS’il n’est pas toujours possible de maîtriser les niveaux sonores à la source, une isolation acoustique de qualité peut être une solution intéressante. Le bruit extérieur provenant de la circulation routière ou des avions par exemple peut être considérablement réduit par une isolation acoustique correcte de la toiture ou de la façade.L’isolation acoustique peut aussi améliorer le confort acoustique et éviter les nuisances sonores provenant de l’intérieur d’un bâtiment Lorsqu'ils sont installés sur des planchers intermédiaires ou sur les murs intérieurs d’un immeuble d’habitation ou d’un complexe de bureaux, les panneaux d’isolation thermo-acoustique, sont particulièrement efficaces pour réduire la quantité de bruit pénétrant dans un environnement de vie ou de travail.En effet, grâce à la structure poreuse ouverte, la laine de roche ROCKWOOL est un excellent amortisseur de bruit hautement efficace par nature. De plus, grâce à leur stabilité dimensionnelle, les solutions d’isolation ROCKWOOL sont durables dans le temps et conservent leurs performances même au-delà de 55 ans, ce qui garantit un excellent confort acoustique tout au long de la durée de vie d’un bâtiment. C’est grâce à une innovation continue au cœur de sa stratégie que ROCKWOOL peut proposer des produits toujours plus performants.Avec le CiDB, identifier ensemble les axes de développement en faveur de l’amélioration de l’environnement sonorePour ROCKWOOL, Les Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore étaient une occasion incontournable pour échanger sur les bonnes pratiques et les solutions novatrices en faveur de l’environnement sonore, mais aussi comprendre les besoins des consommateurs tels que les professionnels de la construction, les ERP, ou encore les établissements scolaires ou de santé.L’événement qui comprenait trois conférences plénières et 20 ateliers thématiques incluait également des ateliers professionnels et une exposition présentant les solutions et innovations des acteurs du secteur (métrologie, produits, logiciels, etc.). Environ 500 personnes étaient attendues sur les deux jours.Tristan Sacquet, Ingénieur Acousticien ROCKWOOL le rappelle : « En tant qu'acteur engagé du secteur du bâtiment et leader de l'isolation, ROCKWOOL a pour objectif de construire un avenir meilleur, avec des bâtiments plus sûrs, plus durables et plus résilients, notamment, sur plan acoustique. »
Il y a 2 ans et 250 jours

Edilians enrichit sa gamme d’isolants avec FLEXIClean et SKINReflex, deux nouvelles solutions alliant économies d’énergie et confort d’été

Compte tenu de l’évolution des enjeux énergétiques et environnementaux, l’amélioration de la performance des bâtiments et leur adaptation, en neuf comme en rénovation, s’impose comme une priorité pour les rendre moins énergivores, préserver le confort d’été des occupants et limiter le recours systématique à la climatisation. Pour atteindre cet objectif, EDILIANS, soucieux de l’impact du changement climatique, enrichit aujourd’hui sa gamme d’isolants pour les couvreurs avec deux nouvelles solutions au service d’un écohabitat. FLEXIClean, l&rsquo;alternative responsable pour l&rsquo;isolation entre les chevrons Fabriquée en France, la laine de polyester FLEXIClean est un isolant écoresponsable obtenu grâce à la revalorisation de bouteilles plastiques d’origine européenne et française, post consommation. Outre une véritable traçabilité de la matière première utilisée, elle participe ainsi au recyclage d’une grande quantité de déchets plastiques puisque 250 bouteilles sont nécessaires à la production d’1 rouleau de FLEXIClean. FLEXIClean possède d’excellentes performances thermiques et acoustiques, certifiées par l’ACERMI et le CSTB, grâce à : &#8211; une faible conductivité thermique qui permet de réaliser des économies d’énergie, &#8211; un coefficient d’absorption acoustique α = 1 (1 correspondant à un matériau parfaitement absorbant) pour un confort optimal. Doté de propriétés imputrescible et hydrophobe, ce nouvel isolant écoresponsable possède, en outre, une excellente tenue mécanique qui évite son tassement et sa déformation dans le temps. De quoi garantir une isolation efficace et durable (durée de vie annoncée jusqu’à 50 ans par le CSTB) ! Afin de s’adapter aux profondeurs usuelles des chevrons en rénovation de toiture, FLEXIClean est disponible sous forme de rouleaux de 1,20 x 5,4 (6,48 m2) en deux épaisseurs de 80 et 105 mm. Léger, non irritant et sans dégagement de poussière, facile à découper, sa mise en œuvre s’effectue de façon simple, rapide et offre un véritable confort de pose aux artisans. Totalement sain, non toxique, et sans allergène grâce à son processus de fabrication dépourvu d’adjuvant et de liant chimiques, il bénéficie des classifications OEKO-Tex et A+ et contribue ainsi à réduire les émissions de Composés Organiques Volatils à l’intérieur des habitations et donc, à améliorer la qualité de l’air intérieur. SKINReflex, un isolant mince réfléchissant, complément d&rsquo;isolation pour un confort absolu été comme hiver Produit de haute technologie breveté, SKINReflex est un complément d’isolation HPV respirant et réfléchissant destiné à améliorer les performances des isolants entre chevrons et le confort d’été. Il se compose : &#8211; d’un parement extérieur en aluminium pur réfléchissant, microperforé et armé d’un tissu de verre renforcé, &#8211; d’une membrane d’étanchéité, &#8211; d’une nappe isolante en filaments continus de verre de type E, &#8211; d’un parement intérieur en aluminium pur réfléchissant microperforé, &#8211; et d’une bande adhésive intégrée qui rend son installation facile et rapide. Cette conception unique confère à ce véritable produit respirant HPV et réflecteur de chaleur des propriétés exceptionnelles au service d’un véritable gain d’économie d’énergie, quelle que soit la période de l’année : &#8211; l’été, il laisse respirer la structure sans risque de condensation de par sa perméabilité élevée à la vapeur d’eau (Sd 0,06 m) et réfléchit jusqu’à 95% du rayonnement solaire, &#8211; l’hiver, ses fibres sont faiblement conductrices (0,029 W/mK, R = 1,70 m2.K/W selon EN 16012), &#8211; en toute saison, il protège et renforce l’isolant en sous-face (résistance à la traction R3) et assure l’étanchéité à l’eau et au vent (W1). Autant de caractéristiques qui permettent à SKINReflex de réduire les ponts thermiques jusqu’à 25% ainsi que la surchauffe de l’habitat (jusqu’à 3 fois moins de chaleur dans les combles). Proposé en épaisseur de 13 mm avec une résistance thermique de 1,7 m2.K/W, il convient à tous les types de bâtiments (maison individuelle, immeuble, construction bois). Ecran isolant, pare-pluie et non combustible (A2-s1,d0) sous avis technique du CSTB, SKINReflex d’EDILIANS constitue la seule solution pour pouvoir fermer au faîtage et à l’égout ainsi qu’autour des conduits de cheminées, et former ainsi une enveloppe continue et isolante autour de la toiture. Associés aux panneaux sarking de la gamme Sarkeo, FLEXIClean et SKINReflex permettent une rénovation performante avec un niveau de résistance thermique donnant droit aux aides de l’état, dès lors que leur résistance thermique combinée est ≥ 6. Fruit des études réalisées par EDILIANS sur l’influence de la couleur des tuiles sur la température en sous face de couverture, ces nouvelles solutions d’isolation illustrent la mission du récent Pôle Edilians Energie Environnement : créer des synergies entre les différents éléments de la toiture en développant une offre complète de systèmes. EDILIANS montre ainsi plus que jamais sa volonté de placer la toiture au cœur de l’écohabitat. www.edilians.com
Il y a 2 ans et 253 jours

Plan de sobriété énergétique : le gouvernement décrète une mobilisation générale

Cela suppose de transformer durablement nos habitudes et nos comportements. C'est le sens du plan de sobriété énergétique présenté ce jeudi 6 septembre, en présence de la Première ministre, Élisabeth Borne, des membres du Gouvernement, et des représentants des différents secteurs d'activité.Neufs groupes de travail sectoriels ont travaillé tout au long de l'été pour bâtir des plans d'action sobriété sur-mesure, à partir des propositions remontant du terrain. Chaque groupe a pu aboutir sur des mesures simples et opérationnelles, applicables à très court terme. Garant du plan sobriété énergétique, l’État doit être à la fois exemplaire et levier. Il prendra toute sa part afin d'impulser un engagement collectif et solidaire, qui nous permettra d'atteindre l'objectif de réduire de 10% nos consommations énergétiques au niveau national sur les deux prochaines années. Plan d'action pour une organisation du travail qui prend mieux en compte l'objectif de sobriété énergétiqueDans un contexte marqué par l'accélération du changement climatique, la raréfaction des ressources et le conflit ukrainien, la transition énergétique de la France est plus que jamais la priorité. La France doit sortir de sa dépendance aux énergies fossiles et réduire de 40 % sa consommation d'énergie d'ici 2050. Cela suppose notamment de transformer durablement nos habitudes et nos comportements.Vous souhaitez participer à cette transformation collective et engager votre entreprise dans une démarche de sobriété énergétique avec l'objectif de réduire de 10 % d'ici 2024 les consommations.L'État vous accompagne sur la plateforme Les entreprises s'engagent www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr/agir-pour/sobriete. Vous pouvez ainsi souscrire de manière volontaire à la mise en œuvre d'un plan en 15 actions de court ou moyen terme destinées à :économiser les consommations d'énergie dans le fonctionnement quotidien ;piloter les installations énergétiques ;soutenir et rationaliser toutes les mobilités durables liées à l'activité de l'entreprise ;animer vis-à-vis de toutes les parties prenantes internes (partenaires sociaux) et externes sur l'ensemble de la chaine de valeur (des prestataires aux clients) - cette démarche de sobriété énergétique qui devient incontournable dans tous les modèles d'affaires.Pour chaque action, l'engagement de l'entreprise, adapté à son contexte particulier, son activité et mobilisé dans le cadre du dialogue social, lui permet d'accéder à des ressources, guides, dispositifs d'appui et d'accompagnement, ainsi que d'être mise en relation avec des interlocuteurs conseils.La plateforme permet également de renseigner et d'actualiser périodiquement vos engagements en indiquant la trajectoire suivie pour chaque action à l'aide des indicateurs de référence proposés.La plateforme a également vocation à servir de centre de partage des bonnes pratiques que chaque entreprise est invitée à présenter et qui pourront servir d'exemples et de source d'inspiration à d'autres entreprises engagées dans cette démarche.Les actions anti-gaspillage1. J'applique les consignes de température dans mes locauxEn respectant des consignes strictes de température dans vos locaux et bâtiments professionnels et en démarrant au bon moment la période de chauffe, vous favorisez les économies d'énergie de votre entreprise : 19 °C pour le chauffage, 26 °C pour la climatisation, 16 °C pour un bâtiment inoccupé pendant 48 h (le week-end), 8 °C pour un bâtiment inoccupé plus de 48 h.2. J'agis sur l'éclairage de mes bâtimentsVous pouvez le faire de deux façons : en éteignant l'éclairage intérieur des bâtiments dès qu'ils sont inoccupés ; en réduisant l'éclairage extérieur (notamment publicitaire) et en l'éteignant au plus tard à 1 h conformément à la réglementation.3. Je réalise un diagnostic de performance énergétique de mes bâtimentsEn procédant ainsi, vous identifiez les postes où vous pouvez agir, comme l'isolation des infrastructures (sols, fenêtres, murs, etc.). Vous pouvez également installer des dispositifs de gestion technique de vos bâtiments.4. J'effectue un suivi précis de mes consommations d'énergieSi vous installez des outils de pilotage, de suivi, de mesure en temps réel des consommations énergétiques (eau chaude, gaz, électricité, etc.), vous en aurez une connaissance plus fine et vous pourrez faire le nécessaire pour les optimiser. Les actions en faveur de l 'efficacité énergétique5. Je favorise les solutions techniques moins énergivoresVous pouvez mettre en place des mesures à plusieurs niveaux : dans vos matériels (machines, équipements) ; pour vos télécommunications (terminaux, gestion des messageries) ; avec un éclairage basse consommation.6. Je développe des clauses de sobriété dans mes contrats avec toutes les parties prenantesVous pouvez engager vos fournisseurs, sous-traitants, clients dans des plans d'actions de sobriété énergétique via la contractualisation de clauses spécifiques.7. Je développe un système de chauffage autonomeVous pouvez mettre en place des dispositifs de chauffage autonome ou de récupération de la chaleur et installer, quand cela est possible, des pompes à chaleur, des panneaux photovoltaïques sur les surfaces de toitures ou des éoliennes.TélétravailPour les situations de crise énergétique, prévoir avec les partenaires sociaux une organisation en télétravail. Le télétravail pourrait être déclenché dans les situations d'urgence en cas de tension importante sur le réseau électrique, afin de maximiser les économies d'énergie liées à l'activité dans les bâtiments.Les actions en faveur de la mobilité durable8. J'encourage les mobilités doucesCette action peut se faire à plusieurs niveaux : en incitant en priorité à la négociation sur des mesures visant à améliorer la mobilité des salariés entre leur lieu de résidence habituelle et leur lieu de travail, à défaut en optimisant ou en créant avec les organisations syndicales un plan de mobilité employeur (PDME) ; en privilégiant les véhicules électriques à faibles émissions pour la flotte de votre entreprise ; en proposant des équipements de mobilité douce en alternative à la voiture ou en les mettant à disposition de vos salariés ; en prévoyant des installations nécessaires sur le lieu de votre entreprise et une formation à l’écoconduite pour les salariés, en les encourageant à réduire la vitesse lors de leurs déplacements professionnels ; en mettant en place des dispositifs de covoiturage et en encourageant le vélo.9. Je déploie les dispositifs d’incitation à la mobilité durable, en particulier le forfait mobilités durablesEn développant le forfait mobilités durables, vous pouvez inciter les salariés de votre entreprise à favoriser les moyens de transport en commun, le covoiturage, ou encore le vélo pour leurs déplacements domicile-travail. Vous pouvez aussi proposer aux salariés ayant droit à un véhicule de fonction un crédit mobilité leur permettant un usage professionnel et privé de modes de transport alternatifs (train, taxi, vélo).10. J’optimise tous les déplacements professionnelsVous pouvez regrouper les déplacements et supprimer ceux qui sont inutiles. Il est aussi fortement recommandé de donner des consignes claires de déplacement, comme de n’utiliser la voie aérienne que lorsque le temps de trajet par voie ferroviaire est supérieur à 4h pour un trajet simple ou 6h pour un aller-retour dans une même journée. Vous pouvez également privilégier les vols commerciaux à l’usage des avions privés.Les actions pour dynamiser la démarche de sobriété11. Je désigne un ambassadeur ou référent au sein de mon entreprise ou établissementDans chacun de vos établissements, vous pouvez nommer un ambassadeur ou une personne référente de la sobriété énergétique qui sera en charge de l’animation, du conseil, du contrôle des mesures décidées.12. Je sensibilise et forme les salariés aux écogestesPlusieurs actions peuvent être mises en place facilement, comme éteindre les appareils en veille, notamment les écrans ; optimiser les usages numériques pour limiter la consommation des appareils et des serveurs (privilégier l’audio à la vidéo lors des visio, l’archivage des messageries, la libération de l’espace sur les serveurs, dark mode, etc.) ; privilégier la recharge des appareils électriques en heures creuses.13. Je définis en concertation avec les partenaires sociaux une trajectoire de réduction de la consommation d’énergieL’objectif est de présenter une trajectoire de réduction de la consommation d’énergie de l’entreprise et le plan d’actions menées en faveur de la sobriété énergétique au comité social et économique ou aux délégués syndicaux. Vous pouvez prévoir une politique de sobriété sur les télécommunications, notamment avec des terminaux moins énergivores et une politique de gestion des messageries (éviter de trop stocker de messages, trier et nettoyer régulièrement sa boîte). Enfin, vous pouvez également engager l’entreprise de façon volontaire dans le dispositif ÉcoWatt.14. J’engage des plans d’actions pour réduire les pertes de matières par nature énergivoresCes pertes de matières sont une source de consommation d’énergie inutile. Elles sont également coûteuses dans le contexte actuel de hausse du prix des matières premières.
Il y a 2 ans et 254 jours

Ondura rejoint Kingspan et intègre sa nouvelle division « Roofing and Waterproofing »

Ondura, créé autour de l’entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1.600 personnes.Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022*, vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires.A l’issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs :Insulated Panels : Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan,Insulation : Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines,Light + Air : Solutions d’éclairage naturel et de ventilation, système d’évacuation des fumées,Water & Energy : Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments,Data & Flooring Technology : Systèmes de planchers surélevés.Roofing & Waterproof - Solutions de toitures autour des savoir-faire d’Ondura.*Cf communiqué du 18 février 2022 : « Kingspan, le leader mondial des solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment de haute performance, est entré en négociations exclusives avec Naxicap Partners et autres pour l'acquisition du groupe Ondura»Alors que le secteur du bâtiment est en pleine transition énergétique et écologique, cette nouvelle étape est particulièrement prometteuse pour le développement d’Ondura, qui bénéficiera de tout le support d’un groupe leader.Pour Patrick Destang, CEO d’Ondura : « L’intégration d’Ondura dans Kingspan est une excellente nouvelle pour l’ensemble des salariés du groupe. Kingspan est un groupe profondément international, résolument tourné, avec son programme « Planet Passionate », vers une ambition de réduction des consommations d’énergie et de développement durable conforme au scénario de 1,5°C du GIEC. Le réchauffement climatique et les incertitudes économiques démontrent l’importance de profiter de toitures et de systèmes d’étanchéité thermiquement performants et peu énergivores. Ondura, qui dispose de positions uniques sur ce segment, bénéficiera de toute l’expérience et du savoir-faire de Kingspan dans ce domaine pour proposer des solutions toujours plus respectueuses de la planète et de ses ressources. Je voudrais remercier Eric Aveillan et l’équipe Naxicap qui ont été des partenaires essentiels dans le développement d’Ondura, qui nous ont soutenu dans nos projets de croissance interne et externe, permettant au groupe de doubler son CA entre 2018 et 2021, incluant les acquisitions d’alwitra et de CB. »Pour Donal Curtin, Directeur général de la division Roofing & Waterproofing de Kingspan : « Le management, l’ensemble des équipes et les marques premium d'Ondura représentent des avantages de poids pour Kingspan, complétant nos capacités, produits et solutions existants. Impatients de poursuivre notre expansion sur les marchés de la toiture et de l'étanchéité, nous nous réjouissons de grandir ensemble et de partager nos expertises. Nous sommes enthousiastes à l'idée d'accueillir l'équipe élargie d'Ondura dans la famille Kingspan et de soutenir le succès continu de l'entreprise. »
Il y a 2 ans et 256 jours

Batimat : Firestone devient Elevate

Firestone fait peau neuve sur le salon Batimat et communique sous sa nouvelle identité, Elevate. L’entreprise renforce également son activité sur l’ensemble de la façade et présente un nouveau produit pour l’occasion.  Ravalement de façade pour Firestone Building Products. La célèbre marque va peu à peu disparaître, pour finalement adopter définitivement le nom d’Elevate. C’est d’ailleurs cette nouvelle appellation qui est mise en avant sur le salon Batimat.  L’entreprise rejoint également le groupe Holcim et constitue sa Division Holcim Building Envelope. Ce changement d’identité marque également un tournant dans l’activité de la marque.  Une Membrane pour façade   « Firestone est connue pour son activité d’étanchéité de toiture, mais maintenant, nous allons nous focaliser sur l’enveloppe du bâtiment dans sa totalité », nous a expliqué un animateur sur le stand Elevate. Pour marquer ce changement, l’entreprise a développé une nouvelle membrane d’étanchéité (à l’air et à l’eau) auto-ashésive RuberWall EPDMA SA. Ce produit se destine au marché résidentiel et vise à assurer l’étanchéité à l’air et la protection contre les intempéries des façades ventilées sous bardage.  La membrane peut être appliquée sur ossatures bois et structures métalliques dans le cadre d’une extension de maison, d’une création de garage ou de la rénovation énergétique d’une façade. Le produit est disponible dans des largeurs allant de 10 à 60 cm, pour 0,85 mm d’épaisseur et 20 m de longueur. 
Il y a 2 ans et 261 jours

Quels sont les avantages d’isoler une toiture par l’intérieur ?

Le confort thermique d’un logement tient en grande partie à la qualité de l’isolation du toit. Il est estimé que près du tiers des déperditions de chaleur que subit une habitation sont imputables aux failles dans la toiture. Il est donc essentiel de réaliser des travaux de qualité quand l’on souhaite maîtriser son budget énergétique. Et parmi les méthodes réalisables, une bonne isolation de la toiture par l’intérieur est le moyen d’éviter bien des désagréments et de profiter de bénéfices conséquents. Voici l’essentiel sur cette technique courante d’isolation. Comprendre le principe de l’isolation d’un toit par l’intérieur Cette technique consiste en la pose d’un matériau isolant directement sous la toiture de l’habitation. Pour ces travaux, l’artisan procède par le grenier de l’habitation ou par les combles. Lorsqu’elle est réalisée par des professionnels d’expérience, l’isolation d’une toiture par l’intérieur peut impacter de manière très significative la qualité de vie dans le logement concerné. Le confort thermique qui en découle s’apprécie en saison hivernale comme en été. Quels avantages pour cette technique d’isolation Procéder à l’isolation d’un toit par l’intérieur est une option prisée par bien des propriétaires, tout d’abord en raison de la nature des travaux à engager. Passer par les combles ou l’intérieur permet d’éviter la réalisation de gros travaux. L’isolation par l’intérieur revient pour cela bien moins chère que les travaux nécessaires lorsqu’il faut isoler depuis l’extérieur. La nature des travaux implique également une plus grande rapidité de mise en œuvre, pour moins de gêne pour les habitants.Au-delà de la question du budget, la pose d’un isolant par l’intérieur a des répercussions directes sur les performances acoustiques du logement. Cela peut être précieux dans les logements situés en zone urbaine ou en milieu bruyant.Une isolation de la toiture par l’intérieur permet par ailleurs de conserver à votre habitation son aspect initial, sans aucune répercussion sur l’apparence.Enfin, des combles aménagés sont très souvent un point positif par rapport à la surface habitable supplémentaire. L’importance de choisir des artisans experts Il existe différentes techniques d’isolation de toit par l’intérieur. Il sera important pour chaque projet de définir la méthode la plus adaptée. La forme du toit, le budget alloué à votre projet d’isolation toiture, ou encore l’existence de combles aménageables : ce sont autant de points qui aideront à définir la méthode d’isolation à retenir. On distingue notamment l’isolation sous rampant qui est appréciée pour sa simplicité de mise en œuvre, et pour le peu de place nécessaire sous les combles pour sa réalisation. L’isolation des combles et l’isolation des toitures-terrasses sont les deux autres techniques possibles pour optimiser votre confort thermique. Pour profiter de l’expérience d’un artisan en mesure de faire les bons choix, il vaut au préalable veiller à le choisir avec soin. Pour réaliser votre projet, il sera judicieux de prendre les renseignements nécessaires sur les différentes aides disponibles. Faire isoler sa toiture par l’intérieur est dans tous les cas un investissement qui est très rapidement rentabilisé, pour un confort accru et un habitat valorisé.
Il y a 2 ans et 262 jours

Ça y est, Ondura rejoint Kingspan

Le rapprochement entre Ondura et Kingspan, annoncé le 18 février 2022, a reçu l&#8217;approbation des autorités de tutelle. Il s&#8217;agit d&#8217;une étape essentielle dans la formation de la nouvelle division « Roofing and Waterproofing » de Kingspan. Ondura, créé autour de l&#8217;entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d&#8217;alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l&#8217;entreprise polonaise CB, l&#8217;un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d&#8217;accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d&#8217;une grande expertise dans l&#8217;étanchéité à l&#8217;eau et à l&#8217;air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l&#8217;isolation et l&#8217;enveloppe du bâtiment. A l&#8217;issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs : &#8211; Insulated Panels &#8211; Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan, &#8211; Insulation &#8211; Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines, &#8211; Light + Air &#8211; Solutions d&#8217;éclairage naturel et de ventilation, système d&#8217;évacuation des fumées, &#8211; Water & Energy &#8211; Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments, &#8211; Data & Flooring Technology &#8211; Systèmes de planchers surélevés. &#8211; Roofing & Waterproof &#8211; Solutions de toitures autour des savoir-faire d&#8217;Ondura.
Il y a 2 ans et 262 jours

Ça y est, Ondura rejoint Kingspan

Le rapprochement entre Ondura et Kingspan, annoncé le 18 février 2022, a reçu l&#8217;approbation des autorités de tutelle. Il s&#8217;agit d&#8217;une étape essentielle dans la formation de la nouvelle division « Roofing and Waterproofing » de Kingspan. Ondura, créé autour de l&#8217;entreprise française Onduline, est spécialiste des solutions de toitures légères. Propriétaire d&#8217;alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l&#8217;entreprise polonaise CB, l&#8217;un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d&#8217;accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d&#8217;une grande expertise dans l&#8217;étanchéité à l&#8217;eau et à l&#8217;air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Ondura aborde une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l&#8217;isolation et l&#8217;enveloppe du bâtiment. A l&#8217;issue de cette intégration, Kingspan, présent dans plus de 70 pays et disposant de plus de 200 sites de production dans le monde, opérera dans six pôles majeurs : &#8211; Insulated Panels &#8211; Panneaux sandwichs isolants, division principale et historique de Kingspan, &#8211; Insulation &#8211; Panneaux isolants, isolation des tuyauteries et gaines, &#8211; Light + Air &#8211; Solutions d&#8217;éclairage naturel et de ventilation, système d&#8217;évacuation des fumées, &#8211; Water & Energy &#8211; Systèmes innovants de collecte des eaux de pluie et de contrôle des inondations, stockage des combustibles, des eaux chaudes, gestion intelligente des bâtiments, &#8211; Data & Flooring Technology &#8211; Systèmes de planchers surélevés. &#8211; Roofing & Waterproof &#8211; Solutions de toitures autour des savoir-faire d&#8217;Ondura.
Il y a 2 ans et 267 jours

Une membrane de toiture auto-adhésive

Sarnafil® TG FSA de Sika est une membrane synthétique à base de polyoléfine souple (FPO) renforcée d’un voile de verre non tissé. Elle est sous-facée d’un feutre polyester/voile de verre imprégné de colle et protégée d’un film pelable à retirer au moment de l’application. Destinée aux toitures apparentes, elle est résistante aux U.V. et conçue pour une utilisation sous toutes les conditions climatiques. Disponible en 2 épaisseurs et dimensions : 1,5mm sur 2 x 20 m et 1,8 mm sur 2 x 15m. Existe en 3 coloris : beige, gris fenêtre et blanc Traffic (en 1,8 mm uniquement). &nbsp;
Il y a 2 ans et 276 jours

ONDULINE FLEXOUTUILE

Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation&nbsp;des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité&nbsp;des toitures en tuiles même après de grosses intempéries&nbsp; En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de&nbsp;couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir une étanchéité [&hellip;]
Il y a 2 ans et 287 jours

La Garantie Toiture25® proposée par Pittsburgh Corning

En toiture, dans le cas d&rsquo;une isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® sous étanchéité, avec relevés isolés, Pittsburgh Corning garantit l&rsquo;isolation thermique pendant 25 ans, et l&rsquo;étanchéité pendant 15 ans après la fin de l&rsquo;assurance décennale de l&rsquo;entreprise.  Rénovation de la Toiture du Gymnase- Tennis de Gif-sur-Yvette (91) Garantie pendant 25 ans de l’isolation des toitures [&hellip;]
Il y a 2 ans et 331 jours

Une base nautique cachée sous la dune

D’une surface totale de 700 m2, le bâtiment a été durablement conçu et construit pour se voir le moins possible et se fondre parfaitement dans le paysage. L’architecte Stéphane Coulaud a ainsi imaginé un bâtiment aussi bas que possible pour ne pas cacher la vue sur la ligne d'horizon, et pouvant également surmonter la montée des eaux. Il a également souhaité que la dune littorale colonisée par la végétation indigène intègre tout l’arrière du bâtiment pour une parfaite intégration environnementale.Pour réussir cette prouesse esthétique, il fallait garantir une parfaite étanchéité du bâtiment et notamment des deux toitures : l’une enterrée et non accessible ; l’autre accessible et apparente aux UV.L’entreprise ODL ETANCHEITE a sélectionné deux références de membrane synthétique FPO, proposées par Sika :L’étanchéité de la partie de la toiture immergée sous le sable a été réalisée par la membrane FPO Sarnafil TG 66-15 F. Conçue pour les toitures sous lestage, cette membrane se caractérise par sa haute résistance au développement de micro-organismes et de racines, assurant sa grande durabilité. À noter que la paroi enterrée a été étanchéifiée avec une membrane d’étanchéité FPO.En partie non protégée, la membrane Sarnafil TS 77-15 E a été choisie pour sa couleur proche de celle de l'eau et du béton. Fixée mécaniquement, cette membrane multicouche contient des stabilisants contre le rayonnement ultraviolet.Réputée pour former les futurs champions de voile, la base nautique de Carnon est aujourd’hui un ouvrage labellisé Bâtiment Durable Méditerranée. Une autre forme de distinction prestigieuse.
Il y a 2 ans et 333 jours

ONDULINE® FLEXOUTUILE

Le système de sous-toiture qui permet la réutilisation&nbsp;des anciennes tuiles et garantit l’étanchéité&nbsp; des toitures en tuiles même après de grosses intempéries&nbsp; En France, la plupart des toitures sont recouvertes de tuiles différentes en fonction des régions (tuiles canal, tuiles plates ou mécaniques). Ce mode de&nbsp; couverture est apprécié pour sa fiabilité. Mais pour garantir [&hellip;]
Il y a 2 ans et 334 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.