Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour tribunal commerce

(228 résultats)
Il y a 4 ans et 120 jours

A Paris, la densité urbaine fait de la résistance malgré le Covid

La semaine dernière, écologistes et élus de la droite, dans une alliance inédite, ont eu raison d'un projet de construction de 80 logements sociaux (dont 60 pour des familles, et 20 pour des personnes sans domicile) prévus dans le très chic XVIe arrondissement parisien, pourtant très peu doté en la matière."A Paris, les écologistes sont favorables à la production de logements sociaux", a assuré le groupe écologiste dans un communiqué. Mais, "qui dit production ne dit pas forcément construction de logements", plaide-t-il, préférant "la transformation du parc immobilier existant grâce, notamment, au recours au droit de préemption".Le tribunal administratif, pour invalider le permis, a argué de sa "non conformité à l'actuel PLU", et d'une "insertion urbaine insuffisante" dans le quartier, rapporte la mairie."C'est un jugement assez politique", s'agace auprès de l'AFP l'adjoint chargé du Logement, le communiste Ian Brossat."La densité est sur le banc des accusés. Encensée il y a encore cinq ans, et présentée alors comme une réponse à l'étalement urbain et à la fragmentation sociale, la densité serait désormais responsable de tous les maux contemporains", écrivait l'élu PCF dans une tribune publiée mi-décembre dans Le Monde. "Avec la crise sanitaire, elle serait même devenue l'ennemie public numéro un."La densité d'habitants au mètre carré favoriserait ainsi la propagation du virus, dans une ville où l'insuffisance d'espaces verts s'est fait sentir au cours des derniers mois.Mais, "c'est moins la densité urbaine que le mal-logement qui serait en cause", rappelle l'élu, avec à l'appui, une étude de l'Institut pour la recherche en santé publique (IRESP) publiée en octobre. Reste que la mairie a "un objectif à atteindre: 25% de logements sociaux d'ici 2025", rappelle Ian Brossat. Or, "nous n'atteindrons jamais cet objectif si nous ne construisons plus rien."Transformer bureaux en logementsAlors que le télétravail a quasi vidé les quartiers d'affaires, des chercheurs plaident pour que les collectivités partent de l'existant pour réinventer la ville de demain.Par exemple, "les immeubles de bureaux, qui sont fermés le week-end, pourraient accueillir les associations ? Au rez-de-chaussée des immeubles de logements, on pourrait mutualiser des imprimantes, mettre des machines à laver ... des choses pas nécessairement utiles dans les logements", suggère Charlotte Girerd, responsable propective et expérimentation SNCF Immobilier, dans le journal "Nouvelles urbanités" publié en octobre.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt, selon des données récentes de professionnels du secteur.Mardi, le capital investisseur Novaxia et quatre assureurs-vie se sont même engagés à lever un milliard d'euros d'investissements sur trois ans pour transformer des bureaux vides, espérant ainsi créer 4.000 logements d'ici trois ans, affirmait Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia.La Ville réfléchit ainsi au "principe de réversibilité" des locaux: "Construire dans des normes de construction qui permettent de changer un bureau en logement, un bureau en commerce, ou un commerce en logement", avance Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.En parallèle, la mairie poursuit ses projets de végétalisation et compte planter dès cette année 17.000 arbres, en utilisant notamment "les talus du périphérique", explique l'ancien élu EELV, adjoint en charge de la Végétalisation, Christophe Najdovski.Quant à la première forêt urbaine, elle pourrait voir le jour d'ici 2023-2024, dans le XIVe arrondissement, au sud de la gare Montparnasse, avance l'élu, convaincu qu'"il ne faut pas opposer les priorités: le logement comme la végétalisation sont importants".
Il y a 4 ans et 162 jours

Île-de-france : LAYHER participe à la restauration des trois grands édifices – Publi-information

 Communiqué de presse  Décembre 2020      LAYHER, marque leader dans le secteur de l’échafaudage, est un acteur incontournable dans la rénovation des bâtiments historiques en Ile-de-France. L’entreprise participe actuellement à la restauration de trois édifices emblématiques : le Tribunal de Commerce, l’Église Saint-Pierre de Montrouge et la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur.  TRIBUNAL DE COMMERCE  Situé dans le 4ème arrondissement de Paris, sur l’île de la Cité, le Tribunal de Commerce a ouvert ses portes en 1866, dessiné par l’architecte Antoine-Nicolas Louis Bailly à l’initiative de Napoléon III. Le corps principal de l’édifice est couronné d’un dôme de 45 mètres de hauteur renfermant une coupole habillée de grandes fenêtres oeil de boeuf.  En 2020, LAYHER a été sélectionnée afin de participer à la restauration du dôme et de la coupole vieux de plus de 150 ans. Un total de 150 tonnes a été disposé avec 30 tonnes dédiées à l’intérieur du bâtiment et 120 tonnes sur l’extérieur.  Un échafaudage a été installé dans l’escalier pour réaliser la réfection des murs intérieurs et les travaux sur la coupole.  Sur l’extérieur du bâtiment, un escalier d’accès à la toiture et une sapine de levage pour l’approvisionnement du matériel ont été mis en place. Une plateforme d’accès à la naissance du dôme et un échafaudage sur sa périphérie permettent de réaliser les travaux de réfection des pierres.  Afin de cacher les travaux sur le dôme, l’échafaudage extérieur a été réhaussé de 8 mètres pour permettre la mise en place d’une bâche décorative.      ÉGLISE SAINT PIERRE DE MONTROUGE  L’église Saint-Pierre de Montrouge est située dans le 14ème arrondissement de Paris, dans le quartier du Petit-Montrouge. Dans un style néo-roman, elle a été construite entre 1863 et 1872 sur les plans de l’architecte Joseph Auguste Émile Vaudremer.  Au fil des années, les pierres constituant la flèche du clocher se sont détériorées, nécessitant une dépose complète de celles-ci pour une restauration à l’identique avec la pierre de Sainte-Maximim. L’enjeu du chantier de restauration est de reconstruire à l’identique la flèche du clocher qui culmine à 58 mètres de hauteur.  Un échafaudage de la gamme LAYHER Universel LightWeight bâché et un lift ont été placés le long de la tour de 0 à 38 mètres afin d’accéder à la partie supérieure. Autour de la flèche, de 38 à 58 mètres, est disposé un échafaudage non bâché pour réaliser les travaux de dépose/repose des pierres. Pour cela, LAYHER a mis en place un pont roulant inédit en échafaudage.    MAISON D’ÉDUCATION DE LA LÉGION D’HONNEUR  Construite au 18ème siècle, la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur de Saint-Denis, anciennement monastère, a été transformée en maison pour l’instruction des filles par Napoléon. Elle occupe les bâtiments de l’ancienne abbaye royale, à proximité de la Basilique de Saint-Denis en plein coeur de la ville.  Dans le cadre du chantier de restauration de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur, LAYHER a été chargée par le Fond de Dotation Légion d’Honneur Éducation d’installer une structure en parapluie et les différentes installations du chantier tels que les lift, palissades, installations électriques, et base vie.  Le chantier concerne la restauration de la toiture de l’aile sud et du pavillon central de l’ancienne abbaye royale de Saint-Denis. Il a été réalisé par Échafaudage Service, filiale de Layher SAS spécialisée dans les montages complexes, et engage environ 180 tonnes de matériel.  L’étude réalisée par le Bureau d’étude LAYHER a permis la mise en oeuvre de structures limitant l’impact des travaux sur l’exploitation de l’édifice.  Le matériel Universel LightWeight a été utilisé pour réaliser les sapines d’appuis des planchers de travail et du parapluie. Ce matériel a été installé au droit des trumeaux en pierre afin de conserver l’éclairage naturel du bâtiment.  Le parapluie Couvralu permet de protéger les ouvriers et l’édifice des intempéries tout en conservant une bonne luminosité, facteur indispensable des chantiers de restauration. Avec une portée de 20 mètres et couvrant une surface de 1520 m², le parapluie a été conçu sur deux niveaux avec des versants asymétriques permettant de limiter les prises au vent sur les ouvrages.  Un monte-charge a également été installé par LAYHER pour faciliter l’approvisionnement des matériaux en hauteur.  À propos de Layher  Implantée en France depuis 1980, la société Layher a révolutionné le monde de l’échafaudage par des solutions novatrices et sécuritaires. Elle met à la disposition de ses clients un stock location de 40 000 tonnes de matériel reparti sur ses 10 dépôts, mais aussi un bureau d’étude composé d’experts, consulté pour les chantiers les plus techniques (Palais de Justice, Banque de France, Grand Palais…). Eric Limasset, Président de Layher SAS, filiale du leader européen de l’échafaudage, assure également la responsabilité des filiales Layher Formation, Layher Maroc et Layher Côte d’Ivoire.  www.layher.fr 
Il y a 4 ans et 187 jours

Le groupe Ami Bois reprend l’activité de Meison

Acteur majeur de la construction de maisons en bois sur le territoire national, Ami Bois permet ainsi de préserver 19 emplois sur le territoire et d’assurer le suivi de chantiers des 20 maisons actuellement en cours de construction. L’acquisition de Meison, permet en outre à Ami Bois de renforcer son offre à destination des primo-accédant, au travers du maintien et du développement de la marque.Une reprise d’activité pour pérenniser l’entrepriseLe mercredi 4 novembre dernier, le Tribunal de Commerce de Bordeaux a validé l’offre du Groupe Ami Bois pour la reprise de la société Meison, implantée depuis 12 ans à Mios (33). Au travers de cette reprise d’entreprise, le Groupe Ami Bois entend pérenniser la société qui construit 30 à 35 maisons par an, pour un chiffre d’affaires d’environ 4,5 millions d’euros. Un maintien d’activité qui permettra par ailleurs de finaliser les chantiers des 20 maisons actuellement en cours de construction.Aussi, ce sont 19 emplois qui seront maintenus sur le territoire. « C’était un sujet important pour le Groupe Ami Bois, alors que nous traversons une crise sans précédent. », précise Frédéric Carteret, Président Fondateur du Groupe Ami Bois. « Nous avons travaillé afin de maintenir un maximum de personnes dans l’emploi, tout en tenant compte des optimisations nécessaires pour permettre à Meison d’atteindre son niveau de rentabilité. », ajoute le Dirigeant.Un choix stratégique qui s’accompagne d’un repositionnement partiel de l’offre de Meison, afin d’assurer une perspective d’avenir positive à l’entreprise.Ami Bois étoffe son offre au travers de la reprise de MeisonDans les prochains mois, le groupe Ami Bois va ainsi travailler avec les équipes de Meison à la simplification de son offre, pour se concentrer sur un catalogue de maisons, avec différents niveaux de finition.« Nous capitalisons sur le positionnement initial de la marque tout en le poussant encore davantage. Il n’y aura plus de modèles sur mesure, au profit d’une offre de "maison catalogue". », précise Christophe Kleck, Directeur Marketing et Développement du Groupe Ami Bois. Car tout l’enjeu pour le groupe est bel et bien de proposer des maisons en bois toujours plus accessibles en termes de couts, en s’appuyant sur l’industrialisation de la production des murs, planchers et caissons de toiture de ses maisons, au sein de son usine locale basée à Marmande (Lot-et-Garonne).« Notre outil de production nous permet d’optimiser nos couts de construction tout en proposant des maisons durables et de qualité, clé de voute de notre stratégie d’entreprise. », indique Christophe Kleck. Cette nouvelle offre inclura, comme Meison le proposait déjà par le passé, trois niveaux de finition afin que l’acquéreur puisse, s’il le souhaite, réaliser les travaux de finition lui-même : maison hors d’eau / hors d’air, maison prête à bricoler ou maison prête à décorer, tel sera le choix des futurs clients de l’enseigne.
Il y a 4 ans et 188 jours

La Fnaim déboutée par la justice face au site PAP

Dans un jugement rendu le 2 novembre et consulté mercredi par l'AFP, le tribunal de commerce de Paris a débouté la FNAIM de ses demandes de dommages et intérêts et a condamné l'organisation à verser la somme de 5.000 euros à la société De Particulier à Particulier.Le tribunal a estimé que "PAP ne s'est pas rendu coupable d'actes de dénigrement" et que par ailleurs le site "ne se livre pas (...) à l'exercice illicite d'une activité d'entremise immobilière".PAP s'est félicité dans un communiqué d'être "officiellement reconnu comme étant une alternative aux agences immobilières, pas une agence immobilière".Dans une réaction écrite transmise à l'AFP, la FNAIM a annoncé faire appel de cette décision, estimant "qu'avec son nouveau service, PAP et les agences sont sur le même marché, et facilitent, moyennant rémunération, la vente de biens immobiliers. Dès lors, PAP prête bien son concours à la réalisation de ventes immobilières au mépris de la loi"."C'est une concurrence déloyale et ils en ont fait un pilier de leur communication, tout en dénigrant nos professionnels réglementés. Nous le déplorons et irons au bout de cette procédure", précise Jean-Marc Torrolion, le président de la FNAIM, cité dans ce message.La FNAIM avait assigné en justice le site PAP en juin 2019 et réclamait, entre autres, des dommages et intérêts à hauteur de 800.000 euros au titre du préjudice moral.Créé sous forme de journal papier dans les années 1970, le site PAP propose de passer des annonces immobilières et donc de mettre en relation les particuliers entre eux. Comme Leboncoin, il offre donc une solution alternative aux intermédiaires que constituent les agents immobiliers.La Fnaim se focalisait sur une interview datant de janvier 2019 sur franceinfo: interrogée sur le fait de vouloir la "mort" des agences, la présidente de PAP, Corinne Jolly, avait répondu par l'affirmative. Elle était venue présenter un nouveau service de "coaching" pour les particuliers qui, selon la Fnaim, s'apparente au travail réalisé par les agents immobiliers.
Il y a 4 ans et 254 jours

Ameublement : plus de 990 suppressions de postes pour Alinea

PLAN SOCIAL. Le tribunal de commerce de Marseille a rendu sa décision concernant l'avenir des magasins Alinea, appartenant aux actionnaires de l'association familiale Mulliez. Si l'offre unique de reprise a été acceptée, des suppressions de postes vont en découler.
Il y a 4 ans et 266 jours

Reprise de la société Hervé par le groupe Fiducim – City-Gc

Le groupe immobilier Fiducim – City Gc a été désigné comme repreneur de l’activité et des actifs de la société Hervé. [©Fiducim] Dans le but de se fixer un cap ambitieux pour les prochaines années, l’équipe dirigeante de Hervé a placé l’entreprise entre les mains du tribunal de commerce. Ceci, afin d’envisager un plan de cession des actifs, de maintien de l’emploi. Et de poursuite des chantiers en cours et à démarrer.  Suite à un jugement du tribunal de commerce de Nanterre en date du 6 août dernier, le groupe immobilier Fiducim – City Gc a été désigné comme repreneur de l’activité et des actifs de la société Hervé. Cette dernière étant une spécialiste de référence du BTP francilien. Elle emploie 169 salariés et réalise des projets tous corps d’état. Une activité variée qui a séduit Fiducim – City Gc. Celui-ci est un acteur de l’aménagement des territoires et de la promotion immobilière de tous types d’ouvrages en Ile-de-France. Et un constructeur général, ayant décidé de s’investir dans la reprise de l’activité de Hervé. En tant que repreneur, il s’est engagé à maintenir 133 emplois sur le site de Mantes-la-Jolie (78). Et à déployer un plan de relance de l’activité de l’entreprise. Ce développement important permettra à Fiducim – City Gc de poursuivre sa croissance sur l’Ile-de-France. Ceci, en réalisant en propre 100 % de ses opérations de construction. Et en permettant une part croissante des chantiers clients. Le groupe dont le siège est à Paris comportera désormais environ 250 collaborateurs pour un volume d’affaires consolidé de 300 M€.
Il y a 4 ans et 266 jours

Reprise de la société Hervé par le groupe FIDUCIM - CITY-GC

Dans le but de lancer un nouveau cycle, et pour fixer un cap ambitieux pour les prochaines années, l'équipe dirigeante a placé l'entreprise entre les mains du tribunal de commerce afin d'envisager un plan de cession des actifs, de maintien de l'emploi, et de poursuite des chantiers en cours et à démarrer.Le groupe Fiducim – City Gc, acteur de référence de l'aménagement des territoires et de la promotion immobilière de tous types d'ouvrages, dans les Hauts-de-France et en Île-de-France, et constructeur général, a décidé de s'investir dans la reprise de l'activité de Hervé.Suite à un jugement du tribunal de commerce de Nanterre, en date du 6 août 2020, Fiducim a donc été désigné comme repreneur de l'activité et des actifs.Le groupe Fiducim – City Gc s'est engagé à maintenir 133 emplois sur le site de Mantes-la-Jolie, et à déployer un plan de relance ambitieux de l'activité de l'entreprise.Ce développement important permettra à Fiducim – City Gc, de poursuivre sa croissance sur l'Île-de-France, en réalisant en propre 100% de ses opérations de construction, et en permettant une part croissante des chantiers clients.Le groupe dont le siège est à Paris comportera désormais environ 250 collaborateurs pour un volume d'affaires consolidé de 300M€.
Il y a 4 ans et 303 jours

L'unique propriété privée de l'île Sainte-Marguerite dans la baie de Cannes change de mains

Mise en vente au prix de 45 millions d'euros selon le quotidien Nice-Matin, "Le Grand Jardin" appartenait depuis une dizaine d'années à un magnat indien, Vijay Mallya.Elle s'est vendue en toute discrétion "à la barre du tribunal de commerce dans le cadre d'un règlement judiciaire" et à l'insu de la municipalité, selon la mairie de Cannes.Une opération critiquée par la gauche cannoise qui y voit le symbole de la fuite en avant de Cannes dans le tourisme de luxe, parlant d'un projet "privé, élitiste et anti-écologique" et exigeant le retour de la propriété dans le domaine public pour que "l'accès à la beauté et à la nature ne (soit) pas réservé à une caste d'hyper riches", selon le mouvement Génération-s."C'est la énième cession de ce site et (il) a toujours été fermé au public", s'est défendu au dernier conseil municipal le maire LR David Lisnard. "Il n'y aura pas d'hôtel!", a-t-il assuré, rappelant que le Plan local d'urbanisme l'interdisait.La propriété, qui pourra cependant être louée, dès le prochain festival de cinéma de Cannes selon Nice-Matin, s'étend sur environ 1,3 hectare protégé par un mur d'enceinte datant du 17e siècle.Elle abrite une villa principale, une autre maison, une tour de guet et un jardin botanique classé comme "remarquable", ainsi qu'une piscine et un héliport."Une fois rénovée, Le Grand Jardin sera l'une des destinations les plus exclusives de la Côte d'Azur (...) et offrira une douzaine de chambres (...) Un bateau, de cinéma de plein-air et une clinique esthétique complèteront la gamme de services offerts", a vanté Ultima Capital, dans un communiqué.Les implantations de cette société se lisent comme le bottin des lieux de villégiatures des plus fortunés: Gstaad, Crans-Montana, Genève (Suisse), Courchevel, Megève (France) et Corfou (Grèce), avec au total 42 hôtels, résidences, chalets, villas et emplacements."La ville n'aurait pas pu investir une telle somme dans l'acquisition d'un bien de ce type, sachant que d'autres priorités existent en matière de politique sociale et de projets de requalification de l'espace public", a également fait savoir vendredi la mairie.
Il y a 5 ans et 21 jours

Résultats de la 6e édition du Baromètre ARTI Santé

Comme chaque année depuis 2014, la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB), la Chambre Nationale de l'Artisanat des Travaux Publics et du Paysage (CNATP), et le pôle d'innovation IRIS-ST dévoilent les résultats de la nouvelle édition du baromètre ARTI Santé BTP, enquête nationale de référence sur les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale du BTP.Pour la première fois, l'étude révèle une diminution de leur rythme de travail. Ils étaient ainsi davantage en 2019 à prendre des congés au-delà de deux semaines par an et à réduire leur temps de travail hebdomadaire. Cependant, la part des dirigeants qui déclarent leur métier très exigeant physiquement mais aussi mentalement est en hausse avec respectivement +5 et +3 points par rapport à la précédente édition et la difficile déconnexion avec le travail s'accentue. Face au rythme soutenu de leur activité, les répondants sont toujours autant soumis à des problèmes de santé (stress, burn-out) et ont de plus en plus le sentiment d'être isolés (+4 points). La CAPEB, consciente de toutes ces données et difficultés, fait le bilan des 6 éditions passées du baromètre et propose un partenariat, alliant synergie et compétence, avec le réseau du Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP) qui s'avère d'autant plus nécessaire du fait de la crise sanitaire actuelle.Pour la première fois, une légère diminution du rythme de travail mais une activité davantage exigeante mentalement et physiquementL'étude menée auprès de 2053 répondants entre novembre et décembre 2019 révèle une baisse du rythme de travail des dirigeants d'entreprise artisanale du BTP et du paysage. En 6 ans, les congés des dirigeants sont en effet de plus longue durée. Ainsi, le nombre de dirigeants s'octroyant plus que deux semaines de congés est en augmentation. Ils sont également de moins en moins nombreux à travailler de 6 à 7 jours par semaine (54% en 2019 contre 59% en 2018). De plus, la proportion du nombre de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est également en baisse (21% en 2019 contre 26% un an auparavant).L'intensité du rythme de travail hebdomadaire des dirigeants varie en fonction de la taille de l'entreprise. Ainsi, les répondants employant 11 à 15 salariés sont plus susceptibles de travailler plus de 60 heures par semaine par rapport aux artisans travaillant seuls (38% contre 14%), quand bien même les employeurs ayant répondu déclarent prendre plus de congés. Un rythme soutenu pour l'ensemble des répondants qui s'explique en partie par la lourdeur des tâches administratives qui représentent pour près de la moitié des chefs d'entreprise 25% de leur temps de travail. Si le rythme de travail opère pour la première fois une légère baisse, il reste cependant très soutenu. Comme les années précédentes, les chefs d'entreprise artisanale peinent à trouver le bon équilibre entre vie familiale et vie professionnelle : 87% des répondants ont toujours le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privée et 75% d'entre eux considèrent qu'ils ne sont pas suffisamment disponibles pour leur entourage.En cause : le rythme soutenu mais également la difficulté pour ces dirigeants d'opérer une réelle coupure avec leur activité. Travailler pendant les jours de repos est une pratique en augmentation chez les chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage : ils sont ainsi 51% à consulter leurs mails tous les jours ou tous les deux jours pendant leurs congés. Pour 34% d'entre eux, il s'agit en effet de rester disponible auprès de leurs clients.Le nombre de chefs d'entreprise qui considèrent leur travail très exigeant ne cesse d'augmenter : +5 points (83% en 2019 – 78% en 2018) pour l'exigence physique et +3 points (91% en 2019 – 88% en 2018) pour l'exigence mentale. L'accroissement de l'exigence physique peut s'expliquer, au-delà du fait qu'il s'agisse de métiers manuels, de l'évolution de certains matériaux et équipements et les contraintes liées aux chantiers. Bien que ce soit l'exigence physique qui augmente le plus, l'exigence mentale reste toujours plus importante. Elle s'explique entre autres par le poids des responsabilités et de la multitude de tâches qui incombent aux chefs d'entreprise. Une situation qui n'est pas sans risque pour la santé mentale et physique de ces artisans.Une activité qui continue de peser sur la santé physique et mentale des chefs d'entrepriseDepuis six ans, les résultats du baromètre alertent sur l'état de stress des dirigeants des entreprises artisanales du BTP et du paysage. Si la proportion des répondants qui se déclarent stressés reste stable à 58%, son intensité quant à elle augmente.Le poids des démarches administratives, la charge de travail, les contraintes de délais et la nécessité de devoir être de plus en plus réactif sont notamment en cause. 84% des chefs d'entreprise artisanale du BTP et du paysage déclarent ainsi travailler dans l'urgence. Cet état émotionnel influence fortement la qualité du sommeil et les expose à un risque accru d'épuisement professionnel voire de burn-out. Un syndrome qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Il est à craindre que cette situation déjà préoccupante se détériore considérablement cette année avec la gestion de la crise sanitaire à laquelle sont confrontés tous les chefs d'entreprise.Les chefs d'entreprise artisanale sont également 58% à affirmer se sentir très fatigués (contre 59% en 2018, 58% en 2017 et 56% en 2016) et 47% déclarent se réveiller au milieu de la nuit et avoir du mal à se rendormir. Ce manque de sommeil a des répercussions concrètes sur l'activité professionnelle pour 70% des répondants. 51% des répondants se disent ainsi davantage irritables (contre 32% en 2018) et 64% en manque d'énergie et en permanence fatigués.La lourde charge de travail ainsi que les troubles émotionnels dont les répondants sont victimes sont des facteurs qui favorisent le sentiment d'isolement des chefs d'entreprise. En effet, 40% des sondés éprouvent ce sentiment (+ 4 points par rapport à l'année dernière) et 46% souhaitent être davantage soutenus. Pour répondre à ce besoin, les réseaux professionnels arrivent pour la première fois en première position (64% des répondants), suivis par les institutions telles que les assurances et les banques.Malgré cette situation inquiétante, le baromètre met en avant un regain d'optimisme chez les répondants. 54% sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise (contre 40% en 2018) et 65% sont totalement épanouis dans leur métier. L'étude porte néanmoins un point d'attention sur les entreprises dont la pérennité est menacée. En effet, seulement 21% des dirigeants en difficultés financières se font aider et uniquement 26% savent vers qui se tourner dans une telle situation. Ces résultats attestent de l'importance de continuer à informer les chefs d'entreprise sur les structures existantes qui permettent de les aider en cas de difficultés.Un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle qui intéresse les chefs d'entrepriseDepuis plusieurs années, le baromètre fait le constat d'un faible suivi médical des chefs d'entreprise de l'artisanat du bâtiment. En 2019, seulement 45% consultent leur médecin régulièrement ou de temps en temps. Plus inquiétant encore, pour 48% des répondants, leur état de santé nécessiterait un arrêt de travail qu'ils n'ont pas pris. La première raison évoquée est le maintien à tout prix de l'activité de l'entreprise. Ce constat alarmant montre la nécessité de continuer à sensibiliser les artisans du bâtiment sur les risques liés à leur activité. De plus, l'étude révèle que 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical en lien avec leur activité professionnelle avec leur médecin généraliste ou un autre professionnel.« L'état de santé des chefs d'entreprise est une question cruciale dont nous suivons scrupuleusement l'évolution chaque année grâce à notre baromètre. Le secteur de l'artisanat du bâtiment est un secteur particulièrement exigeant en termes de délais,de contraintes de chantiers et de contraintes clients. Les chefs d'entreprise, motivés par la satisfaction client et le maintien de l'activité, se donnent généralement à 100% en fermant parfois les yeux sur leur fatigue ou sur des signes cliniques cachant des pathologies plus graves, pouvant représenter un risque pour leur santé physique ou mentale. Notre devoir est de tirer la sonnette d'alarme et de continuer à sensibiliser les dirigeants des entreprises sur les risques liés à leur activité, afin de les informer au mieux et de les accompgner. Je perçois cette année une réelle prise de conscience de ces chefs d'entreprise qui expriment le besoin d'être médicalement suivis en lien avec leur activité. C'est une demande que nous entendons et que nous défendrons pour qu'elle trouve rapidement son application ! » - Patrick Liébus, Président de la CAPEB« Si être chef d'entreprise c'est être libre et autonome, c'est aussi vivre une vie qui n'est pas de tout repos. Si la passion est la motivation de l'artisan, gérer les problèmes du quotidien, anticiper le moyen terme et se fixer des objectifs sur le long terme peuvent s'avérer très stressant. Durant longtemps, la conjointe, aux côtés du chefs d'entreprise, partageait souvent cette charge mentale et libérait l'artisan d'une partie de ce stress. Aujourd'hui, ce schéma traditionnel n'est plus forcément la norme et le chef d'entreprise a fréquemment le sentiment d'être seul, isolé devant toutes ses implications et cet environnement toujours plus administratif et procédurier. Il est important d'évoquer ce sentiment ordinaire chez les artisans, d'en parler et que le chef d'entreprise prenne conscience que sa santé physique et mentale est primordiale, qu'il doive en prendre grand soin. La crise sanitaire que nous traversons n'aura pas épargné notre stress d'entrepreneur entre nos responsabilités d'assurer la sécurité de nos salariés et la pression de faire vivre notre entreprise.»- Françoise Despret, Présidente de la Chambre nationale de l'artisanat, des travaux publics et paysagistes (CNATP)Un Bilan sur 6 ansDepuis 2014, le baromètre ARTISANTE BTP édité par la CAPEB et la CNATP en partenariat avec l'IRIS-ST étudie les conditions de travail et la santé des chefs d'entreprise artisanale. Cette évaluation annuelle de l'état de santé et de stress perçu par les artisans a permis à la CAPEB et à la CNATP de dégager les enjeux du secteur. Ils se proposent maintenant d'en déterminer les actions à mettre en place pour inverser les tendances inquiétantes.Les principales tendances observées au cours de ces 5 dernières années sont invariables voire se dégradent : un rythme de travail intense, une exigence mentale en constante augmentation, un stress présent et des cas d'épuisement professionnels recensés et en augmentation, un suivi médical quasi inexistant car non obligatoire, des difficultés économiques spécifiques aux très petites entreprises.Une synergie de compétences pour une politique préventiveLe Baromètre fait état depuis plusieurs années du lien qui existe entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise, c'est pourquoi une collaboration forte a été mise en place entre la CAPEB, la CNATP, l'IRIS-ST et le CIP pour venir en aide aux chefs d'entreprise devant faire face à des difficultés financières au sein de leur entreprise. Une collaboration basée sur le maillage des réseaux de chaque partie sur le territoire. Une action concrète en réponse à une problématique soulevée par le Baromètre.Le Centre d'Information sur la Prévention des difficultés des entreprises (CIP National) met à la disposition des adhérents de la CAPEB et de la CNATP sa plate-forme d'accueil et d'écoute. Sur l'ensemble du territoire national, les CIP territoriaux sont en capacité de recevoir et d'orienter les chefs d'entreprise vers les dispositifs légaux, publics et privés leur permettant de résoudre tout ou partie de leurs difficultés économiques et financières.A leur disposition, un trio d'experts qui les reçoit individuellement, de manière confidentielle, anonyme et gratuite. Expert-comptable ou commissaire aux comptes, avocat, ancien juge du Tribunal de commerce et parfois un conseiller CCI et/ou CMA échangeront avec les chefs d'entreprise entre 30 et 60 minutes.« En cette période de crise sanitaire totalement exceptionnelle, je suis particulièrement inquiet pour tous les chefs d'entreprise artisanale et de TPE dans la mesure où depuis des années, nos études et baromètres nous enseignent qu'il existe un lien direct entre la santé du chef d'entreprise et celle de son entreprise. Je souhaite que nous sachions faire face collectivement pour aider et accompagner les chefs d'entreprise qui seraient en détresse. Ce partenariat, fondé sur le maillage de nos réseaux territoriaux respectifs, constitue une action concrète pour répondre à cette problématique et un des éléments de l'accompagnement que nous nous devons d'apporter aux entreprises. »- Patrick Liébus, Président de la CAPEBLes grandes évolutions a retenirLes points alarmants :Une activité de plus en plus exigeante : la part des dirigeants déclarent leur métier « très » exigeant physiquement et mentalement est en hausse : respectivement +4 et +9 points par rapport à 2018Un équilibre vie familiale et vie professionnelle difficile à trouver : 87% des répondants ont le sentiment que leur vie professionnelle empiète sur leur vie privéeRenforcement du sentiment d'isolement : 40% des artisans ont le sentiment d'être isolés : un chiffre en augmentation de + 4 points par rapport à 2018Les cas de burn-out en hausse : une maladie qui concerne davantage de répondants cette année : 6% contre 5% en 2018.Les points positifs :Un rythme de travail en légère baisse : la proportion de dirigeants travaillant plus de 60 heures par semaine est de 21% en 2019 contre 26% en 2018Un regain d'optimisme : 54% des répondants sont plutôt optimistes concernant l'activité de leur entreprise et 65% des artisans sont épanouis dans leur métier.Un suivi médical qui intéresse : 68% les dirigeants seraient intéressés par un suivi médical
Il y a 5 ans et 90 jours

Une nouvelle condamnation pour pillage et recel d’objets archéologiques

Le Tribunal judiciaire de Carpentras a reconnu coupable de détention de bien culturel sans justificatif, recel et non tenue du livre de police et condamné à 5 000 € d’amende pénale, à la confiscation des 1 275 objets saisis et à 201 355 € d’amende douanière un numismate collectionneur. Après une enquête d’initiative de la Direction des enquêtes douanières 4 (DED4), M. X. a été identifié comme un collectionneur de monnaies et d’objets antiques et soupçonné de se livrer à des fouilles sans autorisation, de commercer ces objets, de fréquenter les bourses aux collections et de détenir sans justificatifs ces objets classés biens culturels. Le 15 janvier 2017 sur réquisition des douanes, le conservateur régional de l’archéologie assermenté, a constaté lors du contrôle du véhicule du numismate collectionneur la présence dans le coffre d’un détecteur de métaux et d’un lot de biens culturels archéologiques issus de fouilles clandestines. A la suite du flagrant délit douanier, une visite a été menée au domicile du fouilleur qui a permis de trouver et de saisir de très nombreux objets archéologiques et un lot très important de monnaies gauloises de Marseille en argent. Le service de la douane a saisi l’intégralité des produits de fraude, en l’espèce 1279 objets mobiliers archéologiques provenant de sites terrestres et marins datant des époques protohistorique, antique, médiévale et moderne, présentant la qualité de biens culturels, notamment des monnaies en or, argent et bronze et des bijoux précieux, des amphores… représentant une valeur marchande globale de 284 520 € ainsi que des outils ayant servi à commettre les infractions, notamment un détecteur de métaux et un piolet. Le ministère de la Culture entend poursuivre activement la lutte contre les atteintes au patrimoine culturel avec l’ensemble des acteurs institutionnels concernés au niveau national et international (affaires étrangères, intérieur, économie et finances, éducation nationale).
Il y a 5 ans et 272 jours

Dijon : le lyonnais Serpollet à la rescousse de Socater

Le constructeur de réseaux a été repris le 9 juillet à la barre du tribunal de commerce par la branche énergie du groupe lyonnais Serfim.
Il y a 5 ans et 278 jours

Raymond Fondeville : « Nous n’avons jamais imaginé que Fondeville puisse disparaitre »

Le 26 juillet 2019, le tribunal de commerce de Montpellier a approuvé le plan de continuation de la filiale de construction du groupe familial catalan qui était en redressement judiciaire depuis 10 mois. Son président, Raymond Fondeville, se montre plus déterminé que jamais à renouer avec la croissance.
Il y a 5 ans et 300 jours

Matériel de chantier: AltéAD repris par Mediaco et Capelle

Le tribunal de commerce de Paris a retenu l'offre conjointe du leader français du levage et du numéro 1 européen du transport exceptionnel.
Il y a 5 ans et 307 jours

La justice valide le plan de reprise modifié d'Ascoval, les syndicats divisés

Le tribunal de commerce de Strasbourg a validé mercredi le plan de reprise modifié de l'aciérie nordiste Ascoval par le britannique Olympus, fragilisé par la faillite récente de British Steel, une décision diversement accueillie par les syndicats.
Il y a 5 ans et 330 jours

Le fabricant dijonnais de mâts d'éoliennes Francéole en liquidation judiciaire

Le fabricant dijonnais de mâts d'éoliennes Francéole, qui connaît des difficultés depuis plusieurs années, a été placé jeudi en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Chalon-sur-Saône, une décision synonyme de licenciement économique pour ses 61 salariés, a-t-on appris de sources concordantes.
Il y a 5 ans et 347 jours

La Fnaim lance les hostilités contre PAP

CONFLIT. Ce jeudi 13 juin 2019, la Fédération nationale de l'Immobilier a annoncé qu'elle assignait "De Particulier à Particulier" à comparaître devant le Tribunal de commerce de Paris. Le grief : "dénigrement de la profession d'agent immobilier" et "exercice illicite" de l'activité.
Il y a 6 ans et 3 jours

Serfim se développe en reprenant une société de génie électrique en difficulté

Le groupe de construction Serfim conforte ses activités dans le génie électrique pour le bâtiment en reprenant à la barre du tribunal de commerce de Lyon la société CTB.
Il y a 6 ans et 70 jours

Le constructeur Floriot repris par ses cadres

Le tribunal de Commerce de Lyon a validé la reprise du groupe Floriot Construction par certains de ses cadres, permettant de sauver 110 emplois, soit la plus grande partie des effectifs.
Il y a 6 ans et 80 jours

Le constructeur Floriot repris par ses cadres

Le tribunal de Commerce de Lyon a validé jeudi la reprise du groupe Floriot Construction par certains de ses cadres, permettant de sauver 110 emplois, soit la plus grande partie des effectifs.
Il y a 6 ans et 81 jours

Le pôle construction de TGL Group continue sa route

Trois anciens cadres accompagnés par un entrepreneur de BTP et un pôle d'actionnaires reprennent les actifs et 110 salariés de Floriot construction. Le tribunal de commerce de Lyon ne s'est en revanche pas prononcé sur le pôle immobilier.
Il y a 6 ans et 116 jours

Le sort de Floriot Construction reste en suspens

Le tribunal de commerce de Lyon n'a pas validé le plan de cession de l'entreprise Floriot Construction.
Il y a 6 ans et 201 jours

Le sort du dernier constructeur de tunneliers français reste en suspens

JUSTICE. Ce mercredi 7 novembre 2018, le tribunal de commerce de Lyon a repoussé de deux semaines l'audience décisive afin de décider du rachat ou non du dernier constructeur de tunneliers français NFM Technologies, en redressement judiciaire depuis le mois d'août dernier.
Il y a 6 ans et 224 jours

Le groupe de BTP Fondeville en redressement judiciaire

La semaine dernière, l'entreprise catalane Fondeville, est passée devant le tribunal de commerce de Montpellier.
Il y a 6 ans et 243 jours

Le tunnelier NFM peut compter sur deux offres de reprise

TECHNOLOGIE. Le tunnelier français NFM, placé en redressement judiciaire en août 2018 à cause de la défaillance de son actionnaire chinois NHI, fait l'objet de deux offres de reprise déposées auprès du tribunal de commerce de Lyon. Mais dans les deux cas, la totalité des effectifs ne pourra être sauvegardée.
Il y a 6 ans et 277 jours

Serfim reprend un spécialiste de l'énergie en faillite

Le groupe lyonnais de travaux publics Serfim a été choisi par le tribunal de commerce d'Evry pour reprendre la société ISTPSE, qui emploie 46 personnes, a-t-on appris mercredi auprès de l'entreprise.
Il y a 6 ans et 277 jours

Construction : un courtier d'assurances mis en redressement judiciaire

JUSTICE. Nouveau chapitre dans le feuilleton de l'assurance construction en libre prestation de services. La société Alliage assurances (ex-SFS France) vient en effet d'être déclarée en redressement judiciaire, ce 23 août 2018, au tribunal de commerce. Mais un investisseur est sur les rangs pour un plan de continuation d'activité.
Il y a 6 ans et 278 jours

Travaux publics: le lyonnais Serfim reprend un spécialiste de l'énergie en faillite

Le groupe lyonnais de travaux publics Serfim a été choisi par le tribunal de commerce d'Evry pour reprendre la société ISTPSE, qui emploie 46 personnes.
Il y a 7 ans et 38 jours

Batiwiz, le " Vente-Privée du Bâtiment " en liquidation judiciaire

Fin de l'aventure pour Batiwiz, plateforme de ventes privées pour les professionnels du bâtiment, qui avait ouvert en 2013. En effet, depuis le début du mois, les visiteurs souhaitant accéder au site tombent sur un pop-up indiquant :    " Le site Batiwiz.com fait l'objet d'une procédure collective suite à sa mise en liquidation le 29 mars 2018, par décision du Tribunal de Commerce de Paris. Pour toute information, veuillez prendre contact avec le Mandataire à l'adresse suivante : batiwiz@mjassocies.com "    Les professionnels ayant effectué une commande avant la mise en liquidation de l'entreprise peuvent se signaler et trouver de l'aide sur les démarches à suivre sur le forum de 60 millions de consommateurs : https://www.60millions-mag.com/forum/commerce-en-ligne/batiwiz-liquidation-judiciaire-recensement-des-victimes-t54737.html
Il y a 7 ans et 131 jours

ArcelorMittal se renforce dans le secteur de l'énergie solaire

L'annonce a été réalisée début janvier : le groupe sidérurgique ArcelorMittal a été choisi par le tribunal de commerce de Bordeaux pour reprendre Exosun, l'un des leaders mondiaux des trackers solaires, placé en redressement judiciaire depuis le 30 juin 2017. Grâce à cette acquisition, l'offre ArcelorMittal prend " une nouvelle dimension ". Le marché des systèmes de suivi solaire destinés aux centrales photovoltaïques devrait fortement croître d'ici à 2020.
Il y a 7 ans et 132 jours

ArcelorMittal reprend la société Exosun

Le géant de l'acier ArcelorMittal a annoncé avoir été retenu par le Tribunal de commerce de Bordeaux comme repreneur de la société Exosun, spécialisée dans les systèmes de suivi solaire pour les centrales photovoltaïques.
Il y a 7 ans et 261 jours

Le fabricant français d'éoliennes Vergnet en redressement judiciaire

La société Vergnet SA, unique fabricant français d'éoliennes, a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce d'Orléans, a-t-on appris jeudi auprès des autorités judiciaires.
Il y a 7 ans et 265 jours

Antoine Zacharias condamné à rembourser 2 millions d'euros à Vinci

L'ancien président-directeur général du groupe de BTP a été condamné par le tribunal de commerce de Nanterre à verser 2 millions d'euros de dommages et intérêts à Vinci pour s'être octroyé une hausse de rémunération trop élevée entre 2003 et 2005. Un scandale qui avait mené à sa démission en 2006.
Il y a 7 ans et 304 jours

Clap de fin pour " l'affaire TIM "

Les salariés de TIM ont dû pousser un " ouf " de soulagement mercredi 26 ! En effet, après avoir renoncé à la reprise de l'entreprise, Fil Filipov, propriétaire d'Atlas, a finalement déposé une offre au tribunal de commerce de Lille, qui a validé cette dernière. Ce sont ainsi 446 des 470 emplois qui seront préservés " de quoi mettre un terme aux inquiétudes des salariés, qui ont laissé exploser leur joie à l'annonce de cette décision.
Il y a 7 ans et 305 jours

Le fabricant nordiste de cabines d'engins TIM sauvé in extremis par la société allemande Atlas GmbH

Le tribunal de commerce de Lille a validé l'offre de reprise déposée à la dernière minute par l'industriel Bulgare Fil Filipov, propriétaire de la société Atlas GmbH, qui s'engage à préserver 446 des 470 emplois de l'entreprise nordiste TIM, spécialisée dans la fabrication de cabines d'engin de chantier.
Il y a 7 ans et 305 jours

Atlas reprend la société TIM et préserve 446 emplois

Le tribunal de commerce de Lille a désigné la société Atlas, contrôlée par Fil Filipov, comme repreneur de TIM, fabricant de cabines d'engins de chantier, basé à Quaëdypre (Nord).
Il y a 7 ans et 305 jours

Fil Filipov (Atlas) autorisé à reprendre TIM

Le tribunal de commerce de Lille a tranché : c'est Fil Filopov, l'industriel propriétaire d'Atlas, le constructeur d'engins de construction, qui sera autorisé à reprendre le métallurgiste TIM, autrefois partenaire exclusif de Caterpillar pour la fabrication de cabines d'engins de chantier.
Il y a 7 ans et 307 jours

Fabricant de composants pour engins de chantier, le nordiste TIM risque de disparaître

En redressement, le fabricant de cabines d'engins risque la liquidation judiciaire. Le tribunal de commerce de Lille métropole a renvoyé la décision au 26 juillet concernant deux offres de reprise. 470 emplois sont menacés.
Il y a 7 ans et 311 jours

La reprise de TIM, une histoire sans fin ?

Nouveau rebondissement dans l'affaire TIM ! Le fabricant de cabines d'engins pour chantier, en redressement judiciaire, avait finalement réussi à susciter l'intérêt de deux groupes prêts à reprendre la société : d'un côté, Fritzmeier, propriétaire de l'usine de TIM, et de l'autre, Atlas, client de l'entreprise. Mais alors que le tribunal de commerce de Lille a de nouveau renvoyé le délibéré des deux offres, Atlas a finalement décidé de renoncer au projet de reprise. Explications.
Il y a 7 ans et 342 jours

Le géant Caterpillar attaqué en justice par la société nordiste TIM

Caterpillar, le géant américain des engins de chantier, a été attaqué en justice vendredi 16 juin, devant le tribunal de commerce de Lille par TIM, filiale du groupe allemand Frizmeier. La société, spécialisée dans les cabines et composants pour engins de chantier, accuse le groupe, qui représentait la grande partie de son chiffre d'affaires, d'être responsable de son redressement judiciaire après avoir cessé toute commande.
Il y a 7 ans et 345 jours

Caterpillar attaqué en justice par un sous-traitant nordiste menacé de disparition

La société TIM attaque le géant des engins de chantier Caterpillar devant le tribunal de commerce de Lille pour avoir "brutalement" cessé en 2016 la plupart de ses commandes.
Il y a 7 ans et 346 jours

Sillia VL : le site de Venissieux fermera

Le tribunal de commerce de Lyon a prononcé la liquidation judiciaire du fabricant de panneaux photovoltaïques Sillia VL et la fermeture du site de Vénissieux près de Lyon.
Il y a 8 ans et 101 jours

Le belge Koramic rachète Cérabati, créant le leader du carrelage céramique en France

Le groupe belge Koramic vient de reprendre les activités du groupe Cerabati SA qui était en redressement judiciaire depuis le 8 novembre 2016. Le Tribunal de commerce de Lyon vient en effet d'accepter l'offre de reprise.
Il y a 8 ans et 101 jours

Les deux principaux fabricants français de carrelage peuvent s'allier

Le Tribunal de commerce de Lyon vient d'accepter l'offre de reprise du groupe Koramic, qui détient le nordiste Desvres, pour les activités d'un autre groupe tricolore, Cérabati, qui était en redressement judiciaire depuis le 8 novembre dernier. Le nouvel ensemble pèse 60 millions d'euros de chiffre d'affaires.
Il y a 8 ans et 162 jours

Sémis reprend Seram à Derichebourg

Après avoir racheté Seram à la barre du tribunal de commerce en 2014, Derichebourg vient de revendre le spécialiste des grues à ferrailles à la société Sémis, elle-même spécialisée dans la fabrication, la réparation et la vente de grues équilibrées.