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Il y a 2 ans et 171 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE PROSITE, PROJECTEUR LED POUR L’ÉCLAIRAGE EN ENVIRONNEMENT DIFFICILE ET DE GRANDE HAUTEUR

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED à haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des environnements difficiles et de grande hauteur, ils sont adaptés à l’éclairage des plateformes offshore, des chantiers, des sites industriels et des sites classés SEVESO comme par exemple, des complexes miniers, pétroliers, gaziers, pétrochimiques … Les projecteurs LED ProSite sont disponibles en plusieurs versions, (modèle simple et double), puissances (81 W ; 124 W ; 234 W ; 484 W et 499 W), flux lumineux (12 000 lm ; 18 000 lm ; 30 000 lm ; 65 000 lm),  températures de couleur (ambre ; 2700 K ; 4000 K ; 5000 K), angles de faisceau (moyen – 55° ; extensif – 125° ; très large – 131°x108° ; asymétrique avec une distribution directe) et indices de rendu des couleurs (IRC 70, 80 en option). Ils possèdent une efficacité lumineuse allant jusqu’à 165 lm/W, une très longue durée de vie de L70>150 000 heures et de nombreuses options adaptées aux besoins spécifiques des professionnels. Résistants à l’humidité, à l’air et brume salins (certification DNV), aux vibrations ainsi qu’à la corrosion (boitier compact en aluminium moulé protégé d’une double couche d’enduit polyester et époxy), les projecteurs LED ProSite sont dotés d’optiques moulées (technologie TIR), recouvertes, en option, de verre ou de polycarbonate. Ils sont étanches (indice de protection IP66/67 ; IK10-polycarbonate, IK08-verre), disposent d’une protection contre les surtensions transitoires et fonctionnent à des températures extrêmes de -40°C à +65°C ; +55°C pour les modèles doubles. Les projecteurs LED ProSite sont gradables et compatibles avec le système de commande DALI 2.0/0-10 VDC. Ils sont garantis 10 ans (luminaire et driver). A propos d’EAS SOLUTIONS  EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe de plus de 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr EAS Solutions a obtenu le label AFE que l’Agence France Électricité délivre aux entreprises qui s’engagent pour le climat et qui prennent en compte les objectifs environnementaux de l’accord de Paris. www.agence-france-electricite.fr
Il y a 2 ans et 171 jours

L’OPPBTP “check” les chantiers

L’OPPBTP souhaite améliorer la sécurité des ouvriers avec son Check chantier. [©OPPBTP] La digitalisation permet à l’OPPBTP de viser un accompagnement massif des entreprises et des salariés du BTP, en mettant à leur disposition des outils simples, efficaces et accessibles. Dans cette optique, l’organisme a lancé l’application mobile “Check Chantier” à la rentrée 2022 où sont mises à disposition de nombreuses solutions permettant de répondre aux besoins des professionnels. Bien avant la crise sanitaire, l’OPPBTP a pris conscience de l’importance du digital. Et y a décelé un fort potentiel, en particulier pour permettre d’engager facilement les actions de prévention et offrir aux professionnels un accompagnement personnalisé. D’où le lancement de cette nouvelle application. Une large palette d’outils digitaux de l’OPPBTP Grâce à elle, l’OPPBTP entend accompagner l’utilisateur, qu’il soit chef de chantier, chef d’équipe, préventeur ou opérateur. En apportant des réponses instantanées, tout en lui rappelant les bonnes pratiques de prévention. “Check Chantier” a ainsi vocation à renforcer la large palette d’outils digitaux déjà à disposition des professionnels. Avec une dimension ludique, innovante et profitant des technologies embarquées du smartphone. En somme, une application ergonomique munie de solutions et d’outils consultables en tous lieux. Des outils pour les professionnels sur le terrain L’application rassemble différents outils pratiques pour accompagner le professionnel sur le terrain : · Des modules de vérification pour les échafaudages. Le contrôle des matériels joue un rôle primordial pour assurer la sécurité des opérateurs sur le chantier. Celui des échafaudages de pied et roulants est même obligatoire et doit être réalisé régulièrement. · Des modules de vérification pour les engins. Grâce à des check-lists personnalisables, l’utilisateur est guidé pas à pas dans cette procédure, et peut générer et imprimer les rapports correspondants. Cette vérification permet de déceler de potentielles détériorations et d’assurer la sécurité des collaborateurs. · Un accès vers l’OPPBTP en ligne avec la possibilité de rentrer à tout moment en contact avec l’équipe de conseillers en ligne par chat, appel audio. Et d’accéder à la base de questions/réponses pour obtenir des informations complémentaires. Ou avec la possibilité de joindre un conseiller par chat ou visio-conférence en cas de besoin. Lire aussi : l’OPPBTP en mode formation · Le module “accueil” accompagne le nouveau collaborateur dès son arrivée dans l’entreprise, avant de l’affecter à son poste de travail. Cet outil permet de formaliser l’accueil du nouvel arrivant, rappelant la conduite à tenir en cas d’urgence ou d’accident. · Un module “urgence” met à disposition toutes les informations pour réagir et avertir les secours le plus vite possible. Avec notamment, la possibilité de pré-enregistrer son adresse et sa localisation GPS. Des consignes pour agir dans l’attente des secours sont aussi disponibles. · Des outils pratiques pour mieux s’approprier le chantier et ses environs. L’application propose la météo du jour pour se préparer à d’éventuels aléas, la localisation de sanitaires à proximité, mais aussi des applications suggérées comme un capteur de bruit et un luxmètre pour mesurer la lumière sur le chantier. · La mise à disposition de documentations et de passerelles vers le site de préventionbtp.fr pour répondre à toutes les problématiques. Et renforcer la culture prévention des professionnels du BTP avec des fiches métiers, des packs animation et des pastilles vidéo.
Il y a 2 ans et 172 jours

Novade annonce l'intégration avec Autodesk Construction Cloud

Cette intégration supprime les barrières entre les différentes équipes d'un projet de construction en permettant l'échange des données entre les plateformes Novade et BIM 360 de la suite Autodesk Construction Cloud.« Cette intégration entre Novade et Autodesk marque le début d'une longue série de relations entre Novade et différents acteurs technologiques. Notre but est de proposer un véritable écosystème connecté pour le secteur de la construction ». Explique Denis Branthonne, CEO de Novade. « Les entreprises technologiques doivent évoluer avec leur temps - nos clients veulent que leurs données se déplacent de manière transparente entre leurs systèmes et leurs applications. Plus nous pourrons aider l'industrie de la construction à éliminer les frictions liées à la donnée, plus vite l'industrie réalisera sa transformation numérique ».Novade digitalise tous les processus de construction sur le terrain tels que les inspections de sécurité, les fiches d'accueil, le suivi qualité ou les journaux de chantier. Autodesk BIM 360® est adopté par de nombreux acteurs de la construction à travers le monde et facilite la collaboration entre les équipes d'un projet, de la conception à la construction jusqu'à l'exploitation et la maintenance du site. Ces deux outils ont largement été adoptés par les plus grandes entreprises de la construction et de services ainsi que par les promoteurs immobiliers à travers l'Europe, l'Asie et le Moyen-Orient.En connectant les plateformes Autodesk et Novade, les utilisateurs peuvent désormais partager les données collectées sur chantier avec Novade, directement avec les utilisateurs sur BIM 360. De même, les utilisateurs de Novade sur le terrain peuvent désormais travailler avec les dernières versions des plans issus de BIM 360 et ainsi éviter les problèmes liés à l'utilisation des mauvaises versions.« Les projets de construction évoluent rapidement, les équipes sur le chantier et celles dans les bureaux doivent rester synchronisées pour s'assurer que tout le monde travaille sur des données à jour » déclare James Cook, responsable des intégrations chez Autodesk Construction Solutions. « En permettant aux clients d'échanger toutes les données et les documents du projet entre la plateforme de management projet BIM 360 et l'application terrain Novade, les équipes bureau et chantier peuvent renforcer la collaboration et minimiser les erreurs de communication et la ressaisie ». Tiong Seng, un des leaders de la construction à Singapour, est l'un des premiers à adopter l'intégration Autodesk de Novade. Colin Tan, Directeur Général de Tiong Seng Contractors Pte Ltd, déclare : « Pouvoir partager des informations entre nos logiciels existants est essentiel pour réduire les contraintes de notre industrie. Mes équipes disposent désormais d'une visibilité complète sur les projets ainsi que sur l'avancement, qu'elles soient sur site ou hors site, avec un accès au suivi qualité et sécurité en temps réel ».Pour permettre aux entreprises de la construction d'optimiser facilement la quantité colossale de données qu'elles collectent et gèrent, les entreprises technologiques cherchent des moyens de synchroniser, de partager et de rendre accessible leurs données.Pour résoudre ce problème, Novade a récemment lancé Novade Connect, un ensemble d'intégrations logicielles permettant une connexion « plug and play » avec les leaders du digital.
Il y a 2 ans et 172 jours

Lutte contre le mal-logement à Marseille : le début d'une nouvelle ère ?

"Le logement constitue à Marseille le plus grand défi pour les pouvoirs publics et sans doute pour de longues années encore", a prévenu le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christophe Mirmand.Dans cette cité de 860.000 habitants, "l'urgence est réelle" et "menace la cohésion sociale", a martelé le représentant de l'Etat.Derrière les chiffres accablants - 40.000 taudis, autant de demandes de logement sociaux en attente, 14.000 personnes sans solution de logement – se cachent des vies gâchées dans des appartements humides, aux fils d'électricité dénudés, pour des loyers exorbitants, des hommes et des femmes à la rue ou contraints d'occuper des logements murés ou indignes.Sitti Ahmed, une mère de famille de 50 ans, attend par exemple depuis onze ans un HLM en rez-de-chaussée adapté à son fils autiste qui "essaie de monter sur les fenêtres".Pour "relever Marseille", il faut s'y "mettre tous", a exhorté le maire Benoît Payan, dont l'union de gauche a conquis la municipalité deux ans après l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne qui avait fait huit morts, révélant l'inertie de l'ancienne majorité de droite.C'est à son initiative, même si la mairie n'a pas de compétence sur la politique du logement, qu'ont lieu lundi et mardi des états généraux sur ce sujet brûlant réunissant propriétaires, bailleurs sociaux et collectivités dont la Métropole Aix-Marseille-Provence.Cette dernière, qui n'a toujours pas adopté de Plan local d'habitat, pourtant essentiel pour planifier l'organisation du logement sur ce territoire comprenant Marseille et 91 communes principalement dans les Bouches-du-Rhône, a toutefois affiché ses bonnes intentions."Il y a une "volonté d'établir une chaîne d'action publique", a assuré le LR David Ytier, son vice-président au logement.Le mouvement HLM "n'attend que ça, de construire plus fort et mieux à Marseille et dans la métropole", a embrayé la présidente de l'Union sociale pour l'habitat Emmanuelle Cosse, alors que le manque de logements sociaux est criant."On attend du concret""C'est trop tard pour se dire qu'enfin ça bouge à Marseille. Mais il y a une vraie impulsion", a estimé auprès de l'AFP Francis Vernede, directeur régional de la Fondation Abbé-Pierre."On ne peut qu'être ravi de voir l'Etat, la ville et la métropole assis côte à côte, avec une volonté a priori d'oeuvrer ensemble. Après, on attend du concret, de la rénovation, du bâti, du logement abordable pour tous et ça c'est une politique globale qui va pas se faire tout de suite", a-t-il poursuivi.Construire d'abord: la métropole prévoierait 11.000 logements par an dans son futur Plan local d'habitat (PLH) 2023-2028 qui n'a toujours pas été dévoilé.Rééquilibrer la répartition ensuite sachant qu'une trentaine des 92 communes de la métropole ne respectent pas leurs obligations en termes de nombre de logements sociaux. Et qu'à Marseille même, les quartiers déshérités du nord de la ville comptent 40% de logements sociaux quand il n'y a en a que 10% dans les quartiers cossus du sud.Lutter contre les logements indignes aussi: "Je veux que les marchands de sommeil ne dorment plus", a martelé Benoît Payan en réclamant un renforcement des peines à leur encontre et notamment une interdiction d'acheter des logements pendant 30 ans et non pas seulement 10 ans. Il veut aussi pouvoir exproprier dans les copropriétés très dégradées.La mairie rappelle que certains immeubles sont dans un tel état qu'elle doit prendre "20 arrêtés de mise en sécurité par mois" avec les relogements qui vont avec. "Et ça ne va pas s'arrêter immédiatement", a prévenu Patrick Amico, adjoint au maire de Marseille.La Métropole vante de son côté les mérites de son "permis de louer" lancé dans le quartier de la rue d'Aubagne et qui lui permet d'empêcher un propriétaire de louer s'il ne fait pas certains travaux.Le ministre délégué au Logement Olivier Klein est attendu mardi à Marseille.
Il y a 2 ans et 172 jours

La Nouvelle-Aquitaine mise sur la géothermie pour réduire les factures de ses lycées

"Notre facture de gaz de janvier dernier avait triplé par rapport à celle de janvier 2021. Celle de février était cette fois égale à zéro", se réjouit Laurence Colin, proviseure du Lycée des métiers Condorcet, à Arcachon. Depuis février, cet établissement girondin qui forme les élèves aux métiers du tourisme ou de la restauration est l'un des neuf lycées néo-aquitains (sur 296) chauffés par géothermie.Le système, auquel sont éligibles quasiment tous les établissements de la région, est alimenté par les quatre puits de la société française Vermilion qui produisent du pétrole... mais aussi de l'eau chaude de 65 à 80 degrés, à 300 mètres de là. Grâce à un échangeur à plaques, les calories de cette dernière sont récupérées pour chauffer à son tour l'eau de la chaudière du lycée.Selon Laurence Colin, "on a eu un peu plus chaud cet hiver, sans doute car on n'avait pas à brider autant pour faire des économies".245.000 euros d'économieDeuxième ressource géothermale de France métropolitaine derrière le Bassin parisien, la Nouvelle-Aquitaine a déboursé ces six dernières années 15 millions d'euros pour installer cette source d'énergie dans ses établissements.Cet investissement sera "au moins doublé" dans les années à venir selon le vice-président du conseil régional Jean-Louis Nembrini qui rappelle que la région a dû "voter une rallonge de 10 millions d'euros pour soutenir les lycées qui n'arrivaient plus à payer les factures de gaz".Au Lycée Victor Louis de Talence, près de Bordeaux, l'eau est puisée en sous-sol puis une pompe à chaleur permet d'augmenter la température selon les besoins de l'établissement.L'installation, qui a coûté 2,3 millions d'euros, a permis une division par 10 des émissions de CO2 et de diviser quasiment par trois le coût d'exploitation (150.000 euros contre près de 400.000), selon la région. La facture de gaz est remplacée par une d'électricité, nécessaire au fonctionnement de la pompe.Si la crise énergétique remet un coup de projecteur sur la géothermie, elle a longtemps été délaissée par les collectivités."Il y a quelques années, au prix où était encore le gaz, il fallait compter des temps de retour sur investissement qui étaient souvent de 10 à 14 ans", explique Xavier Pujos, chargé de mission à la région.Et "même si on dit depuis les premiers sommets mondiaux qu'il faut réduire les émissions de CO2, on n'allait pas sur ce terrain".SéismesAujourd'hui, le retour sur investissement a encore diminué. Si une projection dans les prochaines années est difficile, "on n'aura jamais un prix de kilowatt de l'électricité quatre fois supérieur à celui du gaz", assure Xavier Pujos. Une augmentation qui annulerait les bénéfices de l'installation de Talence.Quid de la sécurité ? En 2019 à Strasbourg, un projet de géothermie profonde (eau puisée à plus de 1.500 m de profondeur) avait été mis en cause après plusieurs séismes.Un risque balayé par Xavier Pujos: "En Alsace, ils opéraient beaucoup plus profondément, avec des risques sismiques. De plus, il s'agissait d'une extraction de matière" contrairement aux exemples néo-aquitains où l'eau est réinjectée dans les sols pour éviter un déséquilibre."Les secteurs sur lesquels on a des points de vigilance comme des risques d'effondrement, des mouvements de terrains, sont identifiés", appuie Jérôme Barrière, hydrogéologue du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) de la région. La géothermie peut être envisagée mais après l'aval d'experts.Du côté du BRGM, on assure que les demandes de renseignement ont dernièrement augmenté."La géothermie est revenue sur le tapis à chaque grande crise énergétique. Le premier boom est apparu après le choc pétrolier de 1979".
Il y a 2 ans et 172 jours

Le Z’Tower, nouvel échafaudage roulant signé Tubesca-Comabi

Facile à manipuler grâce à sa légèreté (50 kg – hors plinthes), le Z’Tower peut être déplacé facilement par une seule personne. [©Tubesca-Comabi] Tubesca-Comabi lance le Z’Tower. Cet échafaudage roulant télescopique hyper polyvalent remplace le Nano’Tower. Et répond ainsi aux exigences des artisans du BTP. Il est adapté aux métiers de la finition. Le Z’Tower offre 7 niveaux de plancher (de 0,30 m à 1,80 m), soit 7 réglages de hauteur possibles tous les 25 cm, au lieu des 4 réglages précédemment. De plus, il permet de travailler à une hauteur maximale de 1,80 m contre 1 m. Comme le précise David Flour, chef de projetsBE de Tubesca-Comabi : « Il fallait faire un produit plus haut que le Nano’Tower, tout en apportant des améliorations conséquentes. Il fallait un produit compact, qui puisse s’utiliser à plusieurs hauteurs de travail ». Lire aussi : Tubesca-Comabi présente Nano’Tower Facile à manipuler grâce à sa légèreté (50 kg – hors plinthes), ce nouvel échafaudage peut être déplacé par une seule personne, permettant ainsi un gain de temps et de productivité considérable. Il a été ainsi pensé comme le compagnon de tous les chantiers. Le Z’Tower est équipé d’un plancher anti-dérapant intégré, de garde-corps et de stabilisateurs rétractables. Il propose un montage rapide et facile depuis le sol sans outil. Et garantit un travail conforme aux exigences du montage et démontage en sécurité (MDS). Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 172 jours

L’OPPBTP propose un pack sécurité pour mieux intégrer les personnels intérimaires

Comme tous les salariés du bâtiment et des travaux publics, et en particulier les nouveaux arrivants, ces collaborateurs ont besoin d’un accompagnement pour bien appréhender tous les aspects de la prévention et préserver ainsi leur santé et leur sécurité. Selon les axes prioritaires définis par son plan stratégique @Horizon 2025, l’OPPBTP lance une campagne ciblée sur l’intérim dans le BTP à compter du 2 novembre et jusqu’à la fin de l’année. Ce dispositif de communication, d’information et d’actions terrain a pour ambition de mobiliser les entreprises du BTP autour des problématiques de prévention des salariés intérimaires. Un « pack sécurité » est ainsi proposé, avec des conseils et des outils pratiques, pour anticiper l’arrivée des intérimaires, mieux les accueillir et les accompagner durant leur mission.Faire évoluer les mentalités autour de l’intérimEn raison de la grande diversité des activités et des variations importantes de charge au quotidien, le BTP fait fortement appel à l’intérim, lequel pâtit d’une forte sinistralité, bien supérieure à celle des salariés permanents. Qualité de l’intégration des intérimaires aux collectifs de travail et disponibilité des compétences requises, associées à la pression temporelle des chantiers, sont souvent à la base des trop nombreux accidents.Dans le cadre du plan @Horizon 2025, l’OPPBTP a retenu l’intérim parmi les thématiques d’action prioritaires pour baisser les accidents graves et mortels et améliorer les conditions de travail des salariés intérimaires. En 2022, l’OPPBTP lance donc une campagne auprès des entreprises du BTP. Une action auprès des entreprises de travail temporaire est envisagée pour 2024.L’OPPBTP propose, avec cette campagne 2022, de mettre en avant l’importance de la bonne intégration des salariés intérimaires dans les équipes et collectifs de travail en s’appuyant sur trois piliers :L’anticipation : définir précisément le rôle et les missions de l’intérimaire, évaluer ses compétences en particulier en termes de sécurité ;L’accueil : vérifier l’adéquation des compétences avec le poste proposé et s’assurer de la bonne compréhension des messages et des directives données ;L’accompagnement : nommer un compagnon tuteur pour guider l’intérimaire mais aussi veiller à intégrer ce dernier aux moments de prévention sur le chantier.Pour Julien Asselin, Directeur des campagnes ciblées en charge de la campagne intérim : « Bien souvent, les entreprises du BTP se focalisent sur l’accueil des intérimaires, mais un réel progrès est à faire pour anticiper l’arrivée et l’accompagnement du collaborateur durant sa mission. Il est important d’insister sur ces trois aspects car c’est leur combinaison qui va aussi améliorer la performance des chantiers et réduire les accidents. »À travers cette campagne l’OPPBTP souhaite aussi faire prendre conscience aux entreprises des bénéfices qu’elles peuvent retirer d’une bonne intégration de leurs intérimaires : réduction des accidents, amélioration de la performance des chantiers, montée en compétences grâce à un bon accompagnement, fidélisation du personnel et attractivité de l’entreprise, optimisation de la communication.Une campagne ciblée et complète à destination des entreprisesDès le 2 novembre et pour huit semaines, l’OPPBTP met en place cette campagne intérim à destination de toutes les entreprises du bâtiment et des travaux publics faisant appel au travail temporaire avec comme cible prioritaire les chefs d’entreprise, les référents prévention, les compagnons, les intérimaires...Pour cela l’Organisme a conçu sa campagne autour de trois axes essentiels :Le déploiement de moyens de communication importantsAfin de sensibiliser les entreprises au sujet de l’intérim, l’OPPBTP met à leur disposition un pack sécurité. Véritable boîte à outils, ce pack est disponible sur le site dédié de la campagne : www.LePackSECURITEinterimairesBTP.frPar ailleurs, un e-mailing sera diffusé aux entreprises ciblées et un dispositif de visibilité sera mis en place sur les réseaux sociaux ainsi que sur les sites d’information du BTP afin de renvoyer vers le site de la campagne.Une campagne d’information et de sensibilisationLes entreprises pourront retrouver une offre documentaire spécifique et très complète sur le site internet.Un large panel d’actions d’information avec des webinaires, des réunions terrain, des temps d’échanges au sein du réseau Club Avenir Prévention (Club Fidélité de l’OPPBTP);Des questions réponses traitant de l’ensemble des thèmes d’intérêt ;Des vidéos de sensibilisation et de témoignages ;Des fiches outils pratiques (demande de personnel intérimaire ; check-list intégration intérimaire ; liste de postes à risques particuliers ; formation obligatoire) ;Des kits d’information pour les salariés (quart d’heure sécurité ; réunion de sensibilisation...).À partir du mois de novembre, l’ensemble des entreprises du BTP recevront par mail un numéro de La lettre de Prévention BTP dans l’objectif de toucher un maximum d’entre elles.Une présence sur le terrain pour accompagner les entreprisesDurant toute la durée de la campagne, l’OPPBTP accompagnera directement sur le terrain des entreprises pour les aider à appréhender tous les enjeux liés au travail temporaire. L’Organisme proposera ainsi un diagnostic intérim aux entreprises qui le souhaitent. A partir d’un questionnaire sur leur organisation, les experts de l’OPPBTP étudieront leur situation et proposeront des solutions en phase avec leurs besoins.Cette action de proximité s’accompagne de la création d’une formation dédiée, « Accueil et formation Sécurité, réussir l’intégration de vos salariés permanents et temporaires » ainsi que d’une enquête en ligne à destination des chefs d’entreprises comme des compagnons.Les partenaires de l’OPPBTP sont aussi investis dans cette campagne : DGT, CNAM, CARSAT, INRS, CAPEB, FFB, FNTP, FSCOPBTP, SIST-BTP, ANACT à travers la mise à disposition de documentations et le relai de la campagne.
Il y a 2 ans et 173 jours

Trois immeubles évacués à Lille dans la nuit de samedi à dimanche pour un risque "d'effondrement"

Trois autres immeubles avaient déjà été évacués par la mairie cette semaine dans une autre rue, à quelques centaines de mètres.Samedi, les secours ont été appelés aux alentours de minuit rue Lepelletier, une artère commerçante au cœur du "vieux Lille", indiquent-ils dans un communiqué de presse. "Au total, ce sont 17 personnes au sein de trois immeubles qui ont été évacuées. Un périmètre de sécurité a été effectué et un arrêté de mise en péril a été rédigé par la mairie de Lille", précisent-ils.En début de matinée, des barrières de sécurité barraient l'accès d'une partie de la rue, a constaté une journaliste de l'AFP. Elles fermaient ainsi l'entrée de ces trois immeubles, d'un restaurant et deux boutiques situées au rez-de-chaussée, ainsi que d'une bijouterie et d'un opticien situés en face.Les secours "ont constaté des fissures au niveau du mur mitoyen" entre les numéros 28/30 et 32, explique la mairie de Lille dans son arrêté placardé sur place. "Selon les employés du restaurant l'Orange Bleue, la fissure qui existait déjà (...) a évolué en s'agrandissant les dernières 48 heures avec chute de torchis", et "des bruits de craquements ont été entendus" en fin de soirée, précise ce texte.Les services municipaux ont ainsi jugé nécessaire de "faire interdire l'accès" aux trois immeubles comptant au total une quarantaine d'appartements, et aux deux boutiques situées en face, jusqu'à ce que des expertises soient menées, selon l'arrêté.Mercredi, la ville avait déjà fait évacuer deux immeubles rue de la Monnaie, à quelques centaines de mètres. "Alertés par le syndic" de "l'existence de problématiques structurelles" sur un des deux bâtiments, les services municipaux avaient pu constater "des fissures inquiétantes", a expliqué la mairie à l'AFP.Après une expertise, un troisième immeuble, mitoyen, a dû être évacué vendredi. Au total, "une quinzaine de personnes" ont dû être relogées avec l'aide des services, dans des hôtels ou auprès de proches, a-t-on précisé de même source.Trois boutiques situées aux rez-de-chaussée des bâtiments ont dû être fermées.
Il y a 2 ans et 173 jours

Unilin Insulation : Découvrez la nouvelle gamme de plaques isolantes Utherm Sarking Anti-Slide

Performante, cette nouvelle gamme de plaques isolantes Utherm Sarking Anti-Slide permet de réaliser l’isolation par l’extérieur des toitures. Les plaques sont revêtues d’un parement multicouche étanche avec traitement anti-dérapant [1] conçu pour une très grande adhérence des chaussures de sécurité en cas d’intempéries lors de leur installation. De couleur marron, le revêtement est également anti-réfléchissant, ce qui offre un confort de pose supplémentaire aux charpentiers et couvreurs puisqu’il limite l’éblouissement, notamment en plein soleil. Le petit format (1200 x 1000 mm) permet aux plaques d’être légères et faciles à manipuler et minimise aussi la prise au vent. Il convient aux toitures très pentues ou complexes.Particulièrement adaptée au climat de montagne (>900 m), la gamme Utherm Sarking Anti-Slide se décline en deux modèles :Utherm Sarking K Anti-Slide, solution thermiquePlaque isolante en mousse de polyuréthane rigide type PIR revêtue sur les deux faces d’un parement multicouche étanche, avec un traitement anti-dérapant [1] sur la face supérieure.En savoir plus sur Utherm Sarking K Anti-Slide (unilininsulation.com)Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide, solution thermo-acoustiquePour le confort le plus complet dans l’habitat : thermique, d’été et acoustique. Complexe composé de l'Utherm Sarking K Anti-Slide et d’un panneau de fibre de bois orienté côté intérieur.En savoir plus sur Utherm Sarking K Comfort Anti-Slide (unilininsulation.com)En savoir plus sur Utherm Sarking K Anti-Slide et K Comfort Anti-Slide (batinfo.com)La pose des solutions Utherm Sarking Anti-Slide se fait en montagne sur platelage, avec pare-vapeur et étanchéité complémentaire obligatoire. Ces plaques, légères, permettent d’améliorer le confort au travail, avec une mise en œuvre et une découpe facilitées, et, en plus, un système de rainures languettes disposé sur les 4 côtés, pour un emboîtement simplifié. La plaque est par ailleurs très résistante à la compression, par exemple celle due aux charges de neige.Le saviez-vous ? Cette plaque est fabriquée en France, dans l'usine d'Unilin de Sury-Le-Comtal près de Saint-Étienne ![1] Même si ce revêtement est traité pour apporter plus de sécurité lors de la pose, les équipements de protection requis pour tout travail en hauteur doivent être utilisés.
Il y a 2 ans et 173 jours

Baromètre 2022 de la base INIES : toujours plus de données environnementales pour accompagner la RE2020

INIES, base de référence de la RE2020Entrée en vigueur depuis janvier 2022, la RE2020 est une étape majeure dans la décarbonation du secteur de la construction française. Son objectif est d’améliorer la performance environnementale des bâtiments neufs afin de diminuer leur impact sur le climat.Outil de référence pour l’application de la RE 2020 la base INIES permet à tous les acteurs de la construction d’évaluer l’empreinte environnementale des bâtiments neufs. Elle est aujourd’hui la plus grande base de données environnementales des produits et équipements de la construction (FDES, PEP Ecopassport®, DED et DES) et s’impose comme la seule source de données aussi riche en Europe pour permettre d’alimenter les logiciels d’ACV Bâtiment.Conscient de leur rôle central pour la mise en application de la RE2020, les fabricants de produits de construction et d’équipements se sont d’ailleurs une nouvelle fois engagés activement dans une démarche volontaire des déclarations de leurs solutions, 100% vérifiées, numérisées puis mises à disposition gratuitement..Ainsi, au 31 août 2022, la base INIES compte un total de 5 389 données (en hausse de 28% par rapport au baromètre 2021) dont :3 190 FDES (+29% par rapport au 31 décembre 2021) représentant 676 086 références commerciales599 PEP (+14% par rapport au 31 décembre 2021)1 495 DED dont 1009 produits de construction et 486 équipements105 données conventionnelles dont 33 lots forfaitaires et 72 données conventionnelles de services (DES)343 organismes déclarants de FDES et 51 organismes déclarants de PEP (dont 100 nouveaux déclarants de FDES et 5 pour les PEP depuis 2022)Cette très forte croissance du nombre de déclarants témoigne de la démocratisation de la réalisation des déclarations environnementales accompagnant la RE2020.Côté famille de produits et équipements, le Baromètre 2022 INIES donne une vision précise des différentes familles représentées. Tout comme dans le Baromètre 2021, on note que l’isolation enregistre toujours le plus grand nombre de FDES (1202), devant le secteur des produits pour le cloisonnement et les plafonds suspendus (493) et ceux pour la structure/maçonnerie/gros oeuvre/charpente (356), secteur qui occupe la troisième place exæquo avec les revêtements de sols et murs/peinture/produits de décoration (356).Pour les PEP, les appareillages d’installation pour le secteur des réseaux d’énergie électrique et de communication dominent toujours le classement côté équipements avec 313 documents renseignés et vérifiés, suivis par les équipements de génie climatique (146) puis ceux dédiés à la sécurité du bâtiment (41).Il est important de rappeler que la Base INIES fournit les informations nécessaires pour le calcul de l’impact environnemental global du bâtiment. Ainsi elle va au-delà de l’indicateur « carbone » et intègre également des informations sur le stockage du carbone biogénique présent dans l’atmosphère pendant la durée de vie des bâtiments ; la quantité de matériaux issus de ressources renouvelables, recyclées ou recyclables qui leur sont incorporées pour l’économie circulaire ; des informations sanitaires pour renseigner sur la contribution du produit à la qualité de l’air intérieur du bâtiment. C’est la prise en compte de l’ensemble de ces indicateurs qui permet d’évaluer la performance environnementale et sanitaire du bâtiment.INIES : les nouveautésPour permettre à tous d’accéder facilement à la base de données INIES, un nouveau site a été mis en place depuis fin 2021. Ce dernier s’est enrichi de 5 nouveaux motions design à vocation pédagogique. Des courtes vidéos sont accessibles dans l’objectif de partager, de façon simple et ludique, les informations clés concernant la base INIES, les FDES et les PEP.Concernant les équipements du génie climatique, la base de données de déclarations environnementales du programme PEP a été entièrement repensée et offre désormais une nouvelle interface d’enregistrement et de consultation avec de nouvelles fonctionnalités.À la demande des spécialistes de l’ACV bâtiment en charge de contrôler la qualité des ACV de bâtiments, une nouvelle interface à été mise à disposition afin de faciliter le contrôle du calcul de la contribution des composants du bâtiment selon la RE2020.Les données manquantes pour la RE2020Malgré la progression constante de la base INIES depuis bientôt 20 ans et une forte mobilisation des fabricants, certaines données manquent encore à l’appel pour la RE2020.Afin d’encourager les fabricants à fournir les déclarations environnementales de leurs produits, la base INIES publie dans son Baromètre 2022 la liste prioritaire des familles de produits et d’équipements pour lesquelles les déclarations sont manquantes.#FaistaFDESAppuis de baieBoisseaux et Conduits de fumisterieCharpentes aluminium et bétonComplexes de doublage : plâtre + polystyrène extrudéColles (charpente, réparation), masticsCuves et réservoirsÉviers, lavabos et receveurs de douche en matériaux de synthèse et acier inoxydableEscaliers et mains courantesÉléments de couverture en petits et grands éléments : PVC, bois, fibre ciment, pierre, zinc…Fondations bois massif et préfabriquées bétonIsolants acoustiques pour cloisons : fibre de coton, de lin, laine de mouton, laine et fibre de boisIsolants thermiques et acoustiques : laine, liège expansé, sous-vide, verre cellulaire, chenevotte, perlite…Isolation répartie non porteuse : torchisGaines et fourreauxGarde-corps en bois, PVC, polycarbonate…Membranes pour façade légère : parevapeurMousse PUPlafonds suspendus / plafonds tendus PVCPortes bois reconstitué, portes PVCProduits de finition/décoration : plinthes, papiers peints, pierres naturelles…Primaires de préparation de supportProduits d'étanchéité et d'imperméabilisation pour murs enterrésRéseaux d’évacuation et d’assainissement (acier, béton, PE)Réseaux adduction gaz (PE, acier)Système de drainage (PVC et PP)Tomettes en terre cuite#FaistonPEPBatteriesBlocs multiprisesCaissons de ventilation, centrale doux flux, filtresChaudières gaz, fioul, hybrideCoffrets VDI, coffrets étanches, connectiqueCogénérateurs photovoltaïques, convertisseurs, régulateursCoudes et accessoiresCheminent de câbles : goulottes, boîtes…Convecteurs, unités de confortDiffuseurs d’air : terminaux, entrées, bouches d’extractionDisjoncteurs divisionnaires, fusibles, interrupteurs, variateurs, délesteurs, minuterieFibre optiqueFils et Câbles non isolés ou chauffants, câbles Haute tensionMatériels d’éclairage : encastrés, appliques, projecteurs, luminaires/bornes extérieurs…Motorisations d’ouverturePoints d’accès wifi, répartiteursSystème de désenfumage (grilles, volets, caissons…)Systèmes de diffusion sonore : sonnettes, haut-parleursSystèmes de sécurité incendie, éclairages de sécurité et vidéosurveillanceLa base INIES regroupe :les Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour les produits de la construction ;les Profils Environnementaux Produits (PEP) pour les équipements électriques, électroniques et de génie climatique.des données environnementales par défaut (DED)des données conventionnelles de service (DES).Télécharger le Baromètre INIES 2022
Il y a 2 ans et 173 jours

Qualité de l'air intérieur : concilier renouvellement d'air et performance énergétique

Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer. Le renouvellement d’air et la ventilation sont donc fondamentaux afin de satisfaire les exigences de confort et de santé des occupants.Afin d'atteindre les objectifs ambitieux en matière d'économie d'énergie et de lutte contre le réchauffement climatique, l’enjeu majeur est de maintenir un environnement intérieur de qualité (confort thermique, qualité d'air intérieur - QAI, confort acoustique) tout en réduisant les consommations énergétiques du bâtiment.La nécessité d’une bonne qualité de l’air et du renouvellement d’airNous passons aujourd'hui 90% de notre temps en milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution jusqu’à dix fois plus élevé que l’air extérieur. Les effets nocifs de la pollution de l’air intérieur sur la santé des occupants ne sont plus à démontrer : syndrome du bâtiment malsain, asthme, effets cocktails, effets sur les performances du travail. On estime aujourd’hui le coût des effets socio-économiques d’une mauvaise qualité de l’air intérieur en France à 19 milliards d’euros par an pour 6 polluants seulement (voir sources 1). Véritable problématique sociétale car liée à la santé publique, l’amélioration de la qualité de l’air intérieur (QAI) passe par une ventilation performante avec des systèmes qui doivent répondre à un double défi : celui d’assurer un renouvellement de l’air suffisant tout en limitant au maximum l’impact énergétique. Pour ce faire, il faut travailler sur la réduction des consommations énergétiques directes liées à la consommation des auxiliaires et celles indirectes liées au renouvellement d'air (besoins de chauffage et de refroidissement).Les leviers d’action sont au nombre de trois : Agir sur la consommation électrique des ventilateurs avec l’utilisation de moteurs à commutation électronique (EC), dont la vitesse régulée permet de réduire sa consommation, et l'optimisation des rendements des ventilateurs. Optimiser le renouvellement d’air. Cela s’effectue de deux façons principalement : via la notion de balayage (amenée d'air dans les pièces de vie et extraction dans les locaux pollués), très présente en France, et via la modulation des débits en habitat et en tertiaire. Cette modulation permet d’adapter les débits d'air au besoin réel.Récupérer l’énergie sur l’air extrait en utilisant des échangeurs de chaleur (à plaque ou à roue) entre l'air extrait et l'air neuf et en utilisant l’air extrait comme source pour les appareils multifonctions (pompe à chaleur ou chauffe-eau thermodynamiques). Quels sont les enjeux du renouvellement de l’air ? Le premier enjeu est de satisfaire les exigences de santé et de confort des occupants en amenant l’air neuf de l’extérieur, en évacuant l’air vicié et en diluant les polluants. Le deuxième enjeu est de contribuer à la préservation du bâtiment en évitant les risques de condensation et donc le développement de moisissures. Le renouvellement d’air peut se faire de trois façons : les infiltrations d’air résultant de la perméabilité du bâtiment. Non maîtrisables, elles sont aujourd’hui incompatibles avec les exigences d'étanchéité à l'air des bâtiments. l’ouverture des fenêtres qui permet d'amener de façon ponctuelle un débit d'air élevé, notamment après un pic d’activité. Cependant, cette méthode reste étroitement liée à l’usager et aux contraintes extérieurs (climatique, acoustique, effraction…). Il n'est donc pas possible de s’en remettre à cette seule solution pour assurer une bonne QAI. un système de ventilation pour assurer le renouvellement d’air des bâtiments. Grâce à un apport d'air localisé, une maîtrise des débits et un traitement complet du bâtiment, cette solution est la plus probante et la plus efficiente. Ces systèmes de ventilation doivent satisfaire à des exigences portant notamment sur la performance énergétique, la sécurité incendie, le confort acoustique, le développement durable. Le cas échéant, ils doivent également être compatibles avec le bon fonctionnement des appareils à combustion, afin d'éviter les inversions de tirage. Il existe plusieurs leviers d'action afin d'améliorer l'efficacité du système de ventilation pour préserver une bonne QAI tout en réduisant les consommations énergétiques. Épurer l’air, un levier d’amélioration de la QAI bien connu Une première solution consiste à épurer l'air, soit avec différents types de média filtrant (fibres de verre, fibres, filtres avec traitement électrets…), soit par d'autres technologies (ionisation, photocatalyse, etc.). Cela va ainsi permettre de réduire le niveau de particules de l'air venant de l'extérieur, les pollens, les micro-organismes, les germes ou autres bactéries pénétrants dans les locaux (épuration intégrée à la ventilation) ou présents dans l'air ambiant (épurateur d'air autonome). Toutefois, à l'inverse d'un système de ventilation qui extrait tous les polluants de l'air sans distinction, l'épuration d'air ne traite qu'une famille cible de polluants (chimiques, bactériens ou particulaires). Il faut donc associer plusieurs techniques d'épuration si l'on veut traiter tout le panel des polluants. De plus, certains polluants ne sont pas traités par l'épuration (CO2 par exemple). L'épuration ne peut donc pas être à elle seule la solution. Elle doit être associée à une ventilation performante. La ventilation intelligente, un levier d'avenir La définition donnée par l'AIVC (sources 2) pour la ventilation intelligente des bâtiments est la suivante : "La ventilation intelligente est un processus d'ajustement permanent du système de ventilation au cours du temps, et éventuellement selon l'emplacement, pour fournir la qualité d'air intérieur (QAI) souhaitée tout en minimisant la consommation d'énergie et la facture énergétique, ainsi que d'autres inconvénients non liés à la QAI, comme par exemple l'inconfort thermique ou le bruit". Un système de ventilation intelligente réagit notamment à la présence d’occupants, à des critères de QAI, des besoins du réseau électrique, de température ou d’humidité relative extérieure, à de la pollution intérieure ou au fonctionnement d’autres systèmes. D’après une étude du CETIAT concernant les bâtiments tertiaires (sources 3), le taux d’occupation moyen d’un bureau est de 40 % et de 10 % pour une salle de réunion, ce qui tend à prouver l’intérêt de recourir à la modulation des débits. Cette modulation va être liée à des capteurs d’humidité (ce qu’on connaît surtout dans le secteur résidentiel avec les systèmes hygroréglables), de détection de présence (dans les toilettes et dans les bureaux dans le tertiaire), un comptage optique et des capteurs de CO2. La modulation de débit peut se faire soit par zone, au niveau des terminaux ou d'une branche complète du réseau aéraulique, soit à l'échelle complète du bâtiment en agissant directement sur le ventilateur. Afin de vérifier et de valoriser l'efficacité des systèmes de modulation de débit, différentes certifications existent tant au niveau français (NF, QB) qu'européen (Eurovent, Passivhaus). Les performances des produits et les valeurs annoncées par les fabricants sont ainsi contrôlées par un organisme tiers indépendant. Les équipements de ventilation, une fois installés, doivent être vérifiés. Dans le résidentiel neuf, la réglementation environnementale RE2020 a inscrit dans ses textes l’obligation de vérification des systèmes de ventilation par un professionnel indépendant. Un indicateur de conformité sera inscrit dans l’attestation RE2020, l’usager pourra donc avoir une information précise sur la conformité de son installation.La QAI est l’affaire de tous lors de la construction d’un bâtiment : de la programmation à la phase d’exploitation et au fonctionnement, tous les corps de métiers liés à la construction des bâtiments sont acteurs de cette qualité d'air intérieur. On perçoit depuis quelques temps que l'impact des bâtiments sur la santé et le bien-être des occupants prennent une place de plus en plus importante au sein de l'opinion publique, au même titre que la performance énergétique.1 : Rapport ANSES-CSTB, avril 2014 - https://www.oqai.fr/fr/campagnes/cout-socio-economique-de-la-pollution-de-l-air-interieur - Polluants étudiés : benzène, radon, trichloroéthylène, CO, particules, fumée de tabac environnementale2 : F. DURIER, R. CARRIÉ et M. SHERMAN. "Qu'est-ce que la ventilation intelligente (smart ventilation) ?". Ventilation Information Paper n° 38, mai 2018 - https://www.aivc.org/sites/default/files/VIP38_french.pdf3 : Note Technique CETIAT NTV 2000/071, "Modulation de débit", 176 pages, Septembre 2000Tribune de Benoît Golaz, chargé d'affaires Systèmes Aérauliques Ventilation au CETIAT (Linkedin)
Il y a 2 ans et 174 jours

EAS SOLUTIONS présente PROSITE , une nouvelle gamme de projecteurs LED conçus pour l’éclairage en environnement difficile et de grande hauteur

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, présente la gamme de projecteurs LED   haut rendement ProSite de Dialight. Robustes, étanches et très économes en énergie, les projecteurs LED ProSite délivrent un éclairage ultra puissant qui offre une excellente visibilité permettant la sécurité des opérations à l’intérieur comme à l’extérieur. Conçus pour fonctionner dans des […]
Il y a 2 ans et 174 jours

Eqiom : Une démarche environnementale très globale

Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine. Christophe Bignolas, président d’Eqiom Bétons. [©ACPresse] Comme pour la plupart des acteurs du béton, les dirigeants d’Eqiom doivent faire face au défi de la décarbonation. Christophe Bignolas, directeur général d’Eqiom Bétons, en détaille les modalités : « Près de 90 % de l’empreinte carbone de 1 m3 de béton provient du ciment, d’où l’intérêt de développer trois grands axes. D’une part, utiliser un clinker bas carbone, voire zéro carbone. Puis, viser à réduire la part de clinker dans le ciment. Enfin, diminuer le pourcentage de ciment dans le béton, jusqu’à des limites réalistes, en termes de normes et de résistance des matériaux ». Lire aussi : La certification RSE “Exemplarité” pour Eqiom Bétons Cette politique environnementale se décline aussi au niveau des centrales, implantées pour certaines, dans ou à proximité, de centres urbains denses. Comme souvent, les dirigeants ont dû mettre au point des solutions qui satisfassent toutes les parties : la production de béton prêt à l’emploi, la circulation des toupies, mais aussi celle des riverains. En parallèle, Eqiom s’intéresse au développement des véhicules électriques, au remplacement du gazole par du bio-fioul, aux progrès de l’hydrogène… Toutes les pistes qui peuvent permettre de participer, à terme, à la réduction des pollutions en milieu urbain. Ces démarches sont complétées par des développements importants au niveau des économies d’énergie en production. En remplaçant le coke de pétrole et le charbon par des déchets combustibles, par ailleurs difficiles à valoriser. Toujours au niveau de la production, l’avenir s’écrit au travers du programme K6, qui devrait permettre d’atteindre la neutralité carbone par captage du CO2. Intégrer des centrales dans des sites urbains L’intégration de centrales à béton dans un site urbain nécessite des approches très fines, en termes travail visuel et de limitation des nuisances. [©Eqiom] Plusieurs centrales à béton Eqiom sont situées dans des sites urbains et le long de voies navigables, dans une logique de proximité des chantiers et d’acheminement des sables et graviers par voie d’eau. De telles implantations nécessitent des approches très fines, tant au niveau de l’intégration dans le site que de la limitation des nuisances. Des paramètres liés à la sécurité doivent aussi être pris en compte. En effet, certains de ces sites sont situés sur des quais en partie ou en totalité accessibles au public, dans un contexte de mutualisation des espaces. Lire aussi : Christophe Bignolas, à la tête d’Eqiom Bétons Par exemple, l’intégration dans le site de Pais-Tolbiac se traduit par des équipements de hauteur limitée, des volumes discrets et des teintes “pastel” qui permettent de se fondre dans le décor. L’organisation linéaire du process favorise l’intégration le long des quais de la Seine, les différentes zones inaccessibles au public sont délimitées pour éviter toute intrusion, incident ou accident. Récemment, un trottoir pavé a même été mis en place le long de la centrale, pour assurer une continuité totale aux joggeurs du quartier. Les contraintes de bruit et d’empoussièrement sont traitées de longue date. Tout ce qui est produit passe par un filtre dépoussiéreur. Les malaxeurs sont encapsulés. Les camions ne doivent pas utiliser leurs avertisseurs sonores… « Ces sujets sont acquis et ne sont dorénavant plus un problème », indique Christophe Bignolas. Réutiliser les bétons de déconstruction L’implantation d’une centrale au milieu d’un espace laissé public impose des mesures de prévention spécifiques. [©Gérard Guérit] En majorité, les bétons de déconstruction sont réutilisés en remblaiement de carrière et en application routière. La direction d’Eqiom a développé l’économie circulaire autour de plusieurs axes. Tout d’abord, la maîtrise des impacts industriels sur les sites de production. Puis la mise en place d’une logistique qui privilégie le transport par bateau. Enfin, le développement d’une offre de solutions constructives durables. L’ensemble des process de conception et de production est concerné. En particulier pour ce qui concerne la production de bétons bas carbone, mais aussi vis-à-vis de l’utilisation des granulats recyclés. Dans ce cadre, Eqiom a implanté en Ile-de-France une plate-forme de valorisation des bétons issus de chantiers de démolition de la région. « Le vrai défi est de voir comment nous pourrions atteindre 100 % de revalorisation des bétons de déconstruction et ceci, de façon réaliste, explique Christophe Bignolas. Lorsque qu’il y a incorporation dans des ouvrages plus techniques, tels ceux du bâtiment, il est nécessaire de prendre en compte que ces bétons de déconstruction peuvent être moins bons au plan qualitatif que des granulats neuves. De par leur composition, forme et teneur en fines, impliquant un dosage en ciment plus important. Une démarche qui va à l’encontre du but recherché en termes de décarbonation. Nous estimons qu’il est possible d’intégrer jusqu’à 10 % de bétons recyclés dans le BPE. Sachant que leur utilisation n’est pas possible pour tous les bétons. » Par ailleurs, le recyclage concerne les eaux de lavage (malaxeurs, toupies, équipements…) qui sont traitées, filtrées et réintroduites dans le circuit de fabrication. En général, chaque centrale possède deux circuits d’eau, dont un dédié à la récupération des eaux pluviales. Capter le CO2 très en amont Plate-forme de recyclage des bétons de déconstruction de Gennevilliers (92). [©Eqiom] La politique environnementale d’Eqiom se veut offensive à tous les niveaux. La recherche de la neutralité carbone passe par des projets très importants au niveau des unités de production. A ce jour, trois sites – Lumbres dans le Nord, Herning, en Alsace, et Rochefort-sur-Nenon, dans le Jura – sont en cours de modernisation. L’objectif est de diminuer de façon importante la consommation des fours qui utilisent, en temps normal, du coke de pétrole et du charbon. Des combustibles plus intéressants au niveau économique que le gaz ou le fioul. « Nous arrivons ainsi à réduire de 70 % notre consommation de ces combustibles fossiles, explique Christophe Bignolas. La méthode consiste à les remplacer par des déchets difficilement valorisables , comme les papiers, les résidus de l’industrie, les solvants… La seule contrainte est de devoir  adapter les brûleurs. » Les avantages sont nombreux : utilisation de combustibles locaux, de combustibles plus économiques, d’une empreinte carbone moindre du fait d’une part de biomasse. Cela permet aussi l’intégration des concepts d’économie circulaire… Sans oublier que l’on évite ainsi que ces déchets soient brûlés, par ailleurs, dans un incinérateur. Lire aussi : K6, le programme Eqiom de séquestration du CO2 Néanmoins, ces installations, même optimisées, restent émettrices de CO2. Le programme dénommé K6 va beaucoup plus loin, puisqu’il vise à liquéfier et à stocker le CO2dans des sites de séquestration en mer du Nord. Un dossier de candidatures a été déposé au niveau de l’Union européenne. Sept projets ont été retenus. Le seul pour la France est celui d’Eqiom. Gérard Guérit Article paru dans le n° 103 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 174 jours

Ille-et-Vilaine : Des pavés ultra drainants par la Sfac

Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine La solution AquaSfac d’une résistance de 5,4 MPa présente une drainabilité importante.[©Pigeon] Société du groupe Pigeon, la Sfac a développé un nouveau pavé drainant. Baptisé AquaSfac, celui-ci allie esthétisme, durabilité et performances. Et bénéficie de près de 10 ans de savoir-faire en matière de production de solutions drainantes. Ce nouveau pavé en béton bi-couche présente une résistance de 5,4 MPa, bien supérieure à la valeur caractéristique moyenne de 3 MPa exigée par le référentiel de certification NF 072… L’AquaSfac se caractérise par une drainabilité conséquente, avec une capacité d’absorption de l’eau de 36 l/m2. Autre point singulier, il offre aussi une facilité de pose accrue de par la présence d’écarteurs et au non-scellement des pavés. Lire aussi : Ille-et-Vilaine : Son béton à portée de clics avec le groupe Pigeon Côté esthétique, la Sfac propose une variété et répond à la réglementation. Ce produit est disponible en trois dimensions (en cm : 10 x 20 x 8, 20 x 20 x 8 et 30 x 20 x 8) avec deux options d’écarteurs (15 mm et 30 mm). Disponible sur le marché depuis le début juillet 2022, ce produit est proposé sur une zone de chalandise couvrant la partie Grand Ouest de la France. de coloris pour ce pavé, avec 6 teintes de base et personnalisables. Grâce à la perméabilisation limitant les risques de chute et de glissade, ce produit est synonyme de sécurité Article paru dans le n°103 de Béton[s] le Magazine Retrouvez nous sur tous nos réseaux sociaux en cliquant ici !
Il y a 2 ans et 176 jours

Devant les maires de France, Elisabeth Borne promet écoute et simplifications

CONGRÉS DES MAIRES. ZAN, amortisseur électricité, filet de sécurité, remplacement de la CVAE par une part de TVA... En conclusion du grand rassemblement annuel des maires de France, la Première ministre n'a pas éludé les principaux sujets de préoccupations des élus, prônant une adaptation des dispositifs basée sur l'échange et la coconstruction entre Etat et pouvoirs publics locaux.
Il y a 2 ans et 177 jours

Salon des maires et des collectivités locales : accélérer la transition écologique par, pour et avec les territoires

3 questions à... Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoiresPourquoi le salon des maires et des collectivités locales est-il un rendez-vous important ?« Pour nous le salon des maires, c’est la possibilité d’échanger avec une très grande diversité d’elus, venus de communes rurales comme de grandes métropoles, en attente d’aides et d’accompagnements adaptés à leurs spécificités. Sur le Salon, on vous apporte des solutions et on prend vos solutions. »Pourquoi le ministère y est-il présent ?« C’est la première fois que nous serons présents au nom de ce grand ministère qui réunit la transition écologique et la cohésion des territoires et c’est en soi déjà tout un symbole.Face à l’urgence climatique, la France s’est engagée fortement pour atteindre une baisse de 55% d’émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport aux années 1990. Pour tenir ces engagements ambitieux, l’État aura besoin du concours des collectivités locales et nous serons présents pour leur apporter des solutions.Aux côtés des citoyens, les élus locaux sont en première ligne face aux aléas climatiques. Les collectivités locales sont aussi, du fait de leur patrimoine et de leurs compétences, les premières à investir pour le climat, à mettre en place des stratégies et des plans d’actions, à mobiliser les acteurs du territoire ou encore à imaginer des solutions innovantes. L’État souhaite s’appuyer sur cette dynamique. Ainsi, si les grandes priorités sont fixées et les moyens mobilisés au niveau national, c’est bien à l’échelon local, au bloc communal, de mettre en œuvre les actions pertinentes. L’accélération, indispensable, de nos politiques de décarbonation et d’adaptation au changement climatique doit s’appuyer sur les maires, qui tous les jours mesurent les effets des actions sur le quotidien des Français. Cette proximité est le gage de l’efficacité.Il nous faut alors unir les énergies et faire converger les actions aux échelles nationale et locale. Plus que jamais, l’État souhaite accompagner les collectivités locales sur ce terrain et les doter des outils et des moyens nécessaires. »Pourquoi un village avec nos partenaires ?« Cette année, notre présence au Salon des maires et des collectivités locales s’adapte à la nouvelle organisation ministérielle. Notre stand devient Le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires.Il regroupe nos principaux opérateurs : l’Agence de la transition écologique - Ademe, les Agences de l’eau, l’Agence nationale de l’habitat, l’Agence nationale de la cohésion des territoires, le Bureau de recherches géologiques et minières, le Centre de ressources scientifiques et techniques dit Cerema, le Commissariat général au développement durable, l’Institut national de l’information géographique et forestière, la Direction générale des collectivités locales, Météo France, l’Office français de la biodiversité, Voies navigables de France.Sur le Village, les opérateurs pourront échanger avec les acteurs locaux et les informer sur tous les programmes, solutions, aides, incitations que le ministère met à leur disposition pour accélérer la transition dans leurs territoires.La présence du ministère et de ses opérateurs sur le Village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires du Salon des maires répond à notre volonté d’écouter les élus et de leur fournir les solutions, l’expertise et l’ingénierie dont ils ont besoin. »3 questions à... Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétiqueComment les collectivités locales peuvent-elles être des moteurs en matière de sobriété énergétique ?« Eclairage public, transports, bâtiments, équipements sportifs ou culturels, les collectivités locales sont en première ligne pour porter la sobriété énergétique. Beaucoup n’ont d’ailleurs pas attendu l’État pour agir contre le réchauffement climatique et pour réduire leur facture énergétique. Le plan sobriété, présenté le 6 octobre dernier, sous l’égide de la Première ministre, leur a permis de définir des mesures efficaces, pour économiser 10% de leur consommation d’électricité, de gaz et de carburant, d’ici fin 2024.Ma responsabilité est d’être en appui des élus, de remettre à leur disposition l’expertise de nos opérateurs, de faciliter le partage d’expérience et de bonnes pratiques, de lever des verrous législatifs et réglementaires. Je souhaite aussi que l’État accompagne financièrement les collectivités locales dans leurs investissements. C’est dans cette optique que j’ai mobilisé 220 millions d’euros supplémentaires dans le programme CEE ACTEE+ pour soutenir des projets d’éclairage public ou de rénovation de piscines. Plus largement, le Fonds vert doit aider à financer les projets de décarbonation. »Quelles sont les conséquences pour les collectivités du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables actuellement examiné au Parlement ?« Ce projet de loi, c’est un nouveau pacte territorial entre l’État et les collectivités locales pour que la France soit - enfin ! - à la hauteur de ses objectifs de déploiement des énergies renouvelables et donc, de ses objectifs climatiques. Les Maires sont remis au cœur du processus et décident des zones prioritaires où ils souhaitent voir se développer les projets. La planification se fait en partant de la réalité du terrain et évite un déploiement anarchique des installations.Le projet de loi donne aussi des outils financiers aux collectivités locales pour maîtriser à long terme leur coût de l’énergie sur le modèle des réseaux de chaleur, simplifie les procédures et rend possible l’installation de panneaux photovoltaïques dans des zones dégradées. C’était une demande des élus !Dans ce cadre, l’État doit avoir un rôle de facilitateur, par exemple, en mettant en avant les zones désignées par les Maires auprès des porteurs de projet et en assurant une instruction prioritaire des projets sur ces zones. Des effectifs nouveaux seront déployés au sein de l’État pour instruire plus vite les projets : nous avons aussi entendu ce message des élus ! »Face à la crise énergétique, comment l'État protège-t-il les collectivités ?« Face à cette crise inédite, des mesures fortes ont été prises dès le début de l’année 2022 : bouclier tarifaire pour les très petites collectivités locales, baisse de la fiscalité énergétique, augmentation exceptionnelle du volume d’Arenh pour l’année 2022 ou encore mécanisme du filet de sécurité.Pour l’année 2023, le bouclier tarifaire et le filet de sécurité seront reconduits, de même que la baisse de la fiscalité sur l’électricité. Pour les collectivités plus importantes, un dispositif complémentaire est introduit pour amortir le coût de l’électricité. Il permet de réduire la facture d’environ 100 €/MWh pour une collectivité locale ayant signé un contrat à des prix de l’ordre de 500 €/ MWh. C’est donc 20% de la facture qui sera prise en charge par l’État, directement en pied de facture, sans dossier à instruire. Ce paquet de mesures de soutien pour 2023, complété par une Charte fournisseur et une publication toutes les semaines par la Commission de régulation de l’énergie des prix de référence de l’électricité, permettent aux collectivités locales de renouveler leur contrat dès maintenant dans les meilleures conditions !Face à la crise, nous ne laisserons pas tomber les élus de terrain ! »La parole à... Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales« Au plus des réalités du terrain et des besoins de nos concitoyens, les maires sont les premiers artisans de la réussite de nos politiques publiques.Notre ambition, c’est celle d’un État accompagnateur, et non plus prescripteur, qui soit au service de leurs projets et de leurs initiatives innovantes.Un État accompagnateur, qui leur permette de faire face à l’inflation et de la hausse du coût de l’énergie.Un État accompagnateur, qui leur donne la stabilité et la lisibilité nécessaires sur leurs finances pour continuer à investir.Un État accompagnateur, enfin, qui leur permettre d’accélérer leur transition écologique.Ensemble, construisons le développement durable de tous les territoires !Pour la première fois, les visiteurs seront accueillis par des élus ambassadeurs de la transition écologique, sur notre village. »Le Fonds vert, 2 milliards d’euros pour accélérer la transition écologique dans les territoiresL’État mobilise 2 milliards d’euros dès 2023 au titre du fonds vert. Ce nouveau fonds inédit permettra de concrétiser les projets des collectivités locales engagées dans la transition écologique. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert est un levier supplémentaire de soutien au développement des territoires.Le fonds vert répond à un triple objectifRenforcer la performance environnementaleCette action vise à encourager la performance énergétique, tout en favorisant le respect de la biodiversité : La rénovation énergétique des bâtiments publics locaux Le soutien au tri à la source et à la valorisation des biodéchets La rénovation des parcs de luminaires d’éclairage public Adapter les territoires au changement climatique Les risques climatiques auxquels sont exposés nos territoires imposent des actions d’adaptation pour préserver les vies humaines autant que les espèces animales et végétales: La prévention des inondations L’appui aux collectivités de montagne soumises à des risques émergents Le renforcement de la protection des bâtiments des collectivités d’outre-mer contre les vents cycloniques La prévention des risques d’incendies de forêt L’adaptation des territoires au recul du trait de côte La renaturation des villes Améliorer le cadre de vie La transition écologique est l’occasion d’améliorer nos cadres de vie tout en conciliant l’activité humaine avec la préservation de son environnement naturel : L’accompagnement du déploiement des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) Le recyclage des friches L’accompagnement de la stratégie nationale biodiversité 2030 (SNB)Les mesures de soutien aux collectivités localesAugmentation de la dotation globale de fonctionnementDans le cadre du PLF pour 2023, le Gouvernement a consenti un effort exceptionnel et historique s’agissant de la dotation globale de fonctionnement des collectivités locales. Pour la première fois depuis 13 ans, la dotation globale de fonctionnement augmentera de 320M€, ce qui permettra de préserver la dotation de près de 95% des collectivités.Accompagnement des collectivités face aux prix de l'énergiePour aider les collectivités locales face à la hausse des prix de l’énergie, l’État est pleinement mobilisé et a décidé de mettre en place plusieurs mesures, en 2023, pour réduire l’impact de la hausse de leurs factures d’électricité :Bouclier tarifaire (petites collectivités) Les petites collectivités de moins de 10 employés et de moins de 2M€ de recettes, ayant contractualisé une puissance inférieure à 36 kVa et qui sont éligibles aux TRVe, vont bénéficier, à nouveau, du bouclier tarifaire en 2023. Le bouclier tarifaire est maintenu en 2023 sur la base d’une hausse des tarifs réglementés d’électricité limitée à +15% en moyenne.Amortisseur électricité Les autres collectivités, quelle que soit leur taille, vont bénéficier d’un nouveau dispositif dit amortisseur électricité, qui sera mis en place début 2023. À titre d’exemple, pour un contrat conclu à 500 €/MWh, l’État prendrait à sa charge près de 20% de la facture de la collectivité locale. La baisse du prix apparaîtra directement sur la facture, et une compensation financière sera versée par l’État aux fournisseurs d’énergie, via les charges de service public de l’énergie.Filet de sécurité Pour faire face à la flambée des prix de l’énergie, un filet de sécurité de 430M€ a été adopté à l’été 2022 dans le cadre de la loi de finances rectificatives qui permet aux communes et aux groupements de compenser une partie de la hausse des prix au titre de l’exercice 2022.Sont éligibles, les communes et groupements qui réunissent les trois critères suivants : avoir un taux d’épargne brute 2021 inférieur à 22% ; avoir un potentiel financier ou fiscal par habitant inférieur au double de la moyenne de la strate ; perdre au moins 25% d’épargne brute en 2022, du fait principalement de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation, et de la revalorisation du point d’indice. Les collectivités éligibles se verront compenser 50 % des effets de la revalorisation du point et 70 % des effets de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation constatée en 2022.Rendez-vous sur le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires : Pavillon 4 - Stand D118.
Il y a 2 ans et 177 jours

MODULE CARRÉ, fournisseur officiel pour les équipements de proximité de la Fédération Française de Hockey.

La Fédération Française de Hockey (FFH) et MODULE CARRÉ : des ambitions communes pour faire rayonner le Street Hockey. La Fédération Française de Hockey (FFH) et MODULE CARRÉ, spécialiste des revêtements de sols modulaires haute performance, ont signé un accord de partenariat d’une durée de 3 ans dans le cadre du développement du Street Hockey. Cathelijne Rockall, Vice-Présidente élue Communication & Marketing : « La FFH est heureuse d’accueillir son nouveau partenaire Module Carré pour faire vivre à sa communauté, une nouvelle expérience de Street Hockey sur sol souple. C’est un partenariat important pour notre développement territorial et la mise en place du Plan Équipement Hockey sur Gazon de proximité 2022-2024. Module Carré nous apportera son retour d’expérience d’autres pratiques sportives et son regard sur les attentes des collectivités pour les années à venir. Notre ambition commune et de mettre en place une tournée nationale pour promouvoir la pratique sur dalles modulaires.». En tant que fournisseur officiel de sols sportifs avec son offre Patmos Master, MODULE CARRÉ s’engage à assurer le déploiement d’infrastructures de Street Hockey de proximité, discipline en pleine expansion. Ainsi, ce n’est pas moins de 13 zones de jeux qui vont être installées au niveau national ainsi qu’à la Réunion. De quoi faire naître de nouvelles vocations et améliorer les conditions d’accès au sport. Patmos Master, un sol sportif clipsable adapté à la pratique du sport outdoor. Spécialement conçu pour améliorer la pratique des sports en plein air, offrir un confort d’utilisation optimal, accroître la performance et la sécurité des athlètes, Patmos Master est le seul revêtement de sols sportifs d’extérieur avec système d’absorption des chocs par coussin d’air et capacité d’évacuation de l’eau intégrée. Patmos Master incorpore une sous-couche biométrique brevetée de 6,5 mm. Ce système innovant, en caoutchouc ondulé, crée un effet coussin d’air amortissant qui permet une absorption verticale et latérale des chocs encore plus grande, plus confortable et plus sûr pour les athlètes. Intégrée dans chaque dalle, cette technologie de pointe supprime également les irrégularités et inégalités du support et améliore l’isolation phonique en réduisant considérablement le bruit provoqué par l’activité sportive et le rebond de la balle. La surface continue et micro texturée du revêtement garantit une forte adhérence, évite l’abrasion lors des chutes et limite le risque de glissade. Les dalles se clipsent facilement les unes aux autres comme un puzzle. Assemblées entre elles au moyen de 7 points de fixation qui assurent à l’ensemble un maximum de stabilité et une haute résistance mécanique. La robustesse du système est renforcée par le format compact des dalles de 25x25x1,5cm. Le recouvrement sur d’autres sols permet de rénover des espaces de jeux existants pour les transformer en terrain de Street Hockey ou tout autre discipline sportive. Parfaitement amovible, le revêtement se monte et se démonte facilement et rapidement. De ce fait, Patmos Master est parfaitement indiqué pour l’installation de terrains mobiles. Qui plus est, Patmos Master offre aux aménageurs une grande liberté de composition dans le choix des teintes et des marquages de lignes. Personnalisable, il permet également de faire de la publicité directement sur le revêtement.
Il y a 2 ans et 177 jours

Husqvarna Constructions France ouvre son Centre de Formation

Stratégie lancée en 2020 par Husqvarna Construction France, « L’Expérience Béton 360° » c’est offrir une gamme de services complète autour de ses produits. Dans cette continuité, Husqvarna Construction France a ouvert son centre de formation en 2022. Certifié Qualiopi, il propose aux clients et partenaires de la marque une offre de formation complète sur la totalité de sa gamme de produits. Husqvarna Construction France a implanté son site de formation à Poitiers dans des locaux neufs et dédiés, ceux-ci permettant d’allier théorie et pratiques dans des conditions optimales. La société est également en mesure d’accueillir des stagiaires sur ses sites de Blois et Bezons et peut également dispenser ses formations chez ses clients. L’offre de formation s’articule autour des : formations prise en main “GETTING STARTED ACADEMY”, formation techniques “TECHNICAL ACADEMY”, formations métier “SAWING, DRILLING, DEMOLITION, SURFACE PREPARATION ACADEMY”. Au-delà de l’offre standard présentée dans son catalogue, Husqvarna Construction France propose également des programmes sur-mesure et personnalisés élaborés pour répondre aux besoins spécifiques de ses clients. D’une durée de 1 heure à 4 jours selon les modules, les formations allient théorie et pratique. Elles sont destinées : aux partenaires distributeurs réparateurs agréés du fabricant qui souhaitent se spécialiser dans la maintenance du matériel, et aux professionnels qui veulent se perfectionner sur l’utilisation de leur machine ou sensibiliser un nouveau salarié aux enjeux de la sécurité. L’objectif de la Société Husqvarna Construction France ? Se positionner en partenaire de la montée en compétences de ses clients et leur permettre ainsi : de savoir utiliser les matériels Husqvarna dans des conditions de sécurité optimales, d’optimiser l’utilisation et la performance des matériels Husqvarna en découvrant l’intégralité de leurs fonctionnalités, d’augmenter la longévité des produits Husqvarna en les utilisant et les entretenant comme il se doit. Gage de professionnalisme, la certification Qualiopi permet également la prise en charge des modules dans le cadre du financement du plan de formation (sous réserve des règles d’éligibilité propres à chaque branche professionnelle). C’est donc dans un partenariat gagnant-gagnant que la société Husqvarna Construction France inscrit cette nouvelle offre de services. www.husqvarna.com
Il y a 2 ans et 178 jours

DOM-Metalux lance DOM Roq, sa nouvelle solution de verrouillage intelligent développée en partenariat avec Somfy

A l’échelle européenne, la maison intelligente s’inscrit de plus en plus dans les usages des consommateurs. Le marché devrait même compter 100 millions de smart home à l’horizon 2026. Pourtant en matière de sécurité, un grand nombre de particuliers reste frileux à l’idée d’installer une serrure connectée. Pour répondre à ces inquiétudes, DOM, leader européen sur le marché des systèmes de sécurité et du contrôle d’accès, associe son expertise à celle de Somfy, pionnier de la maison connectée, et lance DOM Roq : une nouvelle solution de verrouillage intelligent à la fiabilité maximale. DOM Roq : l’alliance innovante du Safe au Smart Au design sobre tout en un, DOM Roq est une serrure intelligente qui s’installe sur de nombreux modèles de portes, côté intérieur. Un configurateur permet de vérifier facilement la compatibilité de DOM Roq avec sa porte. DOM Roq associe : une motorisation connectée puissante pour cylindre et serrure DOM Roq, dotée de détecteurs de verrouillage et de tentative d’intrusion qui surveillent la porte en permanence et détectent toute vibration anormale. Avec sa batterie amovible rechargeable aisément via un câble USB-C, DOM Roq bénéficie d’une autonomie optimale (3000 cycles d’ouvertures/fermetures), un cylindre de haute sécurité à profil européen DOM, à choisir parmi 4 modèles en fonction des caractéristiques techniques de la porte et du niveau de sécurité souhaité. A cela s’ajoute la passerelle internet à brancher sur une prise électrique pour connecter DOM Roq au réseau Wi-Fi et ainsi piloter et contrôler à distance les accès à son domicile via l’application mobile dédiée. Grâce au chiffrement de bout en bout, de la box à la serrure, afin d’assurer une véritable confidentialité des données, l’ensemble garantit à la fois un haut niveau de sécurité mécanique et électronique. Dès lors, différentes options de verrouillage/déverrouillage sont possibles : clé digitale via smartphone, clé mécanique côté extérieur, bouton côté intérieur, badge ou code à l’aide d’un lecteur mural proposé en option. Application DOM Roq : garder le contrôle 24 h/24 pour une véritable tranquillité d’esprit Une fois l’application DOM Roq téléchargée gratuitement (iOS et Android), la mise en service de la serrure intelligente et sa configuration s’effectue de façon simple et intuitive. L’utilisateur peut alors à tout moment, et à distance : vérifier l’état de sa porte et s’assurer qu’elle a bien été fermée en partant, et si tel n’est pas le cas la verrouiller à distance. Pour les plus distraits, il est même possible de programmer un verrouillage automatique, recevoir des notifications en temps réel en cas d’ouverture/ fermeture et de tentative d’effraction, gérer jusqu’à 30 utilisateurs en leur délivrant des clés digitales (à ouverture unique ou multiples), des badges ou un code. Les invités recevront alors sur leur smartphone par SMS ou e-mail leur autorisation d’accès. Pratique, une configuration spécifique du bouton de DOM Roq empêche les jeunes enfants de déverrouiller la porte facilement. De même, un mode nuit désactive les signaux sonores et diminue le nombre de cycle moteur pour un fonctionnement plus silencieux. De quoi dormir sur ses deux oreilles, que quelqu’un soit présent à la maison ou non ! 100% compatible avec les solutions Somfy Pour une expérience unique et enrichie de la maison intelligente, DOM Roq est compatible avec l’écosystème de produits Somfy notamment : Somfy Protect, pour bénéficier de fonctions telles que l’activation automatique de l’alarme lorsque DOM Roq détecte des vibrations sur la porte et sa désactivation quand celle-ci est déverrouillée par l’utilisateur, TaHoma® pour piloter à distance tous les équipements connectés de la maison (éclairage, volets roulants, portails, chauffage) y compris la porte d’entrée grâce à DOM Roq. Connecté à la box TaHoma® et associé aux assistants vocaux intelligents Google Home ou Alexa Amazon, DOM Roq repousse encore plus les limites de la connectivité. Il suffit d’une simple phrase au moment d’aller se coucher pour que la maison s’exécute en toute autonomie : la porte d’entrée se verrouille sans bouger de son canapé ! Produit fiable et connecté, DOM Roq de DOM-Metalux offre le plus haut niveau de sécurité et de tranquillité. Tout pour rassurer les particuliers qui n’auront plus désormais à se poser cette éternelle question « est-ce que j’ai bien fermé la porte à clé ? ». Points de vente : chez les points de vente participantsPrix public indicatif TTC : 448 € (cylindre compatible à choisir en sus). Plus d’informations sur www.dom-roq.com
Il y a 2 ans et 179 jours

SORHEA lance SOLARIS NG

Nouvelle Génération de SOLARIS, barrière infrarouge autonome 100m de portée SORHEA, la référence en matière de détection d’intrusions périmétriques pour les sites sensibles, fait évoluer sa barrière infrarouge SOLARIS. La barrière à infrarouge actif autonome SOLARIS n’est plus à présenter. Installée sur de nombreux sites en Europe et dans le monde, son fonctionnement autonome et son alimentation par énergie solaire en ont fait une référence sur le marché de la détection périmétrique. SOLARIS, la première barrière infrarouge low-power sur le marché de la sécurité périmétrique Créée en 2009 par les ingénieurs R&D SORHEA, la colonne SOLARIS était alors la première barrière infrarouge « Low power » sur le marché. Sa consommation énergétique très faible lui permet d’assurer un fonctionnement tous temps sur 100m de portée. L’alimentation solaire est complétée par une batterie qui garantit le fonctionnement pendant 2 mois dans le noir complet (sans alimentation solaire). SOLARIS a déjà été installée dans plusieurs sites en Scandinavie et sous d’autres latitudes moins ensoleillées. La remontée des informations d’alarmes se fait également sans câblage puisque SOLARIS utilise la communication radio. Sans aucun câblage à prévoir, SOLARIS s’installe facilement tout en limitant les coûts de génie civil. SOLARIS fait peau neuve et devient SOLARIS Nouvelle Génération Comme tous leurs produits, la SOLARIS bénéficie du travail constant des équipes R&D de SORHEA pour rester un produit performant et fiable. Pour une barrière infrarouge performante, SORHEA travaille sur la densité des faisceaux infrarouge de SOLARIS afin de créer de véritables murs immatériels infranchissables. Plus le mur infrarouge est dense, plus la détection sera fine et fiable. Avec 10 cellules infrarouges sur des colonnes de 3 mètres de hauteur, la barrière SOLARIS NG est aujourd’hui la seule barrière infrarouge autonome existante offrant une telle densité infrarouge, sur 100m de portée. La SOLARIS NG bénéficie également des avancées technologiques de SORHEA sur la radio. Le chiffrement intégral du réseau radio de la SOLARIS permet une sécurisation maximale des données, et la communication par protocole LoRa offre une grande portée, une puissance faible et une bonne résistance aux interférences. SOLARIS NG intègre de nouvelles fonctionnalités Fort de leurs 35 ans d’expérience dans la technologie infrarouge, SORHEA étend ses compétences éprouvées sur les colonnes câblées à leurs colonnes autonomes grandes hauteurs. La fonction Discrimination-Train, jusqu’ici disponible uniquement sur les barrières MAXIRIS, est désormais disponible sur les barrières autonomes SOLARIS NG. Développé par leur Bureau d’Études, cet algorithme permet de discriminer le passage d’un véhicule (train, métro, voire avion) par rapport au passage d’un individu entre deux colonnes. Ainsi, aucune alarme indésirable n’est créée, et le système de sécurité périmétrique n’est pas interrompu par un rail ou autre zone de passage. Cette nouvelle génération de SOLARIS est également disponible dans une version tout plastique. Fabriqués en polyacétal, l’enveloppe et le châssis rendent la colonne frangible : SOLARIS NG peut alors être installée sur des sites très spécifiques tels que les pistes des aéroports. Enfin, cette nouvelle génération de SOLARIS a été développée en conformité avec les normes internationales les plus pointues, pour permettre son installation sur tous les sites sensibles à travers le monde.
Il y a 2 ans et 179 jours

Krohne protège les silos de la sur-pression

Le système Shield Lite de Krohne permet d’éviter les situations de sur-pressurisation. [©Krohne] Sur le salon Vrac Tech1, Krohne propose aux visiteurs de découvrir son système Shield Lite, une solution de protection de silos. De par sa conception “tout-en-un” et compacte, cet équipement s’adapte à presque tous les silos. Utilisant un équipement de surveillance et de contrôle de la pression à la pointe de la technologie, Shield Lite respecte les directives actuelles, en termes de protection des silos. De nombreuses industries utilisent des silos de stockage de poudre, mais le risque qu’ils soient sur-pressurisés lors des livraisons par camions-citernes est élevé. Des pressions supérieures à 70 mbar suffisent à rompre un silo ou à faire sauter son unité de filtrage. Cela entraîne de sérieux risques, c’est pourquoi un système de sécurité et de contrôle complet et à sécurité intégrée est primordial. Outre de nombreuses fonctionnalités, Shield Lite intègre le système pionnier de test au niveau du sol, dans lequel un seul tour de clef exécute un test de fonctionnement complet de tous les composants de sécurité cruciaux. La fonction GLT (Ground Level Test) vérifie l’ensemble du système en 6 s depuis le sol, ce qui permet aussi de réduire le temps de maintenance et les coûts de service. 1Le salon Vrac Tech se tient du 6 au 8 décembre 2022, au Parc des expositions du Mans (72). Un évènement dédié aux solutions de gestion du vrac pour tous les professionnels industriels.
Il y a 2 ans et 179 jours

Vrac Tech s’installe pour 72 h au Mans

Les allées du salon Vrac Tech… [©ACPresse] Au fil des ans, Vrac Tech et devenu le rendez-vous incontournable dédié à toutes les solutions de gestion du vrac pour toutes les industries. Salon itinérant, il se tient en alternance en deux lieux. Mâcon, en Bourgogne – Franche-Comté, d’un côté et Le Mans, en Centre – Val-de-Loire, de l’autre. Cette année, c’est au cœur de la Sarthe, juste en face du circuit des 24 h qu’a lieu l’évènement. Du 6 au 8 décembre, au Parc des expositions du Mans pour être précis. Depuis la gare, il faut compter quelque 30 mn de trajet, via la ligne n° 1 du tramway (direction Antarès), puis le bus n° 5 ou à pieds pour les plus courageux… Plus de 150 exposants doivent dévoiler leurs innovations ou présenter leurs gammes de produits et d’équipements existants. Toutes – loin s’en faut – ne concernent pas le secteur du béton et des ciments, puisque Vrac Tech touche des domaines aussi différents que l’agriculture, l’agro-alimentaire, l’alimentation animale, la mécanique industrielle, la chimie et pétrochimie ou encore la pharmacie et cosmétique. Les Trophées Vrac Tech Innovation Ceci, dans des applications de stockage et manutention, de sécurité, d’hygiène et d’environnement. Mais aussi de remplissage, d’emballage et de conditionnement, de process technologiques de transformation, de dépoussiérage et de prévention. Sans oublier la logistique, le transport et les bâtiments, les transferts mécaniques, pneumatiques et le convoyage, le pesage, le dosage, le mélange, la filtration, la mesure. Ou encore l’instrumentalisation, le contrôle, la maintenance, la sous-traitance et les services connexes. De quoi balayer l’ensemble de son secteur activité. De nombreuses conférences animent aussi les trois jours de salon. Dont la remise des Trophées du concours Vrac Tech Innovation, dont c’est ici la première édition. L’idée est de “valoriser l’expertise et les savoir-faire d’exposants cultivant l’innovation au service des filières industrielles”. Vingt industriels ont fait le choix de déposer un dossier et une bonne partie des innovations est à découvrir via les liens qui suivent. Les prix, eux, doivent être décernés le mardi 6 décembre de 11 h 30 à 12 h 30, dans la salle de conférence E 42, dans le hall D. Apsis : Nettoyeur de grands conteneursBrunone améliore sa bande auto-guidéeCombiFill de Cetec : Un modèle d’ensacheuses économiquesGoubard : Un godet qui remplit les big bags en un temps record !Haver & Boecker revoit son ensacheuse AdamsKrohne protège les silosPiab : Un capteur de niveau pour gagner en productivitéStandard Industrie présente son tout nouveau canon à air
Il y a 2 ans et 180 jours

Aliénor Ciments : Le principe de proximité

Avec Aliénor Ciments, l’industriel Cem’In’Eu met son premier outil de production en service à Tonneins, en Nouvelle-Aquitaine. [©ACPresse] Cement Innovation in Europe – ou Cem’In’Eu, pour faire simple – est né en 2015, avec une concept simple en tête. « L’idée était de créer une offre nouvelle en matière de ciments, plus adaptée aux besoins des acteurs locaux et de grande proximité. Ceci, dans les principales zones économiques du pays », résume Vincent Lefebvre, président de Cem’In’Eu. Aujourd’hui, le premier site industriel répondant au nom d’Aliénor Ciments est en service à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, en Nouvelle-Aquitaine. « Cette commune possède une localisation idéale, car proche des grands centres de consommation que sont Toulouse et Bordeaux. Le marché de cette région représente une demande de l’ordre de 3 Mt/an de ciment. Par ailleurs, le site est proche de la ligne de chemin de fer Bordeaux – Toulouse, ce qui facilite l’approvisionnement en matières premières. » A commencer par le clinker, importé d’Espagne jusqu’au port de Bordeaux, avant de rejoindre Tonneins dans des conteneurs spéciaux, par train. « L’embranchement ferroviaire est la clef de notre modèle économique, explique Vincent Lefebvre. Chacune de nos unités de production en bénéficiera. » Le train est même l’avenir pour Cem’In’Eu. Une locomotive diesel a un rendement de CO2/t de marchandises transportées 7 à 8 fois moindre qu’un poids lourd. « Les transports massifs devraient toujours se faire par le rail. » Une gamme de 4 ciments Le clinker est acheminé par train depuis Bordeaux, dans des conteneurs spéciaux. [©ACPresse] Le pont roulant assure l’alimentation du basculeur, qui permet de vidanger les conteneurs. [©ACPresse]Une fosse dépoussiérée permet de réceptionner le clinker issu des conteneurs de transport. [©ACPresse]D’une capacité de 4 500 t, le hall assure aussi le stockage du calcaire et du gypse. Au fond se situent les trémies d’alimentation dédiées du broyeur. [©ACPresse] Le dispositif de réception du clinker bordelais sera renforcé dans un second temps par un terminal basé à Sète, dans les Bouches-du-Rhône. Celui-ci pourra accueillir et stocker quelque 60 000 t de clinker Il approvisionnera ainsi l’usine de Tonneins, puis celle de Porte-lès-Valence, dès qu’elle sera opérationnelle. Avec une capacité annuelle de 240 000 t, l’usine de Tonneins sera en capacité de produire 8 % des besoins locaux en ciment. Disponibles depuis quelques mois et bénéficiant d’un marquage CE, les produits proposés sont au nombre de quatre. Ils s’appellent CEM I 52,5 R, CEM II/A-LL 42,5 R et N, et CEM II/B-LL 32,5 R. Aucun CEM III n’est prévu au programme… « Mais nous espérons obtenir le droit d’usage de la marque NF au cours de l’été 2019 », affiche Vincent Lefebvre. Un train complet compte 21 wagons transportant chacun 2 conteneurs de 20 pieds renfermant entre 31 t et 32,5 t de clinker, soit une charge utile totale de l’ordre de 1 350 t. « C’est l’équivalent de 52 semi-remorques sur la route ! » Entrée dans l’enceinte de l’usine sur sa voie dédiée, la rame est divisée en 2 parties pour simplifier les manœuvres de déchargement. Le pont roulant saisit les conteneurs pleins qu’il met en stock, et dépose en échange sur les wagons les conteneurs vides. L’opération est gérée de manière automatique et combinée avec les mouvements de la rame. Elle est achevée en moins de 6 h. Le cœur de l’usine Cœur de l’usine, le broyeur à boulets InterCem offre un diamètre de 3,20 m pour 10 m de long. La puissance installée de l’équipement est de 1 300 kW. [©ACPresse] Le pont roulant assure en parallèle l’alimentation du basculeur, dont le rôle est de vidanger, en toute sécurité, les conteneurs dans le hall de stockage des matières premières, via une fosse dépoussiérée. De là, une chargeuse sur pneumatique équipée d’un godet de 4 700 l reprend le clinker pour le déverser dans la trémie d’alimentation dédiée du broyeur. D’une capacité de 4 500 t, le hall assure aussi le stockage du calcaire et du gypse, les deux autres additions principales du ciment. Chacune de ces matières premières, dont des partenaires locaux assurent la fourniture, bénéficie de sa propre trémie d’alimentation du broyeur. Les capacités en sont de 80 t pour le calcaire et 35 t pour le gypse. Avec ses 250 t, celle du clinker est plus imposante. Cœur de l’usine, le broyeur à boulets est signé InterCem. Fonctionnant en circuit fermé en association avec un séparateur vertical de haute performance de même marque. D’un diamètre de 3,20 m pour 10 m de long, le broyeur est séparé en 2 compartiments. Le premier assure un broyage grossier, et le second, le broyage fin. La puissance installée de l’équipement est de 1 300 kW, tandis que la séparation finale est réalisée par filtre Air Jet, d’un débit de 70 000 m3/h. Afin de ne générer aucune nuisance, l’ensemble du bâtiment “broyeur” est étanche et insonorisé. Des sacs en polyéthylène Le stockage des produits finis est réalisé dans 6 silos de 500 t unitaire. [©ACPresse]Les 2 ponts de chargement sont chacun alimenté par 4 silos différents. [©ACPresse]Développée par Haver & Boecker, l’ensacheuse Adams assure le conditionnement des ciments en sacs. [©ACPresse] Le stockage des produits finis est réalisé dans 6 silos de 500 t unitaire, placés au-dessus de 2 ponts de chargement. Chacun d’eux peut être alimenté par 4 silos différents. Le chargement des semi-remorques est géré en automatique par bornes de commande. Une partie de la production est proposée en sacs. La ligne d’ensachage peut être approvisionnée à partir de 4 silos également. Pour ce conditionnement, Aliénor Ciments a fait le choix de sacs en polyéthylène (PE). Une première en France pour le ciment. « Tels qu’ils sont conçus, les sacs multi-couches en papier sont impossibles à recycler, contrairement aux sacs PE, justifie Vincent Lefebvre. Ce matériau peut être valorisé 7 fois et un sac de ce type peut aussi servir pour les gravats, sans risque de se percer. » L’autre avantage est de proposer une solution 100 % étanche et refermable à l’aide d’une pince prévue à cet effet et faisant office de poignée de transport. Fini les ciments qui font prises à l’intérieur même du sac… Développée par Haver & Boecker, l’ensacheuse est de type Adams. Elle offre 10 stations de remplissage. Elle est alimentée en sacs PE d’une épaisseur de 150 µm à partir d’une bobine. L’ensacheuse assure la découpe, la soudure du fond, le remplissage et la soudure du dessus. Le débit de l’unité est de 1 100 sacs de 35 kg/h. Commander via son smartphone Pour ce conditionnement, Aliénor Ciments a fait le choix de sacs en polyéthylène (PE). Une première en France pour le ciment. [©ACPresse] Aliénor Ciments commercialise son offre en sacs sous la marque “Le Ciment Européen”. Deux qualités sont disponibles, à commencer par le CEM II/B-LL 32,5 R en conditionnement de 35 kg. Là, l’industriel offre le choix entre une palette classique de 1,47 t (ou 42 sacs), et une palette réduite de 980 kg (ou 28 sacs). Le second ciment est le CEM I 52,5 R en conditionnement de 30 kg. « Au cours des prochains mois, nous prévoyons de proposer notre CEM II/B-LL 32,5 R en un sac de contenance réduite à 20 kg et équipé d’une poignée », dévoile Vincent Lefebvre. Côté clients, Cem’In’Eu vise les producteurs de BPE comme les préfabricants indépendants pour le ciment proposé en vrac. Et les petits professionnels et les particuliers pour le ciment vendu en sacs. Pour en faciliter la commercialisation, l’industriel va déployer son application pour smartphones Cem’In’App. Une manière simple et rapide de commander et de se faire livrer une palette au minimum, dans la zone de chalandise de l’usine. Le dispositif Cem’In’Eu, en France et au-delà… Aliénor Ciments constitue la première des cinq implantations françaises de Cem’In’Eu. Les autres ouvriront leurs portes en Alsace (qui fournira aussi le Sud de l’Allemagne et la Suisse), en Auvergne - Rhône-Alpes. Mais aussi en Bourgogne - Franche-Comté et dans les Pays de la Loire. Deux autres usines sont prévues hors de nos frontières. La première dans le port de Gdynia, sur la mer Baltique, en Pologne, et la seconde, à proximité de Londres, au Royaume-Uni.   Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 183 jours

jeld wen des blocs portes dans l air de la renovation

Qu’elles soient situées dans l’hôtellerie, le tertiaire, l’enseignement, la santé ou encore l’habitat collectif, les portes font partie des solutions qui souffrent le plus. C’est pourquoi leur rénovation représente un enjeu de taille en matière de sécurité, de confort, d’écologie et même d’image.
Il y a 2 ans et 183 jours

Gamme d'outils à main MILWAUKEE® dédiés aux travaux d'électricité

Faciliter le quotidien des professionnels avec des outils ergonomiques et fiables pour faire face aux postures contraignantes et assurer la sécurité des utilisateurs, tout en éliminant le risque d’accident électrique, tel est l’objectif de MILWAUKEE®, le spécialiste de l’outillage professionnel pour les électriciens. Le métier d’électricien est en constante évolution, c’est en prenant en compte tous les schémas d’intervention que MILWAUKEE® adapte ses gammes dédiées. Visser, couper, dénuder, dégainer… Autant de manipulations qui font partie de son quotidien et nécessitent un équipement irréprochable en termes de sécurité et de fonctionnalité.Ciseaux d’électricien : compacité, praticité, multifonctionnalité et rapidité de travailDotés de lames courtes et épaisses en acier, ils donnent la possibilité aux professionnels de réaliser des travaux précis et rapides. Ils sont pourvus d’une rainure de coupe du câble avec effet levier pour couper les câbles électriques, les conduits semi-rigides ou les gaines, sans difficulté et sans les endommager. Une seconde rainure arrondie permet de dénuder facilement les câbles. Alternative la plus fiable pour assembler des composants, les ciseaux d’électriciens MILWAUKEE® offrent la possibilité d’un sertissage jusqu’à 6 mm.Grâce à la vis de réglage des ciseaux, l’électricien peut ajuster la résistance et resserrer les ciseaux si besoin pour une durabilité maximale.Pour plus de praticité, ils sont livrés dans un étui avec sangle de ceinture pour un rangement facile et une utilisation optimale sur le chantier.Tournevis VDE Tri-Lobe nouvelle génération : des travaux électriques sécurisés et plus rapides à réaliserDédiés à la réalisation de connexions électriques dans un tableau ou au niveau d’appareillages électriques, les nouveaux tournevis isolés Tri-Lobe MILWAUKEE® disposent de la mention VDE qualifiant les outils spécialement développés pour les électriciens. Ils sont totalement isolés et sont testés sous 10.000 V, pour des travaux sous tension garantis à 1.000 V. Leur revêtement mince et isolé convient pour les applications électriques dans les espaces restreints.Doté d’une poignée Tri-Lobe anti-roulis, ce manche à trois faces offre aux électriciens un confort de travail et un meilleur contrôle pour une puissance de serrage maximale ; et ce, sans effort même durant de longues sessions.Leur tige plus étroite sur les 10 premiers centimètres permet d’accéder facilement dans les boîtiers électriques. Profondément enfoncée dans le manche (5 cm), elle garantit une extrême résistance et durabilité.Un marquage d’identification sur la poignée et l’embout permet une identification rapide de l’empreinte de l’outil dans son espace de stockage. Pratiques, ces tournevis VDE Tri-Lobe sont équipés d’un trou à lanière de sécurité pour une fixation facile et sécurisée à la gamme d’équipement de protection individuelle de MILWAUKEE®. Ils s’adaptent également aux sacs à outils afin de garantir une mobilité optimale.La gamme de tournevis VDE Tri-Lobe MILWAUKEE® est composée des empreintes les plus courantes pour couvrir toutes les applications : PH, PZ, SL, Torx, PH/SL, PZ/SL.Elle se décline en 24 références individuelles dont un tournevis testeur ainsi que 4 coffrets.
Il y a 2 ans et 184 jours

Effondrement partiel d'un immeuble à Chaponost, mais sans faire de victime ni de blessé

"Nous sommes intervenus peu après 7H00 du matin pour un effondrement partiel d'un immeuble d'habitation en structure pisé [murs en terre crue compactée] qui comprend quatre appartements au premier étage avec combles et un commerce au rez-de-chaussée", a précisé à l'AFP le lieutenant-colonel Laurent Meunier, sapeur-pompier du Rhône, confirmant une information du quotidien régional Le Progrès."Nous avons évacué quatre personnes à notre arrivée et une personne manquait à l'appel mais il se trouve qu'elle est en déplacement, donc pas sur place", a-t-il rapporté.Le bâtiment, situé dans une rue du centre-ville de l'agglomération, "s'est probablement effondré vers 3H30 du matin", a indiqué le pompier, expliquant que les locataires ont entendu "un grand bruit", qu'ils ont regardé "côté rue" mais, n'ayant rien vu d'anormal, "ils se sont recouchés".Un périmètre de sécurité a été mis en place et des mesures de sécurisation de l'immeuble étaient en train d'être réalisées mercredi matin par la cinquantaine de sapeurs-pompiers dépêchés sur l'événement. "L'autre partie du bâtiment menace de s'effondrer donc les locataires, actuellement pris en charge par la mairie, ne pourront pas réintégrer" l'immeuble, a conclu cette même source.Samedi matin, à Lille, deux immeubles de trois étages, dont l'un était en travaux, se sont écroulés dans une artère commerçante du centre-ville, faisant une victime malgré l'évacuation de la plupart des habitants.
Il y a 2 ans et 184 jours

Ingérop poursuit son développement à l’international

De gauche à droite en commençant par le haut : Stephan Geiss (directeur financier Ingérop Deutschland et Codema), Yves Metz (président du groupe Ingérop), Rainer Bründel (directeur IBF Ingenieure), Christophe Blanc (directeur international groupe Ingérop), Frank Diedrichs (directeur général IBF Ingenieure), Christof Zehetmeier (directeur IBF Ingenieure), Thomas Sontag (directeur général Ingérop Deutschland et Codema), Michael Weise (directeur général IBF Ingenieure). [©Ingérop] Ingérop poursuit son développement à l’international. Le groupe d’ingénierie et de conseil vient d’acquérir la société allemande IBF Ingenieure. Cette dernière est spécialisée dans les équipements techniques des bâtiments : chauffage, ventilation, climatisation, électricité, plomberie et sécurité incendie. Elle se complémente parfaitement avec Ingérop au niveau des expertises. Cette acquisition va permettre au groupe français de développer des projets stratégiques, sur la décarbonation des bâtiments par exemple. Une implantation forte en Allemagne L’acquisition d’IBF Ingenieure permet à Ingérop de poursuivre son implantation en Allemagne. Le groupe y possède déjà 10 implantations situées à Berlin, Munich, Nuremberg et Stuttgart notamment. Le spécialiste français réalise aujourd’hui un chiffre d’affaires annuel supérieur à 30 M€ outre-Rhin. Au total, ce sont 300 personnes qui travaillent pour le groupe en Allemagne. Avec les 150 ingénieurs et techniciens français, ils pourront créer une véritable synergie. Dans le monde, près de 650 personnes collaborent avec Ingérop, qui n’en a pas fini de se développer à l’international.
Il y a 2 ans et 184 jours

Le Fonds de dotation Qualitel lance une campagne de crowdfunding en faveur d’un logement digne et de qualité pour tous

Pour cette première campagne de financement participatif, le Fonds de dotation a choisi de mettre en avant 2 associations, ayant postulées à son appel à projets 2022 : « Léa Solidarité Femmes » agissant auprès des femmes victimes de violence conjugale et « Solinum », un réseau d’hébergement citoyen.Toutes les personnes souhaitant participer peuvent dès à présent le faire via la plateforme Hello Asso [1], jusqu’au 14 décembre inclus.Depuis 11 ans, le Fonds de dotation QUALITEL finance et soutient des projets solidaires, novateurs et engagés en faveur d’un logement digne et de qualité pour tous, en particulier pour les publics les plus défavorisés : jeunes désocialisés, personnes sans domicile fixe, en perte d’autonomie ou en situation de handicap, femmes isolées, réfugiés…En avril dernier, le Fonds de dotation, soutenu par 10 partenaires mécènes, lançait l’appel à projets de sa 11ème édition. 177 candidatures ont ainsi été déposées. Les lauréats, dévoilés lors d’une cérémonie dédiée, le 9 décembre prochain, se verront partager une dotation globale de 211.500€.Au regard de la qualité des projets présentés, le Fonds de dotation souhaitait pouvoir aller encore plus loin : il a choisi de lancer une campagne de crowdfunding, en appelant à la générosité du public, pour soutenir 2 associations supplémentaires :L’association Léa Solidarité Femmes, avec son projet « Maison Solidarité Femmes »L’association Léa Solidarité Femmes accueille 24/24h et 7/7j des femmes victimes de violences conjugales et intra-familiales, avec leurs enfants, dans une maison spécialement conçue pour elles, en Essonne. Un refuge où elles se sentent en sécurité, où elles sont prises en charge socialement, psychologiquement et juridiquement.Pour accueillir ces familles, de plus en plus nombreuses, l’association souhaite se développer en aménageant un studio de mise en sécurité et les parties communes, pour les 2.500 femmes et enfants qui en seront bénéficiaires.L’Association Solinum, avec son projet « Merci pour l’invit’ »L’Association Solinum propose des outils numériques permettant de venir en aide à des femmes et des hommes en situation de précarité. Son projet « Merci pour l’invit’ » est une plateforme numérique d’hébergement citoyen, permettant de mettre en relation des associations venant en aide à des personnes en situation de précarité et des familles souhaitant les héberger. Différents outils numériques, formations... sont développés pour assurer une « cohabitation » en toute quiétude.Dans les prochains mois, l’association Solinum souhaite qu’au moins 100 personnes, venant d’Ukraine notamment, soient hébergées.Comment soutenir les deux projets ? Quand ? du 3 novembre au 14 décembreOù ? En cliquant sur ce lien[1] https://www.helloasso.com/associations/fonds-de-dotation-qualitel/collectes/soutenons-2-associationsselectionnees-par-le-fonds-de-dotation
Il y a 2 ans et 185 jours

Nouvelle scie de carreleur 228Cyclone

Cette nouvelle scie de carreleur, compacte et légère, possède un système d’aspiration cyclonique intégré, permettant de travailler sans eau ni poussière sur les chantiers. Ne jetez plus l’eau contaminée dans la nature et les canalisations.Grâce à la nouvelle 228CYCLONE, coupez dès maintenant, des carreaux allant jusqu’à 25mm d’épaisseur, directement sur votre lieu de pose que ce soit en intérieur comme en extérieur. Vous ne vous passerez plus de cette carrelette qui réunit à elle seule la productivité, la sécurité, le confort d’utilisation et l’écologie.Caractéristiques :Capacité de coupe standard : 25mm d’épaisseurDimensions (en mm) : 640 X 540 X 340mmTension : 230VPuissance : 1800WPoids : 16kgDiamètre du disque : 175mmAspirateur : 47dm3/s - Classe HCapacité : bac à poussière 2kg
Il y a 2 ans et 185 jours

nouveau projet cabine de securite pour entrepot logistique

Le Groupe Europa Prefabri a réalisé un nouveau projet pour le Centre Logistique de Torrejón de Ardoz, ville située à 30 KM au nord de Madrid.
Il y a 2 ans et 185 jours

Quel portail choisir pour votre extérieur ?

Vous souhaitez clôturer votre espace extérieur et y ajouter un portail. Toutefois, vous ne savez pas lequel choisir. Quels matériaux choisir ? Quel système d’ouverture préférer ? Nous vous aidons à choisir. Choisir les matériaux Il existe différents matériaux pour les portails. Parmi eux, nous retrouvons : Le bois ; L’aluminium ; Le fer ; Le PVC. Tous ses matériaux sont parfaitement adaptés pour l’extérieur et les aléas naturels. Votre choix va surtout être esthétique. Le matériau devra s’adapter à vos goûts et besoins, mais aussi à votre budget. Choisir le style Il existe un grand nombre de styles de portails différents. Certains présentent des aspects pratiques pendant que d’autres sont plus esthétiques. Le portail ajouré Le portail ajouré est un portail offrant une ouverture plus ou moins importante. Cette ouverture interlame va permettre à la lumière de passer. Ainsi, si votre portail se trouve en face d’une fenêtre, la lumière pourra s’immiscer dans votre intérieur même avec le portail fermé. Le portail à bas plein Ce modèle ne laisse pas passer la lumière sur la partie inférieure de votre portail. Si cela peut être vu comme un aspect sécuritaire, ce bas plein est essentiellement présent pour donner un aspect esthétique à votre fermeture extérieure, notamment si vous possédez un muret à la même hauteur. Cela permettra un rendu de continuité. Le portail à bas plein va permettre à la lumière de passer, mais la luminosité sera moins importante qu’avec le portail ajouré. Le portail plein Le portail plein est un modèle qui offre une intimité aux propriétaires. Cependant, il ne permet à aucune lumière de passer. Ce type de portail est donc plus choisi pour son aspect de protection de l’intimité et de sécurité que pour son esthétisme. Néanmoins, il existe de nombreuses possibilités de personnalisation pour le rendre attrayant et original. Le portail courbé Ce modèle va être constitué de plusieurs panneaux. Il va surtout être utilisé pour les fermetures en arc de cercle. Ce type de fermeture peut être une obligation ou un choix. Certains propriétaires n’auront pas d’autre choix. Toutefois, ce détail peut être esthétique si vous souhaitez faire une ouverture originale en forme d’arc de cercle. Le portail ondulé Le portail ondulé est souvent vu comme le portail le plus esthétique. L’ondulation peut être présente sur le dessus afin de former une vague, mais ce sont aussi les barreaux qui peuvent être ondulés dans le but de donner du volume. Ce modèle va permettre un large choix de personnalisation et attire plus le regarde de par son originalité. Choisir l’ouverture L’ouverture de votre portail peut être une obligation ou un choix en fonction de votre terrain. Le portail battant L’ouverture battante est vue comme l’ouverture classique. Elle consiste à pousser les deux vantaux qui constituent le portail vers l’intérieur de votre allée ou de votre jardin. Cette ouverture nécessite donc d’un espace de dégagement suffisant. Un extérieur vaste et constamment dégagé est alors à préférer. Toutefois, si cela n’est pas le cas, il est possible d’ouvrir votre portail vers l’extérieur. Cependant, votre ouverture ne doit pas déboucher sur la voie publique et vous devez consulter les accords municipaux. Le portail coulissant Cette ouverture latérale va permettre un gain de place considérable. C’est l’option à préférer si votre espace intérieur est trop petit pour accueillir un portail battant. En plus d’être pratique grâce à son gain de place, ce portail est esthétique de par sa discrétion lorsqu’il est ouvert. En effet, il va épouser votre clôture en occupant un minimum d’espace grâce à son unique vantail. Le portail manuel Le portail manuel par définition va devoir être ouvert à la main. Si cette ouverture nécessite de sortir de sa voiture pour l’ouvrir et la fermer, elle reste abordable et ne présentera aucun problème mécanique. Le seul entretien sera l’entretien du portail en lui-même. Le portail automatique Le portail automatique est vu comme la solution de facilité. Cette ouverture va permettre de commander le portail à distance grâce à une télécommande. Toutefois, un entretien mécanique va être nécessaire afin d’éviter les pannes. De plus, même avec de l’entretien, votre portail peut tomber en panne et nécessiter une intervention payante. Enfin, les portails automatiques coûtent plus cher qu’un portail manuel. Le choix de votre portail se fera en fonction de vos besoins, vos envies, vos goûts et votre budget. Cependant, il est important de spécifier qu’un portail représente un plus lors de la vente d’une maison. Il est donc primordial de faire un portail plus fonctionnel et pratique qu’esthétique.
Il y a 2 ans et 186 jours

Ventilation double flux en rénovation

Douze enseignements pour garantir la performance et la qualité de l’air Si la pandémie confirme le rôle clé des systèmes de ventilation double flux pour garantir la sécurité sanitaire des occupants, encore faut-il que l’installation soit performante. D’où l’intérêt de suivre ces recommandations issues de retours d’expériences qui concernent principalement la conception.   Des registres motorisés et asservis au taux de CO2 modulent les débits de la ventilation selon l’occupation et favorisent la qualité de l’air et les économies d’énergie. Enseignement 5 : tester et contrôler l’asservissement de la ventilation au taux de CO2.Photos : AQC L’atout d’une VMC double flux est d’apporter un air neuf filtré, voire purifié grâce à différentes technologies, et d’extraire l’air vicié, avec une optimisation du confort thermique et une réduction des consommations énergétiques par la récupération de calories au niveau de son échangeur. Un système très efficace, dont les ventes sont en forte croissance (+ 48,7 % en maison individuelle et + 16,3 % en logements collectifs et tertiaire en 20211), mais complexe et trop souvent mal dimensionné, installé et entretenu. Des dysfonctionnements qu’il est pourtant possible de résoudre dès la conception, comme le démontre le rapport VMC double flux en rénovation de la collection « 12 enseignements à connaître ». Réalisé dans le cadre du dispositif REX « Bâtiments performants » de l’Agence Qualité Construction (AQC), après des audits terrain menés par des enquêteurs en France métropolitaine avec l’appui du centre de ressources CD2E, il relève les malfaçons et les non-conformités majeures, précise les impacts sur le bâti et la santé des occupants, indique leur origine et propose des solutions correctives. Bien positionner les prises d’air et de rejet Le premier conseil est de bien déterminer l’emplacement de la prise d’air extérieur. Il s’agit de l’éloigner des sources de pollution (fumées…) et de proscrire un positionnement proche du sol (poussières, obstruction…). De même, la bouche de rejet d’air vicié ne doit pas se situer à moins de 60 cm de la prise d’air neuf, de façon à éviter les risques de recirculation. En cas d’impossibilité technique, la pose d’un déflecteur entre les deux peut résoudre le problème. Revoir le dimensionnement C’est un sujet récurrent. Très souvent, les hypothèses d’occupation prises en phase de conception ne correspondent plus à l’occupation réelle ou aux volumes des pièces modifiées lors de travaux de rénovation. Les conséquences ? Dans les deux cas, un renouvellement d’air insuffisant pouvant entraîner des atteintes au bâti (humidité, moisissures) et une dégradation de la qualité de l’air. La solution corrective est d’intervenir, si possible, sur les réglages de la centrale de traitement d’air pour équilibrer les vitesses d’air d’insufflation et les débits d’extraction, de redimensionner les réseaux aérauliques ou encore de remplacer ou de repositionner les bouches d’insufflation pour adapter la portée des flux à l’usage. Piloter les débits d’air selon le taux de CO2 Compte tenu de l’importance de la qualité de l’air intérieur sur la santé, la préconisation complémentaire est d’installer des capteurs et des registres motorisés pour ajuster en continu les débits d’air neuf soufflés au taux de CO2. Le dioxyde de carbone étant un bon indicateur du risque de confinement et donc de l’ensemble des polluants de l’air, il s’agit de ne pas dépasser la valeur maximale de concentration de sécurité de 600 ppm, dans les locaux sans port de masque, indiquée par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Cette régulation intelligente permet également, selon l’occupation, de booster l’apport d’air neuf si nécessaire ou de mettre en place une programmation horaire ou journalière. Il s’agit de bien définir le nombre et le positionnement des capteurs et d’en assurer l’entretien en les incluant dans les contrats de maintenance. Autre bonne pratique pour éviter les pertes de charge et la surconsommation électrique : mettre en place une mesure de pression différentielle sur la filtration de la centrale de traitement d’air, reliée à une alarme ou à la GTC (gestion technique centralisée) afin d’optimiser le changement des filtres. En dirigeant le flux d’air le long du plafond, cette bouche de soufflage à effet Coanda n’entraîne aucune gêne pour les occupants. Enseignement 4 : assurer une bonne diffusion de l’air. Limiter au maximum les passages hors volume chauffé Autre recommandation : éviter de positionner l’échangeur de la CTA (centrale de traitement d’air) à l’extérieur et limiter au maximum la longueur des gaines de soufflage et de reprise de la ventilation hors volume chauffé, source de déperditions énergétiques. En cas d’impossibilité, il s’agit de respecter la résistance thermique réglementaire pour le calorifugeage des gaines et de privilégier un calorifugeage double peau avec un capotage aluminium protecteur. Gérer les nuisances sonores Dernier enjeu de la conception et non des moindres : maîtriser le bruit de l’installation. Parmi les bonnes pratiques soulignées : installer un piège à son en sortie de CTA pour abaisser les bruits de transmission, dimensionner les bouches de soufflage et les sections des gaines en fonction du débit maximal ou encore limiter les points singuliers pour éviter les sifflements. Mise en œuvre et contrôle : quelques vérités bonnes à dire Enfin, le rapport met en évidence les malfaçons et les erreurs relevant directement de la méconnaissance des règles de l’art par l’entreprise et du manque de contrôle de la maîtrise d’œuvre. Citons le non-raccordement du réseau d’évacuation des condensats de l’échangeur au réseau d’eaux pluviales ou d’eaux usées, la multiplication des coudes inutiles des réseaux et l’écrasement des gaines souples, l’absence de protection des gaines et des terminaux de ventilation en phase chantier entraînant la présence de poussières et d’humidité ou encore la difficulté d’accéder à la CTA et le manque de place pour changer les filtres. Téléchargement du rapport complet sur le site www.qualiteconstruction.com L’écrasement des gaines souples au niveau de la CTA engendre des pertes de charge et une surconsommation énergétique. Enseignement 11 : réaliser une mise en œuvre soignée du réseau aéraulique et de la CTA. Dix ans de retours d’expériences Lancé en 2010, le dispositif REX « Bâtiments performants » de l’Agence Qualité Construction (AQC) aide les professionnels à s’inscrire dans la transition énergétique et environnementale. Il se base non seulement sur un audit de bâtiments précurseurs et des mesures in situ, mais aussi sur un entretien avec les acteurs qui les ont conçus ou construits. En dix ans, l’AQC a ainsi audité 1 600 bâtiments et rencontré plus de 4 000 acteurs. Objectif : identifier les dysfonctionnements et bonnes pratiques, puis restituer les enseignements à travers différents supports sur www.rexbp.qualiteconstruction.com. Pour ce qui concerne le confort d’été, le rapport dont cet article fait la synthèse propose douze enseignements à connaître, observés sur le terrain et analysés par des experts. Avec pour chacun : le constat, les impacts, les causes et les bonnes pratiques.Le tout accompagné de photos et schémas illustrant les non-qualités et bonnes pratiques.   Cet article est extrait de Planète Bâtiment 68, découvrez le numéro en intégralité sur la plateforme Calameo.com Cet article Ventilation double flux en rénovation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 186 jours

Propositions de l’Association Française du Gaz en réponse à la crise énergétique

L’AFG souligne qu’à l’entrée de l’hiver, la France est dans une situation meilleure que celle anticipée quelques mois plus tôt. Les acteurs de la filière gazière ont été fortement mobilisés durant l’année 2022. Les actions mises en place en faveur de la sécurité d’approvisionnement, du remplissage des stockages, de l’accompagnement de leurs clients et de la maîtrise de la demande, ont permis des bénéfices importants. Cela se traduit par des prix plus bas en France que dans les pays européens voisins, ce qui bénéficie à tous les consommateurs français. Dans un contexte de forte hausse des prix, les mesures déployées par les pouvoirs publics ont amorti fortement les conséquences de la crise pour les ménages et aidé certaines entreprises. Malgré ce soutien, l’AFG alerte sur l’impact économique de la situation du marché et appelle à un rééquilibrage des mesures d’aide pour les orienter davantage vers les entreprises en difficulté, obligées pour certaines de réduire voire d’arrêter temporairement leur activité.Pour aider l’ensemble des clients à faire face en 2023 aux conséquences des prix élevés de l’énergie, l’AFG formule les propositions suivantes :Les hausses prochaines sur les ménages et le renforcement du chèque énergie doivent permettre un meilleur ciblage et un rééquilibrage entre ménages et entreprisesPour les entreprises :Étendre le bénéfice du bouclier tarifaire aux TPE et aux PME sous la forme d’un « chèque énergie entreprises », à un niveau déterminé en fonction du prix de fourniture contractualisé et de la consommation de référence, et selon un critère reposant sur le ratio comprenant le montant de la facture énergie et le chiffre d’affaires annuel ;Mettre en place rapidement, avant la fin de l’année, le dispositif de garantie de l’État pour s’assurer que tous les clients puissent se voir proposer au moins une offre de fourniture.Pour les ménages :Pérenniser en 2023 les mesures de renforcement du niveau du chèque énergie et ouvrir une réflexion de fond sur une refonte du dispositif et de la cible des bénéficiaires ;Lancer rapidement une consultation sur les modalités de définition d’un indice de prix de référence pour 2023 suite à l’extinction des tarifs réglementés en gaz ;Élargir le bénéfice du chèque énergie exceptionnel « fioul » à l’ensemble des énergies hors réseau – fioul, bois et propane – pour les ménages résidant sur une commune non raccordée au réseau de gaz naturel ;Mettre en place un taux de TVA réduit pour les offres de fourniture de gaz contenant 50 % de biométhane.Pour les acteurs de la mobilité gaz :Mettre en place un dispositif d’aide au GNV qui favorise cette énergie à hauteur de ses bénéfices environnementaux et qui permette de préserver le développement de la filière.Vous trouverez l’intégralité de ces propositions détaillées dans ce document.
Il y a 2 ans et 186 jours

Avec quadro evo, Hager s’ouvre de nouveaux horizons pour adresser des projets jusqu’à 4000 A

Hager lance quadro evo, un système de distribution d’énergie, permettant aux tableautiers, aux installateurs et aux bureaux d’études de répondre à des projets jusqu’à 4000 A. Il illustre la volonté de Hager d’adresser des projets de plus grande envergure, en offrant aux professionnels de nouvelles façons de concevoir et d’installer une distribution électrique. Pour réaliser son nouveau tableau général basse tension, Hager s’est appuyé sur ses plus de 65 ans de savoir-faire dans la fabrication d’enveloppes d’armoires électriques. Bien qu’elle conserve l’ADN des enveloppes Hager, cette évolution de la gamme quadro voit 80% de ses composants intérieurs renouvelés.Des performances accruesLa structure mécanique robuste de quadro evo permet d’atteindre des performances plus élevées :– le nouveau système d’équipement interne offre une résistance aux courts-circuits jusqu’à 85 kA, une protection contre les chocs IK10 et une protection contre l’eau et les poussières IP55,– les nouveaux supports de jeu de barres offrent une stabilité accrue jusqu’à 4000A,– quadro evo permet de répondre à des indices de service jusqu’à 233 et d’assurer une continuité de service en toute sécurité lors des interventions, la maintenance ou les évolutions du tableau. ©Hager Une mise en œuvre facilitéeAvec quadro evo, tous les éléments sont conçus pour un assemblage simple et rapide :– la structure interne des cellules de quadro evo a été conçue pour offrir plus d’espace de travail à l’installateur,– le nouveau système de supports et de profilés universels permet une plus grande modularité,– un nouveau système de kits de montage, plus simple et plus précis, permet également le positionnement et la mise en œuvre plus rapides des appareils.Grâce à ces nouveautés, mais aussi grâce aux vis accessibles par l’avant, les évolutions ultérieures et la maintenance seront facilitées. ©Hager Une compatibilité avec l’écosystème HagerPour la distribution électrique principale, quadro evo peut embarquer des boîtiers moulés intelligents h3 et h3+ jusqu’à 1600 A.quadro evo peut également être associé au logiciel Stream, pour assurer la surveillance des consommations multi-énergies sur un ou plusieurs sites. Intégré dans un écosystème de comptage et de mesure énergétique, il répond parfaitement aux exigences du Dispositif Eco Energie Tertiaire (décret tertiaire) qui s’appliquent depuis 2021.Enfin, le logiciel Hagercad.T évolue avec quadro evo pour rendre les phases de configuration, de conception et de chiffrage plus aisées, rapides et précises. ©Hager Pour quels projets ?Le système permet la réalisation d’équipements de distribution basse tension pouvant aller jusqu’à 4000A en forme 4b, pour des applications tertiaires : locaux commerciaux, hôtels, bâtiments administratifs, publics ou privés, industriels, hôpitaux, infrastructures routières et ferroviaires. quadro evo est adapté à la réalisation des TGBTs mais aussi des tableaux divisionnaires.Le système de distribution d’énergie quadro evo est un ensemble d’appareillages de puissance testé et certifié selon la norme IEC 61439-1 & 2.
Il y a 2 ans et 187 jours

Comment produire et utiliser l'énergie sans affecter le climat ?

1. La production et l’utilisation de l'énergie sont au cœur de la crise climatique à cause des émissions de gaz à effet de serre qui en résultent et nécessitent une action efficace dans deux directions principales. Celles-ci comprennent :La recherche d’une plus grande efficacité énergétique et la limitation de l’utilisation de l’énergie, de la production à la consommation. Il est essentiel de découpler la croissance économique, source d’élévation du niveau de vie, de la consommation d’énergie : tous les scénarios concluent à la nécessité d’une rupture dans l’évolution de l’intensité énergétique mondiale, qui doit passer d’un taux de croissance annuel de - 1 à - 1,5%, observé historiquement, à un taux de - 4 ou - 5%.La décarbonation des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, en favorisant les technologies à faibles émissions de carbone.Ces deux niveaux peuvent être activés par des choix technologiques et des changements de comportement, parfois encouragés par les politiques énergétiques.2. Les énergies renouvelables (principalement le solaire, l’éolien, la biomasse et l’hydroélectricité) doivent être appliquées et davantage développées. Aucune d’entre elles n’est sans conséquences sur l’environnement, parfois moins apparentes que pour d’autres formes d’énergie. Si l’intégration de certaines d’entre elles (énergie éolienne ou photovoltaïque) dans les réseaux électriques peut être source de difficultés en raison de leur variabilité, d’autres, au contraire, sont vertueuses en termes de stabilisation du système (hydroélectricité avec réservoirs). La plupart d’entre elles ne sont pas très denses, leur forte emprise au sol est source d’opposition locale, mais elles ont toutes l’avantage d’avoir une faible empreinte carbone.3. L’énergie nucléaire a une très faible empreinte carbone et son fonctionnement est stable et fiable. Comme l’hydroélectricité, elle peut produire des quantités massives d’électricité décarbonée et contribuer à la décarbonation des systèmes énergétiques. L’énergie nucléaire est essentielle dans la lutte contre le changement climatique. Bien que la sécurité et la gestion des déchets radioactifs soient souvent citées comme des préoccupations, ces préoccupations peuvent être gérées aujourd’hui de manière adéquate, notamment par la réutilisation de certains déchets à longue demi-vie. Le principal défi pour les responsables des politiques énergétiques et les ingénieurs est de redonner au nucléaire la place qui lui revient par l’information et le débat.4. Les combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz), qui sont responsables d’une grande partie des émissions de CO2, représentent toujours la plus grande part du bouquet énergétique mondial. S’il ne semble pas possible de les éliminer rapidement et complètement, notamment dans certains secteurs comme les transports, ou dans certains pays, ils pourraient constituer une énergie de transition en étant associés aux technologies de captage, d’utilisation et de stockage du carbone.5. L’électrification est certainement l’un des principaux moteurs de la transition énergétique. Une attention particulière doit être accordée aux systèmes électriques, notamment pour assurer la production de base. Le déclassement des centrales thermiques fossiles et le développement massif des énergies renouvelables variables peuvent poser des problèmes de continuité et de qualité de l’approvisionnement en électricité. Des centrales électriques de secours, des technologies de stockage d’énergie rentables et efficaces, le développement de la flexibilité de la demande et le développement des réseaux électriques seront nécessaires pour surmonter le problème de variabilité des énergies renouvelables. La question de l’accès à l'énergie en général et à l’électricité en particulier reste, dans de nombreuses régions du monde, un défi majeur auquel il faudra probablement apporter des réponses différentes, que ce soit pour l’approvisionnement des grandes mégalopoles en développement ou pour les sites isolés et hors réseau.6. La recherche d’une plus grande résilience des systèmes énergétiques soulève des questions sur l’utilisation des terres, la rareté de l’eau ou l’utilisation de matières premières (cuivre, lithium, nickel, cobalt, zirconium, métaux du groupe du platine et terres rares) qui pourraient conduire à leur épuisement précoce. Le passage de la dépendance des systèmes énergétiques, tant du côté de l’offre que de la demande, des combustibles fossiles à certaines matières premières, composants et équipements constitue un nouveau défi auquel il faut apporter des réponses, notamment en termes d’économie circulaire et de développement industriel.7. Des politiques énergétiques nationales efficaces et une coopération internationale seront essentielles pour mettre en œuvre les politiques les plus efficaces pour atteindre l’objectif net zéro émissions. S’il est indéniable que les pays développés représentent encore une part importante des émissions (33% en 2021 contre 40% en 2011), les tendances démographiques mettent en évidence le rôle majeur des pays en développement : en 2050, la planète comptera probablement près de 10 milliards d’habitants, contre environ 8 milliards aujourd’hui, et cette croissance s’observera principalement dans les pays en développement, qui représenteront 87% de la population mondiale. La recherche de solutions doit s’appuyer sur une vision prospective de la consommation d’énergie - marquée par le vieillissement de la population et l’urbanisation croissante (55% de la population mondiale vit en ville en 2022, 70% en 2050) et par les émissions associées. Les choix de politique climatique - y compris le soutien des économies développées aux économies en développement - ne peuvent se concevoir en dehors d’un cadre et d’un effort globaux.8. Le choix de se concentrer sur les solutions qui contribuent efficacement et immédiatement à la lutte contre le changement climatique ne doit pas nous faire oublier :L’effort de recherche indispensable pour développer des solutions à moyen ou long terme qui trouveront leur place dans le futur, comme les installations utilisant de l’hydrogène décarboné, d’autres carburants zéro carbone, l’amélioration de l’efficacité de la mobilité électrique et des bâtiments, les technologies de stockage y compris l’utilisation de l’électricité du réseau en dehors des heures de pointe, les tours solaires, les petits réacteurs nucléaires modulaires et la fusion nucléaire. En ce qui concerne l’hydrogène à très faible teneur en carbone ou les carburants synthétiques, il convient de poursuivre la recherche et le développement pour faire face aux difficultés d’utilisation, y compris la sécurité du stockage et le risque d’inflammabilité, avant de pouvoir exploiter pleinement leurs potentialités ;Le besoin croissant d’adapter les économies, et en particulier les systèmes énergétiques, au changement climatique afin de protéger les installations de production d’énergie de la menace de l’élévation du niveau de la mer et des conditions climatiques extrêmes. Les conséquences du changement climatique se font déjà sentir sur la navigation fluviale, l’irrigation, l’hydroélectricité et le refroidissement des centrales thermiques ;Le lien entre l’énergie et les Objectifs de Développement Durable ; la recherche de solutions fournies par les ingénieurs conduit parfois à des choix énergétiques qui entrent en conflit avec d’autres exigences de durabilité telles que la biodiversité ou la protection des habitats des populations autochtones.9. Les trajectoires vers des systèmes énergétiques durables nécessiteront une méthode rationnelle et rigoureuse pour faire des choix, loin de tout rêve ou idéologie, et devraient être fondées sur les principes suivants :Adopter une approche systémique ;Exploiter les meilleures technologies matures et le développement des compétences associées, tout en encourageant également l’innovation et le développement de nouvelles technologies ;Mettre l’accent sur le potentiel réel de toute nouvelle technologie, sur son adaptabilité et sur la facilité de son transfert ;Donner plus d’importance à l’efficacité économique alors que la crise économique et sociale mondiale provoquée par des situations imprévues laisse tous les acteurs sous contraintes financières ;Mettre en œuvre une plus grande coopération internationale entre les pays développés et les pays en développement dans la lutte contre le changement climatique.10. Il est essentiel d’avoir une approche équilibrée entre le progrès économique, la justice sociale et la préservation de l’environnement qui est fondamentale pour la sécurité énergétique d’un pays. C’est la condition sine qua non de l’acceptation par ses citoyens de la mise en œuvre de politiques énergétiques.
Il y a 2 ans et 187 jours

Le CSTB lance QB Modulaire, la certification dédiée à la construction modulaire

Conçue avec et pour les professionnels de la filière, répondant aux attentes des assureurs et des contrôleurs techniques, cette nouvelle certification accompagnera le développement de la construction modulaire, valorisant et structurant les bonnes pratiques, tout en fournissant aux prescripteurs et Maîtres d’ouvrages un repère de qualité, de performance et de fiabilité.La construction modulaire : un secteur en développementLa construction modulaire, reposant sur la conception et l’assemblage de bâtiments à partir de modules préfabriqués en usines, présente différents atouts, notamment en termes :D‘environnement : limitation des déchets et des nuisances, facilitation du réemploi... ;De productivité : accélération de l’installation et de la transformation ;De qualité : réduction des aléas de mise en œuvre ;De contribution à la réindustrialisation de territoires.Ces atouts font de la construction modulaire une technique pertinente face aux défis que doit relever le secteur du bâtiment : changement climatique, mutations technologiques, évolutions d’usages, etc.Pour accompagner son développement, valoriser les réalisations, encourager et structurer les bonnes pratiques, le CSTB a développé, en concertation avec la filière, une certification dédiée : QB Modulaire.QB Modulaire : mettre en lumière les forces et atouts de l’approche modulaire et accompagner le développement de la filièreQB Modulaire est la nouvelle application de QB – Qualité pour le Bâtiment, marque de certification unique du CSTB, au service de la construction.Sur la base d’une démarche volontaire, QB Modulaire s’adresse à tous les industriels de la construction modulaire : elle atteste et certifie leurs compétences, méthodologie et organisation, au regard d’un référentiel d’exigences qualité encadrées et contrôlées par le CSTB.Son périmètre couvre :Tous les types d’ouvrages dits « définitifs » ou de « longue durée » (bureaux, établissements scolaires, établissements de santé, logements, etc.), soumis à une assurance Dommage-Ouvrage, impliquant la présence d’un bureau de contrôle et respectant les exigences réglementaires ;Toutes les étapes de la chaine de vie de la construction :1. Conception2. Fabrication des modules3. Mise en œuvre sur chantier4. Reconditionnement / reconfigurationPlusieurs niveaux de performances sur chacune des 4 étapesDeux parcours de certification possibles :En certification complète, couvrant les 4 étapes de la chaine de vie de la construction modulaire ;Pour les industriels n’intervenant pas à l’échelle de l’ouvrage, un droit d’usage de la certification uniquement pour la partie fabrication des modules.Le niveau d’exigences et la surveillance, par le CSTB, de la maitrise des risques sur l’ensemble de ces quatre étapes permettront de recourir à de nouveaux modes constructifs en toute sécurité.Ainsi conçue, répondant aux attentes des assureurs et des bureaux de contrôle, la certification QB Modulaire constitue :Un vecteur de différenciation, de reconnaissance et ainsi, de développement économique pour les industriels ;Une solution d’évaluation du domaine d’emploi des modules et de leur durée maximale d’utilisation en lien avec leurs performances ;Un outil d’accompagnement du marché, structurant les pratiques et facilitant l’assurabilité des réalisations ;Un signe de qualité, de fiabilité et de performances pour guider et conforter les prescripteurs et Maîtres d’ouvrage dans leur choix, en confiance.
Il y a 2 ans et 191 jours

Prospective et prévention santé, sécurité : que faut-il anticiper pour le BTP ?

ÉDITION SPÉCIALE BATIACTU RH DAY. Alors que notre secteur est en pleine mutation, comment anticiper les risques en termes de conditions de travail, santé et prévention ? Quels doivent être les points d'attention des responsables des ressources humaines ? Découvrez le replay de notre conférence du Batiactu RH Day.
Il y a 2 ans et 191 jours

La découpe mobile automatisée arrive en France

La découpe mobile automatisée arrive en France chez NOMAD ROBOTICS pour libérer les employés du travail fastidieux et épuisant de la coupe des carreaux La découpe mobile automatisée arrive sur le marché français. Nomad Robotics propose assurément la solution plus performante d’entre elles : le Cut’nMove. Autonome, intuitif et adaptatif sont les principaux caractères de cette solution. Elle propose un système entièrement équipé qui permet de s’adapter à vos besoins. En bref, le Cut’nMove c’est : Un système entièrement équipé Un Software intuitif Une augmentation de la productivité Une découpe adaptative Nomad Robotics, expert et distributeur en solution robotiques, à destination de la construction, lance cette solution robotique. Le Cut’nMove est la solution robotique mobile révolutionnaire de découpe mobile automatisée, elle vient révolutionner le quotidien de nombreux projet de construction en accélérant considérablement les tâches compliquées et supprimant des tâches répétitives voir dangereuses pour les salariés. Pourquoi le Cut’nMove plutôt qu’un autre ? Cut’nMove est une plateforme technologique révolutionnaire qui amène les robots directement sur le chantier de construction. Alors que la plupart des projets de construction nécessitent l’aide humaine, le Cut’nMove vient automatiser les découpes de pavés, qui sont des tâches compliquées lorsqu’on utilise la méthode traditionnelle.  Avec sa petite taille, son boîtier pour remorque de voiture et ses commandes faciles sur iPad, Cut’nMove est le robot coupeur de carreaux agile et mobile qui va révolutionner le pavage et le jardinage paysager. Cette solution est en réalité un système complet permettant de s’adapter à une multitude de situation grâce à sa technologie révolutionnaire. Sa plateforme robotisée de coupe de carreaux est hébergée dans le châssis d’une remorque de voiture, le Cut’nMove est mobile et se transporte facilement d’un chantier à un autre. Le système est équipé d’un robot 6 axes connecté au cloud pour une liberté de coupe totale. Le robot est monté avec une lame diamantée, qui peut typiquement couper des carreaux de béton, céramique, granite, brique, marbre, pierre naturelle et bien d’autres. La taille de l’objet peut aller de 10 x 10 cm à 60 x 80 cm et de 4 à 16 cm d’épaisseur. Un générateur embarqué est présent sur la solution, cela augmente sa capacité d’automatisation et prouve encore une fois que le Cut’nMove est autonome grâce à l’alimentation électrique autonome. L’aspirateur complète le système afin de gérer les découpes de carreaux lourds en diminuant considérablement les particules de poussières. De plus, la solution est équipée de la mise à niveau automatique qui permet le déploiement de celle-ci sur des terrains irréguliers. L’ensemble du système est commandé par une interface iPad facile à utiliser. Vous n’avez plus besoin de former vos salariés pendant de longues périodes, l’IPad est un outil de la vie de tous les jours. Pour utiliser le Cut’nMove, il vous suffit de l’accrocher à votre voiture, de le déployer et de couper, il n’a jamais été aussi facile d’effectuer ces tâches compliquées. Une utilisation simplifiée, au service de besoins changeants Cut’nMove décharge le travail de coupe des carreaux et permet de se concentrer sur l’artisanat du pavage. En automatisant le processus de coupe, il peut être réalisé en toute sécurité par une seule personne alors qu’un travail de pavage nécessite deux personnes avec la méthode traditionnelle. Cette solution permet donc de doubler votre productivité. Grâce à l’interface IPad, l’environnement de travail de vos salariés sera plus ergonomique, changeant ainsi l’image entière des chantiers. Cut’nMove vous permet de créer facilement des conceptions avancées, accélérant ainsi considérablement les tâches compliquées. Enfin, c’est un procédé sûr et silencieux qui encapsule la poussière, l’eau et les particules dans son environnement fermé, augmentant la sécurité du travail à des niveaux sans précédent, réduisant le niveau de bruit au travail et éliminant les particules de poussière provenant de la coupe processus. Pourquoi a-t-il été créé ? Cut’nMove est une solution robotique mobile révolutionnaire, la première en son genre, pour la découpe adaptative sur site de tuiles de construction. Nous avons créé Cut’nMove pour libérer les paveurs du travail fastidieux et éprouvant de la coupe de carreaux et permettre la création de motifs de carrelage avancés en appuyant simplement sur un bouton.  Il fonctionne en synchronisation avec un processus de pavage conventionnel, automatise le processus de coupe et vous permet de doubler la quantité et qualité de travail dans le même temps. Comparaison de la méthode traditionnelle au Cut’nMove Avec la méthode traditionnelle, les risques étaient nombreux : Nombre de particules de poussière élevé (14,4 mg/m3 en moyenne) Niveaux sonores élevés > 110 dB  Inconvénients pour les citoyens  Mauvaise ergonomie  Risque de blessures liées au travail Avec le Cut’nMove, les risques sont considérablement réduits : Moins de particules de poussière provenant de la coupe, en moyenne 0,212 mg/m3 Faibles niveaux sonores
Il y a 2 ans et 191 jours

Solaire, pompes à chaleur : l'UE veut simplifier et accélérer les autorisations

Dans le cadre de l'ambitieux plan climat européen, un projet législatif visant à renforcer le déploiement des énergies renouvelables avait déjà été présenté par la Commission en juillet 2021, et fait actuellement l'objet de négociations serrées entre les eurodéputés et les Etats membres.En attendant l'accord final sur ce texte et sa transposition dans les droits nationaux, Bruxelles propose donc des mesures provisoires applicables dès leur approbation par les Etats et sans consultation du Parlement européen, en vue de "remédier au +goulet d'étranglement+ des procédures d'autorisation qui entravent le déploiement accéléré des projets".L'objectif est de cibler "les technologies spécifiques et projets qui ont le plus grand potentiel de déploiement rapide et le moins d'impact sur l'environnement, pour contribuer à notre sécurité énergétique" à l'heure où l'UE cherche tous azimuts à réduire sa dépendance aux hydrocarbures russes.L'exécutif européen propose que les infrastructures d'énergies renouvelables soient "présumées d'intérêt public supérieur", permettant aux nouvelles procédures d'autorisation de bénéficier d'une "évaluation simplifiée" et des dérogations prévues dans les réglementations environnementales.Par ailleurs, afin d'accélérer le déploiement des pompes à chaleur, Bruxelles veut accélérer les procédures d'octroi de permis, qui ne pourront plus excéder trois mois. Les connexions au réseau seront automatiquement autorisées pour les pompes jusqu'à 12 kW.La Commission propose également de restreindre à un délai maximum d'un mois le processus d'autorisation pour l'installation de panneaux photovoltaïques sur des bâtiments ou structures existantes, et pour leur connexion au réseau. Ces installations solaires seraient exemptées d'évaluation d'impact environnemental. Et pour les petites installations, Bruxelles suggère même que l'approbation soit tacite, via la notion de "silence administratif positif".Enfin, pour toute augmentation de la puissance des infrastructures d'énergies renouvelables existantes (solaire, parcs éoliens, géothermie...), l'octroi du permis devra prendre au maximum six mois, en incluant les évaluations environnementales, lesquelles seraient restreintes.Dans ce cadre, la procédure d'autorisation pour des raccordements aux réseaux d'électricité de toutes les infrastructures d'énergies renouvelables sera limitée à un mois et drastiquement simplifiée, dans les cas où l'augmentation de la capacité totale ne dépasse pas 15%.Gonfler la puissance des sites existants "offre un potentiel important pour augmenter rapidement la production d'électricité à partir de toutes les sources renouvelables", selon la Commission.D'ici juillet 2023, Bruxelles pourra proposer de prolonger l'application de ces mesures d'urgence si elle le juge nécessaire, notamment "en fonction de l'évolution de la sécurité d'approvisionnement et des prix de l'énergie".Avec cette proposition, "d'une durée et d'une portée limitées", "nous pourrons débloquer une myriade de projets d'énergies renouvelables dès les douze prochains mois", a fait valoir la présidente de la Commission Ursula von der Leyen devant le Parlement européen."D'après l'Agence internationale de l'énergie (AIE), nous pourrions déjà remplacer 14 milliards de m3 de gaz l'an prochain (...) rien qu'en accélérant les procédures d'autorisation de ces projets", a-t-elle indiqué.Les capacités des énergies renouvelables dans l'UE devraient gonfler de plus de 50 GW en 2022, une année record, dont un accroissement de 40 GW pour les seules installations solaires photovoltaïques, principalement des panneaux sur toiture, selon la Commission. Mais le déploiement du solaire doit s'accélérer à 60 nouveaux GW/an pour atteindre les objectifs de renouvelables pour 2030, avertit-elle.
Il y a 2 ans et 191 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique !

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20 %. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de respecter le décret publié le 5 octobre 2022 qui impose, sous peine de sanction, de fermer les ouvrants des locaux chauffés ou climatisés. Premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, Portalp propose déjà une offre globale de produits et services (installation, mise en service, maintenance, dépannage) adaptés aux petits commerces et aux Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Aujourd’hui, pour les aider à se mettre en conformité avec un budget maîtrisé, l’entreprise familiale lance le leasing Portalp. Elle leur offre ainsi la possibilité de louer ces équipements tous services inclus. Un nouveau service Portalp opportun pour s’équiper en toute sérénité Conscient que l’installation d’une porte automatique peut constituer un frein financier au moment de l’achat, Portalp met en place, en partenariat avec Locam, une offre de financement destinée à aider les commerces et locaux d’activité tertiaire dans l’installation et l’entretien de tout type de porte automatique ou autre système d’accès, sans dépasser leur budget. Adaptée à chaque situation grâce à un paiement échelonné sur 24 à 60 mois, cette offre leur permet de profiter d’équipements répondant parfaitement à leurs usages, sans investissement considérable à l’achat. Seules des mensualités fixes apparaissent en charge d’exploitation. Tout inclus, cette formule comprend : la dépose des anciennes solutions d’accès et de fermeture, la fourniture et la pose de nouveaux équipements sur-mesure adaptés aux besoins et attentes de chacun (porte coulissante, télescopique, antipanique, ronde ou cintrée, à rupture de pont thermique, coupe-feu, opérateur de portes battantes), l’expertise et les conseils d’un fabricant de portes automatiques et intégrateur de solutions d’accès, un contrat de maintenance conforme à la législation (2 visites d’entretien annuelles) ou sur mesure pour des dépannages rapides 24h/24 – 7j/7 grâce à un large réseau d’agences sur toute la France, l’assurance de bénéficier de pièces de rechanges constructeurs. A l’issue du contrat de location, le commerçant peut choisir de le renouveler avec un équipement neuf ou d’acquérir son installation en souscrivant, conformément à la réglementation, à un contrat de maintenance standard ou ajusté à son besoin. Une réponse efficace pour limiter les déperditions thermiques Dans un contexte de crise énergétique et suite au plan de sobriété lancé par le gouvernement, l’installation de portes automatiques constitue une source d’économie d’énergie manifeste. En effet, dans les commerces, les portes, lorsqu’elles s’ouvrent, provoquent inévitablement des déperditions. En hiver, le froid glacial s’engouffre à l’intérieur et en été, c’est la chaleur étouffante. Le chauffage ou la climatisation se mettent en route, entraînant une augmentation de la consommation énergétique. Pour réduire cet échange thermique intérieur extérieur, Portalp propose trois solutions : automatiser la porte battante existante avec l’opérateur électromécanique ISO3, simple et rapide à mettre en œuvre, remplacer la porte d’entrée par une porte automatique coulissante telle que la porte Diva RS peu énergivore, permettant aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires d’accessibilité tout en réalisant des économies, installer un kit retrofit RS pour bénéficier d’un opérateur connecté nouvelle génération sur un ancien modèle de porte automatique. Quelle que soit la version choisie, les nombreux réglages disponibles (vitesses d’ouverture et fermeture, accélération des vantaux, largeurs d’ouverture, etc.) permettent d’optimiser encore davantage le fonctionnement des portes automatiques. Ouvertes quand cela est nécessaire et refermées aussitôt que possible, elles limitent le temps d’ouverture intelligemment. Elles contribuent ainsi à la sobriété énergétique de l’installation tout en assurant la sécurité sanitaire en évitant tout contact. Enfin, les portes automatiques garantissent une fermeture fiable et systématique. Au-delà de rendre accessible l’installation d’une ouverture automatique, la nouvelle offre de location Portalp constitue surtout un levier de consommation plus responsable en offrant aux clients du fabricant de portes automatiques piétonnes une liberté d’agir durablement et de privilégier l’usage. À PROPOS DE PORTALP Fondé en 1962, Portalp, fabricant français de portes automatiques, propose une offre globale de produits et de services pour la sécurité et l’accès du bâtiment dans les secteurs du commerce, du tertiaire, de la santé, du transport grâce à ses sept filiales métiers (Accor Solutions, Delebecque, Facilliance, TM Agencement, Deveugle, Sotelem et L2A). Groupe indépendant dont le siège social est basé à Domont (région parisienne), il a implanté son centre de développement et de production près de Grenoble. Misant sur son Origine France Garantie et sur la proximité, Portalp s’appuie sur son réseau de 27 agences régionales réparties en France, six agences export dans le monde (Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et USA) ainsi que 40 distributeurs partenaires présents sur les continents. En 2021, l’entreprise, qui emploie plus de 1000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 123 millions d’euros. www.portalp.com
Il y a 2 ans et 191 jours

Ille-et-Vilaine : prolongement du filin de sécurité du barrage de la Rance à Saint-Malo

À Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), des travaux de sécurisation ont été réalisés autour du barrage de la...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 192 jours

Abloy Beat, une clé 100% digitale pour la sécurité des infrastructures critiques

Cette clé s’applique sur tous types d’accès et s’adapte à tous les environnements, même les plus atypiques. Ainsi, BEAT contrôle à distance et en temps réel des zones inaccessibles jusqu’à présent telles que des portes, des trappes, des armoires ou encore des grilles, etc.Les organisations ont un besoin croissant de sécuriser leurs accès avec une solution digitale, sans clé physique, mais toujours hautement sécurisée. Que ce soit pour compléter leur installation existante ou pour avoir une solution autonome, ce besoin se fait particulièrement sentir dans les zones reculées ou dans les cas où l’utilisation d’une clé physique comporte un risque de corruption ou un danger pour l’utilisateur.ABLOY BEAT, une nouvelle dimension de haute sécurité digitaleDédiée au secteur de l’eau, de l’énergie, des télécommunications, du transport ou encore de la logistique, cette offre, unique sur le marché, répond aux besoins directs des différentes infrastructures critiques. BEAT apporte une solution pour renforcer la sécurité des sites sensibles en multipliant le nombre de points de contrôle des accès atypiques (portes, trappes, armoires, grilles, etc).La clé digitale utilisée pour toute la gamme de produits BEAT permet de piloter l’ensemble des éléments de verrouillage à distance et en temps réel via un smartphone et les identifiants Seos®. Ainsi, un administrateur peut déverrouiller de chez lui et à n’importe quel moment une installation pour permettre à un utilisateur d’accéder sur un site.La technologie Seos® garantit une sécurité optimale sur l’ensemble des infrastructures critiques et permet à la clé digitale d’être protégée par une technologie d’identification de premier rang. Fournie par HID Global, une société du groupe ASSA ABLOY, l’application Seos® assure une sécurité par deux clés de cryptage (privée et publique - PKI), offre une communication sécurisée de bout en bout et une approche IoT moderne permettant des fonctionnalités poussées d’analyse et de surveillance à distance.Grâce à l’interface CIPE Manager, les clés, serrures et droits d’accès peuvent être gérer de n’importe où et à tout moment. Ce superviseur assure une gestion décentralisée des différents points d’accès sur les sites distants. ABLOY BEAT peut être géré avec CIPE Manager ou par un système tiers, à l’aide d’intégration via API ou SDK.ABLOY BEAT, une solution unique de contrôle d’accès basée sur la technologie Bluetooth Low EnergyLa communication basée sur la technologie Bluetooth Low Energy (BLE) offre aux infrastructures critiques la possibilité de piloter à distance l’ensemble de leurs dispositifs de verrouillage. De par le développement de l’offre de produit ABLOY BEAT et l’intégration d’un gateway dans la solution, BEAT permet de piloter depuis n’importe où et n’importe quand l’ensemble des produits d’une infrastructure critique.“Notre innovation apporte également une maîtrise complète des sites pour suivre en temps réel l’état des produits de verrouillage. De ce fait, l’administrateur peut savoir si les portes sont bien verrouillées et être alerté de la moindre activité suspecte. Le gateway, disponible dans notre offre de produits, est autonome en énergie et en communication, ce qui en fait un allié de taille pour les infrastructures critiques.” indique Dominique JARDIN, Directeur d’activité Critical Infrastructure France chez ASSA ABLOY Global Solutions.ABLOY BEAT, une offre de produits digitales en constante progressionL’offre de produits digitale d’ASSA ABLOY a été imaginée pour répondre aux besoins futurs en offrant des solutions de sécurité et de contrôle d’accès de haut niveau pour répondre aux exigences les plus strictes en matière de protection des infrastructures critiques. Ainsi, pour que les utilisateurs puissent bénéficier d’une expérience 100% digitale, ASSA ABLOY a récemment fait évoluer son offre BEAT et propose, désormais, une gamme de solutions intégrant un cadenas, un contrôleur, un cylindre, une poignée rotative, un tube de dépôt de clé et un gateway.
Il y a 2 ans et 192 jours

Feu vert pour la nomination de Castex à la RATP, retour aux fondamentaux

Entendu mardi soir par la commission de l'aménagement du territoire du Sénat puis mercredi matin par celle du développement durable de l'Assemblée, M. Castex a recueilli 52 voix des parlementaires contre 27. Sa nomination au poste de PDG de la Régie doit maintenant être confirmée en Conseil des ministres."Ma priorité des priorités, c'est le coeur de métier, et le cœur de métier, c'est répondre aux attentes des usagers" en Ile-de-France où la RATP a actuellement du mal à faire circuler correctement ses bus et ses métros, a-t-il déclaré.La première difficulté, "l'ugence absolue", "c'est celle de la continuité et de la qualité du service", a-t-il reconnu. La faute à une pénurie de conducteurs due à des difficultés de recrutement et à un fort absentéisme. Il se donne trois semaines pour établir un "diagnostic partagé" et "trouver des outils supplémentaires" pour rétablir la situation, avec un "enjeu de qualité de vie au travail".M. Castex entend en particulier accroître la présence humaine au contact des voyageurs, et "humaniser au maximum (le) service".Concernant les salaires, il entend anticiper l'ouverture des négociations annuelles obligatoires (NAO) avec les syndicats dès sa prise de fonction. Les agents ont déjà bénéficié d'une hausse moyenne de 5,2% des rémunérations cette année, a-t-il remarqué à la veille d'une grève qui s'annonce très suivie.Plus généralement, les priorités du prochain patron de la RATP seront la ponctualité, la régularité, la propreté, la sécurité, la lutte contre la fraude, la qualité de l'information donnée aux voyageurs et la modernisation de la billettique.Le credo de l'ancien Premier ministre sera "écoute, concertation, proximité", a-t-il ajouté.Parler à Christophe BéchuJean Castex compte en particulier faire "un état des lieux très précis de ce qui marche, de ce qui ne marche pas" avec Ile-de-France Mobilités (IDFM), l'autorité régionale des transports présidée par Valérie Pécresse.Parmi les "difficultés" qui attendent le futur PDG de la RATP, proposé par Emmanuel Macron, M. Castex a aussi cité l'envolée de la facture d'électricité, qui devrait passer de 210 millions d'euros l'an dernier à environ 265 millions cette année et atteindre entre 480 et 550 millions l'an prochain."Il va falloir voir (...) quelles solutions peuvent être trouvées avec IDFM et avec l'Etat", a-t-il noté.A ce propos, M. Castex a précisé qu'il parlerait de concurrence au gouvernement avec le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, puisque la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique lui a interdit d'aborder cette question particulière avec des ministres qui étaient dans son gouvernement -- ce qui n'était pas le cas de M. Béchu.Quant à l'important développement des filiales de la RATP, hors d'Ile-de-France et dans de nouveaux secteurs, ces dernières années, M. Castex est moins enthousiaste."La diversification des activités est importante, elle fait sens, mais en aucune manière elle ne doit nous détourner de notre mission première et fondamentale", a-t-il remarqué.En clair: la priorité est désormais de faire fonctionner la RATP en Ile-de-France, et la Régie devrait "recentrer" son action hors de son domaine historique, par exemple en se concentrant sur les métros automatiques, selon lui.Jean Castex, qui est depuis le 18 août président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit), souhaite "se rendre utile pour la Nation"."Je ne cherche pas à être recasé. (...) Quand on veut recaser des amis c'est plutôt dans des sinécures. Je ne suis pas certain que ce soit le cas", a-t-il lancé, rappelant qu'il est passionné de transports et qu'il avait été en 2019 candidat pour diriger la SNCF. "Les défis ne manquent pas et ça me motive beaucoup."Et s'il ne veut plus faire de politique, M. Castex a insisté sur la nécessité d'investir dans les transports publics.
Il y a 2 ans et 192 jours

Un accompagnement à la transition écologique pour les industriels du béton

ENTREPRISES. Le Centre d'études et de recherches de l'industrie du béton (Cerib) propose un accompagnement aux entreprises de la filière pour leurs démarches en matière de santé-sécurité, d'environnement et de RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Une convention a été signée avec l'Afnor pour préparer une labellisation spécifique.