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Il y a 2 ans et 316 jours

HEXAKIT, le nouveau concept de CLT, en format standard 100% français

PIVETEAUBOIS POURSUIT SON OBJECTIF DE DECARBONER LA CONSTRUCTION Dans l’optique d’accompagner les acteurs de la construction, PIVETEAUBOIS a décidé de créer un nouveau concept de CLT en format standard 100% français : HEXAKIT ! Une solution dont les bois sont tous issus de forêts locales gérées durablement et fabriquée dans son usine vendéenne pour optimiser l’impact carbone des chantiers. Depuis 2018, PIVETEAUBOIS continue ses investissements pour répondre aux nouvelles tendances du marché de la construction (ouvrages multi-étage) et son besoin croissant de nouveaux produits de structure bois comme le CLT (Cross Laminated Timbers). OUVREZ-VOUS À UN NOUVEAU STANDARD DE LA CONSTRUCTION Afin de répondre au besoin de réactivité des constructeurs et apporter des solutions pour construire bas carbone, PIVETEAUBOIS a développé une gamme de panneaux standard HEXAKIT de largeur 1,20 m, composés d’un mixte d’essences de provenance française : Pin et 1 face visible en Épicéa. Les longueurs des panneaux sont optimisées selon les portées sur 2 ou 3 appuis pour des applications en plancher, mur, toiture et support d’étanchéité. Un nouveau produit qui démocratise le CLT pour des constructions décarbonées.  Les +– Formats standards optimisés aux charges pour les habitations et les bureaux– Temps de pose au m² divisé par 3– Matériau protégé lors des phases chantiers avec sa protection PARKA (hydrofuge)– Epaisseur du plancher réduite– Sous-face visible épicéa pour conserver un plafond bois– Solution locale et bas-carbone accessible pour tous les types de chantiers– Livraison mixable avec d’autres produits PIVETEAUBOIS (ossature, BLC, BMA, bardage, terrasse, …) Le CLT Hexapli de PIVETEAUBOIS possède sa propre FDES validée et disponible sur inies.com avec une valeur de carbone stocké particulièrement avantageuse. Crédit photo : @Sylvain Malmouche – Architecte : Vincent Hemery – IE Architecture DÉCOUVREZ HEXAKIT EN VIDÉO www.piveteaubois.com/fr/nos-produits/nos-produits-clt-hexakit
Il y a 2 ans et 316 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 316 jours

Nova Crete : Occuper la place vacante

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete [©ACPresse] Avec les concentrations opérées ces dernières années dans le petit monde des sols décoratifs en béton, il s’est créé comme un vide que Nova Crete a choisi d’occuper. L’entreprise est née en novembre 2019, mais avec un véritable démarrage d’activité en mai 2020, en pleine période Covid. Pas top, mais ainsi vont les choses, parfois… « Nous nous positionnons comme un acteur indépendant et réactif des sols esthétiques », résume Matthieu Boufflet, co-fondateur de Nova Crete. L’industriel assure la fabrication de produits minéraux destinés à ce secteur d’activité. Mais aussi la distribution des outils dédiés. Les solutions proposées concernent tant les sols intérieurs – avec des bétons millimétriques – que les sols extérieurs. Là, l’offre est plus large, allant des bétons imprimés aux bétons lissés, désactivés ou balayés. « Tous nos produits en poudre sont fabriqués dans notre usine de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 316 jours

Ideal Work : « Nous recherchons des partenaires en France »

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. [©ACPresse] Jusqu’à son rachat par Bostik (groupe Arkema) en septembre 2020, c’est Eqiom qui assurait la distribution de la marque italienne Ideal Work sur le territoire national. Aujourd’hui, les choses sont différentes. Si Eqiom garde l’exclusivité sur l’Ile-de-France et le Grand Est – ses classiques zones de chalandise -, Ideal Work est en train de se déployer sur le reste du pays. « Nous sommes en train de développer nos équipes partout en France et sommes à la recherche de distributeurs locaux », explique Christophe Vaissier, directeur du développement business d’Ideal Work France. L’idée est de trouver 5 à 6 distributeurs régionaux pour assurer une proximité territoriale. En parallèle, Ideal Work continue à suivre en direct ses applicateurs historiques. Ceci, en attendant de trouver les distributeurs exclusifs ad hoc en mesure de le faire. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 317 jours

Revcoo : Quand innovation technologique rime avec transition écologique

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Revcoo a installé son innovation sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. [©Eiffage Route] En Europe, le secteur industriel représente 46 % des émissions de dioxyde de carbone. Dans un contexte où industrie devrait rimer avec écologie, les actions doivent être vite mises en place. Ainsi, Revcoo, une jeune start-up lyonnaise, œuvre pour la transition écologique. Elle a élaboré une nouvelle technologie capable de capturer le CO2 des usines. Cela, dans le but de limiter le réchauffement climatique de + 1,5 °C d’ici 2050. Ce procédé consiste à capter le carbone directement en sortie des cheminées d’usine par cryogénie. La technique se déroule ainsi en 3 étapes. Tout d’abord, le gaz à traiter est comprimé avant d’être déshumidifié. Il est ensuite filtré pour isoler le dioxyde de carbone, afin qu’il soit pur. Enfin, ce gaz conditionné est placé dans le désublimateur dans lequel le CO2 se transforme en neige carbonique. Lire aussi : Carbon8 Systems, de déchets à matériaux Des usines éco-responsables Des premières installations sont prévues prochainement sur un four à chaux de la carrière de Bocahut dans le Nord. Au démarrage, Revcoo devrait capter environ 2 t/j de CO2. Pour la fin d’année, il espère monter à 20 t/j. La technologie permettrait alors d’éviter l’émanation de 95 % des émissions dans l’atmosphère. De plus, la technique ne perturbe pas la production et ne force pas les professionnels à changer leurs procédés. La start-up propose donc un moyen pour les usines industrielles de devenir éco-responsables. A cela s’ajoute un gain d’argent significatif. En effet, l’innovation permettrait d’optimiser les coûts carbone parmi les plus bas du marché avec un CO2 capturé pour moins de 19 €/t. Soit environ 4 fois moins cher que sa valeur actuelle ; En parallèle, Revcoo valorise une partie du carbone cryogénisé pour ses recherches, pour l’élaboration de carburants verts ou encore pour la construction en béton. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 317 jours

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) s'inquiète du monopole de l'Asie sur la fabrication des panneaux photovoltaïques

Le rôle de la Chine aura été essentiel pour l'essor du solaire dans le monde, en faisant chuter le coût des panneaux de 80% en dix ans, et ce grâce à une politique industrielle très volontariste, souligne l'Agence dans un rapport inédit sur les chaînes d'approvisionnement du photovoltaïque."Mais l'importance de cette concentration crée des défis" et "de la vulnérabilité", a souligné le directeur de l'agence, Fatih Birol, devant la presse.Alors que ces dix dernières années les usines quittaient le Japon et les Etats-Unis, et que l'UE renonçait, la Chine a pris le relais, dans l'investissement comme dans l'innovation, au point de représenter aujourd'hui plus de 80% de part de marché.Et pour des éléments-clé tels que le polysilicium, cette part devrait passer à 95% au vu des projets d'usines connus, selon le rapport.Outre la Chine, l'Asie du Sud-est (Vietnam, Malaisie) est aussi un producteur important.Ainsi ces cinq dernières années, l'UE a importé 84% de ses modules photovoltaïques, les Etats-Unis 77%, l'Inde 75%."Un tel niveau de concentration sur n'importe quelle chaîne d'approvisionnement représenterait une vulnérabilité importante, et le solaire photovoltaïque n'échappe pas à la règle," dit M. Birol, pour qui "le mot magique, c'est +diversification+", source de sécurité d'approvisionnement comme d'emplois."Il peut se passer n'importe quoi, un feu, une catastrophe naturelle... c'est alors un problème," dit l'économiste.Pour l'AIE, le constat vaut aussi pour la Chine elle-même, où la province du Xinjiang concentre 40% de la fabrication mondiale de polysilicium.Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle, le monde devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'aujourd'hui, soit deux fois plus d'usines, selon l'AIE. Ce qui générerait dans les 10 ans un demi-million d'emplois durables.Mais cela ne viendra "pas tout seul", prévient l'agence: il faudra une volonté et une créativité -- fiscale ou autre -- des Etats pour soutenir le secteur face à l'Asie, compétitive en terme de coûts du travail ou de l'énergie.L'AIE observe d'ailleurs que nombre de pays et d'acteurs s'intéressent de nouveau à ce sujet, après une année 2021 marquée par une hausse générale des prix et des difficultés d'approvisionnement qui ont renchéri les prix des panneaux d'environ 20% l'an dernier.
Il y a 2 ans et 317 jours

La plus haute résistance mécanique de la gamme rigide d’Isonat

L’isolant Duoprotect est un panneau rigide composé de fibres de bois issues de plaquettes de scieries du massif forestier du Beaujolais, situées à proximité immédiate des usines de production. Isolant biosourcé le produit dispose de la résistance mécanique la plus importante de la gamme rigide d’Isonat tout en garantissant des performances thermiques, il dispose d’une conductivité thermique de 0 046 W/( m K). Il apporte également une bonne isolation acoustique, notamment face aux impacts de pluie, le rendant ainsi particulièrement pertinent en isolation des toitures inclinées par l’extérieur.
Il y a 2 ans et 317 jours

Un projet d'usine à Fos-sur-Mer pour verdir l'acier

Un projet d'usine de production de fer et d'acier décarbonés, implantée à Fos-sur-Mer (13), a été annoncé le 30 juin par un consortium constitué par l'incubateur européen EIT InnoEnergy, avec notamment Engie et Forvia.
Il y a 2 ans et 317 jours

Saint-Gobain veut industrialiser la construction en terre

"C'est une première mondiale qui démarre en France", a annoncé Patrice Richard, directeur de la distribution du groupe: un programme de masse visant à réutiliser à partir de 2023 la terre d'excavation de chantiers, aussi bien pour bâtir des maisons individuelles que des immeubles à étage.A l'origine, le groupe cherchait depuis 2019 à répondre à la demande d'un des plus grands aménageurs publics d'Europe, Euroméditerranée, qui pilote la rénovation des quartiers déshérités du nord de Marseille."Ils nous ont dit: +Le gouvernement et les normes françaises nous imposent du bois et des matériaux biosourcés pour faire baisser les émissions de CO2 de la construction, mais nous n'avons pas de bois: que peut-on faire avec de la terre? Parce que nous avons de la terre+", se souvient M. Richard.En alliant ses forces de recherche, ses usines et son réseau de distribution de matériaux Point P, Saint-Gobain a imaginé la possibilité de remplir des murs à ossature de bois avec un "béton de terre" projeté ou coulé, ou de construire avec des parpaings composés de terre, d'un liant à base de déchets de sidérurgie, de concassage de béton recyclé et de végétaux comme le chanvre.Des idées au MarocOutre le fait qu'elles sont économiques, les maisons en torchis ou en pisé, que l'on trouve du Maroc à l'Amérique latine en passant par le Sahara ou le Yémen, ont trois qualités: elles offrent un meilleur confort en été et en hiver, une meilleure hygrométrie, et une meilleure isolation phonique.Autant de facteurs issus des cultures traditionnelles très recherchés pour adapter la construction moderne au réchauffement climatique, tout en faisant baisser les émissions carbone du secteur de la construction, alourdies par celles de la fabrication du ciment. A lui tout seul, le ciment émet trois fois plus de carbone que le transport aérien.Le béton de terre, s'il ne permet pas encore de bâtir des murs porteurs, pourrait aussi permettre de réduire les consommations de sable, de plus en plus rare, soulignent ses promoteurs."Nous sommes allés prendre des idées au Maroc", précise M. Richard. "Ce que nous ne pouvions pas répliquer, ce sont des murs aussi épais que là-bas, et surtout nous devions trouver une solution demandant moins de main-d'oeuvre."Avec la technique de projection de béton de terre dans une structure porteuse en bois, on débouche sur un bâtiment "négatif en carbone", assure-t-il.Cette technique devrait aussi permettre de consommer moins d'énergie pour chauffer ou rafraîchir le bâtiment puisque la terre a la capacité de stocker la chaleur en été (au moins 15 heures), de freiner le froid en hiver, d'aspirer l'humidité quand il y en a trop, ou en rejeter si l'air est trop sec.Maisons "test""A condition de ne pas l'utiliser en façade", avertit néanmoins Manu Foucher, façadier qui craint les lézardes et craquellements dus à la sécheresse, malgré le chanvre incorporé dans la recette pour limiter le retrait de la terre lorsqu'il fait sec.A l'utilisation, avec un camion-pompe qui remplit de béton de terre l'ossature-bois, M. Foucher trouve "qu'on gagne du temps sur le chantier". Saint-Gobain s'est engagé à lancer des programmes de formation pour les artisans.Pour l'instant, une poignée de maisons "test" sont prévues en France et le groupe a signé deux projets d'immeubles dont la construction devrait démarrer en 2023.Côté coûts, le projet "était surnommé Dacia au début", du nom de la voiture à bas coût de Renault qui s'est avérée un succès commercial, explique M. Richard. "Un mur fourni et posé ne devait pas coûter plus qu'un mur de base" en béton, sinon il ne pourrait jamais prendre son envol, souligne-t-il."Les fabricants de béton ne sont pas des concurrents, ce sont des partenaires, car nous les aidons à décarboner les immeubles, et on ne pourra pas se passer de la portabilité des bâtiments (les fondations en béton armé), mais grâce à la terre on pourra être conforme aux nouvelles normes de construction françaises RE2020", espère Michel Daniel, directeur aménagement et ville durable chez Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 318 jours

Négoce Connecté, 27 septembre 2022 à Paris

Comment transposer les atouts historiques du négoce dans un univers omnicanal et mobile first ? Quel peut être le rôle des négoces dans un monde dominé par les plateformes telle qu’Amazon et où les grandes marques sont tentées par la vente directe ? Comment répondre aux évolutions des comportements d’achat des PME, des pros, des artisans ?Autant de questions passionnantes qui seront abordées, mardi 27 septembre 2022 par des dirigeants et acteurs du négoce devant un public de retailers du secteur. Ne manquez pas la seconde édition du rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB organisé à Paris par Diamart Connect.Un programme exceptionnel, avec 4 Tables Rondes sur des sujets d’actualité :De crise en crise : quels défis et quelles réponses pour nos entreprises ?RSE et circulaire : comment transformer la contrainte en opportunité business ?La saga des données produitsAccélération digitale et stratégies clientsUne journée animée par un panel de speakers emblématiques Tels que : Olivier Mercadal, Directeur général adjoint chez Saint-Gobain Distribution Bâtiment, Fabio Rinaldi, Président du Directoire chez Bigmat, Marc Teulières Executiv Vice Président Customer Success chez Mirakl, Pauline Mispoulet - Présidente Directoire GROUPE SOCODA et Bertrand ALARD, Directeur marketing chez POINT.P - SGDB France, Aodren COSNIER - Directeur Achats et Offre Produits de LEGALLAIS accompagné de Patrice Gouineau, Responsable Data produits chez Rexel et de Jesse Créange, Co-fondateur et CEO d’Unifaï, Nathalie CHAPUSOT - DG déléguée Marketing/ Ventes et e-commerce – RAJA et Olivier Cianelli, Directeur Marketing & Commercial Sonepar France.Négoce Connecté, c’est aussi :Des rencontres avec les solutions technologiques les plus pertinentes lors de One-to-One qualifiés,Une journée ponctuée d’échanges et de networking entre acteurs clés du secteur.Des use cases avec Akeneo, Alkemics et Sum up.Partenaires gold de cette édition 2022; Mirakl et Unifai.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/* invitation gratuite pour tous les cadres et dirigeants du négoce et commerce B2B, sous réserve de programmer 2 à 3 rendez-vous one-to-one avec des acteurs technologiques qualifiés
Il y a 2 ans et 318 jours

L'usine de Renault Cléon "temple du moteur thermique" accélère son virage électrique

Située dans une boucle de la Seine, à quelques kilomètres de Rouen, l'usine qui a produit les moteurs des 4L, R5 ou Twingo est métamorphosée. Dans le très propre atelier électrique, sur un léger bruit de fond mécanique, quelques dizaines de salariés assemblent des pièces de moteur ou surveillent les machines qui enroulent du cuivre sur de l'aluminium.Après deux ans de rénovation, le constructeur a inauguré mardi la ligne de montage d'un moteur électrique de puissance moyenne (160 kilowatts, soit 220 chevaux). Il équipe son nouveau porte-étendard électrique et haut de gamme, la Mégane E-Tech.Refroidi à l'huile pour de meilleures performances, il est 25% plus compact et 15% plus léger que le moteur de la Zoé, souligne Thomas Denis, le directeur de l'usine.Ce nouveau moteur a été développé dans le cadre de l'Alliance avec Nissan, et son clone produit au Japon équipe aussi le nouveau SUV de la marque nippone, l'Ariya.En 2021, les salariés de Cléon ont encore produit 600.000 moteurs et boîtes de vitesse pour des modèles thermiques, ainsi que 167.000 moteurs hybrides et 150.000 moteurs électriques, notamment pour la Zoé. Mais la production de moteurs électriques devrait doubler dans les deux prochaines années.Un an en formationEt en ajoutant un moteur électrique plus petit pour la nouvelle R5, dont les lignes sont encore protégées par des bâches, la production devrait passer à 500.000 électriques et 510.000 hybrides à partir de 2024, avec un départ total des moteurs thermiques à l'étranger en 2030.Pour le directeur industriel de Renault, l'Espagnol Jose Vicente de los Mozos, "c'est l'exemple d'une transformation industrielle", avec "un avenir clair", a-t-il lancé lors de l'inauguration.L'usine doit aussi produire à partir de 2027 un puissant moteur de 200 kilowatts, conçu sans terres rares, et produit en partenariat avec l'équipementier français Valeo.Cléon aurait ainsi sa place dans la future entité électrique de Renault. Celle-ci doit rassembler 10.000 salariés en France à horizon 2023, avec notamment les trois usines de son pôle "ElectriCity", dans les Hauts-de-France.A la fin de la ligne de montage, Elise Delabrière, 33 ans, vérifie les moteurs avant leur transfert à l'usine d'assemblage de Douai. Embauchée à Cléon en 2017, elle a commencé sur les lignes de la Mégane thermique avant de partir en formation pendant un an. "J'ai découvert l'installation des machines. Au début, on n'était que dix", explique la conductrice de ligne.Moins de main-d'oeuvrePrès de l'entrée du site, le centre de formation interne doit accueillir en juillet ses premiers salariés. Cléon a annoncé fin juin l'embauche de 100 nouveaux collaborateurs en CDI "pour accompagner la transformation électrique du site".Le nombre de salariés n'a pourtant cessé de baisser à Cléon, notamment dans le cadre d'un plan de départ global lancé par Renault début 2021. "On a 3.096 CDI en activité, alors qu'on était à 3.600 il y a deux ans", souligne William Audoux, représentant de la CGT dans l'usine.Les moteurs électriques demandent moins de main-d'oeuvre: la direction de Renault indique que la fabrication du nouveau moteur est automatisée à 60%, contre 40% pour le moteur de la Zoé, et entre 7 et 30% pour un moteur thermique, selon les pays de fabrication.La direction dénombre de son côté 3.228 salariés. "On n'a laissé personne de côté", a assuré M. de los Mozos.Pour atteindre ses ambitieux objectifs ambitieux d'électrification, Renault devra également se sortir de la pénurie de puces électroniques, qui a ralenti la production à Cléon comme dans de nombreuses autres usines automobiles.Outre les suppressions de postes, la CGT critique le positionnement de Renault sur le haut de gamme, qui doit redorer le blason du Losange, mais met ces modèles hors de portée financière des ouvriers."Pour fabriquer les produits, il faut vendre les voitures, et pour les vendre, il faut que les gens aient du pouvoir d'achat", alors que l'inflation progresse et que les salaires n'augmentent pas assez, a souligné M. Audoux.
Il y a 2 ans et 318 jours

AGC et E.ON confirment leur partenariat pour améliorer l'efficacité énergétique et la décarbonation de sites

Dans ce contexte, l'énergéticien E.ON et le fabricant de verre AGC renforcent leur partenariat par un projet commun de récupération de chaleur résiduelle et de production d'énergie verte dans l'usine de verre flotté d'AGC à Seingbouse, en France. Le projet sera développé, mis en œuvre, financé et exploité par E.ON. E.ON et AGC Glass Europe ont lancé leur partenariat en 2019 et ont déjà mis en œuvre des projets d'efficacité énergétique dans divers pays européens. En outre, la construction de futures centrales photovoltaïques d'une capacité allant jusqu'à 20 mégawatts (MW) est prévue en Hongrie et en République tchèque.« Waste Heat to Power » Récupération de chaleur fatale pour produire de l'électricité neutre en CO2 La chaleur fatale est la plus grande source d'énergie inutilisée au monde. Environ la moitié de la chaleur utilisée dans l'industrie est ainsi perdue. Le cœur du processus de fabrication du verre est le four à verre flotté qui fonctionne à des températures élevées, supérieures à 1000°C. Environ 30 % de la chaleur nécessaire au processus de production est finalement perdue dans les gaz de combustion et restait, jusqu'à présent, inutilisée. E.ON et AGC Glass Europe veulent remédier à cela. Sur le site de production d'AGC à Seingbouse, cette chaleur sera récupérée pour générer de l'électricité neutre en CO2 en mettant en œuvre une centrale innovante à cycle organique de Rankine (ORC) d'une capacité de 1,3 mégawatts (MW).Pour poursuivre la décarbonation du site, E.ON installe également une centrale photovoltaïque (PV) d'une capacité de 2,7 MW sur le site de l'usine. Elle produira de l'électricité renouvelable sur une surface totale de 27 000 m2.Un « Green PPA » sur site pour réduire la dépendance aux marchés de l’énergieEn combinant une centrale électrique ORC avec une centrale PV, E.ON fournira à AGC environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité décarbonée par an à partir de 2023. Cette électricité est entièrement produite et consommée sur le site d'AGC et couvre une grande partie des besoins en électricité du site. Sur cette base, environ 595 tonnes de CO2 sont évitées chaque année.Le projet est structuré sous la forme d'un contrat d’achat d’électricité (PPA : Power Purchase Agreement) long terme où E.ON produira et vendra de l'électricité à un prix fixe. Cela permettra au site d'AGC de se prémunir du risque de volatilité des marchés de l'énergie. De plus, le projet ne nécessite aucun investissement de la part d'AGC car il est financé par E.ON et soutenu par l'Etat français dans le cadre du plan « France Relance » mis en place par l'ADEME*.Marc Bartheld, directeur d'usine AGC Seingbouse : « Notre usine est l'une des plus grandes lignes de production d'AGC pour le secteur du bâtiment avec une production annuelle de 240 000 tonnes de verre flotté. Notre objectif est de réduire nos émissions de gaz à effet de serre de 30 % et notre consommation d'énergie de 20 % d'ici 2030. Pour y parvenir, nous travaillons constamment à l'amélioration des performances environnementales de nos sites de production. Le projet de Seingbouse ici en France est un parfait exemple de la manière dont E.ON peut nous aider non seulement à atteindre nos objectifs de durabilité, mais aussi à garantir la compétitivité du site sur le long terme."Guenther Schneider, président d'E.ON France : « Outre la décarbonation, la sécurité d'approvisionnement et l'indépendance vis-à-vis des prix volatils des matières premières deviennent, dans le contexte de marché actuel, de plus en plus cruciales pour nos clients industriels. Par conséquent, ces objectifs peuvent être atteints en combinant mesures d'efficacité énergétique avec la réutilisation de la chaleur perdue et production locale d'énergie verte. Grâce à sa présence internationale, E.ON peut aider AGC à mettre en œuvre cette stratégie de développement durable de manière efficace sur l'ensemble de ses sites européens."(*) Le projet ORC a été financé par le Gouvernement français dans le cadre du plan de Relance opéré par l’ADEME. Le programme « France Relance », porté par l'ADEME, contribue à accélérer la décarbonation de l'industrie française.
Il y a 2 ans et 318 jours

L'usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Afin de réduire la consommation d'énergie fossiles dans la fabrication de ses ciments, Lafarge a investi dans un nouvel atelier de traitement de fines de bois au sein de l'usine située à Bouc-Bel-Air (13).
Il y a 2 ans et 319 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 320 jours

Configurateur Plancher dalle, un logiciel développé par RECTOR pour accompagner les architectes

Pour anticiper la transformation des bâtiments dès leur conception et réduire leur impact environnemental, RECTOR lançait, en 2020, Caméléo®, une structure révolutionnaire de plancher dalle préfabriquée en béton sans mur porteur, intégrant tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Cette nouvelle approche impactant la manière de construire, RECTOR crée, aujourd’hui, le configurateur Plancher dalle pour accompagner les architectes dans le pré-dimensionnement de leurs projets. Caméléo®, un système constructif révolutionnaire Le système Caméléo® de Rector est une structure en béton sur-mesure et préfabriquée en usine pour s’affranchir des murs porteurs et intégrer tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Il a été développé pour concevoir des bâtiments pérennes, pensés structurellement pour être évolutifs. Avec Caméléo®, RECTOR exploite les performances mécaniques du béton armé pour alléger la structure au maximum et contribuer ainsi à la sobriété environnementale du bâtiment. Configurateur Plancher dalle, un outil pour accompagner le changement des méthodes, des pratiques et des modes constructifs Utilisé par le Bureau d’Etudes de Rector, le nouveau configurateur a été développé pour accompagner les architectes dans la création et le pré-dimensionnement de leur projet en y intégrant une structure Caméléo®. Chaque projet étant unique, il permet d’indiquer des informations techniques (type de béton et éléments d’armature mis en œuvre), et de valider la structure globale du bâtiment. En s’appuyant sur le BIM, Rector livre ainsi à l’architecte une maquette IFC 3D vérifiée en terme de structure, des notes de calcul, un quantitatif et une évaluation du poids carbone de son projet ainsi que le volume béton nécessaire à son ouvrage. Toutes ces informations pourront être intégrées dans sa maquette générale. Avec le nouveau configurateur Plancher dalle qui simplifie les méthodes de calcul, le Bureau d’Etudes Rector répond rapidement et avec précision aux sollicitations des architectes. http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 321 jours

Avec sa nouvelle stratégie ONEHOME, Unilin Insulation s’engage pour la construction d’un monde durable

Le réchauffement climatique est au cœur des préoccupations des états qui se sont fixés comme objectif, conformément à l’Accord de Paris, la neutralité carbone d’ici 2050. La durabilité étant inscrite dans les gênes d’Unilin Insulation, leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, l’entreprise entend relever ce défi en intensifiant ses efforts en matière de RSE / Responsabilité Sociétale des Entreprises. « One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés. One Home, 100 % d’ambition pour 0 % d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actes En déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique. Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers : • PLANET HOME pour protéger la planète, • YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables, • OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs. Planet Home, protéger la planète En réduisant les émissions de gaz à effet de serre En Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030. Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète. 5 % et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple : • Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ; • 3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France. Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments. Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34 % d’ici à la fin 2024. En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, …). 70 % des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90 % des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition. Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs. A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération. En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif : • 0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023, • 0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025, • 0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030. Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030. Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en place Pour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50 % de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42 % les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35 % moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur. YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durables Autour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires. Sachant que près de 75 % du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation. Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve : USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-Slide Gammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne. Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022. OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs Dernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités. Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr. Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail. Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 2 ans et 321 jours

Poujoulat installe une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort (79)

Après s'être équipé d'une chaufferie biomasse en 2012 permettant de couvrir plus de 80 % de ses besoins de chauffage, Poujoulat poursuit sa quête d'indépendance énergétique avec l'installation d'une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort.Près de 10% des besoins en électricité couverts Le Groupe Poujoulat, déjà alimenté par une électricité bas-carbone, a revu son contrat d'approvisionnement pour que la fourniture d'électricité soit majoritairement renouvelable. Par ailleurs, depuis le 9 mars 2022 avec la mise en service de la nouvelle centrale solaire photovoltaïque en autoconsommation, Poujoulat ajoute un approvisionnement renouvelable complémentaire pour couvrir ses besoins. Devant l'Atrium de Poujoulat, se dressent désormais 744 panneaux d'une surface totale de 1.240 m2. Avec une puissance de 245 kWc, le taux d'autoconsommation est de 91 %. Injectée dans le réseau commun à l'ensemble du site, l'électricité ainsi produite permettra de couvrir près de 10 % des besoins des bureaux et de l'usine.Pour Frédéric Coirier, PDG du Groupe Poujoulat : « Être leader européen des conduits de cheminée nous donne une grande responsabilité et un devoir d'exemplarité vis-à-vis de nos collaborateurs, nos partenaires, nos clients, mais aussi la société et la planète. C'est pourquoi l'entreprise se mobilise autour d'un engagement sur le long terme, intitulé Relations Positives, pour une meilleure performance énergétique et environnementale, dont la réduction de notre empreinte carbone fait partie intégrante. » La mise en œuvre de la centrale a été réalisée par l'entreprise rennaise Armorgreen, acteur des énergies renouvelables, filiale du groupe Legendre, entre novembre 2021 et mars 2022.D'un montant de 236.120 €, le retour sur investissement de l'installation attendu est de 10 ans.Un investissement financé avec l'aide de la région Nouvelle AquitaineCette centrale photovoltaïque, accompagnée d'autres projets de maîtrise des consommations énergétiques du site à venir (détection de présence et pilotage intelligent de l'éclairage, mise en place de compteurs divisionnaires et vérification des fuites d'air comprimé, récupération de chaleur sur les rejets d'étuve et les variateurs de vitesse sur les ventilateurs extracteurs et régulation sur pression des filtres sur la ligne de peinture 1.), a fait l'objet d'un soutien significatif de la région Nouvelle-Aquitaine. L'entreprise a ainsi bénéficié d'une subvention de 150.000 € pour l'ensemble de ces investissements d'un montant total de 805.940 €.Pour Alain Rousset, président du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine : « La Région Nouvelle-Aquitaine a soutenu financièrement le groupe Poujoulat dans sa transition énergétique pour une double raison : tout d'abord, parce que son projet est singulier en couplant la maîtrise de ses consommations énergétiques et l'autoconsommation d'énergie solaire. Ensuite, parce que ce projet s'inscrit pleinement dans les objectifs de Néo Terra, la feuille de route de la Région votée en 2019 et destinée à accélérer la transition énergétique et écologique. Enfin, rappelons que le contexte de tension forte sur les principaux marchés énergétiques rend toujours plus pertinentes ces démarches qui réduisent les émissions de carbone et améliorent la résilience de nos acteurs économiques territoriaux. »Chiffres clés de la centrale photovoltaïquePuissance : 245 kWcInvestissement estimé : ~ 236.120 € // 0,963 €/WcSurface panneaux : ~ 1.240 m² // 744 panneauxTaux autoconsommation : (TAC %) ~ 91%Energie valorisée : 292 MWh/anIndice Performance : 82,43 %Retour sur investissement (ROI) : 10 ansCO2 : 18 tonnes/an
Il y a 2 ans et 321 jours

Isonat reçoit une subvention de l’Ademe

L’engagement d’Isonat en faveur de la décarbonation a été récompensé par l’Ademe, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 €. [©Isonat] Décarboner son industrie est une priorité pour Isonat, fabricant d’isolants biosourcés en fibre de bois, en droite ligne avec l’objectif Net Zero Carbon du groupe Saint-Gobain et d’Isover. Cet engagement a été récompensé par l’Ademe, qui a décidé de financer à hauteur de 850 000 €. L’entreprise, qui a lancé des travaux pour doubler les capacités de production de son usine de Mably (42), souhaite réduire de 20 % (1 100 t/an) ses émissions de CO₂. Isonat a ainsi investi plus de 10 M€ dans son unité de production. Une évolution qui fera passer la production de panneaux isolants à l’horizon 2023 de 19 000 t à 42 000 t. Et ce, en réalisant une économie d’énergie de 4 500 MWh/an. Les 850 000 € attribués par l’Ademe ont été calculés en fonction du nombre de tonnes de CO₂ économisées.
Il y a 2 ans et 324 jours

Mapei Le Lab’ : Premier laboratoire mobile adjuvantier en France

Mapei France lance Mapei Le Lab’, un laboratoire mobile dédié à la formulation du béton. [©Mapei] Mapei France lance Mapei Le Lab’, un laboratoire mobile dédié à la formulation du béton, destiné à accompagner les industriels du secteur. Ce laboratoire se déplace sur les usines de préfabrication, les centrales de BPE et sur les chantiers. Ceci, pour réaliser in situ, avec l’appui d’un technicien expérimenté, des essais en lien avec le matériau béton. Les industriels n’ont ainsi plus à prélever et à envoyer leurs équipements en laboratoire, Mapei les caractérise et formule les bétons directement sur le lieu de fabrication. Lire aussi : Mapei : « Nous allons poursuivre l’essor » Les résultats des essais sont confirmés à l’échelle réelle. Les industriels bénéficient des résultats en temps réel et peuvent immédiatement choisir les orientations à donner. Equipé de plus de 30 appareils et outils de mesure, Mapei Le Lab’ permet de réaliser une très large gamme d’essais. De quoi compléter les deux laboratoires béton de Mapei, situés à Montgru-Saint-Hilaire (02) et Toulouse Saint-Alban (31). Ainsi que son équipe commerciale et technique dédiée.
Il y a 2 ans et 324 jours

Résultat des Eurobois Awards 2022 : 8 innovations récompensées

Parmi les 28 innovations en lice, 7 ont été désignées lauréates par le jury professionnel et un prix « Coup de cœur » a été décerné par le jury étudiants :Innovations récompensées par le jury professionnelCatégorie ergonomie poste de travailLa société VP DOLEX pour le produit ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVPRemplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée.Catégorie aménagementLa société SALICE pour le produit EXEDRA 2Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas.Catégorie makersLa société FELDER GROUP pour le produit HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles.Catégorie productivité chantierLa société LEITZ pour le produit ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil.Catégorie recherche et développementLa société WAYS INDUSTRIE pour le produit SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2.Catégorie confort chantierLa société FESTOOL France pour le produit STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATIONLa station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.Catégorie optimisation industrielleLa société SCM GROUP France pour le produit STEFANI XPlaqueuse de chants industrielle conçue pour offrir la meilleure qualité de placage de chants sur tout type de panneau et de matériau et pour répondre pleinement aux besoins d'une usine numérique, connectée et intégrée. Innovations récompensées par le jury étudiantsLes étudiants, qui participaient pour la première fois cette année au jury, ont attribué le prix « Coup de cœur des étudiants » à la société LE CRENEAU INDUSTRIEL pour l’innovation suivante : CRENO CLT-ONELa CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés.Qu’est-ce que les EUROBOIS AWARDS ?Plateforme de lancement de produits, les EUROBOIS AWARDS ont récompensé le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours a offert aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises avaient l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin. Cette présentation permettait à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury s’est rendu sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres ont pu ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury était composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour EUROBOIS d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury a remis un prix spécifique à X qui a été élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel :Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du BoisMembres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente-Toiture » de BTP RHONE - FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web /Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'Intérieur
Il y a 2 ans et 324 jours

Séminaire Clients – Schenker Stores renoue avec la tradition et reçoit ses clients sur le site de son siège social à Schönenwerd en Suisse

Les 2 et 3 juin derniers, une vingtaine de menuisiers installateurs français ont rejoint le site Schenker Stores de Schönenwerd en Suisse, où se trouve notamment le siège social du Groupe. C’est dans la joie et la convivialité que la marque a renoué avec son séminaire annuel, initié depuis 2015. Cette année a permis de renouer avec cette tradition mise en suspens suite à la pandémie. Ainsi, Christelle Bertard – Directrice Commerciale, Jérôme Henriot – Chef des Ventes Prescription, Christian Koessler – Responsable ADV & Responsable Technique et Philippe Gertz – Responsable Marketing et Communication ont reçu et accompagné tout au long de ces 2 jours de séminaire, les clients installateurs de Schenker Stores France. Les 2 jours se sont composés d’une visite du site industriel permettant de faire découvrir l’outil de production et les différentes facettes du savoir-faire de la marque, notamment aux nouveaux installateurs avec qui les commerciaux tissent une relation commerciale solide. Ils ont pu comprendre et s’imprégner de toutes les valeurs et forces du Groupe Suisse. Puis, le parcours du showroom a mis en lumière l’ensemble des solutions du Groupe, avec entres autres, également les produits de la marque EHRET. Une opportunité pour les installateurs – issus des marchés de l’habitat et de la prescription de projets tertiaires – de voir l’ensemble des produits en situation, de les manipuler et d’étoffer des projets en cours avec de nouvelles idées. Un temps de réunion ponctué d’échanges autour des synergies et des besoins de chacun a clôturé la première journée. La soirée et le deuxième jour du séminaire ont laissé place aux animations conviviales avec notamment la visite de l’usine « Jura » marque Suisse premium de machines à café professionnelles. Pour rappel, depuis 2010, Schenker Stores possède sa propre équipe commerciale et technique en France qui couvre tout le territoire. Les partenaires professionnels installateurs font office de distributeurs de la marque. Dans le cadre de sa stratégie 2025, le Groupe Schenker Stores souhaite se positionner encore plus fortement sur le marché français. Cette ambition se traduit par une collaboration plus forte entre les différents acteurs. Ces séminaires, à l’instar d’une animation de réseau, en sont un point d’orgue et viennent rappeler qu’au cœur des solutions Schenker Stores, les clients trouvent toutes les compétences à leur service : R&D, production, service commercial, service marketing, administration des ventes et service technique.
Il y a 2 ans et 325 jours

Le Groupe Atlantic lance son "Plan électronique 2024"

Leader européen du HVAC (Heating Ventilation Air Conditioning), le GROUPE ATLANTIC connait une forte croissance qui se traduit par une augmentation des besoins en cartes électroniques de l’ordre de 40% d’ici à 2024 pour l’ensemble des marques du Groupe.Le lancement du « Plan électronique 2024 », concrétise l’ambition du GROUPE ATLANTIC de développer son activité électronique afin de répondre aux besoins croissants de ses clients en matière de solutions éco-efficientes, connectées et intelligentes, ou encore d’intégration de nouvelles fonctions sur les produits de ses marques.Cet investissement stratégique permettra au Groupe d’augmenter ses capacités de production grâce à l’ouverture au sein de l’usine de la Roche-sur-Yon d’une 3ème ligne CMS (Composants Montés en Surface) ainsi que d’accroitre les volumes de stockage de ses composants et semi-finis*(+20%). La surface de production du site sera agrandie de plus de 650 m², les bureaux des équipes support et R&D de 1 500 m² ainsi que le laboratoire d’essais et de qualification. Les travaux, qui ont commencé le 28 mars dernier, se termineront en mars 2024.« Ce projet, qui s’appuie sur une équipe de 10 collaborateurs multi-métiers, permettra de maintenir et développer la fabrication de cartes électroniques sur notre site historique de La Roche-sur-Yon. Ce plan s’inscrit pleinement dans la volonté du Groupe de s’imposer comme un acteur majeur de la décarbonation et du bien-être dans les bâtiments grâce au développement de solutions de plus en plus éco efficientes et intelligentes pour le chauffage, la ventilation et la qualité de l’air intérieur », précise Guillaume Flipo, Directeur des opérations de l’unité électronique du GROUPE ATLANTIC.Ce projet aura un impact positif sur l’emploi : il prévoit le recrutement de 20 personnes, que ce soit en fabrication ou en R&D.GROUPE ATLANTIC est aujourd’hui, parmi les seuls dans son secteur activité, à avoir intégré la fabrication de cartes électroniques « Made in France ». Dotée d’un bureau d’études électronique intégré, l’unité Electronique du Groupe peut concevoir elle-même ses systèmes, répondant aux mieux aux usages de ses clients, tout en maîtrisant les coûts et en suivant les évolutions nécessaires pour répondre rapidement aux besoins du marché.
Il y a 2 ans et 326 jours

Fin de l'aventure pour le constructeur des maisons Phénix

« Phénix, pour que chacun ait sa maison » : tel était le slogan des maisons Phénix, une société du groupe Geoxia. Trois usines de l'entreprise ont obtenu un sursis car l'État a décidé de financer leur poursuite d'activité afin de finir en bonne et due forme des chantiers en jachère. Concernant les chantiers ouverts, Bercy a ajouté que les assureurs s'en occuperaient pour la suite, en prenant en charge le recrutement de la main-d'œuvre et les pénalités de retards ainsi que les surcoûts.Maisons Phénix a été créée en 1946 et s'est vite faite une place en France grâce à un modèle de maison individuelle standardisée, rapide et peu chère à bâtir. La société employait 1.150 personnes et, en 2021, réalisait un chiffre d'affaires de 252 millions d'euros. Après des premières difficultés financières à la fin des années 2000, Maisons Phénix avait vu son accès aux financements des banques coupé et la crise sanitaire suivie de la hausse des prix des matériaux et de l'énergie provoquée par la guerre en Ukraine ont eu raison de la société.Le plan « Grands Licenciements » a été activé par le ministère de l'Économie "pour aider les salariés à retrouver un emploi dans un secteur que l'on sait en forte demande de main d'œuvre".
Il y a 2 ans et 326 jours

Le Carburateur lance son nouvel appel à candidatures

Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 15 Juillet prochain. [©Le Carburateur] Le Carburateur, outil de création et d’accélération de croissance des entreprises de Marseille et de sa région, lance un deuxième appel à candidatures, le premier datant de 2019. Ceci, pour soutenir les jeunes start-up du territoire. Le Groupe CMA CGM, le Crédit Agricole Alpes-Provence, CI Média et NGE s’associent aussi pour supporter cette action. Le Carburateur pour stimuler l’entrepreneuriat à Marseille L’ensemble des partenaires souhaitent ainsi accompagner la nouvelle génération d’entreprises, porteuses de croissance économique et vecteurs du dynamisme économique du territoire. Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 15 Juillet prochain. Cet appel à candidatures porte sur 4 thèmes : Transport, logistique et économie bleue – catégorie parrainée par le Groupe CMLa ville connectée et solidaire – catégorie parrainée par CI MEDIAEnvironnement, constructions et infrastructures durables – catégorie parrainée par NGE, entreprise de BTPGestion de l’eau, de l’air et des déchets – catégorie parrainée par Crédit Agricole Alpes-Provence A l’issue d’une sélection effectuée par un jury composé d’experts mobilisés par chaque entreprise, les 4 start-up lauréates présenteront leur projet lors d’une cérémonie de remise des prix. Les entreprises récompensées bénéficieront chacune d’un soutien financier de 5 000 €. Ainsi que d’un accompagnement du Carburateur et des parrains du concours, qui se traduira par du mentorat et un café business avec le dirigeant.
Il y a 2 ans et 326 jours

« Les machines Cetec travaillent en papier comme en plastique »

Nouveau hall de l’usine Cetec de Périgueux, en Dordogne. [©Cetec] Cetec vient de fêter son 50e anniversaire. Quel bilan pouvez-vous tirer du chemin parcouru ? Mathias Elié : Cetec a réussi à traverser les époques en grandissant, et a su étendre ses gammes et ses technologies. Nous avons beaucoup travaillé sur l’innovation et sur nos positions de marché. A présent, Cetec arrive à maturité comme fournisseur français de chaînes d’ensachage complètes. Ceci, sur la gamme allant de 5 à 25 kg principalement. Au-delà, il reste quelques fournisseurs européens. Que des acteurs très professionnels de la chaîne d’ensachage… Au départ, Cetec était très centré sur les machines d’ensachage de nourritures pour animaux. Mais à une période, l’entreprise s’est retrouvée en difficulté. C’est toujours dangereux d’être mono-produit… Aussi, nous nous sommes diversifiés vers d’autres industries comme la semence, la minoterie, les matériaux pour le BTP ou les produits chimiques. Ces deux dernières activités génèrent chacune 15 % de notre chiffre d’affaires France. Cetec est très bien identifié sur ses marchés. Qui est Cetec aujourd’hui ? Comment envisagez-vous l’avenir ? Nous sommes une PME familiale de 90 personnes, basée en Dordogne. C’est-à-dire au cœur des territoires. Une entreprise fondée par Jean-Claude Labrue et reprise depuis par son fils Régis. Cetec possède un unique site de production, à Périgueux et réalise un chiffre d’affaires de 13 M€. Près de 40 % sont liés à l’export en direction de l’Afrique et des Amériques. Le gisement à l’international reste énorme. Mais, malgré tout, nous avons la volonté de rééquilibrer l’origine de nos revenus entre la France et le reste du monde. Notre plan de développement actuel court jusqu’en 2025 et prévoit un chiffre d’affaires de 15 M€ à parité entre la France et l’export. Parmi nos champs d’action, les sacs de 35 kg, qui s’intègrent tout à fait à notre scope. Tout comme les sacs de moins de 5 kg, parfaits pour la nourriture pour animaux. Toutefois, les sacs de 2 kg restent notre limite basse, car en deçà, il est nécessaire de changer de machines d’ensachage. De même, nous restons centrés sur les technologies de gaines ou de sacs formés. Pas de bobines donc en ligne de mire… Avez-vous mis en place des moyens particuliers pour atteindre vos objectifs ? Nous venons d’agrandir notre usine de près de 1 900 m2, ce qui nous a permis de retrouver plus d’aisance. Mais surtout des gains en productivité et la capacité de réaliser des tests d’ensembles complets avant livraison. Cetec assure l’essentiel de sa fabrication en interne, soit plus de 80 % des sous-ensembles. Qu’il s’agisse de la chaudronnerie, de la découpe, du pliage, de la peinture… Seuls, l’électronique ou les câbles sont sous-traités. Enfin, nous restons très réactifs, en termes de service après-vente et pour la refabrication de pièces pour nos machines. La disparition progressive du plastique dans les emballages impose une évolution des machines d’ensachage… Mais quels changements cela impose-t-il ? La véritable question devrait être : ce changement de matière pour les sacs est-il durable ? En effet, régulièrement, on passe d’une technologie à une autre, mais les cycles se raccourcissent. Jusqu’à peu, le marché était très déterminé à aller vers le plastique. Puis, le contexte législatif a changé et on est reparti vers le papier. Il y a une pression gouvernementale énorme, avec la mise en place d’une taxation non négligeable sur le plastique non recyclable. Mais les filières vont progresser sur le recyclage… Il faut savoir que le papier n’est recyclable que huit fois alors que le plastique l’est indéfiniment. D’autre part, il apparaît que le papier va permettre de plus en plus de choses. Mathias Elié, responsable commercial France de Cetec. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex en cours d’assemblage dans l’usine Cetec. [©Cetec] Le nouvel atelier de câblage est équipé d’écrans tactiles. [©Cetec] Détail de ligne de fermeture de sacs sur l’ensacheuse Polyflex. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex complète, prête à entrer en fonctionnement. [©Cetec] Dans ce contexte, Cetec est en train de créer de nouvelles générations de machines ? Déjà, nous avons procédé à pas mal de remplacements de machines. En parallèle, nous avons développé des machines acceptant les deux technologies. Ces installations s’articulent autour de deux postes. Tout d’abord, un magasin à sacs fait office de station d’ouverture. Puis, la zone de remplissage et de fermeture. Ainsi, la ligne Polyflex existe depuis cinq ans au sein de notre offre. Régis Labrue, directeur général de Cetec, avait su anticiper cette tendance lourde du marché. Aujourd’hui, une quinzaine de Polyflex tournent en France, travaillant aussi bien en 5 kg qu’en 25 kg, en papier comme en plastique. Notre leitmotiv est simple : “Ne vous casser pas la tête à choisir entre telle ou telle technologie, nos machines savent tout faire. Soit dès le départ, soit en termes d’évolutivité”. Ainsi, nos clients n’ont plus besoin de s’inquiéter en cas de changements de législation et de tendance de marché. Mais que vont devenir les équipements plus anciens ? En premier lieu, la modification de machines existante nous intéresse, car nous cherchons toujours à proposer des solutions durables. La démarche débute par un audit pour définir ce qu’il est possible de réaliser : amélioration, transformation, modification de parties spécifiques. Nous procédons souvent ainsi, mais dans la limite de certains process et d’un risque calculé. Nous faisons du rétrofit mécanique tant que cette approche est intelligente. 
Il y a 2 ans et 326 jours

Bertrand Bedel, réélu président de la Fédération de l'industrie du béton

CARNET-NOMINATION. Il a passé de nombreuses années à travailler pour le spécialiste de la préfabrication de produits en béton, Alkern. Pour son nouveau mandat, il souhaite notamment promouvoir le zéro-déchet et le maillage dense des usines françaises.
Il y a 2 ans et 326 jours

Bertrand Bedel, réélu à la présidence de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB)

Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé sa carrière en qualité de conducteur de travaux chez Cipec puis créé sa propre entreprise générale de bâtiment. Après deux années au sein du groupe Point P, c’est en 1983 qu’il débute sa carrière dans l’industrie des produits en béton en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera en 1989 le groupe Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein du groupe Alkern, puis sa présidence jusqu’en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. Parallèlement, Bertrand Bedel a présidé entre 2001 et 2007 FIB Nord Pas-de-Calais et Picardie. Sa nouvelle feuille de route s’inscrit dans la continuité de la mobilisation de la FIB, au travers des travaux initiés pour faire valoir : La réponse des solutions préfabriquées en béton aux exigences de la RE2020 pour favoriser la sobriété du bâti, avec un faible impact carbone, d’excellentes performances thermiques du bâti et un meilleur confort des occupants en été, une fabrication en usine permettant d’optimiser leurs sections et leur masse dont la diminution contribue directement à réduire l’impact carbone et des FDES pour la majorité des produits pour évaluer l’empreinte environnementale des ouvrages.La dynamique d’écologie territoriale d’une industrie de proximité, avec un maillage très dense d’usines partout en France et des industriels ancrés dans les territoires, dans une logique de création de valeur locale et durable, de traçabilité des matériaux sur l’ensemble de la chaîne de production. L’inscription de l’Industrie du Béton dans l’économie circulaire, dans un logique de circuits courts, de chantiers propres, zéro déchet, aux nuisances réduites pour les personnels et les riverains, avec l’emploi de matériaux décarbonés ou recyclés, de co-produits industriels issus de réemplois ou de matériaux agro-sourcés 100 % recyclables et une réponse innovante aux nouveaux modes de conception, construction et déconstruction sélective.La participation aux travaux d’ECOMINERO, l’éco-organisme de la filière minérale, dont la FIB est membre fondateur, pour fournir des solutions optimisées et adaptées pour la reprise des déchets inertes du bâtiment, dans le cadre de la mise en place de la REP (Responsabilité Élargie du Producteur).La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100 % d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables. L’Industrie du Béton représente en France461 entreprises 722 sites de production répartis partout en France96 % de PME-PMI françaises ancrées dans les territoires2,8 milliards d’€ de chiffre d’affaires, départ usine, hors taxes et hors transport, dont :67,4 % à destination du bâtiment32,6 % à destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton 19 200 emplois directs et non délocalisables Le 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de constructionUne proximité de livraison sur les chantiers : entre 30 et 100 km pour la plupart des produits Une proximité des matières premières : pas plus de 50 km en moyenne d’une usineUn réseau 100 % local de production au plus près des marchés
Il y a 2 ans et 326 jours

L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Dans la poursuite de sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone, la cimenterie Lafarge de La Malle a investi près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. [©Lafarge] Après avoir investi 10 M€ au cours des deux dernières années pour améliorer sa performance environnementale, l’usine de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), poursuit sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone. Pour cela, elle investit près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. Objectif : accueillir la fine de bois, un nouveau combustible non soufré issu de l’économie circulaire. Ainsi que de baisser de 10 % les émissions de soufre grâce à l’utilisation de combustibles plus vertueux. L’exploitation des déchets de bois provenant du bâtiment – et en particulier la fine de bois, inutilisable pour d’autres usages – dans le processus cimentier a été lancée en 2018. Il y a encore quelques années, entre 3 et 4 Mt/an de déchets de bois étaient enfouis sans valorisation. En 2021, la cimenterie a utilisé 41 % de combustibles alternatifs. L’objectif, d’ici à 2030 est de parvenir à des processus de combustion intégrant 65 % de déchets. Une valorisation vertueuse Cette valorisation est vertueuse à plusieurs égards : réduction de l’élimination des déchets ou de leur mise en décharge ;limitation des quantités de bois enfouies et, en conséquence, des émissions de méthane liées à leur décomposition ;baisse du recours au coke de pétrole, énergie fossile non renouvelable ;renforcement de l’économie circulaire. Ces déchets abondants se situant souvent à proximité des cimenteries, ils n’entraînent pas de trafic et de transport importants Travaux en cours La cimenterie Lafarge de La Malle s’est engagée, le 29 avril dernier, à exploiter son site sans dérogation administrative “SO2” en 2023. Impliquant de facto une baisse de ses émissions de soufre venant des argiles transformées sur le site. Mais aussi des combustibles utilisés pour chauffer le four de la cimenterie. L’usine La Malle s’est entourée d’entreprises régionales pour la conception et la réalisation de l’ensemble du génie civil, afin de pouvoir transporter, doser, sécuriser et injecter ce produit dans le four n° 1. La charpente est déjà en cours de construction pour une mise en service des injections de bois dans le mix combustible fin août 2022. Le four n° 2 de l’usine étant, quant à lui, déjà passé en phase d’essai. Puis, de développement à un système permettant d’utiliser ce nouveau combustible. 20 000 t/an de fines bois Avec une consommation prévisionnelle de l’ordre de 20 000 t/an de fines bois, la cimenterie apporte une solution circulaire pour le traitement final de déchets qui étaient auparavant non valorisés. Pour Pascal Baudoin, directeur de la cimenterie : « La Malle s’affirme comme un maillon clef de l’économie circulaire industrielle du territoire. Dans le cadre de notre feuille de route environnementale et de notre objectif de neutralité carbone, nous avons investi dans ce levier d’avenir. Qu’est la valorisation des déchets de bois du bâtiment, dans leurs fractions les plus fines qui restaient jusqu’à aujourd’hui difficiles à valoriser ».
Il y a 2 ans et 326 jours

Podcast #14 – Les Pavin de Lafarge : De la monarchie à l’industrie

Article initialement publié en 2008 Ils sont deux frères. Deux frères qui ont choisi d’exploiter la carrière familiale plutôt que de suivre les usages de leur milieu social, ceux des propriétaire fonciers gérant leur patrimoine tout en profitant du bon temps. Léon Pavin de Lafarge1 a 26 ans en 1833. Alors que sa formation de polytechnicien lui ouvre de nombreuses perspectives, il choisit de prendre la direction de la carrière familiale acquise quelques années plus tôt par son aïeul. L’usine comporte deux fours. Léon décide d’en construire trois nouveaux plus hauts et plus productifs. La petite affaire familiale prend rapidement de l’essor. Léon use de ses relations, des anciens camarades de polytechnique devenus ingénieurs du Génie Maritime et des Ponts et Chaussées. La chaux de Lafarge est utilisée à la construction de ponts de la vallée du Rhône, est livrée dans les ports de Méditerranée… Léon Pavin de Lafarge. [©Lafarge] Décembre 1839. L’affaire marche bien lorsque Léon décide d’arrêter et de passer la main à son frère cadet, Edouard, un jeune autodidacte au sens inné des affaires. Un abandon de courte durée puisque Edouard et Léon s’associent en 1848 pour créer la Société de Lafarge Frères. Acquisitions de carrières, création d’antennes, ouvertures d’agences en France… En 1864, la réputation de la chaux de Lafarge traverse le bassin méditerranéen et les frères Pavin fournissent 110 000 t de chaux pour le canal de Suez. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 327 jours

Réélection de Bertrand Bedel à la présidence de la Fib

Bertrand Bedel est réélu à la présidence de la Fib pour un mandant d’un an. [© FIB] La Fédération de l’industrie du béton (Fib) vient d’annoncer la réélection de Bertrand Bedel à sa présidence. Ceci, pour un mandat d’un an. En parallèle, celui-ci est aussi président du Cérib. Bertrand Bedel a établi sa nouvelle feuille de route dans la continuité des objectifs déjà mis en place. Ainsi, il apportera les réponses aux exigences en lien avec la RE 2020 avec des solutions préfabriquées. De plus, Bertrand Bedel mettra en avant la dynamique d’écologie territoriale de la filière béton et de ses usines partout en France. Par ailleurs, étant dans une démarche de création de valeurs locales et durables, la Fib veut pouvoir tracer les matériaux. Bertrand Bedel a donc comme ambition d’inscrire l’industrie du béton dans une approche d’économie circulaire. Enfin, la Fédération et Bertrand Bedel souhaitent participer aux travaux de l’éco-organisme Ecominéro (la Fib en est un des membres-fondateurs). Lire aussi : Bertrand Bedel, nouveau président de la Fédération de l’industrie du béton
Il y a 2 ans et 327 jours

Eau, essais et certification QB09

Marie-Cécile TrouilheParole d'expert Rencontre avec Marie-Cécile Trouilhe, chef de pôle Valorisation des performances, direction de l'Eau, CSTB. Pouvez-vous vous présenter ? Je fais partie de la direction de l'Eau où je suis responsable du pôle Valorisation des performances au sein de la division Réseaux et Ouvrages Extérieurs. Je suis également gestionnaire des marques de qualité QB09 et NF442. Pouvez-vous nous parler de la certification QB09 ? La marque QB09 certifie les produits systèmes d'assainissement sous Avis Technique concernant les réseaux et l'épuration. Les produits couverts sont notamment : les tubes pour réseaux d'eau et d'assainissement, les accessoires de réseaux, réseaux d'assainissement sous vide, réseaux de drains, dispositifs d'assainissement autonome, ainsi que quelques produits spécifiques tels que les citernes souples qui ont vocation à stocker l'eau destinée à la lutte contre les incendies , ou encore les Système Alvéolaires Ultra Légers qui permettent de réaliser des bassins de rétention d'eau (SAUL). Quelles performances certifiées ? Quels essais réalisés ? Pour l'ensemble des produits cités précédemment, la QB09 certifie les caractéristiques de durabilité, de mise en œuvre et de fonctionnalité. Des essais réalisés en laboratoires au CSTB permettent de garantir ces performances et leur constance dans le temps. La durabilité est évaluée par des essais matières (masse volumique, MFR, TIO, traction, Vicat...). Les caractéristiques de mise en œuvre et de fonctionnalité englobent des contrôles dimensionnels, des essais de résistance mécanique, d'étanchéité... Par ailleurs, des audits sont régulièrement réalisés directement en usine chez les industriels titulaires de la certification. Pour un nouveau certifié, deux audits sont ainsi menés durant les trois premières années. Si aucun problème majeur n'a été constaté à l'issue de ces six audits qui comportent également des prélèvements d'échantillons qui seront testés en laboratoires au CSTB, alors la fréquence des audits est réduite à un par an. Ces audits concernent l'ensemble du processus de fabrication, à savoir de la réception de la matière première qui compose les produits, jusqu'au produit fini et son stockage sur le parc du fabricant, ainsi que le suivi du système qualité mis en place par le fabricant. Quels avantages présente la QB09 pour les professionnels ? La QB09 permet aux professionnels d'avoir confiance dans leur choix, d'être certains de disposer d'un produit de qualité qui réponde pleinement aux besoins de l'ouvrage, et montrant que les caractéristiques et performances déclarées par les fabricants sont conformes et constantes dans le temps. C'est donc un gage de durabilité essentiel pour les maîtrises d'ouvrage. Par ailleurs, cela permet d'alléger de façon conséquente les essais réalisés à la réception des chantiers. Autre avantage concernant cette marque de qualité : c'est le CSTB qui maîtrise l'ensemble du processus de certification de A à Z, de la conception du référentiel, en passant par les aspects de gestion, les audits et les essais. Les fabricants ont donc un seul point d'entrée et donc un seul interlocuteur, le CSTB, ce qui simplifie les aspects logistiques et communicationnels. Des nouveautés à venir pour la QB09 ? Le CSTB travaille avec les professionnels de la filière pour mettre en place une évolution de la marque QB09 pour certains produits passés dans le domaine traditionnel - qui ne peuvent donc plus faire l'objet d'instruction d'Avis Techniques -, à savoir les systèmes d'assainissement en PRV gravitaires. Cette application verra le jour début 2023. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 327 jours

Anne-Sophie Douard - La parole aux professionnels

Anne-Sophie DouardLa parole aux professionnels Anne-Sophie Douard, responsable pôle gestion des opérateurs et contrôle, direction du Cycle de l'Eau, Nantes Métropole. Quel est votre rôle et celui de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole ? Je suis responsable du pôle gestion des opérateurs et contrôle, pôle en charge à la fois du suivi et du pilotage des exploitants publics et privés d'eau potable, d'eau usée et d'eau pluviale, et du contrôle des raccordements au réseau assainissement des usagers particuliers aux industriels. Ce pôle fait partie de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole, autorité organisatrice de la politique publique de l'eau. Celle-ci intervient dans quatre grands secteurs d'activité : l'eau potable, l'eau usée, l'eau pluviale et les milieux aquatiques. Sa mission est notamment de déterminer les grands schémas directeurs qui concernent les futurs besoins en termes d'infrastructures à rénover, mais aussi à construire pour les nouveaux usagers. Dans le même temps, elle est chargée de la maîtrise d'ouvrage de ces gros travaux. Elle est aussi garante de la gestion patrimoniale et de l'exploitation de ces réseaux et ouvrages qu'elle confie à des exploitants : Veolia (eau potable) et Suez (assainissement) pour le côté privé et la Régie de Nantes Métropole (direction des opérateurs publics de l'eau et de l'assainissement - DOPEA) côté public. La direction du Cycle de l'eau s'appuie sur sept pôles de proximité qui assurent également une activité d'autorité organisatrice assainissement dans les territoires, une organisation spécifique à Nantes Métropole. En 2019, le sud-ouest de la métropole a connu, pendant quelques mois, des apparitions de phénomène d'eau colorée. Ce problème est-il nouveau sur le réseau d'adduction d'eau potable ? Tous les propriétaires de réseaux et exploitants d'eau potable connaissent, à un moment donné, ce phénomène qui touche principalement les réseaux métalliques non revêtus. Peu fréquent, celui-ci provient d'une modification brutale du régime hydraulique, comme l'activation d'un poteau incendie, une casse sur le réseau ou une remise en eau après travaux. La répétition de ce phénomène d'eau colorée sur une période courte est le premier élément qui nous a alertés. Puis différents secteurs ont été confrontés à la même problématique. Cela a d'abord touché la partie Sud-Loire du territoire, puis, rapidement, la partie Nord-Loire, alors que ces deux zones sont alimentées par des eaux brutes différentes – eaux souterraines pour le sud, eaux de Loire pour le nord – traitées par deux usines différentes, puis distribuées par des réseaux différents. De plus, l'apparition de ces eaux colorées s'est produite sur des réseaux métalliques, mais aussi sur des réseaux plastiques sans que l'on puisse y associer une origine hydraulique. Connaître l'origine de ce phénomène est bien sûr devenu une priorité, aussi bien pour la direction du Cycle de l'eau que pour les exploitants. Ces derniers ont mené de nombreuses investigations. Ils ont effectué des manœuvres sur le réseau, des modélisations, des analyses de l'eau et des études métallographiques. Ils ont aussi contacté les usagers pour effectuer des prélèvements d'eau à leur domicile lorsque le phénomène était en cours, ce qui a permis de leur fournir les résultats sur la potabilité et l'ensemble des informations dont nous disposions à l'époque sur l'origine de cette coloration. En parallèle, la direction du Cycle de l'Eau s'est rapprochée d'autres collectivités qui avaient pu connaître ces recrudescences d'eau colorée pour essayer de trouver des similitudes entre les deux situations. Comment le CSTB vous a-t-il permis de faire disparaître ce phénomène ? À partir des nombreuses données que nous avions rassemblées, nous avons émis quelques hypothèses qu'il était nécessaire de confirmer. C'est pourquoi nous avons contacté le CSTB. Il nous paraissait intéressant d'avoir un regard extérieur critique afin de ne pas passer à côté d'une piste potentielle. Les experts du CSTB ont pu faire une synthèse de toutes les publications scientifiques qui existaient sur le sujet et réaliser une méthode statistique pour valider nos hypothèses. Il s'est avéré que les origines du problème étaient différentes entre le nord et le sud, malgré leur période d'apparition identique. Les deux usines étaient en travaux en même temps. Même si elles continuaient à produire de l'eau potable, les paramètres de celle-ci étaient légèrement modifiés à cause des travaux. Cela a entraîné une perturbation du biofilm à l'intérieur de nos réseaux et ainsi entraîné une mobilisation des dépôts à l'origine de la coloration. Nous avons alors mené des travaux en urgence sur les conduites métalliques non revêtues. Et quand les travaux n'étaient pas possibles dans l'immédiat, nous avons installé des systèmes de purge qui ont permis aux usagers de retrouver une eau sans coloration. Veolia, la Régie de Nantes Métropole (services usine et réseaux) et la direction du Cycle de l'Eau (pôles gestion patrimoniale, travaux et gestion des opérateurs) ont bouleversé leurs programmations et leurs plannings pour s'investir entièrement dans la résolution de ce problème. Au-delà du désagrément rencontré par les usagers, ce projet de recherche a été un beau travail collectif. Les conclusions de ce projet de recherche ont-elles été exploitées par Nantes Métropole pour anticiper l'apparition de ces phénomènes ? Nous avons en effet instauré une veille de certains paramètres des deux usines, bien au-delà de l'analyse de la potabilité de l'eau, qui n'est pas, dans ce cas, un indicateur pertinent. Grâce à l'expertise du CSTB, nous avons pu bien confirmer ce qu'il s'est passé et donc mettre en place cette vigilance sur certains paramètres de l'eau en sortie d'usine. Nous avons également ajusté notre programmation : le renouvellement des réseaux métalliques non revêtus, et surtout de leurs extrémités, est devenu prioritaire. Aujourd'hui, nous sommes revenus à une fréquence classique d'apparition d'eau colorée, habituelle avec les conduites métalliques non revêtues. Nous ne pouvons pas nous en contenter, notre objectif étant d'offrir un service toujours plus satisfaisant à nos usagers. Le travail d'amélioration est continu et nous menons en permanence des actions correctrices. En termes de communication, l'arbre des causes présenté par le CSTB nous permet de mieux expliquer aux usagers ce phénomène d'apparition d'eau colorée. Celui-ci a été traduit pour les exploitants afin qu'ils soient, eux aussi, en capacité de leur fournir des informations claires et précises. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 327 jours

« One Home », la nouvelle stratégie d'Unilin Insulation pour la construction d’un monde durable

« One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés.One Home, 100% d’ambition pour 0% d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actesEn déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique.Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers :PLANET HOME pour protéger la planète,YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables,OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs.Planet Home, protéger la planèteEn réduisant les émissions de gaz à effet de serreEn Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030.Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète.5% et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple :Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ;3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France.Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments.Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34% d’ici à la fin 2024.En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, ...).70% des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90% des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition.Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs.A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération.En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif :0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023,0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025,0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030.Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030.Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en placePour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50% de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42% les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35% moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur.YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durablesAutour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires.Sachant que près de 75% du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation.Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve :USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-SlideGammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne.Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022.OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateursDernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités.Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr.Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail.Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie.
Il y a 2 ans et 328 jours

Le constructeur des Maisons Phénix au bord de l'abîme

"Phénix, pour que chacun ait sa maison." Ce slogan publicitaire, matraqué tout au long des années 70, a fait de cette entreprise un symbole de l'accession de masse à la maison individuelle.Aujourd'hui, son modèle économique, fragilisé, s'est vu asséner le coup de grâce par les soubresauts du marché du fait de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine.Aucun repreneur viable ne s'est manifesté pour reprendre l'ensemble de son activité, mettant en danger les plus de 1.100 salariés du groupe."Faute de repreneur à date, la liquidation judiciaire prononcée à la fin du mois est désormais à craindre", écrivent, dans une lettre ouverte à l'Elysée et au ministère de l'Economie, dirigeants et représentants des salariés du groupe.Faute d'avoir accès aux financements bancaires, après de premières difficultés à la fin des années 2000, la direction a frappé à la porte du ministère de l'Economie pour lui réclamer une rallonge de quelque 70 millions d'euros. Elle s'est vu opposer une fin de non-recevoir."L'Etat ne peut pas financer seul les pertes passées et futures, sans aucun actionnaire. Il peut soutenir un repreneur mais ne peut pas se substituer à un actionnaire", tranche-t-on à Bercy. "L'absence de repreneur est bien le signal des difficultés structurelles de l'entreprise".AffaiblissementCar le modèle économique de Geoxia, basé sur ses fameuses maisons Phénix à bas coût, semble à bout de souffle.Elle fabrique en effet dans ses propres usines leur ossature, des charpentes métalliques qu'elle apporte toutes faites sur les chantiers.Une structure de fonctionnement plus lourde que la plupart des constructeurs, qui aujourd'hui font appel à des sous-traitants locaux, et bâtissent dans des matériaux plus classiques, parpaings ou briques.Et ses usines, indissociables de sa production, deviennent un fardeau économique en période de vaches maigres, de quoi décourager des repreneurs potentiels.Autre écueil : la hausse des prix de l'immobilier et l'assèchement des aides à l'achat ont découragé les ménages modestes, coeur de cible des maisons Phénix."Avec les contraintes de construction qui se sont ajoutées année après année, l'envolée des prix des matériaux et l'augmentation des prix des terrains, le client moyen qui achète une maison aujourd'hui, il est sensiblement différent de celui qui achetait il y a cinq ou six ans", résume Damien Hereng, président de la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles.Et Geoxia n'a pas su monter en gamme à temps.Amertume"Aujourd'hui les gens avec un bas revenu ou un salaire normal n'auront plus accès au rêve français qui est d'avoir une maison individuelle", lâche Fernando Cabete Neves, délégué syndical CFTC chez Geoxia. "L'état d'esprit, c'est un état d'esprit d'amertume, de gâchis. On est en train de mettre sur le carreau 1.195 salariés, on va sacrifier tous ces gens-là", regrette-t-il."C'est triste parce que c'est une marque avec une notoriété énorme, j'espère pour eux que l'histoire n'est pas tout à fait terminée", confie Damien Hereng.Du côté de la profession, on s'inquiète pour les quelque 1.600 clients toujours en attente d'être livrés, et pour qui les délais risquent de s'allonger.Mais pas de risques sur le reste des constructeurs, a voulu rassurer le président du pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment, Grégory Monod. "Geoxia ne représente pas le marché", a-t-il déclaré jeudi à la presse.La maison individuelle, décriée pour son impact environnemental et la dépendance à la voiture qu'elle induit, continue d'être plébiscitée par les Français, surtout depuis le confinement du printemps 2020, avec des prix en constante progression.
Il y a 2 ans et 328 jours

Watts présente ses solutions adaptées à l’installation d’une PAC en neuf et en rénovation

Soutenue par les réglementations et dans un contexte de crise énergétique, la pompe à chaleur a le vent en poupe sur le marché du chauffage individuel. A l’horizon 2050, elle devrait même s’imposer comme la solution incontournable en remplacement des vieilles chaudières et équiper jusqu’à 9 maisons sur 10. Pour des installations de qualité alliant une réelle performance énergétique et un confort optimal, WATTS propose une offre PAC réunissant une sélection de ses produits phares spécifiquement adaptés à la mise en œuvre d’une pompe à chaleur en neuf comme en rénovation.   PAC monobloc ou PAC split en neuf ou rénovation : protéger le réseau de distribution d’eau potable Conformément à la réglementation en vigueur (norme EN1717), dans une installation de chauffage neuve ou existante, le réseau de distribution d’eau potable doit être protégé de toute pollution par retour éventuel de fluides tels que l’eau de chauffage. En effet, celle-ci pouvant contenir des produits antigel ou autres inhibiteurs de corrosion est considérée comme non potable. C‘est le rôle du disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable de type CA de WATTS. Destiné aux circuits de chauffage domestique d’une puissance inférieure à 70 Kw, le disconnecteur CA9C de WATTS se positionne sur le circuit de retour d’une installation de chauffage avec pompe à chaleur. Il permet alors d’empêcher un retour de fluide caloporteur dans le réseau de distribution d’eau potable, le préservant ainsi de toute contamination accidentelle. Compact, il se compose de deux clapets de non-retour séparés par une chambre communiquant avec l’atmosphère. Associé à une soupape de décharge, ce système de double clapet lui confère une parfaite étanchéité. En cas de sous pression, dépression amont ou surpression à l’aval (avec ou sans fuite au deuxième clapet), la chambre intermédiaire est mise à l’atmosphère entraînant ainsi la séparation des circuits amont et aval. Quelles que soient les contraintes, le disconnecteur hydraulique à zone de pression non contrôlable CA9C garantit une protection optimale du réseau de distribution d’eau potable. PAC split : des solutions pour encore plus de confort thermique et d’économies d’énergie Dans le cadre d’un logement existant, WATTS propose un ensemble de produits performants destinés à optimiser les consommations énergétiques tout en simplifiant l’installation de la PAC. 1 – La vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF pour réaliser des économies d’énergie et assurer une répartition homogène de la chaleur en fonction des besoins Placée notamment sur le circuit retour dans n’importe quelle position (à condition de respecter le sens d’écoulement du fluide), en aval d’un ballon tampon, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF permet d’obtenir et de maintenir le confort thermique souhaité dans toutes les pièces desservies par l’installation. A la conception innovante, la vanne d’équilibrage statique iDROSET® Séries CF de WATTS permet d’ajuster et de régler précisément le débit d’eau dans le système de chauffage. Pour cela, elle associe : – un corps de vanne à l’intérieur duquel un dispositif de mesure, à la technologie brevetée, garantit un ajustement millimétré du niveau de débit requis, – un cadran qui indique le changement de débit en temps réel et rend plus rapide le réglage sans avoir recours à des appareils de mesure, – une couronne extérieure qu’il suffit de tourner pour augmenter ou diminuer le débit. 2 – Le module hydraulique Flowbox HKM, équipement indispensable au bon fonctionnement d’un système de chauffage avec pompe à chaleur Utilisé pour la distribution de l’eau depuis la PAC vers le circuit de chauffage, cet élément 4 en 1 intègre : – un circulateur précablé en usine, – une vanne 3 voies motorisée qui, en plus d’offrir une plus grande flexibilité de l’installation en limitant le nombre de raccords en entrée et sortie, assure une distribution à température variable (puissance thermique jusqu’à 30 kW pour ∆T 20K), – des robinets équipés d’un thermomètre (température départ – retour de 0 à 120°C), – un clapet anti-retour Pré-assemblé en usine, l’ensemble réduit les risques de fuite et représente un véritable gain de temps lors de la pose. Disponible avec ou sans pompe à haut rendement, le module Flow box assure une parfaite distribution hydraulique dans le circuit de chauffage. 3 – La régulation filaire ou radio « Climatic Control H&C » qui, connectée au module Flowbox HKM, garantit un confort thermique optimal dans l’habitat Filaire ou radio, cette solution de régulation sur sonde extérieure contrôle la température d’eau pour système basse (planchers chauffants et rafraîchissants, ventilo-convecteurs…) et haute température (radiateurs). A ces équipements performants, WATTS ajoute dans son offre PAC un purgeur d’air, un vase d’expansion à vessie interchangeable, un aquastat de sécurité et un collecteur inox. Véritable condensé de l’expertise de WATTS dans le domaine du chauffage, de la régulation et de la protection des réseaux d’eau, l’offre PAC permet aux systèmes de chauffage par pompe à chaleur de gagner en efficacité, en neuf comme en rénovation. https://wattswater.fr/
Il y a 2 ans et 331 jours

Lancement d’une nouvelle étude métier afin d’améliorer les conditions de travail des charpentiers

A partir d’informations quantitatives et qualitatives issues d’observations de l’activité et d’entretiens, les partenaires souhaitent mettre en œuvre des pistes d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des professionnels concernés.Accompagner en prévention le développement de la construction boisAvec le développement de la construction bois ces dernières années, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles ont recours à la construction hors site pour leurs chantiers. Bien que cette méthode de construction en atelier ou en usine présente de nombreux avantages, elle induit la pose d’éléments lourds et/ou volumineux sur chantier, qui peut être facteurs de risques : adéquation des moyens de levage/manutention, prise au vent des panneaux de murs, basculement de ces derniers et risques d’écrasement des compagnons. Ces chantiers présentent aussi des situations de travail en hauteur, notamment pour l’élingage et le désélingage des murs, ou encore la mise en œuvre des étages. En outre, ces dernières années, la préfabrication des planchers a également émergé. Cette pose d’éléments horizontaux est nouvelle et il est donc nécessaire d’améliorer la connaissance du métier, pour mieux comprendre les risques auxquels sont confrontés les compagnons et y apporter les solutions adéquates.Une étude métier qui repose sur une méthodologie d’intervention spécifiquePartant de ce constat, la Fédération des SCOP du BTP, l’Union des Métiers du Bois (UMB-FFB), l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB), la CAPEB et l’OPPBTP ont initié une démarche d’étude métier afin de sensibiliser les professionnels et de pouvoir améliorer les conditions de travail des charpentiers. Celle-ci repose sur une méthodologie d’intervention dénommée « Méthode d’Analyse et d’Evaluation des Conditions de Travail » (MAECT). Elle comprend une première phase tournée vers l’observation et l’analyse d’une situation de référence préalablement déterminée par les organisations professionnelles, qui conduit à la proposition de recommandations d’actions. Une Commission d’amélioration des conditions de travail est ensuite mise en place afin de développer tout ou partie de ces actions. Afin de dresser un état des lieux précis et complet, les observations de l’activité seront simultanément associées à une métrologie spécifique aux activités du charpentier pour chaque salarié observé :Mesures d’exposition aux poussières totales (dont poussières de bois) ;Mesures d’exposition au bruit : dosimétries et sonomètre pour mesurer le bruit ambiant si nécessaire ;Mesures de la fréquence cardiaque ;Mesures d’exposition aux vibrations lors des phases de mise en oeuvre (visseuse, cloueuse et outils mécaniques à main si nécessaire) ;Relevés de température et d’hygrométrie (ambiance climatique).Une situation de travail représentative du métier de charpentier en construction boisL’étude métier se concentre sur une situation de travail fréquente et représentative de l’ensemble des facteurs de risques auxquels ces professionnels sont exposés : la mise en oeuvre de planchers et de murs à ossature bois sur un chantier de logement individuel neuf.Afin de couvrir l’ensemble des pratiques, l’étude métier permettra d’observer quatre chantiers issus d’entreprises volontaires et adhérentes de chacune des Organisations professionnelles participant au projet. Parmi ces 4 chantiers avec pose de murs à ossature bois, seront également observés :Deux chantiers mettant en œuvre un plancher préfabriqué en atelier,Deux chantiers mettant en œuvre un plancher dont les poutres et solives sont posées sur site.Pendant trois jours consécutifs, la phase d’observation permettra d’observer au plus près les conditions de travail des opérateurs, selon 21 facteurs, des plus évidents (manutention manuelle, gestes, postures…) au plus sous-estimés (communication, autonomie).L’Instance d’Amélioration des Conditions de Travail proposera ensuite des solutions pratiques et facilement applicables, quelle que soit la taille de l’entreprise concernée.Les observations sur le premier chantier sont menées en juin 2022.
Il y a 2 ans et 331 jours

Découvrez le circuit de validation sur wurth.fr

Le processus de validation de commande est une solution d’achat avancée qui permet aux décideurs de l’entreprise de contrôler tout le processus d’achat. L’acheteur va pouvoir réaliser sa commande de manière classique mais au lieu d’une validation immédiate, cette dernière sera transmise à un décideur qui a la possibilité de valider la commande en l’état ou bien de la modifier à sa convenance. Le valideur a également la possibilité d’ajouter un coupon à la commande, de modifier l’adresse de livraison, de personnaliser le numéro de commande. Un mail sera envoyé à chaque étape du circuit de validation afin de les tenir informés.Pour mettre en place un circuit de validation, le client peut contacter son conseiller commercial (qui se rapprochera de son spécialiste Ebusiness) ou la Hotline Eshop. Le processus est adaptable à chaque structure d’entreprise en fonction de son organisation (plusieurs niveaux de validation possible par exemple) et le circuit de validation peut être mutualisé avec la fonctionnalité gestion des budgets.NouveautéLe circuit de validation est également accessible sur l’application mobile ! Après avoir créé son circuit de validation sur l’Eshop, l’acheteur pourra réaliser sa commande de manière habituelle sur l’application et l’envoyer pour validation.Les avantagesCette nouvelle fonctionnalité permet de donner de l’autonomie aux acheteurs tout en laissant le décideur contrôler et valider la commande.Pour en savoir plus rendez-vous sur wurth.frDécouvrez également une vidéo tuto pour la mise en place de cette fonctionnalité.Une question sur le circuit de validation ?Les clients de Würth France peuvent contacter la HOTLINE ESHOP de 7h à 18h au 03.88.64.85.01 ou par mail à l'adresse acces.eshop@wurth.fr
Il y a 2 ans et 331 jours

Les usines de Safran voient grand

Industrie -
Il y a 2 ans et 332 jours

Schindler pose les premiers escaliers mécaniques dans la future gare Villejuif Institut Gustave-Roussy du Grand Paris Express

Schindler, l’un des leaders ascensoristes depuis plus de 150 ans, annonce ce jour la pose d’un premier escalier mécanique dans la future gare emblématique Villejuif Institut Gustave-Roussy (IGR) de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express. La gare sera desservie par la ligne 14 (mise en service en 2024) et la ligne 15 (mise en service fin 2025) et prévoit d’accueillir quotidiennement 100.000 voyageurs. A chaque gare son design, approche artistique et culturelle La Société du Grand Paris (SGP) a voulu insuffler un vent artistique différent à chaque gare (68) pour lui créer une identité singulière. Ainsi des tandems architecte/artistes contemporains ont été formés pour habiller les futures gares du métro. Chaque œuvre vient s’intégrer à l’architecture de chaque gare. Quant à la future gare Villejuif IGR, l’architecture a été imaginée par Dominique Perrault en forme de cylindre de 70 mètres de diamètre, et a été pensée comme un connecteur du monde du dessous au monde du dessus, et vice-versa. Un espace de 30 mètres évidé à l’intérieur du cylindre, entouré de galeries en balcons, accueillera début 2023 4 grands escaliers monumentaux signés Schindler. Par leur design, construction et longueur, ces derniers épouseront parfaitement les profondeurs de la gare. Pour dialoguer avec le travail de Dominique, l’artiste chilien Ivàn Navarro intègrera une œuvre en illusion d’optique (un jeu de lumières et de miroirs). Les escaliers Schindler : la mobilité axée sur la sécurité et le respect de l’environnement181 escaliers mécaniques signés Schindler permettront le transport vertical des usagers dans 8 gares du tronçon sud de la ligne 15. Concernant la gare IGR, les équipes Schindler ont travaillé, dès la phase d’appel d’offre, à la définition des charges et des reprises d’efforts sur les appareils monumentaux. Après que la Société Grand Paris (SGP) a demandé un ajout de divers éléments qui augmentent la charge sur les escaliers mécaniques (habillages latéraux, antichute en verre, sonorisations et éclairages), un calcul structurel complexe de ces derniers était nécessaire. Schindler a fourni les notes de calcul nécessaires bien en amont du marché, afin que les travaux de génie civil puissent débuter sereinement.Tout au long du projet, la sécurité et le respect de l’environnement ont été les maîtres mots. Sécurité : Pour permettre à la Société du Grand Paris d’assurer la sécurité de son réseau, les escaliers mécaniques sont conçus pour garder leur stabilité dans une gare en cas d’incendie. Les analyses de tenue au feu des structures ont permis à la SGP de mieux appréhender ces besoins en protection de charpente contre le feu, tout en conservant l’esthétique des escaliers mécanique voulue par le designer.Les études d’évacuation ont aussi permis de proposer un fonctionnement de redémarrage automatique des escaliers mécaniques dans le sens de la sortie, incluant les préconisations relatives à l’entretien et la maintenance de ces équipements.Enfin, Schindler est précurseur depuis 2014 dans la mise en place de plaques podotactiles aux abords des escaliers mécaniques. Ce dispositif a été très apprécié et explicitement demandé par le designer de ce grand projet pour la sécurité des usagers.L’environnement : Soucieux de proposer des produits de qualité tout en veillant à la préservation de l’environnement, tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont totalement recyclables et/ou valorisables et de nombreux composants sont fabriqués à partir de produits recyclés, tels que l’aluminium ou l’acier. Tous les escaliers mécaniques que Schindler va installer sur le projet du Grand Paris Express sont issus de leur usine de production moderne, implantée à Dunajska Streda en Slovaquie, avec un approvisionnement de composants européens à plus de 75%.Cette proximité, au sein de l’Union Européenne, assure un maintien de l’emploi et de la production au sein de l’Europe, une grande flexibilité dans le circuit de livraison sur site et un bilan carbone très favorable.
Il y a 2 ans et 332 jours

La tuilerie Aléonard a 150 ans

Créée en 1872 à Pontigny par Jules Aléonard, l’entreprise de tuiles, carrelages et briques a su s’adapter à l’ensemble des révolutions industrielles du XXe siècle. La fin de la première guerre mondiale est un tournant pour l’entreprise Aléonard puisque les dégâts de la guerre nécessitent des efforts considérables en matière de reconstruction. C’est ainsi que l’emblématique tuile Monuments Historiques voit le jour pour une première rénovation historique celle de l’Abbaye de Pontigny. Rachetée par le groupe Koramic en 1997, la marque Aleonard entre dans le giron de Wienerberger et se recentre sur la production de tuiles uniquement. L’usine de Pontigny (89) est située dans le département de l’Yonne à 25 km d’Auxerre. D’une superficie totale de 45 300 m2, la tuilerie Aléonard emploie 38 personnes réparties sur deux unités de production et garantes d’un savoir-faire ancestral permettant de sublimer les toitures d’édifices historiques telles que les églises ou cathédrales, rénover d’anciennes bâtisses ou de réaliser des constructions neuves au caractère unique. Le site de Pontigny présente aujourd’hui une production annuelle de 5,4 millions de tuiles par an réparties en plusieurs modèles : Saint Vincent, Pontigny, Patrimoine et Monuments Historiques. Afin de faire face à l’accroissement de la demande, Wienerberger France investit, en 2000, dans une nouvelle unité de production (tuiles filées, fours et séchoirs cellules) pour l’usine de Pontigny. Signe que depuis toutes ces années, Aléonard est devenue une marque symbole du savoir-faire français reconnue et appréciée au niveau international, national et régional, Marie-Guite Dufay, Présidente de la région Bourgogne Franche Comté, et Patrick Gendraud, Président du département de l’Yonne, ont fait le déplacement à Pontigny pour venir célébrer les 150 ans du site.
Il y a 2 ans et 333 jours

Elcia présentera sur Fensterbau une version de MyPricer 100% adaptée pour le marché allemand

Pour Johannes SALM, Business Developper Allemagne : « Chaque marché a ses propres besoins et ses particularités. Notre stratégie est d’adapter parfaitement MyPricer aux spécificités de chaque pays, aujourd’hui l’Allemagne, demain bien d’autres. Nous franchissons un cap avec MyPricer version Allemagne et nous nous réjouissons de la reprise des salons pour présenter ses nouvelles fonctionnalités. Rendez-vous à FENSTERBAU ! »La nouveauté à découvrir sur FENSTERBAU 2022 : La version allemande de MyPricer, la solution 100% web de chiffrage et commandeBien au-delà d’une simple traduction du français vers l’allemand, MyPricer a été repensé pour donner naissance à une nouvelle version totalement adaptée aux spécificités et besoins du marché Menuiserie, Store et Fermeture allemand. L’objectif : avoir un nouveau produit spécifiquement pensé et destiné pour une utilisation en Allemagne !Les nouvelles fonctionnalités de MyPricer version AllemagnePriorité aux champs pertinents et indispensablesA l’image des mentions RGE ou QUALIBAT ou encore des numéros de SIREN, indispensables sur le marché français mais qui n’existent pas en Allemagne, seuls les champs pertinents et utiles pour l’utilisation des professionnels allemands ont été conservés.L’ajout des mentions légales du paysA l’instar des champs personnalisables, les mentions légales devant figurer sur les documents fournis par une entreprise de Menuiserie, Store, Fermeture allemande ont été revues. Ainsi, les modèles de documents édités avec MyPricer version Allemagne (devis, commande) ont été repensés pour être automatiquement en conformité avec la législation allemande.Une nouvelle interfaceL’interface de MyPricer Allemagne a bénéficié des récentes évolutions de la version française pour une meilleure ergonomie et un plus grand confort d’utilisation.Le + : une équipe germanophone à dispositionOutre des nouveautés technologiques, le Groupe ELCIA s’appuie également sur une équipe International germanophone intervenant au niveau de la vente, du marketing, de l’intégration ou encore de l’accompagnement client. Pour cela, un bureau de liaison a été créé à Sarrebruck afin d’établir un point de contact avec les clients et partenaires.
Il y a 2 ans et 334 jours

Le Rapport AGC Glass sur le développement durable 2022 est désormais en ligne

Ces réalisations sont le fruit de l’engagement continu de tous les sites d’AGC Glass Europe pour atteindre les objectifs environnementaux de l’entreprise à l’horizon 2030. Activités de production : Coup d'œil sur les réalisations de 2021 Récupération d’énergie et production d’électricité : AGC a commencé à installer des panneaux PV et des installations de récupération de chaleur en 2009. Depuis, la production d’électricité n’a cessé de croître pour atteindre 32.221 MWh d’énergie récupérée et autoproduite en 2021.Air : Sur une base comparable, par tonne de verre vendu, la partie Upstream Operations a réduit ses émissions directes de CO2 de 10% depuis 2002. L’utilisation de fiouls lourds a diminué de manière constante au cours de cette période, pour disparaître complètement en 2020. Depuis 1999, les émissions spécifiques de poussières ont été réduites de quelque 63%Eau : Entre 1998 et 2021, AGC Glass Europe est parvenu à réduire sa consommation d’eau de 69% sur une base comparable.Déchets solides : Aujourd'hui, la quantité de déchets solides produits par le Groupe avoisine les 220.000 tonnes/an, dont 97% environ sont encore recyclés ou récupérés sur site par les fournisseurs ou entrepreneurs du Groupe.Transport : 57% des matières premières sont transportées par bateau, péniche et train, soit l’équivalent de quelque 57.985 camions en moins par an sur les routes. En 2021, près de 42.000 tonnes de produits verriers finis ont été transportés par train et par camion, soit quelque 2.100 camions en moins par an sur les routes.Emballages : Aujourd'hui, la plupart des emballages de verre sont réutilisables. AGC Glass Europe présente un taux très élevé de réutilisation de ses emballages. En Belgique, 98 % des emballages sont réutilisés.Recyclage : AGC Glass Europe recycle environ 1.000.000 de tonnes de verre chaque année, économisant près d’1.150.000 tonnes de matières premières et 700.000 tonnes d’émissions de CO2. Production d'énergie verte dans les usines AGC AGC a commencé à installer des panneaux photovoltaïques et des installations de récupération de chaleur en 2009. De nombreux projets sont à l'étude pour augmenter encore la production d'énergie verte et de réduire la consommation d'électricité du réseau et les émissions de CO2 associées. Le dernier projet confirmé concerne l'usine de verre float d'AGC à Seingbouse (France), où une installation ORC pour la récupération de la chaleur résiduelle et une centrale photovoltaïque seront installées en partenariat avec l’énergéticien E.ON . Empreinte Carbone 1:9AGC Glass Europe contrôle l'empreinte carbone totale de ses opérations en suivant les directives du GHG Protocol. Le premier calcul de l'empreinte carbone d'AGC a été effectué en 2009 et il s’est fait tous les trois ans jusqu'en 2020. Il est désormais calculé chaque année afin de mieux suivre la progression de la feuille de route carbone d'AGC Glass Europe. Le dernier calcul montre que les activités d'AGC Glass Europe sont responsables, directement et indirectement, de 3.535.000 tonnes de CO2 émises par an (année de référence 2020). AGC Glass Europe contrôle également le carbone évité par l'utilisation de ses produits, ce qui donne 33.530.000 tonnes de CO2 évitées. Cela signifie que pour chaque tonne de CO2 émise par AGC, près de 9 tonnes sont évitées grâce à l'utilisation des produits AGC.Découvrez dès maintenant le Rapport* AGC Glass sur le développement durable en surfant sur www.agc-glass.eu.(*) Le Rapport sur le Développement Durable n’est disponible qu’en ligne et en anglais.
Il y a 2 ans et 335 jours

Prévention sécurité au travail – Eurobois 2022

  AvecFrédéric Fayard, Ingénieur Conseil – Carsat Rhône-Alpes Chrystel Medina, Directrice d’exploitation – Minot CI Rhône-Alpes Véronique Berraud, Responsable QSE & Amélioration – Ossabois Axelle Berardier, Référente SSE usines et chantiers – Ossabois