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Il y a 2 ans et 224 jours

Le retard de l'éolien en France s'accentue

Deuxième source d'électricité renouvelable en France après l'hydraulique, l'éolien a fourni 36,8 térawattheures (TWh) en 2021, soit 7,7% de la consommation française, indique l'Observatoire de l'éolien, produit chaque année par France énergie éolienne (FEE) avec CapGemini.En 2021, 1.200 mégawatts (MW), soit 418 éoliennes, ont été installés, et en 2022 ce sera environ 1.350 MW: loin des 1.900 MW annuels qu'il faudrait en moyenne pour tenir l'objectif, voté par le Parlement, de 34 gigawatts (GW) en 2028. A ce jour, la France affiche une capacité d'un peu plus de 20 GW (environ 9.000 éoliennes).L'année 2022 aura pourtant été marquée par l'ouverture du premier parc éolien en mer, face à Saint-Nazaire, soit 480 MW pour alimenter environ 700.000 personnes, l'équivalent d'un peu moins de la moitié d'un des réacteurs nucléaires les plus récents. Deux autres parcs marins devraient entrer en production, en 2023 et fin 2023-début 2024."A un moment où la France manque d'électricité et doit en importer, il est impératif d'accélérer", souligne Michel Gioria, délégué général de FEE, relevant que seuls l'éolien terrestre, le photovoltaïque et le biogaz seront à même de produire plus d'énergie à très court terme, avant 2025.En 2022 et 2023, le secteur éolien devrait en outre, par contrat, reverser quelque 7,6 milliards d'euros sur les deux années à l'Etat, du fait des prix élevés du marché. Si la tendance se poursuit, il aura ainsi remboursé toutes les aides reçues depuis 2001, note FEE.Sur fond de crise énergétique inédite, le gouvernement a publié fin septembre une circulaire aux préfets leur demandant d'accélérer le traitement des dossiers d'énergies renouvelables, et un projet de loi visant à soutenir le déploiement de ces infrastructures.Pour l'instant, l'effet de la circulaire ne se mesure pas encore pour les 4,5 GW de projets en fin d'instruction et en attente d'autorisation, note FEE. Le secteur souligne aussi le "déficit structurel de moyens humains dans les services de l'Etat pour instruire des projets", qui souvent font plus de 2.000 pages.A ce stade, le projet de budget 2023 prévoit le financement de 15 agents, quand il en faudrait une centaine, souligne M. Gioria, pour qui "ce n'est pas anecdotique: la France est forte pour définir des objectifs, mais la mise en oeuvre souffre d'un manque de moyens".
Il y a 2 ans et 225 jours

Une propriétaire condamnée à restituer des années de loyer pour logement indigne

La propriétaire devra verser à son locataire, âgé de 66 ans toujours occupant du logement, la somme de 19.463 euros correspondant à quatre années de loyers "indûment payés", a décidé le tribunal judiciaire de Paris dans un jugement rendu le 15 septembre consulté par l'AFP vendredi.La propriétaire devra également payer à son locataire, qui bénéficie d'une pension d'invalidité, 2.000 euros pour préjudice moral en raison des "constatations relatées dans l'arrêté préfectoral faisant état de risques pour la santé", a estimé le juge.Ce "local mansardé" situé dans le XIe arrondissement possède une surface au sol de 9 m2, mais seulement 5 m2 avec une hauteur sous plafond supérieur à 1,80m, détaille un arrêté préfectoral du 18 janvier après une enquête des services de la Ville de Paris.Le minimum légal est de 9 m2, avec une hauteur minimale de 2,2 m."Outre l'exiguïté des lieux rendant le local impropre à l'habitation, l'arrêté préfectoral relève également les éléments d'insalubrité suivants: absence de système de ventilation permanent, absence de moyen de chauffage, refoulement des eaux usées dans la douche lors de l'utilisation du lavabo, sol dégradé", souligne le tribunal.Fin 2021, une fois le bail résilié, la propriétaire avait assigné le sexagénaire en justice pour obtenir son expulsion du bien qu'elle voulait vendre, ainsi que 4.800 euros de loyers impayés.Mais le locataire s'est tourné vers la Fondation Abbé-Pierre, qui a envoyé aux services de la mairie le signalement qui a abouti à l'arrêté préfectoral."C'est une victoire", s'est réjouie Samia Ayed, chargée de mission habitat indigne à la Fondation. Mais elle n'est "pas totale car le monsieur vit encore dans le logement, rien n'oblige la bailleresse à le reloger". "Aucune proposition ne lui a été faite à ce jour", a ajouté la juriste."Quand le logement est indigne, c'est au propriétaire de reloger la personne en question, sinon tous les marchands de sommeil pourraient s'appuyer sur la bonne volonté de la collectivité et continuer leurs activités", a pour sa part commenté l'adjoint au logement de la mairie, Ian Brossat.Le service technique de l'habitat (STH) de la ville reçoit 5.000 signalements par an pour habitat présumé indigne, selon l'élu communiste, pour qui la décision rendue "n'est que justice".
Il y a 2 ans et 225 jours

Batimat : Upcyclea présente son activité dédiée à l’économie circulaire

La startup a développé MyUpcyclea, une plateforme de gestion circulaire des ressources des bâtiments.  Pour la Responsabilité élargie du producteur (REP) dans le bâtiment, rendez-vous est pris en janvier 2023. En attendant, la filière s’organise. Des services émergeants œuvrent pour accompagner le secteur du bâtiment à prendre le virage de l’économie circulaire.  Lors d’une présentation intitulée « Comment décarboner un parc immobilier grâce à l’économie circulaire et au réemploi », Christine Guinebretière, cofondatrice d’Upcyclea, a présenté sa société. Son ambition ? Faire du patrimoine immobilier mondial une gigantesque banque de matériaux réemployables et recyclables.  Calcul des externalités positives  Pour tendre vers cet objectif pour le moins ambitieux, la société a développé MyUpcyclea, une plateforme de gestion circulaire des ressources du bâtiment.  L’outil, disponible depuis juillet 2022, propose diverses fonctionnalités. C’est d’abord, une librairie gratuite regroupant des milliers de passeports « circulaires » pour des produits et matériaux sur lesquels sont à chaque fois indiquées les performances environnementales. C’est aussi un calculateur automatique qui mesure l’empreinte carbone d’un bâtiment, son degré de circularité et de santé. Des outils d’Intelligence artificielle élaborent quant à eux des scénarios de réemploi et de recyclage, et calculent les externalités positives d’un matériau. Soit les quantités de CO2, d’eau et de déchets évités. A noter que Upcyclea est accréditée pour la certification Cradle to Cradle. Cet article Batimat : Upcyclea présente son activité dédiée à l’économie circulaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 226 jours

La banque BPCE inaugure son siège dans deux nouvelles tours à Paris

Plusieurs étages de chacune des "tours Duo" est et ouest, respectivement 180 et 122 mètres de hauteur, sont dès à présent occupés par des collaborateurs de la banque, qui rassemble les réseaux Banque Populaire, Caisse d'Épargne et la division "global financial services", qui a absorbé les activités de l'ex-filiale Natixis. La tour ouest abrite également un hôtel-restaurant.Les quelque 90.000 mètres carrés de bureaux pourront accueillir à terme 9.000 salariés, expliquait lors d'une visite de presse le président du directoire Laurent Mignon.Mais pas en même temps, puisque les tours asymétriques, en partie penchées, ne disposeront que de 6.000 postes de travail, tous en "flex office" (quand aucun poste de travail n'est attitré à un salarié en particulier, ndlr) à l'exception des salles de marchés et de postes adaptés aux salariés en situation de handicap.L'arrivée dans ce nouvel espace permet au groupe mutualiste, implanté historiquement dans le 13e arrondissement parisien près des gares d'Austerlitz et de Lyon, mais aussi à Charenton-le-Pont, de passer de 28 à 10 le nombre de ses immeubles en Île-de-France.L'ensemble des services concernés déménageront progressivement d'ici le début d'année 2023.Les deux tours, dont la facture s'élève à environ 600 millions d'euros, sont détenues par BPCE Assurances et la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) Ivanhoé Cambridge.Les travaux commencés en mars 2017 ont été réalisés par Vinci.Cet ensemble autorisé en 2015 s'inscrit dans une série de tours validées par la majorité municipale de la maire Anne Hidalgo : le palais de justice des Batignolles (17e arrondissement, 160 mètres) ouvert en 2018, la Tour Triangle (15e arrondissement, 180 mètres) prévue pour 2026.L'opposition de droite à Anne Hidalgo, mais aussi ses alliés écologistes, fustigent ces projets, les jugeant peu écologiques, inesthétiques et inadaptés à une ville déjà parmi les plus denses au monde.Cette année, ils ont obligé la mairie à revoir deux projets à la baisse : l'un qui prévoyait la construction de deux nouvelles tours dans le même quartier, l'autre dans le 12e arrondissement (Bercy-Charenton).Et la Tour Triangle fait l'objet d'une information judiciaire par le Parquet national financier pour des soupçons de favoritisme.
Il y a 2 ans et 226 jours

Veolia veut être autonome en énergie d'ici cinq ans en France

Ce volume, qui sera "à 100% renouvelable", correspond à l'équivalent de la consommation de 430.000 foyers, explique l'entreprise.Cela passera notamment par la généralisation de la production de biogaz lié à la dégradation des déchets organiques et à la méthanisation des boues des stations d'épuration opérées par Veolia, la production de biocarburants à partir d'huiles alimentaires usagées, ainsi que la production d'électricité à partir de déchets non recyclables (biomasse, combustibles solides de récupération).Veolia veut en outre installer des panneaux photovoltaïques sur tous ses sites le permettant.Le géant des services à l'environnement, dirigé par Estelle Brachlianoff depuis juillet, avait lancé en mars un plan mondial pour réduire la consommation d'énergie de 5% et d'accroître la production d'énergie de 5% en deux ans.Selon la directrice générale, l'entreprise en France "produit déjà l'équivalent des deux tiers de l'énergie qu'elle consomme. Elle accentuera cette dynamique, aux côtés des collectivités, pour rendre l'ensemble de nos services autonomes en énergie en 5 ans".
Il y a 2 ans et 226 jours

L’IGN cartographie l’anthropocène et l’avenir de la forêt

L’été 2022 a été marqué par l’intensité et la succession de records de chaleur, sécheresse, grands feux de forêts, inondations et épisodes de vents violents. Face à ces bouleversements et pour permettre à la Nation toute entière d’agir, l’IGN s’est engagé en 2021 à développer une capacité d’observation en continu du territoire en appui aux politiques publiques. C’est dans ce cadre que l’institut publie son premier Atlas des cartes de l’anthropocène. Le document publie une cartographie dont le suivi de l’état des forêts et met en avant des initiatives d’observatoires thématiques (observatoire de l’artificialisation des sols, observatoire de la forêt…) auxquelles participe l’IGN et qui visent à établir des diagnostics partagés et à offrir des outils mobilisables pour parler un langage commun entre acteurs concernés et relever les défis environnementaux majeurs. Depuis plus d’un siècle, la superficie forestière augmente. Avec 10 millions d’hectares recensés en 1908, elle couvrait 19 % du territoire. Elle en couvre désormais 31 % avec 17 millions d’hectares. La forêt française va faire face à des bouleversements importants dans sa composition en essences et la répartition géographique de celles-ci. Les contextes climatiques et sanitaires qui affectent actuellement certaines forêts (dépérissement dû aux épisodes répétés de sécheresse, d’incendies, ou la crise des scolytes) placent la question de l’adaptation des forêts au changement climatique au centre des discussions concernant les stratégies à adopter (renouvellement forestier, ressources forestières, zones à protéger, etc.). Les forêts « produisent » des services économiques, sociaux et écologiques à préserver. Pour Manuel Fulchiron (directeur adjoint à la direction des opérations et des territoires, responsable opérationnel forêt de l’IGN), il est important de mieux connaître ces espaces pour aider la forêt à être plus résiliente et à conserver un écosystème fonctionnel. Derrière ces chiffres encourageants se dissimule une perspective plus noire. « On s’aperçoit depuis quelques années que la forêt augmente moins vite en volume », précise Manuel Fulchiron. En cause, notamment, la vitalité des arbres qui se détériore. Entre les incen- dies, la succession des sécheresses qui freinent la croissance des individus, et les bioagresseurs, qui corrompent leur santé, les massifs forestiers sont sous pression. « Les parasites qui attaquent les arbres sont connus. Un arbre en bonne santé arrive facilement à se défendre. Mais quand les arbres ont trop chaud, sont trop secs, les parasites finissent par pulluler. On parle d’ailleurs de tempête silencieuse, qui met à terre un grand nombre d’arbres sans qu’on entende de grand bruit, comparé à une tempête ou un ouragan. » Source : IGN  
Il y a 2 ans et 228 jours

A Illkirch-Graffenstaden, Studio Montazami a livré un campus tertiaire

En novembre 2020, le Studio Montazami (Orash Montazami) a achevé pour GA Smart Building le chantier d’un ensemble tertiaire (7 300 m²) à Illkirch-Graffenstaden (Bas-Rhin). Le nouvel ensemble est constitué d’un bâtiment de bureaux et d’un bâtiment de services. Communiqué. L’ensemble immobilier s’inscrit dans le plan directeur du parc d’innovation d’Illkirch qui comporte aujourd’hui plus de […] L’article A Illkirch-Graffenstaden, Studio Montazami a livré un campus tertiaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 229 jours

Obat lève 6 M€ auprès de Truffle Capital, Evolem et Holnest pour digitaliser la gestion des TPE et PME du BTP

La gestion des TPE et des PME du BTP reste encore très complexe et peu automatisée, avec beaucoup de contraintes légales et d'allers / retours avec les clients. Peu d’outils proposent une solution simple et complète, adaptée aux petites et moyennes entreprises. Depuis 2019, Obat simplifie le quotidien des entrepreneurs, artisans et chefs d’entreprises en améliorant le chiffrage des devis, le suivi de la facturation et des marges de chaque chantier. En fluidifiant la relation client et en automatisant les tâches répétitives, Obat permet aux entrepreneurs de se concentrer pleinement sur leur cœur de métier et de maximiser leur proposition de valeur.100% en ligne, la solution Obat est une plateforme intégrée simple d’utilisation dont les fonctionnalités couvrent la quasi-totalité des communes à toutes entreprises du BTP, notamment :La relation client (facturation, acomptes, attestation de TVA, signature électronique, relances d’impayés, personnalisation des documents...)Le suivi chantier et son pilotage financier (devis, base de données de projets, pilotage des marges...)La comptabilité, le suivi des marges et des frais généraux, l’export comptableLa gestion du personnel et des ressources humainesAvec cette levée de fonds, Obat est désormais soutenu par la société de Capital Investissement Truffle Capital qui mène ce tour de table. Le Fonds accompagne depuis de nombreuses années des fintechs en portefeuille à travers ses fonds dédiés et investit aux côtés de Evolem Start, le véhicule dédié au venture capital du family office Evolem, et Club Holnest, une structure du family office de Jean-Michel Aulas.Cette levée permet à Obat de poursuivre une croissance déjà bien engagée en 2021 avec une multiplication prévue par trois du chiffre d’affaires sur 2022 (sur une base 1m d’ARR). L’entreprise va concentrer ses efforts sur le marché français, dont la complexité, la profondeur (+ de 550.000 entreprises dans le BTP) et la vitalité (50.000 nouvelles entreprises créées tous les ans) représente un très gros potentiel de croissance. Enfin, et bien que la plateforme adresse des entreprises de plus grande taille, Obat continuera à se focaliser sur les TPE et les PME avec l'objectif d'atteindre à la fin de l’année 2022, 10.000 clients actifs et 3 millions d’ARR.Cette opération constitue la plus grosse levée d’une entreprise en full remote en France. Dès sa création, Obat a opté pour une organisation 100% en télétravail, un choix unique et ambitieux en 2019. Cette organisation offre un confort de vie exceptionnel aux 62 collaborateurs d’Obat et conduit à une meilleure productivité. Des rencontres régulières permettent aussi d'améliorer la cohésion d’équipe. Fort de cette expérience, ce mode de travail constitue désormais une force pour Obat. En imposant à ses collaborateurs de toujours penser et repenser les processus de communication et de structuration au sein de l’entreprise, en les mettant constamment au défi, le full remote est un catalyseur d’innovation et d’amélioration continue pour l’entreprise, mais surtout pour les services qu’elle propose et finalement pour ses clients.Pour Florent Liagre, Cofondateur et directeur général, Obat : « Cette opération est un signal fort qui témoigne de la confiance d’investisseurs de premier plan dans notre stratégie et notre équipe désormais structurée autour d’une soixantaine de collaborateurs. Obat est né de la complexité du secteur du BTP qui rend l’exercice du métier chronophage et encore très administratif pour la plupart des acteurs. Notre solution intégrée répond à ces besoins d’optimisation, mais les dépasse pour mieux préparer la transition du secteur vers la conception durable et un futur de plus en plus digitalisé. »Pour Bernard-Louis Roques, Cofondateur et directeur général, Truffle Capital : « Obat a démontré la solidité de son modèle auprès des acteurs du BTP et bénéficie de la transformation de ce secteur, que l’entreprise accompagne et porte avec succès. C’est une tendance qui va se confirmer et les investissements réalisés par Obat en 2021 vont porter leurs fruits dès 2023 pour permettre à l’entreprise de s’imposer comme un acteur clé du secteur. Porté par l’expérience et la complémentarité de l’équipe dirigeante, Obat bénéficiera non seulement de l’expertise de Truffle Capital mais également de son expérience accumulée dans le secteur des fintechs. »Pour Thomas Rival, Partner, Evolem : « 81% des professionnels du BTP n’utilisent pas encore de logiciel métier. Pourtant le suivi financier et opérationnel des chantiers est à la fois complexe et crucial pour la survie des 550.000 entreprises de ce secteur, dont 95% sont des TPE de moins de 10 salariés. La très forte traction organique avec un churn quasi nul nous ont convaincus qu’Obat était la solution que les artisans attendaient. »Pour Patrick Bertrand, COO, Holnest : « Holnest et les business angels qui l’accompagnent dans le cadre du Club Holnest, ont été convaincus par deux éléments essentiels qui constituent les basiques de la réussite d’une nouvelle entreprise : un management aguerri et à forte culture entrepreneuriale, une offre sans équivalent sur un marché encore très largement sous-digitalisé du fait de l’absence d’une solution « métier » simple à utiliser. À l’évidence, les deux composantes d’un succès qui se confirme de mois en mois. »
Il y a 2 ans et 229 jours

Au Pays basque, arrêt d'un chantier immobilier sur un amas de déchets

Ce projet immobilier a été élevé sur le site d'une ancienne décharge dans cette commune située entre Bayonne et Biarritz. Les images d'innombrables détritus de toutes sortes, à quelques mètres d'un ruisseau, notamment diffusées sur Twitter par le journaliste Hugo Clément, ont largement été relayées sur les réseaux sociaux.Alerté, le maire d'Anglet Claude Olive (LR) a décidé d'interrompre le chantier mercredi, en effectuant un signalement auprès des services de l'État."Il n'y aura pas de reprise du chantier tant que ces déchets n'auront pas été évacués, comme il avait été convenu de le faire dès le départ. Leur travail aujourd'hui, c'est de dépolluer la zone", indique ce jeudi la mairie d'Anglet.Le projet baptisé "Erreka", ("le ruisseau" en langue basque), est un chantier de Carrefour Property, filiale foncière du groupe Carrefour et maître d'ouvrage, avec Eiffage pour maître d’œuvre.Contacté par l'AFP, Eiffage dit "comprendre l'émotion suscitée" par ces vidéos, "qui donnent à voir le contenu de ce site particulier", mais "filmées avant les opérations prévues de tri et d'évacuation des déchets".Carrefour Property assure en effet que des opérations de tamisage, "pour extraire les déchets ménagers les plus importants", sont menées depuis l'ouverture du chantier et que les matériaux excavés et visibles sur les images l'ont été "par des mouvements de terre récents".L'entreprise s'engage toutefois à opérer un tri des terres visées et à évacuer les déchets vers des décharges appropriées.Elle garantit par ailleurs que les études de faisabilité, les diagnostics et études diligentées en amont "ont permis de confirmer l'absence de risque sanitaire" et "d'engager un traitement sur site"."L'obligation de préserver les terrains agricoles ou naturels pour répondre aux besoins de logements conduit, et conduira de plus en plus, à réutiliser, dans le respect des réglementations, des sites déjà transformés et artificialisés par une activité humaine comme dans le cas présent", souligne aussi Eiffage.Le ruisseau en bordure de parcelle sera protégé par des "mesures conservatoires complémentaires" comme l'installation d'un grillage pour éviter la chute de détritus, ajoute le maître d'ouvrage.
Il y a 2 ans et 230 jours

Centrale solaire thermique chez Lys Services (59)

Une solution innovante qui assure désormais la production d’eau chaude nécessaire à son activité, et qui leur permet d’optimiser les pertes énergétiques tout en réduisant leur impact carbone, et en s’affranchissant des fluctuations du coût des énergies fossiles.
Il y a 2 ans et 230 jours

Mise à jour de la directive européenne « eau potable » 2020/2184

La mise à jour de la directive européenne relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) a été publiée le 23 décembre 2020. Elle introduit notamment de nouveaux paramètres de qualité des EDCH, permettant ainsi une meilleure protection de la santé des consommateurs. Elle prévoit également le renforcement des exigences sur les matériaux au contact de l'eau. En conséquence, plusieurs arrêtés concernant la sécurité sanitaire de l'eau au regard des légionelles et du plomb dans les bâtiments, ainsi que l'obligation réglementaire de réaliser une analyse des risques liés aux installations privées de distribution d'EDCH, seront publiés début 2023. Une conséquence majeure est la modification du système d'Attestation de Conformité Sanitaire (ACS) qui évalue l'aptitude d'un produit à entrer en contact avec les EDCH pour sa mise sur le marché, laquelle passe d'un système d'essais de type initiaux à une certification. Pratiquant les audits depuis plusieurs décennies dans le domaine des réseaux de distribution d'EDCH intérieurs, le CSTB maîtrise l'ensemble du processus de certification de niveau 1+ exigé par la directive. Il s'organise donc pour être en mesure d'élargir le périmètre de ses inspections en usine et d'intégrer ces nouvelles dispositions sanitaires sur les matériaux afin de proposer un accompagnement global à ses partenaires industriels. Mise en place d'une vérification des dispositifs antipollution sur les réseaux d'eau potable Un nouvel arrêté daté du 10 septembre 2021 définit les exigences en matière de protection des réseaux d'adduction et de distribution d'eau destinée à la consommation humaine contre les pollutions par « retour d'eau ». Phénomène dû à l'inversion du sens de circulation de l'eau dans un réseau d'eau causée par un siphonnage (rupture de canalisation, puisage important...) ou par un refoulement (mise sous pression d'une installation interne par exemple), le retour d'eau constitue un risque sanitaire majeur pour les usagers. L'eau provenant d'un réseau « contaminé » peut en effet polluer un réseau destiné à la consommation humaine et provoquer des intoxications. Il est donc essentiel que chaque équipement raccordé au réseau d'eau potable comporte un dispositif de protection anti-retour : machine à laver, lave-vaisselle, poste de nettoyage de voiture, abattant W.-C. équipé de jet... L'arrêté du 10 septembre 2021, dont les dispositions entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2023, définit les opérations de vérification des équipements permettant de s'assurer du bon état de fonctionnement de ces dispositifs antipollution. Les produits standards peuvent déjà faire l'objet de la certification NF 045 pour justifier de leur conformité à cet arrêté. Le CSTB a complété son offre de services pour les produits non standards en développant l'Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE). Basé sur les exigences de la norme NF EN 1717, ce marquage atteste, après analyse par un groupe d'experts, que l'équipement satisfait aux exigences de la réglementation relative à la protection du réseau d'eau potable. En savoir plus : Règles d'attribution d'un Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE) Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 230 jours

Mise à jour de la directive européenne « eau potable » 2020/2184

La mise à jour de la directive européenne relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) a été publiée le 23 décembre 2020. Elle introduit notamment de nouveaux paramètres de qualité des EDCH, permettant ainsi une meilleure protection de la santé des consommateurs. Elle prévoit également le renforcement des exigences sur les matériaux au contact de l'eau. En conséquence, plusieurs arrêtés concernant la sécurité sanitaire de l'eau au regard des légionelles et du plomb dans les bâtiments, ainsi que l'obligation réglementaire de réaliser une analyse des risques liés aux installations privées de distribution d'EDCH, seront publiés début 2023. Une conséquence majeure est la modification du système d'Attestation de Conformité Sanitaire (ACS) qui évalue l'aptitude d'un produit à entrer en contact avec les EDCH pour sa mise sur le marché, laquelle passe d'un système d'essais de type initiaux à une certification. Pratiquant les audits depuis plusieurs décennies dans le domaine des réseaux de distribution d'EDCH intérieurs, le CSTB maîtrise l'ensemble du processus de certification de niveau 1+ exigé par la directive. Il s'organise donc pour être en mesure d'élargir le périmètre de ses inspections en usine et d'intégrer ces nouvelles dispositions sanitaires sur les matériaux afin de proposer un accompagnement global à ses partenaires industriels. Mise en place d'une vérification des dispositifs antipollution sur les réseaux d'eau potable Un nouvel arrêté daté du 10 septembre 2021 définit les exigences en matière de protection des réseaux d'adduction et de distribution d'eau destinée à la consommation humaine contre les pollutions par « retour d'eau ». Phénomène dû à l'inversion du sens de circulation de l'eau dans un réseau d'eau causée par un siphonnage (rupture de canalisation, puisage important...) ou par un refoulement (mise sous pression d'une installation interne par exemple), le retour d'eau constitue un risque sanitaire majeur pour les usagers. L'eau provenant d'un réseau « contaminé » peut en effet polluer un réseau destiné à la consommation humaine et provoquer des intoxications. Il est donc essentiel que chaque équipement raccordé au réseau d'eau potable comporte un dispositif de protection anti-retour : machine à laver, lave-vaisselle, poste de nettoyage de voiture, abattant W.-C. équipé de jet... L'arrêté du 10 septembre 2021, dont les dispositions entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2023, définit les opérations de vérification des équipements permettant de s'assurer du bon état de fonctionnement de ces dispositifs antipollution. Les produits standards peuvent déjà faire l'objet de la certification NF 045 pour justifier de leur conformité à cet arrêté. Le CSTB a complété son offre de services pour les produits non standards en développant l'Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE). Basé sur les exigences de la norme NF EN 1717, ce marquage atteste, après analyse par un groupe d'experts, que l'équipement satisfait aux exigences de la réglementation relative à la protection du réseau d'eau potable. En savoir plus : Règles d'attribution d'un Avis de Conformité Sanitaire Équipement (ACSE) Solutions & Performances - Numéro 9 : « Plomberie » Le numéro 9 de Solutions & Performances est consacré à la plomberie et à la robinetterie sanitaire, un secteur qui s'ouvre de plus en plus à l'éco-conception. PDF 1.07 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 230 jours

Nexity veut développer l'immobilier géré

"Notre ambition, en 2026, c'est d'être un opérateur global d'immobilier", a déclaré devant des investisseurs la directrice générale, Véronique Bédague. "Cela signifie qu'en 2026, Nexity va être capable de répondre à toute demande de l'un de ses clients portant sur l'immobilier."Nexity, qui a recentré son activité sur la France, entend continuer sa transformation d'un simple promoteur à un groupe proposant toute une palette de services immobiliers (syndic, gestion locative, conseil, courtage...) et s'adressant à tous types de clients : particuliers, entreprises, investisseurs et collectivités."On sera en capacité d'accompagner nos clients tout au long de leur vie immobilière, on sera toujours présents auprès d'eux et à la fin, ça signifie que cette présence sur les services nous permettra de nourrir la promotion", a affirmé Mme Bédague.Le groupe veut également développer l'immobilier géré, sur le modèle de ses résidences étudiantes et à travers le coworking (bureaux partagés) et le coliving (colocation avec services)."On va déployer dans les semaines qui viennent une offre (...) à destination des familles, parce que le besoin, il est là", a ajouté la directrice générale.Causes de cette demande, les difficultés grandissantes des particuliers pour accéder à la propriété, mais aussi le développement du télétravail et l'appétence pour les logements plus éloignés des centres-villes.Nexity vise un chiffre d'affaires de 6 milliards d'euros en 2026, contre 4,6 milliards espérés en 2022.Dans le même temps, le groupe veut réduire les émissions de gaz à effet de serre par mètre carré de ses bâtiments livrés, en visant une baisse de 30% en 2026 par rapport à 2019, et de 42% en 2030."L'accélération du déploiement de la ville durable offre à Nexity une opportunité significative de gain de parts de marché dans la promotion immobilière, grâce à son maillage territorial et le développement de nouveaux produits décarbonés plus sobres à l'usage", a détaillé le groupe dans un communiqué.Nexity veut ainsi dépasser 20% de part de marché à horizon 2030 sur l'immobilier résidentiel, contre un objectif de 14% en 2022. Une performance qu'il estime atteignable grâce à sa taille, qui lui permet de mieux appréhender les dossiers complexes et les projets innovants.Les annonces de Nexity n'ont pas convaincu les investisseurs, son titre ayant dévissé en Bourse, perdant plus de 14% mercredi.Le groupe souhaite verser à ses actionnaires un dividende d'au moins 2,50 euros par action chaque année de 2022 à 2026.
Il y a 2 ans et 231 jours

Action Logement et le CSTB signent un accord de recherche pour accompagner la transition écologique et énergétique du secteur du logement

Action Logement a inscrit comme priorité de son action la lutte contre le changement climatique et l'amélioration des services aux locataires. Qu'il s'agisse de production neuve, de rénovation ou de réhabilitation, le Groupe s'est fixé des objectifs ambitieux pour faire de son patrimoine de plus de 1 millions de logements, un parc emblématique en matière d'impact carbone, de qualité et de sobriété d'usage. Or, les défis que pose au secteur immobilier le changement climatique sont d'une telle ampleur qu'ils ne pourront être relevés qu'en innovant et en explorant d'autres approches. Aussi, lors du 82e Congrès HLM, le groupe Action Logement, avec ses filiales Action Logement Immobilier, Action Logement Services et Foncière Logement, a signé un accord de recherche appliquée avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) qui portera sur quatre axes. En priorité, pour connaître son impact réel sur l'environnement, définir sa stratégie patrimoniale et suivre sa réalisation et ses effets, Action Logement a souhaité se doter d'un outil lui permettant de regrouper et analyser l'ensemble des données et informations disponibles. En savoir plus : Communiqué de presse septembre 2022
Il y a 2 ans et 231 jours

Avec le compteur Linky, Enedis estime que la "sobriété est à portée de main"

Le consommateur pourra notamment adapter sa consommation si besoin pendant les pics de demande cet hiver, selon un communiqué diffusé jeudi 22 septembre. Les clients équipés du compteur communicant Linky, soit 35 millions de foyers en France, peuvent en effet suivre leurs données effectives de consommation jusqu'à la demi-heure près en se rendant sur leur compte client particulier à partir de la plateforme internet Enedis, rappelle le gestionnaire."Au moment où le gouvernement s'apprête à lancer une campagne de mobilisation +Chaque geste compte+ (le 10 octobre, ndlr), et où l'ensemble des acteurs concernés appellent à une sobriété énergétique individuelle et collective, Linky est plus que jamais un outil essentiel au service d'une consommation électrique plus responsable", déclare Enedis dans un communiqué transmis à l'AFP.Selon Éric Salomon, directeur clients d'Enedis, le gestionnaire entend "apporter sa pierre à l'édifice de la sobriété" en permettant au consommateur d'avoir grâce à son compteur "une meilleure connaissance de sa consommation", par mois, par semaine et par jour.La plateforme Enedis sur internet, qui recueille les données du compteur, propose plusieurs services : identifier ses pics de consommation dans la journée, comparer sa consommation d'une journée, comparer sa consommation avec celle de foyers possédant le même type de logement et les mêmes caractéristiques de puissance.À la lumière de ces données, le client peut maîtriser sa consommation en identifiant "des surconsommations anormales", ce qui l'amènera à modifier un appareil trop gourmand voire à choisir une offre tarifaire et une puissance plus adaptées à ses besoins.Alors que 90% des énergies renouvelables sont raccordées au réseau électrique public géré par Enedis, le gestionnaire souligne aussi le rôle du compteur dans "l'autoconsommation" photovoltaïque, puisqu'il permet "une vision fine des données de production d'énergie locale et de consommation entre les habitants".Dans un avis rendu en 2018, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) avait estimé que "l'utilisation par les ménages d'afficheurs dédiés avec des services très complets" permettant de visualiser les historiques de consommation, pourrait engendrer des "'économies d'énergie allant jusqu'à environ 8% en moyenne, et même 10% pour les gros consommateurs". Outre la plateforme d'Enedis, d'autres dispositifs de suivi de consommations existent chez les fournisseurs d'électricité.
Il y a 2 ans et 231 jours

baudet participe au salon equip hotel 2022 en novembre

L’événement dédié aux professionnels de l’hôtellerie se tiendra du 06 au 10 novembre 2022 à Paris, Porte de Versailles. Leader depuis 1992 avec 180 000 salles de bain fabriquées et plus de 400 hôtels équipés depuis la création de l’entreprise, la société BAUDET exposera trois de ses salles de bain appartenant à la gamme STANDING et adaptées au domaine hôtelier. Pendant 5 jours, une pléiade d’innovations en produits et services sera mise en lumière !
Il y a 2 ans et 231 jours

baudet participe au salon equip hotel 2022 en novembre

L’événement dédié aux professionnels de l’hôtellerie se tiendra du 06 au 10 novembre 2022 à Paris, Porte de Versailles. Leader depuis 1992 avec 180 000 salles de bain fabriquées et plus de 400 hôtels équipés depuis la création de l’entreprise, la société BAUDET exposera trois de ses salles de bain appartenant à la gamme STANDING et adaptées au domaine hôtelier. Pendant 5 jours, une pléiade d’innovations en produits et services sera mise en lumière !
Il y a 2 ans et 232 jours

Une loi pour pousser solaire et éolien et permettre à la France de rattraper son retard

Le pays a généré en 2021 le quart de son électricité avec des renouvelables, une part plus faible qu'ailleurs en Europe en raison de la forte proportion du nucléaire. Mais la demande en électricité étant appelée à exploser avec l'électrification des transports et de l'industrie, le gouvernement veut accélérer à la fois les renouvelables et le nucléaire.Très attendu et salué par le secteur énergétique, le projet de loi ne suffira pourtant pas à lui seul, d'autres mesures d'incitation étant attendues, en particulier sur l'éolien terrestre."Raison impérative"Les projets de production d'énergie renouvelable devront répondre à une "raison impérative d'intérêt public majeur", stipule le projet de loi. Ce statut juridique, qui ne les dispense pas de démonstration environnementale, les renforce en cas de contentieux en justice.Plus généralement, pour Daniel Bour, président du syndicat du solaire Enerplan, "cette loi est importante car c'est l'affirmation forte qu'on a une urgence climatique et énergétique", enfin "une vraie reconnaissance".Plus de place pour le solaireTrouver de l'espace pour ces équipements est un enjeu majeur.Le projet de loi stipule que des centrales photovoltaïques "peuvent être autorisées sur des friches" (bords d'autoroutes, sols pollués...)Il impose même l'équipement progressif des parkings extérieurs de plus de 2.500 m2, en commençant par ceux de plus d'un hectare, avec ombrières et végétalisation. Sauf en cas de "contraintes techniques, de sécurité, architecturales" ou économiques.Un amendement gouvernemental ultérieur doit favoriser l'agrivoltaïsme, l'installation de parcs solaires en terrains agricoles. Planifier l'éolien en merLe texte veut organiser débats publics et certaines procédures environnementales en parallèle.Surtout, alors que la France vise le déploiement d'environ 50 parcs marins d'ici 2050 mais n'en a que sept dans les tuyaux à ce jour, il veut mutualiser les débats sur leur localisation, afin de tenir les délais.Chaque document de façade contiendrait les zones potentielles, avant qu'elles soient affinées.Une mesure qui va dans le bon sens, s'est félicité France énergie éolienne (FEE).Ristournes pour les riverainsPour faciliter l'acceptation des infrastructures, l'idée est d'en partager les revenus avec les riverains et les communes.Distance et montant restent à définir, mais le ministère évoque un rayon de cinq kilomètres et 200 euros annuels pour un ménage chauffé à l'électricité.Autre mesure pour les riverains, "les lignes électriques sont réalisées en souterrain, sauf à démontrer" que cela est "dommageable pour l'environnement, techniquement excessivement complexe ou financièrement disproportionné".Acceptation politiqueMais ce texte n'est qu'"une première étape", note Daniel Bour: "il faudra veiller à ce qu'il soit amélioré et non dénaturé" par son passage au Parlement.D'ici la fin octobre, il commencera son parcours au Sénat, où le ministère escompte un "climat constructif".A l'Assemblée, le gouvernement devra faire avec une majorité relative, et une extrême droite et une part de la droite hostiles à l'éolien terrestre.Le texte est "concentré sur le plus consensuel, le solaire et l'éolien en mer", répond-on au ministère.Et les éoliennes terrestres ?Emmanuel Macron, qui lui-même prône de diviser par deux le rythme de déploiement de l'éolien terrestre jusqu'ici prévu, a souligné qu'il allait en falloir malgré tout."On devra faire de l'éolien sur terre", a-t-il dit jeudi depuis le parc marin de Saint-Nazaire, ajoutant qu'il faudrait "ouvrir le jeu" pour moins le concentrer sur certaines régions.Un message de clarification salué par le Syndicat des énergies renouvelables.Plus encore peut-être que le projet de loi, la filière a aussi salué la diffusion aux préfets d'une circulaire leur demandant de "faire leur révolution culturelle", comme on dit au ministère, en accélérant le traitement des dossiers.Selon France énergie éolienne, 120 dossiers éoliens complets sont aujourd'hui en attente d'exécution préfectorale.Enfin, est ardemment demandé un renfort d'effectifs des services de l'Etat instruisant ces sujets. La ministre a confirmé leur renforcement, une première depuis 20 ans selon elle.
Il y a 2 ans et 232 jours

Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. SFB est essentiellement présente dans le Val-de-Marne. [©SFB] Dans le paysage des BPE franciliens, Société francilienne de béton (SFB) tente de se faire une place depuis le Val-de-Marne. « Nous avons quatre unités de production de béton qui se situent à Bonneuil-sur-Marne, à Ivry-sur-Seine et à Valenton, explique Stéphane Troussard, directeur général de l’entreprise. Nous proposons aussi à nos clients quatre unités de production mobiles. Ce qui nous permet de nous adapter à chaque chantier et à ses particularités. Mais aussi aux différents besoins de nos clients en matière de production de BPE. » Reprise par les Carrières Nivet en 2019, SFB a pour ambition de promouvoir le béton décarbonné sur sa zone de chalandise. Pour cela, elle a signé un partenariat avec Hoffmann Green Cement. « Nous sommes deux producteurs de BPE à avoir l’exclusivité en Ile-de-France et nous sommes les seuls indépendants. Ce partenariat nous permet d’apporter une vraie solution avec de la valeur ajoutée à nos clients. Dans la même idée, début 2023, nous allons diversifier notre gamme de solutions produits et services. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Ile-de-France Outre ses produits, SFB s’appuie, depuis le rachat, sur la valeur de ses hommes et de ses savoir-faire. « Nous avons une structure d’une quarantaine de femmes et d’hommes engagés, avec peu de turn-over. L’ancienneté moyenne des collaborateurs se situe autour des 15 ans. Nous impliquons tout le monde dans nos projets, notamment en matière de RSE. En l’espèce, les employés ont majoritairement répondu présent pour apporter leur soutien à une association luttant contre le cancer du sein1. Nous sommes aussi membres du label “Global Compact” de l’Onu en matière de RSE. » Ce qui n’empêche pas SFB d’être active sur le marché francilien de la construction, comme sur les lots T2a et T2b de la ligne 15 du Grand Paris.  1Courses caritatives Odysséa. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 232 jours

La lente marche des îles bretonnes vers le 100% renouvelable

"Tout le monde est pour la transition énergétique mais dès qu'il y a une action concrète à mettre en place, c'est jamais le bon endroit ni le bon moment", s'agace Denis Palluel, maire de l'île d'Ouessant (833 habitants), au large du Finistère.Comme ses collègues de Molène et de Sein, M. Palluel a engagé dès 2012 sa commune dans un objectif ambitieux: atteindre 100% d'énergies renouvelables en 2030.Car ces trois îles de la mer d'Iroise partagent la même particularité : elles ne sont pas connectées au réseau électrique national et doivent donc produire leur propre électricité, avec des groupes électrogènes alimentés au fioul. Le tout à un coût financier et environnemental prohibitif.Dix ans après le lancement de la démarche, force est de constater que le chemin vers l'autonomie énergétique est encore long. En 2022, Ouessant n'était ainsi qu'à 4% d'énergie "verte", contre 12% à Sein et seulement 1% à Molène. Les îliens n'ont pourtant pas ménagé leurs efforts, notamment en termes d'économies d'énergie: distribution d'ampoules basse consommation à la population, rénovation de l'habitat, éclairage public à LED, etc..."A Sein, on a toujours été habitué à faire attention avec l'eau et l'électricité et on continue", sourit Marie-Thérèse Spinec, une ilienne de 81 ans qui assure ne pas supporter une maison "chauffée à 24°C".Pourtant, une partie des économies réalisées ont été grignotées par le fameux "effet rebond". "Certains habitants qui ne se chauffaient pas ont découvert le confort après la rénovation de leur habitation" et n'ont donc pas diminué leur consommation, explique Émilie Gauter, chargée de mission énergie et développement durable à l'Association des îles du Ponant (AIP).Pour compléter leurs efforts de sobriété, les trois îles ont également installé une série de panneaux solaires sur les toitures des bâtiments publics. Par beau temps, quand les cellules photovoltaïques produisent à plein régime, l'île de Sein (260 habitants) peut ainsi arrêter ses groupes électrogènes pendant plusieurs heures. Des batteries, elles-mêmes rechargées à l'énergie solaire, font l'appoint en électricité.Selon l'AIP, des installations permettent d'éviter la combustion de 177 m3 de fioul par an sur les trois îles et d'y réduire nettement les émissions de CO2.Le "combat" de l'éolienneLa construction d'une éolienne à Sein, prévue pour entrer en service en 2024, devrait encore améliorer le bilan carbone de l'île. "Ça a été un sacré combat", souligne l'ancien maire Dominique Salvert. "On avait le veto de l'architecte des Bâtiments de France qui ne voulait pas entendre parler d'une éolienne. Ça aurait dû être fait depuis cinq ans", déplore l'ancien élu.A Ouessant, le projet d'éolienne est d'ailleurs au point mort. "C'est une aberration de ne pas en avoir, vu le vent qu'il y a sur les îles", se désole le maire Denis Palluel qui a dû faire face à l'opposition d'une partie de ses administrés ainsi qu'aux services de l'État sur cette île ultra-protégée."On se heurte au millefeuille administratif", abonde Didier Delhalle, maire de Molène (160 habitants). Faute de place pour installer une éolienne, M. Delhalle préfère d'ailleurs miser sur une ferme photovoltaïque qui devrait permettre à l'île d'atteindre 67% d'énergie renouvelable à terme. "Ça sera déjà bien", estime-t-il.Et à Ouessant, l'hydrolienne immergée par 55 mètres de fond pourrait fournir jusqu'à 20% des besoins de l'île, si les tests commencés en 2015 s'avéraient enfin concluants.Malgré ces progrès, l'objectif du 100% renouvelable semble désormais difficile à atteindre. "Peu importe si c'est en 2031 ou en 2035. C'est comme pour tous les grands projets, on ne tient jamais les délais", balaie M. Palluel. "Il faut avoir la modestie de reconnaître qu'on ne maîtrise pas tout."
Il y a 2 ans et 232 jours

Cité des vins et du climat, Beaune : Blanc sur rouge, rien ne bouge

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. La Cité des vins et des climats de Beaune s’élance sur une hauteur de 24 m et accueillera un espace d’exposition, l’école des vins, des bureaux, un bar et une terrasse panoramique. [©Siz-Ix] Sur une longueur de 60 km, la route des Grands Crus traverse de prestigieux domaines viticoles. Elle va de Dijon jusqu’à Santenay, en passant par Beaune. En dehors des Pommard, Romanée-Conti et autres Meursault, la Bourgogne regorge de pépites pour les amoureux du vin. Car, la région est parsemée de “climats”, noms de ses parcelles de vignes classées au Patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2015. Afin de célébrer cette richesse culturelle, façonnée depuis des millénaires, la ville de Beaune a initié la construction d’une Cité des vins et des climats1. Et c’est toujours dans l’idée de s’ancrer Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Résidence Cosmopoly : révéler la trame du bâtiment

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Les architectes ont travaillé sur une trame très urbaine avec une écriture qui s’intègre dans la liaison entre la Zac et une porosité vers le parc. [©Taillandier Architectes Associés] La Zac Eurêka dans la commune de Castelnau-le-Lez est un projet ambitieux. Porté par la Métropole de Montpellier et piloté par l’architecte Emmanuel Nebout, le nouveau quartier mêle des équipements de type bureaux ou commerces ou encore des logements. Outre la pluralité des réalisations, la Zac s’ancre dans une démarche d’éco-cité, respectueuse de la biodiversité et des personnes qui la composent. Le chantier, toujours en cours, met aussi l’accent sur la transition digitale et énergétique à grand renfort d’innovations et d’énergies Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Lycée La Providence : lumières malouines

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Une structure composée de “V” porte l’atrium et tous les planchers alvéolaires latéraux. Cela permet de libérer complètement l’espace. [©Charly Broyez/Alta architecture] Pour ses nouveaux locaux, l’institution La Providence a vu grand. Le lycée a quitté Saint-Malo intra-muros pour s’installer dans le quartier de Paramé, à l’Est de la ville. Ici, l’établissement s’articule autour de trois entités en R+2. Ces dernières rassemblent un établissement Post Bac de 6 classes regroupant 150 étudiants, ainsi qu’une cafétéria au rez-de-chaussée et un lycée de 10 classes avec des plateaux techniques et administratifs de 350 élèves. Et enfin, une salle de sport. « Les espaces créent finalement un ensemble compact fédéré autour d’un grand atrium », explique Maxime le Trionnaire, architecte associé de l’agence Alta. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Ehpad et logements sociaux Mûriers : Une taille de guêpe

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Au-dessus de l’Ehpad, trois bâtiments de trois étages accueillent les espaces d’habitations – 50 logements sociaux au total. [©A+Architectes] Au sein du nouvel éco-quartier la Zac Eurêka, à Castelnau-le-Lez (34), A+Architecture a imaginé un bâtiment mixte. Avec d’une part, d’un Ehpad et, d’autre part, de logements sociaux. Toutes les façades du bâtiment sont en béton blanc. Le matériau est traité de manière lisse ou matricée. La partie “hébergement pour personnes âgées” s’étale sur les trois premiers niveaux avec un socle en forme de “U”. « Ce socle en béton blanc matricé a été réalisé avec une matrice Noe donnant un effet lame de bois, précise Odran Bastide, conducteur de travaux principal chez Bec Construction Languedoc. Par ailleurs, nous avons opté pour l’utilisation de mannequins aluminium pour garantir un rendu continu tout le long de la réalisation de l’ouvrage. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 102. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 232 jours

Mewa, coup de jeune sur une marque centenaire

Le groupe Mewa, troisième prestataire de services textiles en Europe, s’est fortement développé ces dernières années. Précurseur en matière d’économie circulaire et de réutilisation des textiles d’entreprise qui se traduit par la notion de « Textilsharing », Mewa choisit la voie de la visibilité pour une meilleure reconnaissance de sa marque. La nouvelle identité visuelle a été développée en collaboration avec l’agence munichoise Martin et Karczinski. Elle s’est construite autour de la notion d’entreprise familiale, basée sur ses valeurs et sa tradition d’innovation. Tous les éléments visibles de la marque, comme le logo, la police d’écriture, les couleurs et les visuels, ont été entièrement revus et alignés sur l’identité composée de valeurs, d’une vision et d’une mission.Pour Michael Kümpfel, directeur du marketing et des ventes chez Mewa : « Le monde dans lequel nous travaillons a profondément changé, et nous avec lui ! Pour développer la notoriété de notre marque, il était temps de faire également évoluer notre image pour assurer l’avenir de notre entreprise. Le groupe revendique une histoire familiale séculaire. La stratégie de marque implique également de dépasser la position de « champion caché » et de donner à la marque Mewa une visibilité assumée auprès du public. Nous sommes bien entendu fiers de nos racines. Mais ce succès rencontré au cours des cent dernières années s’explique aussi par notre permanente remise en question. Qu’y-a-t-il de nouveau ? Où se trouvent les potentiels ? De quoi les marchés et les clients ont-ils besoin ? À quoi ressembleront les environnements de travail de demain ? C’est ce que nous voulons aussi raconter dans l’histoire de notre marque. »« La forme exprime l’essence même d’une marque. Ici, nous sommes parvenus à relier l’histoire de Mewa à l’avenir et à rendre son identité visible dans le design », note Peter Martin, fondateur et PDG de Martin et Karczinsky à propos de la nouvelle identité visuelle de Mewa.Des lignes claires pour une marque verbale et visuelleL’agence Martin et Karczinski a reçu un cahier des charges très concret de la part de la direction de l’entreprise. L’objectif de la nouvelle version était de concevoir une marque qui conserve l’essentiel, évoque la croissance et exprime en même temps l’aspect environnemental de l’offre de services de Mewa. « Nous ne voulions pas réinterpréter la marque Mewa de façon radicale, mais la faire évoluer afin que sa tradition et l’histoire de sa réussite restent perceptibles. Il était également important pour nous d’exprimer dans le design l’orientation claire vers l’avenir et l’exigence de durabilité de Mewa », explique Simon Maier-Rahmer, directeur de création de Martin et Karczinski, qui a développé la nouvelle image avec son équipe.La fleur, pictogramme de la marque, représente les valeurs de pureté et d’hygiène, évoque l’environnement et la durabilité et symbolise le développement, la croissance, l’évolution et l’innovation. Afin de développer ce potentiel, le logo a été retravaillé et réduit à l’essentiel sur le plan formel. La nouvelle fleur, à l’aspect noble et puissant, devient le symbole d’une croissance consciente. Le nouveau choix de caractères de Mewa rappelle des fils croisés. Les lettres « M » et « W » suivent dans leur orientation des fils de tissage imaginaires. Cet élément crée ainsi un lien avec les textiles qui ont contribué au développement de l’entreprise et la caractérisent encore aujourd’hui.Mewa a également renoncé à l’écriture en majuscules et opté pour une typographie mixte. « Les lettres majuscules représentaient l’abréviation du nom que notre fondateur, Hermann Gebauer, avait donné à l’entreprise en 1908 : MEchanische Weberei Altstadt », explique Michael Kümpfel. « Aujourd’hui, avec nos quarante-cinq sites en Europe, nous pouvons fièrement afficher Mewa comme une marque et non plus seulement comme une abréviation». La nouvelle police de caractères maison sans empattement a été développée en exclusivité pour Mewa, en collaboration avec TypeMates. Là encore, l’entreprise est restée fidèle à elle-même en combinant innovation et tradition. La police de caractères se révèle moderne, claire et précise, tandis que son nom la relie à ses racines. Cette nouvelle police de caractères se nomme comme la famille fondatrice, « Gebauer ».
Il y a 2 ans et 232 jours

Husqvarna : Scier et ligaturer

Nouvelle scie à béton K1 Pace sur batterie développée par Husqvarna. [©Husqvarna] Outre les innovations présentées sur Batimat, Husqvarna a fait le choix de réserver quelques nouveautés pour la Bauma. La première d’entre elles est la découpeuse sans fil K1 Pace. Cet appareil se destine à la coupe à sec ou humide du béton armé ou non. Mais aussi du granite, du marbre, de la pierre naturelle, du fer, de la fonte ou des briques. Une puissante batterie de 94 V permet d’alimenter le moteur électrique qui fait tourner à une vitesse et à un couple élevés des disques diamantés de 300 ou de 350 mm de diamètre. A tout moment, l’utilisateur est informé de l’état de charge de la batterie et du temps de disponibilité restant. Ceci, via un affichage permanent dans la poignée de la scie. Ces mêmes informations et même plus peuvent aussi être consultées par le biais d’une connectivité Bluetooth. L’application Fleet Services collecte ainsi toutes les données de l’équipement, dès qu’il se situe dans un rayon de 100 m. D’un coup d’œil, on sait où se trouve l’appareil sur le chantier, s’il est en cours d’utilisation, rangé ou bien en entretien… L’autre nouveauté s’appelle Knut 39. Cette ligatureuse à armatures Knut 39 fonctionne sur batterie 18 V Li-ion. Une charge permet de réaliser entre 1 500 et 4 500 fixations, selon les contraintes du chantier. D’un design compact, elle travaille avec un fil de 1,5 mm de diamètre. Bauma – Hall A1 – Stand 137 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

Blue Pearl Energy met la main sur France Solar

ACQUISITION. Blue Pearl Energy, plateforme européenne de services à l'énergie, vient d'acquérir France Solar, spécialiste du solaire photovoltaïque. Cette opération renforce la position de la plateforme dans le BtoB.
Il y a 2 ans et 233 jours

Blue Pearl Energy met la main sur France Solar

ACQUISITION. Blue Pearl Energy, plateforme européenne de services à l'énergie, vient d'acquérir France Solar, spécialiste du solaire photovoltaïque. Cette opération renforce la position de la plateforme dans le BtoB.
Il y a 2 ans et 233 jours

Rector : Décarbonation à tous les niveaux

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine Rector dispose de 14 sites de production et de 17 dépôts, une organisation qui aide à limiter l’impact carbone. Siège du groupe à Mulhouse. [©Rector] A la fin du XIXe siècle étaient les Tuileries Oscar Lesage, entreprise familiale fabricant de tuiles et briques de terre cuite dans la région de Mulhouse. Au début des années 1960, les dirigeants alsaciens prennent le virage de la préfabrication béton, en lien avec les énormes besoins de construction de logements dans la période des Trente Glorieuses. En 1993, Lesage rachète Rector et devient licencié du procédé de poutrelles précontraintes Rector, avec la marque Lesage Préfabrication. C’est le début d’une aventure qui mène au groupe que nous connaissons aujourd’hui. En 2022, l’industriel représente en France 1 100 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 250 M€. Les 14 usines produisent chaque année 500 000 m2 de prémurs, 2 M de prédalles et 12 000 km de poutrelles. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 233 jours

Moselle : Meva renforce son activité

Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102. Meva renforce sa présence dans les pays du Bénélux. [©Meva] En début d’année 2021, Meva a acquis la société de location de coffrages Acropol, basée dans la ville de Landen en Belgique. Implanté entre Bruxelles et Liège, le site comprend un entrepôt de 3 000 m2, des bureaux, des salles de formation et d’exposition, ainsi qu’une zone extérieure de 20 000 m2 pour la logistique et l’entretien des coffrages. Un autre dépôt de distribution qui appartenait à Acropol est situé à Rodange, au Luxembourg. Ainsi, avec cette acquisition, Meva renforce sa présence dans les pays du Benelux. L’industriel propose désormais la location de sa gamme complète de produits et de services dans toute la région. Il présente par exemple le coffrage manuportable AluFix et de dalles MevaDec, le système de grands panneaux Mammut XT ou encore diverses solutions grimpantes et de plates-formes flexibles. De plus, l’acquisition d’Acropol garantit un accès proche et une grande flexibilité dans les régions voisines de France, notamment en Moselle (57), et d’Allemagne. Meva va aussi mettre l’accent sur la vente de coffrages et de prestations de service. Cette offre élargie profitera aux professionnels spécialisés dans la construction industrielle et le génie civil. Article paru dans Béton[s]le Magazine n° 102.
Il y a 2 ans et 233 jours

MT Béton : Première participation

MT Béton propose du matériel et des fournitures, ainsi que des services aux acteurs de la préfabrication. [©ACPresse] Créée début 2020, MT Béton annonce sa première participation à un salon professionnel. Cette société multi-cartes officie autour de sept pôles d’activité du secteur de la préfabrication : la partie “Malaxage, automatisme de centrale, recyclage”, puis les planches, les moules, le traitement du bruit et de la poussière, les étuves et le contrôle de la température et de l’humidité, le traitement des produits secs et, enfin, le conditionnement des palettes. Elle assure la représentation sur le territoire national de marques telles qu’Alfacoustic, Awitech, Delonca, OriginSteel (ex-FLP), KBH, Rotho, Saire, Stampi Sud, Thimon et Wasa. Quelques nouveautés sont annoncées, à découvrir sur place. « Nous sommes là pour répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain par rapport à l’arrivée des solutions bas carbone et biosourcées », indique Muriel Testud, créatrice de MT Béton. Et de conclure : « Ainsi, il y aura sur le stand des représentants des différentes marques ». Batimat – Hall 4 – Stand F36 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 233 jours

Béton[s] le Magazine 102

Daté septembre/octobre 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Architecture en béton blanc TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. A Bauma, rien que du nouveau FONDAMENTAUX. Juridique. Les obligations de l’architecte BETON D’ANTAN. Nicolas Esquillan. Grand ingénieur du béton Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 234 jours

Husqvarna Construction France : Le béton à 360°

Blastrac et HTC adoptent la couleur Orange d’Husqvarna. [©Husqvarna] L’Expérience Béton 360° : voilà ce que propose Husqvarna Construction France. Il s’agit d’une offre de services complète autour des produits de la marque. Au programme, des contrats de maintenance, des offres de financement, un large réseau SAV, des formations personnalisées et certifiées Qualiopi, ou encore des solutions de gestion de flottes. Côté innovations produits, Husqvarna présente sa gamme de batteries. Celle-ci se décline en deux lignes distinctes. Tout d’abord, les modèles BLi (3 modèles). D’un faible poids, elles délivrent une puissance de 36 V. Un inducteur à 4 LED affiche le niveau de charge et chaque batterie peut être rechargée plus de 1 500 fois. Viennent ensuite les Pace (deux modèles), qui se caractérisent par une haute puissance de 94 V. L’association de ces deux types de batteries avec les outils Husqvarna compatibles assure des niveaux de puissances comparables à leur alter ego thermique. Et ce, sans générer aucune émission de CO2 et avec un bien moindre niveau sonore. Le 3e point d’entrée sur le stand est l’Evolution Orange2. Derrière ce sigle se cache l’offre pour la préparation des sols en béton. En effet, avec l’intégration de Blastrac et d’HTC sous la marque Husqvarna, de l’adoption de ses couleurs, le constructeur de matériels sait proposer à présent l’une des gammes d’équipements les plus larges du marché dans ce domaine. Enfin, Husqvarna dévoile sa nouvelle gamme de robots de démolition DXR. Des machines, dont la puissance électrique et le débit hydraulique ont été revus à la hausse (respectivement + 20 % et + 10 %). Elles profitent en même temps d’une toute nouvelle télécommande, avec écran LCD et informations en temps réels. Batimat – Hall 4 – Stand E102 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 235 jours

Pathologie : La carbonatation

Article paru dans le n° 102 de Béton[s] le Magazine 1 – Qu’est-ce que la carbonatation ? Fig. 1 – Cristal de portlandite non carbonaté (microscopie électronique à balayage, MEB). 1 = portlandite non carbonatée, 2 = C-S-H. [©Lerm] La carbonatation est un phénomène de vieillissement naturel des matériaux à base de liant hydraulique minéral. Ce phénomène conduit à la formation de carbonates de calcium par réaction entre les hydrates de la pâte de ciment (la portlandite et les silicates de calcium hydratés communément appelés C-S-H et le dioxyde de carbone (CO2), présent dans l’atmosphère à un taux moyen de 0,035 % en volume. Ce taux est plus important en milieu urbain qu’en milieu rural. Cette réaction entraîne la consommation de bases alcalines présentes dans la solution interstitielle des bétons aboutissant à une diminution du pH, qui passe d’une valeur de 13 à une valeur inférieure à 9. D’un point de vue chimique, les principales réactions se présentent ainsi : Portlandite : Ca(OH)2 + CO2 à CaCO3 + H2OSilicates de calcium hydratés : xCaO.ySiO2.zH2O + xCO2 à xCaCO3 + ySiO2,zH2O La cinétique de carbonatation de la pâte de ciment des bétons, qui évolue suivant une fonction en racine carrée du temps, est dépendante de l’humidité relative environnante. Elle est maximale pour une humidité relative comprise entre 60 et 80 %. Au-delà de 80 %, la cinétique diminue rapidement pour atteindre des valeurs très faibles, lorsque les pores sont saturés d’eau, sachant que la diffusion du CO2 dans l’eau est 10 000 fois plus faible que dans l’air. A l’opposé, si un béton est placé dans un environnement très sec, la quantité d’eau présente dans les pores est insuffisante pour dissoudre le dioxyde de carbone. La cinétique de carbonatation est donc faible à très faible, lorsqu’un béton est immergé ou lorsqu’il est placé dans un environnement très sec. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 236 jours

Action citoyenne et recherche scientifique

Le CSTB Nantes, en association avec l'établissement et service d'aide par le travail (Esat) Tournière Services à Carquefou, a créé une blanchisserie au sein d'AQUASIM, son grand équipement de recherche sur la gestion durable de l'eau dans le bâtiment. Cette laverie, gérée par deux travailleurs de l'Esat, permet au CSTB de récupérer les eaux usées générées par les lave-linges et de les exploiter pour alimenter ses bancs expérimentaux dédiés à la réutilisation des eaux grises dans le bâtiment. Lire la suite En savoir plus sur AQUASIM Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 236 jours

Quelles énergies de chauffage sont utilisées dans les régions françaises ?

Au coût environnemental s’ajoute aujourd’hui un coût financier, puisque les prix du fioul ont augmenté de plus de 80% ces douze derniers mois.A cette occasion, Butagaz et le Synasav propose un panorama des usages énergétiques en France afin de permettre aux décideurs d’identifier les enjeux et le chemin à parcourir par région pour accélérer la transition énergétique vers des énergies de chauffage moins carbonées.Les 3 grands enseignements de l’étude :Toutes les régions françaises sont engagées dans la voie de la transition énergétiqueGlobalement, l’ensemble des régions progresse vers des énergies de chauffage moins carbonées. Fini le fioul, place aux énergies moins carbonées. Les réponses sont multiple avec de nombreuses solutions existantes comme l’électricité, le gaz naturel, le gaz propane pour certains types de bâtiments, ou encore d’autres énergies comme les pellets de bois. Telles sont les énergies alternatives au fioul et majoritairement en croissance qui séduisent les Français dans les territoires.Les régions les plus avancées avec l’utilisation d’énergies moins carbonées sont l’Île-de-France, la région Sud (PACA) et l’Occitanie. Les trois régions utilisent respectivement 76%, 77%, et 73% d’énergies moins ou peu carbonées (électricité & gaz naturel) pour se chauffer. L’électricité dans ces régions fortement peuplées est l’énergie majoritaire à l’exception de l’Île de France qui se chauffe à 42% au gaz naturel et 34% à l’électricité.A chaque région son mix énergétique pour s’adapter aux besoins des logements, leur typologie, leur situation géographique et au climatMême si on note une évolution favorable dans toutes les régions, on constate des grandes disparités sur le choix des énergies de chauffage et de leur proportion dans le mix énergétique. La Normandie, le Centre-Val de Loire et Pays de la Loire ont un mix énergétique équilibré avec environ 1/3 en électricité, 1/3 au gaz naturel et 1/3 sur les autres énergies de chauffage mais plus de 10% de fioul. A l’inverse, la Corse dispose d’un parc à 68% chauffé à l’électricité et seulement 2% au fioul. Cela s’explique par sa position géographique particulière et son plus faible nombre de logements. Le Nord est la région la plus équipée en proportion en chauffage au gaz naturel. Ceci s’explique par la typologie de logements en fonction de leur catégorie, résidentiels ou tertiaires.Des régions encore dépendantes du fioul prioritaires pour accélérer vers des énergies moins carbonéesAlors que le gouvernement a fixé comme objectif de remplacer l’ensemble des équipements fioul d’ici à 2028, le chemin est encore long. Lors de la dernière mesure INSEE, en 2018, 3,8 millions de logements et bâtiments français utilisaient encore cette énergie de chauffage, soit environ 11% du parc. Certaines régions sont identifiées comme prioritaires à la lecture de cette étude.L’Auvergne-Rhône-Alpes affiche le plus gros gisement de bâtiments chauffés au fioul en nombre avec près de 637.000 logements soit 14% de son parc. En proportion, c’est cependant la région Bourgogne-Franche-Comté en tête avec 17% du parc au fioul, suivi par la région Grand-Est et Bretagne à 15%.Pour Natacha Cambriels, Directrice Générale de Butagaz : « Cette étude nous permet d’identifier le chemin parcouru et surtout le chemin à parcourir pour accélérer la transition énergétique de proximité dans les territoires. Avec plus de 1.000 collaborateurs dédiés à cette mission chez Butagaz, nous sommes fiers de proposer des services et des énergies peu carbonées, adaptées aux habitudes de consommation des Français et aux territoires avec leur spécificité géographique. Nous souhaitons être acteur et moteur pour accompagner les Français, professionnels et particuliers, dans les énergies de demain. »Pour Roland Bouquet, Président du Synasav : « Face à l’urgence climatique et les enjeux d’accélérer notre indépendance aux énergies fossiles étrangères, il est primordial de déployer des politiques incitatives et expertes pour accompagner les Français dans leur transition énergétique. Par cette étude, nous pouvons identifier au mieux les énergies les plus utilisées dans les territoires en fonction de leurs spécificités. Cela nous permet d’adapter nos offres et services de maintenance et de rénovation à chaque situation afin d’aider les Français à concilier leurs enjeux économiques et environnementaux. »Les enjeux pour demain selon Butagaz :Accroître les dispositifs et les services pour accélérer la sortie du fioulAfin de limiter le chauffage par ce combustible énergivore, Butagaz propose depuis 2020 ses services de remplacement de cuve à fioul auprès des particuliers et des professionnels ainsi que des aides financières comme Butaprimes, Artiprimes ou encore le Pack Facilipass. Grâce à ces services, le bilan carbone peut être réduit jusqu’à 70%.Les freins à la transition sont majoritairement identifiés dans les territoires les plus enclavés, par le manque d’accessibilité aux énergies plus propres. C’est là que Butagaz s’engage à agir en priorité, grâce notamment à son implantation dans toutes les régions françaises.Exemples de transition opérées : Le refuge de Beauregard – Mairie de Vert-ToulonAméliorer la relation client, les offres et les services pour aider les Français à faire les bons choix dans la rénovation énergétique de leur logementAujourd’hui circule une multitude d’informations parfois contradictoires. Afin d’accompagner au mieux les Français pour faire des choix éclairés en fonction de leurs besoins énergétiques, de leur budget et de leur situation géographique, il est nécessaire d’avoir des experts pour répondre à leurs questions. C’est le sens donné à la collaboration renforcée entre le Synasav et Butagaz.
Il y a 2 ans et 237 jours

Grand Paris Seine-Ouest s'éclaire aux LED

Dans le cadre de leur PPP avec Bouygues Energies & Services, les villes de Boulogne-Billancourt et Sèvres se sont équipées de 9000 luminaires...
Il y a 2 ans et 237 jours

Grand Paris Seine-Ouest s'éclaire aux LED

Dans le cadre de leur PPP avec Bouygues Energies & Services, les villes de Boulogne-Billancourt et Sèvres se sont équipées de 9000 luminaires...
Il y a 2 ans et 238 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises Cet article SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 238 jours

SOPREMA Entreprises Lyon crée un complexe de façade hybride inédit

Implanté depuis dix ans en région Rhône-Alpes, le distributeur de matériaux et de solutions d’éco-construction Femat fait du bâtiment performant et de la rénovation énergétique le socle de son offre de produits et de services. Le spécialiste est sur le point d’achever son chantier phare, celui de son nouveau siège social à Dardilly (69). Ce bâtiment, baptisé le FematLab, constitue un modèle de construction responsable et performante, vitrine du savoir-faire de l’entreprise. En charge de la conception du projet, l’agence ARCHIGROUP a eu pour objectif majeur de définir un bâtiment avec une forte inertie et une étanchéité à l’air de l’enveloppe complète. L’objectif de ce bâtiment tertiaire est de répondre aux critères d’exigence Passivhaus visés par Femat. Le choix s’est ainsi porté sur un voile 100 % béton. C’est l’entreprise PRATIC Pral Rémi Assistance Technique Ingénierie Conseils) qui a assuré la maîtrise d’œuvre d’exécution et le pilotage du chantier. Fidèle à ses engagements, la maîtrise d’ouvrage était attachée à une isolation biosourcée et a retenu la solution en fibre de bois Pavatex® de SOPREMA pour l’isolation de la façade. Le projet devait répondre à un défi majeur : comment obtenir la validation du bureau de contrôle pour cet isolant, qui dispose d’un Avis Technique uniquement pour pose sur les constructions à ossature bois, sur un ouvrage avec une structure en béton ? L’agence SOPREMA Entreprises de Lyon a ainsi été consultée et a accompagné la maîtrise d’œuvre dans la recherche d’une solution adaptée. Elle a été retenue pour les lots étanchéité et façade bardage. Elle a réfléchi à un complexe technique hybride « sur-mesure » en réalisant une ossature bois sur le système en voile béton, permettant de poser l’isolant en fibre de bois Pavatex® sur l’ensemble des façades (1 000 m2). Photo : SOPREMA Entreprises
Il y a 2 ans et 238 jours

Certivea et la Smart Buildings Alliance récompensent les bâtiments connectés et communicants les plus remarquables

Des projets remarquablement innovants qui permettent de répondre dès maintenant aux enjeux de sobriété et flexibilité énergétique, et apportent aux utilisateurs des services adaptés au plus près de leurs besoins (qualité de vie, sécurité, maintenance, connectivité, etc.).Pour Patrick Nossent, Président de CERTIVEA : « Depuis 4 ans, le label Ready2Services aide les acteurs dans la transition numérique de l’immobilier. Un virage qui permet de faire d’un bâtiment une véritable plateforme de services intégrés pour répondre notamment aux enjeux immédiats de sobriété et de flexibilité énergétique tout en offrant les services numériques maintenant indispensables aux utilisateurs. Ces Trophées sont aujourd’hui l’occasion de célébrer l’engagement des lauréats et de montrer la voie à tous les acteurs de la filière pour porter le développement des bâtiments connectés, intégrés dans la ville durable et intelligente. »Pour Sébastien Meunier, Président de la Smart Buildings Alliance : « Le label R2S et ses extensions servicielles apportent une solution concrète à tous les acteurs de l’immobilier pour les accompagner dans leur transition énergétique et numérique. Bien au-delà de la seule connectivité du bâtiment, la démarche Ready2Services porte une vision du numérique responsable et créateur de valeur pour les occupants, les exploitants, les gestionnaires d’immeubles et les propriétaires. Elle propose un socle solide pour répondre aux objectifs de sobriété énergétique dans le bâtiment et aider tout le secteur à consommer moins et consommer mieux. La SBA est fière aujourd’hui de participer à la remise des Trophées R2S qui distinguent des acteurs et réalisations remarquables en termes de performances et de services numériques. »Le palmarès 2022 des Trophées Ready 2 ServicesCatégorie « Bâtiment Neuf »Immeuble Origine – ICADE – Nanterre (92)2 immeubles de bureaux neufs situés à Nanterre (92), dans le prolongement de Paris-La Défense, intégrés dans un ensemble mixte formant un îlot urbain ouvert sur la ville, occupés par le groupe Technip Energies.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Exploitation »Immeuble Wave – VINCI Energies – Lille (59)Livré en 2019, WAVE est le siège régional de VINCI Energies, situé dans le quartier central de la métropole Lilloise avec Euratechnologies, 1er incubateur de startups en France.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Bâtiment en Rénovation »Le ‘156’ à Paris – MAIFLe nouveau bâtiment MAIF a accueilli en 2020 ses premiers occupants provenant de 3 sites parisiens. Le bâtiment a fait l’objet d’une rénovation concertée, avec notamment des objectifs environnementaux et numériques.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Catégorie « Campus »Campus Région du numérique Charbonnières-les-Bains - Région Auvergne-Rhône-AlpesOuvert depuis janvier 2021, le campus accueille des étudiants, enseignants, entreprises et industriels sur un espace de 11 ha. Le lieu se veut un catalyseur d’innovations permettant d’accompagner la transformation numérique des acteurs régionaux.[Fiche d’identité complète, cliquez ici]Top 3 des acteurs qui cumulent le plus grand nombre de m² labellisés ou en cours de labellisationCovivioIcadeRedman[Plus de détails, cliquez ici]Le Label R2S, la meilleure preuve qu’un bâtiment est équipé, connecté et sécurisé pour des services numériques performants et durablesReady2Services (R2S) est le socle de la famille des labels ‘Numérique’ délivrés par CERTIVEA. Déployé dès 2018, le label R2S, fruit de la collaboration entre CERTIVEA et la Smart Buildings Alliance, a été conçu pour aider les acteurs, quel que soit leur secteur, dans le déploiement d’infrastructures numériques sûres, évolutives et performantes, pour améliorer le bien-être, la performance et la durabilité au sein des bâtiments tertiaires, quelle que soit leur étape de vie (neuf, exploitation ou rénovation).Les bâtiments labellisés R2S répondent à des exigences couvrant six thèmes complémentaires : Connectivité - Architecture Réseau – Equipements et interfaces – Sécurité numérique – Management Responsable – Services Numériques.Une nouvelle version du label a été lancée à l’été 2022. Ces 4 années ont en effet été l’occasion de nourrir une réflexion poussée autour de l’évolution de ce label unique en son genre, en prenant en compte les retours d’expériences, les réglementations récentes, mais aussi les attentes des maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, prestataires… Parmi les nouveautés de la nouvelle version, on notera une prise en compte accrue des réseaux sans fil (Wi-Fi, GSM, IoT, géolocalisation), l’ajout d’un critère sur la présence d’un Building Operating System (BOS) ou encore la fiabilité de la connexion internet. Autres points importants : la clarification du rôle des protocoles (BACnet, LonWorks, KNX…), qui ont toute leur place dans un bâtiment labellisé R2S, et l’accent mis sur un numérique plus responsable et performant afin de réduire l’empreinte environnementale du bâtiment.Le label R2S en données clés+100 : Bâtiments labellisés ou en cours de labellisation R2S1,7 M de m² :Surface cumulée des bâtiments engagésX 3 : Progression du nombre de projets engagés entre 1er trimestre 2021 et 202250/50 : Répartition des projets entre IDF et reste de la France+100 : Référents R2S formés à travers la France
Il y a 2 ans et 238 jours

Mewa pour la première fois au salon BATIMAT

Déléguer les tâches d'organisation dès que c'est possible génère des ressources supplémentaires. Alors, pourquoi ne pas confier l'habillement de ses collaborateurs à un prestataire de services textiles ? Mewa présentera pour la première fois au salon BATIMAT 2022 à Paris (stand 4 — FO74) le concept de Textilsharing (textiles en partage) qui permet à la fois de soulager les entreprises de ces soucis et d'équiper les collaborateurs professionnellement
Il y a 2 ans et 239 jours

Le gouvernement demande aux préfets d'aller plus vite sur l'éolien

Face à la crise énergétique, quatre ministres dont ceux de l'Intérieur, de la Transition écologique et de la Transition énergétique demandent aux services déconcentrés de l'Etat de "mettre en place toutes les actions requises afin de faciliter et d'accélérer le traitement des dossiers (...) en cours et à venir".Au total, ces dossiers en cours d'instruction représentent "près de 10 GW de projets photovoltaïque et éolien et environ 5 TWh de capacités de gaz renouvelables".Pour le gouvernement, il s'agit de "faire en sorte qu'aucune instruction n'excède 24 mois, sauf situation très exceptionnelle", selon cette circulaire. Les services déconcentrés de l'Etat sont également invités à observer "un objectif de 18 mois entre la date de dépôt d'un projet de renouvellement ou d'augmentation de puissance de parcs éoliens existants, et sa mise en œuvre". Selon Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne, le syndicat des professionnels de la filière éolienne (350 membres), la circulaire vise notamment l'accélération du traitement des dossiers d'éolien terrestre, sources de controverses récurrentes dans l'opinion. "Il y a 5 GW de projets (d'éolien terrestre) en attente d'autorisation, soit 15% de la capacité déjà installée sur le territoire, c'est considérable", a-t-il souligné.Alors que le développement de projets éoliens suscite de plus en plus d'opposition, freinant leur déploiement, le gouvernement veut faire adopter un projet de loi pour accélérer les procédures et rattraper le retard de la France dans l'éolien et le solaire.En février, dans un discours prononcé à Belfort, peu avant la guerre en Ukraine, le président Emmanuel Macron avait fixé les lignes de la nouvelle politique énergétique de la France, en annonçant un vaste plan de relance du nucléaire civil et l'essor de l'éolien marin, mais un coup de frein sur les éoliennes terrestres."Dans la situation énergétique que nous connaissons avec des hivers qui s'annoncent difficiles au moins jusqu'en 2025, l'indisponibilité d'une partie du parc nucléaire et la crise du gaz russe, l'éolien, le solaire et la méthanisation sont les seuls moyens de production que nous avons pour produire des megawattheures en plus", a souligné Michel Gioria, délégué général de France énergie éolienne.
Il y a 2 ans et 239 jours

saunier duval vous donne rendez vous sur interclima hall 3 allee f stand 090 et a l exterieur

L’occasion pour la marque de vous inviter gratuitement à découvrir ou redécouvrir ses produits dédiés au chauffage, à la climatisation et à la production d’eau chaude sanitaire... en statique mais également en fonctionnement ! Au programme : Gaz verts, RE2020, pompes à chaleur fabriquées en France, services de connectivité...