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Il y a 3 ans et 283 jours

La première opération d'hébergement UNIK de Bouygues pour le Ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l'École

Ce vaste plan d’hébergement de 247 M€ destiné à améliorer la qualité de vie des troupes militaires françaises se distingue par le choix d’une construction industrialisée hors site et une solution performante et durable alliant confort, maîtrise des coûts et délais optimisés. Baptisé UNIK, ce projet ambitieux fédérant 5 entités de Bouygues Bâtiment France Europe entame aujourd’hui une nouvelle étape avec le démarrage des travaux de la première opération à Saint-Maixent-l’Ecole, dans les Deux-Sèvres, pour l’Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active. Ces 2 bâtiments de 50 chambres seront livrés en mars 2022. Ce nouvel accord-cadre s’inscrit dans le cadre du plan d’hébergement lancé par la ministre des Armées le 17 octobre 2019 au 3ème RPIMa de Carcassonne. Il concerne la conception, la construction, l’aménagement, l’entretien et la maintenance sur deux ans de 3 lots géographiques de bâtiments d’hébergement répartis sur le territoire avec une concentration en Bretagne, dans le Grand-Est et en région méditerranéenne. Véritable programme multi-sites, il illustre la capacité de Bouygues Bâtiment France Europe à développer des projets collaboratifs fédérant ses différentes entités. Le programme UNIK compte en effet 46 opérations qui seront progressivement réalisées d’ici 2024 - dont 15 en 2021.« Bouygues Bâtiment France Europe est honoré de poursuivre son partenariat avec le ministère des Armées au travers de l’accord-cadre Unik. Ce programme ambitieux de construction modulaire se déploie sur toute la France et allie industrialisation et confort des usagers pour une solution personnalisée et sur mesure. La réalisation hors site et l’assemblage d’éléments préfabriqués sur le chantier permettent d’optimiser les délais de construction, de limiter l’impact carbone du projet, tout en conservant un chantier propre et en limitant les nuisances. Je suis fier de voir que nos équipes se réinventent chaque jour pour proposer à nos clients des modes constructifs plus sobres en énergie et offrir des bâtiments plus vertueux réalisés avec des partenaires locaux », déclare Nicolas BORIT, Directeur général délégué de Bouygues Construction en charge de Bouygues Bâtiment France Europe.« La loi de programmation militaire 2019-2025, c’est 295 milliards d’euros, sur 7 ans, dédiés à la rénovation et à la modernisation des infrastructures et des équipements des forces armées. A hauteur d’homme, la LPM porte des objectifs d’amélioration du quotidien des combattants qui se traduit par la mise à disposition d’infrastructures d’hébergement répondant aux standards modernes. Au-delà du contrat, c’est un vrai partenariat qui lie pour les prochaines années le ministère des Armées et Bouygues Bâtiment France Europe pour répondre à ce programme ambitieux au profit de l’ensemble du territoire » déclare le Commandant Nicolas, en charge du pilotage de ce contrat pour le ministère des Armées.Pour mener à bien l’ensemble de ces opérations, qui totalisent 120.000 m² de surface de planchers, 13 types de bâtiments d’hébergement ont été conçus pour être réalisés dans un délai optimal de 7 à 10,5 mois : des bâtiments en chambres individuelles, en chambres doubles et en chambres quadruples (pour les engagés volontaires de l’Armée de Terre) en fonction des sites et des besoins. Ces hébergements mettront l’accent sur le confort d’usage et la qualité de vie des militaires à travers une organisation des espaces en lieux de vie avec une zone de jour et une zone de nuit, un éclairage à la lumière naturelle, du mobilier de gamme hôtelière avec de grandes capacités de rangement... Une construction industrialisée hors siteLa particularité du programme UNIK repose également sur le choix d’une construction industrialisée en 2D mixant bois et béton. Tous les éléments constitutifs du bâtiment sont préfabriqués hors site, en usine et atelier. Ils sont ensuite assemblés sur le chantier. Cette démarche s’applique à l’extérieur des bâtiments (prémurs et prédalles, murs à ossature bois…) comme à l’intérieur (salles de bain préfabriquées, mobiliers préassemblés…). Cette solution standardisée permet à la fois de maîtriser les coûts, d’optimiser les délais de construction, de réduire notablement les nuisances sur site, mais aussi d’améliorer la qualité de la construction et d’anticiper la future réutilisation des matériaux.Romain Vondière, Directeur UNIK précise : « L’objectif de ces démarches de standardisation et d’industrialisation est de répondre au mieux aux attentes de notre client sur la qualité délivrée et l’ambiance intérieure proposée aux militaires ».« UNIK est un projet architectural, pensé par l’agence VLAU, comme un nouveau modèle d’architecture militaire, alliant standardisation, patrimoine et habitabilité. La conception optimisée de chaque élément permet de répondre aux principaux enjeux du cahier des charges : pérennité, performance environnementale, confort et efficience constructive. L’adaptation aux contextes géographiques et urbains renforcent l’identité de chacune des constructions tout en respectant l’héritage des sites dans lesquels elles s’inscrivent. Enfin, l’usager bénéficie d’espaces privatifs reposants et de qualité, ainsi que de véritables espaces de convivialité et de rencontre, tant intérieurs qu’extérieurs par l’aménagement de loggias et d’espaces publics. ». déclare Pierre Maurette, Vincent Lavergne Architecture UrbanismeUNIK se concrétise à Saint-Maixent-l’École (79)La première opération UNIK se concrétise à Saint-Maixent-l’Ecole dans les Deux-Sèvres, sur le site de l’Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active. Les travaux se poursuivront jusqu’en mars 2022 et concernent la construction de 2 bâtiments de 50 chambres individuelles. Ces deux bâtiments de type BCC (Bâtiment pour Cadres Célibataires) d’une capacité de 50 lits avec tuiles en toiture et enduit clair en façade s’organiseront autour d’une placette et d’aménagements paysagers. L’industrialisation des façades MOB (Murs à ossature Bois), des murs de refend, des dalles et des salles de bains va permettre une mise en œuvre simple et rapide de ces bâtiments tout en alliant robustesse et durabilité. Pour ce chantier, les partenaires locaux et régionaux sont privilégiés avec déjà plus d’une quinzaine d’entreprises partenaires désignées.
Il y a 3 ans et 285 jours

Journées nationales de l'architecture 2021 : appel à contributions

Organisées par le ministère de la Culture, les Journées nationales de l’architecture regroupent chaque année plus de 1000 rendez-vous, balades urbaines, ateliers pédagogiques, visites de chantiers, d’agences, de réalisations… Elles auront lieu les 15, 16 et 17 octobre prochains dans toute la France. Acteurs du monde de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 288 jours

Venise 2021, le top 10 de la rédac #2 : En Belgique, amour-haine au 1/15e entre l’architecture et la ville

Organisées par le ministère de la Culture, les Journées nationales de l’architecture regroupent chaque année plus de 1000 rendez-vous, balades urbaines, ateliers pédagogiques, visites de chantiers, d’agences, de réalisations… Elles auront lieu les 15, 16 et 17 octobre prochains dans toute la France. Acteurs du monde de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 291 jours

Deux nouvelles arrivées à l’architecture et l’ingénierie d’AREP

Benoît Stehelin rejoint la direction de l’Architecture en tant que Responsable de studioArchitecte et diplômé de l’École nationale supérieure d'architecture de Versailles, Benoît intègre le bureau d’études RFR à Paris puis participe à la création de T/E/S/S en 2007 après une expérience au sein d’agences d’architecture et à Dubaï pour ADPI. Il dirige, entre autres, le projet de reconstruction Roissy 2E et la conception de l’enveloppe de la Fondation Louis Vuitton. Il se spécialise ensuite dans la reconversion de bâtiments existants et la restauration du patrimoine. Il a notamment mené le projet de restauration et de transformation de la Bourse de Commerce de Paris en musée.Benoît rejoint la direction de l’Architecture d’AREP en juin 2021, convaincu qu’un élan commun des métiers de l’architecture et de l’ingénierie est indispensable pour atteindre les objectifs de construction bas-carbone. Son arrivée concomitante à celle de Lorenzo Ponzo va contribuer au renforcement des synergies entre les différentes directions métiers d’AREP.Fort de ses expériences antérieures, Benoît apportera, entre autres, une expertise supplémentaire aux projets de réhabilitation et contribuera au développement de ce secteur.« AREP a développé une grande expertise en transformation et réhabilitation du patrimoine de la fin du XIXe et XXe siècle. L’arrivée de Benoît dans notre équipe correspond à un renforcement du développement d’AREP hors gare. Je suis confiante en sa capacité à porter notre vision post-carbone », explique Fabienne Couvert, en charge de la direction de l’architecture d’AREP.Lorenzo Ponzo rejoint l’unité Structures et Façades en tant que Responsable de spécialistes StructuresDiplômé du Politecnico de Turin et de l’École Nationale des Ponts et Chaussées, Lorenzo Ponzo intègre en 2007 le bureau d’études T/E/S/S. Ingénieur structure, il participe à la conception et au suivi des travaux de la Fondation Louis Vuitton à Paris puis dirige l’équipe projet de la Fondation LUMA à Arles. Il contribue à de nombreuses autres réalisations de structures et d’enveloppes, dont la réhabilitation de la coupole de la Bourse de Commerce à Paris.Enseignant à l’École Nationale Supérieure d’Architecture Paris-Malaquais, il intervient régulièrement lors de conférences à l’École des Ponts ParisTech.En juin 2021, il rejoint l’équipe Structures et Façades de la direction de l’ingénierie d’AREP, notamment pour renforcer les synergies avec les équipes de conception architecturale sur des projets en site complexe.« Nous sommes très heureux d’accueillir Lorenzo parmi nous. Il va nous faire bénéficier de son expérience éprouvée des ouvrages de grande technicité et architecturalement ambitieux. Son expertise de la réhabilitation et du réemploi va s’exprimer sur un patrimoine existant riche et en constante évolution » annonce Hervé Botté, en charge de la direction de l’ingénierie d’AREP.
Il y a 3 ans et 292 jours

L'agence d'architectes Valode & Pistre dévoile Urban Garden à Lyon

Un projet orienté par rapport au soleilLe projet est constitué de trois corps de bâtiment parallèles, de cinq étages et de longueur croissante du Nord vers le Sud.Les façades principales sont orientées face au Sud et au Nord. Les façades Sud sont protégées des apports solaires par de grands brises-soleil continus, parfaitement efficaces dans cette orientation et les façades Nord ne sont pas exposées par nature.Ainsi le projet est-il naturellement protégé des apports solaires, ce qui est une mesure essentielle en termes de confort et de limitation de la dépense énergétique liée à la climatisation. Cette protection permet ainsi de bénéficier d’une plus grande hauteur de vitrage en façade. L’absence d’allège et les faibles retombées favorisent la vue sur l’extérieur et la luminosité des plateaux de bureaux. Le concept marque profondément l’architecture du projet dont l’expression est fortement différenciée selon les orientations.Les deux bâtiments situés le plus au sud sont reliés entre eux par un corps de bâtiment perpendiculaire pour constituer un ensemble.Un projet entièrement flexibleLes plateaux de bureaux sont conçus pour assurer la plus grande liberté d’aménagement. Le noyau de circulation verticale est réduit à une emprise minimum et les escaliers supplémentaires nécessaires pour la sécurité sont rejetés à l’extérieur du pignon Est. Combinés avec des paliers extérieurs ils assurent une relation complémentaire entre niveaux. Ils constituent un motif architectural répétitif et très significatif du projet, symbole de communication.Un projet inséré dans son environnement urbainDans un souci de cohérence urbaine, le plan d’ensemble s’organise selon des alignements initiés par des bâtiments existants situés au Nord. Ces alignements sont progressivement modifiés en progressant vers le Sud pour exploiter la forme évasée de la parcelle et donner tout son épanouissement à la conception du projet.Un projet perméable et fortement végétaliséLes rez-de-chaussée des bâtiments sont organisés selon un dessin souple et curviligne qui semble se développer librement par rapport aux corps de bâtiments rectilignes et parallèles.Cette fluidité du plan du rez-de-chaussée permet d’établir un cheminement diagonal et des perméabilités visuelles au travers du projet.Ce dispositif visuel assure la liaison entre l’angle Nord-Est du projet, qui en constitue l’entrée principale, et les espaces naturels des berges du Rhône et du parc Gerland situé au Sud-Ouest du projet. Ce cheminement assure également la desserte des différents halls d’entrée.Près de 2000 m² d’espaces verts accompagnent ce passage. Ils sont installés entre les bâtiments et les replis de façades du rez de chaussée. On dénombre 23 arbres de haute tige et 16 cépées.Les jardins et les allées profitent aux occupants des immeubles. Ils se développent en prolongement des espaces publics.Les terrasses du premier étage qui couvrent les débords incurvés des rez de chaussée sont aménagées en espaces extérieurs accessibles. Leur sol est constitué de platelage bois.
Il y a 3 ans et 295 jours

Arep imagine l'avenir du Luxembourg

STRATÉGIES TERRITORALES. Arep, agence d'architecture rattachée au groupe SNCF, est sélectionnée pour la dernière phase de "Luxembourg in Transition", consultation internationale et pluridisciplinaire visant à développer des scénarios territoriaux de transition écologique et bas carbone pour le Grand-Duché de Luxembourg et ses territoires frontaliers.
Il y a 3 ans et 298 jours

A Neuvecelle, un équipement à vocation éducative par PNG et al

En 2020, l’agence PNG (Pedro Petit, Nicolas Debicki, Grichka Martinetti), associée à Julien Boidot, Emilien Robin et l’Atelier des Cairns (Jérémy Huet), a livré à Neuvecelle (Haute-Savoie) la réhabilitation et construction d’un pôle multi-services. Le défi était celui de l’intégration d’un équipement devant répondre à des besoins multiples. Communiqué. Le programme (3220 m² SU ; 7,57 […] L’article A Neuvecelle, un équipement à vocation éducative par PNG et al est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 298 jours

Résidence G dans les Hauts-de-France, une maison manifeste signée Coldefy

Dans les Hauts-de-France, la résidence G, réhabilitation et extension d’un corps de ferme du XIXe siècle en maison unifamiliale livrées en 2019 par l’agence Coldefy, signe un manifeste pour la création d’une vie à la campagne en harmonie avec son milieu. Communiqué. Le point de départ de la résidence G est le corps de ferme […] L’article Résidence G dans les Hauts-de-France, une maison manifeste signée Coldefy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 298 jours

Foyer Paul Meurice, à Paris, des pièces à ciel ouvert selon Lambert Lénack

L’agence parisienne Lambert Lénack (Adrien Lambert et Etienne Lénack) a livré en janvier 2020 à Paris (XXe) le foyer Paul Meurice, hébergement pour adultes handicapés et centre d’accueil de jour. L’ouvrage de 2 990 m² SDP, construit pour Paris Habitat pour 5,66 m€, met l’accent sur l’ouverture, le confort et la domesticité. Communiqué. Entre ouverture […] L’article Foyer Paul Meurice, à Paris, des pièces à ciel ouvert selon Lambert Lénack est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 298 jours

L’agora gymnase, signé Chabanne, projet emblématique pour Bouillargues

En avril 2021, l’agence lyonnaise Chabanne Architecte a livré à Bouillargues (Gard) un nouveau centre omnisports de 3 000 m² accueillant une salle multisports, un dojo et une aire d’escalade. Budget : 5,5 M€ H.T. Un projet emblématique pour le site, en attendant la suite. Communiqué. Cet équipement sportif offre désormais aux associations sportives des locaux modernes […] L’article L’agora gymnase, signé Chabanne, projet emblématique pour Bouillargues est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 299 jours

A Paris, 15 logements sociaux en béton de chanvre selon Barrault Pressacco

A Paris (XVIIIe), rue Marx Dormoy, dans un paysage urbain hétérogène et varié, l’agence Barrault Pressacco a livré en mai 2021 pour Paris Habitat un bâtiment en ossature bois et béton de chanvre accueillant quinze logements sociaux et deux commerces. L’ouvrage de 1 300 m² (SP) (coût travaux : 2,58 M€ HT) interroge la tradition de […] L’article A Paris, 15 logements sociaux en béton de chanvre selon Barrault Pressacco est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 299 jours

Le centre aquatique de Libourne, conçu par AP-MA, est presque dans le lac

L’agence rouennaise AP-MA Architecture (Jean-François Périnet-Marquet et François-Xavier Decré) a livré en mai 2021 à Libourne (Gironde) le centre aquatique de la communauté d’agglomération du Libournais. Sur une surface de 4 637 m² et pour un coût des travaux de 19 M€ HT, l’ouvrage se veut en synergie avec le lac des Dagueys adjacent. Communiqué. […] L’article Le centre aquatique de Libourne, conçu par AP-MA, est presque dans le lac est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 300 jours

Piscine des balcons du Dauphiné : Z architecture dans le bain

La piscine intercommunale des Balcons du Dauphiné, livrée en 2018 à Morestel (Isère) par l’agence lyonnaise Z architecture, accueille désormais 60 000 baigneurs par an. Une réalisation de 1 533 m² (5,1M€) distinguée avec la mention spéciale des étudiants en architecture, maîtrise d’ouvrage et filière bois de l’Isère, du 20ème Prix Départemental de la Construction […] L’article Piscine des balcons du Dauphiné : Z architecture dans le bain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 300 jours

« Domaine des sens » à Thiais par 3AM&+

Cogedim Paris Métropole a inauguré en octobre 2020 la résidence « Domaine des Sens » imaginée avec l’agence 3AM&+ à Thiais (Val-de-Marne). A 6km de Paris et face à la future station de métro de la ligne 14, cette nouvelle résidence profite d’une localisation privilégiée dans une ville résolument tournée vers l’avenir. Communiqué de COGEDIM. […] L’article « Domaine des sens » à Thiais par 3AM&+ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 301 jours

A Marseille, l’école Antoine de Ruffi, un Tautem pour Euroméditerranée

L’agence de Montpellier Tautem (Adrian Garcin) a livré en janvier 2021 à Marseille (Bouches-du-Rhône), avec BMC2 Architectes, le groupe scolaire Antoine de Ruffi pour Euroméditerranée maître d’ouvrage. L’équipement de 4150 m² (22 classes et locaux communs) a été construit pour 10,5 M € HT avec le port et ses grands navires et les tours de […] L’article A Marseille, l’école Antoine de Ruffi, un Tautem pour Euroméditerranée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 301 jours

Halle des sports des Verriès, à Saint-Gély-du-Fesc, par A+Architecture

L’agence A+Architecture a livré en 2020, pour la commune de Saint-Gély-du-Fesc (Hérault) maître d’ouvrage et un montant de 2,5 M€ HT, la halle multisport des Verriès : 2 095 m² avec aire de compétition polyvalente et aire de jeu extérieure. Communiqué. Un complexe sportif mariant singularité architecturale et intégration dans le paysage En bord de pinède, […] L’article Halle des sports des Verriès, à Saint-Gély-du-Fesc, par A+Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 301 jours

Maison 100% bois ou la vie de château à Montlouis-sur-Loire, signée LOCAL

Dans le parc du Château de la Bourdaisière, à Montlouis-sur-Loire (Indre-et-Loire), l’agence parisienne LOCAL (Matthieu Boustany, Benoist Desfonds) et Suphasidh Studio ont livré en 2020 un prototype de logement individuel 100% bois de 55 m². Communiqué. La maison 100% bois est le résultat d’un appel à projet initié par le Château de la Bourdaisière dans […] L’article Maison 100% bois ou la vie de château à Montlouis-sur-Loire, signée LOCAL est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 301 jours

Précadres saillants fabriqués sur-mesure pour une école modulaire

La nouvelle école Joséphine-Baker dans le quartier Prairie-au-duc sur l’Île de Nantes est un établissement provisoire de près de 2 000 m2. Elle dispose d’une capacité de 8 classes (maternelle et élémentaire) et de tous les espaces nécessaires à la vie des élèves (salle de motricité, salle polyvalente, restaurant scolaire…). L’école a été livrée en 6 mois grâce à un process de construction en blocs modulaires. Cette structure préfabriquée, imaginée par MCM Architectes en partenariat avec l’entreprise générale EIFFAGE Construction Grand-Ouest, pourra être aisément démontée, transportée et réutilisée selon les besoins de la ville. La fabrication sur-mesure par LOUINEAU de 19 précadres d’habillage PrecHab OSB, monoblocs et ensembles composés XXL de près de 12 m de longueur, convenait particulièrement bien à ce mode constructif. Livrés prêts à poser, ils ont garanti une mise en œuvre rapide, fiable et sans ajustement spécifique par l’entreprise vendéenne Charrier Bois. En acier thermolaqué, ils sont également gages de robustesse et de durabilité, facilitant le démontage et le montage.  Fixés sur la structure bois auto-portée, devant les menuiseries des éléments modulaires, les PrecHab OSB ont requis une attention particulière lors de leur conception. Deux profondeurs (316 et 431 mm) ont été retenues pour s’intégrer à cette structure, déportée sur certaines façades pourvues de poteaux porteurs au premier étage. Pour les angles, les ensembles composés LOUINEAU se dotaient ainsi de deux dimensions différentes. Saillants sur 250 mm à l’extérieur, les précadres mettent en relief l’enveloppe en bardage bois. Un jeu d’animation renforcé par leur teinte bleue, qui fait écho aux habillages de certains modules comme souhaitait l’agence d’architecture.  Photo LOUINEAU – Agence MCM Architecte 
Il y a 3 ans et 302 jours

A Valenciennes IMTD et IIM pour l’UPHF, signé Coldefy

A Valenciennes (Nord), l’agence lilloise Coldefy et Associés Architectes Urbanistes (CAAU) a livré en 2020 deux instituts de recherche (IMTD et IIM). Un budget de 15.5M Euros HT, dont 4M euros d’équipements, et 5 900 m² SDP pour stimuler l’innovation, imaginer les mobilités et l’industrie de demain. Communiqué. Le programme pour ces deux instituts – […] L’article A Valenciennes IMTD et IIM pour l’UPHF, signé Coldefy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 302 jours

A Croissy-Beaubourg, béton de chanvre pour la salle sportive signée Lemoal Lemoal

L’agence Lemoal Lemoal architecture paysage a livré en janvier 2021 à Croissy-Beaubourg (Seine-et-Marne) la salle d’évolution physique Pierre Chevet, premier bâtiment public neuf (380 m² SDP, 1,1 M€ HT y compris VRD) construit en parpaing de chanvre en France. Communiqué. La collaboration fertile entre fabriquant, l’agence Lemoal Lemoal (Christophe et Jesse Lemoal) et entreprises sur […] L’article A Croissy-Beaubourg, béton de chanvre pour la salle sportive signée Lemoal Lemoal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 302 jours

Praksis Arkitekter réalisera le nouveau Centre de l’innovation du groupe Velux

L’agence danoise d’architecture Praksis Arkitekter, basée à Svendborg, sera chargée de réaliser... Cet article Praksis Arkitekter réalisera le nouveau Centre de l’innovation du groupe Velux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 303 jours

Poste source de Gramont : Blanc électrique

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine En référence à la brique, matériau traditionnel de la région toulousaine, les panneaux sont multi-perforés de rectangles de la taille d’une… brique. [©AMM/Christophe Picci] Une résille comme enveloppe pour les bâtiments et une uniformité de teintes. A vrai dire, le cahier des charges de la Zac de Gramont, sur la commune de Balma (31), avait des exigences plutôt modestes en matière d’architecture. Aussi, la véritable contrainte a été dictée par de la nature même de la construction : un poste source – autrement dit, un transformateur – de 225/20 kV, réalisé pour le compte d’Enedis – RTE. « Quand on parle de “résille”, on pense “métal”. Un problème dans un environnement électrique, avec des mises à la terre incontournables », indique l’architecte Benoît Martres, dirigeant de l’agence AMM (Architectures Malacan Martres). Le béton s’est donc très vite imposé, du fait de sa nature isolante. Ce choix s’inscrivait aussi dans les objectifs de l’agence de « réduire au mieux l’emploi de matériaux différents, afin de mettre en valeur la simplicité des volumes et la matérialité du projet ».  Les dimensions des panneaux sont de 5,43 m x 2,39 m pour le niveau bas et de 5,50 m x 2,39 m pour le niveau supérieur. [©AMM/Christophe Picci] D’un point de vue technique, le poste source se divise en deux bâtiments. Le premier volume intègre la zone “Haute Tension A” (HTA) et la zone “Loge” où se concentrent les transformateurs. Le second bâtiment regroupe le poste sous enveloppe métallique (PSEM) et la zone “Batteries, stockages, salle de relayage et locaux communs” (BRC). Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 303 jours

Dossier : Mettre de la couleur dans l’architecture

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Groupe scolaire René Beauverie, Vaulx-en-Velin (69). Dominique Coulon & associés, architectes. [©Coulon Architectes/Eugeni Pons] Trop souvent, on reproche au béton son apparence grise. Si, pour l’auteure britannique Erika Leonard James, cette couleur se décline en “50 nuances de Grey”, pour nombre d’entre nous, elle est synonyme, à la fois, de tristesse, de monotonie, de peur, de sobriété et de modernisme. A chacun de faire son choix entre l’une ou l’autre de ces propositions, en fonction de ses propres aspirations. En architecture en béton, le modernisme semble être la meilleure option ! Dans son livre “L’étonnant pouvoir des couleurs”, le designer Jean-Gabriel Causse aborde cette thématique sous deux angles très complémentaires. Tout d’abord du point de vue esthétique – l’approche traditionnelle -, mais surtout en tenant compte de l’influence que peut avoir la couleur sur nos perceptions et comportements. Le choix d’une couleur n’est donc pas un acte anodin, car celle-ci renverra toujours à notre propre vécu et/ou notre propre culture. En Occident, le blanc véhicule l’idée du silence, du mariage, de la naissance, de l’espoir. En Orient et dans une partie de l’Afrique, il symbolise la mort, la tristesse. En Chine, il représente l’absence et l’attente. En Inde, le Taj Mahal, réalisé en marbre blanc, n’est pas un palais, mais un mausolée, initié par l’empereur moghol musulman Shâh Jahân, en mémoire de sa défunte épouse Arjumand Bânu Begam… Immeuble d’habitations à l’entrée de l’ex-Caserne de Reuilly, Paris XIIe. Charles-Henri Tachon, architecte. [©ACPresse]Poste source 225/20 kV de Gramont, Balma (31). Architecture Malacan Martres. [©Agence AMM/KevinDolmaire]Le Nouveau lieu de Strasbourg – ou Nolistra – compte huit bâtiments regroupant un hôtel, des logements et des bureaux. Lan Architectes. [©Lan/Lorenzo Zandri] Architecture et couleurs ont toujours cohabité, souvent d’une manière imposée. En effet, de tout temps, les constructions sont réalisées à l’aide des matériaux locaux, donnant leur caractère ou leur unité aux cités. Toulouse n’est-elle pas la Ville rose ? Et que dire du calcaire clair et du Comblanchien, qui ont donné son caractère à Paris ?  Le béton a ce pouvoir extraordinaire d’accepter la pigmentation. Une manière de “perdre” sa classique couleur grise au profit d’une large nuance de teintes. D’autant plus sobres ou intenses, que le ciment de base est gris ou blanc… Rouge, vert, bleu, jaune, orange, noir : tout est possible et réalisable, permettant aussi au matériau de se “faire oublier”, si telle est la volonté de l’architecte. Toutefois, l’oubli du béton ne supprime pas la symbolique véhiculée par la couleur choisie, donnant ainsi une autre dimension à la réalisation. Celle-ci peut alors devenir un jalon urbain, un trait d’union, un rappel historique, un point d’accès ou un repère visuel.  Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Sommaire du dossier : Caserne de Reuilly : Le rouge comme marqueur urbain Groupe scolaire René Beauverie : Imbrications azurées Poste source de Gramont : Blanc électrique Nolistra : Des couleurs porteuses d’histoires
Il y a 3 ans et 303 jours

Axel Dahl : Béton argentique

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Axel Dahl a su capturer l’âme du lieu. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schoenert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Et c’est le photographe qui a capté ces instants. [©Axel Dahl] L’agence Axel Schœnert architectes est en charge de l’ancien siège de la radio RTL, rue Bayard, dans le VIIIearrondissement de Paris. Le projet porte sur la restructuration lourde des immeubles post-haussmanniens, côté rue Bayard et de celui dit “comédie”, côté impasse d’Antin. Ainsi que sur la démolition et la reconstruction du bâtiment des années 1970. L’édifice est remplacé par une construction neuve en structure mixte bas carbone béton-bois, se développant sur sept étages et culminant à 25 m de hauteur. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schœnert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Une démarche artistique Axel Dahl a su capturer l’âme du lieu. C’est cette démolition qu’a voulue immortaliser l’architecte Axel Schoenert, grand collectionneur de photographies d’architecture. Et c’est le photographe qui a capté ces instants. [©Axel Dahl] Ceci, en soutenant le projet du photographe Axel Dahl. Ce dernier a réalisé une série d’images purement artistiques, sur ce chantier, avec un ancien appareil. Faisant ainsi ressortir les textures, les teintes et dégradés de couleurs, des matériaux épars çà et là… dans une finesse incomparable.« Cela fait dix ans que je collectionne des photos d’architecture. Ces dernières sont exposées dans l’agence, au 20 avenue de l’Opéra, dans le Ierarrondissement. J’aime la vision artistique d’un chantier que peuvent avoir les différents photographes. Les détails, les mises en scène…,explique Axel Schœnert. J’apprécie beaucoup le travail d’Axel Dahl, sa recherche de la lumière, ses cadrages, l’utilisation de vieux appareils… Ses photos sont comme des tableaux, d’autant plus qu’elles sont en noir et blanc ou en sépia. Ses mises en scène sont très fortes. » Pendant dix ans photographe pour des magazines à papier glacé, Axel Dahl a été ensuite musicien, journaliste, puis réalisateur. Depuis 2011, retour à la photographie, toujours à la chambre, toujours argentique, avec cette fois pour seul focus une autre passion ancienne : l’architecture.  Que des grands formats L’architecte Axel Schoenert devant une photographie d’Axel Dahl, exposée à l’agence, dans le Ier arrondissement de Paris. [©Axel Dahl]Axel Dahl en pleine action, à Niort. [©Axel Dahl]L’appareil est une Sinar suisse, modèle Norma, format 20 x 25cm, produite entre 1948 et 1972. Ici, celle d’Axel Dahl devant se trouver quelque part autour de 1965. [©Axel Dahl] « C’est un projet particulier pour moi, et un retour non seulement au noir et blanc, mais aussi au très grand format que j’ai beaucoup utilisé dans les années 1990. Avec les Polaroids 809 et la vrombissante machine à développer qui allait avec. ”Très-grand” signifie que les négatifs mesurent 20 cm sur 25 cm ! indique le photographe. Les prises de vue sont faites avec un 300 mm, objectif normal pour cette taille de négatif. Plus besoin de “réduire” à la prise pour agrandir après, le procédé est visuellement transparent. C’est ce que j’ai toujours ressenti dans les images faites dans ce format à travers le siècle. A savoir, une force d’exposition qui ne revient pas à une interprétation typiquement, parfois même caricaturalement, photographique, mais à la rectitude d’enregistrement. Evidemment, on ne fait pas quarante images, mais une seule. Elle compte. »  C’est la première fois qu’Axel Dahl utilisait ce procédé, il n’a fait cela pour aucun autre chantier… pour l’instant.« C’est une série strictement plastique. J’ai farfouillé partout pour les prises de vue. Il n’’est pas possible d’utiliser le numérique pour ce genre de travail. Il faut prendre son temps. Je me suis posé plein de questions. »Dans les ruines de la Maison Bayard, le béton, le bois et le fer se mélangeaient. Axel Dahl a fouiné et en détails. Tout ce qu’il a “mis en boîte” a aujourd’hui disparu. Son reportage photographique est un véritable travail de mémoire du bâtiment. « Il faut garder une trace, de ce qui était, de ce qui est et de ce qui sera », conclut Axel Dahl. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 303 jours

A l’exposition China Flower, l’agence ECADI lançait des fleurs

Le savoir-faire du Groupe Serge Ferrari était à l’honneur à Shanghai (Chine), lors de l’exposition China Flower dont l’édition annuelle a pris fin le 4 juillet 2021 sur l’île de Chongming, réputée pour la qualité de sa production de fleurs. En effet, l’agence d’architecture de Shanghai ECADI s’est appuyée sur les qualités de la membrane […] L’article A l’exposition China Flower, l’agence ECADI lançait des fleurs est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 304 jours

Haute-Garonne : Des bétons pour le plus long téléphérique urbain de France

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine A Toulouse, le téléphérique urbain Téléo transportera 8 000 voyageurs chaque jour.[©Cemex] D’ici fin 2021, le téléphérique urbain Sud de Toulouse Téléo reliera les stations Oncopole – Lise Enjalbert, à Université Paul Sabatier, en passant par Hôpital Rangueil – Louis Lareng. D’une longueur de 3 km, le parcours est une première en France en milieu urbain. Pas moins de 8 000 voyageurs quotidien sont attendus sur cette ligne aérienne, avec une fréquence de 1 mn 30 en heure de pointe. En amont du chantier, Cemex avait prescrit des bétons bouchardés de teinte claire, pour l’aménagement des quais des stations. Une solution retenue par l’agence d’architecture Thierry Lanctuit. Depuis septembre 2019, le bétonnier a livré 6 500 m3de bétons de génie civil pour la réalisation de ces trois stations. Et des massifs des cinq pylônes présents tout au long du parcours du téléphérique. Lire aussi les autres actualités en région Ainsi que 350 m3de bétons architectoniques blancs livrés à la station Oncopole – Lise Enjalbert pour les piles et poteaux. Et 200 m3de bétons bouchardés pour la réalisation des quais. Pour fournir en même temps les trois stations, Cemex a mobilisé pas moins de 4 unités de production locales : Larrieu (les deux sites), Montaudran et Escalquens. Les granulats entrant dans la composition des bétons prêts à l’emploi sont aussi des matériaux de proximité, en provenance des carrières de Salles-sur-Garonne et Cintegabelle. De plus, Cemex a géré la majeure partie de l’évacuation des déblais inertes des stations Université Paul Sabatier et Oncopole – Lise Enjalbert, représentant 4 500 t de matériaux de terrassement et de démolition. L’industriel a, en partie, évacué ces matériaux vers sa plate-forme de recyclage de Roques-sur-Garonne. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 304 jours

Chantier Zac le Square : L’économie circulaire comme feuille de route

La Saedel est en charge de l’opération de la Zac le Square. Un éco-quartier sur près de 50 000 m2. [©Agyre] Dossier : Penser circulaire Interview : Ecima Découverte : Le label E2C Rencontre : Ipsiis Actualité : Naissance de Valobat La notion d’économie circulaire s’applique de plus en plus à l’ensemble des secteurs d’activité. Dans le bâtiment, toutes les typologies d’acteurs sont impactées et s’organisent dans ce sens. L’Ecima, association européenne des fabricants de ouate de cellulose, représente les producteurs implantés sur le marché français. Rencontre avec son président Jean-Michel Bœuf. Depuis janvier 2021, le Cerema pilote un nouveau label : E2C. Ce dernier valide et accompagne les porteurs de projets dans la mise en place d’initiatives d’économie circulaire. Comment mêler efficacité énergétique et économie circulaire ? Avec son procédé innovant, Ipsiis tente de répondre à cette question. Rencontre avec le fondateur, Yves le Corfec. Quelque 26 entreprises de fabrication de matériaux de construction ont annoncé la naissance d'un éco-organisme, baptisé Valobat. A Dreux (28), la Saedel1 est en charge de l’opération de la Zac le Square. Ici, l’aménageur crée un éco-quartier sur près de 50 000 m2. Il comprendra à terme, un îlot vert d’un ha, une parcelle pour la construction d’un groupe scolaire, une clinique ophtalmique et environ 400 logements répartis en 8 îlots. Pour ce chantier d’aménagement, la Saedel a voulu s’ancrer dans une démarche approfondie d’économie circulaire. « Nous avons déjà mis en place une logique d’économie circulaire sur plusieurs de nos chantiers, mais nous ne l’avons pas fait de manière structurée et à cette échelle, explique Nicolas Moreau, Dg de Saedel. Nous sommes portés par nos convictions. Et nous voulons faire en sorte d’avancer vers plus de responsabilités environnementales. D’autant plus que la thématique de la ressource en matériau est un sujet important pour nous. » Afin de passer à l’étape supérieure, pour non seulement mettre en place des actions concrètes, mais aussi créer des process applicables à d’autres opérations, la Saedel a fait appel à Agyre. Identifier les besoins et y répondre Pour Agyre, le but est de rencontrer tous les intervenants, afin de dégager les contraintes, et les besoins techniques et logistiques. Le hub s’occupe de la mise en relation entre les maîtres d’œuvre, les entreprises et les acteurs de l’économie circulaire identifiés. « Nous avons réalisé une analyse du territoire pour identifier les acteurs de l’économie circulaire, détaille Jean-Baptiste Le Menn, chef de projet chez Agyre. Nous avons ainsi échangé avec des professionnels du Centre – Val-de-Loire sans aller au-delà de 50 km. Sinon, il n’y a pas de sens environnemental et financier. » Plan de la future Zac le Square. [©La Fabrique Urbaine/Agence Ter /Soderef/Atelier d’architecture Tequi] Retrouvez l’ensemble du dossier par –> ici Et Nicolas Moreau de reprendre : « C’est une façon pour les entreprises de monter en compétence. D’associer ces principes et ingénieries dans les modalités de chantier pour que cela devienne une habitude. » Agyre s’est aussi occupé de l’élaboration de la feuille de route “économie circulaire”. Cette dernière se base sur des propositions de schémas opérationnels : accompagnement pour la déconstruction, identification des lieux de stockage, planning de disponibilité des gisements. Ou encore, l’analyse des méthodes et solutions techniques, la conformité des chiffrages, les éco-matériaux à privilégier et les pistes de valorisation… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 305 jours

Ilot Bacalan à Bordeaux, COSA fait l’hôtel, et l’hôtel, et l’hôtel et l’hostel

L’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) a livré sur l’îlot Bacalan des bassins à Flots à Bordeaux (Gironde) un impressionnant programme comprenant :  un Hôtel**** Renaissance de 150 clés desservi par deux anciens silos réhabilités en espaces d’accueil ; un Hôtel*** Moxy de 133 chambres ; un programme para-hôtelier de 159 appartements en résidence […] L’article Ilot Bacalan à Bordeaux, COSA fait l’hôtel, et l’hôtel, et l’hôtel et l’hostel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 306 jours

A Meudon, un foyer pour les jeunes travailleurs signé CoBe

L’agence parisienne CoBe Architecture a livré en 2021 à Meudon (Hauts-de-Seine) pour Seine Ouest Habitat et Patrimoine, maître d’ouvrage, un foyer pour jeunes travailleurs de 50 chambres (1950m² ; Coût des travaux : 4.1 M€ HT). Combinaison fine de composantes topologiques et programmatiques fortes et opposées ? Communiqué. Terrain contraint Situé à Meudon sur un terrain à la […] L’article A Meudon, un foyer pour les jeunes travailleurs signé CoBe est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 308 jours

Palmarès du concours Les Génies de la construction

Les équipes d’élèves et d’étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur, encadrées par leur professeur, étaient réparties en quatre catégories (collège, pro, lycée, supérieur), pour réaliser un projet collectif et collaboratif de construction ou d’aménagement projeté vers un futur des territoires intelligents, durables et connectés, au travers des thématiques suivantes : le logement, la mobilité au sein des territoires et les déplacements, les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs), la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets, les énergies locales et renouvelables. Autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants étaient invités à travailler.Le concours, qui a pour objectif de mieux refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics dans toutes leurs dimensions, incarne les enjeux auxquels les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire doivent répondre, notamment en termes de transition numérique, technologique et environnementale. « Les Génies de la Construction ! » répondent aussi aux priorités du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et des professionnels de la construction, pour favoriser la promotion des voies de formation générale et professionnelle, qui sont toutes les deux des voies d’excellence et de réussite, et ainsi contribuer à une meilleure orientation scolaire et professionnelles des jeunes, donner du sens et concrétiser les enseignements.Une 17e édition « phygitale »La 17e édition des « Génies de la Construction ! » s’est de nouveau adaptée avec agilité au contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, avec la mise en place d’un dispositif exceptionnel, pour permettre aux équipes inscrites dans le concours d’aller au bout de leur projet.Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, à l’occasion d’une finale organisée en présentiel, les équipes projets ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plateforme dédiée, afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. Pour la deuxième année consécutive, des open badges ont été attribués aux lauréats et participants des catégories « lycée » et « sup ». Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Pour les organisateurs du concours, il était important de promouvoir et de reconnaître l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits. 3.000 élèves engagés dans le concoursPour cette 17e édition du concours et malgré un contexte de crise sanitaire, 22 académies ont participé. Au total, ce sont 3 000 élèves et étudiants concernés, avec 104 classes dans 57 collèges, 15 lycées, 9 SEGPA et 23 équipes dans le supérieur.Comme à chacune des éditions, les projets ont été appréciés sur leur créativité, leur faisabilité et l’interdisciplinarité, ainsi que sur leur capacité à se transposer sous une forme réalisable pour être appliqués concrètement et sur leur aptitude à répondre aux problématiques suscitées par l’évolution des territoires.Le palmarès : huit projets lauréatsPrix catégorie « Collège »Le mot du jury : « Les projets étaient particulièrement variés et aboutis. Certaines équipes ont travaillé à distance, malgré les contraintes matérielles liées à la réalisation de maquettes réelles. La richesse des projets présentés repose sur une interdisciplinarité remarquable, ainsi que sur l’intervention de professionnels du BTP. Ces derniers ont permis aux élèves d’avoir une meilleure connaissance des métiers et des solutions techniques mises en œuvre aujourd’hui. »1er prix : collège Capouchine (Nîmes, 30) | Académie de MontpellierProjet « La maison bioclimatique »Le projet a été mené à la suite de la visite d’un lieu de vie alternatif. Il présente l’optimisation de l’espace pour une maison, comprenant trois chambres et une grande pièce de vie, en l’adaptant au climat méditerranéen pour avoir un très faible besoin en énergie et en s’appuyant sur différents systèmes bioclimatiques. Les élèves ont fait appel à une élève architecte, au responsable d’Alter Éco et aux « petits débrouillards ». Le choix des solutions techniques et des matériaux mis en œuvre repose sur une démarche scientifique, qui a conduit à la réalisation d’une maquette en respectant les étapes de construction et à une modélisation 3D.2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Morez, 39) | Académie de BesançonProjet « La restauration du château de Buclans »À partir d’une étude historique et littéraire du château de Buclans (Jura), détruit par un incendie, ce projet en prévoit la restauration et la réhabilitation des locaux, en vue d’en faire, notamment, un lieu d’accueil d’une colonie et un espace culturel. Charpente, agencement, accessibilité, conception d’un escalier automatisé, gestion de l’éclairage et modélisation 3D ont été appréhendés par les élèves, en partie grâce à l’intervention de professionnels du bâtiment. L’exposé des élèves a entièrement été traduit en langue anglaise.3e prix : collège Joseph Julien Souhait (Saint-Dié-des-Vosges, 88) | Académie de NancyProjet « Le plan incliné d’Arzviller »À partir d’une étude historique et géographique, le besoin sociétal d’un plan incliné a été défini, ainsi que les fonctions auxquelles l’objet technique doit répondre. L’étude scientifique et mathématique a débouché sur la réalisation d’une maquette automatisée, intelligente et pilotée à distance, prenant notamment en compte les contraintes de fonctionnement et de sécurité.Prix catégorie « Pro » (Élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa pro)Le mot du jury :« Dans tous les projets présentés, la dimension interdisciplinaire apparaît nettement. De nombreuses solutions techniques présentes dans le secteur du bâtiment et des travaux publics ont été exploitées et mises en œuvre. »1er prix : collège Lubet Barbon (Saint-Pierre-du-Mont, 40) | Académie de BordeauxProjet « Extension d’un studio en éco-matériaux »Un petit studio a été réalisé il y a plusieurs années avec des matériaux adaptés pour l’époque. Le projet consiste à réaliser une extension, en s’appuyant sur l’éco-construction. C’est aussi l’occasion pour les élèves d’analyser l’ancienne construction, d’en identifier les points faibles et de découvrir plusieurs métiers et activités du champ professionnel « habitat », tout en étant acteurs de la réalisation de cette extension. Différents matériaux sont utilisés à bon escient et de nombreuses technologies actuelles du bâtiment sont abordées.Mention des « Meilleures interdisciplinarités et pédagogies »Collège Jean Moulin (Marseille, 13) | Académie Aix-MarseilleProjet « Réalisation d’une cabine téléphonique anglaise »Mention des « Meilleures dimensions chantier et environnementales »Collège de Grazailles (Carcassonne, 11) | Académie de MontpellierProjet « Projet KOKODO pour état d'urgence en cas de séisme »Prix catégorie « Lycée »Le mot du jury :« Les différentes équipes ont présenté des projets et des études particulièrement abouties. La thématique des territoires intelligents durables et connectés, ainsi que les enjeux sociétaux et environnementaux qui s’y réfèrent ont été très bien pris en compte. »1er prix : lycée Livet (Nantes, 44) | Académie de NantesProjet « Résidence étudiante »Le projet s’appuie sur la construction d’une résidence universitaire à partir de « containers » maritimes recyclés. De l’étude du problème sociétal de logement des étudiants à l’identification du terrain, ce projet a débouché sur la conception architecturale, les calculs de structure, les choix de matériaux, des simulations (notamment thermiques), ainsi que sur la modélisation de l’ensemble du projet. Les maquettes et simulations dévoilées sont en cours de réalisation voire de finalisation. La dernière étape, qui consiste au prototypage et à l’expérimentation sera menée, par la suite.2e prix : lycée Gustave Eiffel (Armentières, 59) | Académie de LilleProjet « Réhabilitation d’un château d’eau »À partir d’une contextualisation historique, ce projet concerne la réhabilitation du château d’eau du lycée, reposant sur la préservation de la ressource en eau. Les solutions de captage, filtrage, stockage et gestion de l’eau ont été envisagées, pour aboutir à la réalisation d’une maquette didactique fonctionnelle pilotée à distance.3e prix : lycée Saint-Nicolas (Paris, 75) | Académie de ParisProjet « Incubateur rue du Lac »Ce projet concerne la création d’un incubateur ou espace de co-working. Cet espace, prévu dans un immeuble neuf, occupe les deux derniers étages débouchant sur un toit terrasse. La fonctionnalité des espaces, l’étude des façades, la simulation thermique, le choix des matériaux et les solutions pour l’éclairage ont permis la réalisation d’une maquette immotique.Mention de la « Meilleure démarche pédagogique »Lycée Aragon Picasso (Givors, 69) | Académie de LyonPrix catégorie « Sup »(Étudiants de l’enseignement supérieur : STS, IUT, université, écoles d’ingénieur, écoles d’architecture...)Le mot du jury : « Les trois projets primés répondent parfaitement aux attendus du concours : mixité, interdisciplinarité, prise en compte de problématiques environnementales liées aux enjeux de la construction et de l’aménagement des territoires. Chacune des équipes primées a su réaliser un travail collaboratif dans une approche professionnelle, avec l’utilisation d’outils numériques maîtrisés et mettant en jeux des compétences pluridisciplinaires, qui ont permis de justifier les solutions constructives proposées. »1er prix ex aequo : université Cergy (Cergy, 95) | Académie de VersaillesProjet « Bâtiment à usage aéronautique »Le projet est celui d’un bâtiment à usage aéronautique, dont la conception porte sur deux grands halls, l’un destiné au stockage de pièces, le second à l’assemblage d’avions légers, complétés par un étage de bureaux. La recherche architecturale originale a été traduite par une maquette numérique a donné lieu à une étude structurelle, complétée par un phasage des travaux détaillé ainsi qu’une simulation thermique dynamique. Le projet est articulé autour de deux axes principaux : le développement durable avec la contrainte d’auto-suffisance du bâtiment et l’innovation avec l’utilisation au maximum du BIM.1er prix ex aequo : université Technologie Compiègne (Compiègne, 60) | Académie d’AmiensProjet « Smart ville »Le projet s'appuie sur le déploiement du « Métrocâble » à Grenoble, intégrant la notion de durabilité, de connectivité et d’intelligence. Il comprend une gare avec un réaménagement des voies de circulation, dont la création d'une piste cyclable, des quais multimodaux pour bus et tramways, un parking relais, des bassins végétalisés, un mobilier urbain (installations sportives, aires de jeux, « MétroVélo box »). La recherche documentaire, l’étude géotechnique, la modélisation, l’étude des matériaux et l’analyse de leur comportement mécanique ont été particulièrement appréciées. 3e prix : IUT Chambéry (Le Bourget-du-Lac, 73) | Académie de GrenobleProjet « Le prieuré de Bourget-du-Lac »Le projet a pour objectif la rénovation d’une des trois ailes du bâtiment du Prieuré du Bourget du Lac qui fut construit au Moyen-Âge. À partir de la réalisation de scans 3D de l'intérieur du bâtiment et de l’assemblage des nuages de points, un modèle numérique a été obtenu. C’est à partir de ce modèle que les plans nécessaires au permis de construire ont été réalisés. L’étude structurelle a permis la détermination des charges et la prise en compte des actions climatiques. L’étude thermique a permis une analyse au regard de la RT 2012. L’accès aux PMR a été envisagé. Cet ensemble se complète par la production de documents exploitables dans la perspective de travaux futurs envisagés par la Municipalité.Mention de la « Meilleure implication de l’établissement »IUT Belfort Montbéliard (Belfort, 90) | Académie de Besançon* Le concours Les Génies de la Construction ! est organisé en partenariat entre le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, l’EFB (fondation École Française du Béton (EFB), la FFB (Fédération française du bâtiment), la FNTP (Fédération nationale des travaux publics), le CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics) et en coopération avec l’ASCO-TP (Association pour la connaissance des travaux publics), ainsi qu’avec l’ASSETEC (Association nationale pour l’enseignement de la technologie), l’APMBTP (Association des professeurs des métiers du bâtiment et des travaux publics) et l’AUGC (Association universitaire de génie civil).
Il y a 3 ans et 309 jours

A Paris Masséna, 34 logements en accession signés Valero Gadan

L’agence parisienne Valero Gadan (Bernard Balero et Frédéric Gadan) a livré fin 2020 boulevard Masséna à Paris (XIIIe) pour le Groupe Atland maître d’ouvrage un programme de 34 logements en accession. Coût des travaux : 2.9 M€ HT ; 1 700 m² SDP / 1 500 m² SHAB). Communiqué. L’aménagement des différents logements a fait l’objet d’une […] L’article A Paris Masséna, 34 logements en accession signés Valero Gadan est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 310 jours

Nouvelle prouesse technique pour le Groupe Lorillard avec les menuiseries bois de la maison des services du siège social de Latécoère

Au cœur de Toulouse s’élève le nouveau siège social du groupe industriel Latécoère. Un projet réalisé par le promoteur Icade, qui a acheté le foncier de l’usine en 2016 à Latécoère et qui accueille aujourd’hui 11 300 m² de bâtiment pour le siège social de l’équipementier aéronautique. C’est le cabinet d’architecture parisien « Brenac et Gonzalez et Associés » qui a pensé la transformation du site historique de Latécoère avec comme point d’orgue la contemporanéité afin que le lieu exprime pleinement l’image de l’entreprise dans son époque. C’est en juillet 2019 que les deux entreprises générales en charge du projet, Demathieu Bard & Gallego, consultent le Groupe Lorillard pour la création et la mise en œuvre des menuiseries de la Maison des Services. Le challenge est conséquent à relever, de par le défi technique, aussi bien pour la conception que pour la pose des châssis de grandes hauteurs et dimensions. Une réflexion longue est menée avec le bureau d’études et l’atelier bois quant à la faisabilité. Les contraintes majeures relatives à la nécessité d’une phase de conception sur chantier, le besoin de recréer des profils spécifiques pour adapter le poids du vitrage, l’exigence des délais sur chantier, sont levées par le travail conséquent des équipes de R&D, de l’atelier Bois et des équipes de l’agence Lorillard Occitanie Toulouse. Après 2 mois de conception avec l’atelier bois et le bureau d’études à Chartres, un prototype est validé en septembre 2019 par le cabinet d’architecture Brenac et Gonzalez et Associés.   LA MAISON DES SERVICES Détachée du bâtiment principal, la Maison des Services se situe au cœur du grand parc arboré du site Latécoère à Toulouse. ICADE la désirait divergente des bâtiments de bureaux métalliques situés au sud, tel un pavillon, esquissant une liaison avec le grand parc situé au nord. La Maison des Services accueille le restaurant d’entreprise, la cafeteria, le fitness ainsi qu’un salon VIP. Eu égard à son rapport au végétal, elle est entièrement en bois (mélèze et épicéa) et a été conçue dans une démarche vertueuse de consommation locale. C’est donc l’entreprise Pyrénées Charpentes qui a usiné et mis en œuvre toute l’ossature bois et l’Agence Lorillard Occitanie qui a assemblé et posé les menuiseries bois. De forme rectangulaire, elle se déploie sur deux niveaux au-dessus du rez-de-chaussée. Elle offre à chaque niveau de larges baies vitrées dont certaines donnent sur des terrasses matérialisées par la largesse des débords de toiture. Tous les niveaux sont reliés par un réseau d’escaliers extérieurs pour une grande communication entre les espaces intérieurs et extérieurs. Le confort thermique est assuré tout à la fois par les menuiseries équipées d’un verre Planistar Sun, limitant les apports solaires et par de très larges coursives du côté des façades exposées au sud et à l’ouest. Les façades est et nord ont de très faibles débords mais la protection solaire est renforcée par un jeu graphique de verticalité et d’horizontalité avec des moucharabiehs ponctuels, fixés sur les menuiseries.   222 MENUISERIES HORS NORMES La pose initiale des menuiseries prévue pour octobre 2019, est finalement décalée en janvier 2020. Arrêtés quelques semaines durant le confinement, les travaux ont repris rapidement et 4 mois auront été nécessaires pour poser les 222 menuiseries dont 15 portes à 2 vantaux. Les dimensions exceptionnelles des menuiseries ont été étudiées et conçues par le bureau d’études Lorillard. La contrainte technique majeure étant la hauteur des menuiseries – mesurant 3 mètres de haut sur 1 mètre de large – et celle de leurs châssis, la pose a nécessité la création de dormants très épais (70 cm) pour supporter les dimensions et le poids des 3 m² de vitrage par vantail (double vitrage feuilleté). Pour renforcer l’ensemble, des épines de 10×10 cm ont été ajoutées aux jonctions en extérieur et vissées dans les dormants afin d’encadrer les menuiseries et garantir une exceptionnelle rigidité aux châssis. Les ouvrants à double enfourchement ont également été épaissis (81 cm) pour une meilleure fixation des organes de rotation et simultanément améliorer encore un peu plus la thermique. Mises en œuvre en bande filante, les menuiseries forment une trame en ossature bois de 5 mètres de large. Ainsi, chaque trame d’un mètre a été assemblée sur chantier. Aboutées les unes aux autres, les 5 trames sont juxtaposées. Leur particularité dimensionnelle, engendrant un poids de 130 kg par vantail, a nécessité l’utilisation d’un robot de pose. Ce robot ventouses a permis la manipulation des ouvrants avec une grande précision : 4 ventouses permettant des poses au millimètre. Chaque trame d’un mètre a été assemblée sur chantier. Elles sont aboutées les unes aux autres. Aide considérable dans le gondage des ouvrants, il a autorisé l’équipe à passer de 5 personnes à seulement 3 pour assurer la mise en œuvre des 222 menuiseries, tout en limitant le risque de blessure. L’usage du robot a également permis de gagner en rapidité de pose : l’équipe pouvait gonder jusque 25 ouvrants par jour.   Le Groupe Lorillard signe là une nouvelle prouesse technique qui n’aurait pas été possible sans l’excellence des hommes et des équipes. Ce chantier met en évidence la parfaite collaboration des équipes de l’atelier, du bureau d’études et des équipes travaux. Les délais courts, aussi bien pour la phase de conception que de réalisation, leur ont permis de démontrer et de valoriser leur très grande réactivité. La réponse fournie à ce projet singulier, compte tenu de la hauteur des châssis, émane d’un savoir-faire et d’une haute technicité. Et, la spécificité du sur-mesure n’aurait pas été possible sans la capacité de production industrielle du Groupe, avec une moyenne de 660 m² de menuiseries à produire sur ce chantier. C’est là un atout considérable pour le Groupe Lorillard : savoir concevoir des menuiseries exclusives et sur-mesure, et les usiner en quantité industrielle. En outre, ce chantier témoigne également de la capacité du Groupe à se positionner sur des chantiers neufs d’envergure, là où peu d’autres groupes le sont, et ce, aussi bien en ce qui concerne la conception, que la fabrication et la production dans des délais courts. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Livraison : janvier 2021 Client : ICADE Nombre de menuiseries : 222 Montant de l’opération : 330 000 € HT Maître d’ouvrage : ICADE PROMOTION TERRITOIRE SUD OUEST Architecte : BRENAC et GONZALEZ et ASSOCIÉS Entreprises générales en charge du projet : DEMATHIEU BARD & GALLEGO
Il y a 3 ans et 310 jours

Ötzi Peak : l’observatoire signé noa, vue sur la (très) grande histoire

Au-dessus du glacier du Val Senales (Haut Adige, Italie), l’agence noa (network of architecture) a livré en 2020 l’observatoire Ötzi Peak, du nom de ce chasseur de l’âge du cuivre retrouvé-là plus de 4 000 ans après sa mort. L’option intégrale en acier autopatinable a permis de réaliser cet ouvrage spectaculaire. Culminant côté italien à 3 […] L’article Ötzi Peak : l’observatoire signé noa, vue sur la (très) grande histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 315 jours

Oasis Lanz Beach Mate, à Lanzarote, par Zooco

L’hôtel Oasis, situé au centre-est de l’île de Lanzarote, dans l’archipel des Canaries, a été entièrement réhabilité (livraison 2019) par l’agence espagnole Zooco Estudio (Miguel Crespo Picot, Javier Guzmán Benito, Sixto Martín Martínez). Communiqué. Sur un terrain de 19 162 m² de forme rectangulaire, des petites constructions blanches sont regroupées pour générer deux espaces centraux […] L’article Oasis Lanz Beach Mate, à Lanzarote, par Zooco est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 317 jours

Zoom sur : Nicolas Bossard

Diplômé en architecture de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville et de l’Université du Québec à Montréal, Nicolas Bossard a fondé son agence en 2018, et défend depuis une vision pluridisciplinaire de l’architecture. Nicolas Bossard débute sa carrière au département Architecture de Louis Vuitton, puis fait ensuite ses armes au sein du Studio Vincent Eschalier. Fort de son expérience, il décide de fonder sa propre agence à Paris et forme une équipe pluridisciplinaire soucieuse de concevoir des espaces bien agencés. De la conception des plans à l’aménagement, l’architecte imagine et réalise des lieux de vie fonctionnels et pérennes sans renier sa sensibilité artistique. Lumière, volumes et matières forment un triptyque qui guide sa réflexion architecturale ; la couleur venant délimiter certains espaces, sublimer des choix d’objets et d’œuvres d’art.Influencé par les architectes Arne Jacobsen et John Pawson, Nicolas Bossard prône un certain minimalisme et un goût affirmé pour le design des années 1950 et 1960. Il travaille des matériaux naturels comme le bois, le granit ou le marbre qu’il associe à des éléments plus sophistiqués tels que le laiton. Nicolas Bossard compte à son actif plus d’une trentaine de chantiers de typologies variées. Il a signé récemment plusieurs projets résidentiels àParis.Pour en savoir plus, visitez le site de Nicolas Bossard.Visuels : © Studio BCDF studio / © Nicolas MatheusLa rédaction
Il y a 3 ans et 318 jours

Un toit végétalisé pour se fondre dans le paysage islandais

L’agence d’architecture KRADS a conçu une maison de vacances pour un couple de musiciens en Islande. Elle est dotée d’un toit vert permettant à la maison de se fondre dans le paysage environnant. Soigneusement placée sur une colline densément envahie par la végétation, la maison de vacances de Þingvallavatn a été conçue avec une fondation […]
Il y a 3 ans et 319 jours

a/LTA architectes : Arty

Pour Néotoa, l’agence a/LTA architectes a construit 40 logements en PSLA dans Les Hauts de Sévigné (35). Zoom sur un projet de construction ambitieux. Le bâtiment conçu par a/LTA architectes se fragmente en deux volumes principaux : l'un au Nord qui vient s'aligner sur la rue, et le second qui reprend l'alignement de la limite de propriété avec le lot C7 au Sud. Le bâtiment se caractérise par des terrasses tantôt larges, tantôt profondes. Les garde-corps de celles-ci sont remplis de verre blanchi. Le nez de dalle comme la main courante en aluminium anodisé proposent une épaisseur unique et participent à gommer l’échelle des niveaux courants. Les derniers niveaux en attique sont situés en retrait par rapport à la façade. Un espace commun traité sous forme de placette pavée dessert le hall d'entrée généreusement vitré et le local deux-roues abrité derrière une serrurerie en continuité des clôtures communes à l’ensemble des îlots. Des portillons piétons sont placés dans la clôture pour permettre un accès direct aux jardins privatifs et aux logements contigus depuis l'espace public.Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence a/LTA architectes.Visuels : © Charly BroyezLa rédaction
Il y a 3 ans et 320 jours

A Gentilly, le Sand et l’Atriode pour WAW et SLA respectivement

Les agences WAW Architectes et SLA Architecture ont livré au 1er semestre 2021 à Gentilly (Val-de-Marne), la reconstruction / requalification du site historique de Vachon Antiquités au travers d’une opération mixte associant des surfaces tertiaires (l’Atriode : 6 500 m²) et résidentielles (Le Sand : 1 527 m² en accession, 1 890 m² social). Communiqué. L’incendie en […] L’article A Gentilly, le Sand et l’Atriode pour WAW et SLA respectivement est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 321 jours

Manuelle Gautrand Architecture, à Firminy

L’Eglise Saint-Pierre, sur le site Le Corbusier à Firminy (Loire), met en lumière Manuelle Gautrand et les travaux de son agence. À cet effet, une exposition évènement autour de sept projets phares prend place dans les parties basses de l’église Saint-Pierre de Firminy. Jusqu’au 16 janvier 2022. L’architecture rend compte d’un passé, d’une culture et […] L’article Manuelle Gautrand Architecture, à Firminy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 322 jours

A Beaucouzé, le siège social de TGS France selon Rolland & Associés

Le Groupe TGS France a inauguré en mars 2021 son nouveau siège social (1 600 m²) conçu à Beaucouzé (Maine-et-Loire) par l’agence angevine Rolland & Associés. Hypermobilité et multifonctionnalité pour décloisonner le travail étaient au programme ? Communiqué du maître d’ouvrage. Un siège social conçu pour favoriser la créativité et la formation D’une surface de 1 600 […] L’article A Beaucouzé, le siège social de TGS France selon Rolland & Associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 326 jours

Signée A+Architecture, halle des sports en toile de Nîmes

L’agence A+Architecture a été retenue en 2021 pour la construction à Nîmes (Gard) de la Halle des sports Mas de Vignoles pour la ville maître d’ouvrage. Doté de cinq salles pour onze disciplines, l’image de l’ouvrage de 7 477 m² SU est celle d’un drapé en toile de… Nîmes. Budget : 11,8 M€ HT. Livraison prévue : […] L’article Signée A+Architecture, halle des sports en toile de Nîmes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 328 jours

Quadrilatère de Beauvais, modernité signée Chatillon architectes

L’agence Chatillon Architectes (mandataire), avec Nathalie Crinière, est lauréate début 2021 du projet de restructuration du Quadrilatère de Beauvais (Oise). L’opération (8,6 M€) vise à redonner au bâtiment d’André Hermant l’aura qu’il mérite et entend placer Le Quadrilatère sur la carte des architectures remarquables du XXe siècle. Communiqué. « Implanté au coeur du quartier cathédral, […] L’article Quadrilatère de Beauvais, modernité signée Chatillon architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 331 jours

L’Industreet, Campus des métiers de l’industrie selon WOA

L’agence parisienne Atelier WOA a livré en décembre 2020 la requalification d’une friche industrielle à Stains (Seine-Saint-Denis). Opération mixte de plus de 33 000 m², le projet comprend le centre de recherche d’Engie, l’école de l’industrie du futur «L’Industreet» portée par la fondation Total, et un pôle service comprenant un parking silo, un restaurant d’entreprises […] L’article L’Industreet, Campus des métiers de l’industrie selon WOA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 332 jours

Le nouveau siège social d’Orange révèle tout le potentiel du bambou MOSO®

Aucune parcelle architecturale du nouveau siège social d’Orange n’échappe aux solutions bambou de MOSO® International. Installées du sol au plafond en passant par les murs, la prééminence du bambou caractérise ce chantier d’envergure situé à Issy-les-Moulineaux. Idéalement placé dans la ville, le bâtiment est prêt à accueillir 3000 salariés de l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde. Ce projet aussi ambitieux que novateur est signé par l’agence VIGUIER, promu par Altarea Cogedim. Un bâtiment marqué par une identité architecturale forte mixant le minéral et le végétal Étendu sur 56 000 m², le nouveau siège d’Orange appelé « Bridge » peut difficilement passer inaperçu à Issy-les-Moulineaux. Son emplacement stratégique, à la fois proche du centre-ville, bien desservi par les transports et en bord de Seine offre une promesse de confort aux futurs occupants des lieux. Pour ce projet fortement symbolique, le cabinet d’architecture VIGUIER a tenu à sélectionner un faible nombre de matériaux afin d’aboutir à un ensemble harmonieux et cohérent entre l’architecture extérieure et intérieure. Le choix du bambou, du métal et du minéral a ainsi permis d’atteindre le résultat attendu, c’est-à-dire un ensemble unifié et clair. Le projet d’architecture d’intérieur a consisté à revêtir de bambou les zones largement ouvertes au public et aux événements, le rez-de-chaussée ou encore les lieux de passage. Découlant de ces zones prédéfinies qui constituent le cœur du projet, le cabinet a assuré une continuité du revêtement en bambou à travers les ascenseurs, leurs paliers, les sanitaires et les terrasses intérieures situées dans les étages. Dans la même logique, cette démarche a été déclinée sur les espaces paysagers extérieurs, c’est-à-dire sur la terrasse du toit, sur les balcons et le parvis. Un accompagnement sur-mesure opéré par un partenaire de confiance Le choix du matériau végétal ne s’est pas porté immédiatement sur le bambou, et ne devait concerner au départ que le parquet. L’architecte prônait initialement le chêne dont l’option semblait pertinente au vu du déploiement prévu sur des espaces larges, variés et particulièrement sollicités par les passages. Le promoteur investisseur était surtout soucieux de la pérennité que pouvait offrir le matériau choisi, considéré comme le point essentiel du projet. En premier lieu, le bambou a séduit par ses qualités techniques. Ce matériau remplissait toutes les contraintes en matière de résistance au poinçonnement, et il présentait de forts atouts en matière de durabilité et de flexibilité. Ainsi, sa souplesse autorisait toutes les audaces créatives. Il restait toutefois un dernier point à satisfaire : la tonalité du bambou devrait se rapprocher de celle du chêne. Soucieux de répondre à cette exigence esthétique, MOSO® a su faire preuve d’écoute et d’adaptabilité. La société a mobilisé les équipes de son site de production, situé en Chine, pour contretyper la teinte du revêtement sol jusqu’à l’obtention de la finition souhaitée. Convaincue, l’agence d’architecture décide alors de décliner le bambou non seulement sur les sols, mais également sur les murs et plafonds. Possibilités illimitées avec les solutions MOSO® Bambou Le bambou est un matériau flexible offrant des possibilités illimitées en termes d’application. Selon le mode de fabrication, il peut tout aussi bien être installé à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les architectes en charge du projet Bridge Pont d’Issy l’ont bien compris ; le matériau est décliné sous plusieurs formes, ajoutant dans chaque espace une touche naturelle, qualitative et chaleureuse. Des sols en bambou– intérieur et extérieur Au total, 8 600 m2 de sol BambooPlex sont installés à l’intérieur de l’édifice, dans des zones de passage et des marches d’escalier. Le sol BambooPlex, muni d’une couche d’usure en bambou Density® de 4,5 mm d’épaisseur, assure une résistance au trafic intense. MOSO® BambooPlex dispose d’une haute stabilité permettant également une installation sur sol chauffant. Enfin, il a été livré avec une certification FSC afin de répondre aux exigences environnementales du projet. En extérieur, 1 200 m2 de terrasse Bamboo X-treme® habillent le toit et les balcons, créant une continuité entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. MOSO® Bamboo X-treme® est une lame de terrasse combinant un thermo-traitement avec une compression à haute densité des lamelles de bambou. Grâce à ce procédé, la solution bénéficie de la plus haute durabilité. Elle est certifiée Classe 1 en termes de durabilité biologique (selon EN 350 / CEN/TS 15083-2, test de bois enterrés Classe 1 EN 350 / CEN/TS 15083-1) et une classe d’usage Classe 4 (selon EN 335). Panneaux, placages et carrelets en bambou L’auditorium est revêtu en extérieur et intérieur de placages en bambou et de rouleaux flexibles Flexbamboo s’adaptant parfaitement aux courbes de cet espace. Pour répondre aux exigences de performances acoustiques, le placage en bambou est appliqué sur des panneaux acoustiques. Les dossiers et tablettes des assises sont également recouverts de placage en bambou. Les carrelets MOSO® Bambou ornent les faux plafond et mur rideaux. Les industriels ont eux-mêmes opéré le travail de finition dans le même esprit que la réalisation du parquet, à partir des solutions MOSO® fournies à l’état brut. Ainsi, les teintes ont subi la variation de couleurs attendue à chaque itération. Les panneaux massifs MOSO® Bambou permettent de créer d’élégantes mains courantes, portes et huisseries. Les 3 atouts majeurs des produits MOSO® Bambou La dureté favorise la pérennité des revêtements Les produits MOSO® Bambou offrent de nombreux avantages, tels qu’une dureté exceptionnelle, grâce à un procédé de compression à haute densité des lamelles de bambou.  Celui-ci permet d’obtenir une résistance Brinell supérieure à 9.5kg/mm2 selon la norme EN1534 pour les solutions Density® et Bamboo X-treme®. Les solutions sont déclinables sans fin Les produits MOSO® Bambou se démarquent également par leur stabilité dimensionnelle considérable avec des coefficients de dilatation très faibles, comparés à toutes les essences de bois. Ils sont ainsi tout à fait adaptés à des environnements à fortes contraintes et à fort trafic. Il répond à de nombreuses applications, telles que les sols, murs, extérieurs couverts, bardage…. Le bambou possède des caractéristiques mécaniques proches des bois tropicaux, ce qui favorise sa dureté et sa résistance, y compris au feu. La durabilité en faveur des enjeux environnementaux Le bambou MOSO® est un matériau durable. Ce n’est pas un bois, mais une graminée. Cette plante présente la croissance la plus rapide au monde, pouvant aller jusqu’à 1 mètre par jour. Grâce à son système de rhizomes permettant un renouvellement des cannes de bambou très élevé, sa production n’occasionne pas de déforestation. Cet aspect essentiel participe à réduire l’impact environnemental. Les produits MOSO® Bambou permettent d’obtenir de nombreux crédits de différents écolabels comme HQE, BREEAM et LEED. L’analyse du cycle de vie des produits MOSO® Bambou, réalisée de manière indépendante par l’Université de Delft aux Pays-Bas, démontre l’empreinte carbone neutre des produits MOSO®. Plus récemment, MOSO® offre la possibilité de calculer les émissions carbone retenues dans un projet selon les produits employés. L’étroite collaboration avec MOSO® International a permis de répondre aux attentes techniques et esthétiques de ce projet architectural ambitieux. La présence du bambou a finalement donné du contraste à la tonalité blanche de l’architecture et a apporté une note chaleureuse à l’ensemble. Détails du projet Orange – Siège social Lieu : Issy-les-Moulineaux (92) Architecte : Agence VIGUIER Promoteur investisseur : Altarea Cogedim. Applications en bambou : 8600m2 sol BambooPlex Density® Naturel, certifié FSC installation sur sol chauffant (produit sur-mesure conçu pour le projet) ; Installateur : INTERSOL 3000m2 placages fins vertical pour panneaux acoustiques ; Industriel : Topakoustic ; Installateur : BOISTECH 80m3 carrelets vertical (section 20X55mm) pour plafonds acoustiques ; Industriel : Laudescher Installateur : CERTAC 20m3 carrelets Bamboo N-Finity pour murs rideaux ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Panneaux massifs (Vertical Caramel) et mains courantes et portes ; Industriel et installateur : DAUBIGNEY (pour Goyer) — Placage fin (Vertical Caramel) pour portes ; Industriel et installateur : BOISTECH 1200m2 Terrasse Bamboo X-treme® (toit terrasse) ; Installateur : SPORTS ET PAYSAGES Légende photo : Daniel Osso et MOSO® Bambou  À propos de Moso Avec une expérience de plus de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 75 collaborateurs au total. www.moso-bamboo.com/fr/